Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 56 sur 56

Nombre de pages: 56

Notice complète:

Titre : Journal officiel de la République française. Lois et décrets

Éditeur : Journaux officiels (Paris)

Date d'édition : 1919-12-11

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34378481r

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34378481r/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 640344

Description : 11 décembre 1919

Description : 1919/12/11 (A51,N336).

Description : Note : GG14181.

Description : Collection numérique : Documents consacrés à la Première Guerre mondiale

Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique

Description : Collection numérique : Ministères des Affaires étrangères

Description : Collection numérique : Traités, accords et conventions

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IIIe République (1870-1914)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IVe République (1946-1958)

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6415573m

Source : DILA, 2009-100524

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 21/02/2013

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99%.


SOMMAIRE

PARTIE OFFICIELLE

Présidence du conseil.

Décret'chargeant le ministre de l'intérieur de l'intérim du Ministère de la guerre et du ministère des affaires étrangères (page 1.

Arrêté nommant le directeur des services de l'office central de l'expansion nationale (page 14C0G).

Ministère de la justice.

De'cfet nommant un conseiller d'Etat en ser, vice ordinaire et un conseiller d'Etat ho1 noraire (page 14305).

'\- pUp!f^ J^pination et acceptation de dé'-' n tiC juges de paix (page 14306).

noruin 'a tion et acceptation de dé(PSOl" de suppléants de juges de paix * nommant des greffiers (page 14307).

nommant des officiers publics et des offlciers ministériels et supprimant des offices (page 143J7).

Ministère des affaires étrangères.

décret fixant les quantités de produits tunisiens qui pourront être admis en franchise ou avec des traitements de faveur, à leur entréè en France, du 1er août 1919 au 31 juillet 1920 (page 14307).

Ministère de l'intérieur.

décret autorisant divers départements à s'imposer pour insuffisance de revenus ordinaires (page 14308).

nornmant des commissaires de police (Page 14309;.

Ministère de la guerre.

l)iCl'ct fixant rr-fTectif normal des employés titulaires du magasin central des troupes coloniales (page 14309).

Cttaîions à l'ordre de l'armée (page 14309).

toicripiicns au tableau spécial de la médaille nulilaire (page 14311).

Décrets et décisions portant nominations, promotions : Etat-major général (page 14331).

Service d'état-major (page 14332).

Cavalerie (page 14333).

Intendance (page 14334).

Service de santé (page 14334).

Aéronautique (page 14335).

Ministère de la marine.

Décréta et décisions portant promotions, mutations, nominations : Etat-major général (page H33G).

Officiers de marine (page 14336).

Equipages de la flotte (page 1433G).

Commissariat de la marine (page 14335).

Service de santé (page 14336).

Directions de travaux (page 14336).

Circulaire relative à l'établissement des listes trimestrielles des états-majors (page 14337).

— relative à la reprise des envois en disponibilité première catégorie et en congé après réadmission ou rengagement (page 14337).

Liste des officiers admis à suivre les cours de l'école supérieure de marine (page 14337).

Ministère de l'instruction publique et des beaux-arts.

Décret admettant à la retraite un professeur de la faculté de droit de l'université de Paris et lui conférant l'honorarlat (page 14337).

— nommant un professeur au Muséum d'histoire naturelle (page 14337).

Arrêté nommant un membre du conseil supérieur de l'enseignement des beaux-arts (page 14338). ,

— portant nominations dans l'administration centrale des beaux-arts (page 1,4338).

Instruction sur la scolarité des sursitaires des classes 1918 et 1919 et des non-sursitaires de la classe 1913 (page 14338).

Ministère des travaux publics, des transports et de la marine marchande.

Décret relatif au payement des congés et campos non accordés au personnel de la compagnie des chemins de fer du Sud de la France (Var) (page 14338).

Arrêté nommanfun membre de la commission des distributions d'énergie électrique (page 14339).

(Commissariat de la marine marchande.) Arrêté portant admission a la retraite dans l'administration centrale (page 14339).

Nominations dans le personnel (page li339).

Ministère des colonies.

Décret portant désignation du gouverneur général de l'Indo-Chine (page 14339).

Arrête convoquant les électeurs des îles SaintPierre et Miquelon à l'effet d'élire leur délégué au conseil supérieur des colonies (page 14339).

Décrets et décisions portant nominations ot mutations dans le personnel colonial (page 14339).

- prorogeant de deux années la .constitution en rentes françaises des bons de caisse de la Guadeloupe (page 14340).

- portant organisation du service de l'inspec' tion générale des travaux publics au ministère des colonies (page 14310).

Ministère du travail et de la prévoyance sociale.

Décret portant modification au décret du 18 juin 1919 instituant un comité départemental des mutilés-et réformés de la guerre dans le département des Pyrénées-Orientales (page 14342).

- portant modification au décret du 2 juillet 1919 instituant un comité départemental des mutilés et réformés de la guerre dans le département du Doubs (page 14343).

- portant modification au décret du 26.mars 1919 instituant un comité départemental des mutilés et réformés de la guerre dans le département de la Loiro (page 14343).

- instituant un comité départemental des mutilés et réformés de la guerre dans le département de la llaute-Vienne (page 14313).

Ministère de la. reconstitution industrielle.

Décret transférant au ministère de la guerre 16 service des poudreidépendant de l'ancien ministère de l'armement et des fabrica tions de guerre (page 14313).

- transférant au ministère de la guerre tous les services et établissements de l'artil.

lerie précédemment rattachés aux ministères de l'armement et de la reconstitution industrielle (page 14343).


Décret rejetant une demande en concession dé mines à Chaudesaigues (Cantal) (page 14344). ,

f - acceptant une renonciation en concession ; de mines à Vèze (Cantal) (page 14344).

- nommant des élèves ingénieurs des mines (page 14344).

Arrêté prorogeant les prix de vente des charbons extraits par les mines françaises t; (page 14344). Pensions. — Concession de pensions (marine) (page 14344).

Nominations à des emplois réservés (page 14347).

PARTIE NON OFFICIELLE Sénat. — Ordre du jour (page 14349).

Chambre des députés. — Réponses des ministres aux questions écrites. — Ordre du jour (page 14349).

Avis, communications et informations.

- MINISTÈRE DES FINANCES Avis de tirage des obligations des chemins de fer de l'Etat (page 14349).

MINISTÈRE DES TRAVAUX PUBLICS, DES TRANSPORTS ET DE LA MARINE MARCHANDS Avis relatif aux transports intéressant l'exportation (page 14349).

MINISTÈRE DES COLONIES Taux officiel de la piastre en Jndo-Chine (page 14350)..

MINISTÈRE DU TRAVAIL ET DE LA PRÉVOYANCE SOCIALE Déclarations de reconstitution totale ou partielle d'établissements communiquées au ministère du travail en exécution de l'article 55 de la loi du 17 avril 1919 sur la réparation des dommages causés par les faits de guerre (page 143501.

Avis de concours pour dés emplois d'aide statisticien et de statisticien adjoint (page 14350).

CAUSES D'AMORTISSEMENT ET DES DÉPÔTS ET CONSIGNATIONS x Opérations de la caisse d'amortissement et des < caisses d'épargne ordinaires du 1er au 10 décembre 1919 (page 14350).

Bilan de la caisse des dépôts et consignations au 30 juin 1919 et annexe au bilan (page 14352). *

Société de statistique de Paris (page 14354).

Annonces (page 1435G).

——————

CHAMBRES Chambre des députés. — 11* législature. Documents de la commission du budget. —

(Rapports de missions et de contrôle).— Résolution de la Chambre du 19 octobre 1919 (Feuille 14).

- Annexes : feuilles 9G et 97 (pour l'édition complète). (Voir le sommaire des annexes au Journal officiel de. chaque lundi.)

PARTIE OFFICIELLE * PRÉSIDENCE DU CONSEIL Le Président de la République française, Sur la proposition du président du consen, ministre de la guerre, Décrète : Art. 1er. — M. Pams, ministre de l'intérieur est chargé de l'intérim du ministère

de la guerre et du ministère des affaires étrangères, pendant l'absence de M. Georges Clemenceau.

Art. 2. — Le président du conseil, ministre de la guerre, est chargé de l'exécution du présent décret. »

Fait à Paris, le 10 décembre 1919.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le président du -conseil, ministre de la guerre, GEORGES CLEMENCEAU.

-..:,; Par arrêté du président du conseil en date du 9 décembre 1919, M. Chaix (Edmond-AiméLouis), est chargé d'assurer la direction générale des services de l'office central de l'expansion nationale, créé par décret du 28 novembre 1919.

MIMISTÈRE DE LA JUSTICE Le Président de la République française, Sur le rapport du garde des sceaux, ministre de la justice, président du conseil d'Etat,Vu la loi du 24 mai 1872, portant réintégration du conseil d'Etat; Vu l'article 4 de la loi du 25 février 1875, relative à l'organisation des pouvoirs publics; Vu la loi du 13 juillet 1879, relative au conseil d'Etat;

Vu l'article 24, paragraphe 4, de la loi du 13 avril 1000 ; Vu l'article 97 de la loi de finances du '8 avril 1910; Le conseil des ministres entendu, Décrète : Art. 1er. — M. Marty, préfet en disponibilité, est nommé conseiller d'Etat en service ordinaire, en remplacement de M. Varagnac, admis à faire valoir ses droits à la retraite et nommé conseiller d'Etat honoraire.

Art. 2. — Le garde des sceaux, ministre de la justice, président du conseil d'Etat, est chargé de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 10 décembre 1919.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le garde des sceaux, ministre de la justice, président du conseil d'Etat, LOUIS NAIL.

h..

Par décret en date du 8 décembre 1919, rendu sur le rapport du garde des sceaux, ministre de la justice, Sont nommés juges de paix de : Niort (Deux-Sèvres), 2' canton, sur sa demande, M. Mestyer, juge de paix de Poitiers (Vienne), enaton Sud, en remplacement de M. Magnant, décédé.

Poitiers (Vienne), canton Sud, M. Nocquet, juge de paix de Saint-Maixent (Deux-Sèvres).

Sisteron (Basses-Alpes), sur sa demande, M. Villevieille, juge de paix de Gap (HautesAlpes), (classe personnelle), en remplacement de M. Avond, décédé.

Sainte-Mère-l'Eglise (Manche), sur sa demande, M. Jeannet, juge de paix de Barneville (Manche), en remplacement "de M. Burnouf, décédé.

Les Matelles (Hérault), M. Prax (Maurice), licencié en droit, ancien avoué- (loi du 12 juillet 1905, modifiée par la loi du 14 juin 1918, art. 20,

§ 2 et loi du 4 octobre 1919, art. 9), en remplacement de M. Argelliers, décédé.Surgères (Charente-Inférieure), M. Marchand (Lucien-Onésyme), licencié en droit, clerc d'avoué, en remplacement, de M. Ratcau, dé1 cédé.

Sont acceptées les démissions de : M. Iriquin, juge de paix de Blanquefort (GH ronde).

M. Gaugain, juge de paix de Longué (Maineet-Loire).

M. Champigny, juge de paix de La Haye-Descarles (Indre-et-Loire).

Sont nommés juges de paix honoraires : M. Leberton, ancien juge de paix de Caeq.

(Calvados), canton Ouest. M. Albaric, ancien juge de paix de Loches (Indre-et-Loire).

M. Scolan, ancien juge de paix de Châtelaudren (Côtes-du-Nord).

Par décret en date du 8 décembre 1919, rendu sur le rapport du garde des sceaux, ministre de la justice, - t Sont nommés suppléants des juges de paix de : Asnières (Seine), poste créé (loi du 5 octobre 1919), M. Ulmo (Salomon-Albert).

Barre (Lozère), M. Plantier (Victor-Casimir), en remplacement de M. Estor, décédé.

Bayonne (Basses-Pyrénées), canton Nord-Est, M. Masson (Jean-IIenri-Marie-Pierre), en remplacement de M. Gillet, décédé.

Besançon (Doubs), canton Nord, M. Lerch (Paul-Emila-François), en remplacement de M. Pidancet, décédé.

M. Buzancy (Ardennes), M. Boizard (Georges) en remplacement de M. Pierson, décédé. Cadalen (Tarni, M. Vigné (Henri-Auguste),, en remplacement de M. Bourjade, décédé.

Cadenet (Vaucluse), M. Richer (Eugène-Michel-IIonoré), en remplacement de M. Nicolas, dont la démission a été acceptée.

ChiHus (Haute-Vienne). M. Romain (François)/ : en remplacement de M. Dumas, démissionnaire.

La -Chapelle-sur-Erdre (Loire-Inférieure), M. Paris (Henri-Jules-Jean-Baptiste), en rem-

placement de M. Rozier, démissionnaire.

La Chapene-dc-Guinchay (Saône-et-Loire), M. Bourdon (Jean-Claude), en remplacement da M. Vaffier, décédé.

Châteauvillain (Haute-Marne), M. Lavie (Auguste-Désiré), en remplacement de M. LoquiDr décédé.

Donzy (Nièvre), M. Grangier (Jnles-Iréney), en remplacement de M. Bournadet, mort pour la France. , Douai (Nord), canton Nord, M. Parent y (Georges-Charles-Louis-Victor), èn remplacement de M. Fardel, démissionnaire.

Genlis (Côte-d'Or), M. Frèrejaeque (François" Etienne), en remplacement de M. Ledoux, démissionnaire., Grand-Couronne (Seine-Inférieure), M. ¡.

heux (Honoré), en remplacement de M. Martin, démissionnaire.

L'Isle-sur-Sorgues (Vaucluse), M. Laval (Eh" sée-Victorin-Marius) en remplacement de M. Beauchamp, démissionnaire.

Labastide-de-CIairence (Basses-Pyrénées)* M. Harriague (Martin), en remplacement dl, M. Maupin, décéde.

Larche (Corrèze), M. Sage (François-Mice, en remplacement de M. Guillaume, décédé Louviers (Eure), M. Fages (Léon), en rempl*" cemeilt de M. Thiberge, décédé.

Lugny (Saône-et-Loire), M. Ravat (Claude en remplacement de M. Jandot, démission

naire.

Nancy (Meurthe-et-Moselle), canton ordé M. Bohn (Jean-Emile), 'en remplacement M. Demenge-Cremel, démissionnaire.

Naucelle (Aveyron), M. Lacombe (Iletil Baptiste-Fleury), en remplacement de tti. CaDllit démissionnaire.


KeuilIy-sur-Scine (Seine), poste créé (loi du 5 octobre 1919), M. Didier (Léon-Marie).

oisy-le-Sec (Seine), poste créé (loi du 5 octobre 1919;, M. Picard (Maurice-Louis-JosephEugène).

Pantin (Seine) poste créé (loi du 5 octobre 1919), M. Penet (Laurent-Alphonse).

Paris (Seine), 13= arrondissement, poste créé (loi du 5 octobre 1919). M. Lecocq (GcorgesÈmile-Marie).

'Perreux (Loire), M. Cherpin (Jean-LouisHenri), en remplacement de M. Durand, démissionnaire.

Rouen (Seine-Infrrieure), 61 canton, M. Bennetot (Jutes-Ernest-Louis), en remplacement de M. Naêgclé, qui a été nomme juge dl\paix de Yerviilc (Seine-Inférieure).

Saint-Agrève (Ardèche), M. Chaudicr (HenriAuguste-Eugèno), en remplacement de M. Chaudier, son père, décédé.

Saint-Denis (Seine), poste créé (loi du 5 octobre 1919), M. de Haas (Emile-Joseph-Marie).

Saint-Maur-dcs lusses (Seine), M. Gueneau fPierre-Charles-Uoger), en remplacement de M. Moulins, qui a été nommé suppléant du juge (le paix de Paris (4e arrondissement).

Saint-Maur-des-Fossés (Seine), poste créé (loi du 5 octobre 1919), M. Gallas (Louis-IlenriDésiré).

Saint-Oiton (Seine), poste .créé (loi du 5 octobre 1919), M. Charensol (Eugène-Lucien).

Saint-Remy-en-Bouzemont (Marne), M. Masset (Louis-Julos-Edmond), en remplacement de M. Comelet, décédé. 1 Toulouse (Haute-Garonne), canton Nord, M. Laumond-Peyronnet. en remplacement de M. Bouzinac, démissionnaire.

Vanvcs (Seine), poste créé (loi du 5 octobre 1919), M. Milliet (Louis-Henri-Alexandre).

Yatan (Indre), M. Jamet (Hem't-Théodore), en l'emplacement de M. Doret, démissionnaire.

Vertou (Loire-Intérieure), M. Brosseau (Pierrc-Baptfstc Chartes), en remplacement de M. Aubin, décédé.

Wassigny (Aisne), M. Vinchon (Joseph-Léon), en rempiacement de M. Maresclial, décédé.

Est acceptée la démission do M. Giraux, suppléant du juge de paix de Nevers (Nièvre).

- ————————

: Par décret en date du 8 décembre 1919, rendu sur le rapport du garde des sceaux, ministre de la justice, Sont ncunmés greffiers : Du tribunal de première instance de : Baugé (Maine-et-Loire). M. Mandroux (Renéïillfî5T;^arje"4uSuslin), en remplacement de M. Flllion, démissionnaire.

Du tribunal de commerce de : Carcassonne (Aude). M. Foulclier (EdmondLouis-Charles), en remplacement de M. Fédou, démissionnaire.

Des justices de paix de : Cahors (Lot), canton Nord. M. Mèges (PierreJoseph-Marie-Arthur), en remplacement de M. Calmels, démissionnaire.

\: lrcûlquier (Basses-Alpes). M. Coupier (LéonQielGustave), en remplacement de M. Boyer, a. démission a été acceptée.

renpïa (Cher), M. Billon (Charles-Joseph), en l cerlleut de M. Gavault, démissionnaire.

Le Grand-Lucé (Sarthe), M. Ilardouin (AlbertEugène-Joseph), en remplacement de M. Boutier *ue.• n*issionnaire.

Luxeuil (lIaute-Saône). M. Bohème (Léondois, en remplacement de M. Bronn aire.

j)i,iSr (Seine-et-Oise). M. Poirel (Edouarddont 1-' d .re), en remplacement de M. Nanty, dont il a d! é• mission a été acceptée.

Monflanquin (Lot-et-Garonne). M. Séguinel (Jean" vflremplacement de M. Rouquié, décédé. de M. Rouquié, deMontagrier (Dordogne). M. Boissel (Albertclérnisn.(s), n remplacement de M. Charles,

Murat (Cantal). M. Bonenfant (Jean), en remplacement de M. Founjel^jjiort pour la France.

Nantes (Loirc-Inférieurc). 2e canton, M. Da- guin (Ernest-Michel-Marie), en remplacement de M. Daupeley, mort pour la France Saint-Pierre-l'Eglise (Manche). M. Ozouf (JeanErnest-Louis), en remplacement de M. Dubost, démissionnaire.Vertaizon (Puy-de-Dôme). M. Dubour&noux (Maurice), en remplacement de M. Allion, démissionnaire.

: «$, ———————

Aux termes d'un décret en date du 6 décembre 1919, Sont nommés Notaires à la résidence de : Nonancourt (Eure), M. Bureau, en remplacement, de M. Roussel.

Beaumont-sur-Sarthe (Sarthe), M. Chaplain, en remplacement de M. Joubert.

Beaumont (Pny-de-Dome), M. Clavel, en remplacement de M. Rejeté.

Contigné (Maine-et-Loire), M. Foyer, en remplacement de M. Pinçon.

Rennes (llle-et-Vilaine), M. François, en remplacement de M. Gilles.

Nancy (Meurthe-et-Moselle), M. Japiot, en remplacement de M. Boursier.

Sainl-Val-en-Chalenl;on (Ilaute-Loire), M. Lamoine, en remplacement de M. Jullien.

Mainsat (Creuse), M. Lunaud, en remplacement de son frère.

Pantin (Seine), M. Manceaux, en remplacement de M. Chauffrat.

Saint-Geoire-en-Valdaine (Isère), M. Perrot, en remplacqment de M. Eymery.

Paris (Seine), M. Pinea'U, en remplacement de M. Henri Morcl-d'Arleux.

Saint-Servan (Ille-et-Vi laine), M. Rigaud, en remplacement de son fils.

Lusignan (Vienne), M. Toulat, en remplacement de M. Coitfé.

Sancerre (Cher), M. Vaillant de Gueslis, en remplacement de son père.

Rambervillers (Vosges), M. Vilmain, en remplacement de M. Botteiin.

Avoués près le tribunal de 1re instance de

Montélimar (Drôme), M. Chavasse, en remplacement de M. Chavasse, son oncle.

Chalon-sur-Saône (Maine-et-Loire), M. Combas, en remplacement de M. Erard.

Quimpèrlé (Finistère), M. Le Poupon, en remplacement de M. Piedoye.

Meaux (Seine-et-Marne), M. Prunet, en remplacement de M. Lugol.

Issoudun (Indre), M. Sébaux, en remplacement de M. Lefèbvre.

Huissiers des tribunaux de première instance de : Bordeaux (Gironde), M. Baignères, en remplacement de M. Lalande.

Amiens (Somme), M. Bâillon, en remplacement de M. Duriez.

Pontivy (Morbihan), M. Dorey, en remplacement de -M. Le Moal.

Rouen (Saine-Inférieure), M. Geneviève, en remplacement de M. Verknocke.

Le Mans (Sarthe), M. Laumonier, en remplacement de M. Gaschet.

Louhans (Saône-et-Loire), M. Pernin, en remplacement de son père.

Le Puy (Haute-Loire), M. Sabatier, en remplacement de M. Pallut.

Toulon (Var), M. Vachier, en remplacement de M. Mingeaud.

Commissaire priseur à : Louviers (Eure), M. Lefevre, en remplacement do M. Lebigre.

Offices supprimés : L'office notarial de Montsalvv (Cantal), vacant par suite du décès de M. Baduel.

L'office notarial de Saint Julia (HauteGaronne), vacant par suite de la démission de M. Olivier, L'office notarial d'Eyml (Dordogne), vacant par suite du décès de M. Yergnlaud.

L'office d'huissier du tribunal de Clameey (Nièvre), vacant par suite de la destitution M. Coqblin. ",

IIIISTRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES Le Président de la République française, Sur les propositions des ministres des affaires étrangères, des finances, du commerce et de l'industrie, de l'agriculture et du ravitaillement ; Vu les lois du 19 juillet 1890, du ier avril 1914, du 25 novembre 1915 et du 22 avril 1916 accordant l'admission en franchise ou des traitements de faveur à certains produits tunisiens à l'entrée en France; Vu notamment l'article 5, paragraphe D de la loi du 19 juillet 1890 portant que chaque année des décrets du Président de.

la République, rendus sur les propositions des ministres des affaires étrangères, des finances, du commerce et de l'industrie, et de l'agriculture et du ravitaillement, détermineront, d'après les statistiques officielles fournies par le résident général de France à Tunis, les quantités auxquelles s'appliqueront les dispositions des articles 1, 2 et 3 de ladite loi ; et les articles 1 de la loi du

1er avril 1914, 1 de la loi du 23 novembre 1?13 et 1 delà loi du 22 avril 1916 étendant à l'admission en franchise ou aux traitements de faveur à l'entrée en France des produits tunisiens visés dans lesdites lois, les conditions mises à l'admission en franchise ou aux traitements de faveur à l'entrée en France des produits tunisiens auxquels s'appliqueront les dispositions des articles 1er, 2 et 3 de la loi du 19 juillet lb93 ; Vu les statistiques fournies par-le résident général de France à Tunis : Décrète :

Art. 1er. — Est fixée à 50,000 quintaux la quantité d'oranges, d'origine et de provenance tunisiennes, qui pourra être admise en France du 1er août 1919 au 31 juillet 1920, dans les conditions de la loi du 25 novembre 1915.

Art. 2. — Est fixée à 10,000 quintaux la quantité de mandarines, d'origine et de provenance tunisiennes, qui pourra être admise en France du 1er août 1919 au 31 juillet 1920 dans les conditions de la loi du 25 novembre 1915.

Art. 3. — Est fixée à 5,000 quintaux la quantité de citrons d'origine et de provenance tunisiennes qui pourra être admise en France du 1er août 1919 au 31 juillet 1920, dans les conditions de -la loi du 25 novembre 1915.

Art. 4. — Est fixée à 1,000 quintaux la quantité de cédrats et variétés d'origine et de provenance tunisiennes qui pourra être admise en France du 1er août 1919 au 31 juillet 1920, dans les conditions de la loi du 25 novembre 1915. Art. 5. — Est fixée à 12,000 quintaux la quantité de caroubes d'origine et de provenance tunisiennes qui pourra être admise en France du 1er août 1919 au 31 juillet 1920 dans les conditions de la loi du 25 novembre 1915. -


Art. 6. — Est fixée à 508 quintaux la quantité de bananes d'origine et de provenance tunisiennes qui pourra être admise en France du i" août 1919 au 31 juillet 1920, dans les conditions de la loi du 25 novembre 1915.

Art. 7. — Est fixée à 75,000 quintaux laquantité de dates de provenance et d'origine tunisiennes qui pourra être admise en France du 1er août 1919 au 31 juillet 1920, dans les conditions de la loi du 25 novembre 1915. r Art. 8. — Est fixée à 300,000 hectolitres la quantité de vins d'origine et de provenance tunisiennes qui pourra être admise en France du 1er août 1919 au 31 juillet 1920, dans les conditions de la loi du 19 juillet i890.

Art. 9. — Les ministres des affaires étrangères, des finances, du commerce et de l'industrie, de l'agriculture et du ravitaillement, sont chargés, chacun en ce qui le concerne de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 25 novembre 1919.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République: Le ministre des affaires étrangères, STEPHEN PICHON.

- Le ministre des finances, L.-L. KLOTZ.

Le ministre du commerce et de l'industrie, CLÉMENTEL.

Le ministre de Vagriculture et du ravitaillement, NOULENS.

MINISTÈRE DE L'INTERIEUR Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre de l'intérieur ; Vu la délibération du conseil général de la Manche en datedu27 août 1919 ; Vu les autres pièces du dossier ; Vu les lois des 10 août 1871 et 30 juin i907 ; La section de l'intérieur, de l'instruction publique et des beaux-arts du conseil d'Etat entendue, Décrète : Art. 1er. — Le département de 1» Manche est autorisé, conformément à la délibération susvisée du conseil général, à s'imposer pendant l'année 1920, à titre de' centimes pour insuffisance de revenus ordinaires, 74 centimes additionnels au principal des quatre contributions directes pour en affecter le produit au paiement des dépenses annuelles et permanentes.

