Titre : La Presse
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1838-07-07
Contributeur : Girardin, Émile de (1806-1881). Directeur de publication
Contributeur : Laguerre, Georges (1858-1912). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 07 juillet 1838 07 juillet 1838
Description : 1838/07/07. 1838/07/07.
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4274374
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
~T"' dés 't.-Vt"~
9emesemNe,Mptiquerte9inquiétuM)t par d6i mouvemens mtMhtr6s,~de!)
rassemMemens de troupes qui auraient eu Heu sur ta frentière, et M a~Ht
que nous avions iavoqué ce motif pour me augmentation de crédit qui
nous a été accordée a t'autre chambre. Je suis bien aise, chemin faisant, de
rectiS&rtes faits. li n'y a pointeuderassemMement dé troupes;on a seute-
meut porté tes garnisons des places de ta frontière au complet du pied de
paix. pas autre chose; et c'était une mesure de prudence quêta chambre
comprendra. Cette augmentation de crédit accordée par l'autre chambre, a
et, je dots te dire avec reconnaissance, toupies caractères d'an vote de con-
fiance car ta s'est contenté de ta noteriëté pubtique. et c'est ainsi qu'on nous
a donaé tes meyeas de porter notre armée au comptetuapied de paix.
Maintenant t'honorabte M. de Brézé a encore accusé ta petttiqué suivie par
!e ~aVemément, depuis huit ans, de stérilité et de faiblesse. H a dit qu'il
n'y avait eu que deux actes pateas de cette politique te traité de ta qua-
drupte attiance et !e traité ues 24 articies;'et, a-t-it ajouté, qù'ont-its produit?
Absolument rien. Rien. messieurs, dit-on Vous ne te croyez pas, et it suf-
%ra de que)ques mots peur vous rappeler au contraire tes grands résultats de
ces deux actes diplomatiques auxquels on a voulu réduire toute )a politique
du gouvernement de juittet. Et voyons d'abord ce qu'a fait !e traité de !a
quadruple aUiance. Ce traité, dont on parte si légèrement, Uafait, meMieuM,
que te trône constitutionnel de l'Espagne, non seuiementest debout, mais
~'alfermtt tous tes jours. C'est a tut que vous devez en grande partie ta si-
tuatton actuette du prétendant et te déctin rapide de sa cause.
(~aantaux 24 articles, ne sait-on pas-qù'iis ont déterminé ces évënemens
dans taquetie ta France a joué un si grand rote, et qui amené ta convention
B~vHotre de 1835! L'honorable M. de Brézé venant ensuite à ta question
betge et ta traitant sinon du m~me point de vue, au moins dans te même sens
que M. de Montatembert, nous a demandé nettement dansquet esprit nous
comptioM diriger ta négociation; si nous serions pour où contre ta Belgique.
Contre ta Belgique, messieurs, mais si on devait parler de soi, je deman-
derais si c'est bien a moi qu'on deit faire une pareille question? J'at fait mes
preuves en 1830, mats contre ta Belgique, jamais (Très bien !)
Quant au reste, ta chambre comprendra que je ne dois pas répondre aui
jdeux discours qn'ette a entendus, et que même j'impose sttence aux sym-
~athtesqùt pourraient ettster en moi. (Marques d'adhésion.) La chambre
comprendra que je manquerais a toutes Jes règles de )a plus commune pru-
dence si~au moment eûtes négociations vont s'ouvrir a Londres, au marnent
où tes conférences vont être reprises, où tes instructions demandées par tes
plénipotentiaires & leurs gouvernemens arrivent, je consentais & donner ta
moindre explication sur un pareil sujet. (Marques générales d'assentiment.)
M. tAMOUSSAYE parte en faveur da chapitre.
M. ynjLEMAHf demande si l'article S de ta convention de M5S n'implique
pas !a possession du Limbourg et du Luxembourg en ~veurde t& Belgique
H n'yMrait, dit-U, qu'un traité déBhitifqùi pourrait ta !ui ûter, et un traité
déBMMf avec te roi de Hottande n'est pas chose facile a faire. `
))tOLÉ,jprBorabie M. Vitiemain de ventoir susciter au pouvoir te moinare embarras."
