Presse et revues
12 pages
Titre : La Lumière : journal non politique... : beaux-arts, héliographie, sciences
Auteur : Société héliographique (France). Auteur du texte
Éditeur : Société d'héliographie (Paris)
Éditeur : A. GaudinA. Gaudin (Paris)
Éditeur : M.-A. GaudinM.-A. Gaudin (Paris)
Date d'édition : 1867-01-15
Contributeur : Monfort, Benito R. de (18..-18..). Directeur de publication
Contributeur : Gaudin, Alexis (1816-1894). Directeur de publication
Contributeur : Lacan, Ernest (1829-1879). Rédacteur
Contributeur : Gaudin, Marc-Antoine (1804-1880). Rédacteur. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32809606x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3408 Nombre total de vues : 3408
Description : 15 janvier 1867 15 janvier 1867
Description : 1867/01/15 (A17,N1). 1867/01/15 (A17,N1).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5401137n
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-3100
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 22/12/2008
1
ile Année. — N°4. Bureasx d'abonnement : rue de la Perle, 0, à Paris. 15 Janvier 1867.
ABONNEMENTS
Paris.
Un an 10 fr. »
Six mois G »
Trois mois 3 50
Départent eut g.
Dn an 11 fr. »
Six mois G 50
Tiois mois I s
Etranger.
Un an .. 13 fr. » -
Six moik 7 ..50.-;
Il ois mois 4 •' 5p..'-
LA LUMIERE
REVUE DE LA PHOTOGRAPHIE
1EAHJX-AÎRTS. — MÉMO (fil APMB. — SCIKHCBS
\A -, PARâlSS&HT LE 15 ET LE 30 DE CHAQUE MOIS.
M.lc-À. GÀUDIN,
RÉDACTEUR EN CHEF
Pour ce qui concerne lu
Rédaction, écrire î>aDCo,f>, vuo
OudiDot, ù M. H'-A. GAUDIN.
Pour les Abonnements ou les
réclamations relatives au ser-
vice, s'adresser à M. GAUDIN,
rue de la Perle, 9, à Paris.
S0MMAIÎIE.' , '
Le véritable stéréoscope omnibus, par M. Mc-A. Gandin.
Revue des publications photographiques anglaises : Apprêts
pour les envois à faire d'Angleterre pour notre prochaine
exposition universelle. — Poudre organique pour servir
au développement des négatifs, par ie Dr Sclmauss; ob-
servations sur cette poudre. — Réflexions sur le procédé
au charbon de MM. Mawson et Swan. — Remarques sur
l'emploi du permanganate d'argent pour purifier les eaux
naturelles avant de les employer c» photographie, par
M. William Crookes. — Renseignements sur les essais du
papier leptographique faits en Allemagne ; observations.
Tirage des épreuves stéréoscopiques sans transposition des
négatifs, par M. Knnel.
•Correspondance, lettre de M. Despaquis ; observations.
Bulletin de l'Académie des sciences.
Fabrication d'un canon monstre aux Etats-Unis.
Une chasse au serpent.
Annonces.
LE VÉRITABLE STÉRÉOSCOPE OMNIBUS.
La nouvelle direction que je suivrai désor-
mais pour la rédaction du journal, d'après
l'avis et la volonté de M. Charles Gaudin,
mettra nos lecteurs mieux au courant de tous
les progrès acquis à la photographie, et, en y
ajoutant à la liu des articles très-variés con-
cernant les sciences, les arts et l'industrie, sa
lecture en sera à la fois plus profitable et plus
agréable.
Pour ce numéro, j'appelle l'attention de nos
lecteurs sur le procédé bien utile de .M. Ennel,
■concernant le tirage des négatifs pour stéréos-
copes sans avoir à couper ni transposer les
g'Iaces ou les épreuves.
J'ai, de mon côté, imaginé bien des procédés,
qui pourront s'appliquer avec succès en photo-
graphie; je me propose de publier tous ceux
qui me reviendront à la mémoire, et, pour com-
mencer, je vais en indiquer un qui me paraît
bien désirable.
îl s'en faut de beaucoup que tout le monde,
doué d'une bonne vue, soit apte à voir le relief
du stéréoscope, qui est certes un beau spectacle
et dont on ne se lassera jamais, les perfection-
nements et les applications nouvelles se succé-
dant à mesure que les années s'accumulent.