Cette imposition sera recouvrée indépendamment des centimes ordinaires et notamment des centimes pour insuffisance de revenus ordinaires dont le maximum est fixé chaque année par la loi de finances en vertu des lois des 10 août 1871 et 30 juin 1907.

Ait. 2. — Le ministre de l'intérieur est chargé de l'exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel.

Fait à Paris, le 2 décembre 1919.

R. POINCARÉ. Par le Président de la République : Le ministre de l'intérieur, J. PAMS.

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre de l'intérieur, Vu la délibération du conseil général du Morbihan, en date du 10 septembre 1919 ; Vu les autres pièces du dossier ; Vu les lois des 10 août 1871 et 30 juin 1907; La section de l'intérieur, de l'instruction publique et des beaux-arts du conseil d'Etat entendue, Décrète: Art. 1". — Le département du Morbihan est autorisé, conformément à la délibération susvisée du conseil général, à s'imposer, pendant l'année 1920, à titre de centimes pour insuffisance de revenus ordinaires, 23 centimes additionnels au principal des quatre contributions directes, pour en affecter le produit au payement des dépenses annuelles et permanentes.

Cette imposition sera recouvrée indépendamment des centimes ordinaires et notamment des centimes pour insuffisance de revenus ordinaires dont le maximum est fixé, chaque année, par la loi de finances, en vertu des lois des 10 août 1871 et 30 juin 1907.

Art. 2. — Le ministre de l'intérieur est chargé de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 2 décembre 1919.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre de l'intérieur, J. PAMS.

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre de l'intérieur, Vu la délibération du conseil général de Maine-et-Loire en date du 28 août 1919 ;

Vu les autres pièces du dossier; Vu les lois des 10 août 1871 et 30 juin 1907 ; La section de l'intérieur, de l'instruction publique et des beaux-arts du conseil d'Etat entendue, Décrète : Art. 1er. — Le département de Maine-etLoire est autorisé, conformément à la délibération susvisée du conseil général, à s'imposer pendant l'année 1920, à titre de centimes pour insuffisance de revenus ordinaires, 7 centimes additionnels au principal des quatre contributions directes pour en affecter le produit au payement des dépenses annuelles et permanentes.

Cette imposition sera recouvrée indépendamment des centimes ordinaires et notamment des centimes pour insuffisance de revenus ordinaires dont le maximum est fixé chaque année par la loi de finances, en vertu des lois des 10 août 1871 et 30 juin 1907.

Art. 2. Le ministre de l'intérieur est chargé de l'exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel.

Fait à Paris, le 2 décembre 1919.

'- R. POINCARE.

Par le Président de la République : Le ministre de l'intérieur, J. PAMS.

——————

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre de l'intérieur, Vu la délibération du conseil général du Rhône en date du 25 septembre 1919; Vu les autres pièces du dossier; Vu les l'ois des 10 août 187ret 30 juin 1907; La section de L'intérieur, de l'instruction publique et des beaux-arts du conseil d'Etat entendue, Décrète : Art. 1er. — Le département du Rhône est autorisé, conformément à la délibération susvisée du conseil général, à s'imposer, pendant l'année 1920, à titre de centimes pour insuffisance de revenus ordinaires, 19 centimes 5.0 centièmes additionnels au principal des quatre contributions directes, pour en affecter le produit au payement de dépenses annuelles et permanentes. Cette imposition sera recouvrée indépendamment des centimes ordinaires et notamment des centimes pour insuffisance de revenus ordinaires dont le maximum est fixé chaque année par la loi de finances, en vertu des lois des 10 août 1871 et 30 juin 1907.

Art. 2. — Le ministre de l'intérieur est chargé de l'exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel.

Fait à Paris, le 2 décembre 1919.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la Républiqua : Le ministre de l'intérieur, J. PAMS. I

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre de l'intérieur, Vu la délibération du conseil général en date du 28 août 1919; Vu les autres pièces du dossier : Vu les lois des 10 août 1871 et 30 juin 1907 ; La section de l'intérieur, de l'instruction publique et des beaux-arts du conseil d'Etat entendu, Décrète : Art. 1er. — Le département du Loiret est autorisé, conformément à la délibération susvisée du conseil général, à s'imposer, pendant l'année 1920, à titre de centimes pour insuffisance de revenus ordinaires, 22 cèntimes 85 centièmes additionnels au principal des quatre contributions directes pour en affecter le produit au payement des dépenses annuelles et permanentes.

Cette imposition sera recouvrée indépendamment des centimes ordinaires et notamment des centimes pour insuffisance de revenus ordinaires dont le maximum est fixé chaque année par la loi de finances ça vertu des lois des 10 août 1871 et 30 juin 1907. Art. 2. — Le ministre de l'intérieur es chargé de l'exécution du présent décret quI sera publié au Journal officiel.

Fait à Paris, le 2 décembre 1919.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre de l'intérieur, J. PAMS 40


Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre de l'intérieur, Yu la délibération du conseil général d'Eure-et-Loir, en date du 1er octobre 1919; Vu les autres pièces du dossier; Vu les lois des 10 août 1871 et oO juin 1001 ; La section de l'intérieur, de l'instruction publique et des beaux-arts du conseil d'Etat entendue, Décrète : Art. i er, - Le département d'Eure-et-Loir est autorisé, conformément à la délibération susvisée du conseil général, à s imposer pendant l'année 1920, à titre de centimes pour insuffisance de revenus ordinaires,27 centimes 20 centièmes additionnels au Principal des quatre contributions directes

pour en affecter le produit au payement dei dépenses annuelles et permanentes.

Cette imposition sera recouvrée indépendamment des centimes ordinaires et notamment des centimes pour insuffisance de revenus ordinaires dont le maximum est fixé chaque année par la loi de finances, en vertu des lois des 10 août 1871 et 30 juin 1907.

Art. 2. — Le ministre de l'intérieur est chargé de l'exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel, Fait à Paris, le 2 décembre 1910.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre de l'intérieur, J. PAMSA ., ——————— .,

Le Président de la République française, Í Sur le rapport du ministre de l'intérieur ; £ Vu la délibération du conseil général de Vaucluse en date du 30 août 1919; Vu les autres pièces du dossier ; Vu les lois des 10 août 1871 et 30 juin 1907; La section de l'intérieur, de l'instruction publique et des beaux-arts du conseil d'Etat entendue, i Décrète :

( Art. i er, — Le département de Vaucluse est autorisé, conformément à la délibération susvisée du conseil général, à s'imposer pendapt l'année 1920, à titre de centimes pour insuffisance de revenus ordinaires, 56 cent. 50 additionnels au principal des quatre contribution^ directes pour en affecter le produit au payement des dépenses annuelles et permanentes.

Cette imposition sera recouvrée indépendamment des centimes ordinaires et notamment des centimes pour insuffisance de revenus ordinaires dont le maximum est fixé chaque année par la loi de finances en vertu des lois des 10 août 1871 et 30 juin 1907.

Art. 2. — Le ministre de l'intérieur est chargé de l'exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel.

., Fait à Paris, le 2 décembre 1919.

i R. PorNCARÉ, Par le Président de la République ; Le ministre de l'intérieur, f. PAMS.

*—i

Par décret du Président de la République, en date du 8 décembre 1919, rendu sur la proposition du ministre de l'intérieur : Le commissariat de police de 4e classe existant à Firminy (Loire), 'est supprimé.

Il est créé sur les chemins de fer de ParisLyon-Méditerranée à la résidence de Firminy (Loire), un commissariat spécial de police.

M. Bailly (Jean-Baptiste-Joseph), commissaire spécial de police de 1" classe au Perthus (Pyrénées-Orientales), est nommé, en la même qualité, sur les chemins de fer de Paris-LyonMéditerranée à la résidence de Firminy (Loire), poste créé.

M. Vidal (Pierre-André-Louis), commissaire spécial de police adjoint de 3e classe sur les chemins de fer du Midi à la résidence de Cerbère (Pyrénées-Orientales), est nommé commissaire spécial de police de 3e classe au Perthus (même département), en remplacement de M. Bailly qui reçoit une autre destination.

MINISTÈRE DE LA GUERRE .1

RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAIS.

1 Paris, le 30 novembre. 1919.

Monsieur le Président, Aux termes de l'article 5 du décret du 11 mai 1907 fixant la situation des employés civils des établissements militaires du ministère de la guerre, le nombre des titulaires de chaque catégorie affecté à un établissement" représente l'effectif nécessaire au fonctionnement minimum de l'établissement. Ce nombre est arrêté

par le ministre de la guerre et affiche dans rétablissement.

D'autre part, étant donné les dispositions do l'article 144 de la loi de finances du 13. juillet 1911 complétant l'article 55 de la loi de finances du 23 février 1901, la fixation de l'effectif des titulaires doit faire l'objet d'un décret contresigné par le ministre des finances.

Dans ces conditions, pour assurer l'exécution des dispositions de la loi du 13 juillet IlHi et des prescriptions du décret du li mai 1907 et pour donner autant que possible, satisfaction au personnel auxiliaire du magasin central des troupes coloniales dans les mêmes conditions qu'au personnel militaire des établissements du service de l'intendance métropolitaine, il nous a paru nécessaire' de déterminer, pour cet établissement, l'effectif des titulaires.

C'est dans ce but que le projet de décret cijoint a été établi ; si vous en adoptez les dispositions, nous avons l'honneur de vous prier, - * monsieur le Président, de vouloir bien le revêtir de votre signature.

Veuillez agréer, monsieur le Président, l'hommage do notre respectueux dévouement.

Le président du conseil, ministre de la guerre, GEORGES CLEMENCEAU.

Le ministre des finances, L.-L. KLOTZ.

Le Président de la République française, Sur le rapport des ministres de la guerre et dss finances,

Vu l'article 144 de la loi du 13 juillet 1911, portant fixation du budget général des dépenses et des recettes de l'exercice 1911 ; Vu le décret du 11 mai 1907. fixant la siluation des emplois civils des établissements militaires du ministère de la guerre, Décrète : Art. 1er. — L'effectif normal des employés titulaires et leur répartition par catégorie d'emplois du magasin central des troupes coloniales, sont fixés ainsi qu'il suit :

, EMPLOYÉS

ETABLISSEMENT BXPETITIONNAIRES -, de bureau.

Magasin central des troupes coloniales, 45, boulevard 3 Masséna, Paris 2 f3

Art. 2. — Les ministres de la guerre et des finances sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.

Fait à Paris, le 30 novembre 1919.

R. POINCARJi.

Par le Président de la République :Le président du conseil, ministre de la guerre, GEORGES CLEMENCEAU.

Le ministre des finances, L.-L. K.LOTZ.

Citations à l'ordre de l'armée.

- Sont cités à l'ordre de l'armée :

COMBY (Lucien-Etienne), lieutenant à la 7e compagnie du 811 rég. de marche de ,tirailleurs : officier d'une bravoure et d'un entrain remarquables. A été grièvement blessé, le 6 juin 1918, devant Sempigny (Oise), en entraînant vaillamment sa section à l'assaut d'un ouvrage puissamment fortifié.

BERGER (Maurice-Paul), mie 8396, aspirant à la 7e compagnie du 49e bataillon de chasseurs à pied : sous-offleier d'une très belle bravoure. Au cours d'un violent combat, le 3Q mars 1918, a donné le plus bel exemple d'un courage brillant et réfléchi en se sacrifiant pour permettre par sa résistance le repli des unités voisines.

SELLIER (Ernest), mie 2109, sergent a la 3° compagnie du lie bataillon de chasseurs alpins : sous-officier admirable par sa bravoure et son sang-froid. A l'attaque du 30 octobre 1918, devant Guise, a, tout en entraînant sa section, servi de guide aux chars d'assaut. Arrivé le premier dans la tranchée allemande, a fait plusieurs prisonniers malgré un violent tir de mitrailleuses. S'est porté à nouveau en avant sur l'objectif principal désigné qu'il a atteint encore le premier. Très grièvement blessé au moment où il installait sa section sur la position conquise.

ALBERT (Jean-Charles-Joseph), mie 3002, sergent à la 3e compagnie du 11e bataillon de chasseurs à pied : excellent sous-officier. Lo 27 septembre 1914, devant Lihons, à la iète do sa section, résiste avec acharnement aux at taques allemandes, sans céder un pouce do terrain. Le 28 septembre, réussit à se dégager et à rejoindre à temps son bataillon a Yauvit liers, présentant fièrement à son chef de corps les chasseurs de sa section décimée. Le 29 septembre recevant l'ordre de tenir coûte que coûte dans le village de Dompicrre, jusqu'au lendemain à huit heures, remplit au delà la mission confiée, tenant tête aux Allemands jusqu'à douze heures trente..

DUMOUSSET (Paul), "mie 4i02, caporal à la ire compagnie du 28* bataillon de chasseurs : resté seul gradé de sa compagnie avec une poignée de braves chasseurs, a résisté pendant trois jours aux attaques de plusieurs compagnies ennemies. Après le complet épuisamcnt des vivres et des munitions, a été capturé les armes à la main, -


D'ESTIENNE DE SAINT-JEAN DE PRUNIÈRES (Henri), lieutenant à la 13e compagnie du 97u rég. d'infanterie : valeureux officier qui, au début de la campagne en Alsace, a conduit ses hommes avec la plus belle énergie. Blessé à la main, le 30 août 1914, a refusé de se laisser évacuer. Transporté en Artois, avec son régiment, s'est affirmé comme un véritable entraiment, d'hommes. Fait prisonnier au cours d'un combat à Waucourt, le 20 octobre 1914, a tenté à plusieurs reprises de s'évader.BERNARD (Antonin), mie 1330, lieutenant à la 7e compagnie du 97e rég. d'infanterie : très bon officier. A pris du premier abord un grand ascendant sur ses hommes. Le 15 octobre 1918, a entraîné d'une façon splendide sa section à l'assaut d'une position très fortifiée. A été blessé au cours de l'action.

MARQUIS '(Gaston), sous-lieutenant au 11e rég. de cuirassiers : a fait preuve de la plus grande énergie en maintenant sur la première ligne son peloton très éprouvé (moitié de l'effectif évacué), 'et n'a consenti à se laisser évacuer, bien que fortement intoxiqué par les gaz, que sur les instances de son capitaine.

FLANET (Alcide), mie 0612, cavalier au 5e escadron du 21e rég. de dragons : cavalier d'élite, doué des plus belles qualités de bravoure et d'énergie. Le 23 août 191 i, faisant partie d'une reconnaissance prise sous un feu violent d'infanterie, a offert spontanément sous le feu son cheval à son officier blessé et démonté. A été lui-même grièvement blessé et, quelques heures après, fait prisonnier dans un village, d'où il n'avait pu être évacué.

BRISACQUE (Florimond), sous-lieutenant à la 10° compagnie du 9e rég. de zouaves : offi cier du plus bel allant, ayant une haute conscience de son devoir. Blessé en apportant do précieux renseignements à son chef de bataillon.

DE BONNEFOY (IIughes-Armand-Joseph), lieutenant-colonel, commandant le 73e rég. d'infanter.ie (actellement au 9e rég. de chasseurs) : a pris ie commandement de son régiment peu de jours avant une attaque ennemie de la plus extrême violence (15 juillet 1918). Blessé une première fois, alors qu'il gagnait son poste de combat, atteint une seconde fois en pleine action. A assuré son commandement pendant plusieurs heures, avec le plus grand calme, réussissant par ses heureuses dispositions à empêcher l'ennemi de percer notre ligne. No s'est laissé évacuer qu'arrivé à i'extrême limite de ses forces.

DERAUDRINGIIIEN (Léon), lieutenant commandant la 11e compagnie du 33e rég. d'infanterie : officier doué de qualités exceptionnelles de sang-froid et de courage. Au combat du 12 juin 1918, a fait preuve d'un caractère et d'une volonté admirables en conservant le commandement de sa compagnie malgré deux blessures successives. Encourageant ses hommes par son exemple, faisant le coup de feu avec eux jusqu'à ce qu'il fut mis hors de combat par une troisième blessure.

CAULIER (Edouard-René), mie 4764, souslieutenant à la ge compagnie du 56° bataillon de chasseurs à pied : officier d'élite, n'a cessé de se distinguer par son entrain et son sangfroid pendant toute la dernière période du combat. Blessé grièvement au moment où il venait de prendre le commandement de sa compagnie au cours d'une attaque contre un bois particulièrement défendu par les mitrailleuses ennemies.

AUGUET (Robert), mie 9920, soldat à la lrfi compagnie du 8e rég. d'infanterie : excellent fusilier mitrailleur qui a toujours fait preuve d'un entrain remarquable. Blessé grièvement, le 20 juillet 1918, à Ressons, alors que sa section étant encerclée il se frayait un chemin avec son arme. BONNEFOND (Pierre-Paul), mie 722, capitaine au 3e bataillon du 48 rég. d'infanterie : officier de la plus haute valeur, s'est particulièrement distingué au combat d'arrière-garde de Varennes le 3 septembre 1914 et les 19 20 et 21 septembae 1914, aux combats de Charpentry. A réussi, à la tête du bataillon qu'il commandait, à pénétrer dans ce village qui avait résisté pendant trois jours à tous les assauts.

DÉGÉ (Jean), lieutenant à la 218 batterie état-major du 1er groupe au 230e rég. d'artillerie : officier qui s'est toujours fait remarquer

par son courage extraordinaire ejt son mépris du danger. A été blessé pour la deuxième fois et grièvement en assurant la liaison de son groupe avec l'infanterie, le 22 août 1918, à Saint-Aubin.

DELDON (Félix), mie 8078, sous-lieutenant à la 9e compagnie du 131e rég. d'infanterie : officier d'une grande énergie, d'une grande bravoure, étant pour ses hommes le plus bel exemple de sang-froid et de courage. S'est particulièrement distingué à Olizy, le 14 octobre 1918. A été grièvement blessé au cours de l'attaque.

GIRARD (Emile-Léon-François), mie 7, adjudant à l'état-major du 20e rég. de chasseurs : au combat d'Ennetières, en 1914, sous un feu violent, voyant son capitaine à pied, son cheval ayant été tué sous lui, est descendu de cheval et lui a otrerJ sa monture. A été à ce moment grièvement blessé.

MOINEREAU (Georges-Paul), mie 9151, adju-.

dant à la 23e compagnie du 369* rég. d'infanterie ; chef de section très énergique et très brave, véritable entraîneur d'hommes, au combat d'Attiche, est arrivé en tête d'un détachement d'élite, a capturé 35 prisonniers, 8 officiers dont un d'artillerie. Grièvement blessé en repoussturt une contre-attaque.

LEDUC (Louis), mie 017566, soldat à la 20e compagnie du 277e rég. d'infanterie : soldat brave et plein d'entrain. A pris part courageusement à l'attaque d'un village, le 15 février 1915.

Blessé grièvement au cours de l'assaut.

ALLAIRE (Maurice-Léon-Eugène), adjudant à la 11e compagnie du 65e rég. d'infanterie (actuellement lieutenant) : le 7 septembre 1914, alors que tous les officiers étaient hors de combat, a entraîné sa compagnie dans un élan superbe. A été blessé grièvement.

MOUNIER (François), capitaine à) la 5e compagnie du 30e rég. d'infanterie : officier d'un très grand sang-froid et d'un grand courage.

Le 25 avril 1918, au mont Kcmmel, sa compagnie étant entourée par l'ennemi, a organisé et continué la résistance pendant plus de deux heures, gênant la progression de l'ennemi et lui infligeant des perles sensibles. Les munitions étant épuisées, af fait une suprêmè tentative pour franchir les lignes ennemies, maintenant dans son unité jusqu'au dernier moment la confiance et la cohésion.

VEYRAT (Paul-André), mie 6876, sergent à la f" compagnie du 30e rég. d'infanterie : sousofficier énergique et courageux. Fait prisonnier au mont Kemmel, le 25 avril 1918, dans des circonstances honorables, a réussi à s'évader d'Allemagne après avoir, pendant un mois, affronter des difficultés nombreuses et avoir, à plusieurs reprises, essuyé le feu des sentinelles ennemies. A fait preuve de ténacité, d'un grand mépris du danger et d'une grande valeur morale.

RAGOT (Georges), mie 1495, soldat à la 14e compagnie du 358e rég. d'infanterie : soldat d'élite, d'un courage et d'un dévouement exemplaires, Grièvement blessé en conduisant en première ligne une relève anglaise à Locre, le 5 juillet 191S.

BOSTE (Romain-Nestor), sou>lieutenant à la 16e compagnie du 7e rég. d'infanterie (actuellement lieutenant) : est parti à l'assaut, le 30 avril 1917, avec un élan remarquable, par son exemple et son- sans-froid, a fortement contribué à la prise des éléments" de résistance de l'ennemi. Modèle de bravoure, a été grièvement blessé au cours de l'action. Deux blessures antérieures.

RIGAL (Raphaël-Adrien), sous-lieutenant à la 13* compagnie du 288' rég. d'infanterie (actuellement lieutenant) : jeune officier plein d'entrain et de bravoure. A denné à. ses hommes, dans l'après-midi du 6 septembre 1919, alors que sa compagnie était soumise à un bombardement des plus violents, l'exemple du plus grand calme et du plus grand sang-froid. A été grièvement blessé.

JOULÉ (François), adjudant à la '22e compagnie du 259e rég. d'infanterie : sous-officier d'une bravoure et d'un sang-froid remarquables. Porte drapeau du régiment. Le 24 août 1914, vers Eton, a rallié autour de lui un groupe d'ennemis, a résisté victorieusement aux assauts ennemis. Le 1er septembre 1914, vers Segogneux, bien que blessé a par son attitude ,.

sous le feu., ranimé le courage de ses combattants prêts à faiblir. N'a cessé d'encourager ses hommes, qu'atteint par une seconde blessure.

MAYLIN (Dominique), mie 3169, soldat de lre classe à la 10e compagnie du 14e rég. d'infanterie : soldat d'élite qui, en toutes circonstances, a montré les plus belles qualités de de bravoure et de dévouement.. Le 17 juillet 1918, à l'attaque du Chèno-la-Reine, comme tireur de F. M. n'hésita pas, de sa propre initiative, à traverser un terrain battu par les mitrailleuses pour se porter à un poste de combat qui lui permit de les contre-battre. Grièvement blessé. Une blessure antérieure.

DELOUS (Elie), mie 4830, soldat à la Ge compagnie du 7e rég. d'infanterie : excellent soldat, agent de liaison énergique, courageux, capable d'initiative, transmettant les ordres sous de violents bombardements avec un réel mépris du danger. Blessé à Pcrthes-les-Burlus, le 23 mars 1915: en Argonne, le 14 mai 1916; à Verdun, le 29 juin 1916, a repris chaque fois de suite sa place au front. A été blessé grièvement pour la quatrième fois, le 26 avril 1918, à Hangard-en-Santerre, en accomplissant bravement son devoir.

AMIEL (Albert-Emile), mie 67, sous-lieutenant à la 8e compagnie du 49e rég. d'infanterie officier très brave, exemple d'énergie et de vaillance. Blessé grièvement, le 29 août 1914, à Guise, a gardé son commandement répondant à son capitaine qui voulait le faire évacuer : « Je préfère rester à la tète de ma section tant que j'en aurai la force ». Au combat de Craonne, le 18 septembre 1914, s'est encore fait .t remarquer par sa belle attitude au feu. A été de nouveau grièvement blessé.

IIARAN (Jean), mie 012061, adjudant à la 3e compagnie, du 49e rég. d'infanterie : sousofficier d'une haute valeur morale, ayant un réel mépris du danger. S'est fait remarquer, le 19 septembre 1918, au moulin de Latranx-, par son courage et son entrain. A été blessé au cours du combat.

LAMBERT (Paul), caporal fdTtrrier à la 3e compagnie de mitrailleuses du 34e rég. d'infanterie : venu sur sa demande de la cavalerie.

dans l'tnfantcrie, s'est toujours distingué par * son entrain, son dévouement et son courage pendant les combats des 28,30 et 31 mars 1918.

A assuré le ravitaillement en munitions des mitrailleuses en lignes, malgré la violence de la fusillade et du bombardement ennemis.

Blessé grièvement, le 31 mai 1918, ne s'est fait conduire au poste de secours qu'après l'accomplissement de sa mission.

ADAM (Raymond-Félix), mie 028147, caporal à la 28 compagnie du 418® rég. d'infanterie : excellent gradé, plein de courage. Brillante conduite à toutes les affaires auxquelles il a pris part. Blessé grièvement à l'attaque des lignes ennemies.

JlIRIGOYE (Jean-Baptiste), mie 6915, soldat à la 6e compagnie du 6e rég. d'infanterie : au front depuis le début de la campagne, a toujours fait preuve d'un dévouement et d'un courage exemplaires. Un petit poste étant attaqué a été volontaire pour reconnaître quelle était la situation du petit poste, malgré la violence du bombardement. blessé grièvement à son poste de combat, le 23 février 1917.

FRANÇOIS (Pierre-Alberl), lieutenant-colonel, commandant le 31e rég. d'infanterie coloniale, actuellement au 23e rég. d'infanterie coloniale : officier supérieur d'un grand mérite, donnant à tons l'exemple du sang-froid, de l'entrain et de la bravoure. Le 1er septembre 1914, à la tète de son régiment, s'est lancé magnifiquement à l'attaque de Vieux-Rengt, dans la région de Maubeuge. A été grièvement blessé au cours de l'action.

MILLET (Adolphe-Joseph), mie 16044, sapeur mineur à la compagnie 25/1 du 9e rég. du génie': a donné en toutes circonstances des preuves de bravoure et d'abnégation. A été blessé grièvement, le 17 juillet 1918, à SaintBandry, en se portant courageusement à l'atlaque avec les premières vagues d'assaut. Quatre citations.

FEUCIIER (Paul-Pierre-Marie-Ange), mie 8329, soldat à la 9e compagnie du 120e rég. d'infanterie: très bon soldat, très dévoué. Blesse grièvement à son poste de combat lors d'une


contre-attaque, le 28 février 1915, à Beauséjour.

v MOURONVAL (Pierre - Paul), capitaine, du 30- rég. d'artillerie de campagne, pilote aVIateur au groupe de combat 17 : excellent chef (l'escadrille. lilessé grièvement au cours a un combat aérien, le 30 mai 1918.

