.MCSeKMHE
L'administration française vient de perdre,
dans la personne de M.le baron Adolphe .de
WattevUle, inspecteur générai des étab)isse-
Kients de bienfaisance, UB des hommes qui
1 honoraient le~ plus.par son caractère, qui la
servaient le plus utitement par ses tra vaux, unde
ceux dont les efforts et tes écrits'ont ie mieux
contribué a faire sortir une branche importante
de l'économie politique du domaine de !a dis-
cussion pour la pousser dans les voies pra-
tiques
OfScier sous le premier Empu'Q, livré pen-
dant la Restauration à des études sciGntiSques
qui développèrent et aSermirent ses qualités
naturelles,, ia-sagaeite pénétrante, la finesse
dans !e bon sens, Ja lucidité d'un esprtt, a'~a
fois hardi et.pratique, il montra dèsses débuts
dans l'administration cette volonté ferme, cette
dro.iture de c~actère, cette activité et cette ou-
verture d'intelligence qu'it eut, par la suite,
tant d'occasions de prouver.
A l'époque de ses débuts, c'est-à-dire en
1833, presque tout était encore a faire; comme
étude et comme organisation, dans l'adminis-
tration des établissements charitables, et ies tra-
vaux qu'il publia à ce sujet sont immenses:
travaux de codification, d'économie politique,
d'administration, de statistique! Nous citerons
le Code de ~a~H'H!Stra~'oM c/:.OK cAantoMe, ouvrages où sont coordonnées
toutes les dispositions actuellement en vigueur
depuis les édits royaux et les arrêts des Parle-
ments. Dans l'ordre de l'économie politique
nous indiquerons, outre de nombreux articles
publiés dans les plus importantes revues, le
/'c pt'soMS, DM. sort ~M eH/cmfs tro'Mu~. Ses tra-
vaux plus particulièrement administratifs peu-
vent se résumer dans les deux ouvrages sui-
vants &~MattpMp!~M, jEMS! s~r !es ëtsancf. En6n J~statistique lui doit une série de
rapports et de tableaux qui sont jusqu'ici les
seuls où l'on puisse s& renseigner- pour connaî-
tre compléteme~ ~??1 du paupérisme, en
France.
La plupart da.ces ira~càux jouissent aujour-
d'hui d'âne {t~tS~té magen France, tna~~BB~re~.i~J'~t~~ger Us valu-
rent à M. de ~i~t~viHc' Tine~peputation euro-
péenne 'et l'octroi des ordres tes plus estimés.
Queldues-unes d'entre ces publicutions reste-
ront marquées d'un caractère historiqu. L'une
d'entre ettes engagea ]a Chambre des députés
à modtSer un projet de loi suc le droit dss pau-
vres. Qaetques-uns do .a~! se .BappaHent !e
grand bruit que fit SONS la~&pubtique le TYa-
ca~daMs~s.PrMOHS.
L'administratioB ~acaise n'oubliera pas
l'homme qui l'a ainsi nbnore&aux yeux de l'Eu-
rope, qui a mis, pendant trente-qu.itre années,
au service de ceux qui ont )e plus besoin de
protection, au service des vieillards, des en-
fants, des infirmes, un esprit émincnt, une in-
tégrité généreuse, un courage et une bienveil-
lance qu'il a, d'ai)leurs, laissés à ses enfants
comme Ja, plus riche partie de son héritage.
D'HERICÂULT.
H.vient de paraitre un tivre de M~° J. Mi-
ehelet les ~pid:rfs ~tfHe EH/MM où I'an!.cur'
évoque avëc~ne étonaante Ëd&Htc de Fouvenir
ses impressions d'enfance au miiicu d'une' 'fn-
miUe aux types inléressanis et de paysages dé-
Grits avec l&ptus chaud eoiaris.
L.~t!ûHYeIip Maison 0~? EN4SLAND est ou-
verte, 10, rue Neuve-des-Gapucines;– Lesbas
PAS DE.-CâËDrf
On recommajide aux éconosies SjLV!GNT; {.sil-
!et)r, i?,N~d'*s-PeU).s-Cbamps~ faiti ° /.egc.
LA COMT'ËME DU CAYt.A, Zo!/M .TF/77 C< ~C F<)M-
~o«?-~ SatM~-Gefma''M ~o~ ~f~Ta:b' par M.
Cap~Hgue, parait anjonrd'hui.
.mm~ NCs'ABCMES;
Les pefscnTies ~ufs'aboEner't à iaPre~e
pour un-an, sens !n'fr?':e~'a!'r8, ont droit
Ou a la Vi'e:G~c.'i'~i!)! (PAndrea Soiario,
Un chef-d'œuvre duburin~ d'après i'admi-
rabip tableau du {.ouvre:
Ou au C'OMroKR~e~ se i'o'MM'e,
ParFtamengct Ln~uHip'mie; d'après !e célè-
bre dessin de Dupfess~s-Hertaus, si curieux
~rses,~itia6ëures~;
Ou aux ~MM, de Boucher et Baudouin,
Un des plus jolis tableaux du dix-huitième
siècle~aetataj~qtie~~a J copi& <~St~Sf.t~-
&OM;
Ou&F~use~t~rH!~dePrudhon,.
Reproduction exacte.par .Mes Bomy d'un des
plus beaux dessins de Prudhon;
Ou au .Ha~'K, de DifiZ
Ou la J!/ûa!c;t~ d'Eugène Ddacroix
Ces d~ux graBde& m heii~.s p~asHes gr~v~s.
parCb:!GeoHroy;
par Cls. ~aoJ3roy
Ou au~ dem. ceiëb'~s pot'tra.~ de TI.asi'
et d~a.. ~?;?KU''?!< gray~s,. d~pnÈ& .Raphaparï;'Hote!iier.
Les.aboaBL-s (ie Pa' i~ on! à envoyé); 54 fr.
.Lti~'âb'js:!Cs,.dcs Jëpnrtements', 64. fr. en
une a!it(M'iEa'on,d.' !Hii'.e t.raii.c.à vuR su! eux..
En eRvc~ant 1!) franco ou en tes. joignant.
M mujitant df icur renouveJictaent; de. recevoir:
/raMC<~ 1,
H!ST(URE' ~B. L~ MVeLSTiO.'< FHÂNM!SE
~6 MACK!!?ÎC'UES MA'UP.ES A!S)f)!i?f
par IlelmaBn, d'après C:irie Vernet; BoiUy,
Monnet,'Dt!pkssiS-Bei'iaux~papier demi-colom-
bier) forme'de a ~re~M.
