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Titre : L'Ouest-Éclair : journal quotidien d'informations, politique, littéraire, commercial

Éditeur : [s.n.] (Rennes)

Date d'édition : 1925-02-12

Contributeur : Desgrées du Lou, Emmanuel (1867-1933). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32830550k

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32830550k/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 135307

Description : 12 février 1925

Description : 1925/02/12 (Numéro 8518).

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale

Description : Collection numérique : BIPFPIG14

Description : Collection numérique : BIPFPIG29

Description : Collection numérique : BIPFPIG35

Description : Collection numérique : Fonds régional : Bretagne

Description : Collection numérique : Yroise, bibliothèque numérique de Brest

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k647914r

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 27/11/2008

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Le temps est dur aux classes moyennes

Nous vivons à une époque où l'existence féminine doit se préoccuper de n'être plus tributaire de l'existence masculine. Un changement passager espérons-le des conditions économiques a mis les jeunes filles de la classe moyenne, les filles de ce « Français moy'en cher à M. Herriot, dans le cas de suffire à elles-mêmes. Quelle évolution profonde s'est faite, sous nos yeux, depuis trente ans, dans les mœurs de la Bourgeoisie française ». s'écrie dans un article de la Revue de France M. Henri Robert. Il faut se remémorer ce passé tout proche pour mesurer le chemin parcouru. Il semble que. dans ces dernières années, le mouvement se soit précipité, qu'il ait pris soudain plus de forme et d'ampleur.. la raison, hélas, elle est connue.

Il y a aujourd'hui cinq rivales pour un fiancé possible, et les hommes cinq fois plus rares, en sont devenus cinq fois plus exigeants. Tant et tant de jeunes filles françaises et ce ne seront ni les moins jolies ni les moins méritantes, se verront condamnées à s'approcher frileusement du bonheur des autres, du foyer des autres, des enfants des autres 1 Pourcant ^lles ne se plaignent pas. Leurs mères étaient courageuses elles-mêmes mettent un courage égal à se préparer au célibat elles ont l'intelligence des nécessités de l'heure, et même elles acceptent allègrement l'obligation du travail. Les écrivains, les romanciers d'aujourd'hui se penchent volontiers sur ce qu'il* appellent l'énigme de la jeune fille moderne pour tenter «le la déchiffrer ils cherchent, dans le sillafie de M. Marcel Prévost, en quoi la Françoise de 1825 diffère de la Françoise des années 1880 ou des années 1900. Peine inutile Je croirais, pour ma part. avec M. Antoine Rédier, qu'il n'y a pas de jeunes filles modernes, mais des charges et des responsabilités nouvelles pour les jeunes filles Le cadre de la société moderne se prête-t-il à cette nouveavté T Et d'autre part. est-ce que son entourage met quelque fntelligenca et quelque courtoisie à « faire sa place à la jeune fille qui veut se suffire elle-même T Hélas, portez autour de vous un regard scrutateur et vous constaterez bien vite que si la société a des sourires pour quelques-unes, eUe a pour les autres l'abord bien sévère. Trtrp de familles bourgeoises ont pensé découvrir dans le baccalauréat la clef de l'avenir féminin. le secret d'Ali-Baba. Elles n'y trouvent souvent que déceptions par la suite. A commencer par les professions libérales 6.

Cent cinquante jeunes femmes ou jeunes filles sont inscrites an barreau de Paris et le nombre des étudiants en droit. Paris et en province, s'accroît de plus en plus rapidement. Dans la plupart des études d'avoués. de futures avocates s'initient aux beautés de la procédure. Or, si Me Henri Robert prend plaisir nous confier que l'entrée de la jeune fine dans le sombre Palais a rendu la vie judiciaire plus agréable et plus attrayante, discrètement il met en garde ses lectrices rontre les fatigues et les déceptions d'un jong professionnel trop lourd pour leurs délicates épaules. Une plaidoirie demande une dépense d'énergie et une tension aussi grande qu'un dur assaut d'escrime. Il faut. de plus, pour retenir l'attention et pour convaincre, une qualité que l'on rencontre rarement chez la femme l'autorité. En fait, les avocates, pour la plupart, se cantonnent dans leur cabinet de consultation ou remplissent des charges de secrétaire auprès d'un confrère masculin. Elles, et leurs mères, avaient espéré mieux.

Les études scientifiques sourient d nombre de nos lycéennes. Nous avons, déjà. beaucoup de doctoresses et pas mal de pharmaciennes. La grande majorité dos premières. lassées d'attendre une clientèle boudeuse, trouve une façon d'exutoire pour leurs capacités dans les hôpitaux, les pouponnières, les cliniques. Quant aux secondes, combien possèdent une officine ? T On peut les compter sur les doigts les autres occupent dans l'officine d'un confrère un emploi de préparatrice ou bien, mariée, se font l'auxiliaire de leur mari. Bien médiocre récompense à de si gros efforts 1

Les jeunes Françaises ont une faveur marquée pour les carrières de l'Enseignement. Ce ne sont pas les moins pénibles et ce sont les plus ingrates. Si vous n'avez pas passé par Sèvres ou par Fontenay, si vous n'avez pas en poche le diplôme d'agrégation, si Ion?, si long à conquérir. et si cher, toute une vie de médiocrité point du tout dorée vous attend.

Restent les fonctions administratives. Elles sont très courues. La « petite fonctionnaire est légion chez nous. Malheureusement les cadres des administrations Postes. Cliemins de fer, Finances, manquant d'élasticité et il y a, au delà, pléthore de candidat. D'ou l'obligation de marquer le pas. Et que d'élues ont le sentiment d'un'e déchéance Vous en connaissez tous. des bachelières, voire des licenciées, qui se félicitent d'occuper dans quelque bureau de l'Etat un poste d'expéditionnaire qu'on leur a « généreusement offert, avec ou sans concours

Oui, vraiment, la « classe moyenne a a quelque raison de gémir. Les impasses et les fausses trappes foisonnent sur la route qu'il lui faut suivre. La classe moyenne, qu'est-ce donc exactement La notion varie suivant qu'on se place sur le plan strictement économique. ou sur le plan social ou sur le plan mondain, ou encore sur le plan des valeurs et des influences Intellectuelles. Je m'en tiens. pour mn. part, A la formule du P. Cubruel On appartient aux classes

moyennes quand, ayant besoin pour vivre et faire vivre les siens de son travail quotidien, on a cependant un^ acquit matériel, intellectuel ou social (relations) qui .vous donne une certaine indépendance à l'égard de ce travail C'est là une condition assez répandue en France. Eh 1 bien, cet acquit, cette indépendance, il n'est pas sûr, maintenant que ses filles doivent choisir une carrière. que la bourgeoisie française les conserve. Les conditions économiques pourraient bien l'obliger peu à peu à sacrifier le luxe de l'esprit ». Elle y perdra, avec le temps,' son influence sociale. Les caractères perdront de leur aménité, les mœurs prendront de la rudesse et les habitudes du laisser-aller. Il y aura éclipse du savoir et de l'intelligence. Moins de charmantes promenades au royaume des lettres et des arts, donc moins de culture vraie. La société polie fera peau de chagrin. Un peu de son charme sera ûtéà à la belle et noble figure de la France. Avec l'esprit, le cœur sera touché. L'étranger nous reconnaît volontiers le don de la sensibilité, il en fait la marque distinctive de notre affinement intellectuel et de note sociabilité. Or, c'est dans le milieu familial que l'éducation du cœur prend son développement, c'est la vie de famille qui fait fleurir chez la femme l'abnégation et toutes les qualités de tendresse. Qu'arrivera-t-il si les exigences de leur profession ne laissent plus A nos filles le temps d'orner leur esprit ni celui de se préparer à leur rôle naturel d'épouses et de mères T

Si rien ou presque rien ne doit demeurer des survivances d'une époque où la vie était si douce et si heureuse en famille, où l'on vivait avec charité, où la mère prenait le temps d'apprendre à aimer et se donnait pleinement à cette tâche, il est à craindre que la disgrâce d'un dessèchement des fibres de la sensibilité ne vienne frapper la société française. Déjà cette chose exquise, l'amitié, tend à disparaître. « Dans la vie absurde que nous menons, disait M. Antoine Redier, directeur de la Revue française, au cours d'une conférence récente, il n'y a plus de place pour les amis et les soins qu'on leur rendait autrefois. • Nos amis les Anglais ont leurs flappers », petites jeunes filles émancipées qui organisent leur vie sous la poussée d'un égoïsme- presque brutal. Devrons-nous quelque jour, nous aussi, déplorer pareil malheur ?

Eucene LE BRETON.

Me DEMANGE,

L'AVOCAT DE DREYFUS, EST MORT

PARIS. 11 février. On annonce la mort survenue -cette nuit cn son domicile, de M» Edgar Démange, doyen de l'Ordre des avocats. commandeur de la Légion d'honneur. Né Versailles'le 22 avril 1841, il avait prêté n serment d'avocat en 1862 et, dès la même année il était nommé secrétaire de la conférence.

Sa grande éloquence lui valut rapidement une renommée d'avocat d'assises. Il plaida dr.ns les plus grandes affaires criminelles de sa longue carrière, à Paris et en province Dans J'affaire Victor Noir, il plaida pour le prince Pierre Bonaparte; dans l'affaire Dreyfus, il défendit à Paris et à Rennes le capitaine Dreyfus: les affaires Garrigue, Fenayr,ou. Pranzini. narmi tant (Vautres, le virent h la barre et on se souvent que devant la Haute-Cour il fut l'un des défenseurs de M. Calllaux.

LA LIBÉRATION

DU DEUXIÈME CONTINGENT DE LA CLASSE 1923

PARIS,' 11 février. LI" Ministre de la Guerre a décidé que le deuxième contingent de la classe 1923 serait libéré du 25 au 30 avril 19"5.

DEPUIS DIX ANS

IL PASSAIT POUR MORT Nancy, 11 février. La gendarmerie de Saint-Nicolas-rîu-Port a arrêté, à Varangeville, un nommé Jean Vicaire, porté disparu ie 9 mai 1915, à l'attaque de heuville-SaintWaast.

Jean Vicaire figurait sur le monument aux morte de la commune de Varangevllle. LES INCIDENTS DE DOUARNENEZ Plusieurs misea en liberté provisoire QUI.MPÊR, 11 février (de noire correspondant particulier). Hier, le juge d'instruction n signé une ordonnance de mise en libnrté provisoire concernant Huot, Evano, Rose]. nehu, Kreimer, Ureachminech qui furent arrêtés à la suite des bagarres de Donarnenez, et rejetant la demande formulée par tous les autres inculpés.

Ceux-ci ont immédiatement fai! opposition. De son côté. la partie civile a formulé une apposition à l'ordonnance du juge. L'affaire sera donc soumise pour tous les inculpés, a l'appréciation de la clumbre des mises en accusation qui statuera en dernier ressort.

Le gouvernement avoue

son impuissance à relever les

pensions des mutilés VA-T-ON RECOURIR

A UNE ÉMISSION DE BONS OU D'OBLIGATIONS ?

PARIS, il février. Ce matin a eu lieu iL la Chambre une réunion à laquelle assis- taient le président du Conseil, le ministre des Finances et des Pensions, le président et le rapporteur général de la Commission des finances, le rapporteur du budget spécial des pensions, ainsi que les délégués du Comité d'entente des grandes associations de mutilés.

Le coefficient de majoration de 80 a été admis en principe. Toutefois le ministre des Finances a indiqué que la Trésorerie ne lui paraissait pas en état de fournir à la caisse des pensions les sommes nécessaires à ce relèvement.

Diverses solutions ont été envisagées et la réunion parait surtout avoir retenu un pro- jet d'émissions de bons ou d'obligations qui permettrait d'alimenter la caisse des pensions.

Cette émission serait effectuée avec l'appui et la coopération des grandes associations de mutilés qui s'estiment en mesure d'assurer son succès. Toutefois, aucune décision n'a été définitivement arrêtée au cours de la réunion.

LA SITUATION

UN COUP D'ŒIL

SUR LA LOI DE FINANCES M Viollette, qui est aussi optimiste que M. Vincent Auriol, espère que le budget des dépenses s"ra voté par la., Chambre à. l.a. fin du présent -mois. Après- quoi, on aborfera lé %uâgçfc -des'~receiïes. Or, la loi des finances compte 980 articles, et même avec une réglementation amiable et étroito du droit de parole, il faudra bien des séances pour arriver au but. Plus de cent amendements sont déjà déposés; quand le texte complet du rapporteur général sera distribué aux députés, ceux-ci pourront encore pendant dix jours proposer des amendements, et ils ne s'en feront pas faute, car le texte de la Commission donnera lieu à bien des critiques.

Pendant co temps-là, nous vivrons sous le régime des douzièmes provisoires, c'est-à-dire qu'on appliquera à l'année 1925 le budget de 1924; ce dont les contribuables ne devront pas se plaindre, car ce dernier budget de MM. Poincaré et de Lasteyrie s'est parfaitement équilibré, bien qu'on ait dit le contraire à l'extrême gauche.

On attend avec curiosité les innovations proposées en ce qui concerne l'impôt sur le chiffre d'affaires. II y a eu un communiqué de la Commission, mais le texte définitif n'est pas encore arrêté.

a La Commission, dit le rapporteur général, s'est surtout préocuppé des impôtà qui atteignent la fortune acquise, et son plus grand souci a été de combattre la fraude; à propos de l'impôt sur les traitements et salaires, l'article 7 propose un abattement de 7.000 fr. uniforme pour toute la France; cet abattoment sera augmenté de 8.000 fr. pour ln femme, si elle n'a nr.s de revenu personnel, de 3.000 fr. par on^nt et de 2.000 fr. pour chacune des autres personnes à la charga du contribuable. La fraction comprisse entre le minimum exempté et 9.000 fr. sera comptée scnlement pour moitié ».

En ce qui touche l'impôt général sur le revenu, le Gouvernement voulait autoriser le recours aux signes extérieurs pour le contrôle des déclarations. La Commission propose cette rédaction « Dès que le contrôleur aura réuni des éléments précis, permettant d'établir que les dépenses d'un contribuable sont notoirement supérieures au revenu qu'il a déclaré, il devra les soumettre au contribuable et celui-ci sera tenu de justifier la différence

On tiendra donc compte, comme avant l'institution de la. déclaration, du loyer, mais aussi des automobiles. des domestiques, des ehnsses, des villégiatures, etc.

Est supprimée dans le projet de In Commiasion la faculté pour le contribuable de déduire de ses revendus le montant de l'impôt général payé l'année préoédnnte, la fraction du revenu tenue povr nulle dans le calcul de l'impôt est portée d" G à 7.000 fr. plus les initrrvs abattements s'il va a lieu. Pour l'échelle des taux, la Commission proiosn une progression pins accentuée, ce (lui doit se tiraduire par une plus-value ri» 70 h 8f> millions. Tout or.la naturellement est sujet à discussion et à retouches.

LE BAIL DE L'OCTOGENAIRE HOME, 11 février. M. GiOlittl, l'homme d'Etat italien qui va atteindre 85 ans, a été invité par son propriétaire à renouveler son bail.

M. Giolittl accepta, mnis d une condition, C'est que le nouveau bail soit de 25 ans.

Un avion de la mission Paris-Tchad s'écrase sur le sol

LE SERGENT VANDELLE EST TUÉ ♦••♦••♦

Le colonel Vuillemin et les autres passagers sont blessés

L'équipage

du « Jean-Casale » Au centre, le colonet Vuillemin et le capitaine Dagneaux; à gauche, le sergent Knecht, mécanicien à droite, le sergent Vendelle, radiotélégraphiste, qui a trouvé la mort dans l'accident.

PARIS, 11 février. Le Gouverneur de l'Afrique Occidentale Française télégraphie ce qui suit

DAKAR, 10 février. (13 heures). Colonel de Goys télégraphie de Niamey «Avion Vuillemin s'écrase au sol au départ de Niamey. Sergent Vendelle tué. Colonel Vuillemin, capitaine Dagneaux, sergent Knecht blessés. a

Signé: CARDE.

Dans un télégramme adressé au Soussecrétariat d'Etat de l'Aéronautique, le colonel de Goys confirmé la nouvelle de l'accident survenu à l'avion du colonel Vuillemin et communiquée par le Gouverneur général de l'Afrique Occidentale Française.

Dans son télégramme, le colonel de Goys dit que dès qu'il sera fixé sur l'état des blessés, il continuera son voyage vers le Tchad.

La victime de l'accident, le sergent Gaston Vendelle. élait né le 17 juillet 1901 il SaintDizier. Engagé pour trois ans à Belfort le 21 février 1921, il avait été versé au 2" régiment d'Aviation de chasse à Strasbourg. Nommé caporal le 1" décembre 1921, Venclelle avait éli détaché pour un poste radio-télégraphiste. En juillet 1922, il avait élé ii nouveau détaché pour un stage de mécanicien électricien en 1924. Breveté mécaniclen-éfectricien et affecté au Centre d'études de l'Aéronautique à Versaines. c'est là qu'il avait fait la connaissance

Gu capitaine Dagnaux. détaché lui-même a ce! centre.

Quand il apprit l'expédition aérienne au Lac Tchad, le sergent Vendelle exprima le désir d'en faire partie. Ses connaissances techniques le firent facilement agréer.

Niamey est situé dans le Haut-Niger, à environ 320 kilomètres de Gao. Les aviateurs s'apprêtaient à effectuer l'étape Niamey-Madoua (480 km.-) Il leur restait environ 2.5Î0 kilomètres à parcourir pour atteindre Eangul, point extrême de leur raid situé à la frontière, nord du Congo.

Depuis leui- départ de Bue, le dimanche 18 janvier, la mission aérienne du Tchad a couvert 4380 kilomètres, passant successivement par Avord. Perpignan. Alicante. Oran, ColombBéchar. Beni-Abbès. Adrar, Ouallen. Tessalit. Bourem. Gao et Niamey où a eu lieu le fatal accident.

On sait que l'appareil sinistré, le Jean Casale. était monte par le lleutenant-colonel Vui!le,min. le capitaine Dagneaux. le sergent mécanicien Knecht et le sergent radio-télé.qTaphisle Vendelle, dont on annonce la fin tragique.

Le Jean Casa le pst un très grand appareil, genre aérobus. muni de quatre puissants moteurs de 180 C.V. et qui pèse en pleine charge 3.000 kilos.

Ijc: Jeon Casale voyngeait en compaenie du lioland Garros, appareil identique, monté par le colonel .de Goys. chef de l'expédition. le capitaine Pelletier Doisy. l'adjudant Bésln et l'opérateur de cinéma Dely.

Le traitement des fonctionnaires à la Chambre M. Balanant signale la façon dont le gouvernement escamota son amendement voté. par la Chambre Un débat sur les bagarres de Marseille

Paris, 11 février. M. Bouysson préside la séance de la matinée.

On reprend la 'suite des chapitres réserves (articles 2-48 à 250 de la loi de finances) concernant les traitements des fonctionnaires

M. Viollette, rapporteur général de la commission des finances, donne lecture d'un rapport supplémentaire de la commission, rédigé depuis hier. Il explique que l'indemuité de résidence et l'indemnité pour charges de famille varieraient désormais avec l'indice du coût de la vie chaque fois que ces variations atteindraient 10 Chacune de ces variations entraînerait pour le Trésor une .charge ou un allégement de 120 millions. La révision serait annuelle, le budget de l'Etat et celui d'une famille étant eux-mêmes annuels.

En soumettant ces propositions la Chambre, M. Viollette tient Il déclarer qu'en les établissant, la commission a obéi avant tout au souci de reclasser le franc.

Auprès une intervention de M. Gamard, M. Balanant, député démocrate du Finistère, monte a la tribune. Il félicite la commission et le gouvernement, (qui n'est pas présent M son banc), d'avoir accepté l'amendement de M. Landry en ce qui concerne les charges de famille des fonctionnaires. « Mais que fera-t-on dans ce sens pour les employés et ouvriers d'Etat à salaire ou a traitement régional ? p, demande M. Batanant. Un totsr de passe-passe

M. Balanant'. J'avals obtenu, à quelques voix de majorité que l'indemnité de MK) francs leur fut accordée. Le Ministre des Finances combattit cet amendement au Sénat, et quand, au cours de la séance de nuit, la commission nous invita accepter le texte tel qu'il revenait à nouveau du Sénat, le rapporteur Rênêral omit d'appeler l'attention de la Chambre sur cette question.

Le RAPPORTEUR général (interrompant). Le malentendu tient à ce que le Sénat n'avait pas modifié le crédit supplémentaire adopte par la Chambre mais le crédit ne suffisait pas; il fallait un texte législatif qui n'a pas été voté.

M. Balanant. Le Ministre des Finances et c'est cela qui est grave a dpclaré au Sénat que l'amendement avait été écarté en deuxième lecture par la Chambre et que ce point avait été précisé par M. Violette. LE RAPPORTEUR général. C'est inexact, en effet. (Des exclamations nombreuses se font entendre sur tous les bancs).

M. Balana&t. Des confusions de cette nature ne sont pas très parlementaires •. (Le centre applaudit). En tout cas, je demande réparation de cet incident dont la Chambre n'est nullement responsable. En commettant une erreur devant le Sénat, le ministre a contracté il l'égard de la Chambre une dette qu'on lui demandera de payer.

Revenant il l'étude des conditions dans lesquelles l'indemnité de 500 fr. a été accordée aux diverses catégories de bénéficiaires. M. Ralanant signale que certains auxiliaires l'ont reçue, alors qu'on la refusait à d'autres auxiliaires chargés du même travail dans le même bureau.

M. Balanant. D'après les instructions du ministre des Finances, n'avaient droit al l'indemnité que les employés directement au service de l'Etat appartenant a un cadre organisé ,rétribués d'a.prc's une échelle de traitements régulièrement fixée et non recrutés de gré à gré.

Cette définition s'applique notamment, dans sa stricte exactitude, aux employés du ministère des Pensions autres que ceux de l'administration certrale. Or. ils n'ont pas reçu l'allocation de 500 fr. En revanche, certains employés et ouvriers payés ta iotri* née l'ont touchée.

La question paraissant un peu embarra»v^


sante ponr la Chambre qui semble avoir éts induite en erreur par le Gouvernement et la Commission, la suite de la discussion est renvoyée à l'après-midi. peut-être à 3 heures y verra-t-on un peu plus clair.

La séance de l'après-midi

A 3 heures, sous la présidence de M. Painlevé. M. Balanant continue son discours. Les députés sont plus nombreux qu'hier On considère avec une certaine curiosité le contraste qu'offre aux regards la silhouette 1 animée de M. Balanant toujours à l'aise a .la tribune et la physionomie perdue de M. Palnlevé qui le domine de son air distrait. M. Balanant rappelle avec courtoisie à la Chambre l'erreur où elle a été entraînée et l'illégitimité des omissions commise» pour l'établissement de l'indemnité de 500 fr. au préjudicie de certaines catégories de personneL

Dans l'administration des pensions, pour quoi des personnels payés au mois en ont ils bénéficié T

M. ABOUT. Il s'agit de savoir si les 500 fr étaient une avance ou une allocation.

M. Balanant. Le Sénat en a fait, contre notre gré, une allocation.

M. ViqLLErrE, rapporteur général de la Commission des finances. L'administralion a distingué entre les agents à traitsment national et les agents Il traitement régional. Ces derniers étant subdivisés euxmêmes en agents à traitement mensuel et agents à traitement journalier.

« Le travail de revisiou qu'on a réclamé est en cours les réajustements des rémunérations de tout ordre se poursuivent ils seront achevés avant la fin de l'année.

a N'y nura-t-U donc plus qu'une catégorie d'employés T Le Parlement statuera mais Il devra apprécier d'abord le coût de cette unification et il atteindra un chiffre important.

M.' Balanant fait observer que le directeur du budget, commissaire du Gouvernement, avait déclaré en décembre que les 500 francs seraient réservés aux agents touchant un traitement, non un salaire.

M. Balanant. Or, la Chambre a repoussé cette thèse en adoptant un amendement que J'avais proposé. Certains personnels ont reçu une indemnité uniquement en représentation des 33 de l'indemnité de résidence accordée à d'autres et qu'ils n'avaient pas toucher. M. LE Rapporteur général. Le Commissaire du Gouvernement a dit que dans 180 villes la revision était faite.

vCOn a trompé la Chambre » M. Baunant. Depuis 1919 le personnel des pensions n'a pas éta augmenté, saut en 1924, dans une proportion minime.

On a trompé la Chambre en déclarant que les 500 francs feraient double emploi pour certains personnels avec des augmentations qu'ils auraient touchées et qu'en réalité ils n'avaient pas reçues.

A l'Arsenal de Brest, ce n'est pas 500 fr. qii'ont touchés les ouvriers, ce n'est que 372 francs.

« Là encore la. Chambre a été trompée. » M. Gouin. Les ouvriers des poudreries n'ont rien reçu

M. Baukaxt. La Chambre doit donc demander au Gouvernement et a la Commission de réparer les erreurs commises. (Applaudissements droite et à gauche.)

« hes employés qui se sont vu refuser les 500 francs sous prétexte de salaire régional étaient souvent les moins payés C'étaient. par exemple, des copistes 283 itlancs par mois

M. Balanant rappelle la surprise 'après a éprouvée en lisant à Y'Olficiel que. d'après un, déclaration de M. Clémentel au Sénat, son amendement du 31 décembre aurait été écarté par la Chambre. En réalité, il avait été adopté. Le Sénat a disjoint, mais le ministre des Finances n'a plus rien dit a la Chambre.

NI. LE Rapporteur général. Vous ne parliez que des veuves.

̃ M. Balanant. Si j'avais apporté tous les renseignements que j'ai obtenus depuis, j'aurais obtenu l'unanimité. (Très bien.)

Il faut, en tout cas, que le ministre des Finances reconnaisse qu'il s'est trompé dans tes déclarations au Sénat et qu'il accorde aux ouvriers il salaire régional au moins approximativement les .J0 francs. • {Interruptions sur les 6ancs communistes, applaudistments au centre et droite.)

Passant à la question de l'indemnité mobile. M. Balanant se déclare satisfait, au moins en partie, des propositions de la Commission.

L'indemnité mobile

-Ni. Balanant. Mais il faut éviter certaines injustices. L'indemnité mobile ne sera accoriite qu'aux fonctionnaires bénéficiant déjà de l'indemnité de résidence ou de l'indemnité de charges de famille. En réalité. l'indemnité mobile doit être attachée au traitement. Le coût de la vie n'augmente-t-il pas aussi bien i>our le père et la mère que your leurs entatnts T î«"augmente-t-il point aussi dans bien de$ localités où l'indomnité de. TésJdence n'existe pa« T {Très bicn Très bien au centre et sur les bancs communistes.) M. LE Rapport>:i;ii générai.. Pensez aux charges du budget-!

M. JJalaxant. Pensez à ce qui se passera >i la vie augmente encore d'ici deux ans. Nous serons.obligés de reprendre la question. Accepte?, au moins pour. l'avenir, le principe de l'indemnité mobile attachée au traitement. C'est un geste de prévoyance que je vous demande. J'espère que vous ne le refuserez pas. {Applaudissements droite.) M. Clémentel répond

NI. Cuîmexto.. Si j'ai commi-s une erreur dans mes explications eu 31 décembre au Senat, ce fut bien involontairement je m'on excuse auprès de M. Glanant étant absent au moment du vote par la Chambre de l'amendement de M. Balanant, j'ai été renseigné inexactement par l'un des commissaires du Gouvernement. {Exclamations.) n ne s'agissait d'ailleurs que des veuves aujourd'hui il s'nglt de tous les ouvriers il salairc régionll. Ces ouvriers ont le droit de ̃dtrr.nnder une revision de salaire a chaque variation d'indice atteignant 10 or ces re.visions ont été très fréquentes, tant pour les poudreries que pour les établissements du génie. »

M. Piqit_al. Pouvez-vous citer des chiffres de talairfs.

M. Clémentel. Si l'on faisait passet au salaire national tous les ouvriers il salaire régional, certains pourraient y perdre. (Interruptions.)

Le KOtiveroernent ne peut en tout cas sans crédits nouveaux accorder les 500 francs aux ouvriers à saluires régionaux.

M. Henri Tasso. Nous vous R's demandons au moins pour ceux qui ne touchent que 5.600 fr.

M. CUiMrvTEL. C'est tout le régime des salaires qu'il faudrait alors refondre. (lnterruptuitis ü l'extrûrne gaucho).

__« Jp ne puis rien promettre que de presser là révision des salaires. {Interruptions strr Us mêmes bortm).

Tant qu'il y aura des ouvriers à salaire

régional, il ne peut y avoir pour eux d'indemnité de cherté de vie.

'Les fonctionnaires mis la retraite au cours du dernier semestre ont reçu satisfaction de même les employés mis en disponibilité pour certaines maladies telles que la tuberculose.

M. Piquemal. Tous les bénéficiaires de congés de maladie doivent recevoir les 500 francs.

M. Clémentel. Je ne puis entrer dans cette voie nous devons défendre la Justice, et le Gouvernement n'y manquera point, mais aussi le budget. {Applaudissements à gauche).

M. Baunant. Je donne bien volontiers mon absolution laïque au ministre des Finances. Hais je demande que l'erreur soit corrigée. Sinon je demande le renvoi la Commission.

Le Ministre ne répond rien.

La clôture est prononcée.

M. Garchery et M. Balanant demandent le renvoi à la Commission auquel s'oppose M. M. About demande la parole sur le renvoi et la discussion rebondit.

L'indemnité mobile est votée Après un débat assez confus, on vote sur le renvoi la commission du nouveau texte, qui consiste à rendre mobiles à la fois l'inûemnijé de résidence et l'indemnité pour charges de famille et à décider que le taux en varierait chaque fois qu'une différence de 10 serait constatée dans l'indice de la vie pur rapport g l'indice de base au 1" janvier 1925, soit 400. C'est ainsi que la disposition jouera si, nu cours de l'année, cet indice était porté d MO.

Toutes les fois qu'il y aura lieu à l'application de cette mesure dans le sens de l'augmentation, ce sera pour le Trésor une charge supplémentaire de 120 millions Le renvoi, demandé, par MM. Garchery et Balanant et repoussé par la eommission, est repoussé par 334 voix contre 231.

Plusieurs amendements ont été déposés sur le nouveau texte de la commission et sont repoussés, en pnninilier un amendement démagogique de M. Piquemal voulant limiter la majoration aux traitements inférieurs a 15.000 francs.

L'article 2« est voté à mains levées. Les bagarres de Marseille On change alors de sujet.

M. Blaisot, député du Calvados, membre de 1 Union Républicaine, demande à interpeller le Gouvernement sur les incidents sanglants de Marseille.

M. Régis, de la Gauche républicaine (Bouches-du-RhOne) demande a interpeller sur le même sujet et sur les mesures que le Gouvernement compte prendre pour éviter le retour d'incidents semblables.

M. CHAUTEMPS. Je demande le renvoi à la suite. [Exclamations, mouvements divers). M. Blaisot monte à la tribune. Il déplore les événements qui se sont déroulés à Marseille.

AI. BLAisoT. .Le sang a coulé. Deux hommes ont été tués, plusieurs agonisent, une centaine ont été blessés. L'urgence du débat n'est donc pas discutable. {Interruptions). M. Simon-Reynaud. Vous récoltez ce que voua avez semé 1 (l'ives exclamations au centre).

M. Blaisot poursuivant son exposé dit que la réunion de lundi avait été annoncée dans les conditions les plus modérées. Une proclairviiVu de M. Flaissières, maire de Marseille, invitait la population au -calme. Maisles journaux qui reproduisirent cet appel insérèrent un communiqué- émanant de Comités politiques et invitant leurs adhérents à être tous présents pour répondre à l'offensi ve cléricale. {Interruptions et applaudissements à gauche).

M. Blusot. J'estime que ceux qui applaudissent prennent une lourde responsabilité. {Vifs applaudissements à droite). M. Bouteilu:. .En approuvait l'assassinat. {Vues exclamations et bruit gauche et à l'extrême gauche).

M. Blaisot. poursuivant son exposa, donne lecture d'un article du Petit Provençal commençant ainsi « Le général-marquis a eu sa sotrée et se terminant par cette constatation que le général est à l'abri alors que de pauvres bougres agonisent dans les hôpitlux

C'est un peu trop de cynisme, dit-il, car pauvres bougres sont victimes de ceux qui. avec l'aide du Petit Provençal, les ont appels à la bataille. {Vive* protestations Il l'extrême gauche et à gauche).

M. Canavelli. S'il y a eu quelqu'un de cynique, c'est celui qui. après avoir créé la légende du 15' corps, vient nous provoquer à Marseille. (Vives exclamations droite). M. Blaisot donne lecture du compte rendu de la soirée dans le Petit Provençal. Il regrette que le journaliste semble marquer sa satisfaction que surtout des curés aient été blessés (applaudissements, mouvements diacrs) et donne les noms des morts et la liste des blessés.

M. Herriot. Dont beaucoup d'agents. Les responsables

M. Blaisot. Oui, mais ce ne sont tout de même pas les auditeurs du gener.il de Castelnau qui ont assommé les agents {applaudissements au centre). Si les associations politiques des partis contraires n'avaient pas, pendant plusieurs jours, invité leurs troupes à une contre-manifestation, il n'y aurait pas eu de blessés.

Us communiste. Qui accusez-vous 1 M. Blaisot. Ceux dont je vous ai lu les appels de provocation.

Il y a quelques semaines à propos de Bobigny. M. le Président du Conseil disait avec émotion son horreur de la naque de sang annonciatrice de la guerre civile P. M. Blaisot ne veut pas douter que quand ses collègues seront renseignés sur les circonstances dc l'événement, tous soient d'accord pour le flétrir.

M. Blaisot en descendant de la tribune où il a été extrêmement modéré est vivement applaudi au centre et à droite.

M. Hegis lui succède ù la tribune il ne racontent que ce qu'il a vu de ses veux. M. Régis. C'est, me télégraphie-t-on, demain jeudi qu'auront lieu les obsèques des victimes. Je demande que les événements qui ont en lieu ne se reproduisent pas. A la réunion où j'assistais il n'y eut pas un seul mot violent prononcé. Le général de Castelnau est de ceux qui ont rendu justice au 15e corps. Ne le confondez pas avec le sénateur Gervais et le général b2essimy. Le général de Castelnau n'a. fait que recommander le calme pour la sortie.

M. Régis raconte des scènes de violence dont il a été le témoin. Il les blâme énergiqucuient aux .applaudissements de presque tonte la Chambre.

M. r.F.cis. La police et In gendarmerie avaient été mobilisées, mai* elles n'ont pas fait respecter l'ordre qui a été troublii touty» la soirée. Elles n'avaient point reçu d'orlires {Vit es exclamations à droit? ft au rentre), sans quoi, je les connais, elics auraient fait ce qu'elles avaient ù faire.

M. Cakavelm. Qn'nuriP7-vous fait si vous aviez été Maire de Marsellle

M. Régis. Plutôt que d'exhorter la popu- lation au calme dans des termes exagérés,

j'aurais prà/éré. ne rien faire (Très bien). Des soirées, comme celle de' lundi, -sont des soirées de guerre civile (Exclamations à l'extrime gauche).

LE General be Saint-Jçst, s'adressant aux communistes. Votre attitude est un encouragement au crime (Très bien au centre). M. Regis est très applaudi au centre. M. Chautemps

-blâme la violence

M. Chautemps monte à la tribune et déplore les incidents douloureux de Marseille. Il espère que la Chambre sera unanime à blâmer la violence, d'où qu'elle vienne (Applaudissements). A en croire certains journaux, il y aurait eu heurt entre deux groupes de manifestants. Le moyen de savoir la vérité, c'est, selon lui, de lire les journaux extrêmes.

