Titre : La Lumière : journal non politique... : beaux-arts, héliographie, sciences
Auteur : Société héliographique (France). Auteur du texte
Éditeur : Société d'héliographie (Paris)
Éditeur : A. GaudinA. Gaudin (Paris)
Éditeur : M.-A. GaudinM.-A. Gaudin (Paris)
Date d'édition : 1856-11-12
Contributeur : Monfort, Benito R. de (18..-18..). Directeur de publication
Contributeur : Gaudin, Alexis (1816-1894). Directeur de publication
Contributeur : Lacan, Ernest (1829-1879). Rédacteur
Contributeur : Gaudin, Marc-Antoine (1804-1880). Rédacteur. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32809606x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3408 Nombre total de vues : 3408
Description : 12 novembre 1856 12 novembre 1856
Description : 1856/11/12 (A6,N47). 1856/11/12 (A6,N47).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5405310x
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3100
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 01/07/2008
SOMMAIRE.
EXPOSITION photographique à. Sydenlianu — EXPOSITION
photographique de Bruxelles (11e article), par M. Ernest
Lacas.— MOYENS pour conserver sensible à sec, et em-
ployer après un temps indéfini, des collodions de toute
nature, par M. Montheuil, de Tonnerre. — SCIENCES.
Du bitume de Judée, au point de vue de l'application et
au point de vue scientifique. — LETTRE de M. Ch. Nègre.
MOYEN de mesurer le temps d'exposition pour le tirage
des épreuves positives, par M. F. Vogel, de Venise. —
DES LIMITES de l'impressionnabilité des substances pho-
tographiques, par MM. Zaîstedesciii et Boklinktto.
AVIS.
La Compagnie du Palais de Cristal a
déjà reçu de MM. les photographes de Paris
de nombreuses adhésions, et les oeuvres de
nos plus habiles artistes figureront à l'expo^
sition de photographies qui sera ouverte le
15 décembre à Sydcnham. Nous croyons
devoir rappeler à nos abonnés de province
et à l'étranger que cette exposition est. uni-
verselle, et qu'ils sont également invités à y
envoyer leurs produits. Ils peuvent adresser
leurs épreuves, simplement collées sur carton,
.-franco, à M. H. Berthoud, 15, rue des
Maçons-Sorbonne, à Paris, qui les dirigera
sur Sydenham aux frais de la Compagnie.
Exposition photographique
XI
On a dit bien haut — trop haut peut-être —
depuis quelque temps, que les épreuves photo-
graphiques subissaient rapidement une action
destructive, par suite de l'insuffisance du fixage,
et l'on a exhorté les expérimentateurs à recher-
cher les moyens d'obvier à ce grave inconvé-
nient. Certes, c'était un bon conseil à donner, et
le fait est assez grave en lui-même pour qu'on
le signal à l'attention des chercheurs ; mais le
malheur est que le public, dont l'habitude est
de tout exagérer, s'est imaginé que pas une
épreuve ne résistait à la destruction, et que,
aujourd'hui, on ne peut plus montrer une seule
image photographique sans qu'on vous dise :
« C'est bien beau, mais c'est dommage que ça
passe ! » On comprend combien une pareille
croyance peut porter préjudice à la photogra-
phie au point de vue commercial, car une des
qualités que Ton préfère dans la chose achetée,
quelle que soit sa nature, c'est la solidité.
C'est dans le but de détruire cette con-
viction que. M. Baldus a placé dans son cadie
des spécimens qui ont déjà figuré dans plu-
sieurs expositions, sans y rieu changer : — par
exemple, ce ravissant paysage des environs de
Thiers, que les visiteurs ont tant admiré l'année
dernière au palais des Champs-Elysées. L'émi-
nent artiste se propose d'envoyer ces mêmes
épreuves aux diverses expositions qui se feront
encore. Quand on verra qu'après plusieurs
années, elles n'ont pas subi la moindre altéra-
tion, il faudra bien reconnaître que toutes les
productions photographiques ne passent point,
ce dont peuvent facilement s'assurer, du reste,
les personnes qui possèdent une nombreuse et
ancienne collection.
Cete .bonne pensée, dont on comprendra
l'importance, n'est pas la seule dont on soit
redevable à M. Baldus. Cet intelligent et labo-
rieux artiste a toujours saisi avec empressement
et sans calculer ses propres intérêts, l'occasion
de Mre^^ggiïttMMHBMographie comme l'auxi-
liaire utile, nous dirons presque indispensable
des beaux-arts, surtout par ceux à qui appar-
tiennent les décisions en pareille matière. Ainsi
la collection danslaquelle il a rereproduit le nou-
veau Louvre jusque dausses moindres détails,
est une oeuvre qui restera comme un monu-
ment glorieux pour la photographie.
