Titre : La Lumière : journal non politique... : beaux-arts, héliographie, sciences
Auteur : Société héliographique (France). Auteur du texte
Éditeur : Société d'héliographie (Paris)
Éditeur : A. GaudinA. Gaudin (Paris)
Éditeur : M.-A. GaudinM.-A. Gaudin (Paris)
Date d'édition : 1866-10-30
Contributeur : Monfort, Benito R. de (18..-18..). Directeur de publication
Contributeur : Gaudin, Alexis (1816-1894). Directeur de publication
Contributeur : Lacan, Ernest (1829-1879). Rédacteur
Contributeur : Gaudin, Marc-Antoine (1804-1880). Rédacteur. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32809606x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3408 Nombre total de vues : 3408
Description : 30 octobre 1866 30 octobre 1866
Description : 1866/10/30 (A16,N20). 1866/10/30 (A16,N20).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5408605k
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3100
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 05/08/2008
Année.- Ji° 20
Bureaux d'abonnement : rue de la Perle, 9, à Paris.
30 Octobre 1806.
ONNEMENTS
paris.
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portements.
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I.IHL GAUDW,
IlÉDACTEUIY EN CHEF
Pour ce qui concerne «
fiédactioo. ('"rire fraDCo,6, rue
Oudinot, à M. M'-A - GAUDÏN.
Pour les Abonnements ou es
réclamations relatives au ser-
vice, s'adresser à M. G AU D15,
rue de La Perle, 9, à Paris.
AVIS.
s engageons les personnes dont l'abonne-
expire prochainement, à le renouveler
g ne Te aient pas éprouver d'Interruption
l'envol du journal.
SOMMAIRE.
n photographique : Sur le papier leptographique, par
e-A. Gauàin.
rtographie au point, de vue chimique, par M. Spillér.
ur le développement au fer, par M. Remelé.
que scientifique et industrielle : Quelques secrets de
ustrie chinoise.
n scientifique : Sur l'éruption du Vésuve en 1031,
N. H. Le Hou.
BULLETIN PHOTOGRAPHIQUE.
Sur le papier leptogr«pM
cun se rappelle la description pompeuse
ropriétés avantageuses assignées au nou-
papier sensible dit leptographique, qui a
en plein Moniteur il y a cinq ou six mois,
annonce était de nature à faire désirer
hotographes la réalisation prochaine des
esses qu'elle renfermait; leur attente n'a
té trop longue.
tablissement à Paris d'une fabrique de
r tout sensibilisé est en soi un événement
ux pour la pratique de la photographie ;
jr même où j'ai eu connaissance de ce fait
suis donc rendu au siège de la Société
voir les échantillons du nouveau produit
tout pour les mettre à l'épreuve, afin de
e compte avec impartialité à nos lecteurs
"ultat des essais.
papier tout sensibilisé offre à première
outes les conditions d'une excellente qua-
rt les épreuves spécimen que délivre l'ad-
tration ne laissent rien à désirer pour la
ié.
l'on s'en rapportait au dire de l'agent prin-
de la nouvelle Société, ce papier réunirait
i seul tous les avantages que l'on pût
'f : il ferait mieux, plus vite, à meilleur
'l'ê, et se conserverait indéfiniment ; mais
"t beaucoup rabattre de ces prétentions,
u'il a passé au châssis et que l'on a eu
'ssauce du prix de vente.
5 papiers sont de deux qualités, le papier
el le papier glacé. La substance adhésive
' remplace l'albumine parait être du col-
lodion uni à une matière organique; car il
tire rouge, comme toutes les matières organi-
ques; ce serait donc une variété de l'emploi
du collodio-chlorure de M. Wharton Simpson,
qui a été une conséquence du photogène que
j'ai proposé le premier pour les négatifs sur
glace et sur papier.
C'est cette différence de nature qui confère à
ce papier sa qualité la plus précieuse, celle de
la conservation pour ainsi dire indéfinie, qui
est fort réelle, car au bout de quinze jours le
papier gardé sans aucun soin est aussi blanc
que le premier jour.
