Titre : Journal des débats et des décrets
Éditeur : Baudoin (Paris)
Éditeur : Imprimerie nationaleImprimerie nationale (Paris)
Éditeur : Imprimerie du Journal des débatsImprimerie du Journal des débats (Paris)
Date d'édition : 1802-11-12
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327995159
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 7964 Nombre total de vues : 7964
Description : 12 novembre 1802 12 novembre 1802
Description : 1802/11/12. 1802/11/12.
Description : Note : 21 brumaire an XI. Note : 21 brumaire an XI.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k416723p
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
ai BRUMAIRE an n.
VENDREDI i2 Novembre j8o2>
~r= L -D E S" D É'B A T~S
Mm N A L D E S DÉBATS
'UyV^O IX DUPOUVOIR LEGISLATIF,
nçjTjpJê s actes du gouvernement.
Les lettres paquets et argent, doivent âlte adressés francs co
Les lettres, paguets et argent, doivent étré âdressés, francs eo ,4j
port, au citoyen Geoffroy rue des Prêtres-Saint- Germain-
'Auxerrois, n". /ja.
Le prix de l'abonnement est de x\Jr. 5o. cent.pourS mois, dei& .j
fr. pour six, etde Sofr. pourï'année.
/•'tunfr. 5o cent. deplus par trimestre, avec le Feuilleton il pour '[
dès dèparlemens. >
Et chez le Normant, imprimeur-libraire, rue des Ptétres-Sinirit-Ger- '1
mum-IAuxcrrois. ̃
'NOUVELLES ETRANGERES.,
TURQUIE.
Constan tinople 1er. octobre.
Avant (lue les français entreprissent l'expédition d'Alger le
C. Talleyrand, ministre des relations extérieures avoit com-
muniijue à notre ambassadeur extraordinaire à Paris Ghalib-
Effendi, une note qui l'inforiuoit du projet du gouvernement
français. Dans cette note sont contenus les griefs que la
France forme contre le dey qui s'est opposé à la' pèche du
corail, faite par les français, qui a. insulté le pavillon de
France, et a demandé à cette république 2oo,ooo piastres,
sous quarante jours avec menace de lui faire la guerre. II es( ̃«?
parlé ensuite de l'officier que le premier consul a envoyé à
Alger.
« Si le dey, étoit-il dit dans cette note pousse l'aveugle-
ment au point de refuser au premier consul la satisfaction qu'il
attend et qu'il a droit d'exiger, le soussigné est spécialement
chargé de déclarer à V. Ex. que, dant ce cas le premier
consul a résolu d'envoyer une armre de terre, pour s'emparer
d'Alger et mettre un terme aux excès si contraires aux inté-
rêts et à la dignité de la nation française. Le premier consul a
chargé le soussigné de faire connoître à V.' Ex. cet état de
choses afin que la sublime Porte n'ait point à se plaindre, s'il
repousse la force par la force et s'il anéantit un prince, vassal
de la Porte, qui se sera attiré justement son malheur par ta
conduite irrégulière et ses hostilités exercées envers la France.
Lorsque le premier consul marcha en personne contre l'Egypte,
la sublime Porte croyoit avoir droit de se plaindre. V. Ex. re-
«onnoîtra cependant que si le premier consul ayant épuisé
dans les circonstances actuelles tous les moyens pacifiques, se
voit contraint par la force des circonstances et par la conduite
de la régence d'Alger, à une démarche qui pourroit ne pas être
agréable à la sublime Porte, il n'a pas dépendu du premier
consul de l'éviter. Il désire que V. Ex. envoie incessammentpar
un courier la nouvelle de ces dispositions et de leurs causes à à
la sublime Porte et méme à Alger. Le. soussigné renouvelle à
«ette occasion à S. Ex. l'envoyé extraordinaire de la Porte, l'as-
surance de sa haute considération. »
Paris, le io thermidor ( 27 août 1S03. )
Signé Talleyrand.
TEUILLETON DU JOURNAL DES DEBATS.
Du Yendredi 21 Brumaire an XI.
ililTH »» tA itlIIlIQII BT Dka 1111.
%es Prétendus, Paris. •
T E t 1 T 1 1 FiTl II,
(QpnM-Iiuffa.) t
Demain, les &ue.Barcni (>les Deux Barons) opéra en deux actes,
̃lusique de Cimaroaa. ̃
Acteur» Les signori Raffanelli, Pailatuagoi, Saccohi les signore StriV,
̃asacchi, ParlBtD»»ni.
T H i A T I B «OHTAB«1E».
