Titre : Journal des débats et des décrets
Éditeur : Baudoin (Paris)
Éditeur : Imprimerie nationaleImprimerie nationale (Paris)
Éditeur : Imprimerie du Journal des débatsImprimerie du Journal des débats (Paris)
Date d'édition : 1803-12-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327995159
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 7964 Nombre total de vues : 7964
Description : 25 décembre 1803 25 décembre 1803
Description : 1803/12/25. 1803/12/25.
Description : Note : 03 nivôse an XII. Note : 03 nivôse an XII.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4171280
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
DIMANCHE 25 DÉCEMBRE ~80
3 NIVOSE aa t~;
AVIS.
f,<-t / 'e~.t-r~e <\f&o;poM. 5 v)«M.f //e ~c)~ ffMr~t-f MOt~ et ~e 5t)/r. ~.jur <'o~MOn eat p<)et mHHte )ea tëauonncmens, lu dernière aeiresse unprhu~e que t'en re{0tt
.*Y<;c le journai, on :era servi ptus promptetnent.
,a.w,o
N ~~7. Z FJ r7ï
.r,, 'AL L'E MAGNE.
Des bords ~~e~~ i5 On ]it dans une feuIHe du nord de l'AHemagne très'est:-
tnée, i'atUcie~uivant: (('Uejuis que fe pru~e d Orange a
accepte et r~~it du gotiVer~e~uen~ britannique une pen~on
atntueile ))es considcrabte, te ~ouyerne.'uent de ta rcpubhque
batafe a roCEtpu les neg~etah.tS'f:jui exi~oient nn~t-~ tut et ics
çomni~sau-esdu pr~nue d'Orange, sujet des indemnités
que cete maison devait recevoir pour diverses pertes parn-
cutiete.s,uoa stipuiëes dans les articles du tr~ë de pa)x
d'Amieus.
Les princes de Nassau-OraDge-Fietd de Hesse-Darmstadr~
de Hesse-Cassef, de Nassau-YVetibourg ont fait occuper p r
leurs truupes, difteref~es possessions de t'ordre équestre si-
tuées da~s leurs nouveaux: états. Le tanJgrave de Hesse-
Ditrmstadt a publie une patente da~'s taquettc S. A. S. déctare
qu'eUe se voit obtigéc à t'exefnp'e de ses co-t~tats de regar-
der tes memLres de la Moblesse im~uëdiat.e de rËmp~re, jjos-
sessiounës dans son pays, eomtae ses su~ess et d'exercer
pro~soit-onent eùvërscux, jusqu'à ce qu'it en ait été décide
autrement, tes droits et tes attributions attachés a ia souve-
raineté. A N G L E.'P EPt R E. f" "h
raineté.. A J\ G L ET ERRE.
.v Zon~re~~ S~ce'Kpre.
Corre~oH~ce ~K ~n'C6 ~e Galles avec ~on_/7'er<'
le duc ~Forc~
~etft" <~ nr~c~ C~M 5 octo~ "Mon cher fre-e je vois
Mr gazette d'hier soir, .iu~ jcreç-.is h ['instant, qn'i) y a eu de no.n-
},reuse! promotion-, d.ns rar~.ee. et qu'on n'y tient aucun compte de tnes
patentions. MatpM nt ce qui s~cst passe auparavant ce sujet, tt n. <.st
~po~iMe dans )a cri..e cxtraor.tina.re ou nous no.M trouvons, de carder
p)usLjnK-t<-m).! !e .iience. (in, suivant t'c.rdre ord.nai~.jui s'o'.serva dans les promotjons m<. trou-
er ptace, soit ah. nn de !a)iste des génerau. ou & ia tête de ce te des
tienter.an~ene.MX. Lor..tue les .branches cadettes de ma famille sont
promues aux premiers emptois miKtaires ma naiMance, d après tes dii-
E
FEUILLETON OU JOURNAL DES DEBATS.
D~MHcA~ 5 A~'fo~e an ~/7.
~HKAT~E f)EI.~ n~~UKt-tqUEETDEtARTt.
/,t: ëarapatM~ DfCM ~M ~:7~ge.
VHHATK~ fnAtfÇf DE LA ~E~UBUqMt.
JtfAu premier jour, ~a~cymtO'
locessamment (~e ~e ~Ot'&t~'e..
Ko .ttendont /a ~~o
A Versai! !eTHEATRE NATX'MAi. nE t/opER~-<~Ze ~h'< nt«te'o/, 73~r, 7e .R<~<'r écouter Hemain Gro~~ton~ nM y< .~r'rf're.