Je dis donc que peu de personnes ont les
deux yeux assez égaux entre eux pour bien
voir au stéréoscope. Sur le nombre général, il
se trouve peut-être un bon tiers des personnes
qui voient toujours deux images, à cause de la
non-coïncidence des axes optiques ou de la
différence focale d'un oeil comparé à celle de
l'autre, et je me suis longtemps creusé la tête
pour trouver un procédé qui permît à tout le
monde de jouir du stéréoscope, môme aux
borgnes, et aussi de faire participer toute une
société à la fois à la vue d'une même image,
sous forme de spectacle. Voici donc ce que j'ai
imaginé, il y a déjà bien longtemps, pour y
parvenir :
On prétend que la perception de la vue subit
bien des illusions d'optique causées par la ra-
pidité des changements qui surviennent dans
les images soumises au regard ; ainsi, un chan-
gement opéré dans la courte durée d'un cen-
tième de seconde passe, dit-on, inaperçu, et
les sensations de l'image antérieure se confon-
dent avec les sensations de l'image postérieure,
nand le changement est très - loin d'être
adical.
Je dis donc que si l'on faisait projeter sur
un écran et à tour de rôle chacune des images
d'une épreuve stôréoscopique, et .sensiblement à
la même place (ce changement s'effectuant en
moins d'un centième de seconde), il en résul-
terait certainement la sensation du relief sté-
réoscopique pour toutes les vues possibles,
même pour un seul oeil, et voici comment je
produirais ce résultat.
Je ferais arriver sur un positif stôréoscopique
sur verre, dont les deux moitiés seraient légè-
rement inclinées en avant de manière à former
un V très-ouvert, une lumière très-intense en-
gendrée par le gaz oxygène avec tous les
accroissements possibles produits par réflexion.
Ces images étant ainsi éclairées, il deviendrait
possible de les recueillir par une pièce optique
similaire disposée en avant de chacune et por-
tant à peu près au môme point l'image ampli-
fiée de chaque épreuve. Et si alors on faisait
mouvoir en avant des pièces optiques, et à
l'endroit le plus convenable, un disque formant
écran, divisé en six parties égales et dont trois
alternées seraient découpées à jour, il en résul-
terait la projection alternative des deux images
sléréoscopiques sur l'écran, chacune trois fois
environ par tour complet et avec des alter-
nances se succédant d'autant plus rapidement
que le nombre des révolutions du disque serait
plus grand dans l'unité de temps; et je ne
doute pas qu'avec deux ou trois cents tours
par seconde on n'eût un succès complet. Trois
cents tours par seconde est chose très-facile à
obtenir; car on a pu imprimer à des pièces
d'une grande délicatesse destinées à mesurer
la vitesse de la lumière, une rapidité d'évolu-
tion s'élevant à six mille tours par seconde.
Mc-A Gaudiw.
REVDE DES PUBLICATIONS PHOTOGRAPHIQUES ANGLAISES
Apprêts pour les envois à faire d'Angleterre
pour notre prochaine exposition universelle.
Les efforts fails à Londres pour faire arriver en
France, en temps voulu, les oeuvres des exposants,
ont enfin abouti à un règlement en seize articles très-
détaillés, qui produira sans doute quelque effet. La
publication de ce règlement n'aurait aucun but dans
la Lumière, puisqu'il ne concerne que les exposants
anglais; je dirai seulement qu'il serait fâcheux que,
faute de diligence en ce moment, notre exposition
fut privée du contingent des artistes anglais, qui sont
la plupart très-habiles.
Poudre organique pour servir an développe-
ment tles nés-atifs.
Le docteur Sclmauss, dans les Archives photogra-
phiques , a donné les résultats d'une analyse qu'il a
faite d'une nouvelle poudre organique pour dévelop-
pement, qu'il dit être vendue on Angleterre, au prix
de :i shillings et (i pence la livre. Celle poudre est
d'une couleur tirant sur le jaune-brunâtre cl à l'état
tres-divisé. Quand on veut s'en servir, on la dissout
diius de l'eau chaude, à la proportion do trois parties
de poudre pour cinquante parties d'eau, puis on
ajouleà la solution filtrée deux parties d'acide acétique
eristallisablc ; la proportion de ce dernier doit cepen-
dant varier suivant la température de l'air, la viva-
cité du développement étant fort augmentée en raison
de la proportion d'acide ajoutée. 11 est recommandé
de préparer le mélange peu d'heures seulement avant
d'en faire usage.
Voici le résultat de l'analyse qualitative do, celle
poudre :
-1" Sulfate de fer ammoniacal (ingrédient prin-
cipal) ;
2° l'ersulfate de fer basique;
'.i" Sulfate de cuivre;
A" Acétate de soude ;
5" Formiate de soude;
C" Sucre do lait.
La proportion- de sucre de. lait contenue dans la
poudre est environ le quart de la quantité de sulfate
de fer ammoniacal.
