Titre : Journal des débats et des décrets
Éditeur : Baudoin (Paris)
Éditeur : Imprimerie nationaleImprimerie nationale (Paris)
Éditeur : Imprimerie du Journal des débatsImprimerie du Journal des débats (Paris)
Date d'édition : 1804-02-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327995159
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 7964 Nombre total de vues : 7964
Description : 22 février 1804 22 février 1804
Description : 1804/02/22. 1804/02/22.
Description : Note : 02 ventôse an XII. Note : 02 ventôse an XII.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k417187p
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
Mercredi 22 nvixM&Si'
a vuNTesi *&̃&
L O t X ï* • Û NÙVOIR LIGISLATIF,
5' G~ T', B~ s D- U"~ G u IV- E R N'È M E N Ti
|»£ S i GTIS 0 U; © 0 0 V B R N È M E N Tî
~~1 AYi~
ict lettres pttçucls « argent doimiit être adressé! freines £&
port, au citoyen GaoMnoi rua dss Piàlms Saiiit-Germaèn-l'Au-
kerrois n". 4»,
Le prix de l' abonnement est, poar les département de i5 fratu/s
pvttr 5 mou, de tg fr. pour sur niois et de 56 fr. pour l'année.
Oà est prié de joindie à toutes les réclamation», ofcanRement d'*drrase
et même les réabonnement, la dernière adressé impriuide cpie l'on rcïoit
ifèe lé jodhiâl J ÔA ierà servi pluj i prorhpjeinënt.
& QV V ÊLL È$ oS MTRAN0JHSÈS.
• TURQUIE;
Constàritinopie 10 jànvicrl '̃
Depuis là mort du capitan-pacha ( qui comme on sait r
ofoit l'ami des français ) rambassadeur britannique fait les
plus grands efforts et emploie tous lés moyens pour déter-
miner la Porte à s'unir plus étroitement à l'Angleterre et à
prendre lès mesures les plus comformes aux vues du ca.
Jjîriet de Saint-James. Pour parvenir à cette fin il tâche
iur-tout d'éveiller le soupçon de la Porte et de lui faire
croire que les français ont réellement des vues sur la Morée.
Ses agens répandent à ce sujet les bruits les plus absurdes t
ils assurent qu'une grande partie de l'armée aux ordres du
général St. Cyr est sur le point de s'embarquer pour passer
dans l'ancienne Grèce et pour y opérer une révolution.
lis parlent d'émissaires envoyés secrètement, et sous un pré-
texte frivole par le général français, pour disposer les ès-
prits et s'assurer de l'état des choses. Mais il ne paroît pas
que ces bruits et ces insinuations aient fait jusqu'ici aucune
in pression sur là Porte.
il est vrai que depuis environ quinze jours il y a eu. plu-
aieurs assemblées extraordinaires au divan le reiss-efferidi a
ëû de fréquentes conférences avec l'ambassadeur de Russie;
il a aussi conféré plusieurs fois avec le chargé d'affaires de
Nàples et avec le ministre d'Anglelerre. Ces c >mnunica-
tions officielles n'ont en elles-mêmes rien d'extraordinaire,
et l'on peut tout àu plus en ijiférer qu'il s'est traité quelque
objet important et que vraisemblablement l'envoyé bri-
iiri-niqiie aura fait au nom de sa cour quelques demandes
S'ir lesquelles il a été délibéré et pris une décision. Ce dernier
a expédié il y adëus jours un courrier pour Londres, avec
(les dépêches qui contiennent j sans doute le résultat de sa
u igociiAtion. Le ministre français continue à jouir de la coa-
si.iéhition que sa conduite personnelle son caractère l'im-
pSYlance et la nature de sa mission lui ont justement méritée.
S ét user des moyens de corruption il saura maintenir l'in-
r«li!ÏLLETON DU JOURNAL DES DEBATS.
Dit Mercredi 2 Fentoie an 12.
flrÉATnÉ DE LA nÉPUBLIQUE ET D M S A à -t Si
.îlcïâche. •
Jncc.isaminent la mise du Pavillon du Calife, suivie de la reprisé de
Mïêdèe ctJuson, au bénéfice du dit. Véitrls.
