FRÊ
freluche. || 2° Nom de certains petits fils qui volent .
en i'air dans les beaux jours de l'été. J'entrepren- ]
drais en un temps chaud et clair Le Tain calcul des i
freluch.es de l'air, ST-AMAND, dans RICDELET. \\S. f. 1
plur. Fig. Choses frivoles et badines. || 3° Jeu de ]
cartes qui ressemble beaucoup à celui de l'emprunt. ]
— HIST. xiv" s. Le suppliant avoit roignié ou 1
coppé certains freloqueset draps de divers couleurs, <
DO CANGE, flocus. |Jxv» s. Car aujourd'hui de deux ■
"reluques De cheveux d'un petit monceau, Il sem- ]
ble qu'il y en ail jusques Au collet, et plein un bois- ,
seau, COQUILLART, les Droits nouveaux. 0 yanoe 1
mulieres, déférant secum mille farluge, BARLET, dans <
DU CANGE, farluge. Pour ung virelan de noire mon- ]
noie, nommé au pays frelusques [choses de peu de <
valeur], DU CANGE, ferlina. ]
— ÉTYM. Diez le rapproche de l'italienfanfaluca, 1
fanfreluche ; mais on ne voit pas comment se serait j
perdue la syllabe fan. Comme on a dit aussi frelo- \
que, on peut y voir, ce semble, un composé du pré- ]
fixe fre, fer, fra, et loque. <
FRELUQUET (fre-lu-què ; le t ne se lie pas dans <
la conversation; au pluriel,'1'* se lie : des fre-lu-kè-z j
impertinents; freluquets rime avec succès, paix, .
traits), s. m.\\ 1°Terme familier. Homme léger, fri- (
vole et sans mérite. Ce petit freluquet d'Alet ne se j
plaint de rien, SÊV. 44 I . Ce petit freluquet de Mon- ^
cade, avec ses airs impertinents ! BARON, l'Homme à (
bonnes fortunes, m, i. Le portrait de sa mère, un ;
sot, un freluquetjQui fait le bel esprit et n'a que du ,
caquet, DESTOUCHES, Glor. ni, 9. C'est que vous avez j
bien rabroué le freluquet, n'est-ce pas ? contez-moi j
ça, madame. — Freluquet! je n'ai jamais dit que i
c'en fût un ; ce n'est pas là son défaut. — Dame ! (
vous l'avez appelé petit monsieur : et un petit mon- j
sieur, c'est justement et à point un freluquet, MARI- 1
VAUX, Préjugé vaincu, se. 8. 'J'aurais bien voulu i
que des Cahusac, des Desmahis n'eussent pas tra-
vaillé à l'Encyclopédie, qu'on se fût associé de vrais j
savants et non pas de petits freluquets, VOLT. Lctt. }
Damilaville, 8 oct. <764. M'embarrassant fort peu |
des intrigues frivoles D'un tas de freluquets, d'une i
troupe de folles, GRESSET, Méch. m, 9. Vous avez c
beau faire, mon cher philosophé ; vous n'en ferez j
jamais [du duc de Richelieu] qu'un vieux freluquet, [
bien peu digne d'être célébré par une plume telle r
que la vôtre, D'ALEMB. Lett. à Voltaire, i s mai < 765. g
|| Adjectivement. Près de Rose il n'est point fade, t
Etn'ariendefreluquet,BÉRANG.Sena(cwr. || 2"Terme t
de passementerie. Petit poids en plomb suspendu à (
un fil, qui sert à passer chaque brin de glands pour j
le tenir en équilibre pendant lé travail. t
— ÉTYM. Diminutif de freluche, signifiant et une f
petite freluche, et celui qui porte des freluches. f
FRÉMIR (fré-inir), v. n. |] i? Produire un bruit j
par l'agitation de ce qui a beaucoup de parties. J'en- ||
tends frémir les flots irrités. Le feuillage frémit. || Il t
se dit, par extension, de tout grand bruit. S'il que- j
relie les vents, ils n'osent plus frémir, ROTR. St Ge- q
nest, ni, 2. La discorde en fureur frémit de toutes 2
parts, RAC. Esth. Prologue. Mais l'airain menaçant t
frémit de toutes parts, ID. Athal. iy, 6. Dans les u
combats, ils [les phoquesl rugissent et frémissent t
comme le lion, et enfin dans la joie et après la vie- n
toire ils font un petit cri aigu qu'ils réitèrent plu-
sieurs fois de suite, BUFP. Quadrup. t. xi, p. \ 93, B
dans POUGENS. Comme un homme sauvé du nau- f
frage sur un rocher, je contemple de ma solitude les g
orages qui frémissent dansle reste du monde, BERN. h
DE ST P. Paul et Virg.\\ 2° Éprouver un mouvement y
de vibration qui produit un frémissement léger, un j
faible murmure. Terre, frémis d'allégresse et de d
crainte, RAC. Esth. m, 9. On sait que, si dans le d
même instrument il'y a plusieurs cordes à l'unisson u
ou qui fassent leurs vibrations dans le même temps, c
si l'on pince une de ces cordes, toutes celles qui se- f<
ront à son ton frémiront à la fois, BONNET, ESS. psy- \i
chol. chap. 26.1] Il se dit aussi de l'eau qui mur- L
mure et s'agite avant de bouillir. L'eau ne tardera
pas à bouillir, elle frémit déjà. || La mer.frémït, elle C.