Comme it t'a dit, c'est tertainement dans l'intérêt nationat qu'ii vient de
parler, et cet intérêt seut te préoccupe mais je me permettrai de tui dire
qu'itatrop l'habitude des affaires, qù'it a trop te sentiment des convenan-
ces qxe tesatfaires imposent, âne trop grande connaissance detce qui se
pratique dans un autre pays, dont it vous cite souvent, avec l'autorité de
~a paroté, et ta réservé qu'en sait y garder et It latitude qu'on sait y don-
ner aux discussions qu'il connaît trop bien tout cHa pour Ignorer que dans
ce pays jamais on ne presserait ainsi un mmistre des a&aires étrangères de
't'expliquer sur untquéstttn de cette nature, atorsqu'etie est en cours dé n6-
'godattonij. r.
Quoi qu'il en soit, je ne chercherai pas d'exempte dans ta pratique d'un
pays voisin, mais je puiserai mes raisons dans ta nature des choses, et je lui
~dtrài que ~ëtté ttétgiqùe, sur taquetie il me demande de prononcer Me parole,
n'ont pasbésoin; car jëprendràisa injure qu'on me demandât sérieusement
cette parote, attenduque je n'admets pas te doute. Et jedtrat encore que
t'intérêtide ta Belgique vent des actes bien pius que aes paroles, et que tes
pàroies ici pturraient ëêner ta liberté que nous devons conserver danst'in-
téret dé tous. (Marques génér&tes d'assentiment.)
Lë~Mpitrèdumimstère des a&air~s étraBgh-etést adopte. OSpassëa~-
miderin~érienr.
Les chapitres des divers ministères ont successivement été adoptés, ainst
ouates isitartictës du projet dé )di qui nxentet complètent te budget des
L~itcrutnttar t'ensembte du bàdget a été nùttë; !a chambré n'étant pas
encombre ;ttsérarec6mmencé demain
tfaté'âttcéésttevéeaS heures et demie.
VÀMËTJÉS.
UN €;HATEAU'ESPAG]\E,
COMËDÏE EN UNiACTE .ET EN MERS.'(1).
f.i't' '?~ .C~?.
,Y~ "SCÈNE' ;J
~BtVAtt (~M e<~MC~MM p<0~ ~M n~tKC ntOM~6M~ DË~PHMiË M~ CO-
'M!Md!6~
's~.<
Ce boadoir est charmant d'honneur c'est un bijou
DepaUssandre,d'or,d'6bÈne, d'acstjon! u
Lesspectres de minuit, dans le siècle oH nous sonunes,
a-~pnt des progrès, ils sont galans comme des hommes..
r SÀmVAL(AD6
dN. ~oua îê patë(][uëjetâvaispromi!s.
C'est le premier service. Apres vient iësa!mis< `
Denx.piats réels. ta vois, ce n'est point un mensonge.
'MïjPHjMtf. 't'
Ç'e~t meryêNIenx Traimént rien ne manqué à mon songe.
~u~N~j~
MettonsTiNtrèeontër~aidé'z-moi, Casimir,
~~X? ~c~~te,etpmsauonsdorm~
-'CAS~MtR. ~i
J'ai dëcouvert aussi dans iè fond d'anë armoire
Deux Bacons d'aUcanteetàousaUônstësboire.
coMft ~s c&erc~cî' ctM/b~ ist fM~ctUMM~
SAI~VAL.
Assëyons-~ôwStJemeurs~e&im.dësoif.
(~erc6~.Ehbien!
.CASIMIB.
Chacun à soncouYërt ici, j'ai pris le mien.
Hfaut!avt)ir, monsieur.ceder.aùxc~côïtstancës;
v te~ a tbûjnnrs iappraché lès distânces.
~SAI!tVÂï. ~.i'
Et'tpnnonsservira~
/:CA8liM)iR.
~j.M~M~MMSmstM~:
Ï.ë service sera p!ns rapide et ptas doux.
\Hmm~m~
v LaissezSirëjCOUsin,!àissez.
'SANVAL..
AIàbonnehëure!
r(ï77t~?'7'c&~?nJeboisaucMtebin.roidecettedeateurë'
't,, (OM~~6K~M~aCe<6~<~p(l)VoirtafreMedu6jutHet.
Sij~~sunpëurëux.j'anraisquetques&isson!
DaBsl'autre appartement qn'ai-jë eatenda?
"bELPHïanE(~MC).
Dessohsl
:CASIMÏR,
Efrëar~c'estunëchodelavoixdemadame.
~FERDmAND.
Jen'airiênentendu.quantàmoi.
'SAmvAL~?~
Surmoname!
Je nëme trompepomt(~
'C'est un duo lointain d'une Karpë et d'un cor. r
.FERDINAND.
C'estune illusion!
'SAB~AL.