Voix diverses. Pas toujours.

M. Chautemps essaie de défendre les agents. M. Lecour-GRaxijmaison. Alors vous êtes impuissant a maintenir l'ordre, Monsieur le Ministre ?

M. Chautemps prétend que les faits individuels qui se sont passés sont indépendants de la manifestation.

M. Chautemps. Qu'auriez-vous dit si l'on avait interdit cette manifestation ?

(A droite). Il n'y avait pas de manifestation il y avait une réunion privée. • M. Chautemps. Des forces importantes de police ont-été mobilisées elles ont entouré toute la région de Marseille au milieu de laquelle est le Théâtre des Nations. La réunion s'est paasée dans le calme et la sortie éqalement, jusqu'aux barrages. C'est il. une distance assez éloignée qu'ont eu lieu les attentats individuels.

Une voix. Deux cents blessés et deux morts

M. Chautemps. Des patrouilles d'agents n'ont cas cessé de parcourir les rues de Marseille. La Chambre sera unanime à déplorer ces actes abominables et envoyer ses sympathies aux familles des victimes. ijiplaudissemenU).

Les autorités administratives ont-elles pris les mesures nécessaires Je n'en doute pas un instant.

M. Ybahnegaray. Il n'y a pas eu 200 hommes blessés individuellement. Vous nous racontez des blagues 1

Pas de violences

de la part des catholiques, reconnaît le ministre

M. Chautemps. Le Gouvernement assurera l'ordro public. Je demande a nos collèyies de considérer l'Incident comme elog. Il n'y a en aucune violence de la part de ceux.qui sortaient de la réunion. (Très bien). Les auteurs de l'attentat étaient des nerveux. On doit leur interdire de se mêler aux manifestations publiques. Mais pour que le Gou- vernement puisse accomplir son devoir, il faut que tous les citoyens saclient mettre un terme à la violence de leurs paroles. (Exclamations).

Quand, après ces médiocres explications, M. Chautemps descend de la tribune, applaudi gauche, il y est remplacé par M. Canavelli, député socialiste des Bouches-duRhône, une sorte de Tartarin dont l'attitude est assez contestable dans la circonstance. Il cherche. ù provoquer M. Taittinger, l'un des lieutenants de M. Mlllerand comme on sait. M, TAiTTUiGEa. Si l'on avait fait aphel à nous, nous aurions pris toutes les précautions voulues et fait respecter l'ordre. {Vifs applaudissemertts au centre et droite.)

Jt. Canavelli. Et nous aussi, nous serions là. (Exclamations au centre.)

M. Join-Lambert, de sa place, prononce des paroles que les sonneries répétées de M. Painlevé empêchent d'entendt:e.

M. Canavelli, interpellé par un vieux député de droite, ferme les poings et veut quitter la tribune pour s'élancer sur lui. Des huissiers l'arrêtent tandis que l'on entend les cris ironiques de Chiqué Chiqué Costecalde

M. Yearnegarvï.– Ce débat gagnerait a plus de dignité. Les catholiqnes ont tenu des réu.nions de 40.000 hommes à la fois Jamais une parole violente n'est sortie de leurs bouches, jamais un geste violent ne s'est produit. (Rpplàudissements à droite.) M. Herriot affecte de sourire.

M. Canavelli cite les affiches où les catholiques disent qu'ils résisteront, même par la violence, si l'on s'attaque leurs libertés. Voix diverses. C'est leur droit. Ce sont les droits de l'homme. (Très bien !)

M. Canavelli accuse le général de Castelnau d'avoir été un provocateur en annonçant la réunion P. (Exclamations.)

Les radicaux n'osent soutenir ce maladroit que quelques socialistes sont seuls à applaudir.

M. Canavelli, qui devient tout à fait grotesque, s'écrie « En *réalité, c'est le commencement de la campagne pour les élections municipales 1

On s'esdnffc, bien que le sujet ne soit pas matière à rire. Mais il y a décidément des moments où les ,pitreries de NI. Canavelli, accompagnées de gestes tragiques, deviennent Irrésistibles. M. Canavelli se livre à des insinuations si offensantes pour M. Régis que tont le- centre et la droite se lèvent et protestent. Le socialiste marseillais émettiit l'hypothèse que M. Régis souhaitait pour demain le retour d'incidents semblables Assez 1 Silence Des excuses C'est abominable » lui crle-t-on au centre et à droite. Les pupitres mènent leur train. On hue, on conspue M. Canavelli qui essaie en vain de dire qu'il n'a émis qu'une hypothèse. Le vacarme redouble.

M. Canavelli s'en prend aux généraux qui n'ont pas vu la guerre 1 Le tapage recommence. M. ̃J'alnlevé renonce iL sennor. M. Canavelli finit par quitter la tribune sous les huées de ses collègues.

il. Herriot clôt le débat M. Herriot. Le Gouvernement ne laissera jamais porter atteinte is la «lignite des généraux en tant que généraux. Il veut concilier la défense de l'ordre avec le respect des libertés religieuses.

Il a fait appel au sang-froid rle tous les Français. Le Fronçais a le droit d'être protégé par le Gouvernement.

« J'entends qu'on parlo à droite ou l'extrême gauche de s'armer et qu'on fait appel à la violence. Le Gouvernement s'oppo2era à toutes les factions de la rue. Nous verrons si les Ligues, d'ailleurs beaucoup trop nombrenses, veulent 'descendre dans la rue; le Gouvernement s'opposera à. leurs violences. M. Blaisot. On veut croire Il une hostilité systématique de notre part; on a tort. Xomb voulons simplement montrer que les catholiques n'ont pas et* protégés. Le mitre dn Marseille et le préfet sont responsables des désordes qui ont eu lien. Ils ont manqné à leur devoir. (Applaudissements au centre). Le président met aux voix le renvoi 1 la suite demandé par le Gouvernement. Le renvoi est voté par 350 voix contre 200. Séance demain matin & 10 heures. J. MOLLET.

LA POLITIQUE DE SOUTIEN DIVISE LE CONGRÈS SOCIALISTE Une nuit qui n'a pas porté conseil Grenoble, 11 février. La séance du Congrès, ce matin, est dépourvue d'intérêt et un quart à peine de congressistes y assistent. Sous la présidence de M. Lobet, député de la Marne, et en l'absence de tous les ténors, on palabre longuement sur le programme municipal et la nécessité d'établir un- bureau national de documentation. Mais, même les congressistes présents écoutent fort peu les orateurs l'intérêt est ailleurs.

La question de la politique de soutien, qui paraissait résolue hier soir, se trouve en pérti du fait de la quasi impossibilité de rédiger un texte acceptable par tous. Sur 2.000 mandats, 215 sont nettement hostiles a la politique de soutien et le reste favorable avec des modalités différentes. On ne se dispute que sur les moyens de présenter cette doctrine nouvelle au grand public et c'est ainsi que la commission de résolution, réunie hier soir ii neuf heures à l'Hôtel de Ville, s'est séparée ce matin seulement ii six heures, sans avoir pu trouver un terrain d'accord Quoi qu'il en soit, on poursuit l'exposé du programme municipal sans incident. La réforme électorale

A la séance de l'après-midi, on discute la question de la réforme électorale.

M. Alexandre Varenne, député du Puy-deDôme' ardent proportionaliste, fait l'historique de la question.

M. Varenne expose pourquoi il est contre le scrutin d'arrondissement dont il dénonce les tares parce que s'il rapproche des électeurs, il éloigne des grandes idées. Lorsque la n. P. aura été à nouveau rejetée par le Sénat, le parti socialiste dans un congrès ou un conseil national décidera soit pour le scrutin d'arrondissement, soit pour le scrutin de liste majoritaire.

M. Félix, député de l'Hérault, demande le rétablissement du scrutin de liste ou du scrutin d'arrondissement.

M. Fieu, du Tarn, réclame la R. P. inté- grale ou à son défaut le scrutin d'arrondissement.

Un vif incident se produit au cours duquel plusieurs journaux sont mis en cause. Puis on reprend la discussion sur la réforme électorale.

M. Paulin, député du Puy-de-DJme se déclare partisan du scrutin de liste majoritaire. On entend encore M. Bonnet, député des Bouches-du-Rhone, et M. Théo Bretin, député ùa SaOne-et-Loire, partisans de la R. P. inté- grale avec laquelle le scrutin actuel n'a rien il. voir: puis M. Grumbach qui parle dans le même sens.

La séance est levée.

Le service militaire

des fils de familles nombreuses PARIS, 11 février. M. Lefas, député d'illeet-Vilaine, a reçu du ministre de la Guerre la lettre suivante

« Monsieur le Député,

« Vous avez bien voulu me demander si des modifications bienveillantes avalent été apportées la loi actuelle de recrutement, en faveur des familles nombreuses. J'ai l'honneur de vous faire connaître que je compte déposer incessamment sur le bureau du Parlement, un projet de loi ayant pour objet de faire bénéficier d'une réduction de service de six mois, l'un des fils de toute famille de cinq enfants et plus.

« Veuillez agréger, etc. »

DIMANCHE PROCHAIN nous commencerons le roman

MALDONNE

Par Jean et Jacqiaes GRANDCHAMP LE BORDEREAU DE COUPONS Si on le supprime,

par quoi le remplacera-ton ?

PARIS, 11 février. Il résulte de renseignements provenant de l'une des personnalités qui se sont entretenues dans la soirée d'hier avec M. Clémentel du bordereau de coupons, que cette question n'a fait l'objet que d'un échange de vues tout fait officieux et qu'aucune décision ferme n'a été prise, ni pour le maintien, ni pour la sup- pression du bordereau.

"mis IMPORTANT AU public" Peu de personnes se doutent des dangers qu'il peut y avoir iL employer une vaseline qui ne serait pas absolument pure; aussi estil prudent de n'accepter que la Vaseline Chesebrough.. Sa réputation est mondiale. c'est mème un des rares produits uyant obtenu toutes les plus hnutes récompenses des corps médicaux du monde entier.

Les Etats-Unis et l'Angleterre reconnaissent à la Vaseline Chesebrough seule, le droit d'être vendue sous le nom de vaseline. UNE PERCEPTION CAMBRIOLÉE A PARIS

Paris, 11 février. Le percepteur du 11« arrondissement vint ce matin, vers 8 heure. comme d'habitude, il. ses bureaux, 8, rue des Bleuets.

Ayant ouvert la porte donnant sur la rue l'aide ile ses clefs, il fut frappé par le désordre régnant dans les locaux. Des meubles étaient renversés, les tiroirs retournés et un coffre-fort mesurant 1 m. 70 de haut sur 0 m. 90 de large portait sur le cote un trou d'envnron 20 centimètres de diamètre fait à l'aide d'un chalumeau oxydrique.

Une enquête est ouverte: de nombreuses empreintes digitales ont été relevées. C'est en se servant de fausses clés que les cambrioleurs pénétrèrent dans le bureau de la perception. Une fois dans la place, ils en] feutrèrent toutes les ouvertures pour éviter que du dehors l'on nperçût li luonr produit' par le chalumenu et. en toute tranquillité Ils découpèrent le coffre-fort.

L'opération ne leur aura pas rapporté brai coup, le percepteur déposant chaque soir s caisse dans nn établissement de crédit vo sln; Il ne restait que 6.000 fr. en billets dan: le coffre.

LE RAPPORT

DE LA COMMISSION INTERALLIÉE DE DÉSARMEMENT

NE SERAIT PAS PUBLIÉ

Serait-ce parce qu'il constate

que l'Allemagne n'a pas désarmé ? Londres, 11 février,. L'agence Reuter apprend que la question de la publication du rapport de la commission de contrôle interalliée au sujet du désarmement all'emand, n'a pas été discutée par les Alliés. On fait remarquer qu'il n'était pas possible de prendre une décision au sujet de ce document criii n'est pas encore en la possession, des Alliés.

On dit que le rapport ne pourrait pas être prêt avant la semaine prochaine. Le bruit selon lequel ce délai aurait une tout autre couse, est dénué de fondement.

D'après d'autres renseignements. lr rapport final d'e la commission militaire de contrôle interallié donne la liste complète des manquements constaléq de l'Allemagne dans l'application des clauses du traité de Versailles et développe les points suivants 10 L'accujation que le gouvernement allemand est revenu à un système d'entraînement des réserves dont le clliffre est trés su. périeur a celui autorisé par le traité 2a L'accusation que les étudiant* alle- mande sont incorporés daim la Rcicliswehr 3» L'accusation que les forces cit:iles reçoivent l'entraînement des unilt.s combat/fintes et que leur cnmntandemenl est centralisé il Berlin au lieu d'rtrc réparti dans le pays tout entier sous les ordres des aulorités locales

4° L'accusation que le gouvernement .ailemand cache des armes aiasi que le matériel nécessaire Il lenr fabrication

5° L'accttsatiore qu'en dcpit des représentations faites par les alliés, l'arsenal de la maison Kiupp et srs succursales n'nnt pas été détruits et que le matériel pour la /abrication de la grosse artillerie y est maintenu eu excellent état

6" La décluralion que l'organisation de 1 armée allemande tout entière est constituée de façon à pouuoir être transformée en une force militaire beaucoup plu.i grande Le rapport s'étend ensuite sur ccri.iii>>. dres du général von Seeckt, chef de l'étatmajor général allernand, dont l'un d'eux d« clarp « (:'est seulement on pensant aux armes qui leur ont été retirées (;uu les militaires peuvent se préparer aux batailles de 1 avenir.

La conclusion du rapport est que le dcf^'paTéUemclui. "̃' de VM^^ne L'ANGLETERRE REFUSERAIT DE LIER LA QUESTION DE LA SÉCURITÉ A CELLE DES DETTES

Londres, 11 février. Au sujet de certaines nouvelles de diverses sources et relatives il la question des dettes, l'agence Reuter est informée que ilans les milieus britanniques on n'est pas disposé à lier la question de la LES BAGARRE DE MARSEILLE On découvre une autre victime

il fevrier. La police a été avisée ce matin seulement qu'une autre vietime des bagarres de lundi se trouvait en traitement dans une clinique de la rue Paradis. C'est un électricien, M. Alliert Vian, non parlent do la victime décédée Itier, domicilié 18, me Sainte-Victoire. M. Albert Vian avait été frappa rue Paradis de plusieurs coup de couteau à la gorge. Son état est assez sérieux.

Les obsèques des victimes

il février. Les obsèques de MM. Louis \ïan et Ephren morts des suites des blessures reçues au cours des bagarres de lundi soir auront lieu demain jeudi, ;i 14 heures. Un appel est adressé aux catholiques pour qu'ils assistent nombreux à la cérémonie funèbre.

A Avignon, les communates provoquent une violente bagarre

Avignon-. il février. Hier soir, au Théâtre de l'Apollo, une conférence sur les devoirs et les droits des catholiques il l'heure présente, a été donnée par le l'ère Doncctur. sous les auspices de la Ligue catholique vauclusienne, devant 2.000 personnes.

La réunions privée se déroula dans le calnte, mais il la sortie, des groupes communistes ont manifesté de violcntes bagarres ont éclaté cependant, en raison <le l'important service d'ordre qui avait M organisé, elles n'eurent pas de suites graves seules quelques personnes ont été légèrement blessées. Les arrestations onérées n'ont pas été maintenues.

LE CARDINAL LUÇON

GAGNE UN PROCÈS

Poitiers, il février. Sur renvoi de la Cour de Cassation, la première chambre de la Cour d'Appel a été appelle aujourd'hui à statuer sur le procès intenté au cardinal Luçon, archevêque :lu Reims, par la Fédération Amicale des Instituteurs de France.

M" Merine, ancien bâtonnier, s'est borné à rapnfiler les diverses décisions judiciaires intervenues depuis l'ouverture du procès. M»- Moreau, avoué des Amicales, a déclaré s'en rapporter iL la justice.

La Cour a rendu un arrêt réformant le JuFroment du Tribunal de Reims et condamnant les Amicales aux frais d'instance et d'appel. Des cambrioleurs visitent

deux usines parisiennes

Paris, 11 février. Cette nuit, à Asnlères, des cambrioleurs ont pénétré dans la fabrique des motos Sic et nux fonderies d'Asnièrrg, boulevard Voltaire. Dans ce dernier etat.lissemcnt, ils ont torr¡\ le tiroir cnisse, mai» surpris par le ceilleur de nuit, Il lie sont enfuis.

Aux motos Sic ils ont également bouleversé les tiroirs, nris une certaine somme, puis vi-i ta les ateliers et les cavec d'où ils ont enAvé des blcvclettcff, une màeltne-outil et' des Des insperteurs de police sont sur la tract les cambrioleurs.


LA POLITIQUE DE SOUTIEN ET LES SOCIALISTES

Enfin on a trouvé une formule d'accord

Grenoble, 11 février. La Commission des résolutions a enfin trouvé un terrain d'entente sur un texte préparé par MM. Léon Ulum, Renaudel et Bracke.

Ce texte adoptera le rapport du groupe parlementaire. La droite qui voulait l'approbation et la gauche l'enregistrement de l'attitude du groupe sont donc renvoyées dos à dos.

La continuité de la politique de soutien du Cabinet Herriot sera indiquée et unanimement approuvée; mais, en se reférant au texte du 1K juin, la motion dira que le groupe socialiste au Parlement tout en continuant à soutenir le Cabinet ne saurait constituer un élément permanent et obligatoire de la majorité parlementaire. Si la gauche reprsentée par MM. Zynowski et Longuet a tout accepté avec cette formule la droite représentée par MM. M acquêt de la Gironde, et Mauranges, de la Seine, est moins résignée, et les deux rep-ésentants ont demandé il consulter leurs amis. On croit qu'ils accepteront demain. En tout cas, le texte qu'on va mettre au point cette nuit, sera sûrement adopté à la quasi-unanimité.

LES RETRAITES DES CHEMINOTS Une délibération

du groupe de la Chambre

PARIS, 11 février. Le groupe de défense des cheminots a entendu M. Rosset, président de la Fédération nationale des retraités des chemins de fer, qui a exposé la situation faite aux anciens retraités par le refus des réseaux de leur appliquer des avantages analogues à ceux accordés aux retraités de l'Etat. Le groupe a envisagé en outre les mesures propres à l'égalisation des retraites sur tous les réseaux et leur ajustement aux traite ments nouveaux, ainsi que celles à prendre en faveur des retraites des lignes secondaires et aes lignes d'intérêt local.

L'EXPORTATION DU BLÉ

INTERDITE AU MAROC

Il février. Par suite de la sécheresse et en prévision de la récolte déficitaire, la résidence générale a interdit l'exportation du blé. Le cours de cette céréale est immédiatement tombé de 150 fr. d 143 fr. APRÈS LES BAGARRES DE MARSEILLE

L'un des assassins

est un commaniste italien

Marseille, 11 février. L'information judiciaire a nettement établi que le chaudronnier Riccardo Caretti est bien l'auteur du coup de feu qui entraîna la mort de M. Louis \'ian. L'assassin fut d'ailleurs pris sur le fait et arrêté.

Riccardo Caretti. qui appartient à la 5* section communiste, est un Italien que le gouvernement de M. Mussolini refoula en France il y a deux ans. Jugé indésirable dans son pays, il avait trouvé à Marseille une large hospitalité.

Les négociants et courtiers ont décidé de donner congé à leurs employés demain pour leur permettre d'assister aux obsèques des deux Marseillais. La cérémonie aura lieu à H heures. D'importantes mesures d'ordre ont <\i prises.

Une lettre à M. Flésâèret

Marseille, il février. Mme Veuve E. Ville, femme de l'hôtelier qui succomba des suites de ses blessures, a adressé à NI. Flaissières, maire, la lettre suivante

c J'ai appris que vous vous êtes rendu auprès du lit où mon mari agonisait, lâchement assassiné dans les circonstances que vous connaissez mieux que personne. Permettezmoi de vous dire, Monsieur le Maire, combien il m'aurait été pénible de vous rencontrer. J'espère que vous voudrez bien vous dispenser, vous et votre conseil municipal, d'assister aux obsèques. »

DEUX TRAINS SE RENCONTRENT PRÈS DE MARSEILLE

Des blessés

MAR.sriiXE, 11 février. Ce soir, il. 9 heures, nu kilomètre 436. près de la gare Saint-Antoine, le train de marchandises 6.267 venant d'Aix, a pris en écharpe le train de voygeurs 2.580 parti de Marseille à 20 h. 48 pour ia direction d'Aix. Six voyageurs ont été blessés, dont 4 légèrement.

UN LOUP DANS LA COTE-D'OR BeaUNE, 11 février.- Depuis quelques jours, plusieurs moutons avaient disparu de leurs troupeaux sur le territoire de Savigny-lesBeaune. Or, dans le voisinage des' fermes du Bas des Fontaines, un berger aperçut un loup. Il tira deux coups de fusil sans atteindre l'animal qui 6'enfuit à travers bois. LES CAMBRIOLEURS

TIRENT ET TUENT

CASSES, il février. Hier soir, en rentrant cltez eux, villa Oscar », M. et Mme Chrétien, séjournunt à Cannes, ont trouvé des cambrioleurs en plein travail, qui se sont enfuis en tirant sept coups de revolver. M. Chrétien, âgé de 65 ans, industriel à Saint-Dié, a été tué; sa femme IL été légèrement blessée.

L'EXPEDITION AERIENNE DU TCHAD

NE VA PAS CONTINUER »♦•>♦-

Le Roland-Garros

reçoit l'ordre de rallier Dakar Pattts, 11 février. Le Sous-Secrétariat de l'Aéronautique nous communique la note suivante

Le colonel de Goys a confirmé au soussecrétariat de l'Aéronautique l'accident de Niamey. Il a ajouté « Nous attendons que les docteurs se prononcent sur l'état des blessés. Nous continuerons vers le lac Tchad et Fort-Lamy.

L'équipage du Roland-Garros serait donc prêt à continuer seul le voyage prévu, mais er raison de l'organisation elle-même de la mission, basée sur l'utilisation de deux appareils, dont l'un, le Jean-Casale, était gréé pour l'usage de la T. S. F., et l'autre de la photographie, NI. Laurent Eynac, jugeant que les résultats escomptés du voyage d'un seul avion ne compenseraient pas les risques d'un vol de plus de 5.000 kilomètres (Niamey-Batighl et retour au-dessus de régions difficiles), a adressé au colonel de Goys le suivant

nous apprenons avec douleur la mort de Vendelle et nous adressons nos vœux affectueux Vuillemin, Dagneaux et Knecht. « Quand vous estimerez pouvoir quitter Niamey, vous devrez rentrer à Dakar, la mission ne pouvant pas être poursuivie avec un seul appareil.

« Nous sommes de cœur avec vous dans le douloureux accident qui vient d'interrompre votre remarquable effort •.

Une interview

du frère du colonel Vuillemin, Loriext, il février. (De notre rédaction lorientaise). J'ai pu joindre ce soir le frère du colonel Vuillemin, ancien second maître fourrier de la Marine, commis du parc d'artillerie de terre de Lorient, domicilié rue de l'Hôpital.

M. Vuillemin n'était pas encore au courant de l'accident survenu au départ de Niemey et dans lequel l'avion du colonel Vuillemin s'est écrasé sur le sol. Nous avons pu, tout d'abord, le rassurer en lui signalant que le vaillant officier aviateur n'était signalé que blessé légèrement, du moins espérons-le. On sait que déjà certains journaux qualifient d'aventure la mission aérienne ParisLac Tchad, organisée pour essayer de justifier, disent-ils, une mauvaise commande passée par l'Aéronautique. Nous savions que les deux frères étaient en relations constantes et qu'ils échangeaient une correspondance suivie. Nous avons donc demandé l'ayis de M. Vuillemin.

M. Vuillemin nous flt voir une liasse de lettres et de cartes postale»

« Tenez, nous dit-il, voici la dernière carte que j'ai reçue de mon frère. Elle est datée du 26 janvier dernier, Colomb-Béchar. Très discret sur toutes les questions professionnelles et techniques touchant l'aviation et la défense nationale, le colonel Vuillemin ne m'a jamais entretenu de' ces questions, mais, ce que je puis bien dire, c'est que si mon frère a foi dans l'aviation, il no se lance pas à l'aventure.

Evidemment, il n'ignore pas les dangers qui le guettent à chaque nouveau raid et il faut vraiment qu'il soit animé d'un véritable esprit d'apostolat pour continuer il tenir le volant dans son grande et a son âge (43 ans). Mais rien ne le retient. Il frémit il chaque exploit d'une puissance étrangère, il est prêt à tout tenter pour assurer la France la suprématie de l'air ».

C'est une belle famille que celle du colonel Vuillemin,. M. Vuillemin père, originaire de l'Est, s'était établi à Bordeaux. Il eut dix enfants, dont sept garçons et trois filles. Les sept garçons, tous mobilisés, ont vaillamment fait leur devoir et l'un d'eux, sergent d'infanterie, fut criblé de mitraille au Che-.min des Dames.

Un détail u noter 4ue nous indique M. Vuillemin le capitaine Dagneaux, blessé également dans l'accident de Niamey, fut le fidèle observateur du capitaine Vuillemin pendant la guerre. Il fut blessé à ses côtés. Le colonel Vuillemin est sans doute un as, mais encdi'e plus c'est un missionnaire de l'air. Certes, M. Yuillemin avait le coeur bien gros quand nous l'avons quitté ce soir, mais il ne veut pas le laisser paraître. Nous lui adressons, au nom de YOuest-Fclair. nos meilleurs vœux pour le courageux officier supérieur, son frère, dont les ailes ont touché le sol africain dans un de ces accidents qui sont la rançon de la science. Nous le reverrons évoluer à nouveau, nous en avons le ferme espoir, pour la plus grande gloire de l'aviation française.

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Demandez-les chez tous les merciers. UN AVIATEUR BELGE

VA S'ENVOLER VERS LE CONGO LE Bourget, 11 février. L'aviateur belge Tissy, doit prendre le départ demain matin pour le Congo belge. Il pense, selon les circonstances météorologiques, survoler la France par Paris, Bourges, Toulouse, PerPignan, vers Alicante ou suivre l'itinéraire Bruxelles· Strasbourr, Dijon, Lyon, Nimes, Perpignan. Le hardi pilote empruntera ensuite l'itinéraire du raid Lemaître-Arrachard. ARISTIDE BRUANT EST MORT. PARIS, 12 février. Le Journal annonce que le chansottnier Aristide Bruant vient de mourir.

LE PARACHUTE DE L'AVIATEUR N'A PAS FONCTIONNÉ

Le pauvre pilote s'écrase 'tl sur le sol Paris, 11 février. Vers 4 heures, cet après-midi, un avion monoplace s'est écra- sé dans un terrain appartenant aux chemins de fer P.L.M. il Villeneuve-Prairie. L'aviateur qui s'était jeté de son appareil, et qui était muni d'un parachute, est tombé à 800 mètres du point de chute de l'avion, le parachute n ayant pas fonctionné. Le commissaire de police de Choisy-le-Roi a aussitôt informé la navigation aérie ne et le centre de Villacoublay. La famille de la victime qui habite la province, a été prévenue télégraphiquement.

L'ELECTION DE M. MARX V A LA PRESIDENCE DU CONSEIL DE PRUSSE

Berlix, il février. L'ancien chancelier de l'Empire, M. Marx, qui cppartient au Centre catholique. a été élu président du Conseil prussien en remplacement de M. Braun. M. Marx a obtenu 223 voix au 2» tour contre 162 à M. Richter, populiste, candidat des partis de droite.

M. Marx est ûonc l'élu des gauches. Mais ce n'est là pour les partis de la coalition de YVeimar qu un succès apparent. On se souvient, en effet, que le Centre catholique a accepté de collaborer avec les partis de droite dans le cabinet d'empire. Aussi est-il probable que le président du Conseil ne cherchera pas constituer un cabinet exclusivement composé d'hommes de gauche et il est même possible qu'il conclue finalement un accord avec la droite du Landtag.

SI L'ALLEMAGNE TIENT SES ENGAGEMENTS

PARIS, li février. On a distribué aujourd'hui à la Chambre un rapport supplémentaire de M. Lamoureux, rapporteur général adjoint du budget dans lequel sont examinés les résultats du porotocole signé par les ministres des Finances alliés à la fin de la dernière conférence de Paris où ont été réglés les comptes de la Ruhr et la répartition des annuités du plan Dawes. «

M. Lamoureux s'est livré à des calculs d'où il ressort que, si l'Allemagne tient ses cngagements, les recettes escomptées par la France pour l'année 1925 se chiffreraient par Z.166.932.988 francs, somme dont il faut soustraire les dépenses qui sont expressément visées par le plan Dawes et qui, après imputa.lion sur la part de la France dans les versements de l'Allemagne, laisseront le gain net qui peut être escompté pour l'équilibre du budget, soit 945.398.440 fr., ce qui laisse une somme de 1.221.534.548 fr.

Le rapporteur conclut que l'accord de Paris se traduira, pour le budget français de 1925, par une plus-value de 221 millions de francs par rapport aux recettes escomptées dans le projet de budget.

PERDU DANS LES CATACOMBES Paris, il février. M. Tessier, élève it l'Ecole des Mines, était descendu au cours do l'après-midi d'hier, dans les catacombes par un acçôs qui se tronve placé dans l'h0pital du Val de Grâce. Il allait étudier sur place, comme en ont coutume les élèves ingénieurs, la conformation dp la carrière. Ayant quitté son guide, il s'éloigna imprudemment et s'égara. Des rechercheç furpnt aussitôt entreprises, et, dans la soirée, M. Tessier fut retrouvé. Il en a été quitte pour la peur.

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des anémiés, des convalescents,

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12, Rue de la Tourdes-Dames. PARIS

ECHOS PARLEMENTAIRES L'abaissement des droits

sur les bicydeîtes

Paris, il février. On sait que M. Lefas et ses collègues d'Ille-et-Vi laine ont déposé une proposition tendant a abaisser a 0 fr 70 le droit d'enregistrement pour la bicyclette considérée comme un instrument de travail. M Leboucq, rapporteur de la commission des Travaux publics, s'est déclaré favorable à la proposition de M. Lefas qui servira nécessairement de base au ministre dps Travaux publics pour répondre le 13 mars prochain à l'interpellation de M. Barthe visant le transport des marchandises.

LA MORT DE PHILIPPE DAUDET Paris. 11 février. M. Scherdlin, procureur général, a pris ses réquisitions déflnittves concernant la plainte en meurtre, détour-

nement de mineur et complicité déposée par .NI. Leon Daudet contre MM. Colombo, Lannes, Delange, Marlier et Le Flaoutter, qu'il accuse de la mort de son fils Philippe. Ses réquisitions tendent à l'ouverture, en droit, d'une nouvelle information qui sera confiée à un conseiller <!s la Cour d'Appel. Le dossier d'instruction du juge M Baruaud sera joint à l'information qui va être ordonnée.

PETITES NOUVELLES Washington. Le Département d'Etat a approuvé les réserves que le Sénat a ajoutées au traité de commerce avec l'Allemagne et va les soumettre il l'Allemagne.

Lisbonne. L'aviateur portugais Sarmento Beires, qui a fait le raid Lisbonne-Macao, partira bientôt pour la France et pour l'Italie, en mission d'études.

Genève. Le comité financier de la S.D.N. s'est occupé de la situution financière de l'Autriche et de celle de la Hongrie. PARIS, On annonce que des négociations vont prochainement s'engager entre la France et l'Italie sur le statut des Italiens en Tunisie. PARIS. Le Président de la République a offert ce soir un dîner en l'honneur des membres des bureaux du Sénat et de la Chambre Paris. La Société Centrale d'Aviculture a donné ce soir sous la présidence de M. Queuille, ministre de l'Agrioulture, le bande clôture du 510 concours international PARTS, Les bourgmestres et les membres du Conseil Echevinal des villes de Liége et de Gand sont arrivés il Paris' ce soir. Epinal. Mme Marie Antoine, âgée de 50 ans, demeurant à Hautmousey, était montée sur une chaise pour décrocher un jambon dans la cheminee lorsque le feu enflamma ses vêtements et elle fut brûlée vive. r5nA'n0NS"Si;R;M1ARNE- Le jeune Jean-Mario XeTuV^gtet 4 ans, est tombé par la teDEPECHES COMMERCIALES HALLES CENTRALES

ARTICHAUTS. Du Midi' •"̃(Mi0 le cent, • Tendance, hausse de 0.30 sur les centrirurei. Pour les beurres en mottes on cote le kilo. En marchands français .Normandie, 19.30în'inm Bretagne, S-MM«-SO: en c«uririi(res. NorÏKÎÏÏÈ. 16.50-19; £?£""̃ 16-18-3U; « fermier Arrivages du Jour S9.335 kHoî

OEUFS. Tendance, hausse de 10 francs sur Bretagne autres. On cote- par colis de 1,000 cents les evtras de Normandie, SS0-65U: les gros 470570; les gros de Brctagne, <s°-sii>; les ordinaires Arrivages du Jour 51.375 kilos

FROMAGES. Camemberts Normandie, t60-3t: Divers, 120-195; Llsleux bottes 150-375- Pont. lE. yecjue, 100-30; arrivages, pâte molle, 77.399 kl7los pâte sèche, 15.363 kidos,

POISSONS. Barbues. 7-12; bars, 10-18- harengs frais cotlers. 2-3.50; homards vivante 1726 ling-oustes vivantes. 17-26; maquereaux frais gros 6.50-7.50; à la ligne. 8-9; morues salées 3-5; raies, s-3.75; soles, 15-13; hultrea portugaises. f0VOIAJLLES MORTES. prix moyen$. Ca- nards rouennalj pliVcc, 23; imitais, s? de ferme kilo, ».O; iHniles Calmai» et co<j«, cUo, 9: GtUn-als et Touralne. Poules, li.so- Poules, 10.73; Oles en peau, kilo, 8.25; flépoullices 9; P:geons petits, pièce. 3.50; moyens. 5; gros, «.25; Pintades françaises. 15· Poulets nantais, kilo 13.25; GâtLnais, kilo, 13; Bresse, 15 ''0: des Charente, 13.75: du Mtrtl, 12.75; Congelées, 11.50; Poules Bretagne. il.

BOURSE DU COMMERCE

CAFES. Le Havre, 1 t févrter. Tendance soutenue ventes 2.500 sacs. Janvier 386-50, février, •17-2.50, mars 464.50, avril 4«i.5O, mat 441 juin 435.50. Juillet 454, août 420. septembre 410 octobre 4W.50, novembre 399.50, déccmbre 393 50 sucres. Pans, 14 révrler. Ouverture courant 188.50, 189, 189.50: mar-j 191.30 193- avril 1Ui. 104.50; de mars 194, 194.50; 3 d'avr'l 197 503 de mai, 199.50, :00.

Tous payés. Tendance calme.

rioture. courant lsn. mars 195, 191.50- avril 194. 191.50; 3 de mars 191.50; 3 d'avril, 197, 197.50; 3 de mal, 199.50, 2O0.

Tous pavés. Tendance calme.

Cote ornclelle des courtiers assermentés 199. COTONS. Le Havre, 11 février. ClOture, tendance soutenue, ventes 2.900 balles. Janvler, G01, févrler 592, mars 595, avril 601. mal 605, Juin 606, juillet 608, août 609. septembre 607, octobre, C02, novembre 600, décembre GOI.

