Presse et revues
6 pages
Titre : La Lumière : journal non politique... : beaux-arts, héliographie, sciences
Auteur : Société héliographique (France). Auteur du texte
Éditeur : Société d'héliographie (Paris)
Éditeur : A. GaudinA. Gaudin (Paris)
Éditeur : M.-A. GaudinM.-A. Gaudin (Paris)
Date d'édition : 1855-05-19
Contributeur : Monfort, Benito R. de (18..-18..). Directeur de publication
Contributeur : Gaudin, Alexis (1816-1894). Directeur de publication
Contributeur : Lacan, Ernest (1829-1879). Rédacteur
Contributeur : Gaudin, Marc-Antoine (1804-1880). Rédacteur. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32809606x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3408 Nombre total de vues : 3408
Description : 19 mai 1855 19 mai 1855
Description : 1855/05/19 (A5,N20). 1855/05/19 (A5,N20).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k54272419
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3100
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2008
Toutes les Iellrcs et communications relatives à
la RÉDACTION doivent Cire adressées (franco) au
Rédacteur en chef, M. Ernest LACAN, faubourg
Saint-Honoré, n° 52. — Pour les réclamations re-
latives au service et pour les ABONNEJIKNTS , à
MM. Alexis GAUDIN et frère, propriétaire-gérant,
rue de la Perle, n° 9. —Toute lettre non a/franchie
sera rigoureusement refusée. Les demandes d'abon-
nement doivent être accompagnées d'un bon sur la
poste, à l'ordre du Gérant.
S0MMA1K15.
AVIS.—OUVERTURE DE L'EXPOSITION UNIVERSELLE,
par M. E. L. — PHOTOGRAPHIE SUR COLLODION,
Procédé, de M. OLLIVIED, do Toulon. — POUSSOIR A
BASCULE de M. PLUMIER. — SCIENCES. Nomination de
M. Flnuriiiis. —LA PHOTOGRAPHIE EN TOSCANE. —
EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE D'AMSTERDAM. —
BEAUX-ARTS, DU MOUVEMENT DE L'INDUSTRIE ET DES
AIITS. La peinture, par M. Paul NIIIELLE.— LA PHOTO-
GRAPHIE EN CRIMÉE.—PUBLICATIONS PHOTOGRA-
PHIQUES. Brochure do M. Stéphane GEOFFRAV. Procédé
pour purilier les papiers dos taches métalliques et des
corps gras.
AVIS.
Les ateliers de l'imprimerie ayant élé
fermés jeudi, fête de l'Ascension, nous
avons élé obligés de retarder d'un jour
l'envoi de la Lumière.
OUVERTUHE
DE L'EXPOSITION UNIVERSELLE.
Mardi dernier, 15 mai 185."), a eu lieu l'ouver-
ture de l'Exposition universelle. Les journaux quo-
tidiens ont rendu compte de celle solennité ; ils ont
reproduit le discours d'inauguration prononcé par
le Prince président de la Commission impériale et
la réponse de l'Empereur. Nous n'avons, pour noire
part, qu'A dire quelques mots de ce qui peut inté-
resser les photographes français cl étrangers dont
les oeuvres figurent ou doivent figurer au Palais de
l'Expcsilion.
Depuis prés d'un mois, nous avions vu avec un
vif intérêt les divers emplacements réserves aux
productions photographiques se garnir de cadres,
et nous espérions que lotîtes les places sciaient oc-
cupées pour le jour de l'ouverture ; malheureuse-
ment il n'a pu en être ainsi. Malgré l'activité dé-
ployée par les exposants, et le zèle de plusieurs de
nos artistes parisiens, entre autres MM. Maliens et
Ualdus, que nous avons vus la veille de l'inauguration
s'employer jusqu'au dernier moment au placement
des oeuvres de leurs confrères, quelques places sont
restées vides. Aucune épreuve ne figure encore dans
la partie réservée aux photographes américains.
Nous n'avons pas vu non plus les épreuves alle-
mandes. Un assez grand nombre de spécimens en-
voyés d'Italie sont déjà exposés. Quant à l'exposi-
tion anglaise, à l'exception de deux ou trois envois
retardataires, elle est complète et admirable, grâce
aux bons soins et à l'ardeur infatigable de
M. Thurston Thompson, commissaire délégué
pour le placement des produits industriels et artis-
tiques, que nous avons vu se mettre lui-même à
l'oeuvre pour hàler le travail des ouvriers.
Les épreuves envoyées par les photographes
belges, peu nombreuses à la vérité, ont élé aussi
placées longtemps avant le 15 mai.
