Titre : La Lumière : journal non politique... : beaux-arts, héliographie, sciences
Auteur : Société héliographique (France). Auteur du texte
Éditeur : Société d'héliographie (Paris)
Éditeur : A. GaudinA. Gaudin (Paris)
Éditeur : M.-A. GaudinM.-A. Gaudin (Paris)
Date d'édition : 1856-09-13
Contributeur : Monfort, Benito R. de (18..-18..). Directeur de publication
Contributeur : Gaudin, Alexis (1816-1894). Directeur de publication
Contributeur : Lacan, Ernest (1829-1879). Rédacteur
Contributeur : Gaudin, Marc-Antoine (1804-1880). Rédacteur. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32809606x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3408 Nombre total de vues : 3408
Description : 13 septembre 1856 13 septembre 1856
Description : 1856/09/13 (A6,N37). 1856/09/13 (A6,N37).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k54273170
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3100
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2008
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SOMMAIRE. |
EXPOSITION photographique à Bruxelles, par M. Ernest
LACAN. —DES IMAGES amphitypes, par M. Ed. FORTIN.—
SUR LE PROCÉDÉ du tirage des positifs de M. Maxwell-
Lyte, par M. Ernest CONDDCHÉ. — BIBLIOGRAPHIE. Les
applications nouvelles de la science à l'industrie et aux
arts. M. Louis Figuier ; par M. A. GALDI.N.— NOUVELLES
DIVERSES. Portraits par MM. Mayall, Claudel, Kilburn.
— Exposition à Varsovie. —Peintures de la galerie na-
tionale de Londres. I.o caoutchouc pouvant remplacer le
pantographe, par M. L. G. — DIFFÉRENCE d'action de
la lumière et de la chaleur sur les chlorures et les iodures
d'argent, par MM. Zantcdeschi et Borlinetto. Extrait par
M. DE LLXA.
Exposition photographique à Bruxelles.
Il eût été difficile de trouver à Bruxelles
un emplacement plus convenable que celui
occupé par l'exposition des arts industriels.
En effet, les salles du Musée où cette exposi-
tion a trouvé place sont vastes et largement
éclairées. Le public, qui n'aime pas à monter,
y arrive de plain-pied, puisqu'elles sont au
rez-de-chaussée. La grande cour qui les précède
est ornée de jardins et de pelouses qui dis-
posent agréablement le visiteur. Et puis le
musée est situé dans le plus beau quartier de
la ville, près de la place Royale, à deux pas du
parc. Les étrangers, qui habitent de préférence
les grands hôtels situés dans cette partie de la
ville haute, ne peuvent aller visiter les tableaux
du musée sans passer devant la porte, ornée
de bannières qui attirent forcément leurs re-
gards et promettent un aliment de plus à leur
curiosité Quant aux gens de la ville, c'est
pour eux un but de promenade, et quand bien
même les Bruxellois ne seraient pas amateurs
passionnés de tout ce qui touche aux arts,
comme ils le sont en vérité, ils accueilleraient
du moins avec empressement cette occasion de
plus de gravir leur chère montagne de la Cour
dont ils sont si fiers. Ainsi donc L'exposition
des arts industriels est admirablement située
sous tous les rapports. Maintenant on nous
permettra de dire quelques mots de son orga-
nisation intérieure, et ce sera pour rendre un
juste hommage de reconnaissance à la com-
mission directrice de Y Association, dans la per-
sonne de M. Ed. Homberg, son honorable se-
crétaire. Il eût été impossible de disposer toutes
choses avec plus de sagesse, de bon goût, nous
dirons même de science ; car, pour ce qui con-
cerne la photographie, il fallait que les épreu-
ves fussent convenablement exposées; qu'au-
cune ne se trouvât ou trop haut ou trop bas
pour que l'oeil du \isiteur pût les voir commo-
dément et sous un aspect avantageux. Toute*
ces conditions ont été observées avec un soin
tout particulier et remplies avec un succès qui
témoigne d'une haute intelligence artistique.
I Chaque exposant a sa part égale de lumière.
Les cloisons, de 2 à 3 mètres de longueur
sur 2 mètres de haut, placées perpendicu-
lairement aux fenêtres (dont on a pris soin de
masquer les vitres inférieures), sont assez es-
pacées pour que le public puisse facilement
séjourner et circuler dans l'intervalle. Au milieu
des salles, d'autres cloisons reçoivent directe-
ment la lumière des croisées ; mais en inclinant
les cadres on a évité des reflets désavantageux.
Les épreuves de grande dimension sont placées
en haut; les petites ou les plus fines sont à la
hauteur du regard. Enfin il n'est i as tin seul
exposant, si exigeant qu'il puisse être, qui ne soit
satisfait de la place faite à ses spécimens et
de leur disposition. Ajoutons que des draperies
de bon goût, des statues et des corbeilles de
fleurs donnent un gracieux aspect et un air
de fête à cette exposition.
