Titre : La Lumière : journal non politique... : beaux-arts, héliographie, sciences
Auteur : Société héliographique (France). Auteur du texte
Éditeur : Société d'héliographie (Paris)
Éditeur : A. GaudinA. Gaudin (Paris)
Éditeur : M.-A. GaudinM.-A. Gaudin (Paris)
Date d'édition : 1867-03-30
Contributeur : Monfort, Benito R. de (18..-18..). Directeur de publication
Contributeur : Gaudin, Alexis (1816-1894). Directeur de publication
Contributeur : Lacan, Ernest (1829-1879). Rédacteur
Contributeur : Gaudin, Marc-Antoine (1804-1880). Rédacteur. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32809606x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3408 Nombre total de vues : 3408
Description : 30 mars 1867 30 mars 1867
Description : 1867/03/30 (A17,N6). 1867/03/30 (A17,N6).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5401213k
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3100
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/12/2010
ABONNEMENTS
Paru.
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Trois mois 3 50
lï «parlement s.
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Bureaux d'abonnement : rue de la Perle, 9, à Paris.
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50 Mars 4807.
BEVUE DE LA PHOTOGRAPHIE
1IAÏÏTS»A1TS. - MÉLlKOXBi&AJPiHilI, - SCIEHOS
PAEAISSAHT IE 15 ET LE 30 DE CHAUDE MOIS.
M. Mc-Â. GÀUDIN,
RÉDACTEUR EN CHEF
Pour ce qui concerne In
Rédaction, écrire franco, 6, rue
Oudinot, à M. M'-A. GAUDIN.
-co-
Pour les Abonnements ou les
réclamations relatives au soir-
vice, s'adresser à H. GAUDIK,
rue de la Perle,9, o Paris.
-c-S)?-o-
SOMMAIUE.
Photo-grapliomètre de M. A. Chevalier, note de M. J. Du-
bosci], présentée à l'Académie des sciences par M. Fizeau.
Réactif tres-sensible pour rechercher l'iiyposulfite de soude
dans les eaux de lavage, par M. Vogel.
Rajeunissement du collodion vieilli par le moyen de la
morphine, par M. G. L. Cocco.
Rapport sur le prix Trdmont, décerné à M. Mc-A. Gaudin.
Bulletin scientifique et industriel: Accidents et sinistre en
Algérie, etc.
Annonces.
PH0T0-GRÀPH01ÈTRE DE M. L CHEVALIER
Noie de M. J. Duboscq, présentée par M. Fiz-eau.
Le mérite essentiel de cet appareil est d'être
automatique ; une fois dressé, cet appareil in-
scrit de lui-même, sur le pian, les divers points
que l'objectif embrasse sur le terrain. 11 s'agit
d'observer mécaniquement, et dans un temps
régulièrement compté, les différents points d'un
panorama et de les inscrire au même instant
sur l'écran, d'où on les relèvera ensuite par les
méthodes usuelles.
L'objectif est en tout semblable à ceux dont
sont munies les chambres noires ordinaires ; il
est dressé verticalement sur un plateau circu-
laire qu'un mouvement d'horlogerie anime d'un
mouvement régulier dans le plan horizontal.
L'objectif ayant sa tête dirigée vers les points
saillants de l'horizon, les faisceaux lumineux
qui l'ont traversé sont déviés de 90 degrés par
un prisme à réflexion totale, et les images
viennent se former sur le plan horizontal.
Le plateau qui porte l'objectif reçoit un mou-
vement de rotation comme il a été dit ci-dessus,
et à l'aide d'un régulateur on peut communiquer
à ce mouvement trois vitesses progressives,
selon la nature du panorama à lever.
L'écran récepteur est naturellement ici une
g-lace collodionnée; elle est maintenue fixée dans
l'intérieur du disque obturateur dans lequel
elle est rigoureusement centrée, de telle sorte
qu'en ouvrant au jour le centre de l'obturateur,
la lumière fasse tache au centre même de !a
g-lace sensibilisée.
