Titre : La Médecine nouvelle : organe de l'Institut dynamodermique
Auteur : Institut dynamodermique (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Institut dynamodermique (Paris)
Date d'édition : 1891-03-14
Contributeur : Faber, Sosthène. Éditeur scientifique
Contributeur : Dumas, E (Dr). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328127119
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 15763 Nombre total de vues : 15763
Description : 14 mars 1891 14 mars 1891
Description : 1891/03/14 (A8,N11). 1891/03/14 (A8,N11).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5521169d
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 4-T42-34
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
Hultlômo annôo. — N" t 1
F»FtI3C : lCVpENXHVTES
i4mars 1891
Les (limeurs et les cancers
On les guérit. Assurément il ne faut pas
attendre que les tumeurs aient atteint un dé-
veloppement tel que les organes lésés par
leur volume soient paralysés complètement.
Il ne faut pas attendre non plus que le can-
cer carcinome ou épithélioma ait attaqué
une artère, qu'il l'ait rongée, pour demander
les secours de la Médecine nouvelle. Sans
cela, il est certain que nous guérirons absolu-
ment ces maladies réputées incurables.
La science ancienne se drape dans une di-
gnité telle, qu'elle ne peut pas même s'abais-
ser à regarder autour d'elle pour chercher ce
qu'elle ne voit pas.
Et tous les jours on meurt faute de soins,
et chaque jouraussi, on nous demande au-
près de malades qu'il n'est plus possible de
guérir.
Cependant, la chase est facile, nous le
répétons, lorsque la tumeur ou le cancer sont
au début. L'oeuvre du chirurgien qui coupe
et tranche à même les tissus malades ne
peut que retarder pour quelques mois l'éché-
ance terrible. Nous paralysons le mal, dans
les tumeurs nous le guérissons, dans le can-
cer npus le conjurons, en donnant dix ou
quinze ans de vie au malade, alors que la
chirurgie ne lui accorderait pas deux mois.
Telle est la vérité; et si nous ne sommes pas
sollicités chaque jour par ce qu'on est con-
venu d'appeler la grande science, c'est que
nous n'appartenons à aucune autre coterie
qu'à celle qui a nom le progrès ! Nous re-
nions absolument les errements de.la mé-
thode scolastique pour prendre notre bien
où nous le trouvons. Or, ce bien, cette réus-
site que nous souhaitons tant, et que nous
avons tant cherchée, c'est l'électricité qui
nous la donne. Mais l'électricité employée
sans aucune crainte, sans lemoindre danger,
sans risque : et au contraire avec la sécurité
|a plus absolue.
Nous n'hésitons pas à apprendre aux ma-
lades qu'ils sont atteints d'un cancer, par-
ce que nous sommes en mesure de guérir cette
terrible affection.
La médecine scolastique se borne à pré-
venir l'entourage du cancéreux, que le pa-
rent ou l'ami est atteint d'un mal incurable,
dont on ne peut que le soulager en tempori-
sant, ['uis, à l'aide de ce pieux subterfuge, le
médecin descend paisiblement son malade
dans le tombeau.
Nous n'irons pas jusqu'à dire qu'il l'aide
dansce pénible voyage ; mais on peut tou-
jours admettre, quand on connaît le modo
de traitement scolastique, que le médecin
drogueur lui l'ait prendre le train rapide, de
concert avec les opiacés, la morphine, etc...
Le pauvre diable de patient, qui résistait
encore à son ennemi, ne pourra bientôt plus
tenir tête aux stupéfiants, aux calmants dont
on l'intoxique à tout instant du jour.
fatigué, meurtri, brisé par ces pratiques
consolantes qui ne font qu'aggraver son état,
il lui arrive un jour de soupçonner l'affreuse
vérité que tout un monde de complices char-
mants lui cachait. A ce moment, il vient s'a-
dresser à nous, et c'est là que nous reconnais-
sons l'impuissance de notre méthode, comme
au lendemain d'un décès.
Qu'on nous donne des cancéreux au début,
et nous complerons les insuccès ; nous n'en
perdrons pas un sur mille, grâce à noire nou-
velle méthode. Il nous est arrivé d'en pro-
longer pendant des mois entiers, alors que
|j médecin de la famille déclarait qu'ils ne
passeraient pas la semaine.