~e~i:. üÉS ceas-L, r;s.
a!)ETy !)ES Gf.AYL'nES.
2.ME~GJfiA'
Le SerMent. (/« A'M M ~c S j'7i<'f?;f<'or:
.PSMNM; ~e~"r'j
I.aP)'Me(/e~~
La Prise rle lr7 a-r?3tu e; I Ge ~a err~~raraire;
LaÂ'«~'d«.A-f'; ie~<9~?'if?naM'e;
~QFë[!fraj~g-JMaf. ~i~f.'MHtat (?d.! p!df!!p0-
Ze ~0~}<)S<~ <~MiM~;
~.HjMo~r~O~ f''Mi,)M/tHCt.'M'J~~ifie ~c ~H ~t~<)f; i .e~f ( ~CK; ~M~'p?i7Mt}'e~.
ïmpossiLje de h'ouver; en dehors de ces
seize gravures,-=-~GS .ScMe.'OMî'ttccs ~e.~a'~('o-
~:sante des grands évéHcniCtiis de la RévoluMon
française costumes, moBuments; physiono-
mies, passions,, enthousiasmes, combais,ter--
Murs,, tout est saisi sur ie vifcomtHf.parb
'vérité elle-m~me.
Par suite-d'un traité avec r6d~c:!rja Py'cMs
cS're tous ses abonnés; sans exception,
LA CRUCHE CASSÉE, de GREUZE
au prix de o.f' sur pap?'er ('s C/ii'ns (épreuve
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trouvée dans unmerveiiiëu'x: étafde consërva-
Uon. L'éditeur ne ta vend' pas au dessous de
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EMM'M~~aMBt~~&rnRBnBSNBaBs; -~I
9M TR~~A~I
ESCROQUERIE. LA VICTIME BE SOSIE.
Le 13 février dernier, un sergent du de ligne
sa promenait sentimentalement sur l'une des pla-
ces publiques de Toulon, appelée le Champ-de-
Bataitle, lorsque tout à coup il fut tiré de sa rêverie
par une femme qui, les bras ouverts et la figure
radieuse, se précipita vers lui comme pour l'em-
brasser, en s'écriant: Monsieur Savet vous ici] l
que je suis heureuse de vous revoir! Le sous-offi-
cier auquels'adressaientcesparulesreconnuttoutde
suite qu'il était l'objet d'une méprise, mais les sui-
tes de cette rencontre lui apparaissaient si douées
qu'il hésita un instant avant de ~désabuser. celle
alaqu&ife ilétaittout disposé a tendre les deux
joues.Jl le lit cependant, mais lorsqu'il lui eat dit
« Je na suis pas Sa-ct, )) cette femme se retira sans
paraître entièrement convaincue de son erreur.
Deux jours après, le même sergent parcourait
encore le Champ-de-Bataifle, où l'aventure précé-
dente avait sans doute ramené ses pas. Bientôt il a-
perçut son .inconnue, et, Inr lançant une de ces
œiltades dont le troubadour français possède parti-
culièrement le perfide secret, il chercha à engager
unonouveile action. 0 surprise !l'-inconnue n'est
pas insensible au coup d'œil, et,, d'un pas décidé,
elle vient à la rencontre du sous-ofHcier
Monsieur le sergent, lui dit-elle avec nn ac-
cent italien des plus prononcés, il ne faut pas vous
moquer do moi, parce que je me suis trompée a-
vant-hier. Si je vous ai accosté, c'est que je croyais
que vous ~tiez le Sis de mon ancien maître, M. do
G. conseit)er à la cour impériale de Bastia, a la
Jiimiiio duquel je suis entièrement dévouée.
Mais, répondit le sergent, qui vous fait suppo-
ser que je ne su)S pas Savet?
Alors, reprit l'inconnue, que nous appellerons
Thérèse Carafi'a, pourquoi avez-vous quitté le 37~
de ligne et A!gfr, où vous'étiez en garnison?
Puis, sans attendre d'explications, cette femme.
tant elle était joyeuse d'avoir rencontré l'enfant de
'personnes dont elle avait été la domestique, lui
paria de la maison paternelle, évoqua tous les sou-
venirs que cette reconnaissance inattendue devait
naturellement faire naître, et initia si bien le 'ser-
vent aux habitudes de la maison de M. le conseiller
de G. que le sous-officier fut bientôt en état de
répondre à toutes les questions de son interlocu-
trice de telle façon que si le ~moindre ~doute eut
existé dans l'esprit, de cette dernière, à propos de
l'identité du fils de son maîtM, elle Peut fait
promptement disparaître, en s'écriant, comme dans
.4n~A:tn/on
.A moins d'être Sosie,
Oh ne. peut savoir tout ce qu'il dit..
Apres les premiers moments d'épanchements,
l'ancienne servante s'aperçut que celui qui se di-
sait être le titsde M. de G~ avait l'air souH'rant
eMe lui demanda s'il avait besoin do quelques se-
cours. Celui-ci lui avoua que si elle voulait fui ve-
nir en aide, il )ui en serait très reconnaissant. Thé- I
rèse !ni donna ce qa'eUë avait dans'sâ bourse.
Le:, reta.iians entre, l'ancjepne~ servante et le jea-
ne Savet forent très suivies à partir d~ce moment.
Thérèse, toute à la joie,, écrivit à $astia,aM,de
G. pour lui faire, part de son heureuse rencon-
tre. Peu de temps après, on lui répoadit qu'elle
.s'était trompée, que le véritable Savet était tou-
.jours avec ?on régiment en Algérie, d'où il venait
même d'écrire à sa famille. Elle montra cette let-
tre au sergent, et celui-ci, )ui ayant fait connaître
qu'à la suite d'un coup de tête, il avait, sans ea pré-
venir ses parents, quitté son régiment pour passer
au'2~, cl!e rentra convaincue que ce sergent était
réellement Savet; et, d'ailieurs, la ressemblance
était si frappante c'étaient les mêmes yeux,le mê-
me nez, la même bouche, les mêmes trails enfin.
