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- TABLE DES MATIERES
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- § I. Les buts qu'on peut avoir dans l'étude de l'économie politique et de la sociologie. - 2, 3. Les méthodes employées. - 4, 5, 6. Les uniformités, ou les lois. - 7. Les exceptions apparentes. - 8. Les uniformités ou les lois ne sont vraies que sous certaines conditions. - 9. Ces conditions sont parfois implicites, parfois explicites. - 10. Nous ne pouvons jamais connaître un phénomène concret dans toutes ses particularités. - 11. Nous ne pouvons en avoir qu'une connaissance approximative. - 12. Déclarer que la théorie s'écarte, sur certains points, du phénomène concret, c'est là une objection sans portée. - 13. Exemple. - 14. Approximations successives. - 15, 16, 17. Nous ne pouvons connaître les faits en raisonnant sur les concepts que nous en avons; il est nécessaire d'avoir recours à l'observation directe. - 18. Le raisonnement par élimination; en quoi il est inexact. - 19. Les résultat de la théorie diffèrent toujours, un peu du moins, de la réalité. - 20. Les sciences qui peuvent avoir recours à l'expérience, et celles qui doivent se contenter de l'observation. Une théorie ne peut avoir d'autre critérium que sa plus ou moins grande concordance avec la réalité. - 21. Abstraction; son rôle dans la science. - 22, 23, 24. Elle peut revêtir deux formes; elles sont équivalentes. - 25, 26. La science est essentiellement analytique; la pratique, synthétique. - 27, 28, 29, 30. La théorie d'un phénomène concret n'est la théorie que d'une partie de ce phénomène. La science sépare les différentes parties d'un phénomène, et les étudie séparément; la pratique doit rapprocher les résultats ainsi obtenus. - 31. Inutilité de la critique simplement négative d'une théorie. - 32. Parfois, pour arriver à plus de simplicité, nous nous éloignons volontairement, en théorie, du phénomène concret. - 33. L'étude historique des phénomènes économiques; en quoi elle est utile, en quoi elle est inutile. - 34. Evolution. - 35. Inutilité des discussions sur la méthode en économie politique. - 36. Affirmations que l'on peut vérifier expérimentalement, et affirmations qu'on ne peut pas vérifier expérimentalement. - 37. 38. La science ne s'occupe que des premières. - 39, 40. Tout ce qui a l'apparence d'un précepte, à moins qu'il n'en ait que l'apparence formelle, n'est pas scientifique. - 42. Confusion entre la science et la foi. - 43. L'intuition; ses modes et ses formes. - 44, 45, 46. Le consentement universel n'est pas un critérium de la vérité scientifique. - 47. Erreur des métaphysiciens qui veulent transporter des propositions absolues dans les propositions scientifiques qui, par nature, sont essentiellement subordonnées, et pour lesquelles il faut toujours sous-entendre cette condition, qu'elles sont vraies dans les limites du temps et de l'expérience connues de nous. - 48. Il est absurde de vouloir remplacer la foi par la science. - 49, 50. Conclusions déduites de prémisses non expérimentales. - 51. L'invention.