commence à s'agiter. || 3° Fig. Éprouver un trem- fi
blement, une sorte de vibration intérieure par l'effet e
dé la crainte, de l'horreur, de là colère. Nous fait é
frémir le coeur, nous tire de nous-mêmes, RÉGNIER, n
Sat. x'vi. Je ne puis, sans frémir,'parler dès au- fi
teurs d'un si exécrable attentat, VAUGEL. Q. C. liv.
vi, dans RICHELET. Et la seule "pensée en fait frémir d
d'horreur, CORN. Cinna, iv, 6. D'où vient que tu n
frémis et que ton coeur soupire?ID. Poly. 11, i.'Même c
Ton "fit" que l'ouvrier [le statuaire] Eût è peine 1'
achevé l'image, Qu'on le vit frémir le premier Et ||
redouter son propre ouvrage,' LA FONT. Fabl.11, 6. c
Son nom seul fait frémir nos veuves et nos filles, RAC. 1'
FRÊ
Andr. 1, 2. J'aime à vous voir frémir à ce funeste
nom,iD. Phèd. 1, 3. Ah! combien frémira son ombre
épouvantée! ID. ib. iv,6. Il faut des châtiments dont
l'univers frémisse, ID. Esth. n, K Qu'ils pleurent, 6
mon Dieu, qu'ils frémissent de crainte, Ces mal-
heureux qui de ta cité sainte Ne verront point
l'éternelle splendeur, ID. Athal. n, 9. Mais d'où vient
que mon coeur frémit d'un saint effroi? ID. t'6. m,
7 trop au-dessus d'eux, je leur puis pardonner
De frémir sous le joug que je veux leur donner, VOLT.
M. de Ces. 1, 4. Plusieurs protestants étaient à table;
les uns se plaignaient amèrement [à la révocation
de l'édit de Nantes], d'autres frémissaient de co-
lère, ID. l'Ingénu, 8. Les anciens ne s'étaient pas
contentés de faire du cygne un chantre merveil-
leux ; seul entre tous les êtres qui frémissent à
l'aspect de leur destruction, il chantait encore au
moment, de son agonie, et préludait par dès sons
harmonieux à son dernier soupir, BUFF. OIS. t. xvn,
p. 39, dans POUGENS. Mon coeur frémit de joie, bu-
cis, Macbeth, 11, 3. Elle frémit de tousses membres,
et sûrement l'approche de l'échafaud ne lui aurait
pas causé plus d'effroi, STAEL, Corinne, xvi, 3. || Il
se dit avec de et un infinitif. Et déjà, tout confus,
croyant midi sonné, En soi-même frémit de n'avoir
pas dîné, BOIL. Lutr. iv. Honteux et frémissant de
vous interroger, VOLT. Tancr. m, 4. ||Fig. Je vois
que sa vertu frémit de leur fureur, RAC. Brit. iv,
3. Bassesses dont votre orgueil frémit en secret,
MASS. Carême, Culte. Lorsqu'elle [la magistrature
japonaise] a fait exposer les femmes nues, elle a
fait frémir la pudeur, MONTESQ. Esp. xn, -(4. On
m'en a envoyé des morceaux indignement falsifiés
qui font frémir le bon goût et la décence, VOLT.
Lett. Richelieu, 26 mai <755. || Cela fait frémir
la nature, se dit de ce qui cause beaucoup d'hor-
reur. Un spectacle à faire frémir la nature.
— HIST. XII" s. Pur quei frémirent les genz, et li
poplfi purpenserent vaines coses ? Liber psalm. p. t.
Paien frémissent, l'ost est espoentée, Ronc. p. 66.
|11] Voit toute l'ost à une voiz frémir, ib. p. 455.
