Titre : La Lumière : journal non politique... : beaux-arts, héliographie, sciences
Auteur : Société héliographique (France). Auteur du texte
Éditeur : Société d'héliographie (Paris)
Éditeur : A. GaudinA. Gaudin (Paris)
Éditeur : M.-A. GaudinM.-A. Gaudin (Paris)
Date d'édition : 1855-01-06
Contributeur : Monfort, Benito R. de (18..-18..). Directeur de publication
Contributeur : Gaudin, Alexis (1816-1894). Directeur de publication
Contributeur : Lacan, Ernest (1829-1879). Rédacteur
Contributeur : Gaudin, Marc-Antoine (1804-1880). Rédacteur. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32809606x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3408 Nombre total de vues : 3408
Description : 06 janvier 1855 06 janvier 1855
Description : 1855/01/06 (A5,N1). 1855/01/06 (A5,N1).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5429065n
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3100
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2008
AVIS.
Nous prions nos abonnés d'excuser le relard qui
a eu lieu cette semaine dans l'envoi de notre journal.
Les ateliers de l'imprimerie ayant été fermés lundi
et mardi à cause des fêtes du premier de l'an, la
Lumière n'a pu être tirée que samedi.
SOMMAIHE.
A NOS ABONNÉS, par M. A. GADDIN. — UN MOT SUR LE
PROPAGATEUR, par M. E, L.— LA PHOTOGRAPHIE EN
ANGLETERRE. Papier albuminé, par M. W. SCOTT. —
SCIENCES. Election d'un vice-président. 4 millions de
diamants, par M. A.-T. L.—NOTES DE CHIMIE PHOTO-
GRAPHIQUE, par M. Ernest CONDUCHÉ.—BEAUX-ARTS.
Une histoire à propos de ruines, par M. Paul NIBKLLE. —
L'ASTRONOMIE POPULAIRE de F. AKAGO.
A NOS ABONNES.
Avec l'année 1855 commence la cinquième année
de la Lumière.
Que nos lecteurs nous permettent de nous arrêter
un instant à ce point de noire roule, et de jeter avec
eux un regard en arriére.
Disons-le d'abord : c'est avec une orgueilleuse
satisfaction que nous commençons ce nouveau vo-
îume, car non-seulement nous avons vu le nom-
bre de nos abonnes s'accroilrc continuellement, mais
encore nous avons reçu de toutes paris des encou-
ragements que nous regardons comme la plus chère
récompense de nos sacrifices el de nos efforts.
Si vous ouvrez les journaux américains Lrailant
de photographie, vous les trouverez presque enliè-
remenl remplis d'articles empruntés à la Lumière
et au Journal de la société photographique de Lon-
dres. Celle dernière publication elle-même, bien
qu'alimentée par les communications des plus ha-
biles photographes anglais, consacre régulièrement
dans chacun de ses numéros plusieurs pages à la
reproduction de nos articles el des lettres de nos
correspondants. Un attire journal, que son intérêt
el l'habileté de sa direction oui rendu populaire en
Angleterre, les Notes and Ounries, traduit ou
analyse également la plupart de nos communica-
tions, quoiqu'il ne consacre que peu d'espace à la
photographie. Si les noms de M M. M.-A. Gandin,
Conduché, Lespiaull, Tillard, de lîrébisson, Julien
Blol ligorenl régulièrement dans les revues étran-
gères, ceux de MM. Ernesl Laçait, Paul Nibelle,
A.-T. L. sont inscrits fréquemment dans les jour-
naux français. Quand le Moniteur, la Presse, le
Siècle, la Gazelle de France, V Àlhénèum français,
le Nouveau Journal des Connaissances utiles, l'In-
vention, le Journal de l'Instruction publique, insè-
rent des articles relatifs à la photographie, c'est a la
Lumière qu'ils les empruntent. Le travail de M. Er_
nesl Lacan sur la Photographie signalétique, el la
•avante notice de M. Paul Nibelle sur la cathé-
drale de Strasbourg, ont élé répétés à peu près dans
tous les journaux.
Ne sonl-cc pas là de véritables succès pour une.
publication aussi modeste dans son ambition, et
aussi restreinte dans ses limites (pie le journal la
Lumière ? Et n'est—il pas bien naturel que nous ai-
mions à les rappeler ?
D'un autre côté, on nous permettra bien de le
dire, nous recevons souvent des lettres signées de
noms émincnls, que nous gardons comme des titres
précieux, el dans lesquelles, à côté de quelques élo-
ges dont nous nous glorifions, se trouve parfois une
critique bienveillante, qui donne plus de prix aux
éloges en montrant leur sincérité, et qui nous
prouve qu'on s'intéresse à notre oeuvre.
