Titre : L'Attaque : organe socialiste révolutionnaire de la jeunesse / rédacteur en chef Ernest Gegout
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1889-10-19
Contributeur : Gégout, Ernest (1854-1936). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32706292b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 2168 Nombre total de vues : 2168
Description : 19 octobre 1889 19 octobre 1889
Description : 1889/10/19 (A2,N50)-1889/10/26. 1889/10/19 (A2,N50)-1889/10/26.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6242132q
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-40136
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/04/2013
DEUXIÈME ANNEE. — No 50 Prix : & Centimes
Du 19 au 2(; Octobre 1889.
L'ATTAQUE
Organe hebdomadaire Anarchiste
PARAISSANT LE SAMEDI
ABONNEMENTS
UN AN 5 fr.
Six MOIS 3 fr.
TROIS MOIS 1 fr. 50
Les Annonces sont traitées à forfait aux buriaux
du Journal
Rédacteur délégué :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
130, RUE LAFAYETTE, 120
<
Secrétaire délégué : S. MOUG/N.
VOTARDS ET ÉLUS
Ils sont allés à l'Urne comme ils
vont au pot, poussés toutefois par un
besoin différent.
Octave Mirebeau, cet impuissant
quoique sincère observateur des si-
tuations sociales qui le dominent, en
a donné la véritable raison, dans le
Figaro: A laville comme aux champs,
les volards ont agi sous la poussée de
promesses aussi alléchantes que fal-
lacieuses, mais d'autant plus irrésis-
tibles qu'elles étaient irréalisables.
Oui, irréalisables parlementairement,
irréalisables surtout par ceux qui les
jettaient à pleines lèvres, tout en sa-
chant et leur incapacité intellectuelle
et leur impuissance d'action.
Ce qui est sorti de l'urne vaut ce
qui sort du pot. Il eut donc été plus
prudent de réserver pour l'un le pa-
pier que l'on a jeté dans l'autre.
MM. les votards, vous êtes tous des
dupés, tous, entendez-vous !
ParLisans des régimes disparus, vos
candidats ne sont que des employés
de pompes funèbres dont vous payez
l'entretien. Vous vous êtes dérangés
pour réclamer un empereur ou un roi
qui vous aurait grugés dans les grands
prix ; vous n'avez et ne pouviez avoir
qu'une république « intègre » dont les
représentants continueront à vous
voler honnêtement jusqu'à la gauche.
Crapauds qui coassez timidement
dans le marais des Centres, ne dési-
rant après une féodalité archi-sécu-
laire et tracassière qu'une douce paix
— récompense de vos vols aussi mul-
tiples que laborieux — regardez au
Nord et au Midi, puis à l'Est et à
l'Ouest : d'autres crapauds voleurs et
plus affamés que vous, sortent de leurs
marécages internationaux et s'avan-
cent en coassant d'envie. Ceux que
vous avez choisis pour vous défendre
s'en foutent! l'heure de vos conflits
sera celle de leur curée.
Vous, pauvres frelons qui allez
bourdonnant des rengaines libertai-
res, réformatrices, radicales, n'avez-
vous pas vu les plus audacieux des
vôtres se briser constamment la tête
contre le plafond lumineux de la « ru-
che en travail » et retomber, soumis,
en cellule! Alors?.
Et vous, révolutionnaires, vous,
socialistes, vous qui, plus que tous
autres avez été roulés comme des
tuyaux de pipes par les JotTrin, Basly,
Ferroul, Camèlinat, l'lanteau, vous
qui, à certaines heures, lorsque la
coupe des trahisons est pleine jusqu'à
la lie, reconnaissez avec nous que
quiconque met le pied sur le terrain
parlementaire lâche le camp sociar
liste, vous avez maintenant pour soit-
tenir vos revendications, défendre
vos intérêts, diriger vos aspirations
et maintenir haut et ferme votre
drapeau, les mêmes hommes qui vous
ont déjà trahis, et d'autres qui, élevés
à leur école, ne tarderont pas à le
faire.
Et vous, pauvres idiots que j'allais
oublier, énervés de la Butte en butte
aux luttes boulangeardes, qui tombez
en joyeux délires à la vue d'un pa-
nache, d'un bancal et d'une paire de
hauts croquenots, vous avez cru ou-
vrir un « courant » au mécontement
populaire et agir révolutionnaire-
ment en vous groupant derrière une
poignée de crasseux ignorants, de
ruffians et de renégats ambitieux tels
que les Roche, les Mermeix et les
Granger, ces filles à soldat !
Vous n'êtes donc plus dégoûtés de
la merde depuis qu'un général y
trempe ?
