Titre : La Lumière : journal non politique... : beaux-arts, héliographie, sciences
Auteur : Société héliographique (France). Auteur du texte
Éditeur : Société d'héliographie (Paris)
Éditeur : A. GaudinA. Gaudin (Paris)
Éditeur : M.-A. GaudinM.-A. Gaudin (Paris)
Date d'édition : 1856-09-06
Contributeur : Monfort, Benito R. de (18..-18..). Directeur de publication
Contributeur : Gaudin, Alexis (1816-1894). Directeur de publication
Contributeur : Lacan, Ernest (1829-1879). Rédacteur
Contributeur : Gaudin, Marc-Antoine (1804-1880). Rédacteur. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32809606x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3408 Nombre total de vues : 3408
Description : 06 septembre 1856 06 septembre 1856
Description : 1856/09/06 (A6,N36). 1856/09/06 (A6,N36).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5427316k
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3100
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2008
SOMMAIRE.
DD COLLODION SEC, par M. M. MoNmEon.. — SUR LES
CRAQUELURES des vernis noirs, par M. Ernest CONDDCHÉ.
— EXHIBITION photographique égyptienne de Hay Mar-
ket, par M. H. H. — LA PHOTOGRAPHIE et la gravure.
— DU BAIN de fer employé pour le développement des
épreuves positives, par M. Ernest CONDCCHÉ. — DES
IMAGES amphitypes, par M. H. DE LA BLANCIIÈRK.— PRIX
proposés par l'Académie française. — LES ESQUISSES
photographiques, par M. Ernest LACAN.
Nous recevons, au moment de mettre sous
presse, une lettre de notre rédacteur en chef
contenant des renseignements sur l'exposition
belge. La photographie y occupe une large
place, dans une série de jolies salles bien éclai-
rées, au rez-de-chaussée du Musée ; elle est
représentée par 105 exposants français et
étrangers. Les oeuvres des artistes français et
italiens sont surtout remarquables. M. Ernest
Lacan, en nous annonçant son arrivée h Bru-
xelles, nous promet une série de lettres qui
intéresseront nos lecteurs. La première paraîtra
dans le prochain numéro.
CHARLES GAUDIN.
DU COLLODION SEC.
Tonnerre, 29 août 1856.
Monsieur,
Depuis longtemps déjà je vois paraître dans votre
journal la Lumière une foule de procédés do conser-
vation du collodion pour opérer à sec, qui tous me
semblent plus ou moins difficiles, plus ou moins in-
certains, et surtout, ce qui me surprend, c'est cette
persistance à enduire la couche de collodion d'un
sirop quelconque dont la dissolution dans l'eau est
fort difficile et fort épineuse, et compromet tout le
succès de l'épreuve si on a voulu conserver la
plaque plus d'un jour ou deux.
Seul M. l'abbé Dcsprats a donné un procédé simple;
mais j'avoue que j'ai toujours échoué quand il s'est
agi de développer l'image à l'aide de l'acide pyro-
gallique comme il l'indique.
M. Robiquet vend un collodion qu'il appelle sec, et
qui en effet réussit assez bien et se conserve très-
longtemps, mais il a l'inconvénient de coûter fort
cher, 20 fr. le flacon. Ce collodion, dont je me suis
servi il y a quelques semaines, m'a inspiré l'idée
d'essayer toute espèce de collodion, et après ces
essais, qui tous sans exception m'ont parfaitement
réussi, j'ai été on ne peut plus étonné que ce pro-
blème de collodion sec ne soit pas depuis plusieurs
années complètement résolu par quelques-uns au
moins des nombreux photographes de mérite qui se
trouvent à Paris, ou que ce problème ayant été
résolu, la publicité n'en ait pas été établie.
Quoi qu'il en soit, Monsieur, voici ce dont je suis
sâr et ce que je vais vous expliquer en quelques
mots.
Il demeure parfaitement avéré pour moi qu'une
plaque collodionnée à la manière ordinaire, avec un
collodion quelconque, sensibilisée dans un bain d'argent
acide, et débarrassée par un lavage consciencieux,
sous le jet d'une fontaine, de tout le nitrate qui ne
s'est pas combiné avec l'iodure, puis séchée à l'obscu-
rité et chauffée légèrement dans le but de faire
adhérer le collodion à la glace, peut conserver
presque indéfiniment sa sensibilité, et en outre peut
permettre de ne développer l'image que longtemps
après son exposition à la chambre noire.
C'est à peu près le procédé Desprats, sauf que j'em-
ploie un bain d'argent acide et que je me sers de
n'importe quel collodion. Seulement, au sortir de
l'exposition à la chambre noire, je mets simplement
ma plaque, le collodion en dessus, dans une cuvette
contenant un bain assoz for' d'acide gallique addi-
tionné d'eaux de lavage de papiers négatifs que
j'avais conservées depuis l'année dernière en assez
grande quantité.
