Presse et revues
4 pages
Titre : Journal des débats et des décrets
Éditeur : Baudoin (Paris)
Éditeur : Imprimerie nationaleImprimerie nationale (Paris)
Éditeur : Imprimerie du Journal des débatsImprimerie du Journal des débats (Paris)
Date d'édition : 1803-12-23
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327995159
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 7964 Nombre total de vues : 7964
Description : 23 décembre 1803 23 décembre 1803
Description : 1803/12/23. 1803/12/23.
Description : Note : 01 nivôse an XII. Note : 01 nivôse an XII.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4171267
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
t~. NIVOSE aa tt.
VENDKEM ~3 DECEMBRE t8o3.
R N A L D E S D É B A T S,
A. L DES DE,BAI'S,
n ÏX B U P 0 U V 0 R L E G 1 S L A T ï F.
~ES ACTES DU GOUVERNEMENT.
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AVtS.
~et /ea~*<~ pa~ue~ et ar~et~~ c/otMfTt ~~re ad~i~t~Mnet de
~Br<, ct/ c~ff~'e'< UttoffROT~rer;0!
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et Me'tte !« reit{~on!M:tnen<, t* derottrc x~re~c tmprtcuee <}ue Fon re{0tt
yY~cIf)t.ura~,Qn
= f/ ~z z ~y~c~~?~~
tS L E D E LA MARTINIQUE.
DttfbrfdeFrance,5aoûtt8~5.
JE-'a~M/raZ ~7&!re/-yo~'CM~e caM~/ne g~~eraZ ~e la ~«ry~H~ e/ ~6 ~M <~<'7t~<.t/;ce.< a jb~-c. le ~o«~Mt'M/' de
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de t'Aogietef re vient de nie transmeLtre ia notificatton ~n'it
a iaite aux gouverncmens neutres, touchant le btccus des
ports de cette co)onie qu'il croît ~tjuvoir fertHcr aux étran-
gers, et il a été jusau'a déclarer à ceux-ci qu'i) avoit d~'une
l'ordre à ses vaisseaux de saisi*' ceux me~te (~ui seroierit rot-
contrés sortant de cette cotonie. Une mesure si opposée
auxl~'ix des nations et aux droits des puissances neutres,
M'a sans doute pas moins ë)onnë votre excellence que moi.
Hest à présumer que cet ofjtcier, sentant les avantages as-
surés aux étrangers par ma proclamation trappe du spec-
tacle (ju'oftroi) un champ aussi vaste et aussi jfëcond que ta
Martinique ouvert à leur industrie et persuade des avan-
tages qui eu résuttcroicnt poar te gouvernement français r
C'a pas bru devoir se borner à des ohstacies ordinaires pour
arrêter le zcte des spéculateurs qui accountMent dans ce'ttc
cojonie; mais itsut~ta à votre excetience de jeter )esye
Yaincre tous les propriétaires de vaisseaux qui venient com-
ïnerceravcc nos ports coiNhien un pareil blocus est illusoire
de la part d'un ennemi qui n'a pour cette entreprise qu'un
~eul vaisseau de ligne et un ou deux sloops de guerre ( c'est-
)à en effet toutes les forces qui ont paru jusqu'à prësect sur
nos côtes), tandis qu'il n'y a pas u~c avenue pas un coin de
la colonie qui ne soient ouverts auxétrangecs, et ou ils ne
soient assurés d'être protégés par nos batteries, et défendus
par tous les habitaus de la colonie qui se portent avec d'au-
tant plus de zéfe à les protéger qu'ils trouvent dans cet ac-
cueil offert à tous les étrangers le plaisir de voir arriver
jou.rneilement et sans interruption tous têt secours et toutes
les denrées dont ils ont besoin. Les étrangeM a tenr tour r
tEUÏLLETOPf DD JOURNAL DES DEBATS.
Z?a ~e/!
TtfÉAT~E BE t.A HRft)BHigWZ ET DXS AXTt.
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Ïnc''6Mt.amcnt ia reprise d'~nacreoti c/«:z Pt~eMte.
't'UKATHE yRA~CA.)S f& LA Kit:fMtHQWE<.
~o~'e
Dimaache, ;~ey
ïnces!amment,OE~fpe de Voltaire.
En aMendant /< ~<
Demain, /y<7r<«.r mc'~re /~f~ Otcra bou(bu.
Un NttenCo<'ttJ«!~ retardées par indisposition.
