Titre : Journal des débats et des décrets
Éditeur : Baudoin (Paris)
Éditeur : Imprimerie nationaleImprimerie nationale (Paris)
Éditeur : Imprimerie du Journal des débatsImprimerie du Journal des débats (Paris)
Date d'édition : 1805-06-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327995159
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 7964 Nombre total de vues : 7964
Description : 11 juin 1805 11 juin 1805
Description : 1805/06/11. 1805/06/11.
Description : Note : 22 prairial an XIII. Note : 22 prairial an XIII.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k417658k
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
~PRAIRIAL~.3. ~3 ~RM~ ~G;
,~y:~ N A L D ES DE BAT S
X D Ù P'Ô U V.-Ù'ÏR .L E.O ÏS LA T Ï'F~
E~ A T'ES.. B~ &U V'E R E M.'E N'.T.
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Ue e.f p!-i< de joindra & toattt (aa ~cIinB:.tKHM, chMtgiitEattt d'tdtts.t
tt metM It. r&.MMM.atSM. h ornière adft.M imprima qa. t'ctt ramn
M«t
C (7 f Z F .y ~g y j~
ITALIE.
Geh~~zy~.
Les pfcparattts pour t'arrivee de t'Empereur et R.o; ont exatte tontes
tes t-~M. Depuis fong-temps le ms~.tbteeht de ta rëp.)b)iqaeet<.it
objet de< discours de tous te, c toye .s. Qf.e faire, diMient-Js, d'une
iadepend..nce qa. ne peut protéger noire navigation, qui taiise autre
pa~tf~t a.tn, hrce expose tous les jours aux outrages des Barbaresqueo,
qMi cjnttajgnent nos navires 4 ce faire autre chose que côtoyer penihte-
Hteat nos rtvages? précaution cncur<: )nut:)e puisqu un graud nombre
<)e no, matetots n'en sont p.tteTums.
D un antre t~tejes Anst~Mnom font une guerre opi.-iâ're. Au com-
MteKeement de ~guerre, i~at'oientmaMucre dans notre propre port 1~
équipages de deux f. egates franç.SM auxqueUes noM oe picoure et nocs tù:ntStXpoa;s ai~i a eproufer la haine d une MttoMnnis-
e~nte. A tap-ux dAm.ens,i[s ont re~.e de rec nnoitr. outre fepnbfique
et nous Minntes demeurés dans un état d'hostitites constant. Sans rmt. r
Vftt~ondehFraaee, nous serions )ep)usma)heuf<-ux des peupte;. Dans
~jtreiatërMnr, tOninHuence a contenu tous tes partis; etq-.e Mtmnes-
nommas teo rapports géographique;.? une cô e de Fr nce, nae hsitre
m~rttune dont le c 'ntjnent est enore la France depuis la réunion du
Piemon.. Pu.sqai) n'y a ptusd~indëpend..nce des mers, que )'E..rope
e~ torche de supporter la tyraon.e britannique; q~e quand me.ne l'An-
ghterre noMrecoanoîtroit, un décret d'un àmira! an~).s qui viendroit
ad&r.renëtattde UoctM te. cotes de France, sotnroitpfturfoiaer
notre commerce } notre ioter~t, notre g(o:rc Ttot~~t f~os
partie du grand peuple.
A peine le sénat eutii émis (evœa de !a réunion a peite la nouvelle
tadhérer à son décret Aussi notre dëputation eit et)e partte avpo quatre-
vingt mille signatures, aVFc cette de f'unitcrsatite des citoyens t)Ui sont
in-erits sur nt 9 rtgtstres cirques. H ne (:tuten tt6q ment soigneux de se faire remarquer €)) em ttant def opinions çuntraires. à
t'op.niot) publique. Les prêtres, les nobtes te< eommerçjns tes agricu!-
teort, les c!toyens de tous les états en6n ont ë ïa martne du Pië~nont, disoit-on par tuut, soyons réunis au Pt~mont
noua sotmnes la nMriae du Piémont. et une continuation de t.* cete de
France, soyons réunis au grand peup)e.
Nous ne doutons pas que t'Etnpe'tnr Napot'on n'acede à no'- vceux
t! a dans tont tes temps, temaig ,ë a notre nation une affection particu-
tiere et nons tuioffron* a~c uot'e dévouement tur tequ'et peutcompter.
hn boa port où H a dë{4 iait constt'uire des YaiMeaux de tigne et dt;t fré-
~at~s et en même temps ~ingt miite matetota.
;f&t)!LLETOK DU JOU&J«AL DES DEBATS.
~M~~ar<22fra/r/anA777.
ACABRMIE tMPt:R!At,B CZ MU~tQUtt.
()~Mn,o)'eraen5actes.
Madame Branchu remptira ie rote de Rotmata.
Mercredi 3o on donnera enr ce th~~tre, pot)f la repr~Mnt~tion de
retraite accordée à-madame LachasMigne, âpres treote-nf'uf nnoces
de serrice au Théâtre Français, )a prem. rep. de de fa rep. d'0/~mpfe
su~ie ~e~ ~o-Mr~ <~t< ~m~~ et /e /{e~o«r de ~e~~H' retardée par
M)disposIt!onMbite.
THEATRE FRANÇAIS.
Les contedfens ordinaires de t'Emperear donneront Mjourd'hn!
