Sur les variations des parfums sous l'influence du greffage
L'industrie de.la parfumerie est aussi vieille que la civilisation. Les Anciens utilisaient la plupart des plantes à essences que l'on emploie de nos jours. Aristote a même rapporte qu'on greffait, au IV» siècle avant J.-C., l'absinthe cultivée sur l'absinthe sauvage, mais il n'indique ni le but, ni les réaultats de cette opération.
Greffe d'absinthe
sur pâquerette arborescente
Au cours de mes recherches sur la greffe, j'ai voulu voir quelle est l'action du greffage sur la production du parfum et sur sa composition. Pour cela, j'ai opéré, sur des piailtes qui sécrètent des produits odorants de naturc variée, mais dont les uns sont tarticiiliers aux espèces et utilisés à oes tares divers dans l'industrle. J'ai constaté qu'en greffant entre eux des végétaux dont :es parfums sont différents ou encore des plantes odorantes sur d'autres qui n'ont pas d'odeur, les produits essentiets fournis par les épibiotes ou greffons, varient suivant les hypobiotes ou porte-greffes efnployës et sont, dans ̃ -Tertains cas, -modifiés en quantité et en qualité. Parmi les exemples les plus caractéristiques de ce genre d'inîluenres, on peut citer la Vigne. française greffée sur quelques \'igneç américaines- ou hybrides, l'Arroche puante placée sur l'Ansérine blanche, }.'s T.vnaisics et les Absinthes greffées sur 'a Phquerette arborescente, plante bien connue des horticulteurs.
Depuis plusieurs années, j'ai repris tout spécialement au point de vue des variations du goût et du parfum, l'étude de ces •leniipres greffes qui offrent un intôrft in.iusVid et médicinal. Comme l'ordinaire, j'ai ̃vinr,taté que la Pâquerette arborescente. fa-,î*:it le rôle d'hypobiote, augmente de -îiitl-ITé et que les parties annuelles de Tanaisie et d'Absinthe prises pour epibiotes deviennent vivaces pendant que leurs feuilles diminuent de taille, se frisent fortement et changent plus ou moins de couleur. A ces modifications
Fie. 1. Tige d'Absluthe. ;t fenilles larges, dont l'odeur est devenue désagréable.
Fie- Tiçe <TAbslDtli», à feuilles frisées, dont l'odeur est devenue plus fil,
de la forme. sensibles U>s l.-i première année de greffe et qui vont en s'accentuant avec l'âge, correspondent dos variations de saveur et de parfum qui snnt sensibles au goût et Il' l'odorat. Les changements organoleptiques m'ont paru aussi s'accentuer avec t'age des greffes. pnrarèrement aux modifications de la feuille. eLles sont puis ou moins accentuées suivant les exemplaires. dans une même série ci» greffes et suivant les hypobiote, qmnd il s'agit de greffes sur espèces différentes. Files se retrouvent riiez les essences extraites par distillation, essences dont je rr.p propose d'étudier la nature des que j'aurai des quantités srfflsantes de produits. Une Absinthe greffée âgée de trois nns, dont les fen;lles étaient très flneç et très frisée, donna des graines qui germèrent Il y a quatre ans. Un des jeunes &pmis. qui rappekiit nettement le type modifié par la preffe, fut conservé et donna des graines à son tour. Celles-ci ont fourni de jeunes plantes d'aspect très varié dont les unes se rapprothent de t'Absinthe noi"nnlp et les autres de l'Absin'ne frisée fit modifiée, par la greffe. Entre if s «leux formes il il y a ton* Ce qu'il y a île plus r?:n:irquahle, c'est que :haque exemplaire possède 'une odeur et une
saveur plus ou moins différentes. Sous ce rapport, quelques pieds à feuilles frisées présentent un goût et un parfum plus agréables que l'Absinthe non greffe»-, (flg. I); d'autres qui se rapprochent de celle-ci par les caractères du feuillage, sentent mauvais à la longue et leur goût est plus fade (flg. 8). Ces résultats montrent que, chez l'Absinthe comme chez beaucoup d'autres espèces, la symbiose influence à la fois les exemplaires greffes et leur descendance et qu'il y a, comme d'ailleurs dans l'immense majorité des plantes greffées, des greffages améliorants et des greffages détériorants.
Au point de vue de l'industrie des parfums, Il y a d'intéressantes recherches théoriques et pratiques à faire dans cette voie essentiellement nouvelle. C'est ce qu'ont bien compris les parfumeurs français. Quand, Il y n trois ans, je fus chargé par l'Office national des matières premières au Ministère du Commerce d'une mission à l'effet d'étudier les plantes à parfums dans les Alpes-Maritimes, je conclus il la nécessité d'études précises sur la culture et la physiologie des diverses espèces utilisées et sur l'introduction de c'lcs qu'on pouvait avantageusement acclimater dans cette région.
A la suite de mon rapport, un centre important d'études agricoles et chimiques yrur les plantes à pnrfums et les plantes rrié'Ucinales va être établi à Grasse. Il n'p«t pas douteux que, de ce centre d'études sortiront des travaux susceptibles de faire encore une industrie bien française et cv.l jouit d'une réputation mondiale bien Lucien DANIEL
professeur de Botanique appliqué*
à la Faculté des Sciences de.Hcnnes. LA SITUATION
EN ATTENDANT
LES PREMIÈRES OFFRES Comme l'a dit M. Poincaré à Dunkerque, dans un discours approuvé par tous les hommes do bon sens et de bonne foi,: mous avons eu. la preuve, dans la Ruhr, que l'Allemagne avait Rasez de charbon et mêmo assez de devises étrangères pour tenir, sans se ruiner, les engagements auxquels elle s'est dérobée avec -une mauvaise foi 'manifeste. L'Allemagne a toujours menti quand il s'est agi de fixer sa capacité de paiement, et elle se prépare à mentir encore en formulant des offres insuffisantes et dérisoires. Le discours de von Rosonberg au Roicbstag a pour but d'amorcer les conversations relatives au paiement avec l'Allemagne. L'orateur allemand se tromperait grossièrement s'il pensait que nous sommes disposés à des marchandages et des discussions dont nous connaissons l'inanité et les dangers. Nous ne devons voir dans cette manœuvre oratoire qu'un moyen de faire comprendre à l'Allemagne qu'elle doit se résigner à l'inévitable, c'est-àdire payer son dû et aller bien plus avant dans les sacrifices que lors des précédentes tentatives.
Que nous offrait préoédemment l'Allemagne? En juin 1919 ils offraient de payer cont milliards de marks, mais on se souvient que. onze jours avant que nous occupions la Huhr, Berjjmann avait été chargé de remettre à M. Poincaré des propositions qui ont été ces jours derniers communiquées à la Deutschr, Algemeine Zcitung. L'Allemagne offrait 30 milliards de marks or. comme total des réparations à payer aux Alliés. Les modalités du paiement auraient consisté en trois emprunts internationaux, émis par un consortium international de banques; le prenier emprunt de 20 milliards eût été aussitôt versé au compte des réparations: le serend et le troisième, émis à cinq années d'intorvnllw, auraient été de cinq millinrds il y aurait eu garantie pour l'industrie et les banques.
En dix uns, los Alliés auraient reçu ainsi environ cent milliards de francs-papier, dont cinquante-deux milliards pour ln. France. Le rabais sur notre créance mit été considérable et, encore, les Allemands avaient la tranquille audace de subordonner les paiement,% aux trois conditions suivantes égalité commerciale, réduction progressive de l'occupation de la Rhénanie et évacuation des trois ports de la Ruhr occupés en mars 1921. De cette proposition insuffisante et presque dérisoire, retenons un point positif l'Allemagne déclare pouvoir, par un emprunt international, verser tout de suite pour les réparations un acompte de vingt milliards de marks or. C'est un point de départ solide. P.-O. DOLBERT.
DE LA MAIRIE A LA PRISON, OU LA NOCE INTERROMPUE
P*Rts, 16 avril. On recherchait depuis quelque temps un nommé Rymomd Morel, cheval de retour de la correctionnelle, comptable dnns une usine d'automobiles, qui disparaissait dernièrement en emportant quelque 7.000 francs don; Il n'était pas le propriétaire.
On l'a trouvé sur le parvis de 1-a mairie .lu 14' arrondissement, sortant tout simplement de se marier. et toute la noce prit avec lui le chemin du commissariat de Puteanx, directinn tout opposée à celle qu'elle comptait suivre.. C'est la qu'a fini la fôte et que la noce s'est disloquée.
Aujourd'hui, en fait de lune de miel, il rumine au dépôt les douceurs de l'ombre.
Un pétrolier
fait explosion dans le port de Caen Il y a trois morts et trois blessés Caen, 16 avril (De notre correspondant parliculier). Ce matin, veis 10 heures 30, une explosion terrible et prolongée secouait tout un quartier de notre ville les maisons tremblèrent, les vitres volèrent en éclats, une crépitation imitant le bruit de la fusillade, succéda à la détonation initiale. Certains crurent à une secous6e sismique, d'autres à un accident formidable survenu dans les grandes usines de la sociétb normande de métallurgie.
On apprit bientet la cause de cette explosion. Le pétrolier Bronze, jaugeant 188 tonlies d'essence et de pétrole, expédiées par NI. Desmarais. du Havre à son dépôt de Cnen, venait de sauter, quai Amiral Hamelin.
En un instant, la nouvelle de ce!.te catastrophe se répandait à travers la ville, et une foule innombrable sp transportait sur les lieux. Une gerbe die fumée noirâtre, semée d'étincelles, montait vers le ciel à plns de SO mètres de hauteur, obscurcissant les alentours du port. La faiblesse dn vent préserva henreusement les habitations voisines, et la colonne enflammée qui dominait le navire resta localisée entre lec deux rive: de l'Orne en face de l'embarcadère du bateau du Havre.
Comment s'était proauit le sinistre ? L'enquête n'a pu l'étahlir encore. Impudence de fumeurs, étincelles échappées au frottement de l'acier des treuils. La malveillance en tous cas semble absolument étrangère ft. l'accident.
Le Bronze qui appartient à la société des électrolises du Havre, était arrivé samedi soir et avait amarré à sa place habituelle, quai Amiral Hamelin Le pétrolier avait une cargaison de 188 tonnes d'essence et de pétrole le déchargement devait commencer hier matin.
Quatre camions de la Maison Blorhon se placèrent h huit heures précises le long du quai six dockers, trnis dans la cale. trois sur le pont, procédèrent au débarquement des Misses sous la direction du contremaître Mahais, qui surveillait le travail, en dehors du bateau. L'opération débuta avec entrain: deux des dockers danç la cale s'amusèrent m"'me lancer leur chien a la poursuite des rats entre les caisses de pétrole, Pur le Dont. le. patron du hord nriiiiiie. actionnait un treuil. On enleva tontes les marchandises placées l'avant. Les quatre premiers camions venaiént de partir, le cinquième arrivait en face du chaland. lorsqu'une épaisse fumée de flammes envahit les abords de la passerelle et un éclatement sinistre retentit. 1.e Bronze sursauta dans un tourbillon opaque et sembla retomber brusquement au fond de l'eau. Plus rien n'apparaissait du bâtiment. En moment après on entendit des cris de douleur et des hurlements.
Emouvant sauvetage
N'écoutant que son courage, le c.iiiiionneur Hué bondit dans la fournaise au f.rours des victimes. Il put arracheur aux flammes le docker Firmin. Tu ouvrier meuuisier, de passage sur )c quai, M. Escoffler, stimulé par cet exemple il héroïsme, se précipita également sur le pont incendié. On crut que le malheureux allnit rester sur l'épave embrasée. Il reparut quelques moments après en rapportant dans ses bras le corps d'un des docker qui trava.illait sur le pont, M. Seigneur, do la rne Vaucolles. Ce dernier expira sur la berge. Il portait des brûlures horribles sur tontes 1rs parties du corps.
Dans ce sauvetage émouvant et sublime, M. Kscoffler avait, lui-môme, été grièvement atteint et nn li-i donna des -joins empressés aux établissement? Laffetay.
Le patron Il'1 pétrolier. NI. Ernurtic, put ftt.re retiré h temps par un courageux sauveteur et son état est. heureusement, peu grave. Un docker surpris par l'ouragan de feu. au moment où il prenait des caisses l'arrière du chaland, réussit par ses propres moyens à regagner la passerelle. Ce docker, M. Ribet, n'avait que des blessures superficielles. Après avoir reçu des soins dans une maison voisine, Il fut transporté l'hôpital avec son camarade Firmin dont l'état était autrement erave. L'amputation de la iambe gauche fut iugée nécessaire nour ce dernier. On espère néanmoins le sauver.
Deux autres dockers, les nommés I.agonlte et Marguerite, se trouvaient dans la cale lorsque s»; produisit l'explosion. On n'a pas encore retrouvé leur, cadavres.
La lutte contre le feu
L'organisation des secours avait été très rapide. Les pompiers de la ville de Caen furent les Premiers sur les lieux et une motoPompP. instnllée aussitôt au rond-noint du quai de Juillet. fonrtionni immédiatement ponr nréserver les macrasin* de la Société Normande de Navieatinn. sur les toits desquels venaient s'abnttrp les flammes. In nnmnp incendie dec chemins de fPr de l'Etat n.rrivait peu après, mais le brasier sans r*s.=p alimentb nnr les matières inflnmmali'es contenues dans le* flancs rin navire continuait à dévorpr la cnqup du chaland. Des centaines (le bidon1! rie pétrnle. projet.'? nar l'explosion ft près de ?,m mètres, rnnstilnaient drs fnvprs épars sur toute l'étpndue des deux rives.
Un moment on redouta upp seconda explosion :elle des ftlts rle 1(M litres placés dans les cale. Des barrages avaient été établis a rrranrle distance sous la directinn des officiers rin "fi*. •
A l'heure ou paraissent ces llcnes. l'épave du Bronze n'est nie encore consumée. I.ps flammes rougps lèchent sa coque calcinée et une lueur éclatante se profile cnr les quasis. On pssaie de noyer S i« <-wf-\ce les restes de l'incendie. La présence des fiits d'essence dans les oalps fait toujours craindre une explosion Tedoutable et un piquet du 36* maintient distance les curieux- qui tentent de s'anprocher.
Nous nous Inclinons avec fris'esse devant V deuil qui vient d'atteindre les ramilles des victimes et les prions d'agréer nos sentiments de vives condoléances.
M. DE ROSENBERG
le ministre des affaires étrangères allemand NE DOUTE DE RIEN
Il propose la constitution d'une commission d'experts internationaux pour fixer la capacité de paiement du Reich Mais, au préalable, nous devon.s évacuer
la Ruhr et. renoncer à nos garanties 1
Pinis, 16 avril. On peut distinguer trois parties principales dans le discours de M. de RosenbiTry. Aucune d'elles ne satisfait ni la logique ni la justice.
̃ Si, à l'issue de ia lutte engagée dans la Ruhr, la Francg a raison de nous, dit d'abord le Ministre des Affaires Etrangères du Reich. ce sera le triomphe du militarisme sur l'idée de droit et de paix.. On ne saurait proférer un p!us audacieux sophisme. L'occupafrançaise de la Ruhr n'est pas une opération judiciaire ». Nos divisions ne sont là que pour garantir l'exécution d'une sorte d'arrêt de justice, exigeant à l'égard d'un peuple attaqué et pillé en 191-1 et les années suivantes, de légitimes réparations. Cet arrêt, c'est le traité de Versailles, et il porte la signature da l'Allemagne. Donc, le succès de la France en Rhénanie marquera de façon éclatante, non point la victoire d'un militarisme qui ne fut jamais dans nos goûts, mais la victoire de l'équité la plus stricte, d'une équité qui ne change cartes pas de nature par le fait que la force est maintenant A son service. M. de Rosenberg tente de répondre, ensuite, aux accusations portées hier par NI. Poincaré contre un gouvernement qui favorise des organisations militaires clandestines, exporte des devises il. l'étranger au lieu de nous payer, et a. jusqu'en janvier, accumule son charbon à la disposition de sa propre industrie, au lieu d'en verser au compte des réparations les quantités stipulées. La, encore, le ministre allemand se montre en vérité bien faible et bien inconsistant. Ne pouvant nier, il veut expliquer. Il se borne à des afllrmations sans preuves et il des protestations sans fondement. Retenons ses aveux relatifs a l'appauvrissement systématique de l'Etat allemand. CE: point seul suffirait il justifier cent fois et la régie que nous avons entreprise dans.la Ruhr et la présence de nos troupes dans le bassin minier.
Enfin. M. de Rosenberg esquisse vaguement un geste vers l'exécution de certaines prestatfons. Mais lesquelles, et dans quelle meEure T Si l'on serre de près le texte que'nous transmettent les agences, on constate qu'il est à peu près vide de substance, puisqu'il ne contient qu'une réédition des offres de M. Bergmann il Paris, en janvier dernier. soit 20 milliards de marks-or et encore !e ministre du Reich spécifle-t-11 que ce maximum ne peut être garanti 'depuis que notre présence dans la Ruhr a troublé les finances de la République d'Empire Au surplus, c'est lui. c'est l'homme de Berlin qui demande que nous formulions les premiers nos desiderata, et qui pose par avance ses conditions. Relisez, en effet, le passage vraiment impudent qui commence par ces mots • L'Allemagne est prête et disposée il travailler, etc.. et qui se termine par l'énurnération des renonciations que nous devrions consentir Qui pourrait prendre au sérieux de .semblables exigences Qui. même en Angleterre, même en Italie, même chez tes neutres, peut concevoir aujourd hui que nous abandonnions notre gage et que nous discutions avec l'Allemagne, comme le réciame le ministre de Rosenberg, sur le pied d'une égalité absolue. Non. Ce n'est décidément pas le gouvernement de M. Cuno qui trouvera le terrain d'entente. Il a fait ses preuves. Il n joué la partie de l'Allemagne non pour le peuple allemand, mais pour ceux qui le trompent et le ruinent. Nous ne causerons jamais nvtc les hommes de paille des magnats.
L.-A. PAGÎ3
LE DISCOURS
Berlin, 1G avril. Au début de la séance du Reidistag, le ministra des affaires étrangères, M. de Rosenberg, a prononce lc discours qu'on attendait avec impatience en Allemagne et non sans quelque curiosité, en France Comme on s'y attendait, ce discours, qui ne présente aucun caractère sensationnel, ne marquera aucun progrès sensible dans le règlement du conflit germano-francohelge. Le ministre des affaire?: étrangères du Reich a déclaré formellement que le gouvernement allemand est prêt :"i accepter la décision d'un comite d'exp"rls financiers internationaux qui serait chargé d'étudier la capacité de paiement de l'Allemagne. Pour le surplus, Ni. de RnsenberK conteste aux Franco-Belges le droit dominer en Allemagne un pouce de territoire de plus que le traité de Versailles n'avait prévu et compte bien que l'évacuation rapide de la Ruhr sera le prélude de la nouvelle entente franco-allemande. Finalement, le miniMre envoie quelques pointes à M. Pnincaré et tente de réfuter, sur le mode ironique. quelques-uns des arguments que le Président du Conseil français a développé* dimanche a Dunkerque.
Le discours commence par une invocation. assez inattendu dans In bouche d'un ministre allemand, la Jn^tlef. nu droit. Laranile de la nnlx, Mai- il ne s'attarde pas dans ces régions sereines ri" 1s pensée et prend terre presque tout de suite. C'est pour
prétendre en premier lieu, que l'occupation de la Ruhr a diminué la faculté de preste tion du Reich. Le ministre rappelle les pro. positions faites le 9 décembre 1912 par M. Bonnr Law et surtout les offres que M. Bergmann devait expliquer de vive voix à le conférence de Paris.
n s'agissait alors, dit-il. d'une offre da paiement de 20 milliards de marks-or portant intérêt à 5 et que l'on devait sa procurer autant que possible par un emprunt international. Ces 20 milliards devaient s'augmenter respectivement au bout de qua«tre et de huit années de cinq milliards chaque fois, de façon à atteindre 3(1 milliards si le consortium d'emprunt international considérait la capacité financière de l'Allemagne comme suffisante. Ce;ie offre était la maximum de ce que nr.us croyons pouvoir faire.
M. de Rosenberg déclare que depuis lors, l'occupation de la Ruhr a jeté le désordre dans les finances allemandes, dans les transports allemands. Tout est à remettre en état, et l'Allemagne ne sait plus quelles sont exactement ses capacités financières. Néanmoins la solution a trouver doit avoir comme point de départ le projet Bergniann si mal reçu naguère il Paris
L'AUcmanrte est prôte et disposée à tra!)ailla, d se sacrifier et ri pii/er dans toute la mesure de ses moyens imur rcmplir ses devoirs de réparer. Seulemenl, elle entend qu'avant toute conversation, l'assurance lui soit donnée d'une renonciation de la France et de la Belgique toute politique de sinctions et de gages et soit ̃proclamé la rcconnai.ssance de l'égalité de droit économique. s Le plan de M. de Rosenberg
1ci le ministre expose son plan, qui n'est autre que la reprise du projet de NI. Hngh?s. De l'avis du Gouvernement, la commission internationale d'experts l:tquelle l'AlIcmagnc et la France devraient prendre part avec des droit.' cnticremr.nt égaux, devrait répondre aux questions suivantes 10 Qu'estce que l'Allemagne a payé jusqu'ici ̃ Qv'est-ce qu'elle peut et doit pnyer éqvita* blement ? 30 Comment peuvent f'tre réalisés ces paiements ? T.e Gouvernement allemand serait nlnrs disposé demander pu marché international un emprunt aussi grand que possible auquel il af/er/prait 7»« garantie» exigées par le ronnortiwn et dont le montant serait rcmfs lotit de suite n la France et aux Allié.
M. de Tîosenlierg se dit convaincu et au lievoin il y veillerait par des mesures législatives que l'inrlustrie et. les meilleurs organismes économiques ailcrrfanils mettraient leur force au service dés obligations de répnrer, ainsi ramcuues aux possibilités Passant ft In question des garanties, que la France croit devoir prendre contre une attadu Roich considère que les clauses du traité de Versailles, lesquelles obligent l'Allemagne' n'avoir qn'inre armée rie lflO.'OOO hommes et n'avoir sur la rive gauche du Rhin et 50 kilomètres sur la rive droite. aucune forteresse ni force militaire, donnent aux voif-.ins de l'Allemagne toutes les sécurités désirables. En tout cas. iaucun gouvernement allemand ne prêtera la main l'organisation d'un Etat rhénan séparé de la Prusse.