JVew-York 10 février, Disponible 24.55 février 24.07, mars 24.27-30. avril 24.44, mat 24.61-63, nin 21.73, Juillet 24.85-SC. août 24.80, septembre 24.90, octobre 24.70, novembre 24.73, décembre S4 77 janvier. 24.62.

Cotons américains. Llverpool, 11 février Février 13.28, mars 13.98, avril 13.27, mal 13.34, Juin 13.32. Juillet 13.38, août 13.3:. septembre, 13.28, octobre, 13.24, novembre 13.20, décembre, 13.17, janvier, 13.15.

Sakellarldts. Janvier tncolt, février 3160, mars 31.10. avril, 33.60, mat 39.75; Juin 31.73. Juillet 30.75, août 29.80, septembre, 28 SO, octobre 27.85, novembre et décembre Incotes

HUILES DE LIN. Paris, Il février. Courant 445 nomtnal; mars 44fl nominal; mars-avril 450 nomfnal: 4 mal, 455 nominal

ALCOOLS LIBRES. Paris, Il février. Courant 473 vendeur; mars 4S3-500; avril. 510 vendur, mal-Juta 325 vendeur; juillet-août 550 ve-ndew.

CEREALES. Para. tt février. Bli's. Base de liquidation, 135.73; courant, 133; mars 134.50 nominal; mars-avril 135.73-136: 4 de mars report 1.25; mal, Juin. report 2.75 vendeur.

Avoines. Noires courant, 96.73; mars.* 100; mars-avril. 1O1.5C nDminal; 4 de mars, 10-2.75; mal-juin, 103.28-103.75. Diverses, courant 99.75 nominal mars 99 nomtnal; mars-avril, 100.50 ycheleur; 4 de mars 101.75 nominal; ma!-Juin 102.50 nominal.

Farines. Base de liquidation 107; courant. 16t.50 nominal; mars 167 nomlnal; mars-avril, me acheteur: 4 de mars, report t atominat; mai-Juin report, 3 nomlnal.

HALLE AUX BLES

Paris, il février. Le temps constamment doux est regrettable en ce sens que la végétation des céréales se développe trop hâtivement, alors qu'un arrêt serait désirable. D'autre part, les plaintes an sujet des dégâts causés par la vermine s'acrentuent. Il faudrait maintenant un froid modéré. A notre réunion de ce jour. les offres sont plus nombreuses et la tendance du prix s'oriente vers la baisse, en sympathie avec l'étranger On demandait aux 100 kilos. départ

fl(ê«. Beauce. 130-131: Loiret, 131-132: Loir-etCher, 135-133; Touraine. 133-134; Indre (Vienne). 13*; Atllnr 136; Cher JNlèvrel. 135-H6; Vendée. Anjou. Lolre-Inférleure. 133; Olse. 1S8-12S; Somme. 123-1*4; Aisne, 120-158; Nord (Pas-de-Calais), i;i-lî'i; Aube (Marne), 130; Yonne. t30-t31.

fariner. Supérieures. 161-163, selon rayons. Seigies. –.107-108.

Sarrasins. Normands, limousins. M-95 bretons, 9-2-93.

Avoine, Grises, de Beauce, 91; Eure. Brie. 9t: grises d'hiver. 93; noire du Centre, 9.1: noires et Brises de Bretagne, 90-91; bicarrés. S8-SJ; jaunes et blanches. 90-91; Llgowo. 03-9i.

Orges. Beauce. 118-119: Sarlhe et Mayenne. 115ilc; Champagne, llî; Berry. 116-117; Oàtinals, IU Escourgeons. Boaucr oatlnnl.i, ita-HA. Maïs. Disponible, Dunkerque, Bordeaux, 105. Sons. Gros, 57; ordinaires. M 5j.

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FOURRA-.48 ET PAILLES

PABts-u cnmux. Il février. Petit marche". Tendance soutenue en Kéi'.éral. On cote les 104 bottes' de b talus environ, franco Parts, suivant 'Illcllitta

Luzerne, ion à 2t0: foin. 140 h ISO; regain, 130 h 200; paille de Litr. 80 a HO: pallie d'avoine, 70 1CO; taille de seigle. 80 à »0.

LES POMMES DE TERRE

PARIS, IL février. Marché Aes Innocents. La tendance à la baisse s'arcentue. Non pfu que les olfres do la culture soient devenues beaucoup plus nombreuses, mals la demande de la consommation est peu active, en raison sans doute de l'abondance continue des légumes verts. La baisse est plus particulièrement sensible sur les pommes de terre de Bretagne. On cote les 100 kilos, au départ Hollande, 60 il 7">: saucisse rouge de Bretagne. a8 t 40: des autres provenances. 45 ;i ;3; rondes jaunes. 3; à 3S: Institut de Beauvab de la Sartbe, 36 à 38; chardonne de Bretagne, 3C à 3.\ MARCHÉS DE LA RÉGION J.OZE, Il février. Farine, première quatltd, le: 100 kilc·. il la taxe; froment. liS-lM; meteU tt0; seigle, no; sarrasln, 00; avoine. 84-86; orge t05; son. 35; pommes de terre. 130-UO; foin, les 300 kilos. 110-120; paille. 90-100; bœur le kilo sm pied, 3.10-3.20: vache 3-3.20; veau 5.80-6; mouton 7; porc, 2.23-2.30; beurre le kiio en gros, t3-t3.M et en détail. 14; œufs la douzaine. 4-4.50; pouiets la couple. S5-Î8; cidre la barrique 45; vaches la pièce, SOO-1.6OO frs.

LES CHOUX-FLEURS

SUNT-poi.-nn-i.EON. I1 février. Aujourdhut les choux-fleurs ont etri rolés de 0.;0 a 1.C10 la tète la tout venant et suivant qualité.

Lorsque, l'auscultation, on entend un sifflement, des gargouillements accompagnés d'un râle humide, on se trouve en présence d'un catarrhe chronique. Si le malade a de fâcheuses prédispositions, la catarrhe peut revêtir les formes les puis graves et déterminer l'asthme, l'emphysème et même la phtisie pulmonaire. Abandonné à lui-même, il reparaît avec les premiers froids et pendant les périodes pluvieuses et humides. Le malade tousse par quintes, la toux est grasse et les crachats abom'-uta, surtout le matin. Il y a essoufnement, parfois amaigrissement. Nombre de malades ont été délivrés de ce* infirmités par le PECTORAL RICHELKT, dont nous tenons à signaler ici l'efficacité certaine dans la traitement des maladies des voies respiratoires, aiguës ou chroniques. Une preuve s'impose, la voici Depuia six ans, chaque hiver, ce n'était qu'un» longue toux qui m'épuisait. Aucun remède ne parvenait à me calmer; seul votre PKCTORAL RICHKLET y a réussi, rnênie pendant une bronchite fort grave qui m'avait alitée pendant un mois. Tai continué ce traitement pendant quelque temps encore, et, aujourd'hui, je suis hors de danger.

Mm. JEANNE L. Bd de la Chapelle, Paris.

En effet, le PECTORAL RICHELKT calme et arrêta Instantanément les toux les plus rebelles; il l'ait tomber la fièvre, dormir et reposer, décongestionne les muqueuses et favorise la sortie des crachats les plus épais. Son action curative se prolonge au dehors et pendant les occupations par l'usage de la PASTILLE RICHKLET, véritable potion sèche t qui facilite et active la guérison.

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Nous connaissons des gens moroses

Sombres et tristes à pleurer

Dont les jours noirs deviennent roses En buvant du Cherry Rocher a.

LE SECRET D'UNE ARTISTE Jolcey W'illiams, l'artiste américaine bien connue, a fait récemment la défloration suivant» concernant les cheveux firis et a donné le moyen de les foncer avec une préparation faite pat soi-même

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L'activité

de Parti Démocrate Poptdaire Création d'une section à Pleurtuit

Dans te département d'Ille-et-Vilaine, le nombre, des sections du Parti Démocrate pomtlaire augmente rapidement, ce qui fait bien augurer du Congrès départemental qui se tiendra ù Rennes le 15 mars prochain. Mardi soir, c'était à Pleurtuit, près Dlnard, que les propagandistes du Parti avaient orgauisé une. réunion. Réunion intime dont le but était de constituer un- « noyau autour duquel la section devait s'agréger. Msis le programme du Parti démocralc populaire répond si bien aux aspirations de la masse des citoyens qu'au lieu des 12 il. 15 personne sur lesquellles comptaient les conférenciers, e'est en réalité devant plus de 40 électeur 4le Pleurtuit, tjus républicains Pt démocrates, ardents partisans de nos amis du Parlement, les Simon, Balanant. Jade, Le Douarec etc., qu'ils eurent à parler.

Il ne leur fut point difficile de démontrer l'urgence de la création d'une organisation politique active, jeune, éprise d'idéal, pou vant opposer aux doctrines destructives des partis de révolution, les doctrines constructives du Parti démocratc populaire.

Et c'est d'enthousiasme que fut décidée, séance tenante, la constitution de la section de Plenrtuit. Quarante-cinq adhésions furent aussitôt recueilües Une Commission d'une quinzaine de membres fut élue qui se réunira dès samedi et aura pour mission de former le bureau du Comité.

Contre les socialistes, adversaires de la propriété privée et les radicaux, leurs alliés honteux, la République généreuse et fraternelle reconnaissant fi tous ses enfants les mêmes droits et les mêmes libertés, sera désormais défendue à Pleurtuit, grâce au Parti déntocraie populaire.

LA GRÈVE DES METALLURGISTES DE CHERBOURG

La journée de mercredi

Cherbourg, 11 février. (De notre corresporidant particulier.) La seconde join-née de qrève s'est déroulée mercredi dans le calme absolu. Nous raconterons ici, de la manière la plus impartiale, les événements dans l'ordre où ils se sont produits.

Dès mardi matin. les ouvriers en grève se sont rendue en groupes nombreux aux portes des différents chantiers pour engager les ouvriers désireux de se rendre au travail a participer au mouvement. Quelques uns se sont laissé convaincre, notamment à ]a forme de la place Napoléon. Tout s'est passé dans le calme. Un peu pin* tard. les grévistes ont pu lire l'avis suivant qui a été communiqué à la presse locale par l;t direction des étahlissements Simon frères

« La Direction des établissements Simon frères informe le personnel des ateliers que les ouvriers qui n'auront pas repris leur tracail jeudi mntin 12 courant à l'heure habituelle seront considérées comme démissionnaires. Ainsi qu'il lui a été promis par l'avis en date du 31 janvier. les nouvelles aupmentotions seront conimiiniqliéep le même jour 12 février..

Inutile de dire que cette information a été vivement commentée dans les groupes de grévistes qui se sont rendus la salle des tètes pour assister à la grande réunion gêné.tale du matin.

L'ordre du jour du Syndicat professionnel L'assistance était fort nombreuse lorsque le Comité de grève a pris place la tribune et lorsque M. Diguet. secrétaire du Syndicat professionnel de la niétalluiKie affilit" a ln Maison du Peuple catholique de ta rw Fininanuel-Liais, a pris la parole.

M. Diguet a déclaré d'abord qu'il apportait an Comité de grève l'appui sans réserva, le concours absolu et de sa personne et des camarades adhérents à son organisation. Voici, a-t-il dit, d'ailleurs. l'ordre du jour textiiel qui fut arlonté hier soir par le Syndical prr fessionnel de la métallurgie.

Le Conçeil syndical, constatant que. pai dessus les diverdences de doctrines syndica- les, s'est créée line union de front venant de la volonté ouvrière d'obtenir les pintes salaires et les réformes réclamées par les syndicats ouvriers dans leur projet de conventions collectives

t Constatant que, Q celle volonté ouvrière. MM. les Industriels intéressés ont opposé une fin de non-recevoir par leurs propositfons trop faibles

« Enreqislre l'état spontané el collecti/ dc grève amcnant le conflit ù son acuité c F.nregistre la volonté de l'assemblée réunie hier à 15 heures, salle des fêtes, de consfileter un Comité de grive composé des déléHués d'usines représentant les groupes des différentes organisations syndicales Décide d'accepter de participer au Comité de grève et d'y apporter son roncoors le plus entier pour l'obtention des buis de grève à définir par le Comilé. »

Après avoir rappelé qu'il a invité le juge de paix il proposer son arbitrage, le Syndicat professionnel conclut ainsi

« Enfin. le Conseil syndical espère que le patronat métallurgiste, cessant r1e dédaigner les organismes nonveaux de l'organisation professionnelle, voudra bien entrer dans la voie de la conciliation et reconnaître la légitimité du syndicalisme ouvrier et la nécessité d'une Commission mixte permanente, seul instrument de paix.

NI. Diguet a continué ses explications très applaudies en rappelant les études et les démarches accomplies» depuis rtnq mois par le Syndicat catholique pour ohtenir l'amélioration du sort des ouvriers métallurgistes. Il a lu d'ordre du jour que nous avons récemment publié et il a passé en revue toutes les revendications soumises aux patrons relèvement des salaires, conseil de prud'hommes, comité paritaire de fixation du prix de la vie, établissement d'une convention, etc., etc.

Faisant enfin illusion a l'avis des directeurs des établissements Simon, il a conclu en disant que les menaces n'effraieraient pas les ouvriers et que ceux-ci, unis pour le triomphe de leurs justes revendications, ne rentreraient dans leurs usines qu'après avoir obtenu satisfaction.

Avant de descendre de la tribune M. Diguet a annoncé que son groupement se préoccupait d'organiser une caisse de secours pareille il crlle qui fonctionnerait certainement dans les autres syndicats et que, d'ailleurs, le Comité de grève va se préoccuper de cette imijortniun question.

Il a fait part en outre de l'arrivée Immineate d'un des diripeants de la Confédération ûes Travailleurs chrétiens venant apporter aux grévistes son concours le plus dévoué.

La point de vue de* autres organisations syndicales

Le citoyen Fouquet, représentant les Syndicats unitaire et communiste, a apporté l'adhésion de son organisation et entretenu surtout les grévistes de ce qui se passe aux établissements Hamel dont il fait partie.

M. Joseph Hamel a accordé ces jours-ci spontanément une augmentation de 1 fr. 70 à tout son personnel, plus 0 fr. 50 de prime Il l'ancienneté, soit 2 fr. 80 a bon nombre de ses ouvriers. Malgré cela, a dit l'orateur, les ouvriers sont mécontents. Il convient de les pousser à la grève et de les obliger à se join- dre au mouvement.

L'assemblée a décidé en conséquence de faire porter l'effort des manifestations vers le débauchage des ouvriers Hamel. Le citoyen Burnouf a parlé le dernier au nom du Syndicat cégétiste Bien qu'il n'v ait plus, dit-il, à Cherbourg provisoirement de syndicats différents mais le seul syndicat des ouvriers métallurgistes unis pour obtenir les améliorations qu'ils réclament. Le citoyen Burneuf a fait allusion Il l'avis menaçant de MM. Simon et constaté qu'il n'effrayait personne. Il a ajouté d'ailleurs qu'à la fin de la grève les grévistes' exigeraient qu'aucun renvoi ne puisse être prononcé par queique patron que ce soit.

Parlant de la conciliation du juge de paix, l'orateur a dit qu'il n'avait pas en elle une très grande confiance et qu'il attendrait mieux d'autres interventions officielles. Puis il a passé en revue les diverses industries métallurgiques de la ville et désigné celles qui devraient être ou non englobées dans le mouvement.

Provisoirement, il semble que les établissements Allemandet doivent être tenus en dehors. En terminant, le citoyen Burnouf a invité l'assistance à voter un ordre du jour affirmant sa résolution de continuer la lutte dans l'union la plus parfaite, jusqu'au succès complet.

L'intervention du sous-préfet

Après la réunion générale, les membres du Comité de grève ont tenu une séance au cours de laquelle ils ont décidé notamment de choisir pour délégués et pour mandataires, spéciaux, MM. Diguet. secrétaire du syndicat professionnel catholique, et Burnouf, secrétaire du syndicat cégétiste. Ils ont été chargés de se rendre près du sous-préfet pour le prier d'intervenir officiellement entre patrons et ouvriers.

Cette démarche a 6te faite, si nous sommes bien informés, an début de l'après-midi. M. Grégoire a prié alors MM. Simon de vouloir bien lui communiquer les tarifs de salaires qui doivent être affichés aujourd'hui dans leurs ateliers. MM. Simon ont dû répondre qu'ils s'empresseraient de le faire dès que leur Conseil d'administration en aurait délibéré.

Pendant ce temps, M. Mahien. maire de Cherbourg, commençait de son cote certaines démarches qui n'auront vraisemblablement leur effet qu'aujourd'hui.

L'accord des syndicats

A une heure les grévistes se sont rendus. suivant la consigne, devant les usines et ont réussi à s'adjoindre la totalité des ouvriers de l'entreprise Hamel. A 5 heures, l'assem-

blée générale a eu lieu, salle des fêtes. L'assistance était un peu moins nombreuse que précédemment.

Le citoyen Burnouf, sans entrer dans les détails, a fait allusion aux tentatives de conciliation déjà engagées et laissa entendre que la journée d'aujourd'hui ou de demain pourrait apporter du nouveau.

Revenant sur un sujet déjà traité plusieurs fois, et afin d'éviter tout malentendu pour l'avenir, il a demandé aux dirigeants des trois Syndicats atliés cégétiste, catholique et communiste de prendre Il nouveau l'engagement d2 ne pas tirer à soi la couverture pendant la grève et de mener la lutte dans une union étroite et confiante pour le seul triomphe des intérêts des métallurgistes en grève et il a demandé ensuite à l'assistance de consacrer cette unité profonde par un vote unanime

Il n'y a pas, a-t-il dit, aujourd'hui ni revendications catholiques ni revendications confédérées, ni revendications communistes. il y a les revendications des métallurgistes que le Comité de grève, devant lequel tout doit disparattre, a la charge d'exposer et de faire triompher.

« Le Comité devra dire ce qui doit être dit, prendra les décisions qui devront être prises et nous n'admettrons pas qu'à la vie cherbourgeoise viennent se mêler des éléments étrangers sans notre autorisation. Si nous sommes d'accord sur cette plateforme d'union totale et absolue, si nous sommes d'accord pour ne laisser parler dans nos réunions que les orateurs qui auront été acceptés par le Comité de grève, dites-le et votre vote sera valable pendant toute la durée de la grève ».

M. Digiiet, au nom du Syndicat professionnel catholique, a confirmé l'accord absolu Nous n'admettrons pas, a-t-il dit, que Cherbourg soit le théâtre d'incidents comme on en a vu se dérouler ailleurs. Nous voulons, au contraire, former une masse ouvrière imposante et tellement unie qu'elle emportera la victoire

Le citoyen Fouquet a parlé dans les mêmes termes au nom des communistes et la salle, it l'unanimité, a ratifié l'alliance des trois Syndicats.

Le vote émis, le citoyen Burnouf a parlé des huit heures, les réparations de navires et donné des conseils particuliers aux ouvriers des usines Hamel. Il a ensuite exhorté les assistants à remplir demain leur rôle pacifique de grévistes à la porte des usines et la deuxième journée a pris fln dans le calme absolu.

Puisse-t-elle précéder la journée des accords si désirés de toute la population.

L'ELECTION DU CANTON NORD.EST On sait que le canton Nord-Est de Rennes (si appelé à élire un représentant au Conseil général en remplacement de M. Deschamps, démissionnaire.

Colle élect;on est fixée au dimanche 1* mars et Je scrutin de ballottage, s'il y a lieu, au dimanche 8 mars.

A ce propos, M. le Préfet. d'Ille-et-Vilaine vient do prendre l'arrêté suivant:

Pour les scrutins qui auront lieu le 1" mars 1025 el éventuellement le 8 mars, en vue de 'l'élection d'un Conseiller général dans le canton de Rennes Xord-Est. les électeurs de la wramunB de Rennes, appartenant Il ce canton, voteronl à des hureauz différents qui siégeront aux lieux ci-après:

Il' l>ureai\ cartes chamois, de A à F.: 21 bureau, carte.? beiges, dû G à M., Conservatoire de Musique. ?f> rue Hoche. 3' bureau, cartes gris-Meu. de N il Z. Ecole des Beaux-Arts, 30 rue Hr-.he.

AVIS DE LA MUNICIPALITÉ AUX CULTIVATEURS

Le Maire de Rennes informe les cultivateurs que le 10* -escadron du train à lionnes (ftserne du Colombier) peut leur prêter quelques chevaux (lans les conditions habituelles. Ceux qui en désireraient voudront bien se présenter lo plus lot possible à )n de service du 10» escadron du train, munis d'une attestntion de la Mairie de Rennes, constatant qu'ils sont cultivateurs oi qu'ils ont besoin d'un cheval pour Jours travaux de culture

dresser I AIT 1" dualité et Reuze- rais, par Saint-Jacques-de-la-Lantie. FEDERATION GENERALE

DES AVOUÉS DE FRANCE

La section régionale brelonne de la Féiltiralion gc-nérale des. avoués de France a tenu dimanche dernier son assemblée générale annuelle "dans l'une des salles du Tribunal civil gracieusement mise à sa disposition par M. Ie Président du tribunal civil de Rennes. Presque tous les tribunaux du ressort étaient représentas. L'assemblée a discute les questions d'intérêt professionnel ti l'ordrc du jour et s'cst occupée de l'organisation -du congrès des Avoués de France que l.i Fédération gédoit tenir il. Rennes les C. 7 et 8 juin prochain.

Les pouvoirs du très dévoué président de Iii section. NI* Pierron, devant prendre lin le \t octobre. M' Ertatid. avoué il Rennes, a t'te élu par acclamations pour la présidence de la section.

T"n déjenner fort bien servi par M. Gaze dans les salons de l'Hôlel Moderne, a suivi la réunion.

Le-' congrèc de lous les Avoués dr France. annonce pour les C. 7 et 8 juin, s'annonce déjd comme une grande manifestation professionnelie.

A LA SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE La Société Archéologique d'Ille-et-Vilaine a tenu mardi sa séance mensuelle, sous la présidence Ue NI. Pocquet du Haut-Jusso. Auprès l'adoption du procès-verbul lu par Mlle G. de Saint-Sauveur, secrétaire, et la présentation de trois nouveaux membres la Société a examiné plusieurs projets d'itinéraires proposés pour son excursion d'été. Il est probable que l'excursion aura lieu dans la région, de Redon, entre Guer et Le GrandFougeray; elle est fixée en principe au jeudi 11 Juin.

La Société s'est occupée ensuite de l'importante question du Musée de Kcrnuz, qui inléresse toute la Bretagne. Le Musée de Kernuz, près Pont-l'Abbé, a été formé par M. Paul du Cliatellier, à la suite de cinquante années de recherches et de fouilles dans le Finistère et le Morbihan. Il contient des richesses de premier ordre et des pièces uni ques d'une valeur inestimable.

Les objets préhistoriques qu'il renferme se comptent par milliers.

Or, l'Etat vient d'acheter ces collections et il aurait, parait-il. l'intention de les faire transporter iL Saint-Germain-en-Laye. Toutes les sociétés savantes de la province protestent contre cet enlèvement qui priverait la Bretagne d'un Musée qui est la lois un attrait pour les touristes et une mine !ni! puisable ponr les travailleurs. La Bretagne, par le nombre et la beauté do ses monumonts mégalithiques, est la terre privilégiée des études préhistoriques. 11 serait iléploritble de lui enlever une de ses principales !ichesses.

La Société Archéologique Il émis un vœu demandant que le Musée de Kernuz soit transporté h Quimper où il serait facilement accessible aux curieux et aux savants. M. Bily communique il la Société une intéressante nroclamation du général comman dnnt la division de Rennes en 1815. On annonce que la très ancienne statue de la Vierge, placée danr. une niche au-dessus de la Grand'Porte à Saint-Malo, vient d'être classée comme monument historique. C'est Ni. l'abbé Denottes, membre de la Société Historique de Salnt-MaJo. qui avait attiré l'attention sur rette curieuse statue A l'issue de la séance, la Société s'est ren due l'hotcl de Carndotic, qui était, comme on sait, l'habitation du célèbre procurer sérierai de La Chalotais. NI. le compte i!c> Kernier a reçu les membres de la Société avec la plus aimnble courtofsle, il leur a montré les souvenirs de son illustre aïeul, ainsi oue les beaux meubles et les tapisseries d'Auhusson qui donnent à ce vieil bute! historique un cachet si particulier. CERCLE ORPHEONIQUE RENNAIS La deuxième Moirée du Cercle Orphéonique Rennais est fixée au mardi 17 mars frocliain.

Pour ce second gala, la Société s'est assurée le concours de M, léon "Bernard, le plus hel .artiste de la Comédie Françaics. et de Mme Marie Lecomte. l'exquise comédienne, créatrice, » Paris, de Primerose et do tnnt d'autres rôles où elle a connu le triomphe.

Nous donnerons .prochainement des détails sur cette soirée sensationnelle.

LA REPRESENTATION

DE « RENNES-COMŒDIA »

AU THEATRE MUNICIPAL

• Miquette et ta mère comédie en 3 actes, de MM. R, de Flers et 0. de Calllavet Ce spectacle, le second de la suison organisé par « Reunes-Comœdia ou Théâtre municipal. est assuré d'un franc et légitime succès. En effet, cette jolie et spirituelle comédie, un des plus grands succès comiques du Théâtre des Variétés, n'a pas t-té jouée depuis bien longtemps it Rennes. Nombreux seront donc ceux qui, la cnnnai^ani île réputation, voudront l'applaudir h la scène. Miquette et sa Mère u'est qu'un conte, une trame légère sur laquellc MM. de Fiers et de Caillavet ont jeté (tes broderies. Et, chose singulière, si les événements qui font la substance de cette comédie sont chimériques, a propos d'eux éclatent dans le dialoguc des traits admirablement justes, souvent profonds. De plus, nous faisant l'écho des élogieuses notes parues au lendemain de la première, nous reproduisons ce qu'écrivait M. Gaston Sorbets Enfln, c'est une pièce légère et divertissante, mais que tous peuvent aller voir, à laquelle on peut conduire femmes et jeunes filles. » Que dis-je T Miquette qui se marie, et sa mère, veuve, qui se remarie au 3« acte, vont donner un exemple significatif, et les loges et couloirs du théâtre, faisant concurrence aux meilleurs salons, vont être lundi soir comme le vestibule de la mairie et de l'église.

Hennes-Comœdia a mis tout en ceuvre pour donner Il la brillante comédie de MM de Fiers et CaillaVet, l'éclat mérité; grande et riche mise en scène et une interprétation complète des plus homogènes

Au premier rang de l'interprétation, nous retrouverons Mme Rauch dans un de ses meilleurs rôles où elle donnera la mesure de ses merveilleux dons comiques. Auprès d'elle, Mme G. Lscomte qui a bien voulu reparaître sur la scène après une longue absence, apportera au rôle de Miquette une grâce enjouée et une fantaisie toute naturelle. MM Georges Lemoyne et Jean Trécan. comiques iL souhait. mèneront la pièce avec leur entrain h.lutuel Ajoutons que bllles Jany Solanges et Germaine Bernard ont su faire de deux boi;:s de rôles deux silhouettes très rénssies et nous pourrons croire au ferme succès de la représentation de- lundi prochain J6 iévrier. Le Comité de Hennes-Comœdia prévoyant une grande affluence, demande ti ses membres honoraires et à son public habituel de bien vouloir retenir leurs places au plus tôt. Location à partir de dimanche prochain 10 h., chez Mme Lavoignet-Lallement, Galeries M tiret, derrière le théâtre.

Une école de plein air

et un préventorium à La Bouëxière

Elargissant et complétant son œuvre, la Société des Colonies de Vacances des Ecoles publiques de Rennes étudie en ce moment la création, au château du Carrefour, en La Bouëxière.. dont elle est propriétaire grâce au don généreux qui lui a été fait, d'une école de plein air et d'un préventorium. Le premier projet comporte, pour les jours où l'école de plein air ne pourra se faire, des salles de classe potir une centaine d'enSants, des dortoirs vastes et bien aérés, une cuisine, des réfectoires et une installation tout à fait moderne au point de vue hygiène. Tous les enfants du département pourront être admis pendant un ou plusieurs mois, jusqu'à concurrence du nombre de places disponibles et jusqu'à cf.mplète guérison. Une entente sera faite a ce sujet entre les communes, les familles et l'œuvre. Pour être admis, les enfants devront être reconnu par les docteurs attachés à l'œuvre comme chétifs ou prédisposés à la tuberculose. Pour réaliser son projet, la Société vient de solliciter et d'obtenir le caractère d'ntilité publique; elle fait, maintenant, appel il toutes les personnes généreuses qui auront compris la portée de cette œuvre sociale au premier chef.

Elle organise, pour débuter, deux manifestations intéressantes

Le 19 février, au théâtre municipal de Rennes, aura lieu une grande soirée de gala au profit de l'œuvre, avec Grisélidis, l'œuvre de Massenet. si goûtée du public rennais. Le jeudi 19 mars, Un bal d'enfants travestis et non travestis sera donné l'après-midi dans les salons de l'Hôtel de Ville. Le même jour, un grand bal aura lieu à 21 heures, toujours ù l'yôtel de Ville.

Un importànt Comité de dames palronnesses va bientôt se constituer à ce sujet et, d'après les conversations d'ores et déjà échangées, tons les efforts seront faits pour la complète réussite de ces manifestations de bienfaisance.

Après Faccident d'automobile de la Croix-Nobkt

L'enquête de la gendarmerie de Rennes s'est poursuivie hier, pour rechercher les auteurs de l'accident survenu à M. Joseph Le\'main.

L'enquête, quoique habilement menée, n'a donné jusqu'à présent aucun résultat. Ouant fI l'état du blessé, toujours soigné à niûtcl-nieu, il reste stationnaire.

Il a été opéré mardi soir et l'opération semble avoir réussie néanmoins, les docteurs ne peuvent encore se prononcer. LA GRÈVE DES ATELIERS STRAUSS Toute la journée d'hier les ouvrières de la chemiserie Strauss, située rue de Dinan, ont poursuivi la grève commencée mardi midi. Des réunions ont eu lien à la Halle-aux-Toiles. Mais le contlit n'a' pas encore été résolu, M. Strauss ne devant être de retour Pu notre ville qu'aujourd'hui.

On pense généralement que la grève ne saurait se prolonger et sans doute la journée de jeudi sera-t-elle décisive.

1* A » EST PARU

La Joyeuse feuille étudiante vient de paEmpressfZrvoui de la lire si vous voulrz connattre déjà le programme des fêles -du iriardi-gras.

Vous lirez aussi: La légende du chef de gare: la critique théâtrale et clnéntatographique; aa chronique féminine; lettres et arts; Sports et- réunions mondaines.

LE CONGRÈS CATHOLIQUE DE RENNES

DU 15 FEVRIER PROCHAIN Le Congrès catholique qui doit avoir lieu u Rennes, le 15 février prochain, sera, à n'en pas douter, une imposante manifestation en faveur des libertés religieuses.

Certains groupements d'extrème-gaucha s'étneuvent de ce congrés, ou feignent de s'émouvoir, Lomme :-i tout citoyen libre, dans un pays libre, n'avait i lus le droit de manifester son opinion

Les catholiques entendent protester contre les mesures dont le gouvernement les menace et qui porteraient gravement atteinte iL la liberté de croire et de penser.

Ils protesteront dimanche prochain avec dignité et dans l'ordre le plus absolu. La pape de la rue ne sera ras troublée. Car s'il est des « fascistes qui prétendent accaparer pour eux seuls les libertés dont tous les citoyens d'une démocratie, sans distinction ae parti ni d'opinion, doivent bénéficier, ce n'est pis dans les rangs dfs manifestants catholiques qu'on saurait les trouver.

Socialistes, communistes, libres-penseurs ou catholiques ont des droits égaux qu'il plaise aux groupements d'extrême-pauche de contre-manitester dans l'ordre, nous n'y voyons aucun inconvénient.

Quoi qu'il en soit, toutes mesures miles seront prises pnr la Préfecture et la Municipalité nour assurer aux manifestants catholiques l'exercice de leur droit.

TRANSPORTS PAR LES CHEMINS DE FER DE L'ETAT

ET LES TRAMWAYS D'ILLE-ET VILAINE A. Chemins de ter de l'Etat

Il est rappelé aux congressistes usant des chemins de fer qu'ils reront transporté* t Rennes par les trains réguliers renforces, pour la circonstance, avec des voitures de 3" classe.

Le délégué paroissial est invité a prendre à l'avance les billets de son groupe Il sa. gare de départ. Il devra s'entendre pour celn, ait préalable. ivec l'employé de la gare chargé de ce service.

Pour demander les Lillets des ayant-droits 1 réductions, il devra se munir de toutes les pièces nécessaires.

Ci-nprt's on extrait, pour les principales gares du pareours, des horaires des trains Ligne de Vitré, Hennés. Aller Vit* départs 6 h. 11 et 8 h. 1 Chateaubourg, dep. 6 h. Si et 8 h. 22; Rennes, arr. 7 h. 3 et 8 h. 51. Retour Rennes, départ 18 h. i Château.bourg, dép. 18 h. 31 Vitré, arrivée 18 h. fil. Nota. Les congressistes de la ligne de Vitré à Rennes sont très instamment priés de ne prendre que le train de 8 h. 1, le premier train devant être laisse à ceux nui viendront de la ligne de Fougères à Vitré. Ligne de Fougères <t Vitré. Aller Fougères, départ 4 h. 51 Vitré, arrivée 6 h. 5. Retour Vitré, départ 19 h, 5 Fougères,

arrivée su n. -a.

Ligne de Tlennes La Brot\inière. Aller: Quédillac, départ 7 h. La Brohinière, dep. 7 h. 41 Montauban, dép. 7 h. 48 Montfort, dep. 8 h.; Rennes, arrivée 8 h. 25 Retour Rennes, dép. ij h. 57 et 18 h. 50 Montfort, <l«p. 16 h. ?4 et 19 h. 19 Montauban. dép. 16 h. f!6 et 19 h. 32 La Brohiniért- dtp. 16 h. 43 et 19 h. 40 Quéclillae, arriv. 16 h. 59 et 20 Il. 1.

Ligne de La Brohinière Plouasne Aller Plouasne-Bécherel, départ 7 h. 04 • 1 a Brohinière, arrivée 7 Il. 28.

Retour La Brohinière, départ 20 h. 10 Plounsne-Bécherel, arrivée 20 h. 35.

Ligne de La Hrohinière t1 Gacl. Aller Gaèl, départ fi h. 53 St-Méen, 7 h. 07 La Brohinière, arrivée 7 h. l'j.

Retour 1a Brohinière. départ 17 h. Où St-Méen, 17 h. 17 Gaël. arrivée 17 h. 28. Ligne de Rennes ri Hcdnn. Aller Redon, départ 6 h. 48; Masserac. 7 h. 07; Beslé, 8 h. Oâ- Fougeray-Liingon, 8 h. 12; Messac. 8 Il. 31; Plôchâtel, 8 h. 41; Guichen, 8 h. 52; Rennes, arrivée 9 h. 2-f.