Je fais poser de deux à cinq minutes par une lu-
mière convenable, diaphragme moyen, avec un ob-
jectif simple de Lerebours ou do Chevalier de 40 à
50 centimètres de foyer. C'est à peu près le triple,
le quadruple au plus de la pose du collodion humide.
Eh bien, en opérant comme je viens de vous le
dire, je n'ai pas manqué une épreuve sur une dou-
zaine que j'ai faites, avec des collodions différents,
dont plusieurs contenaient des bromures et des
chlorures
Bien plus, je vous envoie un cliché que j'ai obtenu
l'autre jour avec une plaque collodionnée avec un
mélange de vieux collodions datant de l'année der-
nière, et qui ne me servaient qu'à entretenir ma
lampe à alcool. Il y avait du collodion à l'iodure de
potassium, de zinc, d'ammonium, de fer et de cad-
mium, sans compter les additions de bromure. Cette
épreuve a posé quatre minutes ; la plaque était sen-
sibilisée depuis sept ou huit jours, et le développe-
ment n'a eu lieu que le surlendemain.
Pour moi, aujourd'hui, il n'y aura plus à l'avenir
que collodion s:c, et je bannis de mon modeste labo-
ratoire albumine et papier négatif, avec les nom-
breux ennuis et les difficultés qui s'attachent à ces
procédés. Je me promets d'essayer ces jours-ci si les
épreuves sur collodion sec peuvent se transposer sur
papier albuminé aussi facilement que celles sur collo-
dion humide. Pans ce cas alors, quelques glaces
suffiraient, car jusqu'ici cet article est coûteux et
embarrassant à conserver.
Enfin ma conclusion est que toute personne qui
aura la patience de laver consciencieusement, c'est-à-
dire pendant deux ou trois minutes au moins, une
plaque collodionnée et sensibilisée avec un collodion
qui réussit à létal humide, ne manquera pis une seule
épreuve à sec et n'aura jamais une tache.
J'ai laissé pendant vingt-quatre heures une plaque
dans l'acide gallique, sans que le collodion se soit
détaché de la glace.
Agréez, Monsieur, etc,
M. MOXTIIKI'IL,
Ju/jc suppliant près le tribunal
ctril de Tonnerre.
Nous avons sous les yeux le beau négatif que
M. Montreuil annonce dans sa lettre. Cette
épreuve est remarquable sous tous les rapports
si l'on considère les difficultés du paysage re-
produit. C'est un site pittoresque encadré de
massifs d'arbres dont les détails sont parfaite-
ment fouillés et d'une finesse qui accuse
sinon l'instantanéité, du moins un temps de
pose assez court. Entre ces massifs se trouve un
étang dont les eaux ont conservé une transpa-
rence parfaite. Nous avons rarement vu autant
de profondeur dans ce genre de reproduction.
Les divers plans ont conservé toute leur valeur
relative, sans dureté dans les effets.
Nous remercions M. Montreuil de celte inté-
ressante communication, qui simplifie d'une
manière notable les divers procédés indiqués
jusqu'à ce jour. Il serait à désirer qui; les ha-
biles amateurs qui suivent les progrès de la
photographie fissent part de leurs études avec
autant de désintéressement.
Sur les craquelures des vernis noirs.
On sait que dans le procédé connu sous le nom de
positif direct on emploie, pour produire les ombres,
un vernis noir ou de couleur foncée, souvent aussidu
velours ou du papier; quelques opérateurs se plaignent
descraquelures auxquelles sont sujets quelques vernis
noirs. Comme cette question n'a pas encore occupé
les colonnes de ce journal, nous croyons, quoique
nous n'ayons jamais été témoin d'accidents de cette
nature, devoir communiquer à nos lecteurs les ob-
servations faites par les photographes anglais. Voici
une première lettre :
« Monsieur, nous devons des remerciements à vo-
tre journal, qui abonde en renseignements sur la for-
mation de l'image photographique; nous en devons
au comité spécial qui s'est occupé de la préservation
des images sur papier. Mais le photographe qui s'a-
donne à la production des positifs sur glace ne peut
fermer lei yeux devant ce fait, que lorsque la chimie
et l'optique ne peuvent conserver longtemps leur
image , il n'est personne qui ne doive songer à son
avenir. Ainsi, il verse sur ses portraits le même ver-
nis noir qu'il versait il y a déjà quatre ans, avec la
certitude que tôt ou tard, généralement assez tôt, il
présentera une belle apparence réticulée, agréable
cependant pour l'observateur désintéressé, mais
n'ayant rien de consolant pour l'artiste. Il est vrai
que dans ces colonnes il a été publié différentes mé-
thodes pour faire les positifs, mais la majeure partie
semble née plutôt de l'indifférence que du travail de
leurs auteurs. Dans l'une d'elles, on recommande
l'emploi du velours noir; nous l'avons essayé, et nous
avons vu qu'il est une infinité de petits points blancs
que la brosse ne peut enlever de sa surface; un au-
tre propose un vernis à l'eau, qui, aussitôt qu'il est
sec, se détache complètement de la glace. Personne
n'a oublié le procédé qui consiste à noircir les épreu-
DD COLLODION SEC, par M. M. MoNmEon.. — SUR LES
CRAQUELURES des vernis noirs, par M. Ernest CONDDCHÉ.