Vous tous, qui avez voté par habi-
tude, par naïveté, par passion, par
besoin d'affirmer votre droit d'élec-
teur, le premier des droits de mossieu
Prudhomme, regardez donc Constans
qui rit de sa place, Beaux veaux !
*
* *
Le vote est bien la maladie « tin de
siècle ».
Une maladie qui n'engendre ni poux,
ni puces, ni punaises, mais quelque
chose de pire : le maquereautage po-
litique, l'exploitation sociale.
Et pour avoir le droit d'en user, le
Peuple est toujours prêt à se faire
casser la gueule !
Durant chaque législature, il hurle
sous le fouet des maîtres qu'il s'est
donnés ; il a honte de sa duperie ; sa
pudeur d'homme libre se révolte, et
il a liàtede s'émanciper, puis.l'heure
de la délivrance venue, comme le
bœuf à J'étable, il baisse la tète et re-
prend le joug qu'on lui présente.
Elus de droite, élus de gauche, blancs
ou rouges, vous nous importez peu, à
nous, anarchistes.
La monarchie uttramontaine d'un
de Mun ne saurait plus nous dégoû-
ter où nous convenir que la Républi-
que d'un Lissagaray ou la Présidence
boulangiste prèchée par un Roche-
fort, et rougic par les massacres de
71 el. les menstrues d'une d'IJzès.
Plus sales vous serez, plus vite vous
achèverez de pourrir votre milieu,
plus tôt sonnera l'heure du coup de
balai final : car ce qui pue, révolte.
Entrez donc à la Chambre, le beau
rêve de vos ambitions est enfin accom-
pli. Sachez y entrer majestueusement,
de trois-quarts, de face ou de profil,
la tèle haute comme il convient à
ceux qui posent pour l'Histoire —
sans la connaître — et visent à l'Im-
mortalité. On nesait jamais comment
on sortira de cette maison-là
Mais qu'est-ce que lu vas bien pou-
voir y faire, toi, Roche, dont la tète
est plus dure que celle du cristal dont
tu as le nom, toi dont la platitude du
caractère n'a d'égale que celle des
pieds de ton patron, toi dont une main
amie fait les artieulets à l'Intransi-
geant et écrit les discours que tu ap-
prends par cœur ?
N'est-ce pas assez déjà d'avoir trahi
Blanqui ?
El toi, Granger, dompteur de lions
populaires en carton, clown balourd
en lunettes, qui ne sait plus sauter
par-dessus ni Dieu ni maître, ose-
ras-tu toujours tramer de noirs com-
plots en face du terrible trésorier-
payeur de- la questure ?
Toi, Mermeix, que déculottait un
regard de la baronne d'Ange, est-ce
chez elle que tu as appris à calmer
les souffrances, éteindre les passions,
résoudre enfin les questions sociales ?
Et vous autres, les Jourde, les Du-
may, les Boyer, les Barrés, etc.,
pseudo-socialistes ;
Vous qui avez Jaluzoté le suffrage;
Vous qui avez laissé franchir le lit de
vos femmes afin de mieux franchir
le seuil du Palais-Bourbon ;
Vous êtes de jolis cocos, ma foi !
Si vos électeurs ne se félicitent pas
sincèrement de leurs choix, nous, je
vous le jure bien, nous nous en réjouis-
sons.
ERNEST GEGOUT.
CHANSON D'ATTAQUE
Aux exploités
Peuple 1 Entends-tu parler tes maîtres ?
Ils disent que des milliers d'êtres
Vont Je nouveau les acclamer;
Que tu vas oublier ta haine ;
Qu'on va voir la conscience humaine
Au fond des urnes s'abîmer.
O peuple ! Entends-tu leurs ieijures?
Ils prétendent que tes murmures
Ne peuvent pas les effrayer;
Que tu te plais dans l'esdavage;
Qu'ils n'ont pas à craindre l'orage
Menaçant de les balayer.
Les politiciens te trahissent.
Tous sont vendus 1 Tous ils s'unissent
Contre la Révolution,
Et pour prix de leurs forfaitures,
Ils quémandent des signatures
Au pacte de soumission.
Mais pauvre sera leur récolte,
Car le souffle de la révolte v
Renversera le dieu Scrutin.
C'est fini: l'autorité crève 1
Ici l'émeute et là la grève.
Sus aux Schrader 1 Sus aux Watrin 1
Il va s'écrouler le vieux monde.
Du terrible ouragan qui gronde,
0'1 entend déjà les rumeurs.
Al/olls 1 debout lies faméliques 1
Exploités, préPare, vos piques,
Pour les têtes des affa meurs.
Plus de maîtres et plus d'esclaves !
A la liberté plus d'entraves !