Retour Rennes, départ 16 h. 42; Guichen 17 h. 13; Pléchâtel. 17 h. 2U; Messac, 17 h. 41; l'ougeray-Langon, 17 h. 54; Beslé, 18 h.; Masserac. 18 h. 14; Redon, arrivée 18 h. 34. ?Vola. Les congressistes venant de Redon et de Beslé sont invités à prendre le trains partant de Redon à lU h. 3-1 et de Beslé k 10 h. 52 et arrivant à Rennes 1 11 h. 43. Ligne de Messac il Les llrûlais. Aller Les Brrllais, départ 7 h. 01; Masure, 7 h. 09; Plnriac, h. 21: Messac. arrivée 7 h.i:i. Retour Messac, départ 20 h. :u>: Piprlae, 20 h. 51; Maure, 21 Il. 03; Les Brûlais, arrivoo 21 Il. 11,

Ligne d'Ercè-Teillatj à Messac Aller Ercé-Teillay, départ 7 'h.; Bain, 7 h. 17; Mes-.ne, arrivée h. 30.

Retour Messac, départ 20 h. 41 Bain, 20 h. 59; Ercé-Tcillay, 21 h. 17.

Kola. Les congressistes qui la distance kilométrique à pr:rcourir permet, siir la ligne de Rennes à Redon et les lignes adjacentes. de prendre le train partant de Rennes pour Redon à 20 heures, peuvent en user.

Ligne de St-Malo Rennes. Aller RtMalo, départ, fi h. 50; Dol. 7 h. 37: Combourg, 8 heures; Rennes, arrivée, 8 h. 5fi.

Retour Rennes, départ. 18 h. 10; Cornbonrg. 10 h. 12; Dol. 19 Il. :l; St-Walo, arrivée,' 20 h: 20.

Ligne de Dnl à Mintac. Aller Minlae, dénart, 7 heures: T)ol. arrivée. 7 h. 21. Retour Dol, départ, 19 h. 53; Mintac, arrivée, 20 h. 22.

Ligne de Dol Il pleine-Fougères. Aller Pleine-Fousrèrcs, départ, 7 li. 6 Dol, arrivée. 7 h. 27.

Retour Dol, départ, 19 h. -45; Pleine-Fougères, 20 h. 7.

Ligne de Martignè-Ferchaud ci Rennes. Aller Mrrtiené-Ferchaud, départ. 6 h. 43 Retiers, 6 h. 58; Janzû, 7 h. 17; Rennes, arrivée. 7 h. 54.

Retour Rennes, départ, 17 h. 5 Janzi', 17 h. 52; Retiers. 18 h. 8; Martigné-Ferchaud, arrivée, 18 h. 27.

Nota. Les 'Congressistes de MartignéFercitaud et de Janzé sont invités prendre l'express partant il 10 h. 53 de Martigné et à il h. 18 de Janzé, et arrivnnt Rennes, à 11 h. 47. de manière a laisser aux autres congressistes les trains ci-dessus. ils pourront de même prendre au retour le train partout de Rennes à 20 heures et arrivant t Janzé a 20 lr. 34, et ù Martigné à 20 h. 58.


B. Tramways d'Illeet-Vllalne

Nota. Les trains réguliers seront dédouhlés sur toutes les lignes Du ce sera nécessaire. Il y aura dix minutes d'intervalle entre le train régulier et le train dédoublé. Mirait de l'horaire des trains régulier* Ligne de Fougères à Rennes. Fougères, départ. 6 h. 21; rtornnsné, 6 h. 47; St-Aubin(tu-Cormicr, 7 h. 27; Liflré. 8 h. 02; RennesViarmes, arrivée, 8 h. 57.

Renues-Viarmes, départ, 17 h. 7; Liffré. 18 h. 3; St-Aubin-du-Cormier, 18 h. 38; Romapné, 19 h. 18; Fougères. 19 h. 42

Ligne de La Cherche ci Rennes. Aller La Gnerche. départ G h. 48; Châteaugiron. départ 8 h. 22 Rennes, Viarmes, arrivée 9 h. 8.

Retour Rennes Viarmes. départ 17 h.; Châteaugiron. départ 17 h. 51; La Guerche, départ 19 h. °0.

Ligne du Grand-Fongeray ci Rennes. Al.ler Grand-Kougeray, départ G h.: Bain-deUretagne. départ C h. 52: Le Sel. départ 7 h. 23; Rennes Viarmes. arrivée 9 h. 17.

Retour Rennes V iatTttes départ 16 h. 41: l.e Sel. départ 18 h. 38; Baih-de-Bretagne. départ 19 h. 8: Grand-Fougeray, arrivée 19 h. 57. Ligne de Pleine-Fougères ci Rennes. Aller Pleine-Fougères, départ 6 h. 35; Bazouges-la-Pérouse. départ 7 h. 1:; Sens, départ 7 h. 59: I.iffré. départ 8 h. 46; Rennes Viarmes. arrivée 9 h. 37.

Retonr Rennes Viarmes. départ 16 h. 7; I.iïïiv, départ 17 Il.. Sens, départ ]8 h. 10; Bazougcs-la-Pérouse. départ 18 h. 40; PleineFougeres, arrivée 19 h. 16.

Ligne d'Anlrain Rennes. Aller Antrain. départ 6 h. 49: Sens. départ 7 h. 49; Snint-Aubin-d'Anbipné. départ 8 h. 27: Rennes Viarmes. arrivée 9 h. 37.

Retour Rennes Viarmes. départ 16 h. 7; Sainl-Aubin-d'Aubisné. départ 17 h. 19; Sens, départ 17 h. 58: Antrain. arrivée 18 h. 48. Ligne de Saint-Malo ci Rennes. Aller Saint-Malo. dfpart 7 li. 50; Saint-Servan, départ h. 5.1: Chalenuneuf. départ 8 h. 31; Miniac. départs 6 h. et 8 h. 59; Tinténlac, départs 7 h. 21 et 10 h. 25; Hédé. départs 7 h. 50 et in h. 47: Rennes Mission, arrivées 9 h. 12 et 1? h. 4.

Retour Rennes. départ 1C h. 53 Hédé. départ ]P h. ?0; Tirléniac. départ 18 h. 52; Miniac. arrivée 20 h. 2.

Ligne de Récherel d Rennes. Aller Bécheiel. départ 6 h. 31; Romillé, départ 7 h. 9; Rennes Mission, arrivée 8 11. 38.

Retour Rennes départ 17 h. Romll1é. départ 19 là. 4: Bécherel, arrivée 19 li. 57.

Ligue de Redon et Pipriac il Tiennes. Aller Redon, départ 5 fi. 30 Pipriac, dép. 7 M. 6 Maure, dnp. 7 h. 41 lîréal. déu. 9 h. ::l Mnrdelles. dép. 9 h. 34 Rennee-Mission, arrivée 10 h. 1:

Retour Rennes-Mission, départ 16 h. 15 Mordelles. dép. 10 h..77 Rréal. Mp. 17 h. 12: -Maure, dép. 1S li. '.7 Pipriac, dép. 19 h. 28 Redon, arrivée ?0 li. 'm.

Ligne de PUIan ù Tiennes. Aller PléInn. départ 7 b. 7 Rréal, .dép. 8 li. 2 Mordilles, dép. 8 b. 13 Rennes-Mission, arriv. H h. bi.

Retour Rennes-Mission, départ 17 ¡ Il, 12 Mnrdelles, dép. 17 b. M Hréal. dép. 18 h. 9 arriv. 19 h. 2.

Les commlatairet

MM. les Curés tt Recteurs ont dû recevoir nue note datée du 9 février, ("cite note doit être lue attentivement, ainsi que les' renseignements donnés dans les n"1 de l'OncstIjlair et du de lïielagnc rarus ie Il février, qui, en plus des principales disCE QU'IL VOUS FAUT Lne voiture ROBUSTE, capable d'affronter sans défaillance le; mauvaises routes, munie d'un moteur PUISSANT et SOUPLE, quoique de cylindrée réduite, permettant de monter Fans effort les rotes les plus dure* et ascnrant dc-5 REPRISES ENERGIQUES.

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positions 'de la note, donnent certaines Indlcations utiles il retenir.

MM. les Commis -ires des cantons sont priés de porter un brassard blanc et rouge et de se trouver au Champ de Mars, le iô .février, au pied du Monument, il il h. 30. Ils sont invités à faire connaître leurs noms le plus tôt possible, a M. le Secrétaire du Congrès catholique, 6, rue Martenot, à Renues.

ON POURRA SE PROCURER DU PAIN DIMANCHE PROCHAIN

CHEZ NOS BOULANGERS

Nous sommes informés que M. le Préfet d'Ule-et-Vilaine vient d'accorder une dérogation son arrêté du la novembre 1924. On pourra donc se procurer du pain dimanche prochain, chez nos boulangers, sans encourir les foudres de la justice.

Mais les patrons boulangers qui désirent travailler doivent simplement prévenir M. l'Inspecteur du travail de leur intention. BAL DE LA PHARMACIE Samedi H février, à 21 heures, dans les snlons Gaze, l'Association des Etudiants en pharmacie donner son deuxième hal, sous In haut patronage de NI. le Directeur, des Professeurs de l'Ecole et du Syndicat des On peut encore se procurer des cartes chez les Dames patronnesses dont les noms suivent Mmes Boisniére, .r), avenue du Mail d Onges Boley, 17. rue Chateaudun Brenugat, 20, rue des Fossés; Castex, 13. rue Kléber; Conducie, 3, rue Francois-Lanno; Gihert, 86 rue Paul-Féval; Girod, Maison Centrale' Houtbert, 10, rue du Bols-Rondel; Huchet, 5, place Hoche; Laurent. 11, rue Saint-Martin- i.enormand, 5, rue de Vitré; Tréquesser, La Ctierche-de-Bretnpne.

Prix d'entrée 10 francs.

Etudiantes et Etudiants, sur présentation de leur carte 3 francs.

(Sauf pour ces derniers aucune carte ne sera uelivrée à l'entrée.)

UN MONUMENT COMMEMORATIF EN SOUVENIR

DES REGIMENTS D'INFANTERÏE DE RENNES

l'n groupe d'anciens -du 41» et des 241» et <a" territorial et 410", informé qu'un projet de commémoration du souvenir des régiments d'infanterie de Rennes avait été ins)iré par M. Leray, l'éminent architecte de a Ville, s'est réuni à la Mairie de Rennes, le ?9 janvier 1K5.

Ce projet, pour lequel aucun des camarades ayant appartenu èt l'un des régiments disparus ne saurait être indifférent,, consisterait ù édifier, dans le domaine de l'un.cienne caserne Suint-Georges, berceau de notre infanterie pendant un siècle; environ. un monument digne du passe de ce; rJgiments et de celui de tous les braves qui ont contribur il illustrer leurs drapeaux.

A l'unanimité, les camarades présents, désireux de poursuivre la réalisation dè cette belle et émouvante idée, font appel à l'nnion de tous dans un même flan de solidaévoqnent, pour rallier tous les suffrases. les sentiments généreux qui les unissent: Uiltc a nos drapeaux, hommage il nos glorieux morts, camaraderie de régiment et fraternité de combat.

Tous les camarades ayant appartenu ù ces régiments auront à cœur d'apporter leur encouragement au coniit, d'organisation les pères, mères, veuves et orphelins de nos camarades tombés au champ d'honneur sont instamment priés de venir nombreux il 13 réunion. Le souvenir de ceux qu'ils représenteront sera le grand stimulant de toutes tes volontés vers le but commun la réussite. Rendez-vous le samedi 21 février, à 20 b. H0 srando salle de Ia Halle-aux-Toiles pour l'or('.(institution d'un comité élaboration d'un ̃"•rncramnifi d'entente et rie mesures d'exécution.

Pour lr Comité provisoire

Le Colonel en retraite LE GUEt.

L'EXPOSITION

DE LA SOCIÉTÉ PHOTOGRAPHIQUE On pourrait discuteur à perte (la vue pour savoir si la photographie doit être considérée comme un art. Certains peintres izrincheux surtout quand ce sont des cubis1°s le contestent ils ont certainement tort. ct l'Exposition de la Société Photographique qui restern ouverte jusqu'au 15 février, suffirait à apporter un formel démenti a ces détracteurs systématiques. Plusieurs parmi les photographies exposées fci font en effet de véritables tableaux- composés avec gotlt et ingéniosité.

On remarquera tout particulièrement les envois de Ni. Oeornen Kitsch. président de la Société, qui renouvelle chaque année le')lutlvos vers un' formule plus libre dans certaines compositions contme Les fnncnlais, (aime du soir. Photo-croquis, il s'affirme définitivement comme un mattre (le l'art photographique, arrivant à faire disparaître tout le côté serait de l'appareil pour ne donner qu'une interprétation synthétique de la nature, largement traitée.

Ce sont aussi d'intelligentes Jnterpri'lntions pleines de saveur, que les photographies de M. (Vision l'erchat, et surtout son Klude. (tille d'homme) et son Mutin d'hiver il SdintUe M. Alexandre Fleury, les paysages priésentent des effets très heureux, Contre-fuur u Saint-Malo. Effet de nuages, etf. Bilanl, vice-prénident de la .S. P. R. est présent avec d'excellents envois, notamment Le Chdtean de la Prevalaye et le Port d'Ostende.

Fort bien composé, l'Intérieur Breton, r1e .NI. Jules Bergot, secrétaire de la S.P.R. On peut faire le même éloge à Ni. le lieutenant* colonel Lnsne, pour sa Femme an puits, Vannes, et & M. Ledosseur. pour son Arrivée des POrheurs, d Quiberon.

Le Retour ri l'étable. de M. Ambroise Polrier, vice-président de la 8. P. R., rappelle nar le sujet et la lumière certains motifs de Troyon. A signaler également sa Marine. Les lavandières, La Péniche et La Fileuse, de M. l'Vniiind Dalle. tont parmi les plua

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réussis des envois ils témoignent de beaucoup de goût et d'un sens très averti de lu misa en page.

A retenir trois exposants de MayennePhoto NI. P. Turquet, avec des paysages de l'Ouest et de la Crémieux avec ses vues do Sainte-Suzanne et de Chanronlx, et M. Poupard notamment avec un Contre}otiret Une rrre à Lande rneau. Parmi les nombreuses photographles de .NI. i!e?n,.f.ibiieau' 1,'Abbaye du Mont SaintMichel, l'Etude d'Intérieur et Le quai au.r. moules s'imposent par leur finesse. Curieux et réussi au point de vue du procédé, la Reproduction de. portrait de M Ch. Trubert qui expose aussi de bonnes compositions avec des figures.

Nous ne pouvons malheureusement donner une nomenclature complète des exposants. Notons toutefois encore les œuvres de MM. 1'aitlandier, Rachebœuf (portraits et paysa- ges), Alexis Ménard, du docteur Dupuis qui expose d> belles résinotyples (Guidel, po, trait de femme et Lc Pritidcni), de Ni. l'abbé Danion avec des envois très wriés de MM René Créton, Georges Bertin, etc.

Dans l'ensemble, on sent un bel effort couronne d'un réel succès.

A

A l'occasion de l'Exposition, la Société Photographique organise sa deuxième soirée le vendredi 13 février, il 20 h. 30 dans la salle de conférence de l'Ecole des BeauxAu programme

1. Projection de clichés des sociétaires (les promenades de la Société et divers) intermède musical avec le concours graciew de Mme Galle, professeur de chant et dp Mme I,atupi, professeur au Conservatoire. 3. Conférence par M. Guy Ramard, conserwiteur du Musée archéologique de Laval correspondant du Ministère de; lîeaux-Artè sur « la Mayenne artistique et archéologique Les sociétaires pourront retenir leurs places ù partir dit jeudi 13 février, à 10 heures, au magasin de la Compagnie du gaz, rue Le Bastard.

L'Exposition reçoit toujours de nombreux visiteurs. Rappelons qu'elle reste ouverte gratuitement Jusqu'à dimanche 15 courant iuclus, de 9 à 12 heures et de 14 a 17 heures. Un catalogue illustré donne les noms des exposants avec la liste de leurs œuvres et connent une documentation précise sur ce qu'est la Société Photographique.

SYNDICATS & SOCIÉTÉS Anciens K de l'Ecole d'Industrie do Rennes (MCl6talres ou non de l'Amicale) sont prlés de vouloir blen assister à la réunion qui aura lieu il. l'Ecole, samedi Prochain il février, il 8 hettres jour soir. Questlons lmportantes il l'orSrawcAT nes Ooriers au BATiMExr. Les ouvriers et manœuvres du bâtiment toutes catégories. sont Invités à la réunion générale, qui anra lien le vendredi ^3 février, a h. salle (le la .Maison du Peuple, rue Saint-Louis. OrJre du jour l<- compte rendu des réunioni de la section; renouvellement du bureau 3- programme d'action.

A^S^rfS^^ DE T*T- MM- les membres de ££ i 6, ^i1'* *> T.S.F. sont tnstamment priés d assister a la réunion générale qut aura lieu samedi Drochain Il février, 20 h. :o a qOn mZ social Ecole Jean'Jan"e'>. placo Sainte!'ammfÔu^d'in^'tê? Paiement des cotlsatlons et Ol-vjueiis CoirFEi.-ns. Le ej-indioat u,vite tous ?\sTZ$e™ <?uu2a*; smWts et non syndiques. ,s.t*r 1»' réunion qui aura ll(# le vendredi iJ frtvrler. i 20 h. 30. à la Halle-aux-Toiles. Présence indispensable.

MA TINÊES & SOIRÉES THEATRE MUNICIPAL DE RENNES Ce soir 20 Il, 30. Guttlaume Tell, avec une Internre'Milon vraiment de tout Premier ordre avec le Jeune fort ténor Pog-gri. qui va se tailler un éclatant succès dans le rôle d'Arnold, qui lui vaut partout des acclamations enrhouslaste». Ajoutons que Jl. Pojrirl n'» pins que trois représentations il donner sur notre scène, étant attendu au Théatre des Arts de Rouen. la semaine prochaine Tous les chefs d'emplol de notre remarquable troupe d'opéra iqui font l'admiration de tous les connaisseurs) partlclpjnt a relie repri^e-ntatlon de Guffloume Tell .Mme J. Nadlany. mm. Cahuzai\ Par,iK-<la, Mlle r. M»rMly, JIM. de Fizes. Ferrus, Yvonny, Plantler. Boucher. Nlnio Renier, etc. Orchestre et chœur», sous ¡la direction de M Maurlce Hendprlrk. On sait que j'ouverture. de Cuilllnume Tell est une des pages les plus célèbres de la parution. Lt Direction prie les retardataires d'en attendre lia fin dans les couloirs afin de ne pas troubler l'exécution. On commencera exactement à 80 h. 30. Li location continue tout le Jour Je 10 heure? il 17 heures sans interruption. Demain vendredi malin. ouverture de la location rour les spectacles de samedi La Favorite. rtimanclie (matinée) Slgurd; dimanche ^olrêei la Veuve Joy;tae.

« LES DIX COMMANDEMENTS » Ce» jour3 derniers a Paris, au Théâtre Mogador, en présinre de- Mirr Cerrelti. nonce du OapP; de M»r Holland (lossriin; du généra! de Castelnau, etc. a élé présenté spéclalememt le grand fllm scn?aMomiel. qui re^mné 1» dernier mot de la technique ('im'niatograpblque mondiale

< Les Dix Commandements

Le mJme Joih-, on présence des notabilités ec- clésUstlque*, chik-s et mllltuires

Lb Dix Commandement@ >

ont été préswilés aver un »utci>s mus pr«cf;1en.t. au PniionaRc de la Salnto-i'amllle. a nennci. <.(hsi ce cher d'œuvrf unique, dout la réalisation fmuasilque. a coûté 35 millions do flancs que n.ce!.slor. vous présente A partir de demain vendredi 13 et c'mi au prix des plus gros sacrifices que cet établissement s'en assuré l'exçlushitB de re film, qui marque trae date dans l'nisiolre de la Ciuématograpbie.

-Mil doute que lLxreHior refusera du monde ù toutes les séances, au-%( nous <ne pouvons que conseiller au public de louer Immédiatement se-s place*.

JUL de Li SOUBARiTti .MIUTUBt. Nous rappelons que le hal annuél de la Solidarité Militaire aura lieu le samedi ai lévrier dans les salons de l'Hô<c hal est placé sous la présidence du Comité dei fêtes.

On peut. d£j maintenant, se procurer des cartes d'entrée ihez M. Liesse, vice-; résident civil 21. rue Glnruené: 31. Delauiuy, adjudant-chef au 5*5" H. C. C., vice-président militaire; Ni. Richard, seMfent-major nu MB' R. C. C.. secrétaire: chez NI. Kermeneur. 67, boulevcv. de Ia Tour-d'Auvertrne trésorier, et chez M. Jiousuet, café. s. rue Chalais. Les ¡personnes qui n'auraient pu se procurer des cartes en trouveront l'entrée de l'Hôtel Duguesclin, à partir de 20 heures.

des places cavaliers. 2 fr.; cavalières, 1 fr. EXCET-SIOR-CINEJIA. Taramount présente cette seni.ilne Dorothy Dalton et Charlrs ,le Roche.fort dan» Justice de Tztuaues. atani ilmnie qui se dfroule eu rœnr sauvage de la Macédoine. Pearl Whlte dans ¡'luge, 3- épisode La Ruine ». LE9 I'alx BoNaKOMMES. Si l'on en juge par la rapidité avec laquelle les places s'enlèvent, on ̃l'put. apurer <l«'5 aujourd'hui que Je coquette salle le,3 Fêtes de l'Insiltutlon St-Martin, sera trop (irolte le ts février prochain, pour contenir la foule des spectateurs.

Les étudiants caihollques ont été certes bien lmrires de cholslJ1 pour leur soiréa de gala, U spirituelle comédie de Barrî-ro et fapendu Lrt

iement les préparatifs. La iroupe des acteurs es: prête,1 et r«xc«IIent orcheître de Saint-Yves, attend pour cbormei' l'assUiance, le slgnal do la baguette.

Qu'on se hâte de retenir ses places, Le publie des élégante* soirées rennaise-, retiendra 1a date du 13 février, autant pour Jou:r d'un spectacle altrayrat qiw pour manifester sa sympathle à I'ÛEuwm.' des Etudiants Catholiques.

SELECT. Son premter amour, avec Mary Carr. Le «01 de la Vitesse. drame Interprété par SadiLecolnte. te» tleux Voues. Croquis fay» Dn.i. La semaine prochaine, la toute dernière création de Mary Pictiford dans DOrolhy Vcrnon de Uaitdonl- mil.

Théâtre Guignol Rennais. Butte du Champ de .Mars. Aujourd'hui il 1S heures, Le mariage ils Guignol, comédie iiu-dile. Où l'on aura l'explicalion du mauvais caractère do Catherine.

OMNIA-PATHÉ

CETTE SEMAINE

TARAS BOULBA

LES FILS DU SOLEIL

Association Miituiu«ti femimxk de Kiwits. l.e Cousu d'administration a l'honneur de rappeler a ses sociétaires, qu'il organise, pour Je dimanrhe 15 février courant, un banquet avec bal à L'hôtel GadGv. faubourg d'Antraln M. i^> banquet aura lieu il 12 heures précises et le bal, de il h. ;:0 à 18 h. 30. inutile 'd'ajouter que la Iimiiik liabitelle des eracleussp personnes qui voudront blen se joindre A l'Associailon. lui assuru d'avance lo plus urand succès.

Aujourd'hui. Jusqu'à 10 heures, on pourra encore se urocurer des cartes pour le banquet et hal Mmes A. et R. Claude. présidente et secrétaire, rue du Griffon Mille Guillet. vice-présidente rue du Champ-Jacquet. 37 (roiffeux); Mlle Mey. vireDrésidente. rue d'Inkermann, 4; Mile Rorhe, tresarlère-adlolnte rue Duquesclln, 4: Mmes Lemoux insoeotrlce. rue de Dlnan. J; Ca'ec. rue Zacharlesorlère faubourg de Paris. 18: Mllo Plthols treRoussin Concédieu. route de Lorient, "5 et Hôtel Gaiiby, faiibcuic d'Antia>n. 6S."

ETAT-CIVIL DE RENNES

N'AIiSANCT3

Il févrler. Madeleine Blgot. nte do Si-Brleuc. là: Bertrand Gulllo, rlace de Dretagne. :i; Madeleine Maival, rue de Rohan. 4: Maurice r.réau. rue Motte-Fablet, 2; René Pays, rue de la Visitation. necàs

Il février. Mme Gottrlo, née Perrot. 5n ans, rue du Père-Urignion. 5; We Prunier, née Savouré, &1 ans, rue Salnt-Hélier. 12?: Jline Massicot, née Pouc?=el. 4, ans. rue Jean-JIacé.

OOURONNEg MORTUAIRES

BROS8AULT, cirier, r. de Momfort, 4. Rennes Convois mortuaires

du jeudi 15 /('crier

8 heures Mine Lenue, route de Sjlnt-Malo, 145; Saint-Aubin, Nord.

10 heures M. Tournler. gare Etat: Notre-Dame, Est.

10 heure* Mme Morel PontchaMlou. Nord. 10 heures: M. Louis Robert, r.ie Hoche. S; StGermaln. Nord.

10 heures Mme Fuchy, à la Plietière; SainteJeanne-dAic, Est.

FOIRE DE PRINTEMPS. L'Union des Commerçants Vitréens et de la région a l'honneur de faire connaitre les Elevéurs. Cultivateurs; Propriétaires et Négo- ciants en bestiaux, que la Foire de Prin- temps pour bêtes ù cornes, chevaux, poli- lains, etc., aura lieu le dernier lundi de février, cette année le 23 février. Cetts foire prend chaque année une importance de plus en plus grande dans cette région d'élevage. Tes démarches sont faites auprès de la Compagnie des chemins de fer pour obtenir des wagons.

AUTOUR D'UN PARAPLUIE. Dans un récent numéro, relatant lc vol d'un parapluie dérobé par la femme Fresnais ct vendu à Mme Blondeau, débitante rue d'Knmbas, pour la somme modique de trente sous, nous avions iaissé entendre que c'était dans l'ignorance complète de la provenance frauduleuse du riflard que Mme Blondeau avait fait cette acquisition et offert ensuite à la voleuse uno ccllalion arrosée d'une bolée. Mme Blondeau (̃st venue nous trouver pour nous dire qu'eiie avait agi avec la plus entière bonne foi. Comme nous ne l'avons jamais mis en tinute. nous ne voyons aucun inconvénient il le répéter après ellr, puisque *ela peut lui être agréable. Bis repetita placent

'UN VOL D'OBJET? MOBILIERS. Mme veuve Ollivier, née Félicité Oandon, GG ans, rentière, avenue do la République à la Cuerrhe de Brelagne, a porte plainte pour vol de divers objets mobiliers v.t do linge d'une valeur de `_OU(1 francs, objets qui auraient été soustraits soit Paris, au cours de son déménagement. soit a La Guprche dans une Clmiiibre située! rue des Chapelles qu'elle avait louée pour déposer son mobilier. La gendarmcrie a ouvert une enquête.

Oennes-sur-Seiche

FOIRE-CONCOURS. Commu les aanées précédentes, un concours aura lieu à 1'occasicn de la foire annuelle qui se tiendra le 26 février prochain. 500 francs df; primes seront distrihués aux propriétaires des meilleurs animaux présents sur la Champ de Faire de Il heures il midi.

Pour les bovins, Il y aura qiiairp catégories: les hovlns gros, les bovin» d'herbage, l.s vechos de reproduction, Irs taureaux. De plus, quelques prîmes seront réservées aux propriétaires des plus belles bandes do bovins se' trouvant sur la foire.

Pour les chevaux, il y aura trois catégories chevaux de trait, 'juments poulinières, pculains. (Cette année. les étalons ne prendront pas part au enncours.)

Pour les pores il n'y aura que deux catés-orles: truies, verrats.

Enfin des primes seront accordées, titre sans de la inrnlilé qui exposeront un nuvrage de leur fabrication* pouvant servir j. l'agricuHure.

DISPARITION. Mme Mancel. née Amelin Reux, habitant Fougères, rue de Savlgny. a disparu depuis le 3 novembre 192

Nous prions tout* personne qui pourrait donner des indications do vouloir bien les faim parvenir il. la famille Roux, 68 rue Salntfiéller ;t Rennes.

SERVICE PHARMACEUTIQUE. Il sera awmnS dimanche prochain Par Casse). place Gambclta et Corcier, place du Théâtre. ACCIDENT DU TRAVAIL. En taillant nn bloo de granil. Eugène rjeleurmr, do la nie pasteur, a reçu un éclat fl'acier dans l'œil gau- elle. Quelques semaines de repos lui seront nécessaires.

LES QUArUNTE-HEl'RES A SAINT-LEOliVAHli. Les rxereicps des OuarenlP-IIenres

Mire diocésain; ils commenceront le dimanche *2 février pour se terminer le mardi 2i. Saini-GogrgM-de-Reintainbault

COUPS. l.auij Ctoisals, ctiïtlvattur au Val, fut inte.-pcll* le 9 février par Magloire Renard, son volsin alor» qu'il passait devant y.< demeure..

Des roups furent échange et tous les deux produisent un crrtiflcat médical du docteur Hamol.

Les fermiers qui jo'ui3sent tous les deux d'une bonne réputation vivent depuis longtemps déjà en mésintelligence.

Saint-Etienne-en-Coglè*

ACCIDENT. St. André Cuillère, tailleur de pierres chez :'or. Lrmaignant, maître carrier, a reçu dan:; jVr-il fjaiiclio un éclat d'acier en tjillanl une pierre, Quinze jours de repos lui seront nécessaires.

Landean

ACCIDENT. M. Mafrloirc Cuupe, chi-z M. Pelaun.iy, cullivalcni1 il Bcllo-Plaee, !§*est pris la jainbo gauche dans un engrenage et s'est blessé assPX gravement. Le docteur lui a proscrit deux à tmis mois de repos.

Antrain

ACCIDENT. En faisant des fagots. M. P:erre Pesselier..journalier chez Mme veuve CIolus. iL Courbe, ni Vicux-Vicl, s'est donné un coup du faucille dans la jambe droite. Ohauvigné

EXPLOITATION D'UNE TCKRIK. Par arrêté préfnrionil. NI. Léon Chausseblttnche, successrur <]p. Ni. Atinp. bouclier il Chauvtgné. est. autnrisé il exploiter dans cette localité une tnerio particulière d'animaux de houcherie, sous réservo que les prescription» relatives aux établissements dangereux. Insaiubres et incommodes, devront être applirluées. I!ne copié, du dit arrêté est déposée aux archivps de la Mairie et mise à la disposition de mut intéressé.

Mette

NOCES D'OR. Le lundi février, un' imposante rorémonip a eu lieu a Me!lé. M. et Mino Marcel Kouillard. vénérables vieillards, célébraient leurs noces d'or. Entourés du seu: enfant qui leur reste et de plusieurs petitsenfants, ain«l qm- d'une nombreuse et sympaIhlquo cnrlèpe de parents et d'jinis, Ils ont fait leur entrée à rp(rlisp nux sons Joreux des cloches et aux accents cnl rainants de la musique.

L'église était superbement décorée. Avant la messe, NI. le Recleur leur adrrssa un très beau discours. Pendant, la cérémonie, des cha'urs d'hommes et d'enfants se llrpnl entendre. L'organislp. aiTiéi-p-neveii ries Jubilaires, interpréta l.\ Marche solennelle, de Guitiemant et la Dercouse de Chopin.

Morcrl Fnnîll.iri! es! :1gée de îl ans et

La Chapelle-Uhausse*

UNE .IOURNiîH PAYSANNE. Uu iiuua

Les Syndicats agricoles île la Cîiapelle- sicnnellps entre cultivateurs.

Tous !ps PiillivalPiif» dota région sont Invilés ù assister lo plus nombreux possible il celle .journée

Un banquet nmical ser;i firg.-inlsé. Le nombre fies places éNinl. lirnilé. prière dn retenir sa 17 courant, un acompte de :i fcinus M. Mugis, Clos Beanco, en la Chapelle-Chaussée. Le programme dc la journée S'ra envoyé sur demande.

LA SITUATION SANITAIRE Nous recevons de la sous-préfecture la note suivante qui lOtiflriue entkrcniciit les quelques lignes publiées mardi dans l OuestËcluir pour mettro le public en sarde contre les racontars ini-* en circulation sur la situation sanitaire de snlnt-Mnlo et Suiitt-Servau Le Sou.s-Pri'fet de saint M;ilo déclare que. contruireniem au\ bruits qui ont été répandus, aucun (as de peste n'a jamais été constat»; a baint-Miild.

A l'heure actuelle le commencement d'épidémie du variole qui :t sévi sur notre ville et celle de Siint-Serinn. marquée au reste par quelques cas peu nombreux, peut i-tre considérée comme lotaleinciit triruyée. « Néanmoins dans l'itiiérèt de la santé des populations la vaiuiuaiiun gratuite et obligatoire continue à être opérée.

Le .Sous-Préfet L. HoLqUET-NAavOB.

LE DRAME DE ROZ-SUR-COUESNON Le fermier AuscIrt a élé extrait hier matin de la Victoire pour être entendu par M. Boucly, juge d'instruction. M« Marjot des Clos, son défenseur, était présent.

Auscher. sur le compte duquel d'excellents renseignements ont étu fournis, a refait au magistrat le récit que nos lecteurs connaissent. Il nvtilt eu une. discussion avec sa fem- me au sujet de la vriilu d'un cochon et. après une tneiiuco pour rire. avait pri» son fusil au pied n> son lin pour le mettre dans un autre coin, quand le coup fatal partit.

Il IL ajouté qu'il n'avait aucun motif de titPU sa femme, avec laquelle il n'avait jamais eu de discussion sérieuse.

Le magistrat instructeur a opposé alors aux explications du mari, meurtrier Involontaire, les constat.nions résultant <le l'enqtiète fuite par lo parquet sur les lieux du drame, constatations appuyées par les résultats de l'autopsie.

Jl est elabli. en effet, que la blessure morIrllP de Mme Auscher est une blessure faite de haut on bas. l.i charge «le Ti)omb, formant balle, étant entrée par la gorge, pour sortir un peu au-dessous de l'omoplate. Cela étant, il est difficile, d'admettre les explications du mari, prétendant que le coup était parti alors qu'il tenait son fusil sur son bras.

Il p a rtimc contradiction formelle entre l'accusation et la défense.

L'instruction se poursuit.

UN INCENDIE

DANS UN GARAGE -PARTICULIER Hier soir, vers 6 h. 30. un incendie s'est déclaré rue d'Lstrées, a dans un garage loué iL M. Broiiazin, boucher.

Ce dernier venait de rentrer son auto, accompagné de son commis et. faisait le plein d'essence pour partir ce matin an marché do Dinan, quand, sans doute par suite d'un retour de flammes, son nuto prit feu. Le «carabe, ou se trouvaient plnsienra M- parte*


L'alarme donner, Ips pompiers arrivèrent, avec une auto-pompe et attaquèrent vigou- reusement l'incendie. Ils préservèrent les u:aisons voisines. Au bout d'une demi-heure, la toiture du garage s'efforrdrait et tout autre danger paraissait écurie.

Cet inrendie avait attiré une foule considérable sur le-; lieux. Les différentes autorites, sous-préfet, maire, adjoints, conseil Municipal, etc., étaient présentes.

TA.\I\S SPECIAUX DE NUIT. Le puuïie est informé qu'un service de tramways de nu;t fonctionnera vendredi 13 samedi 14 et dimanche 15 février 19-23.

Vendredi, pour ir cinéma de Sainl-Scry.in. Ivpart de Paramé à 19 h. 55; de Suint-Malo A 20 heures i0.

Sainooi. pour le Ihéàlre de Saint-Maio. Dupart de Puramé à 13 h. 55; de Suint-Srrvan, il 20 heures 15.