— EXHIBITION photographique égyptienne de Hay Mar-
ket, par M. H. H. — LA PHOTOGRAPHIE et la gravure.
— DU BAIN de fer employé pour le développement des
épreuves positives, par M. Ernest CONDCCHÉ. — DES
IMAGES amphitypes, par M. H. DE LA BLANCIIÈRK.— PRIX
proposés par l'Académie française. — LES ESQUISSES
photographiques, par M. Ernest LACAN.
Nous recevons, au moment de mettre sous
presse, une lettre de notre rédacteur en chef
contenant des renseignements sur l'exposition
belge. La photographie y occupe une large
place, dans une série de jolies salles bien éclai-
rées, au rez-de-chaussée du Musée ; elle est
représentée par 105 exposants français et
étrangers. Les oeuvres des artistes français et
italiens sont surtout remarquables. M. Ernest
Lacan, en nous annonçant son arrivée h Bru-
xelles, nous promet une série de lettres qui
intéresseront nos lecteurs. La première paraîtra
dans le prochain numéro.
CHARLES GAUDIN.
DU COLLODION SEC.
Tonnerre, 29 août 1856.
Monsieur,
Depuis longtemps déjà je vois paraître dans votre
journal la Lumière une foule de procédés do conser-
vation du collodion pour opérer à sec, qui tous me
semblent plus ou moins difficiles, plus ou moins in-
certains, et surtout, ce qui me surprend, c'est cette
persistance à enduire la couche de collodion d'un
sirop quelconque dont la dissolution dans l'eau est
fort difficile et fort épineuse, et compromet tout le
succès de l'épreuve si on a voulu conserver la
plaque plus d'un jour ou deux.
Seul M. l'abbé Dcsprats a donné un procédé simple;
mais j'avoue que j'ai toujours échoué quand il s'est
agi de développer l'image à l'aide de l'acide pyro-
gallique comme il l'indique.
M. Robiquet vend un collodion qu'il appelle sec, et
qui en effet réussit assez bien et se conserve très-
longtemps, mais il a l'inconvénient de coûter fort
cher, 20 fr. le flacon. Ce collodion, dont je me suis
servi il y a quelques semaines, m'a inspiré l'idée
d'essayer toute espèce de collodion, et après ces
essais, qui tous sans exception m'ont parfaitement
réussi, j'ai été on ne peut plus étonné que ce pro-
blème de collodion sec ne soit pas depuis plusieurs
années complètement résolu par quelques-uns au
moins des nombreux photographes de mérite qui se
trouvent à Paris, ou que ce problème ayant été
résolu, la publicité n'en ait pas été établie.
Quoi qu'il en soit, Monsieur, voici ce dont je suis
sâr et ce que je vais vous expliquer en quelques
mots.
Il demeure parfaitement avéré pour moi qu'une
plaque collodionnée à la manière ordinaire, avec un
collodion quelconque, sensibilisée dans un bain d'argent
acide, et débarrassée par un lavage consciencieux,
sous le jet d'une fontaine, de tout le nitrate qui ne
s'est pas combiné avec l'iodure, puis séchée à l'obscu-
rité et chauffée légèrement dans le but de faire
adhérer le collodion à la glace, peut conserver
presque indéfiniment sa sensibilité, et en outre peut
permettre de ne développer l'image que longtemps
après son exposition à la chambre noire.
C'est à peu près le procédé Desprats, sauf que j'em-
ploie un bain d'argent acide et que je me sers de
n'importe quel collodion. Seulement, au sortir de
l'exposition à la chambre noire, je mets simplement
ma plaque, le collodion en dessus, dans une cuvette
contenant un bain assoz for' d'acide gallique addi-
tionné d'eaux de lavage de papiers négatifs que
j'avais conservées depuis l'année dernière en assez
grande quantité.
Je fais poser de deux à cinq minutes par une lu-
mière convenable, diaphragme moyen, avec un ob-
jectif simple de Lerebours ou do Chevalier de 40 à
50 centimètres de foyer. C'est à peu près le triple,
le quadruple au plus de la pose du collodion humide.