Ainsi donc, le papier leptographique, con-
trairement h tous ses devanciers, se conserve
très-bien et donne des épreuves de toute beauté ;
mais en dehors de cela, il n'offre aucun des
avantages annoncés. Il a pris le nom de lep-
tographique pour exprimer qu'il est d'un tirage
plus rapide que le papier albuminé sensibilisé
comme à l'ordinaire ; cependant ceci est com-
plètement démenti par le fait; sa"sensibilité
est exactement la même, par conséquent il porte
un nom usurpé.
Quant au prix soi - disant avantageux, au-
quel il se vend, chacun pourra en juger. La
plus belle qualité glacée, correspondant au pa-
pier albuminé ordinaire, se vend 3T francs en-
viron la main, tandis que la préparation du
papier albuminé ne coûte, tout sensibilisé, aux
grandes maison? que 15 francs la main. Le
nouveau papier est donc deux fois et demie
plus cher, ce qui ne me permet pas de com-
prendre comment s'y prennent les agents de
la nouvelle Société pour montrer qu'il est plus
économique.
En résumé donc, le papier tout sensibilisé dit
papier leptographique, en raison de son prix
élevé actuel, ne sera accessible qu'aux amateurs
opérant sur petit format ; et encore ne pour-
ront-ils l'acheter qu'en détail, ce qui les forcera
de le payer à un intermédiaire jusqu'à 50 francs
la main. Je crois donc que cette nouvelle fa-
brication ne pourra avoir de succès qu'à la
faveur d'un abaissement très-marqué dans ses
prix de vente.
LA PHOTOGRAPHIE AD POINT DE VDE CHIMIQUE,
Par M. SPILLKR.
Mémoire lu devant la Société de Londres.
Mon intention est de présenter ce soir aux membres
de la Société quelques considérations d'un caractère
purement scientifique, considérations qui me sem-
blent ouvrir un champ nouveau aux recherches ex-
périmentales, et qui, introduites dans le domaine de
la photographie, doivent fournir à cet art des res-
sources nouvelles. Ces considérations, sans aller plus
loin, se rapportent aux points suivants :
1° Sous quelle forme les métaux précieux, l'or et
l'argent, peuvent-ils être avantageusement employés?
2° Les agents réducteurs doivent-ils être employés
séparément ou en combinaison pour le développe-
ment de l'image latente?
3° L'action fixatrice de l'hyposulfite ou d'autres
corps peut-elle être augmentée par l'addition d'autres
substances?
Après avoir développé quelques conclusions prati-
ques sur certains points, je désire également présen-
ter quelques remarques sur d'autres questions qui ne
viennent pas se ranger dans ces trois catégories,
telles que le degré de permanence sur lequel on peut
compter en employant l'albumine, le collodion, le
caoutchouc et d'autres subjectiles photographiques.
Plusieurs points de grand intérêt devront néanmoins
être traités en termes concis, car le peu de temps
dont j'ai pu disposer dans la dernière quinzaine ne
m'a pas permis de confirmer par des expériences ré-
pétées quelques-unes de mes expériences photochimi-
ques.
Quant îi l'application de l'or pour les virages, nous
sommes aujourd'hui dans l'habitude d'employer ce mé-
tal sous la forme d'acide aurique associé avec un car-
bonate ou un acétate alcalin. Le chlorure d'or neutre
est une impossibilité chimique, et les cristaux que
l'on obtient d'ordinaire renferment toujours un équi-
valent, d'acide chlorhydrique en combinaison avec le
trichlorure d'or. On peut, on le sait, remplacer dans
cette combinaison l'hydrogène par le potassium ou le
sodium et former ainsi de véritables sels doubles;
mais leur emploi ne paraît présenter aucun avan-
tage, car les produits formés en dernier lieu dans
un bain alcalin sont identiques à ces composés.
Le sel d'or de MM. Fordos et Gélis est sans emploi
depuis que le fixage et le virage constituent deux
opérations séparées.
De tous les composés d'argent, le nitrate est le seul
dont l'usage soit universellement adopté; mais les
avantages que comporte son emploi dans le procédé
au collodion semblent mis en question depuis que
M. le docteur Miller a publié ses Recherches sur la
transparence ou pouvoir diaciinique de différents milieux.
Dans un tableau qui, dans les Philosophical Transac-
tions, 4863, accompagne le travail de l'auteur, on
voit les nitrates placés au plus bas degré de l'échelle,
tandis que les fluorures en occupent le sommet par
suite de leur grande transparence pour les rayons
chimiques, transparence qui quelquefois même est
absolue. I.e spath fluor, le cristal de roche, la glace,
sont placés en tête des séries; ces corps sont parfaite-
ment diactiniques, tandis que le salpêtre ordinaire
absorbe une grande quantité de rayons actifs.
