Presse et revues
4 pages
Titre : Journal des débats et des décrets
Éditeur : Baudoin (Paris)
Éditeur : Imprimerie nationaleImprimerie nationale (Paris)
Éditeur : Imprimerie du Journal des débatsImprimerie du Journal des débats (Paris)
Date d'édition : 1803-05-17
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327995159
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 7964 Nombre total de vues : 7964
Description : 17 mai 1803 17 mai 1803
Description : 1803/05/17. 1803/05/17.
Description : Note : 27 floréal an XI. Note : 27 floréal an XI.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k416909w
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
MARDI ï'i Mal i8o3.
FLOB.ÉAL an 11.
A:-w- I 3. :.f
Les lettrés paquets al urgent doivent être adrestés r panes dt
~fort au citoyen Gkoïmot rue des l'rétres; Saint-Girrhain-
l'Auxefrôis, n'.fyt.
Le prix de [abonnement est, pour les département, de Jô ̃ jiancs
pour 6 mots de 29 tr. pout six mois el de ̃ 6 /r. potif l'aiinte,
ihibi ttffi iijdiiiiwri Win ̃ «
A L L E M A G N E;; ̃ '̃ • J
Vienne 5 mai.. ¡
Notre coi'r vient d'adscsser au C, Cliampagny., ambassadeur
de France, H à M. Arthur Pagct ministre d'Angleterre, nn.e
déclaration portant en substauce que l'empereur formoit Ips
>-œux les plus sincères pour la continuation de la paix entre la
'France «t l'Angleterre mais que si, contre- sron -attente^ la
guerre écla toit de nouveau entre ces deux pays S. M. I. étoit
t'écidée à observer la plus stricte neutrali é. Cette couwnu-ica-
tion a été transmise à Paris et.à à Londres par des coarrinrs ex-
traordinaires que M. Charnpaguy et Pagot y ont dépêchés.. >
En cas de rupture «Mitre la France et l'Angleterre la reine
de Napks se rendra à Vienne avec les princesses ses files at-
tendu que les d.mx parties belligérantes ne voudront sans doute
point et ne pourroitnt même assurer la neutralité du royaume
des deuxSciles acausede importance de ses ports.
Les étals de Bohé ne s'assembleront, le 2 1 de ce mois, ̃̃n1
s Ratinbonne 8 mal..
Le C.Laforêt ministre extraordinaire ëe la république fran-
çaise, a fait connoîlre que son retour a Munich èu>n très-pro-
chain. I! a eu avaul-hier, sa d-niiere as.'lemblée. On croit que
Je C. Mathieu ne tardera pas aussi à partir..
La députation de l'Empire a tenu h^r une nouvelle séance.
Elle se dissoudra dans peu.
Francfort 12 mai. •
M. Daudeville, courâsr français, a passé avinf-hier par
eette ville, venant de Paris et se rendant par Berlin a Péters-
bourg, avec des dépêches.
La foire de Lcipsick a clé trè;-hrillaB!e; les négocians russes
et polonais y ont sur tout afflué. H n'est pas besoin de dire que
Jes anglais s'y sont portés en foule avec une quantité iurueiise
"de mardiMidiscs, et queleur concurrence a ce trcs-préjudicihb^e
aux fabricans et manufacturiers de l'Allf msgne. Si cela conti-
'nn.' tout l'argent de celte contrée s'écoulera peu-à-peu en
Angleterre. Les fabriques de Saxe et de Brandebourg souffrent
sur-tout de cette concurrence; et ses effets sont si manifester,
îe mécoTitcnteuient des négocians est si prononcé que lesgou-
'vernemrnd respectifs devront bientôt s'occuper des mesures les
plus propres à remédier à un mal qui finiroit par anéantir le
commerce du l'Allemagne et laisseront eatre les mUins de
FEUILLETON OU JOURNAL DES DEBATS,
Du Mardi aj Floréal an ni --•̃
'•̃ '̃̃TïiitKï DELA R f, P D B L I Q Ù 8 B T U E « AR I S.
'̃ Dardanus, le Retour de Zéphire.
• Le cit. Nourrit oontimieru ses débuts par le réU de Bardapus.
'• Le cit. Henry Oûriliiiuora ses débuts par le rôle de 2épliire.
Jeudi par extruordinaire la '5e. rep. de Saal oratorio mis en
isetion. ̃'
En atten3ant la 5e. rep. aèProserpme, retardée par indisposition.