~e ï~f/
EnattendaBt
TUfATt-E HATfOfAI. DB T.'OPBR~-CONIQUE. i
Piacedesitatieni.
IjM comedieM ordmaires de l'Empereur donneront anjonrd'Im!
/feM<:Ae.
tHÉATHE DS E L'IMP~RATRiez.
RuedeLonvois.
t-M corneJtens ordmaircs d< S.JM. donneront aujourti'hnt
~efeeMt/aM
Demain, bprem. rep.~efï/npoKr/futfe, comëdie ttfnvers. s.
~e an bénéfice de )a signera StrinaMcch!, (e fpëraem actes, musique de Per~otese.
tauMsamnttBthcMtHrtdeK~ptra-BnSat
t-<.j)
LAngtet~re Mtt'e ponrra pfamdre tnat) ette ne noos a point re~
co~') t)a)s<-f)e nou.fait fag..err< Lfs autres étatiseront au moins
dttMftu,:).. ehangtment qu.rrived.tM notre existence; carnott, tt'aas-
~mem~runienrietthpuiM~cemititairedet.tFrance.
?h<~cftch ~~ecr~ ~/M< r~e ~Mnc/M~~
du&5 mat i8o5.
Le sénat prenant en considération l'état actuet de !â répu-
b));)ue, et convaincu qu'une indépendance sans force et sana
Mioy.n de protéger le commerce, source unique de la pros-
pecte e~tprsans la fëuniou à FEmpire français, sur-tout depuis
que le Piémont en fait partie, considérant que la déctaratiott
tai[e a~ congres d'Amiens pàr le gouvernement ahghis de
rie v. u!otf reconnoltre )a répubtique de Gènes que torsa~He
aarot repris son ancienne organisation ( condition à taque!!e
le peuple I.gurifn nepourroit jamais consentir), met ia
république dans !a dure nécessite de se trouver envetoppée
dans toutes les guerres maritunes qui pourroient s'élever
entre )a France et t'Angieterre ) coasidéra~t que si d'un côt~
iM puissances barbaresques, en dësotant le commerce !igu-
rtea rendent presqu'impraticables toutes nos communica-
ttons marttirnes de l'autre nos communications par terre
sont: eg~ement interceptées par ie système nécessaire dea
douane~ françaises considérant enfin que t'unique moyen de
a.~rtif d une situation si cntique, de réfabtir notre commerce,
d~ recouvrer tous no~droits et privHeges et de faire dispa-
r .tt)-e )ous les obstacfe) qui nous empécheroient de partager
avec le commerce 6-ancais tes immenses avantages que !a paix
ne manquera pas de lui procurer est de nous réunir à
nation française, etquepottr obtenir cette faveur, il con-
~tdepronterduvoyagede S. M.t'Empereuret Roi ea
itat'e, décrète: t
mand~fi~J~~r~ tienne sera~
maudée à a: lvt. 1'r:u.Y,r
vantes i* que tous tes états Hgnriens sans aucun demem-*
brement, formeront une partie intégran).e de t Empire fran-
çais 2°. que la dette publique de la Ligurie seratiquidéa
d'après les mëtnes bases que ta dette française, 5". que Gône<
conservera son port franc avec tous les privilèges y an-
nexes; 4°' qu'en nxant la contribution ibncière, on aura:
égard a.ta stérilité du territoire tigurien et aax frais d'agrt-
cu)turep)usconsidërab)es qu'aiUeKr!; 5*qu'i!m'ëxiiterap)u3
ni douanes ni barrièr a entre la France et )a Ligurie~6~. que
i~ conscription sera restreinte aux Mu)s gens de mer y" que
Ls droits d'importatioHet d'exportation seront rëglés deÏK
manière la plus favorable an commerce des productions et
de~ manufactures de la LigUrie; 8° que tous les procès civits
et criminels seront jugés à G~nes on dans Mt département dw
T E A T H Z B V V A U D E v ï I. & B.
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THÉÂTRE E MOKT AN S 1ER.
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THEATRE H BS Î,A POKTE9AINT.MARTÏK<
~~en'me~
AM~tû~ COMIQUB.
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THRATRE DE E LA A G AIT)!.
~e PMtt <~e ~Vez, /e ~!efCt/ ~M CAar~oMn;'er,THÉÂTRE SAtfS S PRETENT 10 t<<
/.e~«!
THEAtttR BES JEUNE~-AttTtSTBt-
/.e~a;7'a~ea/THEATRE F, nés ~3~ n~t-.t~SE'MKN).
Gt//M~fMM~oùro/hTHÉÂTRE DES JEUNES COMËD!.KNS,
An milieu de ~a)Me pr!nc!pate du jardin des Capucinea.
~~areet~on<~mpé~~e~o/!AetCWURSh D'OISEAUX 7C H Ot,i,AMDAI«
FoH~efar<~ du y~Mp~e.
'BtXM taa ]0'tf< & 6 et à 8 henre* du toir. Prix i (r. 5o cent. et ?5 cen~
OUVRAGZt NËCAKtQUEt,
Jar~M~MCop'MCMC~.
Tous)e~~our5,depnismidi jusqu'à heures,et depni<6 henret~MCB't
[ tobeu)r€
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i~ conscription sera restreinte aux Mu)s gens de mer y" que
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