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- § 1. L'étude de la sociologie doit encore partir de certains principes empiriques. - 2, 3. Actions non logiques et actions logiques. - 4, 5. Tendance à se représenter comme logiques les actions non logiques, et à ramener toutes les relations des phénomènes entre eux à la relation de cause à effet. - 6. Relations objectives. - 7, 8, 9. Comment et en quoi la relation subjective s'écarte de la relation objective. - 10, 11, 12. Variétés de relations entre les faits réels. - 13, 14, 15. Relations entre les faits imaginaires et les faits réels. - 16, 17. Comment des expériences renouvelées peuvent rapprocher la relation subjective de la relation objective. - 18, 19. Notions sur la théorie des actions non logiques. La morale est un phénomène subjectif. - 20. Recherches expérimentales qu'on peut utilement instituer sur les sentiments moraux et sur les sentiments religieux. - 21. Relation entre la morale et la religion. - 22. D'une façon générale, relations entre les sentiments non logiques. - 23. Relations logiques et relations non-logiques entre la morale et la religion. - 24 à 40. Examen des systèmes logiques de morale. Ce sont des constructions vaines sans contenu réel. - 41. Recherches que l'on peut instituer utilement sur les sentiments moraux ou sur d'autres sentiments semblables. - 42. Ces sentiments sont essentiellement subjectifs. - 43. La dépendance entre ces différents sentiments n'est pas une dépendance d'ordre logique, mais résulte de ce fait que ces sentiments ont des raisons communes et éloignées. - 44. Cette dépendance varie dans le temps, l'espace et, dans une même société, selon les individus. - 45, 46, 47. Il n'y a pas une morale unique; il y en a autant qu'il y a d'individus. - 48. Opposition entre les différents sentiments non logiques, par exemple entre les sentiments moraux, et les sentiments religieux. Comment une foi intense empêche de remarquer ces oppositions. - 49. Comment et pourquoi elles ne sont pas généralement aperçues. - 50. L'homme s'efforce d'établir entre ces sentiments non-logiques les relations logiques qu'il s'imagine devoir exister. - 51, 52, 53. Certaines circonstances sont favorables au développement de certains sentiments, certaines autres leur sont contraires, et agissent différemment suivant les individus. - 54, 55. Comment les morales et les religions des différentes classes sociales agissent les unes sur les autres. - 56, 57. Exemples historiques. - 58, 59. Cette action réciproque donne lieu à des mouvements rythmiques. - 60, 61. Maux qui résultent de l'extension aux classes inférieures des sentiments des classes supérieures. - 62 à 74. Exemples historiques. - 75. Problème général de la sociologie. - 76 à 79. Solution darwinienne; en quoi elle est vraie et en quoi elle est inexacte. - 80 à 82. Solution d'après laquelle la société est organisée de façon à satisfaire l'intérêt d'une classe sociale. - 83. Il est vain de rechercher si les sentiments moraux ont une origine individuelle ou une origine sociale. - 84. Il importe de connaître, non pas leur origine, mais comment les sentiments naissent et se transforment. - 85, 86, 87. Exemples historiques. - 88. Imitation et opposition. - 89 à 93. Comment les relations objectives que nous venons d'étudier se transforment en relations subjectives. - 94 à 96. Une même relation objective peut se traduire sous différentes formes subjectives. Persistance de certains phénomènes sociaux sous des formes complètement différentes. - 97. Mouvements réels et mouvements virtuels. Problème qui consiste à rechercher comment certaines modifications hypothétiques de certains faits sociaux agissent sur d'autres faits. - 98, 99. Examen de ce problème. - 100, 101. Difficultés subjectives et difficultés objectives que l'on rencontre dans cette étude. - 102. La société n'est pas homogène. - 103. Circulation des aristocraties. - 104, 105, 106. Comment se traduit subjectivement la lutte entre les différentes classes sociales. Objectivement le concept d'égalité des hommes est absurde; subjectivement il a une part assez importante dans les phénomènes sociaux. - 107. Comment certains hommes, en agissant pour se mouvoir dans un sens, vont dans un sens opposé. - 108. Les théories sociales et économiques agissent sur la société non pas par leur valeur objective, mais par leur valeur subjective. - 109. Préjugé de l'égalité devant la loi. - 110 à 114. Les morales et les croyances varient avec les hommes; utilité sociale de ces variations. - 115 à 123. Comment, dans l'organisation politique, l'apparence diffère de la réalité. Exemples historiques.