Plusieurs planches faisant partie de ce gi-
gantesque travail figurent à Bruxelles dans le
cadre de M. Baldus. Nous avons vu des pein
très, des sculpteurs, des architectes s'arrêter
devant ces magnifiques épreuves, et traduire
en termes non équivoques l'admiration qu'elles
leur inspiraient. Il faut dire aussi qu'elles surpas-
sent tout ce que l'éminent photographe a fait
connaître jusqu'à ce jour. 11 est impossible que
la photographie aille plus loin : c'est la perfec-
tion. Si l'on étudie, par exemple, le fragment
du pavillon de Richelieu, qu'il a intitulé
Grand détail du nouveau Louvre, on y trouvera
à la fois toutes les qualités, tous les luxes
de la photographie : exquise finesse de détails,
transparence aériei ne dans les ombres, modelé
parfait dans les figures, richesses, ampleur,
puissance dans les effets de lumière et de relief,
enfin tout ce qui suffit isolément pour faire re-
marquer une épreuve, se trouve réuni dans
cette page splendide. Quel que soit le talent de
M. Baldus, dont nous couuaisons la valeur, il
ne fera rien de plus beau.
Quant aux panoramas de Paris, aux vues de
l'Hôtel-de-Ville, de la Bibliothèque, de l'ancien
Louvre, des quatre pavillons nouvellement
construits, et celles prises à Lyon pendant
les dernières inondations, nous dirons seulement
qu'elles sont encore supérieures à tout ce que
M. Baldus a produit.
D'antres artistes, qui ont aussi depuis long-
temps fait leurs preuves, MM. Bisson frères,
ont offert à l'examen du public une exposition
des plus remarquables. Que dire du panorama
de Paris, du pavillon de l'Horloge et de la bi-
bliothèque du Louvre, de ces épreuves si con-
nues et tant admirées ? Bornons-nous à féliciter
MM. Bisson d'avoir envoyé à Bruxelles quelques-
unes de leurs belles reproductions de l'oeuvre de
Rembrandt. Nulle part elles ne pouvaient être
mieux appréciées. Le grand maître lui-même
aurait peine à les distinguer de ses propres
oeuvres, s'il pouvait descendre de son piédestal
de marbre pour venir visiter les salles du musée
de Bruxelles.
C'est avec'un véritable plaisir que nous nous
faisons l'écho de l'opinion générale en félici-
tant MM. Baldus et Bisson frères des nou-
veaux succès qu'ils viennent d'obtenir ; car ces
derniers aussi ont bien mérité de la photogra-
phie, non-seulement par les beaux résultats
qu'elle a donnés entre leurs mains expérimentées,
mais encore par l'extension qu'elle leur doit au
point de vue industriel, qui a bien aussi son
importance. Par le nombre et la nature de
leurs productions, ils ont puissamment contri-
bué avec MM. Perrier, Blanquart-Evrard et
Moulin à créer une des branches les plus floris-
santes de l'industrie parisienne.
Puisque nous avons prononcé le nom de
M. Blanquart-Evrard, nous nous bornerons à
dire qu'il a exposé dix-sept volumes, sortis de
son imprimerie de Lille, et contenant des Spé-
cimens de diverses publications qu'il a entre-
prises avec succès, telles que : les Monuments
de Jérusalem, le Nil. l'Egypte, la JS'vbie et la
Syrie, Paris et Versailles, les Bords du Rhin et
les Pyrénées, la Belgique, le Musée, l'Album, les
Etudes, les Mélanges photographiques, l'Art reli-
gieux, etc., etc. On a trop publié que M. Blan-
quart-Evrard a été le premier éditeur des pho-
tagraphes, alors que tout le monde doutait
' encore de l'avenir du nouvel art. 11 les a en-
couragés, soutenus, dirigés ; il n'a reculé de-
vant aucun sacrifice pour faire connaître leurs
oeuvres; et en définitive il a bien fait, car les
publications qu'il a osé entreprendre resteront
en témoignage de son intelligence artistique et
de sa persévérance. En un mot, M. Blanquart-
Evrard a été pour les photographes ce (pie fut
Ladvocat, l'éditeur du quai Voltaire, pour les
écrivains les plus célèbres de nos jours. Nous
saisissons avec empressement l'occasion de rap-
peler ce fait, qui a son importance pour l'histoire
de la photographie.