Une Heure de Jocrisse, le f^ieux Major, l'£iUresolj Flulayol,
la Pièce qui n'snest pas Une. ••̃̃̃̃̃
THÉÂTRE DB lll-OlU S 1 1 KT-SI A Kf 1 K,
(Ci-devant .*alle-de l'Opôr». ')'̃̃̃ ;i •••̃
La dixième rep. SEcberl, ruilodrame en trois actes. •>>
T H É A T t. K D E t A C » T C É.
ï- 'ouverture de la nouvelle administration se fern dimanche prscîiaïn;,
o3 brumaire par le Siège de laRotrheiïe, draine-héroï'pie en trois l
actes. ̃ '̃
T H i A T B E D E S £ T K A K a & B s 6. 'i
(Ci-devant du Marais. ) )".
Yrès-incessa«nm'>t l'ouverture
la troupe de la Cité. •
VA&liïÉ* BAT1OEAI.B8 B T i Tfii.B 8,i il)
-;̃-̃̃̃ (Ci-rlCTanl Molièr*,} '̃ •̃̃ il
̃ Le yëridiijiic, les ii&ericî. ̃'̃'̃. •" • >'
REPUBLIQUE ITALIENNE.
Milan t a8 octobre.
La ducheese douairière de Parme est partie le 22 de ce mois
pour Vérone avec une suite de huit voitures. Elle ira dp là dans
les étals autrichiens. Cette princesse avoit abandonné son an-
cienne résidence avant qu'on ne publiât les dispositions du pre-
mier consul, relatives au duché de Parme. Nous apprenons
que conformément à ces dispositions, les nouvelles adminis-
trations y ont déja été nommées. ( Courier Milanais: )
On écrit de Lugano, que le a6 de ce mois, pSasieurs députés-
de ce district se sont réuuis dans la commune d Agno. On ignore
le but de cette démarche.
Le C. Serra nommé ministre plénipotentiaire de la répu-
blique ligurienne à Paris, a demandé et obtenu sa ((émission. Il
est remplacé par le CI Ferreri. Le C. Bonelli, chef d'office du
magistrat de l'intérieur est secrétaire de cette ambassade.
ALLE MA G N E.
Vienne 39 octobre.
S. M. T. est partie aujourd'hui avec le grand-duc Constan-
tin, de Russie pour se rendre à Schloshof et de là à Pres-
bourg. Demain matin l'archi-duc palatin aevompagné de
quelques uieiubres da la diète de Hongrie viendra de Pres-
bourg à leur rencontre. La clôture de la diète aura lieu le niénm
jour il seia chanté, à cette occasion une messe solemnclle
suivie d'un TéDeum en musique.
On ne sait pas encore en quoi consiste le supplément d'in-
demnités que notre cour vient d'obtenir pour le grand duc de
Toscane. Nos politiques lui donnent maintenant une partie du.
duché de Parme mais les nouvelles de Ratisbonne vont bientôt
mettre un terme à toutes les conjectures.
Dans toutes les universités de Hongrie ks chaires de philo-
sophie et de droit-canon né seront plus occupées que par des
ecclésiastiques; on sait que cette réforme est, déjà établie dans
toute l'Autriche ainsi les protes tans peuvent être regardé»
comme exclus de l'enseignement public dans lès deux paysr
On sait maintenant, d'une manière positive que le prince `:,
Constantin Ipsilanti doit particulièrement ta nomination ad
poste d'hospodar de Valachie à l'intervention de la 'Russie.
L'ambassadeur russe en cette capitale a remis au ministèr*
turc une note dans laquelle il i-»t dit « Les bojarés de la VaU-
chie se sont adressés a S. M. I. de Russie, et ont manifesté le
désir unanime d'avoir ce prince pour régent. D/'ja comme «
hospodar de Moldavie, ii s'étoit fait aimer généralement et
fut déposé sans raison par la Porte. S. M. I. de Russie ne veut
nullement s'arroger un droit à l'égard de la nomination de
gouverneurs turcs; mais elle verroît avec d'autant plus de satis-
faetiou la nomination du prince Ipsilanti qu'il ,a particuliàre-
flùi » B de l' a ,h b i a d ç. o u i q n ç. e-
La Femme à Deux Maris, la Philosophie endéfaïtt.
En attendant Eslhèr. ̃ :> ̃ -j
THÉAT1B oi:'lil'eiiii': •.•̃
Ima, le Duel.. ̃̃̃ l! < ̃ • ̃:>
̃ t tf i a T R E a A B 'i p a i t B'b t r o ni'1 ̃' •̃ "O
Un Trait de-Tcnrèrs; les Apparences trompeuses. • '•' 'k
THÉATJ.KDE9 rlVSIi-lnlITln
• ( Rar la no'!T(;ilLe Chat bolli, Nic'aisè tout seul.. '1
T H É'J'tV'B II B S J B V- K''i('S'- f. "t î 'V! É»." ̃?.