Quant aux conditions dans lesquelles se trouvent
ces diverses expositions, les moins favorables sont
échues aux artistes français. Reléguées dans une
des galeries latérales du rez-de-chaussée, ne rece-
vant qu'une lumière insuffisante cl éloignée, leurs
oeuvres sont dans une situation peu en rapport avec
leur mérite incontestable. Pourtant nous avons pu
nous convaincre qu'elles n'en allircnl pas moins,
dès maintenant, l'allcnlion des visiteurs.
C'est avec une vive satisfaction que nous voyons
arriver le jour où nous devons rendre compte
de toutes les richesses photographiques que ren-
ferme le Palais de l'Exposition. Nous remplirons
celle mission avec d'aulanl plus d'assurance cl de
joie, qu'en restant dans les limites d'une impartia-
lité qui peut seule donner à notre travail quelque
aulorilé et quelque fruit, nous trouverons dans la
comparaison des procédés employés cl des résultats
obtenus des sujets d'étude et des enseignements
précieux pour les progrès de noire arl. E. L.
PHOTOGUAPllIE SUR. COLLODION.
Nous devons à l'obligeance d'un dos amateurs de pho-
tographie les plus distingues, M. l'amiral Lugeol, la com-
munication du procédé suivant, employé avec succès par
un autre amateur de talent, M. Ollivicr, premier maître
entretenu de. la marine impériale, à Toulon.
l'I'.l.I'AIUTION nu COTON AZOTIQUE.
Acide sulfuriquc à 0(î\ une partie.
Azotate de pelasse, deux pallies.
Colon cardé, la dixième partie (en poids) de l'acide sul-
furiiiue.
Il n'est pas nécessaire de laisser le coton plus de trente
secondes à une minute. Laver soigneusement, et finir par
de l'eau distillée. -
COt.LODION CHIMIQUE.
Kl lier à 00", contenant un dixième d'alcool à 40°, sa-
lure de. colon poudre préparé comme ci-dessus.
Prenez une partie de ce colloJiou chimique, étendez-le
d'éther jusqu'à consistance convenable, ce qu'on recon-
naît eu en versant uu peu sur une glace. S'il était Irop
clair, on ajouterait du collodion chimique. II faut que la
pellicule de collodion présente quelque résistance.
Faites dissoudre dans l'alcool une partie de bromure et
deux parties d'iodure de potassium. Mêliez 1/Gen volume
de cette solution alcoolique dans voire collodion liquide.
Voyez alors si la pellicule a toujours lu consislance con-
venable. Si elle est Irop épaisse, ajoulez-y de l'alcool à
■40°; dans le cas contraire, mellez-y du collodion chimique.
Le collodion ainsi préparé ne se fendille pas et peut
servir jusqu'à la dernière goutte sans altération.
BAIN D'ARGENT.
Azolale d'argent au 10e.
Immergez la plaque dans ce bain pendant une minute.
BAIN DE PROTOSULFATE DE FEn.
Eau distillée, saturée de sulfate de fer du commerce
purifié (I).
II est avantageux de faire bouillir le sulfate de fer avec
dix gouttes d'acide sulfurique, vingt gouttes d'acide acé-
tique el un peu de limaille de fer, pour l'empêcher de
passer à l'état de dculoxyde. Ou filtre la liqueur, qui doit
rester claire, verdàtre.
Après ce bain, laver la plaque à l'eau ordinaire, et fixer
au cyanure de potassium.
Ce bain de cyanure se compose de : '
Cyanure \ partie ;
Eau KO parlics.
Il faut verser celle solution sur l'épreuve placée hori-
zontalement, et attendre jusqu'à ce que la couche verdàtre
ail disparu.
On lave alors et on sèche.
ÉPREUVES POSITIVES.
Prenez du papier fin (comme pour les négatifs), bâtiez
bien en neige deux blancs d'oeuf dans lesquels vous met-
tez l,u d'eau filtrée, plus le cinquième (du volume
total) d'eau saturée de chlorure de sodium. On filtre en
niellant un petit morceau d'épongé dans l'entonnoir en
verre, et l'on garde dans un flacon bien bouché.
Pour se servir de celle préparation, versez-la dans une
cuvette, et appliquez légèrement dessus votre feuille de
papier ; faites-la bien sécher ensuite, et passez-y un fer
à repasser chaud.
Le bain d'azolate d'argenl est au sixième, et doit con-
tenir un dixième d'alcool. On laisse le papier sur le bain
pendant cinq minutes. Ou soulève de temps en temps
pour éviter les bulles d'air, et l'on fail sécher dans l'ob-
scurité.
On met la partie albuminée sur l'épreuve, dans le
châssis, qui n'a besoin que d'une glace; on garni! bien le
dessus avec des feuilles de papier ; on presse, et l'on ex-
pose au soleil. 11 faut attendre que la couleur jaunâtre des
noirs soit venue, pour enlever l'épreuve.
