Titre : La Lumière : journal non politique... : beaux-arts, héliographie, sciences
Auteur : Société héliographique (France). Auteur du texte
Éditeur : Société d'héliographie (Paris)
Éditeur : A. GaudinA. Gaudin (Paris)
Éditeur : M.-A. GaudinM.-A. Gaudin (Paris)
Date d'édition : 1866-11-15
Contributeur : Monfort, Benito R. de (18..-18..). Directeur de publication
Contributeur : Gaudin, Alexis (1816-1894). Directeur de publication
Contributeur : Lacan, Ernest (1829-1879). Rédacteur
Contributeur : Gaudin, Marc-Antoine (1804-1880). Rédacteur. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32809606x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3408 Nombre total de vues : 3408
Description : 15 novembre 1866 15 novembre 1866
Description : 1866/11/15 (A16,N21). 1866/11/15 (A16,N21).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k54086060
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3100
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 05/08/2008
AVIS.
a» engageons les personnes dont l'alionnc-
expire prochainement, à le renouveler
es ne veulent pas éprouver d'interruption
l'envoi du journal.
SOMMAIRE.
tin photographique : Reproduction de3 étoiles filantes
la photographie, par M. M°-A. Gatidin.
io de la photographie, par M. Carey Léa.
totographie au point de vue chimique, par M. Spiller
ilc et fin).
vcs obtenues directement sur papier.
graphie sur verre.
lin scientifique : Sur l'éruption du Vésuve en 1031,
• M. H. Le Hou.
BULLETIN PHOTOGRAPHIQUE.
cprodncllon «les «Stalles filante*
pur la. photographie,
! n'est pas de jour qui ne donne naissance
oe nouvelle application de la photographie.
art a été bien plus utile aux sciences qu'on
irait pu l'espérer de prime abord. L'astro-
ie elle-même y puise des enseignements.
a reproduit d'une façon utile les images
soleil et de la lune, et l'on prétend même
ir fixé celles des étoiles. A l'égard de ces
nières, l'obstacle ne viendrait pas de la dif-
Jté de les faire marquer sur la glace, car
s sont autant de soleils, et la théorie dé-
atre que l'éloignement ne diminue en rien
rapidité d'impressionnement d'un corps
'iré ou éclairant quelconque; il n'y a que
diamètre qui soit diminué proportionnel le-
st à l'éloignernent. Mais comme dans ce cas
%nement est extrême, le disque des étoiles
réduit certainement à moins d'un millième
millimètre ; il devient idéal et ne doit plus
'voir être aperçu.
i reste la ressource de placer les images
s foyer, ce qui augmente leur diamètre au
tuple; et c'est peut-être le moyen qui a été
l'loyé, car j'ai entendu des astronomes dé-
fer qu'ils avaient reproduit les étoiles de
•foière grandeur.
*' donc on reproduit les étoiles de première
"'Kleur, il deviendra facile de fixer la trajec-
r'' des étoiles filantes, car l'intensité de leur
5lfiination est suffisante pour marquer, et
"'' épaisseur est au moins cent fois plus
considérable que le diamètre des étoiles de pre-
mière grandeur.
Je suis amené à l'idée de copier les trajec-
toires des étoiles filantes par la vive sensation
que j'ai éprouvée cette nuit en présence du
splendide phénomène céleste dont j'ai été
témoin.
