Presse et revues
4 pages
Titre : Journal des débats et des décrets
Éditeur : Baudoin (Paris)
Éditeur : Imprimerie nationaleImprimerie nationale (Paris)
Éditeur : Imprimerie du Journal des débatsImprimerie du Journal des débats (Paris)
Date d'édition : 1801-05-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327995159
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 7964 Nombre total de vues : 7964
Description : 15 mai 1801 15 mai 1801
Description : 1801/05/15. 1801/05/15.
Description : Note : 25 floréal an IX. Note : 25 floréal an IX.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k416183w
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
Du F-LOR.~ ~9~
~u.·a~an=esaa. fI. .1~, _I (/j,h 9 'dé "là ~1.l~d!li~ti~~
~A~ ~·= :a.w~J. ~.3.) :· 1 fllf'tY ^a~
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~(~ S L A.T 1 F.
~T-S A C T Ê-.S Û .G. 0 U .Ë R. !N''Ë''M~Ë N T.'
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~v~zz~~ ~y~vû~
1 T A L 1 .E.
-Ro/nf,2ya~7(7~on:a/.) ,)
Les troupes françaises qui doivent decupcr nnë partie uu
royaume de Naptes y sont entrées présq-u'en totalité ce qui
a diminué les besoins de t'état ecctésiàstiq~e; mais son cpuisë-
n'ent n'en est pas moins comptet, par ta disette de toutes es-
pèces de vivres, t'anéanUtSetuent 'dtt eon~uërce: et ta r:uc')e
t}u numéraire.
Tous tes réfugies, tant de Rome que de Naptes qui ont
Mçu l'ordre de se rendre dans leur patrie respective, oui rc-
flué, dans la première de ces vities d'une manière cftrayante
sinon pour la tranquillité puMique du moins pour ta noum-
ture~t tes secours dont ils avoient besoin. Leur misCrc est
extrême sa sainteté s'est empressée de teur tendre une maiu
secourabte, et de partager avec eux te peu qui tui reste.'Eïte
uev.ott prendre possession du trône pontincat par une caivacade
soiemnetie dans le courant du mois de mai, suivant l'usage
de ses prédécesseurs; mais cette cérémonie vient d'être ren-
voyée au mois de septembre tems auque) on espère que, pat-
une récolte abondante ta misère actuette sera diminuée. Cette
cérémonie se fera même ators avec toute t'ecôuotuie possible,
parce que le saint-père est détermine a ne donner rien au ifusie
et a i'ëctat, pour sacfiuer, tout au bontieur.dc son peuple.
On n'a pas entendu parler à Rome de t'approbation so-
lemneUe de l'institut des Jésuites; sa sainteté auroit tout au.
ptus permise.a ceux qui sont en Russie de porter teur h~it,
par une exception partMCtticre sotticitëè pài' te défunt empe-
reur mais de cette condescendance à t'approbatibn et au reta-
Mssemeut de l'institut, t&ut le monde sent qu'ii existe une
grande différence. H eu est de'mente des .f~oM/ta/'M~ qui ne
iormenty jusqu'ici, qu'une société tibrë sans approbation for-
melle comme ordre reHgieuï, de ):!< part de sa sainte. Le ca-
ractère du Saint-Père ne tni permettra jamais de rien faire avec
précipitation et l'on devra toujours ntëttre une grande diïî.
rence entre les bruits dissémines par tés journaM, et la réaitté
A~N'G~t.ET'E:R']Ë.
Zo/M, 9 Mat ( ïg ~off~. )
JS'O~tt.-s.
Trois poa~ceat:cohso~, 60 t/2 5/8. O~tt~, q' 1/2.