Du~ février jusqu'au 3 mai suivant, date. du
départ du 92° pour Marseille, Thérèse ne cessa
~d'avoir pour je fils de son ancien maître les soins
''tes plus tendres et les p!us assidus. Domestique
dans uoe maison très honorable de Touloa, sou-
vent eUR se privait de sa nourri!n!'e pour la donner
au sergent. Elle né s'en tint pas,l:i,et,surla de-
mande de ce dernier, elle lui remit diverses som-
mes d'argent.. -1
Bientôt tout se découvrit. Thérèse comprit qu'elle
ava~tété trompée. Blessée dans son amour-propre,
elie dénonça Jes faits au coloné), et le sergent vient
.répondre devant le conseil de guerre d'une escro-
querie en faisant usage de faux nom et de fausses
qualités.
Le sergent essaye de se disculper en prétendant
que les sommes qu'il a reçues, il les considérait
comme des cadeaux de la part d'une maîtresse.
–Ceci, dit le colonel, donne d'abord la mesure .1
de votre moralité; mais cette femcno n'était pas
votre maîtresse; elle s'en défend, et il y a entre
vous une telle disproportion d'âge qu'il 'n'est pas
permis de le croire.
Thérèse CarH.Q'a se défend avec indignation des l
soupçons que le sergent essaye d'accréditer. Un
soir, dit-elte, je me suis trouvée sur le rempart
avec lui; npus n8iis sommes assis l'un près de
l'autre, et, tout en causant, il me lit une caresse
sur la figure. Surprise, je me levai en lui disant
« Mon enfant, les caresses de la bonté, je les .con-
nais, comme je connais aussi les caresses de l'a-
mour ce que vous faites là n'est pas bien. e Il me
répondit que c'était une plaisanterie qu'il avait
voulu faire, et les choses en sont restées la. J'a-
voue que j'ai embrassé p!usio-urs fois ce sous-offi-
cier, croyant embrasser le jeune Save.t.
Heureusement pour Thérèse, que tous. les té-
moins viennent attester la régularité de ses moeurs
et la bonté de son cœur. w
Le sergent Brun est.condamnë.aua an d&prison.,
EMPOISONNEMENT PAR tINE JEUNE f!LLE DE ~4 ANS
SUR LES ENFANTS DE SES MAITRES. T
On se rappelle encore l'histoire de cette jeune ?
servante bretonne qui avait stîccessivement fait M
mourir les entants de ses maîtres en.les étouffant N
d'une horrible manière. Ses: victimes étaient déjà P
au nombre de trois, lorsque enun.on soupçonna Je N
crime. j~
Un crime tout aussi invraisem.bIabJe. vient d'être
commis à Lille.
Une jeune fille de quatorze ans, Catherine Mar-
tin, entrée au servie des.epoux Deirue, était char-
gée de surveiller deux~ jeunes eni'aats, GabneUe et H
Pauline, âgée Ja première de deux aus,Ja seconde P
.de deux mois..H
La plus jeune de ccs'deuxnfies fut prise la pré- M
Tfuere de douleurs violentes. suivies de déjections M
verdâtrps. On remarqua que les vêtements de l'en- M
funt présentaient des tachfs d'acide ehlorbydrfque,
ou.esprit de se], -dont M. Deirue fait usage dans sa
~profession. H
Comprenant alorsia cause du désordre qu'éprou- M
vai&nt ses enfants, la mère, justement émue et in- M
dignée, commanda à sa bonne de quitter immédia- T
tement son service. P
Arrêtée peu d'instants après, l'accusée représen- T
tait la bavette qu'elle avait'pris la précaution de M
.taver, et sur laquelle on voyait encore des traces. M
d'acide ch)orhydrique, et, pressée de questions, el- M
le se décidait, âpres d'inutiles dénégations, à faire 'M
.l'aveuducnmequ'elie venait de commettre. Ëfle- M
~reconnutavoir versequelquesgouttes de ce liquide T
~dans une cuiDëre eU'avoir approchbe deslëvres de .M
la jeune P&uiine.. N
Le .1~ novembre, elle s'y était prise de la même N
façon, sans savoir, :'joutait-el!e, si l'enfant avait ou. M
non pu en avaler. ..It
Les désordres remarqués sur la jeune Pauline ne M
permettent malheureusement à cet eBet aucun dou- M
te. Le médecin appelé à lui donner .des soins a en T
eSët constate, le 25 octobre, que la langue était M
!'brûlëe et tumëGée de teHe sorte que l'enfant pon- T
vait,à peine crier, et, le novembre, que l'inté- M
rieur de la bouche était blanc, comme s'il eut été M
eniiërementcautérisë. T
Apres plusieurs jours de soaurance, Pauline Del- M
rue a succombé dans la nuit du S novemb.rc. L'au- T
topsie, ainsi que l'analyse chimique des matières M
contenues dans ses organes digestifs, a. démontré- M
q e la mort avait été déterminée par l'ingestion en T
plusieurs fois dans le tube digestit d'acide chiorhy- T
drique. substance éminemment corfosive. T
Les faits rappelés ci-dessus OBtappeié l'attention T
des époux Delrue sur diverses circonstances aux- D
quelles tout d'abord ils n'avaient pas cru devoir
s'arrêter. Ainsi, le 31 octobre au soir, ils avaient T
remarqué, sans pouvoir se l'expliquer, que le man- T
teau de leur fHie ainée, Gabrielle, était taché d'es- T
prit de sel. Les lèvres de l'enfant étaient de p~us T
desséchées et présentaient une temte noirâtre, T
L'accusée reconnaî!que,dQ même qu'à la jeune T
Pauline, e))e avait essayé de faire avaler de l'acide T
chtorhydrique a ia jeune Gabrieile, qui s'y était re- D
fusée et qui, en se débattant, avait -fait en partie T
tomber sur ses vêtements le liquide contenu dans
i la cuiHëre. <
~o~tt~Mg Mparavant, Calieriae MâfUa a-
v~it en ou~Scotnmis, vis-à-vis de cette même en-
fant, un acte iaquaUSable de mésbanceté après
avoir fait rougir au feu un tisonnier, el!e avait ap-
proché !a tige~ d& métal des mains ainsi que du vi-
sage de l'enfant, et, la lui appliquant sur la peau,
lui avait fait six blessures de plusieurs centimètres
de longueur qu'elle avait expliquées en esf ayant de
persuader à la mère que c'était un commencement
de petite vérole.