Le cadre envoyé par M. Bavard à Bruxelles
est absolument le même qu'il avait fait figurer
à l'Exposition universelle. Nous n'avons rien à
ajouter à ce que nous en avons déjà dit, si ce
n'est l'expression d'un regret sincère, celui de
voir un artiste comme M. • Bayard ne rien pro-
EXPOSITION photographique à. Sydenlianu — EXPOSITION
photographique de Bruxelles (11e article), par M. Ernest
Lacas.— MOYENS pour conserver sensible à sec, et em-
ployer après un temps indéfini, des collodions de toute
nature, par M. Montheuil, de Tonnerre. — SCIENCES.
Du bitume de Judée, au point de vue de l'application et
au point de vue scientifique. — LETTRE de M. Ch. Nègre.
MOYEN de mesurer le temps d'exposition pour le tirage
des épreuves positives, par M. F. Vogel, de Venise. —
DES LIMITES de l'impressionnabilité des substances pho-
tographiques, par MM. Zaîstedesciii et Boklinktto.
AVIS.
La Compagnie du Palais de Cristal a
déjà reçu de MM. les photographes de Paris
de nombreuses adhésions, et les oeuvres de
nos plus habiles artistes figureront à l'expo^
sition de photographies qui sera ouverte le
15 décembre à Sydcnham. Nous croyons
devoir rappeler à nos abonnés de province
et à l'étranger que cette exposition est. uni-
verselle, et qu'ils sont également invités à y
envoyer leurs produits. Ils peuvent adresser
leurs épreuves, simplement collées sur carton,
.-franco, à M. H. Berthoud, 15, rue des
Maçons-Sorbonne, à Paris, qui les dirigera
sur Sydenham aux frais de la Compagnie.
Exposition photographique
XI
On a dit bien haut — trop haut peut-être —
depuis quelque temps, que les épreuves photo-
graphiques subissaient rapidement une action
destructive, par suite de l'insuffisance du fixage,
et l'on a exhorté les expérimentateurs à recher-
cher les moyens d'obvier à ce grave inconvé-
nient. Certes, c'était un bon conseil à donner, et
le fait est assez grave en lui-même pour qu'on
le signal à l'attention des chercheurs ; mais le
malheur est que le public, dont l'habitude est
de tout exagérer, s'est imaginé que pas une
épreuve ne résistait à la destruction, et que,
aujourd'hui, on ne peut plus montrer une seule
image photographique sans qu'on vous dise :
« C'est bien beau, mais c'est dommage que ça
passe ! » On comprend combien une pareille
croyance peut porter préjudice à la photogra-
phie au point de vue commercial, car une des
qualités que Ton préfère dans la chose achetée,
quelle que soit sa nature, c'est la solidité.
C'est dans le but de détruire cette con-
viction que. M. Baldus a placé dans son cadie
des spécimens qui ont déjà figuré dans plu-
sieurs expositions, sans y rieu changer : — par
exemple, ce ravissant paysage des environs de
Thiers, que les visiteurs ont tant admiré l'année
dernière au palais des Champs-Elysées. L'émi-
nent artiste se propose d'envoyer ces mêmes
épreuves aux diverses expositions qui se feront
encore. Quand on verra qu'après plusieurs
années, elles n'ont pas subi la moindre altéra-
tion, il faudra bien reconnaître que toutes les
productions photographiques ne passent point,
ce dont peuvent facilement s'assurer, du reste,
les personnes qui possèdent une nombreuse et
ancienne collection.
Cete .bonne pensée, dont on comprendra
l'importance, n'est pas la seule dont on soit
redevable à M. Baldus. Cet intelligent et labo-
rieux artiste a toujours saisi avec empressement
et sans calculer ses propres intérêts, l'occasion
de Mre^^ggiïttMMHBMographie comme l'auxi-
liaire utile, nous dirons presque indispensable
des beaux-arts, surtout par ceux à qui appar-
tiennent les décisions en pareille matière. Ainsi
la collection danslaquelle il a rereproduit le nou-
veau Louvre jusque dausses moindres détails,
est une oeuvre qui restera comme un monu-
ment glorieux pour la photographie.
