Titre : La Lumière : journal non politique... : beaux-arts, héliographie, sciences
Auteur : Société héliographique (France). Auteur du texte
Éditeur : Société d'héliographie (Paris)
Éditeur : A. GaudinA. Gaudin (Paris)
Éditeur : M.-A. GaudinM.-A. Gaudin (Paris)
Date d'édition : 1856-07-12
Contributeur : Monfort, Benito R. de (18..-18..). Directeur de publication
Contributeur : Gaudin, Alexis (1816-1894). Directeur de publication
Contributeur : Lacan, Ernest (1829-1879). Rédacteur
Contributeur : Gaudin, Marc-Antoine (1804-1880). Rédacteur. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32809606x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3408 Nombre total de vues : 3408
Description : 12 juillet 1856 12 juillet 1856
Description : 1856/07/12 (A6,N28). 1856/07/12 (A6,N28).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k54273081
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3100
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2008
SOMMAIRE.
N'ALLES et la Sicilo. Vues stéréoscopiques de !U. Grillet,
par M. E. L. •— L'ESPAGNE et ses monuments, par
M. CLIFFORD.— SUR LE r.OLLODIOX. Emploi de l'iodnre
de tetretliilammonium, par le professeur VON BABD. —
Préparation de l'iodure tetretliilammonium, par M. E. C—
SCIENCES. Eloges historiques, etc., etc.. publications de
M. Flourens. Hauteur des eaux de la Seine à Patis, par
M. A. T. L. ■— EMPLOI de l'acétate de sonde comme
•.îibsianre accélératrice, mémoire de M. W. D. PARR. -
SUR le procédé a l'oxymel de M. Llewellyn.
IVaples el la Sicile.
Vue» ■téréoscopiques de H. Grillcî.
Il a quelque temps, nous rendions compte
des vues stéréoscopiques prises à Pompéi par
.M. Grillet ; aujourd'hui, nous passerons rapi-
dement en revue une nouvelle série d'épreuves
que eet habile artiste vient de publier.
C'est à Naples que M. Grillet nous conduit
cette fois, et, quand on Ta suivi dans son ex-
cursion, on comprend l'admiration des voya-
geurs et des artistes pour cette ville que la
nature et le génie de l'homme se sont plu à
embellir.
Si je voulais décrire toutes les vues qui com-
posent cette collection, j'aurais à décrire Naples
tout entière ; je me contenterai donc d'en choi-
sir quelques-unes qui donneront une idée du
goût et de la variété que le photographe a su
mettre dans cette intéressante publication.
Voulez-vous une vue d'ensemble? Voici le
mule où se pressent des vaisseaux de tous les
pays du monde , puis le golfe qui s'étend ,
comme un lac argenté, vers Portici, Torre del
Ureco et Aniiunziata-, puis au loin, dominant
ce tranquille spectacle , les deux crêtes arron-
dies du Vésuve, qui semble dormir à l'horizon.
Voulez-vous des détails? Entrons à la vi'.la
H'-ale. Du côté de la mer, au-dessus de la balus-
Ifade qui borde ce jardin enchanté, nos regards
pourront errer du Castel dell' Ovo à la pointe du
l'ausilippe, sur cette baie que sillonnent les bar-
ques des pêcheurs; de l'autre coté, nous ver-
rons passer sur la vliiuui les rapides cafesai et
la foule élégante et oisive des promeneurs. Et
puis, nous retrouverons là, comme par magie,
sous les bosquets, au milieu des frais bassins,
tous les chefs-d'oeuvre de la statuaire qu'un ad-
mire à Florence ou à Home.
Voici PI. il librement dr f'roserpiw . Ifrrculn
•'l'ittflaiit Aiitrfi. l'iùilrro/icnt d'/ùmipr et l'A/inl-
l'ui du l-'lornicp. et In (llndialeur mourant. L'oeil
aurait peine à distinguer la coj ie de l'original,
''1 quelle que soif d'ailleurs leur origine, M. Gril-
let nous a représenté ces groupes et ces ligures
avec une vérité d'aspect que la photographie
et le stéréoscope peuvent seuls donner, dans des
mains aussi habiles que les siennes.
A l'extrémité de cette vaste pelouse, un petit
temple grec, d'ordre dorique, s'élève à demi ca-
ché sous un berceau de feuillage. Le soleil
inonde le portique; ses rayons, réfléchis parle
marbre poli des degrés qui y conduisent, éclai-
rent d'une demi-lumière un buste placé à l'in-
térieur du monument. C'est le temple de Vir-
gile. A l'entour, les oiseaux chantent, les fleurs
s'épanouissent et le visiteur s'arrête pour rêver
au passé. Malheureusement, il y a près de ce
temple deux choses qui rappellent bien vite au
présent : un factionnaire et un bec de gaz. Quel
anachronisme!