'1~ 't'IrI~-A:RIS ~P'P-S1'7ç.~·~i"5. oJi'G·. Â B~EvZ781.T~flnR~ A.
i La prein. rep. tl'ffennan' et Verner, ou les Militaires j /ait
:historique en; ? actes et en prose Philoclète.- i.:i.i
Dans Pli iloclète Saint-Prix Saint Ea 1 Florence, Despre», Laeaye^
i Dans les Militaires Caumont, Baptiste .cadet, Damas, Baptiste aîné,
Armand, Lacavej DuWin, Marchand. M«sd. Lacliassaigne Mars. • i,i
'•' Mercredi Tphigênie en Aulide. v.
̃ Vendredi ta Ferhme Jalouse et les f{i\'aux Amis.
ij Incessamment à la salle de l'Opéra en vertu du règlement du théâtre
Français pour la retraite de madame Vestris sociétaire de ce .théâtre
la prem. rep. A'Esther, tragédie de Rjiçine ayee des clioenrsjet la prem.
rep. de Lucas eULmiers sujets de ce théâtre. '(
̃ >' ̃ ô v É f. A -C 0 « i 0 Tî E WVe TeVctfntî. ̃
•• Les Deux Ghasseurs, les Coitfidences,* Maison a vendre.' vc''
Dans les Chasseurs: Chenard, Dozaiaville. Mlle Pingénét cadette.
Daa>! fe^o:nfidences Hteviou Martin, eaivaudno, Chenara.' Mèsd.
^Saint-Aubin Piri^énft aînéet 'i l .`
i Dan» Maison a Fendre Elleviou Martin DoaSi*7.ill<). ^tesd»me»
©ugazoni.Pingen«taîaés. j j ». ,,V s
ces insulaires la première et principale sourçç c|e la prospérité
tfttft pays* r ̃ :>(̃•• ?.. • >:̃;̃. )̃
:̃ ̃̃̃̃ ,J.V
< i r li'dr'~s:, h hzraa. s i; ·
Fvndu publics. 'IVifis !))oi)r'cent êonsb'idés /65 7/8^5,
̃64,5653/8, 3/4". --r:<«i' •-]̃̃ ;̃•̃•% ̃
Nous n'ayons reçu hlîr aucuBë'fcfAtveite !de France 5 niai*
nous espérons1 que celle iFfqùe rîb'us1 recevront àe 'j<>ard'l}ui'déci-
'deront la grande ciU'Stîon-'tle ta paix ou dé la guerre. Le >vent
étoit si contraire Xrex,, qu'il n'est parti 'aucun bâtiment de
Gilaiï. Nous crojohs cependant qu'il y avait en station, à la
hauteur de Boulogne, un paquebot •, dispQsé de manière et
p ruyoir traverser, quelque fô.t le teinps, En'cw'tiséquençe, nous
ne doutons pas qneytkb» le cours dé'.la joutnéej ènnf reçoive
à Lpn'cTrés des nouvelles >de la pàitf o'u'de la guerre. On nssrtroïfc
hier, comme Chose -ccrtaine^'datïs an quartier de'la ville,' tjue
"lord WliilWorîVi étoit enJrs<5àtfepi>ufr se rendre en^Angletenre.
Pout- êlre'sôjit' ce quelques sîgriàu» de 'i'o!rf deS -tël«{fF*ipliss' àf
l'amirauté qui ont'donn» lieu-a^ce bruii mais ce n'est sûre«-
megt point de celui de_ Déal qu'ils so.1,1 partis. Pest-ê^reasssi
proviennent-ils de l'arrivée de M. Hunier le messager; et, r
dans ce cas, on s'est encore H rompe, car c'est M. Hunier l'àiné
qui ê'sVErrivë dVPétersbotirg, chargé de dépêche* impxHtauUs,
et" son frère est encore à Paris. ̃ ̃ ̃ ̃ I •>•'̃ ̃'•
'Les ministres'ne comptoisnt recevoir dais» nouvelles de France
quô* vers "le midi aujourd'hui et il est très-possible par
'conSéqu'ent 'qu'iU' fassent dans la joufcrfe'e quelque communi–
̃cation aux 'deux chambres du pàtlemeiiU 9^tais enfin y aujour-
d'hui ou demaia, cette communication ne peut tMânquer dêtre
•faite^ et s'il est décidé que la1 guerre a lieu les pièce* de la
correspondance seront' toutes prèles pour lundi ;ii
'vers le milieu, de la semaine prochaine» •̃̃• 'il
i* è'est fait très-peu d'affaires hterà> la' Bourse tout reste
en suspens jusqu'au moment où 1e résultat de la négotiatian
sera connu. • Grt état de -suspension est terrible, 'assurément }
cependant on avoit encore hier à' Londres quelqu'csporancs
que le premier consul accédera à no« d,^mandes et que la pais
ne sera point interrompue..