Que serait-ce donc si nous agissions au
début.
Nous lutterons toujours contre les prati-
ques chirurgicales qui n'aboutissent à rien,
qu'à tenter les chances d'une opération à la-
quelle le malade ne survivra jamais plus d'un
an, s'il ne meurt pas dans les mains des
chirurgiens.
L'opération est toujours une mauvaise
chose, parce qu'elle affaiblit le malade, et
parce qu'on ne peut jamais savoir, quelle
que soit la connaissance de la région malade,
quels sont les points d'attache ou ceux de
propagation de la tumeur fibreuse ou cancé-
reuse. Neuf fois sur dix, et nous sommes
modeste, le chirurgien est surpris quand il a
mis à découvert la région profonde et qu'il
arrive sur le mai, de trouver des choses aux-
quelles il ne s'attendait pas.
Nous l'avons vu cinq cents fois dans les
hôpitaux et par les meilleurs praticiens de
l'Kcolc de médecine.
Nous avons vu recoudre l'abdomen intact,
de malades qu'il avait été impossible d'opé-
rer. Les malheureux sortaient du sommeil
anesthésique du chloroforme, persuadés que
leur guérison était une question de temps.
La lendemain, quand ce n'était pas le
jour môme, on pouvait, à l'amphithéâtre, de
l'hôpital, constater l'inanité de la tentative
chirurgicale.
Tous les médecins savent cela, et la preu-
ve en est dans leur répugnance à opérer
eux-mêmes. Ils préfèrent, alors qu'ils pour-
raient obtenir les mômes résultats que les
spécialistes, s'adresser à eux pour ces ten-
tatives; on fait venir un chirurgien gras-
sement payé, d'abord; puis, le malade une
fois soulagé de l'existence, on ne se repro
che plus rien. Tout a été fait!
Et en effet, à moins qu'il ne s'agisse de
la rédaction de l'épitaphe, nous ne voyons
guère ce qu'on pourrait encore tenter pour
ledéfuntl Dr DE MONPLAISIK.
PRIX DES PLAQUES.
Adresser les demandes à M. Le Gras, admi-
nistrateur de l'Institut dynamodermique, 7, rue
Godot-de-Mauroi.
Les plaques sont de deux sortes :
Plaques franches simples, et plaques capiton-
nées.
La plaque franche simple est sans aucune
garniture, son action est absolument la même
que celle de la plaque capitonnée. Les arêtef
sont vives ; beaucoup de personnes préférentiel
plaques dont l'arête est capitonnée. Cette opé-
ration offrant une certaine mise en oeuvre, et une
plus grande difficulté de fabrication, augmente
d'un quart le prix de la plaque capitonnée.
Plaque franche non capitonnée, 10 francs.
Plaque capitonnée, 12 fr. 50.
Le prix de rechargement est le même pour la
plaque capitonnée que pour la plaque franche,
c'est-à-dire quatre francs par plaque.
Les ceintures franches ne sont capitonnées
que sur commande.
La ceinture franche composée de cinq pla-
ques franches est du prix de 80 francs. La cein-
ture capitonnée aussi de cinq plaques, de 60
francs. Le rechargement de ces ceintures coûte
20 francs, c'est-à-dire 4 francs par plaque.
LURÈTHROLVSE
Aucun des maux qui aiïcclent l'homme,
quelle que soit sa genèse et quel que soit son
siège, ne doit nous laisser froids. Le temps
n'est plus où l'hypocrisie, ou une pudeur
mal placée, empochait de se plaindre et fai-
sait préférer la mort à certaines explications.
C'est peut-être pour ces motifs, ou moins
bizarres, que les maladies des voies urinai-
res sont restées si longtemps sans médication
valable, ou, pour mieux dire, sans traitement
donnant do sérieux résultats. I.'urine est ce-
pendant une des sécrétions les plus impor-
tantes; puisque tout désordre apporté dans
les organes chargés de la recueillir ou de
l'expulser met l'homme en danger de mort !
