DICTIONNAIRE DE LA MUSIQUE
SCHILLINGS (Max von), compositeur et
chef d’orchestre allemand (Düren 1868 -
Berlin 1933).
Il étudia à Bonn et à Munich, où sa ren-
contre avec Richard Strauss le décida à se
consacrer à la musique. En 1892, il devint
assistant et, en 1902, chef de choeur au
Théâtre de Bayreuth. Ses trois premiers
opéras, Ingwelde (1894), Der Pfeifertag
(1899) et Moloch (1906), portent la marque
du wagnérisme et ont été comparés res-
pectivement à la Tétralogie, aux Maîtres
chanteurs et à Parsifal. Nommé profes-
seur en 1903, il eut Furtwängler parmi ses
élèves. En 1908, il devint directeur musical
du Théâtre de Stuttgart, où fut représenté
en 1915 son dernier opéra, Mona Lisa. De
1919 à 1925, il fut intendant de l’Opéra de
Berlin. Il passa ensuite plusieurs années
en tournées à travers l’Europe et les États-
Unis. En 1932, il fut nommé président de
la Société des compositeurs allemands.
Outre ses quatre opéras, il composa plu-
sieurs mélodrames, dont Kassandra sur un
texte de Schiller, de nombreux lieder, les
fantaisies symphoniques Meergruss et See-
morgen (1895), un concerto pour violon
(1910) et de la musique de chambre.
SCHINDLER (Anton Felix), violoniste,
chef d’orchestre, compositeur et musi-
cographe allemand (Meedl, Moravie,
1798 - Francfort-sur-le-Main 1864).
Ayant travaillé le violon dans son enfance,
il vint à Vienne en 1813 pour y faire des
études de droit. Il y fit la connaissance de
Beethoven, et devint, à partir de 1816, son
secrétaire bénévole et son homme à tout
faire, ce qui l’incita à se consacrer entière-
ment à la musique. En 1822, il fut premier
violon au Josephstadttheater, et en 1825
chef d’orchestre au Kärtnerthor-Theater.
Une brouille le sépara de Beethoven pen-
dant deux ans (1824-1826), le composi-
teur l’ayant accusé à tort d’avoir détourné
une partie de la recette lors de la création
de la 9e Symphonie. Néanmoins, dans les
derniers mois de la vie de Beethoven,
Schindler retrouva sa place auprès de lui.
Se trouvant en possession de nombreuses
lettres, et surtout de près de 400 cahiers
de conversation, il en détruisit plus de la
moitié pour des raisons personnelles, et en
falsifia d’autres. Toute sa vie, il se prévalut
de son intimité avec Beethoven, et écrivit
sa biographie (1840 ; 3e rééd. rév. en 1860 ;
plusieurs rééd. posthumes), qui reste un
document de base, en dépit de certaines
erreurs, surtout sur la première partie de
la vie de Beethoven, sur laquelle Schindler
ne possédait que des témoignages verbaux.
Il fut directeur musical à Münster (1831),
puis à Aix-la-Chapelle (1835-1840), avant
de s’installer à Francfort en 1848.
SCHIPA (Tito), ténor italien (Lecce 1889 -
New York 1965).
Il commença sa carrière en composant
des mélodies. Il étudia le chant à Milan
et débuta dans Alfredo de La Traviata
à Vercelli en 1910. En 1915, Toscanini
lui fit chanter Fenton dans ses fameuses
représentations de Falstaff. En 1917, il
créa le rôle de Ruggero dans la Rondine
de Puccini. Entre 1920 et 1935, il mena
une grande carrière de théâtre aux États-
Unis (New York, Chicago, San Francisco)
et chanta en récital jusqu’à sa mort à peu
près partout dans le monde. Sa technique
vocale était parfaite et son style impec-
cable avec un phrasé exceptionnellement
élégant. Une diction, un goût musical
admirable contribuèrent à faire de Tito
Schipa un des plus grands artistes lyriques
du XXe siècle. Sa voix n’était ni grande ni
longue, mais il savait la colorer avec beau-
coup de diversité et parvenait à triompher
dans des rôles pour lesquels il n’avait ni les
notes ni la vaillance.
SCHIRMER.
Maison d’éditions musicales américaine,
fondée au XIXe siècle par le Saxon Gustav
Schirmer (1829-1893).