FÉDOU (Charles), capitaine au lre rég. d'infanterie : ofiicier d'une haute valeur morale et professionnelle. Dans les journées des 3 et 6 avril 1918, a maintenu ses sortions sous la menace d'une attaque ennemie dans des tranchées complètement bouleversées par le bombardement ; a fait preuve de la plus grando énergie et du plus grand sang-froid en maintenant sa compagnie sous un tir violent et infligeant de lourdes pertes à 1 ennemi.

COUDERC (Albert), mle03ïi5, aumônier à la 11e compagnie du 96e rég. d infanterie : homme de devoir, montant toujours aux premières lignes pendant les attaques. Le 15 octobre 1918, à"Chery-lcs-Pouilly, n'a cessé de courir d'un blessé à l'autre, prodiguant ses soins et ses encouragements, a suivi l'attaque du commencement a la fin, intoxiqué gravement, le 26 octobre 1918, à Chalandry, en relevant les blessés dans une ion ypéntéc.

PEGUILIIAN (Edouard-Camille-Louis), capitaine à la compagnie de mitrailleuses du 312» rég. d'infanterie : officier d'un grand courage, modèle de bravoure pour ses hommes. A Saint-Miliiel, en mars 1915, tl exécuté seul une reconnaissance dans les lignes ennemies traversant à la nage la Meuse,par 7 degrés audessous de zéro, a rapporté des renseignements précieux pour le commandement. S'est signalé, à maintes reprises, en 1915 et 1916, Comme commandant de compagnie de mitrailteuses sur les Hauts de Meuse et au bois Le Prêtre.

(Ordre du 19 octobre 1919).

.—— »

Le président du conseil, ministre de la guerre, Vu le décret du 13 août 1914, Arrête : Article unique, — Sont inscrits au tableau spécial de la médaille militaire, les militaires dont les noms suivent : a (Pour prendre rang du 23 septembre. 1915).

MALAVAL (Alphonse-Berlin), mie 7691, soldat de réserve à la 15e compagnie du 163° reg. dmfanterie : soldat courageux et brave, qui s est vaillamment conduit aux combats auxquels il a pris part. A été très grièvement blessé, le 7 novembre 1914, à son poste, en première ligne, au cours d'un violent bombardement.

< (Pour prendre rang du 29 septembre 1915.) LAVIER (Léon), mie Rt 1226, soldat de réserve à la 24e compagnie du 370e rég. d'infanterie : bon soldat. Blessé très grièvement, le 11 septembre 1914, en faisant courageusement son d'evoir.

(Pour prendre rang du 23 octobre 1915.) 0-18LUT (Augustin-Louis-Joseph) , mie 04780, soldat de réserve à la 21e compagnie du 345e rég. d'infanterie: excellent soldat, ayant rempli parfaitement son devoir en toutes circonstances. Blessé très grièvement, le 4 septembre 1914. e la cuisse droite. ! (Pour prendre rang du 30 octobre 1915 ) GIMONET (JeantBapliste) mie 02334 chassem de reserve à la Se compagnie du 50-batbSaillon de -chasseurs a pied : brave chasseur al o très grièvement, le 27 août 1914, au bois de la giche foncières), en accomplissant son do(Pour prendre rang du 6 janvier 1916.) GERBEAUD )Pierr-Auguste-Florent), mie 9804, soldat de réserve à la 1re compagnie du 21e rég l'infanterie ; soldat dévoué, adonné toute satisfaction à ses chefs, notamment pendant le; durs combats du bois d'ilaedaumoiit, en\mars 1916, il a eu un pied gelé.

(Pour prendre rang du 11 février 1916.) MARTIN (Antoine), mie 01636, chasseur de ■eserve à la 10e compagnie du 54e bataillon de

chasseurs à pied : bon chasseur. A été très grièvement blessé en se portant courageusement à l'attaque d'une position fortement organisée, le 3 novembre 1914, à Ypres.

(Pour prendre rang du 13 avril 1916.) PARMENTIER (Louis), mie Rt 51, caporal (réserve) à la 19e compagnie du 1er rég. de marche de zouaves : gradé très brave et très dévoué.

Le 23 septembre 1914, a eu une conduite dos

plus brillantes ; chargé de tenir un poste d'obserfation très dangereux, sur le plateau de Craonne (ferme d'IIurtebise), y a été très grièvement blessé.

(Pour prendre rang du 6 juin 1916.) AURIAT (Juies-Adolphe), mie 06012( sergent (territorial) à la compagnie 13/14 du 4e rég. du génie: excellent sous-officier. A été très grièvement blessé, le 9 septembre 1911, en dirigeant des travaux sous un violent bombardement.

(Pour prendre rang du 3 novembre 1916.) NAVOIZAT (Benoit), mie 06271, chasseur de lre classe (réserve) à-la 9e compagnie du 618 bataillon de chasseurs à pied : brave chasseur.

A été très grièvement blessé, le 23 octobre 1914, à Saint-Laurent-les-Biancy, en se portant à l'attaque. Perte de lavisionde l'œil droit.

(Pour prendre rang du 10 novembre 1916.) RANG (Félix-Jean-Baptiste-Henri), mie 807, soldat territorial à la 17e compagnie du 281e rég.

d'infanterie : très bon soldat, courageux et dévoué. Blessé très grièvement, le limai 1915, en accomplissant son deyoir.

(Pour prendre rang du 30 décembre 1916.) SANTONI (Bon-Antoine), mie 6820, soldat de réserve à la lr!! compagnie du 163e rég. d'infanteriè : soldat dévoué et courageux. A été blessé très grièvement, le 19 août 1914, et atteint le 12 décembre 1914 de gelure grave des deux pieds, en Belgique.

lUVALS (Pierre), mie 7347, soldat de réserve à la lre compagnie du 143e rég. d'infanterie: soldat dévoué et courageux. Très grièvement blessé, le 6 octobre 1915, en Champagne, en se portant à l'assaut.

(Pour prendre rang du 31 décembre 1916.) NOGUERA (François), mie 159, soldat de réserve à la 20e compagnie du 296e rég. d'infanterie : brave soldat. Très grièvement blessé à son poste de combat, le 25 septembre 1915 à Neuville-Saint-Vaast. (Pour prendre rang du 8 janvier 1917.) REMOI8SONNET (Gaston), mie 10305, soldat de réserve à la 3e compagnie du. 408e rég. d'infanterie : soldat brave. S'est vaillamment conduit et a été très grièvement blessé au cours d'une contre-attaque allemande, exécutée sur les pentes du fort de Vaux, en mars 1916.

(Pour prendre rang du 9 janvier 1917.) BERNARD (Claudius), mie 342, soldat (territorial) à la 11e compagnie du 170e rég. d'infanterie : brave soldat, courageux et plein d'allant.

Blessé très grièvement, le 3 octobre 1915, en assurant son service dans un posle d'écoute avancé.

(Pour prendre rang du 15 mars 1917.) BRIAND (Louis-Victor), mie 011147, soldat (térritoriaJ), à la 3e compagnie du-79,1 rég.

(territorial), d'infanterie z bon soldat, s étant territorial d'infanterie.; bon oldt, s ant toujours bien comporté. Blesse très grièvement par balle à la tête, le 21 novembre 1915, à Stentraete, à son poste de guetteur dans les tranchées de première ligne.

(Pour prendre 'rang du 18 avril 1917.) ANTOINE (Charles-Paul), mie 04403, sapeur de lre classe de réserve à la compagnie 21/4 du 11 Ii rég. du génie : excellent sapeur qui s'est toujours fait remarquer par son dévouement, son courage et son énergie. A été très grièvement blessé, le 27 mars 1915, en construisant une galerie d'écoute.

(Pour prendre rang du 26 avril 1917.) SADON (Jules-Emile, mie 015611 (R. A. T.).

soldat à la 19e compagnie du 33e rég. d'infanterie coloniale : brave soldat. Très grièvement

blQPSe, le 9 juillet 1916, à attaque de Biaehs#, en faisant courageusement son devoir.

(Pour prendre rang du 11 mai 1917.) BlZZOCCIlI (Ernest), mie 8183, servent (réserve) à la 2e compagnie du lG'3e régT d infanterie : a entraîné vigoureusement sa demi-section à 1 assaut et a fait nreuve d'une magnifique énergie pour continuer à combattre quoique tri-s grièvement blessé. Tar«orlon."e du pied droit.

(Pour prendre rang du 16 août 1917.) TRANCHAT (Robert-Théophile, mie 6126, soldat (réserve) à la 16e compagnie du 163* rég.

d'infanterie : bon soldat. A été très grièvement blessé, le 20 avril 1915, à Flirey, au cours de l'attaque d'uue tranchée ennemie.

(Pour prendre rang du 3 novembre 1917.) FLORANT (Louis), mie 2164, sergent (territorial) à la compagnie de mitrailleuses du 289e rég. d'infanterie : bon sous-officier. Blessé très grièvement au cours d'une corvée de ravitaillement, le 22 juillet 1916, à Verdun. Perte de la vision de l'œil gauche.

(Pour prendre rang du 9 novembre 1917.) QUENARDEL (Pierre-Alexandre), mie 9957.

caporal de réserve à la 18e compagnie du 365e rég. d'infanterie : a montré beaucoup de courage et d'entrain au cours du combat. Blessé très grièvement à son poste.

(Pour prendre rang du 4 décembre 1917.) FRAISS; (Léon-Jules-Dieudonné), mie 9224, soldat de réserve à la 9e compagnie du 163* rég. d'infanterie : soldat dévoué et très courageux.'Le 26 septembre 1916, a fait preuve d'un rare saQg-froid en restant à son poste de guetteur, malgré un bombardement des plus violents jusqu'au moment où il a été très grièvement blessé.

(Pour prendre rang du 7 décembre 1917.) HERMAN (Lucien-Louis), mie 5133, soldat de réserve à la 1re compagnie du 145e rég. d'infanterie : très bon soldat. A été atteint, le à septembre 1914, dans un poste avancé, d'une blessure qui a entraîné pour lui la perte complète de la vue.

(Pour prendre rang du 14 décembre 1917.) TAIION (Camille), mie 013097, soldat territorial à la 4e compagnie du 84e rég. d'infanterie : bon soldat. A été très grièvement blessé en combattant, le 18 février 1915, à Beauséjour.

(Pour prendre rang du 21 décembre 1917.) DELORME (Jean-Marie), mie 03858. soldat territorial à la C. il. R. du 52e rég. d'infanterie : excellent soldat, très bon esprit, a toujours fait preuve de courage et de dévouement dans l'accomplissement de son devoir. Très grièvement blessé, le 18 août 1916, à Verdun, au moment où il partait à l'attaque.

(Pour prendre rang du 4 février 1918.) FRANQUET (François), mie 8933, sergent de reserve a la 1" compagnie du 23e rég. d'infanterie : vaillant sous-officier, courageux, dévoué, toujours volontaire pour les missions dangereuses. Le 27 août 1916, fit Preuve d'une énergie farouche et du plus grand mépris du danger, en maintenant ses hommes sur leurs positions malgré l'extrême violence du bomardement. Blessé très grièvement par un éclat d obus, a fait l'admiration de tous par son attitude calme, on supportant ses souffrances sons se plaindre.

(Pour prendre rang du 5 février 1918.) FRASSE (Benoit-Alphonse), mie 015740, soldat territorial à la 10e compagnie du 97e rég.

d'infanterie : brave soldat. Très grièvement blessé en se portant courageusement à l'attaque des tranchées allemandes, le 4 septembre 1916, à Barleux. Une blessure antérieure.

(Pour prendre rang du 6 mars 1918.) RASPINI (Joseph-Antoine), mie 8112, soldat de réserve à la 8e compagnie du 163e rég. d'infanterie : soldat très courageux, s'est porté bra vement en terrain découvert sous un violent bombardement pour--sBcourir son capitaine enseveli par un obus. A été grièvement blesse.


(Pour prendre rang du 3 avril 1918.) MANDON (Jean - Marie-Joseph-Adrien), mie 02120, chasseur de lre classe de réserve à la 2e compagnie de mitrailleuses du 64* bataillon de chasseurs alpins : brave chasseur, au front depuis le début de la campagne. Très grièvement blessé à son poste de. combat, le 3 septembre 1916, en faisant tout son devoir.

(Pour prendre rang du 13 juin 1918.) MARS (Charles), mie 5557, soldat de lre classe territorial à la 13e compagnie du 256e rég. d'infanterie (actuellement au. 76* rég. d'infanterie) : excellent soldat, courageux et plein d'entrain. Toujours volontaire pour les cpups de main et les missions périlleuses. Le 10 juin 1918. à Vacquemoulin (Oise), a été très grièvement blessé en assurant, avec dix hommes, le repli d'autres unités.

(Pour prendre rang du 18 juin 1918).

BRUYERE (Firmin), mie 07291, soldat de réserve à la 12e compagnie du 158e rég. d'infanterie, actuellement au 97e rég.. d'infanterie : soldat très courageux, grenadier d'élite, toujours volontaire pour les missions périlleuses.

Blessé très grièvement, le 4 septembre 1916, en s'élançant à l'assaut des positions ennemies.

(Pour prendre rang du 19 juin 1918.) DARLES (Joseph), mie 018576, caporal de réserve à la 13e compagnie du 296e rég. d'infanterie : excellent gradé, a été très grièvement •blessé, le 3 novembre 1916, à Combles, en accomplissant héroïquement son devoir.

(Pour prendre rang du 22 juin 1918.) PERRAUD (Francis-Emile'), mlè 8297, soldat de réserve à la 11e compagnie du 93e rég. d'infant-erie : brave soldat. Très grièvement blessé, le 26 août 1914, à Sedan, au cours d'une charge à la baïonnette.

(Pour prendre rang du 22 juillet 1918.) BALLION (Fernand-Dominique), mie 3464, canonnier de réserve à la 6* batterie du 418 rég.

d'artillerie de campagne : excellent canonnier, téléphoniste courageux. Blessé très, grièvement à son poste de combat en accomplissant son devoir.

(Pour prendre rang du 27 juillet 1918.) CRESPEL (Gérard-Désiré), soldat de réserve à la 17e compagnie du 120e rég. d'infanterie : très bon soldat, qui s'est distingué par sa bravoure dans toutes les affaires auxquelles il a pris part.. Très grièvement blessé, le 22 juillet 1918, au bois des Chevaliers. Amputé de l'avant-bras droit.

(Pour prendre rang du 31 juillet 1918.) WAFFLART (Victor-Eugène-Léopold), soldat de. réserve à la 4e compagnie de mitrailleuses du 120e rég. d'infanterie : bon soldat, brave et dévoué. A été très grièvement blessé, le 23 juillet 1918, à Grandelu, en faisant son devoir.

(Pour prendre rang du 4 août 1918.) CAUDlA T (Gilbert), mie 014629, soldat de 11 clsse de reserve à là ire compagnie de mitraileuses du 5e rég. d'infanterie coloniale : soldat courageux et animé du meilleur esprit.

Blessé une première fois en 1914, a été de nouveau blessé très grièvement, le 4 septembre 19i6, dans 1 accomplissement de son devoir.

(Pour prendre rang du 11 août 1918.) ,PENARD (Roger-Etienne), mie 7414, chasseur de réserve à la S. H. R. du 19e bataillon de chasseurs : excellent chasseur, animé du meilleur esprit, servant avec un zèle et un dévouement qui ne se sont jamais lassés. A été très grièvement blessé, le 8 août 1918, à son poste de combat. Amputé du bras droit.

(Pour prendre rang .du 16 août 1918.) LE MOIGN (Guillaume), (R. A. T.), soldat à la 7e compagnie du 748 rég. territorial d'infanterie, mie Rt 1999 : bon soldat, a toujours fait son devoir. Blessé très grièvement, au cours des travaux exécutés dans une zone fréquemment battue par l'artillerie adverse, le 29 décembre 1917. Perte de la vision de l'oeil droit.

(Pour prendre rang du 6 septembre 1918.) MOREL (René-Isidore-Armand) (active), canonnier-servant à la 28e batterie du 230e rég. d'arlillerie de campagne : canonnier courageux et dévoué. Très grièvement blessé, le 30 août 1918, à son poste de combat.

(Pour prendre rang du 20 septembre 1918.) GREFFIER (Louis-Armand), mie 15144 (active), soldat au 80e rég. d'infanterie : excellent soldat à tous égards, courageux et animé du meilleur esprit. A été très grièvement blessé, le 2 septembre 1918, à Soissons. Amputé de la cuisse droite.

(Pour prendre rang du 4 octobre 1918.) VASSEUR (Daniel), caporal de réserve à la 19e compagnie du 120e rég. d'infanterie : détaché comme agent de liaison auprès d'un officier commandant un groupe, d'artillerie d'assaut, le 30 septembre 1918, s'est acquitté de sa mission, avec un sang-froid et un courage audessus de tout éloge. A été très grièvement blessé au cours de l'action.

(Pour prendre rang du 9 octobre 1918.) GAUTHIER (Léon), maréchal des logis à la 2e batterie du 177e rég. d'artillerie de campagne z excellent sous-officier. Blessé très grièvement à son poste de combat, la 3 octobre 1918, à Ostel.

(Pour prendre rang du 20 octobre 1918.) YERNIER (Léon), mie 6049, soldat de lre classe de réserve à la 10e compagnie du 173e rég. d'in- fanterie : excellent soldat, d'un dévouement à toute épreuve, d'une manière de servir et d'une conduite au feu irréprochable. Très grièvement blessé à son poste de combat, le 20 mars 1917, lors d'une violente attaque allemande.

(Pour prendre rang du 30 octobre 1918.) COQUEMEL (Albert), mie 01345, soldat de lre classe territorial à la 5* compagnie du 134e rég. d'infanterie : très bon soldat, brave et dévoué, qui a toujours donné toute satisfaction. A été très grièvement blessé à l'attaque tion. A de Fleury, le 8 août 1916. -'" (Pour prendre rang du 4 novembre MADY KANTE (active), mie 27348, tirailleur de lre classe au 31e bataillon de tirailleurs sénégalais : très bon fusilier mitrailleur;'plein de courage et de dévouement. Le 25 octobre 1918, pendant les préparatifs d'attaque de la Hunding, a été blessé très grièvement à son poste de combat. Une citation.

(Pour prendre rang du 29 novembre 1918.) BOUBÀLS (Joseph), mie 1253, soldat de réserve à la 3° compagnie du 97e rég. d'infanterie : bon et brave soldat qui s'est toujours fait remarquer par son entrain et son courage. A été blessé très grièvement, le 15 octobre 1918, en se portant à l'attaque. Amputé de la jambe droite.

(Pour prendre rang du 4 décembre 1918.) IIASSIN ben Hassen ben Mohamed, mie 13819, tirailleur de réserve à la lre compagnie du 4e rég. de marche de tirailleurs : vieux tirailleur, modèle de devoir. Déjà blessé deux fois au cours de la campagne à son poste de combat, a été de nouveau blessé, le 30 décombat, 1916, étant en sentinelle.

cembre 1916, étant en sentinelle.

(Pour prendre rang du 28 décembre 1918.) DASPRE (Albert), mie 16946, soldat de réserve à la 3e compagnie du 97e rég. d'infanterie : soldat dévoué et très brave au feu. Très grièvement blessé, le 30 mars 1918, en se portant à 1 attaque.

(Pour prendre rang du 5 janvier 1919.) SKENADJINESSIM, mie Rt 550, caporal territorial a la 4e compagnie du 26 rég. de marche de zouaves : excellent gradé. Blessé très grièvement, le 10 juin 1916, en faisant bravement son devoir.

(Pour prendre rang du 14 janvier 1919.) CARTAL (Jean), mie 15140, soldat de lrt classe de réserve à la 9e compagnie du 134e rég. d'infanterie ; soldat courageux et dévoué, remar-

quable par son entrain et son audace. Très grièvement blessé le 31 mai 1918, à l'attaque de la Ferme-des-Loges, au cours d'une reconnaissance en avant des premières lignes.

(Pour prendre rang du 16 janvier 1919.) BISCHOFF (Jean), mie 08517, soldat (terri-j torial) à la 11e compagnie du 35e rég. d'infanterie : brave soldat. A été très grièvement blessé à son poste de combat, le 28 septembre 1914, à Chevilecourt.

(Pour prendre rang du 8 mars 1919.) BRENNE (Louis-Auguste), mie Rt 1187, soldat (réserve) à la 14e compagnie du 327e rég. d'infanterie : soldat courageux, belle attitude au feu. Blessé très grièvement, le 28 mars 1918, dans la région de Noyon.

(Pour prendre rang du 13 mars 1919.) MARTEL (Hyacinthe-Georges), mie 11868 bis -soldat (territorial) à la 14e compagnie du 203e rég. d'infanterie : très bon soldat. Au cours d'un violent bombardement, étant sentinelle en première ligne, a fait preuve de courage et de sang-froid. A été blessé très grièvement, le 7 juin 1916, au Mort-Homme.

(Pour prendre rang du 11 août 1919.) , BOIS (Jules), mie 15142, soldat (réserve) à la l10 compagnie du 42e rég. d'infanterie : bon et brave soldat. Très grièvement blessé à Oulchyla-Ville, le 22 juillet 1918, en faisant vaillamment son devoir.

(Pour prendre rang du 1er octobre 1919.) BATTISTI (Antoine-Baptiste), mie Rt 625V sergent territorial à la 2e compagniêdu 43e ba-< taillon de tirailleurs sénégalais: très bon sousofficier. Le 23 octobre 1918, a entraîné vigou-i reuscment sa fraction à l'attaque de Ham, mal, gré des feux de mitrailleuses ennemies. A été blessé deux fois au cours de là prooression, MASSON (Adolphe), mie 1129, sergent de réserve à la 48 compagnie du 115e bataillon de chasseurs: bon sous-officier. A été blessé très, grièvement, le 1er juillet 1918, devant Passy-enValois (Aisne), en faisant très bravement son devoir. Amputé de la jambe gauche. j~~ GIBERT.(Jean-Baptiste), mie B 012127, caporal territorial à la 3e compagnie du 173e rég. d'infanterie: excellent gradé," brave et dévoué,, d'un, bon exemple pour ses subordonnés, d'une belle attitude au feu et d'un moral élevé. A été blessé très grièvement, le 22 juin 1918, lors d'une attaque allemande.

CIIINELLI (Félicien), mie 19478 (active), ca* poral à la 13e compagnie du 299e rég. d'infanterie : gIladé très courageux. Grièvement blessa au cours d'une attaque à la Main-dc-Massiges; le 26 septembre 1918. Amputé de la cuisse gauche.

BONNERY (Camille-Ludovic), mie 20602, ci" poral de réserve à la 2e compagnie du 618 rég.

d'infanterie : volontaire pour les missions p": rilleuses. A fait preuve d'un courage adl'" rable, le 2 août 1916, en traversant en terrain découvert le barrage ennemi lors de la contreattaque. A tenu un petit poste évacué. Blesse très grièvement, le 4 aoLit 1916, à son poste de combat, à la côte du Poivre. ,', DEDARY BOUBOU, mie 30336 (active), tirailleur de lrc classe à la lre compagnie du75'b~ taillon de tirailleurs sénégalais : bon soldatTrès grièvement blessé à son poste de combat, le 18 octobre 1918, à Oison (Belgique), au cours d'une préparation d'artillerie.

SfcYDOU YATTARA, mie 2088 (active), tirailleur de lre classe à la lre compagnie du 770 ba, taillon de tirailleurs sénégalais : excellent tirailleur, très brave au feu. A été très grièVe ment blessé au combat, en soutenant, par sou exemple, dans des circonstances difficiles le courage de ses camarades.

LE CHEVALIER (Paul); mie L 12016, soldat de

réserve à la 10e compagnie du 6e rég. d'lll an-.

terie coloniale : soldat d'une belle bravoure et d'un dévouement absolu. A été très grieve" ment blessé, le 5 août 1918, à Moreuil, à son poste de combat, au cours d'une reconnalr sance dans les lignes ennemies. Perte de ia vision de l'œil gauche.

CARAYON (Germain-Armand), mie 14i7 chasseur territorial à la 8e compagnie du ]


4Gc bataillon de chasseurs alpins : excellent - chasseur, dévoué et courageux; a été très grièvement blessé à son poste de combat, étant en sentinelle, le 20 avril 1917, au bastion de Chevreux.

JEAN (George-Robert), mie 88671, soldat de réserve à la 23° compagnie du 34e reg. dm fanterie : bon et brave soldat, Blesse très grièvement, le 18 avril 1918, au cours dune patrouille. Amputé de' la cuisse droite.

BICIIELLI (Pierre), mie 2629 soldat de réserve à la 22e compagnie du 203° reg. d infanterie : brave soldat. A été très grièvement blesse, le 7 avril 1918, à Moreuil, en accomplissant son devoir aux postes avancés. Ampute de la cuisse gauche,SIRl KOUMA BALLO, mie 34661, tirailleur de réserve à la C. H. II. du 44e bataillon de tirailleurs sénégalais : très bon tirailleur, bravo et dévoué. Très grièvement blessé à Anufontame, lè 25 octobre 1918, Amputé de l'avant-bras droit.

MOUSSA SOUMA, mie 40816 (active), tirailleur à la 4* compagnie du 75e' bataillon de tirailleurs sénégalais : bon tirailleur. Blessé très grièvement, le 18 juillet 1918, en se portant courageusement à l'attaque du bois Madame, sous d'intenses feux de mitrailleuses. Amputé de la cuisse gauche. DUPUY (Claude-Edouard), mie 20583, (aclive) soldat à la 5e compagnie de mitrailleuses du :363e rég. d'infanterie : très bon soldat d'un grand courage et d'une belle attitude au feu.

A été blessé très grièvement, le 30 septembre 1918, en se portant vaillamment à,l'attaquc des positions ennemies.

(Pour prendre rang du 4 octobre 1919.) BURLET (Jean-Emile), mie 4030, chasseur de ire classe (réserve) à la lre compagnie du 30e bataillon de chasseurs alpins : excellent chasseur, au front depuis le début ; s'est vaillamment battu aux attaques des 16 et 17 août 1918. Très grièvement blessé pour la troisième fois, le 18 août, en repoussant une contre-attaque sur le terrain conquis devant Roye.

BOUILLIN (Claude), mie 8291, chasseur de réserve à la 3e compagnie du 5* bataillon de chasseurs alpins : brave chasseur, ayant fait preuve d'un entrain admirable pendant les dernières affaires. A été très grièvement blessé en se portant à l'assaut des positions ennemies fortement défendues par des mitrailleuses.