~Rassure-to~ Delphine?
;C'ASÏMÏR. !r~
Je n'entends rien; pourtant j'ai l~reille bien &he'
(~Mso~M.s'C)'~pfoe~6M~.)
SAÏBtVAL.
Pourtec6np,t!ettefbM! t L
~FERDÏBtAND'
` 0~~
Jecon]tiaismêmerair.ou!
'DEtjpRtttE.
MesureàtroMtëmps.
SAtNVAL.
Unevalse!
CASÏM!R.
Valsons! CASIâ'IIR.
'.SAÏNVAL. .y~<
C'est là, dans la muraille p
CASIMIR.
~ërtnettez ~neje prenneune aite dèvoiaiHë F
Car ceci devient grave, et je veux être fort
Pour écouter, sanspeur, la vatsedeia mort.
.SAKfVAL.
'Jen'aiplusfàim; `
-< 'DBH'HniE.
j'aipear.i.fraiment~mi.jefrissohnf.
;i');.8ABtVA]L.),(,
~Partons. moi, qui-ne crains personne,
JecraHt8tèsrêTenans;c'estunfaible.
'FËMENAND: >
"Partons!
(roMss6<&î'e~t,ea:c6~C
SA!t-~t~e.')-
Ciel'tàportëéstfermëëâquatretôurs! Hm.
y 'cASÏNm.
"ReMons~
~?~EU~
'H.'fMtse~ësigner.k'
?' .SÀBitVAÏ. (a!D6~~6).J'
.T~TUM~~M~
"MH~MM.
'SM~dM~ v
C'est 16 premier moment de petr que je redoute, .v
` Ce moment est passe, mon oncle~mamtenant
Voyons cequedenousferalereYenant.
L Si ia fuite estfermêe, et s'u n'est point déporte
Poursortir, te meHIeurestd'avoirt'âmèforte,
~g~p~q~n~ nous sert,
Et s'u n'est pas mauvais, d'apptaadir son concert.
SAMVAÏ,t.t'
(0M6tt~C!M (.t)tLLAUME-TELL:Sombrefor6t).
'DÉLï~BUNË.
Laharp~recomme&ce:
'(?€M'C~M~M~-Tc~
't .CASÏMIR.
x Bongoût!
v
DELPHINE.
-6'esttaTomance.?./i(.
(~c ~o~c c&œ~e <~MM&t;cA~~e'perso~de'~sc~ef~ccM'fa~~eM~
~ntMMfcofcc~MCOM~e~M.
~r "FERDmAtm.
(~y~~6p)'etnMrcoM~6<,eto~~c~
f r jepaie~ a cebakpB,
EÙe cMante aussi Men queDorusouFaIcon!
'J.DELPHÏNE.J'~Y:
~j'ehut,'mNtStem'
~\CASimR~a'F6r~MaHo!.),i.t~
~~CM~nMMMm~
SAi~VÀL (p Voyez, quelle insolence!
.'CASIMIR.
Voici rantre couplet chut au balcon silence t
B~va brâvâ (L
.Brava!'brava!'bis'!bi~ 'r.
.~FËidMNANb.
i Quelled.mneyotxl
~CAsnmR.
Qu'elie doitetre be!Ié aussi' car. jeta-vois!
~FERDINA]SH.
Avez-vous entëndn? Que de chatew~ I gué :d'amé
.S~ ~c.
Etonnantevraiment!
'FERDmAND.
Qu'en dites-vous, madame?
.J.J.bELpm~~(d'MM~p~~
Bnëcbanteàssëz~ien pour une ombre.
FERDNMfD (coMfcCMt 6M et~~fc ~CM
dfo~e).
Merci!
Primadonnacharmahte ensevelie ici!
DELPHtNE.
Allons? voilà lefou qui part!
.JFËRDiafÀBfD.~
.ij J'irai:sous'.terre
Pour sonder jusqu'au bout cet étrange mystère.
'SAn!VAL.
,CaImë-toi,tnont;ousm.
,r
CAS!MIR.
Om, monsieur, canaez-vous~
;t:tteheiachetef'lèfëstinavëcnous.
FERDMAND.
wvJé Jen'àiplusfaim~brisezmbnassietteetmonverre `
'Jesuisau ciel, mon âme àbandoMne ta terre!
(~cûM~t~pot'~deMt'Qt~etfoMt't'~t.)
'Ouverte~
CASÏMÏR.
Venez donc, ômonsieurFerdinand!