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- § 1, 2. Objet de l'économie politique. - 3. Difficultés du problème économique, et comment l'emploi des mathématiques sert à triompher de certaines de ces difficultés. - 4, 5, 6. Simplification du phénomène économique; l'économie pure. - 7. Les trois parties de l'économie pure. - 8, 9, 10. La statique économique. On étudie un phénomène continu. - 11, 12. Deux classes de théories: la première cherche à comparer les sensations d'un individu, la seconde cherche à comparer les sensations d'individus différents. L'économie politique ne s'occupe que des premières. - 13. Comment nous ferons cette étude. - 14, 15. Nous étudierons les goûts, les obstacles et comment, de leur contraste, naît l'équilibre économique. - 16, 17, 18. Biens économiques et sensations qu'elles procurent. - 19. Les éléments qu'il faut combiner sont les goûts et les obstacles. - 20, 21. Combinaisons qualitatives et quantitatives des biens économiques. - 22. Définition de l'équilibre économique; mouvements réels et mouvements virtuels. - 23, 24, 25, 26. Données du problème de l'équilibre. - 27. Comment se détermine l'équilibre, en général. - 28, 29. Les goûts des hommes; notion imparfaite qu'en avaient les économistes; la valeur d'usage. - 30, 31. Comment, par la rectification des notions erronées de l'économie, est née l'économie pure. - 32 à 36. L'ophélimité. - 37. Liens qui existent entre les conditions du phénomène économique. - 38. Nous essayerons d'expliquer les théories de l'économie pure sans nous servir des symboles algébriques. - 39. Effets directs et effets indirects des goûts. - 40 à 48. Types de phénomènes en ce qui concerne les effets des goûts; libre concurrence; monopole. - 49. Type de l'organisation socialiste. - 50, 51. Comment les types se mélangent, et comment il faut les étudier. - 52 à 54. Lignes d'indifférence des goûts. - 55, 56. Indices d'ophélimité. - 57, 58, 59. Comment sont représentés les goûts de l'individu; la colline du plaisir. - 60, 61. Comment on représente par un sentier la condition d'un homme qui a successivement des quantités différentes d'un bien économique. - 62, 63, 64. Considérations sur les sentiers; points terminaux et points de tangence avec les lignes d'indifférence. - 65, 66, 67. Variations continues et variations discontinues. - 68. Les obstacles. - 69. Premier genre d'obstacles. - 70, 71, 72. Transformations des biens économiques. - 73, 74. Second genre d'obstacles. - 75. Les lignes d'indifférence des obstacles dans les transformations objectives. - 76. Les lignes d'indifférence du producteur. - 77 à 80. Analogie des lignes d'indifférence des goûts et des lignes d'indifférence des obstacles. - 81. La colline de l'utilité. - 82. La concurrence. - 83. La concurrence dans le troc. - 84. La concurrence dans la production. - 85. Il faut commencer par étudier une collectivité séparée de toutes les autres. - 86 à 88. Les modes de la concurrence. - 89. Types des phénomènes en ce qui concerne les producteurs. - 90, 91, 92. L'équilibre en général. - 93 à 99. L'équilibre en ce qui concerne les goûts; comment l'équilibre sur un sentier a lieu en un point terminal ou en un point de tangence de ce sentier et d'une courbe d'indifférence - 100 à 104. L'équilibre pour le producteur. - 105. La ligne de l'utilité maximum. - 106 à 111. L'équilibre des goûts et des obstacles. - 112 à 115. Théorie générale qui détermine les points d'équilibre. - 116 à 133. Modes et formes de l'équilibre dans l'échange. Différents points d'équilibre. Equilibre stable et équilibre instable. - 134. Maximum d'ophélimité. - 135 à 151. Modes et formes de l'équilibre dans la production. La ligne de l'utilité maximum. La concurrence des producteurs. - 152 à 155. Les prix. - 156, 157. La valeur d'échange. - 158. Le prix d'une marchandise en une autre. - 159 à 166. Les phénomènes économiques décrits en faisant usage de la notion de prix. - 167 à 174. Les prix et le second genre des obstacles. Prix coûtants et prix variables. - 175. Le budjet de l'individu. - 176. Le budget du producteur. - 177, 178, 179. Le coût de production. - 180 à 183. Offre et demande. - 184. Courbe de l'offre et courbe de la demande. - 185, 186, 187. L'offre et la demande dépendent de toutes les circonstances de l'équilibre économique. - 188 à 192. L'égalité de l'offre et de la demande au point d'équilibre. - 193. Mode de variation de l'offre et de la demande. - 194. L'égalité du coût de production et des prix de vente. - 195. Equilibre stable et équilibre instable; ses rapports avec les notions d'offre et de demande. - 196 à 204. Equilibre en général. - 205 à 215. L'équilibre de la production et de l'échange en général. - 217. 218. Quelle est l'utilité de l'emploi des mathématiques. - 219 à 226. Erreurs qu'a engendrées le non emploi des mathématiques là où il était indispensable. - 227. Il est vain de rechercher la cause unique de la valeur. - 228. L'économie pure a pu seule donner jusqu'ici une notion synthétique du phénomène économique.