« Tout cc que nous prouvons faire pour calmer la ciaintp réelle ou fictive de la Franrp. dit NI. de Rosenberg. c'est le projet que Ni. Poinearé a repoussé en d'Vpmbra dernier. Il ttait susceptible de modifications aux points de vue du plébiscite, de la personne des garants et île sa durée. Nous sommes prêts aussi tout traité d'arbltracro, pourvu que ses conventions soient réciproques et ne touchent pas fi noo droits de souveraineté.
Le ministre déclare Inacceptable pour là Reich le système d'évacuation décidé Bruxelles, confirmé Paris et proclamé, de nouveau à Dnnkerque.
Quelques pointes à M. Poincaré Répondant, ta fin de son '̃lis.'Murs, à celui de M. Poincaré.. Ni. de Rosenberg iiiclare que l'impérialisme allemand est moit et que ce spectre est rirlicul». le ministre ne conteste pas que le R<-ieh ait. dans l.i Ruhr, la volonté de maintenir, par tnus les moyens, son activité économique et qu'il ait exporté des devises a l'étranger. • C'est son devoir affirme l'orateur. » d'einnérhor le peuple d'être affamé D. Il n'est pas vra» que la pnllcp allemande rouvre une crsrnni- nation militaire. La policé, allemande ne rien de militaire i, ne craint pns île dire Ni. de Rosenberg. qui nie effrontément l'évidence D'ailleurs. Ip discours «'<• V. Pninpfiré est un discours dp violence. Il contrats tenez-vous bien. lecteurs fruncnis nvee la modérniion dont M. df* niJnwr.-N n. après 18T1
Le ministre conclut en divisant la '"ran^a ft coopérer fiaternrl'omeiit ,vyv r\l'em:igne t l'oeuvre de réfection de l'Europe ?i la Frnnee fait !a sounî'1 Mi^nvieii" trouvera dans snn patrl'isme rt r'm; lu conscience de son droit. h: force de souiculr l'épreuve oui lui est imposée.
A
UNE AUTOMOBILE ALLEMANDE FONCE SUR UN GROUPE
DE SOLDATS FRANÇAIS
ET EN TUE UN
Coblence, ]6 avril. (D'un correspondant particulier.) Lee tragique* Incidents d'Etaen ont fourni il la presse allemande l'occasion de rappeler tous 'les crimee » précédents des armées d'occupatioa « venue» pour escorter, ainsi que s'exprime la Gazelle de Francfort, une mission pacifique d'ingénieur» allia* 1. La dite preste, tiywe par Berlin, ne .cesse du publier des nroUutAiloni v4Mmeutes ciiiitre le. muuvafs traitement* dont nos soldats 6B rendent coupable* à l'égard de la population de hn Ruhr. Llle crie sur tous les tons que nous façons l.Vbaa bon marché des vies humaines. Eh 1 tolen. et eux. les Allemande 7 S'il y a eu des morte et des blessés parmi les occupés «>t cela, loujour* par la faute des meneurs panpermanistee les occupants, eux aussi, ont des morte a déplorer. Et pus mal d'entre eux, déjà, n'en font plus il apprendre ic que c'-eet que î.i brutalité allemande. T-m-Mn l'incident que nous allons relater
Vendredi, Il 11 h. 30, une <orvi* de 6 hom mes, commandée par un brigadier, venait de quitter le quartier Marceau à Lutzeï itaucoure de Coblence), quand une forte automobile dans laquelle me trouvaient trois Allemands, a foncé à toute vitesse sur le groupe et a continué sa route à toute 'allure sans se soucier de ses victimes.
Le premier moment de stupeur passé, on releva le canonnier Pierre Paoli. oui gisait le crAne fendu et la iambe franche complètement broyée. Il expira aussitôt.
L'Infortunée victime, qui appartient A 35« Batterie du 230» Uniment d'Artillerie -était du contingent de la cl*«*e 1921 qui devsit Quitter Coblence le lendemain pour être La canonnier Pierre Paoli e*t originaire de la Corse.
Une enquête, ordonné par le général commandant la Place de Coblence est ouverte par la gendarmerie. Espérions qu'elle permettra de découvrir et de châtier comme Ils le méritent les criminels.
TROIS MINISTRES FRANÇAIS
DANS LA RUHR
DI'SBELdorf. 10 avril. Les ministres de la Guerre, des Finances et des Travaux publics sont arrivés à Dusseldorf.
Ils ont été reçus sur le quai de la gare par le général Dégoutte, entouré de tout son ftaUmajor et des principaux directeurs civils de nos services de contrôle. Les honneurs militaires ont été rendus, puis les trois ministres ont pris place dans les autos réservées pour effectuer 1e voyage d'inspection duns les mines et les dcpGts de coke.
Après leur randonnée, MIM. 1. Trooquer et de Ln*teyrie ont fait des déclarations aux journalistes.
Le ministre des Travaux Publics a enregistré la progression obteuue dans l'enlèvement du coke. En mars .dernier, on ne pouvait recueillir journellement que 350 tonnes aujourd'hui. le chiffre quotidien est de S.000 et dans quelques jours, il ,sera de 10.000. Ces résultats sont bien de nature a nous satisfaire, surtout lorsque l'on songe que l'Allemagne a perdu 60 de sa production métallurgique et charbonnière.
De nouveaux chantiers d'enlèvement du coke ont -été ouverts. De son côté. M. de Lasteyrie a dit que grâce aux .postes de bouclage, nous recueillions dr« perceptions aseez importantes et q\w ri::>s-ci augmentaient sensiblement.
1200 expulsions de fonctionnaires Combkx 16 avril. la Haute-Commiseton interalliée des territoires tnénans Ment de prononcer 1236 nouvelles expulsions de 1 fonctionnaires allemands, appartenant pour la plupart tu «ervice des chemins de fer.
Le trafic des carnets médicaux Brest
Deux médecins sont poursuivis
BM«I, 16 avril. (De notre correspondant parttculter). Cetie affaire de médecins prévartcateuns, que L' Ouest-Eclair a relatée pour la première fois en décembre 1921. a déjà fait grand bruit dans le département du Finistère, et causé un profond émoi dans les milieux médicaux et parmi les anclens combattante mutilés.
Nous rappellerons en qufciqiiKS lignea les motifs qui amènent les praticiens à répondre du délit d'escroquerie envers l'Etat.
Il y a près de deux ans, un fonctionnaire de la Préfecture de Quimper, spécialement chargé de la comptabilité du service médical aux mutilés, fut frappé par le chiffré formidable de 80.000 francs que quatre pharmaciens de Brost lui adressaient pour avoir tourni pendant un Peul trimestre dee médicaments à un certain nombre de mntllés. Justement jurprls ce fnnrtlontvrip rechercha nuels étaient les médecins qui avaient délivré les ordonnances et c'est ainsi qu'on apprit que les honoraires du docteur Janlcot e'élevafent également pour se même trimestre il lA coquette somme de 18.000 franc*.
M. le Préfet du Finistère Il, llne commission médicale chargée 'terminer ces mémoires qni furent trouvé* exagérés La conduite ries m^deoips fut évidemment jugée répréhenMWe. Ln polir» spéciale ouvrit une en-iuAt* qnl ronflnna les fortes présomptions oui rv,5i;iient rt le Parquet ouvrit une informotion.
'n non-lieu fut d'abord rendn dans le cnnrant do l'année 1»M et plus tard un supDlément d'enquête fut ordonna et c'est ainsi du âpre* IR mnis d'instruction» alternatives. i-(»tt(. affaire ronfiue et embrouillée à plaisir vient d'être résolue par M. Mompaz, juge o instruction, qui n mené il bien cette tâche aussi ardue que. délirate. Deux médecins de Brest si>rnnt rourMilvis pour escroqueries pn.vers VF.tat. Cr pont MM. Janlrot et Pellen. M. Cnndrm. oui était nu nombre des Inculpés lor« de la première Instruction de cette af- faire. est comr>lî>ti>m*nt mis hors dr muse. Les fuit» reprnrhés eu necond Inculpé dont birn mnlne graves niu» roux dont son confrère se serait rendu coupable, hien nue la plunart <lj rtf, faits soient couvert» par Ia loi d'am«ENSEIGNEMENTS JURIDIQUES. Pen-tn* dlT ̃->.«•«. formalités admlnlstr.. etc. Errlr» Outil Eclair, renselg. lurltl.. i t. Si manU. eu tiutb.
LA « MONTDIDIER »
ET LA « HENNEBONTAISE » Notre enquête (suite)
LES EXPLICATIONS DE M. GODDÉ Nous avons vu hier comment M. Goddé avait été mis, par son fila, en rapport avec M. Philippe.
Cette phase initiale de la collaboration Goddé-Phillpe a une grosse importance; car, en me l'exposant, M. Gcddé répondait à une question que ju lui avais posée au début même de notre conversation, touchant l'évaluation par lc> commissions de dommages de guerre d'une n*ine ne coiu|>ortnni il cette Ppoque. nu dire de témoins dignes de foi, que des bâtiments et un matériel sans valeur. Ayant acceptr. me dit Si r.oddi, de faire assurer l'usine de Montdidier. je procédai tout d'abord à une expertise qui, d'ailleurs. fut plus tard contrôlée par les compagnies auxquelles je m adressai. Or. je me rendis compte que. dnns cette Mme qu'on prétenrl avoir été. à cc i-h-hii-iH, dépourvue de tout, on avait, au c-.p :r.'iir.\ .̃ccumule du matériel nombreux <•; ̃ en quantités' importante- filtre autres des pièces détachées, rtc-oi- .mi montage de: wagons. De \iiTi-- n'ont limais été cnnstruits.
Par I'iimii Moiîdldler, c'est vrai. mais par dllennebont qui a été la première a fournir, en avance sur toutes ses concurrentes, les wagons commandés. Ce détnil a, d'ailleurs, été poiié !i connaissance des actionnaires de ?a • Hennohontaise par mon fils, en réponse ,i ta demande de l'un d'eux, au cours d'une assctilj'.én.
Donc, pour M. Go<l<lé. l'usine do Mnnldiilirr avait, au moment où ellf fut détruite, une valeur qui Justifierait lVviiluallou fexceRFlvf. selon beaucoup de Rensl de la commission cantonale M. Philippe n'en étnlt, d'nillPurs. pa- propriétalrp a cette époqun. Il n'en était que locataire oi.cr pftmcste de vente, ayant profité d'une occasion favorable que lui avaient offerte d'anciens propriétaires divisés par nne querelle de fatnille. Il était en pleine période d'organisation lorsque in guerre éclata, et cette organisation allait être achevée lorsque survint l;t prise due Montdl- dter. Cette organisation était mfime, d'après M. Goddé, assez avancée pour que des wagone eusaent pu être livrés, si certaines pièces n'avaient fait défaut, ce qui avnit rendu le montage définitif tout à fait impossible. Locataire avec promesse de vente M Philippe n'est devenu propriétaire que plus tard. et cette qualité lui a (HA attribuée par un Jugement du trlbimal ne Monldidier
AVENTURE PERILLEUSE
L'usine de; Montdidier JétriMio. M Philippe crée la Société « Hennebor.taise avec le concours de MM Meaux et Chapt. SI. M v de pouvoirs mkiFn Ppe< suit 1n marche de cette affaire, mais Il ne se mêla pas du moins Il l'nfflrmo de son ndministration. Il a. Il est vrai <SnM^rOaUiTrue (les Pl'ï-nmidon. au slèw des Xr m'1IIfl"nrlinnlnl!-e et Je Monidiiifn.'1^ ♦l!lii00ït "nJPf'Pnt parce que Phid,P1rnn0 t1 i président Du reste, i;n jour il s'aperçoit que. du fait rin». en1ovmy< Philippe va tire entraîna flans une aventure pêrilleuie et il donne mtMH sa. démission laissant président de Meau^t- se *•-»»'« -^J conduit i fln e <1an8 les V0leR rtnnjrorrusr» rlî.S n flnl par sombrer. • Ounnt il NI. fiée sur les <£^ldwnJ!.sine de Montdi.1ier. De ceitfl Société, M Goddé ne soit rfen. Il ne connaît pas M.' Hermann. e (TluVvrW
QUELQUES LETTRES
NOUA 8 propos de notre enquête aur la un certain de lettres, dont une de Florian La Porte en chef dR la Marine, et de Texier VoiCi d'abord celle de NI. La Porte Lorient, 14 avrll
le Directeur,
vous Avez lait mon un pnragraphe Quelques
début Il n'en est
avez cru mon nom, Je tiens IL préciser que, st Je me fuis occupé dant quelque do la Société de en vu@ d'une veuve et de enfant,
Je fait d'une
Je été mêlé en quoi que ce i la fondatlnn des société% et de Je aucune de leurs actions. pris il aucun appel pu. relatlon· Avec les qui la Socltté des depuis que mon concours n'a paru aux personnes qui l'avalent
Agrbez, etc.. F. LA PORTE. Sous n'avons l'intention de susbonne foi et l'honorabilité de M. Porte. encore de entend dre qu'il était ne pensons pas que l'allusIon que nous avons faite ton dnns la A une époque où l'origine et la parfaite légalité pu prêter à coneoit, 1a M bien adresser met clairement !et chrses qu point
L'autre, datée de Lopent, 13 avril, émane de Ni. P. Texier M. Texfer commence par de. clarer que la déconfiture da la « HennebonLi *nA.r rlan de commun avec les BéfJSfl.* x'^if/ïï '̃ Ce seralt- pour nous, Vrètextn il 10 diffamer. Puis 11 poursuit Moniteur le Gérant.
Je Tous forât lïtivnn tout d'abord due Je n'tntvcals plus en fait, et cria depuis environ huit mol», .0 mandat d'administrateur, lorsque ¡'RennehentalM a demandé, et obtenu, le n bttii iwi le hénêdc» du rbglement transactionnel pmir tmirtralre la gorléte aux ennuis de* créanciers Philippe. Les destinées de cette «flaire 'talent aux maui», depuis quatre mois. d'homme» au»l b»
norabUa que oapablte, conseillés par un juriste distingué que voué *iei mla en Nilef. daas voue article d'hier.
nage4 honnêtes, capables. juristes contre k» quel* je ue formule d'»Uleur# aucune critique soient entrés dans une société véreuse sans rien y volr, et Que mol, au contraire, ex-g&rçon éplekr suis connalTMnce*. l'ai pu ou dû y voir, ce qu Ils n'ont pas vu t
Ayant lu vo* précédents articles, ma latble juconduit IL vous demander de dire ce qui iutàresse vivement les créanciers et les actionnaires de la Hennebontaise pourquoi, aussitôt le bénéfice du riglement traotectioiinei accorde, J'exploitation des usine* d'Henneboot a été arrêtée. alors que le travail_.pour le réseau Il. 0. no comportait pas le moindre risque et rapportait une vingtaine de mille francs par mois. pour un capital réel de 1.20o.000 francs 7 Voici pourquoi cette question.
Votre article du 14 m*r» relatant le rôle de M. de Ylllar.ouv» at de M. Chapt, a la • Henneboataise •, vous conduit à cette concluston M. de Villeneuve ne fut point mâle aux agissemtnts de il. Chapt et n'Bngiifat pae de capiteux dans la société Honnebontatie ».
Ccm là une révélation d'autant plus Inattendue que le liquidateur Judiciaire, M. Molgno, a tidmU M, de Villeneuve, son cousin. comme crtanen de Is toelétô Itennébontalse pour la coquette somme de 270.0&3 francs. qui en réclamait 3Î3.UOU lianes pour icinhonrsenient de ses avances il la s-oclC-té.
Or, la fermeture des atelier» de la Uenncbonta!*e avait été batte, par la liquidateur. M. Jioigno, sur la nature privilégiée de cette créance, immobilisant notre compte créditeur au p. O. d'environ îco.000 francs qui consumait ua fonds de roulement largement suffisant au fonctionnement normal de la noeliie; or, voilA tout IL coup (vous l'affirme/ que il. de vllloneuve n'en pas eréanclor.
D'aune part. votre numéro du io mars. reprodult à la demande de NI. Rolland, la4 factures d'exploitations de l'Uonnebontabe d'où Il résulte bail..6 contestation possible i.M. de Blljnléres, admlnlttrateur délégué) que l'excétteat de reeetie» sur lee dépen>es était pour trois seuts mois de décembre 1320. janvier et lévrier 1921. de I3O.64S fr. 45. Ct n'est pas thal peut un capital réel de l.soo. OCu franc». PuisQue l'on travaillait pour le P.-O. avec un poureemage certain de btnéfice, «uffliant pour la rétribution du capital engagé, pourquoi la fernie.ure des u^lnci u-t-elle été ordonnée malgré les vives protestation* du Confell d'administration Ebt-ce que la ruine deii Hctlonnairég n'est pat due & la fermeture des usines nlmi imposte f ut A la demande de NI. Molgno, administrateur du roglrratnt transactionnel, devenu le llijuldiueur ju. dlclAlrc, fonction mieux rétribuée, coiifln de U. do Villeneuve, étant entendu que le liquidateur est couvert par une approbatinn du juge coniinis»ftlre. A cette conception ralaonnnhle et équitable continuation de l'exploitation on a préféré Jeter les ouvriers dnu» 1a rue dans les huit jours, continuer dft* dépens iras9unnc*!>; perdre parUe)- lement fiictli immobilier et marchaniltseri, ausci. tAr plaintes, proce!. expertise», consultations juridiques aux frais de la société, et mettre au vent ries noms ri'ndministrateurg comme auteun présumés reaponNililcs d'une ruine qui, a partir du 9 aont I9#>. dorait être évitée, ninsi que l'attestent le4 réMiliats d'cNpIoltatlon Indiqués ti-dwsii». Pourc|iiol. au liénéfl^e de qui t T
P. TtxitS.
Nous ne répondons lits ;t la lettre de M. P. Texier pour ne pas allonger démesurément cette enquéte Qu'il nous soit permis cependant de faire remarquer à M. P. Texier. que, dans crtte affaire, .me seule chose nous imporle In vérité. Et quand M. Texier, faisent allusr u ii l'ariet :es opérations de la Hennebontaise Il'étonne, puis. 6emblar.t ee tourner vers nous, demande Pourquoi t au bénéfice de qui T a nous répondons: Interrogez le luge d'instruction ou parlez. S'il est un bénéficiaire encore inconnu, qu'on le dise. Li Iumi6r« ne seta Jnmiiis trop gr.'tnde Fur cette affnt:e.
Nous souhaitons, r.ous. la lumière aveuglante t
ri p'ttir iïébf la Phosphatine Falirre* Forme avec le tait, une bouillie délicieuse et fortifiante, nécessaire aux enfant", utile AUX vieillards et ronval[>?cpntE. Exlper la (rrnnde marqua Phosphvine Falléres. EN MARGE D'UN ASSASSINAT POLITIQUE
Paris. 1 janvier. Or. se souvi?nt que la ^.? janvier derniei', :^iTt% t'assassinât, par !:i lib.Tt.nir? Germaine Bprtr.r. de M. M-arius Plateau, des dans Ie5 loran: nu s'irijirir.i"! l'iK«i;rc, dans les bureaux do VRro V.11/1. f'c. Fnmnnt état d'artlclrs piiru? d;ms r-'s d€i" j-'nrnaux, nnte1rlPtirement '1 mnrt trngiquo rtf M. Marins Plateau. mi cprt'tln nombre :le camelots du nni saccadèrent. !>>s deux Imprimeries
nuiuurn nui, in n« t.mimDM correctionnelle, consacre son sudienrr a l'affaire de Sent cnniclo; du hci MM. Fr,i>cols de I. nuit. tli\ l.uJi-n M.irtm, de Bout*, ville, fionrso? Trlbou'ct. (ïonrKiieclion père ti fils et lienri Burdin. sont inculpas. Il leur est reproché d'avoir détérioré ou brisé plusieurs tinotypps servant le. composition du Journal. VŒuvrn se portr partie civile. Dès l'ouverture de l'audience, le déhat tourne rouit. Le tribunal est, ci, eflct, sniel puM» de Roux, au non de tous les prévenus de conclusions 4 ce 7u' st> déi,l.irr tnnorrtpçtent. %le de Roux soutient qu'ou nn se trouve plus en for. d'un d'Ut lust'jlnble do la juridiction rorrrctioiincllo, m;)!s d'un c-ime relevant de la Cour d'Assises
Après observations dtt substitut, M. i-rémicourt et dn M» fzouard. r.j nom de VU.uvre, le tribunal rend un jugement Joisnant l'inrldent au fond et les témoins so;:t entendits, après que %le ,il' reiux eut déclnn aue ses clients falealent di'iiiÉ
Après réquisitoire dc M. FremIcour'. lf tribunal, se déclarant compétent., a prononcé pnr défaut les condamnations suivantes M. Frantz de la Motte. 6 mois de prison, .1O.1 francs d'amende NI. Julien Martin, R mol? df Prison, 5t)0 francs d'amende MM. (ieoreos Trihonlet. pt André-Auguste Burdin. 3 mni. ,1,? prison chacun et 600 francs d'amen V m. de Routteville, 2 mois de prison et v' francs d'amende: m. GourguechotC 1 de prison et son francs d'amende. l.i/.t;re, partie civile, obtient i.onrt francs de 'lommages-fntérîts et le Populaire, pnrne ivile également, qui est imprimé à 1 imprimerie de J'Œm-re, 2.000 francs 4e dommages-intérêts.
Un héros de la légion garibaîdisnne écumeur de trains
Paris, lfi avril. Le cnpitaine d'état-major IMmitrio Poggi, ancien héros de la Légion gnribaldienne, comparaissait cet après-midl devant la 10» Chambre correctionnelle, accusé d'avoir commis plusieurs vols dans les grands rapides.
Le 4 dérernbre dernier, l'inspecteur Pelvé. de surveillnnce Il la Rare de Lyon, remarquait les bizarreg aciàsements d'un voyageur au moment du départ du Cote d'.At.ur. /inspecteur prlt ce vovatjenr en nature et mi mit la main au collet nu moment ou Il enlevait une valls» appartenant Il un industrlel, M. Faux. On trouva sur te voleur 27 hulletins de baeTjjrs. y clefs de valises volées au cours du dernter trimestre 1952 danf 1es gare; rie Pnri'. BniTplle.v Rome BarceIon». Lille. e(,r
Le capitaine Poggi s été condamné a 4 ans de prison.
