Titre : Journal des débats politiques et littéraires
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1829-08-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39294634r
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 05 août 1829 05 août 1829
Description : 1829/08/05. 1829/08/05.
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : Révolution - Empire (1789-1815)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : Restauration - Monarchie de Juillet (1814-1848)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : IIe République - Second Empire (1848-1870)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : IIIe République (1870-1914)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k436664m
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 10/03/2008
~uT~.a'
;)).T-).t-rp. 'j,~
On s't&o!me me des Prêtres Sfujat
F. Germam-rAuxerrois, a* 17.
Pnx M fr. pour trois mois.
)! ~S fr., pour six jaons.
~t,BNLl~. paur ~tnnëe..
:)*)'/)M'f.f!t'~ ))!Ji..r" rH 'j~ ~F
.t')'t.,jj;a-t-~)[.)
't.ijhn~
~URNAL:EBATS
~n~a~r; ~i. /i.t!
~x POLtTtQUES E~ MV~BRAmES.
?"
MERCREDI.
OR retO~t !es Avu a insérer~ tous le:
~ours depuis neuf heares dn mattB jm-
qn'a cinq heures, au Bureau daJoHn)ai,
rue des Prêtres Saint Germain l'Auxer-
reis, n° !y.–Le prix d'jMertioa e ï fr. 5e c. par ligne de 5e lettres.
NOÏJYELLËS ÉTRAN~Èà~.
SUEDE.
t~OcX&0/n!)iy/M~<. ·.
'On r~p&B4ïe cowronaemeat de S. M. ta Réine~Mfà lieuL le aa da mois prcchatn
~~M~~
Cop~tAS~M, iy/M~Zp<
Un journal de cette ville (~e AfesM~er~e Co~eK~~Me).annonce,
d'après des lettres particulières qu'il est certain qu'une escadre
j-usse de seize vaisseaux est partie de Cronstadt, et qu'elle passera de-
vant Cpnechague. >,
AUTRICHE.
-?'rm.d;tt.s5/M7/e<
îjes I)i'u~s tés plus contradictoires sur Constantinople ont été
répandus aujourd'hui a la Bourse. D'un côté, on disait que le sultan
avait ordonne 'au Reiss-ESendi de ne point envoyer le drogman qm
devait partir du camp du gracd-visir a Schumt~ pour négocier une
suspension d'hostilités. Cependant cette nouvelle est contredite par
l'assertion qu'on y ajoute que ce drogman était Jeja parti de Schumla
tors de l'arrivée du baron de Canitz a ConstaKtiiiOpte, le 3o juin.
D'un autre côté, l'on prétend savoir que le graud-seigneur a dé-
clare sa disposition a accepter la médiation des ami" .ssadeurs de
France et d'Angleterre, dans les affaires de la Grèce, et de traiter
directement de la paix avec la Russie sans leur entremise. Ces diffé-
rentes rumeurs, selon qu'on y ajoutait plus ou moins de foi, et bien
qu'il n'y eut rien d'oSciel à cet égard, ont occasionne de grandes
variations dans les fonds.
Ce qui est certain c'est qu'une maison de commerce de cette ville
a reçu une estafette partie de Constantinople le y de moi. mais elle
île lui a communique aucune nouvelle politique, si ce n'est les ré-
ponses d~}a connues du Reiss-Effendi a ~'ambassadeur de France.
On nous mande de Trieste que les troupes grecques commandées
~parA-ugu tin Capo-d'Istha se sont révoltées, au sujet de leur solde,
mais qu<- le président de la Grèce ayant fait des dispositions pour
les satisfaire, te tumulte s'est apaise. Ï
GRANDE BRETAGNE.
Zc7M~'M, I"~OK<.
Les consolidés ont ouvert à 88 7/8 ~g en compte a deux heures les
"consolides étaient a 88 y/8 8g en compte et au comptant.
Le gouvernement a reçu des dépêches au bureau des affaires étran-
gères de lord Heytesbury en date de St-Pétersbourg, i~ juillet. Le
-comte Nesseirode était attendu dans 1~ capitale le y, et l'empereur
Je !8.
Le gouvernement a reçu aussi des dépêches de Corfou en date du
n juittet. Ces dëpÊches apportent des nouvelles de Censtantinopte
jusqu'au juillet. Plusieurs lettres particulières sont arrivées par la
même voie. EHes disent que'Ies.deux escadres qui portaient les am-
bassadeurs a Constantinople avaient été l'objet de toute l'attention des
Turcs. Un des bâtimens français eut le malheur d~ëchouer dans le
canal, mais les b&timens anglais arrivèrent a leur destination sans
'accident, et cette circonstance ne manqua pas de faire une impres-
sion faverabie a l'Angleterre sur l'esprit des Turcs. Le capitan-pa-
cha est venu de Bujuckderë voir la frégate ane~aise 7 ~otte turque alors à Bujuckderë était composée d'un vaisseau a trois
CHRONIQUE MUSICALE..