Après avoir travaillé comme marchand
de musique chez Kerksieg et Breusing,
Schirmer prit la direction de la maison en
1854, s’associa en 1861 avec Bernard Beer,
avant de devenir seul propriétaire en 1866,
date à laquelle il donna son nom à l’entre-
prise (G. Schirmer, Music Publishers, Im-
porters and Dealers). Après lui, la maison
fut dirigée par ses descendants, et, de 1929
à 1944, par Carl Engel. Parmi les grandes
publications des éditions Schirmer, il faut
citer la série Library of Musical Classics
(à partir de 1892), la Collection of Opera
Librettos (1911), le Baker’s Dictionary of
Music (1900 ; 6e édit. 1978, sous la direc-
tion de N. Slonimski) et la revue musicale
The Musical Quarterly (1915). Une partie
importante de l’édition est naturellement
réservée à la musique américaine, des
American Folk Song Series, consacrées à
la musique populaire, aux compositeurs
les plus éminents du XXe siècle, parmi les-
quels A. Schönberg, E. Bloch, G. C. Me-
notti, S. Barber, Ch. Ives, L. Bernstein, P.
Grainger, E. Carter.
SCHLICK (Arnold), organiste et compo-
siteur allemand ( ? v. 1445 - Heidelberg ?
v. 1525).
Aveugle, il fit sa carrière comme organiste
en Allemagne et aux Pays-Bas, notam-
ment à Heidelberg et à Torgau. Musicien
réputé et recherché, ce fut lui qui joua au
couronnement de l’empereur Maximilien
Ier, et, sans doute, aussi de Charles Quint.
Il fut aussi un remarquable connaisseur
en facture d’orgues, comme l’attestent ses
expertises à Strasbourg, à Spire, à Neus-
tadt, etc., et son traité, le premier consa-
cré à l’orgue, Spiegel der Orgelmacher und
Organisten (« Miroir du facteur d’orgues
et des organistes », Spire, 1511). Ses com-
positions pour orgue (psaumes et motets)
et ses lieder polyphoniques, pour plu-
sieurs voix avec ou sans partie de luth, ou
pour luth seul, ont été publiés dans divers
recueils, en tablatures.
SCHLUSNUS (Heinrich), baryton alle-
mand (Braubach 1888 - Francfort 1952).
Il fit ses débuts à Hambourg en 1915
dans Lohengrin (rôle du hérault). Il entra
à l’Opéra de Berlin en 1917 et y chanta
jusqu’en 1951 avec toute la plénitude de
ses moyens. Il se produisit aux États-Unis,
dans les années 20, et il a laissé le sou-
venir d’un Wolfram incomparable dans
Tannhäuser, au festival de Bayreuth, dans
les années 30. Une partie importante de
son activité théâtrale fut consacrée à la
résurrection, en Allemagne, des opéras
de Verdi entre les deux guerres. Il fut, en
particulier, un des grands interprètes de
Rigoletto au XXe siècle. En même temps
Schlusnus était célèbre dans le domaine
du lied qu’il défendit partout. Sa voix était
admirable avec un timbre de la plus rare
beauté que servait une technique de chant
exemplaire. Sa musicalité expressive, son
tempérament dramatique contribuèrent à
faire de lui un artiste exceptionnel.
SCHMELZER (Johann-Heinrich), com-
positeur autrichien ( ? v. 1623 - Prague
1680).
Virtuose du violon, il fut musicien de
chambre de la chapelle impériale à Vienne,
puis devint vice-maître de chapelle en
1671 et Kapellmeister en 1679. Élève
d’Antonio Bertali, il publia dans le style
italien un recueil de Sonates pour violon
seul (1663-64). Compositeur surtout ins-
trumental, il a beaucoup aidé, avec Biber,
à l’épanouissement d’une école de violo-
nistes, propre à l’Autriche et à l’Allemagne
du Sud, et caractérisée par une riche écri-
ture contrapuntique et le recours à la scor-
datura.
Ses oeuvres principales, éditées de son
vivant, sont le Sacroprofanus concentus
musicus fidium aliorumque instrumenta-
rum, treize sonates à plusieurs instruments
(1662), Aria per il balletto a cavallo nella...
festa Leopoldo I (1667), Duodena selecta-
rum sonatarum applicata ad usum tam
honesti fori quam devoti chori (1669), etc.
Mais un grand nombre de partitions ont
été conservées à l’état de manuscrit dans
les bibliothèques de Vienne et d’Uppsala.
On y relève de la musique d’église (vêpres,
motets), une Messe (publiée par G. Adler
en 1918 et marquée par les techniques
vénitiennes) et, bien entendu, des pages
instrumentales, comme des sonates en
trio. Dans l’ensemble, Schmelzer a été
peu marqué par le style de l’école lullyste,
empruntant plutôt des éléments d’inspira-
892
SCHILLINGS (Max von), compositeur et
chef d’orchestre allemand (Düren 1868 -
Berlin 1933).