De la manace Deu puet altrement frémir Quiqu'un-
ques.... Th. lemart. 9). Quant il l'oï, la char l'en
prist tute à frémir, ib. 35. Nos savons ke les lenges
[langues] des anceles frémissent quant la dame n'iest
mie, Job, p. 496. || xnr s Sachiés qu'il n'i ot si hardi
à qui la char ne fremesist, VILLEH. LXI. Quant l'en-
tendi la vieille, de la paour fremist, Berte, xci. Si
te frémira tous li sans, Parole te faudra et sens,
Quant tu cuideras commencier, la Rose, 2407. Mais
li chevaler Jhesu Crjst N'out pour, ne ne se fre-
mist, MAniE, Purgatoire, 379. || xiv° s. Le pueple
fermisoit et se douldit de leur servitude, BERCIIEURE,
f. <2. Prenez de l'eau et mettez frémir [sur le feu
jusqu'à ce qu'elle frémisse ] , Ménagicr, n, 6.
11 xv s. Qui donc vit frémir gens et appeler l'un l'au-
tre, et quérir pièce de terre pour mieux loger.... voir
pust grand triboulement, FROISS. 1, 1, 162. Le roi
qui tout fremiss'oit d'ire et de mautalent.... ID. I, I,
289. Il xvi° s. Us s'offensent de ceux [animaux] qui
hurlent, ou qui buglent et frémissent, ou qui ont
une hydeuse et triste mine à les voir, AMYOT, De la
tranq. d'âme, 40. U faut qu'il [le philosophe] fré-
misse planté au bord d'un précipice, MONT, n, 20.
— ÉTYM. Berry, vrombi, en parlant d'une toupie :
ma toupie vrombit; prov. frémir; port. frenM'r; ital.
fremire; du lat. frerkëre,par changement de conju-
gaison, fremîre, puis passage à une conjugaison
inchoative en isco, fremisco ; comparez le grec Ppe-
jjieiv, et le sanscrit bhram, produire un bourdonne-
ment. Mais l'ancienne langue avait aussi un dérivé
direct de fremêre qui était freindre, comme gein-
dre , de gemere. Elle avait aussi, à côté de frémir,
un verbe fremier auquel elle donnait une signifi-
cation très-semblable, mais qui, venant de formicare,
fourmiller, s'était rapproché de frémir, par assimi-
lation : La royne saut sus, si prent à fremier, Berte,
LXXXVII.
FRÉMISSANT, ANTE (fré-mi-san, san-t'), adj.
Qui frémit. Ces coursiers frémissants. Les vagues
frémissantes. Sa main puissante [de Dieu] ramène
en arrière le Suédois indompté, tout frémissant qu'il
était, BOSS. Anne de Gong. Peut-être Assuérus fré-
missant de courroux.... RAC. Esth. n, 9. L'appareil
frémissant de la guerre, FËN. Tél. xx.
FRÉMISSEMENT (fré-mi-se-mah), s. m. || 1° Bruit
de ce qui s'agite en beaucoup de parties. Le fré-
missement du feuillage. Lés frémissements de l'o-
céan. Le frémissement de l'air. Les vents agitent
l'air d'heureux ' frémissements, RAC. Iphig. v, 6.
Il Par extension, toute espèce de grand bruit. D'un
ciment éternel ton église est bâtie, Et jamais de
l'enfer les noirs frémissements N'en sauraient ébran-
FRÉ
1775
1 1er les fermes fondements, BOIL. Lutr. vi. || 2° Mou-
: veinent léger de vibration, surtout en parlant des
: corps sonores. Le frémissement d'une cloche, des
cordes d'une harpe. || Terme de physique. Mouve-
ment insensible et vibratile des corps sonores, qui
se communique à l'air ambiant et qui produit le son.
Il 3° Bruit particulier produit par le dégagement da
l'air contenu dans de l'eau qu'on fait Chauffer sur
un foyer. Le frémissement de la cafetière. || 4°. Terme
de médecine. Tremblement des membres ou dé tout
le corps qui précède ou accompagne le frisson de
la fièvre. Il m'a pris un grand frémissement par
tout le corps. || Frémissement cataire, vôy. CATAIRE.