THÉ* T RE rMKfAU BJt 1,1 É l>,y 1) I, I (J y x.
fia Muet, le Dédit. )
Vendredi, Didon.
En attendant leslioraées: ,.•̃
̃niÉ.tTi\E national dk t,'o*ÊRA-coi«iQÙE (rue Feyâeao ).
̃siléxis' le Tableau des Sabines? une Folie.. W%têS£ 'i*^
lîeraain, la Mélomahie, l'Epoux généreux Aline. ̃-̃
Vtridredi j ta prém. rep. du Sigisbé, op. en.5 actes, ouvragé posthutné
4le Mtirniotttel (,
Samedi, une représention aa héridlieè de madame DuCazon sur lé
tfeûtrt de l'Opéra..
Incessamment la prem. rép. de l'Amour romanesque, op. en Un afcte.
T H É A T T\ E L. O V V « l ê.
'i.£Tr&or,M^ Musard Marton. et Frontiiu
T Ji fi À T R B ITALIE!».
Âuj-, ta 4me> de la Finta Philosopha (la Philosophé pjîr reinte),
*péra en 5 actes, musique de Sppntini, élève de Cimarosa.
Acteurs Martinelli Crucciati Âliprandi Oliveti. Mesd.. Nivrf
Altpraùdi Fedi, Cantoiii.
THEATRE BU r A V D L* T 1 h i -tt.
J'i.t.'cJio/i -'l'Aveugle supposé,-
fluence que son gouvernement doit avoir la Porte pour là
conservation même et la tranquillité de celle-ci.
• "̃•̃• Allemagne, •; ̃'
° Vienne; 8 février. «
M; Vincent de Lollowrath-Lièbsteinsky iieutenà'nt-ge'-S
néral au service d'Autriche a eu l'honneur de présenter
le 23 janvier à S. M. ses lettres de créance en qualité dé
ministre plénipotentiaire de l'ordre de Malthe.
:̃̃. (Gazette de Fîenne. )
R È P U B L I Q U fc FRANÇAISE.
Paris, i ventôse.
E'ànsla nuit du 26 au 27 pluviose, dès voleurs se sont introduits dan&
lé cabinet des antiques de la bibliothèque nationale, situé à l'extrémité dé
cet édifice aù dessus de l'arcade Colvert et en ont enlevé plusieurs ob-
jets d'un prix inestiniable. Au-dessous de l'arcade il y a un coi ps-de- gardé
de pompiers; c'est à côté de la porte de ce corps-de-garde que les voleurs
ônt exécuté l'escalade; ils ont baricadé cette porte avec des chaînes et des
oadenats afin de ne pas être surpris. Le matin les pompiers voulurent
sortir, et s'aperçurent qu'ils étoient enfermés; ils appelerent par la fenêtre
{jour qu'on les délivrât c'est alors qu'on s'aperçut du crime hardi qui
Venoit d'être commis. Pour parvenir jusqu'à la hauteur à laquelle est situé
le cabinet des antiques, les voleurs avoient dressé une perche qui excédait
de trois pieds la hauteur des croisées du cuhimt. Cette perche pareil être
un jeune arhre droit, nouvellement coupé ainsi que le fait présumer li
niousâe et les restes d'écorce qui seul encore sur le pied le reste jusqu'A
l'extrémité supérieure, étoit dépouillé de l'écorce et débarrassé de touteà
ses aspérités. Une horne qui forme une saillie assei eousidoraMe à quelque,
distance du iriiir a servi aux voleurs pour y appuyer la perche; afin qu'elle
lie pût glisser; à l'extrémité supérieure de ia perche on a trouvé les restes
d'qne corde de peu d'épaisseur, mais d'une grande solidité; probablement
des moufles y étoient attachés, au moyen desquels le scélérat qui a com-
mis le vol a pu se hisser ou se faire hisser par ses complices. A l'endroitoiï
éfcflit placée !a jérehe, une espèce de bossage formé par les pierres de taille
qui font partie du mur, devoit encore faciliter au voleur l'exécution de
son crime.