Eufin nous avons l'honneur de compter parmi
nos abonnés l'Empereur et S. A. II. le prince
Albert.
Si nous parlons de ces marques de sympathie el
d'estime, c'est par un sentiment de vive reconnais-
sance pour ceux qui nous les donnent, el en même
temps parce que l'honneur en revient d'abord aux
écrivains qui nous prêtent avec tant de zèle le con-
cours de leur talent.
El puis, nous l'avouerons, il y a pour nous, qui
écrivons ces lignes, une satisfaction personnelle
dans la réussite du journal que nous avons relevé
et soutenu.
Eu nous voyant prendre la direction de la Lu-
mière , on a dit el répété que c'était pour nous une
nouvelle spéculation commerciale, el que la Lu-
mière, dans nos mains, allait devenir l'organe d'une
coterie, non pas monte artistique, mais indus-
trielle.
Maintenant, après quatre années de gestion, nous
demandons hautement à nos lecteurs s'ils ont vu
dans nos colonnes une seule ligne qui put donner
raison à ces insinuations calomnieuses i'i\ous de-
mandons si la rédaction de la Lumière n'a pas ac-
cueilli tous les procédés nouveaux cl dignes d'at-
tention, quel que fût leur inventeur? S'il est un seul
artiste de mérile qui n'ait reçu d'elle encouragement
el publicité"? S'il est une juste réclamation qui n'ait
élé admise.'Nous demandons enfin si nos inlérèls
I personnels ont élé mis une seule fuis en avant, et si
; la lumière na pas toujours ele ce qu'elle devait
èlre, un organe impartial, indépendant, une tribune
ouverte à tous .'
IVailleius, un journal de coterie serait tombé, et
la Lumière a prospéré.
Voila pour la direction imprimée à la Lumière;
quant à ses travaux pendant l'année qui vient de
s'écouler, nous prions instamment nos lecteurs de
vouloir bien'parcourir le volume (pie nous venons
de clore, eleel examen terminé, nous leur deman-
derons si la rédaction n'a [tas rempli largement sa
mission.
En effet, aucun procédé nouveau cl utile n'a élé
imagine, sans qu'immédiatement il ne fùl porté à la
connaissance de nos lecteurs. Pas une semaine ne
s'est [tassée sans que la Lumière n'ait publié quel-i
quelqu'inlércssanle communication. Bien que nous
ne nous y fussions nullement engagé, nous avons
offert à nos abonnés deux spécimens de gravure
héliographique de M. Baldus, un de M. Riffaut,
deux de M. Charles .Nègre, et de [dus, deux pani-
conographies de 31. Gillol. Nous avons recueilli
avec soin tout ce qui s'est fait à l'étranger. A peine
recevions-nous les journaux anglais, que nous en
donnions immédiatement des traductions ou des
analyses : on retrouvera dans Irente-lrois de nos
numéros des reproductions de ce genre, qui oui un
double intérêt par les faits qu'elles contiennent et
pur la connaissance qu'elles donnent des progrès
réalisés en Angleterre, ce qui contribue puissam-
ment à exciter une féconde émulation parmi les
artistes.
El dans les articles hebdomadaires, dus aux re-
cherches et aux études de MM. M.-A. Gaudin et
Ernest Conduché, que d'expériences curieuses, que
de renseignements précieux, que d'observations
savantes ! Qu'il nous suit permis d'appeler, au
moins une fois, l'attention de nos lecteurs sur la
somme de travail nécessaire à ces deux laborieux
écrivains, [tour pouvoir, chaque semaine, remplir
avec autant de succès la lâche difficile qu'ils onf
accepléc.
Mais la mission de la ÏAimièrc n'est pas seule-"
ment de faire connaître les procédés el les manipu-
lations. Elle doit encore, afin que son oeuvre soit
complète, décrire les résultats obtenus, faire res-
sortir les progrès accomplis dans l'exécution, comme
elle constate ceux réalisés dans les moyens ; elle
doit, en un mol, critiquer les productions des ar-
tistes. Là encore se trouvent des difficultés donl il
est facile de se rendre compte.
La Lumière a publié quarante articles de ce
genre en lS.Vi.
Les beaux-arts el les sciences n'ayant qu'une
place restreinte dans nos colonnes, en raison des
limites élroiles de noire cadre el des exigences de
noire spécialité, la part de collaboration confiée à
M.M. Paul Nibelle et. A.-T. L. c>L sans contredit, la
plus embarrassante el nous dirions presque la plus
sacrifiée. Ils oui su. grâce à leur lalenl el à leurs ef-
forts, donner tant d'intérêt à leurs travaux cpie nous
Unir devons une bonne partie des reproductions qui
ont élé failcsde la Lumière dans les diversjournaux.