Dimanche, pour le cinéma de Sainl-Ma!o. Depart de Saint-Scivan à 19 h. J5; de Pararhc à Ï0 heures lô.

Les retours auront lieu 10 minutes auprès Ips spectacles. Prix ordinaire des places. LE CAMARADE TROP COMPLAISANT. Le riveur Louis Hériquet, 33 ans, arrivé de Nantes il y a :rois jours, rencontrait à la gare un jeune domestique de fermp des environs. Eugène Courtay, avec lequel il faisait aussitôt connaissance.

Tous les deux hurent dans plus d'un café et le soir venu. Counay emmena Hériquet dans un restaurant de la rue du Puits-Au- Itraye où il offrit il diner. Le riveur accepta et comme Courtay payait la dépense qui se montait à 22 fr. 50. avec un billet de 100 fr. dont il faisait la monnaie sur la mule. Hériquet s'en saisit disant qu'il la rendrait Il son camarade, lorsque celu-ci serait à jeun. Les deux hommes sortirent ensuite accompagnés d'un pensionnaire du restaurant et après une visite à un antre café, Courtay qui n'en pouvait plus dût être monté dans une chambre retenue d'avance par lui.

Hériquet avait bien accepté de partager la chambre de son ami de rencontre, mais il préféra sortir et dépenser les 77 fr. 50 qui appartenaient h Coiirtny. Il ne devait d'aillenrs pas cltcrclter revoir ce derniers. Informé de ces faits. M. Bordier. commissaire de police fit rechercher Hériquet. Celui-ci dût reconnaître avoir eninoché J'argent de son camarade. M. Bordier l'a mis ensuite la disposition Ou Parquent qui l'a fait écrouer à la Victoire.

PRIS ENTRE DEUX WAGONS. Au cours d'une manœuvre sur le quai Saint-Louis, M. Vivier, jeune docker employé il la maison ile transit Morvan. se trouva serré entre deux wagons.

Dégagé aussitôt. il reçut les premiers soins du docteur Lepay qui ordonna son transfert ù l'Hôtel-DiPii. Depuis. l'état de NI. Vivier, qui habite rue Dupon-Dntertre a Saint-Servan, s'est amélioré et on ne croit pn« que son accident ait des suites graves.

Saint-Servan

BICYCLETTE RETROUVEE. La police île Saim-Servan a été prévenue hier de Dol que la bicyclette volé? lundi rue Dupprré. au méjudice de M. Ollivier, demeurant Saintavait été retrouvée abandonnée à Dol.

PALAIS DU CINEMA, Place Bouvet SAINT-SERVAN. Tél. 71

DEMAIN VENDREDI, SOIRÉE A K h.0 GRAND GALA

PECHEURS DISLANDE

La location est ouverte

Dinard

DAN.* LE BATIMENT. La CIkiiiiIhv syndicale des entrepreneurs du canton de Din.inl réunira en assemblée générale annuelle le vendredi 13 févricr, salle uo la Justice de Paix il i heures 30 du soir.

Tous les entrepreneurs du canton, syndiqués ou non, sont invités il assister it cette éunlon.

LE PAIN AUGMENTE. Un arrêté du Maire en date du Il février, fixe le Prix du pain de, consommation curante a l.~>~> le .kilo: 1 k. 500, 2.35: 3 k. 4.65: la flûte de vr. gr. 0.85; 850 gr., 1.7(\ et celle de 1 k. 300 2.50. PRISE AU PIEGE. La chienne de ,,1. ,Jules .Iéhannin, plâtrier, demeurant .à la Bodinais. disparut pendant deux jours. Elle revint en pileux état. Son propriétaire la fit visiter par M. Picavet, vétérinaire, qui Jugea l'amputa':on de la patte nécessaire. Ni. Jéhannin. qui a rorlé plainte, estime son préjudice il 500 fr. ACTE DE MALVEILLANCE. M. Louis 01livigr, agent de locations, rue de l'Eglise, Il Sjint-Enogat. a son garage a la villa •. KerJ.Ue », au Tertre Mignon. De grosses pierres avant été déposées sur le passage, plainte a été porter.

POUR LE CONGRES CATHOLIQUE. Les personnes qui désirent participer au Congrès catholique de Rennes du 15 février devront se réunir ce soir jeudi, ü 8 heures, au nntror.nge Saint-Michel. Présence indispensable. CANCALE

AU CONSEIL MUNICIPAL Le Conseil municipal s'est réuni ùimanche dernier, 8 février, pour la session ordinaire de février, sous .a présidence de -NI. JJumout, maire.

Le Conseil a émis un vœu tendant à donner à la population cuncalnlse des facilitEs pour pouvoir prendre le* expies? de Pans et Bordeaux en gare de Saint-Malo. ces express ne sarrétant pas en gare de La Houes nière-Cancale et n'ayant pas à cette gare les lurre-pondances nécessaires. Vœu déjà transmis par divers groupements Union Commerciale et Industrielle du canton de Lancale, etc.

Ce vœu sera transmis aux Compagnies intéressées. Ces Compagnies seraient disposées en principe cette dérogation des horaires, si la concordance des trains et tramway pouvait être effectuée, a:nsi que la délivrance des billet.; directs de Cancale.

Le Conseil émet un autre vœu demandant a la Compagnie des Tramways Bretons d'organiser pour ses serviccs d'hiver de' trains pour les ouvriers et les marins lancalai, appelés à travailler l'hiver à l'armement des navires il Saint-Malo, ce qui les 'blige a prendre un deuxième loyer dans cette dernière ville et cause, d'autre parl. un grave préjudice au commerce rancaluis.

Inslnllnlinn d'une lampe. Le Conseil a décidé l'installation d'une lampe électrique a ia station de l'autobiK départemental près de la nouvelle église. La Compagnie devra Les ii Le si les travaux d urgence dont il a demandé et vnte exécution dans ,=a dernière séance du 18 décembre dernier. pour l'assnlnifisonient des. parcs aux huitres, vont bientôt recevoir un commencement d'exécution. Le maire est chargé pnr le Conseil (il fane le La HaUe aux Poissons. Le compte de

approuvés. Le Conseil regrette de n'avoir nu laire figurer au budget 1924 le montant de la redevance à payer à la commune par le concessionnaire et de n'être pas encore à-mème 1 actuellement d'examiner ceux de 1S24 Chemins ruraux. Une longue discussion s'engage entre divers conseillers. L'état des chemins ruraux est reconnu par tous lamentable. L'argent dépensé, fait renrarquer M. Guilbert n'aurait servi à rien. La mauvaise pierre qui y a été apportée, ajoute NI. Royer, était de mauvaise qualité.

Le Conseil décide de faire une étude sérieuse et' s'engage à donner satisfaction aux usagers de ces chemins de communication. Vole de rrédits. Divers crédits complémentaires s'ëlevant à la somme de 709 fr. 47 sont votés pour faire face à des dépenses de l'exercice 1924. D'autres crédits non employas en 1921 sont reportés sur l'exercice 1925. pour permettre de payer certains travaux et fournitures auxquels ils ont été destinés et qui n'ont pas été faits en l'.)2».

TRAMWAY SPECIAL. Un tramway spécial sera mis en circulation dimanche 15 février 1925.

Départ de Cancale Ville a 5 h. 30, passage Saint-Coulonih a 5 h. 43, passage h SaintMéloir à 5 h. 50, arrivée Saint-Malo (gare du chemin de fer) à 6 h. 15.

Le retour aura lieu de Saint-Malo (gare du chemin de fer) vers 20 h. 20, après l'arrivée du train de Rennes.

Prix ordinaire des places.

COUPE DE GOEMON DE RIVE. Par arrêté du maire en date du 7 février 1924, une coupe de goémon de rive aura lieu sur le littoral de la commune, du 23 février au 22 mars 1925 inclus. Cette coupe aura lieu du lever au coucher du soleil.

VACCINATION. Des séances de vaccination auront lieu gratuitement à la mairie de Cancale, aujourd'hui jeudi et samedi 14 février, il heures du soir.

LE PRIX DU PAIV. Le prix du pain est flxé ainsi qu'il suit à partir du i:ï février pain de 1 kilo. 1 fr. 55; pain de 1 kilo 500, 2 fr. 33 pain de 3 kilos, 4 fr. 65 pain de G Ullcs. 9 fr. 30.

Dol-dc-Bretagn*

PREPARATION MILITAIRE. Ce soir, à 20 heures, séance de préparation militaire a l'Ecole professionnelle, pour fes jeunes gens de l'U. S. Doloise.

GYMNASTIQUE. Cct après-midi, a 5 h., séance de gymnastique au Patronage SaintSamson (pupilles).

VACCINATION. A la ciiirie. séance de vaccination gratuite, de 13 à 14 heures. Vieux-Viel

CONFERENCE AGRICOLE. M. Le Corre, professeur d'Agriculture, fera une conférence agricole dans la salle de l'Ecole publique des garçons, à Vieux-Viel. dimanche. prochain 15 février, à 2 heures.

Tous les cultivateurs sont priés d'assister cette conférence.

Sains

CO\FERE\CE AGRICOLE. Le Obrre, professeur d'agriculture, fera une conférence. ugricule dans la salle de l'écolfi ^publique des garçons, à Sains, dimanche prochain 15 février, 9 9 heures. Tous les cultivateurs sont priés d'assister à cette conférence.

MEDAILLES MILITAIRES. Dimanche 15 février la section diininriiiise des Médaillés militaires se réunira il. 10 heures à son siège sucial, rue de Brest.

Ordre du jour (ompte-rendu du l'ai élec- tion des délégués au Congrès de 1935 ques- tions diverses,

LF. MYSTEUE DE LOURDES AU THEATRE NOTRE-DA.Mi:. :ur les instances de nomI:n'usps famines, l'association d'éducation porulaire de la paroisse Saint-Malo a accepté de rééditer le Mystère de Lourilff samedi prochain 1 février il 20 lteures 30 et dimanche 15. J5 heures, au Thëilre Notre-Dame, rue La Garaye.

Le splendide succès de la dernière séance nous (,si le meilleur garant de la réussit des prochaines représentations.

UNE CULBUTE. M. Guyot, mécanicien cycliste à Çancalc. rcvenail mardi soir de Uroonfi pour rentrer pliez lui. Il n'aperçut pas la tranchée que, depuis quelques une équipe d'ouvrier» creusa au carrefour des rues des llouairies. Saint-Marc et de Brest et qui n'était pas encore éclairée et il culbuta dedans.

Heureusement il allait doucement et l'accident n'a pas eu des suites très graves. INFORMATIONS

DANS LA ̃MACISTRATCRr. T.c nihstltut dn pi-ocureiir (le la République Triai le tribun.31 do première instance de Llsicux. M. Fntoinc. est nnmmt attache titulaire au ministère 0:1., la Justice, en remplacement de Ni. qui été n..mnhsnhstitut dn procureur de la Répnhlirjue prés le tribunal de première instance de Caen.

CONTOUR}, mxs L'ADMINISTRATION DES FINANCES. Un lonconrs pour 3a places de ré.- dacteur centrale des Finances. est ou-e*-t fin t!>2.">.

Les épreuves commenceront le "7 avril.

La rin!e de cl0ture du risis'.re d'inscription est fixée an it a .'il

Le« personne- que ce concoun intArooeriUt. noiiriorii "rew'rp connaissance il la Prefectirc 'alilnet ̃!» l'refct) 4c» rnmlitinns ii'.irlimsslon. UNE PROMOTION VIOLETTE

PARIS. u févj'l' La promotion do Janvier des palmus académiques parattra vraisemblable- ment dlmanc.io rochain. au Journal Officiel. Elle porte «ur prc.' de 4.000 noms. tant officiers £le niu iirpic qu'officiers d'ac.-idcmie. CONCOURS POUR L'ADMISSION

A L'ECOLE SPECIALE MILITAIRE DE SAINT-CYR EN 1925

Un concours .ur l'admission à l'Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr, aura lieu 1ea ie. i~. 33, •:d et 30 nni t/j.

I.u nombre des admissions est fixé à environ .W>.

Canditions d'adn.tsston au concours. Nul n'est autorise ;nend>v part au concours s'il n'a préalalilemen. 'ustifiâ

io Qu'il est français un naturalisé français: 2o Ou aun 1 ans accomplis au 31 décembre 19» et au 'il comptera moins de ?i ans au l'r janvier lK'i (candidats nés du .1'' janvier 190J au 3t décembre "Ml inclus).

."• Qu'il possèJe au moins le certificat de la première partie Ju baccalauréat de l'enseignement '·econdalre

Inicrtiillon e: Il miction des demandes. al Candidates non in orporés ou libérés du service. Les candidats no ncorporés ou libérés doivent m faire Insrrire «vaut te s avril au soir, à la Préfecture Ui- dû.iartempnt où Ils étudient. Les ih'cs <l#(*r--tance tnilltalra sont seuls disproses de l'Inscription.

Les iloces 1 pri.iutre pour l'inscription sont I" acte de nn|?ance du candidat et l'acte de naissance du pei1' du candidat, établis sur papier •->> la copie léy.-llsée du certificat de la première par'ie dn baccalauréat:

Un certificat d'un 'commandant de recrute-

pour l'engagement volontalro, l'aptltiiO* réelle au reivlce anuÊ;

4s Une déclaration écrite Indiquant le contre d'examens écrits choisi par le candidat ou par sa famille parmi oe'-v énumérés ci-après;

Une déclaration écrite du père, on du tuteur. ou de la mère ou, fi. défaut, du chef de l'établissement eu le candidat fait ses études ou mentionnant qu'il étudia chez lui et portant l'adresse précise or devra être envoyée la lettre d'adniission. s'il y a, lieu.

63 Une note Indiquant (a) la langue étrangère* (aliemand, ou anglais, ou russe) choisie comme langue obligatoire; 1>) les langues étrangères complément." ires sur lesquelles le candidat désire composer.

B. Candiaatx ina. ports. Les candidats tncorrorés adresseront à leur chef de corps ou de service une demand d'inscription au concours. Tous les renseis uements nécessaires seront donnés cet effet par l'autorité militaire.

Cenlrcr d'exairrrs. Les centres d'examens écrits seront choisi. parmi les villes suivantes Alger. Bastia, Besançon, Brest, Bordeaux, Clermont-Ferrand, Dijon. Grenoble La Flèche LUle, Limoges. Lyo:' Marseille. 31etz. Montpellier. Mayence Nancy, \antes, Paris. Rennes. Rouen. Strasbours, Toute use. Tunis, Versailles. Les candidats uo peuvent changer de centre d'examens une to-s leur choix fait.

Examen vrai. Les examens oraux auront lieu dans les centres d'examens dont la liste sera publiée ait Journal O/licicl en même temps que les listes d'admissibilité: les candidats .̃*>•ront repartis enire ces centres d'après le choix qu'ils auront exprimé pour les épreuves écrites. d'aej<rardriiui

RADIO.PARIS

I1.T80 m. P. 1-5O0 wj

Rsdio-cOncert

1- h. 20-1* Danse moldave (Razigade); 2' îltvhislo iVan Herck); 3" L'enfant s'amuse (S. Anis): i- Dindons strr une route, hurhôresque (Chillemont): 5' Sérénade, violoncelle (A. Bruneau); 6' Scrénata (SaJun); 7* Lolotte (Landeroin); S' Loin d'elle iDelille): 0* Les Libellules (E. Thomson); 100 llumoresuuc. violon (Dvorak); il- Au paus des Ci!laie'. farandole (Chiiiemont); 12= Paptllomtage (R. Hourget); i:i" La Parisienne, valse (Ferrari); 14* Au bord de l'ttang. vloloncelle (Chapuls); 15* Iia.Uet de la Muette de l'ortlct (Aubort). transcription par J. de Sinclzky): ÎG' La MascoWa (Sillet); 1-il L'ombre du 1)(lest (Clapson); 18* Mtloitte, vio,Ion 4IL Hahn); lg' Uadlo, fox-trot (Waltham et Snet).

13 h. 45 Cours d'ouverture. Météo. Communiqué Havas.

1fi h. 4."> Radio-concert 1' Toccata, piano (Paradis): 2o Sonala, tlGte, adagio, allegro, ariette. presto isr. Blavet); 3d Légende, violoncelle (P. Hillenacher): 4» Chant: 5- Sonala de! Petror.n. piano (Liszt): 6* Lointains Souvenirs, poésie dite nar Rndiolo (Ch. Grandmougin); 7' Suitc extraite des l'oèmcs vtrailienf. tinte (Tn. Dubois): 8" Romahee et Slèilienne, violoncelle (G. Faure): 9- Chant: iu- Cours de physique (Pradols); 13" Can tabllc. vlo!onc*lle (G. Dupont); 13* Intermezzo. piano fTh. Dubois).

17 Il. 'i.-< Cours de clôture. Communiqué Havas. Premiers râsultats des cdurses. Extraits de la presse. Radio-communiqué féminin par Rartioletle. 2tr li..10 Derniers résultats des courses. Communiûué Havas et de presse. Radio-communiqué de l'Ecian.

21 h.. Radiojazz par Mario Cazes et son orcheître du Château Caucasien.

ECOLE SUPERIEURE DES P.T.T.

(4W m. P. 400 w )

fi h. • Radlo-dlffuslon du cours public tilt A la Sorbonne lamuhlthéatrp l'urgot) par le doyen ,le la Faculté des Lettes M. Brunot La Languo française et la Révolution ».

lfi li. rr. ConférencL- au nom de la Ligne franl'aise. d'Educatlon momie, par M. le docteur Pierre Hézmcr Parents et enfants au XX" siècle 3» h. io • Chronique du cinéma.

ai h. GO Causerie Eugène Montfort, romane'.T et critiaue h. par M. Pierre LIèvre.

Représentatior le théâtre classique donnée avec le conclura de la troupe 'Àlac fctftthus.

TOUR EIFFEL

tî.coo m. P. 5.00,: w.)

18 heures ttdaio-canren avec le concours de M. J. Qulnet. secrétaire général du Radio-Club de France, M. UiRuste Cliaptiis. compositeur de musique: .Mines Alice Nobya, des concert do Monte-Carlo: Màgay Senn, cantatrice; ïvonno SI•nonj, violoncelliste: A. Guyoïinet, violoniste, t'r urix du Conservatoire; Andrée Sauraly-Thlvet, oianiste et le sextuor dj harpes chrumatiques Lina Cantelon.

Programme la semaine radiotéléphoniste et io:< conseils aux Amis de la Tour. par NI. 1. 'lui"?t. et le Sujet du Jour; Festival des œuvres n t.uVusta Chapuis Un mot sur Auguste •"haïrais, par NI. André Telacour; Deux pièces des [:itinalli • o) Léaiulrc et Isabelle: b) Polichinelle, .r ar le sextuor de harpes Pleyel Lina Cantelon: /••.« cnresses a) Premier soutenir; Il) Mauvais augure (pcèmcs rt.c Jean Uiçhepln. pnr Mme Alice Nohya, Ait bord le l'i'lanij, pour violoncelle et plano, par Mines In la l'arry et Andrée SaurulyThlvet-, lin avril itnn» tes bols (i>oémo d'André. Thrurlrt): Pluie: d'étoiles (norme lie Jean Rlchcpin): Méloiiie», par Mme Itiiguay Senn, avec ne. coniiiAKiiPiiient do harpe: Trio en sol majeur, pour violon, violoncelle et piano, par, Mines A. (iuyonn.'t. Irma Parry et AnJrée Sauraly-Thlvet.

18 h. 'ô les dernières nouvelles.

Le Temps qu'il fait Aujourd'hui 12 février Sainte Eulalle Le ?n!eil s» lève h oc, et se couche i t7 h. Ci La lune se leve à 31 h. o-. et se couche à 8 h. 00 Paris, il février. Situation aintrale. d 7 heu res. La dépression du large envahit l'Ouest de l'Europe. –8 en Ecosse, dans tes Pays-Bas, l:i Scandinavie. –14 à l'entrée de la Manche. -t3 au Nord de l'Espagne. La hausse est de +4 en Laponie, +8 en Livonle, +10 en Pologne. A Paris. 7» Maximum 773 à Malte..Minimum en La ponte.

Les vents sont assez forts, de Sud-Ouest, en Man rhe: torts, en Bretagne: faibles ou modérés, sur dit Nnrd-Kst. faillies, en nuis en Méditerranée

Les niaxlmn de la veille ont été (le n II Parts: li' A Argentan. Bourges Limoges, Cherbourg. nrest: M à Bordeaux, Dijon: 15 il Lyon. Strasbourg; 16 à Nice. Marseille: n il Clermont: 18 a Perpignan. Toulouse: -10 i Or:éans, Metz. Les mlnima ont été de 7 Paris. Beauvais. Argentan. Toulouse. Montpellier: s à Nantes; 9 à Cherbourg: 10 à Nice; 6 à Slarseille. Lyon; 5 .1 Limojji-s; h ù Bordeaux. Nancy: 3 à Orléans. Perplanan; à a Met7. Clermont: -1 à Bourges. Dijon. Strasbourg.

Pluies a 7 hpiircs traces a Paris. Beauvals. Ar.gentan. Orléans. Metz. Calais le Havre. Vantes.Ce matin beau temps général, nuageux ou couvert.

8 h. 8h. 10 Brest 5 h. 57 R h. 09 7 h. M 7 h. \antes

CHAMPIONNAT DE LA L.O.F.A.

Dimanche, au Stade des Cheminots V. S. Servannalse contre Cheminots Rennais Le match des équipes premières de l'Union Suortive Servannai.se et de l'A. S. des Cheminots Kcrinais. qui se disputera dimanche prochain a Rennes, constitue au point de vue régional, l'un des grands évents de la saison, non seuleutent en i aison de la valeur, maintes lois .reconnue, des deux équipes, mais aussi de l'importante qu'aura le résultat pour les deux clubs.

Un match nul permettrait aux Servannals de conserver le point d'avance qu'ils possèdent actuellement sur leurv adversaires ,le dimanche et par conséquent d'acquérir déflnltivement la place de second de leur groupe qui les qualifierait pour la poute finale.

Quant aux Cheminots Rennais, ceux-ci doivent absolument obtenir la victoire, s'ils veulent participer à la poute de'quatre et nous pouvons être assurés qu'ils s'emploieront JuFqu'a la limite de leurs nmyens pour obtenir ce résultat, que leurs performances de la saison leur. permet d'espérer. Sans entrer pour aujourd'hui dans le détail des performances des deux onze, signalons qu'ils se

son», déjà rencontrés deux fois depuis le mois do septembre et que deux fois les Cheminots. Rennais enlevèrent ta décision iL Rennes par 1 il 0 pu amical et a Salnt-Servan par 'i 1 t en chamJplourtet. Il est-vrai que pour ce. dernier match. Saint-Servan fit presque toute la partie à 10, Jîugani ayant etê blesse dans les premières minutes.

Les Cheminots Rennais réussironi-ils la passe de trois ? Il est bien difficile de le prévoir, car Ta rencontre de dimanche s'annonce comme très ouverte.

En lever de rideau, le» jeunes cheminots se ren- contreront avec tes espoirs des Cadets de Brefagne et pour n'oppcser iiue des équipes quatrièmes, ce match sera également inrportant au Point .le vue résultat. Cadets et Cheminots ont battu l'i;. S, de Beau renard et ont fait match nul a l'aller, Le gagnant de dimanche sera qualifié pnur les finales du Championnat de Bretagne que Irs Jeunes Cheminots ont détend en 1021. L'2 et 23. FINALE DU CHAMPIONNAT SCOLAIRE DE BRETAGNE

Lycée do Rennes contre Lycée de St-Brieuc (1) à Lamballe

Aujourd'hui, les premières équipes des Lycées de St-Urleuc et de Hennes se rencontreront sur le joli terrain tlu Stade Lamballal;. KiMrteusement mis à leur disposition. Nous savons qu'a SalntUrieuc. les potaches rennais furent battus par 3 à 1, tandis qu'a Rennes, Ils reprirent leur revanche pa.r 2 Il 1.

Ce match, qui sera cette fois-ci, la véritable nnaIp, promet d'être ardemment disputé.

Sur terrain neutre, un pronostic serait difficile il faire,' les deux équipes étant très près l'une de l'autre. Les Briochins auront il cœur de conserver il Coupe, mais Ips Rennais feront, de- leur coté, l'impossible pour la leur arracher. Donc, belle partie en perspective, qui fera très certainement le régal des I.ambalials, qui devront venir nombreux sur la touche, encourager les deux équimatch commencera vers doux heures, Renne} aura la formation stiivanii»

Glalzot

Potin Schultz

Savary (cap.) X. Hamnn

Hervé, Therslqnel. Bohnon, Tison, ToiiITzIt Remplaçants Cbambrm, Radier.

Cos-son. Le Jtoitta Le Gentil Gurzou I.enolr Le Floch. Getfroy Le JBilian

Callais Eilic»

St-Brtsuc- l.e Calvez

COUPE J. FOLLIARD

U. S. Combourgecise bat 0. E. Rocabey (1) par 3 buts à 2

Cette partie e disputa sur un terrain impraticahle. La premléjv mi-temps il l'avantage des locaux se termine par deux buts en leur faveur.

Les demis mal;ulns poussent constamment une ligne d'attaque qui ne semble pas avoir son moi'Jant habituel.

A la reprise. 1» E. veut absotnment marque et réussi nir l'Intermédiaire de son ailier jrauche à la suite d'une belle combinaison entre l'ailier-drolt. l'avant-centre et l'inter-gauche. Les Oomhourgeois ne veulent pas rester sur ce résultat et leur mter gauche marque un but de belle facture.

Les Maîoutns en mettent un coup et leur avantcentre marque un nouveau but qul est du reste le dernier de la i.artle. peu de temps après, l'arbltre siffle la fin sur le score de il ù en faveur ile ConibMirg

Les meilleurs furent k Combnurg le goal, le demi-centre, l'avant-centre et Tinter-gauche. A la C. E., les deux arrlère.4, le demi-centre, l'atlter-droit et l'avant-centre qui fut le meilleur joueur sur lt ter:aln.

Excellent arbitrage de M. Delarue, de SaintMa'.o.

csrclo Paul-Bert (1) bat A. de Saint-Méen (1) par 6 buts à 1

Dimanche, se sont rencontrées, au Stade Municipal, en un match cumptant pour la Coupe Faliard. les éguLpes premières du C.P.lî. et lie l'Avenir' de Salnt-Méen.

partie fort animée où les joueurs des deux éauloes irivalirtreut d'ardeur. En première mitemps le Cercle Paul-Bert .[.rend nettement l'avantage et uarvint. à quatre reprises, à tromper la défense adverse. tandis que Saint-Méen se défend courasteusement et essaie en valn d'anéantir J^s ;belles combinaisons de ses adversaires. la reprise le Cercle Paul-Bert semble se reneser sur ses lauriers et Saint3léen en profite pour aeir: c'est ainsi qu'une belle descente, menée par Mouazan. se termine par un shoot éclair auquel le _goa.l ne pouvait rien. Des Ion. le Cercla x> ressaisit et la ligne d'avants, bien lancée Par tes demis, attauue. a plusieurs reprisses et par Il.. beaux shoots du runtro-nvnnt, la bille parvint doux fols à trouver les filets, i.a titi «'st slffléu Mir ce résultait.

Au CPU. se montrèrent partlculU>remc-ut hrltlants les demi et avant-centre, l'evtrêmo-drott et l'excellent allier gauclie. remarquable par si vi- tesse, et. ses beaux dribhllngs. A Salnt-Meea. L'arDitr'aie fut tout à fait impartial. 6 Stade D:nannais (1)– U. S. Servannaise (1 B: Cette renrr.utro aura lieu sur le terrain du Pare d?s SitOïls de Rocaliey et dnnnera ]Jeta ti une liflle lutte, car ces deux équipes sont en ce rjomer" CHALLENGE DE GARNISON

53£? HCC. bat 351' R.A.L.P. par Il buts à 1 Hler après-midi. sur le terrain du Siade liennais ,les tankist uu 5:5' ont pris le meilleur sur les artilleurs du £>l, au cours n un match comptant pour le championnat de la garnison de Hennés.

La partie fut entièrement à l'avantage des équipiers de Cïervot qui trouvèrent onze fois le chemin des filets tandis que les artilleurs réussl'i-ialMH il sauver Uiunne-ur. Les Imib ruroiil* marqués par iBunouf, 4); ,Morellec, :;); (Drogou. 3;: (Jézéqiiel, 1

Au SCO*, toute l'équipe est il féliciter, la llsne d'avants trouva enltn avec le retour de Moreller, la bonne carburation Il est regrettable qu'en finale de Corps d'armée, les tanklstes n'aient pu aligner une attaque, semblable. Au 31.V R. A. L. P., les mellUMrs furent le. arèm'es Baron et Rulller, l'avant-centre I.evavasseur et l'inter-fiauohe. Le goal ne pouvait rien aux huts qui lut furent marnués. L'arbitrage dit lieutenant Sùga- I 1en fut parfait.

P/ÏATCHEg AMICAUX

A. S. Brestcias contra U. S. Beauregard Le public livaliols verra encore évoluer dimanche prochain, sur le stade d'Hllard, une équipa qui s'est signalée particulièrement H l'attention d«s sportifs. L'A.S. Brestolse possède en effet, cetta année, u.ie des melileures équlpej Ce J'Uuest.- Elle ost actuellement en tête de son groupe, après avoir battu deux fols le S.R.U.C. et s'être défait dimanche dernier du Siade (Jnlnipérois, par buts Beauregard opposera sa toute première équipe il de si dangereux adversaires. Le onze de Ucauregai-d est actuellement dans une jolie rorme ainsi que la Drapeau de Foug.'res vient d'en faire la triste expérience. Si lon rappelle que Beauregard ne s'est incliné tout récemmont quo par 4 buts il 3 devant le Stade Quimpérois Jouant chez lui, on en peut conclure pour dimanche, un matcli trt>s iqnlllLré.

Eu lever de rideau la seconde équipe de Beatirrgard Jouera contre la première équlpe de l'I'.S. .Mayennalse, en un match comptant pour fa finale du Challenge Mayer>nais (prem:ére 5*rle)

Le prt'mfrr coup de sirnet sera donné » 13 heures précises; à li h. 30 exactement commencera! le second match.

Dimanche prochain, 13 février, lei Lavallols sont convins trois heures de beau spurt. 151*

Le Drapeau de Fougères (3)

bat La Patrie de Lalgnelet (1)

par 7 buts

I.e Drapeau présentait une éiuipe troisième mixte, que la présence de joueurs de la (1 b.) renforçait. A la inl-temps, elle menait par l but i zéro.

Ka sa:onde mi-temps. 6 bu;s dont un contesté furent également acquis.

Les rouge et nuir quoique dominés, joue.reit l'atta.iue chaque fois (pie l'occasion ?e nrêsenta el îeiissiiep* même à égaliser au cours de ce moment. ta •! 4 • Ils n^ furent battus que dans les vingt dernières minutés d? la partie.

Dans l'ensemble excellente partie iIm deux équipes où Tous les Joueurs sont s féliciter.

CONVOCATIONS

A. S. rhemlnots Itennais. Les jeunes gens de la classe ttii") (.;t et échelons) inscrits pour le C. P. S. M. sant convoqués ce soir Jeudi, a '•' heures :ir>, au Stade des Cheminots.

Union Sportive iinzicre. Les joueurs de l'i: S. Gazière sont priés d'assister à la réunion qui nura lieu. Jeudi l> fériver, à 2U h. 30, Calé Aubry. iirviass- Rallier.

iliéplaceiiient du li février.

r. S. Srrcannrse. Déplacement de Rennes. rendez-vous iPorte Saint-Vincent, il 8 heures très précises

jni. Benlc, Boqiien, Bunouf. Cadoret. Chau. rhi-. Cloace.1. Dayot. Drlépine. Denis Foucher, Lebre:mi, Morellec, roury, Richard.

Pour jouei' le f;tade Dinannals t). en Coupe Folllar-.l. Eu tenue pour II heures précises, au Parc des Sports

MM. R°n:ird. Redon, Boulllet. Humbert. Guihomat. Ci'Ocq, Coearu, Crocq. iPinabel, Lebastant, Cholet. Besnanl.

Pour jouer sur son terrain, eu match comptant pour la Coulie FniPard. en L-nue. pour r. heures précises MM. Laurent Dntcrtre. Couatarmanach Etienne, Jlérnul, Lchrcton, Hesry. Hamon. Cadlou.

Jk UN MATCH f

FRANCE ALLEMAGNE 7

La F. F. A, en admet le principe

La questlo.i étali dans l'air. 11 paraît quelle est sur le pjiiu u'atterrir dans d'excellentes conditions le errait) a été soigneusement préparé. 11 est donc fortement probable quo les équi- lies nationales de F'rance ci d'Allemagne se rencontreront cette année en un match d'athlétisme courses et concours.

l.e projet a étu conçu Outre-Rhin et prudemment la Fédération Germanique a fait sonder la FéJératton Française avant de faire sa proposition officielle, lille ne voulait pas risquer de se heurter il une fin de non recevoir qui même présentée le pIils courtoisement du monde n'en eut pus moins été humiliante.

La F. F. A. a discuté la proposition officieuse samedi dernier et nous croyons savoir que le :irinci.| e a été admis.

L'athlèlisnte antateur français n'aurait donc rien à envier au football ni à la boxe au cyclisme professionnels qui pnt déjà renoué. 1rs .'dations sportives franco-allemandes.

Nous sommes heureux d'annoncer aux Jeunes coureurs que la grande épreuve organisée l'an passé car Peugeot et les Journaux l'Ouest-Eehiir, et VAtn-SDortt. vient détre de nouveau mise sur uied.

Cette r..urse est réservée aux jeunes débutante possesseurs d'une licence 19-îfi et permet ainsi nos jeunes espoirs do se s'gnaler CI l'attention de* maisons dn cvclej. non seulement en gagnant de* prix inttressants. dont nous donnons la liste cidessous mals encore en lem donnant l'e:polr d'un contrat pour l'an prochain,

Le Critérium du Premier Easor. a été appelé en effet CI lusta titre. l'an passé, le Championnat des Débutant, le l'Ouest. Nul titre ne peut être plus justifié. 'îinsaue Us éliminatoires englobent les dix départements de l'Ouest (Loire-Inférieure. Mayenne. Manche. Ille-et-Vilalne. Cotes-du-Nord. Finlstér: Morblh.n. Vendée. Deux-Sèvres MalLes «tix éllminntones et la finale seront disputées «lu» les règlements do Pl'.V.F. (Union Vélniii>dluue de France) et ouvertes à tons les cycllsivs llreni lés du tltro d'am.itcur iWiuMnt (preniièrt» .innée).

La finale .-tara courue aux environ» de Nantef et sur un riarcours de 100 kilomètres environ. Les dix oremlers des éliminatoires départementales seront uunliftcs ii»:ir ta finale.

Le; Drix attribués cette épreuve, au nombre de 2fi cour cnaar.e éfîminatoire et de 50 pour La finale constituent une valeur commerciale de îO.rwi francs.

Ik est créé ûcalement un challenge qui portera le non) de Coupe de l'AéroJSports et qui sera attribué en toute propriété. à la S'njiét* comptant le Dlus d'arrivants dans les vnlgt-cina premiers de 1.1 finale, étant entendu qu'en cas d'!galita de nombre. le ch.tllenge sera attribué A la Soclété ayant son coureur le mieux placé.

Pour chacune de ces éliminatoires. Il sera aecordé 25 mlx.

Pour la finale. Il se.a accordé 50 prix.

