Presse et revues
4 pages
Titre : Journal des débats et des décrets
Éditeur : Baudoin (Paris)
Éditeur : Imprimerie nationaleImprimerie nationale (Paris)
Éditeur : Imprimerie du Journal des débatsImprimerie du Journal des débats (Paris)
Date d'édition : 1803-05-12
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327995159
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 7964 Nombre total de vues : 7964
Description : 12 mai 1803 12 mai 1803
Description : 1803/05/12. 1803/05/12.
Description : Note : 22 floréal an XI. Note : 22 floréal an XI.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4169040
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
̃ FLORÉAL an n.
'̃ ̃̃" JEUDI' «a Maij^;
F. R NAL DE S 13 É B A rk^
L 0 I X D U U P 0 U VOIR LÉ GIS L AT IF,
ES ACTES DU GOTJVER.NEMEN T.'
NO U F ELLES È TRA N G È R E S.
ALLEMAGNE..
Vienne f 29 avril.
Notre conr s'est décidée a pjyer à la régence de Maroc une
•omnie de 10 mille ducas vénitiens que IWieo gouvernement
te Venise lui p«yoit tous les dous ans.
La dernière poste de Constantinoole ne no s a transmis au-
cune nouvelle intéressante de cette capitale à Icxocplion de
que'ques détails sur .l'insurrection dAbJul-Wcchib ( ce nom
signée en arabe propagateur delalumere ) bavant ces dé-
tails, le ..ombre des partisans de cet illumine se monte d.J t
i près de i5. mille, la plupart arabes. Il s'«t forme un
conseil, compesé des sùheicks ou cb-.ft qui se sont réunis a lui
avec leurs hordes. Il a déja publié divers manifestes dans le«-
uadi il annoiceqa'ilveol rétablir la reKgion-mahomatane dans
punie primitive. Tonte l'étendae de pays entre Medme, la
Mecque et B.issora lui est sounr'se. j
Du côté d'Aie? il a éprouvé une forte resutence de la part
deqaekiues scheicks qui avoient un parti nomb eui; cepeu-
dant if est parvenu à les battre et a les disperser. Abdul-
Wechab cherche maintenant à s'étendre du co e de 1 1 Egypte
et a mettre dans ses intérêts les Lejs aiasi que le. tributs d'A-
rabes de cette contrée. Du reste il ne pareil pas que les
r. belles se soient encore rendus maîtres de quelque place un-
portante. ̃
Médine et la Mecque sont toujours occupées par les turcs.
Le ministère ottoman vient de fai e passer au gouverneur de
cette dernière vilîe. un train nombreux d aH>l'one qu il a voit
dfmaudp a^nsi que des cmonulen. Uue partie des troupes
«,ni se .rôuvoieat dans la Nalolie a dû se porter en hâte sur
B gdad où doit se rassembler le corps destine a marcher
contre lés rebelles.
( ANGLETERRE.
Lor.clres ami:
chambre des pairs, d 6 6 mai au soir.
ETAT » E L A N A T I O N.
Lord Pelham observe qu'un noble lord a donné notice d'une motion
p.,ur lundi prochai,, relative a la négociation pendante avec la France
à moim qn'av .Dt cette époq-e une c-mn,un.çat,,n oflicielle ne fut p.te
S la h J\,re. Personne ne refirent plu, que lui 1 état e su.pen., et d au-
xi.'té dans WnnA h cho.nl.re A U nat.on avaient été long-temps eUnevi-
tai><é.nent re.muei. Ii étoit en&i en état de fa.re nne corn nunioation
6Ur cet im^oilan .ujet et i' cr..icnuil beaucoup q?e information q.i.l
a^uit à d >nner, ne fut aussi pénible pour ceux qui alloieul 1 entendre
que IVlal'd'incerl'ludeqniavcit précédé.