En:)ttet)(!ant/eHreu~-f)tu.'g<- -~K)sitTHEATRt. ~cuvais~ Sr-
~!f.~fMM)d!.
TH~iLTRB a rVAl-tEft
_Iiel,riche.
ï)~~G~eH ~el'<-t'.
rHBAT~t! n~ VAMT-t.~t'
~<<- ~t~i~ ~o.r~ ~n. -~M, /?B~e i.
-rH~'t'KE MOKT AKS.K~
J'~ "«-, ~n~roMtf ~M ~c~~ b ~"MM~ <~ M ~M-
M'ert!)(.
Hnctions qui Mnt consacrée par l'usage, auroit dû me~faire placer le pre-
miersurctittelifte.
J'espère que vous me connoissrz trop bieB pour mi~ner que je puisse
nmMt~)"n. r ce vains honneurs, et encore moins !e vains honneurs et en-
.o-e moins k droit de patronage qui (St attache & !a dirrchon eer.era)e du
deptrtemfnt de 'a cucrre; -nais dans mi moment on le gouvernement K
)use nue te pays etnif dans un te! danger, qu'J a cru nécessaire d'armer ton:
les braspour.sadefense, je ne puis regar. rque con.meun deshonneur p moi, co.ume prince et cornu.c.)d:.t, de n'être pas appelé à détendre daM
)et'existence même dece peuple, lorsque cette cause est pl~sparUcuheremeot
Ian""nne.
.) Je regarde cou'me une que je puis manifester mon zèle )a tète de [non régiment. St c est-ia te
seul pMte qui me soit conite, je ieu.phrsi c: riain~ment mon devoir eomme
les autres; mais les motifs que j'ai d<-jn exposes me donnent le t.rpit d at-
tendre, ft me forcent.') soliciter de tu"tcs manières une situation piue
con~en~h)e à !a dignit<' de mon caracti.re et au Y«-u de fa natMt).
..C'est pour faire rot'fre de mes services d'une manière plus tëgate et p[u;
offrère, en votre qualité de coomm..ndaut en chef, qui semble vous donner
h direction constitution .eUe du département de la guerre Si ceux qut ont
t'i.onueur de cons"ii)er S. M. dans cette occasion, regardent mes préten-
tions, parmi ceUes d.- toute la famiUr royale, couune tes seules que i on
doive écarter d'iionneur et de justice, que Pon voudra bien me dédier que je suts~mt!
de cote en vertn de cette décision et nou pour cause de sdence ou d au-
cunmauoucd'eneigiedemapart.etc.etc.etc. ,>-
~e~o nue vous connoisse/. trop Lien mon attachement pour vous qm a exfst&
det.uiii notre enfance pour n'être pas persuadé de la satisfaction que ] M
éprouvée, et que je dois toujours éprouver a &ire tout ce (pu peut vous
être aerea~e torsque cela est en mon pouvoir et qu'en conséquence,
vous serez persuade de tous mes regrets de ne pouvoir, dans cette occa-
sion, mettre votre demande sous tes yeux de sa ma:"ste. Permettez- met
taon cher frère, comme étant ta seu!e réponse que je puisse convfn.~te-
)uent vous faire, de vous rappeler ce qui ss passa sur te même sujet peu de
temps après que S. M. m'eut Mtia grâce de m'appeter au nommMdement
en <;hef de "armée et .je ne doute pas qu'avec votre candeur ordiMire,
vous ne voyiez vous-memej.'ahsotne nécessite où je suis de m'y refu~r.
Dans'l'année ~gS, Jors d'une promotion générale, je mis~sous 'et
yeux d.; Votre majesté, d'après )a demande que vous m'en f tes, une iettre
de vous, par bf~.itc vous aisiez vabir vos présentions à un avancement
dans f'arm.'e. S. M. repondit, qu'avant de vous avoir conM le comman-
dement dn to". r~iment de dragons iegers e)k avoit doum; ordre qu 0)t
vous fit conuottrepieiuemcnt que!s e;o;ef.< ses smt.mens retaUvement a M
prince de GaUes entrant Sans l'armée, et !a raison puhhque qu) s opposât
ce que vous puis.if?, embrasser h. profession des armes, et être promu à
aucun grade supérieur dans t'armée-S. M. ajouta en même temps, qu<:«e
nt~/o/MO/t <-f~ <-nr.o~ po~/ft'-emeMt de. ne jamais iui p.'rier ni me
mc!er d'upe affaire de cette nature. Jefus, en conséquence, obh~ de vous
fair.~ part de cette deter.ninution, et je me Mis fait une loi uepms ~ors de
nr plus intervenir d;.ns ce qni fait l'objet de votre rccbmatton. Et &. M. ne
ponvn.t, en effet .ne donner une plus grande marque de son est.me et de
son action que de me défendre de jamais me mekr personnettement de
cette affaire..