A l'audience, Catherice Martin se renferme d'a-
bord dans un mutisme absolu. Sa physionomie est
impënétrab)e; son attitude indmorente; la tête
constamment baissée, elle levé constamment ses
yeux très vii'set très intelligents, ce qui lui donne
un air de profonde dissimu)ation. Ei)e ne se décide
à parler que pour revenir sur un précédent aveu.
Interpellée sur les motifs qui ont pu la détermi-
ner à commettre les actes odieux qui lui sont im-
putés, Catherine. Martin prétend que; en agissant
ainsi, elle voulait se faire renvoyer par les époux
Deirue, afin de pouvoir retourner Saméon, son
pays natal, auprès d'une grande-tante qui l'a éle-
vée. Du reste, elle écoute sans émotion le récit de
la malheureuse mère, et le tableau présenté par le
docteur Houzé de l'Aulnois des épouvantables ra-
vages produits par l'intoxication dans tous les or-
ganes de. l'enfant empoisonnée.
Reconnue coupable d'empoisonnement et d'avoir
agi avec discernement, la jeune Catherine restera
pondant vingt ans détenue dansunc maison de cor-
rection. –E..Bauer.
OBSE~.t,vA.rom.E!
O&îeruaf.'cM fHetearo~o~uM ~HCM .27 nouern~
a /{/t6M?'ea (!'< Mc~t'?:.
SIATtOKS TEMMRAT. TBKT .CtEL MM.
Pans. + '7.3 Ofaibfe. Couvsr!.
Sti'asbours 6 S SC faib)< Idem.
Mëzieres. 8. NOaa.fort. Idem.
Dunkerque 9.0 NNOfort. Mem. nrost.
Bouiogne. --30 fLe Havre. --U.O NOibj.L P)uie. ,Gro:,s.
Cherbourg. ii 0 !c!eTN. !'ort. Couvert, ~rtctn
Brest. 9.s NN0 fort. Pluie. Mern.
Lorient. 0 0 Nu bubit). Couvert, ijeiie.
N.-Vendëe. 8 S6 Hem. Mem.
Rochefort.. i)~0fort Temps frais Gross.
Limoges. + 6.0 Ofaibie. Couvert
Montauban + 7.0 Mom Mem.
Bordeaux.. S.O NO taiM:. Mem.
Bayonne. --19.C ~faible. PiuvSeux. Houie
MontpeUier
Cette. 9.0 NOas.fort. Cirrus. Catme
Marseiite.. S 4 NOtaibe. Beau. Honti-
Touton. --9.0 NOt'ort. Unp.nuag. Gross.
Aniihes. 0 i'aiblo. Ctair~ Ct~m:' ü
Ajaccio.
Avignon
Lyon. 8.9 SOfaiMs. Pluie.
Besan~n.. 5.3 80 tort. tdem.
Hier pA&is
A 9 h. mat. 3.2 ONO faibie. Beau.
A midi. 7.9 ONOas.tort Nuageux.
A 3 h. soir. 8.3 NOassfort. Couvert*
A 6 h. soir. 7.i ONOfaiMe Mem.
A 9 h. soir. 7.3 Idem. Mem.
Aminuit. 6.7 Mem. Idem.
Température iapius haute du Mnovembre + 8.2 il
TemBëratjjre ta ptus basse du 57 novembre
avant'nMtf .heures du matin, a Paris. + 6:
iES~~ti-a.'
PANNES. Paris, 36 novembre. AHsdres peu
actives, mais cours très fermes.,
Cours officiel, six marques disp., 73 3S à M M
les 167 ki). net.–Type-Paris, disp., 46 50 a ft ~x,
ie sac de 101 kii. net.
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Vente calme, avec baisse sur toutes les espèces.
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Veaux.. 209 196 1 34 1 74 59
Moutons. 33.787 1 38 1 63 19
nmLES. Paris, 26 novembre.–Co!e ofncieUe
colza disp., les 100 k!l. en tonnes, 10~ 50 à B~N ))));*
t'uts disp., ICI );)) à x)))) )<)); épurée en tonnes, 110
80 a )~H. Mn disp., en tonnes, 104 ))D à xa~
j)); en futa, 10~ 50 à soB )))).– Cote commer'oia!e
colza disp., les 100 kil., 101 ~D a s))D eB; dernier
mois, 10L 50 à ))))& ))B. –Lio, IC-O-k: disp., 103
50 à 10~.
spmtTUNUx.–Paris; 26 novemb.–Coie ofucieUe
3/6 betterave, disp., 68 SO à M "B. Cote com-
merciale 3/6 betterave, disp., 63 50à )))) ))B; dé-
cembre, 63 50 à ))N xa; qu~re premiers -1867, 64
a;) a~ Ha; quatre du milieu, 66 50 à 68 xj).
SUCRES, Paris, 36 novembre.–Indigène eatre-
pôt,'ë7 )))' a '))) ")); mélasse disp. de fabrique, les
tOO ki! 8 50 9 9 ~o; de raffinerie, }2 E. EAMR.
SËàHSES. –Londrss, ao 19 0,0 à 'u' g6 33 0,0 a à
Sttjonrs.–Francfort, 312 .àvû&, 2i0 ~.6C
Jo~rs.–Amsterdam, ~i3 S/8 & Sii a/S & 9C
jours. !îer!m,373 1/3 ~ie, 368 1/2 à 90 jours.
–Italie, 94 1/4 à vne. f: SC jo~rs. Vier:-
a~,l 97 l/a~vae,! 98 1/3 à 9G-joHrs.–Saini-Pé-
~rsbo!m:, 3 30 à vus, 3 2S .?i 3') fo'~fs.–
Madrid, 8 13 à vas, 5 04 a 36 ipnn.
CSi~S SES JMME~SLES O~j BÊF~RTE~ENT D.E L'U SE~E
Y'esul~:ant Sar le mmistsret Ae M~î. les <~fBLci~rs im~lsteriels ets F&i-is
OHANBRE SES NOTAIRES
A~udieatiç~s, d~ 62~ove~nGre ~~ûG MYMtOS COKTJi~AMES MtSESAPtIX
~M~Ms.~6.MO~~re~g6 'If-
h. ?. fr.