à PESIN (Emile), mie 6427, chasseur de réserve à la 12" oompagnie du lte bataillon de chasseurs alpins : vieux chasseur du bataillon qui s'était déjà distingué dans la première partie de la campagne. Blessé très grièvement pour la deuxième lois, le 20 juillet 1918, au cours de l'attaque victorieuse des positions allemandes.

CANAUD (Edouard), mie Rt 1290, sergent territorial à la 2e compagnie du rég. d'infanterie coloniale du Maroc : excellent sous-officier, qui s'est toujours montré un chef de demi-section ardent et brave, sachant entraîner ses hommes il l'assaut. Très grièvement blessé, le 26 septembre 1918, en se portant à l'attaque d'une tranchée ennemie, en Champagne.

DAHACHE ABDELKADER BEN LAKIIDAR, mie 8295 (active), tirailleur à la Joe, compagnip, du 7e rég. de marche de tirailleurs (6e rég. de tirailleurs : tirailleur plein d'allant et d'entrain Très grièvement blessé, le 20 août 1917, en s'élançant à l'assaut des positions ennemies au bois des Corbeaux. Perte de la vision de l'œil gauche.

BENIIACENE TAIEB, mie 12467 (active), tirailleur à la lrc compagnie du 7e rég. de marche de tirailleurs : brave tirailleur, dont la conduite au cours de la campagne a toujours été digne d'éloges. Le 18 juillet 1918, a entraîné son escouade à l'attaque des lignes ennemies.

Très grièvement blessé au cours de l'action.

Amputé de la cuisse gauche. Une blessure et une citation antérieures.

TETARD (Gabriel), mie 23 IC 6937 (active), soldat à la 5e compagnie du rég. d'infanterie coloniale du Maroc : brave soldat, avant participé avec honneur fi plusieurs combats. Très grièvement blessé à son poste par un obus ennemi, ce qui a nécessité j'amputation du bras droit.

ABDELKADER BEN MOKTAH, rolé 19151 (active), tirailleur à la 228 compagnie du 7e rég de marche de tirailleurs : brave tirailleur. A toujours courageusement fait son devoir. Belle attitude au feu. A été très grièvement blessé, le 18 juillet 1918, en se portant à l'attaque des positions ennemies.

MOHAMED BEN MOHAMED SKIIERf. mie 803 20489,. caporal de réserve à la 19e compa: gnie du 4e rég. de marche de tirailleurs : a été très grièvement blessé, le 25 septembre 1915, en remplissant avec un grand dévouement, sur le terrain du combat, ses fonctions de caporal infirmier.

ETIENNE (Ernest-Emile), mie 3552 (active), tirailleur à la 23e compagnie du 4* rég. de marche de tirailleurs : le 30 mai 1918, occupant un poste dangereux et voyant tous ses camarades tomber autour de lui, a continué à repousser à la grenade toutes les tentatives ennemie?. Très grièvement blessé à son poste.

Perte de la vision de l'œil droit.

BOUDJEROUA ABED BEN BOULKATEUR, mie 12863 (active), tirailleur à la 3* compagnie du 9e rég. de marche de tirailleurs : tirailleur brave et dévoué, A été très grièvement blessé au cours des attaques de Champagne, en octobre 1918.

FRAZDI RACHID, mie 14820, tirailleur de réserve à la 10e compagnie du 98 rég. de marche de tirailleurs : jeune tirailleur, brave et dévoué. Très grièvement blessé au cours des attaques de Champagne, en octobre 1918, en montant à l'assaut. Cécité complète.GOUPIL (Edmond-Auguste), mie 13807, soldat de réserve à la 15e compagnie du 233e rég.

d'infanterie : très bon soldat, brave et courageux. A donné à ses camarades au cours des combats du 19 juillet 1918, le plus bel exemple d'énergie et de sang-froid. A été très grièvement blessé par balle au moment où son unité se portait à l'attaque des positions ennemies.

Deux blessures. Une citation.

CIIATAIGNER (Alexandre-François-Gabriel), mie Rt 637, soldat de réserve à la 22e compagnie du 203e rég. d'infanterie : bon soldat.

Blessé très grièvement, le 20 juillet 1918, en faisant vaillamment son devoir.

DUMAINE (Victor), mie 15104, soldat de réserve à la 10e compagnie du 41e rég. d'infanterie : très bon soldat, courageux et dévouée A été blessé très grièvement, le 24 avril 1918, devant IIangard-en-Santerre, au cours d'une contre-attaque. Perte de l'usage d'un membre.

LECLERC (Georges-Almyre-Albert), mie 1191, soldat de réserve à la 9" compagnie du 71e rég.

d'infanterie : soldat d'une bravoure et d'un sang-froid à toute épreuve. Très grièvement blessé à son poste de combat, le 5 juin 1918.

Enutléation de l-oeil gauche.

POINS (François), mie 13581 (active), soldat à la 6" compagnie du 48e rég. d'infanterie : soldat brave au feu. Blessé très grièvement, le 29 mai 1918, à Saint-Pol-aux-Bois (Aisne), a continué à se défendre jusqu'à épuisement complet des munitions. Amputé de la jambe droite.

WIMART (Maurice-Charles-Albert), mie 14381, sergent de réserve à la 11e compagnie du 137e rég. d'infanterie : excellent sous-officier, très grièvement blessé en entraînant vigoureusement sa section à l'assaut d'une position ennemie.

DAVID (Emile-Alfred), mie 8494, soldat de ré serve à la 5e compagnie de mitrailleuses du 320e rég. d'infanterie : mitrailleur d'élite, le 23 juillet 1918, dans un combat sous bois, a servi sa pièce sous de violentes rafales de mitrailleuses, réussissant à arrêter plusieurs tentatives de contre-attaques ennemies. Au cours des combats du 21 au 26 juillet 1918, a fait l'admiration de tous par la bravoure et le sangfroid qu'il n'a cessé de montrer en toutes circonstances. Gravement intoxiqué le 7 octobre 1918. Une citation.

DEVOOS (Charles), mie 12223, soldat de réserve à la 2e compagnie du 262e rég. d'infan.

terie : excellent soldat, qui a toujours fait preuve de beaucoup de courage. A été très grièvement blessé au cours d'une attaque, le 8 octobre 1918, dans la région de Somme-Py.

Amputé de la cuisse droite. - BIDEAU (Alsin), mie 015785, soldat (territorial) à la 138 compagnie du 262° rég. d'infanterie,

actuellement au US. rég. d'infanterie : bravi softat. Très grièvement blessé, lo 27 mai 4918, à Vauxaiilon, à son posle de combat. Enucléation de l'œil gauche.

PIVERT (Louis-Charles), mie tY¡f8, soldat da réserve a la 2te compagnie du 265e rég. d'infanterie : excellent soldai, d'une belle altitudai au feu. Très grièvement blessé en se portant à l'assaut, le 30 septembre 1918, à Somme-Py ROLLOT (Alphonse-Augustin), mie 01Q3S7, caporgl de réserve à la 4e compagnie de mitrailleuses du 217e rég. d'infanterie : excellent gradé remarquable par son entrain, son énergie et son mépris du danger. Très grièvement blessé, le 3 octobre 1918, à Autry, en faisant courageusement son devoir. Deux blessures antérieures. Une citation.

SABAT (Maurice), mie 17747 (active Vsoldat à la 3e compagnie de mitrailleuses du 30e rég.1 d'infanterie : soldat très brave et très coura* geux, a toujours eu une belle attitude au feu.

S'est fait remarquer pendant la journée dit 1er octobre 191.8 par son sang-froid. A été blessé très grièvement au cours du combat.

ÉANGLES (Pascal-André), mie 14703, soldat de réserve à la 10e compagnie du 30* rég. d'infanterie : soldat brave et dévoué qui s'est toujours signalé au feu par sa belle conduite. A été très grièvement blessé, le 23 octobre 1917, alors qu'il allait à l'attaque du village d'Aliemant.

GARCIN (Félix), mie IL059 (active), soldat à la 44° compagnie du 230e rég. d'infanterie : jeune soldat d'un courage au-dessus de tout éloge. Déjà cité à l'ordre de l'armée pour sa belle conduite. A conduit le groupe qu'il commandait à l'assaut du village de Bouconville sous un très violent tir de mitrailleuses. Trèf; grièvement blessé au cours do l'action.

BÉRAUD' (Louis), mie 5276, canonnier de

réserve à la 48e batterie du 266e rég. d'artillerier servant consciencieux et dévoué. Blessé très grièvement, le 24 avril 1918, à son poste do combat, sous un violent bombardement.

REYNAUD (Auguste-François), mie 0133, sergent de réserve à la compagnie de mitrailleuses du 5* bataillon de tirailleurs sénégalais v très bon sous-officier. Pendant l'attaque victorieuse du 19 octobre 1918, a fait preuve des plus belles qualités militaires. A donné à ses hommes l'exemple de la bravoure et de l'entrain. Par.un judicieux emploi de ses mitrailleuses, a causé de grosses pertes aux servants leusems, itraillettes ennemies. Très grièvement des blessé après avoir contribué à l'enlèvement du premier objectif.

FOLAKOU OUASCIIER, mie 13647, tirailleur de réserve à la 2* compagnie du 31e bataillon, de tirailleur sénégalais : tirailleur brave et dévoué. Le 18 septembre 1918, a été biesse très grièvement à son poste de combat. Amputé da la main droite.

TIECOUTA KEITA, mie 12122 (active), tirailleur à la lre compagnie du 44e bataillon de tirailleurs sénégalais : excellent tirailleur à tous points de vue. A été très grièvement blessé, le 20 juillet 1918, à l'assaut de la position ennemie.

JOCQLEV LLK (Josenh-Henri), mie Rt 295,' soldat (territorial) a la 9e compagnie du 165e rég.

d infanterie : excellent soldat, ayant toujours eu une belle attitude au feu. Jîlessé une première fois, le 25 septembre t5, à Neuvillebaint-vaast, intoxiqué, le 6 juillet 1917, à Nieuport, a de nouveau été très grièvement blessé par 1 explosion d'un abri miné, à Lalfaux, lo 10 septembre 1918.

MEUNIER (Jean), mie 14067, soldat de réserva à la 2e compagnie du 163e rég. d'infanterie : très bon soldat, toujours volontaire pour les missions périlleuses. A été blessé par une balle de mitrailleuse, le 28 septembre 1918. en se portant à l'attaque de la crête de Bcllevuç. Une citation.

DELVAL (Jules), mie Rt 1925, caporal de ré serve à la l'e compagnie du 8e rég. d'infanterie : excellent gradé, ayant toujours fait tout son devoir. A été très grièvement blessé pour la troisième fois, le 22 juillet 1918, au cours de l'attaque de l'Ourcq. Enucléation de l'œil droit.

RICHARD (Francois-Ildevert), mie 1536, sol, dat de réserve à la 15° compagnie du |73# rég.


d'infanterie : jeune soldat polissant la bravoure jusqu'à la témérité. A été blessé Irès srièvetiiout e:i se portant, sous un violent au secours d'un camarade grièvement blessé, le 31 mai 1918, à Soissons.

(Pour prendre rang du 5 octobre 1919.) PLIS30N (Amédéc-OIivier), mie 5103, soldat de lic classe do réserve à la 1™ compagnie de miiraiiieuses du fil rég. d'infanterie : soldat modèle, auùacieux: et ayant le plus complet mépris du danger. Agent de liaison remarquable. Blessé très grièvement, le 5 octobre 1918, en assurant une liaison. Amputation du pied droit. Deux blessures antérieures. Deux citations.

IîAIMïMOSA (Paul), mie 4937, canonnier servant de réserve à la 10e batterie du 10r>e rég.

d'artillerie lourde : excellent canonnier, dévoué et courageux, qui s'est signalé à plusieurs reprises pour sa bravoure sous le feu de l'ennemi: Blessé très grièvement, le 14 octobre 1918, à son poste de combat. Amputé de la cuisse gauche. Une citation.

CROLKT (Louis-Auguste), mie 16126, soldat de llC classe de réserve à la 11e compagnie du 23e rég. d'infanterie : soldat brave et courageux.

Très grièvement blessé, le 28 juillet 1918, à son poste de combat.

PLANAISE (Jean), mie 13382), soldat territorial à la 18< compagnie du 3'i3® rég. d'infanterie : excellent soldat. A été blessé très grièvement, le 27 mai 1.918, à Longueval, en faisant très bravement son devoir.

GUIGOU (Hobcrt-Louis), mie 13093, aspirant de réserve au 2e bataillon du 10e rég. d'infanterie : aspirant très courageux, d'un entrain et d'une énergie remarquables. A été blessé très grièvement, le 2î septembre 1917, à Maisonsde-Champagne, lors d'un coup de main ennemi, en défendant un barrage sous un violent bombardement. Deux citations.

BRESSON (Paul-Joseph), mie 16899 bis, caporal territorial à la 2e compagnie du 95e rég.

d'infanterie : excellent gradé, brave et dévoué.

A été très grièvement blessé, le 2j octobre 1918, alors qu'il entraînait son escouade de fusiliers-mitrailleurs à l'assaut d'une position puissamment fortiliée et défendue par les mitrailleuses ennemies.

MORIN (François), mie 15119, caporal de réserve à la 9e compagnie du 10e rég. d'infanterie: gradé plein d'entrain, audacieux, d'un sang-froid exemplaire. A été très grièvement blessé, le 12 octobre 1918, en se portant à l'assaut d'un village.

FEBVAY (Emile), mie Rt 1655, soldat de réserve à la 9e compagnie du 29e rég. d'infanterie : soldat très brave et donnant toujours l'exemple du courage et du devoir. A été très grièvement blessé, le 2 octobre 1918 à ltancourt, à l'attaque de la ligne Hindenburg.

PERRAUD (Claude), mie 18583, soldat de réserve à la 21e compagnie du 380e rég. d'infanterie : très bon soldat. S'est vaillamment battu le 29 mai 1918. Très grièvement blessé au cours de l'action. Amputation du bras droit.

ECHAPPE (Pierre-Joseph), mis Rt 1254, soldat territorial a la 10* compagnie du 149e rég. d'infanterie : excellent soldat sous tous rapports, courageux et dévoué. Très grièvement blessé par balle le 28 ptembre HH8, à Tahme, en repoussant une contre-attaque ennemie.

Les nominations ci-dessus comportent l'attribution de la Croix de guerre avec palme.

Paris, le 19 octobre 1919.

GEORGES CLEMENCEAU.

Le président du conseil, ministre de la guerre, Vu le décret du 13 août 1914 ; ,,„y,u., le décret du 1er octobre 1918, relatif à l attribution des décorations posthumes, Arrête: Article unique. Sont inscrits au tableau spécial de la médaille militaire les militaires dont les noms suivent

I

Infanterie.

207e rég. d'infanterie.

ORLIAC (Jean-Baptiste), mie OLOM, soldat: soldat très courageux, dévoué. A été tué glorieusement, en se portant à l'assaut de Fleury, le 4 août 1916. A été cité.

PEZOU (Jean-Pierre), mie 07417, soldat: excellent soldat. Glorieusement tombé pour la France, le 19 avril 1917, en montant à l'assaut d'une position ennemie avec un admirable entrain. Croix de guerre avec étoile d'argent.

PEYROUZET (Henri-Félix), mie 4f;0), soldat: excellent soldat. Glorieusement tombé eaur la France, le 31 mars 1915, en montant à l'assaut d'une position ennemie avec un admirable entrain à Perthes-les-llurlus (Marne). Croix de guerre avec étoile d'argent.

PEYRAUD (Léonard), mie 02699, soldat : excellent soldat. Glorieusement tombé pour la France, le 6 mars 1915, à Mesnil-les-Hurlus (Marne), en montant à l'assaut d'une position ennemie avec un admirable entrain. Croix de guerre avec étoile d'argent.

PERTUZAT (Alain-Germain), mie 018635, sol dat : excellent soldat. Blessé grièvement en montant à l'assaut d'une position ennemie avec un admirable entrain. Est mort pour la France, le 21 février 1915. Croix de guerre avec étoile d'argent.

PRESSOIRE (Casimir), mie 02706 soldat : excellent soldat. Glorieusement tombé pour la France, le 17 février 1915, en montant à l'assaut d'une position ennemie avec un admirable entrain. Croix de guerre avec étoile d'argent.

ROUSSEAU (Martin-Félix), mie 02783, soldat : soldat valeureux. A toujours donné entière satisfaction, tant par sa belle attitude au feu que par sa manière habituelle de servir. Tombé pour le salut de la patrie, le 3 août 1916, devant Verdun. Une blessure et une citation antérieures. Croix de guerre avec étoile d'argent.

RAYMONDAUD (Jean), mie 017864, soldat : soldat d'une bravoure réputée. Est mort glorieusement pour la France, le 22 décembre 1916, des suites des blessures reçues au bois d'Ailly (Meuse), en faisant vaillamment son devoir. Une blessure antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

ROTTIER (Albert), mie 8783, caporal : brave caporal", d'un dévouement absolu, donnant à ses hommes le plus bel exemple en toutes circonstances. Mort glorieusement pour la France, le 16 mars 1916. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

RUEYRES (Joseph), mie 016336, caporal : excellent caporal. Glorieusement tombé pour la France, le 26 mars 1915, à Perthes-Ies-IIurlus (Marne), en montant à l'assaut d'une position ennemie avec un admirable entrain. Croix de guerre avec étoile d'argent.

ROUGIE (Germaine mie 01771, so!dat : excellent soldat, brave et dévoué. Glorieusement tombé pour la France, le 16 février 1915, à Perthes-fes-llurlus (Marne), en montant à l'assaut d'une position ennemie avec un admirable entrain. Croix de guerre avec étoile d'argent.

SALES (Alfred), mleOSSl, soldat de lre classe: soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Tombé glorieusement pour la France, le 27 juillet 1916, devant Verdun. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

SAlT-PÈHE (Maurice), mie 2999, sergent: brave sous-officier, d'un dévouement absolu, donnant à ses hommes le plus bel exemple en toutes circonstances. Tombé glorieusement pour la France, le 4 août 191G, devant Verdun.

Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent. ROCHE (Antoine), mie 01143 bil, soldat de lre classe : excellent soldat. Glorieusement tombé pour la France, le 31 décembre 1914. en montant à l'assaut d'une position ennemie avec un admirable entrain. Croix de guerre avec étoile d'argent.

PEUCII (Joseph), mie 018292, caporal: excellent caporal. Glorieusement tombé pour la France, le 20 décembre 1914, en montant à l'assaut d'une position ennemie avec un admi-

rable entrain lt Mesnil-les-IIurlns (Marne). Croix de guerre avec étoile d'argent.

DEMARTY (Jules), mie liUO, soldat: excellentsoldat. Glorieusement tombé pour la France, le 22 octobre 1915, en montant à l'assaut d'une position ennemie avec un admirable entrain.

Croix de guerre avec étoile d'argent.

DELUC (Unpold-Jean-Baplistc-Françnis), mie B 010893, soldat : excellent soldat. Glorieusement tombé pour la France, le 17 avril 1917, en montant à l'assaut d'une position ennemie avec un admirable entrain. Croix de guerre avec étoile d'argent.

DENAUD (Pierre), mie 016261, caporal : excellent caporal. Glorieusement tombé pour la France, le 2). décembre HIll, en montant à l'assaut d'une position ennemie avec un admirable entrain. Croix de guerre avec étoile d'argent.

DELSOUC (Léon), mie 03693, sergent : bon sous-oflicier, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu.

Mort glorieusement pour la France, le 3 août 1916, à Fleury (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

DEL TOUH (Alfred), mie 01116, soldat : soldat remarquable par son courage et son dévouement. Grièvement blessé a son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 24 janvier 1915. Croix do guerre avec étoile da bronze.

DELSOL (Léon), mie 17935, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 4 août 1916, à Fleury (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

DELRIEU (Jean-Adrien), mie 1947, soldat : soldat remarquable par son courage et par son dévouement. Blessé grièvement à son posto de combat. Mort dos suites de ses blessures, la 22 février 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DELNAUD (Jean), mie 016G13, sergent : a fait vaillamment soji devoir dès les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement pour la France, le 8 septembre 1914, devant la ferme Montaurlot (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze. - ---- > DELVIT (Pierre), mie0721, soldat: bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 21 juillet 1916, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronse.

DEMARD (Jean), mie 02741, soldat : excellent soldat, d'un grand courage, ¡plein d'entrain et de dévouement. Tombé en brave, le 20 décembre 1914, à Mesnil-les-Hurlus (Marna).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

DENEU (Joseph), mie 17217, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat, donnant en toutes circonstances la valeur. de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France. la 29 décembre 1914, à MesnlI-les-llurlus (Marne).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

MERGADIE (Emile-Jules), mie. 7315, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement.

Tombé glorieusement pour la France, la 29 juillet 1916, devant Verdun.

MOULINIER (Jean), mie 017869, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Tombé glorieusement pour la France, le 1G février 1915, devant Perthes-les-Burlus (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

PLOÚZEAU (Auguste-Paul), mie 7250, soldatexcellent soldat, d'un grand courage, plelfi d'entrain et de dévouement. Tombé en brave.

le 29 juillet 1916, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PONS (Baptiste), mie 018521, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preu des plus belles qualités. Tombé glorieusement pour la France, le 19 juillet 1915, en ArtoIs, Croix de guerre avec étoile de bronze.

PRADAYROL (Josepll),' mie 018966, soldat: brave soldat. Sur le front au début de l cae pagne, s'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers couibatt. TonaDtf #


rieusement pour la France, le 20 décembre 1914, devant Mesnil-les-Hurlus (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

.PIlIALIP (Léon), mie 019285, soldat : excellent soldat, d'un grand courage, plein d'entrain et de dévouement. Tombé en brave, le 20 décembre 1914, à Mesnil-les-Hurlus (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze. ,

PEZET (Albert), mie 018763, soldat: excellent soldat, d'un grand courage, plein d entrain et de dévouement. Tombé en brave, le 27 décembre 1914, à Mesnil-les-Hurlus (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

PEYTAVIE (Jean), mie 019176 bis, soldat : soldat remarquable par son courage et son deVouement. Blessé grièvement, à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 14 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PICIION (Albert), mie 19065 bis, soldat: bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 8 septembre 1914, à la bataille de la Marne. Croix de guerre avec étoile de bronze,

PERIQUOI (Antoine), mie 017317, soldat: ecellent soldat, d'un grand courage, plein (j,erlt rain et de dévouement. Tombé en brave, le 20 décembre 1914, à Mesnil-Ies Hurlus (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

PETITCOULAUD (Jean-Georges), mie 013142, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat, donnant en toutes circonstances, la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 6 septembre 1915.

CroIX de guerre avec étoile de bronze. b PETITOT (Joseph-Adolphe), mie 5616, soldat : »^ on soldat. Mort au champ d'honneur, le 27 Juillet 1916 à Fleury (Verdun), en faisant courageusement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze. ,

PYBAROT (Antoine), mie 013263, soldat: soldat d'une belle bravoure. Est mort glorieusement pour la France, le 5 février 1915, des suites des blessures reçues à Pcrthesles-IIurlus, en faisant vaillamment son devoir.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

PUYGRENIER (Jean), mie 019382, soldat : bon soldat, courageux et dévoué: qui s'est fait remarquer par sa belle attitude au feu. Mort biorieusement pour la France, le 20 décembre 1J14, à Mesnil-les-Hurlus (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze, , PIATON (Louis-Ferdinand-Augusie), mie06163, caporal : bon gradé, courageux et dévoué, qui s est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 10 mars 1915, à Perthes-les-Hurlus. (Marne).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

PEYRATEAU (Léonard), mie 019381, caporal : brave caporal, d'un dévouement absolu, donnant à ses hommes le plus bel exemple en toutes circonstances. Tombé glorieusement pour la France, le 2 août 1916, à Fleury (Verdun). Croix de guerre avec étoile de bronze.

» PERIE (Germain), mie 016780, sergent : excellent sous-officier, d'un grand courage, plein d'entrain et de dévouement. Tombé en brave, le 26 septembre 1915, est mort, le lendemain, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PRUDHON (Odin), mie 7435, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 23 juillet 1916, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.QUELLEC (Eugène), mie B 018214, soldat: soldat valeureux, A toujours donné entière satisfaction tant par sa belle attitude au feu que par sa manière habituelle de servir. Tombé pour le-salut de la patrie, le 17 décembre 1918, bron n (Meuse). Croix de guerre avec étoile "s bronze.

RABASTE (Joseph), mie 14037, soldat : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 16 février 1915, hes-les-Hurlus. Croix de guerre avec étoile de bronze..

RANC (Raymond), mie 7159, soldat : soldat d'une grande bravoure. Est mort glorieusement pour la France, le 23 mars 1915, des suites des blessures reçues au feu en faisant vaillamment son devoir devant Pertes-les-Hurlus (Marne).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

RAFAILLAC (Henri), mie 19025, soldat : soldat valeureux. A toujours donné entière satisfaction, tant par sa belle attitude au feu que par sa manière habituelle de servir. Tombé pour le salut de la patrie, le 20 décembre 1914, à, Mesnil-Ies-Hurlus (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

SEGUY (Jean), mie 19027, soldat : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 25 octobre 1914, au nord de Mesnil-Ies-Hurlus (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

SEGUY (Maurice), mie 05706, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 17 avril 1917, à la cote 227, massif de Moronvillers- (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

SAINTE-MARIE (Baptiste - Marcellin), mie 07007 bis, soldat, : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités.

Tombé glorieusement pour la France, le 24 décembre 1914. à Mesnil-Ies-llurlus (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

SALAGNAC (Léonard), mie 019280, soldat : soldat remarquable par son courage et son dévoucment. Blessé grièvement à son poste de combat pendant la bataille de la Marne. Mort des suites de ses blessures, le 14 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

216e rég. d'infanterie.

BROCIIOIRE (Fernand), mie B/012346, soldat : très bon soldat, d'un dévouement éprouvé et d'un courage tranquille. Blessé mortellement, le 5 décembre 1917, en conduisant le ravitaillement pour ses camarades. A été cité.

BÈRARD (Baptiste), mie 015622, soldat: brancardier dévoué et courageux. A été tué, le 25 juillet 1918, en transportant un" blessé. Déjà blessé. A été cité..

BOUTONNET (Eugène-Louis), mie 11317, soldat : brave soldat. Volontaire pour le coup de main du 17 juin 1917: faisait partie du groupe d'exécution, s'est vaillamment comporté. A été tué au cours de l'action. A été cité.

DEPLAT (Francisque), mie 25, adjudantchef: excellent et brave sous-officier. Sur le front depuis le début de la campagne. S'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers combats. Tombé glorieusement pour la France, le 8 septembre 1914, à la victoire de la Marne. A été cité.