Attendez, avec nous, le matin endinant. v
'~i' .~M~ ")~
Out)YoiHdecësvMxquejechercheenËnrope;
JëconhaisIeMent.jeWuXvoirrènTetoppe!
DELPHKtE. (~ ~tM~O< ~Mt feint t<6 fOM~O~r
t
~t Lassez ce jennefon.. ~a
'.FEàSmÂt~B.
Lutin dëliciëti~
Jët6suisdâRsrenfer~tun~espasauxçieux! ·
(f< se précipite dans <6 p
SCÈNE vr.
LESPRÉCÉDE~~ ~Oi~2S,FERDINAND.
SANVAL.
~ut-it'të'sun~ef' `
CÀsh~(M<6t)&Mt).
"]'M.c'é~iHt~tê<:efdue"
'Quidëpmsque!<~ës.j6ursaYa~~ changé dé: ï8le,
ATaitprisùnàirgrayë, etjë'nesaispourquoi
AYaitvOtdumë'faire,àso!rimàge,mbi!
La première équipée offerte a s~
Voyez, â~aittombër son masque de faux sage. r
Oh!quëjelecohnaM!quanditéstgrave,iIihënt:
Âujoarii'hui, ce garçon, est dans son élément.
~'â{ long-temps emptoyé raison où badinagë
Pour amortir en lui la fougue du jeune âge;
Maisdemain, fatigue de cette mission,
~ëtuirëme~ mon œmpfe éfma
DELFamE~
Dites/ sommes-nous bien ëvëmes?.n me s~
A veir ce que je voisque nous rêvons ensëmMeI.L `
'SAmfVAL.
C'estrmsomme.eeoate,entre danscëboudoir,
TEttâohededormir;.< enfant.
t)EÏjPBM[E. "?.
J'ai peu d'espoir /~=
BeddMair,Cette nùit.jesouHrëde!atête.
OnsirohYënt partir. qu'on parte. je suis prête, i~
"j. r /g,
SAINVAL.i:
~ëur pâlira présent, je ~s~ ¡>
DELPHH!E(cM~~tî<~ porte &~
~e vois unfàuteuiL.. c'es~ litde repos.
Lâ,j'àtteNdraiiejour.
'SANVAL.
` Oui, ça doitte remettre; w
Je~euteraîpanrtoi.Mdarmiraspeat-Btre.
CaBnurdott rester ?!
cAsËNtR.
QueUebomtet
Je veille emachevantuneaHe de pâte..
DELPH)[!SE(M~M~6SMf <6 MM~ <<6
Mon oncle, H tarde bien?
;SANyÀL.
.Quiï.
/DELPHÏNE.-
SAB'ue~nous;importe!
~e n'aime pas les fous. A~ons, onvre la porte.
(~<ïMt~o< ctDe
(La~te~~enK~Mt.)
(Lâ ~~u2te ~a demâüi.).
M~RY.
Le bel ouvrage pMIosophiqne, .scienttjSqué, Httéraire et industriel, ~e
MM. P. Leroux et J. Reynaud publient eeus ie titré d'JSKeyc~op~e not<-
!'eHe, est arrivé à !a 28' livraison qui a paru depuis que)ques jours a !a H-
brairie de Charles Gosselin et W. Coquebert. Nous signaterotts les artic!es
sutTMS que conUentcetteli~raisoh. Be/eefM~e, par P. Leroux. Dans cet
article d'an~ immense étendue, et qui pourrait a lui seu) former un traité de
phitosophie, fauteur à renverse ia doctrine eciectique: Les mêmes principes
de philosophie, professée par !ës ëcnts de,M. Leroux, s'y retrauvent tout
entiers et exposés avecune YerYë noùveUe; tes artietes de biographie DoMat
et Mmom-!es, par M..Th.Fabas; PMpM/trm, par M; ie docteur Requin;
~~ert DMfe)-, par M. Thoré; PMc?s, pat M. Joguet, et ceuxBot?)Mtie:f< DM-
pet.-E&M etEazt t!e-Me, pM M. J. Reynaud. Ces derniers surtout sont traités
avec cette force et cette élégance de style qu'on recohnaK a Fauteur. Le per-
fectionnement de l'industrie, Ja richesse publique et des instructions hygié-
niques, sont" tes points saittans de ces articies peu ôievés en apparence, et
que l'ordre" alphabétique à:dévotus a M. Reynaud. Les artictes de M. Jntes
Lerouxsur i'Economie poHt~Me, sont écr'ts dans .ce principe unitaire, qm
!ie si étrëitementteuteta rédaction de I'B'!c:/c~op~:e Ko~eHe.DoManMet
JEe~a~e font créer unesciencenouvëUe, élevée sur !es ruines de ta science
anglaise La question du DMe< préoccupe en ce moment ~iYe~eht!es es-
prits. L'article de M. Petetin sur cette matière, présente des donpëes nou-
YeHesétcurieasM. et suttout présente tes moyens dé rëpresMon. M.