Terrain &)! lieu dit les HMtes-Bor&es (14~ arr.). 9?7'=03 6.840 6.890
MaisonruedesDeux-PoBt:,10.r 3.300 2S.OOO' 36.100
MaisonmeSedaine,8S. 187~ 100.000 144.600
MaisonruttteIaRoquette, 81,etruePopiacourt,3. 338'" '73.000 106.SOO
Propriété rue C9nstaBtine,S2 et 34 (14* arr.). 3.200 635°'90 '39.000 39.100
MaisonruedeStintoBge, 68. S.330 50.000 83.000
M&isonrueFrémicourt,39. 10.COO '30.300
PALAIS DE JUSTICE
~MMMMd~dM7~~0M~m~~M~
Hôtel CarDavaIet.rneCulture-SamteCsthenne, 33: 8.3SS~22 800.000 900.050
Prbpnét9ruedesH.aiM,4Sbi!'(î0~arr. 8..459'" 40.000 SO.OOO
Maison rue Samte-Eugénie, 16 (14'arr.). 130'° 8.000 ll.SOO
Ma:sbnàAsûiëres,ruedeNanterre, S. 3a.s))c. 3.000 8.500
MaisonrnedesBois,47ett51(DeMevi)Ie). 1.13i"'OK 35.600 25.0o0
Maison à Fontenay-aux-Boses, rue de Toutonsa, 11, 7 a. 37 c. -10.000 10.600
< ~MdtetiM~Mt~MdM~KOuent&M~M
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2 f., dames. Envoi fr' c° f-poste. Pas~. C/ietM:7a.«
jger w~ÉcEMBRE ~'B"B'P~r?'[H'ë?
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ETRENNES DE .i8M
PORTRAITS EN SCULPTURE
BUSTES, STATUETTES, MÉDAILLOKS
La Photosculpture exécute, après décès et sur une
seulephotographie.Statuettes.MédaiIlons otBustes.
E~'SENaE~~B~BnS~S~S~E~SESTS~S.SX~S~~S~
.ms ~t~i x·itb'
~?&?I~TQ~DU
li!A~tJ,~ËimI.8 GOUVERNSHENT.
L'institution Poser Momenheim, a, rue des Postes,
à Paris, a présente, cette année. 8 cand. aux grandes
écoles UH a été reçu à l'Ecole polytechnique, n°
109:ot's à l'Ecole centra)e, n"' i8, 8t, 1CO; «H à
l'Ec. centrale d'architecture, n° S MM à l'Ecole de
Strasbourg.–Aux 4 dernières sessions, surSg élevés
près. aux baccalauréats,'?~' ont été reçus: 34 p'les
lettres, 36 pour les sciences. Dix ont été présentes
au bac. es se. restreint fo?~ ont été admis.–Cours
spéciaux pour les sessions d'avril et d'avout, et pour
les Ëcotes du gouvernement.
~ta~itiR? J5'?Ï~V~'t'P es Iottres,ës science.
Hj~iiË~ia.aJiM~s- A 0 (complet et restreint!
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.Paris. Cours préparatoires p' auri~jMt'H~ stMouemo.
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.P,v,s .C°°s~,3D, et dzLt I~s princip l~~nà~m;-
aie4. Après a;otr trvtrS $!?0 ua.ta~cs ey oïttanu .0~~
Ë.nérisons.l'Aoadémiedo Médesme a déola~qnellM
Ma.ientsupérisaTes a tctites Lss antres prap3r&u~s&.
~'6'~yl~.lEi~ r, I1 ~td DE Là xi~-â~l~t
oGEstittHionneile oa acoidectsilo, complètement dé-
truits par le trai~Biont-de K'*° s. LACHAPE~E, mai
tre&se.sage-femme. professsurd'ac3MCh5me~_Coc_
sultatioDS tous Iss !ours, de tros c.Bq hsurss, na
du MoEt-Thabor, 37, près des Tuileries. <
L'administration française vient de perdre,
dans la personne de M.le baron Adolphe .de
WattevUle, inspecteur générai des étab)isse-
Kients de bienfaisance, UB des hommes qui
1 honoraient le~ plus.par son caractère, qui la
servaient le plus utitement par ses tra vaux, unde
ceux dont les efforts et tes écrits'ont ie mieux
contribué a faire sortir une branche importante
de l'économie politique du domaine de !a dis-
cussion pour la pousser dans les voies pra-
tiques
OfScier sous le premier Empu'Q, livré pen-
dant la Restauration à des études sciGntiSques
qui développèrent et aSermirent ses qualités
naturelles,, ia-sagaeite pénétrante, la finesse
dans !e bon sens, Ja lucidité d'un esprtt, a'~a
fois hardi et.pratique, il montra dèsses débuts
dans l'administration cette volonté ferme, cette
dro.iture de c~actère, cette activité et cette ou-
verture d'intelligence qu'it eut, par la suite,
tant d'occasions de prouver.
A l'époque de ses débuts, c'est-à-dire en
1833, presque tout était encore a faire; comme
étude et comme organisation, dans l'adminis-
tration des établissements charitables, et ies tra-
vaux qu'il publia à ce sujet sont immenses:
travaux de codification, d'économie politique,
d'administration, de statistique! Nous citerons
le Code de ~a~H'H!Stra~'oM c/:.OK cAantoMe, ouvrages où sont coordonnées
toutes les dispositions actuellement en vigueur
depuis les édits royaux et les arrêts des Parle-
ments. Dans l'ordre de l'économie politique
nous indiquerons, outre de nombreux articles
publiés dans les plus importantes revues, le
/'c
vaux plus particulièrement administratifs peu-
vent se résumer dans les deux ouvrages sui-
vants &~MattpM
rapports et de tableaux qui sont jusqu'ici les
seuls où l'on puisse s& renseigner- pour connaî-
tre compléteme~ ~??1 du paupérisme, en
France.
La plupart da.ces ira~càux jouissent aujour-
d'hui d'âne {t~tS~té mag
rent à M. de ~i~t~viHc' Tine~peputation euro-
péenne 'et l'octroi des ordres tes plus estimés.
Queldues-unes d'entre ces publicutions reste-
ront marquées d'un caractère historiqu. L'une
d'entre ettes engagea ]a Chambre des députés
à modtSer un projet de loi suc le droit dss pau-
vres. Qaetques-uns do .a~! se .BappaHent !e
grand bruit que fit SONS la~&pubtique le TYa-
ca~daMs~s.PrMOHS.
