Titre : La Lumière : journal non politique... : beaux-arts, héliographie, sciences
Auteur : Société héliographique (France). Auteur du texte
Éditeur : Société d'héliographie (Paris)
Éditeur : A. GaudinA. Gaudin (Paris)
Éditeur : M.-A. GaudinM.-A. Gaudin (Paris)
Date d'édition : 1856-07-05
Contributeur : Monfort, Benito R. de (18..-18..). Directeur de publication
Contributeur : Gaudin, Alexis (1816-1894). Directeur de publication
Contributeur : Lacan, Ernest (1829-1879). Rédacteur
Contributeur : Gaudin, Marc-Antoine (1804-1880). Rédacteur. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32809606x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3408 Nombre total de vues : 3408
Description : 05 juillet 1856 05 juillet 1856
Description : 1856/07/05 (A6,N27). 1856/07/05 (A6,N27).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5427307m
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3100
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2008
SOMMAIRE.
PHOTOGRAPHIE HISTOIUQUl',. Sri-nos du ba|)tèni<; impé-
rial par M. V. Plumier, 11. K. I,. — FONDATION d'un
institut plinlpgr;iplii<|uc à Ii'na. — C.OIJI.ODIOX albuminé.
Lettre sur le procédé Taiipoiiot de M. C.-F. BITTEUFIEI.»,
de BradforJ. - IMPRESSION NATURELLE. La noie atitri-
cliienuc. Procédé Auër, par JI. A. T. L. — ANALYSE
cliimiipie photoçrapliiqur. — De ITo le et de ses rnnipo"és,
deuxième partie, par xi. S. nu LUCA. — PIIOTOG11APIIIE
SUR COLLODION. Extrait dMonckliovcn, De") accidents divers.
Photographique historique.
Nous avons à ajouter le nom de M. Victor
Plumier à ceux- des artistes qui ont pris des
vues photographiques de la cérémonie! du
14 juin.
Déjà, plus d'une fois, M. Plumier a appliqué
son talent à ce genre de reproduction ; mais
jusqu'à présent il avait opéré sur plaque, tandis
que ses dernières épreuves sont obtenues sur
verre collodiouné.
Ce n'est pas sans difficulté que l'habile pho-
tographe a pu assister dans des conditions con-
venables, pour le but qu'il se proposait, au
baptême du prince impérial. N'ayant pu trouver
place dans les bâtiments de l'administration de
l'assistance publique, il a dû louer pour deux
ou trois heures une chambre sur le parvis Notre-
Dame, en payantquelquo chose comme uneannée
de loyer, (ii ace à cet expédient, M. Plumier, qui
était chez lui, a pu faire successivement plusieurs
clichés qui présentent un vif intérêt. La dimen-
sion des glaces qu'il a employées (-22x30 et
18x22) lui a permis de reproduire une grande
partie de la façade du monument avec ses orne-
mentations, et de la place avec la foule qui s'y
pressait. Une de ses épreuves est surtout très-
remarquable : c'est celle obtenue au moinenl de
l'arrivée de la voiture impériale devant le por-
tail de l'église. Tous les équipages composant
le cortège sont rangés a droite et à gauche,
pendant que le carrosse qui amène l'Empereur
et l'Impératrice s'avance vers la grande porte.
Les personnes de la cour, les officiers du palais
se groupent sous ia voûte gothique tout ornée
de peinture et de guirlandes de fleurs qui sert
de marquise, tandis qu'au dehors les troupes de
l'escorte se rangent et s'alignenl. ('est un spec-
tacle très-animé, très-imposant, et que la pho-
tographie peut seule rendre dans toute sa
vérité.
Les autres vues, prises avant l'arrivée du
cortège, ne présentent pas moins de mouvement.
La foule des personnages qui s'y trouvent —
gardes nationaux, bourgeois, sergents de ville,
gardes de Paris, — les chevaux, les voitures
amenant les invités à la cérémonie, tout est re-
présenté avec une netteté surprenante. Il faut
que M. Plumier ail opéré bien rapidement pour
avoir reproduit avec autant de précision cotte
foule en mouvement. Ces épreuves peuvent être
citées parmi les iiiMlaiitanéilrs les plus remar- '
quables (pie l'on ait obtenues.
Puisque nous parlons de M. Plumier, on
nous permettra de dire quelques mots d'un nou-
veau genre qu'il a adopté pour les portraits. Il
consiste tout simplement à peindre à l'huile les
épreuves photographiques qui servent alors de
dessous. Mais ce travail est fait avec tant de
goût et de délicatesse, que ces portraits peuvent
être comparés à de charmantes peintures sur
taffetas. Plusieurs spécimens de ce genre figu-
raient à l'Exposition universelle, dans le cadre
de M. Plumier, où ils ont été justement remar-
qués. Bien que nous soyons peu partisan de la
photographie peinte, nous reconnaissons un
mérite réel et incontestable dans ces produc-
tions, qui rentrent tout à fait dans la catégorie
des oeuvres d'art.
Du reste, M. Plumier est un artiste conscien-
cieux, modeste et laborieux, qui ne peut que
progresser, parce qu'il étudie toujours.
K. L.
FONDATION
D'DN INSTITUT PHOTOGRAPHIQUE A IÉNA.
Le succès, la perfection des épreuves photographi-
ques et l'adresse déployée dans l'exécution, dépen-
dent étroitement des connaissances chimiques de
l'opérateur. Le docteur Sclinauss, bien connu par ses
travaux concernant cette, partie importante do la
science, a pensé avec juste raison qu'il serait utile do
créer un institut destiné à l'enseignement théorique
et pratique de toutes les branches do la photogra-
phie. Le plan de Cet institut comprend des cours ele
chimie appliquée et d'optique, des expériences de
laboratoire, ia préparation des substances employées,
des essais propres à s'assurer de leur pureté et .le
leurs effets, ia démonstration de la photographie pra-
tique, "les méthodes les meilleures et les plus usitées
pour l'exécution des épreuves sur verre, sur papier
et sur plaque ; enfin l'an, des retouches, démontré
par un peintre habile.
Nous lisons avec plaisir cette nouvelle dans le
D/iu/lers pulyterhnhclti's Journal, et nous constatons
avec regret que la France, où est née la photogra-
phie, manque d'un établissement semblable, qui cer-
tainement pourrait rendre do grands services aux
photographes habiles, ainsi qu'aux simples artistes
praticiens.
D. L.
COI.1.0l)!0\ VUH'MINÈ.
lettre de. M. C.iuiii.r.s-I'. liuniaiiiia.ii a l'éditeur du. j'inv-
itai (le la Snciete iiluilii()nin!uiiue de Luit lies, fur le.
}inn:é,le de \|. TAU'KNOÏ.
lirariforxl, 17 mai 1850.
Monsieur,
(omme vous avez paru désirer, dans votre numéro
du mois dernier, savoir si IG procédé Taupenot
réussissait, je prends la liberté de vous adresser quel-
ques mots touchant nies expériences à ce sujet. Le
procédé mentionné par Morne et Thornthwaito, dans
leurduide, attira d'abord mon attention, et suivant
les instructions qui y sont données, j'essayai d'arri-
ver aux mêmes résultats satisfaisants, et voici com-
ment j'y réussis :
Ma première épreuve était bonne et m'encourasea
à continuer; mais comme mon bain albuminé s'était
décoloré par la fermentation du sulfure d'argent, j'y
introduisis du noir animal et essayai de nouveau;
mais cette fois j'échouai complètement; toutes mes
plaques, après le développement de l'image, étaient,
couvertes à la surface de taches qui, dans quelques-
unes, obltéraient tout à fait l'image et dans d'autres
l'oblitéraient partiellement; après il.vers essais, le ré-
sultat était le môme, ceci s'accorde du reste avec ce
que j'ai appris d'autres photographes qui, après avoir
fait des essais, ont rencontré les mêmes taches, et
ont abandonné le procédé en désespoir de cause.
Mais, pour revenir à mon sujet, je me souvins que
ma première image avait réussi, c'est, pourquoi je com-
posai un nouveau bain albuminé et fis encore un nouvel
essai : comme précédemment, ma première épreuve
était très-belle (je m'y attendais), mais réfléchissant
que c'était seulement après l'introduction du noir
animal que les taches faisaient leur apparition, j'es-
sayai cotte fois du kaolin et j'obtins décidément de
meilleures épreuves; on ne voyait plus de taches
que sur les contours de la plaque , le. centre se déve-
loppait bien et d'une manière égale. Il me vint aussi-
tôt à l'esprit que ces taches marginales étaient dues
il ce que je lavais les plaques plus au centre
que sur les bords ; de sorte que je préparai un nou-
veau bain, et après avoir la\é comme de coutume,
je lâchai, par un robinet, un courant d'eau que. je
faisais tomber avec grande force seulement sur les
bords des plaques, mon but étant d'enlever tout ce
qui pouvait nuire. I.e résultat de cette expérience fut
tout à fait satisfaisant, et depuis ce temps, suivant la
même marche, je n'ai jamais échoué, etje puisavec cer-
titude, si je, prends douze. p!a pies pour l'excursion
d'une matinée ou d'une après-midi, rapporter onze
bonnes épreuves. 11 est possible (pie mon noir animal
n'ait pas été pur, et que, si je m'en étais procuré
d'autre, j'eusse obtenu les mêmes bons résultats
qu'avec le kaolin. Los amateurs peuvent l'aire cet es-
sai; je constate seulement ce l'ait, que j'ai réussi avec
le kaolin, et pas du tout avec, le noir animal. On
s'est beaucoup plaint de la peine qu'on axait à pré-
parer les plaques par cette méthode et j'avoue qu'on
a eu effet un peu plus de mal, ce qui est dû princi-
palement à l'emploi de deux bains, et l'absolue
nécessité d'employer des plaques, parfaitement
sèches avant l'immersion dans le. second bain ;
mais si d'autres suivent ma méthode pour sécher les
plaque* dans un four commun axant bien soin d'eu
exclure la poussière , ils trouveront qu'elles sèchent
aussi vite qu'on en a besoin pour le second bain.
C'est à ce procédé de prompt séchage que j'attribue
aussi l'absence totale de globules qui sont de fréqrcn-
tos causes d'ennui, mais que je n'ai jamais vues.
La plus grande objection que j'aie entendue l'aire
à ce procédé, c'est la difficulté de fixer le temps d'ex-
position; mais cela est de peu d'importance, si l'on
PHOTOGRAPHIE HISTOIUQUl',. Sri-nos du ba|)tèni<; impé-
rial par M. V. Plumier, 11. K. I,. — FONDATION d'un
institut plinlpgr;iplii<|uc à Ii'na. — C.OIJI.ODIOX albuminé.
Lettre sur le procédé Taiipoiiot de M. C.-F. BITTEUFIEI.»,
de BradforJ. - IMPRESSION NATURELLE. La noie atitri-
cliienuc. Procédé Auër, par JI. A. T. L. — ANALYSE
cliimiipie photoçrapliiqur. — De ITo le et de ses rnnipo"és,
deuxième partie, par xi. S. nu LUCA. — PIIOTOG11APIIIE
SUR COLLODION. Extrait dMonckliovcn, De") accidents divers.
Photographique historique.
Nous avons à ajouter le nom de M. Victor
Plumier à ceux- des artistes qui ont pris des
vues photographiques de la cérémonie! du
14 juin.
Déjà, plus d'une fois, M. Plumier a appliqué
son talent à ce genre de reproduction ; mais
jusqu'à présent il avait opéré sur plaque, tandis
que ses dernières épreuves sont obtenues sur
verre collodiouné.
Ce n'est pas sans difficulté que l'habile pho-
tographe a pu assister dans des conditions con-
venables, pour le but qu'il se proposait, au
baptême du prince impérial. N'ayant pu trouver
place dans les bâtiments de l'administration de
l'assistance publique, il a dû louer pour deux
ou trois heures une chambre sur le parvis Notre-
Dame, en payantquelquo chose comme uneannée
de loyer, (ii ace à cet expédient, M. Plumier, qui
était chez lui, a pu faire successivement plusieurs
clichés qui présentent un vif intérêt. La dimen-
sion des glaces qu'il a employées (-22x30 et
18x22) lui a permis de reproduire une grande
partie de la façade du monument avec ses orne-
mentations, et de la place avec la foule qui s'y
pressait. Une de ses épreuves est surtout très-
remarquable : c'est celle obtenue au moinenl de
l'arrivée de la voiture impériale devant le por-
tail de l'église. Tous les équipages composant
le cortège sont rangés a droite et à gauche,
pendant que le carrosse qui amène l'Empereur
et l'Impératrice s'avance vers la grande porte.
Les personnes de la cour, les officiers du palais
se groupent sous ia voûte gothique tout ornée
de peinture et de guirlandes de fleurs qui sert
de marquise, tandis qu'au dehors les troupes de
l'escorte se rangent et s'alignenl. ('est un spec-
tacle très-animé, très-imposant, et que la pho-
tographie peut seule rendre dans toute sa
vérité.
Les autres vues, prises avant l'arrivée du
cortège, ne présentent pas moins de mouvement.
La foule des personnages qui s'y trouvent —
gardes nationaux, bourgeois, sergents de ville,
gardes de Paris, — les chevaux, les voitures
amenant les invités à la cérémonie, tout est re-
présenté avec une netteté surprenante. Il faut
que M. Plumier ail opéré bien rapidement pour
avoir reproduit avec autant de précision cotte
foule en mouvement. Ces épreuves peuvent être
citées parmi les iiiMlaiitanéilrs les plus remar- '
quables (pie l'on ait obtenues.
Puisque nous parlons de M. Plumier, on
nous permettra de dire quelques mots d'un nou-
veau genre qu'il a adopté pour les portraits. Il
consiste tout simplement à peindre à l'huile les
épreuves photographiques qui servent alors de
dessous. Mais ce travail est fait avec tant de
goût et de délicatesse, que ces portraits peuvent
être comparés à de charmantes peintures sur
taffetas. Plusieurs spécimens de ce genre figu-
raient à l'Exposition universelle, dans le cadre
de M. Plumier, où ils ont été justement remar-
qués. Bien que nous soyons peu partisan de la
photographie peinte, nous reconnaissons un
mérite réel et incontestable dans ces produc-
tions, qui rentrent tout à fait dans la catégorie
des oeuvres d'art.
Du reste, M. Plumier est un artiste conscien-
cieux, modeste et laborieux, qui ne peut que
progresser, parce qu'il étudie toujours.
K. L.
FONDATION
D'DN INSTITUT PHOTOGRAPHIQUE A IÉNA.
Le succès, la perfection des épreuves photographi-
ques et l'adresse déployée dans l'exécution, dépen-
dent étroitement des connaissances chimiques de
l'opérateur. Le docteur Sclinauss, bien connu par ses
travaux concernant cette, partie importante do la
science, a pensé avec juste raison qu'il serait utile do
créer un institut destiné à l'enseignement théorique
et pratique de toutes les branches do la photogra-
phie. Le plan de Cet institut comprend des cours ele
chimie appliquée et d'optique, des expériences de
laboratoire, ia préparation des substances employées,
des essais propres à s'assurer de leur pureté et .le
leurs effets, ia démonstration de la photographie pra-
tique, "les méthodes les meilleures et les plus usitées
pour l'exécution des épreuves sur verre, sur papier
et sur plaque ; enfin l'an, des retouches, démontré
par un peintre habile.
Nous lisons avec plaisir cette nouvelle dans le
D/iu/lers pulyterhnhclti's Journal, et nous constatons
avec regret que la France, où est née la photogra-
phie, manque d'un établissement semblable, qui cer-
tainement pourrait rendre do grands services aux
photographes habiles, ainsi qu'aux simples artistes
praticiens.