Il Frémissement hydatique, sensation particulière
perçue à la fois par la main et parl'oreille, lors de la
percussion des kysteshydatiques, et qui a été com-
parée à la sensation produite par le frémissement
d'une montre à répétition. || 5° Fig. Émotion .de ce-
lui qui frémit. Mais pourràis-je vous dire à quelle
impatience, X quels frémissements, à: quelle vio-
lence, Ces indignes trépas, quoique mal figurés, Ont
porté les esprits de tous nos. conjurés, CORN.* Cinna,
1, 3. Je n'ai pour tout accueil'que des frémissements,
RAC. Phèdre, m, 5. Et sans frémissement Je ne puis
voir sa peine et son saisissement, m. Esth. 11, 7,,'Je
sentis un frémissement d'amour que je.n'avais ja-
mais éprouvé, J. 1. BOUSS.. Conf. vii. Je le quittai
lorsque je ne devais plus le revoir, sans qu'aucun
frémissement m'avertît de mon malheur, STÀEL, Co-
rinne, xii, 2. Ces guerriers [les soldats français]
écoutaient avec ,un secret frémissement les pas de
leurs chevaux retentir seuls au milieu de ces palais
déserts [à Moscou], SÉGUR, Hist. deNap.vm, 6.
— HIST. xm* s. Eh frémissement marcheras [con-
culcabis] la terre, Psautier, f° 486. |j XIVe s. Oyans
le son et le frémissement des chevaux,,BERGHEORE,
f° 60, recto. Il xvie s. Toute la.pla.ihe qui estoit entre
deux, resonnoit d'un frémissement. horrible et es-
pouvantable à ouïr, AMYOT, ildrius^ 35;
— ÉTYM. Frémir. On trouve fremur dans le xi"
siècle : Vers le palais oïrent grant,fremur, Ch. Ce
Roi. cxc. :
t FRÉMONT (fré-mon), s. m. Variété de poire ap-
pelée ordinairement gros frémont.
f FRÊNAIE (frê-nê), s. f. Lieu planté de frênes.
— HIST. xvi* s. Voiant les belles chesnaies d'un
costé, de l'autre les chasteneraies, les prmaies, les
coudraies, les fresnaies, o. DE SERRES, 796;
— ÉTYM. Frêne; picard, frenoye.,,
FRÊNE (frê-n), s. m. || 1°,Terme de botanique.
Genre de la famille des oléacées, qui se compose
d'une soixantaine d'espèces. || 2" Arbre forestier dont
le bois est blanc et sans noeuds, fraxinus excelsior, ,
L. y Bois de-cet arbre. Le frêne est propre au char-
ronnage. || 3° Frêne à fleurs, fraxinus orriùs,L; .
]| 4° Frêne à feuilles rondes, fraxinus rotùndifolia,
Lamk. celui auquel on doit appliquer les.dénomina-
tions de frêne de Calabre,de frêne à la-manne (mais
non de frêne à manne comme l'écrit'l'Académie,
ce qui est contraire à Vusage des" botanistes),' LE-
GOARANT. Il 5° Frêne à trois .feuilles, nom impropre
donné parfois à la ptélée'trifoliée; {térêbmth&céçs),
dite également à tort orme à trois feuilles, LEO DA-
RANT. Il 6° Frêne épineux, nom vulgaire du aràn-
tlwxyle fraxinifolié (rutacées). . ■ - • .
— HIST. xi° s. Ardent ces hanstes-de fraisne et de
pomier, Ch. de Roi. CLXXXI. || xiie s. .Haste>[il] ot de
frasne et vermeil confenon, Ronc. p. 5) ;'|| xm0s.! Un
freisne [elle] vit lé [large] e :branchu, E. mut espès
e bienramu, MABIE; Frêne.: || xvi" s; Les ormes pour-
ront estre avec les érables et fresnes, 0. DE SERRES,
796. Dessous le frêne -venin ne règne, LEROUX DE
LINCY, Prov. t. 1, p. 74.'• : ' - "-■■
— ÉTYM. Berry, frdgne; au-lat. /rcratwus, où l'ac-
cent est sur fra. "■'■■" ; '
FRÉNÉSIE (fré-né-zie), s. f. || 1° Ancien tome de
médecine. État de délire, defureur, qui survient
dans quelques maladies de l'encéphale. Il-est tombé
en frénésie, VAUGEL. Q. C: 1. Yn,; dans RICHELET. li-
se troubla de tant de pertes jusqu'à tomber: en fré-
nésie, BOSS. Hist. 1, M. Le rhume à-son aspect se
change en pleurésie, Et parlùi la migraine est bien-
tôt frénésie, BOIL. Art p. iv. Eh France,' le malheu-
reux Charles VI, tombé en frénésie, avait le nomde
roi, VOLT. Moeurs, 72. Quand un malade'est eh fré-
nésie, il ne faut point dire qu'il n'a point de'force;
il faut dire que sa force' est celle d'un frénétique,
ID. Dict. phil. Suicide. || 2° Par extension, fol empor-
tement causé par une cause quelconque et comparé
à la frénésie du malade. D'elle naquit la frénésie De
la Grèce contre l'Asie, MALH. m, 2. Etsijepuls tom-
ber en cette frénésie De préférer Atlale au vainqueur
freluche. || 2° Nom de certains petits fils qui volent .