L'administratioB ~acaise n'oubliera pas
l'homme qui l'a ainsi nbnore&aux yeux de l'Eu-
rope, qui a mis, pendant trente-qu.itre années,
au service de ceux qui ont )e plus besoin de
protection, au service des vieillards, des en-
fants, des infirmes, un esprit émincnt, une in-
tégrité généreuse, un courage et une bienveil-
lance qu'il a, d'ai)leurs, laissés à ses enfants
comme Ja, plus riche partie de son héritage.
D'HERICÂULT.
H.vient de paraitre un tivre de M~° J. Mi-
ehelet les ~pid:rfs ~tfHe EH/MM où I'an!.cur'
évoque avëc~ne étonaante Ëd&Htc de Fouvenir
ses impressions d'enfance au miiicu d'une' 'fn-
miUe aux types inléressanis et de paysages dé-
Grits avec l&ptus chaud eoiaris.
L.~t!ûHYeIip Maison 0~? EN4SLAND est ou-
verte, 10, rue Neuve-des-Gapucines;– Lesbas
On recommajide aux éconosies SjLV!GNT; {.sil-
!et)r, i?,N~d'*s-PeU).s-Cbamps~ faiti ° /.egc.
LA COMT'ËME DU CAYt.A, Zo!/M .TF/77 C< ~C F<)M-
~o«?-~ SatM~-Gefma''M ~o~ ~f~Ta:b' par M.
Cap~Hgue, parait anjonrd'hui.
.mm~ NCs'ABCMES;
Les pefscnTies ~ufs'aboEner't à iaPre~e
pour un-an, sens !n'fr?':e~'a!'r8, ont droit
Ou a la Vi'e:G~c.'i'~i!)! (PAndrea Soiario,
Un chef-d'œuvre duburin~ d'après i'admi-
rabip tableau du {.ouvre:
Ou au C'OMroKR~e~ se i'o'MM'e,
ParFtamengct Ln~uHip'mie; d'après !e célè-
bre dessin de Dupfess~s-Hertaus, si curieux
~rses,~itia6ëures~;
Ou aux ~MM, de Boucher et Baudouin,
Un des plus jolis tableaux du dix-huitième
siècle~aetataj~qtie~~a J copi& <~St~Sf.t~-
&OM;
Ou&F~use~t~rH!~dePrudhon,.
Reproduction exacte.par .Mes Bomy d'un des
plus beaux dessins de Prudhon;
Ou au .Ha~'K, de DifiZ
Ou la J!/ûa!c;t~ d'Eugène Ddacroix
Ces d~ux graBde& m heii~.s p~asHes gr~v~s.
parCb:!GeoHroy;
par Cls. ~aoJ3roy
Ou au~ dem. ceiëb'~s pot'tra.~ de TI.asi'
et d~a.. ~?;?KU''?!< gray~s,. d~pnÈ& .Rapha
Les.aboaBL-s (ie Pa' i~ on! à envoyé); 54 fr.
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une a!it(M'iEa'on,d.' !Hii'.e t.raii.c.à vuR su! eux..
En eRvc~ant 1!) franco ou en tes. joignant.
M mujitant df icur renouveJictaent; de. recevoir:
/raMC<~ 1,
H!ST(URE' ~B. L~ MVeLSTiO.'< FHÂNM!SE
~6 MACK!!?ÎC'UES MA'UP.ES A!S)f)!i?f
par IlelmaBn, d'après C:irie Vernet; BoiUy,
Monnet,'Dt!pkssiS-Bei'iaux~papier demi-colom-
bier) forme'de a ~re~M.
~e~i:. üÉS ceas-L, r;s.
a!)ETy !)ES Gf.AYL'nES.
2.ME~GJfiA'
Le SerMent. (/« A'M M ~c S j'7i<'f?;f<'or:
.PSMNM; ~e~"r'j
I.aP)'Me(/e~~
La Prise rle lr7 a-r?3tu e; I Ge ~a err~~raraire;
LaÂ'«~'d«.A-f'; ie~<9~?'if?naM'e;
~QFë[!fra
Ze ~0~}<)S<~ <~MiM~;
~.HjMo~r~O~ f''Mi,)M/tHCt.'M'
ïmpossiLje de h'ouver; en dehors de ces
seize gravures,-=-~GS .ScMe.'OMî'ttccs ~e.~a'~('o-
~:
française costumes, moBuments; physiono-
mies, passions,, enthousiasmes, combais,ter--
Murs,, tout est saisi sur ie vifcomtHf.parb
'vérité elle-m~me.
Par suite-d'un traité avec r6d~c:!rja Py'cMs
cS're tous ses abonnés; sans exception,
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EMM'M~~aMBt~~&rnRBnBSNBaBs; -~I
9M TR~~A~I
ESCROQUERIE. LA VICTIME BE SOSIE.
Le 13 février dernier, un sergent du de ligne
sa promenait sentimentalement sur l'une des pla-
ces publiques de Toulon, appelée le Champ-de-
Bataitle, lorsque tout à coup il fut tiré de sa rêverie
par une femme qui, les bras ouverts et la figure
radieuse, se précipita vers lui comme pour l'em-
brasser, en s'écriant: Monsieur Savet vous ici] l
que je suis heureuse de vous revoir! Le sous-offi-
cier auquels'adressaientcesparulesreconnuttoutde
suite qu'il était l'objet d'une méprise, mais les sui-
tes de cette rencontre lui apparaissaient si douées
qu'il hésita un instant avant de ~désabuser. celle
alaqu&ife ilétaittout disposé a tendre les deux
joues.Jl le lit cependant, mais lorsqu'il lui eat dit
« Je na suis pas Sa-ct, )) cette femme se retira sans
paraître entièrement convaincue de son erreur.
Deux jours après, le même sergent parcourait
encore le Champ-de-Bataifle, où l'aventure précé-
dente avait sans doute ramené ses pas. Bientôt il a-
perçut son .inconnue, et, Inr lançant une de ces
œiltades dont le troubadour français possède parti-
culièrement le perfide secret, il chercha à engager
unonouveile action. 0 surprise !l'-inconnue n'est
pas insensible au coup d'œil, et,, d'un pas décidé,
elle vient à la rencontre du sous-ofHcier
Monsieur le sergent, lui dit-elle avec nn ac-
cent italien des plus prononcés, il ne faut pas vous
moquer do moi, parce que je me suis trompée a-
vant-hier. Si je vous ai accosté, c'est que je croyais
que vous ~tiez le Sis de mon ancien maître, M. do
G. conseit)er à la cour impériale de Bastia, a la
Jiimiiio duquel je suis entièrement dévouée.