En résumé, nous voudrions que le plan adopté
pour l'arrangement de l'exposition des arts
industriels fût suivi pour toutes celles qui se
feront à l'avenir.
(La suite au prochain 7iuméru.)
Dei images amphltyiies.
Havre, 9 septembre I55G.
Monsieur le rédacteur de It Lumière.
La lettre de M. de la Blanclère publiée dans la
Lumière de samedi dernier, me rappelle ce qui m'est
arrivé l'hiver dernier.
Un jour que le temps était très-couvert, je voulus
faire, en positif sur verre, le portrait d'un de mes
amis. Ma première épreuve était tout à faitmanquée
par suite d'une pose trop courte, mais je reman|tiai
avec étonnement que les vêtements étaient po>itifs
par transparence, tandis que la figure, les mains, la
chemise, étaient positifs par réflexion, négatifs par
transparence par conséquent. Je voulus continuer
mon expérience, et ayant diminué dans mon labora-
toire la lumièrejusqu'à l'obscurité presque complète,
je sensibilisai ma deuxième glace et la fis poser ia
moitié du temps qu'avait posé la première. J'obtins
alors une épreuve où l'arête du nez seul et la che-
mise étaient négatifs; tout le reste était positif
par transparence. Ainsi donc, l'argent avait été pré-
cipité, sous l'influence de l'acide pyrogallique , sur
les parties du collodion impressionnées par une lu-
mière un peu vive, comme le nez et la chemise, et
: sur celles qui ne l'avaient pas été du tout comme les
ombres des vêtements et des cheveux; tandis que les
parties qui avaient reçu une lumière faible, comme
les clairs des vêtements, les ombres de la figure,
avaient, été préservées. C'est ce que j'avais pressenti
en retirant tout accès à la lumière, même jaune, pen-
^ dantla sensibilisation du collodion et le développe-
ment de l'épreuve.
1 Je dois ajouter que cette épreuve, que j'ai conser-
L vée par curiosité, est fort laide et que je ne crois pas
ce procédé susceptible d'application, autrement que
■ *
comme expérience démontrant une réaction for
curieuse.
Agréez, etc.
ED. FORTIN.
Nous remercions M. Fortin de sa communication
et nous nous empressons de publier cette réponse à
la lettre de M. de la Blanchèro insérée dans le der-
nier numéro. Nous verrons avec un vif p'aisir les
lecteurs et les abonnés de la Lumière entrer dans une
voie que nous nous efforçons de leur ouvrir depuis
longtemps. C'est de cet échange mutuel d'observa-
tions que surgiront inévitablement les progrès qui
assureront l'avenir de la photographie.
SU,? LE PROCEDE DE TIRAGE DES POSITIFS
de M. MAXWELL LÏTE.
M. Maxwell Lyte a publié dans le courant du mois
de mai dernier un procédé de tirage des positifs
destiné a éloigner des laboratoires l'emploi de l'hypo-
sulfite de soude, et par conséquent à mettre les
épreuves à l'abri d'une de leurs causes de destruc-
tion. Ce procédé, comme on le sait, est basé sur
l'emploi du phosphate d'argent comme couche sen-
sible et sur la propriété que possède ce sel d'être
soluble dans certains acides, en particulier dans
l'acide nitrique D'une simplicité et d'une netteté
rares dans les manipulations photographiques, ce
procédé a attiré l'attention de quelques photogra-
phes habiles et il a donné lieu à de nombreuses
expériences; nous avons nons-même cherché à nous
rendre compte do ce mode de tirage : nous allons
parler des résultats auxquels nous sommes arrivé.
I.a lumière agit d'une manière assez rapide sur le
phosphate d'argent, mais elle exige un temps assez
long pour pénétrer profondément la couche sous-
jacente : en employant les formules données par
M. Maxwell Lyte, nous n'avons pas trouvé d'avantage
réel sur le chorure d'argent au point de vue de la
rapidité dans l'exposition et le tirage.
La fixation de l'épreuve exige des soius tout spé-
ciaux. Il faut avoir le soin de laisser dépasser un peu
la teinte que l'on veut obtenir définitivement et de
suivre avec attention le dégorgement de l'épreuve.
Voici en effet ce qui se passe. On voit apparaître sur
toute la surface du papier des pellicules pulvéru-
lentes d un jaune foncé qui peuvent être très facile-
ment éloignés en frottant l'épreuve avec un petit
tampon de coton pour nettoyer cette surface ; sans
cela le phosphate d'argent attaqué par l'acide nitri-
que adhérerait par place sur le papier et produirait
autant de taches qu'il serait impossible d'enlever
après le séchage.
