Titre : L'Émancipation : journal d'économie politique et sociale : organe des associations ouvrières et du Centre régional coopératif du Midi...
Éditeur : [s.n.] (Nîmes)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Nîmes)
Date d'édition : 1891-01-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32766346p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 15 janvier 1891 15 janvier 1891
Description : 1891/01/15 (A5,N1)-1891/12/15 (A5,N12). 1891/01/15 (A5,N1)-1891/12/15 (A5,N12).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG30 Collection numérique : BIPFPIG30
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k1475271c
Source : Bibliothèque Carré d'art / Nîmes, 36577
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/02/2020
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b e Année. — N" 12.
15 Décembre 1891.
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JOURNAL D’LCONOMIK POLITIQUE ET SOCIALE
Organe des .Associations onvrières et du. Centre Régional coopératif du Midi
PARAISSANT LE 15 DE CHAQUE MOIS
Tout Cb qui concerne la rédaction ainsi que
les manuscrits doivent être adressés
é. M. de BOYVE, Rédacteur en chef
2, Esplanade, 2 — NIMES
L’Émancipation
laisse à chaque auteur la responsabilité
de ses affirmations et de ses conclusions.
FRANCE ET ALSACE : 2 f.50 ; ETRANGER : 3 f.50 paran
Tout ce qui concerne l’Administration
ainsi que les Abonnements doivent être envoyés
à M. Th. THOLOZAN, Administrateur.
4, plan de VAspic, 4 — NIMES
SOMMAIRE
Ligue pour le relèvement de la moralité publi-
que, T. Fallot. — Réponse, De Boyve.— Un tra-
ders Français, Ch. Gide. — La proposition Godin,
Ch. Robert. —Les économistes de la chaire,Jules
Gounelle. — Les bienfaits de la Coopération,
L. Comte. — Qui veut la fin veut les moyens,
P. Minault. — Chronique Allemande, Georges
Maurin. - Les maisons de travail et l’industrie
privée, J. B. Avenal. — Le travail collectif en
France, Landry. — Société Suisse de Grutli, Mm®
Destriché. — Italie. — La femme et le travail,
J. B* Avenal. — Coopération
L’horrible catastrophe de St-Etienne a
profondément ému tous ceux qui ont
l’amour de leur prochain. Nous enga-
geoxis vivement nos lecteurs à envoyer
des secours aux familles des victimes,
soit en souscrivant dans les journaux
de leur choix, soit en adressant leurs
dons à notre collaborateur M. Comte,
place Mi-Carème. à St-Etienne, qui en
fera la distribution et en rendra compte
dans notre j ournal.
Au Directeur de « rEmancipation »
MON CHER DIRECTEUR,
C'est entendu. L’alliance est conclue entre
V Emancipation et la Ligue française pour le
relèvement de la moralité publique.
Le Comité Central de la Ligue a accepté les
conditions sur lesquelles vous et moi étions tom-
bés d’accord. Donc, à partir du mois de janvier
1892; votre journal publiera, sous forme de sup-
plément, un Bulletin mensuel de la Ligue. Ce
Bulletin sera imprimé sur une feuille séparée,
•de telle sorte que nous n’empiéterons pas sur
l’espace consacré à l’étude des questions écono-
miques ; et, si les sujets que nous traitons dé-
plaisent à vos lecteurs, il leur sera facile de les
ignorer. En ouvrant le journal, ils jetteront au
panier le Supplément, et tout sera dit.
Je me félicite, mon cher Directeur, de l’arran-
gement que nous venons de prendre. L'Eman-
cipation et La Ligue sont faites pour s’enten-
dre : toutes deux font, à cette heure de crise,
appel aux hommes de bonne volonté de tous les
partis ; toutes deux évitent soigneusement les
discussions politiques et religieuses ; toutes
deux s’appliquent à préparer la Réformé Sociale
en stimulant, sans se lasser, les énergies indivi-
duelles et en livrant une guerre acharnée aux
programmes qui font litière delà dignité humai-
ne. Ce sont, à vrai dire, les conditions écono-
miques du progrès social qui vous préoccupent,
tandis que nous concentrons notre attention sur
les conditions morales ; mais la question écono-
mique et la question morale se touchent et se
pénètrent si bien, qu'il est impossible de résou-
dre l’une sans l’autre. Et ce qui fait précisément
—à mon humble avis — l’excellence de lasolution
coopérative, c’est qu’elle esta la fois morale et
économique. Le triomphe de la Coopération est
impossible sans un progrès de la moralité, et
partout où la coopération prévaudra, l'homme
deviendra meilleur.