ACADÉMIE ROYALE DE MUSIQUE.
.Ct/f~auMe ?M~, opéra en quatre actes, paroles de MM. Jony et Bis
musique de Rossini, ballet de M. Aumer, décorations de M. Cicéri.
(Premierartic)e.)
Chaque peuple à son tour a brille sur la terre,
Le temps de l'~a~'e est à la fin venu.
Eh quoi, c'est au moment où la mère-patrie de t'Opéra semble
frappée de stérilité; c'est lorsque ta France fui. fournit des parti-
M tiens et des virtuoses que vous prétendez 'faire lever l'aurore des
ptus beaux jours de l'Italie? Jamais citation n'arriva plus mal à
f propos, puisque veus voulez absolument appeler à votre aide les
)~ classiques pour nous donner des preuves d'une érudition tant soit
peu vutgaue, remontez plus haut, et faites dire au.sertorius du
f boulevard Montmartre
Rome n'est plus dans Rome, elle est toute où je suis.
Vous n'en paraîtrez pas plus savant il est vrai mais au moins la
)' justesse de, l'application pourra faire pardonner ce qu'elle a de
~tropsimple." »
.~c~K~f. a~HCtO,MrOtMe/hTnavant de me condamner, permettez du moins que je finisse ma pë-
it'iodepar la cadence. Vous m'arrêtez sur la note sensible, et ma con-
ctmion paraît fausse. Quand vous saurez qu'il ne s'agit point des
composteurs et des chanteurs, mais d'une classe moins illustre et
pourtant f&rt intéressante de la société musicale, des arrangeurs,
enfin, puisqu'il faut les appeler par le nom qu'ils se sont forges
vous répéterez avec moi
Le temps de l'Italie est à la nn venu.
J~M~ONt C<'fM<~ Donna MattM, iVCMt~ 0/'t, que les
ponts de !56 canons et i~oo hommes, de 5 deux ponts, d'une
grosse frégate, une petite frégate, trois correttes et la frégate prise
sur les Russes de ~4 canons'. '`
Quel que soit le résultat de Fexpédition contre le Mexique, il pa-
rait qu'on a fait de grandes combinaisons pour en assurer le succès.
Les négoeians de Cadix et les exiles de Mexico ont avancé des fends
peur l'appuyer. Comme ou a embarque unegrande quantité de fusils,
on croit qu'en compte beaucoup st:r un parti dans l'intérieur. Une
lettre, écrite par un Anglais habitant In.' Havane, assure qu'une
autre expédition partira incessamment pour eue autre partie du
continent, et on y. croit car l'expédition asttteMe n'emporte pas la
moitié des troupes disponibles.
FRANCE..
5
Hier le Roi a reçu en audience particulière M. le duc de Doudeau-
ville, pair de France.
Aujourd'hui, à cinq heures S. A. R. MADEMOISELLE de Berry est
partie pour Dieppe. M°"Ia duchesse de Gontaut accompagne la jeuue
princesse..
A midi, le Roi a chassé au tir dans le pare. M. le dauphin et M. le
prince de Soire'ont accompagné S. j~.
S. A. R. MADAME, duchesse de Berry, ë~t partie des Tuileries a
six heures moins un quart du matin pour Dieppe. M"' la comtesse de
Neailles, M"" la comtesse de Bouille et M. le comte de jMenard ont
accompagne S. A. R..
PAMS, 4 ~OM<.
–Par ordonnance du Roi du t août, la session de t8zg des con-
seils-généraux de département s'ouvrira le 27 août courant, et sera
ciose le 10 septembre suivant. Les conseils d'arrondissement s'assem-
bleront le 16 septembre p<)ur procéder au répartiment de ta contri-
bution foncière, personnelle et mobilière, entre les communes.
Cette partie de la session durera cinq jours.