QUAND LES ALLEMANDS CÉDERONT
La France et la Belgique
seront en mesure de soumettre
des propositions fermes
P*»'»« J6 avril. on tait qu'à la utile de la demitre conférence qu'ont tenue à Paru les Ministres français et belgeï, il Il été décidé qu'uu Comité, dirigé par MM. Barthou et Delacroix, assistés d'un certain nombre d'experts, établirait un programme pour lea réparations, de telle sorte que le jour où l'Allemagne capitulera, la France et la Belgique soient en mesure d'indiquer clairement ce qu'elles entendent obtenir. Avant que se réunisse ce Comité, M. Poincaré a désiré conférer avec M Barthou, qui représentera la France. Il a donc reçu ce matin au quel d'Orsav la Président de la Commission des Réparations. M. Mnu- clère, délégué français, adjoint à la Commission des Réparations; -NI. Deperetll doUa Rocen, directeur des Affaires politique. et commerciales, et M. SeyJoux, sous-dtreoteur des Relations Commerciales étaient 1 r'sents. Un échange de vues a eu lieu entre le Préaident du Conteil et ses Interlocuteurs au sujet des conditions Aans lesquelles le programme envisagé pourra être é:aboré. A la Fuit* de cette conférence, il semble que l'accord dolvo s'établir aisément entre Paris et Bruxelles. Autant qu'on peut le prévoir actuellement. fe n!«n ds réparations nr sortira nau du cadre dressé par les Aillés le 5 mai 1921. L'Allemagne ilevni Acquitter tes bon» A et n d'une valenr de 50 mlnlaids de m.-irks or, sur lo-nuels l'il reviennent a In Franr», noft îr, nillli.irds: R la P.els-hiue, soit 4 milliards: 22 .la Grande-Bretagne et 10 ntalle. Les bons C ne seraient pas émis est serviraicu; de rninpensnlion nux clettes inleraliiées.
A-U?n.i.teïmîs' de 1'état rt" paiement du 5 mal.Ai ̃ A116™1?"^ pourra s'acquitter, dans un délit do H3 ans envirnn, en payant à peu près un milliard <>t drml par nn, mais l'évaluation de la (Ruhr devant être proportionnée it «es paiements, le Reich. pour recouvrer au fur et mesure lo frnpe économique faisl par les alli^. nur<i don. intérêt et c'est ia le rnit nouveau, le nltis rapiOement possible, en particulier 'en provoquant un emprunt, intem^'innal
LES ACCORDS CHESTER Une démarche de M. Poincaré
à Washington
P*RIK. 16 avril. Le Matin annonce que M. Poiru ata a prescrit une cKmarotie à Waslunsrton au fujel de la conclusion des accords Chester. Il fait remarquer au gouvernemet des Etate-Unis que certaines des concessions accordées au syndicat américain ont pour effet d'annuier le; avantageas consentis en mu aux ressortissants français et qu'il doit faire par suite lotîtes réserves en vue des négociations qui vont s'ouvrir ù Lausanne.
L'Angleterre n due snn côté fait uno démarfhe du même genre.
LE PRÉSIDENT HARDING AFFIRME L'AMIT?É DES ETATS-UNIS
POUR LA FRANCE
Paris. 16 avril. M. Millerand a inauauré ce matin aux Invalides le Musée interallie de la grande guerre en présence de Ni. Mvron T Htrriclt, ambassadeur des E:ats-l.'nis, et des attachas militaires de toutes les nations amies et alliées.
A l'occasion de cette inauguratlon, l'ambassadeur çles EtRts-liniA a exprime les senti.ments les pt cordiaux du président Hardluc pour le président de ln Hipublique et pour la nation française. An nom du président Hatding l'ambassadeur a ajouté que le gouvernement et le peuple américains n'avaient p.is de plus sincére espoir que do voir à Jamais persévérer la complète entente et la constante amitié qui ont marqué pendant la guerre les relations des puissances aillées et associées comme un témoigniiKC perpétuel de la vraie fraternité des nations ci des peuples. NI. Millerand a liés vivement remercié M. Myron T. Herrick de cet amical message du président des Etats-Unis.
D'autre part l'ambassadeur de France ft Washington a été invité il remercier très sincèrement M. Hardln.s:. au nom de M. Millerand, pour cette communication dont les ter. mes particutièrement cordiaux ne manqueront pas de toucher profondément la nation française.
DES TELEGRAMMES AUTOGRAPHES
PARI; 16 avril. Le Matin annonce que très prochainement, Il titre d'essai deux Ill'échange entre Paris e' Lyon, d'une part et entre Paris et Strasbourg d'autre part, de télégrammes reproiiuisant l'Acrlture autogrnphe deis expéditeurs.
Les télégrammes .écrits Il la main, seront reçus par le3 'destinataires, eus la forme d'une photographie de l'o-lpinal. Les document3 à tranïme'trc, docu.nonts de traits seulement, cVst-ft-dfr». tous tracé* en noir sur blanc, pourront <WiJemnvint être quelconques el 1 .s message.; "pourront atr;, snjt des textes, soit <1.-s de-sslns, oroauis, plant», etc
On pourra oxpédier .1 la vitesse d'un télégramme ordinaire des dessins, des schémas utiles aux Ingénieurs, des reproductions de modèles et d'échantillons pour le commerce. Enfin les textes écrits en caractères chinois ou japonais. la sténographie m£m« pourront être télégraphiés sans traduction préalable. L'ATTENTAT
de La Ferté-sous-Jouarre Mue*, IR avril. Le Parquet de Meaux a décidé que l'attentat commis pnr trois soldats contre le lieutenant La Carrtère était 1 C'en probablement If C^risei! du .V c<^rps siéseant Orléans, qui instruira ce crime. L'état du lieutenant s'améliore.
UN COMPLOT ANARCHISTE A PARIS
De nombreuses peraonnalités, dont MM. Millerand et Poincaré, 1 étaient menacées de mort
PiBiS. 16 avril. A l'insnuctlon ouverte par le Parquet de la Seine contre Germain» Berton. propos de l'issasslrut de NI. Plateau, est venu se greffer une seconde information pour association de malfaiteurs que va diriger le même juge, M. Devise. En effet, des renseignement», témoignages et documents divers recueillis par le magistrat instructeur au cours de ties rechercues sur le meurtre de M. Plateau, Il apparut que 1 hôtel du 8 de la rue Lecuyer où habitèrent Germaine Berton, l'anarchiste Gohary dit Mnrmnud. lequel s est suicidé par lA. suite. Antonio Rubin dit Blnquelle. dit Paradis. sa maîtresse Marguerite Bary, Fragne, dit Snint-Etienne et 'autres, é ait un repaire d'anarchlstee où sc forma un complot ayant pour but 1'assasMnsi de diverses personnalités politiques françaises Polnoaré, <\ndré Lefèvre. Daudet, Maurras. etc.
Ce complot dont on a parlé dès lA mort de M. Plateau n'avait jusqu'ici reçu aucune confirmation, lorsqu'il y a quelques jours. l'anarchlste Antonio Bublo. dit Paradais, actuellement détenu à la prison de la Santé, aous .'Inculpation d'emploi d'un faux livret milt·talre et infraction a un arrêté d'expulelon. demanda A taire des révélations au juge. li expliqua qu'en effet Germaine Berton et Marguerite bary avalent formé le projet de tuer plusieurs personnalités politiques et tontes deux s'ouvrirent de leur projet à leurs amants, Gohary et lut. Ceux-ci refusèrent d'entrer dHti« rettp conjuration et c'est alors qu'ils se sépareront.
Ce fi;t le 32 janvier que Germaine Berton mit son projet il exécution eu tur.nt M. Plateau.
L'anarchiste espagnol aurait fourni d'autre» précisons sur le complot au magistrat instructeur.
Le jupe. M. Devise, s'est rendu ret anro*mkli .Inns le? rrlt,,iaS ri,. (-nl .,(.,<. Rerfhnn et ri" Pubin. a S-lini-Laznre. où il a f.>i«i AU CONSEIL SUPERIEUR DU TRAVAIL
Paris, 16 avril. La commission pnrituir* pour l'étude de la participation aux bénéfl'-i=? que préside M. A. de la Vll!«boi*ner. ancien député, a été entendue aujourd'hui, par la Commissinn permanente du Conseil supérieur du travml au sujet de la participation aux bénéfices. Elle a remis i ',a Commission le texte de la proposition de loi qu'elle avait atloptée dans f=eg réunions antérieures, aux termes de laquelle la participation aux bénéfices deviendrait obligatoire, d'une part dans des sociétés concessionnaires de l'Etat, des départements et des communes, d'autre part dans les sociétés nnnnymeci et les sociétés en commandite par action. par le icu d? cette loi ou par la création de parts bénéficiaires. Au sujet du repos le Conseil professionnel, tout en maintenant si résolution antérieure sur le principe dn repos du dimanche, a décidé de réclamer au S^nat le cnte du projet de loi adf.iit4 par l.i Chambre, en vue rî'nbtenir pour ln jowr do forrriPture ries établissements d'une f'sfion rt d'une réginn déterminées, lorsuu'up aroord sera entre les syndics:? p-strornux et de salariés intéressés.
LES RELATIONS ECONOMIQUES AVEC LA RUSSIE
Un groupement industrie!
s'y montre hostile
noBOTAfx, 16 avri: ii.; cunsortiuin itant actuellement en formation t'an^ le but de ,grouper toutes les mairo.,» françslfe» rant traiter des nffmr^s ave- la rtnssie i.i société pour la dffenss riu coniitPrrc et d» rindustrie a la. nppelée A ce nrftn"n'*»>r «>;r la question de la reprise d.->s reh'lnns économiques avec l'andC'. cmpir". F"p .1 cn:iclu à la n^srati\-e la plupart de* lndu<!r> qui ont ohtenu des conresaions en Rusfis ayant dû renoncer les exploiter.
PETITES NOUVELLES
Par suite de diverses circonstances matérielles. Ie raid Paris-Tomboucrou n'aura pan lieu en juin comme il avatt été annotr». mais seu!ement ait mois d'octobre. Un appareil spécial a quaiie moteurs due 560 chevaux a été commandé
«erse ne Lin/, Vja condamné A 10 an» de réclusion pour cambriolages et vols qnalifiés a comparu devant la l.T chambre correctionnelle pour sept vn'y simples ainsi que Mme Fannv Rnhert, dite do Tessnnrourt La suite des déhats est renvoyée.
La chambre patronalp de la contnre parisienne publie un ordr' du Jour Invitant les gréviste* à rentrer et -z réservant de proposer fi sec adhérents toutes les mesures qui lui semblcn» utile» aux Intérêts de tous. lorsque i.i prève sera tirrninée
A Rouen. le mineur Jullen Moulard. •>s ans. qui travaillait an commet de la tu- se de non-SPcoitr», haute en rot endroit d'une soixantaine de mMres. A détacher d#« blocs de rierre. a été écrnsé par un de ce» blocs.
L' « Officiel public un décret modifiant la tarification de la corrc^Dondance téléphonique entre la France et l'Allemagne.
A Lille, la grève du textile est effective depuis hier mntin.
La Commission de la S. D. N. pour l'étude des questions militaires, navales rt aérienne» s'est réunie. A Genève en vue d'examiner le. conditions d'application de la réduction dcs armement» ainsi Que In projet de traité général de ftarsntirs mutuellea que t,oM Rnbert Cécfl avilit présenté il 1a ComLes imédalllos de la famllî* français livrée, contre riMnb'iurvment. seront vendues aux nrlr suivant.» mAdaile de bronze. le francs ro'1*i;> d'-rsrent. 4 ,'r. et m<HatlIsmM Pacha est arrivé il Const*ntinopl«il repartira mercredi pour Laujarin».
AU IV* GROUPEMENT ECONOMIQUE REGIONAL
Sous la présidence de M. F. Deniau.I, président de la Chambre de Commerce de Rennes, le 6* groupement régional économique, réuni le 13 avril, a pris les déchiri-i!- suivantes
l' Le Groupement appuie favorablement 'e nouveau régime pour les colis postaux 20 Insiste près de la Compagnie (l'Orléans pour que. en raison du grand nombre. .le voyaglurs utilisant, en été. les express Paris. Quimper et de la distance kilométrique parcourue, des voitures de première clnssp aus^i confortables et aussi modemieéfls que relies circulant sur les autres grandes limes du réseau, soient mises à la disposition des viyageurs Paris-Quimper:
e
3° Demande, en raison de rinteiiCe circn :ation de voyageurs entre Quimper et Brest n) Que l'expros» Paris-Qnimrter arrivant i cette dernière ville le matin il 7 h. 39 soit prolongé jusqu'à Brest bï Qu'un express parlant ci.. Rrest ver* 17 h. 30 assure d'autre part, In correspon- dance avec ce]')) quittant Qnimper pour P>' ris vers 19 h. 5
4° Approuve le vœu émi: par le ComitA R.igional dee Conseillers du Commerce extérieur, et tendant a la suppression vies mesures édictée» par le roiivemement britannique pour l'Introduction en Angleterre .le pommes rir terre proven-1* •'̃" départements d'IKe-ct-Vi'nine. des du Finistère et du Morbihan nnn atteint» du doryphora
5° Donne un avis défavorable au projet de loi relatif in participation obl'çatoires des ouvriers aux bénéfices.
i
AUX ASSISES DU VÂR
UN INSPECTEUR
DE LA BRIGADE MOBILE DE RENNES ACCUSE UN BANDIT
MRjkGUlGIUJI. 36 «vri!. ;l't" 'loin arrrespon.uni particulier. bu inspecteur de la bric&r!« mobile di ftennw. M. Pierre Fa?glanl. a fait unh déposition absolument décisive devant la Cour d'Assises rlu Var, où se déroulaient les débats relatifs au meurtre de M. Blanc, directeur de la police d'Eta' de Toulon.
On ee souvient que le 8 -décembre 1322, un bandit nommé Delval qui avait déjà commis plusieurs crimes, tua dans une mansarde où il s'était réfugié place Garnbetta, à Toulon, ce haut foin-iinii-iaire de la police. La -d^pofition de M. Faggiani peut ainsi se résumer Apre* nvoir fouillé les ('ombles de. l'église Saint-Pierre .ni le bandit s'était réfugié avant qne d» passer sur les toits de l'Hôtel des Etats-l'nis, Vinspecte-Jr de !a Sûreté se trouva face à face avec Delval. Ce dernipr tira un coup de revolver une balle atteignit à la lAie 'NI. Fnggiani qui tomba étourdi ;ien<4ant quelques minutes, puis se retira. Rencontrant dans l'escalier M. Blanc qui montait, il jui dit
« Valiez pas en haut. Monsieur le Directeur vous courrez à la mort.
M. P.lnnr répondit « C'est notre devoir ri'y retourner'1: a'.lons donner l'exemple Quelques minuties après, le bandit tirait à bout portant sur le Directeur de la Police (S'Etat, qui sVcroula dans les bras de M. Faggiani.
La il i'-f en.se a.vaiit nr;iué que c'étaient :ps baltes tirée? 'par l'agent Mattei, qui se trouvait mit les toits de l'immeuble. qui auraient pu n;iPin<1re M. Blanc, l'inspecteur Facgiani 'ipofta J'affirme sur la foi dn serment (•lie c'est Delval qui a tué M. Blanc. Il est •natérie'lpment impossible qu'une balle tirée par qui que ce soit cn l'état de la disposition ries lieux, nit pu atteindre M. Blanc. Cette déposition faite avec facilité et d'un ton l'-nerpique. » produit une réelle impression iiir l 'iii'litoirp. L'élément féminin y dominiit et il flottait dans cette 6allp quelque eihe-se rte mn'snin. Delval. comme l.andru a Versailles, plastronnait et prrnait des r>o=ps avnnîasî:isrç devant plusieurs centr.ines ,1» personnes qui apsi-taiont ans débats. LE FROMAGE JEI.A.-V-A-X.HT. de NOYAL-?rR-VILAINE. 5p trnuve chez tous les Marchands ds Comestibles.
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mif« <̃'« -ad i f>t,rM-l'Aatr. [1* ru tlrub -y. p. Irait de recher €.<xm. (U la demi»de émxn* d'an civil 01. KJ.
AU CONSEIL GENERAL La prochaine cession s'ouvrira lundi prochain On sait que la date de la réunion des Conseils genérauy a été fixée au lundi 30 avril par le Sénat.
En raison sans doute de la Foire-Exposition et des fêtes ou manifestations auxquelles cet événement commercial donne lieu, nous apprenons que les conseillers généraux d'IUe-et-vi laine ont 4té convoqués pour lundi prochain, 23 ovril, Il '1a Préfecture.
On prévoit que la sesslon durera deux ou trois jours.
ixôôïsë pr1 re Vf. M Y
LIQUEUR •̃• J=J
LA DIVA CHAMPAGNE
A LA CHAMBRE DE COMMERCE DE RENNES
Sous la présidence de M. Deniaud, la Chambre de Commerce de Rennes a tenu le 16 avril une séance au cours de laquelle elle a approuvé ou émis différents vœux relatifs aux transports, a ta circulation des chemins de fer, à l'exportation des pommes de terre. la législation ouvrière.
Elle a approuvé
10 Le voeu de la Chambre de Lorient tendant à la mise à la disposition des voyageurs, pendant l'été, d'un wagon-lit dans tous les express circulant de nuit entre Paris et Quimper 2» le projet de nouveau régime des colispostaux.
Les améliorations seraient, pour le moment, limitées au régime intérieur
Le régime des celle-postaux
Après discussion dee dispositions proposées, la Chambre adopte les vœux suivants 10 Tout colis postal, remis en gare avant la fermeture, devra être à la disposition du destinataire a) le lendemain avant midi, si la distance entre les gares expéditrice et destinataire n'excède pas 75 kilomètres b) le lendemain. avant la fermeture de la gare, si cette distauce en comprise entre 75 et 150 kllomètres c) le surlendemain, à l'ouverture de la gare, si cette distance est comprise entre 150 et 3(« kilomètres d) au-delà de 300 kilomètres, le délai .de remise serait fixé en comptant une vileese de 15 kilomètres à l'heure à pariir de l'heure de la remise.
On prendrait pour base kilométrique la distance courte telle qu'elle est indiquée aux tableaux des distances intérieurs, ou A et B. en trafic à plusieurs rémaux. ou mieux. alnal qu'il est prévu pour 1? calcul drs prix dis nouvelles coupures qui seraient créées de 15 et 20 kilogs. la distance entre les chefs-lieux des départements auxquels appartiennent les oViix gares expéditrice et destinataire. I.c tableau qui serait joint nu tnrif des colis postaux éviterait des documente corn. pl°xes. onéreux, tout en facilitant le calcul. 2° Le colis non livré le 45» jour serait considéré perdu et c'est le iri' jour que le destinataire on l'expéditeur devrait être en droit rle le remplacer Pt dr débiter le réseau de sa valeur et en plu?, de l'indemnité dup pour retard
3» Pour Us colU postaux de 15 1 20 kilo): qu'il y al' un prix un.'crne, quelque soit la distance, comme pour les autres .oMs pns4° Quam fi l'attribution de fompétem:» pour le règlent? rit des llttge«, que les Tribunaux de Commère» e^ipui ft partir de La participation des ouvriers aux bénéfices La Chambre donne un avis nettement défavorable au vote d'une loi Instituant la participation obligatoire des ouvriers dans les NWfict'» la loi <)u 2G avril 1917 avant déjà in«iilu^ il?4 «ocifés anonymes ;'i participation ouvrière et le*, société anonymes qui le désirent nynnt la facul'é .T*dopt<>r ,-rtte participation.
POURQT'O! MADAME, boiter encore. In beauté p=t li oui vom tpnrt 1p* bras. REINE DE? CRfMEP nr .7 I.FPOI'ENDIE!! est prête à vnu= In donner. Tn vrn'e partout. L'EPILOGUE DU DRAME
DE LA RUE SAMT-GEORGES
Ainsi que nous le laissions prévoir, hier, Audijiet, ce blessé de guerre, locataire irascible qui blessa de plusieurs coups de couteau Mme D. sa prooriétai'e. débitante rue Saint-Georges, a été soumis il un examen mental.
Cet examen, fait pa· M. le docteur Baderot, avant été concluant. Aud'get a été interné à l'nsi'e rtVparlrment;ii il aliéné.- de Paint A L'A.PJ.R.
Les membres de rM«orintion Professionfolle d. loum'içte* rtennai? «ont Instamn:ent priés d'assister la réunion qui aura lieu aujourd'hui A 13 heures 30, dans les salons du Café Glacier.
EN PASSANT
Trains frigorifiques,
Il nous levient que sur le réseau de l'Etat on a cessé de chauffer lee trains. Nous ne jouissons pourtant pas d'une température permettant d'appliquer le régime d'été les nuits sont particulièrement froides et l'emploi de wagons frigorifiques pour le transport des voyageurs. nous parait tout au moins prématuré.
Mais le règlement est le règlement, absolu et arbitraire. il ne se subordonne même pas aux conditions atmosphériques.
On nous assure que sur le Il. O. Il en va tout autrement et que les trains continuent d'être chauffés. Le bon sens et la logique commandent l'Etat d'adopter cette seconde méthode.
Contre le chômage.
Un inspecteur départemental de l'Assistance Publique a fait dimanche dernier, à Challans (Vendée) une conférence sur la nécessite des Consultations de Nourrissons et Pré- Natales n.
Le conférencier, écrit noue correspondant, fut vivement applaudi par l'assistance où l'on remarquait un grand nombre de mères de famille.
Pour dédommager les personnes venues spécialement pour écouter l'orateur, te Président leur donna à chacune une prime de 5 francs.
Combien de conférenciers devraient recourir b ce moyen. L'auditoire serait toujours nombreux et le métier très lucratif d'auditeur de conférences. ne manquerait pas d'adeptef.
Sous le marteau du commistalre-prUeur. il y avait une vente, hier après-midi, dans le faubourg de Fougères. Le commissaireprlseur, debout sur le seuil d'un immeuble, offrait aux enchères les trésors que l'immeuble renfermait. Cent personnes étaient venue6 là.
On montra un tapia.
Il ne vaut pas trente sous me dit une voisine inconnue.
Le taple fut adjugé pour trente-six francs. On vendit des tableaux
C'est pas mal, me dit-elle, mais ça s'en va en poussière et en morceaux.
Et les tableaux atteignirent des prix très appréciables.
Et un service de table aussi. On ne peut le vendre entier et l'on en mit les pièces aux enchères une par une.
10 francs ce plat creux 1 annonça le commiasaire-priseur.
Le plat creux trouva preneur à. 390 francs. Le saucier. la théière, le sucrier, la soupière, neuf assiettes furent adjugés dans les mêmes conditions.
Allons les fiancés. Montrez votre menage
Un plat creux pour 390 francs 1. Peu de fiancé?, je crois, profiteraient d'occasions de ce genre.
Le Piéton de Service.