Le nitrate et le chlorate de potasse sont, à ce point
de vue, extrêmement différents, car las chlorates
forment une classe de corps très-transparents. Le
docteur Miller s'exprime ainsi à ce sujet :
« Parmi les différents corps soumis à l'examen,
les fluorures se sont montrés les plus transparents au
Bureaux d'abonnement : rue de la Perle, 9, à Paris.
30 Octobre 1806.
ONNEMENTS
paris.
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;; 6 » se
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I.IHL GAUDW,
IlÉDACTEUIY EN CHEF
Pour ce qui concerne «
fiédactioo. ('"rire fraDCo,6, rue
Oudinot, à M. M'-A - GAUDÏN.
Pour les Abonnements ou es
réclamations relatives au ser-
vice, s'adresser à M. G AU D15,
rue de La Perle, 9, à Paris.
AVIS.
s engageons les personnes dont l'abonne-
expire prochainement, à le renouveler
g ne Te aient pas éprouver d'Interruption
l'envol du journal.
SOMMAIRE.
n photographique : Sur le papier leptographique, par
e-A. Gauàin.
rtographie au point, de vue chimique, par M. Spillér.
ur le développement au fer, par M. Remelé.
que scientifique et industrielle : Quelques secrets de
ustrie chinoise.
n scientifique : Sur l'éruption du Vésuve en 1031,
N. H. Le Hou.
BULLETIN PHOTOGRAPHIQUE.
Sur le papier leptogr«pM
cun se rappelle la description pompeuse
ropriétés avantageuses assignées au nou-
papier sensible dit leptographique, qui a
en plein Moniteur il y a cinq ou six mois,
annonce était de nature à faire désirer
hotographes la réalisation prochaine des
esses qu'elle renfermait; leur attente n'a
té trop longue.
tablissement à Paris d'une fabrique de
r tout sensibilisé est en soi un événement
ux pour la pratique de la photographie ;
jr même où j'ai eu connaissance de ce fait
suis donc rendu au siège de la Société
voir les échantillons du nouveau produit
tout pour les mettre à l'épreuve, afin de
e compte avec impartialité à nos lecteurs
"ultat des essais.
papier tout sensibilisé offre à première
outes les conditions d'une excellente qua-
rt les épreuves spécimen que délivre l'ad-
tration ne laissent rien à désirer pour la
ié.
l'on s'en rapportait au dire de l'agent prin-
de la nouvelle Société, ce papier réunirait
i seul tous les avantages que l'on pût
'f : il ferait mieux, plus vite, à meilleur
'l'ê, et se conserverait indéfiniment ; mais
"t beaucoup rabattre de ces prétentions,
u'il a passé au châssis et que l'on a eu
'ssauce du prix de vente.
5 papiers sont de deux qualités, le papier
el le papier glacé. La substance adhésive
' remplace l'albumine parait être du col-
lodion uni à une matière organique; car il
tire rouge, comme toutes les matières organi-
ques; ce serait donc une variété de l'emploi
du collodio-chlorure de M. Wharton Simpson,
qui a été une conséquence du photogène que
j'ai proposé le premier pour les négatifs sur
glace et sur papier.
C'est cette différence de nature qui confère à
ce papier sa qualité la plus précieuse, celle de
la conservation pour ainsi dire indéfinie, qui
est fort réelle, car au bout de quinze jours le
papier gardé sans aucun soin est aussi blanc
que le premier jour.
Ainsi donc, le papier leptographique, con-
trairement h tous ses devanciers, se conserve
très-bien et donne des épreuves de toute beauté ;
mais en dehors de cela, il n'offre aucun des
avantages annoncés. Il a pris le nom de lep-
tographique pour exprimer qu'il est d'un tirage
plus rapide que le papier albuminé sensibilisé
comme à l'ordinaire ; cependant ceci est com-
plètement démenti par le fait; sa"sensibilité
est exactement la même, par conséquent il porte
un nom usurpé.
