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CRITIQUE 424
donc séparerions-nous ce que la nature des choses, ce que la
logique, ce que la pratique même ont de tout temps uni?
Pour le mieux analyser? C'est ce qui va sans dire. Mais ce
que l'analyse a dissocié, ne faut-il pas qu'à son tour la syn-
thèse le reconstitue? En fait, la critique, l'esthétique, et l'his-
toire littéraire n'ont d'objet ou d'existence réelle que dans
leur confusion même. Faire la critique d'une oeuvre, c'est la
juger, la classer, l'expliquer. Eliminer de sa définition l'un
quelconque de ces trois termes, c'est donc la mutiler ou plu-
tôt c'est la dénaturer comme si, par exemple, de la défini-
tion d'une espèce animale, on éliminait ce que les logiciens
appellent le genre cornrnun, pour n'en retenir que la diffé-
rence propre. C'est ce que nous avons essayé de montrer et
nous sommes persuadé que, si l'on pouvait ou si l'on voulait
le bien voir, la critique, enfin débarrassée ou épurée de tout
ce que la vanité, l'envie, la rancune, le désir. de briller, y
mêlent encore de vulgaire alliage, n'en aurait que plus de
facilité pour remplir sa mission, pour approcher de son
objet, et pour continuer son histoire. F. BRUNETIÈRE.
IV. Musique. Peut-être surprendrons-nous un peu
le lecteur en lui disant que si le mot de critique musicale
existe, la chose est encore à peine née. Si l'on comprend le
mot critique tel que l'entendait Boileau, c.-à-d. le compte
rendu plus ou moins bienveillant d'une œuvre, et son juge-
ment plus ou moins équitable, la définition de l'impression
produite par un opéra ou une symphonie, la critique existe
et beaucoup d'hommes de talent ont écrit et écrivent bien
sur la musique; mais c'est là la critique de sentimemt,
d'impression, de passion le plus souvent. La critique, telle
que la comprend la science moderne n'existe pas, dis-je,
et ne peut pas exister encore. Je m'explique. Pour être vrai-
ment scientifique ou philosophique, elle ne devrait avoir
pour bases que l'esthétique et l'histoire et ces deux élé-
ments n'ont pas encore été assez étudiés pour servir de
point de départ à la critique (V. ESTHÉTIQUE et HISTOIRE).
Quoi d'étonnant que la sensation seule serve de base à
la critique musicale, et je parle de la plus sincère, de celle
qui a pour point de départ une connaissance approfondie,
et un sens délicat de l'art; quoi d'étonnant aussi que la
critique musicale soit le plus souvent synonyme de polé-
mique, chaque écrivain ayant sa sensation particulière
qu'il croit nécessairement la meilleure.
C'est en effet le caractère de la littérature musicale.
Perne, Fétis, Coussemaker ont découvert, commenté et
traduit des textes et par là fait faire un grand pas à la
critique historique, mais la plupart des écrivains musicaux
n'ont su qu'avec plus ou moins de talent, plus ou moins
de bonne foi, traduire leurs impressions personnelles. Au
moyen âge, point de critique du tout, mais une sorte de
symbolisme assez curieux; au xvie siècle, en Italie, on
revient aux classiques grecs, et voilà les musiciens faisant
leurs efforts pour rapprocher leur art de ce qu'ils supposent
avoir été l'art des anciens de là, nombre d'écrivains plus
ardents à l'injure que sensés dans leurs jugements, et
cependant cette première polémique eut pour résultat la
création de l'opéra déclamé et d'une partie de notre har-
monie à la fin du xvne siècle, l'opéra était né en France,
et déjà l'antagonisme entre la musique italienne et la
musique française donnait naissance à des discussions de
toutes sortes, à des ouvrages de toute espèce dont les plus
célèbres furent le Parallèle entre la musique française
et l'italienne de Raguenet (1702) la Réponse au paral-
lèle de Raguenet, de Lecerf de Viéville. Ce serait abuser
étrangement des mots que d'appeler critiques ces deux
dissertations pendant ce temps on trouvait dans le Mer-
cure de France des comptes rendus des opéras, soit de
Paris, soit de Venise, mais il y était plus question des
poèmes et des décors que de la musique. L'arrivée de
Rameau et surtout son traité d'harmonie firent naître une
nouvelle polémique qui fut moins stérile, pour la critique
scientifique de l'art en revanche, si grand bruit qu'aient
mené la querelle des bouffons, la guerre des coins,
celle des Gluckistes et des Piccinzstes (V. ces mots),
la critique n'eut rien à voir dans ces innombrables pam-
phlets dont quelques-uns, ceux de Rousseau surtout, furent
des chefs-d'œuvre d'esprit. On discuta beaucoup sur les
compositions de musique religieuse de Lesueur, mais sans
exprimer autre chose que des impressions personnelles;
enfin il faut lire des articles de Suard, dans le Moniteur,
de Geffroy dans les Débats, l'étonnante Yie de Rossini de
Stendhal, au commencement de ce siècle, pour savoir jusqu'à
quel point peuvent aller la suffisance, la niaiserie et l'igno-
rance humaine en musique.