Non loin du temple de Virgile , voici le tem-
ple du Tasse. C'est un petit monument circu
laire, soutenu par huit colonnes légères et foui
entouré aussi de fleurs et de verdure. Vers
l'heure oùla nuit, calme, descend sur cette plage
embaumée , où les pales rayons de la lune
éveillent les souvenirs et ramènent les songes,
si ces buissons s'animent comme dans la forêt
enchantée de la Terre-Sainte et prennent une
voix, on doit entendre auprès de ce monument
île mystérieuses paroles, de poétiques plaintes,
où se mêlent peut-être les noms de Clorinde ,
d'Armide. d'Herminie et d'Eléonore.
Mais quittons la villn Krnie et Virgile et le
Tasse, et montons vers le Pausilippe. Là, encore,
nous retrouverons de poétiques souvenirs et
d'admirables paysages.
Depuis son arrivée à Paris, M. Clifford a con-
sacré tout son temps au tirage des positifs de
la magnifique collection de clichés qu'il a rap-
portés d'Espagne.
Il a bien voulu nous montrer une première
série d'épreuves ; elle comprend quelques-uns
des principaux monuments de Séville et de
Burgos qui, par la richesse et l'abondance de
leurs sculptures, présentent des motifs du plus
grand intérêt au point de vue artistique.
Les spécimens que nous avons eu sous les
yeuv nous ont prouvé (pie l'habile artiste a si
vaincre, avec un rare bonheur, dos difficultés
insurmontables pour de moins expérimentés. !
Vigueur des (uns sans sécheresse, pureté des
lignes, effet magique des lumières qui, en éclai-
rant les reliefs, mettent en évidence les plus pe-
lits détails et laissent aux doini-teinfcs toutes
leurs valeurs: ces belles reproductions réunis-
sent toutes les qualités qui constituent i\c^
épreuves parfaites.
A.vant peu M. Clifford aura complété et ter-
miné ce splendide album, et nous pourrons alors
rendre un compte exact de ses travaux au mo-
ment de leur publication.
■■
SIR LE COLLODION,
Par le professeur VON BABO,
[Extrait du journal de la Société photographique
de Londres.)
Quoique les excellentes épreuves obtenues par
d'habiles photographes prouvent suffisamment le pro-
grès considérable de la pratique photographique ;
cependant, la grande incertitude de succès dans la
production des négatifs que cherchent à obtenir tou-
jours les opérateurs les moins exercés, semble indi-
quer que la théorie des différents procédés n'est
rien moins qu'établie. Ce fait positif qu'on recom-
mande un grand nombre de formules très-variées,
produisant toutes, tantôt de bonnes, tantôt de mau-
vaises images, montre l'insuffisance de la théorie.
Dans le but de trouver la cause de ces nombreu-
ses causes d'insuccès, le professeur Babo s'est livré
à des expériences nombreuses qui l'ont amené au
résultat suivant :
<" Une condition essentielle de succès est la neu-
tralité absolue des préparations employées pour pro-
duire la surface sensible d'iodure d'argent. Si le col-
lodium renferme la plus minime trace d'acide libre,
il décompose, les iodures quand il se trouve eu con-
tact avec eux: il se forme de l'acide iodhydrique,
l'iode est mis en liberté et la sensibilité de !a couche
est diminuée.
l'our se débarrasser de l'iode libre, on a ia coutume
d'ajouter à la liqueur, de l'argent métallique dans un
état extrême de division. Ce moyen ne répond pas
cependant toujours au but, et jamais, d'ailleurs, pour
très-longtemps. L'argent métallique, en présence de
l'iode ou de l'iodure de potassium, décompose le col-
lodion : il se forme un précipité blanc qui consiste en
matière organique et iodure d'argent; le collodiou
devient limpide et impossible à employer.
Mais si l'argent métallique est retiré aussitôt que
le collodiou est devenu neutre (c'est-à-dire déco-
loré), il se colorera de nom eau sous l'influence de
l'atmosphère et perdra sa sensibilité. Si on emploie
un alcali pour éloigner l'acide libre, il arrive facile-
ment (pie le degré de la neutralité absolue est dé-
passé, et on obtient encore une préparation qui ne
peut servir.
Tous les iodures agissent plus ou moins sur le col-
lodiou, cependant il peut paraître neutre: mais les
divers iodures montrent cet effet à différents degrés.
La facilité avec laquelle la décomposition a lieu est
influencée par la proportion relative d'eau d'alcool
et d'éiher dans le collodiou. Le meilleur collo-
diou est celui qui est fait avec de l'éther et de i'al-
eool absolus; il sera le plus constant, toutes choses
égales d'ailleurs; mais il devient bientôt impossible à
employer par des raisons qui seront mentionnées plus
bas.