9emesemNe,Mptiquerte9inquiétuM)t par d6i mouvemens mtMhtr6s,~de!)
rassemMemens de troupes qui auraient eu Heu sur ta frentière, et M a~Ht
que nous avions iavoqué ce motif pour me augmentation de crédit qui
nous a été accordée a t'autre chambre. Je suis bien aise, chemin faisant, de
rectiS&rtes faits. li n'y a pointeuderassemMement dé troupes;on a seute-
meut porté tes garnisons des places de ta frontière au complet du pied de
paix. pas autre chose; et c'était une mesure de prudence quêta chambre
comprendra. Cette augmentation de crédit accordée par l'autre chambre, a
et, je dots te dire avec reconnaissance, toupies caractères d'an vote de con-
fiance car ta s'est contenté de ta noteriëté pubtique. et c'est ainsi qu'on nous
a donaé tes meyeas de porter notre armée au comptetuapied de paix.
Maintenant t'honorabte M. de Brézé a encore accusé ta petttiqué suivie par
!e ~aVemément, depuis huit ans, de stérilité et de faiblesse. H a dit qu'il
n'y avait eu que deux actes pateas de cette politique te traité de ta qua-
drupte attiance et !e traité ues 24 articies;'et, a-t-it ajouté, qù'ont-its produit?
Absolument rien. Rien. messieurs, dit-on Vous ne te croyez pas, et it suf-
%ra de que)ques mots peur vous rappeler au contraire tes grands résultats de
ces deux actes diplomatiques auxquels on a voulu réduire toute )a politique
du gouvernement de juittet. Et voyons d'abord ce qu'a fait !e traité de !a
quadruple aUiance. Ce traité, dont on parte si légèrement, Uafait, meMieuM,
que te trône constitutionnel de l'Espagne, non seuiementest debout, mais
~'alfermtt tous tes jours. C'est a tut que vous devez en grande partie ta si-
tuatton actuette du prétendant et te déctin rapide de sa cause.
(~aantaux 24 articles, ne sait-on pas-qù'iis ont déterminé ces évënemens
dans taquetie ta France a joué un si grand rote, et qui amené ta convention
B~vHotre de 1835! L'honorable M. de Brézé venant ensuite à ta question
betge et ta traitant sinon du m~me point de vue, au moins dans te même sens
que M. de Montatembert, nous a demandé nettement dansquet esprit nous
comptioM diriger ta négociation; si nous serions pour où contre ta Belgique.
Contre ta Belgique, messieurs, mais si on devait parler de soi, je deman-
derais si c'est bien a moi qu'on deit faire une pareille question? J'at fait mes
preuves en 1830, mats contre ta Belgique, jamais (Très bien !)
Quant au reste, ta chambre comprendra que je ne dois pas répondre aui
jdeux discours qn'ette a entendus, et que même j'impose sttence aux sym-
~athtesqùt pourraient ettster en moi. (Marques d'adhésion.) La chambre
comprendra que je manquerais a toutes Jes règles de )a plus commune pru-
dence si~au moment eûtes négociations vont s'ouvrir a Londres, au marnent
où tes conférences vont être reprises, où tes instructions demandées par tes
plénipotentiaires & leurs gouvernemens arrivent, je consentais & donner ta
moindre explication sur un pareil sujet. (Marques générales d'assentiment.)
M. tAMOUSSAYE parte en faveur da chapitre.
M. ynjLEMAHf demande si l'article S de ta convention de M5S n'implique
pas !a possession du Limbourg et du Luxembourg en ~veurde t& Belgique
H n'yMrait, dit-U, qu'un traité déBhitifqùi pourrait ta !ui ûter, et un traité
déBMMf avec te roi de Hottande n'est pas chose facile a faire. `
))tOLÉ,jpr
Comme it t'a dit, c'est tertainement dans l'intérêt nationat qu'ii vient de
parler, et cet intérêt seut te préoccupe mais je me permettrai de tui dire
qu'itatrop l'habitude des affaires, qù'it a trop te sentiment des convenan-
ces qxe tesatfaires imposent, âne trop grande connaissance detce qui se
pratique dans un autre pays, dont it vous cite souvent, avec l'autorité de
~a paroté, et ta réservé qu'en sait y garder et It latitude qu'on sait y don-
ner aux discussions qu'il connaît trop bien tout cHa pour Ignorer que dans
ce pays jamais on ne presserait ainsi un mmistre des a&aires étrangères de
't'expliquer sur untquéstttn de cette nature, atorsqu'etie est en cours dé n6-
'godattonij. r.
