Titre : La Vie parisienne : moeurs élégantes, choses du jour, fantaisies, voyages, théâtres, musique, modes / par Marcellin
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1913-03-08
Contributeur : Marcelin, Émile (1825-1887). Fondateur de la publication. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328892561
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 08 mars 1913 08 mars 1913
Description : 1913/03/08 (A51,N10). 1913/03/08 (A51,N10).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse Collection numérique : Bibliographie de la presse
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k12534841
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, FOL-LC13-81
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 28/03/2016
178 LA VIE PARISIENNE 8 mars 191»
d'un riz à la créole éblouissant. Après le dessert, Pamphile
réclama l'auteur.
Je fis comparaître Thérèse. Elle surgit, le tablier troussé, les
poings sur les hanches, l'air à la fois bourru et flatté.
Mon ami, qui avait allègrement tâté à la bouteille, improvisa
aussitôt un éloge gastronomique en vers. Facétieux, il fit rimer
Brillat-Savarin avec navarin et Carême avec brême. Thérèse ne
saisit que la péroraison. On implorait d'elle le secret du gigot
de sept heures. Cela, seul, lui fut intelligible.
— Monsieur, dit-elle alors, ce n'est Ipas que j'aime à donner
des explications. Il y a des gens qui ne parlent pas volontiers de
leur travail. Enfin pour ne pas contrarier Monsieur, qui est souf-
frant, voici ce que je lui dirai: Remontez votre réveille-matin
pour 5 heures. Levez-vous. Mettez votre cocotte sur le feu avec
du beurre fin, des oignons, un peu d'échalotte et des carottes
coupées en long, comme ça. Puis faites
dorer votre gigot là-dedans à feu vif, pen-
dant dix minutes. Puis ajoutez de la couenne
(sauf votre respect, Monsieur sait que c'est
du cochon?) De ,la couenne, beaucoup de
couenne taillée en carrés, et des rognures
de jambon d'York. Un bouquet garni; deux,
trois clous de girofle, sel et poivre. Couvrez
et laissez cuire sept heures bien comme
il faut. C'est tout. Monsieur voit si c'est
simple?
Mon ami parti, Thérèse réapparut au seuil
de ma bibliothèque. — Monsieur, murmura-
t-elle mystérieusement, à mi-cuisson, je verse
un plein verre de Bourgogne sur le gigot.
Mais c'est inutile de le dire. Il ne faut jamais
donner ses recettes au complet
BHC-FiGUM.
CHOSES ET AUTRES
L'exposition des artistes décorateurs, rue de la Ville-l'Evèque,
se signale par deux graves défauts: c'est d'abord qu'une fois
entré dans ces salons, vous ne pouvez plus vous décider à en
sortir; et c'est surtout que vous avez envie d'y acheter à peu
près tous les tableaux, sculptures, verres, faïences, éventails, etc...
ce qui ressemble aux rêves 'charmants et un peu mélanco-
liques dont on se berce quand on est tout petit. En vérité, cet
« ensemble M, ainsi que parlent les gens du métier, est un des plus
riches et des plus heureux qu'on ait vus jusqu'ici. La couleur
générale en est somptueuse et réconfortante : elle rappelle les
ballets russes; elle semble prise aux miniatures persanes. Aussi
bien, sous les cartons de Puvis, voici une vitrine pleine de
belles images où les verts, les rouges, les violets et les bleus
éclatent avec la plus joyeuse franchise... Une superbe fille, la
peau très blanche, les yeux un peu vides, écoute les propos
pressants d'un éphèbe bronzé qui ne semble pas lui déplaire :
elle est bête assurément, on le jurerait, mais son corps à demi
nu est frais comme un fruit, et sa blancheur rayonne parmi tous
ces tons vigoureux... Deux jeunes femmes causent, le soir, dans
un jardin: elles sont habillées comme à Téhéran : elles ont les
yeux et la taille qu'on n'a qu'à Paris, et le treillage qu'on
aperçoit dans l'ombre est d'un parc du XVIIIe. Ainsi se ras-
semblent à notre plus grande satisfaction les êtres et les pa-
rures qui nous ressemblent le mieux.
Il faut le dire, comme affirmait Jeanne Granier dans Educa-
tion de Prince : I( C'en est fait du XVIII® ! » du moins quant aux
nuances. A qui la faute ? Aux marchands de couleur qui n'ont
briqué avec l aniline que des tons inconsistants ; aux magasins
de nouveautés qui ont poussé l'inconsistance jusqu'à l'anémie.