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Eruptions duVisatfe La Pommade Cadum calme et guérit toute irritation ou inflammation de la peau et ass're des nuits de sommeil paisible aux personnes souffrant atrocement d'affections cntanées. Elle arrête instantanément les démangeaisons causées par leq maladies de la peau. rien des souffrances peuvent être évitées en employant à temps ce merveilleux remède, très efficace centre l'eczéma, boutons, dartres, gale, peau écailieuse. éruptions, nicèrofi, écorrhur" hémorroïdes. urticaire, Croiïtes, tricr-f. r'n o*. pic. Prix francs. DEUX GRANDS GALAS organisés par
LE CERCLE ORPHEONIQUE RENNAIS IPHIGENIE EN TAURIDE
Tragédie lyrique ds Gluck
après le ?ucce« trionu haï ny>ip"rt.- il y a un mois par le Cern^ Orphéoniste dans l'exécution de la Damnation de Faust, cette :ociété va nous présenter samedi et dimanche prochains la traiiédit lyrique de dluek. Iphlgènie en Tattride
Cette œuvre. con1r;iU?inrnt i1 cp qui avait été fait pour l'audition de la Damnation, sera donnée à la scèni. c'est ft-dirè jouée Pn costumes, dans les décors et avec une mise en scène conforme a celle de l'Opéra Comique et pour laquelle l« Cerc'* Orphéoriique Rennais n engap* quelque» danseuses dont Mlle ntchessary, de l'Opére.
Ainsi que cela a ='.i Iku pour m Damnalion. nntre orchestre s* a renforcé par plusieurs solistes dp l'orchestre de l'Opéra. Nombreuses .furent lot- pfr'onnes qui exprimèrent 1p r^M'et que le Cercle Orphéot'iqu Rennais n'ait pas donné ti'i" audition <\c la DMiinnifni. Nous sommes en mesure d'annoncer ne pourra avoir que <*e\i\ repréf-ration*. cn rifson i]r* par Mlle Jeanne Bourdon, la célèbre cantatrice pnr suite, il sera presque Irrpowible nc donner satisfaction a tontes i,s derrnndo» et le« personnes iMsirei'opa rt'issister 1 ce» bPnux spectac'es devront «r r'Tirp la to^ntlon «nx lour* Indiqué» pnr l'nfflche
PERDU entre R«nn«« et Le Pcrtre. ROUR DE rtniiU ftgcouRI MI0HILIN. Prière rappor-
ter ou faire envol M. CHATON, «t. Boulevard1 Il.. la Rtnnn. FORT! RI0OMPENSI. ftCNSRICNEMINTS JURIDIQUES Pïn'lon: dit lorert héritages, formalité» admlalstr-, etc. Ecrtrt Outitlelatr, renulf JurJd., 1 1. n maad. ou tunb,
SYNDICATS & SOCIÉTÉS ouvriers et Employas DU Ou us Remis L'assombWw générale de la Caisse Il'' Solidarité de l'CWon Syndicale de: Ouvriers et Employés du Gaz il* Rennes aura lieu le mardl t7 avril, a la Maison de la Mutualité, nie Saint-Yves, à 9 heures précises du Mlr.
Ordre dn jonr Election du président: Lecture (le, procès-verbaux; lecture do la correspondance: Rapport moral financier; Admission radiation Avis dlver«; polntajre.
amicale krihik. I^s Inscriptions pour la promenade annuelle dn 99 avril, a Monttort. sont reçues Jusqu'à samedi cher M. Rouault. secrétaire. 2, rue de l'Alma.
Dernier délai dimanche prochain, de il heures H midi, au piège. Café du Cinéma, t. nie Saintïres Le Comttt.
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ETAT-CIVIL DE RENNES
NttSSINCES
16 avril. Odette Clotcaux, faubourg de Pari;, Si-, Jean Pençorts. passage du Verger. Madeleine Leseaux, faubourg de Brest, t9; René Qnergnet, rue Edouard-Turqucty, 16.
ntees
16 avril. Mme Gascoin. née Sicot, S9 ans. rue Motte-Fablet, 3; Emile Saint-Jean, lithographe, céIhatulre, 33 ans, avenue du Oué-de-Baud. 156; veuve Allaln, née Duput, 11 ans, rue de Nemours, 12; Marie Peigner, i. p.. divorcée, 32 ans. Hôtel-Dieu; Anatole Février, employé des portes, marié, 57 ans, rue Saint-Héller, 69; Marie Briant. s. p.. célibataire, Ti ans, taubourg de Paris, 72; Jean Chartirr. cultivateur. 45 ans. clibatalrc. Saint-Laurent. Convois mortuaires
du mardi tT avril t!>?3.
s heures Mino Oa'coln, rue Motte-Fablet, J. Salnt-.Mihln, Nnrrt
10 heures M. tiucrln, rue des Carmes. 3. Toussalnts. Nord.
2 heures Mme Hervé, llotel-DIeu, Eïl
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Nous somtnes heureux de faire savoir nos lectpurs «rue l?s célèbres bicyclettes AUTOMOTO, (le Saint-Etiienne, sont en vente chez M. LENORMAND, Cvcle* ;i Gévezé.
Le calendrier des fêtes vitréennes en 1923
Le Comité des FiMei- s'est réuni vendredi dernier à 8 8i. 45 du solr. :1 la mairie de Vitré, tous la présidence (le M. Chantelot, arljoint au maire, prAj.i-dent rlu comité. M fiarreau, maire, v assistait.
Le Président fit d'abord connaître qu avait reçu la démission de NI. Dodav<1 des Logée, vice-président du Comité, qui quitte Vitré pour aller habiter Benne. Il exprime les regrets que causera ce départ an comité tout entier qui avait pu apprécier l'activité et le dévouement de norlnrfl des Loges et lut reste très reconnaissant des services rendus
Il transmet ensuite les remerciements du Président du « Souvenir Français ». auquel a été versée une somme de In!1 francs, pro- duit d'une qu^te faite au Théâtre nn profit de cette société le 11 novembre dernier. pni« le Comité aborde le reniement < I u cnlcndri^r des fètes pour l'année lfl?3.
Le 13 mai orocliain. jour de la fête 'le Jeanne d'Arc, ,1'1 • Vitréenne • organise™ un concours de symnaetique auquel prendront part ;e.s «étions féminines du Cercle PanlBert de Rennes, de TAvant-fiarde Laïque ^e Fougères et .de l'Etoile Féminine I.avalloisc Le Comité de la « Vitr^enne ce chargera d'établir 1. prosramtîip rt* la f?te qui se ,1éroulera l'après-midi, au Stade municipal. Le programme comprendra aussi une fête de nuit.
Le 27 mai egt la date 'Menuo pour le Concours de pêche traditionnel, au Jardin public, concours apprécié des chevaliers de la gaule, si nombreux 'n Vitré.
Le 17 Juin. Course de Vitré. snr le magnifique hippodrome de Paint-Etienne. il ohtiennent chaque ann^ tir si Vcitini» succès. Le proiraniinp des fêtes du H -uill-et spra dressé en terrir»; opportun. Sicnalons toutefois que le Comité a l'intention de corser le,; attractions par nn <rrr.nl concours rie boules et de palets.
Le rtou de la fête sera pour le lendemain i:> juillet. Fi du moins les démarches entreprises par le Com au résultat désir-s
il consistera il. m un d'aviation qui aurait lieu le dimanche l'après-midi, fur l'hippodrome ils SntM-Ktioune, avec le enncours d>! la Sociélp de. Propagande Aérienne.
Le Préside'it annonce (pie le Comité s'assoriera aussi a. la tite des fleurs de n<?rm°s, en fais-nnt élire, rliron.ciie nrociiiin. 1:,11' r!pmoiselle d'honneur
D'autre, par', d'actifs démnrches ont été faites près de certains industriels <lp la ville, nonr qu'ils participent 'l 1:1 construction d'un char ou d'urn vriturf fleuri* qui fleurerait nu défilé, de ta fjte des flenrs de Rennes.
Enfin, le Cnmliê' a aussi a-ivpté t'offre de lit Soriété de propagande aéTonn-.itique. tendant, il organir-pr." ai' théatr» rniinicipal de Vitré, une oonf-'rienoe sur y.Aviniinn Fra"caiic..«.oj) son. armir Cette conférence, oui scra't donnée mr une personnalitN connaissant parfoitemen les questions aeronautiaues. serait, .inôrnn tnée dn wiectionj, on y verrait, en particulier, un film tout fait remarquable, sur le voyacp Parts-! onrtrcs
Le Comité est d'avis qi'p celle conférence att lieu rlnns Il pipinKrc n'in^rine de 'titi t et.
t'ne autre fêt? e-i ei.crr pn perspective celle dn niinusrnrniir.il de l'électrleit*. Le Comité s'en préoccupera en tempe voulu. Après cette rar-lde r'vup des fêtes oreanis"r d;ins l'année il fi-. le<ée.
POUR LA FETE DES FLEURS DE RENXES. Nous rappelons que l'élection de la demoiselle d'honneur de la reine des fleurs de Rennes aura lieu en la snlle de la Justice do paix nu ChAteau le dimnnche {2 avril, i\ 10 heures précises du matin.
Les Jeunes filles qul se sont fait Inscrire et leurs camarades do Vitré sont instamment priées de vouloir bien s'y trouver pour, en présence de délégués de la municipalité et du Comité des fêtes, procéder Il l'élection de eel'i1 d'entre plies tnii si-i.-i il'ci-i' rommo deinoirclie d'honiiour.
ELECTIONS A L.A CHAMBRB D'INDUSTRIE TOURISTIQUE. Voici les résultats
des élections qui ont eu lieu le Ui n~.>t\e 151 avril, de 8 heures à midi, sous la de M. Chantelot, adjoint au maire, ass>s!>j de MM. Baudouin et Dlvel, conseillers municipaux, en la salle de la lu !*♦"•(• rlp Paix, au Château de Vitré, pour désigner le* iixl membres devant faire partie de Ii Chr.mhre. d'Industrie Touristique de la station de i-' tré Catégorie des Hôteliers-Restaurateurs et Logeurs. Inscrits. 59; votants. 1;. Ont obtenu MM. Chauvin, Il voix: OrillarJ. 11;' Desbois-Moreau. 10; Baxdouil, 8; divers, 1. Sont élus MM. Chauvin. Orillard, OesboivMoreau, Rardonil.
Catégorie des Industriels et Cotnmerçants Vltréens. Inscrite, 94: votant», 15. Ont obtenu MM. Choleau. 4 voix: Ruellot, i; divers 2 et 1 voix.
Sont élua MM. Cboleau, Rnellot..
Catégorie des Adhérents à l'Union du Syndicat d'Initiative. Inscrits iî: votants, 15. Ont obtenu MM. Rupied, 9 voix; Bougenot, 6; divers 2 et 1.
Sont élus MM. Rupied, Bougenot.
Catégorie des Entrepreneurs de transport de voyageur- Inscrits 4. A obtenu 1 M. Binard Fils. 2 voix.
Est élu M. Binard.
Catégorie Vies Commerçants en articles de Sport et Tourisme. Inscrits, 3; votante, 0. MARTICNÉ-FERCHAUD
UNE GRAVE AFFAIRE
La gendarmerie de Martigné-Ferchaud vient de mettre en état d'arrestation le nommé Rebours Arsène, 19 ans, domestique, au service de M. Ciment, cultivateur à la Retnudière, en la commune de Martigné-Ferchaud. Rebours est prévenu de viol et violences commis sur la personne d'une jeune domestique dn la commune âtrée de 14 ans.
Il reconnait lez faits qui lui sont reproches, Ce triste individu a été écroué à la maison d'arrêt de Vitré.
ŒUVRE SAIXT-JOSF.PH. Le* jeune* cens et. anciens de l'Œuvre Snini-.Ios''p!\ donneront a leurs nmis et bienfaiteur- dimanche S2 avril, h i h. 30: !e mar.lt avril, ft h. et le rHmancuc 20 avril. ;i ̃i h. 30. uti' soance récréative dont le pro- gramme comportera une corné- lie en un ;icte. Le Moulin dit Chai qui fume et. un très beau drame en 5 actes, h: Pirate de la Haïtiave dont tous les rOIes seront tenus p::r Ii-s meilleurs; artistes de l'Œtivrt?
On peut réserver ses ^i>r>inip d'usage, a h ils, l'O-'nvi- SoiniJoseph.
M. Pilorpret. vélérinairn. a r;or.ii;i. at!i-:t dp roue, un chien amené la et n'a pu que le temps de l'abaitrc.
Ce chien appurteiiMit n M. ̃•!̃ ri> sounier. houlevard de Rennes.
LA RENTREE DE L'A.G.L. ïc^vn. féminine rie l'Avant-Oarde L:iï(nic a samedi soir sa rentré*.1 cfficifilc du de Monaco.
!a salle 'des réunions, oÙ un vin d'honneur était servi, M>t. Clfssin. président :̃> l'Avant-G-arde Wrrl'lfc:. président f1- l'Amicale Cordier. m!rc. et Sonar îlebern>nrd sons-préfsi. [iriren' suc. f'iverm'iit la parole pour féliciter les iei?:ips ainsi que M. Oorno'ivpl. monit-err, et Mi!» Dapil:y. piv?i>nte de la section.
La rénnion se termina par un cii-s-nr :u Choral Laïqus.
met. Ô9 ans. journalier snn^ .i'!omici!e fi–?, originaire des Cotes-rlu-Nord, a <Até nrrôr^ i i Sainte-Anne pour mendicité. vagabondas-"1 et défaut de carnet antbropométriqiir.
POUR L'AMELIORATION DE LA BANLIEUE
Le lecteur de YOnrst-Eclair f|;ii avait r5pondu il notre enquétp sur les de i:i Danlieue par uno étml? tu's rnin|iU".e «le !i question parue ici moine ilu 2U au £7 janvier avait conclu dans les termes suivants C'est il l'initiative privçp qu'il appartient de prendre les devants. Mais celle-ci ne pourra agir avec efficacité qu'en grouhant sts dans une associatiiMi on syndicat, cltcidé non seulement à faire des éruJes prélimiliaires, mais encore à poursuivre l'exéVution du plnn adopte jusqu'à >on .-iv.hèvrment •.
Le « réalisateur Qui rivait v llgri-s peut être satisfait. En eftci. une partie ̃); s l'arrêté de M. le Maire relatif ;1 la constitution de syndicat pour la mise en éi.it de plusiours rues privées, vient de décideur d'une façon très nette d'agir dans ce sons. La municipilitiS s'nrmant de la loi «le juillet de 101*. demandait aux propriétaires de ces rues de se constituer en syndicat, Los propriétaires, estimant il que'qi:os exceptions près que leur quartier le quartier bil- néaire avait besoin d'améliorations, ont senti la nécessité d'un groupement pour qiu* leurs nies ne restent pns dans la boue. I a municipalité1 de snn roté a fait i-r^uve d'un larfTe esprit de conciliation et.ge de vues qui a eu lien au cours de la ruunion de samedi, on peut dire qu'un grand pas a été f.nit vers la solution rie la question.
Peu importe en effet nue 1e groupement de propriétaires s'anpelle ni] aminale, l'essentiel est qu'il existe et qu'nnn fois selidement constitué, il étudie de concert avec la municipalité les mesures i\ prendre. L'affaire paraît donc être en bonnp voie; les mandataires des propriétaires désigné* au cours rie la réunion de samoJI. MM. Ro«sarrl et Amellnp. auront, nous n'en doutons pas, mener il Men l'crnv™ qu'il s'ngit d'entreprendre.
CONSEIL MUNICIPAL, Le Conseil muaicipal de Salnt-Malo s'est réuni hier soif en que d'une arroseuse automobile. Il a en outre traita différentes questions dont nous rendrons compte demain, 4
8alnt.8«rvan
CUNs&lL MLMC1PAI, La sOance publique du Conseil municipal annoncée pour mercredi 18 aura lieu jeudi 19 à 17 h. 30. Voici quel est l'ordre du jqur 'l'errains Tassei (acquisition terrain de la Buzonnière. t-nccordement rue de la Marne, canalisations .l'eau, etc.); indemnité de logements aux ins• iiu.eurs; (tèlibtraf.on du Conseil municipal le (iranviile: nomination de délégués (révi;on de la Ilsie électorale des Prud'i ommes) •urnée l'asln: dcmcnif? diverses: soutiens .V famill*.
Cancale
• FRAXCO1» Llife B\S LI.EUS Ce !'ra donc les samedi 2s et dimanche 29 avril nrliains que seront données, au Casino muToute la presse a préoit un grand succès cette opérette.
Afin que les cancalats puisent assister à ces représentations, le Comité mettra, ces iojre-ci. des cartes en v»me chez M Leduc, rnef de la musique municipale de Cancale ou chez M. Touehpt, receveur buraliste. Enfin. le Comité a obtenu qu<- le tramway, parte de Saint-Malo. le dimanche 2U, 7 heures, Le prix des places est le suivant 12 fr.; 8 fr.: 7 fr. et 4 fr. Location 0 ir 25 en SU6. Dol
SEANCES RECREATIVE: Deux séances récréatives seront données au Patronage Saint-Samson, par les jeunes gens du Cercle, les dimanches 22 et 29 avril, fi 8 heures du soir.
Au programme r iu Pays des (ligues, comédie en un acte de A Voisine; J'ai un domestique, comédie en un acte c<. Jean des drame Les Francs-Tireurs de Belfort sin.
Nombreux intermèdes 'chansonnettes et saynètes). L'orchestre symphonique, prêtera son concours aux deuz soirées.
Prix des places Première. 3 fr.; secondes. 2 fr.: troisièmes, 1 fr.
ACTE DE PROBITE Mme Henriette Touzé. vendeuse de l'Ouest-Eclair, à Dol. j a trouvé, ces jours derniers un portemon- naie contenant une certaine somme d argent, qu'elle s'est empressé' de rendre sa nro- priétaire.
Nous adressons. a Mnv r..uz#, nos sin- cères félicitations
Tinténlao
COMICE AGRICOLE. Ainsi que nous l'a- vons annoncé, une réunion des membre» de la société agricole du canton de Tinténiac a eu lieu hier à Saint-Domineuc. Une centaine de membree, Tenus de toutes les communes du canton, composaient cette réunion qui débuta par la formation du bureau. En voici la composition M. Robert, conseiller général, président MM. Aubry et Phily, conceillers d'arrondissements, vice-présidents M. Gicquiaux, trésorier M. Clement, trésorier-adjoint M. Vaucelle, secrétaire M Dumesnil. secrétaire-adjotnt.
La date du mardi 2 octobre fut choisie pour le comice agricole de notre canton, qui aura lieu cette année à Pleupuener.
Voici les noms des commissaires <lé*ienés pour classer la tenue des ferme? NI, Brizart, à Châtelain, en Saint-Domineuc NI. Garnier, i la Jeannais, en Pleugueneix M. Larrtoux, é Trésoleil, en Saint-Thual M. Chevalier, maire de Trimer M. Hervé, maire de Plesder M. Lannay. an Vil'™, ru in l"hnpelie- an-Filtzméen
LE CHALLE\CE DE DINARD. Seule, La Reaumanoir a présenté dimanche dernier six de ses membres aux éliminatoires du challenge de Dinard. Ils se sont classés comme suit lw Hautiei 320 points <:• Gulco. 250 3. Viol, 250 4« Gallais 1S5 v 170 6* Collet, 165.
POUR LE FESTIVAL. MM le* Présidents rles sociétés fédérées de Dinan sont pries dé désigner aux secrétaires du comité du Festival. MM. J. Heurtel et Letaconnonx, un membre de leur société qui voudra bien servir de commissaire à l'une des sociétés musicales qui viendront à Dinan à l'occasion du Festival. BAL DES MEDAILLES MILITAIRES.- Nous rappelons que le bal de la section dinannaise des médaillés militaires dott avoir lieu au théâtre, à 20 h. 30. Toute le monde sait que c'est là l'une des plue charmantes féles de famille. Les cartes «ont vendues chez Ni Badune. trésorier de la société, bureau de tabac à l'angle des rues de la Mittrie et Chemineron Pt chez tous les membres de, la secton ♦̃
PLOUASNE
Un attelage tamponné par le train Samedi deinier, vers 17 heures, M. Josepn Luraine, 42 anb, cultivateur à la \'arairie, revenait du marché de Plouasne, conduisant sa voiture au petit trot. Il avait avec lui sa fille Marie, âgée de 12 ans, et son voisin, M. Renault Marie, de Travenneuc.
Quelques mètres avant d'arriver au passage à niveau de la Vieuxville, passage dépourvu de barrières, ils aperçurent un train supplémentaire qui se dirigeait vers Plouasne. MM. Luralne et Renault saisirent ensemble les guides du cheval r>our tenter d'arrêter l'animal. Effets inutiles, le cheval s'engagea sur la voie, fut happé par la locomotive, tué presque sur le coup et tralné fur un espace de 180 mètre!'
La voltiir« !u\ projetée ron!re le remuais. Mlle Luraine se releva presque indemne, son père portait de nombreuses contusions, mais M. Renault, assez sérieusement h!"Ssp à la tête. restait sans connaissance Il a été immédlatement transporté à Plouasne, où Il a reçu les soins de M. le docteur Cormao, de Guenxoc, qui ne pourra donner un pronostic que dans quelques jours.
SEVERAC Il
UN CULTIVATEUR ASSASSINÉ
SUR LA ROUTE
Lundi matin, vers o mar- chand de bestiaux à Sevérac, passant route de Redon, découvrait dans le ruisseau de la Barre, près de la station des chemins de fer, le corps fl'un homme qui t.e donnait plus signe de vie. Ni. Ba tir avertit nns^'tf.t le garde-champêtre qui. avec l'nide «V iloux habitants, retira dp l'eau le défunt qui fil! 1 alors reconnu pour être %1. Pierre letx. M. •• .-»-|».riii Chez son henu-rrèr? HvIup!. :'i !.< ou avait lieu uu festiu de bouilûi. Verts 30 [ <
heures, revenant chez lai, 11 fut surpris par une averse et s'abrita quelques instants au débit Ménager, prtE ue la gare. Plusieurs consommateurs s'y trouvaient. Ménandais s'installa, lia conversation avec l'un d'eux qui l'accompagna lorsqu'il reprit sa route. Que se passa-t-il ensuite t On n'en sait rien. Toujours est-i, que Ménandais porte de nombreuses trace.- Je coups, probablement faites A l',ide d'un bâton et. derrière l'oreille, une blessure sanguinoiente parais- sant avoir été faite par un coup de couteau. On retrouva dans la poche du cadavre un couteau ensanglanté qui ne lui appartenait pas et qui. sans dnutf avait été glissé par l'assassin. Le meurtrier avait dû. ensuite, se débarrasset de sa victime en la poussant dans le ruisseau.
La pendarmedie de St Gildas des Bois a ouvert l'enquête et s'est mise à la recherche du meurtrier. Dans la soin» de lundi, le Parquet de Saint-Nnr.aire s'est transporté sur les lieux acrompatrnft d'un mérlfcin-léglste lui a procédé à l'autopsk.