Vox-i donc ce qu'il a à annoncer. En conséquence des dépêches reçues
ce matin de P.- is l'ambassadeur de la république fra.-ç^e 5 est adressé
aujourd'hui au ministre de sa nujesté à effet d obtenir au passeport
pour quitter ce pays et rctounier-en fraace. L ambusindeur a agi ainsi
Feuilleton du journal des desats.
Ou Jeudi', HT. Flo éat an n.
THÎiTRE D B. LA'BBFUBLIQOB ET DES ARTS. $.
Relâche.
En attendant la 5e. rep. de Proserpine, retardée par mdispos.tion.
fuùm v r. t n c i. 1 5 n k la aEPUBLiv"ï.
T.'Intn'qus épistolaire, le Babillard.
ïîin-ï Vlidri"ue Dii^3zon GrundHiesoil B.ptisle cadet Armand
D."iôiv2. Mps£ Ljclufsais-.e Rmilie-Contat Mars, Pjtrat.
Dans le Babillard Saint-Fal, Armand, Marchand. Mesd. Devienne,
L-ch-issaiene, Desbresse?, Boui-goin, Volnais, Desrosiers Gros, Paliat.
'in attendant la iS*. r«p. du Hénucte.ur amoureux, la Mort de
Pnmpèe. /{/i.uhmiitt, .Sid-hrahe le Muet. Polyeucle.
In, e-sa. nent i la salle de l'Opéra en vertu du rèslcment du théâtre
Fvan'-aii pour la retraita de madame Vestris soci'laire de ce théâtre
ta pr»m. rep. à'Esiher, tra-edie de Racine avec des chnur.«;et la prem.
rep. de Lucas el langue, ballet pastoral, dans lequsl dauseront les pre-
Diîerô sujets de ce ikéùtre. C n x r p v A rue f'eyulean.
o p r. r..» C n m i Q V K rue r eydean.
̃ T,e Secret, le Conceti, les CvJUfnces.
.•f>ans le Secret.- Soijé Ooz.mville Baptiste. Mesd. Sugazon,
~pyl::é Gara,ttlan.
^D-ms îr.*Caiic'erl Elïcviou M*rtin ChcnarJ Darconrt Baptiste.
Mr-id. PinKcnet, B.. Gav-rti-Jan.
D;,ns Us Confitlenccs.- Iv.leviou, jSLrtin Gavau Jw4 Chenard. Aetd.
Saint- AHbin fi:ir;ei]et uincit..
Incess. pour la rentrée
r k, « f '̃ « '̃ »«"•
£a Suie dxSJc'Ucur, lu pvtite f V.7c.
conformément aux or Jres qu'il a reçus du gouvernement français il ctort
supposé que lord YVhilworlh avoit quitté Paris. Le gouvernement bri-
tannique a tout réccmntent f-'i' passer en France ses dernières propifci-
li.ms. (Xi e6péroit recevoir aujourd'hui des dépêches de sa seigneurie, >
mais aocanes n'ont été reçues. Les^iiinisties de S. M. ignorent encore ce
point important Savoir si notre ambassadeur est resté à Paris ou s 4
revient eu Angleterre.
Lord Pelhampeu,e qu'il est de son devoir de communiquer a la chambre
ces désagréables circonstances. La conduite enlière des ministres, dura.j:
tout lecoirsde la négociation va être soumise à son examen «us*
prompteinent que possible. On atteud demain >in couritr porteur oc»
paquets de lord Whitworth (t si l'on nppiendqiie ce dernier a qudlé
Paris, une communication pourra être faite lundi pro;hiin. Lord Peiluna
d après tout ce qu'il vient de d re ne pense pas qu'il soit nécessaire de se
i eu ni r le .jour suivant d'autant plus qu'il sen.it impossible d'instruire
suftUaminent leurs seigneuries avant lundi." Il fait la îaolion que la
ch;.mbre s'ajourne à lundi prochain.