Nous conserverons les uns et les autres, dans
nos sphères respectives, une entière indépen-
dance, mais nous combattrons ensemble, puis-
que tout nous y invite, le bon combat du droit et
de la fraternité, dans l'intérêt du travailleur qui
peine, de la femme qui souffre et de l’enfant qui
s’étiole.
Tout à vous, mon cher Directeur,
T. FALLOT,
secrétaire général de la Ligue•
ice-Cimie3, le 5 décembre.
Au secrétaire général de la Ligue Fran-
çaise pour le relèvement de là moralité
publique.
MON CHER M. FALLÛT,
Je me réjouis comme vous de cette
alliance entre la LIGUE et I’EMANCIPATION
parce que je crois qu’elle peut être fé-
conde en résultats pour le triomphe de
nos idées.
Je lis ces mots dans votre déclaration
de principes : « La LIGUE FRANÇAISE
persuadée qu’une démocratie ne saurait
prospérer sans un haut idéal de morali-
té, souhaite d'unir dans un même effort
tous les hommes et toutes les femmes qui
haïssent le mal, aiment le bien et luttent
pour le triomphe de la justice. »
Quel est le coopérateur qui refuserait
de signer ces lignes ?
Ne savons-nous pas tous que le mou-
vement coopératif ne peut atteindre
l’idéal qu’il poursuit s’il ne compte clans
ses rangs des citoyens d’une haute va-
leur morale.
Nous jugeons, en effet, les hommes
d’après leurs actes et leur dévouement de
chaque jour et non d’après leurs beaux
discours et les principes élevés qu’ils
étalent.
Nous reconnaissons encore que le
mouvement coopératif ne peut se déve-
lopper s’il ne compte en grand nombre
dans ses rangs des hommes de caractère.
Votre LIGUE, en réclamant des réfor-
mes législatives et en poursuivant le vice
de son mépris, cherche à en former.
Vous dites encore dans votre déclara-
tion de principes : « La LIGUE professe
la neutralité la plus scrupuleuse dans
toutes les questions politiques, philoso-
phiques et religieuses. »
N’est-ce pas la une règle observée par
tous les coopérateurs et en particulier
par F EMANCIPATION qui a tenu à avoir
parmi ses rédacteurs des hommes de
toutes les opinions, de toutes les classes
et qui s’efforce de mettre en pratique les
idées qu’elle défend : La liberté de cons-
cience, l’égalité, la fraternité.
Vous nous donnez en échange de l'hos-
pitalité que nous offrons à votre Bulletin
500 nouveaux abonnés, tous membres de
la LIGUE ; — leurs principes étant les
nôtres, ils sont préparés, et il ne nous
sera pas difficile d’en faire 500 coopéra-
teurs .
Notre armée coopérative va donc
compter 500 hommes d’élite nouveaux.
Nous sommes faits,vous le voyez,pour
nous entendre, notre alliance est néces-
saire, elle hâtera certainement l’avène-
ment de la République coopérative qui,
en transformant nos moeurs et en faisant
régner la justice dans les rapports entre
les hommes, fera disparaitre peu à peu
les injustices, les inégalités et les souf-
frances de ce monde.
Appelons maintenant à nous les foules
mais, pour les entraîner, il ne faut pas
leur parler seulement d’intérêts maté-
riels.
Si la coopération a un but pratique elle
a aussi un idéal, plaçons-le aussi haut
que possible.
Le réel et l’idéal sont deux frères ju-
meaux qui, tout en paraissant ennemis,
deviennent inséparables dans le mou-
vement coopératif.