PCDÉNÉ
Elle avait étranglé son nouveau-né Dans la journée du 7 avril, Marie-Joseph Rivière, femme Le Corre. mettait au monde une petite fille qu'elle étranglait et cachait dans la ruelle de son lit.
Le Parquet, prévenu, se rendit sur les -ieux accompagné du docteur Le Ptunf, médecin légiste. Ce dernier déclara que l'enfant était né viable. vivant et qu'il avait succombé 5 la strangulation.
La femme Le Corre passa de- aveux com. plets et fut inea-érée il ]•> maison d'arrêt de Qmmper!é.
A la Cour d'Assises du Calvados UN BANQUIER ESCROC La deuxième sr*sioD de^ a.vi?f« s'es' "uverte ce jour, sous n président :1e M. le conseiller Porquet, assiste de MM. les conseillers Habert et Vm-nici.
La première audience éta.t occupée par l'affaire de l'escroc ?>>groux, dont nos lecteurs n'ont pas oublié tes exploits
Louis-Eugène Legroux, âgé de 47 ans, entrait dans le courant de l'année 1919 au service de la Banque Générale qui a son siège a Paris, 8. rue des Capucine*
Le 1"- avril 1!W. il était nommé directeur d'une agence >'e crtte Banque, rue Jean-Rnmain, à Caen.
Deux ans après, le l«f avril 1922, la Banque i-cnérali> déléguait deux inspecteurs pour vérifier les comptes gestion de Legroux. A leur arrivée ce dernier demanda l'autorisation de s'absenter pour aller voir son flls qui habitait Gacé (arrondissement d'Argentan;. Il fut fait drmt i sa demande; mais les inspecteurs attendirent vainement le retour du forant qui ne reparut pas à Caen. L'examen de la comptabilité révéla de graves irrégularités.- Legrnux nvait commis de nombreux et importants dAtournpments, en s'aprropriant, sans les porter on compte. des sommes versées par les olients.
Le 13 avril une plainte fut portée par la Banque Générale contre l'indélicat employé. Le 17 mai une information était ouverte et 1e 22 juin suivant, Le¡¡roux fut arrêté Maisons-Alrort où il avait loué une chambre garnie sous le nom de I.pgrand.
Les faits établis par l'information, et d'ail!eurs reconnus par l'accusé constituent des abus de conflance qualifiés, des faux et usapes de faux. On estime que le banquier a pu détourner A son profit, une somme d'environ 100 000 francs. sur des titres appartenant i divers clients que la Di- action de la Banque Générale a rembourséb
Le premier de ces détournements fut commis ru préjudice de NI Geslin. entrepreneur de peintum, boulevard des Alliés, a Caen lequel avait remis à Legroux, pour les vendre, 3.000 francs de rentes fi «•; 1920. Les titres furent effectivement vendu» pnr un autre intermédiaire que la Banque Génorale. Le montant d.? la venu devait produire une somme de ss.noo francs, à laquelle s'ajoutait une somme 1.447 fr. 20. versée par un sieur Leménager. pour être inscrite au compte crédit de M. Geslin.
Legroux était donc comptable envers l'entrepreneur de peinture d'une somme de
Or, il ne remit a J'intéresse que 45.000 fr. e (s'appropria 14.000 francs, dont M Geslin a été remboursé nar la Banque Générale. Le 28 octobrp, M Dauben. marchand de nouveautés, boulevard des Alliés, confiait au banquier f.Rgroux différents titres représentant ensemble une valeur de 10.000 francs. Il était chargé de nécociei let. titres et s'acquitta de cette mission, mais il encaissa pour son compte et M. Dauben fut désinléressé par la Banque Générale.
Peu après, le gérant de la rue .Ipan-Romain. s'emparait d'une somme de 15.000 francs au préjudice de M. Miche] et d'une autre, de 23.000 franc-, au préjudice de M. Gardet. Parmi les nombreuses dupes dp 1'escroc, citons également MM. Jacqueline 950 francs; Lefnivre. 1X4S7 francs- Jourdain. R.t>o fr., et Perche, charcutier, rue St-Jean, 13.(« fr. Knfln. le 6 novembre il.),21 Lépreux s'approrriait une somme de 2.500 francs, qui lui avait été rmnsp pnr Ni. \ebrn, propriétaire a Conrvaudnn.
Pour réaliser ces opérations, a l'insu de !a Banque péncrale, et dissimuler ces détournements, l'accusé s'est plueieurs fois rendu coupable de faux et usage de faux C'est ainsi qu'il se livrait sous le nom de ses clients, Il l'achat et at la vente de titres, pour son propre compte. Lépreux emprunta, Il différentes reprises. la signature de NI. Perihe, vendant au nom de ce dernier, des titres en dépôt, et achetant aver le produit d'autres valeurs
Il oj^ra dans les mêmes condition* en utilisant la signature de Ni. Peulhipr le 2? nnvembre !!>»i, et celle de Mlle Hfrclat. propriétaire à Thnry-Harcourt.
Des fnu\ furen égnlprnpin commis au préjudice de Mlle Lepailleur, de M. Primoux, de Mme Leconte, de MM. Dudonné et gazin Anne. receveur buraliste Il VU1 ers-Bocage, Gasteblftl. pntrppr°ripur Bazin. rue de Rayent. a Caén.
L'accusé au cours de l'instruction, reconnut tous les faits qui lui étaient reprochés. Les renseignements recueillis sur son compte ne sont ym% favorable». Il a déjà encouru plusieurs <">n!annnat ons.
LpgroiiT qm était en Instvice de divorce, passait pour fréquenter tes milieux où l'on s'amuse. Il dépensait san^ compter, et ses rirnrticrnllt** inspirèrent bientôt des souprons
i.ri Cour in i-ondamné à trois roofs ils pridommages intérêt» & la Banque gtoéralo.
NECROLOGIE
Emile Saint-Jean s'est éteint hier matin, a l'âge de 33 ans, après une longue et cruelle maladie contractée au service de la France. Sa mort a6trimera tous les sportifs cul le connuient et. par conséquent, l'estimèrent, car Saint-Jean était un sympathique et un courageux. Tout jeune, il commença de pratiquer sous les couleurs de l'Union Sportive Rennaise où Il opéra tour a tour comme crossman, nageur, cycliste et footballeur. Après la guerre, l'état de santé de Saint-Jean ne lui permit plus de pratiquer, mais Il apporta au Comité de Bretagne de Natation une précieuse collaboration.
jeudi matin, tto. avenue du Gue-de-Baud à 9 h. 30. 1es sportifs se réuniront pour conduire le rceretté disparu à sa dernière demeure. Nous prlons la famille de Saint-Jean d'agréer nos condoléances attristées. O. B.
COUPE FOLLIARD
Dinard A. 8. C. bat En Avant Guingamp par 1 but à 0
Disputée sous une pluie diluvienne, devant quelques centaines de laualiques, cette partie s'est terminée par une nouvelle victime des uaacistes qui les ijuanfkiii finalistes de la Coupe. la fluale se diHMUra donc entre le vainqueur du groupe U (Coucaraeau ou la T. A.) et le D.A.S.C. La partie de dimanche ne fut pas fréquente en be.ies phases de jeu. mais néanmoins elle fut I disputée autant que peut l'Atre une deini-ûnalc mainuinir le bon ordre et de ce fait le Jeu lut exempt de toute brutalité.
La Dalm, très tassante. lut diiLcilemtni contrôlable et le terrain détrempé annihila les belles combinaisons. ion vu souvent le but mauque d'uu iten par Mine d une glssade au moment opportun.
Uans l'enïemole cetie partie lut lu-tteoiem à leurs auvcrsairei que quelque? écliapiieut, lesquelles échouèrent sur le tandem Gici|Ur. l'.auU. uinard marqua son but, le seui de ta partie, par i'interméûiaire de Guellou, au cuurs <J'j la pre{ lulere* mi-temps. Quelques instant apreô Ouini gamp eut l'occasioa d'cgaliser sur penalty, mais 1 le goal dinardaLs m le voulut pas ainhi et réuiMt a détourner la I)aile de ses {¡lets.
La seconde mi-lcnip* n'amena pas de changement. Le goal Lce eut encore, sur échappées au l'aile droit» des rouges, i uccasiou da se distinguer deux fois, les Uiuardais eurent de dans\reuses lncurslon. chez les (iulngai pals et malmenèrent quelque peu leur défende, mais sans résultat. ceux-ci Jouant la touche a outrance Kemarquéï a tiaingamp, Je gca:, les arrières, le demi droli et l'exiremo gauche.
A Dinaid. 1 équipe fournit son jeu habituel Maullon, sérieusement touche au début, ne fit plus ofucc que de figurant; Lee qui reprend les gants après une longue ao^jnrp s'afnrme l'excollent goal d'autrefois-
U. S.
ET A. r. kÎMricNMc-uULOAIôES
tont maton nul ;2ai
Superbe parue qui a nialneuxt-mceinent tu r0ntrariée par un temps peu tavorable aux manitestaùons sportives; parue qui, par tout autre tempes autan éu> splendide, car les deux équipes, bien pi«s l'une de l'autre, nous promettaieon une rencontre fertile en belles phases.
Malgré les éléments decualnés contre eux, tous les équipiers ont fait preuve d'un constant souci de faire du beau jeu et sont à féliciter en bloc. Félicitations ega.iement à M. Sainte Mieux üuy qui a remplacé naut-lc-plcd M. Couchouren qui a abandonrié le conimandeinent de la partie. sur les récriminations de quelques énergumènes, comme Il y en a toujours. Je laisse à sa iportivitt le soin de juger s'il a eu tort ou ralson de céder i un entêtement, mais les équtplcn sur le terrain. qui avalent tous été d'une correction parfaite à sun ejjanl. niêriulcnt mieux que de les arrêter sous la pluie battante dans l'attenta de la reprise du jeu.
Sur Ir partie pas grand chose de sensationnel a relater. car vu l'état du terrain, il y a eu les inévitables loupes, sans computer que les plus bêiie< combinaisons étaient vouées à l'échec, par ,.ne malencontreuse flaque d'eau qui arrêtait tout. Cependant. il faut rtconnaltre que le premier bot ferrannals acquit par un beau déboulé de Foiiché résultant d'une belle combinaison de Chanrhtx était du plus beau classisme.* Lo but de la (iarenne. écalrment très net. sur un cerner b en donné par Hardy et transformé d'une belle Mte t.'e t-iéromini. La première ml-wmps a été de beaucoup la plus jolie, car à la reprise, la pluie s'étant mie a tomber en véritable trombe, la facture du leu s'en est ressentie, bleu que l'ardeur drs loueurs ne fe soit pas ralentie.
LA résultat du match nul à satisfait Joueurs et spectateurs, mais a toujours laissé pendante la nuestien de supériorité qui nous l'espérons pourra tire résolue en une antre occasion, car les driceants des deux clubs se sont mis d'accord nour mettre sur pied une nouvelle rencontre dans le courant de la salfon prochaine. Du reste, j'en suis oersu.idé d» équipiers de Gé-rominl peuvent Ptrt< ,i5!>urés d'avoir lais;* dan notm région, un sympathique ouvenir et que cela console le ·ympatblauc souvenir et que cela console le sympa,thlauo tr^orlor de l'U. S. S. qui trouvera un baume sans doute dans la rencontre de dlmnncli'? prochain, si toutefois le temps le permet. Bien ane comme dit plus haut, tous les joueur' font à féliciter, une mention spéciale et eependant il décerner à Fouché. Chaurhix, Boquen et Perinet. nour 1T. S S. Hardy, Gr.inger. Gbromin), lacour, pour la Garenne. E. H. LA T. A. TRIOMPHE A CONCARNEAU :'elle et dure journée pour la T. A. puisque malgré les difficultés d'un Inng rt pénible voya;e. ,lls réussit a battre l'équipe locale par ô buts i. Li partie fut en tout point Intércstnifl et ne ressembla en rien une partie de coure. Lu première mi-temps vit l'effondrement de Concarneau. qui nprès un début dangereux iliit. enca'^MT 5 buts malgré le brio due sa défi-n se. L» «ccona finie vit la T. A. dominer plus larconifi't ercnre. mais sans rien changer au sco-r- i bits étant refusés, l'un pour off-slde et lutre noir sortie des filets au ras du poteau. T. A. l'équipe joua bien et doit être fétlcitée Lnncjrneau. magnifique exhibition du ̃smI. un lies meilleurs portiers de l'Oueu :• etlieur après Berthelot. dft-on à Concarneau °s arrières et de l'avant-centre.
Impossible de passer sous silence, la belle cordiale réception des dirigeants de l'U.S.C. qui mirent tout en œuvre pour fêter leur» visiteurs. Marri encor» à M. Le Florh. preMdont de 1'1'. S. C.t h «̃•̃. dévoue vlce-pré«ident.
La elloue de ta T. A. prêtait son concours et au son d<s Ualron« entraîna une belle galerie n'Il n'eut point a regretter son déplacement. Bien fatlcués. les jeunes de la T. A., de deux nuits -uns sommeil. mal« heureux de cette belle sor tle
LES MATCHES AMICAUX A BREST U. A. J. de Paris et A. 8. Brestoise
font matoh nul 2
Le mauvais temps a contrarié cette rencontre et il t avait peu de monde au Parc des Sports qinni. t1 h. «fl. NI. Gulbery ,Une le coup d'envol.
Immorliatpmfnt les visiteurs descendent vers le« bols locaux et deux mlnutes mires le cnmmencement du Jeu. ChamplirniMille devra «'Incliner devant un bel headlnn de l 'ext rem f -droit parisien. TJ. A. J 1 A. S B. 0.
A la rcml«e. l'A. S B reairtt et s'organise, forçant la défense rnMïicnne a se démener. Elle doit arrêter plusieurs shoots que lui adressent les
demt brestols, mais il ne sera battu qu'après un cafouillage, par Clecli.
U. A. J. I A. 8 B. 1.
Les locaux continuent dominer tes avants cafouillent et ce sont les demis qui tentent les essai- au but. Les visiteurs procèdent par échappées. La défense brestoise doit se multiplier malgré cela les Parisiens augmenteront leur 'core cinq minutes avant la mi-temps.
U. A. J. S A. S. B. 1.
Après le repos, le jeu débute tonte vitesse, malgré la pluie hattante l'A. S. B domine pendant quelque temp., puis l'U. A. J. se reprend et fera Jeu égal les descentes des deux camps étant arrêtées toutes par les défensw qui se prodiguent Les locaux éijallsen-.nt pir Gulwarrh snr un effort personnel,
U. A. J. 3 A. S. B
Les Brestols, stimulés par ce but. Imposent un moment leur leu. puis la cadence se ralentit les Parisiens pressent fortement les arrière- locaux, mats rien ne passe, et la fin sera -Ifflée devant les buts de l'A. S. Brestoise. sur le match nul. La partie ne fut pas des plus intéressantes dans I ensemble, quoique pa.r fnstants les deux équipes réali.:èrent de belles combinaison', meilleures cher les visiteurs toutefois.
L'A. S. Brestoise semble hor- ne forme et ertalns Joueurs narais.ent fatlsrués. Les chanceinents apport*- dan. l'équipe n'ont pas rendu ce qu'en attendaient les dirigeants. Les meilleurs furent Le Moal et Salailn :\fs(ruérès ne nt pas grand'chose, pas plus comme demi qur comme avant. Chez tes visiteurs, l'extrême droit. Tinter ffauche et le goal firent mieux qne Ipiits camarades
M. Gulhérv de 1 arbltra cette reneontre.
STADE LAVALLOIS bat STADE BRIOCHIN par 2 buts à 0
11 est vraiment domma.se que ce match se soit déroulé sous une pluie battante, et il faut savotr gré aux Jouteurs d'avoir fait l'impossible pour 'or,tir du football le bonne dualité
Les deux équipe. ce!1:, de Snint-flrliMic particulièrement, sont privée., d- linéiques bons êqirplers. Le!' Bnoch!ns débutent contre le veut qui est tort. I.r» terrain plis^aiu p*t cause de nmnhreusrs maladresses. i.-s avaut. lav.Vi'ii.» nifitent souvent 4 l'ouvrage le ron[ hrlochln. Quelques corners sont joués sans avait Uw pour le- -tadlstcs lav.il!oi\ Lr Jeu e.-t arharné La Ign» il'nvantn ;avalloi«c, on se distingue Anhn 1>. :ni|iMf'!<>ment les buts brlo-hin- Pt reçoit enfin la recomI»ense de «es efTorts en obtenant coup siip coup deux buts dont l'un est l'objet de contestations de la part dos Brlochins maintient sa diir!Mon et le calme r°vl"n: Le rep'is est ainsi ntteint.
En seconde mttrmps. I.aval jour 1 ,en tour contre le vent et 5alnt-Brleuc trntp de rcr.itrp son handicap san« y rrtrven'r Alt»rn.itlvpnT>nt les qui échouent toujours de Jusir<se et le vétéran Thns ?lfn> la fin de cette mrfl" *nr le rp.sultal QUI VEUT ·MATCHER
LE S, A. CASTELB5IANTAIS
La C.isflnrtintais demande matches as«.iatlon. sur tort terrain courant avril et mai. F:crire w-iHalr. r.ifn en% Vny.ipr"'iiT. <"v*.Ta i^ri.im.
LES CHALLENGES
DU STADE LAVALLOIS Le temps n'a fait (.étant hier pnur parler avec 'a longueur vouluo do la journée organisée par le Stade Lavallols. Cette manifestation dont nos lecteurs ont trouvé les premiers résultats dans nos Mitions d hier i obtenu maleré la plulo qui ppr-Ista totft 1 aprfs-midl. un légitime succès. Dès 1.1 heures il n'y avilt plu« uns place de libre dans les tribunes ort nous avons pu remarquer ̃» nrésenco da MNf. Dubovs-Fresneys. seniteur de I.» Maven.is. Chaulln-Servlnlère. vlce-présUmt du Convtl rénéral entourés; de nombreuses person- nalités sncrtives. 11 est certain que si te hexn temps nvait voulu apporter «on rnnrours, les tî'leeani* fil' ïieux rlnh t.nv.il'ol» aui-alr pnrepisé un sucés sans pr.Vêrlr'nt Onni qu'il en s^it. ils purent la vit:sfaction d'avoir servi, nne fnts de rail srinrîivp et npinv* rn s-.rjt touç 1M mnrle.t^s. cla =nfîit à leur a m hit m. Nos Ifctetis trouveront, d'autro p-irt. nii«lqn»s comp'émentatrrs sur les d"u\ matctiPs île ontbnll Qui furent s-!lvi« av^r be-aiironp d'attent'on r»a,- ^onib"en\ *nort.-»tpijrs pr*c<>nt« En ce Tii r'.ncfrre l'éprouw île rro's-conntry. ei'erbMnt ip suce*? nu nllt- méritait. Tons !ps ensaîrés de m.irmie étalent au départ fit l'on rut Il enri-siv trer q'-n du le d» 1 S. Safnt-rfm' Il'' Th* tean-nontier nui pr4fèrpr.t s'«n aller ailienrs récolter (les .«iicçè» pln« farilpis. M^ls passons. les i-ortifs apprécieront la rnnduiîe r]p% ri-1 '"hArean-Ci •••'pr
LES CLASSEMENTS COMPLETS
l'attnnrte seniors
V Dent, •• \nf-ay r. S SI 3, Gl"on (Bessonn^atu Pretnn !S. R. Il. r.) v GnrnlPT 'S. R. C. Cl «• Landry inp.mrec^rii -• Tanrtet ;k<-s<opp<<T!!1 s» Foillals pè <• 'P. Y "i Rpnne.-i 9* f,in'"prpau iR'ssonn'.iir il" Budtn S l.avalio'ei it1 PnMrn T. P raisei i?« rtnrr liipanreiraM1 1.T Cndnrpt 'V. pps^nnnp^u> 15" rharripnîiT 16- ronrti'l I..ira!!o1«) <7" Corsln in L«vallo|s| ig- Garnipr iV. S. S Paunotitn (Beau regard' ?n- Mnrtin 'S. T.ar:>Mo!s> '• Onhet A. "v Vlffl ??«• Favrean (Vitre) Challenge de Menti
le' Il points
ir s. STvannai'p 13 point»
r Branr rrard. 37 points
Stado LnvalloK il point».
Catégorie Jwnfor»
t" Bodlp v«ssonn«.iu' î" fndlou m. S. 5.1 Morîan HT. S. Mtivenn.ilsPi 4» Paplau (P O. Anser< :» i.pnouM (Aurore Vltrel (f Goulllet ir.eaureea-d) T nrun iP. T. T. Rrnno.l R1 Frll lais fils ci, r 1 Rennesi !X Le Forr%tler 'E«n* rancel u brau't :F.«pernncei Il* Raent 'Auro r» Vitré) 11P Letou^neau U. S S.i t3- nprvni* U'. S o.i t',» Folllot (F. I.ivaH 15' Geor ceault 'P. T. T. Ronnof) tfi' Pnnsset r. S. Vitré) • ]7« Lejeard 'P. T. T. Rpnnesl 1g' Faurhnn iF A. Lava ts« pnltsrvn 'F. A. Laval) 90* rhuisslpr 'F A. T^tvîiH îi" Baudouin 'P T. T Rennes »•? Itamolln iS R. l' CI «« P^rt.iiM 'C A M.Vfr.ne) ?i" Dnfprtro "V i;arrv (V. S. Durand (Aiuoro Vitré) ̃}<• Morlnn !tt. S. •i în BoirhèTi» 'A S. Vlfréi 30» Gallon tin'rti. T Leirr. a- Bliot V Hurt F Laval) 31' CnrWn 'F. î.aval)- ̃• BellaM:cr 'C. A. Mnvennp) 361 Glltot 'IT. S Mayenn») il, Dondé 35». Bngli" F. A Lavah.
Challenge DuboyS-Freaneys
n. S Servannal5p. 77 points
A P P T. T Rpnncs "n point-
An otp de Vitr*. 13 imlnts.
*• FratK., Arch*r'. lavât. 51 points
̃V Beameirarrf. r? point».
