Titre : La Lumière : journal non politique... : beaux-arts, héliographie, sciences
Auteur : Société héliographique (France). Auteur du texte
Éditeur : Société d'héliographie (Paris)
Éditeur : A. GaudinA. Gaudin (Paris)
Éditeur : M.-A. GaudinM.-A. Gaudin (Paris)
Date d'édition : 1855-06-09
Contributeur : Monfort, Benito R. de (18..-18..). Directeur de publication
Contributeur : Gaudin, Alexis (1816-1894). Directeur de publication
Contributeur : Lacan, Ernest (1829-1879). Rédacteur
Contributeur : Gaudin, Marc-Antoine (1804-1880). Rédacteur. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32809606x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3408 Nombre total de vues : 3408
Description : 09 juin 1855 09 juin 1855
Description : 1855/06/09 (A5,N23). 1855/06/09 (A5,N23).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5427245z
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3100
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/12/2010
Les bureaux du journal la Lumière, à
Londres, ainsi que les magasins de la mai-
son Alexis GAUDIN et frères, sonl trans-
férés, depuis le 1er du courant, 26, Skinner
street Show'-IJill, pour cause d'agrandis-
sement.
Toutes les lettres el communications relatives à
la RÉDACTION doivent être adressées (franco) au
Rédacteur en chef, M. Ernest LACAN, faubourg
Saint-Honorê, n° 52. — Pour les réclamations re-
latives au service et pour les ABONNEMENTS, à
MM. Alexis GAUDIN cl frère, propriétaire-gérant,
rue de la Perle, n° 9. —Toute lettre non a/franchie
sera rigoureusement refusée. Les demandes d'abon-
nement doivent être accompagnées d'un bon sur la
poste, à l'ordre du Gérant.
SOiMMAIItlï.
VISITE DE L'EMPEREUR ET DE L'IMPÉRATRICE A L'EX-
POSITION UNIVERSELLE.— APPAREIL STEREOSCO-
PIQUE de M. A. CI.AUDET. —ALBUM de M. SZATHMAHI,
de Bucliarest. — SCIENCES. Noie sur un moyen photo-
graphique de déterminer la hauteur des nuages, par
M. POUILI.ET, membre de l'Inslilul. — BEAUX-ARTS.
DE LA GHAVUIIE (siiilo et (in), par M. Paul NIIIELLE. —
LA LUMIERE, extrait de l'Ami ries sciences (suite et lin).
—EXPOSITION UNIVERSELLE. n::.vux AIUS. Peinture,
par M. Paul NIIIEM.E. — CORRESPONDANCE. Lellre.de
M. de BiiiiBissox. Keetiliealinn. — NOUVELLES DE
L'EXPOSITION UNIVERSELLE.
VISITE DE L'EMPEREUR ET DE L'IMPÉRATRICE
A L'EXPOSITION UNIVERSELLE.
Samedi dernier, à six heures du soir, l'Empereur
et l'Impératrice ont visité les galeries supérieures
de l'Exposition universelle. Parmi les subdivisions
que Leurs Majestés ont parcourues, la photographie
anglaise est une de celles qui oui attiré plus parti-
culièrement leur attention. Les augustes visiteurs
se sonl surtout arrêtés devant l'appareil envoyé de
Londres par notre compatriote, M. Claudel. Ce cu-
rieux appareil se compose d'un piédestal en bois
sculpté dans lequel sonl renfermés six stéréoscopes.
En faisant jouer un boulon d'ivoire, les épreuves
changent , au moyen d'un ingénieux mécanisme
imaginé par le savant photographe. Au-dessus des
oculaires sont gravés les noms des hommes aux-
quels la photographie doil son invention ou ses
perfectionnements : Porta, Dollond, Niépce, l)a-
guerre, Talbol, Whealstone ; l'appareil se termine
par une couronne où sont inscrites les dates des
deux expositions universelles, 1851, 1855, el les
noms de Napoléon III et Victoria.