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- § 1. But du présent chapitre. - 2 à 7. Les goûts et l'ophélimité. On ne considère que la consommation volontaire. - 8. Consommations indépendantes et consommations dépendantes. Deux genres de dépendance. - 9 à 13. Etude du premier genre de dépendance. Il se divise en deux espèces. - 14 à 18. Etude du second genre de dépendance. - 19. Hiérarchie des marchandises. - 20 à 23. Façon de considérer le second genre de dépendance. Equivalences des consommations. - 24. Grande extension du phénomène de la dépendance des consommations. - 25, 26. Nous ne pouvons étudier le phénomène économique que dans une petite région autour du point d'équilibre. - 26 à 28. Les courbes d'indifférence varient avec le temps et les circonstances. 29 à 31. Divergences du phénomène théorique et du phénomène concret. - 32. L'ophélimité et ses indices. - 33, 34. Caractères de l'ophélimité pour des consommations indépendantes. - 35, 36. Consommations dépendantes. - 37 à 42. Caractères de l'ophélimité en général. - 43 à 47. Caractères des lignes d'indifférence. - 48 à 53. Relation entre l'ophélimité ou les lignes d'indifférence de l'offre et la demande. Relations avec le revenu du consommateur. - 54 à 55. Différentes formes des lignes d'indifférence et des lignes des échanges. Considération des différents genres de dépendance. - 66 à 68. Le phénomène de l'ophélimité en général. - 69, 70. La colline de l'ophélimité.
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- § 1. L'étude de la production est plus complexe que l'étude des goûts. - 2 à 7. La division du travail et l'entreprise. - 8 à 10. La fin à laquelle tend l'entreprise. - 11 Comment, en poursuivant une certaine fin, elle en atteint parfois une autre. - 12, Le type de l'organisation socialiste. - 13 à 16. Les diverses voies de l'entreprise. - 17 à 24. Les capitaux. En quoi cette notion n'est pas rigoureuse: et comment on peut la rendre telle. 25 à 29. La théorie de l'équilibre économique sans la notion, et avec la notion de capital. - 30, 31, 32. Amortissement et assurance. - 33. Les services des capitaux. - 34. Biens matériels et biens immatériels. - 35, 36, 37. Les coefficients de production. - 38. Transformations dans l'espace. - 39 à 42. Transformations dans le temps. - 43 à 47. Le bilan de l'entreprise et les transformations dans le temps. Différentes façons de considérer ces transformations. - 48 à 51. Le revenu des capitaux. - 52 à 57. Le revenu net et ses causes. - 58. Reveuus nets de divers capitaux. - 59, 60. Le budget de l'entreprise et les revenus des capitaux. - 61. Le bilan de l'entreprise, le travail et les capitaux de l'entrepreneur. - 62 à 65. L'entrepreneur et le propriétaire des biens économiques. 66 à 69. Les entreprises réelles, leurs revenus et leurs pertes. - 70 à 75. Variabilité des coefficients de production - 76 à 77. Compensation possible entre les variations des différents coefficients. - 78 à 80. Répartition de la production. - 81 à 87. Equilibre général de la production. - 88. Production des capitaux. - 89. Positions successives d'équilibre. - 90. La rente. - 91, 92. Rente acquise. - 93, 94, 95. La rente de Ricardo; sa relation avec le coût de production. - 96, 97. Comment ce cas particulier fait partie de la production.