D'après cet expose franc et sincère de ce qu). s'est passe ) espère qu<-
vous ue verrez dans ce refus rien qui puisse ternir votre caractère comme
ofti<;ter d'~Hut ptus que je me rappelle que le jour où vous reçûtes votre
THKATRF. n E T. A CITE.
~permoe~K, y'~a~t'~Ht ~e la ~H~e/o~f.
TKttATRE fi MOUI&~E. E:
-DtKATRË nE LA 60CtET~ OLYMPt~UE.
Le ~efCMf'e galant, le ~n'age du Capucin
THEATRE E DU U M ARA! S. S. ï'
ZiM~eMtX~He~MOf'~enc~.
THEATRE MARE~X.
~zenH'f!, .~e/tteur.
TtfEATnE OE !,A PORTE SAtNT-MART!N.
Z.'J?T/a'o~u~cn'~<
AMBtG~-C~ tt!QME. v~Q.
J
T H Ë A T n E B R A J E T K.
ZM~en::er~\fb/M~te~~a~on~~MM.
.THEATRE E SANS S P R É T E N T10 M.
7.e~tM~aP!'er~r~M~rt?~<.
THEATRE nESJKUWE< ARTtST-~
La 2\'M~~Ht;e d~e
THE AT RE E nKS JtUr'tt Il tL&VZ!.
~Vt/)etfea~eour,~7?o;M.M~re.
'l'HEAThE nM L'K<-OLE DRAMATtQtm.
7:ef?our/n~M~M.'u, f~f~f~M nt
C~
3 NIVOSE aa t~;
AVIS.
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N ~~7. Z FJ r7ï
.r,, 'AL L'E MAGNE.
Des bords ~~e~~ i5 On ]it dans une feuIHe du nord de l'AHemagne très'est:-
tnée, i'atUcie~uivant: (('Uejuis que fe pru~e d Orange a
accepte et r~~it du gotiVer~e~uen~ britannique une pen~on
atntueile ))es considcrabte, te ~ouyerne.'uent de ta rcpubhque
batafe a roCEtpu les neg~etah.tS'f:jui exi~oient nn~t-~ tut et ics
çomni~sau-esdu pr~nue d'Orange, sujet des indemnités
que cete maison devait recevoir pour diverses pertes parn-
cutiete.s,uoa stipuiëes dans les articles du tr~ë de pa)x
d'Amieus.
Les princes de Nassau-OraDge-Fietd de Hesse-Darmstadr~
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leurs truupes, difteref~es possessions de t'ordre équestre si-
tuées da~s leurs nouveaux: états. Le tanJgrave de Hesse-
Ditrmstadt a publie une patente da~'s taquettc S. A. S. déctare
qu'eUe se voit obtigéc à t'exefnp'e de ses co-t~tats de regar-
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pro~soit-onent eùvërscux, jusqu'à ce qu'it en ait été décide
autrement, tes droits et tes attributions attachés a ia souve-
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.v Zon~re~~ S~ce'Kpre.
Corre~oH~ce ~K ~n'C6 ~e Galles avec ~on_/7'er<'
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~etft" <~ nr~c~ C~M 5 octo~ "Mon cher fre-e je vois
Mr gazette d'hier soir, .iu~ jcreç-.is h ['instant, qn'i) y a eu de no.n-
},reuse! promotion-, d.ns rar~.ee. et qu'on n'y tient aucun compte de tnes
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E
FEUILLETON OU JOURNAL DES DEBATS.
D~MHcA~ 5 A~'fo~e an ~/7.
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son action que de me défendre de jamais me mekr personnettement de
cette affaire..
D'après cet expose franc et sincère de ce qu). s'est passe ) espère qu<-
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~permoe~K, y'~a~t'~Ht ~e la ~H~e/o~f.
TKttATRE fi MOUI&~E. E:
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THEATRE E DU U M ARA! S. S. ï'
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THE AT RE E nKS JtUr'tt Il tL&VZ!.
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'l'HEAThE nM L'K<-OLE DRAMATtQtm.
7:ef?our/n~M~M.'u, f~f~f~M nt
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