L'appareil est muni, comme on le conçoit du
reste, des accessoires indispensables aux ins-
truments destinés à un tel usage : niveau, lu-
nette; boussole, etc.
Si, sans autre précaution, on opérait par un
mouvement de rotation continu, les images qui
se modifient à chaque instant se superposeraient
les unes aux autres, et, la surface sensible les
gardant toutes, il y aurait confusion com-
plète.
Il était donc nécessaire de recourir à un
dispositif tout à fait spécial; c'est ce qui carac-
térise l'oeuvre de l'inventeur.
La totalité de la surlace sensible est recou-
verte par un écran opaque, dans lequel est
ménagée une fente très-étroite, dont la ligue
médiane passe par l'axe de rotation et se trouve
dans le plan vertical passant par l'axe optique.
Il est entendu que l'écran est entraîné par
le plateau dans le mouvement de rotation.
Cette disposition permet d'appliquer le mouve-
ment continu, et, lorsque l'appareil a fait une
révolution complète, la surface sensible indique
matériellement et exactement les angles que
font entre eux et le point de station tous les
points de l'horizon qui se sont présentés succes-
sivement dans le champ optique de l'instru-
ment.
L'appareil est donc un véritable graphomètre
écrivant ou graphomètre photographique, selon
l'expression propre de l'auteur.
Dans certains cas, où l'on désirerait ne rele-
ver que des points isolés sur un plan, l'opéra-
tion par voie continue absorbant un temps qui
serait relativement trop considérable, on a com-
biné un mode opératoire qui permet de ne fixer
que les points voulus: c'est ce que l'auteur
?indique sous le nom de Méthode par secteur
fixe.
Une condition importante restait à remplir
pour compléter les avantages dont cet appa-
reil est susceptible : il est intéressant de sur-
veiller l'objet visé, s'il doit passer par plusieurs
phases de changements d'état; alors il faut,
pour les saisir et les inscrire sur l'écran, que
l'objectif soit fixe et l'écran mobile.
Cette condition est également remplie par le
graphomètre photographique.
L'appareil de M. Chevalier a déjà fait ses
preuves, et les photographies que nous avons
l'honneur de soumettre à l'Académie, repré-
sentant le plan du château de Pierrefonds, exé-
cuté sous la direction de M. Viollet-le-Duc, en
sont, nous l'espérons, une preuve suffisamment
manifeste.
RÊAGTIF TRÈS-SENSIBLE
Pour rechercher l'iiyposulilte de soude «Sans
les eaux de lavage.
Pau M. VOGEL.
Rien n'est plus important pour un photographe
consciencieux, et surtout pour celui qui travaille sur
une grande échelle, que la certitude d'avoir des
épreuves bien lavées. Mais ce sera là toujours un
point Ires-incertain. du moins tant que nous serons
obligés de nous confier aux soins des agents inférieurs,
chargés en général de celte partie du travail. Aussi
doil-ou considérer comme d'une grande importance
la recherche de procédés qui permettent à tout mo-
ment de vérifier l'étal des eaux provenant du lavage
des épreuves. On a proposé dans ce but différentes
méthodes. L'une d'elles consiste dans l'emploi du
zinc pur et de l'acide sulfurique étendu; à leur con-
tact, ces deux corps dégagent de l'hydrogène, et
celui-ci, s'il rencontre la plus petite trace d'hypostil-
file, se transforme en hydrogène sulfuré, facile à re-
connaître à l'aide d'un papier imprégné de sel de
plomb. Ainsi que l'a fait remarquer M. Reissig, ce
.procédé est loin d'être bon; en effet, l'acide sulfu-
rique et le zinc sont rarement purs dans le com-
merce, el il arrive souvent qu'ils peuvent d'eux-
mêmes, el sans qu'il soit besoin d'aucune sub-
stance étrangère, dégager de l'hydrogène sulfuré.
D'après M. le docteur Rcissig, on peut, du reste, par
ce procédé, reconnaître la présence de 1/1200000
d'hyposulfile.