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- § 1 à 18. Exemples d'équilibre. La loi du coût de production. Comment agit la concurrence. - 19 à 25. Formes ordinaires des courbes d'indifférence dans l'échange et dans la production; marchandises à coût de production croissant, et marchandises à coût décroissant. - 26. L'équilibre des goûts et de la production. - 27 à 31. L'équilibre en général. Approximation plus grande du phénomène concret. - 32, 33. Propriété de l'équilibre. Maximum d'ophélimité. - 34 à 38. Propriété de l'équilibre dans l'échange. Comment on obtient le maximum d'ophélimité. - 39 à 47. Propriétés de l'équilibre de la production. Comment on obtient le maximum d'ophélimité. - 48. Argument en faveur de la production collectiviste. - 49 à 51. Comment agit la libre concurrence pour déterminer les coefficients de production et pour arriver à l'égalité de tous les revenus nets des différents capitaux. - 52 à 61. L'équilibre économique dans la société collectiviste. - 62, 63. 64. Maximum d'ophélimité pour des collectivités partielles. - 65 à 69. Théorie pure du commerce international. - 70. L'équilibre et les prix. - 71 à 79. Théorie quantitative de la monnaie. Variation des prix. - 80 à 89. Relation entre l'équilibre, les prix des facteurs de la production et les prix des produits. - 90, 91. Traduction subjective des phénomènes étudiés. - 92. Circulation économique. - 93 à 96. Interprétations inexactes de la concurrence des entrepreneurs. - 97 à 101. Conceptions erronées de la production.
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- § 1. Le phénomène économique, son point de départ et son point d'aboutissement dans l'homme. - 2. Hétérogénéité sociale. - 3 à 10. Le type moyen et la répartition des divergences. La courbe des erreurs. - 11 à 17. La courbe de la répartition des revenus. - 18 à 22. Circulation sociale. - 23 à 25. Dans certaines limites de temps et d'espace les changements dans la forme de la courbe des revenus ont été très faibles. - 26. La partie inférieure a changé plus que la partie supérieure. - 27 à 31. Conséquences théoriques de ces faits. - 32 à 45. Relations entre les conditions économiques et la population. - 46, 47. L'oubli de la considération des crises économiques peut conduire à des erreurs graves. - 48. Théorie des corrélations. - 49, 50. Effets de l'augmentation de la prospérité économique. - 51 à 56. L'effet de la variation de la quantité de la richesse peut être complètement différent de l'effet de cette quantité. Etude de ce dernier effet. - 57 à 60. La production des capitaux personnels. - 61. Coût de production de l'homme adulte. - 62 à 67. Obstacles à la force génératrice. Accroissement exceptionnel de la population au XIXe siècle. - 68 à 70. Les subsistances et la population. 71 à 80. Nature des obstacles. Leurs effets directs et leurs effets indirects. - 81 à 88 Vue subjective des phénomènes dépendant de l'accroissement de la population. - 89 à 96. Malthus et ses théories. - 97 à 101. La société humaine en général. Les faits principaux qui déterminent ses caractères sont: la hiérarchie; l'ascensions des aristocraties; la sélection; la proportion moyenne de richesse ou de capitaux par individu. - 102 à 103. Conditions quantitatives pour l'utilité de la société et pour l'utilité des individus. - 104 à 115. Stabilité et sélection. Principe de stabilité et principe de changement. - 116, 117. Traduction jective des faits.