Mais, répondit le sergent, qui vous fait suppo-
ser que je ne su)S pas Savet?
Alors, reprit l'inconnue, que nous appellerons
Thérèse Carafi'a, pourquoi avez-vous quitté le 37~
de ligne et A!gfr, où vous'étiez en garnison?
Puis, sans attendre d'explications, cette femme.
tant elle était joyeuse d'avoir rencontré l'enfant de
'personnes dont elle avait été la domestique, lui
paria de la maison paternelle, évoqua tous les sou-
venirs que cette reconnaissance inattendue devait
naturellement faire naître, et initia si bien le 'ser-
vent aux habitudes de la maison de M. le conseiller
de G. que le sous-officier fut bientôt en état de
répondre à toutes les questions de son interlocu-
trice de telle façon que si le ~moindre ~doute eut
existé dans l'esprit, de cette dernière, à propos de
l'identité du fils de son maîtM, elle Peut fait
promptement disparaître, en s'écriant, comme dans
.4n~A:tn/on
.A moins d'être Sosie,
Oh ne. peut savoir tout ce qu'il dit..
Apres les premiers moments d'épanchements,
l'ancienne servante s'aperçut que celui qui se di-
sait être le titsde M. de G~ avait l'air souH'rant
eMe lui demanda s'il avait besoin do quelques se-
cours. Celui-ci lui avoua que si elle voulait fui ve-
nir en aide, il )ui en serait très reconnaissant. Thé- I
rèse !ni donna ce qa'eUë avait dans'sâ bourse.
Le:, reta.iians entre, l'ancjepne~ servante et le jea-
ne Savet forent très suivies à partir d~ce moment.
Thérèse, toute à la joie,, écrivit à $astia,aM,de
G. pour lui faire, part de son heureuse rencon-
tre. Peu de temps après, on lui répoadit qu'elle
.s'était trompée, que le véritable Savet était tou-
.jours avec ?on régiment en Algérie, d'où il venait
même d'écrire à sa famille. Elle montra cette let-
tre au sergent, et celui-ci, )ui ayant fait connaître
qu'à la suite d'un coup de tête, il avait, sans ea pré-
venir ses parents, quitté son régiment pour passer
au'2~, cl!e rentra convaincue que ce sergent était
réellement Savet; et, d'ailieurs, la ressemblance
était si frappante c'étaient les mêmes yeux,le mê-
me nez, la même bouche, les mêmes trails enfin.
Du~ février jusqu'au 3 mai suivant, date. du
départ du 92° pour Marseille, Thérèse ne cessa
~d'avoir pour je fils de son ancien maître les soins
''tes plus tendres et les p!us assidus. Domestique
dans uoe maison très honorable de Touloa, sou-
vent eUR se privait de sa nourri!n!'e pour la donner
au sergent. Elle né s'en tint pas,l:i,et,surla de-
mande de ce dernier, elle lui remit diverses som-
mes d'argent.. -1
Bientôt tout se découvrit. Thérèse comprit qu'elle
ava~tété trompée. Blessée dans son amour-propre,
elie dénonça Jes faits au coloné), et le sergent vient
.répondre devant le conseil de guerre d'une escro-
querie en faisant usage de faux nom et de fausses
qualités.
Le sergent essaye de se disculper en prétendant
que les sommes qu'il a reçues, il les considérait
comme des cadeaux de la part d'une maîtresse.
–Ceci, dit le colonel, donne d'abord la mesure .1
de votre moralité; mais cette femcno n'était pas
votre maîtresse; elle s'en défend, et il y a entre
vous une telle disproportion d'âge qu'il 'n'est pas
permis de le croire.
Thérèse CarH.Q'a se défend avec indignation des l
soupçons que le sergent essaye d'accréditer. Un
soir, dit-elte, je me suis trouvée sur le rempart
avec lui; npus n8iis sommes assis l'un près de
l'autre, et, tout en causant, il me lit une caresse
sur la figure. Surprise, je me levai en lui disant
« Mon enfant, les caresses de la bonté, je les .con-
nais, comme je connais aussi les caresses de l'a-
mour ce que vous faites là n'est pas bien. e Il me
répondit que c'était une plaisanterie qu'il avait
voulu faire, et les choses en sont restées la. J'a-
voue que j'ai embrassé p!usio-urs fois ce sous-offi-
cier, croyant embrasser le jeune Save.t.
Heureusement pour Thérèse, que tous. les té-
moins viennent attester la régularité de ses moeurs
et la bonté de son cœur. w
Le sergent Brun est.condamnë.aua an d&prison.,
EMPOISONNEMENT PAR tINE JEUNE f!LLE DE ~4 ANS
SUR LES ENFANTS DE SES MAITRES. T
On se rappelle encore l'histoire de cette jeune ?
servante bretonne qui avait stîccessivement fait M
mourir les entants de ses maîtres en.les étouffant N
d'une horrible manière. Ses: victimes étaient déjà P
au nombre de trois, lorsque enun.on soupçonna Je N
crime. j~
Un crime tout aussi invraisem.bIabJe. vient d'être
commis à Lille.