Il semble qu'on ait besoin de quelque chose de plus solide, et,
justement, les rouges et verts des Russes, les mille nuances per-
sanes... c'est exactement un réveil. Quelles en seront les consé-
quences? Elles paraissent infinies. On parlera quelque jour de
l'action des couleurs vives sur la repopulation!
Parmi tant de belles œuvres qui tapissent ces murs, qui
ornent ces vitrines, on admirera, près des plafonds d'Albert
Besnard, les bustes souriants de M'"" Charlotte Besnard, et les
Blanche, Maurice Denis, Cottet, combien d'autresl Les céra-
miquesde Metthoy, Delaherche, Dealuna sont pleines d'invention
ingénieuse. Quand aux verreries de Lalique, ce sont bien elles
qui vous prennent et ne vous lâchent plus.
Dans un petit théâtre fort élégant, il y a quelques jours,
Mlle Adorée Villany — dont le prénom est plus qu'un pro-
gramme! — nous avait conviés à contempler ses danses styli-
sées. L'assistance était fort choisie : des peintres, des sculpteurs,
des journalistes, et quelques vieux messieurs, amis des arts.
On attendit avec un peu d'impatience, car, il y a quinze mois,
la police de Munich, pénétrant dans le théâtre où s'exhibait Mlle Vil-
lany, arrêta le spectacle... et la danseuse. Elle lui reprochait
simplement de danser nue; mais Munich est une nouvelle
Athènes et les juges acquittèrent la moderne Phryné....
Soudain, la salle est plongée dans l'obscurité, et, brutalement
cinglée de feux rouges et verts, la danseuse paraît. Elle est
mince, musclée, avec juste assez de seins pour emplir la main
d'un honnête homme... s'il est modeste.
Elle exécute d'abord une danse en l'honneur du bœuf Apis, et
cette danse, quoiqu'une simple ceinture de perles voile la dan-
seuse, cause une déception... Mais voici la danse de l'Abeille;
puis celle de Salomé, ou des Sepl voiles ; les sept voiles s'en-
volent l'un après l'autre et Adorée Villany apparaît, enfin, vêtue
de sa seule impudeur.
On est tout étonné de constater que le spectacle n'a rien de
choquant. Les danses de M"e Villany sont chastes, quoique sa
toilette soit sommaire. On s'habitue si vite à la nudité Un quart
d'heure après que le dernier voile fut tombé, la curiosité, sinon
l'intérêt, était lassée. Miss Mary Garden et Mlln Hegina Badet
sont autrement suggestives! Quiconque a vu Salomé, ou la
Femme el le Panlin, peul affronter MIlc Villany...
A la sortie, un jeune homme rasé déclarait à une dame que de
tels spectacles ne pouvaient être qu'esthétiques, car une femme
nue ne l'avait jamais troublé.
— Mon cher, répondit sa compagne, il n'y a pas de quoi vous
vani or
M. Octave Mirbeau possède un chien qui lui vient d'Austra-
lasie et qu'il met en scène dans un livre, publié actuellement en
feuilleton par un grand quotidien. Ce eliien, qui a nom Dingo, est
une bien étrange bête. Il est venu au monde pessimiste, aigri,
doué de malveillance et d'un singulier esprit de destruction. Il
abomine les hommes, il redoute les femmes, il hait les critiques,
les gens de lettres, les peintres arrivés; il repousse, hargneux, le
grain de sucre qu'on lui offre pour l'amadouer.
Un coup de pied, sans doute, ferait bien mieux son affaire. Il
se livre à des carnages de poules, à des ravages de fleurs. Il
s'ébroue, sportif et violent, dans un enclos de vingt hectares,
comme son maître le fit souvent dans les plates-bandes de ses
contemporains. Mais j'y songe, ce chien formidable, aboyant,
misanthrope, ingénu, dédaigneux et enthousiaste, naïf et mépri-
sant, il a un nom, il a un autre nom... il s'appelle Octave
Mirbeau...!
Les Courses
Auleuil. Vive t'armée! C'est elle qui a sauvé la réunion d'Au-
teuil. En dépit d'une délicieuse température, les concurrents
étaient, dans toutes les autres courses fort peu nombreux. Mais
la présence d'un military au programme a amené la foule des
spectateurs et surtout des spectatrices. Et comme ce fut la seule
course où le mutuel payait trois placés, la pelouse s'en donna à
cœur joie; et la recette accusa deux cent mille francs sur les
placés de cette course, record de la journée! Hud....k lui-même
ne dédaigna pas d'être pour quelque chose dans ce total et mit sa
confiance sur Lalla ROllkh; mais Lalla ROl1kh la trahit sans ver-
gogne, se contentant d'être quatnemc. Et voilà comment le plus
d'un riz à la créole éblouissant. Après le dessert, Pamphile
réclama l'auteur.