De BOYVE.
f. y y\< I
Extrait d’une Conférence faite
à Rochdale
• • • t ,
Il y a quelques temps, un de nos membres se
plaignait du prix des bougies vendues,dans le ma-
gasin de la Société des Pionniers de Rochdale,
1 franc. Il affirmait qu’il pouvait les acheter à
0 fr. 80 cent, dans un magasin de la ville, et à
0 fr. 90 cent, dans un autre. — Nous racontâmes
ce fait au gérant,qui fit prendre, dans chaque ma-
gasin, une livre de bougies : Les bougies du ma-
gasin qui les vendait 0 fr. 80 cent, pesaient 450
grammes, celles vendues à 0 fr 90 cent, pesaient
470 grammes, tandis que celles de la Société pe-
saient 500 grammes. Toutes venaient de !a même
fabrique. — D’autres exemples pourraient être
donnés sur les roueries du commerce.
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L . '
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-* ;• . ■ , Ci. J
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b e Année. — N" 12.
15 Décembre 1891.
[texte manquant]
JOURNAL D’LCONOMIK POLITIQUE ET SOCIALE
Organe des .Associations onvrières et du. Centre Régional coopératif du Midi
PARAISSANT LE 15 DE CHAQUE MOIS
Tout Cb qui concerne la rédaction ainsi que
les manuscrits doivent être adressés
é. M. de BOYVE, Rédacteur en chef
2, Esplanade, 2 — NIMES
L’Émancipation
laisse à chaque auteur la responsabilité
de ses affirmations et de ses conclusions.
FRANCE ET ALSACE : 2 f.50 ; ETRANGER : 3 f.50 paran
Tout ce qui concerne l’Administration
ainsi que les Abonnements doivent être envoyés
à M. Th. THOLOZAN, Administrateur.
4, plan de VAspic, 4 — NIMES
SOMMAIRE
Ligue pour le relèvement de la moralité publi-
que, T. Fallot. — Réponse, De Boyve.— Un tra-
ders Français, Ch. Gide. — La proposition Godin,
Ch. Robert. —Les économistes de la chaire,Jules
Gounelle. — Les bienfaits de la Coopération,
L. Comte. — Qui veut la fin veut les moyens,
P. Minault. — Chronique Allemande, Georges
Maurin. - Les maisons de travail et l’industrie
privée, J. B. Avenal. — Le travail collectif en
France, Landry. — Société Suisse de Grutli, Mm®
Destriché. — Italie. — La femme et le travail,
J. B* Avenal. — Coopération
L’horrible catastrophe de St-Etienne a
profondément ému tous ceux qui ont
l’amour de leur prochain. Nous enga-
geoxis vivement nos lecteurs à envoyer
des secours aux familles des victimes,
soit en souscrivant dans les journaux
de leur choix, soit en adressant leurs
dons à notre collaborateur M. Comte,
place Mi-Carème. à St-Etienne, qui en
fera la distribution et en rendra compte
dans notre j ournal.
Au Directeur de « rEmancipation »
MON CHER DIRECTEUR,
C'est entendu. L’alliance est conclue entre
V Emancipation et la Ligue française pour le
relèvement de la moralité publique.
Le Comité Central de la Ligue a accepté les
conditions sur lesquelles vous et moi étions tom-
bés d’accord. Donc, à partir du mois de janvier
1892; votre journal publiera, sous forme de sup-
plément, un Bulletin mensuel de la Ligue. Ce
Bulletin sera imprimé sur une feuille séparée,
•de telle sorte que nous n’empiéterons pas sur
l’espace consacré à l’étude des questions écono-
miques ; et, si les sujets que nous traitons dé-
plaisent à vos lecteurs, il leur sera facile de les
ignorer. En ouvrant le journal, ils jetteront au
panier le Supplément, et tout sera dit.
Je me félicite, mon cher Directeur, de l’arran-
gement que nous venons de prendre. L'Eman-
cipation et La Ligue sont faites pour s’enten-
dre : toutes deux font, à cette heure de crise,
appel aux hommes de bonne volonté de tous les
partis ; toutes deux évitent soigneusement les
discussions politiques et religieuses ; toutes
deux s’appliquent à préparer la Réformé Sociale
en stimulant, sans se lasser, les énergies indivi-
duelles et en livrant une guerre acharnée aux
programmes qui font litière delà dignité humai-
ne. Ce sont, à vrai dire, les conditions écono-
miques du progrès social qui vous préoccupent,
tandis que nous concentrons notre attention sur
les conditions morales ; mais la question écono-
mique et la question morale se touchent et se
pénètrent si bien, qu'il est impossible de résou-
dre l’une sans l’autre. Et ce qui fait précisément
—à mon humble avis — l’excellence de lasolution
coopérative, c’est qu’elle esta la fois morale et
économique. Le triomphe de la Coopération est
impossible sans un progrès de la moralité, et
partout où la coopération prévaudra, l'homme
deviendra meilleur.
