Titre : La Lumière : journal non politique... : beaux-arts, héliographie, sciences
Auteur : Société héliographique (France). Auteur du texte
Éditeur : Société d'héliographie (Paris)
Éditeur : A. GaudinA. Gaudin (Paris)
Éditeur : M.-A. GaudinM.-A. Gaudin (Paris)
Date d'édition : 1856-11-01
Contributeur : Monfort, Benito R. de (18..-18..). Directeur de publication
Contributeur : Gaudin, Alexis (1816-1894). Directeur de publication
Contributeur : Lacan, Ernest (1829-1879). Rédacteur
Contributeur : Gaudin, Marc-Antoine (1804-1880). Rédacteur. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32809606x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3408 Nombre total de vues : 3408
Description : 01 novembre 1856 01 novembre 1856
Description : 1856/11/01 (A6,N44). 1856/11/01 (A6,N44).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k54273244
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3100
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2008
SOMMAIRE,
EXPOSITION photographique à Bruxelles (9e article), par
M. Ernest LACAN.—NOUVEAU PROCÉDÉ de photographie
sur verre, collodion gélatine, par M. BAÏARD.— SCIENCES.
Méthode rapide sur papier ciré, par M. H. DE LA BLAN-
CHÈRE. Garde-vue photographique, par M. F. VOGEL.
Images photographiques de l'éclipsé du 13 octobre, par
MM. BEUTSCH et ARNADLT. — LA PHOTOGRAPHIE et la
topographie ; carte géologique de M. MISTCIIERLICII. —
DÉTERMINATION quantitative de soufre dans les eaux
minérales, par M. MAXWEL-LYTE.— NOUVELLES diverses.
Nouveau moyen do reconnaître le brome de l'iode. —
Travaux du puits artésien de Passy.
Exposition photographique de Bruxelles.
IX
Par la vigueur et la profondeur des tons, les
épreuves de M. de la Blanchère se rapprochent
de celles de M. Baldus; par la finesse des dé-
tails dans les feuilles, quelques-unes rappellent
les productions des paysagistes anglais. Mais,
en général, M. de la Blanchère préfère l'ampleur
à la finesse. De plus, ses points de vue sont tou-
jours bien choisis et révèlent un coup d'oeil
exercé.
Nous citerons parmi les spécimens que cet ar
tiste a fait figurer à l'exposition de Bruxelles
plusieurs vues du château de Tiffauges. Tantôt
M. de la Blanchère nous montre la porte basse
qui donne entrée dans ces ruines, sorte de voûte
.qui semble fléchir sous le poids de la haute et
épaisse muraille qui la surmonte. Un chemin
tout bordé d'herbes folles s'enfonce sous la som-
bre arcade et va se perdre au loin sous un mas-
sif de verdure. D'un côté, le lierre pare de ses
girandoles les pierres disjointes de la muraille ;
de l'autre, il les cache presque entièrement sous
ses feuilles touffues. C'est un tableau très-sim-
ple, mais qui a tout le charme que prête aux
ruines le soleil qui les rajeunit et le souvenir
qui les ranime.
Tantôt c'est auprès de ce qui fut la chapelle
du château de Tiffauges que le photographe
nous conduit. Un pan de muraille à demi écroulé
et deux colonnes romanes sont tout ce qu'il en
reste. Mais les arceaux détruits ont été rempla-
cés par des voûtes de lierre et de gentiane. Le
soleil couchant, qui glisse sur ce monument de
verdure, lui donne un effet fantastique qui fait
songer aux légendes et aux contes d'autrefois.
Du château de Tiffauges M. de la Blanchère
nous mène au château -le Clisson. On voit que
l'auteur aime le moyen âge, et ses épreuves
prouvent qu'il n'a pas tort. Là ce sont des vues
d'un autre genre, mais aussi remarquables, et
qui montrent qu'il sait obtenir avec le papier
ciré autant de finesse que d'effet.
Mais un des spécimens de M. de la Blanchère
que nous aimons entre tous est celui quil a in-
titulé : Souvenir d'Auvergne. En vérité, cette
épreuve pourrait être facilement prise pour un
dessin de Decamps, et des meilleurs. Quelques
paysans et paysannes sont réunis, à l'heure du
repos, dans la cour d'une de ces maisons à ga-
lerie de bois extérieure, comme on en voit tant
dans les villages du centre et du midi de la
France. Les hommes fument leur pipe ou ja-
sent des récoltes ; les femmes étendent le linge
humide sur la rampe rustique de la galerie, ou
sur les cordes tendues aux poutres qui la sou-
tiennent. On voit que le sujet est bien simple;
mais le soleil éclaire si vigoureusement cette
scène et lui donne tant decouleur etd'animation,
qu'elle forme un charmant tableau, plein de na-
turel et de vérité.