Pour chaoue éliminatoire.. le premier prix- sera une bicvcllue de course Peugeot, en toute propriété. Pour la finale, le premier prix sera une cyçlo-moto Peugeot, également en toute propriété. Les eneagements seront reçus, accompagnés de. la somme de 2 fr. pour es licenciés: 3 fr. pour les non-licenciés donnant droit à la licence et seront. e!<"s :e leudl précédant chaque éprenve. Il» devront roniocendre les nom, prénoms, ,\ge du conenrrent et numéro de licence (chaque concurrent devra être muni d'une pièce d'identité au depart en même temns nue la licence).

I.™ finale se obputera aux environs de Vantes, le 31 mai IBî.-i.

Les réclamations snr la qualification des concurrents ou sur les faits repréheiislbles qui se feront Drodiilts en (Ours de route, seront Meus Les ',>nx sont les suivants

Pour élimine Hinilnatoire. Au 1" UW Henriette de c.'iurse « Peugeot •.

Au S. Un 'adre de course • Peugeot ».


Au 36 T:ne naire <1e roues « Peugeot » montées Jantes bols, et boyau*.

Au *• Une paire de boyaux Dunop

Au 58 Un wvau • Dunlojj r.

Au 6' Un iruidon avec poignée et serrage. I>u 7e au 101 Un frein arrière.

Du il' au )&• Un frein avant.

Du 1C1 au 25 Une breloque de l'Aéro-Spors l'our ta finale. Au f'r Une cycio-moto « Peuaeot ».

An 2" fin vélo de course Peugeot ̃.

Au 3* T;n vélo de tourisme « Peugeot

An 4e Un cadre de course • Peucrot

Au &• Un,- paire de roues « Peugeot

Du G' au 10' Une paire de boyaux Dunlop Dit il' au 15* Un boyau Dunlop

Du 1e* au 20» Un frein arrière.

Du si» au 2.V Un freln avant.

Du 26. au no1 une breloque de l 'Aéro-Sports. La premiére éliminatoire

L'éliminatoirn de la Manche aura lieu sur le parcours Cherbourg. Valognes. Bricquebcc Les Pieux, Cherbourg, le 8 mars prochain et sera orcsnl*« j>jr le comité dépiremental do l'U.V.P. Le l'oithull-Cluli d6 Vaines organisant en autre le passvira dan* *a ville.

Distribution des dossards a 13 heures, chez M. Courtot. «5. tue Gambette. Départ a H heures. nlate Henrl-Ravenel. Arrivée, avenue Carnot. c«ié <1e« Sports.

Les lneajrements sont reçus dès maintenant par M. Lefèvré^ 90 rue EmUe-Zoia. Cherbourg.

Nous» «.sDérons nue les jeunes coureurs s'engaeeront en masse pour cette belle épreuve.

Les bulletins d'ôntrairements peuvent eue demandé» à VOuett-Eclair, aux Sociétés cycliste!» au Comité oriranisateur et tous les agents ac la maruue ̃ Peugeot ».

COURSES A VINCEMNES

Partants probables

Prix de Banville. Yetneuilte-lll, rian-II Tautour-11. VoltigéUr-lll. Viseusc, Verveine, Yoluvte-ll. Vibrante, Valseuse, Verte-Feuille, Violette, Vieille-Mondaine.

Prix de Mortemart. Vfo!e(le-l' Volupté-11. FlUers-Marmcry. Virago, Vcnl-Vidt-Vlcl, Virgile, Vlniclus. Vcrdun-ll. Vertueux, Vicomte-B., Vétéran. Valcnllne-ll Caline. Vierge-Folle Vainqueur-Marius, Verlurette. Veloudlne.

Prix 1e Vendûme. 1/24. Tamise, Ushara, Ulêa, Tapageur. Vtilts. Une Amie, Vrauie Urgent- Ugoline; Truch; Ush-ub; Tremblesseaur

Prix de Milan. natine, Télémaque-V Troarn, Tria-non, Stabal, Turin, Qiiick-Silver; Palefroi: mage-. Rigodon, Uldcr, Usa, Harry-Harrester, itavayeui •tuocn-aismont Ramses; Shelty. Prix des Rouges-Terres Texas. Titan, Uranus, Tzigane; Taiaut; Trocadéro; Trotte-Vite; Uruguay Ripaille: Ulm; scrpolctte; Tcrcetj; Travailleur; Tzlgane; Upsilon-11.

Prix de neaumont-Le-Hcger. Une Marguerite; Llla. Unlversem. Ubal&l-ll. L'lmaire, Une Idée, l'lie Etoile, Josaplial, Us Marine*, Uuolincs, Il I)ada, Uvca ïali, Ursula Lcyburn, Usurpateur, Ustica, Upsal, Une Fée, Ukraine, Upfrna, Usbek Y, Vranus Villageoise, Uchourron.

Prix de Pont Audcmcr. Tartarin, Tombola, Sons i"i?fl."ï, SepH Saulx, Tarte, Sylvia, Sarcelle, Sermoise, Tambourin, Tremble;ixeaux, Sorano, Tentateur. Tops» Médium, Tolède, Sabine, Karabin, Torpille, Select, Servigny.

Première course. Vautour, Valseuse.

Deuxième course. Veloudine, Viollelle VII. Troisième course. Uranie,' Uskub.

Quatrième, rourse. Trianon, Shelly.

cinquième course. Texas, Tzigane (Blsson). Sixl6m# course. Uksame. Usbel;.

Septième course. Sous. CCne, Karabin.

ruf k LÔnrein°mOrqUant le L. 9 dInUret est ar»nLî«Hra'!SPrir' pétrolier Caromne a Mi iemorqué en rade de Loriem en vue de ses essais

Le croiseur ex-altein,wi Cohnar est arrivé ce: après-midi en-rade de Brest, revenant de cumlague DESIGNATIONS D'OFFICIERS

Sont destines

utlhtcrs de marine. Les capitaines de frésatc Le roux maintenu dans ses fonctions actuelles <wr une troisième année, à compter du li avrit Les f*D,itair*s de corvette Nouette. commandant de la 2- compagnie, 2= dépôt des Equipages It;rvenel: Bahezre de Lanlay du port de Cherï1"61. Luneau, du port de Lorient. autorisés il permuter de j.nrt d'attache, Aldeuert, commandant adiuint Patrie, "éuiatement en rempl. de M. Teriel: Terre!. Oé*Urn« pour suivre les travaux d acliM-enient du torpilleur Orage A Caen et en ureodi-u ullûrleuieinent le commandement le 116 f.vrcer |lven. dfeiSné ;•;? suivis, le. iiavauv A arlu^venient du torl)iijeur Tempête iL £!>•!£« et S' ,r""elldre "Morieurt-nient te cominan^enient le 9fi février m:K Laboureur, désigné pour («Jlû?» » ^mJiîl^aW&ïW^ dit torpilleur t./clo< ultérleurement le cwnmaiHiem«n: délais réglementaires, après rentnlacement dans son commandement: Bousin, déMKiié pour suivre les travaux d'achùi-ément .lu' S'mn"1' :l Bordoai"£ « «i prendre ulténmrement 1e commandement, délais régi., après remplacement dans .,on

Les lieutenants de vaisseau Lacroix marine .1 Saigon, rejoindra par le paquebot l'auir.ccat. quittant Marseille le se février lie. a destination de Saigon; Clatln. torpilleur. Primaugvft, immédiatement, en complément Revel de Brettevllle viie-présklent de la commission d'études pratiques des sous-marins et directeur de l'Ecole de navigation sous-marine à Toulon (choix) Immédiatement, continuera à exercer le cuniniamlemeut de l.lndromaque Tonnèle. commission d'études pratiques des sous-marins A Toulon, à l'expiration de sa permission Lavoué. )d.; Congé, T. S. y. maintenu à bord du cuiiassé Paria, jusqu'3 achèvement de sa pùrioCe normale d'embarquement.

Les enseignes de vaissrau de première classe Vidai, maintenu dans ses fonctions actuelles jusqu'au t" octobre li&r> Lancelot. uaruvne. immédiatement en complément C'alllihote, Mazarr. immédiatement, en reiniilarpnifiit <lo NI. «Juémaixl (iorroin. potrulier /.rire, sera «lii'iftv sur Toulon dans les ilelals i-églenicnîairps pour embarquer a l'arrivée du bâtiment i Toulon eu remplacement de M. Rousselet.

L'enseigne 1c vaisseau de classe Esttenne d'Orves. Prorcnrc. imméJiatement.

Officiers mécaniciens. Le mécanicien inspecleur de 2' classe Cnadlc. mécanicien do division E.-M. du ccntre-amiral commandant la division de la Manche et de la Mer du Nord, à boni du Voltaire, à Brest Immédiatement, en remplacement de M. r.ilcone.

Le mécanicien en chef Tassy. Patrie. Il Tou]on. immiXllalcm'înt. en remplacement de M. lioulplquante.

Le mécanicien principal de J*" classe Le Lann. r.fficliT mêoanii'ien volant. Centre d'Aviation (le Salnt-Kaph^ël. dilïls réglementaire, en remplacement de M. Jertain.

Le mécantrien principal de S* classe le Gall. train «le Division de la Manche et de 1a lier du Nord. Brest, délais réglementaires.

QIHclrrs des Equipages. Les officiers de l" classe des équipages Danust. 3' Dépôt, à Lorient (fîroupe aes Ke-iues) Immédiatement; Sarrasin. (ommanaant Uarrcliv, C0 février 1925 .en remplacement de M. Jacntot; .lacolot. Direction du Port 11 Sidi Abdallah. le plus tôt possiMe après rrnvlacement, en remplacement de M. Rlanchard. Le» off. (le 9 lasse des Equipées fhlfflet. nutnrlsé a renouveler la période d'affectation en Tunisle aconit du rr mars c:>: Dumotilin. Marsetltnisr. 17 février id-S. en rempla'-omont <lo NI. Simon: Tîrlo:.(' Défense fixe, fi Toulon. <lélnls réglemenlaires, ee rem-ilacetnent de Ni. SarraINTENDANCE ET SAiNTE. Est acimlî faire valoir 6es droits à la retraite à titre _d"ancn>nneté de services et sur sa demande Ni. Vincens, orflcie-r d'atltrinistraiion de i" classe des services d'Inte-ndance et de Santé. Cet orneier sera ray6 des contrôles de l'activité le 1" avrl.l 195* CONSTRUCTIONS NAVM.ES. été réintégré sur sa demande dans le cadre des agents technl-

qiici des Constructions .Navales pour- compter du 1" mars 1935, M. Coquart, agent technique de 3. clause, aclueHement en congé sans solde et hors cet agent Prf'"(1''i ratiff sur l'annuaire à la date précitée, il. Coquart est alTecté au servlce technique des Constructions .Navales à Paris. Son entrée en solJe comptera du Jour où Il se prosciiiera son poste.

Clotirvcnncc, agent technique de. le- classe "'S er^l'ïll.'i"ons *:{vah-i provenant <le J'arsenal de SldiAbclalIlah est affecté au port de Brest. Cet agent prendra possession de son poste à l'expira·lion du rongé. de convalescence, dont il est actuellement tKu-i'aire.

-NI. 't'alla. ex-serment au S» régiment de tiraitlcn.rs coloniaux domicile Il Toulon (Var et figurant I (-mpioi d'ouvrier aux écritures de cetto direcL'ITINERAIRE DU .-RHONE 1. Le « niiOne Il auitte Ueaumont (Texas) le 53 janvier I95r> et arrivera à Teuton vers le 13 février pour y dt-charcer 3.C9. tonnes de gaz-011.

11 v effectuera les réparations prévues par ma dt-Dtcue 139 C.N. G du aa janvier 1055.

S. Aussitôt ces réparations terminées, le • KhOne » anûareillera à destination de Beaumont (Texas), pour y prendre, à la Standard Oit Company of New-Jprsey, un chargement d'environ 3. ,00 tonnes de caz-oil (plein des citernes et 800 tonnes d<> mazout C (soutes alimentaires) Cette careaison devra être embarquée avant le 31 mars. d;rto extrême prévue par le contrat passé avec le Standard OU Company of New-Jersey ». siL^n ,r.°'\ r°,Vù"r; le R"One relAchera sucecs» terne »t A Cherbourg. Brest. Lorient (éventuellement) et Orin. pour faire le plein des réservoirs ilvfa«° do ce'.r).ort! Ln rclûche de Lorient fera i cbiet u uno décision' ultérieure Il ira terminer son déchargement à Toulon 1. Au 4én3ri. de Toulon le « 'Rhône embornuera la Dlu? ici-.inde quantité possible de fflts nM-^lM.'ml' d-nosera à ces IÛtS seront rem- :i Oran iloit être ramené au maximum à la contenanre d'un réservoir de 33 mètres cubes. Le harauora a ^[oT"111'* (

Le nomhre de fnts qui doivent faire l'objet de ce mouvement, sera déterminé d'accord entre les da possibilité de transport du Rhône .1. Les essais de chauffe au mazout C seront poursuivis mi cours (le re voyngo dans les conditions Piv.ues par ma dépêche 1.511 du M août

harélt''inPn,,C;lly"ia; ~De Las'"le ̃' >»«. P C* ha et Houston; -.en m février t' marsenUPr>,et '? ««"««e: Honàuras^l 6 mars, p. l0Ir.' Callao et Valparaiso; Alaska. 2J février. p' Colon et San Francisco.

,m ^° a"X La Bourdonnas 4 mars. p. Alifax et New-York; Pellede 6 mars, p. les Antilles et Colon; Caravelle, 20 f""rler- p Halli h Puerto-Rico; -IXoluinlis. 20 févr.err Haïti, l'r'tnars. p. Casablanca; Batseterre 7 mars, p. les Antilles Françaises et la Guyane, l'tah, 2g février, p. Cuba le Mexique et la Nouvelle-Orléans; Te.rns, 53 février p. Colon, Callao et Valparalso; Arkansas, 6 mars, p. Colon et Sar Francisco.

De Saint-Nazi-r' Flandre. 7 mars; Pérov, 19 février, p. les A.-·tilles et Colon; Cuba, 21 février, p. La Har-ne et Vera-Cruz.

Compagnie Paquet. De Marseille Abda, vers 2 levriir. p. Casablanca: lonle, vers le lj février; Phrygle. vers le 28 février, p. Constantinonle

flesnnriïes mai. Urnes. De 17 févricr; Ctniral Metzinger, li février: Sphinx, 3 mars, p. Ales: idrie et. I:eyrouth; André Vheuier, a, février, p. ucyrouth; Pierre Loti. il février Lamartine. 4 mars, p. Constantinople et Sniyrne; Angers, ;2 février; Paul Lecat, S6 février, p. Saison Chine et Japon; Azag-lc-Didcau. .i mars, p. Saison Tourino et Haïphong: l'illc de Mrlz. mar, p > olombo et l'Australie; Et Kaniara. ? m? • P. les Antilles, Colon et Nonméa: Maréchal ".illiini, 19 février: Bolland Gar:os, 5 mais, p Vacagascar La Réunion. De DunVerque ̃ i.ommissclre Ttamel, 19 février. p. Saigon et l'E>' fme-Orient.

De la Pallfce C'ief Mécanicien Mallhol, 18 féNier. p Boir-ay ?t l'Indochine.

Chargeurs rêttris ct Sntt-Atlantloue. De La Pallice o'ioIt, 17 lévrier, p. Dakar, Itio et Du!os-Aires: Fort Trayon. 22 février, p. Rosarlo 'le Santa-Fé.

conservé longtemps avant d'être mis en vente le savon Cadum a perdu toute trace d'humidité. Il dure donc très lonôt emps,restant ferme jusqu'à la dernière parcelle. fHpnniiimnm Prix 2 grs nmmmiiml

lA! Bin.eaux Miduana. 00 février. p. Dakar. Rio et Buenos-Aires: Jauregulbcrr, mars, p. Lahla. Rio et B enos-Alres; Lutetia, 7 mars p. Rio et Buenos-A-res: Europe, 26 février, t Dakar.- Cotonou et. Matadl; Adrar, 21 (cvrler, p. Dakar et Point» Noire. ».>iior, Du Havre An ">. 90 février Il. Qant^o xnnGrande, Do Su': •^̃^r^rierS.arH.oR1e°t De TSéeei "a1/ ""•*• Il. SaiCompagnie Havraise Péninsulaire. De Mars"{ le. Ville le •̃<tms. 2» février, p. :.iailaga3ca£ ,??!« Générale des Tramporls maritimes d vapeur. D,'Ka«elUe Ptncto. W février, p. Dakar. Rio et B tnos-Ayres.

<-°mP"0n>e Fran. aise de navigation d vapeur. De Marseille (anada, la février; Prorldcnee, -4 février, p. Nev-ïork; ^adonna, -33 février, p. far1"" Cotonoutar"lnOPle; Foria, 3 mars, p' Dai3Cîi ?°"ie Frai"ne<- De Marseille Niger. 13 février, p. Da ar et Cotonou; Louis-Fràlssinet 21 .février, p. Constantinople.

iA^arf am Oriental. De Marseille: Cah»v ?/ lo hV"' A'arfc«"<i< S7 février, p. Boinhay; Vongolia, 20 février, p. l'Australie; Macédonia. 6 mars, p. Il Chine et le Japon

De L,Tlres v:, ^'rmala' 13 février, p, la Chine et. le jalon; Kl'.i"?' 'P février, p. l'Australie. .,S lealana S, i, ping Co. De Southnmpton Ituahinc, y> mars, 1). Colon et la Nouvelle-Zélande.

('ompagn'e belae maritime du Congo De la Pallice Hi'crm-iiic. 19 février, p. Dakar, Cotonon et MataJi.

Canadian Pacific Océan S. S. Co. De Cherbourg Marbur 20 février; Milita, 7 mars, p. Sant-John.

Du Havre BoVngbroke, 3 mars, p, Sant-Jobn. Orient Line. k Toulon Oronsng, la février- Ormu:, 27 février, 1. Colombo et l'Australie Dollar Un-, De Marseille Président Van Buren. 25 féyrer: Président Haycs Il février, p. Boston.

llotrrtdamsche Lloud. De Marseille Tambora. 17 février- Slamat. 3 mars, p. Java et Suma-

/loyal Mail Steam Packet. De Cherbourg Orduna. 27 févrle p. Halifax et New-York- Andes, 20 février;. Descado, 23 février; Arlanza, 6 mars, p. Rio et iluenos-Alres.

Pacifie Stear.i navigation. Co. De La Pallice Orcoma. 21 février, p. Cuba, l'olon, Callao, Arici. Iquique et Valparaiso; Orlcga, 7 mars, p. Colon et Valpi-iaiso.

CosmopoUtan Une. Du Havre Plpestone Countij. 1 février, p. Baltimore et New-York; Shodacn. -3 fév-ier, p. Philadelphie et Neww Tort.

De nordeaux 'Un, 23 février, p. Philadelphie. Mississippi Vall-y. Du Havre West Kasson. Cô février, p. I.n Nouvelle-Orléans.

Texas Star Uni.. Du Havre 0. H. Livinstonc, 1:. février ·. Galave,ton et Houston. Ilolland Amerltn Une. De Boulogne A'ieiitu ^msfcrclom, 2c février, p. New- York: Maasdam. .4 février: Edam. mars, p. Cuba et le Mexique. White Star Line. De Cherbourg Olymptc, ̃ï. février, p. Nev.-York.

Red Star Une. De Cherbourg Zeeland, 15 février., p. New-York.

Cunari Line. ne Cherbourg Saxon la. 1-2 fénier: Berengaria. 18 'évrier, p. New-York; A7Idanla, mars, p. Halifax et New-York. Eoot/i Line. Pi Liverpool Panoras, 14 fénier, p Para et Manaos.

Nelson Une. le BoMofrne Hightand Lnrh. n février: Itiglilanl Laddie, 20 février, p. Rio et Buenos-Ayrs»

Union CuslIe Une. De Southampton Kildonan Caslle, 12J février: Edlnburgli Casltc, 97 février: Walmer, mars, p. Natal et le Cap. Nippon Yussen Kaïsha. De Marseille Smra Maru, ;2 février: Fushimi Maru, 8 mars, p. la Chine et le Japcn.

Blbby Une. De Marsellie Yorkshire, 21 f6vripr: n'ariclchsliire, 7 mars, p. Colombo et Bansroon,

United States Lines. De Cherbourg Président Harding. 12 lévrier: ;i(;p»u((c. 20 février; Ge.orqcs Washington. 211 février, p. Kew-York. Lloud Rayai Il^tlandais. De Oherbourg Flanilria, H' février; Zéclandla, 12 mars, p. Rio et Buenos-Ayre*.

Compagnie Royale néerlandaise, de Navigation <! Vapeur, De Boulogne Criinssen. ?l fé vrler: -Orange Ncataur 7 mars, p. les Antilles et

PAQUEBOTS ATTENDUS- >

DANS LES PORTS FRANÇAIS

Au Havre France, Il février. venant 'le XewYork; Orange Sassau, !1 février; Macorls, 2ï! fétrier, venant de Culon.

A février; 1. février; Arab:c. la février; Georges-Washington, 19 février; O'i/mple, 2t février. venant do New-York: Arlanzv ii lévrier, venant de BucnosAires.

A Toulon ̃ Orama, 13 février, venant d'Australie.

A Marseille haldcra, 13 février, venant de r.nmbay: Madf.nna, i4 février; Lamartine, 19 février, venant dr Constantinople; Providence, 14 février; Général Metzinger, 15 février; Roma, 20 lévrier venant d'Alexandrie; Tabanan. 14 février, venant de Sumatra: Hakozaki Maru, 14 février; Andrc-Lebon, 18 février; Kalyan, 21 février, w nant du Japon; Azay-le-ltideau, 15 février, venant de Madagascar: Foria. 16 février, venant de Cotonou: Ucrefortlshlrt, ts février, venant de RailKoon. lUoIdat'in, 2. février, venaqt de l'Australie: D'Entrecaslcaux. 2'. février; Chili, 21 février, venant de SaïRcr; Andromède, 23 février, Vfnant de la Nouvelle-Calédonio.

A nonloïn» Mcuu» Amsterdam, 15 février, ve.nant de Ne\v-ïork

A La Pnnice Drsirade, 18 février, venant de Buenos- A Ires; Qïtega, 18 février, venant du, Valparalso.

A Jlordeaux • Luletia, 50 février, Mosella, K février venant de Buenns-Aires; La Bourdonnait, 2J fé.rier, venant de New- York.

NOUVELLES DIVERSES

MAITOES DE PORT. Par arrêté en date'du 7 février .19:5, M. Calvez, premier maître patron pilote de la marine militaire en retraite, a été nommé maître de port à dater du 16 février 1925. M. Lebeau, capitaine au long cours a été nommé maître de port de 4' classe à dater du 16 février 1925. Il sera affecté en cette qualité au service du port de Saint-Nazaire. en remplacement de M. Doutllard, précédemment admis à la retraite.

SURVEILLANT DE PORT. Par arrêté en date du 7 février 1925. a été acceptée il. dater du le février 1925, la démission de M. Briel, surveillant de port à Roscoff (Finistère).

DIPLOME D'ARCHIVISTE PALEOGRAPHE.– Le diplôme d*archiviste paléographe est délivré à Ni. Thomas-Lacioix, né à Cllsson (Loire-Inférieure), le J septembre 1901.

EN RELACHE. Le Palais, 10 février. I.e trols-m.1t» Vitle-de-Bassens, qui était parti de Bordeaux pour Gènes ,avec un chargement de morues a dû relâcher sur rade de Palais, avec avaries $ son moteur.

Plusieurs vaDeurs se trouvent également moult.lés sur r.rte. les vents souffan ten tempête du S.O. et la mer étant toujours grosse.

Une nouvelle tempête s'est abattue sur nos côtes

DovMnsENEz, Il février. Une tempête d'une violence extrême vient de s'abattre sur les côtes. La mer est de plus en plus houleuse et. toute navigation est Interrompue. Le vent et la plnie font rage. Il y' a une douzaine de jours, une flottille dé ir> dundees quittait le port de Douarnenez pour se, rendre sur les eûtes d'Angleterre y pécher le gros maquereau. Cette flottille est en cs moment Immobilisée par suite du mauvaise temps dans la Manche.

Un canot de la chaloupe Vénus sombre dans les courants de Grolx. Un noyé. Lorient. Il février. Dimanche, VOucst-Eclair signalait que la tempête reprenait sur oos côtes. On apprend aujourd'hui que, dans cette' journée du 8 février. le canot de la chaloupe Vénus, de C'iiiih'inee. uatron Heleouarch. a chaviré au cours d'une violente bourrasque dans les courreaux de Groix, Le» quatre hommes qui la montaient réussirent h se cramponner & la quille. mais l'un «ivtix. Jacques Tannlou, 80 ans, do SI-Pierre-de'l'enmarch. Iftcha prise et, après un quart d'heure d'efforts surhumains Il coula devant ses cnmarades lmnuissants à Io secourir.

Le DOtrnn du Dora n signale aujourd'hui ce dramatique événement à l'inscription maritime de I/iHènt.

Ce soir In tempête soufflait avec une vive intensité et la dépression atmosphérique s'est accentuée le baromètre marquait, dans la soirée ?'̃" mm.

A la Commission parlementaire de la marine marchando

Paris, Il février. La Commission de la marine marchande, réunie sous la présidence de M Morinaud, a adopté, avec quelques modulations le rnpport, présenté par M. Labe,, sur le projet de loi relatif aux caisses de crédlt maritime mutuel. Avis aux navigateurs

LontEKT Il février. -.Entrée du Morbihan, CûJ.n UueSt ne France. Les navigateurs sont informés Guo la balise ronge du « Grand Mouton 1 entrés du Morbihan et au nord du Rocher r-lanch! du Faucheur qui avait ete brisée,' vient d'être remplacée provisoirement jnr lino' b-tlise en dois nelnte en rouge surmontée d'un voyant dc forme conique.

EVENEMENTS DE MEB

Un paquebot s'échoue dans l'estuaire de la Tamise

LONDRES, Il février,. Les journaux annoncent qu un paquebot dout le nom e>t inconnu s'est échoué dans l'estuaire do la TainNe

Ce paquebot pourrait être on danij.-r en rai on de la tempête qui sévit netuellenvNit

On croit que, les p.nss.igers* Otnni toujours à bord, des bateaux de sauvetage sont partis rour leur porter secours.

Le paquebot n'était qu'un « Ketch L'équipage est sauvé

Londres, u février. Selon les dernières r.oucelles le bateau qui s'est échoué au large de Mar!rata no serait qu'un ketcli anglais d'une centaine de tonnes.

Le batean l'.e sauvetage de Marpate. rentré au port, annonce que l'équipage a été rauvé.

NAVIRES DIVERS

SIGNALES PAR T. S. F. EN COURS DE ROUTE. Aux postes de

Ouesssint, !1, Mascara. Dèpulù-Gcorgs-, Cliaigne, Alsace., iork, .'ean-stern.

PAQUEBOTS

ET VAPEURS LONGS-COURRIERS ARRIVES. A Pern.imuuco, 10, Kersaint, aU. [le Hambourg à Rio-Grande; :l Cien-Fugos 5, Capitaine-l'aul-Lemerlc. ail. de Marseille il Ne%Orléans i Loixoés, 9, Amlral-Rinaull-dc-Gcnouillu, all, d'Anvers à nuenos-Aircs; à Rlo-deJaneiro. 8. Jouf/roy-tVAbbans. all. de Iiuenos-Aires ù Anvers; p Port-Saïd, 10. rhambord, «H. de Mnrseille à Maurice: i Suez. Il, AUu-le-RUleau. ail. de la Réunion à Marseille: il Matadl S Asie, de Bordeaux il Djibouti. S. Compagne'. aU. de Marseille à YOkohama; .1 Vcra-Cruz 8, (le St-Naznire; à Haiphonft. 11, A ma zone, de Marseille: à Saïgon. to. Docteur-PierreReliait. de Dunkerque: Angkor, ail. de Marseille à Yokohtfna à Port-Louis, 10, Amiral-Pierre ail. de Marseille à la Réunion; i Kilindinj 10 Général-Duchesne, all. de Maurice 0 Aden- au Havre. il, France, de New-York; à Bordeaux tt, Mont-Ventoux, du Havre; il. Marseille 10, Jlendo:a. de Gênes; Ouoloff, de Mogador.

PASSES. A Carres. V CcUmène, ail. de Canliff à Philippevlllo; Vulcaln ail. (le Rouen à Alcer Southend. 11, Ophélle, ail. de RAtonRoiiïe Thnmcsliavln; à Dover, il, Chcf-Mccanleiçn-Mallhal. d'Anvers; il Gibra.ltar, 10 VilIci..trrirs ail. de P.-iuillac a Oran; VUle-d'c-Maiunqa. an. d'Alser a Rouen; Amiral-Nlelly ail de Dunkcraue à Hnïphong; 11 Antoine-Schia[llim ail. de Dunkeraue il Alper; à Land'Sen, 11, AIbert-Leboiane. ail. de Barry A Bizerte.

PARTIS. De Buenos-.Ures. 10. Plala, p. Marseille de Rio de Janefro, 3, Vcylan, allant (le Hambourg il. Buenos Aires, 7, Luletia, M. de Buenos-Aires à Bordeaux: de tambour?. 9. Graiz, p. Buenos Aires; de Swansea. 10. Dorlne. pour Catanla; de- Dakar. 9, Foria. allant de Duala il .Marseille; de CinlilT, 10, Athénrfe, p. Dakar; de Poinle-a-Pitre. s. Macorls allant de Colon au Havre; de Colombo. 10. d'Eiitreca.?t?aux. allant ̃fie Haïphongr a Anvers; Ville fie Verdun, allant de Marseille a Hr«bane; de Suez, 8, Bourbonnais, allant. dfc 10. U.C. Chnhzy, (fif.- cmn>nn pour ATïcri de Funta del Oada. S.^Brilannia, p. New-York- de Dakaf 9, Foria, p. Mireille; -im il, Raiti,' p. Casablanca: Rouss-ilion, p.New- York; du Havre, 10. Forbin. p. Le- Brésil. Il, Aden, pour l'Indochine; Ville de Reims, pour Mailaîaàcar; Fort ¡le Soiifiile, pour Anvors.

VAPEURS CABOTEURS

.Ul'RIVIîS. A Boulogne, il. Sarrnn, de Portrleuï; Hem'e-Marguerite, du Légué; Ville (le Chalon, du liane; k Marseille, 11, Félix Touache, d'AVer; i Brest, Il, Eskburn, do Landerneau; il Roucn..tt, Tarquay d'Mloa; Snlvick, de Huelva; à St-Nazalre, f Ville de Nantes, de Xantes Hubbostone. de Ilochefort; ;'i I. orient. il. Le Scorff, de Cav<l:IT; islais de Nantes; à La Rochelle, 11, Ville de Nantes, de Bordeaux: il Nantes, 11, Erika, de Sunderland; Qudriila, de Swansea; Asborg, de STax; Lucifer, de Fauillac; à Bordeaux, 11, Vaucluse, do Vantes; Sl-Fern!ol de tantes; au Havre, 10. La Meitlnraye, de Lorient. 11. St-Vincent de Boulogne; La (le Rouen; Ldoville, de- :ante; Hirondelle. de Ca^n. A Caen, 11. Ga Melllci aye, de Lorient; ntrondclle, du Havre.

PARTIS. De Boutogne, Il, Cap Cris Xcz, p. Mazatan: «-Vincent, V- Le Havre; Fronsac, p. Le Sable» d'étonné. 10, Foivsdvnc, p, Mumblcj; de St-.Nuz.iire, 11, Kralingeu, il. Castroleu; Foresgate p. Caicliir; de Rouen, II, Dirkland P. Tyne: Et- iton, p. Tyne; Keiiticocd, p. Tyne; Xeville, p. Mumbles; Mvertai/an, p. B'.yth; Clarelta p. Dieppe; Lintoit, p. Londres; Lutona, p. Londres; Stentor, p. Londres; Sic-ift p. Londres; de Nantes, il. Quérika, p..Cardin"; Vaucluse, p. Le Maroc; Vide de Nant* p. St-N'azaire; Allié, p. Barry; LluntzauMan.li, P. Castro; Union l, p. Belle-Isle; Lucifer, p. Paulllac: Kai>orilka, p. Bordeaux; de Lorient, Il. lu, p. Sunderland; de'Morlaix. il. Morlalx, p. Le Ilavi'e: de Bordeaux. 11. Maréchal Foch, p. Oran; Orléans, p. B-arry; Itervillc, P. Paulliac; du Havre, 10. Ville de Chalan. p. Bouiosrne; S^phora Wcrms, p. Bordeaux; Cantenac. p. Anvers: 13. Myriam p. Rouen: Taillefer p. Nantes; Emile Drschamps p. Caeti; Français*, p. l'.Vnïlelorre. De Caen, il, Emile-Deschamp. La Mcillmyc. p. le Havre: Galluion. p. Ymuiden.

VOILIERS- CABOTEURS

ARRIVES. A la Rcche-Bernaivl. 10. Roscovitc. de Quimrer. à Lisbonne. 7. P'Ao, du Légué; a Nantes. 11, Avenir, de l'Ile-d'Yeu.

PARTIS. ne la Rochelle. «I. Marie-Stella, pr.nr Belle-Ile: de Nantes. il. Saint-Louis, P. Pornic: de Bordeaux, 11, Virgo Voterons, p. les Sablesd'Olonne.

GRANDE PECHE'

'ARRIVE! A Saii.Plcrreet-Miquelon, 11 février, .U. A.

REVUES D'ARMEMENT. Salnt-Malo. Il février. Passeront les revues d'armement aux dates suivantes

Le 20 février, A'ofrc-Ca.Tic-dc-Bonnc-.Yout'ci/e. armatrur Ni. Valssier-, le -26 février. Grande-Hermine arm. M. Catherine: le 2 mars. Maria, arm. M. Lemoiçme; Perc-Plerre. arm. M Daçorne Lakme, arm. M. Cluippedelaine.

PECHE HAUTURIERE

ARRIVES. A Logent. il. 8.000 kilos: Aven. 10.000 kilos: Grcbe, 2.Ô0O merlus, 8.000 kilos: Isole. S.soo merlus, l.coo dorades 10.000 kilos sfetln 10.000 kilos: Licorne. 7.000 kilos: Steir. 18.001 kilos: £ion, il. 000 merlus ct is.ono kilo». A la Rochelle, il, Marie-ThérCse. 5.170 merlus. 3.160 dorades, 970 pi de gros, 115 pl. de petits Goéland. 1.M0 merlus. 1.040 dorades, l'ie 1,1. da gros. i)"8 pi. de Ietlts, hnbrim. 6.88» merlus, l.COo dorades, 1.0S0 pi. de gros, 17J pi. de petits.

PETITE PECHE

DoWRNENEz. Pêche du 10 février. Sprats Soixante-dix bateaux sont rentrés avec une moyenne de 30 A 40 caisxs de sprats qu'ils ont vendu'' à raison de 15 tr. la caisse de 10 kilos. Quelques bateaux ont péché 80. 100 1M caisses.

Merlans Douze canots sont rentrés avec uno moyenne de 80 100 merlans de toutes tailles, qu'ils ont vendus à raison de 40 A 56 francs 10 cent, suivant grosseur. Quelques canots ont péché des tacots pour une valeur d0 40 h r>0 francs. Chlrns de mer Cinq canots ont pOcliii de t& 35 chiens de mer. qu'ils ont vendus à raison du SB A 30 fr. la pièce.