Par ordonnance en date du 2 août, les nominations suivantes
ont eu lieu dans l'ordre judiciaire
M. Pezet, président du tribunal de première instance de Bayeux
(Calvados), a été nommé conseiller à la tot~'royale de Caem, en rem-
placement de M. Hubert, décédé;
M. Quchard, juge d'instruction au tribunal de première instance
de Sarrebourg (Meurthe), a été nommé juge au siège de Lunéville
même département, en remplacement de M. deMaimboMrg;
M. Jourdain, juge au tribunal de première instance du Havre
(Seine-Inférieure), a été nommé procureur du Roi près le siège de
Neufehâtel, en remplacement de M. Fouet, appelé a d'autres fonc-
tions
M.D~Haume de TreSorest, substitut au tribunal de première
instance d.e Keufehâtei, a été nommé juge au siège du Havre en
remplacement de M. Jourdain;
M. Frayssmaud, substitut au tribunal de première instance de Bel-
fort (Haut-Rhin), a été nommé substitut au tribunal de première
instance de Neufehâtel (Seine-Inférieure), en remplacement de
M. Dallaume de TreSbrest.
M. Lecauchois-Ferand, avocat, a été nommé substitut au tribunal
de première instance de Belfort (Haut-Rhin), en remplacement de
M. Frayssinaud.
M"" la Dauphine a dû arriver hier au soir a Rouen elle y
restera jusqu'à mercredi, et l'intention de S. A. R. est, dit-on, de
visiter ptustsurs établissemens manufacturiers.
italiens ont acquis par droit d'aubaine, brillent sur les théâtres où
J'en représenta pour la première fois O~/o, .&'MtfWa!<~e, la Gcma
~ï. Il signor 7'o~o/N: et ses laborieux rivaux ont aisément trans-
laté ces opéras dans leur harmonieuse langue. Guillaume Tell leur
prépare une autre besogne, et s'ils parviennent à redresser le Mre~o,
à lui donner de-la vivacité, de l'intérêt, a le rendre amusant, ils
mériteront une mention honorable. La~ongrëgation des arrangeurs
n'est pas assez solidement établie pour se permettre de dëcerHer des
médailles.
En présentant la partition de Guillaume Tell, le musicien a fait sa
fourniture en conscience, malheureusement les cheses admirables,
sublimes, qu'il nous a données avec autant de fat-gesse que de loyauté,
remorquent un livret si long, si lent, si lourd, que les walses légères
et les temps serres du mo.Mtro ne l'ont fait arriver au port qu'après
quatre heures et demie d'une marche pénible et forcée. Si}l'oe pou-
vait scier une partition comme on fait l'acajou, à dix.-huit épaisseurs
dans un pouce, GM;7/aM?Mf Tell sumrart pour plaquer deux opéras,
trois opéras. Mais il faut que t/s~~ûrTottola s'en. mêle; le jury même
de l'Académie royale, corps vénérable et vënëré, n'achèverait point
ce grand oeuvre. Quelques mëchans plaisant prétendent que ce jury
ne sait pas ce que c'est qu'un vers lyrique, et qu'il ignore qne le
hiatus doit être évité rigoureusement dans la poésie destinée au.chant.
Les ouvrages qu'il reçoit forcent la critique a se taire, et si les musi-
ciens voulaient aussi réclamer contre l'iMtitution du jury, je me hâte-
rais de leur rappeler que cette société savante a reçu par acclamation
la musique du ~NMtgno~. On ne saurait avoir plus de droits à la
reconnaissance nationale.
Le revenant Je Sémiramis, t'om's de belle ~r.!eM, la pantouSe
de CMA-t&w, la barbe d'azur de rëpoux d'Isaure sont des xou-
Yeamës capables de piquet- tusst \iyement h curiosité que lit pomme
Voi-ci la proclamation adressée par M. le thaire de Rouen à se$
administres à l'occasion de l'arrivée de M' la Bauphine
« Habitans Je Rouen! S. A. R. M*" la Dauphine daigne venir a~
milieu de nous les jours où sa.présence embellira aos murs laisse-
ront de précieux souvenirs..
M Pressons nous autottr de la Fille de nos Rois!
)' Que son noble coeur reconnaisse, dans l'allégresse puMique, ta:
Gdélité des Rouennais
Puisse le bonheur dont nous allens )OMir être le présage de celui
que neus éprouverons en possédant notre auguste monarque.
Redoublons d'ardeur pour que S. A. R., tonchëe de notre dé-
vouement, daigne reporter aux pieds du Roi nos hommages et nos
vœux..