A propos de tableaux, M. de la Blanchère en
a reproduit quelques-uns avec une grande ha-
bileté, entre autres un lever et un coucher de
soleil, de Swagers ; les Petits dénicheurs, de Karl
Girardet; le Baiser, de Fragonard, et une ma-
gnifique toile de Rubens appartenant au musée
de Tours.
Enfin nous avons dit que cette exposition se
complétait par un portrait sur collodion. Cette
épreuve, de grande dimension, est fort habile-
ment retouchée en noir. Mais nous aurions voulu
que M. de la Blanchère exposât quelques-uns
de ses portraits sans retouche. Ils ont assez de
mérite pour qu'il n'ait pas craint de les faire
figurer dans son cadre.
En résumé, nous engageons vivement M. de
la Blanchère à prendre part aux expositions
prochaines, comme il a pris part à celle dont
nous rendons compte. Nous lui prédisons un
succès mérité, et puis ses oeuvres sont de celles
que nous aimons à voir et à signaler, parce
qu'elles font honneur à la photographie.
M. Paul Gaillard, un amateur, a exposé dix
épreuves sur papier ciré et sur collodion, d'une
exécution très-remarquable. Nous citerons par-
ticulièrement une étude d'arbres (châtaigniers,
n° 7) qui nous a paru ravissante.
L'exposition de M. E. Durieu se compose
aussi d'épreuves sur papier ciré et sur collodion.
Ce sont des études d'après nature, des portraits
et des reproductions de, dessin.
11 y a beaucoup de goût dans les études de
M. Durieu. Nous avons surtout remarqué un
profil de femme d'une très-jolie expression,d'un
modelé gracieux, et une Ophelia habilement
composée. Les portraits d'Eugène Delacroix, de
Paul Huet et de MM. le baron de "Wittc et
etRegnault sont très-satisfaisants ; mais en gé-
néral les épreuves que M. Durieu a fait figurer
dans .son cadre sont passées, quelques-unes
même ont presque entièrement disparu. Nous
nous demandons quel a été son but en livrant
de semblable;; spécimens à l'examen du public,
quand il lui était si facile de faire un nouveau
tirage. Il est vrai que, d'après ce qu'il annonce,
la plupart de ces épreuves ont cinq ans de date.
On croirait facilement qu'elles en ont davan-
tage. Il n'y a là rien que de très-triste, et la
photographie ne peut rien gagner à l'exhibition
de pareils échantillons. Ce qu'il est important
et utile de montrer, ce n'est pas comment la
photographie s'altère, mais bien comment elle
se conserve.
Cette manière de faire nous a d'autant plus
étonné, que M. Durieu est la dernière personne
que l'on pourrait soupçonner d'intentions mal-
veillantes envers un art dont il est un des ama-
teurs les plus anciens, les plus zélés, nous ajou-
terons même les plus habiles.
Ernest LACAN.
(La suite au prochain numéro.)
NOUVEAU PROCÉDÉ DE PHOTOGRAPHIE
sur verre.
COLLODION-GÉLATIIVE.
M. Bayard vient de faire connaître les résultats
d'un nouveau procédé très-simple, et qui paraît devoir
rendre de grands services. Il consiste à recouvrir
une glace collodionnée d'une couche légère de géla-
tine, que l'on sensibilise et que l'on peut ainsi conser-
ver facilement après l'avoir lavée.
Voici comment on opère :
On étend sur la glace une couche de collodion
normal, très-mince, comme pour les positives direc-
tes, afin qu'il y ait plus d'adhérence. Puis on plonge
cette glace dans un bain de gélatine dissoute dans
l'eau \T6 0/0) additionnée d'iodure de potassium. En-
suite on sensibilise dans un bain d'argent composé
corrme pour les négatifs ordinaires, puis on lave; et
la plaque ainsi préparée conserve ses qualités aussi
longtemps que !e verre albuminé , car c'est sur la
gélatine que se forme l'image.
L'exposition est à peu près la même que pour l'al-
bumine; mais, au dire de plusieurs amateurs qui ont
d(''jà essayé ce procédé, les clichés qu'il donne ont
toute la finesse des épreuves sur collodium, sans sé-
cheresse et sans empalements.