Lord Dorneley L'état de suspens et d'anxiété oiï nous sommes depuis
plus de diux mois est une choie extraordinaire et in uie. Durant tout ce
temps, j'.ii évité d'appeler l'attention de la eh-unbre sur ce sujet, parce
que l'ai craint d'interrompre le succès de U négociation et de jetter
quclqn'eiubarras dans les conseils de S. M. J 'espérais aussi que qurliju'in-
f.Tni lion n ms seroit donnée par les ministres. Eiifi.i en inaptrcevcnt
que moa c-perance étoit trompée j'ai donné une notice de ma motion
pour lundi. Je suis déterminé à présenter cette irolion ce jonr-la même r
m' !̃̃ ministre ne fait pas la communication q Vil vient de proiueltrc.
D.ns un moment aussi critique que celui-ci je ne puis consentir à ce
que la chambre s'ajourne jusqu'à lundi. Ou peut recevoir des nouvelles
demain. Il sera nécessaire que la chambre en soit infirmée et el e doit
au publie de continuer ses séances de jour en jour. 11 fait en conséquence
cet amendement que la chambre s'ajonrne A demain.
Le comte de Spencer La situ.ttioa de ce payi eil en ce moment
sinîstie et alarmante; Une négociation pro!on;;ée à tel poinc que hoiis
n'aYons pas un pareil exemple dans toute notre histoire, a jeté depuis
plusieurs semaines l'esprit public dans une extrême inquiétude. Erifi.i el e
se termine de la manière la plus fâcheuse que Von pui-se imaf iaor._ Dans
de telles circonstances, convient- i! a la chambre de s'ajourner à deux jouis
durant lesquels des nouvelles de la pins haute importance peuvent eue
reçues, nouvelles qu'il sera absolument nécessaire de communiquer au par-
lement ? J assure leurs seigneurie» que je ne fjis point ces obier- a t ions
par mauvaise humeur; je remplis seulement mon devoir, tel qu'un mem-
bre du parlement doit te f.u're. L'idée q .i me frappe le plus fortement
est qie la chambre dans une telle (rie, doit è;re à son p oile et ne doit
pas s'al senter ua seul, jour de son devoir purleraenmirr.
Le I.rd chancelier Je suis bien loin d'attribuer au riohle comte qne
vo'onté d'opposition. Personne plus que lui n'eu mieux a l'abri d'une im-
pulation semblable. Qusnl à la convenance de réunir la chambre demain
je ne s lii pas de cet avis. Le public i:e nous accordera pas un grand
C édit, et n'e -limera pas qu'il y aitch z nous une vigilaoc" cxlraoïd. nuire
parce que nous siégerons un samedi le public ne s '«ttend même pas qu«
ncm Siéiions ce jour-là. Il n'est d'aucune utilité", de le faire, parie qu'il ci
ne seroit pvs possible d'obtenir ce jour-là des informations suffisante'.
Le comte de Carli-le Le noble secrétane-d'clal < le nobin et écbiiré
chancelier ont tort de prétendre que dei nouvelles ne peuvent pns arriver f
deniaia avant l'heure de la séance nouvcll-s qu'il sera t/onvcDab'It! et né-
ce-sa.re de comvnuuiq'if'r au pailerueril; il eera donc née? ssiire qne le par-
lement soit en séance. Je ne vcuti pas traiter le sujet de la négociation
je me borne simplement à d;re qu'elle a été tr.l -ée en longueur d'une
manière incrovabh'. II. semble que le parlement a été totalement iualtent.f
aux alfjirei du pablio qu'il a élé plo:i^édaas une suite d apathie ,el qu'il
I 11 É .( I S E ITALIE N.
Ln nouvelle administration ne po'.vant par un accident imprévu
ouvrir par la pièce annoncée, prévient qu'elle fera l'ouverture s-.medi
»4, par laproin. rep. A' ri Principe di Taranto (le Prince de Ta-
renta, ) musique du célèbre Pcr.