Vive le Rei vive M"" !a Daophine vivent les Bourbons
maire de 7!oue~, ie marquis M MAMA:NVtLBE. x
M. le ministre du commerce a adressé le 27 juillet Illettré sui-
vante à toutes les chambres de commerce de France e
JMf. les mest&ye~ de CAa~re de CoMmerceMessieurs
Un document oinciel récemment envoyé au gouvernement du Roi.
par l'administration de la Guadeloupe, contient les défaits suivans
« I) est apporté généralement bien peu d'attentios, pour ne pas
dire plus, dans les envois faits dans nos colonies. Je citerai, par
exemple, deux objets d'une, grande importance pour leshabitans, 1
les charrues et les chaudières. Les premières résistent rarement
au premier coup de collier des bœufs attelés pour les utiliser dacs
des terres fortes, telles que le sont la plupart de celles de ce pay~,
la mauvaise composition des secondes tient dans de.} inquiétudes'
continuelles le propriétaire pendant tout le temps de la roula)son
il n'est pas rare de voir une et deux chaudiëres éclater et exposer
ainsi un habitant à perdre une partie de sa rëc<e.'Jene paierai
pas des houes dont le fer se sépare du collier au premier coup dont
on frappe la terre, ni de ces sabres et serpes que la résistance de
la canne ëmousse con'.ne si ils étaient en pîomb. Je ne parierai pas
de ces voiles dites de 61, ttssues en partie avec du coton, et dont une
partie se retire a la première atteinte de l'eau. Je ne parlerai
pas non plus de la capacité tous les jours décroissante des bouteilles
qui contiennent, soit les huiles, soit les vins de Bordeaux. Il est
peu d'articles envoyés de la métropole qui ne pussent motiver de
semblables, observations, x
Je n'accompagnerai ces détails, Messieurs, d'aucune réftexion. Là-
commerce comprendra de lui-même qu'il est de son intérêt bien en-
tendu de n'envoyer dans nos colonies que des produtts de bonne qua-
lité et bien confectionnés, et qu'en agissant autrement il encouragerait,
en les légitimant jusqu'à un certain point, les tentatives que feraient
les colons pour se pourvoir des mêmes produits par le ceiRmepce-
étranger.
'Je vous prie de donnée à }a présente lettre toute la publicité quer
comporte son objet.
Recevez, Messteurs, l'assurance de ma considération distinguée.
Le ministre du commercer ~
SAIKT-GRtCQ.
On mande de Bucharest, le il juillet
< Après quelques jours de repos-, toute l'armée de siège de SiMstrie-
se mettra en marche pour Schumta, à l'exception des troupes com-
mandées pour renforcer le blocus de Rutschuck, et qui, dit'-on~.
s'élèvent tout au plus a 5ooo hommes. On assure toujours q.ue le-
général comte Diebitch se prépose de marcher par ie BalkMi! sur
Andrinopte. Le maladie continue de faire des progrès.
Du 12. « D'après les nouvelles que nous avons reçues aujourd'hui~
par Guillaume embrochée. Ce fruit à l'espèce humaine fataj~. objet
de jalousie et de rivalité dans l'Olympe, causa la rui~e de Troie~
mats il figure avec avantage dans les ëvéaemens qui précédèrent l'af-
franchissement de l'Helvëtie c'est uce .bien petite compensation
pour des méfaits si graves: encore ne sait-on pas bien précisément.
si ce dernier fait est certain. La tradition doit sufEre puisqu.'au be-
soin les faiseurs de livrets peuvent s'e& passer. Je ne ferai point l'é-
numëration de toutes les pièces composées sur ce sujet, la litanie
serait trop longue. En France, et chez nos voisins la tragédie, la
comédie, l'opéra ont leur pacottlle deGMtNaMMt'TcM. Notre mélodrame'
se l'est approprie, le vaudeville national a cru devoir s'ea; emparer
aussi. La pamme helvétique promenée depuis la rue de Chartres jus-
qu'au boulevard du Temple, en passant par la comédie française et la.
rue Feydeau, n'a pas trouvé des amateurs bien empresses d'y mordre.
Lavoiia pompeusemeat installée à l'Académie royale; les briMans
accords de Rossini lui permettent de plus heureuses destinées, et ce
sera peut-être, le plus beau triomphe de ce grand maître. Dressons
le procës-Yerh.t! ne la prue de possession, et parlons des cëiëmojM~-
observées dans cette solennité musicale et dansante. j!~P~~
Les amis. tie Tell se sont réunis pour la célébration dt~j~teMB~
mariages. Apres une invocation au dieu qui protège les é~M~~p)~~
une bénédiction provisoire administrée par le v~iHarjM~J~n~M
canton, les vi!)geois dansent. Arnold, fils de Mf])fête, on lui propose de suivre l'exemple de ses camarades jNMteaNMt
une compagne tendre et fidèle. Arnold dit qu'il aime mi
Eaerre; ses parens se eontentent de cette raison TeltaT)j~jj)j~jS<~
cause du refus du jeune soldat, et lui fait de violens reproche9%a5)~
sa passion pour Mattulde, fille de Gessler, gouverneur, oppresseur
da la Suisse. L'ittsotence des AUemands est portée au comble un de
leurs cbe& iosutte ta femme d'un paysan, c~m-ci ratMt d'un oou~
;)).T-).t-rp. 'j,~
On s't&o!me me des Prêtres Sfujat
F. Germam-rAuxerrois, a* 17.
Pnx M fr. pour trois mois.