Une jeune fille de quatorze ans, Catherine Mar-
tin, entrée au servie des.epoux Deirue, était char-
gée de surveiller deux~ jeunes eni'aats, GabneUe et H
Pauline, âgée Ja première de deux aus,Ja seconde P
.de deux mois..H
La plus jeune de ccs'deuxnfies fut prise la pré- M
Tfuere de douleurs violentes. suivies de déjections M
verdâtrps. On remarqua que les vêtements de l'en- M
funt présentaient des tachfs d'acide ehlorbydrfque,
ou.esprit de se], -dont M. Deirue fait usage dans sa
~profession. H
Comprenant alorsia cause du désordre qu'éprou- M
vai&nt ses enfants, la mère, justement émue et in- M
dignée, commanda à sa bonne de quitter immédia- T
tement son service. P
Arrêtée peu d'instants après, l'accusée représen- T
tait la bavette qu'elle avait'pris la précaution de M
.taver, et sur laquelle on voyait encore des traces. M
d'acide ch)orhydrique, et, pressée de questions, el- M
le se décidait, âpres d'inutiles dénégations, à faire 'M
.l'aveuducnmequ'elie venait de commettre. Ëfle- M
~reconnutavoir versequelquesgouttes de ce liquide T
~dans une cuiDëre eU'avoir approchbe deslëvres de .M
la jeune P&uiine.. N
Le .1~ novembre, elle s'y était prise de la même N
façon, sans savoir, :'joutait-el!e, si l'enfant avait ou. M
non pu en avaler. ..It
Les désordres remarqués sur la jeune Pauline ne M
permettent malheureusement à cet eBet aucun dou- M
te. Le médecin appelé à lui donner .des soins a en T
eSët constate, le 25 octobre, que la langue était M
!'brûlëe et tumëGée de teHe sorte que l'enfant pon- T
vait,à peine crier, et, le novembre, que l'inté- M
rieur de la bouche était blanc, comme s'il eut été M
eniiërementcautérisë. T
Apres plusieurs jours de soaurance, Pauline Del- M
rue a succombé dans la nuit du S novemb.rc. L'au- T
topsie, ainsi que l'analyse chimique des matières M
contenues dans ses organes digestifs, a. démontré- M
q e la mort avait été déterminée par l'ingestion en T
plusieurs fois dans le tube digestit d'acide chiorhy- T
drique. substance éminemment corfosive. T
Les faits rappelés ci-dessus OBtappeié l'attention T
des époux Delrue sur diverses circonstances aux- D
quelles tout d'abord ils n'avaient pas cru devoir
s'arrêter. Ainsi, le 31 octobre au soir, ils avaient T
remarqué, sans pouvoir se l'expliquer, que le man- T
teau de leur fHie ainée, Gabrielle, était taché d'es- T
prit de sel. Les lèvres de l'enfant étaient de p~us T
desséchées et présentaient une temte noirâtre, T
L'accusée reconnaî!que,dQ même qu'à la jeune T
Pauline, e))e avait essayé de faire avaler de l'acide T
chtorhydrique a ia jeune Gabrieile, qui s'y était re- D
fusée et qui, en se débattant, avait -fait en partie T
tomber sur ses vêtements le liquide contenu dans
i la cuiHëre. <
~o~tt~Mg Mparavant, Calieriae MâfUa a-
v~it en ou~Scotnmis, vis-à-vis de cette même en-
fant, un acte iaquaUSable de mésbanceté après
avoir fait rougir au feu un tisonnier, el!e avait ap-
proché !a tige~ d& métal des mains ainsi que du vi-
sage de l'enfant, et, la lui appliquant sur la peau,
lui avait fait six blessures de plusieurs centimètres
de longueur qu'elle avait expliquées en esf ayant de
persuader à la mère que c'était un commencement
de petite vérole.
A l'audience, Catherice Martin se renferme d'a-
bord dans un mutisme absolu. Sa physionomie est
impënétrab)e; son attitude indmorente; la tête
constamment baissée, elle levé constamment ses
yeux très vii'set très intelligents, ce qui lui donne
un air de profonde dissimu)ation. Ei)e ne se décide
à parler que pour revenir sur un précédent aveu.
Interpellée sur les motifs qui ont pu la détermi-
ner à commettre les actes odieux qui lui sont im-
putés, Catherine. Martin prétend que; en agissant
ainsi, elle voulait se faire renvoyer par les époux
Deirue, afin de pouvoir retourner Saméon, son
pays natal, auprès d'une grande-tante qui l'a éle-
vée. Du reste, elle écoute sans émotion le récit de
la malheureuse mère, et le tableau présenté par le
docteur Houzé de l'Aulnois des épouvantables ra-
vages produits par l'intoxication dans tous les or-
ganes de. l'enfant empoisonnée.
Reconnue coupable d'empoisonnement et d'avoir
agi avec discernement, la jeune Catherine restera
pondant vingt ans détenue dansunc maison de cor-
rection. –E..Bauer.
OBSE~.t,vA.rom.E!
O&îeruaf.'cM fHetearo~o~uM ~HCM .27 nouern~
a /{/t6M?'ea (!'< Mc~t'?:.
SIATtOKS TEMMRAT. TBKT .CtEL MM.
Pans. + '7.3 Ofaibfe. Couvsr!.
Sti'asbours 6 S SC faib)< Idem.
Mëzieres. 8. NOaa.fort. Idem.
Dunkerque 9.0 NNOfort. Mem. nrost.
Bouiogne. --30 fLe Havre. --U.O NOibj.L P)uie. ,Gro:,s.
Cherbourg. ii 0 !c!eTN. !'ort. Couvert, ~rtctn
Brest. 9.s NN0 fort. Pluie. Mern.
Lorient. 0 0 Nu bubit). Couvert, ijeiie.
N.-Vendëe. 8 S6 Hem. Mem.
Rochefort.. i)~0fort Temps frais Gross.
Limoges. + 6.0 Ofaibie. Couvert
Montauban + 7.0 Mom Mem.
Bordeaux.. S.O NO taiM:. Mem.
Bayonne. --19.C ~faible. PiuvSeux. Houie
MontpeUier
Cette. 9.0 NOas.fort. Cirrus. Catme
Marseiite.. S 4 NOtaibe. Beau. Honti-
Touton. --9.0 NOt'ort. Unp.nuag. Gross.
Aniihes. 0 i'aiblo. Ctair~ Ct~m:' ü
Ajaccio.
Avignon
Lyon. 8.9 SOfaiMs. Pluie.
Besan~n.. 5.3 80 tort. tdem.
Hier pA&is
A 9 h. mat. 3.2 ONO faibie. Beau.
A midi. 7.9 ONOas.tort Nuageux.
A 3 h. soir. 8.3 NOassfort. Couvert*
A 6 h. soir. 7.i ONOfaiMe Mem.
A 9 h. soir. 7.3 Idem. Mem.
Aminuit. 6.7 Mem. Idem.
Température iapius haute du Mnovembre + 8.2 il
TemBëratjjre ta ptus basse du 57 novembre
avant'nMtf .heures du matin, a Paris. + 6:
iES~~ti-a.'
PANNES. Paris, 36 novembre. AHsdres peu
actives, mais cours très fermes.,
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50 à 10~.
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