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Journal d'Electrothérapie et de Métallotherapie
ABONNEMENTS
UNIQUES
France, un an. 5 fr.
REDACTION ET ADMINISTRATION
19, nue de Lisbonne, 19 – l'AllIS
LE NUMERO: 10 CENTIMES
Dr E. DUMAS, Directeur
iAvis très important
Toutes les demandes de consultations et renseignements
médicaux doivent être adressées a M. le Docteur E DUMAS,
Directeur de la Médecine Nouvelle, 19, rue de Lisbonne. à
Paris.
Les commandes d'appareils, articles d'argent, charge-
ments. etc., seront adresses a H. Legras. administrateur de
la Société, nos statuts supposant a ce qu'aucune autre ner-
sonne retire ces fonds.
Les mandats, chèques, etc.. adressés autrement qu'il est
dit. devraient être retournés a i expéditeur pour modifier
l'adresse.
*~iO ivo. ivi _A_ x ft E3
Les bases de noire méthode curative. Leçons du Docteur E. Du-
mas.
Migraine.
De In coutte.
La constipation. Son traitement, sa guérison.
Correspondance.
,Nos a flaires.
Les Bases de notre méthode curative
LEÇONS STÉNOGRAPHIÉES DU DOCTEUR E. DUMAS
..St«
Mous pouvons aisément nous rendre compte de l'action mr-
lallolliérapiqur sur if système nerveux, par los résultais obte-
nus dans l'asthme essentiel cl dans l'alaxie. A ce propos.
Messieurs, vous savez que tous les médicaments employés de-
puis des siècles ne doivent pas à aulrc chose qu à leur action
éludiée sur l'orijaiiiMiie humain, la faveur dont ils ont prolilé.
Tout dans la thérapeutique médicainciilrusc est empirique,
c'esl-a-dirc consacre par i'usagu.
fi Jan_Y«**r 189CL
LA
PAHAISSAN7 LE SAMEDI
ABONNEMENTS
UNIQUES
Étranger, un an. 7 fr.
Aujourd'hui, la méthode qui voudrait s'implanter dans ces
conditions serait considérée comme illusoire. Notre siècle veut
des explications, il demande a comprendre, et, s'il conserve
encore les anciennes coutumes médicales, les potions, pilules
et dilutions, c'est que la méthode bien expliquée, bien nette
et surtout bien concise lui fait défaut.
Voilà pourquoi le besoin s'imposait, en tant que méthode
destinée à remplacer les drogues, de faire une é«-o!e expli-
quant (a pratique.
Mous avons étudié une des principales actions curatives du
fluide vital introduit dans l'économie par les procédés métal-
[ lolliérapiques.
La grande question est maintenant de discuter la contro-
I verse. Certains auteurs ont prétendu que la niélallothérapic
| agissait par combinaison modilicalricp des fluides, soit locaux,
suit généraux «le l'être a peu près comme le ferait ii:j épis-
paslique on uu vésicanl. Détruire cette idée doitèlre notre pre-
mier de\oir, car c'est plie qui a été la source de toutes les
hésitations contre lesquelles nous avons lutté et luttons en-
core.
Il est bon d étudier et d'expliquer le phénomène produit par
''endosmose du vilalisnie qni, des métaux unis et spécialc-
I ment éleclrisés, se répand dans l'organisme humain sous le
nom de inétallolhérapie.
One des plus fréquentes critiques adressées au\ plaques
il viLiiiiu(iiTini<|iirs lui celle-ci Klles ne donnent litn au volt-
mètre ni à I'ampère-molre.
Eh bien, voilà précisément la base de notre théorie
Que doit-on attendre de la inéiallolhérapie. si cr n'est mi
llnide exempt de tout dynamisme propre ? La dynainodormie
porte en elle-même le poli-nticl vilal humain, mais ctr,i un
peut être absorhé que par être lui-même. Il faut doix pour
qu'il passe librement, qu'on le mette en communication di-
recte avec les tissus superlicirls de l'être. Sans quoi. l'aciiou
déterminante de l'endosmose tluidique ne saurait se proîlmn-.
[,'éleclrolliérapie se mesure! car c'est une force propre dont
tes atténuations dynamiques rendent los services qu'on peut
| attendre d'un résolutif, d'un massage et d'un evcilaul.
La mélallothérapie, réparant le dynamisme vital par Tiutrif
il ne lion du fluide propre à la rccouMilulioii dos cellules nii-
^rutrieed, ne saurait pas j'ius sc mesurer que la dépensa
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sonne retire ces fonds.
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*~iO ivo. ivi _A_ x ft E3
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mas.
Migraine.
De In coutte.
La constipation. Son traitement, sa guérison.
Correspondance.
,Nos a flaires.
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Mous pouvons aisément nous rendre compte de l'action mr-
lallolliérapiqur sur if système nerveux, par los résultais obte-
nus dans l'asthme essentiel cl dans l'alaxie. A ce propos.
Messieurs, vous savez que tous les médicaments employés de-
puis des siècles ne doivent pas à aulrc chose qu à leur action
éludiée sur l'orijaiiiMiie humain, la faveur dont ils ont prolilé.
Tout dans la thérapeutique médicainciilrusc est empirique,
c'esl-a-dirc consacre par i'usagu.
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Aujourd'hui, la méthode qui voudrait s'implanter dans ces
conditions serait considérée comme illusoire. Notre siècle veut
des explications, il demande a comprendre, et, s'il conserve
encore les anciennes coutumes médicales, les potions, pilules
et dilutions, c'est que la méthode bien expliquée, bien nette
et surtout bien concise lui fait défaut.
Voilà pourquoi le besoin s'imposait, en tant que méthode
destinée à remplacer les drogues, de faire une é«-o!e expli-
quant (a pratique.
Mous avons étudié une des principales actions curatives du
fluide vital introduit dans l'économie par les procédés métal-
[ lolliérapiques.
La grande question est maintenant de discuter la contro-
I verse. Certains auteurs ont prétendu que la niélallothérapic
| agissait par combinaison modilicalricp des fluides, soit locaux,
suit généraux «le l'être a peu près comme le ferait ii:j épis-
paslique on uu vésicanl. Détruire cette idée doitèlre notre pre-
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hésitations contre lesquelles nous avons lutté et luttons en-
core.
Il est bon d étudier et d'expliquer le phénomène produit par
''endosmose du vilalisnie qni, des métaux unis et spécialc-
I ment éleclrisés, se répand dans l'organisme humain sous le
nom de inétallolhérapie.
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il viLiiiiu(iiTini<|iirs lui celle-ci Klles ne donnent litn au volt-
mètre ni à I'ampère-molre.
Eh bien, voilà précisément la base de notre théorie
Que doit-on attendre de la inéiallolhérapie. si cr n'est mi
llnide exempt de tout dynamisme propre ? La dynainodormie
porte en elle-même le poli-nticl vilal humain, mais ctr,i un
peut être absorhé que par être lui-même. Il faut doix pour
qu'il passe librement, qu'on le mette en communication di-
recte avec les tissus superlicirls de l'être. Sans quoi. l'aciiou
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