Épître à la sensibilité, dédiée à mon médecin, le docteur Taranget, demeurant à Douai, qui m'a guérie... (par Madame Anselme, connue sous le nom de Valincourt.) - A la citoyenne Anselme, par Taranget. Douai, 28 germinal an VI - vue 1 - page NP
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