Nous conserverons les uns et les autres, dans
nos sphères respectives, une entière indépen-
dance, mais nous combattrons ensemble, puis-
que tout nous y invite, le bon combat du droit et
de la fraternité, dans l'intérêt du travailleur qui
peine, de la femme qui souffre et de l’enfant qui
s’étiole.
Tout à vous, mon cher Directeur,
T. FALLOT,
secrétaire général de la Ligue•
ice-Cimie3, le 5 décembre.
Au secrétaire général de la Ligue Fran-
çaise pour le relèvement de là moralité
publique.
MON CHER M. FALLÛT,
Je me réjouis comme vous de cette
alliance entre la LIGUE et I’EMANCIPATION
parce que je crois qu’elle peut être fé-
conde en résultats pour le triomphe de
nos idées.
Je lis ces mots dans votre déclaration
de principes : « La LIGUE FRANÇAISE
persuadée qu’une démocratie ne saurait
prospérer sans un haut idéal de morali-
té, souhaite d'unir dans un même effort
tous les hommes et toutes les femmes qui
haïssent le mal, aiment le bien et luttent
pour le triomphe de la justice. »
Quel est le coopérateur qui refuserait
de signer ces lignes ?
Ne savons-nous pas tous que le mou-
vement coopératif ne peut atteindre
l’idéal qu’il poursuit s’il ne compte clans
ses rangs des citoyens d’une haute va-
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Nous jugeons, en effet, les hommes
d’après leurs actes et leur dévouement de
chaque jour et non d’après leurs beaux
discours et les principes élevés qu’ils
étalent.
Nous reconnaissons encore que le
mouvement coopératif ne peut se déve-
lopper s’il ne compte en grand nombre
dans ses rangs des hommes de caractère.
Votre LIGUE, en réclamant des réfor-
mes législatives et en poursuivant le vice
de son mépris, cherche à en former.
Vous dites encore dans votre déclara-
tion de principes : « La LIGUE professe
la neutralité la plus scrupuleuse dans
toutes les questions politiques, philoso-
phiques et religieuses. »
N’est-ce pas la une règle observée par
tous les coopérateurs et en particulier
par F EMANCIPATION qui a tenu à avoir
parmi ses rédacteurs des hommes de
toutes les opinions, de toutes les classes
et qui s’efforce de mettre en pratique les
idées qu’elle défend : La liberté de cons-
cience, l’égalité, la fraternité.
Vous nous donnez en échange de l'hos-
pitalité que nous offrons à votre Bulletin
500 nouveaux abonnés, tous membres de
la LIGUE ; — leurs principes étant les
nôtres, ils sont préparés, et il ne nous
sera pas difficile d’en faire 500 coopéra-
teurs .
Notre armée coopérative va donc
compter 500 hommes d’élite nouveaux.
Nous sommes faits,vous le voyez,pour
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saire, elle hâtera certainement l’avène-
ment de la République coopérative qui,
en transformant nos moeurs et en faisant
régner la justice dans les rapports entre
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Appelons maintenant à nous les foules
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leur parler seulement d’intérêts maté-
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que possible.
Le réel et l’idéal sont deux frères ju-
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deviennent inséparables dans le mou-
vement coopératif.
De BOYVE.
f. y y\< I
Extrait d’une Conférence faite
à Rochdale
• • • t ,
Il y a quelques temps, un de nos membres se
plaignait du prix des bougies vendues,dans le ma-
gasin de la Société des Pionniers de Rochdale,
1 franc. Il affirmait qu’il pouvait les acheter à
0 fr. 80 cent, dans un magasin de la ville, et à
0 fr. 90 cent, dans un autre. — Nous racontâmes
ce fait au gérant,qui fit prendre, dans chaque ma-
gasin, une livre de bougies : Les bougies du ma-
gasin qui les vendait 0 fr. 80 cent, pesaient 450
grammes, celles vendues à 0 fr 90 cent, pesaient
470 grammes, tandis que celles de la Société pe-
saient 500 grammes. Toutes venaient de !a même
fabrique. — D’autres exemples pourraient être
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