)! ~S fr., pour six jaons.
~t,BNLl~. paur ~tnnëe..
:)*)'/)M'f.f!t'~ ))!Ji..r" rH 'j~ ~F
.t')'t.,jj;a-t-~)[.)
't.ijhn~
~URNAL:EBATS
~n~a~r; ~i. /i.t!
~x POLtTtQUES E~ MV~BRAmES.
?"
MERCREDI.
OR retO~t !es Avu a insérer~ tous le:
~ours depuis neuf heares dn mattB jm-
qn'a cinq heures, au Bureau daJoHn)ai,
rue des Prêtres Saint Germain l'Auxer-
reis, n° !y.–Le prix d'jMertioa e
NOÏJYELLËS ÉTRAN~Èà~.
SUEDE.
t~OcX&0/n!)iy/M~<. ·.
'On r~p&B4
~~M~~
Cop~tAS~M, iy/M~Zp<
Un journal de cette ville (~e AfesM~er~e Co~eK~~Me).annonce,
d'après des lettres particulières qu'il est certain qu'une escadre
j-usse de seize vaisseaux est partie de Cronstadt, et qu'elle passera de-
vant Cpnechague. >,
AUTRICHE.
-?'rm.d;tt.s5/M7/e<
îjes I)i'u~s tés plus contradictoires sur Constantinople ont été
répandus aujourd'hui a la Bourse. D'un côté, on disait que le sultan
avait ordonne 'au Reiss-ESendi de ne point envoyer le drogman qm
devait partir du camp du gracd-visir a Schumt~ pour négocier une
suspension d'hostilités. Cependant cette nouvelle est contredite par
l'assertion qu'on y ajoute que ce drogman était Jeja parti de Schumla
tors de l'arrivée du baron de Canitz a ConstaKtiiiOpte, le 3o juin.
D'un autre côté, l'on prétend savoir que le graud-seigneur a dé-
clare sa disposition a accepter la médiation des ami" .ssadeurs de
France et d'Angleterre, dans les affaires de la Grèce, et de traiter
directement de la paix avec la Russie sans leur entremise. Ces diffé-
rentes rumeurs, selon qu'on y ajoutait plus ou moins de foi, et bien
qu'il n'y eut rien d'oSciel à cet égard, ont occasionne de grandes
variations dans les fonds.
Ce qui est certain c'est qu'une maison de commerce de cette ville
a reçu une estafette partie de Constantinople le y de moi. mais elle
île lui a communique aucune nouvelle politique, si ce n'est les ré-
ponses d~}a connues du Reiss-Effendi a ~'ambassadeur de France.
On nous mande de Trieste que les troupes grecques commandées
~parA-ugu tin Capo-d'Istha se sont révoltées, au sujet de leur solde,
mais qu<- le président de la Grèce ayant fait des dispositions pour
les satisfaire, te tumulte s'est apaise. Ï
GRANDE BRETAGNE.
Zc7M~'M, I"~OK<.
Les consolidés ont ouvert à 88 7/8 ~g en compte a deux heures les
"consolides étaient a 88 y/8 8g en compte et au comptant.
Le gouvernement a reçu des dépêches au bureau des affaires étran-
gères de lord Heytesbury en date de St-Pétersbourg, i~ juillet. Le
-comte Nesseirode était attendu dans 1~ capitale le y, et l'empereur
Je !8.
Le gouvernement a reçu aussi des dépêches de Corfou en date du
n juittet. Ces dëpÊches apportent des nouvelles de Censtantinopte
jusqu'au juillet. Plusieurs lettres particulières sont arrivées par la
même voie. EHes disent que'Ies.deux escadres qui portaient les am-
bassadeurs a Constantinople avaient été l'objet de toute l'attention des
Turcs. Un des bâtimens français eut le malheur d~ëchouer dans le
canal, mais les b&timens anglais arrivèrent a leur destination sans
'accident, et cette circonstance ne manqua pas de faire une impres-
sion faverabie a l'Angleterre sur l'esprit des Turcs. Le capitan-pa-
cha est venu de Bujuckderë voir la frégate ane~aise 7
CHRONIQUE MUSICALE..