Parvenu à la hauteur de la croisée, le voleur a brisé une vitre, et pax
cette ouverture il.s'est introduit.eiitre les deux vitrages. Il enfoncé alord
une vttre de la croisée intérieure ce qiii l'a mis à portée d'atteindre Tes-
pa'gnolctte. En la levant, il a ouvert les deux croisées, et i! es', entré dansS
le cabiuet en dérangeant le meuble placé dans l'intérieur devant cette
croisée.
Une portion assez considérable de poix-résine, enveloppée dans les"
feuilles d'une pièce' de théâtre que le voleur a voit laissée dans l'intérieur
du cabinet, fait voir que, pour ne pas se trahir en enfonçant les vitres, v
il doit certainement s'être servi d'une piailehette enduite de poix-résine
qu'il aura appliquée sur les vitres, à laquelle les fragm -nsde verre ont ad-
héré. Il paraît que c'est encore par ce même moyen qu'il a enfoncé la vître
de la grande armoire, d'où il a enlevé les huit oùjns précieux dont on!
joint ici la note. La police est à la poursuite des criminels, elle y met
toute l'activité possible, et on a lieu de croire qu'elle parviendrai retrou-
ver les objets enlevés et à se saisir des voleurs.
Ce vol est d'ailleurs de nature à ne pasponvoirêtre enseveli dans l'obscu-
rité, Il faut nécessairement que les objets enlevés soient un jour décoù-
verts. La grande sardonyx qui représente l'apothéose d'Auguste ainsi
T H i A T K i M O W T X tt S I K R.
Le Kiàik de Sologne i le Jiénwuleur; le Cfiaudrotmier, la Prisonnière.
THÉÂTRE DE I, A SOC1KTÉ OLYMPIQUE.
L'Heureux Çuipnquo un Vaudeville qui n'en est pas un Armez
̃iiquàet Mélcour. r ™
THHTRE DE Li FO JTt lititT-JI AUTt»
La Fille hussard Ne jugez pas sur l'apparence le Soldat sçuk
à M r. i g u r o m 1 (j u i.
,Lè Pèlerin blanc, la Foret périlleuse.
T -H K A T E B B l. A G I E T É.
Guillaume le conquérant Victor.
T H É A T K E S A N S PRÉTEST I O W«
Philoctëte Riholte le Savetier.
THÉATBE E D E i JEUNES 4 K T I » T i W
Le Prince invisible:
THEATRE DES jïil» t 1-fliTu. 1
La. Raison l'Hymen et l'Amour, Eugénie et Solange, la Servante
Maîtresse, l'Acteur dans son ménage.
THÉÂTRE 8 PITTOSÉSqhé:
Rue Neuve delà. Fontaine.
lis joui* i-sept heures et deraie ]»récises spectacle.
.Musée,'
Place du Carrousel; •
J?aris Londces Lyon réunis dans un vaste et mime salon se vqwo<
Ipra* les jouta. ̃̃»
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pvttr 5 mou, de tg fr. pour sur niois et de 56 fr. pour l'année.
Oà est prié de joindie à toutes les réclamation», ofcanRement d'*drrase
et même les réabonnement, la dernière adressé impriuide cpie l'on rcïoit
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plus grands efforts et emploie tous lés moyens pour déter-
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prendre lès mesures les plus comformes aux vues du ca.
Jjîriet de Saint-James. Pour parvenir à cette fin il tâche
iur-tout d'éveiller le soupçon de la Porte et de lui faire
croire que les français ont réellement des vues sur la Morée.
Ses agens répandent à ce sujet les bruits les plus absurdes t
ils assurent qu'une grande partie de l'armée aux ordres du
général St. Cyr est sur le point de s'embarquer pour passer
dans l'ancienne Grèce et pour y opérer une révolution.
lis parlent d'émissaires envoyés secrètement, et sous un pré-
texte frivole par le général français, pour disposer les ès-
prits et s'assurer de l'état des choses. Mais il ne paroît pas
que ces bruits et ces insinuations aient fait jusqu'ici aucune
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il est vrai que depuis environ quinze jours il y a eu. plu-
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il a aussi conféré plusieurs fois avec le chargé d'affaires de
Nàples et avec le ministre d'Anglelerre. Ces c >mnunica-
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THÉÂTRE DE I, A SOC1KTÉ OLYMPIQUE.
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