Chalut Douze bateaux dragttant en baie, ont péché des plies, des soles, des turbots, des carre-

lets, des petites raies, pour une valeur de 100 & 140 tran.es

Homards Trois canots ont péché de 5 à 8 kilos de homards qu'ifc ont vendus à raison de lS francs le kilo et quelques kilos de crabes tourteaux vendus A raison «le 1.10 le kllo,

Crevettes Huit canots ont pêche, au casier ou au rhnlut. du 3 a 6 kilo; do crevettes qu'ils ont vendues à raison de 10 a 21 tr. le kilo. Raie Cinq can'ij sont rentrés avec des rales. des posteaux, des maraches, des congres, des chiens de mut, pour une valeur 'le 610 à uco tr. Un bateau a vendu 10 kilos de langoustes rouges. à raison de 1P.70 le kilo et 16 couples de crabesaraLjnées à raison de 3 fr. la conple.

OBSÈQUES

RENNES. Vous êtes prié d'assister au convoi et à la messe d'enterrement de

Madame Veuve PRUNIER

A"<?e ingèle SAVOURE

décédée i Rennes, 122. rue Saint-Hélier dans sa M' année, qui auront lieu le vendredi 13 février à 8 heures du matin, en l'église Saint-Hélier On se réunira il la maison mortuaire à 7 h. 45. L'inhumation aura lieu au cimetière do l'Est. De la part do M. Henri Prunier, son fils ̃ M. eti Mme Gicquelats. M. et Mme Tullou, Mîtes .1ulia et ïvonuo Prunier, ses enfants Mlle Madeleine Tuliou, sa petlte-fllle. M. et Mme Savouré, M. et Mme llourlner, ses frère, soeur, beaux-frères, belles-soeurs, oucles, tantes, nièces et do toute ta famille.

RENNES-SAINT-BRIEUC. Vous êtes prié prié d'assister au convoi et à la messe d'enterrement de

Madame Louise GOUR)0

décédée 1 Rennes, 2, rne du Père Grignon, dans sa 50* année, qui auront lieu le vendredi 1: -février, a tn heures du matin, en l'Eg-lise de Saint-Etienne. On se réunira à la maison mortuaire, à 9 h. 'iS. L'inhumation aura lieu au Cimetière de l'Est. De la part de M Louis Gourio, snn Epour, dessinateur au Service du Génie; Louis et André Goiirlo, ses Enfants, ét ,le toute la Famille. SAIIV'T-GRI;"GOIRE-FiENNES. vous êtes pru- ( I a s ̃ 1 r p aii c^:r.oi et à l;i nïe.==e d'enterrement de

Monsieur Antcny SCHMITT

Professeur Honoraire:

Officier de l'instruction Publique,

décédé a Saini-Créiroire. dans sa Où* année, qui auront lieu le vendredi 13 février, a 10 heure-, en l'éRli.=e (le Ni-.tre-Oame. On se réunira devant ̃lY-jr'isp 1 m heures.

¡.'Inhumation aura ]>n au rlnr.ptl.'rp Ou Nord. De la part des ramilles pnlrée rt Pchmltt. 11 ».n présent av.; tien: lieu de faire-part.

LA Vous êtes

Madama Veuve CHARRON

»i:c Lucie BEAVGLWDP.E

('('cédée le 10 Février, l'âge de Cl ans. qui auront lieu le vendredi 11 février, 0 heures 30. De la part (le Vite Angustine Charron H. et Mme Lucien Charron M. Marcel Charron. '09 Enfants: Paul et Lucien Charron, ses Petits En- fant> de ses Frères pt Sœurs et de toute la Famille.

1: ne sera pas envoyé de lettre de mire-part, la pivsmt nvis en ronan! lieu.

MAYENNE Von; etr-s pné d'assister a- convoi et la mes?c d'enterrement de

René DUHOMME

rappelé a Dieu a l'aie de t. mois, te 9 février 19ÎS. qui auront lieu à St-Martir.-de-Mayenne. le jeudi 12 février 102."). à 10 heures

On se réunira a le maison mortuaire, 4, rue de la Gare, à 9 h. 4.\

De la part de M et Mme Robert Duhnmme, ses père et mère, et de» familles Duhomme et Dutertre.

Le présent avis tient lieu 1e faire part.

SAINTBRIEUCHANVEC. Vous êtes prié Madame Zoé Ursule LE FLOCH

«Je COttVE,

d("Ti!i!ée ]p 10 février 10î. 4ans sa 89- année. Li cérémonie reliyipnse aura lien le vendredi matin a 10 heures. é?li=-> Paint-Michel.

Le deuil se réunira a la maizon mortuatre, 39, rue du Dm-teur-Rochard.

De la pnr' de :lIme Kerellou, Mme Plgmorrt..«e» fille-; V. r" irnnl. Miin TharuPl. M. Jégo. docteur; Mnw> Jr?-o. Alain rharunl. Hervé Ji'J?o. ses petitserfan! des rumî'le* r.iffn. T.r> Hars. Fnau.d, Te3sier, Ilémon. NVel et de toute la famille. Un service, reilpipux et rînhttmarlon auront llett à Hanviv samedi matin 1 f0 heures.

1.e présent avi^ tiert lieu de faire-part.

vous êtes prié d'assisté» au convoi et A la nessc d'enterrement de Madame Louise LE CAL

\éc LE FLOCH

pieusement clécMée Sain-fBrlPiic dans sa 01" année, qui auront licn a Cftatelaudren, le vendrrdi 13 février, à 10 heures.

On se réunira à la maison mortuaire D h. 45. De.la part des fp.mil les Le Gai. Le FlocJi et Tout* nen.

Le présent avis tient lieu de falie-part.

REMERCIEMENTS

RENNES- M. Durant* et ses enfants remercient tres sincèrement les personnes amies qui leur ont témoigné de lp sympathie à l'occasion du ilécès de

Madame Pierre DURAND

.Vt't Caroline FULL/Or

LANDIVY-RENNES. M. et Mme Emilien. Viel et leui fanfill". remercient bien sincèrement les personnes qui leur ont témoigné de la sympathie à l'occasion dt. dôeès 'le

Madame Berthe VIEL

PLÉCHATEL Monsieur Edouard Dmi'is. ?es Enfants, et tm'it<> la Famine, très touchés des nombreuses marques de sympathie reçues à l'occasion du (Wcès de

Madame Edouard DUCLOS

«ce nARlES

prient les r-ersonnes qui les leur ont témobrnéaf de trouver Ici t'expression de leur vive gratitude. REMERCIEMENTS

SAINT VINCENT-SUR OTJST T*« familles Hurtel-Mary remercient bien sincèrement tonies les personnes qui leur ont témot(rué tant Gd sympathie A l'occasion du deuil cruel qui leti frappe en la personne <1e

Madame HURTEL

Née Jeanne MA ai


Dans les habitations munies du Chauffage "IDÉAL CLASSIC" par eau chaude, toutes les pièces sont uniformément chauffées à la température désirée pendant la mauvaise saison. Il n'y a donc plus à craindre le brusque passage des chambres chaudes aux chambres froides, toujours pénible et dangereux. Ce système de chauffage moderne assure le maximum de confort avec le minimum de frais. La Notice Illustrée N' g est envoyée -franco sur Demande.

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LES CADEAUX

DE L' a OUEST-ECLAIR » A SES LECTEURS

En présence de M" Dupont, huissier Il Rennes, rue LafaycUe. la Direction do l'OuestVclalr a procédé à la reparution des cadeaux suivants:

Béntfldalrt* au rtpcrlolr» <k titre n-Midlctt'.on)

250 francs pn espèces M. Yves Al- lain, ù'Pen Crech, en Ploubezre, par Lannion 'Côtes-du-Nord) 596 Un collier perles imitation, valeur 1G0 fr. Mme Virginie Qneïnnec, débitante. Pleyber-Christ (Finistère) 74.350 Un colis Cointreau, valeur 50 fr. M. Fiereux, la Forge, Janzé (Ille-et- Vilaine) 76.732 Un colis valeur M fr M. Roliior Pierre, manœuvre, rue

Blanquy. Renne" Un colis Cotntreau, valeur 50 fr.

M. I.e Rumeur. Le Logis-du-Cercueii, hlortrée (Orne) 70.140 Un colis Cointreau. valeur 50 fr.

M. Béalu Edeard. représentant, 3, passage Leboul, Angers 68.180 Un colis Cointreau, valeur 50 fr.

M. Yves Péron, Instituteur il NotreDame. Le Havre 142.673 Un éverscharp Cico (stylo mine en

argent), valeur 33 fr. Mlle Goltin Marguerite, institutiice. il Bacilly (Manche) M.4O2 Un éverscharp Cico (stylo mine en

argent), valeur 33 fr. M. Raymond Pelou, commerçant. Notre-Dame de Grâce, par Guenrouêt (Loire-Inférieure) 10.013 Un éverscharp Cico (stylo mine en

argent), valeur 33 fr. M. Jean-Mark: Dalmar, annexe des subsistances, n CoPtquldan, par Guer (Morbihan) 34.754 Un éverscharp Cico (stylo mine en

urgent), valeur 33 fr. M. Lemaltr<j Germain, électricien. 3, rue de la Fontaine. Sillê-Ie-Gulllnume (Sarthe) 136.422 Un colis de pnrfumerie, valeur

30 fr. Afme Ueuulon. ménagère, villatte dft Gnénot, Bazouiros (Mayenne) 133.357 Un colis de parfumerie, valeur

30 fr. Mme Vve Petilpas, la Moignerie. Baguer-Morvan, par Dol (Ille-et- Vilaine) 75.637 Un colis de parfumerie, valeur

30 fr. M. Pierre Etienne, moulin de St-Michel, Moncontour (Cùtes-duNord) 3O.O5S Un colis de parfumerie, valeur

30 fr. M. Jean Quintin. il Trégone-

vel, St-Goar.ec, par Chateauneuf-duFaou (Finistère) 7C.1C7 Un colis de deux flacons parfum « Arys », valeur 26 fr. M. Le Gall Pierae, quartier-maître. Retour des Promeneurs, Le Faou (Finistère). 80.207 Un colis de deux flacons parfum Arys », val. 26 fr. NI. Pasco Eugène, 7, rue de ]'Hôpital, Vannes 115.733 Un colis de deux flacons parfum « Arys», val. 26 fr. Mme Frédéric, 7. rue Contest, Caen (Calvados) 114.954 Un colis de deux flacons parfum Arys vaL 26 fr. Mme Le Meur, Jeanne-Yvonne, journalière à Lanvellec (C.-du-Nord) J28-281 Un colis de deux flacons parfum ̃ Arys •. val. 2G fr. NI. Léonard Jenndeau. rue St-Alexandre. Dinard 75.806 Un colis de chicorée «Sainte-Anne va). 23 fr. M. Paul Chochon, ferme Bois-Méhaudin, par Couterne (Orne) 30.344 lin colis de chicorée «Sainte-Anne» val. ?'> fr. M. DéVlianteloup Eugène, carrier, village du Pont, Pont ,le Piroll (Manche) 121.642 Un colis de chicorée «Salnto-Anne» val. 25 fr. M. Monnier Lucien, menuisier, les Couds, Bougueimis (L.-I.) 133.920 Va Stylo-Mine M. Huido. Kerjona- no. Arzon (Morbihan» 71.000 Un Stylo-Mine: M- Henri Béralivet. garde-pêche. 44. rue de l'Alsace-Lorraine, ChâtPau d'Oléron (Ch.-Inf.) 30.334 Un Stylo-Mine M. Kerjean Paul, couvreur, rue St-Paul, Landivisiau.. 119.528 Un Stylo-Mine M. Lehnby Bienalmé. journalier. Saint-Clément, par Isigny (Calvados) 91.360

LA MODE

Cela nous semble étrange, quand nous regurdons les tableaux des siècles anciens, de retrouver sur de petits corps d'Infante ou de princesses de cinq ou six ans, les longs corsages en pointe, Jes paniers et les vrrtugudins des costumes d'apparat. En effet les enfants d'alors devaient être bien guindés dans ces habillements si peu faits pour leur fige. Espérons qu'ils les quittaient à certaines heures et que le suDulice

d'un pareil ajustement ne durait que le temps nécessaire à Vélasquez ou Nattier pour peindre leurs beaux habits et leurs sérieuses frimousses royales. Mais, au fond, le principe de l'habillement enfantin reste le même aujourd'hui il imite pn tous points le costume des grandes per.sonnes; nos fillettes re.produisent en miniature les modes de leurs mères. La toilette enfantine prcnd chaque jour une purt d'ailleurs plus gran. de dans nos préoccupations ce même souci d'art et d'élégance qui nous dirige dans notre home ne doit-il pas s'appliquer tout d'abord a cas petits bibelots vivants que sont nos bébés ? Une gracieuse fillette est le plus bel ornement du salon de sa mère. Nous aurons donc un vif plaisir à la parer le mieux possible, d'une manière qui

la lasse valoir, ¡'Oublions pas cependant que li simplicité convient seule à l'enfance- des étoffes précieuses, des dentelles de prix, des broderies fragiles seraient absolument déplacées sur une fillette ou un garçonnet A quoi bon, d'ailleurs, chercher si loin Les jolis modèles de robes ou costumes ne manquent pas pour les enfants n'ont-ils pas maintenant leurs couturiers » ? Des maisons importantes et d'un coût raffiné se sont consacrées entièrement A ta toilette enfantine et créent chaque jour de petites merveilles Pour les très jeunes enfants, les îmbys rien n'est plus charmant que la robe cloche de tulle ou de mousseline brodé!' il il vaut mieux, en effet, que leur toilette soit lavable et d un blanc vaporeux. Uhe robe droite sans manche, toute en petits volants de tulle

peine froncés et bordes d'un simple picot (jour recoupé) sera très ronvenah!e pour une jeune personne de 2 ou 3 ans; une touffe de petites roses rococo ou un Ions flot de ruban comète sur l'épaule gauche complètera l'élegancp de cette petite toilette. Nous voyons lui charmant modèle en mousseline manche brodé de pâquerettes é cœur inune ou noir semées au hasard comme dans une prairie d'avril.

Pour une. plus grande fillette, notons 1i robe de taffetas très froncée du haut de manière n former un petit boléro collant, (l'oÙ s échappe la courte june bordéo de cygne de marabout ou d'une très étroite bande d'hermine. Vu également upp. délicieuse toilette de faille écossaise dans les tons clairs et un petit ensemble <le velours blanc aundrillé (le rose vif, très originale et seyante pour une brmwite. N'ovblions^nas non plus une jolie rnbe Ra forme.. (le velours noir, incrustée (le pointe» fla-duitrilr» de venlse. oui fora valoir u merveille une Jeune beauté Monde Le rouge clair, le bleu dur. le vert acldp en brorlerles ou en robes entières convicnnent A tous les enfants. Il en est ainsi pour un joli ensemhle que nous avons vivement apprécie, en ducetine inune ponssin, c'est un véritable trois pièces. T.a petite robe est méme boutonncf sur le côté et la veste droite ornée aussi de boutons habilleraient par.faitement une jeune femme. Le petit chapeau, influencé par noa formes actuelles. offre une calotte plus haute que le% cloches Jusqu'alors à la mode pour les petites fillesil est garni, comme Ips nôtres, d'un simple ruban noué, chapelier, sur le coté droit. Une botte de savons « Tenijelys

M. Auguste Barre, cultivateur à Contilly. pur Muniers (Sarthe) 4.613 Une botte de savons « Tpiidelys »'

NI. Gantier Albert, cultivateur," la Sioaudais. Arttton (Loire-Inf.) 91 Oj0 Une botte «le savons « Tendelys »

NI. Lamonr Jean, cultivateur, PontRohan, Crédin (Morbihan) 78.993 Recommandation Importante. Vérifier solirhcusi'inent los colis a leur arrivée avant d'en donnor décharge nu livreur.

Les dépositaires. sous-dépositaires et vendeurs, entre les moins desquels les lecteurs ci-dessus ont signé un engagement, sont ptids de nous écrire immédinlemoht pour nona dire si ces lecteurs achètrnt bien l'Ouest- Kclalr chaque jour.

Les cadeaux seront envoyés par le soin des fournisseurs, dans le moia courant. Il n'est accepté ni achat. ni vente, ni échnnge, et Il est Inutile d'entrer en négociations aveo YOucst-Eclalr cet effet

leÇramophone 'est l'ami qui charmera vos

loisirs. Ses disques, qui ne

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Cette couleur jaune clair est particulièrement heureuse pour les petits enfanls. KIIr est lumineuse et gaie comme eux. Elle fait songer aux boutons d'or, aux coucous, fleurs d'extrême printemps, et, enfin, on peut ùiva aussi que, seul, le teint si pur des tivs jeunes beués s'accommode vraiment de l'éclat d'une nuance difficile porter plus tard Le velours nous enchante cet hiver nous le retrouvons donc snr ¡,ne autre jolie robe de fillette où il se mêle très agréablement au lainaço le haut de la robe incrusta sur la jupe simule une vesifl marine a col rabattnnt et petite cravate. La fourrure ne manque pas d'orner les 1res courts paletots1 sacs de duvelino ou de knsha. Un col rouit et des poignets en hermine flnrssent pK'j.<umment le petit manteau, très mode, orné d'un galon doré avec petites pnches brodées du jeune personnage que sa nurse anglaise aocompagne en promenade. Cette nurse très classique, est de blanc vêtue avez voile et chaussures strictement blancs, Pour une vé- ritable nourrice, on aamet plis de fantaisie Il condition que son u-pe s'v prêt". Nous pourrons, par exemple, la vètir a l'Italienne ou a 1 Espagnole, ce qui est à la fois original et charmant.

Feuilleton de VUuett-F.clair

du 12 février 1925 59

UN FILS DU PEUPLE Par la Baronne ORCZY

[Adaplt par Louis d'Arvcrs.)

TROISIEME PARTIE

III

Le Tombeau de l'amour.

Oul, en ce qui concerne mon père, peutêtre, dit-elle vivement Ipendant que ses joues pâles s'empourpraient, mais j'ai moi-même de grands torts envers vous et j'ai dû vous paraître horriblement ingrate. et méprisable ajouta-t-elle très bas. car le mot était vraiment dur à prononcer. mais je ne savais pas. Et maintenant que je sais, la honte de ma conduite est plus que je ne peux supporter. Je suis si fAchée. Voulez-vous me pardonner ?

Elle était belle à damner tous les saints du ciel, pendant qu'elle lui parlait ainsi, une flamme aux joues et une fièvre de réparation brillant dans ses regards a travers ses pleurs. Jamais Andras n'avait reçu d'elle un regard pareil.

Je vous assure. Afadame, parvint-Il « repéter très tranquillement au prix d'un effort de sa volonU. que vous vous désolez pour rien. f.e petit service que y ai eu la bonne for4«ne de rendre A votre père rst de ceux que n'Importe quel homme rend n on antre quand (1 ^r voit kp rtébnMn? rnntrp unp malcliancp

Oh 1 vous voulez me rendre ilus honteuse encore en dépréciant la beauté de votre acte, c'est cruel de votre part, dit-elle, son orgueil près de se cabrer. Je suis venue à vous tout émue de reconnaissance. d'une reconnaissance trop tardive, je le sa;s, mais pourtant sincère. Dès que j'ai appris que vous alliez venir, j'ai cherché à vous rencontrer pour vous dire.

Ne dites rien, coupa Andras & bout de forces, bien que gardant encore son attitude froidement correcte. Je vous répète que vous n'avez aucune raison de prononcer maintenant. sous le coup de votre émotion, des 'mots que vous regretteriez amèrement quand vous auriez repris votre calme. Les événements dont vous parlez sont loin de ma mémoire et depuis longtemps oubliés. Mais si, comme vous voulez bien me le dire, vous m'en avez quelque reconnaissance, puis-je vous demander de cesser cette conversation également pénible pour nous deux ? Il courbait tn'-s bns sa belle tète pâlie et disparaissait avant qu'elle eût trouvé le mot qui aurait pu le retenir.

Elle resta intmobile dans la grande allée silencieuse et déserte, regardant la grande silhouette de son mari qui montait Il grands pas l'allée et disparaissait bientôt à l'intérieur du château. Il n'avait pas une seule fois tourné la tète pour regarder derrière lui, bien rtu'Il eilt dû certainement entendre le sanglot qu'elle n'avait pu retenir dans son gosier et ello se retrouvait l'i plus humiliée et plu» douloureuse qu'avant.

Quellr folle elle avait étA de s'humillpr devant cet homme qui avait. ir son tour, rennn«é l'nffrp mi'pllp lui f">>=nit ntn'-èrP-

avait à peine daigné écouter ses explications et il avait feint de ne pas voir la main qu'elle tendait vers lui.

Elle se demandait maintenant comment elle avait pu penser émouvoir cet homme, qui lui avait dit que son amour était mort. et que c'était elle, de sa propre main, qui l'avait tué. Non seulement il ne s'était pas attendri, mais il avait pris sa revanche et il venait de lui rendre mépris pour mépris. Un instant, une poussée d'orgueil sécha ses yeux et la fit Re ressaisir. Elle essaya de se souvenir des enseignements de sa mère et tous les arguments dont elle s'était servie pour le mettre plus bas que terre. Mais, finalement, la douleur fut la plus forte. Elle Fe laissa tomber sur un banc et sanglota éperdument.

11 était très tard quand elle reprit le chemin du chateaa. Les verveines jetées n'Importe où, au hasard, s'étaient fanées. Du reste, il était trop tard pour en faire usage. Sa mère s'était tirée d'affaire comme elle avait pu, la chose n'avait aucune importance. Ce qui importait, c'était de quitter Bidesknt et de le lui rendre le plus tôt poscihle 1 Grâce à Dieu, elle avait encore cette ressource de jeter aux pieds de cet orgueilleux, qui prétendait être aussi orgueilleux qu'elle-même, tous les dons qu'elle en avait reçus Quand justice serait faite, elle s'en Irait n'importe où. dans un endroit où il ne pourrait jamais la trouver, et, puisqu'il était si fier de dire que son nmour était mort, elle sornlt morte pour lut elle aussi

Mal» tout en rêvant de lui donner cette sn(.•«fnctlon, quelque chose en elle restait insal'sfnlt. rnipirpie rhose d'un peu Ineomnréhen-

qu'ella croyait éprouver pour lui, elle aurait voulu le faire souffrir, le voir souffrir. Elle aurait voulu le voir furieux et sauvage, comme il Bideskut, sous la morsure d'une souffrance pareille à celle qu'il affirmait avoir oubliée. En attendant, elle pouvait toujours prendre une revanche d'orgueil. Demain, Bideskut serait rempli d'hôtes de distinction, et tout y serait festins, gaieté et flirts. Eh bien 1 elle rira, elle s'amusera, elle flirtera 1 Elle oubliera parmi les amis de son monde, parmi ses égaux, qu'il y a de par le monde certain paysan arrogant, qui a osé repousser les avances qu'elle a daigné lui faire. Et, tout arrive SI son amour, qu'il est si fier d'avoir tué, renaît de ses cendres et le fait souffrir autant que là-bas. dans la nuit terrible il Kisfallu, ce sera tant mieux, car il l'aura bien mérité

Elle en arrivait à cette conclusion sans pitié, quand elle se trouva aux pieds de l'escalier d'honneur. Sa mère descendait. Elle avait fait cueillir d'autres verveines, avait vu parachever le chef-d'œuvre qu'était d'orrlinairo la décoration de sa table et commençait a s'inquiéter sérieusement de la disparition de sa fille. File respira en l'apercevant. Elle avait craint un coup de tête, quelque chose comme une fugue à Kisfallu, pendant le temps des réceptions. Son regard scruta le visage d'Ilonka, mais celle-ci était sur la défensive, et elle se jeta il. corps percln dans une série de propositfons concernant les « pnrtles promenades, pique-niques, danses on jeux, qui pourraient être organisés pour distraire les hOtes attendus.

Son pire avait oublié sa goutte, 1l était rie la meilleure humeur du monde. Anflras Hit

récoltes, en même temps qu'une somme Importante en bon argent sonnant. Tout le reste lni paraissait devoir s'arranger pour le mieux un jour ou l'autre.

IV

L'amour triomphant

Jamais encore Bidcskut n'avait reçu autant d'hôtes. Non seulement toutes les chambres, mais tous les communs avaient été utilisés et transformés en dortoirs. Les visiteurs avaient été poussas venir par une ardente curiosité, relative aux extraordinaires événements qui s'étaient passés chez leurs amis pendant ces deux années.

Les mères qui avaient des fils à marier, étaient soucieuses de savoir si le Souverain Pontife aurait quelques raisons valables de faire casser le mariage de cette étrange épouse qni n'avait vécu que quelques heures auprès de son mari. f.es hommes jeunes et vineux, qu^ avaient respecté la belle Ilonka jeune fille et près de la ruine, ne demandaient qu'à flirter avec la jeune abandonnée qu'on disait plus riche que jamais.

La comtesse Trma s'était préparée h toutes les questions. Elle savait que.sur leurs basses plaines, où toutes les familles sont plus ou moins apparentées les unps aux autres, l'indiscrétion n'est pas réputée crime et elle s'était armée en conséquence contre franches taquineries, dédaigneuses pitiés ou ironies plus ou moins déguisées.

fA SlllVTt.)

Enîi*pm«nt«. sur«u. permuttftoru. retraites. ses>7


tT NOS FILS t

ERiAMES lectrices m'ont écrit « Vous nous parlez de nos filles; mais nos fils, vous n'en dites rien. Nous aimerions vous lire parfois sur-ce sujet ». Bien volontiers, quoique je ne vole pas quel point aborder

.De l'éducation des garçons.

Ecnrtons d'abord la puériculture il qui l'on fait l'honneur de consacrer une nouvelle chaire de la Faculté de Médecine à Paris. Honneur mérité, car la culture du petit enfant est ce qu'il y a de plus précieux, surtout dans un pays de natalité raréfiée tomme le nôtre; l'art rationnel, scientifique, «e développer la vie de ces petits êtres ne «aurait être trop approfondi ni trop répandu. Mais je vous en ai parlé et vous en parlerai encore dans la rubrique soins et hygiène. Ce qui m'intéresse davantage, c'est la formation du caractère et des sentiments. Au risque de me répéter, je dirai ne tombons pas dans ce travers de croire que l'hygiène corporelle et la parfaite santé constituent un Idéal et que. par elles, nous obtiendrons, mathématiquement, des hommes d'esprit équilibré et de sentiments nobles. Il n'est pas rare de trouver des ames très belles et très fortes dans des corps chétifs, comme l'on rencontre des esprits bornés, des volontés lâches, et des cœurs sans amour dans des corps vigoureux.

L'adage Mens sana in corpore sano, à un corps sain correspond une âme saine n'est pas hélas, toujours vrai. Ce qui est vrai, c'est que l'ame et le corps doivent être tous les deux attentivement formés, suivis par une sollicitude toujours en éveil, une constante application. Ce qui est vrai, c'est que l'éducation de l'&me est infiniment plus importante que celle du corps, comme elle est infiniment plus difficile et plus absorbante.

Vous le dirai-je, chères lectrices T Vous reculez parfois devant ce grand œuvre qu'est l'éducation de vos fils. Vous n'osez pas vaincre leurs défauts naissants, sorrmander leur mollesse, leur égoïsme l'égoïsme masculln I vous paraissez admettre qne leur personnalité puisse s'épanouir iL sa guise, en débordant les limites que la morale Impose à leurs sœurs. Vous êtes faibles à l'égard de vos flls, et dès leur plus bas âge.

C'est donc votre faute si vos fils sont paresseux. Dans toutes les familles où il y a garçons et filles, il est très fréquent que celles-ci l'emportent, et de beaucoup, sur leurs frères pour la constance et les résultats de leur travail. Interrogez les professeurs qui enseignent aux élèves des deux sexes ou leur paient des examens, ils vous ditont que- les jeunes filles sont ,bien. plu» laborieuses que les jeunes gens. Pourquoi t

C'est votre faute encore, si vos fils ne savent pas résister aux appels des plaisirs et aux entraInements des sens. Y a-t-il deux mortes, une pour les hommes, l'autre pour les femmes T Les devoirs ne sont-ils pas les mêmes pour tous 7 Si le jeune homme jouit d'une plus grande liberté physique que la Jeune fille, sa liberté morale est limité par le devoir, par l'obligation. A qui la fauïlFs'il »'a pas appris, des son enfance, obéir à la loi intérieure du devoir, à sa conscience 7 C'est votre trute si, entré dans la vie sociale, ce citoyen, cet époux, ce père de famille montre une telle pusillanimité, une telle mollesse de caractère. S'agit-il d'affirmer ses convictions, il se dérobe il a peur du Café du Commerce, où il fréquente pour faire comme tout le monde: il est un mouton de Panurge, ou encore le lapin apeuré dont les narines mobiles ne cessent de chercher d'où vient le vent. S'agit-il de voter, il n'obéit pas à sa conscience, même si elle a pesé la néfaste influence du candidat pour qui les camarades l'entralnent il voter. Si, dans sa vie d'époux, survient la tentation, séduisante, insistante, ah que le siège de sa fidélité dure peu, qu'il rend vite les armes, pour peu que les circonstances soient propices 1 Les fautes de jeunesse ont laissé dans sa volonté des traces profondes par où passe de nouveau le torrent de la lâcheté. S'agit-il de faire aboutir des revendications corporatives on religieuses, de soutenir des droits. de maintenir des libertés, ne comptez pas sur lui. Ou du moins, n'y comptez que lorsque le mouvement commencé sera devenu tellement puissant que notre homme sera sûr d'être du côté du manche. S'agit-il enfin de donner l'exemple ses enfants, de réagir contre leurs défauts, que voulez-vous attendre rie ce père nui peut avoir tous les signes extérieurs de l'autorité mais dont l'intérieur a toujours été d'une désolante fniblesse il laissera faire, trop mou pour réagir et trop conscient de sa propre indignité,

Ce tableau est-il exagéré 7 Je ne le crois pas. L'homme, en général, n moins de volonté et de persévérance dans l'effort, de résignation et (le constance dans la douleur que la femme Il lui est tout à fait inférieur dans la discipline morale, bvidemnvnt. Il y a des exceptions, mais elles ne font cpio confirmer la rèele; c'est un fait bien nrquis que, dans la plupart des foyers. la direction morale est assumée par la femme.

Pourquoi relui qui, de par la nature et de par la loi, est le chef, est-il, si souvent, Incapable de remplir son rôle Parce que sa mère, trop faible, bien qu'elle ait eu la leçon du père, n'a pas su prendre en main, énergiquement, In formation de In volonté chez son fils. Il fallait s'y prenrire tout de suite, i.u berceau, ne pas céder à ses râpes, il. ses larmès habiles. Il fallait réprimer sa sensualité naissante, qui début8 par la gourmandise et lui donner une nourriture saine mais exemnte de recherche de sucreries inutiles. Il fallait l'habituer !le coucher et à se lever il heure fixe: il obéir nu doigt et il l'œil; il souffrir, sana se plaindre, le froid et le chaud: n s'oublier pour le, autres. Il fallait lui montrer, dans le travail de l'école, «on devoir d'état, et ne rien lui passer sur ce point; car, lorsque ce devoir d'état se multipliera, se compliquera, comment le rempllra-t-il. s'il n'a appris à bien l'accomplir sous la forme, très simple et très claire, de la vie d'écolier i Il fallait mettre dans son Ame de profondes impressions religieuses, prier avec lui pour lui montrer comme on âme, et lui inculquer le sentiment de la pré- •enct de Dieu. n fallait.

CHAPEAUX DE DEMI-SAISON

Nouvelle saison, nouveaux chapeaux, mais heureusement la vogue est encore aux petites, toutes petites formes, et il suffira d'un peu d'adresse pour adapter a la mode nouvelle les formes de nos chapeaux d'hiver. les tissus de soie, remplaceront le velours et la panne le feutre, admis toutes les saisons, est particulièrement aimé à cette -époque de l'année car il ne craint- pas les temps incertains et il arrête fort bien les premiers

rayons du soleil, un peu moins timides. Les calottes sont toujours hautes la forme carrée

semble un

peu abandonnée pour la forme ronde les bords sont relevés devant, sur le côté, ou derrière les garnitures de

poufs de plumes placées à droites, les coques de rubans, les

noeuds plats à plusieurs boucles sont tr£« pn fn.

veur, et, note nouvelle, un discret ruban d'or ou d'argent, selon la teinte du chapeau, devra entourer la calotte à l'endroit où. le bord la rejoint.

Notre modèle 1 conserve encore la calotte carrée, mais une calotte modifiée et très nouvelle avec ses angles arrondis et son sommet légèrement en pointe le bord du chapeau, devant, protège les yeux, et derrière, dégage, la nuque par un joli mouvement de relevé. Ce petit chapeau serait fort original et assez habillé, exécuté en gros grain noir, et garni de rubans de trois teintes qui s'harmonisent: violine, vert et or par exemple. Il serait ravissant aussi en feutre parme. garni tout simnlement

sur le coté droit d'un

gros bouquet de violettes de Parme

dont une partie viendrait s'attacher

sous le bord du chapeau, car ces fletfrs placées près du visage

sont extrê-

moment

seyantes.

Enfin, tendu de crêpe de chine bleu

marine. et

garni de faille de même teinte délicatement ourlée de blanc, il serait jeune et gracieux.

Calotte hau-

te et arrondie, bords relevés et roulés tout au-

tour sauf droite où ils s'abaissent, tel est notre modèle 2 qui peut être exécuté en feutre Suède, par exemple, garni à droite de trois poufs de même gamme mais plus clairs que le chapeau. Ce chapeau peut être aussi bien réalisé en satin noir tendu sur une forme qui serait alors en sparterie raide. Il sera Rarni d'aigrettes blnnches montées en deux ailes disposées devant sur la calotte; on aura ainsi un chapeau fort habillé et cependant facile à mettre.

Il ne faut pas oublier de signaler un mouvement original et joli qu'adoptent beaucoup de calottes et en particulier les calottes de feutre. On forme au sommet une sorte de pince .un peu semblable à celle des chapeaux mous des jeunes gens; un nœud surmonte souvent cette cassure et de la partent une série de coques de ruban, coques plates qui descendent tout le long de la calotte pour se terminer seulement au bord du chapeau.

Ne croyez pas. cneres lectrices que ces quelques idées vont vous entraîner il de grandes dépenses; regardez bien vos petits feutres de cet hiver, regardiez bien les formes de vos chapeaux et vous trouverez. j'en suis sûre, facilement moyen de les rendre très mode à l'aide d'un nœud bien placé, d'un coup de pouce savamment donné, ou d'un gai bouquet de fleurs.

Annie.

ENTRE NOUS. Le Savon dos Prélats nettoie la main sans l'irriter, la Pâte des Prélats la blanchit. la Poudre des Prélats lui donne un velouté idéal (PARFUMERIE EXOTIQUE, 2îi, rue du 4-Septembre, PARIS). Pour avoir un joli décolleté, usez du Véritable Lait de Ninon composé en quatre teintes uar la PARFUMERIE NINON, 31, Rue du 4-Septembre. Mais Je n'en finirais pas d'énumérer les actes, les précautions. les observations Il quoi est astreinte chaque jour pour l'éducation de son flie, une mère qui veut être une éducatrice. On a coutume de dire que les filles s'élèvent toutes seules, ce qui est faux; on a voulu marquer ainsi que l'éducation des garçons est plus difficile. C'est vrai Alais il est temps de s'v mettre et de se ranpeler que la crise actuelle de l'éducatlon de vos fila est. chères lectrkes, dans le manque de volonté.