Quant au prix soi - disant avantageux, au-
quel il se vend, chacun pourra en juger. La
plus belle qualité glacée, correspondant au pa-
pier albuminé ordinaire, se vend 3T francs en-
viron la main, tandis que la préparation du
papier albuminé ne coûte, tout sensibilisé, aux
grandes maison? que 15 francs la main. Le
nouveau papier est donc deux fois et demie
plus cher, ce qui ne me permet pas de com-
prendre comment s'y prennent les agents de
la nouvelle Société pour montrer qu'il est plus
économique.
En résumé donc, le papier tout sensibilisé dit
papier leptographique, en raison de son prix
élevé actuel, ne sera accessible qu'aux amateurs
opérant sur petit format ; et encore ne pour-
ront-ils l'acheter qu'en détail, ce qui les forcera
de le payer à un intermédiaire jusqu'à 50 francs
la main. Je crois donc que cette nouvelle fa-
brication ne pourra avoir de succès qu'à la
faveur d'un abaissement très-marqué dans ses
prix de vente.
LA PHOTOGRAPHIE AD POINT DE VDE CHIMIQUE,
Par M. SPILLKR.
Mémoire lu devant la Société de Londres.
Mon intention est de présenter ce soir aux membres
de la Société quelques considérations d'un caractère
purement scientifique, considérations qui me sem-
blent ouvrir un champ nouveau aux recherches ex-
périmentales, et qui, introduites dans le domaine de
la photographie, doivent fournir à cet art des res-
sources nouvelles. Ces considérations, sans aller plus
loin, se rapportent aux points suivants :
1° Sous quelle forme les métaux précieux, l'or et
l'argent, peuvent-ils être avantageusement employés?
2° Les agents réducteurs doivent-ils être employés
séparément ou en combinaison pour le développe-
ment de l'image latente?
3° L'action fixatrice de l'hyposulfite ou d'autres
corps peut-elle être augmentée par l'addition d'autres
substances?
Après avoir développé quelques conclusions prati-
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ter quelques remarques sur d'autres questions qui ne
viennent pas se ranger dans ces trois catégories,
telles que le degré de permanence sur lequel on peut
compter en employant l'albumine, le collodion, le
caoutchouc et d'autres subjectiles photographiques.
Plusieurs points de grand intérêt devront néanmoins
être traités en termes concis, car le peu de temps
dont j'ai pu disposer dans la dernière quinzaine ne
m'a pas permis de confirmer par des expériences ré-
pétées quelques-unes de mes expériences photochimi-
ques.
Quant îi l'application de l'or pour les virages, nous
sommes aujourd'hui dans l'habitude d'employer ce mé-
tal sous la forme d'acide aurique associé avec un car-
bonate ou un acétate alcalin. Le chlorure d'or neutre
est une impossibilité chimique, et les cristaux que
l'on obtient d'ordinaire renferment toujours un équi-
valent, d'acide chlorhydrique en combinaison avec le
trichlorure d'or. On peut, on le sait, remplacer dans
cette combinaison l'hydrogène par le potassium ou le
sodium et former ainsi de véritables sels doubles;
mais leur emploi ne paraît présenter aucun avan-
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un bain alcalin sont identiques à ces composés.
Le sel d'or de MM. Fordos et Gélis est sans emploi
depuis que le fixage et le virage constituent deux
opérations séparées.
De tous les composés d'argent, le nitrate est le seul
dont l'usage soit universellement adopté; mais les
avantages que comporte son emploi dans le procédé
au collodion semblent mis en question depuis que
M. le docteur Miller a publié ses Recherches sur la
transparence ou pouvoir diaciinique de différents milieux.
Dans un tableau qui, dans les Philosophical Transac-
tions, 4863, accompagne le travail de l'auteur, on
voit les nitrates placés au plus bas degré de l'échelle,
tandis que les fluorures en occupent le sommet par
suite de leur grande transparence pour les rayons
chimiques, transparence qui quelquefois même est
absolue. I.e spath fluor, le cristal de roche, la glace,
sont placés en tête des séries; ces corps sont parfaite-
ment diactiniques, tandis que le salpêtre ordinaire
absorbe une grande quantité de rayons actifs.
Le nitrate et le chlorate de potasse sont, à ce point
de vue, extrêmement différents, car las chlorates
forment une classe de corps très-transparents. Le
docteur Miller s'exprime ainsi à ce sujet :
« Parmi les différents corps soumis à l'examen,
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