Les troubles de la vessie occasionnent de
la fièvre, puis un empoisonnement véritable;
beaucoup de maladies ont pour point de dé-
part un simple rétrécissement urélhral qui,
peu à peu, amène des troubles généraux qui
sont sans remède. Aujourd'hui, grâce à l'U-
rèlhrolyse, nous n'avons plus h redouter les
effets si terribles de ces causes en apparence
futiles, mais dont la prolongation causait lo
mal.
Si nous voulons un instant nous rappeler
le procédé barbare que la chirurgie mettait à
la disposition des malheureux atteints de ré-
F»FtI3C : lCVpENXHVTES
i4mars 1891
Les (limeurs et les cancers
On les guérit. Assurément il ne faut pas
attendre que les tumeurs aient atteint un dé-
veloppement tel que les organes lésés par
leur volume soient paralysés complètement.
Il ne faut pas attendre non plus que le can-
cer carcinome ou épithélioma ait attaqué
une artère, qu'il l'ait rongée, pour demander
les secours de la Médecine nouvelle. Sans
cela, il est certain que nous guérirons absolu-
ment ces maladies réputées incurables.
La science ancienne se drape dans une di-
gnité telle, qu'elle ne peut pas même s'abais-
ser à regarder autour d'elle pour chercher ce
qu'elle ne voit pas.
Et tous les jours on meurt faute de soins,
et chaque jouraussi, on nous demande au-
près de malades qu'il n'est plus possible de
guérir.
Cependant, la chase est facile, nous le
répétons, lorsque la tumeur ou le cancer sont
au début. L'oeuvre du chirurgien qui coupe
et tranche à même les tissus malades ne
peut que retarder pour quelques mois l'éché-
ance terrible. Nous paralysons le mal, dans
les tumeurs nous le guérissons, dans le can-
cer npus le conjurons, en donnant dix ou
quinze ans de vie au malade, alors que la
chirurgie ne lui accorderait pas deux mois.
Telle est la vérité; et si nous ne sommes pas
sollicités chaque jour par ce qu'on est con-
venu d'appeler la grande science, c'est que
nous n'appartenons à aucune autre coterie
qu'à celle qui a nom le progrès ! Nous re-
nions absolument les errements de.la mé-
thode scolastique pour prendre notre bien
où nous le trouvons. Or, ce bien, cette réus-
site que nous souhaitons tant, et que nous
avons tant cherchée, c'est l'électricité qui
nous la donne. Mais l'électricité employée
sans aucune crainte, sans lemoindre danger,
sans risque : et au contraire avec la sécurité
|a plus absolue.
Nous n'hésitons pas à apprendre aux ma-
lades qu'ils sont atteints d'un cancer, par-
ce que nous sommes en mesure de guérir cette
terrible affection.
La médecine scolastique se borne à pré-
venir l'entourage du cancéreux, que le pa-
rent ou l'ami est atteint d'un mal incurable,
dont on ne peut que le soulager en tempori-
sant, ['uis, à l'aide de ce pieux subterfuge, le
médecin descend paisiblement son malade
dans le tombeau.
Nous n'irons pas jusqu'à dire qu'il l'aide
dansce pénible voyage ; mais on peut tou-
jours admettre, quand on connaît le modo
de traitement scolastique, que le médecin
drogueur lui l'ait prendre le train rapide, de
concert avec les opiacés, la morphine, etc...
Le pauvre diable de patient, qui résistait
encore à son ennemi, ne pourra bientôt plus
tenir tête aux stupéfiants, aux calmants dont
on l'intoxique à tout instant du jour.
fatigué, meurtri, brisé par ces pratiques
consolantes qui ne font qu'aggraver son état,
il lui arrive un jour de soupçonner l'affreuse
vérité que tout un monde de complices char-
mants lui cachait. A ce moment, il vient s'a-
dresser à nous, et c'est là que nous reconnais-
sons l'impuissance de notre méthode, comme
au lendemain d'un décès.
Qu'on nous donne des cancéreux au début,
et nous complerons les insuccès ; nous n'en
perdrons pas un sur mille, grâce à noire nou-
velle méthode. Il nous est arrivé d'en pro-
longer pendant des mois entiers, alors que
|j médecin de la famille déclarait qu'ils ne
passeraient pas la semaine.
Que serait-ce donc si nous agissions au
début.