La création de la Revue musicale de Fétis fit faire un
pas à la critique musicale en France au moins les œuvres
furent-elles discutées, et sérieusement, au point de vue
artistique. Malgré les amusants ouvrages de Castil-Blaze,
il ne nous faut compter que deux critiques sérieux dans
cette période l'un un peu lourd, mais consciencieux,
d'Ortigue; l'autre, Berlioz, qui, dans ses études sur les
symphonies de Beethoven, a laissé un vrai chef-d'œuvre de
critique élevée et artistique. Les grandes œuvres de Rossini
et de Meyerbeer firent couler beaucoup d'encre, et le
pauvre Berton tenta de lutter contre le cygne de Pesaro,
mais ces articles et ces brochures rentrent encore dans le
domaine de la polémique. Nous ne parlons pas du temps
présent, époque de transition où l'on aurait mauvaise grâce
à demander à l'écrivain, au critique musical, un jugement
définitif et sans passion.
En Allemagne, la création de l'Allgemeines musika-
Lisches Zeitung, à la fin du xville siècle, avait fait naître
une littérature musicale qui a précédé la nôtre; mais
bientôt la passion s'en est mêlée aussi on a vu Weber
entrer ouvertement en lutte et s'armer contre Rossini;
si intéressants que fussent les articles de Schumann,
c'étaient plutôt des pièces de combat que des études cri-
tiques enfin aujourd'hui, dans la bataille wagnérienne, on
s'est servi de tout l'arsenal de la critique chronologie,
discussion de textes, dissertations philosophiques, mais ce
sont des plaidoiries, où il entre souvent plus de pédan-
tisme que de véritable critique.
C'est notre siècle qui a vu naître la critique des textes
en musique. Pour les textes écrits, relatifs à l'antiquité,
Burette avait savamment discuté les traités de Plutarque,
puis nous avons eu en Allemagne les beaux livres de
Westphall (V. ce nom) en Belgique, les deux volumes
de Gevaert en France, les travaux de Perne, de Vincent,
de M. Ch.-E. Ruelle. Pour l'art du moyen âge musi-
cal, nous comptons Perne, Fétis et surtout Coussemaker,
digne continuateur de Gerbert (V. ce nom), qui avait pu-
blre sa collection des Scriptores à Saint-Biaise, en 4784.
Ces divers auteurs se sont occupés à la fois des théoriciens
et des compositeurs. Il faut compter aussi les travaux de
critique scientifique, très bien faits en Allemagne, en An-
gleterre et en Belgique. Sur les musiciens madrigalesques
des xv° et xvi" siècles, V. MADRIGAL. Pour les composi-
teurs plus récents, nous avons en France peu d'éditions
critiques cependant, il faut donner ce nom à la belle pu-
blication d'Alceste et d'Iphigénie en Tauricle, de Gluck,
faite sous l'impulsion de Mrle Pelletan. En Allemagne, des
sociétés sont fondées pour publier les œuvres complètes des
grands maîtres, particulièrement de Baeh, de Haendel, etc.
(V. ces mots). Dans ces magnifiques éditions, il ne s'agit
plus de sentiment, de sensations; des textes seuls sont en
jeu et l'on peut considérer ces magnifiques publications
comme de véritables monuments de critique dans le sens
réellement scientifique du mot. H. LAvoix.
V. Histoire. En histoire, la critique est la partie
de la méthode historique qui a pour objet de déterminer les
rapports des matériaux ou sources historiques dont dispose
l'historien avec les faits dont ils peuvent procurer la con-
naissance. Les procédés de la critique historique varient
naturellement avec les matériaux sur lesquels elle s'exerce,
mais elle a toujours une double fonction 4° déterminer
l'autorité des sources; 2° les interpréter. On trouvera
ailleurs (V. HISTOIRE) l'analyse de la manière dont s'ac-
donc séparerions-nous ce que la nature des choses, ce que la
logique, ce que la pratique même ont de tout temps uni?
Pour le mieux analyser? C'est ce qui va sans dire. Mais ce
que l'analyse a dissocié, ne faut-il pas qu'à son tour la syn-
thèse le reconstitue? En fait, la critique, l'esthétique, et l'his-
toire littéraire n'ont d'objet ou d'existence réelle que dans
leur confusion même. Faire la critique d'une oeuvre, c'est la
juger, la classer, l'expliquer. Eliminer de sa définition l'un
quelconque de ces trois termes, c'est donc la mutiler ou plu-
tôt c'est la dénaturer comme si, par exemple, de la défini-
tion d'une espèce animale, on éliminait ce que les logiciens
appellent le genre cornrnun, pour n'en retenir que la diffé-
rence propre. C'est ce que nous avons essayé de montrer et
nous sommes persuadé que, si l'on pouvait ou si l'on voulait
le bien voir, la critique, enfin débarrassée ou épurée de tout
ce que la vanité, l'envie, la rancune, le désir. de briller, y
mêlent encore de vulgaire alliage, n'en aurait que plus de
facilité pour remplir sa mission, pour approcher de son
objet, et pour continuer son histoire. F. BRUNETIÈRE.
IV. Musique. Peut-être surprendrons-nous un peu
le lecteur en lui disant que si le mot de critique musicale
existe, la chose est encore à peine née. Si l'on comprend le
mot critique tel que l'entendait Boileau, c.-à-d. le compte
rendu plus ou moins bienveillant d'une œuvre, et son juge-
ment plus ou moins équitable, la définition de l'impression
produite par un opéra ou une symphonie, la critique existe
et beaucoup d'hommes de talent ont écrit et écrivent bien
sur la musique; mais c'est là la critique de sentimemt,
d'impression, de passion le plus souvent. La critique, telle
que la comprend la science moderne n'existe pas, dis-je,
et ne peut pas exister encore. Je m'explique. Pour être vrai-
ment scientifique ou philosophique, elle ne devrait avoir
pour bases que l'esthétique et l'histoire et ces deux élé-
ments n'ont pas encore été assez étudiés pour servir de
point de départ à la critique (V. ESTHÉTIQUE et HISTOIRE).
Quoi d'étonnant que la sensation seule serve de base à
la critique musicale, et je parle de la plus sincère, de celle
qui a pour point de départ une connaissance approfondie,
et un sens délicat de l'art; quoi d'étonnant aussi que la
critique musicale soit le plus souvent synonyme de polé-
mique, chaque écrivain ayant sa sensation particulière
qu'il croit nécessairement la meilleure.
C'est en effet le caractère de la littérature musicale.
Perne, Fétis, Coussemaker ont découvert, commenté et
traduit des textes et par là fait faire un grand pas à la
critique historique, mais la plupart des écrivains musicaux
n'ont su qu'avec plus ou moins de talent, plus ou moins
de bonne foi, traduire leurs impressions personnelles. Au
moyen âge, point de critique du tout, mais une sorte de
symbolisme assez curieux; au xvie siècle, en Italie, on
revient aux classiques grecs, et voilà les musiciens faisant
leurs efforts pour rapprocher leur art de ce qu'ils supposent
avoir été l'art des anciens de là, nombre d'écrivains plus
ardents à l'injure que sensés dans leurs jugements, et
cependant cette première polémique eut pour résultat la
création de l'opéra déclamé et d'une partie de notre har-
monie à la fin du xvne siècle, l'opéra était né en France,
et déjà l'antagonisme entre la musique italienne et la
musique française donnait naissance à des discussions de
toutes sortes, à des ouvrages de toute espèce dont les plus
célèbres furent le Parallèle entre la musique française
et l'italienne de Raguenet (1702) la Réponse au paral-
lèle de Raguenet, de Lecerf de Viéville. Ce serait abuser
étrangement des mots que d'appeler critiques ces deux
dissertations pendant ce temps on trouvait dans le Mer-
cure de France des comptes rendus des opéras, soit de
Paris, soit de Venise, mais il y était plus question des
poèmes et des décors que de la musique. L'arrivée de
Rameau et surtout son traité d'harmonie firent naître une
nouvelle polémique qui fut moins stérile, pour la critique
scientifique de l'art en revanche, si grand bruit qu'aient
mené la querelle des bouffons, la guerre des coins,
celle des Gluckistes et des Piccinzstes (V. ces mots),
la critique n'eut rien à voir dans ces innombrables pam-
phlets dont quelques-uns, ceux de Rousseau surtout, furent
des chefs-d'œuvre d'esprit. On discuta beaucoup sur les
compositions de musique religieuse de Lesueur, mais sans
exprimer autre chose que des impressions personnelles;
enfin il faut lire des articles de Suard, dans le Moniteur,
de Geffroy dans les Débats, l'étonnante Yie de Rossini de
Stendhal, au commencement de ce siècle, pour savoir jusqu'à
quel point peuvent aller la suffisance, la niaiserie et l'igno-
rance humaine en musique.
La création de la Revue musicale de Fétis fit faire un
pas à la critique musicale en France au moins les œuvres
furent-elles discutées, et sérieusement, au point de vue
artistique. Malgré les amusants ouvrages de Castil-Blaze,
il ne nous faut compter que deux critiques sérieux dans
cette période l'un un peu lourd, mais consciencieux,
d'Ortigue; l'autre, Berlioz, qui, dans ses études sur les
symphonies de Beethoven, a laissé un vrai chef-d'œuvre de
critique élevée et artistique. Les grandes œuvres de Rossini
et de Meyerbeer firent couler beaucoup d'encre, et le
pauvre Berton tenta de lutter contre le cygne de Pesaro,
mais ces articles et ces brochures rentrent encore dans le
domaine de la polémique. Nous ne parlons pas du temps
présent, époque de transition où l'on aurait mauvaise grâce
à demander à l'écrivain, au critique musical, un jugement
définitif et sans passion.
En Allemagne, la création de l'Allgemeines musika-
Lisches Zeitung, à la fin du xville siècle, avait fait naître
une littérature musicale qui a précédé la nôtre; mais
bientôt la passion s'en est mêlée aussi on a vu Weber
entrer ouvertement en lutte et s'armer contre Rossini;
si intéressants que fussent les articles de Schumann,
c'étaient plutôt des pièces de combat que des études cri-
tiques enfin aujourd'hui, dans la bataille wagnérienne, on
s'est servi de tout l'arsenal de la critique chronologie,
discussion de textes, dissertations philosophiques, mais ce
sont des plaidoiries, où il entre souvent plus de pédan-
tisme que de véritable critique.
C'est notre siècle qui a vu naître la critique des textes
en musique. Pour les textes écrits, relatifs à l'antiquité,
Burette avait savamment discuté les traités de Plutarque,
puis nous avons eu en Allemagne les beaux livres de
Westphall (V. ce nom) en Belgique, les deux volumes
de Gevaert en France, les travaux de Perne, de Vincent,
de M. Ch.-E. Ruelle. Pour l'art du moyen âge musi-
cal, nous comptons Perne, Fétis et surtout Coussemaker,
digne continuateur de Gerbert (V. ce nom), qui avait pu-
blre sa collection des Scriptores à Saint-Biaise, en 4784.
Ces divers auteurs se sont occupés à la fois des théoriciens
et des compositeurs. Il faut compter aussi les travaux de
critique scientifique, très bien faits en Allemagne, en An-
gleterre et en Belgique. Sur les musiciens madrigalesques
des xv° et xvi" siècles, V. MADRIGAL. Pour les composi-
teurs plus récents, nous avons en France peu d'éditions
critiques cependant, il faut donner ce nom à la belle pu-
blication d'Alceste et d'Iphigénie en Tauricle, de Gluck,
faite sous l'impulsion de Mrle Pelletan. En Allemagne, des
sociétés sont fondées pour publier les œuvres complètes des
grands maîtres, particulièrement de Baeh, de Haendel, etc.
(V. ces mots). Dans ces magnifiques éditions, il ne s'agit
plus de sentiment, de sensations; des textes seuls sont en
jeu et l'on peut considérer ces magnifiques publications
comme de véritables monuments de critique dans le sens
réellement scientifique du mot. H. LAvoix.
V. Histoire. En histoire, la critique est la partie
de la méthode historique qui a pour objet de déterminer les
rapports des matériaux ou sources historiques dont dispose
l'historien avec les faits dont ils peuvent procurer la con-
naissance. Les procédés de la critique historique varient
naturellement avec les matériaux sur lesquels elle s'exerce,
mais elle a toujours une double fonction 4° déterminer
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