en i'air dans les beaux jours de l'été. J'entrepren- ]
drais en un temps chaud et clair Le Tain calcul des i
freluch.es de l'air, ST-AMAND, dans RICDELET. \\S. f. 1
plur. Fig. Choses frivoles et badines. || 3° Jeu de ]
cartes qui ressemble beaucoup à celui de l'emprunt. ]
— HIST. xiv" s. Le suppliant avoit roignié ou 1
coppé certains freloqueset draps de divers couleurs, <
DO CANGE, flocus. |Jxv» s. Car aujourd'hui de deux ■
"reluques De cheveux d'un petit monceau, Il sem- ]
ble qu'il y en ail jusques Au collet, et plein un bois- ,
seau, COQUILLART, les Droits nouveaux. 0 yanoe 1
mulieres, déférant secum mille farluge, BARLET, dans <
DU CANGE, farluge. Pour ung virelan de noire mon- ]
noie, nommé au pays frelusques [choses de peu de <
valeur], DU CANGE, ferlina. ]
— ÉTYM. Diez le rapproche de l'italienfanfaluca, 1
fanfreluche ; mais on ne voit pas comment se serait j
perdue la syllabe fan. Comme on a dit aussi frelo- \
que, on peut y voir, ce semble, un composé du pré- ]
fixe fre, fer, fra, et loque. <
FRELUQUET (fre-lu-què ; le t ne se lie pas dans <
la conversation; au pluriel,'1'* se lie : des fre-lu-kè-z j
impertinents; freluquets rime avec succès, paix, .
traits), s. m.\\ 1°Terme familier. Homme léger, fri- (
vole et sans mérite. Ce petit freluquet d'Alet ne se j
plaint de rien, SÊV. 44 I . Ce petit freluquet de Mon- ^
cade, avec ses airs impertinents ! BARON, l'Homme à (
bonnes fortunes, m, i. Le portrait de sa mère, un ;
sot, un freluquetjQui fait le bel esprit et n'a que du ,
caquet, DESTOUCHES, Glor. ni, 9. C'est que vous avez j
bien rabroué le freluquet, n'est-ce pas ? contez-moi j
ça, madame. — Freluquet! je n'ai jamais dit que i
c'en fût un ; ce n'est pas là son défaut. — Dame ! (
vous l'avez appelé petit monsieur : et un petit mon- j
sieur, c'est justement et à point un freluquet, MARI- 1
VAUX, Préjugé vaincu, se. 8. 'J'aurais bien voulu i
que des Cahusac, des Desmahis n'eussent pas tra-
vaillé à l'Encyclopédie, qu'on se fût associé de vrais j
savants et non pas de petits freluquets, VOLT. Lctt. }
Damilaville, 8 oct. <764. M'embarrassant fort peu |
des intrigues frivoles D'un tas de freluquets, d'une i
troupe de folles, GRESSET, Méch. m, 9. Vous avez c
beau faire, mon cher philosophé ; vous n'en ferez j
jamais [du duc de Richelieu] qu'un vieux freluquet, [
bien peu digne d'être célébré par une plume telle r
que la vôtre, D'ALEMB. Lett. à Voltaire, i s mai < 765. g
|| Adjectivement. Près de Rose il n'est point fade, t
Etn'ariendefreluquet,BÉRANG.Sena(cwr. || 2"Terme t
de passementerie. Petit poids en plomb suspendu à (
un fil, qui sert à passer chaque brin de glands pour j
le tenir en équilibre pendant lé travail. t
— ÉTYM. Diminutif de freluche, signifiant et une f
petite freluche, et celui qui porte des freluches. f
FRÉMIR (fré-inir), v. n. |] i? Produire un bruit j
par l'agitation de ce qui a beaucoup de parties. J'en- ||
tends frémir les flots irrités. Le feuillage frémit. || Il t
se dit, par extension, de tout grand bruit. S'il que- j
relie les vents, ils n'osent plus frémir, ROTR. St Ge- q
nest, ni, 2. La discorde en fureur frémit de toutes 2
parts, RAC. Esth. Prologue. Mais l'airain menaçant t
frémit de toutes parts, ID. Athal. iy, 6. Dans les u
combats, ils [les phoquesl rugissent et frémissent t
comme le lion, et enfin dans la joie et après la vie- n
toire ils font un petit cri aigu qu'ils réitèrent plu-
sieurs fois de suite, BUFP. Quadrup. t. xi, p. \ 93, B
dans POUGENS. Comme un homme sauvé du nau- f
frage sur un rocher, je contemple de ma solitude les g
orages qui frémissent dansle reste du monde, BERN. h
DE ST P. Paul et Virg.\\ 2° Éprouver un mouvement y
de vibration qui produit un frémissement léger, un j
faible murmure. Terre, frémis d'allégresse et de d
crainte, RAC. Esth. m, 9. On sait que, si dans le d
même instrument il'y a plusieurs cordes à l'unisson u
ou qui fassent leurs vibrations dans le même temps, c
si l'on pince une de ces cordes, toutes celles qui se- f<
ront à son ton frémiront à la fois, BONNET, ESS. psy- \i
chol. chap. 26.1] Il se dit aussi de l'eau qui mur- L
mure et s'agite avant de bouillir. L'eau ne tardera
pas à bouillir, elle frémit déjà. || La mer.frémït, elle C.