Celle poudre a été adroitement préparée avec des
subslanc.es propres à produire les meilleurs résultais
de développement, l'excès d'oxyde (le 1er formant,
avec l'acide acétique, un acétate basique de peroxyde
de fer composé, qui est connu depuis longtemps
comme étant un puissant révélateur. En pratique, le
docteur Sclmauss déclare que la poudre donne de bons
résultats; elle est un peu lente à développer, mais
elle procure de la netteté et de la vigueur. On re-
marquera que l'on n'indique ici aucune formule pré-
cise, bien qu'on ail spécifié les ingrédients et confirmé
leur efficacité, et cela à dessein, afin que, si la prépa-
ration se trouve bonne, il en résulte un profil pour
dédommager son inventeur.
OnsEnvATiONs. — Ayant moi-même fait les recher-
ches les plus persévérantes sur les réducteurs à base
de fer, je suis convaincu que la poudre en question
peut bien donner des épreuves nettes et vigoureuses
en raison des ingrédients qui la composent cl qui tous
ile Année. — N°4. Bureasx d'abonnement : rue de la Perle, 0, à Paris. 15 Janvier 1867.
ABONNEMENTS
Paris.
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REVUE DE LA PHOTOGRAPHIE
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M.lc-À. GÀUDIN,
RÉDACTEUR EN CHEF
Pour ce qui concerne lu
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OudiDot, ù M. H'-A. GAUDIN.
Pour les Abonnements ou les
réclamations relatives au ser-
vice, s'adresser à M. GAUDIN,
rue de la Perle, 9, à Paris.
S0MMAIÎIE.' , '
Le véritable stéréoscope omnibus, par M. Mc-A. Gandin.
Revue des publications photographiques anglaises : Apprêts
pour les envois à faire d'Angleterre pour notre prochaine
exposition universelle. — Poudre organique pour servir
au développement des négatifs, par ie Dr Sclmauss; ob-
servations sur cette poudre. — Réflexions sur le procédé
au charbon de MM. Mawson et Swan. — Remarques sur
l'emploi du permanganate d'argent pour purifier les eaux
naturelles avant de les employer c» photographie, par
M. William Crookes. — Renseignements sur les essais du
papier leptographique faits en Allemagne ; observations.
Tirage des épreuves stéréoscopiques sans transposition des
négatifs, par M. Knnel.
•Correspondance, lettre de M. Despaquis ; observations.
Bulletin de l'Académie des sciences.
Fabrication d'un canon monstre aux Etats-Unis.
Une chasse au serpent.
Annonces.
LE VÉRITABLE STÉRÉOSCOPE OMNIBUS.
La nouvelle direction que je suivrai désor-
mais pour la rédaction du journal, d'après
l'avis et la volonté de M. Charles Gaudin,
mettra nos lecteurs mieux au courant de tous
les progrès acquis à la photographie, et, en y
ajoutant à la liu des articles très-variés con-
cernant les sciences, les arts et l'industrie, sa
lecture en sera à la fois plus profitable et plus
agréable.
Pour ce numéro, j'appelle l'attention de nos
lecteurs sur le procédé bien utile de .M. Ennel,
■concernant le tirage des négatifs pour stéréos-
copes sans avoir à couper ni transposer les
g'Iaces ou les épreuves.
J'ai, de mon côté, imaginé bien des procédés,
qui pourront s'appliquer avec succès en photo-
graphie; je me propose de publier tous ceux
qui me reviendront à la mémoire, et, pour com-
mencer, je vais en indiquer un qui me paraît
bien désirable.
îl s'en faut de beaucoup que tout le monde,
doué d'une bonne vue, soit apte à voir le relief
du stéréoscope, qui est certes un beau spectacle
et dont on ne se lassera jamais, les perfection-
nements et les applications nouvelles se succé-
dant à mesure que les années s'accumulent.
Je dis donc que peu de personnes ont les
deux yeux assez égaux entre eux pour bien
voir au stéréoscope. Sur le nombre général, il
se trouve peut-être un bon tiers des personnes
qui voient toujours deux images, à cause de la
non-coïncidence des axes optiques ou de la
différence focale d'un oeil comparé à celle de
l'autre, et je me suis longtemps creusé la tête
pour trouver un procédé qui permît à tout le
monde de jouir du stéréoscope, môme aux
borgnes, et aussi de faire participer toute une
société à la fois à la vue d'une même image,
sous forme de spectacle. Voici donc ce que j'ai
imaginé, il y a déjà bien longtemps, pour y
parvenir :
On prétend que la perception de la vue subit
bien des illusions d'optique causées par la ra-
pidité des changements qui surviennent dans
les images soumises au regard ; ainsi, un chan-
gement opéré dans la courte durée d'un cen-
tième de seconde passe, dit-on, inaperçu, et
les sensations de l'image antérieure se confon-
dent avec les sensations de l'image postérieure,
nand le changement est très - loin d'être
adical.