̃!• S. Msvenn». 7fi point»
Parmi Ifs abandon» «Isrnalnns ciut ri» .Tirrv e »<lnaujur <1* nr-trê «Jornlrr Cinq Provinces, ••il à h vouloir «ntvrp |p train sev»n- mrn^ •̃ip Ilonis.
lu coiii<> fut quclmip ppu fait<«p> p.ir une pr reur do narcours qui se proi-lulslt a l.vio mêtn*» ̃ il déDa-i. lies leaders durent revenir sur lpiir-% va% et offertuèrpm !O0 mètres supplém'ntalres. Il -ensulvit tjne certaine confusion L* rours* rp -otnmenr» ^lors sous forme- (le handicap et de n^mhrem conoirrents s'épuisèrent A vnnloir reiulnJre lm heureux qui avaient suivi le bon che-
mtn. Giâie à vi grande clause. D»ms rpprtt tout -'P, -ulte la rite. suivi de Jarry, mais Cadlnu. Antrav. Gilion. Breton, Garnier. Hamelin et quet. Que% aut.us durent talro un gros effort pour r* j,r."ndre erntact. Après la première bourle, le» positions étaient définitivement acquises Dent'- et Bodin trinrnuhatent facilement dans leur CJtétfvrie respective. Da lot des suivants. Cadlou. Aufray. Gillon. Garnier, Breton, Mar:on enrent -un *ro« mérlie « terminer dan% le rang qu'il,. oectioent
tes ortx étaient nombreux et très Joli*. La rwcentlon des organisateurs fut très cordial*, tes concurrent» en carderont le meilleur souvenir.
LA REOUVERTURE AU B. C. RENNAIS Pour sa réouverture le Boxing Club Renra!» championnats du Maine amatenrs où tws le« R-nnais revoiront avec plaistr les latinals roue» dioii. Ropr et autres Viciai. 1« dlri>rcant« du B C R. offriront au puDlic un match de t->Mt rr« mier rhntx Qui orposers 1p« AndrA et Ip nègre Tfta. Avec un tel p--irriirv-!e In réunion <te iwmPdl «>lr est assun> rtp r*mp"F ter un brillant wcrp!>. tr
CHAMPIONNAT DE RENNES ] Nous rappelons que c'est niijonrd'lv i a midi qu'a lieu la clôture -le, pnçaç.-mf-i! t-o-r U clianipfonn.it de Rennes. La lifte d--< ev déjà lonirnp pt on peut pr*rolr l.i na^iciftloft dP taures le,. metlleures raquette Feu!. Hiichei. vslnqtipur do simple il a a .tenv tni et e.vjnan' du douhip lannpp dorn^ro. ah'cnt mompnt d'i championnat, ne pruirra T p-»:ulrt Part. r'ost flomm.iirp. cir cet ex'Pll*nt jeueur rmi v.ilt. cef'p année encorr. fpnlr un ro> -i» rjr*rri*1 o-rlre pirt cette défection nn peut prevo't qu.i |p* pnnio-prnpnts seront blr-n pir la qu.inlitp qi:<> par ta qtiali;*
le tiraie au sort aura lieu ce soir, à 5 h. v, nu Tenn's-rii'b Rennat». et sera présidé pnr >t 1° commandant néhagup. qui a bien voulu .irrer> ter Ip* roncttonr de Juïe-arbitrp Le 'ira!-» snrt étim public. les jnuenrs rnrag*» «f.'nt invtt5* i y vni- n-«i nombreux que
LE GRAND PRIX DE LA PREMIERB BRASSE La L'sin? Nitlonale de Natation rs fit-« nuter cette année pour la troisième fois dan» tnn. ie !» Franr». :e Grand Prix de la Première Br.i« nottT I.* rnun«s DubonnPt, avec le conrnur- ,le Ferl»Mtion K.itlon.ile des f rie Sanvftaep ft de nntrv confrère !'4«>n el'^ épreuve, rappelnns-le. p»t oti-prt» 1 roua Français débuunt» qiv-I iV<-> rit le.r »..«. ivant appns à nis;€r pari, .1.1 '>tte ér^enve est divtsée en quatre •mniors ;f.és de moins de 17 ans. distante .vi ir*tTrs jenlors. au-dessu». de 17 ans, rliîTanre too métros fommps et J»unes fillp». distnne». ?o metrps minimes. distante. sn mMrps.
Il o(r.L orvanlse dans toutes l#« |rv<llt^< Il II ̃ \st.i de» E-nlps de Natation, ou rlriAr» om h)*.qui rlpvrrnt .t.« le !3 août.
I«s Menants (lA ces éIlmln.i'o!r-5 pir;l.-ppr.v,it ans énrpiivej. réglonalps qui se disput-ront 1- septembre, au cour» de Fétp n3tl.nnle <». \s. ̃̃«ion. A p:»rl». à l'Ile-rtex-Cyene».
En n»hors des prix remis aux rnnrnr»p>>t«. il sera attribué dos recomp^pr»s et des dlMr>v.» aux malt vs de nuire qui auront formé les v.i:ndp* ér rptivm réelonale».
t^ m^ttr» Oni nur.i f<»rmé 1» girrna-t de 1.1 fi.n.nte rlu Grand Pr-x de la Première 3-a'w recevra un ob.iet d'art nu la soninp
fr.inov A son choix.
n-mr tous rrnvicnpmpnts. <crlr» à M 1.6on Mĩ|on < rite Bcrjere. Paris .'9-1 téli*rhor- R-».
Par in temps brumeux le stnrtPr r»«nnp rt*F-art a une trentatne de concurrents De, ;a lr>- favoris sont en action et les comnirncent. f.'arrlvée Saint-Hilalre *• fr. ir >aas fnrobre,. Dop.is. du V S F., signe le premier • ^5 •M kilomètres en 4fi minutes Les .les Il font une héeatnmhp tlp lach.iî"s A Avrnnches, 1» teune de, Tri*nart sinne \u:iry ef Archamhault. Aubry cre\e. à Ix sortie tie p.-»nt. «ons-Avrani hps il relolnt la pclnînn
A Gr.invlîlp. beaucoup de niondp l'iriivîi". A'ihry falt premier devant r.eio-.trp du V. S F. Après *i minute^ de neu»Mlis.it|on. 'il. >'al»M le p.i'l au premier peloton qui c-inrr"r tn'i- fav ^rîs Anh'y. l,r'fvi*r?. rh >• '•. f'olliot. I.ctT;r-îP'!r •̃! le. An rrt^'tr. Jsfre7fc est Iflrhé. p--[. <•• '.« Pèchoux Rpstnnt alors en tête Aubry. Archamhaud. Trépart.
»t] ba^ de la côip d'Avranches. I.Pl-icit.-p vol' »a chalne sauter. Le trio cité plu» haut Pn fw"te pour -lémarpr. mais le tonne fougère)' r'Tiènr "t *e.ioint après pnntauhniilt il sera a-.rès Saint-James. alors «onne les cloche-- à nArrhjmhuM bat Aubry d'une poil@ t.rloutr*b. N 'n revenu, flilt trè« fort devant Trtpart.
Voici le classement
f Archambsnd. sur bteyr'ett» LA .T'i*r.*sr Auhrj-: r Lploutre V S F *• rrfno- :>• roll'nt, «• Rur-rot: se Le PiV'ioti: 9' OrPsI: tn« OursPlIn
Xo« rcmprclempnt» au T «wmriiti!» potit la pnrfiite organisation de son contrôle
L'EPREUVE
DE CLASSEMENT DU V. C. SERVANNAIS L'épreuvp r1p clas»pm<<nt par 1e V. C. S. qui temps .1 donné le résultat suivant
le' Bonrwimlt aîné: f Larcher; S» Tessier; *• Htift; t* Bourgeanlt jeune: •> Lhôte aln*.
AU STADE LÉON BOLLCE
Intorromnue dimanche par ·utte de mauvais temps. l'épreuve figurant au programme de la réu. nton. non courue, a été disputée hier lund!. a, la hpnre», au milieu d'une a««e nomhrense as»l«Orant prir t'on BftlUe. C'est d «nord la 6V &È nale du Grand Prix L'on Bollée. dont W "ér!*» et le repêchage avalent été courus hier. Trot- flnar listes fpulpmem présentent. I>p« i>rrlv*Vj se font fins l'orrlrp suivant
f Tnuer «• rilPiaSTrt.
rrt'tr^r A 10 kilomètres, derntèr» pnrpitvp .tn programme: 9 fqnln*« «ont ^n lline. t 's n-ir« .ont œien*e« n,ir Labarr». Morillon, rilrh.ir.1. Volrl les réstlltuts I t" éq"'pp. FauchPiix-Rtchard: r RI'p»a»nt-Gr«I. lcp^lx: r Compaln-R'cahrd: 4' »plqii8-l.aloue. (Voir la suite en ce page.) -Ef.U^a j
DEPECHES COMMERCIALES HALLES CENTRALE»
Pari», » avril.
rEUBHCS Tendance sans changements. Pour les beurres en mottes, on cote le kilo «r, marchands français 8 à 13: Bre'.{:ne. 8.50 1-2. U): en centrifuge» Normandie. t à 16. Bretagne. H.50 à t3.50.
Arrivâtes du Jour Beurres en mottes. 56.663 mIos; beurres en livres, 1.750 kilos; petits beur- res, 3.633 kilos.
tEI'FS. Tendance hausse de 10 centimes sur mrmand« extras et bretons de choix.
On rot" par roll. de t.ono ceufj les extras de .imandie. 330 a 4M: les gros, 57O a 310: les gro« M n.-etagne. 980 a NO; les ordinaires, 5» à 770 ^rivages du Jour 7T.Hu kilos.
""UOMAGES Camemberts Normandie. 130 -i: divers, 90 a 175; LisJeux. boites. 150 à «70; vrar, t00 à iî.">; C.ournay, « à 95; Neufchâtel. a TE: Pont-I'Evêque, 100 à 310; arrivases. pâte -Ile. 73î3tS kilos; pâte sèche, JO.O24 kilos. MARCHE DE LA VILLETTE
>nte r-tme. Prix en baisse, sur le, gros I>éii çt 1rs moutons en légère hau>««? sur tes •<r\. sans changement sur les porcs.
\nlirmix amenés beeufs 3..770. vaches 1 83\ ̃'irnux fllS, veauv. 9.148, moutons 13.504. porcs "w; vendus boeufs Î.4SS, vaches 1391. tan'aux 5», vea'tx 00i9, moutons 19.71S. pnrcs 3 3.SS. nn cote le kilo PoIds net. bœufs, 6.90, 5 60, <̃: vache» «10. 5 ?0. «70; taureaux, 5.90. «96 .«0: veaux, 10."0. 9. 7.30: moutons, ll.sn. 10. 8.70; n-ircs, S>. 8.75. 8.Î8: prix extrêmes hreufs. 3 à. ̃~K: vaches à â 7 10: taureaux. 3 à 5.70; veaux, ..<« 4 10.80; moutons, t.50 à 15^0; porcs, 6.86 ;4.
Poids vif boeufs. 3.7Î, •.». 2.Se; vaches, 3.66. 9.SS; taureaux. 3.15, 2.48. 2.30: veaux, 6.1?. 50. 3. «5. montons. 5.60. 5. ..35; porcs. 6.30. 6.10, «V prix extrêmes bœufs. 1.50 3.54; vaches. à «.9R: laurcaux. 1.50 à 3'0; veaux. î.40 a ̃.«: moutons. 3 55 A 6.76: porcs, 4.80 à 6 40. TXrufs manceaux 3 10. anglaisés 9 8.*>. normands ̃ t' chc-letais, nantais, vendons 5.W; veaux ̃"incraux 4.10; -1 moutons Haute-Loire. Sarthe, • ndée, 4 SO: porcs Ouest. Vendée, 4 S5.
BOURSE DU COMMERCE
Le Havre. 16 avril. Tendance cal.-v. Ventes 8.000 sacs. Janvier 159.5. février 15S. -nnrs 157, avril 9*7.5". mal 19150. juin 184.C5. uiilet iSO.25, août 173.75. septembre 169.5V octonre 16? -25. novembre 165.55. décembre 16t SUCRES. Paris. :6 avril. Ouverture courait 305 et 305.50 faits, mal 396.50 à 307. juin '«17 fait. Juillet. ao,y 307.50 faif. tendance ferme: clôture, courant 304.50 fait, mal 305.50 et *-6 fait», juin 305 fait. juillet, août 305 fait, tendance ?»lble; cote officielle des courtiers assermentés ror «< 304 so
COTOVS. Le Havre, 16 avril. rmture. ten-•lin-t? calme. Ventes 4.600 hallei Janvier 455. février 451. mars 41S. avril 575. mal KO. Inln 508. iiill.rf iWï. août 4SI. septembre 45!). octobre 442. novemhr» 43J. décembre 43".
• Ut: rpv»l, 16 avril Cotons américains Avril. ̃i: mai. 15.7?: Juin. li.W: Juillet. 1S.51: août. 4?f>; septembre. HK: octobre. n..V>; rovemhre '30: décembre, 13 11; Janvier. 13 01: février. lî.K: T.TH, 1? SI
Avril 1B.3S; mal. 1CM: Inln. 1«.«V tllet v..(m- n.r.fjt. ik.<T: septembre. 17; octobre. 10: novembre 17.Ï0: décembre 17 M; Janvier. :î7: février. 17 »); mars, 17.35.
<"ERtAI.ES. ri*1» ̃ Covant f»!»1*. mal 01 ven'-or. mal Ju'n 9P.V>. 4 de mal (rc. Juillet août 7S.
srint** Courant à 6P. mal 6? ?S nominal, ̃M-min cq •̃"» nominal. 4 de mai 67 nominal. "iUet-noût 6-?.7'> nominal.
Farinr* ̃ Coii'snt 117, mal t!5 nominal, rail":In 11S.S0 acheteur, ne mal 11i. Juillet-août 111 itminrt Voire», courant f'5 i c?!3, mal «6 •~TTinal. tna1-inin 6fi.C5 nominal. 4 de mat Ci, ̃Hlet-annt et.?5.
ntrrrrrt • Courant «5 55 acheteur, mal «V» no''i»!. mni-1nln «3.50. 4 de mal 65. Julllet-aoflt 7V
T.ATVPS. T.r Havre 16 avril. Avrl1. 1010; ̃ ial. 101«: Juin, 1005; Jnlllf! 1010, août, W>5: »ep^mbre. 990.
• ririLES Pe Un • Courant SSS ft 3S.7. mal "(45 -hetei-r. mai-1'iln "iî.wi acheteur, i de mal 310 !>«tenr Juillet aofit 31' acheteur.
ne rn'îir Courant 3V» nominal, mal r.15 no'v.n\. mat-inin WS nominal. 4 de mal 395 acné'r. Juillet aont 350 nominal.
DE_LA RÉGION .ITRE. avll. Farine, 1e. 100 kilo*. !W a 1*: •̃̃ncD!. Rs â Ri; sarrasin. à 61: avoine. 4;6 a. • orvv, ssî à son. 4.S pommes de terre. a 3ft: f.iln. le* 5'in kiios. un à :•?: piille. 85 ;1 ̃>: vache le kilo sur pie1. 5.30 à 5.55: \enii. 10: mou'o. 4.80 à 4:)1: porf 5 61 il 5.,0: petit. •ores, I, pioc. 160 i iw. beurre, le klto, en (Tro>. -̃vip'e ifi :i: poules, la couple. i« J 56: canards. "i'r>. Il pl'V .i 1. 'hotiv 0 30 a O.îO: i>P«rces. « »rtlcham«. o 75 a 1 'iomme« de terre pouvelîe* du pays, le kilo, 5.rA 1 1; s«l«1fK 1.2; !i 1 yi: fraises, la dour.. 3.
• HOLET. li avril. Froment, 95 a t>5: selfle. 70; .«volne. 70 a 7?; pommes de terre, 3«: foiu. les 501 «Ilos, 160: paille. Du a 100; Ixrur. le kilo mr pied. .M a 'on; vach". î.so à 3.70; beeufs maigres, la .̃aire, 3.<KX> à «.OU): vaches pièce. 1 400 i 1800; mouton, 4.fin a 0 75: porc. b 80 a 6.3< beurie demi-kilo. 5 i 5.50; œufs, la douz.. 2.70 3; ..arir>-t?, 100 franc*.
l'ois de chauffage, le «tère. 60 fr charbon de .̃'>is. lis îoo kilos. 50 fr
l.'WAT. u avTil htnri be aux brttiavx. de lait. amenas 3, vendu- 5^0 le kilo; »ojt->n-. 5. de 3.80 a 4 fr. le kili; porcs do lait, vente 1res bonne.
Varrht nui rnlalllr* p.oilrs-, la couple. 55 ,<\ uoulrt» -X> à a: c;ina.r.i-. 55 .i 5C: pintades, li 18: plRtwns. la couple, 7 a !>: à â 11: beur•e le. demt-kf!o. 5 à 6: œufs la douz.. 3 a 3.5:1: ̃ o-nrnes de terr?. le kilo, o 40; oignons, le kilo. 75
rOLTANCES. 1o avrtl. Beurr*. le kilo. 9.50 • IO..V1 len ba.sse oeufs, la <1ouz.. 3.Î.- à 3 SO; fa.̃•>t- ia pièce. O.XI à 1 50: poulets, la roupie 54 a -?. canar.-ls. M 3 36: (îindes, 45 55; lapin, Jeniïis il francï>: choux, la pièce, depuis 0.40 -lu-. 0.30: asperzes. la botte. 5.2,- s.l-ifis. O.vO: • "treHiix 0 1»; oipnons, le kilo. a,<x>; porcelets. PTRiEriS. fi avril. Pain, première quallle. ̃ 15 I» kili pommes de torre. 4 4 4"0 la hiraée ho=i'f 1t kilo. 7>i A R vciu. 1» à 10.50 -"«•i:nn lO.iO il | orc 10 beurre, Ie kilo, en -os. 11.5C. à \:&> et en détail, à i 1?.» ceufs. n dnunle 5 7ô à 3 poulets, la couple. 35 à 34; Il A IR fr. ta pièce poules, 5S à 30 raaifls « a 55 artichauts. 1 ,5r> à 5 la pièce 2 le choux a planter. 5,;>o à 3 r.houx'leurs. 1 50 à 5 choux pommer. 050 à O.TS léC'Jme> dA t«iutes espèces Quantité de poissons. MORT IN. 14 avril. Marrh* inférieure à la m>Yenn#. Ar-provlsionnemen* en volailles tapins <inl étalent très r"cherch/s.
Poules lu couple). îi i !i pom-nes de terre. n.i 1 0 3'p 1» klio carotte», o.r, ti 0.51 le deml-VIlo t>nir«!UT On, à le paquet érhntotes. 0 .0 X :S clai et de 0.J0 h 0.10 le demi-kilo choux pommés. OaO a 1 tr. la pibee scarole, le pied. 15 i 0..W cresson. la hotte. à à 0,:5 laitue. MO i 0.35 le Ptrd. -uivant *rro«seur pommas. \io 073 la doii7a:no choux-fieurs. de I à 5.2-1 .•» mec» a-tichauts. 1.» à 1 50 la pièce radis. !0 a 0 ?-> a bnt* pommes de t»rre pour »«̃ menee. de s^'iO A 15,50 le d"ml-hectolilm ibarat•*». kilos environ) suivant espèces graine de r*malne 6 <5 A tr. le dem'-kiîo choux pom- mes h rlanfr d» » 50 i i le piquet benrrp. Fil a 11 fr le kilo orufs. 3 fr la douzaine Min 1.15s le h'.lo porcs (le lait. de i3ï S ;«i la Dtéc»
VOTRE-DAME-DE-TOUCHET. 15 avril. Reun*. le Irllo de 10 jo à Il o»ufs. la douralne, 3 r»ln. M kun, i..j«
'"• Jv-nrre. Je klio. 10.50 oeulk, la dou/aïne, S.Tô j>aln,
:>esM0M ae roncTi.ins avec te ccrenioniai u usage. Il a reçu, a la Préfecture maritime, toutes les autoriés civiles, militaires et maritimes. LE VOYAGE DE M. RAIBERTI A TOULON Toii/ON, 16 avril. M. Raibertl. ministre de la Marine, doit arriver à Toulnn mercredi prochain, 18 avril, i 8 heures. Il se propose de passer trois jours à vi-ilcr les principaux services administratifs de la il 11 doit nll'T également au cen tro d'aéro'tat.on navale de Cuers-Piern feu. L'es-ca-lre de 1a M<VIiterranée ijuItt'Ta la Corse pour '-f retrouver il 'foulon' à l'arriwe de NI. Raibeti qui doit se rondre à l>ord de. 1rok vaifseanx amiraux Brrtignc. Jran-Bart et Pairir. M. Raiberti doit qulttiir Tnnlon samedi matin pnur Nice. LISTE D'EMBARQUEMENT
d la date du 15 otrfl 19a.
Capitaine de corvette néant
Lieutenant de raitseav Paulze d'Yvoç de 1a Paype. 14 sept. 195û; de l.oys. 15 nov. 1930: I,uren. 17 déc 19ÎÎ; Blazer. le' février tff?3. Fvre'anr de rafttrau de 1« ci néant. Officier de tpcctaltte néant
\ltrr.n\ricn en chef Calen, 7 no* tW5; Pascal 17 fév. io;t Leboncher. 8 mars P53
.lff'cnnlrirtu prlnrfpnni de tr' ci HerVer. 1« a^ût t919: Maury. s Juillet 10-Ni: Raugnen. il Jnlll. 1W- 18 Juin '05iv Ctérard. V\ août 19» Clalreiux 10 sept. 193O: Tétot. !»̃ Juin 1001: Lucas, 10 Juillrt 1955: 1.e Rarzlc. 1" sent '9?? Lan-lrenn. 15 nnv io?5: Pizlen.'i: nnv. 19*9..Tifw. le, octo hre 1!K>5 Tuai. fi (Vnbre 195?: Oravier. 7 nov 1959: Poi nnv. 1<>:»: J.inv IW: Billet. 5« fiivrl»' mars 1973: CréVfrrtn'rlrrt principaux de •? claire néant. COMMANDEMENT. M. le capitaine de frérate Col'.on a été, nommé au commandement du transport rouriille.
DEMISSIONS. La démission d" leur grade, offerte par le lieutenant de vaisseau Oillnrrtnnl. du port de Rrest, en contré sans solde et hors cadre: des tneénieuru de* 1" clarse du Génie maritlmo Camarrt et l/'françols est acceptée. rnmm. de 5» Il embarque srr te TntonvVle. et r.roquler romm de s> ri.. dé'lCTié pour embarnner sur le La Pfrnme. sont -autnrisés à permuter rjvmbarqnement.