Acteurs les siçnori Martin' Ili-, Ncz.iri-, Ilanfagna ,Fedi les signore
Georçi Belloc Fcdi et LeorcJi.
S'adresser pour la 1 jc-ation des loges à l-'aJministration audit
théâtre
T H r » T » T » » T 1 t H f t I l 1 «.
T.e Mari in rigue, une Soiiée de deux Prisonniers, les Hasards
de la Guerre. T H E A T E N O N T~~d N a ft R.
THÉATRH VTOHTiN?TnR.
Figaro tout seul, In Ram/neroille du Saveli.r, DrtUndindin,
V Amour ell' Argent, Béverlcy.
̃t a r. i t >î iî d l i c i t é.
La nouvelle administration fe'a son ouverture dimanche prochain, aï i
floréal par une première représ'-iratkm de l.aure ai Fenando, f.iit
historique en 4 ;ictcs en pros- et une preiiiière repréoPiilatiar. des lier a
gers de beau liivuge, ou Jîslel.e el JYiinimn, opéra nouveau en deux
actes.
TSlii.T»K HE U MIT! (USt-ï'lItlII.
{âali* cil !'Oi>Èïj).
Cledomirc.
THÉÂTRE DU M A R A I S.
Li prem. rep. de la doubla Ilusa, Ls Pctïts Aveugles, V Epreuve.
Villageoise. T H i A T » B HE l' 1 U I 1 5 l CQillIJU*.
M. EoUc, le Pétrin Uuue:
'̃ ̃̃" JEUDI' «a Maij^;
F. R NAL DE S 13 É B A rk^
L 0 I X D U U P 0 U VOIR LÉ GIS L AT IF,
ES ACTES DU GOTJVER.NEMEN T.'
NO U F ELLES È TRA N G È R E S.
ALLEMAGNE..
Vienne f 29 avril.
Notre conr s'est décidée a pjyer à la régence de Maroc une
•omnie de 10 mille ducas vénitiens que IWieo gouvernement
te Venise lui p«yoit tous les dous ans.
La dernière poste de Constantinoole ne no s a transmis au-
cune nouvelle intéressante de cette capitale à Icxocplion de
que'ques détails sur .l'insurrection dAbJul-Wcchib ( ce nom
signée en arabe propagateur delalumere ) bavant ces dé-
tails, le ..ombre des partisans de cet illumine se monte d.J t
i près de i5. mille, la plupart arabes. Il s'«t forme un
conseil, compesé des sùheicks ou cb-.ft qui se sont réunis a lui
avec leurs hordes. Il a déja publié divers manifestes dans le«-
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punie primitive. Tonte l'étendae de pays entre Medme, la
Mecque et B.issora lui est sounr'se. j
Du côté d'Aie? il a éprouvé une forte resutence de la part
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dant if est parvenu à les battre et a les disperser. Abdul-
Wechab cherche maintenant à s'étendre du co e de 1 1 Egypte
et a mettre dans ses intérêts les Lejs aiasi que le. tributs d'A-
rabes de cette contrée. Du reste il ne pareil pas que les
r. belles se soient encore rendus maîtres de quelque place un-
portante. ̃
Médine et la Mecque sont toujours occupées par les turcs.
Le ministère ottoman vient de fai e passer au gouverneur de
cette dernière vilîe. un train nombreux d aH>l'one qu il a voit
dfmaudp a^nsi que des cmonulen. Uue partie des troupes
«,ni se .rôuvoieat dans la Nalolie a dû se porter en hâte sur
B gdad où doit se rassembler le corps destine a marcher
contre lés rebelles.
( ANGLETERRE.
Lor.clres ami:
chambre des pairs, d 6 6 mai au soir.
ETAT » E L A N A T I O N.