D. L.
COI.1.0l)!0\ VUH'MINÈ.
lettre de. M. C.iuiii.r.s-I'. liuniaiiiia.ii a l'éditeur du. j'inv-
itai (le la Snciete iiluilii()nin!uiiue de Luit lies, fur le.
}inn:é,le de \|. TAU'KNOÏ.
lirariforxl, 17 mai 1850.
Monsieur,
(omme vous avez paru désirer, dans votre numéro
du mois dernier, savoir si IG procédé Taupenot
réussissait, je prends la liberté de vous adresser quel-
ques mots touchant nies expériences à ce sujet. Le
procédé mentionné par Morne et Thornthwaito, dans
leurduide, attira d'abord mon attention, et suivant
les instructions qui y sont données, j'essayai d'arri-
ver aux mêmes résultats satisfaisants, et voici com-
ment j'y réussis :
Ma première épreuve était bonne et m'encourasea
à continuer; mais comme mon bain albuminé s'était
décoloré par la fermentation du sulfure d'argent, j'y
introduisis du noir animal et essayai de nouveau;
mais cette fois j'échouai complètement; toutes mes
plaques, après le développement de l'image, étaient,
couvertes à la surface de taches qui, dans quelques-
unes, obltéraient tout à fait l'image et dans d'autres
l'oblitéraient partiellement; après il.vers essais, le ré-
sultat était le môme, ceci s'accorde du reste avec ce
que j'ai appris d'autres photographes qui, après avoir
fait des essais, ont rencontré les mêmes taches, et
ont abandonné le procédé en désespoir de cause.
Mais, pour revenir à mon sujet, je me souvins que
ma première image avait réussi, c'est, pourquoi je com-
posai un nouveau bain albuminé et fis encore un nouvel
essai : comme précédemment, ma première épreuve
était très-belle (je m'y attendais), mais réfléchissant
que c'était seulement après l'introduction du noir
animal que les taches faisaient leur apparition, j'es-
sayai cotte fois du kaolin et j'obtins décidément de
meilleures épreuves; on ne voyait plus de taches
que sur les contours de la plaque , le. centre se déve-
loppait bien et d'une manière égale. Il me vint aussi-
tôt à l'esprit que ces taches marginales étaient dues
il ce que je lavais les plaques plus au centre
que sur les bords ; de sorte que je préparai un nou-
veau bain, et après avoir la\é comme de coutume,
je lâchai, par un robinet, un courant d'eau que. je
faisais tomber avec grande force seulement sur les
bords des plaques, mon but étant d'enlever tout ce
qui pouvait nuire. I.e résultat de cette expérience fut
tout à fait satisfaisant, et depuis ce temps, suivant la
même marche, je n'ai jamais échoué, etje puisavec cer-
titude, si je, prends douze. p!a pies pour l'excursion
d'une matinée ou d'une après-midi, rapporter onze
bonnes épreuves. 11 est possible (pie mon noir animal
n'ait pas été pur, et que, si je m'en étais procuré
d'autre, j'eusse obtenu les mêmes bons résultats
qu'avec le kaolin. Los amateurs peuvent l'aire cet es-
sai; je constate seulement ce l'ait, que j'ai réussi avec
le kaolin, et pas du tout avec, le noir animal. On
s'est beaucoup plaint de la peine qu'on axait à pré-
parer les plaques par cette méthode et j'avoue qu'on
a eu effet un peu plus de mal, ce qui est dû princi-
palement à l'emploi de deux bains, et l'absolue
nécessité d'employer des plaques, parfaitement
sèches avant l'immersion dans le. second bain ;
mais si d'autres suivent ma méthode pour sécher les
plaque* dans un four commun axant bien soin d'eu
exclure la poussière , ils trouveront qu'elles sèchent
aussi vite qu'on en a besoin pour le second bain.
C'est à ce procédé de prompt séchage que j'attribue
aussi l'absence totale de globules qui sont de fréqrcn-
tos causes d'ennui, mais que je n'ai jamais vues.
La plus grande objection que j'aie entendue l'aire
à ce procédé, c'est la difficulté de fixer le temps d'ex-
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