Il étudia à Bonn et à Munich, où sa ren-
contre avec Richard Strauss le décida à se
consacrer à la musique. En 1892, il devint
assistant et, en 1902, chef de choeur au
Théâtre de Bayreuth. Ses trois premiers
opéras, Ingwelde (1894), Der Pfeifertag
(1899) et Moloch (1906), portent la marque
du wagnérisme et ont été comparés res-
pectivement à la Tétralogie, aux Maîtres
chanteurs et à Parsifal. Nommé profes-
seur en 1903, il eut Furtwängler parmi ses
élèves. En 1908, il devint directeur musical
du Théâtre de Stuttgart, où fut représenté
en 1915 son dernier opéra, Mona Lisa. De
1919 à 1925, il fut intendant de l’Opéra de
Berlin. Il passa ensuite plusieurs années
en tournées à travers l’Europe et les États-
Unis. En 1932, il fut nommé président de
la Société des compositeurs allemands.
Outre ses quatre opéras, il composa plu-
sieurs mélodrames, dont Kassandra sur un
texte de Schiller, de nombreux lieder, les
fantaisies symphoniques Meergruss et See-
morgen (1895), un concerto pour violon
(1910) et de la musique de chambre.
SCHINDLER (Anton Felix), violoniste,
chef d’orchestre, compositeur et musi-
cographe allemand (Meedl, Moravie,
1798 - Francfort-sur-le-Main 1864).
Ayant travaillé le violon dans son enfance,
il vint à Vienne en 1813 pour y faire des
études de droit. Il y fit la connaissance de
Beethoven, et devint, à partir de 1816, son
secrétaire bénévole et son homme à tout
faire, ce qui l’incita à se consacrer entière-
ment à la musique. En 1822, il fut premier
violon au Josephstadttheater, et en 1825
chef d’orchestre au Kärtnerthor-Theater.
Une brouille le sépara de Beethoven pen-
dant deux ans (1824-1826), le composi-
teur l’ayant accusé à tort d’avoir détourné
une partie de la recette lors de la création
de la 9e Symphonie. Néanmoins, dans les
derniers mois de la vie de Beethoven,
Schindler retrouva sa place auprès de lui.
Se trouvant en possession de nombreuses
lettres, et surtout de près de 400 cahiers
de conversation, il en détruisit plus de la
moitié pour des raisons personnelles, et en
falsifia d’autres. Toute sa vie, il se prévalut
de son intimité avec Beethoven, et écrivit
sa biographie (1840 ; 3e rééd. rév. en 1860 ;
plusieurs rééd. posthumes), qui reste un
document de base, en dépit de certaines
erreurs, surtout sur la première partie de
la vie de Beethoven, sur laquelle Schindler
ne possédait que des témoignages verbaux.
Il fut directeur musical à Münster (1831),
puis à Aix-la-Chapelle (1835-1840), avant
de s’installer à Francfort en 1848.
SCHIPA (Tito), ténor italien (Lecce 1889 -
New York 1965).
Il commença sa carrière en composant
des mélodies. Il étudia le chant à Milan
et débuta dans Alfredo de La Traviata
à Vercelli en 1910. En 1915, Toscanini
lui fit chanter Fenton dans ses fameuses
représentations de Falstaff. En 1917, il
créa le rôle de Ruggero dans la Rondine
de Puccini. Entre 1920 et 1935, il mena
une grande carrière de théâtre aux États-
Unis (New York, Chicago, San Francisco)
et chanta en récital jusqu’à sa mort à peu
près partout dans le monde. Sa technique
vocale était parfaite et son style impec-
cable avec un phrasé exceptionnellement
élégant. Une diction, un goût musical
admirable contribuèrent à faire de Tito
Schipa un des plus grands artistes lyriques
du XXe siècle. Sa voix n’était ni grande ni
longue, mais il savait la colorer avec beau-
coup de diversité et parvenait à triompher
dans des rôles pour lesquels il n’avait ni les
notes ni la vaillance.
SCHIRMER.
Maison d’éditions musicales américaine,
fondée au XIXe siècle par le Saxon Gustav
Schirmer (1829-1893).