commence à s'agiter. || 3° Fig. Éprouver un trem- fi
blement, une sorte de vibration intérieure par l'effet e
dé la crainte, de l'horreur, de là colère. Nous fait é
frémir le coeur, nous tire de nous-mêmes, RÉGNIER, n
Sat. x'vi. Je ne puis, sans frémir,'parler dès au- fi
teurs d'un si exécrable attentat, VAUGEL. Q. C. liv.
vi, dans RICHELET. Et la seule "pensée en fait frémir d
d'horreur, CORN. Cinna, iv, 6. D'où vient que tu n
frémis et que ton coeur soupire?ID. Poly. 11, i.'Même c
Ton "fit" que l'ouvrier [le statuaire] Eût è peine 1'
achevé l'image, Qu'on le vit frémir le premier Et ||
redouter son propre ouvrage,' LA FONT. Fabl.11, 6. c
Son nom seul fait frémir nos veuves et nos filles, RAC. 1'
FRÊ
Andr. 1, 2. J'aime à vous voir frémir à ce funeste
nom,iD. Phèd. 1, 3. Ah! combien frémira son ombre
épouvantée! ID. ib. iv,6. Il faut des châtiments dont
l'univers frémisse, ID. Esth. n, K Qu'ils pleurent, 6
mon Dieu, qu'ils frémissent de crainte, Ces mal-
heureux qui de ta cité sainte Ne verront point
l'éternelle splendeur, ID. Athal. n, 9. Mais d'où vient
que mon coeur frémit d'un saint effroi? ID. t'6. m,
7 trop au-dessus d'eux, je leur puis pardonner
De frémir sous le joug que je veux leur donner, VOLT.
M. de Ces. 1, 4. Plusieurs protestants étaient à table;
les uns se plaignaient amèrement [à la révocation
de l'édit de Nantes], d'autres frémissaient de co-
lère, ID. l'Ingénu, 8. Les anciens ne s'étaient pas
contentés de faire du cygne un chantre merveil-
leux ; seul entre tous les êtres qui frémissent à
l'aspect de leur destruction, il chantait encore au
moment, de son agonie, et préludait par dès sons
harmonieux à son dernier soupir, BUFF. OIS. t. xvn,
p. 39, dans POUGENS. Mon coeur frémit de joie, bu-
cis, Macbeth, 11, 3. Elle frémit de tousses membres,
et sûrement l'approche de l'échafaud ne lui aurait
pas causé plus d'effroi, STAEL, Corinne, xvi, 3. || Il
se dit avec de et un infinitif. Et déjà, tout confus,
croyant midi sonné, En soi-même frémit de n'avoir
pas dîné, BOIL. Lutr. iv. Honteux et frémissant de
vous interroger, VOLT. Tancr. m, 4. ||Fig. Je vois
que sa vertu frémit de leur fureur, RAC. Brit. iv,
3. Bassesses dont votre orgueil frémit en secret,
MASS. Carême, Culte. Lorsqu'elle [la magistrature
japonaise] a fait exposer les femmes nues, elle a
fait frémir la pudeur, MONTESQ. Esp. xn, -(4. On
m'en a envoyé des morceaux indignement falsifiés
qui font frémir le bon goût et la décence, VOLT.
Lett. Richelieu, 26 mai <755. || Cela fait frémir
la nature, se dit de ce qui cause beaucoup d'hor-
reur. Un spectacle à faire frémir la nature.
— HIST. XII" s. Pur quei frémirent les genz, et li
poplfi purpenserent vaines coses ? Liber psalm. p. t.
Paien frémissent, l'ost est espoentée, Ronc. p. 66.
|11] Voit toute l'ost à une voiz frémir, ib. p. 455.