Une seconde méthode consiste à ajouter aux eaux
de lavage soit du nitrate d'argent, soit un sel de
mercure; elle ne donne pas des résultats suffisam-
ment exacts.
M. Rcissig, de son côté, a conseillé l'emploi de l'é-
lectricité: lorsque, dans un liquide dont on veul faire
l'essai, on introduit l'électrode en argent d'une pile,
la plus petite trace d'hyposulfile suffit pour colorer
en brun cet électrode. Mais cette méthode oblige à
avoir toujours une pile en bon étal, ce qui ne laisse
pas de constituer une difficulté. Celte méthode per-
met de reconnaître 1/1000000 d'hyposulfile.
On obtient des résultats aussi exacts avec la mé-
thode suivante, qui, à cause de sa simplicité et de
sa certitude, doil, je crois, être recommandée. Elle
repose sur l'action bien connue qu'exerce l'iodure
d'amidon sur l'byposulfile de soude. On sait qu'il
suffit d'ajouter à une solution bleue d'amidon ioduiv
un hyposulfite alcalin pour amener la décolorai immédiate de celte solution, Plus la solution d'amidon
est concentrée, plus est grande la quantité d'hyposul-
file nécessaire pour la décolorer ; aussi, dans le cas
où l'on opère sur des eaux de lavage qui ne renfer-
ment que de faibles quantités d'hyposullile, faut-i\
employer des solutions d'iodure d'amidon très-élcn-
dues.
.le prépare ma solution de la manière suivante : Je
mélange avec quelques gouttes d'eau froide 1 partie
d'arrow-root ; j'y ajoute ensuite environ 100 par.ics
d'eau bouillante, el j'obtiens ainsi une solution inco-
lore d'amidon qui, pendant six semaines et plus, peut
se conserver sans altération. Cet empois étant refroidi,
Paru.
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Réactif tres-sensible pour rechercher l'iiyposulfite de soude
dans les eaux de lavage, par M. Vogel.
Rajeunissement du collodion vieilli par le moyen de la
morphine, par M. G. L. Cocco.
Rapport sur le prix Trdmont, décerné à M. Mc-A. Gaudin.
Bulletin scientifique et industriel: Accidents et sinistre en
Algérie, etc.
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PH0T0-GRÀPH01ÈTRE DE M. L CHEVALIER
Noie de M. J. Duboscq, présentée par M. Fiz-eau.
Le mérite essentiel de cet appareil est d'être
automatique ; une fois dressé, cet appareil in-
scrit de lui-même, sur le pian, les divers points
que l'objectif embrasse sur le terrain. 11 s'agit
d'observer mécaniquement, et dans un temps
régulièrement compté, les différents points d'un
panorama et de les inscrire au même instant
sur l'écran, d'où on les relèvera ensuite par les
méthodes usuelles.
L'objectif est en tout semblable à ceux dont
sont munies les chambres noires ordinaires ; il
est dressé verticalement sur un plateau circu-
laire qu'un mouvement d'horlogerie anime d'un
mouvement régulier dans le plan horizontal.
L'objectif ayant sa tête dirigée vers les points
saillants de l'horizon, les faisceaux lumineux
qui l'ont traversé sont déviés de 90 degrés par
un prisme à réflexion totale, et les images
viennent se former sur le plan horizontal.
Le plateau qui porte l'objectif reçoit un mou-
vement de rotation comme il a été dit ci-dessus,
et à l'aide d'un régulateur on peut communiquer
à ce mouvement trois vitesses progressives,
selon la nature du panorama à lever.
L'écran récepteur est naturellement ici une
g-lace collodionnée; elle est maintenue fixée dans
l'intérieur du disque obturateur dans lequel
elle est rigoureusement centrée, de telle sorte
qu'en ouvrant au jour le centre de l'obturateur,
la lumière fasse tache au centre même de !a
g-lace sensibilisée.
L'appareil est muni, comme on le conçoit du
reste, des accessoires indispensables aux ins-
truments destinés à un tel usage : niveau, lu-
nette; boussole, etc.
