Une femme de lettres
Veuve à 25 ans, la marquise de Sévigné est une des rares femmes indépendantes de l’époque. Elle consacre l’essentiel de son temps à l’éducation de ses deux enfants, Charles et Françoise. Le départ de cette dernière pour Grignan marque le début d’une correspondance soutenue entre les deux femmes. Mais les premières lettres rendues publiques seront celles échangées avec son cousin, le comte de Bussy-Rabutin. Publiée après sa mort, sa correspondance est une œuvre autobiographique inédite pour l’époque.