Comme le bain d'hyposullile décolore l'épreuve, on la
laisse longtemps exposée à la lumière pour avoir de beaux
tons noirs, après le bain.
Le bain d'hyposullile se fait au huitième ; on y laisse
l'épreuve au moins deux ou trois heures ; on lave et on
laisse tremper dans l'eau au moins quatre heures ; après
ou sèche et ou lave de nouveau.
(I) Pour le purifier, il suOil de le faire fondre, de le lil-
trer, puis de faire évaporer l'eaujusiiu'a consistance pcllicu-
laire du sel, et de laisser cristalliser ce dernier.
la RÉDACTION doivent Cire adressées (franco) au
Rédacteur en chef, M. Ernest LACAN, faubourg
Saint-Honoré, n° 52. — Pour les réclamations re-
latives au service et pour les ABONNEJIKNTS , à
MM. Alexis GAUDIN et frère, propriétaire-gérant,
rue de la Perle, n° 9. —Toute lettre non a/franchie
sera rigoureusement refusée. Les demandes d'abon-
nement doivent être accompagnées d'un bon sur la
poste, à l'ordre du Gérant.
S0MMA1K15.
AVIS.—OUVERTURE DE L'EXPOSITION UNIVERSELLE,
par M. E. L. — PHOTOGRAPHIE SUR COLLODION,
Procédé, de M. OLLIVIED, do Toulon. — POUSSOIR A
BASCULE de M. PLUMIER. — SCIENCES. Nomination de
M. Flnuriiiis. —LA PHOTOGRAPHIE EN TOSCANE. —
EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE D'AMSTERDAM. —
BEAUX-ARTS, DU MOUVEMENT DE L'INDUSTRIE ET DES
AIITS. La peinture, par M. Paul NIIIELLE.— LA PHOTO-
GRAPHIE EN CRIMÉE.—PUBLICATIONS PHOTOGRA-
PHIQUES. Brochure do M. Stéphane GEOFFRAV. Procédé
pour purilier les papiers dos taches métalliques et des
corps gras.
AVIS.
Les ateliers de l'imprimerie ayant élé
fermés jeudi, fête de l'Ascension, nous
avons élé obligés de retarder d'un jour
l'envoi de la Lumière.
OUVERTUHE
DE L'EXPOSITION UNIVERSELLE.
Mardi dernier, 15 mai 185."), a eu lieu l'ouver-
ture de l'Exposition universelle. Les journaux quo-
tidiens ont rendu compte de celle solennité ; ils ont
reproduit le discours d'inauguration prononcé par
le Prince président de la Commission impériale et
la réponse de l'Empereur. Nous n'avons, pour noire
part, qu'A dire quelques mots de ce qui peut inté-
resser les photographes français cl étrangers dont
les oeuvres figurent ou doivent figurer au Palais de
l'Expcsilion.
Depuis prés d'un mois, nous avions vu avec un
vif intérêt les divers emplacements réserves aux
productions photographiques se garnir de cadres,
et nous espérions que lotîtes les places sciaient oc-
cupées pour le jour de l'ouverture ; malheureuse-
ment il n'a pu en être ainsi. Malgré l'activité dé-
ployée par les exposants, et le zèle de plusieurs de
nos artistes parisiens, entre autres MM. Maliens et
Ualdus, que nous avons vus la veille de l'inauguration
s'employer jusqu'au dernier moment au placement
des oeuvres de leurs confrères, quelques places sont
restées vides. Aucune épreuve ne figure encore dans
la partie réservée aux photographes américains.
Nous n'avons pas vu non plus les épreuves alle-
mandes. Un assez grand nombre de spécimens en-
voyés d'Italie sont déjà exposés. Quant à l'exposi-
tion anglaise, à l'exception de deux ou trois envois
retardataires, elle est complète et admirable, grâce
aux bons soins et à l'ardeur infatigable de
M. Thurston Thompson, commissaire délégué
pour le placement des produits industriels et artis-
tiques, que nous avons vu se mettre lui-même à
l'oeuvre pour hàler le travail des ouvriers.
Les épreuves envoyées par les photographes
belges, peu nombreuses à la vérité, ont élé aussi
placées longtemps avant le 15 mai.
Quant aux conditions dans lesquelles se trouvent
ces diverses expositions, les moins favorables sont
échues aux artistes français. Reléguées dans une
des galeries latérales du rez-de-chaussée, ne rece-
vant qu'une lumière insuffisante cl éloignée, leurs
oeuvres sont dans une situation peu en rapport avec
leur mérite incontestable. Pourtant nous avons pu
nous convaincre qu'elles n'en allircnl pas moins,
dès maintenant, l'allcnlion des visiteurs.