Lord Pelham observe qu'un noble lord a donné notice d'une motion
p.,ur lundi prochai,, relative a la négociation pendante avec la France
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S la h J\,re. Personne ne refirent plu, que lui 1 état e su.pen., et d au-
xi.'té dans WnnA h cho.nl.re A U nat.on avaient été long-temps eUnevi-
tai><é.nent re.muei. Ii étoit en&i en état de fa.re nne corn nunioation
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que IVlal'd'incerl'ludeqniavcit précédé.
Vox-i donc ce qu'il a à annoncer. En conséquence des dépêches reçues
ce matin de P.- is l'ambassadeur de la république fra.-ç^e 5 est adressé
aujourd'hui au ministre de sa nujesté à effet d obtenir au passeport
pour quitter ce pays et rctounier-en fraace. L ambusindeur a agi ainsi
Feuilleton du journal des desats.
Ou Jeudi', HT. Flo éat an n.
THÎiTRE D B. LA'BBFUBLIQOB ET DES ARTS. $.
Relâche.
En attendant la 5e. rep. de Proserpine, retardée par mdispos.tion.
fuùm v r. t n c i. 1 5 n k la aEPUBLiv"ï.
T.'Intn'qus épistolaire, le Babillard.
ïîin-ï Vlidri"ue Dii^3zon GrundHiesoil B.ptisle cadet Armand
D."iôiv2. Mps£ Ljclufsais-.e Rmilie-Contat Mars, Pjtrat.
Dans le Babillard Saint-Fal, Armand, Marchand. Mesd. Devienne,
L-ch-issaiene, Desbresse?, Boui-goin, Volnais, Desrosiers Gros, Paliat.
'in attendant la iS*. r«p. du Hénucte.ur amoureux, la Mort de
Pnmpèe. /{/i.uhmiitt, .Sid-hrahe le Muet. Polyeucle.
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Fvan'-aii pour la retraita de madame Vestris soci'laire de ce théâtre
ta pr»m. rep. à'Esiher, tra-edie de Racine avec des chnur.«;et la prem.
rep. de Lucas el langue, ballet pastoral, dans lequsl dauseront les pre-
Diîerô sujets de ce ikéùtre. C n x r p v A rue f'eyulean.
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Mr-id. PinKcnet, B.. Gav-rti-Jan.
D;,ns Us Confitlenccs.- Iv.leviou, jSLrtin Gavau Jw4 Chenard. Aetd.
Saint- AHbin fi:ir;ei]et uincit..
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conformément aux or Jres qu'il a reçus du gouvernement français il ctort
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tannique a tout réccmntent f-'i' passer en France ses dernières propifci-
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mais aocanes n'ont été reçues. Les^iiinisties de S. M. ignorent encore ce
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revient eu Angleterre.
Lord Pelhampeu,e qu'il est de son devoir de communiquer a la chambre
ces désagréables circonstances. La conduite enlière des ministres, dura.j:
tout lecoirsde la négociation va être soumise à son examen «us*
prompteinent que possible. On atteud demain >in couritr porteur oc»
paquets de lord Whitworth (t si l'on nppiendqiie ce dernier a qudlé
Paris, une communication pourra être faite lundi pro;hiin. Lord Peiluna
d après tout ce qu'il vient de d re ne pense pas qu'il soit nécessaire de se
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suftUaminent leurs seigneuries avant lundi." Il fait la îaolion que la
ch;.mbre s'ajourne à lundi prochain.
Lord Dorneley L'état de suspens et d'anxiété oiï nous sommes depuis
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quclqn'eiubarras dans les conseils de S. M. J 'espérais aussi que qurliju'in-
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D.ns un moment aussi critique que celui-ci je ne puis consentir à ce
que la chambre s'ajourne jusqu'à lundi. Ou peut recevoir des nouvelles
demain. Il sera nécessaire que la chambre en soit infirmée et el e doit
au publie de continuer ses séances de jour en jour. 11 fait en conséquence
cet amendement que la chambre s'ajonrne A demain.