ACADÉMIE ROYALE DE MUSIQUE.
.Ct/f~auMe ?M~, opéra en quatre actes, paroles de MM. Jony et Bis
musique de Rossini, ballet de M. Aumer, décorations de M. Cicéri.
(Premierartic)e.)
Chaque peuple à son tour a brille sur la terre,
Le temps de l'~a~'e est à la fin venu.
Eh quoi, c'est au moment où la mère-patrie de t'Opéra semble
frappée de stérilité; c'est lorsque ta France fui. fournit des parti-
M tiens et des virtuoses que vous prétendez 'faire lever l'aurore des
ptus beaux jours de l'Italie? Jamais citation n'arriva plus mal à
f propos, puisque veus voulez absolument appeler à votre aide les
)~ classiques pour nous donner des preuves d'une érudition tant soit
peu vutgaue, remontez plus haut, et faites dire au.sertorius du
f boulevard Montmartre
Rome n'est plus dans Rome, elle est toute où je suis.
Vous n'en paraîtrez pas plus savant il est vrai mais au moins la
)' justesse de, l'application pourra faire pardonner ce qu'elle a de
~tropsimple." »
.~c~K~f. a~HCtO,MrOtMe/hTn
it'iodepar la cadence. Vous m'arrêtez sur la note sensible, et ma con-
ctmion paraît fausse. Quand vous saurez qu'il ne s'agit point des
composteurs et des chanteurs, mais d'une classe moins illustre et
pourtant f&rt intéressante de la société musicale, des arrangeurs,
enfin, puisqu'il faut les appeler par le nom qu'ils se sont forges
vous répéterez avec moi
Le temps de l'Italie est à la nn venu.
J~M~ONt C<'fM<~ Donna MattM, iVCMt~ 0/'t, que les
ponts de !56 canons et i~oo hommes, de 5 deux ponts, d'une
grosse frégate, une petite frégate, trois correttes et la frégate prise
sur les Russes de ~4 canons'. '`
Quel que soit le résultat de Fexpédition contre le Mexique, il pa-
rait qu'on a fait de grandes combinaisons pour en assurer le succès.
Les négoeians de Cadix et les exiles de Mexico ont avancé des fends
peur l'appuyer. Comme ou a embarque unegrande quantité de fusils,
on croit qu'en compte beaucoup st:r un parti dans l'intérieur. Une
lettre, écrite par un Anglais habitant In.' Havane, assure qu'une
autre expédition partira incessamment pour eue autre partie du
continent, et on y. croit car l'expédition asttteMe n'emporte pas la
moitié des troupes disponibles.
FRANCE..
5
Hier le Roi a reçu en audience particulière M. le duc de Doudeau-
ville, pair de France.
Aujourd'hui, à cinq heures S. A. R. MADEMOISELLE de Berry est
partie pour Dieppe. M°"Ia duchesse de Gontaut accompagne la jeuue
princesse..
A midi, le Roi a chassé au tir dans le pare. M. le dauphin et M. le
prince de Soire'ont accompagné S. j~.
S. A. R. MADAME, duchesse de Berry, ë~t partie des Tuileries a
six heures moins un quart du matin pour Dieppe. M"' la comtesse de
Neailles, M"" la comtesse de Bouille et M. le comte de jMenard ont
accompagne S. A. R..
PAMS, 4 ~OM<.
–Par ordonnance du Roi du t août, la session de t8zg des con-
seils-généraux de département s'ouvrira le 27 août courant, et sera
ciose le 10 septembre suivant. Les conseils d'arrondissement s'assem-
bleront le 16 septembre p<)ur procéder au répartiment de ta contri-
bution foncière, personnelle et mobilière, entre les communes.
Cette partie de la session durera cinq jours.
Par ordonnance en date du 2 août, les nominations suivantes
ont eu lieu dans l'ordre judiciaire
M. Pezet, président du tribunal de première instance de Bayeux
(Calvados), a été nommé conseiller à la tot~'royale de Caem, en rem-
placement de M. Hubert, décédé;
M. Quchard, juge d'instruction au tribunal de première instance
de Sarrebourg (Meurthe), a été nommé juge au siège de Lunéville
même département, en remplacement de M. deMaimboMrg;
M. Jourdain, juge au tribunal de première instance du Havre
(Seine-Inférieure), a été nommé procureur du Roi près le siège de
Neufehâtel, en remplacement de M. Fouet, appelé a d'autres fonc-
tions
M.D~Haume de TreSorest, substitut au tribunal de première
instance d.e Keufehâtei, a été nommé juge au siège du Havre en
remplacement de M. Jourdain;
M. Frayssmaud, substitut au tribunal de première instance de Bel-
fort (Haut-Rhin), a été nommé substitut au tribunal de première
instance de Neufehâtel (Seine-Inférieure), en remplacement de
M. Dallaume de TreSbrest.
M. Lecauchois-Ferand, avocat, a été nommé substitut au tribunal
de première instance de Belfort (Haut-Rhin), en remplacement de
M. Frayssinaud.
M"" la Dauphine a dû arriver hier au soir a Rouen elle y
restera jusqu'à mercredi, et l'intention de S. A. R. est, dit-on, de
visiter ptustsurs établissemens manufacturiers.
italiens ont acquis par droit d'aubaine, brillent sur les théâtres où
J'en représenta pour la première fois O~/o, .&'MtfWa!<~e, la Gcma
~ï. Il signor 7'o~o/N: et ses laborieux rivaux ont aisément trans-
laté ces opéras dans leur harmonieuse langue. Guillaume Tell leur
prépare une autre besogne, et s'ils parviennent à redresser le Mre~o,
à lui donner de-la vivacité, de l'intérêt, a le rendre amusant, ils
mériteront une mention honorable. La~ongrëgation des arrangeurs
n'est pas assez solidement établie pour se permettre de dëcerHer des
médailles.
En présentant la partition de Guillaume Tell, le musicien a fait sa
fourniture en conscience, malheureusement les cheses admirables,
sublimes, qu'il nous a données avec autant de fat-gesse que de loyauté,
remorquent un livret si long, si lent, si lourd, que les walses légères
et les temps serres du mo.Mtro ne l'ont fait arriver au port qu'après
quatre heures et demie d'une marche pénible et forcée. Si}l'oe pou-
vait scier une partition comme on fait l'acajou, à dix.-huit épaisseurs
dans un pouce, GM;7/aM?Mf Tell sumrart pour plaquer deux opéras,
trois opéras. Mais il faut que t/s~~ûrTottola s'en. mêle; le jury même
de l'Académie royale, corps vénérable et vënëré, n'achèverait point
ce grand oeuvre. Quelques mëchans plaisant prétendent que ce jury
ne sait pas ce que c'est qu'un vers lyrique, et qu'il ignore qne le
hiatus doit être évité rigoureusement dans la poésie destinée au.chant.
Les ouvrages qu'il reçoit forcent la critique a se taire, et si les musi-
ciens voulaient aussi réclamer contre l'iMtitution du jury, je me hâte-
rais de leur rappeler que cette société savante a reçu par acclamation
la musique du ~NMtgno~. On ne saurait avoir plus de droits à la
reconnaissance nationale.
Le revenant Je Sémiramis, t'om's de belle ~r.!eM, la pantouSe
de CMA-t&w, la barbe d'azur de rëpoux d'Isaure sont des xou-
Yeamës capables de piquet- tusst \iyement h curiosité que lit pomme
Voi-ci la proclamation adressée par M. le thaire de Rouen à se$
administres à l'occasion de l'arrivée de M' la Bauphine
« Habitans Je Rouen! S. A. R. M*" la Dauphine daigne venir a~
milieu de nous les jours où sa.présence embellira aos murs laisse-
ront de précieux souvenirs..
M Pressons nous autottr de la Fille de nos Rois!
)' Que son noble coeur reconnaisse, dans l'allégresse puMique, ta:
Gdélité des Rouennais
Puisse le bonheur dont nous allens )OMir être le présage de celui
que neus éprouverons en possédant notre auguste monarque.
Redoublons d'ardeur pour que S. A. R., tonchëe de notre dé-
vouement, daigne reporter aux pieds du Roi nos hommages et nos
vœux..