Parmi les iodures essayés par le professeur Babo,
l'iodure de tétrethylammonium lui a semblé être le
plus constant, probablement parce que l'iode libre
produit non de l'acide iodique, mais le corps décrit
par Wcltzicn sous le nom de triiodure de tétrethyl-
ammonium, qui ne semble pas subir facilement une
autre décomposition.
N'ALLES et la Sicilo. Vues stéréoscopiques de !U. Grillet,
par M. E. L. •— L'ESPAGNE et ses monuments, par
M. CLIFFORD.— SUR LE r.OLLODIOX. Emploi de l'iodnre
de tetretliilammonium, par le professeur VON BABD. —
Préparation de l'iodure tetretliilammonium, par M. E. C—
SCIENCES. Eloges historiques, etc., etc.. publications de
M. Flourens. Hauteur des eaux de la Seine à Patis, par
M. A. T. L. ■— EMPLOI de l'acétate de sonde comme
•.îibsianre accélératrice, mémoire de M. W. D. PARR. -
SUR le procédé a l'oxymel de M. Llewellyn.
IVaples el la Sicile.
Vue» ■téréoscopiques de H. Grillcî.
Il a quelque temps, nous rendions compte
des vues stéréoscopiques prises à Pompéi par
.M. Grillet ; aujourd'hui, nous passerons rapi-
dement en revue une nouvelle série d'épreuves
que eet habile artiste vient de publier.
C'est à Naples que M. Grillet nous conduit
cette fois, et, quand on Ta suivi dans son ex-
cursion, on comprend l'admiration des voya-
geurs et des artistes pour cette ville que la
nature et le génie de l'homme se sont plu à
embellir.
Si je voulais décrire toutes les vues qui com-
posent cette collection, j'aurais à décrire Naples
tout entière ; je me contenterai donc d'en choi-
sir quelques-unes qui donneront une idée du
goût et de la variété que le photographe a su
mettre dans cette intéressante publication.
Voulez-vous une vue d'ensemble? Voici le
mule où se pressent des vaisseaux de tous les
pays du monde , puis le golfe qui s'étend ,
comme un lac argenté, vers Portici, Torre del
Ureco et Aniiunziata-, puis au loin, dominant
ce tranquille spectacle , les deux crêtes arron-
dies du Vésuve, qui semble dormir à l'horizon.
Voulez-vous des détails? Entrons à la vi'.la
H'-ale. Du côté de la mer, au-dessus de la balus-
Ifade qui borde ce jardin enchanté, nos regards
pourront errer du Castel dell' Ovo à la pointe du
l'ausilippe, sur cette baie que sillonnent les bar-
ques des pêcheurs; de l'autre coté, nous ver-
rons passer sur la vliiuui les rapides cafesai et
la foule élégante et oisive des promeneurs. Et
puis, nous retrouverons là, comme par magie,
sous les bosquets, au milieu des frais bassins,
tous les chefs-d'oeuvre de la statuaire qu'un ad-
mire à Florence ou à Home.
Voici PI. il librement dr f'roserpiw . Ifrrculn
•'l'ittflaiit Aiitrfi. l'iùilrro/icnt d'/ùmipr et l'A/inl-
l'ui du l-'lornicp. et In (llndialeur mourant. L'oeil
aurait peine à distinguer la coj ie de l'original,
''1 quelle que soif d'ailleurs leur origine, M. Gril-
let nous a représenté ces groupes et ces ligures
avec une vérité d'aspect que la photographie
et le stéréoscope peuvent seuls donner, dans des
mains aussi habiles que les siennes.
A l'extrémité de cette vaste pelouse, un petit
temple grec, d'ordre dorique, s'élève à demi ca-
ché sous un berceau de feuillage. Le soleil
inonde le portique; ses rayons, réfléchis parle
marbre poli des degrés qui y conduisent, éclai-
rent d'une demi-lumière un buste placé à l'in-
térieur du monument. C'est le temple de Vir-
gile. A l'entour, les oiseaux chantent, les fleurs
s'épanouissent et le visiteur s'arrête pour rêver
au passé. Malheureusement, il y a près de ce
temple deux choses qui rappellent bien vite au
présent : un factionnaire et un bec de gaz. Quel
anachronisme!
Non loin du temple de Virgile , voici le tem-
ple du Tasse. C'est un petit monument circu
laire, soutenu par huit colonnes légères et foui
entouré aussi de fleurs et de verdure. Vers
l'heure oùla nuit, calme, descend sur cette plage
embaumée , où les pales rayons de la lune
éveillent les souvenirs et ramènent les songes,
si ces buissons s'animent comme dans la forêt
enchantée de la Terre-Sainte et prennent une
voix, on doit entendre auprès de ce monument
île mystérieuses paroles, de poétiques plaintes,
où se mêlent peut-être les noms de Clorinde ,
d'Armide. d'Herminie et d'Eléonore.