Le comte de Spencer La situ.ttioa de ce payi eil en ce moment
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n'aYons pas un pareil exemple dans toute notre histoire, a jeté depuis
plusieurs semaines l'esprit public dans une extrême inquiétude. Erifi.i el e
se termine de la manière la plus fâcheuse que Von pui-se imaf iaor._ Dans
de telles circonstances, convient- i! a la chambre de s'ajourner à deux jouis
durant lesquels des nouvelles de la pins haute importance peuvent eue
reçues, nouvelles qu'il sera absolument nécessaire de communiquer au par-
lement ? J assure leurs seigneurie» que je ne fjis point ces obier- a t ions
par mauvaise humeur; je remplis seulement mon devoir, tel qu'un mem-
bre du parlement doit te f.u're. L'idée q .i me frappe le plus fortement
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Le I.rd chancelier Je suis bien loin d'attribuer au riohle comte qne
vo'onté d'opposition. Personne plus que lui n'eu mieux a l'abri d'une im-
pulation semblable. Qusnl à la convenance de réunir la chambre demain
je ne s lii pas de cet avis. Le public i:e nous accordera pas un grand
C édit, et n'e -limera pas qu'il y aitch z nous une vigilaoc" cxlraoïd. nuire
parce que nous siégerons un samedi le public ne s '«ttend même pas qu«
ncm Siéiions ce jour-là. Il n'est d'aucune utilité", de le faire, parie qu'il ci
ne seroit pvs possible d'obtenir ce jour-là des informations suffisante'.
Le comte de Carli-le Le noble secrétane-d'clal < le nobin et écbiiré
chancelier ont tort de prétendre que dei nouvelles ne peuvent pns arriver f
deniaia avant l'heure de la séance nouvcll-s qu'il sera t/onvcDab'It! et né-
ce-sa.re de comvnuuiq'if'r au pailerueril; il eera donc née? ssiire qne le par-
lement soit en séance. Je ne vcuti pas traiter le sujet de la négociation
je me borne simplement à d;re qu'elle a été tr.l -ée en longueur d'une
manière incrovabh'. II. semble que le parlement a été totalement iualtent.f
aux alfjirei du pablio qu'il a élé plo:i^édaas une suite d apathie ,el qu'il
I 11 É .( I S E ITALIE N.
Ln nouvelle administration ne po'.vant par un accident imprévu
ouvrir par la pièce annoncée, prévient qu'elle fera l'ouverture s-.medi
»4, par laproin. rep. A' ri Principe di Taranto (le Prince de Ta-
renta, ) musique du célèbre Pcr.
Acteurs les siçnori Martin' Ili-, Ncz.iri-, Ilanfagna ,Fedi les signore
Georçi Belloc Fcdi et LeorcJi.
S'adresser pour la 1 jc-ation des loges à l-'aJministration audit
théâtre
T H r » T » T » » T 1 t H f t I l 1 «.
T.e Mari in rigue, une Soiiée de deux Prisonniers, les Hasards
de la Guerre. T H E A T E N O N T~~d N a ft R.
THÉATRH VTOHTiN?TnR.
Figaro tout seul, In Ram/neroille du Saveli.r, DrtUndindin,
V Amour ell' Argent, Béverlcy.
̃t a r. i t >î iî d l i c i t é.
La nouvelle administration fe'a son ouverture dimanche prochain, aï i
floréal par une première représ'-iratkm de l.aure ai Fenando, f.iit
historique en 4 ;ictcs en pros- et une preiiiière repréoPiilatiar. des lier a
gers de beau liivuge, ou Jîslel.e el JYiinimn, opéra nouveau en deux
actes.
TSlii.T»K HE U MIT! (USt-ï'lItlII.
{âali* cil !'Oi>Èïj).
Cledomirc.
THÉÂTRE DU M A R A I S.
Li prem. rep. de la doubla Ilusa, Ls Pctïts Aveugles, V Epreuve.
Villageoise. T H i A T » B HE l' 1 U I 1 5 l CQillIJU*.
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