ANMI.

LE LIVRE

G. Usant Monsieur de Cliarelte. Ce nouvel ouvrage tte M. Lenôtre 8 toutes les Qualités des précédents. C'est de l'histoire, c'est-à-dire que tout le iécit repose sur des documents !>oi£ucusement triés et étudiés. Mais c'est aussi du drame, vivant et passionnant. L'auteur a un admirable

talent de narrateur il ressus' cite non seulement le cadre Ou passé, mais les personnage: eux-mêmes; Ils vivent sous nos yeux, et on s'arrache avec Peine de ce récit palpitant, plus captivant qu'aucun roman. Sans porter atteinte la vateur de cette collection figures du passé qui groupe des écrivains tels que Louis Bartliou, Louis MaUelin, Louis Batiffol. Arthur Chuquet. je me permets de dire que le chef-

d'œuvre consacré au « Hol de par M. Lenotre ne sera pas surpassé.

L. Rourïdd Les Enfants de CaXn, collection des Cahiers Verts. -Poignant récit d'une enquête faite dans les maisons de correction qui n'en ont, hélas I que le nom Eysses. Aniane, Belle-Ile Clermont, noullens. u. Roubaud est le Dante apitoyé éloquent, profondément émouvant, de ces enfers où. pêle-mêle, la jeunesse oui expie ses fautes et celle qui expie les fautes de ses parents passe dans le désespoir et dans les pires promiscuités de longues années qui paraissent si courtes à vos heureux enfants. Malgre le savoir-faire et l'bumanité des directeurs et des directrices, les services de l'Ad-mi-nis-tra-tlon sont au-dessous de leur tache si délicate, et incapables des discernements qui s'imposent. Parents, qui êtes du côté des Abel ayez pitié des Enfants de Caïn Lisez le navrant et si coloréllvre deM. Roubaud. C'est un devoir de Justice et de charité que de vous instruire de ces faits lamentables pour les faire réformer. André Maubois Dialogues sur le Commandement, En trois dialogues entre Monsieur R. professeur de philosophie dans un Lycée de Paris et le lieutenant C. du 70 dragons, chef de poste de Bou-Salah (Moyeu Atlas) M. André Maurois, avec une verve endiablée et une logique impressionnante, appuyée sur une multitude de faits, d'anecdotes, Illustrée d'exemples tropiques et pour la plupart Inédits .expose que le commandement, pour être bien c»5rcé, exige, outre la science tactique, des qualltés naturelles de premier ordre, sang-froid, souplesse d'intelligence, volonté de fer. esprit pratique, tmagination hardie, en un mot, des hommes qui soient exceptionnellement doués, qui sont chefs, des pieds ü la tête. Réflexions profondes et piquantes, psychologie très nuancée des grands généraux du passé et du présent, style clair, précis, original, très personnel voilà quelmies qualités qnl suffisent d recommander le petit livre d'André Maurois il est encore meilleur qun ses prfcédents si goûtée Les silences dit colonel Bramtle. Les ddscours du Decteur 0'Gravu.

LA CORBEILLE

Cloche d fruitt. Cette cloche, d'exécution très slmple, ralliera tous les suffrages car elle est Il la fois très pratique et tort décorative. il faut pour- la faire, tendre de tulle blanc, bis ou citron, par

exemple, une carcasse d'abatJour électrique en laiton sur cette véritable cloche qui emdamée les guêpes île taire leurs! ravages sur nos fruits, dlspo- sons pour la rendre élégante plusieurs motifs, de toile de Jouy ou de cretonne, découpés et fixés au tulle par un point

coulissé Invisible. Les teintes des motifs devront bien entendu s'harmoniser avec la couleur du tulle. Cette cloche, placée dans la journée sur une coupe de fruits fera un ravissant milieu de table; et nous ne serons plus ainsi forcés d'enfermer dans un placard nes fruits auxquels ce traitement réussissait fort mal, ou bien encore de les cacher sous ces vilains treillis de métal qui mettalent si mal en valeur leurs jolies couleurs et les rendaient bien moins appétissants.

LES RECETTES

Vinaigre de fin. Pour faire du bon vinaigre, mettre dans un baril un litre de vinaigre bouillant et secouer pour bien humecter les parois. Fermer le baril 2a Heures

après, ajouter la lie d'une barrfque de vin, et SO gr, de tartre de vin en poudre, baisser fermenter smis boucher le baril. Au bout de 10 jours ajouter du vin. On peut consonuner le vinaigre ainsi obtenu au bout de 25 jours. Pour l'entretenir Il suffit d'v verser du vin à mesure Qu'on tire du vlnal –J.

Pain de homard en concerne. Ouvrir la bo?;e de homard, verser son contenu dans une passoire, faire conler sur le homard de l'eau bouillante et laisser bien égoutter retirer les arêtes et les parties dures, hacher lo polisson.

Faire une sauce béchamel, y mettre la poisson, ajouter 2 oeufs bien battus et mélanger le tout, beurrer un moule, verser le mêfenge dans co moule, faire cuire pendant une 1/2 heure au bain. marie et 90 minutes dans le four. Retirer et ne démouler qu'au bout de quelques minutes. Servir avec une sauce tomate.

LE JARDINAGE

les jardins. Ses feuilles sont grandes, plusieurs

un grand nombre d'élégantes fleurs blanches, roses ou rouges, simples ou doubles, selon les variétés qui sont aSseï: nombreuses. La floraison est de longue durée elle commence en août et se termine en octobre avec la venue des premières gelées.

faitementvivace et rustique et fait excellente figure dans les plates-bandes, les corbeilles, ou Isolée par petites colonies de quatre ou cinq exemplaires sur les pelou2es. Partout elle produit le meilleur effet.

Sa culture est des plus simples Elle vit en toute terre et à toute exposition, mais préfère un roi léger bien terreauté et une situation nil-onibragée.

La multiplication de l'Anémone du Japon se fait avec la plus grande faclilté par la séparation des nombreux hourgeons qui se produisent autour de In tige primitive. Il est préférable de prntiauer cette opération au printemps plutôt qu'6 l'automne.

L'ENTRETIEN

Nettoyage des objets en btseutt. Pour nettoyer parfaitement les objets en biscuit, sans risquer de les abîmer, les taire séjourner pendant 8 heures

environ dans une ean do sa.von blfn battue. Les retirer et les mettre alors dans de l'eau tiède pour les rincer. Les faire Mener à l'air couverts d'un pnolcr de sole. Ils seront ainsi inrfaltement propres car l'eau ,le savon aura nu pécftrer dans les moindres Interstices.

Pour conserver aux amfs dura leur aspect nnpétlssimt.

Lorsque vous faites durcir de» oeufs pour les dresser autour d'un plat ou sur une salade verte, n'oulillez :pas. aussitôt après les avoir fait cuire, de les laisser reposer dans l'eau froide. De cette façon, une fois 1\ l'air, le jaune n. noircit pns Votre plat sera beaucoup -nlus Joli ce qui, croyezmol. le fera »»r»ttr« meilleur.

TENIAS (II)

Traftement. Il y a plusieurs traitements employés. On peut se débarrasser, le plus souvent, des ténias par un purgatif Il faut s'alimenter eégèrement et on doit prendre de l'huile de ricin au moment de se coucher ou de grand matin. Avant midi, on prend nne dose d'extrait de fougère maie et quelques heures après, un purgatif.

On emploie encore quelquefois les graines de courge ou de potiron débarrassées de leur première enveloppe mais seulement pour le ténia' inerme. 60 grammes pendant huit jours au moins. Mais ceci ne donne pas toujours de bons résultats.

On ordonne aussi de l'écorce de grenadier ou une substance qu'on en retire, la pelietiérine mais comme ce produit peut être toxique pour certains organismes, il devra être dosé par le médecin. F.n tous cas, lorsque ce remède sera ordonné, le malade devra se tenir allongé pendant une demi-heure au moins après l'avoir pris, pour éviter les vertiges qu'il occasionne.

Si le ver ne vient pas en pelote. tl ne faut pas le tirer, mais se mettre sur un vase rempli d'eau tiède jusqu'à ce qu'il soit sorti entièrement et il faudra s'assurer que la tête a été rejetée, sinon il faudra recommencer le traitement au bout de quelques mois Pour appliquer le traitement, il faut toujours attendre le moment où l'on trouve des anneaux dans les selles.

Le bothriocéphale est encore une sorte de -ténia qu'on rencontre rarement. Son nom vient de ce qu'il porte sur la tête deux petites fossettes latérales sans ventouses ni crochets. I Il est transmis par la chair de certains poissons (principalement le brochet, la lotte, la truite) lorsqu'elle est insuffisamment cuite, et on le trouve plus fréquemment sur les bords de la Baltique et du lac de Genève.' On le traite par la même médication que les autres ténias et avec les graines de courge.

Ascarides lombbicoides. Ils se rencontrent surtout chez les enfants et les sujets jeunes habitant des maisons malsaines, humides, ou ayant une mauvaise alimentation. Ils paraissent transmis par les végétaux, salades, fraises, etc., consommés crus. Les eaux malpropres et surtout les eaux des puits situés dans le voisinage des fosses d'aisances, peuvent les transmettrc.

Ces vers ressemblent légèrement au ver de terre. Ils ont de 16 Ù. Si centimètres de long, sont rosés, cylindriques et leurs extrémités sont effilées. On les trouve dans l'intestin grêle, mais pénètrent de temps en temps dans l'estomac d'où ils sont vomis. Ils peuvent

même arriver dans les bronches et provoquer l'asphyxie. Le plus souvent ils sont rejetés par l'anus. On peut n'avoir qu'un ver, mais on en -trouve parfois qyauinte. et cinquante. Le ver de terre est plus rouge, moins effilé et a des plis sur ses côtés.

Symptômes. On peut observer des nausées, une mauvaise haleine, un appétit lrrégulter, de la diarrhée, et, surtout chez les enfants, de l'agitation pendant la nuit et des convulsions.

Traitement, On donne (rarement aux enfants) une dose de santonine sur une tartine, trois, ou quatre jours de suite le matin, puis une purgation au calomel. On dit que l'ail agit quelquefois pour l'expulsion de ces vers. (Pour les enfants, il est préférable de recourir au médecin).

TRAVAUX DE LAINE

Toute temme élégante et économe désirant exécuter a peu de frais ses robes et blouses, recevra l'un de nos albums illustrés: N* l, Travaux de laine Frs 5.50 NI S. Blouses, Frs a.50 N# 3. Vêtements tricotés, Frs 3.30; >'̃ i. Vêtements de sport, Frs 3.50; N» Point de croix. Frs iM: N' 6. Tapls, Frs 4.50; >'• 7, Tapis Smyrne. Frs 10. i.es sent, Frs 35. contre mandat adresse a CI.AFAR. 16. boulevard Mail/martre, Paris (s1), et n'utilisera que les laines du BON PASTEUR et de SAINT-EPIN P. F. N. Ce sont les plus fines et les plus économiques.

BONS MOTS

Une femme de la halle assistait, 1\ l'Opéra, a une renréscntatlon gratuite. Entendant un chœur, elle s'écria « Voyez-vous, les canailles Parce que c'est une représentation pour le pauvre réunie, ils chantent tous ensemble pour avoir plus tôt fini 1

Bob entre a l'enlisé avec son chapeau sur la tête. Sa mère lui dit < Bob, pourquoi ne te découvres-tu nits ? » « Petite mère, cnrnme j'ai un chapeau neuf, c'est pour le faire voir.

A table 'Monsieur, à la bonne Mélanie, la sauce est trop épaisse.

Huit jours anrès, Mélnnie sert une sauce en eepliquant qu'elle est moins épaisse ti. Monsieur se met à rire. Mélanip vexée s'écrie « Comment 1 Monsieur m'a dit la dernière fois que ma sauce était trop « oépaissc Eh bien, aujourd'hui je l'ai faite moins pépaisse

MOTS HISTORIQUES

Le 31 mai 1830, le duc d'Orléans donnait au Palais Royal, une fête au roi do Naples. Monseigneur, dit M. de Salvaruly, ceci est une fète toute napolitaine nous dansons sur tin volcan. <

Le matin du 15 iuillot 1789. Louis XVI se rendlt l'Assemblée constituante. Mirabeau monta il la tribune et dit

« Qu'un morne respect soit le premier ac• cueil fait au monarque, dans ce moment de douleur. Le silence des peuples est la leçon dcs rois. »

EN VOYAGE

Guy se penche il la portière malgré les admonestations do son père.

Subitement, le chapeau du Qarçonnet disparait (le papa l'avait caché derrière lui). Voilà, tu es puni, ton chapeau s'est en. volé 1

L'enfant fond en larmrs.

Attends, dit le pire, je vais siffler et ton chaneau reviendra.

Effectivement, le père siffle et l'enfant ren. tre en possession de ion chapeau,.

Ravissement du bambin qui. en moins de temps qu'il n'en tant pcur l'écrire, rejette son chapeau par la portière en s'écrlan,i Petit père, siffle encore 1

UlToiMlclIe Mayennaise. si les pdrcnts dit jeune homme il vos parents se sont mis d'accord et acceptent rotre prochain mariage, vous etei des fiancée et vous n'are. qu'à présenter votre futur, mar rj,:nmc « fiancé » ta cérémonte des flan(ailles i,c lrra nu? consolider le lien qui roui lin il a l'UKlrc. puisque, déjà, vos paroles sont échanaées. Meilleurs vaux de* bonheur et bonnes pensées.

Yvonne aimant LouiS son petit nfarln. Au. sujet de lu jeune fille dont vous me parle:, le ne puis toits répondre car U vt'cst Impossible de trahir l'incognito de quelqu'un iiul s'est confie Il mol, le comprendrei aisément. Je. rire rendi bien compte de voire pcine, petite amie. Il est si dur, à votre dge. et d tout fige. du reste, de n'avoir plus sa maman. Pour ce jeune homme, soyez prttdente, et surtout patient attendez la fin dit service militaire, vous verrez alors d lui rappeler sa promesse peut-lire d unc permission Pourriezvous obtenir de lui qu'il aille trouver votre- père. Ayez confiance et priez, prie. beaurvin pour lut et pour vous deux. Ecrirez-moi quand vous te t'OUdrez et surtout bon courage.

Confiante en Annie. Ouelle idée de vouloir sa /aire maitrrir 1'otre poids, st vous ete.t grande, commc vous me le dites, n'cst pas ,/Il tout exagéré. .Si vous mesurez entre t m. 50 et i m. 55 votre poids est tout d fait not'mat. Surfout ne supprimez rien dit tout dans votre nourriture a votre fige il faut bien manger rar In croissance est loin d'être terminée et vovs pwtrrlez, en vous privant, devenir très gravement malnde. Si vous tenez absolument Il maigrir, faites de la gumnattiaue, de la marche en plein air, dit sport si vous le poilve et surtout respire.: bien • Plusieurs fois par jnur. failet îles mo'iremrnt* respiratoires protongés pendant 5 minutes on 10 fn vous élevant sur la pointe des pieds Il l'inspiration ('nI la le plus sir et le meilleur moyen de maigrir et de bien le porter Il la fois.

Fée Vlvi.iiîi». Merci de voire gentille tettrt et dc la confiance que vous me témoignez, j'tn suis très touchée. Je crois bien nous comprendre, en effet. petite amie, et vous savez très bien et très franchement dire ce que mus pensez. Puisque rotu vous connaissez st bien, pourqttal ne Pas essayer de modifier ce caractère qui, un peu dompté, serait très bon il tout prendre, car jC-ious devine beaucoup de cœur et nous ne me parlez que de vos défauts, qui sont accompagnés de beaucoup de aualllis aussi, 1'en suis sHre. C'est très bien d'aimer le sport mais. j'al <W1 dit rr que le pense lit-dessus Il Il faut le pratiquer avec modération et bien éritrr surtout d partir rie 17 ou 18 ans l'allure tin peu tron larron. chère souvent aux jeunes filles qui sonf sportives d'une, manière exaqiréc. Pour votre pmu. essayez de la larer arec dt l'eau tiède agrémentée de citron, ou btrtt, sI, ce traitement 1" réustlt pas. supprime. l'eau pour les soins dit visage et emplovr: de la vaseline bien pure que vous étendrez sur toute votre figure et que rouf essuierez eiisuite arec nn chiffon fil' peu imblM d'eau. Surtout n'abuses ̃nas de 1a poudre, c'rst très bien d'arolr fait un effort dans ce sens. Je connais votre pat/s et l'aime bravroup. mois ne suis pas de celtes que vous croyez. Bonnes pensées.

Msryvonn». Pourquoi tonte cette tristesse et ce découragement. A votre dae on n'a pu le droit dt désespérer ainsi de in vie- qui s'o'nrre devant. t<t>us. st longue et si pleine de. belles et bannes choses faire. Tout d'abord, il faudrait soigner ta santé physique et vous renie; s'enfuir les papillons noirs et puis il fendrait faire l'effort de ne pas trop rêver, et de ne pas lire tron de livras romrr"1 ceux de CoN. qui. quotaim fort beaur, laissent Vdme la mieux trempée enitnlorle et incapable de prendre noiU. il l'action, de longtemps. Usez plultil dit Plef.is. Pelletier Dols>i: Car je suis bien sûre ou'en cherchant bien autour de rous vous trouveriez un but. un v\auen de vous rentre utile matériellement mt moralement. Art snlet dv. votre désir d'écrire, quelde ros vers et 1r vais réfléchir. Bon couraqe et confiance surtout.

resson S. B. Pourquoi vouloir teindrs. les eheveux blancs si doux et si seyants nu Si vraiment la chose vous paraît nécessaire le mieux serait de nous ndresser d un bon coiffeur rt de lui demander d'employer du Henné. 1 condition Ou'il ne sflt mélanqC <>. nucun nuire mauvais prnduit chimique. Poi.'r le chapeau, te prendre de. vreférenc* noir, tête de ntqrc oir gri* très foncé, le noir )•? nrrrnit caendant enrore. la meilleure teinte, choisir une forme simple se rapprochant de 1a Tpnde. mais sang ai'cnne exagération.

tne Carantecoise, réponse à huitaine. le m'occupe de vous.

Notre-nnma de Lor-ï raria Prière m'envover notre adresse j'aurais peut-être quelques chose pour tous.

A toutes les mnl/ides. Je reçois d'une rorrr.s.pondante des détails précieux sur la Savoie et *tir les rurrs merveilleuses qu'y peuvent faire toutes celles de vous atteintes peu nu beaucoup aus J»«hio/is. Tout d'abord la vie, hl-but, en altitude tudessus (te gno mitrm est relativement bon marché et l'on trouve facilement des logements meublés petits ou grands et des hOtels abordables. La cure consiste en longues stations de chaise longue (immobilité' absolue), fendre ouverte, {nuit et jou. ou froid, le corps très couvert mais pas de feit dans la pièce. Pns de cure Ae soleil, sauf avis du docteur nlla là-bas, de préférence l'hiver. car l'air ser et froid est le meilleur médecin ne pas attendre d'ftre très souffrante pnnr partir et rnv. toir fermement guérir, avoir patience, et ténacité', car l'énergie est, elle aussi, un des grands facteurs de la guêrison.

K. R.: rénome 1 huitaine.

Petite Bretonne. Pour les rhemins de fer de: l'Etal, il faut vous renseigner A la gare Ae Rennes. le suppose nu'it (lait Il avoir un concours en lté. juin ait juillet, comportant dictée, arithmétique Pt dactylographie. Je n'ai pas le programme la gare de Rrnnes rôtis fournira tous renseignements. Kcrirr. it M. le chef de gare des chemins de fer de l'Etal. Mime chose pour les P. T. T. il faut se présenter d un concours, les demandes d'admission au concours liqjvevt ft>e aie minis.tre des P. T. T. En résumé, novr l'un et Vautre poste, il faut écrire d 1a Direction des services eomnélents, d Tiennes- }t. le chef de qare. po»if les chemins nr /er il. le directeur des P. T. T.. pour les postes.

AnnI*. Je remercie ma charmante homonyme, de 4 ans,, qu' m'écrit ptr le truchement de sa maman je les remercie toutes dmx dca vaux nv'ellcs font tw>«r mol et je tes leur relournr, ninsi mi'ti gvnniJ'mère. f)uel towhcnt tableau aun retut des trois f^nératlorts penchées, le *endi, sur in nnqc de vn.-K. Pour 'es sêioins 1 Menton, le mieux serait d'écrire ,i }.r. le curé que le, ronrais Pt qui répondra tris nrneieusement je suit ov'U Il a des n-nsions pnur dames, tenues nar des religieuses Il y en a (gaiement il rnvnes. Sertrcr-TOt exactement 1" somme nirotfiftran< nu'on voudrait mettre. Pour les vélerinaars nome, s'adresser d Mgr rance], hasiliave dr Montmartre. Tiff^f 1 t'OJ rmles de garder I'imic son rnstumr breton, vour a"er Pw. Vavtre ses cheveux l»In»i"Mss"»f<- il ne fntit pas violenter Jt nature. Oui. ihnll* r*» ricin est tionnc pmir tet rhet<cur et les smireih. v're amie At>n<* n'ira nas d nome en pé'erinnge elle if est allée seule pour pouvoir v travailler nie envole Il la petite Annie ses sentiments affectueux.

Jeune é.oouse. Toute éruption Il vne cause interne. Il faut donc demander d un médecin de donner ttn régime pour soigner soit l'estomac, saft le fnie. soit les reins, soit l'Intestin. Même, chose pour les verrues trs médecins les cautérisent. Je ne. suis pot médecin ronsnltez-en un également AbneU »<çu votre lettre du H. Mertt,


Feuilleton de l'Uuest-Eclair

du 12 février 1925 2î

NICOLE MARIEE Par Mathilde ALANIC

XVII

Rémy, suvenant, entend la bqutade sans y rien comprendre, avec le sentiment confus que cette allusion lui est dédiée et ne présente point un sens flatteur. Le fait que l'entretien change de sujet aussitôt son arrivée, comme d'un accord tacite entre les interlocuteurs, renforce encore cette impression dé- plaisante, peu propre à apaiser la nervosité qui domine l'officier depuis plusieurs jours. La note acerbe que Nicole laisse percer dans sa. voix et dans son rire, trop fréquent et trop haut, le regard, filtré entre les cils, dont elle épie les allées et venues ('• --in mari, exaspèrent sourdement le capitaine. Comment n'est-elle pas encore convaincue, puisqu'elle l'observe si nttentivmnTit ? A »1iv.?rses reprises, elle a dû juger de sa parfaite correction en présence de Mlle Parolv, qu'il n'évite pas plus qu'il De la rrrnprrhp.

Fort du témoignace de sa bonne conscience Rémy ne réflécit pns qnA ripn ne ressemble mieux à un coupniili» qu't:n innocent. Un juge d'instruction expert et une femme anxieuse ne se fient pns plus l'un qwr l'nutre, aux seules apparences trop impeccables peut-être pour n'être pas simulées.

Le groue de la Charité, déflritivement agencé et réelé, vient de quitter la pose. Mme Le Sénéchal et les enfants sortent du petit salon dans le hnll. escortés de Mme BenoltetMazuron, qui. comme une grosse mouche bleue, bourdonne à tout venant son allégresse.

Délicieux 1 Vous verrez ce soir Le tableau inaugurera la représentation, afin de permettre aux petites de, se coucher de bonne heure Virole y a tenu rigoureusement.

Elle songe à tout Une petite femme accomplie t Presque trop appliquée à ses devoirs maternels, puisqu'ils la retiennent souvent loin de nous 1 Mais quel brio dès qu'elle se lance un peu 1. continue sur tous les tons louangeurs l'excellente coloneLle. Ma chère, ajoute-t-elle en bourrant de gâteaux la bande d'enfants, je n'en démords pas vous jouerez la comédie chez moi, à la prochaine occasion.

Nicole sursaute, effarée, au risque de laisser tomber sa tasse de thé.

Oh 1 madame, n'exigez jamais cela de grâce 1 C'est déjà trop me mettre à l'épreuve que de m'exposer en public, mot et mes bambins, alors que je n'ai jamais pu voir se braquer, sans terreur, l'objectif d'un photographe I Mais ouvrir la bouche devant uri tas de gens qui attendent vos paroles, le cou tendu, et dont les yeux vous percent à jour Eparpnez-moi ce cauchemar 1.

Il suffirait d'un peu d'entraînement. Je suis sûre que vous diriez très bien 1 Oh 1 yes, très bien 1 am sure renchérit miss Turnwood, qui se pique de littérature. Vous avez cité, tantôt, des vers si spiritualisés de votre La Fontaine 1 J'ai remarqué

La jeune femme, à ce moment, aperçoit Magda, mêlée au groupe et qui la dévisage d'un regard malveillant. Nicole, tranquillement, se tourne vers miss Turnwood et lui sourit avec complaisance.

C'est vrai I Il s'agissait du Héron que je fais répéter actuellement à Colinette. Mais si je devais jamais, pour mes péchés, réciter quelque chose je choisirais plutôt la table suivante. qui comporte même moralité, mais qui n'est pas à l'usage des petites filles.

Et un toast en main, de sa voix claire, elle commence sur un ton familier

Certaine fllle un peu trop fière.

Prétendait trouver un mari.

Vous la connaissez, miss Turnwood N'est-ce pns un amusant petit roman ? Et

d'une vérité éternelle Qui n'a rencontré de 'ces filles orgueilleuses. dont les déceptions prêtent à rire, et qui, après avoir poursuivi la prince. ou le millionnaire charmant. se trouvent souvent tout aises.

De rencontrer un malotru. t

Nicole, sirotant son thé à petits coups pour espacer ses malices, dirige, à son tour, les yeux vers Mlle Paroly. Celle-ci, indolemment, s'éloigne. Mais la flèche n'a pas dû manquer la cible.

Oh 1 très drôle approuve miss Turnwood, griffonnant sur son bloc-notes le titre de la fable. Je lirai cela.

Une main effleure Mme Le Sénéchal à l'épaule, Mme Duplessis, un peu essoufflée, attire rapidement son amie à l'écart J'ai te remettre quelque chose. Je viens de rencontrer Héloïse qui t'apportait ce papier bleu.

Nicole, vivement, ouvre le télégramme à son adresse, rougit, pâlit. Sa poitrine palpite, violemment, comme à la brusque montée d'un sanglot.

Pas de mauvaise nouvelle, j'espère fait Cécile, avec une affectueuse inquiétude. Non 1 une grande Joie 1 la plus grande que je pouvais espérer répond Nicole d'une voix entrecoupée, Kermeur arrive demain Tout le factice de l'ambiance s'évanouit. 11 lui semble sentir soudain le souffle large et pur des cimes, rafraîchissant son âme tourmentée, en ravivant les meilleures aspirations et- les énergies les plus saines. Kermeur arrive demain.

Je me doutais bien que cette dépèche venait de lui 1 dit Cécile. Et je me réjouis avec toi 1

XVIII

Le grand salon qui, au premier étage de l'hôtel Régina, ouvre trois larges baies sur le balcon, est rempli au comble. Les pensionnaires, qui se sont entichées de l'idée, sont parvenues à amener à leur soirée le ban et l'arrière-ban de leurs connaissances. Mme

Denoltet-Mazuron, une fois de plus, peut se proclamer avec orgueil organisatrice de la victoir La recette des entrées atteint déjà un iiïre respectable. Les programmes s'enlèvent. Miss Robbins et miss Turnwood s'attendrtMCnt en songeant à la manne copieuse qui tombera chez leur accidenté ». Les ampoules, dessinant les voussures dorées du plafond, versent une lumière éblouissante.sur la confusion bigarrée des têtes empanachées ou fleuries, des épaules nues, des scintillements de pierreries et d'oeillades. Soudain ce chatoiement plonge dans l'ombre. L'électricité s'éteint.

Le piano fait entendre un Andante de Bach, aux accents religieux, tandis que les paravents, masquant l'estrade au fond du salon, se replient. Le jet d'une lampe incandescente illumine le tableau vivant, salué d'une rumeur sattsfaite

Oh très gracieux I

Delightful 1

Sur la draperie foncée, le groupe allégorique se détache en clair de la façon la plus heureuse. Réellement, c'est une vision fraîche et radieuse, cette jeune femme entourée d'enfants I Une vision qu'on se plaira évoquer, quand l'esprit las et rebuté cherche des réminiscences reposantes. Nicole, le front ceint d'un léger bandeau blanc, enserrant d'un geste maternel les.frêles créatures qui se blottissent dans son giron, contre ses genoux, entre Jes plis de son ample manteau, personnifie à merveille la Charité non pas la Philanthropie compassée et méthodique mais la Bonté vibrante et généreuse. L'embarras pudique qu'elle éprouve à. se sentir le point de mire de toute la salle, met sur son visage une gravité pensive qui rend son sourire plus touchant, et ajoute à la force expressive du symbole. A côté de sa mère, Colinette. ses longs cheveux tomhant en coulée d'or sur ses mi- gnonnes épaules, se penche pour mettre une obole dans le chapeau d'un* miséreux, assis à terre, et dont les guenilles, la face ravagée, forment un repoussoir pittoresque à la grâce

aimable du groupe principal.

Les spectateurs échangent leurs impressions

Un Printemps assailli par l'essaim des, Amours, aussi bien qu'une Charité L.. Oui, un sujet de Bouguereau t Mais un minois à la Fragonard 1 Elle est exqaise, cette petite femme-là 1 Qui est-ce T Je ne sais trop. Mais une Française, assurément

Son mari est officier. je crois. Et il y, a au moins trois de ces enfants qui lui appartiennent

Bah Etonnant Elle est fine comme un Clodion

Le mari de l'exquise petite temme debout dans une embrasure, près du siège de M. Mauréan, considère la scène, avec tout le monde. Bizarre phénomène La figure, pourtant si familière à ses yeux, lui apparalt. ce soir, transformée, ennoblie par un mystérieux prestige. Ce n'est plus tout à fait la petite Nicole de chaque jour, cette femme immobile, recueillie, qui semble rayonner de la lumière, irradiation peut-être du foyer d'amour et d'enthousiasme qui brûle en son cœur profond. La métamorphose frappe Rémy d'un étonnement et d'une sorte d'inquiétude absolument indéfinissables.

Les réflexions entendues alentour lui causent un médiocre plaisir. Il lui plaît fort peu que son voisin do gauche ce blanc-bec i monocle et son voisin de droite ce gros banquier A bouche lippue apprécient Nicole comme Ils le feraient (l'une peinture ou d'un bibelot de prix. Passe encore si sa femme obtenait ce succès dans un salon ami, au milieu des camarades du régiment Mais n'est-il pas choquant de la voir explosée à ces badauds plus ou moins équivoques, snobs et bécasses de toutes les latitudes, panachés. sans aucun doute, de métèques et d'aventuriers T

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BOURSE DE PARIS

PUUs, il février. ilien que dépourvu d'anima- tion, le marche fait preuve aujourd nui de meilleures dispositions. Non beuleuienl la baisse qui avait été enregistrée eu Bourse «Tliler sur prosque tous les groupes ne s'accentue pas, mais on constate une certaine amélioration sur de nombreuses valeurs. Après les rachats des vendeurs à découvert, lesquels s'effectuent dans la Première partie de la seance, les affaires deviennent presque nulles en clôture. mais la tendance reste néanmoins soutenue.

Le marché des changea demeure à peu près sur ses positions d'hier. Les valeurs d'arbitrage qui en dépendent bénéficient d'un certain courant d'affaires favorfse par les demandes de l'étranger. Il faut signaler li bonne tenue des rentes françaises et la fermeté des fonds d'Etat russes qui regagnent quelque terrain après la dépression de ces derniers jours.

Le compartiment bancaire fait meilleure contenance la Banque de l'Union regagne le cours i 89* contre 880 et le Crédit Lyonnais se présente 1.511 contre 1.494.

Nos grandes Compagnies de chemin de fer sont toujours délaissées et leurs cours continuent à s'effriter.

Penarroya et Rio terminent en meilleure tendance à 1.734 et 3.8o5 respectivement. Les autres raieurs de mines métalliques sont irrégulières en raison de la lourdeur du prix de la matière sur le marché anglais.

Meilleures dispositions des valeurs sucrlères. surtout de la Raffinerie Say qui s'élève à 1.919 contre 1 89î Les valeurs pétrolières sont de leur côté très résistantes, la Royal Dutch se matntenant a 3t.400 et la Shel1 fl *20. Pétroles galllclens et roumains plus soutenus.

Le groupe sud africain fait preuve des mcllleu1es dispositions et la De Beers termine à 1.0» après 1104 Les mines d ot reproduisent à peu de chose près leurs cours précédents.

En dépit de la légère détente des changes survenue en dernière heure, le marché clôture généralement soutenu, ^nmqve Rene Loyer. hiarché des changes

Londres 89 12 Norvège 284 75 New-York 18 66 Suède 503 25 Belgique 95 15 Suisse 360 Il Espagne 264 75 Prague 55 20 Hollande 75175 Vienne 26 75 Italie 77 15 Roumanie 960 LA BANQUE RENÉ LOYER

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LE DIMANCHE 15 FEVRIER 1935. a 13 heures, 11 sers procédé par le ministère de M» CARTIER, ereluer du Tribunal de Commerce de Morlalx. au domicile de M. Louis Houé. expéditeur de légumes, 4 Plouénan, près la gare de Plouénan, Il la vente des marchandises ci-après

26 sacs de 50 k. pommes de terre semence Abondance de Bretag-ne:

80 sacs de 50 k. pommes de terre semence Uptodates;

130 sacs de 50 k. pommes de terre semence Macker;

58 sacs de 50 k. pommes de terre semence Beauval?:

1O0 sacs de r.o k. pommes de terre semence Hollande;

110 sacs de 50 k. pommes de terre semc-nco Fluck;

65 sacs de 50 k. pommeî de terre semence Heîierlen?:

70 sacs de 50 k. pommes de terre semence saucisse

3oo sacs de 50 k. pommes de terre pour la consommation;

37 sacs de 50 k. pommes de terre pour les animaux;

1 lot d'oignons,

67 sacs d'engrais de 100 k. marque Mo50 sacs d'engrais de 75 k. marque Charrue

2 chevaux de trait.

LE LUNDI 10 FEVRIER 19S5, 13 heures, (1 sera procédé par Je ministère de M» CARTIER, Il la gare de Taulé-Henvlc, dans les mairaslns de M. Louts noué, à la vente des marchandises ci-après 87 sacs de 100 k. d'engrais de diverses marques;

1K sacs de 75 k. d'engrais marque La Charrue;

Une bascule, 1 lot de sacs vides,

Une barraque américaine démontable, servant de magasins, de 108 nxj.;

280 cageots anglais;

360 cageots divers usagés;

i Jot de bols pour cageots.

LE VENDREDI 20 FEVRIER itSi, à

9 h. M» CARTIER procédera à SaintPol-de-Léon, rue du Colombier, dans un magasin dépendant de l'HOtel du Commerce, 6 la vente de

62 sacs d'engrais de 75 k.«et 79 sacs d'engrais de 100 k.

LE VENDREDI 20 FEVRIER 1923, il 14 heures, M- CARTIER- procédera à Roscoft, dans les magasins de M. Qulllêvéré, cemionneur, il la vente de 100 sacs environ d'engrais.

Frais en sus.

L' Officier- Vendeur,

A. CARTIER.

Etude de M' Louis POTIRON, notaire à \antes, 4, Place Royale.

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Jours de visite mardi, jeudi, samedi de chaque semaine, de 14 heures à 16 b. S'adresser audit notaire.

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