J'avoue que je n'ai pu parvenir, malgré toutes les
précautions que j'aie pu prendre, soit en employant
des clichés vigoureux, soit en modifiant les dosages
des bains, à me préserver d'un voile ou d'un grisaille-
ment dans les blancs. Cependant je dois dire aussi
que ces effets proviennent après le virage et sont
probablement dus à la difficulté d'enlever complète-
ment les traces de phosphate d'argent libre, si on n'a
recours à un lavage, acide énergique. Le virage nous
I a toujours semblé assez prompt, et il doit être sur-
SOMMAIRE. |
EXPOSITION photographique à Bruxelles, par M. Ernest
LACAN. —DES IMAGES amphitypes, par M. Ed. FORTIN.—
SUR LE PROCÉDÉ du tirage des positifs de M. Maxwell-
Lyte, par M. Ernest CONDDCHÉ. — BIBLIOGRAPHIE. Les
applications nouvelles de la science à l'industrie et aux
arts. M. Louis Figuier ; par M. A. GALDI.N.— NOUVELLES
DIVERSES. Portraits par MM. Mayall, Claudel, Kilburn.
— Exposition à Varsovie. —Peintures de la galerie na-
tionale de Londres. I.o caoutchouc pouvant remplacer le
pantographe, par M. L. G. — DIFFÉRENCE d'action de
la lumière et de la chaleur sur les chlorures et les iodures
d'argent, par MM. Zantcdeschi et Borlinetto. Extrait par
M. DE LLXA.
Exposition photographique à Bruxelles.
Il eût été difficile de trouver à Bruxelles
un emplacement plus convenable que celui
occupé par l'exposition des arts industriels.
En effet, les salles du Musée où cette exposi-
tion a trouvé place sont vastes et largement
éclairées. Le public, qui n'aime pas à monter,
y arrive de plain-pied, puisqu'elles sont au
rez-de-chaussée. La grande cour qui les précède
est ornée de jardins et de pelouses qui dis-
posent agréablement le visiteur. Et puis le
musée est situé dans le plus beau quartier de
la ville, près de la place Royale, à deux pas du
parc. Les étrangers, qui habitent de préférence
les grands hôtels situés dans cette partie de la
ville haute, ne peuvent aller visiter les tableaux
du musée sans passer devant la porte, ornée
de bannières qui attirent forcément leurs re-
gards et promettent un aliment de plus à leur
curiosité Quant aux gens de la ville, c'est
pour eux un but de promenade, et quand bien
même les Bruxellois ne seraient pas amateurs
passionnés de tout ce qui touche aux arts,
comme ils le sont en vérité, ils accueilleraient
du moins avec empressement cette occasion de
plus de gravir leur chère montagne de la Cour
dont ils sont si fiers. Ainsi donc L'exposition
des arts industriels est admirablement située
sous tous les rapports. Maintenant on nous
permettra de dire quelques mots de son orga-
nisation intérieure, et ce sera pour rendre un
juste hommage de reconnaissance à la com-
mission directrice de Y Association, dans la per-
sonne de M. Ed. Homberg, son honorable se-
crétaire. Il eût été impossible de disposer toutes
choses avec plus de sagesse, de bon goût, nous
dirons même de science ; car, pour ce qui con-
cerne la photographie, il fallait que les épreu-
ves fussent convenablement exposées; qu'au-
cune ne se trouvât ou trop haut ou trop bas
pour que l'oeil du \isiteur pût les voir commo-
dément et sous un aspect avantageux. Toute*
ces conditions ont été observées avec un soin
tout particulier et remplies avec un succès qui
témoigne d'une haute intelligence artistique.
I Chaque exposant a sa part égale de lumière.
Les cloisons, de 2 à 3 mètres de longueur
sur 2 mètres de haut, placées perpendicu-
lairement aux fenêtres (dont on a pris soin de
masquer les vitres inférieures), sont assez es-
pacées pour que le public puisse facilement
séjourner et circuler dans l'intervalle. Au milieu
des salles, d'autres cloisons reçoivent directe-
ment la lumière des croisées ; mais en inclinant
les cadres on a évité des reflets désavantageux.
Les épreuves de grande dimension sont placées
en haut; les petites ou les plus fines sont à la
hauteur du regard. Enfin il n'est i as tin seul
exposant, si exigeant qu'il puisse être, qui ne soit
satisfait de la place faite à ses spécimens et
de leur disposition. Ajoutons que des draperies
de bon goût, des statues et des corbeilles de
fleurs donnent un gracieux aspect et un air
de fête à cette exposition.
En résumé, nous voudrions que le plan adopté
pour l'arrangement de l'exposition des arts
industriels fût suivi pour toutes celles qui se
feront à l'avenir.
(La suite au prochain 7iuméru.)
Dei images amphltyiies.
Havre, 9 septembre I55G.
