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Titre : Mémoires de Louise Michel écrits par elle-même

Auteur : Michel, Louise (1830-1905). Auteur du texte

Éditeur : F. Roy (Paris)

Date d'édition : 1886

Sujet : Michel, Louise (1830-1905)

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb14651574z

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30942491g

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (VIII-[2]-490 p.) ; in-18

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Description : [Mémoires (français)]

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Autobiographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k83088k

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Ln27-36161

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Satory et des chantiers, mais contre l'infâme manœuvre de ce départ, puisque j'appartenais aux conseils de guerre et non à la préfecture de police, qui voulait différer éternellement mon jugement, tout en m'insultant dans celui des autres femmes (affaire Retef et Marchais). Voici la lettre de M. Marchand

Mademoiselle,

Je réponds à votre lettre aussitôt sa réception. M. Ducoudray, à qui vous avez écrit hier, 15, est mort avanthier subitement de la rupture d'un anévrisme, dans la cellule où il allait voir Ferré.

Votre protestation au greffe vaut certainement mieux qu'une scène de violence. Si vous voulez être jugée promptement, il vous faudrait écrire au général Appert ou au colonel Gaillard, au besoin par lettre chargée et notification de la réception, pour que la poste n'égare pas la lettre.

Recevez, mademoiselle, mes salutations.

H. MARCHAND, avocat.

Ce 16 novembre 1871.

Ce n'était point assez des jours de Mai où, comme les fleurs des pommiers au printemps, les rues étaient couvertes de blanches efflorescences mais il n'y avait pas d'arbres, c'était du chlore sur les cadavres.