Vive le Rei vive M"" !a Daophine vivent les Bourbons
maire de 7!oue~, ie marquis M MAMA:NVtLBE. x
M. le ministre du commerce a adressé le 27 juillet Illettré sui-
vante à toutes les chambres de commerce de France e
JMf. les mest&ye~ de CAa~re de CoMmerce
Un document oinciel récemment envoyé au gouvernement du Roi.
par l'administration de la Guadeloupe, contient les défaits suivans
« I) est apporté généralement bien peu d'attentios, pour ne pas
dire plus, dans les envois faits dans nos colonies. Je citerai, par
exemple, deux objets d'une, grande importance pour leshabitans, 1
les charrues et les chaudières. Les premières résistent rarement
au premier coup de collier des bœufs attelés pour les utiliser dacs
des terres fortes, telles que le sont la plupart de celles de ce pay~,
la mauvaise composition des secondes tient dans de.} inquiétudes'
continuelles le propriétaire pendant tout le temps de la roula)son
il n'est pas rare de voir une et deux chaudiëres éclater et exposer
ainsi un habitant à perdre une partie de sa rëc<e.'Jene paierai
pas des houes dont le fer se sépare du collier au premier coup dont
on frappe la terre, ni de ces sabres et serpes que la résistance de
la canne ëmousse con'.ne si ils étaient en pîomb. Je ne parierai pas
de ces voiles dites de 61, ttssues en partie avec du coton, et dont une
partie se retire a la première atteinte de l'eau. Je ne parlerai
pas non plus de la capacité tous les jours décroissante des bouteilles
qui contiennent, soit les huiles, soit les vins de Bordeaux. Il est
peu d'articles envoyés de la métropole qui ne pussent motiver de
semblables, observations, x
Je n'accompagnerai ces détails, Messieurs, d'aucune réftexion. Là-
commerce comprendra de lui-même qu'il est de son intérêt bien en-
tendu de n'envoyer dans nos colonies que des produtts de bonne qua-
lité et bien confectionnés, et qu'en agissant autrement il encouragerait,
en les légitimant jusqu'à un certain point, les tentatives que feraient
les colons pour se pourvoir des mêmes produits par le ceiRmepce-
étranger.
'Je vous prie de donnée à }a présente lettre toute la publicité quer
comporte son objet.
Recevez, Messteurs, l'assurance de ma considération distinguée.
Le ministre du commercer ~
SAIKT-GRtCQ.
On mande de Bucharest, le il juillet
< Après quelques jours de repos-, toute l'armée de siège de SiMstrie-
se mettra en marche pour Schumta, à l'exception des troupes com-
mandées pour renforcer le blocus de Rutschuck, et qui, dit'-on~.
s'élèvent tout au plus a 5ooo hommes. On assure toujours q.ue le-
général comte Diebitch se prépose de marcher par ie BalkMi! sur
Andrinopte. Le maladie continue de faire des progrès.
Du 12. « D'après les nouvelles que nous avons reçues aujourd'hui~
par Guillaume embrochée. Ce fruit à l'espèce humaine fataj~. objet
de jalousie et de rivalité dans l'Olympe, causa la rui~e de Troie~
mats il figure avec avantage dans les ëvéaemens qui précédèrent l'af-
franchissement de l'Helvëtie c'est uce .bien petite compensation
pour des méfaits si graves: encore ne sait-on pas bien précisément.
si ce dernier fait est certain. La tradition doit sufEre puisqu.'au be-
soin les faiseurs de livrets peuvent s'e& passer. Je ne ferai point l'é-
numëration de toutes les pièces composées sur ce sujet, la litanie
serait trop longue. En France, et chez nos voisins la tragédie, la
comédie, l'opéra ont leur pacottlle deGMtNaMMt'TcM. Notre mélodrame'
se l'est approprie, le vaudeville national a cru devoir s'ea; emparer
aussi. La pamme helvétique promenée depuis la rue de Chartres jus-
qu'au boulevard du Temple, en passant par la comédie française et la.
rue Feydeau, n'a pas trouvé des amateurs bien empresses d'y mordre.
Lavoiia pompeusemeat installée à l'Académie royale; les briMans
accords de Rossini lui permettent de plus heureuses destinées, et ce
sera peut-être, le plus beau triomphe de ce grand maître. Dressons
le procës-Yerh.t! ne la prue de possession, et parlons des cëiëmojM~-
observées dans cette solennité musicale et dansante. j!~P~~
Les amis. tie Tell se sont réunis pour la célébration dt~j~teMB~
mariages. Apres une invocation au dieu qui protège les é~M~~p)~~
une bénédiction provisoire administrée par le v~iHarjM~J~n~M
canton, les vi!)geois dansent. Arnold, fils de Mf])
une compagne tendre et fidèle. Arnold dit qu'il aime mi
Eaerre; ses parens se eontentent de cette raison TeltaT)j~jj)j~jS<~
cause du refus du jeune soldat, et lui fait de violens reproche9%a5)~
sa passion pour Mattulde, fille de Gessler, gouverneur, oppresseur
da la Suisse. L'ittsotence des AUemands est portée au comble un de
leurs cbe& iosutte ta femme d'un paysan, c~m-ci ratMt d'un oou~
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