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- § 1. Les capitaux fonciers. - 2. La concurrence entre eux. - 3, 4. Caractères principaux; la rente. - 5 à 7. Formes de la propriété et relations entre ceux qui possèdent le sol et ceux qui le travaillent. - 8. Les capitaux mobiliers. - 9, 10. L'épargne. - 11. La production de l'épargne n'est pas déterminée par le revenu qu'on retire de l'épargne. - 12 à 16. Différents genres d'épargne, selon l'usage qui en est fait. - 17 à 21. Le revenu de l'épargne et l'organisation sociale. - 22 à 25. Traduction subjective de ces phénomènes. - 26, 27, 28. Prétendues lois de la baisse du revenu des capitaux. - 29. La monnaie; différentes espèces de monnaie. - 30. Rôles de la monnaie. - 31 à 34. Les changes étrangers. - 35 à 39. Le change et le commerce international. Circulation du papier monnaie. Position équivalente d'équilibre. - 40. La loi de Gresham. - 41. Le bimétallisme. - 42. Substituts de la monnaie. - 43. La monnaie métallique est une faible partie de la richesse d'un pays. - 44 et 45. Quantité de monnaie en circulation; consommation industrielle de l'or et de l'argent. - 49 à 50. Les banques. La garantie de la circulation des banques d'émission. L'escompte.
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- § 1. Comment on passe de l'étude du phénomène abstrait à celle du phénomène concret. - 2. Divergences entre le phénomène abstrait et le phénomène concret, dans la consommation. - 3 à 6. La vente au détail et son organisation funeste pour la société. - 7. Variations des prix de détail et des prix de gros. - 8 à 15. Trusts et syndicats. - 16. Contrat collectif de production. - 17 à 19. Une partie des hommes dépense son activité à s'approprier les biens produits par d'autres. - 20 à 22. Cette uniformité, observée jusqu'ici, ne tend pas du tout à disparaître; elle change de forme. - 23, 24. Comment et pourquoi les hauts prix étaient considérés autrefois comme funestes; tandis qu'ils sont actuellement considérés comme un bien pour la société. - 25 à 35. Evolution qui conduit à la constitution d'une nouvelle caste. - 36 à 38. Comment l'état économique actuel et probablement l'état futur est un mélange de concurrence et de monopole. - 39. Commerce international. - 40 à 54. Théorie économique du commerce international. - 41. Théorie des débouchés. 42 à 52. Théorie des coûts comparatifs de Ricardo. - 53. Droits d'exportation. - 54. Droits d'importation. - 55. Effets économiques indirects. - 56. Effets de répartition. - 57. Effets sociaux. - 58, 59. Effets fiscaux. - 60. Complexité du problème du libre-échange et de la protection. - 61. Il ne suffit pas de savoir que la protection amène nécessairement une destruction de richesse pour la condamner. - 62 à 66. Raison de la protection. - 62. L'étude de l'économie politique n'est pas une de ces raisons. - 63 à 65. Comment se composent les ligues protectionnistes. - 66. Adversaires et partisans de la protection. - 67. La protection ne peut pas être repoussée par cela seul que ceux qui la demandent en jouissent en s'appropriant les biens d'autrui. - 68. On ne peut pas empiriquement déterminer les effets de la protection. - 69. Exception; elle confirme l'enseignement de la théorie. - 70. Erreurs empiriques au sujet de la protection. - 71, 72. Comment la destruction de richesse amenée par la protection pourrait être dans certains cas compensée par l'augmentation de richesse amenée par d'autres causes. - 73, 74. Les crises économiques. - 75. La crise n'est qu'un cas particulier de la loi du rythme des phénomènes économiques et sociaux. - 76, 77. Comment la production s'adapte à la consommation. - 77 à 79. Deux genres principaux de causes des crises économiques. - 80. Période ascendante et période descendante. - 81. Les crises produisent moins de dommages qu'on ne croie. - 82. Les faits concomitants des crises considérées à tort comme les causes des crises. - 83, 84. Prétendus excès de production, d'intensité de la circulation, de l'emploi du crédit - 85 à 87. Symptômes des crises. Théorie de Juglar et de des Essarts. - 88. Théorie de Jevons.