OFFICIERS MECANICIENS. A ét6 promu il.ins le corps des officiers mécaniciens au «raie de mécanicien principal de 51 classe. le mécanicien principal de 3f classe KerdoDCuff. INTEND\KCn ET Ont été promus dans le personnel administratif dos services d'Intendance et de Santé au crade, d'officier <' adnini-tration de i~ classe. M Trlstani; au crade d'offlc'er d'a-im de 5« classe. M. Amelin été nommé dans la réserve de l'armée de mer pnyt compter du 8 avril 1953. jour de sa rotalion des contrôles de l'activité au grade dofnrier d'adm. de 1" rlasse. M. B™nrt, officier d'adm de 1" classe des services d'intendance et de Santé
DA\S LA RESERVE Ont ét6 nommés aans la réserve de l'armée de mer
Corps de8 ottMcn (le ?narine. An grade d ens. de vais de rl. tes aspirants de marine, de reserve Iemarec Marty. Vadde. FreJavllI. Jean,nin. Rterl>c. André. Cornn. Métrai. Jamet. Thévenln Paumler. Zanger. Colleter, Rauçhtro Bourh.iii<l. Lamlotte. Hervé Ropers. Da-'sie. Malralt, Fleurv. Diifour. Peyllgrlny. I<>tensorcr. negra^e. Pevthieux Coantic. Bonnot Ully. Debayle. Gendrèt Ror niondet Deshordes. Guillaume. Padovanl" Bourde Girard. Jovrdan. Estfenne. Bosslère. Richard. Miraud. Barbe. Leleiinc. Parenthoën. Ce^ offleiers sont affectés au port chef-lieu d'arrondissemeut de lenr dépôt d'immatriculation ou de leur quartier d'Inscription. Ils devront étre immédiatement renvoyés dans leurs foyers DEPLACEMENTS. La question s'est posée de savoir si lec officiers, officiers-mariniers marins et autres casernes ou lojrrs dans des Immeubles (lA la .1éf»nv> des cfttfs peuvent prétendre aux frais de déplacement lorsqu'il^ ?e rendent Isolémrnt en vue d'e\errlcrs dans Ies ouvrages de défenso de leur retenir (forts, batteries. p-*tes. viSlip. postes d'observation, pnctec photo-él-Ytriques' ou de l'un de ce« ouvrages t nn airtre Cette qu««t(on doit ê«re résolu» par In n'pMlve e: la m»mi' solut'on doit s'appliquer «ht déplac<mcnt< eitre les postes de la défense fixe, du ser~lri. ^^< rommiinicitiotis et entre W o-ivraws du rront d- mer Il est de pHnrltv en effet, nue 1- rr-rsorinei d» 1a M»rlne affecté la d«feise d^s ri-.tes finit être traité cormme le per^onrel de In Tuerrp nnt. cr trouvant dans une sltnat'on anaI-.jr' effectue san« rémunération ses 4r service à pied dans vs «f>c!*rir«. chacue fols que les militaires ne lui donnen' pas ne moyen» de t.rar.sport
D'OFFICTER*. BFEST. If avril. de Larosier*. llent. de v.. prend les foncliron. «l'aide de camp du prefei maritime. A L'ARSENAL DE BREST. ButST. 15 avril. d le-- contr»-torpilleurs KaK'ile et Urnb- seront conduits do ravant-nort rn r»<>e en vue de leur pour consul! «le Vnv«nt-port nu coffre O. en MJe, \«vt OFFICIERS MARINIERS LORiniT, 16 avril. Le pr ni. tlm. Evalo ea admis a la retraite Sont désignés le pr. m fus. Jacob Jean, pour l'école des mécaniciens de Toulon les maître»de manœuvre Lemarclinnd Louis et Le Berrigaut Jean, pour la 4» escadrille de drag;age de Roche-
3* d'pot le 5« m. élect Even. pmir la Rrelaijne. à Tnulnn te 5" m élect Ilrenou Joseph. polir 1:1 Lorraine les 5* m méc Chantoux Alexis. pour l'tfilr Calvez pour le proupe de K-serve de I.orient le Il' m tour Le, Grépause .Tean. le pr m il ni Ouéro du r dépôt. pouT le groupe de re- erviv à l.ori.'iit Hi:laud Charles, V m. de min et Gozo Joseph. 9» m tlm., le prfm'ir pour la Seine, le second pour le groupe de réserve Ae I^rlent • le v m. armurier Prl.sent Jean, pour le hatall'on de côte d3 Lorlent: nroc+i«c Yves. 3" m. chauffeur, pour le Gx't/doti: le C" m charp Coma Pé-tré. pour le C.A.M de Rochefort le m fus Gulllerm Henry, pour la O. P.. à norhef'>-t les 5» m. méc Guéean Julien. pnur in croupe de rése'v». à Lorient Le Pi-bon .1er eph. pour le Poihnau à Toulon: Tatlt^ouct Pierre m. méc pour le Part» • Le Ferrée Re-né. ln four., p la flottille le la Manche, ,1 rhorhoiirç Tascon Henri. m de m.in, p. le Pathuaii. a Toulon Le P*-lcot Théodore. r m. can. Il le Cueitdnn les ̃?• m. can. I.e Port. P. la r.'Tinn* .̃ f.e Gulll*iu Pierre, n l:i lorraine Le foadeiot neonre« p le *tra*houm 'rejoindra plus tard» T.e Clenche Jran. p. la WartrilWtc, Tnnln Hlllion Hrnrl 0' m fil« p. l'école des • Le Carrée Tean. î" m. fil- P. le cadre du v dipôt Briand .Te.i. m torp., pour le Knb'ile. Il Bre«t I.orln François. m co"ii"i« p. It r. A. M <1e Rerre
Pnrsr ̃« svril Colcnat Ci., m. prlnc fourr dMen-r e,Xf de n-eM: PalptillAn Fr.. I" m. de man 5" d'prtt en disp.: Oelamarre M 1*r m m.?n p. le 5fra<^o»/r<7; Saint-Yves J.. I'f m de man.. de la MarreUlrUte. p. le rhass. • 79 à Tnnlnn: P"hol> Fr.. l'r m. de man. p. le 2' dEpôt, cad-es; Moiot René. 1«p m. d° man.. p le rhamr!"<n. a Toulor: Ouéré J., 1*r m. tlm p. Ir croupe de ré«erve, A I^orient: Kerjonon P., 1'r m. rharp p trworiqve: sévellec J.. 1*r m. einnn p Vretnqne^ Toulon: Qulboron J l'r m. fu« n. '• Thlonrille; Déni» J., y m. «Jlertr p. le Parlu: I^e Monller J p. déf. Exe de Cherl'Ourr. !<• Tlnnlen J 1" m. fniirr p. Armorlque; (înt'rh.inl Y m de man M «îlr. du port de n»ft. i.e c.iten Prné m. ttm.. p 1a lorrains. i Toulon: LP Poree J.. Y m. tlm p. Vidaur, à Toulon: B_reuqel. Alb,. y m, tm.. d. lt Btffae. à
Brest Dlzerec R m. tlm., p. le Bapaume, £tui f uozu J., 1). lE: ^:oui>e de réserve de Loriciii iluiuo t.uill., ï" m. i-lia.:p.. V- ttuir« «eroii Ce baidlù, Ajget; fauudia £uï.. z- lu. ;uarp i.fuire aeiun ue cuers^ Kiou Heurt, ̃ ui. eau Il. P. Atiuraiieiiea, l'ouiuo; Molgue Fr. r m can ord., bat. de cOlf» ne dresi; Kaoul jean. 2- in cau. pointeur, |i. la' Provence, a SjIiiuo Jean. S» m can point., p. la Provence, • Toulon Le BreU'U J.. î' m. can.. jwint., P. la Lamine a. ioulon PU-lber L.. s* m. cati. point, p. bat de côte» de Brest Jomiert Aug., ••" iu. ran point p. l'r délôt à à i.UrrDoura l'erion J 5" m can. point p. nat. de eôio- du Hav.e. Prisent J.. i« rn. arm.. p. bat. de côtes Ce Lorient 1-ctitjcan J.. 5« 111. fus. b. s., p. dcpôt "icadres;, il. de garde roulma.. ch J.. T m. ti^ p. école des met. t!e ulou; Dac.rn Jean, Il. a» dspot caires); Wvvellec lves, "• to torp., p. ïoltaiie. à Brot aoinT^onnlor J.. ̃"• in méc. p. lo Marocain, a BreM Tanguy L., 5* m mec. p. AWI/i/fe. i Brest Ilion Il m. M.iWon Y. m. de man. p. dir du port de Bre^; Le Gac J P. C.A.Nl. sai.it-Kapiiael Dudu7er J m. de man., pour C.A de lierre. Ouneaf G., m. de man p l'école des radio teléiî Toulon: Ke raudrcn Fr.. p 1T««-r à Tnulon: Le Querrec Il. m. tiin.. pour école des méc. de Toulon, p. Percenfi.jv Herrou J. p. ia Lorraine, à Toulon: GuTlIou I p la l'ntrie aux S.Tlim-J'llyùres Lenen Fr., m. thn.. p .|u:irt de Morlalx (6 mois!; le Gulllou J., p. quart, de Concarneau 16 mois); Finaud L.. m. arm.. p. S' dépôt .cadres); Adam J. m. fus., p. dépôt (cadres) Y.. m. fus.. p. le centre aéro de Baraki..V,-or. U tilivre.) FLOTTE
Le croiseur Casjord est arrivé à Toulon le 13 avril pour réparations.
L'avise Stilppe est rentré à Toulon le U avril. L'aviso âldeDirrcn est arrivé a Papeete le La canonnière dragueur Ditlpente et le chasseur « 47 sont arrivés à Monaco le 16 avril. La ne escadrille de dragage est arrivée à StMalo le 14 avril.
Le torpilleur d'escadre rétro est arrivé à Lorient le a avril.
Le torpilleur d'escadre Tàmcralre est arrivé h Loricnt le 14 avril.
Le torpilleur d'escadre Matelot-Biane a quitté Lisbonne le 14 avril.
Les croiseurs-cuirassés WaldecU-Roussenu et Erncft-Renan. les torpilleurs d'esc^-lre Somali, Ann.antite et Hot;a étaient A Consfntinople le Le torpilleur d'escadre Bambara à GaUlpoll, la canonnière dragueur Pédaignevte à Smyrne, La canonnière dragueur Tapngewe n appareillé e rouiuii vers Mon^n, -e 10 avril.
Le Barde-pêche Estafette a appareillé de Ktnsale nour crîislore le 16 avril.
Les sou: marins AmpMlhrtlt et Euler ont appa- eillê. de 1 nerbourg. le 1«, pour exercices. Le yacht mnrta. te- avisos Btthut-e et Vérin étalent à Beyrouth )e 15 avril le colseur Sfrasboi/,(7 a Alexand'et'.e l'aviso Mnndfmtnt a MerL'aviso Altalr est arrivé a Ilonc l'.ong le 14 Le transport côiltr Seine e·t arrivé à Brest le 'L'aviso niie-d'Ts est arrivé & Aberdeen le la 1.c croiseur-cuirassé Julrf Ferry a appareillé de BlTCrte vers Toulon le la avril.
I* torpilleur d'escadre Téméraire a appareillé pour Quineron.
La Garonne a appareillé pour Port-Arthur (Texas', le 16. vers 15 heures.
Les torpilleurs d'e>=-cadre ChaHang, Bitino. DeUn» et Peliany appareillent pour Wuiberon.
• irecteur des services économiques a inooenine vent de présenter au Conseil supérieur, une communication au sujet de la situation financière de la tlotte iadochinoise. D'après ses renseignements précis l'actif réalisable de. la f'.otte est supérieur aux dettes exigibles, de la sorte la liquidation aucune Intervent'on du budget général
Le • Courrier d'rmphong ajoute que l'exploitnMon fî"s navires do 1a flotte indocbtnoise a étS ta oun* de bénéfices appréciables qui prouvent nue la ire^tion de rette flotte s'est effectuée conque l'on dans des conditions au?si satisfaisantes tout au mntns nue le peirmefalent les circonstance YARH CLVB :-lE FR\NCB. Cette société dont le siètro est R2 boulevard HnussmanTl, à Pf.ris. a fondée en ifliT. une Cals»" de seoonrs pour venir tn aide aux m.irln> nécessiteux, victimes de la ïuerre. nu d accidents de mer et i leurs familles (vei.res orphelins ou a.scendantsl.
Le Con'eii détermine le montant des allocalion- ainsi que la liste d?s bénéficiaires choisis narmt les rr-irlns ci. leurs famille» dont les candidatures 1u1 sont présentées p?r des membres du Farht Club ou d'autres personnes qualifiée» pour cela.
Le* demandes devront parvenir au slèce de la Soci'té avant le W mai prochain, épnque laquelle sera cnmmencé le travail Aa répartition du f-ind 0*1 soi ours.
LE PLACEMENT DE5 GENS DE NIER. Voici, par pïrts. l'état récapitulatif des opérations de placement des gens de nrr effectuées par lrs bureaux paritaires de placement maritime pendant le mnls de mars 1923
nttr. Pli
M vantes 'ni
I^> rariro SaintrynVr, d» la Société Nav.ile d- TOii»«t. gui. dépôt: Jnil'et 19M, s» trouvait désarmé à Hambourg, vient de prendre armement.
NOUVEVr P40IJEB0T On annnnce s NewYork. c(Ti.-> II R?'1 Star Line est sur le point de rotnmander nn ponvrin pnquelx^t du type du reiqruland. actuellement en roi;t pour N»w-Tork. EVENEMENTS DE MER
EN AVARIES. L* IHvR». avril Le steamer Gmtr, arrivé aujourd'hui, vçrant do la Plati. -ivait subi des avarie, dans cylin-ir«« vt avait in A'rr convo\-é durant la Hn du voyage par le steamer JSo'iqfiinvfllr.
NAVIRES DIVERS
SIGNALES. Au lare» d'Onessint. le 16 avril Bofs des Buttes. Turhheim. Les Baleine», srphoraWormt. Amiral. Vlllaret de Joueuse, Solnl-.lmbroise. Commandant- Mage.
PAQUEBOTS
ET VAPEURS LONGS-COURRIERS
ARRIVES. Au Havre, 16, Grofj:. de La Plata Conaainultle. du Brésil Oucssant. de II.mibourK A SalntNizaire. îs. Alismoor. de Bahla-Blanea A MirsoiMe. 16 SidiBrahlm d'Oran Ville de Bote, Mostaeanem Provence d'Oran Moulouya, d'Alïer Ville d'Oran, de Gênes karaté, do Bon«io iciii rraitslntt, de Cotonou Las Palmas, 15 AflsJotirt, ail. du Havre à New-Orléans à Middleshroueh. 14. Vendôme, de HornilloBav Il safeon. 13, DtHrade. de Shanghaï à Penang. li. Atnbotsr, ail. de Marseille à Yokohama. 4 Buenos-Alres. 1-1. Amiral Biaault 1e ".enoulUu. d'Anvers Il Matadl. il?. Asie, de Bordeaux Il Suer. te. Salnt-Boni/aee. ail. d'AVille de de.er Il Marseille Il Aden, V>. Catonne, sU. de Port-SaTd Hakndsto Il Alexandrie ,le, Si Kiano. aU. en Chine A Saïaron. 1«, Jfflnam. ,Il. d An\er. Il Takuhar.
A Brest. 1«. Pesco. de Pomb«v (en relâche); Dunkerqiie, 16. Ketilucky. dn DantitB. PASSÏ5. »- k OlUrtltar ,10, P. U, Il. M. de U*X"
>alU« Roubaltten, d'Alger P. t. U. 13, d'Al- .:er Ernle mimas. d'Alger & Sagre», M, ichlll» Bautirl. ail. de Marseille Rouen Su (m. Maxime, ail de Nante» t Alger à Perlni. i». tlle au Havre, de La Réunion Femanooronha. n. Livori. ail. d. Buenos- Aires au Hano Péniche, 15. P. L. M. 27, ail. de Marseille il. PAKl'lS De Dimkerque. 16. Nlaaara, p. Le Havre de Salnt-Nazaire. 15. Cuba. p. Neweastle de Duala. 13 -Iîmcc ail. d'Anvers i Mntadt de Tsing Tao. 15, Chef mécanicien itailhol, p. Hong-Kong de Glasgow, 14. BrU .rf, ttio Janeiro. 13. Malle. ail. do nunkerque a Buenos-Alres de Suez, li, Ville ae Rnvrn ail. de Manetlle k de '01111. ti. Balli, p. SalntNajalre il« Havane. 15, De la Salle, ail. de New-Orléans au iravre de Tainatare, 13. ,4rf<7feur Rnland Car. r-v. ii Mauriro de Saigon, 16, Dcsirade. p. Marseille de S3ntos, 14, tntetia p. Hordeanx.
ne Dunkerque. 1fi. Brésil, p. Ké>ltra.
VOILIERS LONGS-COURRIERS
PARTIS Du Havre, 1« 'iuadeloupe, p la Martinique VAPEURS CA||0TTEUR8.
Armtnien. d» Swansea: a Nantes. 16. 4rhro»e de Bas=e-'lnt1re; Parl<, do Sw.inva; Acessac, de I^lth- Ounran de Cardiff; de Brest. t6 HautBriori, de Nanto; IllrpoU.lte-Wormi. du Havre: Turkhrim. de Sfax; Llana. Il'' Newcastle: Mantrakc. de Landevener: du Havre. 16. Suzanneet-Mnrie. de Bordeaux; Sarrnn. de N*3,.ifkls: Jer. de Cherbonre; Ga Pires, de Caen: a nunkerque. 16. 4rfcj(cn, d'Alger: Vordravx de Brpst; Ponfl-ranet du Havre; V*fr, Ae Hull; à StNaiair». 15. Agnts-Dunran. de Penartb; Palais t.i Vnton-1. de Lnrient: à La Rorhel'.?. IS. '.iurcrane, de Port-Talbot.
PARTIS ne Vantes, te Pomcrol, p. Ber deaux- Portbmivstrr p. Bordeaux: Bretagne, p. Bilbao- de Rr~t. 16 Bnurancut p. ,'antes; .lu Havre. 16. CMtrnu-Latrmr. p "i1"™"1;^ is. Plm-hnu Chcl-iitennieicnBlane, p Cardin nownnin-nirer, p. Londres; p. la Concne; de In Rochelle. 15. Arqonne. p. PortT"hC'' VOILIERS CABOTEURS
ARRIVES. A Brest. 16. On^lffnd de Landerpeau ntrnvdclie. de Camarct à Psw s. lj. 'ô. Eugénie, de Pleublan; ntlrn<i-\nna, de LiaPARTI! De r.or1en1. t«. Martial, p.zaire du Lé-né. 13, C.eorgcm. p Pleubtan. GRANDE PECHE
NOUVELLES DES BANCS Le chalutier La pîoiïneeTai Havre. K trouve actuellement à Saint-Pierre et Mtquelon où il livre le produit de sa pèche Tout ra bien à bord.
Le chalutier Crami*. en cours de pêche, signale Pxr radio Tout va bien à bord.. RENCONTRE. Trots-maf goélette S"tn-£nm* des Flots, te Salnt-Malo. par «T 51 Nord et 26 aC Ouest, le 55 mars m
PARTIS. De New port. 14, chalutier Notre-Dame-ic-Franee, pour l'Islande.
LA MORUE ÙANS LES MERS POLAIRES. Le Con..atl tunérWur des pêches <lo Norvège organise t our cet t,« jnc exi^altlon .l'exploration. Le but la cette excMlnor- est do rechercher st. pendent Misot ci urte. la morue se rend de préférence sur les fonds sou»-niarin» situés entre las Norvèu» et le Sptuberg. Au cas ou l'exploitation n ap"nVraTt aivur.Té.'iillat pratique. elle poursuivra les iwhercli- dar. d'autres rtir«'l"r}rs pour arriver N déttrmmoi les lieux d'habitat' de ce poisson d.ii.j us mers ¡¡faciales du Nord. L'explorateur restera en mer trois mois environ, huit hommes seulement l'accompagneront.
PECHE HAUTURIERE
ARRIVES A Lorient, le 16. Héliotrope, 14.000 kilos- Panfhcre.© 5.000 mettes et lo.nno kilos: Porttoy 4.500 merlus et 10.000 kilos; C.rebe 5.500 merlus et 8.900 kilo»; Frégate kilos; CWlamen Il, 1.000 merlus et 10^009 kilos A la Rochelle, 16, Chanchartlon, lî.yr: merlus. divers: Mrorrr, 8«0 wrl.iv H.WÎ ki- 10. divers: Marthe. 1.W0 merlus. r*ï) k losi divers, Harie-Anve. 15.8Ï* merlus, «i.m kilos divers; Acpft/ne, 5.090 merluî. 9.700 küos dlveTS.
PETITE PÈCHE
.^STRICTIONS APPORTEES A CERTAINES PEHES SPECIALES. L'Article 4 du décret du 10 .ial l«. pc tant réglementation de la pêche côMèr» dans les 5 arrondissements maritimes, stlpn« une ton les filets et instruments destinés à des occhu spéciales, telles Que celle du nonnat. re» -oc.lets chevrettes, lançons et poissons de petl.cs dimen-lims ou espèces ne sont assujettis condition de forme de dimension, «le tau'e Je poids, de distance on d'époque. Commo cet•« rosure très libérale, peut entraîner la destuaion d'immatures sédentaires dans ."s lieux ou a. des époques od ces lennes poisons soni tarticuliérement abondant dans les eaux .morales 1e Ministre des Travaux publics., vient dr modifier ;et article (décret du îi mars J. 0 -111 6 avril)
i-irénavint, tous les enpins. filets et instruments dei-t'nés » des pèches spéciales, telles que celles des aneullles. nonnats. soclets. chevrettes, lani->n«i ;t poivsons do petites espèces, ne sont Mtrelnt* a aucune eonditlon de forme, de riimenon nu de poids. Dans le but d'assurer la <onvrvalion Aes especej autres que celles 3 la raoture Jesinelle* ce«, filets, engins et instruments -m t. destinés, des restrictions peuvent être .ippo-tùes a l*ur usaee en ce qui eoncerne les zones et -Tonues de leur ntiltsntlon.
L'emmol des filets, engins et Instruments dont Il s'agit devra, être déclaré aux agents maritlnes.
L8 CosOCTT. 13 avril Peu de bateaux ont. pu -ortir poir la relève des casiers, pas de poisson ie '.«nos ni au filet. Acheminé sur Brest. par mareyeurs ion à 1» kilos de homards 160 à 1;0 de hoir rds 80 à 100 de crabes et araignées le mer Les rours qu! avaient sensiblement bats;é le.s Joii.s précédints, ont remonté hier. en raison (la la présence sur le marché de plusieurs marchants. On cotait homard, 15 à 13 fr. le kilo langouste. 13.30 à U.75 le kilo crabe et araignée de mer t >r. le kilo O.îO à 1.55 la nièce suivant grosseur en ville.
la pêche d Camaret. Le commencement de la sats.on de péche continue à être mauvais pour les pécheurs la dernière morte eau a encore été con'rariée par le mauvais temps persistant. La semalnp écoulée n'a pas été meilleure que ses de.anrléri-s, i«s pêcheurs de crustacés n'ont pas opêde bonnes prise». Une vingtaine de stoope s>3nt reutrés avec quelques langoustes seutement bord. LA cours moyen de ce ernstacé Il été de 7 r (<̃ le kilo sardine. 9 fr. le kilo
Le bateau A vlvlcr Reine des r.lcur a pris armericnt pour le cabotage et va partir prochainemrnt pour les c0'rs d'Angleterre a l'effet d'y 1 rendre r chargement de langoustes, c'est la. première Importation de crustacés irlandais dans e no-t tle Camaret.