Quoi qu'il en soit, je ne chercherai pas d'exempte dans ta pratique d'un
pays voisin, mais je puiserai mes raisons dans ta nature des choses, et je lui
~dtrài que ~ëtté ttétgiqùe, sur taquetie il me demande de prononcer Me parole,
n'ont pasbésoin; car jëprendràisa injure qu'on me demandât sérieusement
cette parote, attenduque je n'admets pas te doute. Et jedtrat encore que
t'intérêtide ta Belgique vent des actes bien pius que aes paroles, et que tes
pàroies ici pturraient ëêner ta liberté que nous devons conserver danst'in-
téret dé tous. (Marques génér&tes d'assentiment.)
Lë~Mpitrèdumimstère des a&air~s étraBgh-etést adopte. OSpassëa~-
miderin~érienr.
Les chapitres des divers ministères ont successivement été adoptés, ainst
ouates isitartictës du projet dé )di qui nxentet complètent te budget des
L~itcrutnttar t'ensembte du bàdget a été nùttë; !a chambré n'étant pas
encombre ;ttsérarec6mmencé demain
tfaté'âttcéésttevéeaS heures et demie.
VÀMËTJÉS.
UN €;HATEAU'ESPAG]\E,
COMËDÏE EN UNiACTE .ET EN MERS.'(1).
f.i't' '?~ .C~?.
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~BtVAtt (~M e<
'M!Md!6~
's~.<
Ce boadoir est charmant d'honneur c'est un bijou
DepaUssandre,d'or,d'6bÈne, d'acstjon! u
Lesspectres de minuit, dans le siècle oH nous sonunes,
a-~pnt des progrès, ils sont galans comme des hommes..
r SÀmVAL(AD6
dN. ~oua îê patë(][uëjetâvaispromi!s.
C'est le premier service. Apres vient iësa!mis< `
Denx.piats réels. ta vois, ce n'est point un mensonge.
'MïjPHjMtf. 't'
Ç'e~t meryêNIenx Traimént rien ne manqué à mon songe.
~u~N~j~
MettonsTiNtrèeontër~aidé'z-moi, Casimir,
~~X? ~c~~te,etpmsauonsdorm~
-'CAS~MtR. ~i
J'ai dëcouvert aussi dans iè fond d'anë armoire
Deux Bacons d'aUcanteetàousaUônstësboire.
coMft ~s c&erc~cî' ctM/b~ ist fM~ctUMM~
SAI~VAL.
Assëyons-~ôwStJemeurs~e&im.dësoif.
(~erc6~
.CASIMIB.
Chacun à soncouYërt ici, j'ai pris le mien.
Hfaut!avt)ir, monsieur.ceder.aùxc~côïtstancës;
v te~ a tbûjnnrs iappraché lès distânces.
~SAI!tVÂï. ~.i'
Et'tpnnonsservira~
/:CA8liM)iR.
~j.M~M~MMSmstM~:
Ï.ë service sera p!ns rapide et ptas doux.
\Hmm~m~
v LaissezSirëjCOUsin,!àissez.
'SANVAL..
AIàbonnehëure!
r(ï77t~?'7'c&~?n
't,, (OM~~6K~M~aCe<6~<~p(l)VoirtafreMedu6jutHet.
Sij~~sunpëurëux.j'anraisquetques&isson!
DaBsl'autre appartement qn'ai-jë eatenda?
"bELPHïanE(~MC).
Dessohsl
:CASIMÏR,
Efrëar~c'estunëchodelavoixdemadame.
~FERDmAND.
Jen'airiênentendu.quantàmoi.
'SAmvAL~?~
Surmoname!
Je nëme trompepomt(~
'C'est un duo lointain d'une Karpë et d'un cor. r
.FERDINAND.
C'estune illusion!
'SAB~AL.
~Rassure-to~ Delphine?
;C'ASÏMÏR. !r~
Je n'entends rien; pourtant j'ai l~reille bien &he'
(~Mso~M.s'C)'~pfoe~6M~.)
SAÏBtVAL.