J'avais entendu dire que les astronomes
avaient prédit la réapparition si marquée
autrefois de l'anneau d'astéroïdes du 13 no-
vembre, sans avoir eu connaissance de la
théorie qui fortifiait ce raisonnement. Hier,
13 novembre, à neuf heures du soir, le ciel
s'était découvert et était très-pur; je le re-
gardai pendant quelques minutes, sans songer
le moins du monde aux étoiles filantes, et n'en
vis aucune. Par une circonstance tout à fait
fortuite, je fus obligé de me lever aujourd'hui
14 à une heure du matin, et à cette heure le
ciel, s'étant de nouveau éclairci, je le regardai
en me rappelant cette fois la prédiction des
astronomes , et reconnus avec satisfaction
qu'elle était parfaitement réalisée, car le ciel
était sillonné, à toute fraction de seconde, par
d'immenses trajectoires ressemblant aux fusées
des feux d'artifices, et toutes dirigées dans le
même sens, c'esl-à-dire allant du nord-est au
sud-ouest ; on en voyait souvent trois ou quatre
à la fois traçant des sillons parallèles : ces sil-
lons étaient irisés et se prolongeaient sur une
étendue de 90 degrés et plus, laissant quelque-
fois subsister leur trace pendant une fraction
de minute sous forme d'un petit pointillé rouge
de feu. Malheureusement le temps s'est cou-
vert presque aussitôt; et comme ce phénomène
se passe à une distance de la surface de la
terre qui dépasse souvent 100 kilomètres, il
est tout simple que le phénomène ait disparu
momentanément. Mais dès que la couche de
nuages diminuait d'épaisseur, on apercevait
comme des éclairs à travers leur masse, ce
qui prouvait qu'il conservait toute son inten-
sité, et dans les régions du ciel encore moins
couvertes, on apercevait fréquemment des
traînées d'étoiles qui se manifestaient d'une
façon confuse.
Je me suis remis à observer de nouveau à
quatre heures, et pendant une éclaircie qui
dura, avec quelques intermittences, une demi-
heure, j'aperçus seulement une quinzaine d'é-
toiles filantes, toujours de grande taille, et
qui, à ce moment, allaient de l'est à l'ouest,
mais toujours parallèlement entre elles, déviant
de la verticale vers la gauche, pour moi qui
regardais une région du ciel comprise entre
l'ouest et le nord-ouest.
Ainsi donc, l'apparition des étoiles filantes
du 13 novembre a dû se manifester avec toute
sa splendeur dans le monde entier, et surtout
dans les contrées où la nuit a eu lieu entre le
13 novembre, dix heures du soir, et le 14 no-
vembre, quatre heures du matin temps de Paris ;
car, à ce moment, le phénomène tirait à
sa fin, quoique bien caractérisé encore; et si
quelque photographe, favorisé d'un temps clair,
s'Stait avisé de braquer sur le ciel son appa-
reil pendant un quart d'heure seulement, de
une heure à deux heures du matin, il aurait
certainement recueilli des trajectoires par cen-
taines; autrement il faudra remettre la partie
à l'année prochaine.
Mc-A. Gauuin.
THÉORIE DE LA PHOTOGRAPHIE,
Par M. CAREY I.KA.
Depuis longtemps j'ai dirige tous mus efforts vers
la recherche d'une base stable et définie, sur la-
quelle il fût possible de faire reposer la théorie
de la photographie, cl la plus grande partie de mes
expériences a été mise sous les yeux du public. Il ne
me reste plus que peu de faits à décrire, cl mon
but principal est de montrer aujourd'hui que tous
ces résultais peuvent se grouper en un ensemble
harmonieux. Las vues théoriques que je me propose
de développer sur la photographie paraîtront sans
doute d'autant plus acceptables, qu'elles rétablissent
l'accord entre les idées émises par les photographes
les plus connus aujourd'hui, cl montrent que c'est
en apparence seulement, et non pas en réalité, que
ces idéas sont incompatibles les unes avec les antres.
Il suffit, de généraliser un peu. en effet, pour recon-
naître que les différences d'opinions ne proviennent
que des conditions particulières dans lesquelles las
opérateurs se sont placée, et pour voir qu'au-dessus
de ces différences existent des principes généraux
qu'il est facile d'unifier, sans laisser de côté (à une
ou deux exceptions près) les opinions soutenues jus-
qu'ici.
La théorie que je propose peul se résumer dans
les propositions suivantes :
1° L'iodure d'argent pur est toujours sensible à
l'action de la lumière.