C'est avec une vive satisfaction que nous voyons
arriver le jour où nous devons rendre compte
de toutes les richesses photographiques que ren-
ferme le Palais de l'Exposition. Nous remplirons
celle mission avec d'aulanl plus d'assurance cl de
joie, qu'en restant dans les limites d'une impartia-
lité qui peut seule donner à notre travail quelque
aulorilé et quelque fruit, nous trouverons dans la
comparaison des procédés employés cl des résultats
obtenus des sujets d'étude et des enseignements
précieux pour les progrès de noire arl. E. L.
PHOTOGUAPllIE SUR. COLLODION.
Nous devons à l'obligeance d'un dos amateurs de pho-
tographie les plus distingues, M. l'amiral Lugeol, la com-
munication du procédé suivant, employé avec succès par
un autre amateur de talent, M. Ollivicr, premier maître
entretenu de. la marine impériale, à Toulon.
l'I'.l.I'AIUTION nu COTON AZOTIQUE.
Acide sulfuriquc à 0(î\ une partie.
Azotate de pelasse, deux pallies.
Colon cardé, la dixième partie (en poids) de l'acide sul-
furiiiue.
Il n'est pas nécessaire de laisser le coton plus de trente
secondes à une minute. Laver soigneusement, et finir par
de l'eau distillée. -
COt.LODION CHIMIQUE.
Kl lier à 00", contenant un dixième d'alcool à 40°, sa-
lure de. colon poudre préparé comme ci-dessus.
Prenez une partie de ce colloJiou chimique, étendez-le
d'éther jusqu'à consistance convenable, ce qu'on recon-
naît eu en versant uu peu sur une glace. S'il était Irop
clair, on ajouterait du collodion chimique. II faut que la
pellicule de collodion présente quelque résistance.
Faites dissoudre dans l'alcool une partie de bromure et
deux parties d'iodure de potassium. Mêliez 1/Gen volume
de cette solution alcoolique dans voire collodion liquide.
Voyez alors si la pellicule a toujours lu consislance con-
venable. Si elle est Irop épaisse, ajoulez-y de l'alcool à
■40°; dans le cas contraire, mellez-y du collodion chimique.
Le collodion ainsi préparé ne se fendille pas et peut
servir jusqu'à la dernière goutte sans altération.
BAIN D'ARGENT.
Azolale d'argent au 10e.
Immergez la plaque dans ce bain pendant une minute.
BAIN DE PROTOSULFATE DE FEn.
Eau distillée, saturée de sulfate de fer du commerce
purifié (I).
II est avantageux de faire bouillir le sulfate de fer avec
dix gouttes d'acide sulfurique, vingt gouttes d'acide acé-
tique el un peu de limaille de fer, pour l'empêcher de
passer à l'état de dculoxyde. Ou filtre la liqueur, qui doit
rester claire, verdàtre.
Après ce bain, laver la plaque à l'eau ordinaire, et fixer
au cyanure de potassium.
Ce bain de cyanure se compose de : '
Cyanure \ partie ;
Eau KO parlics.
Il faut verser celle solution sur l'épreuve placée hori-
zontalement, et attendre jusqu'à ce que la couche verdàtre
ail disparu.
On lave alors et on sèche.
ÉPREUVES POSITIVES.
Prenez du papier fin (comme pour les négatifs), bâtiez
bien en neige deux blancs d'oeuf dans lesquels vous met-
tez l,u d'eau filtrée, plus le cinquième (du volume
total) d'eau saturée de chlorure de sodium. On filtre en
niellant un petit morceau d'épongé dans l'entonnoir en
verre, et l'on garde dans un flacon bien bouché.
Pour se servir de celle préparation, versez-la dans une
cuvette, et appliquez légèrement dessus votre feuille de
papier ; faites-la bien sécher ensuite, et passez-y un fer
à repasser chaud.
Le bain d'azolate d'argenl est au sixième, et doit con-
tenir un dixième d'alcool. On laisse le papier sur le bain
pendant cinq minutes. Ou soulève de temps en temps
pour éviter les bulles d'air, et l'on fail sécher dans l'ob-
scurité.
On met la partie albuminée sur l'épreuve, dans le
châssis, qui n'a besoin que d'une glace; on garni! bien le
dessus avec des feuilles de papier ; on presse, et l'on ex-
pose au soleil. 11 faut attendre que la couleur jaunâtre des
noirs soit venue, pour enlever l'épreuve.
Comme le bain d'hyposullile décolore l'épreuve, on la
laisse longtemps exposée à la lumière pour avoir de beaux
tons noirs, après le bain.
Le bain d'hyposullile se fait au huitième ; on y laisse
l'épreuve au moins deux ou trois heures ; on lave et on
laisse tremper dans l'eau au moins quatre heures ; après
ou sèche et ou lave de nouveau.
(I) Pour le purifier, il suOil de le faire fondre, de le lil-
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