Après avoir travaillé comme marchand
de musique chez Kerksieg et Breusing,
Schirmer prit la direction de la maison en
1854, s’associa en 1861 avec Bernard Beer,
avant de devenir seul propriétaire en 1866,
date à laquelle il donna son nom à l’entre-
prise (G. Schirmer, Music Publishers, Im-
porters and Dealers). Après lui, la maison
fut dirigée par ses descendants, et, de 1929
à 1944, par Carl Engel. Parmi les grandes
publications des éditions Schirmer, il faut
citer la série Library of Musical Classics
(à partir de 1892), la Collection of Opera
Librettos (1911), le Baker’s Dictionary of
Music (1900 ; 6e édit. 1978, sous la direc-
tion de N. Slonimski) et la revue musicale
The Musical Quarterly (1915). Une partie
importante de l’édition est naturellement
réservée à la musique américaine, des
American Folk Song Series, consacrées à
la musique populaire, aux compositeurs
les plus éminents du XXe siècle, parmi les-
quels A. Schönberg, E. Bloch, G. C. Me-
notti, S. Barber, Ch. Ives, L. Bernstein, P.
Grainger, E. Carter.
SCHLICK (Arnold), organiste et compo-
siteur allemand ( ? v. 1445 - Heidelberg ?
v. 1525).
Aveugle, il fit sa carrière comme organiste
en Allemagne et aux Pays-Bas, notam-
ment à Heidelberg et à Torgau. Musicien
réputé et recherché, ce fut lui qui joua au
couronnement de l’empereur Maximilien
Ier, et, sans doute, aussi de Charles Quint.
Il fut aussi un remarquable connaisseur
en facture d’orgues, comme l’attestent ses
expertises à Strasbourg, à Spire, à Neus-
tadt, etc., et son traité, le premier consa-
cré à l’orgue, Spiegel der Orgelmacher und
Organisten (« Miroir du facteur d’orgues
et des organistes », Spire, 1511). Ses com-
positions pour orgue (psaumes et motets)
et ses lieder polyphoniques, pour plu-
sieurs voix avec ou sans partie de luth, ou
pour luth seul, ont été publiés dans divers
recueils, en tablatures.
SCHLUSNUS (Heinrich), baryton alle-
mand (Braubach 1888 - Francfort 1952).
Il fit ses débuts à Hambourg en 1915
dans Lohengrin (rôle du hérault). Il entra
à l’Opéra de Berlin en 1917 et y chanta
jusqu’en 1951 avec toute la plénitude de
ses moyens. Il se produisit aux États-Unis,
dans les années 20, et il a laissé le sou-
venir d’un Wolfram incomparable dans
Tannhäuser, au festival de Bayreuth, dans
les années 30. Une partie importante de
son activité théâtrale fut consacrée à la
résurrection, en Allemagne, des opéras
de Verdi entre les deux guerres. Il fut, en
particulier, un des grands interprètes de
Rigoletto au XXe siècle. En même temps
Schlusnus était célèbre dans le domaine
du lied qu’il défendit partout. Sa voix était
admirable avec un timbre de la plus rare
beauté que servait une technique de chant
exemplaire. Sa musicalité expressive, son
tempérament dramatique contribuèrent à
faire de lui un artiste exceptionnel.
SCHMELZER (Johann-Heinrich), com-
positeur autrichien ( ? v. 1623 - Prague
1680).
Virtuose du violon, il fut musicien de
chambre de la chapelle impériale à Vienne,
puis devint vice-maître de chapelle en
1671 et Kapellmeister en 1679. Élève
d’Antonio Bertali, il publia dans le style
italien un recueil de Sonates pour violon
seul (1663-64). Compositeur surtout ins-
trumental, il a beaucoup aidé, avec Biber,
à l’épanouissement d’une école de violo-
nistes, propre à l’Autriche et à l’Allemagne
du Sud, et caractérisée par une riche écri-
ture contrapuntique et le recours à la scor-
datura.
Ses oeuvres principales, éditées de son
vivant, sont le Sacroprofanus concentus
musicus fidium aliorumque instrumenta-
rum, treize sonates à plusieurs instruments
(1662), Aria per il balletto a cavallo nella...
festa Leopoldo I (1667), Duodena selecta-
rum sonatarum applicata ad usum tam
honesti fori quam devoti chori (1669), etc.
Mais un grand nombre de partitions ont
été conservées à l’état de manuscrit dans
les bibliothèques de Vienne et d’Uppsala.
On y relève de la musique d’église (vêpres,
motets), une Messe (publiée par G. Adler
en 1918 et marquée par les techniques
vénitiennes) et, bien entendu, des pages
instrumentales, comme des sonates en
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