Par un heureux hasard, nous nous trouvions là
au moment où l'Empereur el l'Impératrice, accom-
pagnés des personnes de leur suite, se sont appro-
chés, et nous avons pu, en l'absence de M. Claudel,
donner à LL. MM. les explications qu'elles nous
ont fail l'honneur de nous demander.
La beauté des épreuves, le bon goùl et l'ingé-
nieuse disposition de l'appareil, magnifiquement
sculpté par Rodgers, ont valu à RI. Claudel, de la
part de LL. MM., des témoignages de satisfaction
qu'il eût été bien heureux d'entendre, et donl nous
regardons comme un devoir de nous faire l'écho.
Le célèbre artiste a fail construire un autre piédes-
tal semblable qui doit figurer dans sa belle galerie
de llegonl-Slrect, el sur lequel sont inscrits les
noms de Brewsler, Davy, Wedgewood, Léonard de
Vinci, Fizcau cl Arago. Nous espérons que le succès
si encourageant qu'il vient d'obtenir l'engagera à
nous envoyer également, comme il en avait l'inten-
tion, ce second appareil aussitôt qu'il sera terminé;
alors, son exposition sera complète, et le public qui
se presse autour de ses portraits n'aura plus à se
plaindre de leur petit nombre.
ERNEST LACAN.
M. de Szathmari, l'habile amateur photographe
de Bucharest, dont nous avons annoncé dernière-
ment l'arrivée, a eu l'honneur d'être reçu mercredi
soir par l'Empereur. LL. MAI. ont voulu voir toutes
les épreuves que renferme son magnifique album;
les portraits des généraux russes cl turcs les ont
surtout vivement intéressés. Témoin oculaire de
bien des scènes qui se rattachent à l'histoire de la
guerre d'Orient, ayant connu la pluparldes hommes
qui se sont distingués dans celle grande lulle, M. de
Szathmari a pu donner des détails curieux el qui
ont fixé l'allenlion de LL. MM.
L'Kmpcreur a félicité l'auteur de cette intéres-
sante collection, don' il a accepté l'hommage.
Nous sommes hetinux d'annoncer ce succès, qui
honore la photographie, et qui montre avec quelle
bienveillance LL. .MM. accueillent el encouragent
les progrès de noire art.
SCIKNCKS.
NOli: Si il l\ MOYEN PUOTOCIUPIIIQIT.
lli: liÉI'KUMINEK I.A u.unix'K DES NUAGES,
Par M. Pocii.i.ET, membre de l'Académie des sciences.
Dans une comniuiiiealion que j'ai faite à l'Académie, il
y a quinze ans (Comptes rendus, t. XI, p. 717, année
1850), ou trouve un-historique des diverses méthodes qui
ont été imaginées pour déterminer la hauteur des nuages.
Toutes ces méthodes, comme celles de liernotilli, de Lam-
bert et de M. Arago, reposent sur le principe des obser-
vations isolées, c'csl-à-dirc des observations faites en un
seul point, par un seul observateur. Après avoir examiné
ce principe en lui-même et dans les résultais qu'il avait
produits jusque-là, j'étais amené à celte conclusion : qu'il
pouvait bien servir à résoudre la question dans quelques
cas particuliers et eu quelque sorte exceptionnels, mais
qu'il lesterait toujours impuissant à résoudre la question
générale de la distribution des nuages dans les diverses
régions de l'atmosphère.
En conséquence, je proposai une nouvelle méthode
reposant sur le principe des observations simultanées,
c'est-à-dire des observations faites simultanément pat-
deux observateurs aux extrémités d'une base de longueur
connue. Quelques expériences, que j'avais pu faire d'après
ce principe, ne laissaient aucun doute dans mon esprit
sur les avantages que l'on en pourrait tirer, pourvu toute-
fois que l'on consentît à faire les dépenses nécessaires pour
l'appliquer dans les conditions les plus convenables.