De la manace Deu puet altrement frémir Quiqu'un-
ques.... Th. lemart. 9). Quant il l'oï, la char l'en
prist tute à frémir, ib. 35. Nos savons ke les lenges
[langues] des anceles frémissent quant la dame n'iest
mie, Job, p. 496. || xnr s Sachiés qu'il n'i ot si hardi
à qui la char ne fremesist, VILLEH. LXI. Quant l'en-
tendi la vieille, de la paour fremist, Berte, xci. Si
te frémira tous li sans, Parole te faudra et sens,
Quant tu cuideras commencier, la Rose, 2407. Mais
li chevaler Jhesu Crjst N'out pour, ne ne se fre-
mist, MAniE, Purgatoire, 379. || xiv° s. Le pueple
fermisoit et se douldit de leur servitude, BERCIIEURE,
f. <2. Prenez de l'eau et mettez frémir [sur le feu
jusqu'à ce qu'elle frémisse ] , Ménagicr, n, 6.
11 xv s. Qui donc vit frémir gens et appeler l'un l'au-
tre, et quérir pièce de terre pour mieux loger.... voir
pust grand triboulement, FROISS. 1, 1, 162. Le roi
qui tout fremiss'oit d'ire et de mautalent.... ID. I, I,
289. Il xvi° s. Us s'offensent de ceux [animaux] qui
hurlent, ou qui buglent et frémissent, ou qui ont
une hydeuse et triste mine à les voir, AMYOT, De la
tranq. d'âme, 40. U faut qu'il [le philosophe] fré-
misse planté au bord d'un précipice, MONT, n, 20.
— ÉTYM. Berry, vrombi, en parlant d'une toupie :
ma toupie vrombit; prov. frémir; port. frenM'r; ital.
fremire; du lat. frerkëre,par changement de conju-
gaison, fremîre, puis passage à une conjugaison
inchoative en isco, fremisco ; comparez le grec Ppe-
jjieiv, et le sanscrit bhram, produire un bourdonne-
ment. Mais l'ancienne langue avait aussi un dérivé
direct de fremêre qui était freindre, comme gein-
dre , de gemere. Elle avait aussi, à côté de frémir,
un verbe fremier auquel elle donnait une signifi-
cation très-semblable, mais qui, venant de formicare,
fourmiller, s'était rapproché de frémir, par assimi-
lation : La royne saut sus, si prent à fremier, Berte,
LXXXVII.
FRÉMISSANT, ANTE (fré-mi-san, san-t'), adj.
Qui frémit. Ces coursiers frémissants. Les vagues
frémissantes. Sa main puissante [de Dieu] ramène
en arrière le Suédois indompté, tout frémissant qu'il
était, BOSS. Anne de Gong. Peut-être Assuérus fré-
missant de courroux.... RAC. Esth. n, 9. L'appareil
frémissant de la guerre, FËN. Tél. xx.
FRÉMISSEMENT (fré-mi-se-mah), s. m. || 1° Bruit
de ce qui s'agite en beaucoup de parties. Le fré-
missement du feuillage. Lés frémissements de l'o-
céan. Le frémissement de l'air. Les vents agitent
l'air d'heureux ' frémissements, RAC. Iphig. v, 6.
Il Par extension, toute espèce de grand bruit. D'un
ciment éternel ton église est bâtie, Et jamais de
l'enfer les noirs frémissements N'en sauraient ébran-
FRÉ
1775
1 1er les fermes fondements, BOIL. Lutr. vi. || 2° Mou-
: veinent léger de vibration, surtout en parlant des
: corps sonores. Le frémissement d'une cloche, des
cordes d'une harpe. || Terme de physique. Mouve-
ment insensible et vibratile des corps sonores, qui
se communique à l'air ambiant et qui produit le son.
Il 3° Bruit particulier produit par le dégagement da
l'air contenu dans de l'eau qu'on fait Chauffer sur
un foyer. Le frémissement de la cafetière. || 4°. Terme
de médecine. Tremblement des membres ou dé tout
le corps qui précède ou accompagne le frisson de
la fièvre. Il m'a pris un grand frémissement par
tout le corps. || Frémissement cataire, vôy. CATAIRE.
Il Frémissement hydatique, sensation particulière
perçue à la fois par la main et parl'oreille, lors de la
percussion des kysteshydatiques, et qui a été com-
parée à la sensation produite par le frémissement
d'une montre à répétition. || 5° Fig. Émotion .de ce-
lui qui frémit. Mais pourràis-je vous dire à quelle
impatience, X quels frémissements, à: quelle vio-
lence, Ces indignes trépas, quoique mal figurés, Ont
porté les esprits de tous nos. conjurés, CORN.* Cinna,
1, 3. Je n'ai pour tout accueil'que des frémissements,
RAC. Phèdre, m, 5. Et sans frémissement Je ne puis
voir sa peine et son saisissement, m. Esth. 11, 7,,'Je
sentis un frémissement d'amour que je.n'avais ja-
mais éprouvé, J. 1. BOUSS.. Conf. vii. Je le quittai
lorsque je ne devais plus le revoir, sans qu'aucun
frémissement m'avertît de mon malheur, STÀEL, Co-
rinne, xii, 2. Ces guerriers [les soldats français]
écoutaient avec ,un secret frémissement les pas de
leurs chevaux retentir seuls au milieu de ces palais
déserts [à Moscou], SÉGUR, Hist. deNap.vm, 6.