J'Sous sommes encore dans t'incertitude~sariërésu'itat de la
Dernière bataiitc livrée en Egypte. Nous.'ne connaissons mente
Qu'imparfaitement tes dt'taik des prermcrës àiïairës. La perte
doit avoir été très-grandëdcpart et 'd'autre; t'acharnement~
des français a étéextrê~te} !e courage de nos troupes t'a
égalé c'est ce que conitrfnent tous tes rapports et notam-
ment ceux que l'on a~Mcusde Gonstaatihopt6 par ta mattë'
d'Men. ~i.u:
FEUILLETON D-u .fOtJRNAL D~S nEHATS.
~95/tq. t~, n
THEATBBD~H ~i'nTJKC~~saAt:-rt.
Za CarafaHe A< ûotfM, )c ),H))< t Jf /<; /)«;uotM.
MUe Ctotl!deet ie cit. Vc.<)rM ~an.ct-oot Dn p:)s,tQ~t ~,i, j'actedu
jïffsft;d.
MnpA))nc,'e~fe
C/Mf~.)esctt. Duf.r6ne ï,f,,ret, Brrtiu ,.Lcfey.< Debout, Morc..u
]Lt)o.7)mcr. Iaghon),Dnpo)'t,Aus..6t~-A)'!)'t.n<{, Ds~ips, {!.ich;.['d,'Lhu)f-
he., Botsgcrard Situon: Mcsd. C~tHd< Carde), Chcf~hy, Perien. n
Co)k.)nb, Chameroy CoMën, DeffUe, .LoMMe ,.Duport, Àitne Ftorine,
E~ attendant '~f~re~ ~M, o~era <'n actt'9~ ·
TttE~TRB F~ttCAtS DE LA &Ei.U)tt.tQtB.
-<4<7
.M'k VohMy, ëtevc.du Th~'tre Franca; con'in.tf.r~.ses d~uts pnr )e
rok d Andromaque. Les .ntrcs principaux rofes~eruot remntis pai* made-
motseHeH.aucourtctiecit.Lame..
.L<'27,2%Mee.
Un attendant tarpprMe de .~o/tf)'n()rcf:c/.
OpER~-poMt.p) R-<,ATtOK,Ar,,ttte~FaYat't.'
7.C DroA ~M ~C~:
Demain/A;;r.
MadatneSf.'iocddttu'ucra's~ dcbx~ p..r. te ro!q de Thérèse; !e citoyen
H.fey'.ou jouera !<; roic dc'F~t tp t;it. Cayaud~n~ftMitm'abbe. F
JL,<'2g,/eyo/zHe/M<'avet:~Hnen"~i~uei'ome)M.
Le ]~ord s'est paciné pi-csque 'sôuMn-éme'ht. Ses ordres o)~
été dotées pour suspendre )cs h'o's'fmt'és et l'on cent mcnie~
Lopeuhaguc que tto~re HoUt 'ail prehtinr ))un vent fet'à'
vo.te pour I'Ahgtpt~t.rc..Eh ci~i, M présence dans la mer
~athque devient inutile. Le Dancma.rck est isoté. La Russie
pretere ta voiedcsne~MattdnsaceUedcs aro'és. Quepour-
rptent la Suède et ia Prusse ? Cet te derrière puissance en
s .tfgage~ht dans la route des hosfiHtës tes b!as ~~r~fes /nou~
..o.t encore ie ianga~ede J'atuitie; bt, a'otri: cote, (Mstn!)-'
guant swgneusemoni tes ih'tërëts de Tcfecteur de Hanovre de
<-enx du roi d'Ang)eten-e, i-i'ôu<. av'on's t6h')oui-s ~-epohdu à &'
cour de Prusse par de'sprdtestàl)oMs réciproques.
Lord Carysford a dedaré -a Bértih qti'e te p~vi~oA p.~ssMn
seroft respecte par nos croiseurs.
On assure aurer qu'ctte n'avoiL fait occuper)'ë!-cctorat de Hanovre,
pays par une autre armée étrangère et qu'ënë se propo~oit
de le i.nre évacuer, des que )es circottstances ie pUn sent bien que la reeonnoissance due pour un parcit sër-,
VMe se mesuré sur le degré de puissance de ce)ui qui )ë rend.