Monsieur le rédacteur de It Lumière.
La lettre de M. de la Blanclère publiée dans la
Lumière de samedi dernier, me rappelle ce qui m'est
arrivé l'hiver dernier.
Un jour que le temps était très-couvert, je voulus
faire, en positif sur verre, le portrait d'un de mes
amis. Ma première épreuve était tout à faitmanquée
par suite d'une pose trop courte, mais je reman|tiai
avec étonnement que les vêtements étaient po>itifs
par transparence, tandis que la figure, les mains, la
chemise, étaient positifs par réflexion, négatifs par
transparence par conséquent. Je voulus continuer
mon expérience, et ayant diminué dans mon labora-
toire la lumièrejusqu'à l'obscurité presque complète,
je sensibilisai ma deuxième glace et la fis poser ia
moitié du temps qu'avait posé la première. J'obtins
alors une épreuve où l'arête du nez seul et la che-
mise étaient négatifs; tout le reste était positif
par transparence. Ainsi donc, l'argent avait été pré-
cipité, sous l'influence de l'acide pyrogallique , sur
les parties du collodion impressionnées par une lu-
mière un peu vive, comme le nez et la chemise, et
: sur celles qui ne l'avaient pas été du tout comme les
ombres des vêtements et des cheveux; tandis que les
parties qui avaient reçu une lumière faible, comme
les clairs des vêtements, les ombres de la figure,
avaient, été préservées. C'est ce que j'avais pressenti
en retirant tout accès à la lumière, même jaune, pen-
^ dantla sensibilisation du collodion et le développe-
ment de l'épreuve.
1 Je dois ajouter que cette épreuve, que j'ai conser-
L vée par curiosité, est fort laide et que je ne crois pas
ce procédé susceptible d'application, autrement que
■ *
comme expérience démontrant une réaction for
curieuse.
Agréez, etc.
ED. FORTIN.
Nous remercions M. Fortin de sa communication
et nous nous empressons de publier cette réponse à
la lettre de M. de la Blanchèro insérée dans le der-
nier numéro. Nous verrons avec un vif p'aisir les
lecteurs et les abonnés de la Lumière entrer dans une
voie que nous nous efforçons de leur ouvrir depuis
longtemps. C'est de cet échange mutuel d'observa-
tions que surgiront inévitablement les progrès qui
assureront l'avenir de la photographie.
SU,? LE PROCEDE DE TIRAGE DES POSITIFS
de M. MAXWELL LÏTE.
M. Maxwell Lyte a publié dans le courant du mois
de mai dernier un procédé de tirage des positifs
destiné a éloigner des laboratoires l'emploi de l'hypo-
sulfite de soude, et par conséquent à mettre les
épreuves à l'abri d'une de leurs causes de destruc-
tion. Ce procédé, comme on le sait, est basé sur
l'emploi du phosphate d'argent comme couche sen-
sible et sur la propriété que possède ce sel d'être
soluble dans certains acides, en particulier dans
l'acide nitrique D'une simplicité et d'une netteté
rares dans les manipulations photographiques, ce
procédé a attiré l'attention de quelques photogra-
phes habiles et il a donné lieu à de nombreuses
expériences; nous avons nons-même cherché à nous
rendre compte do ce mode de tirage : nous allons
parler des résultats auxquels nous sommes arrivé.
I.a lumière agit d'une manière assez rapide sur le
phosphate d'argent, mais elle exige un temps assez
long pour pénétrer profondément la couche sous-
jacente : en employant les formules données par
M. Maxwell Lyte, nous n'avons pas trouvé d'avantage
réel sur le chorure d'argent au point de vue de la
rapidité dans l'exposition et le tirage.
La fixation de l'épreuve exige des soius tout spé-
ciaux. Il faut avoir le soin de laisser dépasser un peu
la teinte que l'on veut obtenir définitivement et de
suivre avec attention le dégorgement de l'épreuve.
Voici en effet ce qui se passe. On voit apparaître sur
toute la surface du papier des pellicules pulvéru-
lentes d un jaune foncé qui peuvent être très facile-
ment éloignés en frottant l'épreuve avec un petit
tampon de coton pour nettoyer cette surface ; sans
cela le phosphate d'argent attaqué par l'acide nitri-
que adhérerait par place sur le papier et produirait
autant de taches qu'il serait impossible d'enlever
après le séchage.
J'avoue que je n'ai pu parvenir, malgré toutes les
précautions que j'aie pu prendre, soit en employant
des clichés vigoureux, soit en modifiant les dosages
des bains, à me préserver d'un voile ou d'un grisaille-
ment dans les blancs. Cependant je dois dire aussi
que ces effets proviennent après le virage et sont
probablement dus à la difficulté d'enlever complète-
ment les traces de phosphate d'argent libre, si on n'a
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