2" Lorsqu'il est, isolé, il n'est jamais décomposé
par la lumière, il subi! seulement un changement
physique ou moléculaire.
3° Mais lorsqu'il est exposé à la lumière en pré-
sence du nitrate d'argent libre, il subit avec le
temps une réduction distincte et abondante.
i° Cette réduction l'amène à l'étal de sous-iodure,
et. non, comme l'ont supposé quelques personnes, à
l'état d'argent métallique.
De ces propositions résultent les importants corol-
laires qui suivent :
a» engageons les personnes dont l'alionnc-
expire prochainement, à le renouveler
es ne veulent pas éprouver d'interruption
l'envoi du journal.
SOMMAIRE.
tin photographique : Reproduction de3 étoiles filantes
la photographie, par M. M°-A. Gatidin.
io de la photographie, par M. Carey Léa.
totographie au point de vue chimique, par M. Spiller
ilc et fin).
vcs obtenues directement sur papier.
graphie sur verre.
lin scientifique : Sur l'éruption du Vésuve en 1031,
• M. H. Le Hou.
BULLETIN PHOTOGRAPHIQUE.
cprodncllon «les «Stalles filante*
pur la. photographie,
! n'est pas de jour qui ne donne naissance
oe nouvelle application de la photographie.
art a été bien plus utile aux sciences qu'on
irait pu l'espérer de prime abord. L'astro-
ie elle-même y puise des enseignements.
a reproduit d'une façon utile les images
soleil et de la lune, et l'on prétend même
ir fixé celles des étoiles. A l'égard de ces
nières, l'obstacle ne viendrait pas de la dif-
Jté de les faire marquer sur la glace, car
s sont autant de soleils, et la théorie dé-
atre que l'éloignement ne diminue en rien
rapidité d'impressionnement d'un corps
'iré ou éclairant quelconque; il n'y a que
diamètre qui soit diminué proportionnel le-
st à l'éloignernent. Mais comme dans ce cas
%nement est extrême, le disque des étoiles
réduit certainement à moins d'un millième
millimètre ; il devient idéal et ne doit plus
'voir être aperçu.
i reste la ressource de placer les images
s foyer, ce qui augmente leur diamètre au
tuple; et c'est peut-être le moyen qui a été
l'loyé, car j'ai entendu des astronomes dé-
fer qu'ils avaient reproduit les étoiles de
•foière grandeur.
*' donc on reproduit les étoiles de première
"'Kleur, il deviendra facile de fixer la trajec-
r'' des étoiles filantes, car l'intensité de leur
5lfiination est suffisante pour marquer, et
"'' épaisseur est au moins cent fois plus
considérable que le diamètre des étoiles de pre-
mière grandeur.
Je suis amené à l'idée de copier les trajec-
toires des étoiles filantes par la vive sensation
que j'ai éprouvée cette nuit en présence du
splendide phénomène céleste dont j'ai été
témoin.
J'avais entendu dire que les astronomes
avaient prédit la réapparition si marquée
autrefois de l'anneau d'astéroïdes du 13 no-
vembre, sans avoir eu connaissance de la
théorie qui fortifiait ce raisonnement. Hier,
13 novembre, à neuf heures du soir, le ciel
s'était découvert et était très-pur; je le re-
gardai pendant quelques minutes, sans songer
le moins du monde aux étoiles filantes, et n'en
vis aucune. Par une circonstance tout à fait
fortuite, je fus obligé de me lever aujourd'hui
14 à une heure du matin, et à cette heure le
ciel, s'étant de nouveau éclairci, je le regardai
en me rappelant cette fois la prédiction des
astronomes , et reconnus avec satisfaction
qu'elle était parfaitement réalisée, car le ciel
était sillonné, à toute fraction de seconde, par
d'immenses trajectoires ressemblant aux fusées
des feux d'artifices, et toutes dirigées dans le
même sens, c'esl-à-dire allant du nord-est au
sud-ouest ; on en voyait souvent trois ou quatre
à la fois traçant des sillons parallèles : ces sil-
lons étaient irisés et se prolongeaient sur une
étendue de 90 degrés et plus, laissant quelque-
fois subsister leur trace pendant une fraction
de minute sous forme d'un petit pointillé rouge
de feu. Malheureusement le temps s'est cou-
vert presque aussitôt; et comme ce phénomène
se passe à une distance de la surface de la
terre qui dépasse souvent 100 kilomètres, il
est tout simple que le phénomène ait disparu
momentanément. Mais dès que la couche de
nuages diminuait d'épaisseur, on apercevait
comme des éclairs à travers leur masse, ce
qui prouvait qu'il conservait toute son inten-
sité, et dans les régions du ciel encore moins
couvertes, on apercevait fréquemment des
traînées d'étoiles qui se manifestaient d'une
façon confuse.