Eh bien, en opérant comme je viens de vous le
dire, je n'ai pas manqué une épreuve sur une dou-
zaine que j'ai faites, avec des collodions différents,
dont plusieurs contenaient des bromures et des
chlorures
Bien plus, je vous envoie un cliché que j'ai obtenu
l'autre jour avec une plaque collodionnée avec un
mélange de vieux collodions datant de l'année der-
nière, et qui ne me servaient qu'à entretenir ma
lampe à alcool. Il y avait du collodion à l'iodure de
potassium, de zinc, d'ammonium, de fer et de cad-
mium, sans compter les additions de bromure. Cette
épreuve a posé quatre minutes ; la plaque était sen-
sibilisée depuis sept ou huit jours, et le développe-
ment n'a eu lieu que le surlendemain.
Pour moi, aujourd'hui, il n'y aura plus à l'avenir
que collodion s:c, et je bannis de mon modeste labo-
ratoire albumine et papier négatif, avec les nom-
breux ennuis et les difficultés qui s'attachent à ces
procédés. Je me promets d'essayer ces jours-ci si les
épreuves sur collodion sec peuvent se transposer sur
papier albuminé aussi facilement que celles sur collo-
dion humide. Pans ce cas alors, quelques glaces
suffiraient, car jusqu'ici cet article est coûteux et
embarrassant à conserver.
Enfin ma conclusion est que toute personne qui
aura la patience de laver consciencieusement, c'est-à-
dire pendant deux ou trois minutes au moins, une
plaque collodionnée et sensibilisée avec un collodion
qui réussit à létal humide, ne manquera pis une seule
épreuve à sec et n'aura jamais une tache.
J'ai laissé pendant vingt-quatre heures une plaque
dans l'acide gallique, sans que le collodion se soit
détaché de la glace.
Agréez, Monsieur, etc,
M. MOXTIIKI'IL,
Ju/jc suppliant près le tribunal
ctril de Tonnerre.
Nous avons sous les yeux le beau négatif que
M. Montreuil annonce dans sa lettre. Cette
épreuve est remarquable sous tous les rapports
si l'on considère les difficultés du paysage re-
produit. C'est un site pittoresque encadré de
massifs d'arbres dont les détails sont parfaite-
ment fouillés et d'une finesse qui accuse
sinon l'instantanéité, du moins un temps de
pose assez court. Entre ces massifs se trouve un
étang dont les eaux ont conservé une transpa-
rence parfaite. Nous avons rarement vu autant
de profondeur dans ce genre de reproduction.
Les divers plans ont conservé toute leur valeur
relative, sans dureté dans les effets.
Nous remercions M. Montreuil de celte inté-
ressante communication, qui simplifie d'une
manière notable les divers procédés indiqués
jusqu'à ce jour. Il serait à désirer qui; les ha-
biles amateurs qui suivent les progrès de la
photographie fissent part de leurs études avec
autant de désintéressement.
Sur les craquelures des vernis noirs.
On sait que dans le procédé connu sous le nom de
positif direct on emploie, pour produire les ombres,
un vernis noir ou de couleur foncée, souvent aussidu
velours ou du papier; quelques opérateurs se plaignent
descraquelures auxquelles sont sujets quelques vernis
noirs. Comme cette question n'a pas encore occupé
les colonnes de ce journal, nous croyons, quoique
nous n'ayons jamais été témoin d'accidents de cette
nature, devoir communiquer à nos lecteurs les ob-
servations faites par les photographes anglais. Voici
une première lettre :
« Monsieur, nous devons des remerciements à vo-
tre journal, qui abonde en renseignements sur la for-
mation de l'image photographique; nous en devons
au comité spécial qui s'est occupé de la préservation
des images sur papier. Mais le photographe qui s'a-
donne à la production des positifs sur glace ne peut
fermer lei yeux devant ce fait, que lorsque la chimie
et l'optique ne peuvent conserver longtemps leur
image , il n'est personne qui ne doive songer à son
avenir. Ainsi, il verse sur ses portraits le même ver-
nis noir qu'il versait il y a déjà quatre ans, avec la
certitude que tôt ou tard, généralement assez tôt, il
présentera une belle apparence réticulée, agréable
cependant pour l'observateur désintéressé, mais
n'ayant rien de consolant pour l'artiste. Il est vrai
que dans ces colonnes il a été publié différentes mé-
thodes pour faire les positifs, mais la majeure partie
semble née plutôt de l'indifférence que du travail de
leurs auteurs. Dans l'une d'elles, on recommande
l'emploi du velours noir; nous l'avons essayé, et nous
avons vu qu'il est une infinité de petits points blancs
que la brosse ne peut enlever de sa surface; un au-
tre propose un vernis à l'eau, qui, aussitôt qu'il est
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