- APPENDICE
- § 1. But de l'appendice. - 2 à 4. Les lignes d'indifférence. - 5 à 7. Equation différentielle fournie par l'observation. - 8, 9. Intégrale de l'équation et sa correspondance avec le plaisir. - 10 à 19. Comment on peut, de l'observation, déduire l'ophélimité. - 20, 21. Expression de l'ophélimité. - 22, 23. Equilibre dans le cas d'un individu et de deux biens. - 24, 25. Plusieurs biens économiques. - 26, 27. Equation des obstacles. - 28 à 33. Monopole d'un individu. - 34. Libre concurrence. - 35. Comparaison des cas considérés. - 36. Trois biens. - 37. Les prix. - 38. Le budget. - 39. Prix variables. - 40. Exemple. - 41. Equilibre pour un individu, un nombre quelconque de biens, et des prix constants. - 42. L'ophélimité et les courbes d'offre et de demande. - 43. L'équilibre économique déduit des courbes d'offre et de demande. - 44, 45. Propriété des courbes d'indifférence. - 46 à 50. Caractère des indices. - 51. Complexité des lignes d'indifférence. - 52 à 55. Lois générales de l'offre et de la demande. - 56 à 62. Erreur des économistes qui ont considéré l'ophélimité de la monnaie comme constante. - 63 à 67. Cas général de l'échange avec des prix constants. - 68. Monopole d'un individu et d'une marchandise. - 69, 70. Monopole de deux individus et d'une marchandise. - 71. Monopole de deux individus et de deux marchandises. - 72 à 76. Considérations sur ces différents cas de monopole. - 76 bis. Exemple. - 77. La production. - 78. Les coefficients de production. - 79. Les prix de revient. - 80. Equilibre des consommateurs. - 81 Equilibre des entreprises. - 82. - Equilibre de la production. - 83. Libre concurrence. - 84 à 88. Monopole de la production. - 89. Définition du maximum d'ophélimité pour une collectivité. - 90 à 92. Détermination du maximum d'ophélimité de la production. - 93 à 100. Exemple. - 101 à 106. Variabilité des coefficients de production. - 107. Répartition des quantités entre les entreprises. - 108. Erreurs usuelles au sujet des coefficients de production. - 109 à 115. Propriété de l'équilibre économique et ses rapports avec le maximum d'ophélimité. - - 116. Cas d'un individu. - 117 à 120. Les conditions du maximum d'ophélimité. - 121 à 126. Le maximum d'ophélimité en rapport avec les déplacements finis. - 127 à 129. Signification économique du maximum d'ophélimité. - 130 à 132. Coup d'oeil d'ensemble: les liaisons. - 133. Décomposition du système économique. - 134 à 136. Les fonctions-indices. - 137. Les indices de l'ophélimité. - 138. Fonctions-indices en général. - - 139 à 141. Les types économiques. - 142. Les dérivées seconde des fonctions-indices. - 143. Le système d'équation qui détermine l'équilibre économique. - 144. Les propriétés de l'équilibre économique; les antagonismes économiques. - 145 à 150. Le maximum d'ophélimité. - 151. Les variations finies. - 152. Les différents points d'équilibre.
- ADDITIONS
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- TABLE DES AUTEURS CITES
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- .......... Page(s) .......... 520
- .......... Page(s) .......... 389
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BIBLIOTHÈQUE INTERNATIONALE D'ÉCONOMIE POLITIQUE
Publiée sous la direction de Alfred Bonnet
MANUEL
D'ECOJÔttlE POLITIQUE
[ê'; / > n '■%]
\*[ n.h it)
VILFREDO PARETO
TRADUIT SUR L'ÉDITIOX ITALIENNE PAR
Alfred BONNET
(REVUE PAR L'AUTEUR)
PA11IS (be)
V. GIAUD & Ë. BRIÈ11E
LIBKA1RBS-ÉDITBURS
16, RUE SOUIKLOT Kl' 12, RU» TOULLIKR
1909
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MANUEL
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VILFREDO PARETO
TRADUIT SUR L'ÉDITIOX ITALIENNE PAR
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1909
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