Mais quittons la villn Krnie et Virgile et le
Tasse, et montons vers le Pausilippe. Là, encore,
nous retrouverons de poétiques souvenirs et
d'admirables paysages.
Depuis son arrivée à Paris, M. Clifford a con-
sacré tout son temps au tirage des positifs de
la magnifique collection de clichés qu'il a rap-
portés d'Espagne.
Il a bien voulu nous montrer une première
série d'épreuves ; elle comprend quelques-uns
des principaux monuments de Séville et de
Burgos qui, par la richesse et l'abondance de
leurs sculptures, présentent des motifs du plus
grand intérêt au point de vue artistique.
Les spécimens que nous avons eu sous les
yeuv nous ont prouvé (pie l'habile artiste a si
vaincre, avec un rare bonheur, dos difficultés
insurmontables pour de moins expérimentés. !
Vigueur des (uns sans sécheresse, pureté des
lignes, effet magique des lumières qui, en éclai-
rant les reliefs, mettent en évidence les plus pe-
lits détails et laissent aux doini-teinfcs toutes
leurs valeurs: ces belles reproductions réunis-
sent toutes les qualités qui constituent i\c^
épreuves parfaites.
A.vant peu M. Clifford aura complété et ter-
miné ce splendide album, et nous pourrons alors
rendre un compte exact de ses travaux au mo-
ment de leur publication.
■■
SIR LE COLLODION,
Par le professeur VON BABO,
[Extrait du journal de la Société photographique
de Londres.)
Quoique les excellentes épreuves obtenues par
d'habiles photographes prouvent suffisamment le pro-
grès considérable de la pratique photographique ;
cependant, la grande incertitude de succès dans la
production des négatifs que cherchent à obtenir tou-
jours les opérateurs les moins exercés, semble indi-
quer que la théorie des différents procédés n'est
rien moins qu'établie. Ce fait positif qu'on recom-
mande un grand nombre de formules très-variées,
produisant toutes, tantôt de bonnes, tantôt de mau-
vaises images, montre l'insuffisance de la théorie.
Dans le but de trouver la cause de ces nombreu-
ses causes d'insuccès, le professeur Babo s'est livré
à des expériences nombreuses qui l'ont amené au
résultat suivant :
<" Une condition essentielle de succès est la neu-
tralité absolue des préparations employées pour pro-
duire la surface sensible d'iodure d'argent. Si le col-
lodium renferme la plus minime trace d'acide libre,
il décompose, les iodures quand il se trouve eu con-
tact avec eux: il se forme de l'acide iodhydrique,
l'iode est mis en liberté et la sensibilité de !a couche
est diminuée.
l'our se débarrasser de l'iode libre, on a ia coutume
d'ajouter à la liqueur, de l'argent métallique dans un
état extrême de division. Ce moyen ne répond pas
cependant toujours au but, et jamais, d'ailleurs, pour
très-longtemps. L'argent métallique, en présence de
l'iode ou de l'iodure de potassium, décompose le col-
lodion : il se forme un précipité blanc qui consiste en
matière organique et iodure d'argent; le collodiou
devient limpide et impossible à employer.
Mais si l'argent métallique est retiré aussitôt que
le collodiou est devenu neutre (c'est-à-dire déco-
loré), il se colorera de nom eau sous l'influence de
l'atmosphère et perdra sa sensibilité. Si on emploie
un alcali pour éloigner l'acide libre, il arrive facile-
ment (pie le degré de la neutralité absolue est dé-
passé, et on obtient encore une préparation qui ne
peut servir.
Tous les iodures agissent plus ou moins sur le col-
lodiou, cependant il peut paraître neutre: mais les
divers iodures montrent cet effet à différents degrés.
La facilité avec laquelle la décomposition a lieu est
influencée par la proportion relative d'eau d'alcool
et d'éiher dans le collodiou. Le meilleur collo-
diou est celui qui est fait avec de l'éther et de i'al-
eool absolus; il sera le plus constant, toutes choses
égales d'ailleurs; mais il devient bientôt impossible à
employer par des raisons qui seront mentionnées plus
bas.
Parmi les iodures essayés par le professeur Babo,
l'iodure de tétrethylammonium lui a semblé être le
plus constant, probablement parce que l'iode libre
produit non de l'acide iodique, mais le corps décrit
par Wcltzicn sous le nom de triiodure de tétrethyl-
ammonium, qui ne semble pas subir facilement une
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