— HIST. xm* s. Eh frémissement marcheras [con-
culcabis] la terre, Psautier, f° 486. |j XIVe s. Oyans
le son et le frémissement des chevaux,,BERGHEORE,
f° 60, recto. Il xvie s. Toute la.pla.ihe qui estoit entre
deux, resonnoit d'un frémissement. horrible et es-
pouvantable à ouïr, AMYOT, ildrius^ 35;
— ÉTYM. Frémir. On trouve fremur dans le xi"
siècle : Vers le palais oïrent grant,fremur, Ch. Ce
Roi. cxc. :
t FRÉMONT (fré-mon), s. m. Variété de poire ap-
pelée ordinairement gros frémont.
f FRÊNAIE (frê-nê), s. f. Lieu planté de frênes.
— HIST. xvi* s. Voiant les belles chesnaies d'un
costé, de l'autre les chasteneraies, les prmaies, les
coudraies, les fresnaies, o. DE SERRES, 796;
— ÉTYM. Frêne; picard, frenoye.,,
FRÊNE (frê-n), s. m. || 1°,Terme de botanique.
Genre de la famille des oléacées, qui se compose
d'une soixantaine d'espèces. || 2" Arbre forestier dont
le bois est blanc et sans noeuds, fraxinus excelsior, ,
L. y Bois de-cet arbre. Le frêne est propre au char-
ronnage. || 3° Frêne à fleurs, fraxinus orriùs,L; .
]| 4° Frêne à feuilles rondes, fraxinus rotùndifolia,
Lamk. celui auquel on doit appliquer les.dénomina-
tions de frêne de Calabre,de frêne à la-manne (mais
non de frêne à manne comme l'écrit'l'Académie,
ce qui est contraire à Vusage des" botanistes),' LE-
GOARANT. Il 5° Frêne à trois .feuilles, nom impropre
donné parfois à la ptélée'trifoliée; {térêbmth&céçs),
dite également à tort orme à trois feuilles, LEO DA-
RANT. Il 6° Frêne épineux, nom vulgaire du aràn-
tlwxyle fraxinifolié (rutacées). . ■ - • .
— HIST. xi° s. Ardent ces hanstes-de fraisne et de
pomier, Ch. de Roi. CLXXXI. || xiie s. .Haste>[il] ot de
frasne et vermeil confenon, Ronc. p. 5) ;'|| xm0s.! Un
freisne [elle] vit lé [large] e :branchu, E. mut espès
e bienramu, MABIE; Frêne.: || xvi" s; Les ormes pour-
ront estre avec les érables et fresnes, 0. DE SERRES,
796. Dessous le frêne -venin ne règne, LEROUX DE
LINCY, Prov. t. 1, p. 74.'• : ' - "-■■
— ÉTYM. Berry, frdgne; au-lat. /rcratwus, où l'ac-
cent est sur fra. "■'■■" ; '
FRÉNÉSIE (fré-né-zie), s. f. || 1° Ancien tome de
médecine. État de délire, defureur, qui survient
dans quelques maladies de l'encéphale. Il-est tombé
en frénésie, VAUGEL. Q. C: 1. Yn,; dans RICHELET. li-
se troubla de tant de pertes jusqu'à tomber: en fré-
nésie, BOSS. Hist. 1, M. Le rhume à-son aspect se
change en pleurésie, Et parlùi la migraine est bien-
tôt frénésie, BOIL. Art p. iv. Eh France,' le malheu-
reux Charles VI, tombé en frénésie, avait le nomde
roi, VOLT. Moeurs, 72. Quand un malade'est eh fré-
nésie, il ne faut point dire qu'il n'a point de'force;
il faut dire que sa force' est celle d'un frénétique,
ID. Dict. phil. Suicide. || 2° Par extension, fol empor-
tement causé par une cause quelconque et comparé
à la frénésie du malade. D'elle naquit la frénésie De
la Grèce contre l'Asie, MALH. m, 2. Etsijepuls tom-
ber en cette frénésie De préférer Atlale au vainqueur
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