Avachis, devenez fougueux,
Et faites voir, ô prolétaires 1
Qu'il coule encor dans vos artères
Le sang des Jacques et des Gueux.
Lucien WEIL.
Notre amie et collaboratrice Louise Michel
fera paraître très prochainement, à la librai-
rie internationale, 37, rue Gracieuse, un
nouveau volume : PRISE DE POSSESSION.
Du 19 au 2(; Octobre 1889.
L'ATTAQUE
Organe hebdomadaire Anarchiste
PARAISSANT LE SAMEDI
ABONNEMENTS
UN AN 5 fr.
Six MOIS 3 fr.
TROIS MOIS 1 fr. 50
Les Annonces sont traitées à forfait aux buriaux
du Journal
Rédacteur délégué :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
130, RUE LAFAYETTE, 120
<
Secrétaire délégué : S. MOUG/N.
VOTARDS ET ÉLUS
Ils sont allés à l'Urne comme ils
vont au pot, poussés toutefois par un
besoin différent.
Octave Mirebeau, cet impuissant
quoique sincère observateur des si-
tuations sociales qui le dominent, en
a donné la véritable raison, dans le
Figaro: A laville comme aux champs,
les volards ont agi sous la poussée de
promesses aussi alléchantes que fal-
lacieuses, mais d'autant plus irrésis-
tibles qu'elles étaient irréalisables.
Oui, irréalisables parlementairement,
irréalisables surtout par ceux qui les
jettaient à pleines lèvres, tout en sa-
chant et leur incapacité intellectuelle
et leur impuissance d'action.
Ce qui est sorti de l'urne vaut ce
qui sort du pot. Il eut donc été plus
prudent de réserver pour l'un le pa-
pier que l'on a jeté dans l'autre.
MM. les votards, vous êtes tous des
dupés, tous, entendez-vous !
ParLisans des régimes disparus, vos
candidats ne sont que des employés
de pompes funèbres dont vous payez
l'entretien. Vous vous êtes dérangés
pour réclamer un empereur ou un roi
qui vous aurait grugés dans les grands
prix ; vous n'avez et ne pouviez avoir
qu'une république « intègre » dont les
représentants continueront à vous
voler honnêtement jusqu'à la gauche.
Crapauds qui coassez timidement
dans le marais des Centres, ne dési-
rant après une féodalité archi-sécu-
laire et tracassière qu'une douce paix
— récompense de vos vols aussi mul-
tiples que laborieux — regardez au
Nord et au Midi, puis à l'Est et à
l'Ouest : d'autres crapauds voleurs et
plus affamés que vous, sortent de leurs
marécages internationaux et s'avan-
cent en coassant d'envie. Ceux que
vous avez choisis pour vous défendre
s'en foutent! l'heure de vos conflits
sera celle de leur curée.
Vous, pauvres frelons qui allez
bourdonnant des rengaines libertai-
res, réformatrices, radicales, n'avez-
vous pas vu les plus audacieux des
vôtres se briser constamment la tête
contre le plafond lumineux de la « ru-
che en travail » et retomber, soumis,
en cellule! Alors?.
Et vous, révolutionnaires, vous,
socialistes, vous qui, plus que tous
autres avez été roulés comme des
tuyaux de pipes par les JotTrin, Basly,
Ferroul, Camèlinat, l'lanteau, vous
qui, à certaines heures, lorsque la
coupe des trahisons est pleine jusqu'à
la lie, reconnaissez avec nous que
quiconque met le pied sur le terrain
parlementaire lâche le camp sociar
liste, vous avez maintenant pour soit-
tenir vos revendications, défendre
vos intérêts, diriger vos aspirations
et maintenir haut et ferme votre
drapeau, les mêmes hommes qui vous
ont déjà trahis, et d'autres qui, élevés
à leur école, ne tarderont pas à le
faire.
Et vous, pauvres idiots que j'allais
oublier, énervés de la Butte en butte
aux luttes boulangeardes, qui tombez
en joyeux délires à la vue d'un pa-
nache, d'un bancal et d'une paire de
hauts croquenots, vous avez cru ou-
vrir un « courant » au mécontement
populaire et agir révolutionnaire-
ment en vous groupant derrière une
poignée de crasseux ignorants, de
ruffians et de renégats ambitieux tels
que les Roche, les Mermeix et les
Granger, ces filles à soldat !
Vous n'êtes donc plus dégoûtés de
la merde depuis qu'un général y
trempe ?
Vous tous, qui avez voté par habi-
tude, par naïveté, par passion, par
besoin d'affirmer votre droit d'élec-
teur, le premier des droits de mossieu
Prudhomme, regardez donc Constans
qui rit de sa place, Beaux veaux !