Charnu a donc tait consciencieusement el habile-
ment son devoir: il faut le dire aussi, nous avons
élé bien secondés par les arlisles, par ceux-là même
à qui la photographie doit ses perfectionnetuonls.
Sans cesse en rapport avec eux, recevant leurs cotn-
muniralions, leurs conseils; toujours informée la
première des travaux qu'ils entreprennent et des
expériences auxquelles ils se livrent, la rédaction de
la Lumières? trouve dans des conditions tout excep-
tionnelles el que nos lecteurs oui appréciées, ainsi
Nous prions nos abonnés d'excuser le relard qui
a eu lieu cette semaine dans l'envoi de notre journal.
Les ateliers de l'imprimerie ayant été fermés lundi
et mardi à cause des fêtes du premier de l'an, la
Lumière n'a pu être tirée que samedi.
SOMMAIHE.
A NOS ABONNÉS, par M. A. GADDIN. — UN MOT SUR LE
PROPAGATEUR, par M. E, L.— LA PHOTOGRAPHIE EN
ANGLETERRE. Papier albuminé, par M. W. SCOTT. —
SCIENCES. Election d'un vice-président. 4 millions de
diamants, par M. A.-T. L.—NOTES DE CHIMIE PHOTO-
GRAPHIQUE, par M. Ernest CONDUCHÉ.—BEAUX-ARTS.
Une histoire à propos de ruines, par M. Paul NIBKLLE. —
L'ASTRONOMIE POPULAIRE de F. AKAGO.
A NOS ABONNES.
Avec l'année 1855 commence la cinquième année
de la Lumière.
Que nos lecteurs nous permettent de nous arrêter
un instant à ce point de noire roule, et de jeter avec
eux un regard en arriére.
Disons-le d'abord : c'est avec une orgueilleuse
satisfaction que nous commençons ce nouveau vo-
îume, car non-seulement nous avons vu le nom-
bre de nos abonnes s'accroilrc continuellement, mais
encore nous avons reçu de toutes paris des encou-
ragements que nous regardons comme la plus chère
récompense de nos sacrifices el de nos efforts.
Si vous ouvrez les journaux américains Lrailant
de photographie, vous les trouverez presque enliè-
remenl remplis d'articles empruntés à la Lumière
et au Journal de la société photographique de Lon-
dres. Celle dernière publication elle-même, bien
qu'alimentée par les communications des plus ha-
biles photographes anglais, consacre régulièrement
dans chacun de ses numéros plusieurs pages à la
reproduction de nos articles el des lettres de nos
correspondants. Un attire journal, que son intérêt
el l'habileté de sa direction oui rendu populaire en
Angleterre, les Notes and Ounries, traduit ou
analyse également la plupart de nos communica-
tions, quoiqu'il ne consacre que peu d'espace à la
photographie. Si les noms de M M. M.-A. Gandin,
Conduché, Lespiaull, Tillard, de lîrébisson, Julien
Blol ligorenl régulièrement dans les revues étran-
gères, ceux de MM. Ernesl Laçait, Paul Nibelle,
A.-T. L. sont inscrits fréquemment dans les jour-
naux français. Quand le Moniteur, la Presse, le
Siècle, la Gazelle de France, V Àlhénèum français,
le Nouveau Journal des Connaissances utiles, l'In-
vention, le Journal de l'Instruction publique, insè-
rent des articles relatifs à la photographie, c'est a la
Lumière qu'ils les empruntent. Le travail de M. Er_
nesl Lacan sur la Photographie signalétique, el la
•avante notice de M. Paul Nibelle sur la cathé-
drale de Strasbourg, ont élé répétés à peu près dans
tous les journaux.
Ne sonl-cc pas là de véritables succès pour une.
publication aussi modeste dans son ambition, et
aussi restreinte dans ses limites (pie le journal la
Lumière ? Et n'est—il pas bien naturel que nous ai-
mions à les rappeler ?
D'un autre côté, on nous permettra bien de le
dire, nous recevons souvent des lettres signées de
noms émincnls, que nous gardons comme des titres
précieux, el dans lesquelles, à côté de quelques élo-
ges dont nous nous glorifions, se trouve parfois une
critique bienveillante, qui donne plus de prix aux
éloges en montrant leur sincérité, et qui nous
prouve qu'on s'intéresse à notre oeuvre.
Eufin nous avons l'honneur de compter parmi
nos abonnés l'Empereur et S. A. II. le prince
Albert.
Si nous parlons de ces marques de sympathie el
d'estime, c'est par un sentiment de vive reconnais-
sance pour ceux qui nous les donnent, el en même
temps parce que l'honneur en revient d'abord aux
écrivains qui nous prêtent avec tant de zèle le con-
cours de leur talent.