.Les côtes de ta Baîtiquect de la Méditerranée ne sont
pas ce qui nous intéresse )ë ptus ntaintehant. Les nutrc's rc-'
c!a;uent toute .Botre attention: Ëdes Soht ti-cs-sérieusehtcnt'
menacées. Quoique tes !tes de Jersey et de Guernesey pa-'
ron.sent être te premier ob;<-t de !'cnncM, H est à craindre qu'it'
n entreHence des projets d'invaston ~paucoup b!us vastes. Ses f
preparattfs ont embj-assë tOule ia C;ctë dèpN~ )ë Texë! jutqU'
Cadix. L'attaque méditéevontre~ PoUttgal, n'est, s~on toute
apparence, que l'accësso'ire d'une attaque'ptus dinicite peut-~
être qu'un prëtextt; pour la couvrir. Les àrmëmens qui se font'
aCadix, a~ Ferrot, et le départ inattendu de i'àmirat Bn~
pour Espagne, unt avertHe gouvcrnenn-nt. Toutes les pr~
caaUbns convenables se premtcnl. Le duc d'Yorck a dotm<;
des ordres pour i'.nstruction des troupes qui gardent tés.c~te's,
et t amirauté a envoyé des co'ttjm~hircs à PivUtout~-et
Portsmoutb pour faire équiper toutes les chatoupes de c'ëP R
ports. De)a plusieurs sontsortics.
Les avis varient sur ia position dn PortugaL Si t'dn s'en tient'
nu~ nouveites de Madrid, rapportées dans fcs papiers de Par};~
les magasins sont déjà formés pour hutt mois 29,000 îranca~'
seront à Bayonne dans tes pronners jours de mai et si !a cottp
de Lisbonne ne consent pas a l'&~ai'ctM que ,cé)ie de Maa'r'KP
iu).a fa)t présenter te Portugat sera déc)aré partie mtde [Espagne. ?
J\ous :ipj)reT]Qhs:, au contraire, par tes tettres reçues (ÎIrfC-'
tement de Lisbonne que !e t5 awit y est arrivé un courier~
cxtfaordmaire de Madrid avec des ouvertures de ùrgociatiôTs.
On disait m~me.qu'un àrnnstice de quatre ou dés~'môfsp
j etoJta ta veHte de se concture, ~);M~A.'rM;o & du s'cht'))a!q~
i le t6pourLorient. Quetqu'exagéréesque fussent les dcmar:Je$
__a_ ~a. .w.
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rD~i~~Yës't'b~ls ~i'âŸis, res citoE(.ns ~'yi~rzy" ~Jeard, Dorsanp',1.'ozial f~
V)~MT~)~ y"IIW.,Y. ~"Mt OoA)~
\a!vi<)e. Mpsd.Mo~re.DcMc~Saj~L~cat..
les c;t."Cïo!et, Habt~Quaizm6!s.Mesd.Moiiere,
']).)M.)e,(,)u:t)i'.a)'n.
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7y,~<. ~M, M~
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T~~ATRB Mn'?'X*T'i:K't'j!j'=.c,
Je C~re/,c mo~t Père, f~~Mt-e ~eM~7~c.A Cc/e
Mo/f~7a~cee
THEATRE Ï)B LA C'ITE-~ARtETE, Lia
~e.! Cam~e~ pièce à spectactc, ~ce~e, ~Mt-
i E sons. ~TaBeTa~~B ..L°~'11~i1~rp `~~ im i ~W·
TaAAT&R ~Z .I.A~0~-ÔpM"lQ~
Laprem.rep.de~e~
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THMAT~p~~ J.~t~
Ze~~eAe~r~
de Je~~e~ AM. X~ "W'
sian de Jeunes Demoiselles, htorart~~Z~l1 '7:uccl "ill ¡¡.
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