- BOURQUIN (Claudc-Just-Ferrrand), mie B/6699, s__ oldat : soldat, * modèle de courage et de sang-froid. A toujours été volontaire pour les missions périlleuses. A été tué en se portant courageusement à l'attaque du 24 juillet 1918.

A été cité.

BOISSET (Pierre-Maurice), mie 14148, aspi-

rant: chef de grenadiers d'élite, jeune et ardent, ne cessant de donner des preuves de sa bravoure et de son sang-froid, aimé de ses hommes qu'il entenait en payant de sa personne. Tué, le 13 mars 1918, dans un poste avancé, alors qu'il étudiait les chemins pour la sortie de ses patrouilles, devant Vicnne-leChàteau (Marne) A été cité.

ROUTIN (François-Théodore), mie B/6567, soldat : tué par une torpille aérienne, étant en première ligne à son poste de guetteur qu'il n'a pas quitté d'un pas, malgré la violence extraordinaire du bombardement qui bouleversait la tranchée, le 28 juillet 1916, devant le Violu (Vosges). A été. cité.

BOUCI1ET (Jacques), mie 02G9, caporal : caporal plein d'entrain et d'ardeur, très bon chef de demi-section, doué d'un sang-froid admirable. Frappé mortellement, le 22 juillet 1918.

A été cité. BARRAY (Julien-Frédéric), mfe B/01831, sol dat : agent de liaison remarquablement dévoué, agile, éveillé : a assuré à de nombreuses reprises la liaison entre le chef de bataillon et les différentes compagnies. Blessé à la main et a Ja cuisse, a refusé de se laisser évacuer. Mort a

des suites de ses blessures, le 4 novembre 1916. A été cité.

BOUVAL (Hippolyte-Henri), mie 0872, soldat : excellent soldat, d'une très belle attitude au feu. Glorieusemedt tombé pour la France lo 25 octobre 1916, face au fort de Vaux, èn montant à l'assaut d'une position ennemie avec un admirable entrain. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BUGEAUD (Charles), mie 21317, caporal : gradé d'élite, sans cesse sur la brèche, et possédant la confiance entière de ses chefs et de ses hommes. S'est affirmé comme un brave dans tous les combats'auxquels il a pris part.

A trouvé une mort glorieuse, le 24 juillet 1918, à la cote 141, près Coincy (Aisne). Une blessure antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BRY (Henri), mie 18926, soldat : excellent soldat, d'un courage remarquable, Glorieuse- ment tombé pour la France, le 28 juillet 1918, en montant à l'assaut d'une position ennemie avec un admirable entrain..Croixde guerre avec étoile d'argent.

BRIÈRE (Mathieu-Désiré), mie B 09393. soldat: excellent soldat, d'un courage à toute épreuve.

"Glorieusement tombé pour la France, le 22 octobre 1916, en montant à l'assaut d'une position cnmie avec un admirable entrain.

Croix de guerre avec, étoile d'argent.

BEAUGENT (Georges), mie 014260, soldat : a toujours servi en hrave et excellent soldat, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 28 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.BOUJOT (Pierre-Joseph), mie 01867, caporal fourrier : brave sous-officier, donnant toujours à ses hommes le plus bel exemple de courage.

Tombé glorieusement pour la France, le 17 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze. BUISSON (Antoine), mie B 6401, soldat : très bon soldat, ayant toujours fait vaillamment son devoir. Mort pour la France, le 28 juillet 1916, au Violu (Vosges). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BRIAND- (Arsène-Jeaii-Nlarie), mie 011967, soldat : très bon solant, ayant toujours fait vaillamment son devoir. Mort pour la France, le 25 octobre 1916, au sud du fort de Vaux (Meuse).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

AZEAU (Iartin-Etiennc), mie 1339G, soldat : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 14 juin 1917.

au fort do Vaux. Croix de guerre avec étoile de bronze. 1 BOUTET (Abel-Anatole), mie 010721, soldat soldat remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort des suites -de ses blessures, le 22 juin 1916. Croix de guerre avec étoile do bronze.

BONNEFOY. (Victor), mie 4908, soldat: a toujours servi en brave ej excellent soldat, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Mort glorieusement pont la France, le 31 octobre 1916, des suites de ses blessures. Cioix de guerre avec étoile de bronze.

228e rég. d'infanterie.

ESQUERRE (Joseph), mie 14998. soldat: soldat admirable de courage et d'entrain. A été tué le 5 mai 1917, en se portant à l'attaque des tranchées ennemies. A été cité.

F1NGER (Xavier), mie 01276G, adjudant : a preuve en toutes circonstances et particulièrement comme chef volontaire de nombreuses patrouilles, de la-plus grande énergie et du plus complet dévouement. A été grièvement blessé, le 24 mai 1915, en plaçant des fils de fer en avant d'une position récemment conquise.

Mort pour la France, le G juin 1915. A été cité.

FOUQUET (Julien-Louis-Georges), mie 012566, adjudant: tué le 13 mai 1915, èn entrainant brillamment sa section à l'assaut de nuit d'un fortin. A été cite.

1ZABEL (Charles-Louis), mie 0280 bis, soldat : mitrailleur brave et courageux. Le 5 mai 1917, est tombé mortellement frappé en se portant à l'assaut d'une tranchée ennemie. A été cité.


NUÀNT (Ernest-Louis-Gabriel), mie 15125, soldat : soldat admirable de courage et d'entrain.

Tué le 25 mars 1917, en se portant à l'attaque, sous un feu violent de mitrailleuses. A été cité.

QUESNEL (Paul-Fernand), mie 019454. caporal : gradé dévoué. Le 25 mars 1917, est tombé mortellement atteint en se portant à l'assaut ..d'une position ennemie. A été cité.

FRERY (Pierre) mie 12461 EF, sergent : sousofiicier d'une bravoure réputée. Est mort glorieusement pour la France, le 15 mai 1915, à NeuYille-Saint-Vaast, en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile d'argent.

AeBERT (Jules-Clément), mie 6670, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 23 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ALPIIAND (Jacques-Josepli-André), mle012967, soldat de lrc classe : soldat valeureux. A toujours donné entière satisfactiOQ tant par sa belle attitude au feu que par sa manière habituelle de servir. Tombé pour le salut de la patrie, le 13 juin 1915, à Neuville-Saint-Vaast (Pas-de-Calais). CroiX" de guerre avec étoile de bronze.

BENARD (Cyrille), mie 016626, soldat : soldat remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat à Neuville-Saint-Vaast. Mort des suites de ses blessures, le 13 mai 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOURGAIN (Jean-Maurice-Raymond), mie 02238, soldat : soldat remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat devant Reims. Mort des suites de ses blessures, le 24 septembre 1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

CRESSENT (Marius-Gaston), mie 02522 bis, soldat : a fait vaillamment'son devoir, dès les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement pour la France, le 20 septembre 1914, devant Cormicy (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

DAVID (Gustave), mie 01186, soldat : bon et brave soldat. Mort pour la France, le 25 septembre 1914, des suites de glorieuses blessures reçues au champ d'honneur et* faisant courageusement son devoir. Croix de guerre avec etoile de bronze.

DESMARES (Louis-Léon), mie 0676, soldat : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 4 décembre 1914, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze, EUDE (Auguste-André), mie 06876 bis, caporal : brave caporal, donnant taujours à ses hommes le plus bel exemple de courage. Tombé glorieusement pour la France, le 25 mars 1917, au combat de Leuilly-sur-Coucy (Aisne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

FOULON (MaurIce-Louis-Fernand), mie 8323, aspirant : a toujours été un vaillant sous-officier, faisant constammenjt preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la Fi-aii l le 9 juillet 1915, des suites de blessujes reçues à l'attaque de Neuville-Saint-Vaast, le 15 mai 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

FIGUIER (Fortuné-Joseph), mie 014583, soldat a toujours ét un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement.

Tombé glorieusement pour la France, le 15 mai 1915, à Neuville-Saint-Vaast (Artois). Croix de guerre avec étoile bronze.

FARCY (Eugène-Anselme ^, mie 0G759, soldat: bon et brave soldat. Mort pouf la France, le 15 mai 1915, des suites de glorieuses blessures reçues au champ d'honneur en faisant courageusement son devoir, à Neuville-Saint Vaaslt.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

FAURY (Jean), mie 16170, soldat : soldat remaïquaole par son courage et son dévouement.

Blessé grièvement, à son poste de combat, à Neuville-Saint-Vaast. Mort des suites de ses blessures, le 15 mai 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze, FORÏIER (Paul-Aimé), mie 011331, capora* : a toujours servi en brave et excellent caporal,

donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 24 septembre 1914, à Jonchery-surVesle (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUILLAUME (Pierre), mie 17621, soldat : soldat valeureux. A toujours donné entière satisfaction tant par sa belle attitude au feu que par sa manière habituelle de servir. Tombé pour le salut de la patrie, le 8 février 1915, à Maricourl. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JACQUET (Georges), mie 15757, soldat : soldat ayant eu au feu une belle attitude. Tombé auchamp d'honneur, pour le salut de la patrie, le 13 mai 1915, à Neuville-Saint-Vaast. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LAUDOU (Henri), mie 013127, soldat : soldat remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat, à Villers-Franqueux. Mort des suites de ses blessures, le 20 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LALLEMAND (Victor-Marie-Ernest), mie 03543, soldat de lre classe : bon et brave soldat. Mort pour la France, le 20 septembre 1914. des suites de glorieuses blessures reçues au champ d'honneur, en faisant courageusement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MORISSE (Emile-Victor), mie 013599 b, soldat : soldat aussi consciencieux que courageux, qui dès le début de la campagne a donné la valeur de son héroïsme et de son amour pour la patrie. Tombé glorieusement, le 9 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MARTIN DU COLOMBIER (Paul), mie 018846 B, soldat : a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Mort glorieusement pour la France, le 31 août 1914, à Macquigny (Aisne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

MARACIIE (Emile-François), mie 019476, soldat : a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement pour la France, le 9 septembre 1^14, à Montreau-les-Provins. Croix de guerre avec étoile de bronze.

NEEL (Alexandre-Emile), mie 7004, soldat : soldat mitrailleur d'élite. A toujours donné entière satisfaction tant par sa belle attitude au feu que par sa manière habituelle de servir.

Tombé pour le salut de la patrie, le 11 octobre 1915, à Tahure, en mettant sa pièce en batterie en terrain découvert. Croix de guerre avec étoile de bronze.

NEEL (Jean-Marie), mie 12508 ET, soldat: bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 28 octobre 1915, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

OGER (Pierre-Marie), mie 13517, soldat : a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats.de la campagne. Mort glorieusement pour la France, le 7 septembre 1914. Croix de guerre, avec étoile de bronze.

PATUREL (Elie-Paul), mle 0622, soldat de lre classe : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 9 janvier 1915, à Maricourt (Sisame). Croix de guerre avec étoile de bronze.

PETIT (Aristide-Paul), mie 017512, caporal : très bon gradé. Discipliné et courageux, s'est offert plusieurs fois comme volontaire pour des missions périlleuses. Se trouvait à son poste, le 17 septembre 1914, à la Neuville, près de Berryau-Bac, lorsqu'il fut mortellement blessé. Croix de guerre avec étoile de bronze.

R ABEL (Lucien-Hippolyte-Auguste), mie 01143, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment .preuve de courage et de dévouement. Tombe glorieusement pour la France, le 17 mai 1915, en Artois, Croix de guerre avec étoile de bronze.

R1VRET (Fernand-Victor), mie 014391, soldat : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 20 mai 1915, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

SAILLARD (Paul-Louis), mie 018904, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement.

Mort glorieusement pour la France, le 11 octobre 1915, à Taliure. Croix de guerre avec étoile de bronze.

SINGEOT (Charles-Henri), mis 013124, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement.

Tombé glorieusement pour la France, le 16 décembre 1914, à Maricourt. Croix de guerre avec étoile de bronze.

TARATRE (Désiré-Emile-Henri), mie 01301, soldat : soldat remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement, à son poste de combat, à la Neuville. Mort des suites de ses blessures, le 18 juin 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze. ,

VILLETTE (Louis-Désiré), mie 014G62, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement.

Tombé glorieusement pour la France, le 14 janvier 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

WABLE (Félix-Maurice), mie 019877, soldat : brave soldat, qui a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne.

Tombé glorieusement pour la France, le 28 août 1914, à Guise (Aisne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

235e rég. d'infanterie.

IIEITZ (Alphonse-Michel-Pierre), mie 09S06, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat. -donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 2 décembre 1914. A été cité.

BARNASSON (Régis-André), mie 07717, capo" ral : brave caporal, donnant toujours à ses hommes le plus bel exemple de courage. Mort # glorieusement pour la France, le 22 septembre 1916. A été cité.

ALIX (Paul-Marie-Joseph), mie 014021, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 12 septembre 1914. A été cité.

BERARD (Henri-Auguste), mie 09903, soldat a toujours servi en brave et excellent soldat, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 11 juillet 1915. A été cité.

BEIGNER (Henri-Emile), mie 8182, soldat : a fait vaillamment son devoir dès les premier combats de la campagne. Mort glorieusement pour la France, le 13 août 1914, en Alsace. A été cité.

BERMONT (Marie-François), mie 06369, sol dat : brave sofdat. Sur le front au début de lil campagne, s'est fait remarquer par sa courir geuse attitude dès les premiers combats. T0fJ11bi" glorieusement pour la Fraace, le 17 aoàt 9141 en Alsace. A été cité.

JAMBON (Antoine-Marie), mie 5228, soldat brave soldat, Sur le front au début de la can* pagne, s'est fait remarquer par sa couragell attitude dès les premiers combats. Tombé g14 rieusement pour la France, le 2 décembre l-^' en Alsace. A été cité.

BAUER (Xavier), mie 012836, soldat : brave soldat. Sur le front au début de la carn agne.

s'est fait remarquer par sa courageuse attiiu" dès les premiers combats. Tom%é glorieuse sement pour la France, le 15 août 191»/ B Alsace. A été cité.

BERTHOUD (Claude-Marie), mie 012-1135 soldat : brave soldat. Sur le front au début de a4 campagne, s'est fait remarquer par sa COUrt geuse attitude dès les premiers combats. Mort glorieusement pour la France, le 3 ociou 1914. A été cité..

BERNARD (Lucien - Svlvain - Charles), 012298, soldat : brave soldat. Sur le front » début de la campagne, s'est fait remarqu orn sa courageuse attitude dès les premiers l' bats. Tombé glorieusement pour la Frailc 15 août 19H. A été cité. ;

BELLE (Joseph-François), mie 09139,, s d'un courage à toute épreuve. A trouve la dune le 11 juillet 1915, en défendant pied à 1 les tranchée dans laquelle venaient de pénétre Allemands, à la faveur d'un violent


dement et d'une formidable explosion de mine. A été vu à genoux, blessé, se battant encore à coups de crosse de fusil. A été cité.

ALLIBERT (Paul-Louis), mie 193 sergent : adjoint au chef d'une section de mitrailleuses, a fait preuve du plus grand sang-froid. Blessé mortellement, le 15 août 1914. A été eite.

BONNGMAUD (Adrien), mie 8807, adjudant : brave adjudant, qui a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne.

Tombé glorieusement pour la France, le 15 août 1914, à Montreux-Jeune. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BONJEAN (Jules-Albert), mie, 010168, soldat soldat aussi consciencieux que courageux, qui, dès le début de la campagne, a donné la valeur de son héroïsme et de- son amour pour la patrie Tombé glorieusement, le 15 août 1914, au combat de Montreux-Jeune (Alsace). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BLANCIIOT,(Joseph-Gustavc), mie 08036, soldat : très bon soldat, ayant roujours fait vaillamment son devoir. Mort pour la France, le 11 juillet 1915, devant Amertzeviller. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOISSON (Paul-Alphonse), mie 019151, soldat: très bon soldat, ayant toujours fait vaillamment son devoir. Mort pour la France, le 12 juillet 1915, à Balschwillcr (Alsace). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BERPRAND (Jules-Gaston), mie 0G83, soldat : brave soldat, qui a fait vaillamment son devoir dès, les premiers combats de la campagne.

Mort glorieusement pour la France, le 2 décembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BERTRAND (Charles-Eugène), mie 0711, soldat : brave soldat. Sur le front au début de la campagne, s'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers combats. Tombé glorieusement pour la France, le 15 août 1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BENAS (Jean-Marie), mie 011539, soldat : soldat remarquable par'son courage et son dévouement. Blessé grièvement à Montreux-Jeune, Mort des suites de ses blessures, le 16 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BLAISE (Jules-François-Xavier), mie 07985, soldat : brave soldat: Sur le front au début de la campagne, s'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les- premiers combats.

Tombé glorieusement pour la France, le 15 août 1914, à Montreux-Jeune. Croix de guerre avec étoile de bronze.

240* rég. d'infanterie.

PASCAUD (Théophile-Louis), mie 1813 ter, sergent : brave sous-officier, modèle de courage et de dévouement. A été tué en dirigeant un ravitaillement de munitions en première ligne, dans la nuit du 2 au 3 août 1916. A été cité.

HEBRARD (Jean-Pierre-Henri), mie 319 ter, soldat : soldat très dévoué, très actif. Sur le front depuis octobre 1914. Tué, le 16 août 1916, sous Verdun. A été cité.

PERRIER (Jean), mie gl64 ter, soldat : excellent soldat, dévoué et courageux. Glorieusement tombé pour la France, le 1er juillet 1916, en montant à l'assaut d'une position ennemie avec un admirable entrain. Croix de guerre avec étoile d'argent.

P AROT (Adolphe-Léon), mie 10163,.soldat : soldat remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat, à Thiaumont. Mort des suites de ses blessures, le 30 juin 1916. Croix de guerre avçc étoile de bronze.

PIT (Paul-Alfred), mie 0694, soldat : soldat remarquable par son courage et son dévouement. Blesse grièvement à son poste de combat, en Argonne. Mort des suites de ses blessures, le 11 avril 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MARRON (Léonce), mie 366 ter, soldat : a touj. ours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage, et de dévouement.

loïribé glorieusement pour la France, le 27 juin 1^16, à Thiaumont. Croix de guerre avec étoile de bronze. *

s MlRON (Antoine-Mari us-Arsène), mie 958 ter, soldat : bon soldat, courageux et dévoué, qui

s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 27 juin 1916, à Bras (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

MONTREDON (Pierre), mie 3593 ter, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 1:9 septembre 1916, à son poste de guetteur. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MAFFRE (Léon), mie 4162 ter, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 28 juin 1916, à son poste de combat.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

OLIVIER (Paul-Augustin-Julien), mie 5371 ter, soldat : soldat remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste" de combat. Mort des suites de ses blessvres, le 13 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

SARZIER (Joseph-Auguste-Régis), mie 01642 ter, soldat : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement poiir la France, le 16 août 1916, à Bras (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

CROZE (Régis), mie 3571 ter, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat, dondant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 1er juillet 1916, à Bras (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

REY (Edmond), mie 017194, soldat : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la. France, le 9 septembre 1914, Croix de guerre avec étoile de bronze.

TRINQUET (Antonin), mie 012553, soldat : ?.

toujours servi en brave et excellent soldat, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 1er oct-obre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

AUDEMARD (Albin Claude), mie 011072, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 2 octobre 1914, à Ilaucourt (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

DELEUZE (Eugène), mie 018852, soldat : soldat, remarpuable par son courage et sondévouement. Blessé grièvement à son poste de combat, à Chauvoncourt. Mort des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.GINEYS (Louis-Michel), mie 3583 ter, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 27 juin 1916, en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LACRUCHE (Antoine), mie 4790 ter, soldat : bon soldat, d'une belle attitude au feu. Mort au champ d'honneur, le 12 juillet 1916, à son poste de combat,.en faisant bravement son devoir.

Croix de guerre avec étoile de. bronze.

LAROCHE (Guillaume), mie 6311, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 1er août 1914, à Bras (Meuse).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

PETIT (Marius-Joseph), mie 3535; soldat : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au teu. Mort glorieusement pour la France, le 27 juin 1916, au cours du combat de Fleury (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

POIX (Louis-Albert), mie 11192, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement.

Tombé glorieusement pour la France, le 27 juin 1916, à son poste de combat. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PASQUIER (Jules-Emile), mie 6183 ter, soldat : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France le 16 août j.1il

à son poste de combat. Croix de ciicrre ave< étoile de bronze.

* 246* rég. d'infanterie.

BAUMGARTEIl (Antoine), rrjle 18401 sr-ldàt son chef de pièce venant d'être blesse, a continue. do progresser en avant de nos lignes et a contribué à la capture d'une vingtaine de prisonnlers; soumis à un violent bombardement d'artillerie, a été tué à sou poste de combal le 21 août 1918. A été cité.

BELLET (Pierre-Dominique), mie 702'3, âdjll- dant : adjudant de bataillon. A été IEortellcment frappé au cours d'une attaque, le 23 mai 1915, au moment où il s'occupait d'assurer les' liaisons avec une des compagnies d'asut.

A été cité.

BEAUFILS (Georges), mie 19131, soldat : très bon soldat, ayant toujours donné l'exemple du devoir. Blessé une première fois en Artois, en septembre 1915, est tombé glorieusement, le 28 février 1917, au cours d'une relève. A été cité.

BARrLLlET (Henri-Paul), Tmle Rt. 187, soldat : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 31 juillet 1915. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BEAUDEAU (Louis-Henri-René), m!e 7134, caporal : excellent caporal. Glorieusement tombé pour la France, le 28 septembre 1915, en montant à l'assaut d'une position ennemie avec un admirable entrain..Croix de guerre avec étoile d'argent.

BOUTAUT (Marteau-Isidore), mie 4152, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévoue ment. Mort glorieusement pour la Franco, le 30 août 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BALLU (Fernand), mie 6885, caporal : bravo gradé, couraIol eux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 18 août 1915, à Ablain-Saint-Nazaire. Croix do guerre avec étoile de bronze.

BA YNAHD (Eugène - Marcellfn), mie 26286, soldat ; a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de couiage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 14 janvier 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze:BELLANGER (Jarcel-Ilenri), mie 21080, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 20 octobre 1918. Croix de guerre avec étoile do bronze.

BARRY (François), mie 22777, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 10 novembre 1914, à Crouy (Aisne'.

Croix de guerre avec étoile de bronze. 1 BEAUVERT (Jules), mie 14184, soidat : brave soldat. Sur le front au début de la campagne s est fait remarquer par sa courageuse attitude des les premiers combats. Tombé glorieusement pour la France, le 14 décembre 1914, devant Crouy (Aisne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BERNARDI (Jean-Fleur), mie 12210, sergent : brave sous-officier donnant toujours à ses hommes le plus bel exemple de courage. Tombé glorieusement pour la France, le 21 juin 1915, devant Souchez (Artois). Croix de guerre ave" étoile de bronze.

BENIEAU (Ernest - Honoré-Ch-arlemagne), soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Tombé glorieusement pour h France, le 4 juin 1918, à Moulin-sous-Touvent (Oise). Croix de guerre avec étoile do bronze.

BARDOU (Paul-Albert), mie 8336. soldat : ex.

cellent soldat, d'un grand eouraj e, plein d'entrain et de dévouement. Tombé en brave, la 27 mai 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BEGUE (Gaston-Eugène), mie 49G30 soldat : excellent soldat, d'un grand courage, p1eu.

d'entrain et de dévouement. Tombé en brav%


le 4 juin 1915, à Neuville Saint-Vaast. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BARROST (Emile-Henri), mie 39108, caporal : excellent caporal d'un grand courage, plein d'entrain et de dévouement. Tombé en brave, le 28 septembre 1916, devant Souctiez (Artois).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BAUCIIET (Léon), mie 18027, caporal : caporal brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Tombé glorieusement pour la France, le 2 S septembre 1915, devant Souciez (Artois). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BERAUD (Marins-Antoine), mie 21105, soldat : jeune soldat de la classe 1918, plein d'ardeur et de bravoure au combat Mort glorieusement pour la France, le 2G août 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BATOUFFLET (Louis-Marie-Emile), mie 11831, soldat : exrellent soldat, d'un grand courage, plein d'entrain et de dévouement. Tombé en brave, en mai 1915, en Artois. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DAnRY (Eugène-Edouard), mie 902, soldat : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait femarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 31 mai 1915.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

258e rég. d'infanterie.

LAGAMKR (Joseph-Romain), mie 017442, soldat : soldat très brave et courageux, toujours volontaire pour les patrouilles. A été tué, le 18 février 1915, par un éclat d'obtls.m cours d'un bombardement où il a fait preuve de la plus grande énergie en soutenant, pendant plusieurs heures, par son calme et son sangfroid, le moral de ses camarades. A été cité.

PEYRAUD (Rémy-Gaston), mie 1718, caporal : n'a cessé, pendant le bombardement des 25 et 26 septembre 1915, de donner l'exemple du plus grand calme et du plus grand courage, a été ,tué, le 26, pendant qu'il assurait le service de la tranchée. A été cité.

BARATIIIEU (Lucien-Augustin-Edmond), mie D16594, sergent : sous-ofiieier très courageux et d'une grande bravoure, A été tué, au combat du 8 septembre 1914, au moment où il venait d'accomplir une mission très périlleuse auprès de son chef de bataillon. A été cité.

JULIEN (Alexis-Gustavo-Adolphe), mie 6617, sergent : engagé volontaire à quarante-sept ans dans l'infanterie et venu au feu le 16 octobre 1914. Sous-ofileier d'élile, incarnant le devoir et la bravoure toujours le premier dans les moments difficiles. Tombé glorieusement pour la France, le 20 mars 1916, à Avocourt, au moment où il se disposait à porter sa section en avant.

Croix de guerre avec palme.

BADEL (Grégoiré-Sébastien), mie 4642, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement.

Tombé glorieusemen pour la France, le 23 octobre 1915, au bois de Malancourt (Meuse).

Croix de guerre axec étoile de bronze. *

DUMONT (Paul-François), mie 0416, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement.

* Mort glorieusement pour la France, le 10 mai 1915. Croix de guerre ave étoile de bronze.