Je fis comparaître Thérèse. Elle surgit, le tablier troussé, les
poings sur les hanches, l'air à la fois bourru et flatté.
Mon ami, qui avait allègrement tâté à la bouteille, improvisa
aussitôt un éloge gastronomique en vers. Facétieux, il fit rimer
Brillat-Savarin avec navarin et Carême avec brême. Thérèse ne
saisit que la péroraison. On implorait d'elle le secret du gigot
de sept heures. Cela, seul, lui fut intelligible.
— Monsieur, dit-elle alors, ce n'est Ipas que j'aime à donner
des explications. Il y a des gens qui ne parlent pas volontiers de
leur travail. Enfin pour ne pas contrarier Monsieur, qui est souf-
frant, voici ce que je lui dirai: Remontez votre réveille-matin
pour 5 heures. Levez-vous. Mettez votre cocotte sur le feu avec
du beurre fin, des oignons, un peu d'échalotte et des carottes
coupées en long, comme ça. Puis faites
dorer votre gigot là-dedans à feu vif, pen-
dant dix minutes. Puis ajoutez de la couenne
(sauf votre respect, Monsieur sait que c'est
du cochon?) De ,la couenne, beaucoup de
couenne taillée en carrés, et des rognures
de jambon d'York. Un bouquet garni; deux,
trois clous de girofle, sel et poivre. Couvrez
et laissez cuire sept heures bien comme
il faut. C'est tout. Monsieur voit si c'est
simple?
Mon ami parti, Thérèse réapparut au seuil
de ma bibliothèque. — Monsieur, murmura-
t-elle mystérieusement, à mi-cuisson, je verse
un plein verre de Bourgogne sur le gigot.
Mais c'est inutile de le dire. Il ne faut jamais
donner ses recettes au complet
BHC-FiGUM.
CHOSES ET AUTRES
L'exposition des artistes décorateurs, rue de la Ville-l'Evèque,
se signale par deux graves défauts: c'est d'abord qu'une fois
entré dans ces salons, vous ne pouvez plus vous décider à en
sortir; et c'est surtout que vous avez envie d'y acheter à peu
près tous les tableaux, sculptures, verres, faïences, éventails, etc...
ce qui ressemble aux rêves 'charmants et un peu mélanco-
liques dont on se berce quand on est tout petit. En vérité, cet
« ensemble M, ainsi que parlent les gens du métier, est un des plus
riches et des plus heureux qu'on ait vus jusqu'ici. La couleur
générale en est somptueuse et réconfortante : elle rappelle les
ballets russes; elle semble prise aux miniatures persanes. Aussi
bien, sous les cartons de Puvis, voici une vitrine pleine de
belles images où les verts, les rouges, les violets et les bleus
éclatent avec la plus joyeuse franchise... Une superbe fille, la
peau très blanche, les yeux un peu vides, écoute les propos
pressants d'un éphèbe bronzé qui ne semble pas lui déplaire :
elle est bête assurément, on le jurerait, mais son corps à demi
nu est frais comme un fruit, et sa blancheur rayonne parmi tous
ces tons vigoureux... Deux jeunes femmes causent, le soir, dans
un jardin: elles sont habillées comme à Téhéran : elles ont les
yeux et la taille qu'on n'a qu'à Paris, et le treillage qu'on
aperçoit dans l'ombre est d'un parc du XVIIIe. Ainsi se ras-
semblent à notre plus grande satisfaction les êtres et les pa-
rures qui nous ressemblent le mieux.
Il faut le dire, comme affirmait Jeanne Granier dans Educa-
tion de Prince : I( C'en est fait du XVIII® ! » du moins quant aux
nuances. A qui la faute ? Aux marchands de couleur qui n'ont
briqué avec l aniline que des tons inconsistants ; aux magasins
de nouveautés qui ont poussé l'inconsistance jusqu'à l'anémie.
Il semble qu'on ait besoin de quelque chose de plus solide, et,
justement, les rouges et verts des Russes, les mille nuances per-
sanes... c'est exactement un réveil. Quelles en seront les consé-
quences? Elles paraissent infinies. On parlera quelque jour de
l'action des couleurs vives sur la repopulation!
Parmi tant de belles œuvres qui tapissent ces murs, qui
ornent ces vitrines, on admirera, près des plafonds d'Albert
Besnard, les bustes souriants de M'"" Charlotte Besnard, et les
Blanche, Maurice Denis, Cottet, combien d'autresl Les céra-
miquesde Metthoy, Delaherche, Dealuna sont pleines d'invention
ingénieuse. Quand aux verreries de Lalique, ce sont bien elles
qui vous prennent et ne vous lâchent plus.