Nous lutterons toujours contre les prati-
ques chirurgicales qui n'aboutissent à rien,
qu'à tenter les chances d'une opération à la-
quelle le malade ne survivra jamais plus d'un
an, s'il ne meurt pas dans les mains des
chirurgiens.
L'opération est toujours une mauvaise
chose, parce qu'elle affaiblit le malade, et
parce qu'on ne peut jamais savoir, quelle
que soit la connaissance de la région malade,
quels sont les points d'attache ou ceux de
propagation de la tumeur fibreuse ou cancé-
reuse. Neuf fois sur dix, et nous sommes
modeste, le chirurgien est surpris quand il a
mis à découvert la région profonde et qu'il
arrive sur le mai, de trouver des choses aux-
quelles il ne s'attendait pas.
Nous l'avons vu cinq cents fois dans les
hôpitaux et par les meilleurs praticiens de
l'Kcolc de médecine.
Nous avons vu recoudre l'abdomen intact,
de malades qu'il avait été impossible d'opé-
rer. Les malheureux sortaient du sommeil
anesthésique du chloroforme, persuadés que
leur guérison était une question de temps.
La lendemain, quand ce n'était pas le
jour môme, on pouvait, à l'amphithéâtre, de
l'hôpital, constater l'inanité de la tentative
chirurgicale.
Tous les médecins savent cela, et la preu-
ve en est dans leur répugnance à opérer
eux-mêmes. Ils préfèrent, alors qu'ils pour-
raient obtenir les mômes résultats que les
spécialistes, s'adresser à eux pour ces ten-
tatives; on fait venir un chirurgien gras-
sement payé, d'abord; puis, le malade une
fois soulagé de l'existence, on ne se repro
che plus rien. Tout a été fait!
Et en effet, à moins qu'il ne s'agisse de
la rédaction de l'épitaphe, nous ne voyons
guère ce qu'on pourrait encore tenter pour
ledéfuntl Dr DE MONPLAISIK.
PRIX DES PLAQUES.
Adresser les demandes à M. Le Gras, admi-
nistrateur de l'Institut dynamodermique, 7, rue
Godot-de-Mauroi.
Les plaques sont de deux sortes :
Plaques franches simples, et plaques capiton-
nées.
La plaque franche simple est sans aucune
garniture, son action est absolument la même
que celle de la plaque capitonnée. Les arêtef
sont vives ; beaucoup de personnes préférentiel
plaques dont l'arête est capitonnée. Cette opé-
ration offrant une certaine mise en oeuvre, et une
plus grande difficulté de fabrication, augmente
d'un quart le prix de la plaque capitonnée.
Plaque franche non capitonnée, 10 francs.
Plaque capitonnée, 12 fr. 50.
Le prix de rechargement est le même pour la
plaque capitonnée que pour la plaque franche,
c'est-à-dire quatre francs par plaque.
Les ceintures franches ne sont capitonnées
que sur commande.
La ceinture franche composée de cinq pla-
ques franches est du prix de 80 francs. La cein-
ture capitonnée aussi de cinq plaques, de 60
francs. Le rechargement de ces ceintures coûte
20 francs, c'est-à-dire 4 francs par plaque.
LURÈTHROLVSE
Aucun des maux qui aiïcclent l'homme,
quelle que soit sa genèse et quel que soit son
siège, ne doit nous laisser froids. Le temps
n'est plus où l'hypocrisie, ou une pudeur
mal placée, empochait de se plaindre et fai-
sait préférer la mort à certaines explications.
C'est peut-être pour ces motifs, ou moins
bizarres, que les maladies des voies urinai-
res sont restées si longtemps sans médication
valable, ou, pour mieux dire, sans traitement
donnant do sérieux résultats. I.'urine est ce-
pendant une des sécrétions les plus impor-
tantes; puisque tout désordre apporté dans
les organes chargés de la recueillir ou de
l'expulser met l'homme en danger de mort !
Les troubles de la vessie occasionnent de
la fièvre, puis un empoisonnement véritable;
beaucoup de maladies ont pour point de dé-
part un simple rétrécissement urélhral qui,
peu à peu, amène des troubles généraux qui
sont sans remède. Aujourd'hui, grâce à l'U-
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effets si terribles de ces causes en apparence
futiles, mais dont la prolongation causait lo
mal.
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