MALAVALON (Albert-Emmanuel), mie 0250.

caporal : a toujours servi en brave et excellent gradé, donnant en toutesVcirconstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour N1 France, le 25 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MAURIN (Jean-Louis), mie 015072 lis, caporal : a toujours été un vaillant gradé, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 21 mars 1916, au bois de Malancourt (Meuse).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

PEYROL (Victorin-Louis), mie 018542, soldat : Don soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, en avril 1915, au bois du Rupt. Croix de guerre avec étoile de bronze. t> FABRE (Antonin), mie 0885, soldat : a fait vaillamment son devoir dés les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement

pour la France, le 25 août 1914, devant Buzy (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

FIGÎIIÉRE (Féiix-Marius), mie 0i59, soldat conducteur-mitrailleur : a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement pour la France, le 11 août 1915. devant Ilattonville (Meuse).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

MANCiP (Léopold), mie 018453, caporal : a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement pour la France, le 24 septembre 1914, devant Saint-Mihiel (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

ARNAUD (Auguslin-Laurent-Casimir), mie 017116, soldat : a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne.

Tombé glorieusement pour la France, le 26 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DI COSTANZO (Auguste), mie 4132, tambour : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement.

Mort glorieusement pour la France, le 29 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JOUVE ( Jean "Antoine-Fortuné),' mie 1933, soldat : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait- remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 9 février 1915, à Ilaucourt-Malancourt. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROUVIER (Georges-Louis), mie 018108, sergent : brave sous-officier. Sur le front au début de la'campagne, s'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers combats.

Tombé glorieusement pour la France, le 27 septembre 1914, à Chauvonequrt (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

CATIIALA (François-Marius-Louis), mie 05701, caporal : bon gradé, courageux et dévoué.

Mort au champ d'honneur, le 23 mars 1916, il Malancourt, en faisant vaillamment son devoir.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BRUNEL (Michel-Henri), mie 17121, soldat : brave soldat. Sur le front au début de la campagne, s'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers combats. Blessé grièvement à. llattonchatel. Mort pour la France, en captivité, le 29 septembre 1914, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BONFILS (Maurice-Paul), mie 018409, soldat : brave soldat. Sur le front au début de la campagne, s'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers combats. Tombé glorieusement pour la France, le 11 octobre 1914, à Chauvoncourt. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MIAILLE (Justin-Paul), mie 0Ï19, soldat : bon soldat, .courageux et dévoué. Mort au champ d'honneur, en août,1915, en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.FRANCO (Augustin), mie 03219, caporal : bon gradé, courageux et dévoué. Mort au champ d'honneur, le 12 octobre 1914, à Rupt (SaintMihiel), en faisant bravement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LONGEVIET (Alexandre), mie 018305, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat.

donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 5 août 1915, à Malancourt (Meuse).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

DORFET (Jean-Emile), mie 013465, sergent : brave sous-officier. Sur le front au début de la campagne, s'est fait remarquer paiv sa courageuse attitude dès les premiers combats. Tombé glorieusement pour la France, le 20 septembre 1914, à Vigneulles (Meuse). Croix de guerre avec étoile de broilze.

REVEL (Honore), mIe 414 bis, soldat: brave soldat. Sur le front au début de la campagne, s'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers combats. Mort glorieusement pour la France, le 25 septembre 1914, il Saint-Mthiel, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JURY (Louis-Pierre), mie 017297, soldat : bon soldat, brave et dévoué. Mort au champ, d'honneur. le 5 mars 1916, au bois de Malancourt, en

faisait vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEOTARD (François-Léon), mis 4441, sergent: brave sous-oflicier, d'un dévouement absolu, donnant à ses hommes lo plus bel exemple eu toutes circonstances. Tombé glorieusement pour la France, le 22 octobre 1915, à Malancourt. Croix de guerre avec étoile do bronze.

MATHIEU (Marc-îsmael-Aimé), mie 0i4rJ2G, soldat: bon soldat. Mort au champ d'honneur.

le 25 septembre 1915, au bois de Malancourt, en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PALLENG (Gustave-Henri), mie 014199, soldat : brave soldai. Sur le front au début de la campagne, s'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers combats.

Tombé glorieusement pour la France, la 25 août 1914, à la bataille de Buzy. Croix do guerre avec étoile de bronze. v REBRON (Marius), mie 018781, soldat : soldat courageux et dévoué. Blessé grièvement à son poste de combat au bois de Malancourt. Mort des suites de ses blessures, le 24 mars 1916.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

MARTIN (Camille), mie 017389, soldat : brave soldat. Sur le front au début do la campagne, s'est fait remarquer par sa courageuse attitudo dès les premiers combats. Tombé glorieusement pour la France, le 25 août 1914, au combat de Buzy. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEZAUD (Auguste-Lucien), mie 016762 bis, caporal : brave gradé, d'un dévouement absolu, donnait à ses hommes le plus bel exemple en toutes circonstances. Tombé glorieusement pour la France, le '.5 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JOUFFRET (Louis-Félix), mie 013798, soldat : soldat remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste do combat. Mort des suites de ses blessures, le 29 mars 1915. Croix de guerre avec étoile do bronze.

ROBIN (Marius-Paul), mie 441 bis, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 2G septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LADET (Hippolyte-Pierre), mie 33D5, soldat : excellent soldat, d'un grand courage, plein d'entrain et de dévouement. Tombé en brave.

le 25 février 1916, au bois de Malancourt.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

LAFFONT (Albin-Louis), mie 01717-7, soldat : a fait vaillamment son devojr dès les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement pour la France, le 20 septembre 1914, à Ilattonville (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

PASCAL (Ferdinand-Désiré). mie 017411, soldat : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu.

Mort glorieusement pour la France, le 12 août 1915, à Yigneulles (Meurthe-et-Moselle.) Croix de guerre avec étoile de bronze.' DEFFERRE (Jules-Marie-Antoine), mie 012151, sergent : brave sous-officier. Sur le front au début de la campagne, s'est fait remarquer par

sa courageuse attitude dès les premiers combats. Tombé glorieusement pour la France, Itl 13 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile do bronze.

LAPEYRE (Henri-Joseph), mie 014303, soldat : brave soldat. Sur le front au début de la campagne, s'est fait remarquer par sa couragenS6 attitude dès les premiers combats. Mort gjo* rieusement pour la France, je 29 août 1914, des suites de blessures reçues * à Buzy. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ONDE (Gustave-François), mie 018638, soldat.

brave soldat. Sur le front au début de la caI" pagne, s'est fait remarquer par sa courageux attitude dès les premiers combats. Tombe g6 rieusement pour la France, le 26 septcro ES 1914, à Chauvoncourt (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

LATY (Louis-Eugène), mie 0849, soldat : brave soldat. Sur le front au début de la - eampag, n s'est fait remarquer par sa courageuse atlltu t des les premiers combats. Tombé giorieuseine


pour la France, le 20 septembre 1914, au combat de Vigneulles (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

JULIEN (Marius-Camille), mie 0441, soldat : brave soldat. Sur le front au début de la campagne, s'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers combats. Tombe glorieusement pour la France, le 25 août 1914 a Buzy (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

NICOLAS (Alexandre-Marius), mie 04630 sol dat : brave soldat. Sur le front au début de la campagne, s'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers combats. Tombe glorieusement pour la France, le 26 septembre 1914, au cours d'une reconnaissance en avant de Saint-Mihiel. Croix de guerre avec étoile de bronze.

OLLIVE (Joseph-Honoré-Marius), mie 012636, soldat : brave soldat. Sur le front au début de la campagne, s'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers combats.

; Tombé glorieusement pour la France, en septembre 1914, aux combats de Saint-Mihiel.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

JOUVE (Emile), mie 016046, soldat : soldat remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort pour la France, en captivité, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

FEDOU (Pierre), mie 0802, soldat de lre classe : soldat valeureux. A toujours donné entière sattsfaction, tant par sa belle attitude au feu que par sa manière habituelle de servir.

Tombé pour le salut de la patrie, le 26 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

'a RAYNAUD (Clément), mie 015464, soldat : brave soldat, sur le front au début de la campagne. S'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers combats. Tombé glorieusement pour la France, en septembre 1914, à Chauvaucourt (Meuse). Croix de guerre avec étoile de bronze.

PIGALIO (Pierre), mie 395 bis, caporal : brave gradé, sur le front au début de la campagne.

s'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers combats. Tombé glorieusement pour la France, en septembre lH. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LACHAUD ( François-Louis-Eugène ), mie 017387, soldat : brave soldat, sur le front au début de 4a campagne. S'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers combats. Tombé glorieusement pour la France, en septembre 1914, au combat de Saint-Mihiel.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

ISNARD (Paul-Adolphe), mie 017356, soldat: bon soldat courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, en septembre 1914, à Saint-Mihiel. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUtLLEN (Clovis-Xavier), mie 016983, soldat : soldat remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à l'ennemi. Mort des suites de ses blessures, le 24 octobre1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze. *

., COR (Ferdinand-Charles), mie 016980, soldat de lre classe : soldat remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures. A été cité.

FALET (Gilles-Virgile-Henri), mie 0356, soldat : soldat remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à la bataille de la Marne. Mort des suites de ses blessures, le 11 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

65e rég. d'infanterie.

PREVOST (Alfred), mie 16398, soldai : excellent soldcft. Tué glorieusement à son poste de tombât, le 6 août 1916, à Verdun. A été cité.

PIRIOU (Pierre-René), mie 10020, soldat : est resté pendant cinq jours sous un violent bombardement. A été tué le 23 juin 1916, d'un éclat d'obus, dans un petit poste qu'il défendait. A été cité.

MENGUY (Joseph), mie 383, soldat : soldat très brave et très courageux. A trouvé une fort glorieuse, le 5 mai 1917, à l'attaque des tranchées allemandes, A été cité.

RAOUL (Pierre), mie 14760, soldat : fusilier, mitrailleur d'un courage remarquable. S'est fait remarquer par son" entrain à la contreattaque du 19 juillet 1917, A été mortellement blessé. A été cité.

PROVOST (Marcel-Augnste-Pierre), mie 15986, soldat: très bon soldat, brave et courageux.

A trouvé une mort glorieuse au combat du 19 juillet 1917. A été cité.

POITEVIN (Joseph-Louis-Marie), mie 06555, soldat : soldat discipliné et plein d'entrain. Le 24 août 1917, chargé de ravitailler une section qui partait à l'assaut n'a pas hésité, malgré un violent tir de barrage et le feu des mitrailleuses ennemies, à accomplir la mission qui lui était confiée. A trouvé une mort glorieuse au cours de cette mission. A été cité.

PENEAU (Georges), mie 25975, soldat : belle conduite. Blessé mortellement dans les tranchées par des balles de schrapnels. A été cité.

PESNEGAT (Pierre-Marie-Emile), mie 11737, soldat : excellent soldat, blessé mortellement au moment où il se rendait en ligne, sous un violent bombardement. A été cité.

PORTIER (Jean-Yves), mie 11857, soldat : par son calme et son sang-froid, pendant une préparation d'artillerie allemande, a maintenu le courage de ses camarades. A été blessé mortellement en repoussant une forte attaque ennemie. A été cité.

FARIOT (Jules), mie 17034, soldat : soldat d'une bravoure réputée. Est mort glorieuse ment pour la France, le 5 mai 1917, en faisant vaillamment son devoir. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

FOUCIIER (Emile-Léon), mie 15330, soldat : jeune soldat de la classe 1917. Très courageux et plein d'entrain. Mort pour la France cn accomplissant bravement son devoir, le 28 octobre 1918. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

CLÉMENT (Léon-Marius), mie 16228, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 13 juillet 1918.

Une citation antérieure. Ci'oix.de guerre avec étoile d'argent. w PEROCIIEAU (Pierre-Arsène), mie 7808, soldat : soldat remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement, à son poste de.

combat. Mort des suites de ses blessures, le 30 juillet 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.

RISSEL (Louis-Ange-Marie), mie 21084. caporal : gradé ayant eu au feu une belle attitude.

Tombé au champ d'honneur, pour le salut de la patrie, le 14 juin 1916 à Tliiaumont. Mort en brave. Croix de guerre avec étoile de bronze.

IIERVfi (Victor-Marie), mie 4810, soldat : bon soldat. Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir, le 27 août 1914, devant Sedan. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GOACOLOU (Yves-Marie)) mie 10H9. soldat : bon soldat. Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir, le 14 septembre 1915 devant Mesnil-les-llurlus. Croix de guerre avec étoile de bronze, GERAUD Désiré-.Tenn-Mari:.Bnptistf'\ mie 010825 : bon soldat. Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir. le lfr janvier 1916, devant Albert (Somme\ Croix de guerre avec étoile de bronze. 1 GERGAUD (IIenri-Joseph\ mie 07510, soldat: bon soldat. Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir en août 1914, devant Sedan. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUILLARD (Jean-Pierre-Marie), mIe 3923. soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, en janvier 1911 Croix de guerre avec étoile de bronze

GREAUD (Eugène-Frédéric), mie 07978, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, en août 1914 devant Sedan. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUYET 'Alfred-Marc-Auguste), mie 5121, soldat : brave soldat, qui a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Mort glorieusement pour la France, le 2 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GRBAL (Jean-Joseph), mie 14444, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant cons.

tamment preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 25 juin 1916, Croix de guerre avec étoile de bronze.

GOASGUEN (Guillaume), mie 10325, soldatbon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 13 août 1917 Croix de guerre avec étoile de bronze.

GONNET (Jules-Joseph), mie 11630, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 29 octobre 1915 en Champagne. Croix de guerre avec étoile dé bronze.

GfBERT (Isidore-Louis-Victor), mie 07751, soldat : bon soldat. Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir, le 3 janvier 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GARDAVOIE (Léon-Alphonse), mie 08345, soldat : bon soldat. Mort pour la France, en aecomplissant bravement son devoir, le 15 juin 1916, devant Verdun. Croix de guerré avec étoile de bronze.

GUÍLRIN (Elie-Jean-Marie-Joseph). mie 05742, soldat ; bon soldat.'Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir, le 17 décembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GILBERT (Louis-Jean-Joseph-Mario), mie 5899, soldat : bon soldat. Mort pour la France.en a-- complissant bravement son devoir, le 16 janvier 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUILLOU (Alain-Henri), mie 5062, soldat de lre classe : bon soldat. Mort pour la France, en accemplisant bravement son devoir, le 27 août 1914, devant Sedan. Croix de guerre avec étoile de bronze. GUYADER (Corentin), mie 5311, soldat : bon soldat. Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir, le 27 août 1914. Croix do guerre avec étoile de bronze.

GIRARD (Gaston-Marie-Aimé), mie 5594, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement ,son devoir en janvier 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GARREAU (Constant-Victor), mie 015879, soldat de lre classe : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 22 juin 1915. Croix. de guerre avec étoile de bronze.

GERBAUD (Louis-Léon-Amédée), mie 07776, soldat : brave soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir en août îyj » devant Sedan. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GÙEUENNEUF (Joseph-Francois-Marie), tmie 3673, soldai : bon soldat Mort pour la France en ~l accomplissant bravement son devoir le 28 août 1914, devant Ssdan. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GrEOO (Uemi-Jules-Sylvain), mie 07764, soldat: bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

"L,EIOIGE (François-Mathurin-Victor), mie 08033, spidat , bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 8 septembre 1914, à la victoire de la Marne.

Croix de guerre aveeétoite de bronze.

LE BimÍmEC (Vincent), mie 4115, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 27 novembre 1915.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

LE BLEVÉE (Eugène-Marie), mie 5018, soldat : bon soldat. Mort pour la France en aecomplissant bravement son devoir, le 10 décembre 1916. devant Verdun. Croix de guerre avec étoiie de bronze.

LE LUI AN (Albert-Auguste-Marie), mie 5015, soldat - bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 9 juia 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LE BESQUE (Léonard-Louis), mie 7193, soldat : a toujours été un paillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévoue-


ment. Mort glorieusement pour la France, le 23 août 1916. Cro.x de guerre avec étoile de bronze.

L ANGLAIS (François-Joseph-Marie), mie 07856.

soldat: brave soldat, qui a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Mort glorieusement pour la France, le 14 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DERRIERE (Georges-IIenri-Louis), mie 07406, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 8 septembre 1014, à la victoire de la Marne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PROTEAU (Joseph-Marie), mie 07606, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 8 septembre 1914, à la victoire de la Marne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BIIIOUSE (François-Marie), mie 011280, soldat : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu.

Mort glorieusement pour la France, le 28 avril 1917, à Passy (Aisne). Ctpix de guerre avec étoile de bronze.

RARRET (Joseph), mie 16388, soldat : soldat ayant eu au feu une belle attitude. Tombé au champ d'honneur pour le salut de la patrie, le 15 juin 1916, à Thiaumont. Mort en brave.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

ALAIN (Auguste-Clément-Jean), ml 6 4627, soldai : bon soldat. Mort au champ d'honneur, le 28 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ESPESSON (Georges-Yves), mie 5679, caporalfourrier : brave gradé, qui a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement pour la France, le 8 septembre 1914, à Ecury-le-llepos.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

IHRGAIR (Louis-François-Marie), mie 10317, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat, donnant en toutes circonstances, la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 27 septembre 1'915, à La Croix-en-Champagne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

KERVEAU (Bernard-Louis), mie 8495, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 9 avril 1915.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

KERNEUR (Pierre-Marie), mie 8177, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 21 juin 1916, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

KERGUENNO (Louis-Marie), mie 8222, soldat : bon soldat, Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 10 juin 1915. aux attaques de l'Artois. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JEGOUX (Jean-Marie), mie 5560, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 26 juillet 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JOFFREDO (Joseph-Marie), mie 5269, soldat: bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 16 juin 1915, aux combats de l'Artois. Croix de guerre avec étoile de bronze,

JALLAIS ( Etienne-Emile- Constanl ), mie 010819, soldat: bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bramement son devoir, le 28 septembre 191'4. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LAULAN (Pierre-Louis-Gérard), mie 16652, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, au cours des durs combats du Chemin-des-Dames, en mai 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUILLOTIN (Alphonse-Séhastien-Marie), mie 4675, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 4 février 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GALERNE (Pierre-Marie), mie 5155, soldat f bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 10 juin 1915, aux combats de l'Artois. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GEORGET (Gaston-Lucien), mie 07340, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement.

Mort glorieusement pour la France, le 29 juin 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUERAULT (Henri), mie Rt 345, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement.

Mort glorieusement pour la France, le 1er septembre 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUILLEMOT (Cyr-François-Marie), mie 3372, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 18 janvier 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

G UIVEL (Eloy-Pierre-Marie), mie 4440, soldat: bon soldat, Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir, le 26 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUILLOUX (Pierre-Marie), mie 5921, soldat : bon soldat. Moq pour la France, en accomplissant bravement son devoir, le 12 octobre 1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUILLOUX (Louis), mie 3922, soldat : bon soldat. Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir, le 27 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JEGO (René-Joseph" mie 5562, soldat : bon soldat. Mort pour la France, en accomplissant bravementon dsevoir, le 27 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JEIIANNO (Joseph-Marie), mie 51G6, soldat : bon soldat. Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir, le 8 septembre 1914, à la victoire de la Marne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BRIDONNE AU (Gabriel-Valentin - Eugène-Auguste), mie 5476, caporal : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 22 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile debronze.

RAFFIN (Albert-Georges-Henri), mie 6069, caporal fourrier : très bon gradé. Mort pour la France en acc*uplftsant bravement son devoir, le 24 octoWo 1915, devant Mesnil-les-Hurlus. Croix de guerre avec étoile de bronze.

SICARD (Fernand-André-Eugène), mie 2613, caporal :. très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 28 août 1914, devant Sedan. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JOÀLlJAND (Jean-Baptiste -François - Marie), mie 4934, soldat : a fait vaillamment son devoir des les premiers combats de la campagne.

Tombé glorieusement pour la France, le 8 septembre 1914, à la victoire de la Marne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

SECONDE (Joseph-Marie), mie 4180, sergent : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 8 septembre 1914, victoire de la Marné. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GARN1ER (Auguste-Louis-Aimable), mie 1938, sergent-major : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 10 septembre 1914, à la victoire de la Marne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PELLOQUIN (Paul-Lucien-Alexandre), mie 07653, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir. le 27 août lH, Croix de guerre avec étoile de bronze.

PROVOST (Jean-Baptiste), mie 08019, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son. devoir, le 10 juin 19Î5, en Artois. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PASQUIER (Sylvain-EmUe-Firmin), mie 10632, soldat : a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Mort glorieusement pour la France, le 27 octobre 1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

PIOU (Pierre-Alphonse), mie 07974, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplis- sant bravement son devoir, le 8 septembre 1914, a la victoire de la Marne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PARIS (Georges), mie 07728, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant

bravement son devoir, le 17 juin 1915, en Artois. Croix de guerre avec étoile de bronze.

IŒRIGNARD (Benjamin), mie 11776, sergent : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 24 décembre 1916, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LOGGIIE (Eugène), mie 14743, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 17 juin 1916, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze, LE HIBLER (Jean-Marie), mie 10994, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplis- sant bravement son devoir, le 21 juin 1916, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PASQUIER (Emile-Florence-René), mie 015274, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 1er novembre 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PLUCIION (Gaston-Henri-Camille), mie 0753?, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 30 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MIEVILLE (Fernand-George;), mie 16283, soldat de lre classe : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 26 janvier 1917, devant- Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

NOURY (Louis-Marie), mie 4956, soldat : bon soldat. Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir, le 27 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

NAUD (Gaston-Raoul), mie 4062, solda* : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 8 juin 191b, en Artois.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

NEVEU (Emile-Albert), mie 11322, soldat: bon soldat. Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir, le 5 mai 1917, au Chemin-des-Dames. Croix de guerre avec étoile de bronze.

RINCE (François), mie 4238, sergent : très bon gradé. Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir, le 7 juin 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PERTIIUY (Jean-Baptiste-Joseph-Marie), mie 4313, sergent : très bon gradé. Mort pour la France, en accomplissant bravement son deFrancle e, 20 août 1914. Croix de guerre avec étoile voir, de bronze.

POGU (Georges-René), mie 07197, sergent : très bongradé. Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir, le 29 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PAOLI (Jacques-André), mie 027128, sergent : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 13 juin 1916, devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.

NICOLAS (Auguste-Lollis-farie), mie 07271, sergent : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, en août 1914, devant Sedan. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PIFTEAU (Gustaye-Emilc-Leuis), mie 434:1, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 17 décembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PEZERON (Alexandre Marie). mie 07554, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 17 décembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LINO (Jean), mie 11333, soldat : bon soldat.

Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 24 août 1917.»Croix de guerre avec étoile de bronze, DACQUAY (Julien). mie 010427, soldat : bravo soldat qui a fait vaillamment son devoir des les premiers combats de la campagne. Tombe glorieusement pour la France, le 8 septembre 1914, à Ecury-le-llepos. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DARRIET (Alphonse), mIe 12015. soldat : bon soldat, courageux et dévoué qui s'est fait re (1er Supplément.)


'marquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 31 janvier -1916, à Tahure. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DRIANIC (Pierre-Marie), mie 5165, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir au cours du combat près de Sedan. Croix de guerre avec étoile de bronze.

* DUBLY (Achille), mie 24016, soldat : bon soldat courageux et dévoué, qui s est fait re•marquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France des suites a une intoxication par gaz. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DUGALES (Arsène-Marie), mie 14711, soldat : 'bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir le 28 juin 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DAVID (Jean-Baptiste), mie 07476, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir pendant la bataille do la Marne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DILIIUIT (Mathurin-Jean), mie 07995, soldat : bon soldat. Mort pour la France, à Ecury-leRepos, en accomplissant bravement son devoir pendant, la bataille de la Marne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PECOT (Jules-Joseph), mie 5234, soldat : brave soldat, qui a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement pour la France, le 8 septembre 1914 (victoire de la Marne). Croix de guerre -avec étoile de bronze. ,

PATTE (Fernand), mie 18312, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour -la France, le 3 mai 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PASSARD (Joseph-Jean-Baptiste), mie 10924, caporal : brave caporal, donnant toujours à ses hommes le plus bel exemple de courage. Mort glorieusement pour la France, le 8 février 1917.

Croix de guerre avec étoile pe bronze.

PORCHER (Marcel-Jean-Marie), mie 07858, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 7 août 1916, devant Verdun. Croix de guerre avec .étoile de bronze.

SIMONNEAU (Jules-Théophile-Alexis-Augustin), mie 1023G, caporal : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 17 décembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

RICHARD (Joachin-Marie), mie 6834, caporal : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 19 novembre 1915, en Champagne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

RIOM (Lucien-Eugène), mie 5236, caporal : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 8 septembre 1914 à la victoire de la Marne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROPERT (Louis-Eugène-Alexandre), mie 010547 caporal : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir le 8 septembre 1914, à la victoire de la Marne.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

NORMAND (Jean-Marie), mie 11847, caporal : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 16 février 1915, devant Tahure. Croix de guerre avec étoile de bronze.

NEAU (Philibert-Fernand-Célestin), mie 10221 caporal : très bon gratfé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 27 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

KERDAVID (Joseph-François-Marie), mie 5387, ,caporal : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le '8 septembre 1914, à la victoire de la Marne.

'Croix de guerre avec étoile de bronze.

JEGO (Thurien), mie 5569, caporal : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 2i octobre 1915, à Mesnil-les-Hurlus. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUILLOT (Jacques-Georges), mie 5099, caporal : très bon gradé. Mort pour la France en' accomplissant bravement son devoir, le 9 septembre 1914, à la victoire de la Marne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUILLOTON (Aimé-Eugène-Henri), mie 07223, caporal : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 12 janvier 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MOREAU (Henri-Joseph-Alphonse^, mie 07750, soldat: bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir pendant les combats près de Sedan. Croix -de guerre avec étoile de bronze.

DANIEL (Léon-Charles-Marie), mie 5194, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LANGLOIS ( Augustin-Charles-Marie ), mie 5282, caporal : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir au combat de Hébuterne, le 8 juin 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ABALSKI (Marcel-Joseph-Luca), mie 027325, caporal : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir devant Fricourt, le 29 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PANIIELEUX (Séraphin-Joseph-Marie), mie 4033, caporal : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir devant Sedan, le 28 août 1914. Croix de guerre ..ilvec étoile de bronze.

PIVETEAU (Auguste), mie 5129, caporal : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir devant Ecury-IeRepos, le 8 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LE TIIIEIS (Joseph-Marie), mie 4366, caporal : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 18 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LOUIS (Henri-Marcel-Pierre), mie 10223, caporal : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 27 août 1914. Croix: da guerre avec étoile de bronze.