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trouvent leur récompense dans tes pront5 considérables qua
Cet état uorissant de nos affaires fait rencontrer dans nas
ntf.rchés. A ces moyens de Ibcatité je compte bientôt en
joindre d'autre; On m'annonce de France un division peut-
être assez consi iérabie pour t~e donner (a supériorité sur Ie<
~brceitde t'eunem mais assez forte dans tous les cas pour
~t'otéger eHicncc'nent par mer les vaisseaux nui fréquentent
no~ cotes. ).es ang!:j)s, d'aiUe~rs, ne peuvent pus gar.ier leur:
croisières pendaut ies mo:s de tempêtes ?ts s'exposeroient à
des dangers troj) évtdens. Tout concourt donc à démontrer
l'impossibilité du blocus que l'ennemi ose entreprendre. Vo
marchattds, assurés de trouver ici tous les secours dont Ht
auront besoin ne doivent pas s'inquiéter des motifs que ia.
cotUtModore Hood voudroit aUFgucr pour justiner les actes
d'hostitite dont il les menace. Cet ofiicier peut il croire que
Si ses vaisseaux ne sont pas en a'-sc'z. grand nombre pourgar*
der toute ['étendue de sos cotes, et en fermer toutes tesave-
ttues~ii a ta droit de punir, a & ~OtVM~ tes vaisseaux dtt
votre nation qui auroient e/t e/i~'ay~, échappé ala vigilance
dc~ses.e'oi~enrs? et la p~s tfgcre remontrance dw la pattde
vo),rc gouvcrmtncnt, ne sufnroit-eiifpaspourfairecesser une
pareille conduite? Je ne parle pas des appels aux tribunaux
d'Angleterre~ dont les décisions ont aunuilé des prises faites x
dans ies guerres précédentes d'une manière beaucoup moins
itiegate et beaucoup moins extraordinaire. La conduite du
commodore Hood à votre cE;ard monsieur m'a paru
exiger ces observations que j'ai cru devoir soumettre à votr<
excellence, afin de vous mettre à même de dissiper autant
qu'il est eu votre pouvoir les craintes et les motifs de dé-
couragement qu'on a cherché à répandre parmi les mar-
chands étrangers.
)) J'ai l'honneur d'être, etc., .&gv)~ViM~.M:T.a
'.RU.~S.'I.E~
jRc~r~&OH7'~ 25 MO~C7M~re.
L'ordredeS.M.imperiaie pour la levée des recrues~ eBT
date du 20 octobre, commence ainsi qu'il suit: (( La situation
critique de ~Europe, m'a déterminé conformemeNt à h
dignité de notre empire non-seutetnent à mettre au complet
notre armée mais encore à la renforcer pendant un certain
temps par de nouveaux régimens; en conséquence, nous
ordonnons, pour compléter l'armée et la notte qu'i[ sera
levé dans tout l'empire deux recrues par cinq cents hommes,
de matucre que le recrutement commence le <5 du mois dw
novembre prochain, et qu'il soit terminé le i5 janvier sui-
vant, etc. ))
Le collége des affaires étrangères a transmis au sénat diri-
geant l'ukase impérial de ~a teneur suivante: u S. M im-
périale a ordonne que M. Levet-Hm-ris sera receaau
THEATAE DE LA PORTE tAtUT-MAZ'ftf.
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AMBiau-COMtQUt. 8.
Jac~Me/t ;e, les ~n~/e~n~ ~'
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THBATBE E DES S JE)ftfES ELEVES.
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THZA'rRE PtTTORESQUK,
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Tous tes jours à sfpt JMures et dénué prectM. spectacte.
THÉATHt BU VAUD)EVtt,I.lS.
La /!ct'Me de /'a/! n~ pu ÇM~Z est le ~&~ ~Ka/eMrc&
Un auteur ayant autreMst'assembtë 60~ le titre de /{c~M~, qMttraat
scènes hMir<;u.!ps oa a pris Fhabitude, M ce théâtre de Ctire tou* tes ant
unere\ue. Les couplets d'uaonee se M~tettbtis, comme les revues,pres un succès: ce sontj'ux ahasquiont eu tous les deux, comme c\st ) 0)*-
dtnaire u< ))0m prin~tpe et de mauvais effets. Le premier produit chaque
année unepar chaque pièce est encore plus pcruicienx oxf ceiui des revues.
Nos t'tœurs sont aujourd'nui pins tristefqneptaiiMtes; nos vices ptutt.
~die~ qtni t-idt«t'M ~1~ ~opt« peut L< tJtyK~t pd
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