Pourtec6np,t!ettefbM! t L
~FERDÏBtAND'
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Jecon]tiaismêmerair.ou!
'DEtjpRtttE.
MesureàtroMtëmps.
SAtNVAL.
Unevalse!
CASÏM!R.
Valsons! CASIâ'IIR.
'.SAÏNVAL. .y~<
C'est là, dans la muraille p
CASIMIR.
~ërtnettez ~neje prenneune aite dèvoiaiHë F
Car ceci devient grave, et je veux être fort
Pour écouter, sanspeur, la vatsedeia mort.
.SAKfVAL.
'Jen'aiplusfàim; `
-< 'DBH'HniE.
j'aipear.i.fraiment~mi.jefrissohnf.
;i');.8ABtVA]L.),(,
~Partons. moi, qui-ne crains personne,
JecraHt8tèsrêTenans;c'estunfaible.
'FËMENAND: >
"Partons!
(roMss6<&î'e~t,ea:c6~C
SA!t
Ciel'tàportëéstfermëëâquatretôurs! Hm.
y 'cASÏNm.
"ReMons~
~?~EU~
'H.'fMtse~ësigner.k'
?' .SÀBitVAÏ. (a!D6~~6).J'
.T~TUM~~M~
"MH~MM.
'SM~dM~ v
C'est 16 premier moment de petr que je redoute, .v
` Ce moment est passe, mon oncle~mamtenant
Voyons cequedenousferalereYenant.
L Si ia fuite estfermêe, et s'u n'est point déporte
Poursortir, te meHIeurestd'avoirt'âmèforte,
~g~p~q~n~ nous sert,
Et s'u n'est pas mauvais, d'apptaadir son concert.
SAMVAÏ,t.t'
(0M6tt~C!M
'DÉLï~BUNË.
Laharp~recomme&ce:
'(?€M'C~M~M~-Tc~
't .CASÏMIR.
x Bongoût!
v
DELPHINE.
-6'esttaTomance.?./i(.
(~c ~o~c c&œ~e <~MM&t;cA~~e'perso~de'~sc~ef~ccM'fa~~eM~
~r "FERDmAtm.
(~y~~6p)'etnMrcoM~6<,eto~~c~
f r jepaie~ a cebakpB,
EÙe cMante aussi Men queDorusouFaIcon!
'J.DELPHÏNE.J'~Y:
~j'ehut,'mNtStem'
~\CASimR~a'F6r~MaHo!.),i.t~
~~CM~nMMMm~
SAi~VÀL (
.'CASIMIR.
Voici rantre couplet chut au balcon silence t
B~va brâvâ (L
.Brava!'brava!'bis'!bi~ 'r.
.~FËidMNANb.
i Quelled.mneyotxl
~CAsnmR.
Qu'elie doitetre be!Ié aussi' car. jeta-vois!
~FERDINA]SH.
Avez-vous entëndn? Que de chatew~ I gué :d'amé
.S~ ~c.
Etonnantevraiment!
'FERDmAND.
Qu'en dites-vous, madame?
.J.J.bELpm~~(d'MM~p~~
Bnëcbanteàssëz~ien pour une ombre.
FERDNMfD (coMfcCMt 6M et~~fc ~CM
dfo~e).
Merci!
Primadonnacharmahte ensevelie ici!
DELPHtNE.
Allons? voilà lefou qui part!
.JFËRDiafÀBfD.~
.ij J'irai:sous'.terre
Pour sonder jusqu'au bout cet étrange mystère.
'SAn!VAL.
,CaImë-toi,tnont;ousm.
,r
CAS!MIR.
Om, monsieur, canaez-vous~
;t:tteheiachetef'lèfëstinavëcnous.
FERDMAND.
wvJé Jen'àiplusfaim~brisezmbnassietteetmonverre `
'Jesuisau ciel, mon âme àbandoMne ta terre!
(~cûM~t~pot'~deMt'Qt~etfoMt't'~t.)
'Ouverte~
CASÏMÏR.
Venez donc, ômonsieurFerdinand!
Attendez, avec nous, le matin endinant. v
'~i' .~M~ ")~
Out)YoiHdecësvMxquejechercheenËnrope;
JëconhaisIeMent.jeWuXvoirrènTetoppe!
DELPHKtE. (~ ~tM~O< ~Mt feint t<6 fOM~O~r
t
~t Lassez ce jennefon.. ~a
'.FEàSmÂt~B.