Je me suis remis à observer de nouveau à
quatre heures, et pendant une éclaircie qui
dura, avec quelques intermittences, une demi-
heure, j'aperçus seulement une quinzaine d'é-
toiles filantes, toujours de grande taille, et
qui, à ce moment, allaient de l'est à l'ouest,
mais toujours parallèlement entre elles, déviant
de la verticale vers la gauche, pour moi qui
regardais une région du ciel comprise entre
l'ouest et le nord-ouest.
Ainsi donc, l'apparition des étoiles filantes
du 13 novembre a dû se manifester avec toute
sa splendeur dans le monde entier, et surtout
dans les contrées où la nuit a eu lieu entre le
13 novembre, dix heures du soir, et le 14 no-
vembre, quatre heures du matin temps de Paris ;
car, à ce moment, le phénomène tirait à
sa fin, quoique bien caractérisé encore; et si
quelque photographe, favorisé d'un temps clair,
s'Stait avisé de braquer sur le ciel son appa-
reil pendant un quart d'heure seulement, de
une heure à deux heures du matin, il aurait
certainement recueilli des trajectoires par cen-
taines; autrement il faudra remettre la partie
à l'année prochaine.
Mc-A. Gauuin.
THÉORIE DE LA PHOTOGRAPHIE,
Par M. CAREY I.KA.
Depuis longtemps j'ai dirige tous mus efforts vers
la recherche d'une base stable et définie, sur la-
quelle il fût possible de faire reposer la théorie
de la photographie, cl la plus grande partie de mes
expériences a été mise sous les yeux du public. Il ne
me reste plus que peu de faits à décrire, cl mon
but principal est de montrer aujourd'hui que tous
ces résultais peuvent se grouper en un ensemble
harmonieux. Las vues théoriques que je me propose
de développer sur la photographie paraîtront sans
doute d'autant plus acceptables, qu'elles rétablissent
l'accord entre les idées émises par les photographes
les plus connus aujourd'hui, cl montrent que c'est
en apparence seulement, et non pas en réalité, que
ces idéas sont incompatibles les unes avec les antres.
Il suffit, de généraliser un peu. en effet, pour recon-
naître que les différences d'opinions ne proviennent
que des conditions particulières dans lesquelles las
opérateurs se sont placée, et pour voir qu'au-dessus
de ces différences existent des principes généraux
qu'il est facile d'unifier, sans laisser de côté (à une
ou deux exceptions près) les opinions soutenues jus-
qu'ici.
La théorie que je propose peul se résumer dans
les propositions suivantes :
1° L'iodure d'argent pur est toujours sensible à
l'action de la lumière.
2" Lorsqu'il est, isolé, il n'est jamais décomposé
par la lumière, il subi! seulement un changement
physique ou moléculaire.
3° Mais lorsqu'il est exposé à la lumière en pré-
sence du nitrate d'argent libre, il subit avec le
temps une réduction distincte et abondante.
i° Cette réduction l'amène à l'étal de sous-iodure,
et. non, comme l'ont supposé quelques personnes, à
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