Depuis cette époque, on a fait de nouvelles tentatives
pour revenir au principe des observations isolées :
M. Wartmann a proposé une méthode qui me paraît très-
peu applicable (Annales de Chimie et de Physique, 3'
série, t. XXIV, p. 208, année 184Sj; notre confrère,
M. Bravais, à la même époque, en a proposé une autre,
qu'il a du moins soumise à quelques épreuves (Annales
de Chimie et de Physique, 5e série, t. XXIV, p. 497, an-
née 18i8), mais celle-ci même nie semble restreinte dans
des limites trop étroites.
Ces nouveaux essais n'ont donc rien changé à mon
ancienne conviction sur la nécessité d'avoir recours au
principe des observations simultanées. Diverses circon-
stances ayant ramené mon attention sur ce sujet, je m'en
suis occupé à plusieurs reprises, cherchant tantôt à mieux
assurer l'action simultanée des deux observateurs, tantôt
à simplilier rétablissement des moyens rapides de trans-
port pour les rendre moins embarrassants et surtout moins
dispendieux. Enfin, pour affranchir le problème des diffi-
cultés de cette espèce, qui me semblaient toujours con-
sidérables, j'en ai cherché la solution dans les découvertes
de la photographie, et je vais expliquer, en peu de mots,
comment les expériences pourraient se faire par ce nou-
veau moyen, et comment deux appareils photographiques
peuvent remplacer, avec d'incontestables avantages, les
deux observateurs très-habiles qu'exigeait nécessairement
le système dont il s'agit.
Les objectifs photographiques peuvent embrasser un
champ d'environ 28 degrés, et eu même temps donner des
images sensiblement planes de l'ensemble des objets dis-
posés sur un plan perpendiculaire à l'axe. Ainsi, en ima-
ginant «pie le centre optique d'un tel objectif soit le som-
met d'un double cône dont la génératrice fasse avec l'axe
un angle de 1 i degrés, il arrive que chaque section per-
pendiculaire que l'on peut concevoir dans ce cône, à une
distance convenable en avant, vient donner son image dans
une section correspondante, placée en arrière ; de plus, les
distances du centre optique à chacune de ces deux sections
se trouvent liées entre elles par la formule générale des
lentilles,
i l _ 1
6 ~ '( m '
f, distance focale principale, des lentilles ;
b, distance de la section où se trouve l'objet;
;», distance de la section où se trouve l'image.
En photographie, les valeurs qu'il est permis de don-
ner à /"dépendent de plusieurs éléments, et surtout de l'in-
tensité de la lumière qui est nécessaire pour produire l'ef-
fet voulu sur la couche sensible. Dans la question qui
Londres, ainsi que les magasins de la mai-
son Alexis GAUDIN et frères, sonl trans-
férés, depuis le 1er du courant, 26, Skinner
street Show'-IJill, pour cause d'agrandis-
sement.
Toutes les lettres el communications relatives à
la RÉDACTION doivent être adressées (franco) au
Rédacteur en chef, M. Ernest LACAN, faubourg
Saint-Honorê, n° 52. — Pour les réclamations re-
latives au service et pour les ABONNEMENTS, à
MM. Alexis GAUDIN cl frère, propriétaire-gérant,
rue de la Perle, n° 9. —Toute lettre non a/franchie
sera rigoureusement refusée. Les demandes d'abon-
nement doivent être accompagnées d'un bon sur la
poste, à l'ordre du Gérant.
SOiMMAIItlï.
VISITE DE L'EMPEREUR ET DE L'IMPÉRATRICE A L'EX-
POSITION UNIVERSELLE.— APPAREIL STEREOSCO-
PIQUE de M. A. CI.AUDET. —ALBUM de M. SZATHMAHI,
de Bucliarest. — SCIENCES. Noie sur un moyen photo-
graphique de déterminer la hauteur des nuages, par
M. POUILI.ET, membre de l'Inslilul. — BEAUX-ARTS.
DE LA GHAVUIIE (siiilo et (in), par M. Paul NIIIELLE. —
LA LUMIERE, extrait de l'Ami ries sciences (suite et lin).
—EXPOSITION UNIVERSELLE. n::.vux AIUS. Peinture,
par M. Paul NIIIEM.E. — CORRESPONDANCE. Lellre.de
M. de BiiiiBissox. Keetiliealinn. — NOUVELLES DE
L'EXPOSITION UNIVERSELLE.
VISITE DE L'EMPEREUR ET DE L'IMPÉRATRICE
A L'EXPOSITION UNIVERSELLE.
Samedi dernier, à six heures du soir, l'Empereur
et l'Impératrice ont visité les galeries supérieures
de l'Exposition universelle. Parmi les subdivisions
que Leurs Majestés ont parcourues, la photographie
anglaise est une de celles qui oui attiré plus parti-
culièrement leur attention. Les augustes visiteurs
se sonl surtout arrêtés devant l'appareil envoyé de
Londres par notre compatriote, M. Claudel. Ce cu-
rieux appareil se compose d'un piédestal en bois
sculpté dans lequel sonl renfermés six stéréoscopes.
En faisant jouer un boulon d'ivoire, les épreuves
changent , au moyen d'un ingénieux mécanisme
imaginé par le savant photographe. Au-dessus des
oculaires sont gravés les noms des hommes aux-
quels la photographie doil son invention ou ses
perfectionnements : Porta, Dollond, Niépce, l)a-
guerre, Talbol, Whealstone ; l'appareil se termine
par une couronne où sont inscrites les dates des
deux expositions universelles, 1851, 1855, el les
noms de Napoléon III et Victoria.
Par un heureux hasard, nous nous trouvions là
au moment où l'Empereur el l'Impératrice, accom-
pagnés des personnes de leur suite, se sont appro-
chés, et nous avons pu, en l'absence de M. Claudel,
donner à LL. MM. les explications qu'elles nous
ont fail l'honneur de nous demander.
La beauté des épreuves, le bon goùl et l'ingé-
nieuse disposition de l'appareil, magnifiquement
sculpté par Rodgers, ont valu à RI. Claudel, de la
part de LL. MM., des témoignages de satisfaction
qu'il eût été bien heureux d'entendre, et donl nous
regardons comme un devoir de nous faire l'écho.
Le célèbre artiste a fail construire un autre piédes-
tal semblable qui doit figurer dans sa belle galerie
de llegonl-Slrect, el sur lequel sont inscrits les
noms de Brewsler, Davy, Wedgewood, Léonard de
Vinci, Fizcau cl Arago. Nous espérons que le succès
si encourageant qu'il vient d'obtenir l'engagera à
nous envoyer également, comme il en avait l'inten-
tion, ce second appareil aussitôt qu'il sera terminé;
alors, son exposition sera complète, et le public qui
se presse autour de ses portraits n'aura plus à se
plaindre de leur petit nombre.
ERNEST LACAN.
M. de Szathmari, l'habile amateur photographe
de Bucharest, dont nous avons annoncé dernière-
ment l'arrivée, a eu l'honneur d'être reçu mercredi
soir par l'Empereur. LL. MAI. ont voulu voir toutes
les épreuves que renferme son magnifique album;
les portraits des généraux russes cl turcs les ont
surtout vivement intéressés. Témoin oculaire de
bien des scènes qui se rattachent à l'histoire de la
guerre d'Orient, ayant connu la pluparldes hommes
qui se sont distingués dans celle grande lulle, M. de
Szathmari a pu donner des détails curieux el qui
ont fixé l'allenlion de LL. MM.
L'Kmpcreur a félicité l'auteur de cette intéres-
sante collection, don' il a accepté l'hommage.
Nous sommes hetinux d'annoncer ce succès, qui
honore la photographie, et qui montre avec quelle
bienveillance LL. .MM. accueillent el encouragent
les progrès de noire art.
SCIKNCKS.
NOli: Si il l\ MOYEN PUOTOCIUPIIIQIT.
lli: liÉI'KUMINEK I.A u.unix'K DES NUAGES,
Par M. Pocii.i.ET, membre de l'Académie des sciences.
Dans une comniuiiiealion que j'ai faite à l'Académie, il
y a quinze ans (Comptes rendus, t. XI, p. 717, année
1850), ou trouve un-historique des diverses méthodes qui
ont été imaginées pour déterminer la hauteur des nuages.
Toutes ces méthodes, comme celles de liernotilli, de Lam-
bert et de M. Arago, reposent sur le principe des obser-
vations isolées, c'csl-à-dirc des observations faites en un
seul point, par un seul observateur. Après avoir examiné
ce principe en lui-même et dans les résultais qu'il avait
produits jusque-là, j'étais amené à celte conclusion : qu'il
pouvait bien servir à résoudre la question dans quelques
cas particuliers et eu quelque sorte exceptionnels, mais
qu'il lesterait toujours impuissant à résoudre la question
générale de la distribution des nuages dans les diverses
régions de l'atmosphère.
En conséquence, je proposai une nouvelle méthode
reposant sur le principe des observations simultanées,
c'est-à-dire des observations faites simultanément pat-
deux observateurs aux extrémités d'une base de longueur
connue. Quelques expériences, que j'avais pu faire d'après
ce principe, ne laissaient aucun doute dans mon esprit
sur les avantages que l'on en pourrait tirer, pourvu toute-
fois que l'on consentît à faire les dépenses nécessaires pour
l'appliquer dans les conditions les plus convenables.
Depuis cette époque, on a fait de nouvelles tentatives
pour revenir au principe des observations isolées :
M. Wartmann a proposé une méthode qui me paraît très-
peu applicable (Annales de Chimie et de Physique, 3'
série, t. XXIV, p. 208, année 184Sj; notre confrère,
M. Bravais, à la même époque, en a proposé une autre,
qu'il a du moins soumise à quelques épreuves (Annales
de Chimie et de Physique, 5e série, t. XXIV, p. 497, an-
née 18i8), mais celle-ci même nie semble restreinte dans
des limites trop étroites.
Ces nouveaux essais n'ont donc rien changé à mon
ancienne conviction sur la nécessité d'avoir recours au
principe des observations simultanées. Diverses circon-
stances ayant ramené mon attention sur ce sujet, je m'en
suis occupé à plusieurs reprises, cherchant tantôt à mieux
assurer l'action simultanée des deux observateurs, tantôt
à simplilier rétablissement des moyens rapides de trans-
port pour les rendre moins embarrassants et surtout moins
dispendieux. Enfin, pour affranchir le problème des diffi-
cultés de cette espèce, qui me semblaient toujours con-
sidérables, j'en ai cherché la solution dans les découvertes
de la photographie, et je vais expliquer, en peu de mots,
comment les expériences pourraient se faire par ce nou-
veau moyen, et comment deux appareils photographiques
peuvent remplacer, avec d'incontestables avantages, les
deux observateurs très-habiles qu'exigeait nécessairement
le système dont il s'agit.
Les objectifs photographiques peuvent embrasser un
champ d'environ 28 degrés, et eu même temps donner des
images sensiblement planes de l'ensemble des objets dis-
posés sur un plan perpendiculaire à l'axe. Ainsi, en ima-
ginant «pie le centre optique d'un tel objectif soit le som-
met d'un double cône dont la génératrice fasse avec l'axe
un angle de 1 i degrés, il arrive que chaque section per-
pendiculaire que l'on peut concevoir dans ce cône, à une
distance convenable en avant, vient donner son image dans
une section correspondante, placée en arrière ; de plus, les
distances du centre optique à chacune de ces deux sections
se trouvent liées entre elles par la formule générale des
lentilles,
i l _ 1
6 ~ '( m '
f, distance focale principale, des lentilles ;
b, distance de la section où se trouve l'objet;
;», distance de la section où se trouve l'image.
En photographie, les valeurs qu'il est permis de don-
ner à /"dépendent de plusieurs éléments, et surtout de l'in-
tensité de la lumière qui est nécessaire pour produire l'ef-
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