Lutin dëliciëti~
Jët6suisdâRsrenfer~tun~espasauxçieux! ·
(f< se précipite dans <6 p
SCÈNE vr.
LESPRÉCÉDE~~ ~Oi~2S,FERDINAND.
SANVAL.
~ut-it'të'sun~ef' `
CÀsh~(M<6t)&Mt).
"]'M.c'é~iHt~tê<:efdue"
'Quidëpmsque!<~ës.j6ursaYa~~ changé dé: ï8le,
ATaitprisùnàirgrayë, etjë'nesaispourquoi
AYaitvOtdumë'faire,àso!rimàge,mbi!
La première équipée offerte a s~
Voyez, â~aittombër son masque de faux sage. r
Oh!quëjelecohnaM!quanditéstgrave,iIihënt:
Âujoarii'hui, ce garçon, est dans son élément.
~'â{ long-temps emptoyé raison où badinagë
Pour amortir en lui la fougue du jeune âge;
Maisdemain, fatigue de cette mission,
~ëtuirëme~ mon œmpfe éfma
DELFamE~
Dites/ sommes-nous bien ëvëmes?.n me s~
A veir ce que je voisque nous rêvons ensëmMeI.L `
'SAmfVAL.
C'estrmsomme.eeoate,entre danscëboudoir,
TEttâohededormir;.< enfant.
t)EÏjPBM[E. "?.
J'ai peu d'espoir /~=
BeddMair,Cette nùit.jesouHrëde!atête.
OnsirohYënt partir. qu'on parte. je suis prête, i~
"j. r /g,
SAINVAL.i:
~ëur pâlira présent, je ~s~ ¡>
DELPHH!E(cM~~tî<~ porte &~
~e vois unfàuteuiL.. c'es~ litde repos.
Lâ,j'àtteNdraiiejour.
'SANVAL.
` Oui, ça doitte remettre; w
Je~euteraîpanrtoi.Mdarmiraspeat-Btre.
CaBnurdott rester ?!
cAsËNtR.
QueUebomtet
Je veille emachevantuneaHe de pâte..
DELPH)[!SE(M~M~6SMf <6 MM~ <<6
Mon oncle, H tarde bien?
;SANyÀL.
.Quiï.
/DELPHÏNE.-
SAB
~e n'aime pas les fous. A~ons, onvre la porte.
(~<ïMt~o< ctDe
(La~te~~enK~Mt.)
(Lâ ~~u2te ~a demâüi.).
M~RY.
Le bel ouvrage pMIosophiqne, .scienttjSqué, Httéraire et industriel, ~e
MM. P. Leroux et J. Reynaud publient eeus ie titré d'JSKeyc~op~e not<-
!'eHe, est arrivé à !a 28' livraison qui a paru depuis que)ques jours a !a H-
brairie de Charles Gosselin et W. Coquebert. Nous signaterotts les artic!es
sutTMS que conUentcetteli~raisoh. Be/eefM~e, par P. Leroux. Dans cet
article d'an~ immense étendue, et qui pourrait a lui seu) former un traité de
phitosophie, fauteur à renverse ia doctrine eciectique: Les mêmes principes
de philosophie, professée par !ës ëcnts de,M. Leroux, s'y retrauvent tout
entiers et exposés avecune YerYë noùveUe; tes artietes de biographie DoMat
et Mmom-!es, par M..Th.Fabas; PMpM/trm, par M; ie docteur Requin;
~~ert DMfe)-, par M. Thoré; PMc?s, pat M. Joguet, et ceuxBot?)Mtie:f< DM-
pet.-E&M etEazt t!e-Me, pM M. J. Reynaud. Ces derniers surtout sont traités
avec cette force et cette élégance de style qu'on recohnaK a Fauteur. Le per-
fectionnement de l'industrie, Ja richesse publique et des instructions hygié-
niques, sont" tes points saittans de ces articies peu ôievés en apparence, et
que l'ordre" alphabétique à:dévotus a M. Reynaud. Les artictes de M. Jntes
Lerouxsur i'Economie poHt~Me, sont écr'ts dans .ce principe unitaire, qm
!ie si étrëitementteuteta rédaction de I'B'!c:/c~op~:e Ko~eHe.DoManMet
JEe~a~e font créer unesciencenouvëUe, élevée sur !es ruines de ta science
anglaise La question du DMe< préoccupe en ce moment ~iYe~eht!es es-
prits. L'article de M. Petetin sur cette matière, présente des donpëes nou-
YeHesétcurieasM. et suttout présente tes moyens dé rëpresMon. M.
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