Les fonds sont restés constaniimeéftàfenvîroii 64 c'est-à-
dire dteux et demi pour cent au-dessus du pris oùils sont
plusieurs fois tombés f depuis l'envoi auî chambres du niessag»
~de Sa majesté. 1 'm 'i ,r
̃ II ya eu hier conseil chrz la reine, auquel le;chancelier, cfe>
f échiquier le duc de Portland >, lord Hobard et M. FawkB«r
'ontassisié. • •̃>-̃ '̃ '̃> I- < lf ̃•
Jamais la presse n'a été exercée avec plus déclivité t on n'ac-
'cordè- ni faveur ni protection soiis peu de temps nous; au«
'ions eii «îer^ une forte escadre. L'amiral ùComwallis commai»'
T H É A T R B I T A L I H H.
r_ ÇQp>fii;fjà;) ̃ -•
ReUehe. • ,̃ ] ̃' ̃' • r T
Dem. laScme; rep. A' M; principe di;T4ranto (le Pftnce de. T&-
rente, ) musique du célèbre Per.'
Acteurs i le» sienori Martinelli, Wozari Ranfagna ,Fedi j les^gnoro
Georgi Belloc Fcdi et Leordi.
..A'aiicesser ÇQur_ U ..location desjpges, à r.administratioQ au'dfv
.%t}vêâttf ̃ v. c ,k ,̃=
.1JX.IT ».F I,' 01 .11 V OIS.
Le Collatéral, la Cloison, le'Perefâccjxsipn.. ,,>
aa é -A r s s n v ~t r u n s v f c z y
riorian, Fançhon.^ '•
T H K.T,[« E, M O ÎS.T'A K S,! n R. I(~.
Fisaro tout seul, te Vin le Jeu elles Femmes, l'Entresol, le-
Beverley. f e: J.
~tB^i"rï» DB tl'tOIt! riIST'B A »TTH. •
̃ ̃. ̃ ( «alU de J'Opën). ̃ •̃ ̃" ̃ ;s '"•'
Clodonufe, faipefdu mon Procès. ::̃•
~'i ï ̃ î t S: «! A' T » « ri B t i. C l'T'.it ̃ • *•'
• Laurè et Wernandoy Alexis et Judine^ ̃• ̃ i i t
t'tî i- 1 t t n tf i» iî*:t'M i c. v e o;y t Q v *< ̃
Les Mines de Pologne, une Matinée de Frédéric- •̃̃
• t n r. a t p.. r p r J. A c. i i v. ,t; f..
'j1 Là 'Puçetle d'Orléans, le TàOleâuJe Phèdre, lei' Qe>U Eçut\ {
:'•̃]' i HÉ A ̃!• i K «!?> f. f-B. È Tlfl tlUS, '̃ T) .i J
Le Galérien yenveux, la Roulette.il ï
f. ̃.̃•̃C!j :i-iv^tfiiil' i .̃ u:c •̃. ̃t
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'France «t l'Angleterre mais que si, contre- sron -attente^ la
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point et ne pourroitnt même assurer la neutralité du royaume
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Je C. Mathieu ne tardera pas aussi à partir..
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Francfort 12 mai. •
M. Daudeville, courâsr français, a passé avinf-hier par
eette ville, venant de Paris et se rendant par Berlin a Péters-
bourg, avec des dépêches.
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'nn.' tout l'argent de celte contrée s'écoulera peu-à-peu en
Angleterre. Les fabriques de Saxe et de Brandebourg souffrent
sur-tout de cette concurrence; et ses effets sont si manifester,
îe mécoTitcnteuient des négocians est si prononcé que lesgou-
'vernemrnd respectifs devront bientôt s'occuper des mesures les
plus propres à remédier à un mal qui finiroit par anéantir le
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FEUILLETON OU JOURNAL DES DEBATS,
Du Mardi aj Floréal an ni --•̃
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Le Galérien yenveux, la Roulette.il ï
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