On voit que cette méthode n'est à vrai dire qu'une
modification de celle si estimée de M. Taupenot; mais
elle présente une grande facilité d'exécution, et pos-
sède, nous a-t-on dit, le mérite de donner, en outre,
des résultats constants et certains.
SCIENCES.
MÉTHODE RAPIDE SUR PAPER CIRÉ,
Par M. H. DE LA BLANCHÈRE.
Nous rendions compte, dans le dernier numéro, do
la communication de MM. le comte de l'Espine et
Quinot ; aujourd'hui nous avons k parler de celle de
M. H. de la Blanchère. Qu'on veuille nous per-
EXPOSITION photographique à Bruxelles (9e article), par
M. Ernest LACAN.—NOUVEAU PROCÉDÉ de photographie
sur verre, collodion gélatine, par M. BAÏARD.— SCIENCES.
Méthode rapide sur papier ciré, par M. H. DE LA BLAN-
CHÈRE. Garde-vue photographique, par M. F. VOGEL.
Images photographiques de l'éclipsé du 13 octobre, par
MM. BEUTSCH et ARNADLT. — LA PHOTOGRAPHIE et la
topographie ; carte géologique de M. MISTCIIERLICII. —
DÉTERMINATION quantitative de soufre dans les eaux
minérales, par M. MAXWEL-LYTE.— NOUVELLES diverses.
Nouveau moyen do reconnaître le brome de l'iode. —
Travaux du puits artésien de Passy.
Exposition photographique de Bruxelles.
IX
Par la vigueur et la profondeur des tons, les
épreuves de M. de la Blanchère se rapprochent
de celles de M. Baldus; par la finesse des dé-
tails dans les feuilles, quelques-unes rappellent
les productions des paysagistes anglais. Mais,
en général, M. de la Blanchère préfère l'ampleur
à la finesse. De plus, ses points de vue sont tou-
jours bien choisis et révèlent un coup d'oeil
exercé.
Nous citerons parmi les spécimens que cet ar
tiste a fait figurer à l'exposition de Bruxelles
plusieurs vues du château de Tiffauges. Tantôt
M. de la Blanchère nous montre la porte basse
qui donne entrée dans ces ruines, sorte de voûte
.qui semble fléchir sous le poids de la haute et
épaisse muraille qui la surmonte. Un chemin
tout bordé d'herbes folles s'enfonce sous la som-
bre arcade et va se perdre au loin sous un mas-
sif de verdure. D'un côté, le lierre pare de ses
girandoles les pierres disjointes de la muraille ;
de l'autre, il les cache presque entièrement sous
ses feuilles touffues. C'est un tableau très-sim-
ple, mais qui a tout le charme que prête aux
ruines le soleil qui les rajeunit et le souvenir
qui les ranime.
Tantôt c'est auprès de ce qui fut la chapelle
du château de Tiffauges que le photographe
nous conduit. Un pan de muraille à demi écroulé
et deux colonnes romanes sont tout ce qu'il en
reste. Mais les arceaux détruits ont été rempla-
cés par des voûtes de lierre et de gentiane. Le
soleil couchant, qui glisse sur ce monument de
verdure, lui donne un effet fantastique qui fait
songer aux légendes et aux contes d'autrefois.
Du château de Tiffauges M. de la Blanchère
nous mène au château -le Clisson. On voit que
l'auteur aime le moyen âge, et ses épreuves
prouvent qu'il n'a pas tort. Là ce sont des vues
d'un autre genre, mais aussi remarquables, et
qui montrent qu'il sait obtenir avec le papier
ciré autant de finesse que d'effet.
Mais un des spécimens de M. de la Blanchère
que nous aimons entre tous est celui quil a in-
titulé : Souvenir d'Auvergne. En vérité, cette
épreuve pourrait être facilement prise pour un
dessin de Decamps, et des meilleurs. Quelques
paysans et paysannes sont réunis, à l'heure du
repos, dans la cour d'une de ces maisons à ga-
lerie de bois extérieure, comme on en voit tant
dans les villages du centre et du midi de la
France. Les hommes fument leur pipe ou ja-
sent des récoltes ; les femmes étendent le linge
humide sur la rampe rustique de la galerie, ou
sur les cordes tendues aux poutres qui la sou-
tiennent. On voit que le sujet est bien simple;
mais le soleil éclaire si vigoureusement cette
scène et lui donne tant decouleur etd'animation,
qu'elle forme un charmant tableau, plein de na-
turel et de vérité.
A propos de tableaux, M. de la Blanchère en
a reproduit quelques-uns avec une grande ha-
bileté, entre autres un lever et un coucher de
soleil, de Swagers ; les Petits dénicheurs, de Karl
Girardet; le Baiser, de Fragonard, et une ma-
gnifique toile de Rubens appartenant au musée
de Tours.