L'Incendie, la f^effgetinçe, "DiaWà et 'Amour. "̃ i
/imphithédtre d'exercice d'éguitation et de-potàge sur lies enavaux
i situé Y. au Jardin (tes .Capucines; i.ï.
Aujoard'hai grand» exercices. ,j
THÉATBS I>I'rrOf.ESQDE:'Er.'I»ÉCABIIJ0É,
Mue Neui'e-de-la-tfoKtaùie. ̃ ̃, •̃̃• ( ;>
Tous les jours a sept heures et demie précises.
Les pièces que le sitoven Pierre a l'hoyineur de donner, sont annoccëos
par le» affiches. ,j ,<
.IBS DtllX PORTE ^PlSES', HOMMES: KXTOAORDINAtRKS
Palais du Tribunal, galeriedu Lycée, vis-à-vis l'hôtel delà Chanceïï- rie. ·-
Lecit. Joannv u l'honueur de présuitéruuipublic dfiix hommes Pone-
Epines, qui sont frères, bkn conforuics d'uue^fîgure agréable et ré"u»
̃ • •̃; -i- •̃□ i; .mu. •
VENDREDI i2 Novembre j8o2>
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Les lettres paquets et argent, doivent âlte adressés francs co
Les lettres, paguets et argent, doivent étré âdressés, francs eo ,4j
port, au citoyen Geoffroy rue des Prêtres-Saint- Germain-
'Auxerrois, n". /ja.
Le prix de l'abonnement est de x\Jr. 5o. cent.pourS mois, dei& .j
fr. pour six, etde Sofr. pourï'année.
/•'tunfr. 5o cent. deplus par trimestre, avec le Feuilleton il pour '[
dès dèparlemens. >
Et chez le Normant, imprimeur-libraire, rue des Ptétres-Sinirit-Ger- '1
mum-IAuxcrrois. ̃
'NOUVELLES ETRANGERES.,
TURQUIE.
Constan tinople 1er. octobre.
Avant (lue les français entreprissent l'expédition d'Alger le
C. Talleyrand, ministre des relations extérieures avoit com-
muniijue à notre ambassadeur extraordinaire à Paris Ghalib-
Effendi, une note qui l'inforiuoit du projet du gouvernement
français. Dans cette note sont contenus les griefs que la
France forme contre le dey qui s'est opposé à la' pèche du
corail, faite par les français, qui a. insulté le pavillon de
France, et a demandé à cette république 2oo,ooo piastres,
sous quarante jours avec menace de lui faire la guerre. II es( ̃«?
parlé ensuite de l'officier que le premier consul a envoyé à
Alger.
« Si le dey, étoit-il dit dans cette note pousse l'aveugle-
ment au point de refuser au premier consul la satisfaction qu'il
attend et qu'il a droit d'exiger, le soussigné est spécialement
chargé de déclarer à V. Ex. que, dant ce cas le premier
consul a résolu d'envoyer une armre de terre, pour s'emparer
d'Alger et mettre un terme aux excès si contraires aux inté-
rêts et à la dignité de la nation française. Le premier consul a
chargé le soussigné de faire connoître à V.' Ex. cet état de
choses afin que la sublime Porte n'ait point à se plaindre, s'il
repousse la force par la force et s'il anéantit un prince, vassal
de la Porte, qui se sera attiré justement son malheur par ta
conduite irrégulière et ses hostilités exercées envers la France.
Lorsque le premier consul marcha en personne contre l'Egypte,
la sublime Porte croyoit avoir droit de se plaindre. V. Ex. re-
«onnoîtra cependant que si le premier consul ayant épuisé
dans les circonstances actuelles tous les moyens pacifiques, se
voit contraint par la force des circonstances et par la conduite
de la régence d'Alger, à une démarche qui pourroit ne pas être
agréable à la sublime Porte, il n'a pas dépendu du premier
consul de l'éviter. Il désire que V. Ex. envoie incessammentpar
un courier la nouvelle de ces dispositions et de leurs causes à à
la sublime Porte et méme à Alger. Le. soussigné renouvelle à
«ette occasion à S. Ex. l'envoyé extraordinaire de la Porte, l'as-
surance de sa haute considération. »
Paris, le io thermidor ( 27 août 1S03. )
Signé Talleyrand.
TEUILLETON DU JOURNAL DES DEBATS.
Du Yendredi 21 Brumaire an XI.
ililTH »» tA itlIIlIQII BT Dka 1111.
%es Prétendus, Paris. •
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Demain, les &ue.Barcni (>les Deux Barons) opéra en deux actes,
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Vienne 39 octobre.
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On ne sait pas encore en quoi consiste le supplément d'in-
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̃ • •̃; -i- •̃□ i; .mu. •
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