*
* *
Le vote est bien la maladie « tin de
siècle ».
Une maladie qui n'engendre ni poux,
ni puces, ni punaises, mais quelque
chose de pire : le maquereautage po-
litique, l'exploitation sociale.
Et pour avoir le droit d'en user, le
Peuple est toujours prêt à se faire
casser la gueule !
Durant chaque législature, il hurle
sous le fouet des maîtres qu'il s'est
donnés ; il a honte de sa duperie ; sa
pudeur d'homme libre se révolte, et
il a liàtede s'émanciper, puis.l'heure
de la délivrance venue, comme le
bœuf à J'étable, il baisse la tète et re-
prend le joug qu'on lui présente.
Elus de droite, élus de gauche, blancs
ou rouges, vous nous importez peu, à
nous, anarchistes.
La monarchie uttramontaine d'un
de Mun ne saurait plus nous dégoû-
ter où nous convenir que la Républi-
que d'un Lissagaray ou la Présidence
boulangiste prèchée par un Roche-
fort, et rougic par les massacres de
71 el. les menstrues d'une d'IJzès.
Plus sales vous serez, plus vite vous
achèverez de pourrir votre milieu,
plus tôt sonnera l'heure du coup de
balai final : car ce qui pue, révolte.
Entrez donc à la Chambre, le beau
rêve de vos ambitions est enfin accom-
pli. Sachez y entrer majestueusement,
de trois-quarts, de face ou de profil,
la tèle haute comme il convient à
ceux qui posent pour l'Histoire —
sans la connaître — et visent à l'Im-
mortalité. On nesait jamais comment
on sortira de cette maison-là
Mais qu'est-ce que lu vas bien pou-
voir y faire, toi, Roche, dont la tète
est plus dure que celle du cristal dont
tu as le nom, toi dont la platitude du
caractère n'a d'égale que celle des
pieds de ton patron, toi dont une main
amie fait les artieulets à l'Intransi-
geant et écrit les discours que tu ap-
prends par cœur ?
N'est-ce pas assez déjà d'avoir trahi
Blanqui ?
El toi, Granger, dompteur de lions
populaires en carton, clown balourd
en lunettes, qui ne sait plus sauter
par-dessus ni Dieu ni maître, ose-
ras-tu toujours tramer de noirs com-
plots en face du terrible trésorier-
payeur de- la questure ?
Toi, Mermeix, que déculottait un
regard de la baronne d'Ange, est-ce
chez elle que tu as appris à calmer
les souffrances, éteindre les passions,
résoudre enfin les questions sociales ?
Et vous autres, les Jourde, les Du-
may, les Boyer, les Barrés, etc.,
pseudo-socialistes ;
Vous qui avez Jaluzoté le suffrage;
Vous qui avez laissé franchir le lit de
vos femmes afin de mieux franchir
le seuil du Palais-Bourbon ;
Vous êtes de jolis cocos, ma foi !
Si vos électeurs ne se félicitent pas
sincèrement de leurs choix, nous, je
vous le jure bien, nous nous en réjouis-
sons.
ERNEST GEGOUT.
CHANSON D'ATTAQUE
Aux exploités
Peuple 1 Entends-tu parler tes maîtres ?
Ils disent que des milliers d'êtres
Vont Je nouveau les acclamer;
Que tu vas oublier ta haine ;
Qu'on va voir la conscience humaine
Au fond des urnes s'abîmer.
O peuple ! Entends-tu leurs ieijures?
Ils prétendent que tes murmures
Ne peuvent pas les effrayer;
Que tu te plais dans l'esdavage;
Qu'ils n'ont pas à craindre l'orage
Menaçant de les balayer.
Les politiciens te trahissent.
Tous sont vendus 1 Tous ils s'unissent
Contre la Révolution,
Et pour prix de leurs forfaitures,
Ils quémandent des signatures
Au pacte de soumission.
Mais pauvre sera leur récolte,
Car le souffle de la révolte v
Renversera le dieu Scrutin.
C'est fini: l'autorité crève 1
Ici l'émeute et là la grève.
Sus aux Schrader 1 Sus aux Watrin 1
Il va s'écrouler le vieux monde.
Du terrible ouragan qui gronde,
0'1 entend déjà les rumeurs.
Al/olls 1 debout lies faméliques 1
Exploités, préPare, vos piques,
Pour les têtes des affa meurs.
Plus de maîtres et plus d'esclaves !
A la liberté plus d'entraves !
Avachis, devenez fougueux,
Et faites voir, ô prolétaires 1
Qu'il coule encor dans vos artères
Le sang des Jacques et des Gueux.
Lucien WEIL.
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