Dans un petit théâtre fort élégant, il y a quelques jours,
Mlle Adorée Villany — dont le prénom est plus qu'un pro-
gramme! — nous avait conviés à contempler ses danses styli-
sées. L'assistance était fort choisie : des peintres, des sculpteurs,
des journalistes, et quelques vieux messieurs, amis des arts.
On attendit avec un peu d'impatience, car, il y a quinze mois,
la police de Munich, pénétrant dans le théâtre où s'exhibait Mlle Vil-
lany, arrêta le spectacle... et la danseuse. Elle lui reprochait
simplement de danser nue; mais Munich est une nouvelle
Athènes et les juges acquittèrent la moderne Phryné....
Soudain, la salle est plongée dans l'obscurité, et, brutalement
cinglée de feux rouges et verts, la danseuse paraît. Elle est
mince, musclée, avec juste assez de seins pour emplir la main
d'un honnête homme... s'il est modeste.
Elle exécute d'abord une danse en l'honneur du bœuf Apis, et
cette danse, quoiqu'une simple ceinture de perles voile la dan-
seuse, cause une déception... Mais voici la danse de l'Abeille;
puis celle de Salomé, ou des Sepl voiles ; les sept voiles s'en-
volent l'un après l'autre et Adorée Villany apparaît, enfin, vêtue
de sa seule impudeur.
On est tout étonné de constater que le spectacle n'a rien de
choquant. Les danses de M"e Villany sont chastes, quoique sa
toilette soit sommaire. On s'habitue si vite à la nudité Un quart
d'heure après que le dernier voile fut tombé, la curiosité, sinon
l'intérêt, était lassée. Miss Mary Garden et Mlln Hegina Badet
sont autrement suggestives! Quiconque a vu Salomé, ou la
Femme el le Panlin, peul affronter MIlc Villany...
A la sortie, un jeune homme rasé déclarait à une dame que de
tels spectacles ne pouvaient être qu'esthétiques, car une femme
nue ne l'avait jamais troublé.
— Mon cher, répondit sa compagne, il n'y a pas de quoi vous
vani or
M. Octave Mirbeau possède un chien qui lui vient d'Austra-
lasie et qu'il met en scène dans un livre, publié actuellement en
feuilleton par un grand quotidien. Ce eliien, qui a nom Dingo, est
une bien étrange bête. Il est venu au monde pessimiste, aigri,
doué de malveillance et d'un singulier esprit de destruction. Il
abomine les hommes, il redoute les femmes, il hait les critiques,
les gens de lettres, les peintres arrivés; il repousse, hargneux, le
grain de sucre qu'on lui offre pour l'amadouer.
Un coup de pied, sans doute, ferait bien mieux son affaire. Il
se livre à des carnages de poules, à des ravages de fleurs. Il
s'ébroue, sportif et violent, dans un enclos de vingt hectares,
comme son maître le fit souvent dans les plates-bandes de ses
contemporains. Mais j'y songe, ce chien formidable, aboyant,
misanthrope, ingénu, dédaigneux et enthousiaste, naïf et mépri-
sant, il a un nom, il a un autre nom... il s'appelle Octave
Mirbeau...!
Les Courses
Auleuil. Vive t'armée! C'est elle qui a sauvé la réunion d'Au-
teuil. En dépit d'une délicieuse température, les concurrents
étaient, dans toutes les autres courses fort peu nombreux. Mais
la présence d'un military au programme a amené la foule des
spectateurs et surtout des spectatrices. Et comme ce fut la seule
course où le mutuel payait trois placés, la pelouse s'en donna à
cœur joie; et la recette accusa deux cent mille francs sur les
placés de cette course, record de la journée! Hud....k lui-même
ne dédaigna pas d'être pour quelque chose dans ce total et mit sa
confiance sur Lalla ROllkh; mais Lalla ROl1kh la trahit sans ver-
gogne, se contentant d'être quatnemc. Et voilà comment le plus
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.8%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.8%.
- Collections numériques similaires France 1830 1848 Louis Philippe France 1830 1848 Louis Philippe /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=dc.subject adj "France 1830 1848 Louis Philippe "
- Auteurs similaires Marcelin Émile Marcelin Émile /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Marcelin Émile" or dc.contributor adj "Marcelin Émile")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 15/19
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k12534841/f15.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k12534841/f15.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k12534841/f15.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k12534841/f15.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k12534841
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k12534841
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k12534841/f15.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest