Titre : La Médecine nouvelle : organe de l'Institut dynamodermique
Auteur : Institut dynamodermique (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Institut dynamodermique (Paris)
Date d'édition : 1891-03-21
Contributeur : Faber, Sosthène. Éditeur scientifique
Contributeur : Dumas, E (Dr). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328127119
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 15763 Nombre total de vues : 15763
Description : 21 mars 1891 21 mars 1891
Description : 1891/03/21 (A8,N12). 1891/03/21 (A8,N12).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5521172w
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 4-T42-34
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
Huitième année. — IV» 12 PRIX « ÎO IMES SI mars 1891
La Chirurgie nouvelle
Co n'eslplus IQ bistouri brutal qui est on
cause aujourd'hui ; c'est l'éleclrolysc insen-
sible et aseptique.
Les princes de la chirurgie) les habiles
manieurs de scalpel sont forces de reconnaî-
tre actuellement la supériorité de ces prati-
ques sans effusion sanguine, dont le patient
sort indemne après l'opération, pour re-
prendre immédiatement ses travaux ou ses
plaisirs.
S'agit-il d'une tumeur, d'un kyste, d'un
rétrécissement ï on quelques minutes l'affaire
est faite, le malade opère et la guérisûn ob-
tenue,
Comme préparation ; rien ; comme suite :
rien ; comme complication : rien non plus à
redouter.
Bientôt on opérera la cataracte avec l'é-
leclrolyse, sans se préoccuper si le malade à
opérer a du sucre dans son urine.
Nous ne prenonsjmôme pluseesprécautions
analytiques pour procéder à l'urêthrolyse.
Nous ne répandons jamais une goutte de |
sang; a quoi bon craindre l'hémorrhagie ? ]
Nous détruisons les adhérences sans dé- '
ohirer et sans inciser; nous débridons, nous '
libérons les tissus, les tendons et môme les t
veines avec une précision absolument mathé- e
malique sans occasionner la moindre lésion c
ni la plus petite scarification, nous n'avons c
donc point a rechercher la netteté do l'air
ambiant, ni la propreté de l'instrument; ti
puisque l'air ne peut pénétrer dans les tissus s
éleclrolysés et que les instruments employés d
se désinfectent d'eux-mêmes par le seul pas- d
sa"c du Iluide qui désorganise, en les ncu- e
tralisant, les matériaux les plus septiques. u
N'est-ce pas là réellement le véritable pro- fi
grès scientifique dont la base est indiscuta- t(
ble, puisqu'elle appartient aux forces vives ri
de la nature "! D
Chaque jour qui passe laisse une trace de
son labeur dons la voie de ces découvertes ;
et, quand il y a cinq ans, je disais, à propos
de l'action myogénique sur l'intestin para-
lysé, que nous n'étions qu'à l'enfance de
cette science merveilleuse, on était, en e/tet,
bien loin de songer qu'elle parviendrait à
détruire le bistouri et le lliermo-cautôre.
Cependant, il n'y a plus à le nier, et mal-
gré toutes les manies routinières, de même
qu'on no prend plus la diligence pour aller à
Bordeaux ; on ne prendra plus un bistouri
pour couper l'urèthre et risquer la mort;
pendant qu'en deux ou trois minutes onarrive
à vaincre, sans douleur, sans danger et sans
arrêt au lit ou à la chambre, un rétrécisse-
ment datant de trente ans et plus !
Quelles que soient l'adresse du postillon et
la valeur des percheron?, l'équipage routier
est démodé, il a fini son temps. Quelles que !
soient l'habileté du chirurgien et la valeur de
son antisepsie, on ne recourra plus à son
opération; parce qu'elle immobilise pendant
plusieurssemaincs ; et aussi parce qu'elle est <
sujette à caution quant au résultat ou à ses I
suites. '
Il n'est plus une femme qui consente de I
gaité de coeur à se laisser ouvrir l'abdomen £
pour guérir d'une tumeur fibreuse. L'Institut I
dynamodermique a chaque jour une aflluence e
de malades qui ont recours aux procédés ex- ''
ternes pour vaincre les fibromes, les tumeurs n
et même les kystes qui étaient autrefois justi-
ciables de cette véritable et si dangereuse c
opération césarienne. n
Depuis que nous faisons disparaître ces ji
tumeurs électrolytiquement sans douleur et b
sans arrêt, donnant un soulagement immé-
diat aux malades, il ne nous est pas arrivé l(
d'obtenir un seul insuccès ; nous n'avons pas d
eu à déplorer une minute de malaise et c'est I'
un concert de louanges et de félicitations en le
faveur de la nouvelle méthode qui répond à si
toutes les questions que l'incrédulité natu- ni
relie no cesse d'adresser aux adeptes de- la sa
Dynamodcrmie. i
La meilleure preuve que c'est la véritable I re
; voie du progrès, c'est que nous conservons
s tous les clients comme propagateurs de lu
science nouvelle.
2 Que nous n'ayons pas d'amis dans le clan
, routinier, desdrogueursetdes opérateurs ou"
i tronciers, la chose est compréhensible; nous |
ne demandons des suffrages qu'aux ayant- I
droit, c'eat-à-dire aux malades eux-mêmes.
, Ils sont rares ceux qui demandent aux
i abandonnés de la médecine leurs succès, et
qui les obtiennent; car depuis huit années,
nous n'avons cessé d'obtenirdesrésullalssur
des maladies réputées incurables.
Quand nous avons opposé l'éleclrolyse au
cancer, il nous est venu de toutes parts des
malades si gravement atteints et depuis si
longtemps que nous avons dû dans des cen-
taines de cas, refuser notre intervention mal-
heureusement trop tardivement réclamée ;
n'est-ce pas le cas de dire qu'il est certains ï
remèdes auxquels on no s'adresse qu'une ]
fois la mort constatée; c'est-à-dire, par ac-
quit de conscience, pour n'avoir rien à se re- J
procher l Mais heureusement, ces cas sont I
rares et n'ont guère lieu de se produire que d
pour le cancer, que malgré tout, nous soula- «
geons toujours. Quant aux autres manifes-
tations arthritiques il n'a jamais été trop tard
et toujours nous avons obtenu, dans les cas a
les plus graves, des résultats absolument
merveilleux.
N'est-ilpas grand temps de recourir à
cotte métliode qui ne peut offrir que la gué-
rison en perspective et qui fait ses prouves do
jour en jour avec une maestria incompara-
ble ?
Qu'il s'iigisse des maladies les plus spécia-
les et les plus tenaces: do la surdité, des m
déviations, des paralysies multiples, depuis °"
l'hémipléfîqe.jusqu'à la paralysie faciale dont 'e
les causes sont si diverses et les diagnostics 'e
si embrouillés. Toulcela se traite par la Dy- "
namodernn-e, l'électrolyso et la myogénie, Br
sans le secours de la thérapeutique, di
Les maladies des femmes n'ont plus heu- e"
reusement l'épouvantable horizon des cautô- mi
ns risations sans fin comme sans issue,
la Quelques jours desoins sans examens ré-
pétés, sans souffrances opératoires et les plus
an rebelles des affections féminines, ulcérations,
>u" abaissement de l'organe, congestions utd-
as j rines, etc., se guérissent radicalement.
'" I Telle est la médecine nouvelle, celle qu'on
'• ne peut ni ne pourra jamais arrêter dans sa
x marche progressive parce qu'elle a pour elle
2' les malados guéris et reconnaissants.
Ï,
Dr DE MoNPLAISIR.
u
s A NOS ABONNÉS
si
I-
L'Administration de la Médecine
s nouvelle apporte tous ses soins à la
0 bonne expe'dition du journal. Aussi
elle prie les abonnes qui auraient à se
t plaindre de retards ou d'interruption
: dans la réception de la Médecine nou-
velle, de vouloir bien l'en avertir im-
1 médiatement, afin qu'elle puisse en
aviser l'administration des Postes.
LES NEVRALGIES
Voici un des tei mes les plus employés en
médecine ; chaque fois qu'il est impossible
de connaître la cause ou le siège d'une dou-
leur, ou bien que le médecin a voulu s'évi-
ter la peine de faire un diagnostic sérieux,
il a prononcé le mot de névralgie, au plus
grand contentement de ses clients satisfaits
d'en être quittes à si bon marché. C'est qu'en
effet pour tous la névralgie est un mal pure-
ment fonctionnel, sans lésioiisd'aucuiie sortes
La Chirurgie nouvelle
Co n'eslplus IQ bistouri brutal qui est on
cause aujourd'hui ; c'est l'éleclrolysc insen-
sible et aseptique.
Les princes de la chirurgie) les habiles
manieurs de scalpel sont forces de reconnaî-
tre actuellement la supériorité de ces prati-
ques sans effusion sanguine, dont le patient
sort indemne après l'opération, pour re-
prendre immédiatement ses travaux ou ses
plaisirs.
S'agit-il d'une tumeur, d'un kyste, d'un
rétrécissement ï on quelques minutes l'affaire
est faite, le malade opère et la guérisûn ob-
tenue,
Comme préparation ; rien ; comme suite :
rien ; comme complication : rien non plus à
redouter.
Bientôt on opérera la cataracte avec l'é-
leclrolyse, sans se préoccuper si le malade à
opérer a du sucre dans son urine.
Nous ne prenonsjmôme pluseesprécautions
analytiques pour procéder à l'urêthrolyse.
Nous ne répandons jamais une goutte de |
sang; a quoi bon craindre l'hémorrhagie ? ]
Nous détruisons les adhérences sans dé- '
ohirer et sans inciser; nous débridons, nous '
libérons les tissus, les tendons et môme les t
veines avec une précision absolument mathé- e
malique sans occasionner la moindre lésion c
ni la plus petite scarification, nous n'avons c
donc point a rechercher la netteté do l'air
ambiant, ni la propreté de l'instrument; ti
puisque l'air ne peut pénétrer dans les tissus s
éleclrolysés et que les instruments employés d
se désinfectent d'eux-mêmes par le seul pas- d
sa"c du Iluide qui désorganise, en les ncu- e
tralisant, les matériaux les plus septiques. u
N'est-ce pas là réellement le véritable pro- fi
grès scientifique dont la base est indiscuta- t(
ble, puisqu'elle appartient aux forces vives ri
de la nature "! D
Chaque jour qui passe laisse une trace de
son labeur dons la voie de ces découvertes ;
et, quand il y a cinq ans, je disais, à propos
de l'action myogénique sur l'intestin para-
lysé, que nous n'étions qu'à l'enfance de
cette science merveilleuse, on était, en e/tet,
bien loin de songer qu'elle parviendrait à
détruire le bistouri et le lliermo-cautôre.
Cependant, il n'y a plus à le nier, et mal-
gré toutes les manies routinières, de même
qu'on no prend plus la diligence pour aller à
Bordeaux ; on ne prendra plus un bistouri
pour couper l'urèthre et risquer la mort;
pendant qu'en deux ou trois minutes onarrive
à vaincre, sans douleur, sans danger et sans
arrêt au lit ou à la chambre, un rétrécisse-
ment datant de trente ans et plus !
Quelles que soient l'adresse du postillon et
la valeur des percheron?, l'équipage routier
est démodé, il a fini son temps. Quelles que !
soient l'habileté du chirurgien et la valeur de
son antisepsie, on ne recourra plus à son
opération; parce qu'elle immobilise pendant
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sujette à caution quant au résultat ou à ses I
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Il n'est plus une femme qui consente de I
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Depuis que nous faisons disparaître ces ji
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sans arrêt, donnant un soulagement immé-
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toutes les questions que l'incrédulité natu- ni
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La meilleure preuve que c'est la véritable I re
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s tous les clients comme propagateurs de lu
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2 Que nous n'ayons pas d'amis dans le clan
, routinier, desdrogueursetdes opérateurs ou"
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ne demandons des suffrages qu'aux ayant- I
droit, c'eat-à-dire aux malades eux-mêmes.
, Ils sont rares ceux qui demandent aux
i abandonnés de la médecine leurs succès, et
qui les obtiennent; car depuis huit années,
nous n'avons cessé d'obtenirdesrésullalssur
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longtemps que nous avons dû dans des cen-
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