Plusieurs planches faisant partie de ce gi-
gantesque travail figurent à Bruxelles dans le
cadre de M. Baldus. Nous avons vu des pein
très, des sculpteurs, des architectes s'arrêter
devant ces magnifiques épreuves, et traduire
en termes non équivoques l'admiration qu'elles
leur inspiraient. Il faut dire aussi qu'elles surpas-
sent tout ce que l'éminent photographe a fait
connaître jusqu'à ce jour. 11 est impossible que
la photographie aille plus loin : c'est la perfec-
tion. Si l'on étudie, par exemple, le fragment
du pavillon de Richelieu, qu'il a intitulé
Grand détail du nouveau Louvre, on y trouvera
à la fois toutes les qualités, tous les luxes
de la photographie : exquise finesse de détails,
transparence aériei ne dans les ombres, modelé
parfait dans les figures, richesses, ampleur,
puissance dans les effets de lumière et de relief,
enfin tout ce qui suffit isolément pour faire re-
marquer une épreuve, se trouve réuni dans
cette page splendide. Quel que soit le talent de
M. Baldus, dont nous couuaisons la valeur, il
ne fera rien de plus beau.
Quant aux panoramas de Paris, aux vues de
l'Hôtel-de-Ville, de la Bibliothèque, de l'ancien
Louvre, des quatre pavillons nouvellement
construits, et celles prises à Lyon pendant
les dernières inondations, nous dirons seulement
qu'elles sont encore supérieures à tout ce que
M. Baldus a produit.
D'antres artistes, qui ont aussi depuis long-
temps fait leurs preuves, MM. Bisson frères,
ont offert à l'examen du public une exposition
des plus remarquables. Que dire du panorama
de Paris, du pavillon de l'Horloge et de la bi-
bliothèque du Louvre, de ces épreuves si con-
nues et tant admirées ? Bornons-nous à féliciter
MM. Bisson d'avoir envoyé à Bruxelles quelques-
unes de leurs belles reproductions de l'oeuvre de
Rembrandt. Nulle part elles ne pouvaient être
mieux appréciées. Le grand maître lui-même
aurait peine à les distinguer de ses propres
oeuvres, s'il pouvait descendre de son piédestal
de marbre pour venir visiter les salles du musée
de Bruxelles.
C'est avec'un véritable plaisir que nous nous
faisons l'écho de l'opinion générale en félici-
tant MM. Baldus et Bisson frères des nou-
veaux succès qu'ils viennent d'obtenir ; car ces
derniers aussi ont bien mérité de la photogra-
phie, non-seulement par les beaux résultats
qu'elle a donnés entre leurs mains expérimentées,
mais encore par l'extension qu'elle leur doit au
point de vue industriel, qui a bien aussi son
importance. Par le nombre et la nature de
leurs productions, ils ont puissamment contri-
bué avec MM. Perrier, Blanquart-Evrard et
Moulin à créer une des branches les plus floris-
santes de l'industrie parisienne.
Puisque nous avons prononcé le nom de
M. Blanquart-Evrard, nous nous bornerons à
dire qu'il a exposé dix-sept volumes, sortis de
son imprimerie de Lille, et contenant des Spé-
cimens de diverses publications qu'il a entre-
prises avec succès, telles que : les Monuments
de Jérusalem, le Nil. l'Egypte, la JS'vbie et la
Syrie, Paris et Versailles, les Bords du Rhin et
les Pyrénées, la Belgique, le Musée, l'Album, les
Etudes, les Mélanges photographiques, l'Art reli-
gieux, etc., etc. On a trop publié que M. Blan-
quart-Evrard a été le premier éditeur des pho-
tagraphes, alors que tout le monde doutait
' encore de l'avenir du nouvel art. 11 les a en-
couragés, soutenus, dirigés ; il n'a reculé de-
vant aucun sacrifice pour faire connaître leurs
oeuvres; et en définitive il a bien fait, car les
publications qu'il a osé entreprendre resteront
en témoignage de son intelligence artistique et
de sa persévérance. En un mot, M. Blanquart-
Evrard a été pour les photographes ce (pie fut
Ladvocat, l'éditeur du quai Voltaire, pour les
écrivains les plus célèbres de nos jours. Nous
saisissons avec empressement l'occasion de rap-
peler ce fait, qui a son importance pour l'histoire
de la photographie.
Le cadre envoyé par M. Bavard à Bruxelles
est absolument le même qu'il avait fait figurer
à l'Exposition universelle. Nous n'avons rien à
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n'est l'expression d'un regret sincère, celui de
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