COUPE (Jules-Emile-Alexandre), mie 2950, soldat : bon soldat. Mort pour la France, des suites de blessures reçues en accomplissant bravement son devoir, le 11 mars 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BEZIER (Louis-Joseph), mie 01525S, soldat : bon soldat. Mort pour la'France, en accomplissant bravement son devoir, le 9 juin 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

* GUENEGO (Joseph-Marie), mie 3371, soldat : bon soldât. Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir au combat de Bulson, le 28 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUYOT (Louis-Marie), mie 3854, soldat : bon soldat. Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir au combat de FèreChampenoise, le 8 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUIOT (Jean-Baptiste), mie 010817, soldat : bon soldat. Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir au combat d'Ecuryle-Repos, le 8 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

HORCHOB (Moïse-Abel-Francis), mie 4346, soldat : bon soldat. Mort pour la France, en accomplissant bravement,son devoir au cpmbat de Chaumont, le 97 août. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUÉRIN (Charles-Pierre), mie 4217, soldat bon soldat. Mort pour la Franco, en accomplissant bravement son devoir, au combat de Bulson, le 28 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GOURLON (Louis-Joseph), mie 10383, soldat : bon soldat. Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir, au combat de Mcsnil-ies-llurlus, le 6 octobre 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUIMARD (Léon-Paul), mie 3505, soldat : bon soldat. Mort pour la France, en accomplissant bravement son devoir, au combat de ChaumontSaint-Quentin, le 27 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

, lUVU;:';'IVN tliaDrJp.I-LoUlS-PrU(tent), mIe Oi0226, coporal : très bon gradé. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, au ombat o Chaumont-Saint-Quen lin, le 27 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze COUZELIN (Guillaume-Marie), mie 1383 soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir devant Acheux, le 7 juin 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CORBEL (Joachim-Maric), mIe 5516, soldat bon soldat. Mort pour la France on accomplissant bravement son devoir au combat de !a Fère-Champenoise; le 8 septembre 191,1. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOURGELA1S (Pierre-Joseph), mIe 03595, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 11 décembre 1916, devant Douaumont. Croix do guerre avec étoile de bronze.

IIERVOUET (Louis-Français-Marie), mle07490.

soldat: bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir au combat d'Anhonvillers (Somme), le 12 novembre 1914, Croix de guerre avec étoile de bronze.

BRILLOUET (Jein-Baptiste-André), mie010695, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, le 12 octobre 1914, des suites de blessures reçues à l'ennemi. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROBIN (René-Félix), mie 010259, caporal : très bon gradé. Mort pour la France en accomplis.

sant bravement son devoir. le 1G septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CASTEL (Georges-Henri), mie 4410, soldat : bon soldat. Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir au combat de Sedan, août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GIBOIN (IIonri-Jcan-Louis), mie 2424, caporal : bon caporal, courageux et dévoué qui s'est l'ait remarquer par sa belle conduite au feu.

Mort glorieusement pour la France, le 15 juin 1915, aux tranchées de Serre. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GUiIIENEUF (Pierre-Marie), mie 4049, caporal : brave caporal, qui a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement pour la France, la 8 septembre b14, il la Fère-Champenoise, pendant la victoire de la Marne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GAUTHIER (François-Célestin), mie 4441, caporal : brave caporal, donnant toujours à ses hommes le plus bel exemple de courage. Tombé glorieusement pour la France, le 17 juin 1915.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

LUMINAIS (René-Raphaël, mie R/5039, caporal fourrier : bon gradé! Mort pour la France en accomplissant bravement son devoir, lo 8 septembre 1914. Croix do guerre avec étoile de bronze.

BIORET (Auguste-Julien-Marie), mie 010639, soldat : bon soldat. Mort au champ d'honneur le 8 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BONAVENTURE (Marcel-Victor-Emile) , mie HGi5, soldat : soldat ayant eu au feu une belle attitude. Tombé au champ d'honneur pour le salut de la patrie, le 23 juin, à Thiau;non".

Mort en brave. Croix de guerre avec étoile do bronze.

BILLY (Clovis-Marie-Joseph), mie 23785, 501 (lat : soldat ayant eu au feu une belle attitude.

Tombé au champ d'honneur pour le salut da la patrie, le 21 septembre 19L7, à Saint-Quentin (Aisne). Mort en brave. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BERNARD (Ernest-Célestin), mie 07363, soldat : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'esl fait remarquer par sa belle conduite au feu.

Mort glorieusement pour la France, le 7 juin 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

6SC rég. d'infanterie.

PLAT (Joseph-Gabriel-Georges), mie 03130, soldat : soldat brave et courageux. Blessé une première fois, le 25 septembre 1914, à Thizy (Marne), est revenu au front .sitôt guéri. A été tué à son poste, le 17 décembre 1914, au bois du Polygone (Belgique). Croix de guerre avec étoile d'argent.


CIIARTIER (Roger-Paul), mie 06516, soldat: brave soldat. Tué à son poste, le 3 janvier 1915, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

NEBILON (Louis), mie 13034, soldat : bon et brave soldat. Mort pour la France, le 2 janvier 4915, des suites de glorieuses blessures reçues au champ d'honneur en faisant courageusement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LAROQUE (Jules-Charles), mie 3694, soldat : brave soldat. Tué à son poste, le 21 janvier 1915, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

NIGAUD (Jules-Alexandre), mie 5626, soldat: bon et brave soldat. Mort pour la France, le ;25 décembre 1914, des suites de glorieuses blessures reçues au champ d'honneur en faisant courageusement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GRAVIER (Constant), mie 016962, soldat: brave soldat. Blessé mortellement à son poste, le 29 novembre 1914, à Zillebecke (Belgique), en faisant courageusement son devoir. Croix de guerre avec étoile ds bronze.

GUINOT (Marie-Edouard), mie 06866, soldat : brave soldat. Blessé mortellement à son poste de combat, le 30 août 1914, à Rethel. Croix de guerre avec étoile de bronze.

NICAT (Clément-Jean Baptiste), mie 0178i5, soldat : brave soldat. Tué à son poste de combat, le 9 février 1915, à Zonnebecke (Belgique).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

MASSON (Joseph-Léon), mie 017539, soldat : brave soldat. Blessé mortellement à son poste, le 21 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BERGEREAU (Maxime-Aimé), mie 08026, soldat : brave soldat. Tué à son poste de combat, le 2 décembre 1914, à Broseinde (Belgique).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOURGET (Alexandre-Edmond), mie 5172, soldat : brave soldat. Blessé grièvement à son poste et mort des suites de ses blessures, le 20 novembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

SAINTURAT (Charles), mie 06438, soldat : brave soldat. Blessé grièvement à son poste, à Zillebecke. Est mort des suites de ses blessures, le 13 novembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROY (Raphaël-Joseph), mie 07900, soldat : brave soldat. Blessé mortellement à son poste, le 20 septembre 1914, à Thuizy (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

MERIOT (Georges-Louis-Léon), mie 015272, tambour : bon soldat. Blessé mortellement à son poste, le 20 décembre 1914, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

ALBERT (Alfred-André), mie 4118, soldat : brave soldat. Tué à son poste, le 27 octobre 1914, à Wieltje (Belgique) Croix de guerre avec étoile de bronze.

COLLINET (Moïse), mie 5818, soldat : brave soldat. Blessé grièvement, à Zillebecke (Belgique). Est mort des suites de ses blessures, le 19 janvier 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOÙRON (Henri-Baptiste), mie 5170, soldat : brave soldat. Tué à son poste de combat, le 31 janvier 1915, à Potyze (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

ARNAULT (Auguste-Julien), mie 015978, soldat : brave soldat. Tué à son poste, le 31 décembre 1914, à Frezemberg (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BARRAULT (Auguste-Louis), mie 08190, soldat : brave soldat. Blessé mortellement à son poste, près de Zonnebecke (Belgique), en janvier 191o. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MEUNIER (Alexandre), mie 013918, soldat : brave soldat. Blesse mortellement à son poste le 4 novembre 1914, & Zillebecke (Belgique) Croix de guerre avec étoile de bronze.

VEAUVY (Louis-Pierre), mie 017560, soldat : brave soldat tué à son poste de combat, 1.

15 novembre 1914, à Zonnebecke (Belgique).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

FOUCIIIER (Alexis), mie 04652, soldat : brave soldat. Tué à son poste, le 15 novembre 1914, à Zillebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROBIN (Alexandre), mie 04988, soldat : brave soldat. Tué à son poste, le 11 novembre 1914, à Wieltje (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

AUDEBERT (Ernest-Auguste), mie 0874, soldat : brave soldat. Blessé grièvement à son poste, le 12 novembre 1914, à Zillebecke (Belgique).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

DALUS (Baptiste-Auguste), mie 4489, soldat : brave soldat. Blessé mortellement à son poste, le 6 novembre 1914, à Zonnebecke (Belgique).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

MACIIEBEUF (Joseph), mie 06959, soldat : brave soldat. Tombé à son poste de combat, le 16 décembre 1914, à Weldoeck (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

RAUJON (Alexandre-Joseph), mie 010794, soldat : a fait vaillamment son devoir, dès les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement pour la France, le 24 décembre 1914, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

RENONCIALE (Auguste), mie 016970, soldat : a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement pour la France, le 24 janvier 1915, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

DHUMEAUX (Ludovic-Léonce), mie 015857, soldat : bon et brave soldat. Mort pour la FrancM le 18 novembre 1914, des suites de glorieust!f: blessures reçues au champ d'honneur en faisant courageusement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CLÉMENT (Jules-Adelson), mie 5815, soldat : brave soldat. Tué à son poste de combat, le 25 janvier 1915, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BORDIER (Marie-Désiré), mie 011242, soldat : brave soldat. Blessé mortellement à son poste de combat, le 8 janvier 1915, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROSE (Léon Henri-Clément), mie 5442, soldat : brave soldat qui a fait vaillamment son devoir, dès les premiers combats de la campagne. Mort pour la France, le 7 février 1915, des suites de glorieuses blessures reçues à son poste de combat de Zillebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

JAVELAUD (Marcel-Emile), mie 7378, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 23 janvier 1915, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

MIEVILLE (Henri), mie 5149, soldat : a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement pour la France, le 10 février 1915, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

VANOVERBERGHE (Alphonse-Henri), mie 730i, soldat : a fait vaillamment, son devoir dès les premiers combats de la campagne.

Tombé glorieusement pour la France, le 25 janvier 1915 à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

CHARBONNIER (Louis-Ernest), mie 017289, soldat : bon et brave soldat. Mort pour la France, le 13 novembre 1914, des suites de glorieuses blessures reçues au champ d'honneur en faisant courageusement son devoir.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

GREJEAU (Février-Louis), mie 4276, soldat : a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Mort glorieusement pour la France, le 2 novembre 1914, à Ilollebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

CAILLAUDEAU (Léon-Eugène), mie 011168, soldat : brave soldat, Blessé grièvement, à son poste, à Zonnebecke (Belgique). Est mort des suites de ses blessures, le 19 décembre 1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

DEGENNE (Maurice-Auguste), mie 06563, caporal : brave caporal. Tué à son poste de com-

bat, le 16 janvier 1915, à Zonnebecke (Belgfc que). Croix de guerre avec étoile de bronze.

CORMIER (Louis-Henri), mie 010586, sergent: sous-officier brave et dévoué. Blessé mortellement, le 28 janvier 1915, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

TAILLANDIER (Raoul), mie 4914, caporal fourrier : caporal, brave et dévoué, Blessé mortellement à son poste, le 23 janvier 1915, a Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

LABROUSSE (Adrien-Joseph), mie 4933, soldat : brave soldat. Tué à son poste de combat, devant Vlamertinghe (Belgique), le 26 décero.

cembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

COURTOIS (Maurice), mie 4845, sergent sous-officier brave et énergique, d'un dévouement absolu, donnant à ses hommes le plus bel exemple en toutes circonstances. Tombé glorieusement pour la France, le 24 décembre 19H, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze. DERUET (Charles-Henri), mie 3522, soldat: brave soldat. A pris part aux combats d'août et septembre 1914. Blessé grièvement, est mort des suites de ses blessures, le 25 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DAUPHIN (René), mie 017632, soldat : brave soldat. Tué à son poste de combat, le 11 février 1915, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BLANCHARD (Félix-Henri-Arthur), mie 01415!, Soldat : brave soldat. Tué à son poste de combat, le 1er février 1915, à Zonnebecke (Bel1 gique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

MARTIN (Victorien), mie 05121, soldat : brave soldat, Tué à son poste de combat, le 8 février 1915, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

MORICE (Aimable-Victor), mie 3603, soldat : brave soldat. Tué à son poste, le 15 janvier 1915, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

STEVENIN (Augustin-Lucien), mie 13983, adjudant : sous-ofticier brave et dévoué. Tué à son poste de combat, le 6 novembre 1914, ax Hollebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

GIRAUD (Antoine-Daniel), mie 5126 soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat ; donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement, Tombé glorieusement pour la France, le 14 décembre 1914, à Polygoneweld (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

MORIN (Pierre), mie 4343, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 31 octobre 1914, à Passchendael (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

SIMONNEAU (Emile), mie 07972, soldat : brave soldat. Tué à son poste, le 24 décembre 1914, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOUDA RT (Franeis). mie 3579, soldat : bon soldat, mort pour la France, le 9 novembre 1914, des suites de ses blessures reçues sur le champ de bataille. Croix de guerre avec étoile de bronze.

VITAL (Ch arle s-Clé, ment), mie 06576, soldat: très bon soldat. Tombé glorieusement e" champ d'honneur, le 25 septembre 1914. *

Thuisy (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROGEON (Camille), mie 4621, sergent : bravé sous-officier. Tombé glorieusement au champ d'honneur, le 17 décembre 1914, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile bronze.

BLANCIION (Gonzague-Philippe-Eugène), mie 5342, soldat : brave soldat. Blessé mortcllenaedt le 30 octobre 1914, à Zonnebecke (Belgique}* Croix de guerre avec étoile de bronze.

THILLET (Alphonse-Julien), mie 0404, soldat, brave soldat. Tué à son poste, le 24 janvier 1915, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.


BOURSIER (Henri-Charles), mie 06384, soldat: brave soldat. Tué à son poste, le 13 janvier 1915, à Frezemberg (Belgique. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LAFOND (Adrien-Auguste), mie 4701, caporal ; brave caporal, énergique et dévoué. Tué à son poste, le 25 janvier 1915, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

RIFFAULT (Octave-llenri), mie 4223, soldat : brave soldat. Blessé mortellement à son poste, en novembre 1911, à Zillebecke (Belgique).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

ADENIS (Eugène-Jules), mie 5769, soldat : brave soldat. Blessé mortellement à son poste de combat à Zonnebecke (Belgique), en décembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

RENAUD (Emile), mie 06281, trmbour : brave soldat. Tué à son poste de combat au cours de la bataille de l'Yser en novembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CHENAUD (Léonard), mie 7253 soldat : brave soldat. Tué à son poste de combat, le 13 janvier 1915, à Frezemberg (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

DAMAUD (Jean), mie 014220, soldat : brave soldat. Tué à son poste do combat, le 26 janvier 1915, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

RAYMONDEAU (Louis), mie 015220, sergent : sous-officier brave et dévoué. Tué à son poste de combat, le 16 janvier 1915, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOBE (Pierre), mie 05328, soldat : brave soldat blessé mortellement à son poste, le 25 août 1914, à Houdremont (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronce.

CIRE (Maurice-Marie-Joseph), mie 5677, soldat: brave soldat tué à son poste de combat, le 25 janvier 1915, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze..

LEBEAU (Gaston-Auguste), mie 06843, soldat : brave soldat tué à son poste de combat, le 13 janvier 1915, à Zonnebecke (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

COYNAULT (Eugène), mie 2861, adjudant: sous-officier dévoué. Blessé mortellement, en novembre 1914, près de Saint-Julien (Belgique).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

PATIIÊ (Daniel-Armand), mie 4175, soldat : brave soldat. Blessé grièvement, le 30 août 1914, à Berlhocourt. Est mort des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

117e rég. d'infanterie.

RENAUDAT (Pierre), mie 3747, sergent : brave sous-officier. Tué à son poste de combat, le 22 août 1914, à Virton. A été cité.

DANIEL (Alphonse-Joseph-Marie), mie 5193, soldat : brave soldat. Grièvement blessé à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 1er septembre 1914. A été cité.

GRINAUD (Jean-Baptiste), mie 02438, soldat : brave soldat. Tué à son poste de combat, le 16 septembre 1914, à Caisnes. A été cité.

GUERIN (François-Jean-Marie), mie 5484, soldat : brave soldat. Grièvement blessé à son poste. Mort des suites de ses blessures, le 15 octobre 1914. A été cité.

POUPART (Louis-Alphonse), mie 014433, soldat : brave soldat. Mortellement blessé, le 3 novembre 1914, à Montdidier. A été cité.

MIEVILLE (Georges), mie 5482, soldat : brave soldat. Tué à son poste de combat, le 8 oci tobre 1914, àErches. A été éité, TROTTE (Julien-Louis), mie 016040, soldat : bon soldat, Grièvement blessé à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 17 septembre 1914, A été cité.

FONTAINE (François-Louis), mie 03550, soldat: brave soldat. Grièvement blessé à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 1er septembre 1914. A été cité.

BOURILLON (Henri-Edgard), mie 04691, caporal : brave caporal. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort des suites de ses bles[sures. le 1er septembre 1914. A été cité,

BLANCHARD (Ferdinand-Jean-Marie-Victor), mie Ü4868, soldat: brave soldat, grièvement blessé à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 3 octobre 1914, à*Montdidier. A été cité.

REIMOND (Henri-Eugène), mie 5522, soldat : brave soldat. Grièvement blessé, à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 28 septembre 1914. A été cité.

SERGENT (Alfred-Pierre-Eugène), mie 03262, caporal : brave caporal. Tué à son poste de combat, le 29 octobre 1914, au Quesnoy-en-Santerre. A été cité.

BURON (Marcel-Robert), mie 4296, caporal : brave gradé. Grièvement blessé à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 16 septembre 1914, à Caisnes. A été cité.

BRUNEAU (Martin-Joseph-Auguste), mie 3732, soldat : brave soldat. Tué à son poste de combat, le 24 septembre 1914, à Liancourt. A été cité.

PICIIERIE (Camille-Joseph-Jean). mie 5198, solpat brave soldat. Tué à son poste de combat, le 25 septembre 1914, à Liancourt. A été cité.

TARON (Joseph-Auguste-Léopold), mie 014643, soldat : brave soldat. Tombé à son poste de combat à Caisnes, le 17 septembre 1914. A été cité.

SIVE (Joseph-Auguste), mie 03985, soldat : brave soldat. Grièvement blessé à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 17 septembre 1914. A été cité.

VALLÉE (Camille-Auguste-Clément), mie 011234, soldat : brave soldat. Grièvement blessé à son poste de combat, est mort des suites de ses blessures, le 19 septembre 1914. A été cité.

OGER (Jean-Julien), mie 5169, soldat : brave soldat. Grièvement blessé à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 30 août 1914. A été cité.

BONNEAU (Léon-Joseph), mie 12, adjudantchef : excellent sous-ofticier. Tué à la tête de sa section qu'il entraînait à l'assaut au combat de Virton, le 22 août 1914. A été cité.

119e rég. d'infanterie.

DELDREVE (Alfred-Hi] aire), mie 013829, soldat : bon soldat. Mort des suites de ses blessures reçues glorieusement à son poste de combat, le 5 août 1917. A été cité.

HUET (Louis), mie 05415, soldat : bon soldat.

Tué à son poste de combat du Chemin-des-Dames, le 6 juin 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LECOQ (Henri-Eugène), mie 04718, caporal : bon caporal, tué à son poste de combat à Cauroy (Marne), le 17 septembre 1914. Croix de roy (Marne ) , étoile de bronze.

guerre avec étoile de bronze.

LEGRAS (Jules-Robert), mie 5271, soldat : bon soldat, tué à son poste de combat au fort de Vaux, le 18 avril 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LENEVEU (Rosiphe-Arthur), mie 5724, soldat : bon soldat, tué à son poste de combat, aux tranchées de la Folie (Artois), le 25 septembre 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JACQUET (Léon-Emile), mie 14647, soldat : bon soldat, tué à son poste de combat au Chemin-des-Dames, le 30 juillet 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

HUSSARD (Emile-Edouard), mie 7977, soldat : bon soldat. Tué à son poste de combat, au chemin-des-Dames, le 4 juin 1917. Croix do guerre avec étoile de bronze.

JUE (Alfred-Alphonse), mie 7387, soldat : bon soldat, tué à son poste de combat de NeuvilleSaint-Vaast, le 30 octobre 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEROUX (Onésime-Pierre), mie 04933, soldat : bon soldat, tué à son poste de combat à Cauroy (Marne), le 17 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

HÉBERT (Placide-Albert), mie 06080, sergent : bon sous-officier tué à son poste de combat à Charleroi, le 22 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LÉOPOLD (Alphonse), mie 014944, sergent : bon sous-officier tué à son poste de combat

aux tranchées de la Folie, le 25 septembre 1915 Croix de guerre avec étoile de bronze.

IIEON (Philibert), mie 1053), soldat : bon sol dat, tué à son poste de combat à NeuvilleSamt-Vaast. le 26 octobre 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LECOMTE (Louis-Gaston), mIe 016380. soldat bon soldat, tué à son poste de combat à la ferme du Luxembourg, le 26 septembre 1914 Croix de guerre avec étoile de bronze.

JOUEN (Léon-Paul), mie B 13025, soldat : bon soldat. Tué à son poste de combat au buis des Chevaliers (Meuse), le 9 novembre 19if. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JOITÂNNE (André-Victor-Aug!is!e), ni le 03437, soldat: bon soldat. Tué à son poste de combat à Thy-le-Château (Belgique), le 2fl aoûl 1fJ1), Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEROY (Georges), mie 6634, caporal : bon caporal. Tué à son poste de combat au fart de Vaux, le 1er mai 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

HOSTIER (Paul-Mathieu), mie 8C04 soldat : bon soldat. Tué à son poste de combat au forl de Vaux, le 17 avril 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

HEBERT (Armand-François), mie 011529, caporal: bon caporal. Tué à son poste de combat à Neuville-Saint-Vaast, le 30 octobre 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

IIOULLE (Auguste), mie 013777, soldat : bon soldat. Tué à son poste de combat à Gaull-laForêt, le 5 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

HUE (Louis-Albert), mie 015285 soldat : boa soldat. Tué à son poste de combat. àAix-Noulette-Souchez, le 23 juin 1915. Croix de guerre avec étoile de. bronze.

JOUETTE (Emile-Alphonse), mie B 010813.

soldat: bon soldat. Tué à son poste de combat, au Chemin-des-Dames, le 8 juin 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JAMES (Henri-Camille-Auguste), mie 945o, soldat : bon soldat. Tué à son posle de combat, à Neuville-Saint-Vaast, le 23 octobre 1915. Croix: de guerre avec étoile de bronze.

FÉRON (Bazile-Aimé-Victor), mie 1707, soldat : bon soldat. Tué à son poste de combat du bois de la Folie, le 25 septembre 1915. Croix do guerre avec étoile de bronze.

r DELARUE (Alexis-Raphaël), mie 014317, sergent : bon sous-officier. Tué à son poste de combat de Neuville-Saint-Vaast, le 25 septembre 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JOFFARD (Jean-Marie-Marcel), mie 17574, soldat : bon soldat. Tué à son poste de combat, à Ailles (Chemin-des-Dames). le 1er juillet 1917.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

JAYET (René-Maurice), mie 5720, soldat : bon soldat. Tué à son poste de combat, à Charleroi (Belgique), le 22 août 1911. Croix de guerre avec étoile de bronze. t:) IBAL (Paul-Jean), mie B 018167, soldat : bon soldat. Tué à son poste de combat, au fort de Vaux, le 17 avril 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GOIIIER (Albert-Louis-Emile), mie 5140, soldat : bon soldat. Mort des suites de ses bles, sures, glorieusement reçues à son poste do combat, à Charleroi, le 23 août 1911. Croix do guerre avec étoile de bronze.

CRESTEY (Charles-Ernest-Fernand), mIeG3C0, soldat : bon soldat. Tué glorieusement à son poste de combat d'Aix-Noulette, le 26 juin 1915.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

GARNIER (Ilenri-Joseph), mie 03770, soldat a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Mort glorieusement pour la France, le 21 novembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ESPINASSE (Edouard-Emile), mlo B 15374, soldat : bon soldat. Mort pour la France, le 23 octobre 1915, des suites de blessures reçues à son poste de combat de Ncuville-Saint-Yaast, Croix de guerre avec étoile de bronze.

FAVRE (Jean-Alphonse), mie 11548, caporal : bon caporal. Mort pour la France, le 17 octobre 1916, des suites de blessures reçues à son poste


de combat. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEROY (Paul-Julien), mie 5328, soldat ; bon soldat. Tué glorieusement à son poste de combat de Origny-Saint-Benoit, le 29 août 1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

JAME (Léon-Louis-Slanislas), mie 5038, soldat : bon soldat. Tué à son poste de combat aux tranchées de r\euville-Saint-Vaast, le 18 février 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JONQTJAIS (Firmin-Louis), mie 17843, soldat : bon soldat. Tué glorieusement à son poste de combat de Sissonne, le 27 octobre 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze. *

HUSSER (Michel), mie 8G72, soldat : bon soldat, courageux et dévoué. Tué à son poste de combat d'Aix-Noulette, le 20 juin 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEMIRE (Henri-Paul), mie 011061, soldat : bon soldat. Tué glorieusement à son poste de com]nt devant Douaumont, le 4 juin 191G.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEMEUMER (Léon), mie B 03121, soldat : bon soldat tué à son poste de combat aux tranchées de Neuville-Saint-Vaast, le 25 septembre 1915. Croix dé guerre avec étoile de bronze.

LEMOINE (Louis-Albert-Désiré), mie 3534 soldat : bon soldat. Tué à son poste de combat à Charieroi, le 22 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEGROS (Louis-Emile), mie 03993, soldat : bon soldat. Tué à son poste de combat aux tranchées de Neuville-Saint-Waast, le 25 septembre 1915 (Artois). Croixde guerre avec étoile de bronze.