LE Pauis. 16 avril. Depuis vendredi soir. 11 Lait mauvais temps. forts gralns O. N. O. avec bourrasques de grêle. Aucune Déehe n'est possible, aussi 1« cort est bondé de langoustiers ftntstérions venant des paragrs de l'Ile d'ïeu. Plusieurs veneurs sc trouvent également en relâche sur .ad* depuis deux jours.
Lr Coxoufi, 14 avril. Temps mauvais, mer démontée, dans riroise et le Chenal du Four, vent très fort de la partie Sud-Ouest, baromètre avec lendanre Il la baisse. Peu de bateaux ont pu sortir m raison de l'état de la mer quelques bateaux rentrés avec en tout. 10h à 150 Jdios de vieilles. tacoii. liens. le tout pour bœtter les caslr« à crustacés et pour la consommation familiale. Environ 10 à t5 barque» de pêche de Douarnener pèchent le maquereau de dérive au large .i« ne d'Ouesssnt, auelques-unes en relsehe au jort avec 1J0 190 maquereaux et petits prêtre» 'chemine: sur Brest.
Acheminé s>Jr Brest »jur Halles • 58 kilos de homards. *O .1e langoustes, 'X& kilos de crabe* et araignées de mer les barques de pêche du Retecq Kerhuon sont retenues aux Iles Bbntguet et Que menés moule vieille à 3 au kilo tacot, s « b*1 Heu. 1 k. i 1 k. 509 moyen, à à 4 au lllo homard, e k. 859 langouste. 9 k. «nn Il t k va er*be t à S araignée de mer, au kilo.
Court le tout au kilo, saut Indication contrat••1 1
t m>oy«-i, i. 9.£> homard. 10 à Il langou* te. n à 13 crabe et araignée (le mer 1 à 1. 15 I on TUia. ojO à 1 tr. la ploce. suivant groswir 1 moules. 0.00 le kilo; palnurdes grosses, c..», moyenncs. 0*1 F aire. o«i roqua, 0.15 nernlqne, 0.10 U dom.iine bigorneaux, l.7.r> à 2 fr. le Ilre cas d'ormeaux, ni crevettes roses. ni coquilles Sair '-Jacques
DorARirsEz. 14 avril. Raies pêche aux p-"lnneres sert bateaux sont rentrés avec -les rai?». poMeaux. congre*, chtens et chats de mer. pour une valoir de à k 40f« fran.-s.
Pfche a îx filets cinq sont aves des ra es. posteaux. m.imcheî. pour nn» valeur le t4- à 915 francs. Ces bateaux ont au-.»i péché ilo !•? à 90 langoustes vendues a ral«on iln 1* A ir. tr ln kilo et do ts à Ei couples île araiune»« vendus t raison de I.» à 1.50 la ronp'r. Mmuereaiix di-iiio |i.it"inx Mint. rertpés ave ft\ ih de mannereaux vendus à raison du 7 8 8 f·. la douzaine. Quelques batea'iT ont péché ?M A 1-0 (Innialnes.
OBSÈQUES
RENNES Vous ête» prié d'assister au convoi et à la cérémonie religieuse qui auront lieu le mercredi 19 avril !CW. a 10 heures :5 du matin, en l'église de Toussalnts, pour le repos et salut tternel de l'ame de
Madame Veuve Jean-Marie ALLAIN
\ee Fr-mçnise.-Maric nVPVI
décédêe en sa demeure, Rennes, rue de Nemours, n* 12. le 15 avril 199.1, dans sa 7S' 11née. munie des Sacrements nI' l'Eglise.
On se réunira à la maison mortuaire 10 heures L'inhumation aura lieu au cimetière ne l'Est. De nri,[unitl*
ne la part de ses enfants, pctlts-enMnt». frères sœurs neveux, nièce5, et de toiue la famille.
MONTFORT-SUR-MEU. Vous Me, prié d'assister au convoi et Il la messe d'enterrement de
Monsieur Pierre FEROHAUX
décéd* rue de la Saulnerle, la 13 avril :»23. dan» sa «9* année
La cérémonie religieuse aura lieu i Montfo't le mercredi 1* avril. à dix heures.
De la part de Mme Ferchaux. sa veuve; 'il. et Mme Henn Ferrhaux; M. et Mme L'iclen Perrin, leur» enfants. et de tonte la famille. Le présent avis tlent ):eu de faire-part
sister an rnnvot et à la messe d'enterrement de Monsieur Joseph DELÊPINE
Epoux de Damc .Virie LASOS
decédé à l'Iélan. dans sa 79" année, muni des Sacrement* de l'Eglise, qui auront lieu I* 18 avili ÎP'.I. à dix heure* 30 du matin, en de Plélan-Ie-Grand. On M réunira i la maison mortualre 10 heures 15.
De la part de Mme Delépine, son époase: Mme H. Cellier sa fille; Mlle Marie-Thérèse Cellier. pctito-fl'.e et le toute la famille.
Le pre.-ent avis tient lieu de faire-part SAINT-SERVAN SUR-MER LAVAL.Vous fil, prié d'assister au convoi et à la messe d'enterrement de
Monsieur Adolphe CHEVALLIER Ancien June au Tribunal de Commerce
de Snint-Malo
Ancien Négociant en Boit
décédé en son domicile, rue Chapitre. S8. dam sa 50» année. muni des Sacrements de l'Egltse, qui auront lieu le mercredi 18 avril, à dix lieu- res du matin, en l'église parotsslale de Saint- Servan. et de 14 à la gare. De la pirt de 'fine Chevalller. sa veuve: de M. Adolphe iTievallier. son père; de Mme Lnoasseau, sa belle-mère: dn M. Ar«éne Chevallier, contrft- i lenr des Postes: M. Abet Chevallier, capitaine au long-cours, et Mme: M. et Mlle LueatsMU. son frère. M «enr, ses beaux-frères et belles-sœurs et de toute- la famille. L'inhumation aura lieu à Laval. On se réunir» à la gare de Lavai, à 10 heures 30, jeudi 1», pour se rendre à l'église Saint-Pierre.. Le présent avis tient lieu de faire-part.
PAIMPOL. Les familles Oeil: Mathieu, j I/eguel, Omphane ont la douleur de vous faire part du décè3 de Monsieur François CELIN
Brigadier drq Douanes en Retraite
Les obsèques auront lieu a Palmpol le Jeudi in avril 10?1. A 5 heures.
Le prosent avis Ment lieu de falrs-part. DINAN. Toik "tes prié d'assister aux convoi, service, pt iTilvin.ation de
Monsieur Louis LARÊRE
décédé dans sa 30' année. muni des Sacrement» de l'Eglise, en son domicile, place Duguesplin, qui auront lieu le mercredi 15 avril, i 10 heures .̃» en l'église «alnt-Sanvonr de Dinan. De Il part de tonte la famille.
Le présent nvii tient lieu de faire-part. re¥efciements
RENNE S-PORTRrEUX-SArNT-OUAY- Les familles Vcrhille. Trochn. Dpsgrées du I.oa, Clallals remercient très sincèrement les nombreuses personnes qui leur ont témoigné, leur sympathie A l'occasion du deuil cruel qui vient de le? frapper en la personne de leur m"», bellemère et grand'mf-re.
Madame Alphonse HAMONNO
SAINT-SERVAN SUR MER- Les familles Dro7t;et, Bonenf.int et Gosnot remercient bien sincèrement toutes le» personnes qui leur tint. témoigné leur sympathie l'occasion du décès de Monsieur Alfred DROGUET
Retraita des Douanes.
COMBOURG- jr Eugène Rlbault et ton fils, ainsi que les familles Tenter. Ribault, Lechien, r.andry et Sarclaux Temerclent bien sincèrement toutes le« personnes qut leur ont témoigné rt» la sympathie i l'occasion du décès de Madame Eugène RIBAULT
\Vr Marte-Joseph TBLLIER
PONT-RÊAN- Mme veuve Denleul et sal famille remercient hf.-n sincèrement toutes 1_' personnes qui ont assisté aux obsèques de Monsteur Julee DENIEUL
ainsi que celle* qui leur ont témoigné de It); sympathie en cette douloureuse circonstance. j "ÂNTRAIN SUR COUESNON- Les fa-j mille» Roquais. Radou et Janvier remercient btesl sincèrement les personnes qui lenr ont témoigna: de la sympathie l'occasion du décès de Monsieur Louis ROQUAIS
Princinal Clerc de Notaire d Bainie-Brttagne. DOL. Le docteur et Mme Leuls Maufrals tt\ leur famille remercient Dlen vivement tonte» le»' personnes qui leur ont témoigné leuT à l'occasion du déeès de leur fille 1 Jeanne MAUFRAIS i
SAINT-MAUDEZ Mn«] ITenri Conan et ses enfant» remercient bien «ltv» cèrement toutes les personnes qui leur ont. t*- moiené de 10 .siympathie à l'occasion de la perU ( cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la perso»» Monsieur Henri 00NAN
leur mari et père.
CATTRETj. Mme Devalan et ses entants t«» qral letir ont témoigné de la sympathie Il i'ece*» slon au décès de
Monsieur François DEVALAN
L'E QUESTION REGLEE Toutes les sommités médicales ont tour tour tloniK- leur avis sur les différents ap ritifs que l'on peut prendre, son au Café, soit chez soi. Beaucoup de ces apéritifs ont 1 16 plus ou moins condamnés. Il en est un cependant qui a échappé à toutes critiques et u dé reconnu réellement bienfaisant. Ost la SlZE, apéritif tonique exclusivement k pnse ce racines de gentiane et qui doil se prendre pur ou tout simplement avec du sirop de citron ou de casais étendu d'eau bien fralche .afin d'éviter un mélange diminuant se» propriété» bienfaisantes.
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Prix Vol-au-Vent THbouleau, SurtiUe. Prix Ecenigsberg Teltmaque Y, Touarew. Le Temps qui! fail Aujourd'hui 17 Avril 1 Saint Anloet U soleil se lève L 6 h. 00 et se couche à 18 h. a La lune se lève 5 h. 61 et se couche » 1» h. M Plus, la avril. Situation général* U u avril, d 7 heures. La dépression d'Irlande est comblée. +11 mlll. Celle du Sud de la Baltique est dâtrulta, +8 mlll. à Bornholm. CeUa du golfe de Gênes également, +6 mlll. à Llvourne. et la haufite est général» en Europe. Maximum 768 au Sud de 1'1!pagne, sauf –a mlll. en Pologne. A Paris, 7&4. Minimum 748 en Pologne.
Les venta tom mil», du Sud-EK-Surt-Onett, nr la Manche; de l'Ouest-Murd-OueM. faible@ à mo(Mr*t. en Br*ta«ne; de l'Oued, a»es forte, sur l'océan et dans le RouaslUon.
Les maxima de la veille ont «t! 6e la 4 Ftflf; 1« à Matseille; 17 Perpignan; »1 Nie»; 14 à OrUanj; 13 au Havre, CherboiiTg, Ançflntan, Lyon, Toulon?*, Bordeaux; tî à Dijon, Calais, Clermont, Strasbourg
Les minima de 6 à Parla. Orléans. Bordeaux, Lyon; 7 au Harre, Dijon. Toulouse; 8 à Brest; 10 à Perpignan il k Nice 5 à Argentan, Calais. Cherbourg; 4 & Kancy. Strasbourg; ° A Metz. Pluies a 7 heures 1 mlll. 4 Paris. Nancy, Le llavre, rhtrbours; 3 à Argentan. Orléans; 4 à Ilre-"t, Amlftns; 5 à Stra^houir?; 9 à Bordeaux; 15 A \rcachon; 16 à Rochefort.
Ce matin, ondées a Ports, «paras molrM Nord ft .1 Toiiîmije.
Htm SO1K
Trouvlll« 9 h. M 10 h. 00 Cherbourg 8 h. 39 s h. 54 Oranvilte 7 h. 00 7 h. 15 Salnt-Malo « h. 55 7 h. 07 Snini-Breuc « h. U 6 h. M l'almnoi 6 h. 4« « h. 41 Tréaulcr 0 h. 16 s h. ti Mnrlxlx 5 h..vi hh.M rtrest 4 h. 40 « h..ss îvrimarch 4 h. n 4 h. a> ronrarncou 4 h. 1S>* 4h. 33 I.ortent h. M 4 h. 3i B«l!e-Ile 4 h. 11 4 h. 98 Oniberon (h. 4 h. 45 vannf» 6 h. 40 8 h. 40 Snlnt-Nazalr» 4 h. 19 h. ?.1 Nant« « h. 34 S h. 3.1 s.ibVvd Olonne 4 û. 19 4 h. 53
BOURSE DE PAkiS
Plus, Il arrtl. L BOUM 4 fait prauTt 4i bonne dUposltlon. Las TaJeurs dirigeante» «ont em hausee uenslbte eK doonant le ton au marché. Lai transactions sont plus active*, tant au cnmptaM qu'à terme. On note la vive reprl.*« du Suez qui clôtura 1 8 5K0 contre 7.ti60. La liquidation de quinzaine s'est effectué* facllement; le taux des report» Il du d'eaTlron «.M
Au Paniœt .noe reotet tont bien tem«i la 3 t'avance à f/7.«S; le à 1917 4 M.a>; le s 1930 à 87.49, ex-coupon de 950.
Parmi les fondu d'Etat étranger*, les Russe* tout termes le Consolidé clôtura à « e& Après K.W-. le 5 1908 à le Turc Unifié se ii4trotia 4 «8.M le 6 1914 4 ».SO. Le rroupe boncalrn wt bien dispose la Banque de Part» s'avance 4 1.4Î9 l'Union ParWenn» 4 «39 le CMtt Lyonnal« 1 570.
Les liinques «trangtrai sont formes Ia Banque du Mexique à 875 la Banque Ottotnane L SSfl. Les vflfpnrs (i'*lectrlclt« sont bien disposées tr valeurs de produits chimiques sont fermes Gafsa clôture A 1.030 contre 1.O08 Péchtney 4 8M après 835 le Rio accentue son avance 4 3.815 Bolàn 4 663. Parmi les valeurs de lucre. la Say savanes à Î.84O les Sucrerie» d'Egypte 4 807.
En banque marché ternte. Las valeurs de p46. trole sont bien tenues. Les Industrielle •• Ru*sea sont lnd^ctsa;. La De Béer s'avance à 1 cco contre 1.050.
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CE QUI VAUT
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Feuilleton de • îuuft-Eclair
du 17 avril 1W3 37
L E
CALVAIRE DEU1 WiNG Par Mrs Humphry WARD traduit de l'anglais par MAXIME MAUHY VIII
Sa maison était pleine de livres. Dans le grand salon, nu, du premier étage, il svait Installé un piano. Il en jouait à l'occasion avec beaucoup de brio et un goût très sûr. Bach, Scarlattl. Mozart lui suffisaient, chose assrz surprenante, étant donnée sa passion (, .r :< liitermnre e: la poésie modernes. Il .t. \i .11 ;̃* poe:t.> du Jour, avec il il ̃u rf .11 :ii des restions personnelle?.-r.lin i;r.Miient au courant du roman con• <mii|<i '.iin. français, Italien, espagnol, il ne «>̃;̃ pis moins, lorsque sa t>e«o- qu^in't^ r<-plt, flans les vieux classiques, nir tiruii^r :it Homère et Sophocle. cornMêrant que U était le meilleur, le seul moyen qu'il de tirer son esprit de h C'était il'atllpurs un excellent homme, «es attirtMiirt un peu. dans le fond, A la vlollle mnirorit- gale qui le servait Aux 1 nr- rie varan cet de la Chambre et des Trilnuiiri*. cette Mrs Evant venait lui apporter le tué
a quatre heures: elle avait la permission de s'asseoir à cOté de lui et de bavarder pendint qu'il buvatt. On aurait pu les prendre ;ous deux pour une paire de petits propriétaires de campagne, riant et discutant des événements les plus simples, les plus l.umhles. concernant Ips quelques petites fermes ut le hameau du Breconshire, au pied des Montnjjnes Noires, qui reconnaissaient fiobert Llewellyn connut) leur suzerain. Il pas-uit là, chaque année. dans une miricMe maison rural! pur les bord» d'un petit lar. deux ou trois semaines paisibles.
Tout cela n'empêchait pas Robert Mevretlyn de devenir chaque année davantage une puissance politique et parlementaire, 1° bras drott û<i Washington, sur les bancs de \ipposition, de plus en plus suivte et populaire en AnRieterrt Quelques personnes ne romnrennipnt Pas d'où lui venait cette haute sitiimiou. Qt'Hiid elles monifesmient leur étonnement aux omis Ae I.'ewellyn. ceux-ci sourlairnt et ne prenaient pas la reine (le leur donner irexplirniinns
C'était un vendredi si-.tr; ;.vint refusé, nv^c nllecresse, l'Invitation d'une ilu- chesee. dars le but de se panier v e tin due semaine pour lui même, avait dtné e. ul, lndoasé un de ses plus vieux costumes, et, iu.=tnll* dans son «nlon. fnmait tnnqiil!le'iicnt. entnuré de pilce Inépales de nouvenux livres étrangers.
Par les fenêtres ouvertes sur la rue palslbln car I.nndre» était parti Il la campa-ine, Urwrllyn roanrrlalt de temps Il antre, au iniére. les rares piiRSMiits clieminiiiit le ioti(.' du truitoit. IL admirait la sérénité d'un cotn
du ciel nocturne, apparaissant A travers une baie vitrée, et jouissait avec un | loisir !ntense du repos physique et mental que lui apportait cette heure mélancolique. • Maintenant, se disait-il, je saib te qu'J.itendent les Grecs par le mot « nlarapcixia ». A -peinï cette réflexion lui était-elle venue que la sonnette du téléplione retentit; so'iriant aux petites ironies de la vie, il se leva pour écuuter.
Allô Qui est à l'appareil 1 Vous. Je vous croyais Il Windsor.
J'irai la semaine prochaine. Je prends deux jours de congé en ville. Je pensais que vous Etiez à..
Ah non, par exemple Vous dévirez me voir 7
Oui. Strez-vous chez vous si J'y viens dans quelques instants ?
Sans aucun doute. Préférez-voue que J'aille vous trouver t
Non. Nous srrnns moins dérangés M je vais s vous.
Llewellyn raccrocha le récepteur, sonna Mrs f-lvans. cninmandn du café, et se mit il rnmnMtr les livres broches dont le piirpiet rtr-lt Jonché. Que pouvait lui vouloir nichnrtl Washington à cette heure 1 Il ne s'étrit rien produit de rouveau en politique. A la Chambre des Communes, le gouvernement ion?ervnit sa majorité et très certainement pn^norait la fin de la session sans encombre. Il l'avait toujours dit. en dépit rte 1a belle Mrs Wins et de son cercle de tètes chaudes. Assis, attendant W'nshincrton. il se mit r.vpr tir Carcillrip Wing, ci: elle dp plus en piu«. Sn;i curnrtcre (•iiprul<ï.ic. passionné, impulsif, et cependant toujours
sincère l'attirait; sa beauté était un channe perpétuel pour un homme chez lequel le sens da l'esthétique jouait un si grand rôle. La situation de la jeune femme avec tout ce qu'elle comportait, ce mélange da danser it de magniftcence. éveillait en lui une sorte de tendre, de paternel intérêt; mais, à mesure qu'il sentait son intimité avec elle devenir prépondérante, il en venait à e*exnminer lui-même davantage. Certes, il savait bien nue due ces relations ne pourrait naître aucun danger pour lui, et le monde n'aurait pu que rire a la pensée que lui. avec son nez si plébéien et son obé.«t:é marquée, pût devenir un danger pnnr elle. Une seule question le préoccupait ce brillant de la vie extérieure de Caroline Winjr, ce vaste effort mondain qu'elle donnait avec un tel succès compensaient-ils, compense" ïcnt-l!s jamais la vacuité de son bonheur Il réfléchissait à tout ef 1 rnique fois qu'il la quittait. h ressentait pour elle une pitié Intense, dont Il s'étonnait, mais qui, en somme, résultait de son jugement -ur le caractère d'Alec Wlng. D'autre part, il était certain que te jeune lord Mdton était en train de perdre la tête et que Mrs Wlnp, complètement absorbée par son mari, restait absolument indifférente A se« attentions, sauf en ce qu'elles pourraient avrir d'utile pour Alec Elle n'avait pas conscience des commérages que faisaient courir les .trop fréquentes visites de !\letton à Elthqm-Hnuse et sa passion si peu dissimulée.
Un nmi .«^rlenx et d'un fis* tnûr nourri Itil cp prrmpttrp de l'ntirtpr un ennsril à 'a !piinp fpiiiin* ;1 ci- sujet ? Alec semblait si tien le protecteur naturel 1 (.4 suivie.)
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Travaillés par le sang
Chez l'arthritique, le eang est le véhicule de poisons qui se déposent flanc la peau, provoquant les pénibles clous e6 furoncles ou des dermatose acné, herpès, dartres, eczémas, aux terribles démangeaisons. Lorsque l'acide urique s'incruste dans les jointures ou les muscles, c'gsi le rhumatisme ou la goutte. Parfois la viciatiou du sang se traduit par la fatale artério-sclerose, qui se révèle d'abord par des wertiges, des maux de tête, de l'insomnie. Le systeme veineux est atteint de variceë avec le danger de phlébite (embolie), d'ulcères variqueux tt d'hémorroïdes. Des douleurs dans le dos sent souvent un symptôme de néphrite ou de gravelle. Il est d'atlleurs bien lacile aujourd'hui de guérir toutes ces maladies provenant du sang. Le DEPU. RATIF RICHELE1 0 depuis longtemps lait fies preuves dans tuus cas cas-là, et des milliers de personnes lui doiveut la sante. Parmi d'innombrables témoignages, en voici un Je suis heureux de vuus annoncer ma guémon totale et par faite. Ayant obtenu ce re. sultat après avoir tant souflert et pris inutilement tant d'autre» rcmèdes, te considère que votre DEPURATIF RICHELET est le .seul efficace et cap'ibu de sauver les malades du aauy.
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