Je dis donc que si l'on faisait projeter sur
un écran et à tour de rôle chacune des images
d'une épreuve stôréoscopique, et .sensiblement à
la même place (ce changement s'effectuant en
moins d'un centième de seconde), il en résul-
terait certainement la sensation du relief sté-
réoscopique pour toutes les vues possibles,
même pour un seul oeil, et voici comment je
produirais ce résultat.
Je ferais arriver sur un positif stôréoscopique
sur verre, dont les deux moitiés seraient légè-
rement inclinées en avant de manière à former
un V très-ouvert, une lumière très-intense en-
gendrée par le gaz oxygène avec tous les
accroissements possibles produits par réflexion.
Ces images étant ainsi éclairées, il deviendrait
possible de les recueillir par une pièce optique
similaire disposée en avant de chacune et por-
tant à peu près au môme point l'image ampli-
fiée de chaque épreuve. Et si alors on faisait
mouvoir en avant des pièces optiques, et à
l'endroit le plus convenable, un disque formant
écran, divisé en six parties égales et dont trois
alternées seraient découpées à jour, il en résul-
terait la projection alternative des deux images
sléréoscopiques sur l'écran, chacune trois fois
environ par tour complet et avec des alter-
nances se succédant d'autant plus rapidement
que le nombre des révolutions du disque serait
plus grand dans l'unité de temps; et je ne
doute pas qu'avec deux ou trois cents tours
par seconde on n'eût un succès complet. Trois
cents tours par seconde est chose très-facile à
obtenir; car on a pu imprimer à des pièces
d'une grande délicatesse destinées à mesurer
la vitesse de la lumière, une rapidité d'évolu-
tion s'élevant à six mille tours par seconde.
Mc-A Gaudiw.
REVDE DES PUBLICATIONS PHOTOGRAPHIQUES ANGLAISES
Apprêts pour les envois à faire d'Angleterre
pour notre prochaine exposition universelle.
Les efforts fails à Londres pour faire arriver en
France, en temps voulu, les oeuvres des exposants,
ont enfin abouti à un règlement en seize articles très-
détaillés, qui produira sans doute quelque effet. La
publication de ce règlement n'aurait aucun but dans
la Lumière, puisqu'il ne concerne que les exposants
anglais; je dirai seulement qu'il serait fâcheux que,
faute de diligence en ce moment, notre exposition
fut privée du contingent des artistes anglais, qui sont
la plupart très-habiles.
Poudre organique pour servir an développe-
ment tles nés-atifs.
Le docteur Sclmauss, dans les Archives photogra-
phiques , a donné les résultats d'une analyse qu'il a
faite d'une nouvelle poudre organique pour dévelop-
pement, qu'il dit être vendue on Angleterre, au prix
de :i shillings et (i pence la livre. Celle poudre est
d'une couleur tirant sur le jaune-brunâtre cl à l'état
tres-divisé. Quand on veut s'en servir, on la dissout
diius de l'eau chaude, à la proportion do trois parties
de poudre pour cinquante parties d'eau, puis on
ajouleà la solution filtrée deux parties d'acide acétique
eristallisablc ; la proportion de ce dernier doit cepen-
dant varier suivant la température de l'air, la viva-
cité du développement étant fort augmentée en raison
de la proportion d'acide ajoutée. 11 est recommandé
de préparer le mélange peu d'heures seulement avant
d'en faire usage.
Voici le résultat de l'analyse qualitative do, celle
poudre :
-1" Sulfate de fer ammoniacal (ingrédient prin-
cipal) ;
2° l'ersulfate de fer basique;
'.i" Sulfate de cuivre;
A" Acétate de soude ;
5" Formiate de soude;
C" Sucre do lait.
La proportion- de sucre de. lait contenue dans la
poudre est environ le quart de la quantité de sulfate
de fer ammoniacal.
Celle poudre a été adroitement préparée avec des
subslanc.es propres à produire les meilleurs résultais
de développement, l'excès d'oxyde (le 1er formant,
avec l'acide acétique, un acétate basique de peroxyde
de fer composé, qui est connu depuis longtemps
comme étant un puissant révélateur. En pratique, le
docteur Sclmauss déclare que la poudre donne de bons
résultats; elle est un peu lente à développer, mais
elle procure de la netteté et de la vigueur. On re-
marquera que l'on n'indique ici aucune formule pré-
cise, bien qu'on ail spécifié les ingrédients et confirmé
leur efficacité, et cela à dessein, afin que, si la prépa-
ration se trouve bonne, il en résulte un profil pour
dédommager son inventeur.
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