Si, sans autre précaution, on opérait par un
mouvement de rotation continu, les images qui
se modifient à chaque instant se superposeraient
les unes aux autres, et, la surface sensible les
gardant toutes, il y aurait confusion com-
plète.
Il était donc nécessaire de recourir à un
dispositif tout à fait spécial; c'est ce qui carac-
térise l'oeuvre de l'inventeur.
La totalité de la surlace sensible est recou-
verte par un écran opaque, dans lequel est
ménagée une fente très-étroite, dont la ligue
médiane passe par l'axe de rotation et se trouve
dans le plan vertical passant par l'axe optique.
Il est entendu que l'écran est entraîné par
le plateau dans le mouvement de rotation.
Cette disposition permet d'appliquer le mouve-
ment continu, et, lorsque l'appareil a fait une
révolution complète, la surface sensible indique
matériellement et exactement les angles que
font entre eux et le point de station tous les
points de l'horizon qui se sont présentés succes-
sivement dans le champ optique de l'instru-
ment.
L'appareil est donc un véritable graphomètre
écrivant ou graphomètre photographique, selon
l'expression propre de l'auteur.
Dans certains cas, où l'on désirerait ne rele-
ver que des points isolés sur un plan, l'opéra-
tion par voie continue absorbant un temps qui
serait relativement trop considérable, on a com-
biné un mode opératoire qui permet de ne fixer
que les points voulus: c'est ce que l'auteur
?indique sous le nom de Méthode par secteur
fixe.
Une condition importante restait à remplir
pour compléter les avantages dont cet appa-
reil est susceptible : il est intéressant de sur-
veiller l'objet visé, s'il doit passer par plusieurs
phases de changements d'état; alors il faut,
pour les saisir et les inscrire sur l'écran, que
l'objectif soit fixe et l'écran mobile.
Cette condition est également remplie par le
graphomètre photographique.
L'appareil de M. Chevalier a déjà fait ses
preuves, et les photographies que nous avons
l'honneur de soumettre à l'Académie, repré-
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cuté sous la direction de M. Viollet-le-Duc, en
sont, nous l'espérons, une preuve suffisamment
manifeste.
RÊAGTIF TRÈS-SENSIBLE
Pour rechercher l'iiyposulilte de soude «Sans
les eaux de lavage.
Pau M. VOGEL.
Rien n'est plus important pour un photographe
consciencieux, et surtout pour celui qui travaille sur
une grande échelle, que la certitude d'avoir des
épreuves bien lavées. Mais ce sera là toujours un
point Ires-incertain. du moins tant que nous serons
obligés de nous confier aux soins des agents inférieurs,
chargés en général de celte partie du travail. Aussi
doil-ou considérer comme d'une grande importance
la recherche de procédés qui permettent à tout mo-
ment de vérifier l'étal des eaux provenant du lavage
des épreuves. On a proposé dans ce but différentes
méthodes. L'une d'elles consiste dans l'emploi du
zinc pur et de l'acide sulfurique étendu; à leur con-
tact, ces deux corps dégagent de l'hydrogène, et
celui-ci, s'il rencontre la plus petite trace d'hypostil-
file, se transforme en hydrogène sulfuré, facile à re-
connaître à l'aide d'un papier imprégné de sel de
plomb. Ainsi que l'a fait remarquer M. Reissig, ce
.procédé est loin d'être bon; en effet, l'acide sulfu-
rique et le zinc sont rarement purs dans le com-
merce, el il arrive souvent qu'ils peuvent d'eux-
mêmes, el sans qu'il soit besoin d'aucune sub-
stance étrangère, dégager de l'hydrogène sulfuré.
D'après M. le docteur Rcissig, on peut, du reste, par
ce procédé, reconnaître la présence de 1/1200000
d'hyposulfile.
Une seconde méthode consiste à ajouter aux eaux
de lavage soit du nitrate d'argent, soit un sel de
mercure; elle ne donne pas des résultats suffisam-
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met de reconnaître 1/1000000 d'hyposulfile.
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