El puis, nous l'avouerons, il y a pour nous, qui
écrivons ces lignes, une satisfaction personnelle
dans la réussite du journal que nous avons relevé
et soutenu.
Eu nous voyant prendre la direction de la Lu-
mière , on a dit el répété que c'était pour nous une
nouvelle spéculation commerciale, el que la Lu-
mière, dans nos mains, allait devenir l'organe d'une
coterie, non pas monte artistique, mais indus-
trielle.
Maintenant, après quatre années de gestion, nous
demandons hautement à nos lecteurs s'ils ont vu
dans nos colonnes une seule ligne qui put donner
raison à ces insinuations calomnieuses i'i\ous de-
mandons si la rédaction de la Lumière n'a pas ac-
cueilli tous les procédés nouveaux cl dignes d'at-
tention, quel que fût leur inventeur? S'il est un seul
artiste de mérile qui n'ait reçu d'elle encouragement
el publicité"? S'il est une juste réclamation qui n'ait
élé admise.'Nous demandons enfin si nos inlérèls
I personnels ont élé mis une seule fuis en avant, et si
; la lumière na pas toujours ele ce qu'elle devait
èlre, un organe impartial, indépendant, une tribune
ouverte à tous .'
IVailleius, un journal de coterie serait tombé, et
la Lumière a prospéré.
Voila pour la direction imprimée à la Lumière;
quant à ses travaux pendant l'année qui vient de
s'écouler, nous prions instamment nos lecteurs de
vouloir bien'parcourir le volume (pie nous venons
de clore, eleel examen terminé, nous leur deman-
derons si la rédaction n'a [tas rempli largement sa
mission.
En effet, aucun procédé nouveau cl utile n'a élé
imagine, sans qu'immédiatement il ne fùl porté à la
connaissance de nos lecteurs. Pas une semaine ne
s'est [tassée sans que la Lumière n'ait publié quel-i
quelqu'inlércssanle communication. Bien que nous
ne nous y fussions nullement engagé, nous avons
offert à nos abonnés deux spécimens de gravure
héliographique de M. Baldus, un de M. Riffaut,
deux de M. Charles .Nègre, et de [dus, deux pani-
conographies de 31. Gillol. Nous avons recueilli
avec soin tout ce qui s'est fait à l'étranger. A peine
recevions-nous les journaux anglais, que nous en
donnions immédiatement des traductions ou des
analyses : on retrouvera dans Irente-lrois de nos
numéros des reproductions de ce genre, qui oui un
double intérêt par les faits qu'elles contiennent et
pur la connaissance qu'elles donnent des progrès
réalisés en Angleterre, ce qui contribue puissam-
ment à exciter une féconde émulation parmi les
artistes.
El dans les articles hebdomadaires, dus aux re-
cherches et aux études de MM. M.-A. Gaudin et
Ernest Conduché, que d'expériences curieuses, que
de renseignements précieux, que d'observations
savantes ! Qu'il nous suit permis d'appeler, au
moins une fois, l'attention de nos lecteurs sur la
somme de travail nécessaire à ces deux laborieux
écrivains, [tour pouvoir, chaque semaine, remplir
avec autant de succès la lâche difficile qu'ils onf
accepléc.
Mais la mission de la ÏAimièrc n'est pas seule-"
ment de faire connaître les procédés el les manipu-
lations. Elle doit encore, afin que son oeuvre soit
complète, décrire les résultats obtenus, faire res-
sortir les progrès accomplis dans l'exécution, comme
elle constate ceux réalisés dans les moyens ; elle
doit, en un mol, critiquer les productions des ar-
tistes. Là encore se trouvent des difficultés donl il
est facile de se rendre compte.
La Lumière a publié quarante articles de ce
genre en lS.Vi.
Les beaux-arts el les sciences n'ayant qu'une
place restreinte dans nos colonnes, en raison des
limites élroiles de noire cadre el des exigences de
noire spécialité, la part de collaboration confiée à
M.M. Paul Nibelle et. A.-T. L. c>L sans contredit, la
plus embarrassante el nous dirions presque la plus
sacrifiée. Ils oui su. grâce à leur lalenl el à leurs ef-
forts, donner tant d'intérêt à leurs travaux cpie nous
Unir devons une bonne partie des reproductions qui
ont élé failcsde la Lumière dans les diversjournaux.
Charnu a donc tait consciencieusement el habile-
ment son devoir: il faut le dire aussi, nous avons
élé bien secondés par les arlisles, par ceux-là même
à qui la photographie doit ses perfectionnetuonls.
Sans cesse en rapport avec eux, recevant leurs cotn-
muniralions, leurs conseils; toujours informée la
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