Enfin nous avons dit que cette exposition se
complétait par un portrait sur collodion. Cette
épreuve, de grande dimension, est fort habile-
ment retouchée en noir. Mais nous aurions voulu
que M. de la Blanchère exposât quelques-uns
de ses portraits sans retouche. Ils ont assez de
mérite pour qu'il n'ait pas craint de les faire
figurer dans son cadre.
En résumé, nous engageons vivement M. de
la Blanchère à prendre part aux expositions
prochaines, comme il a pris part à celle dont
nous rendons compte. Nous lui prédisons un
succès mérité, et puis ses oeuvres sont de celles
que nous aimons à voir et à signaler, parce
qu'elles font honneur à la photographie.
M. Paul Gaillard, un amateur, a exposé dix
épreuves sur papier ciré et sur collodion, d'une
exécution très-remarquable. Nous citerons par-
ticulièrement une étude d'arbres (châtaigniers,
n° 7) qui nous a paru ravissante.
L'exposition de M. E. Durieu se compose
aussi d'épreuves sur papier ciré et sur collodion.
Ce sont des études d'après nature, des portraits
et des reproductions de, dessin.
11 y a beaucoup de goût dans les études de
M. Durieu. Nous avons surtout remarqué un
profil de femme d'une très-jolie expression,d'un
modelé gracieux, et une Ophelia habilement
composée. Les portraits d'Eugène Delacroix, de
Paul Huet et de MM. le baron de "Wittc et
etRegnault sont très-satisfaisants ; mais en gé-
néral les épreuves que M. Durieu a fait figurer
dans .son cadre sont passées, quelques-unes
même ont presque entièrement disparu. Nous
nous demandons quel a été son but en livrant
de semblable;; spécimens à l'examen du public,
quand il lui était si facile de faire un nouveau
tirage. Il est vrai que, d'après ce qu'il annonce,
la plupart de ces épreuves ont cinq ans de date.
On croirait facilement qu'elles en ont davan-
tage. Il n'y a là rien que de très-triste, et la
photographie ne peut rien gagner à l'exhibition
de pareils échantillons. Ce qu'il est important
et utile de montrer, ce n'est pas comment la
photographie s'altère, mais bien comment elle
se conserve.
Cette manière de faire nous a d'autant plus
étonné, que M. Durieu est la dernière personne
que l'on pourrait soupçonner d'intentions mal-
veillantes envers un art dont il est un des ama-
teurs les plus anciens, les plus zélés, nous ajou-
terons même les plus habiles.
Ernest LACAN.
(La suite au prochain numéro.)
NOUVEAU PROCÉDÉ DE PHOTOGRAPHIE
sur verre.
COLLODION-GÉLATIIVE.
M. Bayard vient de faire connaître les résultats
d'un nouveau procédé très-simple, et qui paraît devoir
rendre de grands services. Il consiste à recouvrir
une glace collodionnée d'une couche légère de géla-
tine, que l'on sensibilise et que l'on peut ainsi conser-
ver facilement après l'avoir lavée.
Voici comment on opère :
On étend sur la glace une couche de collodion
normal, très-mince, comme pour les positives direc-
tes, afin qu'il y ait plus d'adhérence. Puis on plonge
cette glace dans un bain de gélatine dissoute dans
l'eau \T6 0/0) additionnée d'iodure de potassium. En-
suite on sensibilise dans un bain d'argent composé
corrme pour les négatifs ordinaires, puis on lave; et
la plaque ainsi préparée conserve ses qualités aussi
longtemps que !e verre albuminé , car c'est sur la
gélatine que se forme l'image.
L'exposition est à peu près la même que pour l'al-
bumine; mais, au dire de plusieurs amateurs qui ont
d(''jà essayé ce procédé, les clichés qu'il donne ont
toute la finesse des épreuves sur collodium, sans sé-
cheresse et sans empalements.
On voit que cette méthode n'est à vrai dire qu'une
modification de celle si estimée de M. Taupenot; mais
elle présente une grande facilité d'exécution, et pos-
sède, nous a-t-on dit, le mérite de donner, en outre,
des résultats constants et certains.
SCIENCES.
MÉTHODE RAPIDE SUR PAPER CIRÉ,
Par M. H. DE LA BLANCHÈRE.
Nous rendions compte, dans le dernier numéro, do
la communication de MM. le comte de l'Espine et
Quinot ; aujourd'hui nous avons k parler de celle de
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