LEROUX (Paul-Auguste-Désiré), mie 6446, soldat : bon soldat. Tué glorieusement 4 son poste de combat d'Aix-Noulette, le 21 juin 1915.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

LECOMPTE (Marcel-Eugène), mie 13151, soldat : bon soldat, courageux et dévoué. Tué à son poste de combat de Bezonveaux, le 20 décembre 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

COUDREY (Maurice-Robert-Marcel), mie B 01765, caporal : brave caporal, d'un dévouement absolu, donnant à ses hommes le plus bel exemple en toutes circonstances. Mort glorieusement pour la France, le 24 décembre 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JOUEN (Florentin-Auguste), mie 07161, soldat : bon soldat. Tué glorieusement à son poste de combat au Chemin-des-Dames, le 6 juin 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JAY (Lucien-Eugène), mie 016453, sergent : bon gradé. Tué glorieusement à son poste de combat à Aix-Noulette, le 21 juin 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LETELLIER (AUred-Aimé.-Hippolyte), mie 5309, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat, donnant, en toutes circonstances, la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France. Croix de guerre avec étoile de bronze.

124e rég. d'infanterie.

HALBERT (Joseph-Marie), mie 03872, soldat : brave soldat qui, au cours de la bataille de la Jlarne, en septembre 1914, a fait preuve de courage et d'endurance. Grièvement blessé,est mort de ses blessures. A été cité, IIERVY (Lucien-Raymond), mie 1567, sergent : a été grièvement blessé, le 29 août 1914, par un éclat d'obus qui lui a complètement coupé la jambe. Est mort quelques jours après des suites de sa blessure. Sous-officier d une bravoure exemplaire. A été cité.

TROUSSIER (Robert-Louis-Jules), mie R 1642, caporal pilote : gradé d'élite possédant la confiance entière de ses chefs. S'est affirmé comme un brave dans tous les combats auxquels il a pris part. A trouvé une mort glorieuse, le 0 novembre 1918, au retour d'un vol audacieux, (bombardement de jour). Croix de guerre avec palme. NORMAND (Emile-Eugène), mie 010910, soldat : excellent soldat déjà cité au corps d'armée pour sa bravoure et son dévouement au cours d'une reconnaissance périlleuse. Mort

glorieusement pour la France, le 24 décembre 1917. Croix de guerre avec palme.

DELETANG (Albert-Joseph), mie 012089, sergent : sous-oflicier d'une bravoure superbe et d'un entrain remarquable. A été mortellement blessé, le 3 octobre 1914; à Guerbigny (Somme), en entraînant sa section à l'attaque de la position ennemie. Croix de guerre avec étoile d'argent.

AULARD (Fernand), mie 06570, soldat: très brave soldat. A été mortellement blessé, le 22 août 1914, à Virton, en s'élançant à l'assaut des positions ennemies avec le plus grand mépris du danger. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BELLANGER (René-Valentin-Arsène), mie 011009, soldat: très brave soldat, le 4 novembre 1914, au combat d'Andechy, a été mortellement blessé en s'élançant à l'assaut des tranchées ennemies avec le plus grand mépris du danger.

Croix de guerre avec étoile d'argent.

CIIARBONNEAU (Alfred), mie 011474, soldat : très bon soldat. Le 15 septembre 1914, à Moulin sous-Touvent, est tombé glorieusement en s'élançant à l'assaut des positions ennemies avec le plus grand mépris du danger. Croix de guerre avec étoile d'argent.

GUILLEMEAU (Julien-Joseph), mie 01256, soldat : très brave soldat. Est mort glorieusement, le 4 novembre 1914, à Andechy, en s'élançant à l'assaut de la position ennemie avec le plus grand mépris du danger. Croix de guerre avec étoile d'argent.

I1ELESBEUX (René-Jean-Marie), mie 3263, soldat : soldat courageux. Malgré un feu violent de mitrailleuses, s'est élancé vaillamment, le 4 novembre 1914, à Andechy, à l'assaut des positions ennemies. Blessé grièvement, au cours de l'action, est mort le lendemain, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile d'argent.

GOARD (Henri-Elie), mie 3979. soldat : soldat très brave au feu. A trouvé une mort glorieuse, le 22 août 1S14, à Virton (Belgique), au moment où il s'élançait à l'attaque de la position ennemie. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BLIN (Eugène), mie 3569, soldat : très brave soldat. Eu août 1914, au combat de Virton, est mort glorieusement en s'élançant à l'assaut des positions ennemies avec le plus complet mépris du danger. Croix de guerre avec étoile d'argenl.

DAVID (Emile-Henri), mie 018816, soldat : très brave soldat. Le 4 novembre 1914, au combat d'Andechy, a été mortellement blessé en s'élançant à l'assaut des positions ennemies avec le plus grand mépris du danger.

Croix de guerre avec étoile d'argent.

ROUX (Gaston), mie 11509, soldat : très brave soldat qui, le 4 novembre 1914, à Andechy, s'est magnifiquement élancé à l'assaut. Gravement blessé, est mort pour la France, le 19 novembre 1914, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BECHE (Anatole-Léon), mie 012990, soldat : très brave soldat qui a été grièvement blessé en s'élançant à l'attaque des positions ennemies. Est mort, le 19 septembre 1914, à Liège, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile d'argent.

CIIAUSSOIX (Georges-Edouard), mie 15483, soldat : jeune soldat d'un entrain et d'une bravoure remarquables. A été tué à son poste de combat au Mont-Blond, le 24 décembre 1917.

Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

THOMAS (Isidore-Augustin), mie 06093, sergent : très bon sous-officier. Mort au champ dhonneur en entraînant sa demi-section à 1 assaut des positions ennemies au combat de v irton en août 1914. Croix de guerre avec étoile d'argent.

TRESALLET (Roger), mie 4222, sergent : sousofficier d une bravoure superbe. Le 4 noyernbre 1914, a fait preuve de brillantes qualités militaires en conduisant ses hommes à l'attaque du village d'Andechy (Somme), sous des rafales de balles et d'obus. Grièvement atteint au cours de l'action, a succombé de sa blessure. Croix de guerte avec étoile d'argent.

DOISNEAU (René-Joseph), mie 4891, sergent : très brave sergent. Le 15 septembre 1914, a été

grièvement blessé en s'élançant à la tête de sa demi-section à l'assaut du village de Nanpcel.

Est mort des suites de ses blessures. Croix de-' , guerre avec étoile d'argent.

DRONEL (René-Auguste), mie 4162, sergent major : excellent gradé. Parti en campagne la 5 août 1914, avec la 1re compagnie, a toujoursf fait preuve des plus belles qualités militaire.

et du plus grand courage aux combats de Virton et de Mont-devant-Sassey (août 1914). A été tué à Moulin-sous-Touvent, le 15 septembre 1914, à la tète de sa section qu'il entraînait à l'assaut des lignes allemandes. Croix de guerre avec étoile d'argent.

KIENTZ (Alexis-Robert), mie 3890, caporal : â,¡ trouvé une mort glorieuse, le 4 novembre 1914, en s'élançant à l'assaut du village d'Andechy.

Croix de guerre avec étoile d'argent.

MOULIÉRE (Auguste-Victor-Jean), mie 4541, sergent : sous-officier d'une grande bravoure.

A été grièvement blessé, le 15 septembre 1914 en s'élançant à la tête de sa demi-section à l'assaut des positions de Nanpcel. Est mort des, suites de ses blessures. Croix de guerre a.veoi étoile d'argent.

LEPOITTEVIN (Paul-Auguste), mie 4569, caporal : caporal d'une grande bravoure. A trouvé une mort glorieuse, le 22 août 1914, à Virton (Belgique), en s'élançant à l'assaut des positions enemies. Croix de guerre avec étoile d'argent.

GROU (Alexandre-Auguste), mie 6993, soldat : soldat courageux et brave qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au combat de Virton, le 22 août 1914. A trouvé une mort glorieuse, le 24 septembre 1914, au combat da Moulin-sous-Touvent (Aisne). Croix de guerra avec étoile de bronze.

129e rég. d'infanterie.

TANNEUR (Albert), mie 08121, soldat : vaillant soldat. Tombé au champ d'honneur, le 10 avril 1916, à Douaumont. A été cité.

DESCHAMPS (Désiré-Léon), mie 03024, soldat: vaillant soldat. Tombé au champ d'honneur, le 4 avril 1916, à Douaumont. A été cité.

CHAUVIN (Edmond-Charles), mie 017412, soldat : vaillant soldat. Tombé au champ d'honneur, le 7 septembre 1914, à Courgivaux. A été cité.

GARNIER (Albert-Victor-Léon), mie 08687, soldat : vaillant soldat. Tombé -au champ d'honneur, le 22 août 1914, à la bataille du Châtelet.

A été cité.

DEVAUX (Charlemagne-Edouard-Henri), mle.

14121, soldat: vaillant soldat, Tombé au champ d'honneur, le 22 janvier 1917, aux Eparges. A été cité.

DELAUNE (Joseph-'Théodore-Marius), mie 04753, soldat: vaillant soldat. Mort pour la France, le 28 septembre 1914, à Saint-Thierry.

A été cité.

COCHETON (Albert-Alexandre), mie 12978, soldat : vaillant soldat. Tombé au champ d'honneur, le 25 octobre 1916, aux Eparges. A été cité.

DUBOIS (Alexandre-Gaston), mie 18544, soldat : vaillant soldat. Mort pour la France, le 29 janvier 1917. A été cité.

PAICIIEUR (Jules-Hermand), mie 09295, soldat : vaillant soldat. Tombé au champ d'honneur, le 21 août 1917, à Verdun. A été cité.

MARTIN (Louis-Jules), mie 03659, soldat : vaillant soldat. Tombé au champ d'honneur, la 5 janvier 1916, à Frise. A été cité, METAYER (Georges-André), mie 06885: vaillant soldat. Tombé au champ d'honneur, la 30 septembre 1915, à Neuville-Saint-Vaast. A t été cité.

HAUCHECORNE (Marcel), mie 05398, soldat: vaillant soldat. Tombé au champ d'honneur, le 25 septembre 1915 à Veuville-Saint-Vaast.

A été cité.

DELAUNAY (Adrien-René), mie 08630, soldat: vaillant soldat. Tombé au champ d'honneur, le 22 août 1914, à la bataille du Châtelet. A été cité.

CHEVALIER (Jean-André-Jules), mie 12644B, soldat : vaillant soldat. Mort pour France, la 4 novembre 1916. Â cité.


BEURIOT (Marcel-André), mie 04252, soldat: vaillant soldat. Tombé au champ d'honneur, le 22 août 1914, à la bataille du Châtetel. A été cité.

-COISY (Gaston-Adolphe), mie 7879 soldat : vaillant soldat. Tombé au champ d'honneur le 22 août 1914, à la bataille du Châtelet. A été cité.

BUTRILLES (Léon-Jeseph), mie 9747 bit, soldat : vaillant soldat. Mort pour la France, le 2 juin 1916, après avoir fait vaillamment son devoir. A été cité.

DENOUEL (François), mie 11759, soldat: vaillant soldat, mort pour la France, le 5 octobre 1916. après avoir donné la preuve de - son courage et de son dévouement. A été cité.

DALIBERT (Fernand-Louis-François), mie 09154, soldat : vaillant soldat. Mort pour la France, le 16 janvier 1916, après avoir coura- geusement fait son tout devoir. A été cité.

SALSAS (Albert-Joseph-Bonaventure), mie 4619, soldat : vaillant soldat. Tombé au champ d'honneur, le 22 août 19111 à la bataille du Châtelet. A été cité.

TOUTAIN (Victor), mie 014075, soldat: vaillant soldat. Tombé au champ d'honneur, le 27 sep-, tembre 1915, à Neuville-Saint-Vaast. A été cité.

DORANGE (Fernand-Emile), mie 04074, sergent: vaillant sous-officier. Tombé au champ d'honneur, le 22 août 1914, à la bataille du Châtelet. A été cité.

LEGRAND (Gaston Edmond), mie 011976, sergent : brave sergent, d'un dévouement absolu, donnant à ses hommes le plus bel exemple en toutes circonstances. Tombé glorieusement pour la France, en septembre 1915, aux attaques de l'Artois. A été cité.

FOUILLAT (Jules), mie 12996 bis, soldat: a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement.

Tombé glorieusement pour la France, le 25 septembre 1916. A été cité.

BERTIN (Emile-Ilippolyte), mie 12968 bis, soldat : a toujours été un vaillant soldat faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 5 juillet 1916. A été cité.

BURETTE (Ernest-Henri), mie 06408, soldat : a toujours été un vaillant soldat faisant constamment preuve de courage et de dévouement.

# Tombé glorieusement pour la France, le 22 mai 1916, à l'attaque du fort de Douaumont. A été eité.

FAUCI1ERAND (Albert-François), mie 12755, soldat : a toujours été un vaillant soldat faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 28 janvier 1917. A été cité.

LECOEUR (Emile-Maurice-Auguste), mie 5920.

caporal : brave caporal, donnant toujours à ses hommes le plus bel exemple de courage.

Tombé glorieusement pour la France, le 12 juillet 1917, devant Verdun. A été cité.

MICIION (Armand-Léonard), mie 011958, ser gent : vaillant sous-officier. Tombé au champ lis. d'honneur, le 25 septembre 1915, à NeuvilleSaint-Vaast. A été cité.

COIGNET (Eugène-Marcel), mie 6364, soldat vaillant soldat. Mort pour la France, le 30 mai 1916, des suites de blessures glorieusement reçues à l'ennemi. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GIRAUDIE (Pierre), mie 3775, sergent-major : vaillant sous-officier. Tombé au champ d'honneur, le 14 septembre 1914, à Berry-au-Bac.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

1i4Oe rég. d'infanterie.

GOUJON (Pierre-Marie), mie 011787, soldat : Soldat d'élite d'une bravoure réputée, toujours au premier rang dans les moments difficiles.

Après avoir donné pendant de longs mois la valeur de son héroisme, est glorieusement tombé pour la France, le 17 août 1916. Trois blessures. Croix de guerre avec palme.

BERNARD-GUELLE (Félix-Paul), mie 010692, caporal : excellent gradé d'un courage exemplaire. A été tué, le 25 sesptembre 1915, en entraînant son escouade à l'attaque des posi-

tions ennemies. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

GONIN (Louis-Clément), mie 02649 B, soldat : bon soldat, tué glorieusement, le 7 novembre 1916, à son poste de combat. Une blessure antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

SALVATORE (Antoine), mie 09088, soldat : excellent soldat, s'est porté résolument à'l'assaut le 16 décembre 1914. A été tué dans la tranchée conquise. Croix de guerre avec étoile d'argent.

DOMPMARTIN (Pierre-Marie), mie 010365, soldat : Très bon soldat. Belle conduite au feu.

Tué en se portant résolument à l'attaque, le 6 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile d'argent.

MASSOT (Élie-Jean-Baptiste), mie 010705, clairon : excellent soldat. Tué le 25 septembre 1915, en se portant courageusement à l'attaque des positions ennemies. Croix de guerre avec étoile d'argent.

MOREL (Charles), mie 0i555, soldat: très bon soldat. Tue le 18 août 1915, en se portant à l'attaque des positions ennemies, avec un entrain et un élan magnifiques. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BRANCHET (Joanny), mie 08965, sergent : sousofficier modèle de bravoure et de dévouement.

Tué, le 25 décembre 1914, en se portant en tête de sa section à l'attaque de la position ennemie.

Croix de guerre avec étoile d'argent.

CAILLAT (Truitaz-Louis-Pierre), mie 01317, soldat : bon soldat. Belle conduite au feu. Tué glorieusement, le 18 août 1916, en se portant à l'attaque avec un élan magnifique. Croix de guerre avec étoile d'argent.

LANOVAZ (Gustave-Aristide), mie 05025, soldat : soldat d'une grande bravoure. Tué à son poste de combat, le 23 décembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PIANA (François-Joseph), mie 010183 bis, caporal : très bon gradé. Belle attitude au feu.

Tué, le 22 mai 1917, à son poste de combat.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

COLAS (Gilbert), mie 13504, soldat : très bon soldat. Belle conduite au feu. Tué le 18 août 1916, à son poste de combat. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PATARY (Alexandre), mie 07672, soldat : bon soldat. Belle attitude au feu. Tué le 22 mai 1917, à son poste de combat. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CHAMOUX (Louis-Joseph-Jacques), mie 010043, caporal : gradé très courageux. Frappé mortellement en portant secours, le 26 août 1914, à son chef de section qui venait d'être grièvement blessé. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MARTIN (Alexis-Martial-Félix), mie 04202, soldat : bon soldat, belle conduite au feu.

Tué le 19 mars 1916, à son poste de combat.

Croix de guerre avec étoile de bronze, GALIFET (Joseph-Désiré), mie 03295, soldat : très bon soldat. Blessé mortellement, le 18 août 1916, dans l'accomplissement de son devoir.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

CHABERT (Pierre-Marius). mie 012644, soldat : excellent soldat. Mortellement blessé à son poste de combat, en septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MURAILLAT (Joseph-François), mie 02363, soldat : bon et brave soldat. Tué, le 16 août 1916, à son poste de combat. Croix de guerre avec étoile de bronze.

SOUGEY-LARDIN (Joseph), mie 03508, soldat excellent soldat, belle conduite au feu. Tué le 26 mai 1916, à son poste de combat. Croix de guerre avec étoile de bronze.

EYSSERIC (Antoine-François), mie 013484, sergent : excellent gradé. Belle conduite au feu. Tué, le 8 septembre 1915, à son poste de combat. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CROZIER (Julien-Joseph-Marie), mie 050030, caporal: excellent gradé, modèle de bravoure et d'énergie. Mortellement frappé, le 24 décembre 1914, en repoussant une attaque ennemie.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BRUN (Ilenri-Marius), mie 010623, sergent : gradé très courageux. Mortellement frappé, le

24 décembre 1914, à son poste de combat. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ÇHAVE (Jean-Marie-Henri), mie 01947, soldat: a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne. Tombé glorieusement pour la France, le 24 décembre 1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BELLIER (Martin-Joseph), mie 07273, soldat soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 25 décembre 1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

NORRE (Joseph), mie 012351 B, soldat : soldat énergique et courageux. Tué le 18 mars 1916, à son poste de combat. Croix de guerre avec

étoile de bronze.

ARNAUD (Jean), mie 050699, soldat : bon soldat Tué le 15 mars 1916, à son poste de combat. Croix dé guerre avec étoile de bronze.

VALLANTIN (Joseph-Jean-Marius), mie 01123, soldat: bon soldat. Tué à son poste de combat, le 10 février 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

PACCARD (Joseph-Marie), mie 03398, soldat : bon soldat. Tué, le 28 mai 1917, à son poste de combat. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOURDIS (Edouard-Marie-Joseph), mie 03123, soldat : excellent soldat, mortellement blessé, le 25 septembre 1915, dans l'accomplissement de son devoir. Croix de guerre avec étoile do bronze.

DURGET (Jean), mie 07580, soldat : très bon soldat. Mort pour la France à son poste do combat, le 17 mars 1916. Croix de guerre avec étoile do bronze.

139e rég. d'infanterie.

CAULE (Ilenri-Firmin), mie 6197, soldat : très bon soldat, d'un courage tranquille, toujours prêt pour les missions périlleuses. Grièvement blessé, le 3 avril 1917. Mort pour la France. A été cité.

CIIALLOND (Daniel-Pierre-Joseph), mie 4368, sergent: excellent sous-ofilcier ayant fait toute la campagne, a toujours eu une brillante attitude au feu. Le 4 septembre 1916, a vaillamment conduit sa section à l'assaut des tranchées ennemies. Mortellement frappé au cours de la progression. A été cité.

CRANTELLE (Pierre-Léon), mie 09323, soldat : agent de liaison très dévoué, brillante conduite au feu. Blessé au cours de l'attaque du 4 septembre 1916, a continué à se porter en avant et a été blessé mortellement. A été cité.

CHEVALIER (Louis-Jean), mie 011053, soldat : soldat remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort pour la France des suites de ses blessures, le 14 novembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CHAMBLAS (André), mie 35i2, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 7 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CAUMEL (Biaise), mie 07882, soldat : soldat remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 22 janvier 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BEZAIRIE (Henri), mie 5695, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 19 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze CAYSSIALS (Abel-Baptiste), mie 6203, caporal: caporal brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 12 mars 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CHAVAGNEUX (Joseph), mie 7049, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 23 septembre 1915.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BONHOURE (Alexandre), mie 04731, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 16 novembre 1914.

Croix de guerre avec étoile do bronze.


BOUSQUIÉ (Albert-Alphonse), mie 09568, soldat ; soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 14 novembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CIIAUVET (Antoine-Firmin), mie 06899, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 23 août 1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

CHOMETTE (Georges-Marius-Gilbert), caporal: caporal brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 3 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOUSQUET (Georges-Louis-Auguste), mie 5692, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités.

Mort glorieusement pour la France, le 18 août 4914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CLERMONTEL (Pierre-Jules), mie 3630, caporal : caporal brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 18 août 1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

CELLIER (Jules-Baptiste-Hippolyte), mie 4927, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 17 août 1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

CHAMBON (Louis), mie 06408, soldat : soldat remarquable par son courage et son dévouement. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort des suites de ses blessures, le 17 novembre 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.

AOUT (Jacques), mie 09428, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 19 novembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CARRIOL (Urbain-Adrien), mie 018283, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Morl glorieusement pour la France, le 19 septembre 1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

CHABANE (Jean), mie 3553 soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 30 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CIIAUVEL (Vilal), mie 09723, soldat : soldat brave et dévoué ayant, toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 24 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CHARBONNEL (Jean-Louis), mie 01930, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 16 septembre 1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

CAVALIE (Anael). mie 4433, soldat : soldat brave et dévoué, ayanttoujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la trance, le 16septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BRETON Jean-Jules), mie 6104, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 11 novembre 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BRANCHE (Antoine), aïe 012911, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 1er octobre 1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

CARANOVE (Nicolas), mie 09778, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 20 août 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CIIASSANG (Alexis-Joseph), mie 06869, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 16 février 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CANNES (Adrien-Henri), mie 06757, soldat : soldat brave et dévoué, ayant toujours fait preuve des plus belles qualités. Mort glorieusement pour la France, le 5 janvier 1916. Croix de guerre avec éteU. de brigue.

144* rég. d'infanterie.

DESBIEYS (Jean), mie 4358, soldat : soldat d'élite, modèle de bravoure au feu, d'un dévouement absolu. A été tué dans la tranchée entre Troyon et Venderesse, le 28 mars 1915. A été cité.

LESUEUR (Maurice-Ernest), mie 6983, soldat : soldat modèle, courageux, d'un dévouement absolu. Blessé mortellement, le 14 mai 1915, à Venderesse, à son poste de guetteur. A été cité.

LEBAS (François), mie 02475, soldat : bon soldat. Blessé dans les tranchées de première ligne, le 24 juillet 1915, à Venderesse. Mort des suites de ses blessures. A été cité.

BARRIMBORDES (Joseph), mie 04496, soldat : bon soldat. A été blessé grièvement, le 8 mai 1916, au fort de Vaux. Mort des suites de ses blessures. A été cité.

BOSCQ (Pierre), mie 06513, soldat : bon soldat. Grièvement blessé en avant de Venderesse, le 19 avril 1915. Ees mort des suites de ses blessures. A été cité.

CARNET (François-Victor-Paul), mie 6876, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Mort glorieusement pour la France, le 23 octobre 1916. A été cité.

SEYROL (Pierre), mie 9023, soldat : jeune soldat de la classe 1915, plein d'ardeur et de bravoure au combat. Mort glorieusement pour la France, le 28 octobre 1916. A été cité.

LEPAIN (Paul-Joseph), mie 7030, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement.

Mort pour la France, le 13 septembre 1916. A été cité.

LABORDE (Pierre), mie 05336, soldat : très bon soldat, courageux et d'un dévouement bon soldaét, té tué à son poste de combat de la absolu. A été tué à son pOllte de combat de la Harazée, le 3 août 1916. A été cité.

BANNES (Louis), mie 6958, soldat : très bon soldat. A été tué, à son poste de combat, en première ligne, le 19 mars 1915, à Vendresse (Aisne).

ETIENNE (Maurice), mie 01584, sergent : brave sous-officier. Tombé glorieusement, en tête de sa section, le 15 septembre 1914. A été cité.

CIIAUVET (Henri-Jean), mie 2791, adjudant : excellent adjudant. Est tombé glorieusement, en tête de sa section, le 13 août 1914, à Lobles (Belgique). A été cité.

HAN-GUILHEM (Jean-Baptiste-Léon),mle 4779, caporal ; très bon gradé. Le 17 septembre 1914, quoique grièvement blessé, se trainait jusqu'au commandant de sa compagnie pour lui porter un ordre du chef de bataillon. Mort des suites de ses blessures. A été cité.

MARCADE (Jean), mie 16953, soldat : bon soldat. A été tue glorieusement, le 25 juin 1916, dans les tranchées de la Harazée (Argonne).

Une blessure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

GUILLOT (Jean), mie 06479, soldat : bon soldat, courageux et dévoué. Tué au fort de Vaux, le 7 mai 1916, au cours d'un bombardement.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

LABOUDIGUE (Jean), mie 6659, soldat : bon soldat. A été tué glorieusement dans les tranchées en avant de Vendresse, le 14 janvier 1915.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

GASSON Victor), mie 3944, soldat : bon soldat, tué le 6 mai 1916. au fort de Vaux, après avoir fait vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

NETMOND (Joseph), mie 02055, soldat : bon soldat, tué glorieusement le 7 mai 1916, au fort de Vaux. Croix de guerre avec étoile de de bronze.

DELAIS (Barthélémy), mie 0654, soldat : bon soldat, courageux et dévoué, a été tué glorieusement dans la tranchée de Vandresse, le 8 novembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CLOT (Léon), mie 2942, soldat : bon soldat, dévoué et courageux, tué glorieusement dans les tranchées de Verneuil (Aisne), le 26 décemcembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROBIN (Gustave-Alexandre-Jean), mie 023389 bis, soldat : bon soldat. A été blessé grièvement, le 5 mai 1917, au combat du plateau de Vanclerc devant Craonnelle. Mort pour la France des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOUSQUET (Armand-Germain), mie 2934, soldat: boa soldat tué glorieusement dans les tranchées de Vendresse, le 26 décembre 1914, en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

NOGARO (Pierre), mie 024153, soldat: bon soldat, tué glorieusement dans les tranchées de Vendresse, le 15 avril 1915, en accomplissant bravement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DEL TElLII (Joseph-Marius), mie 5588, soldat : bon soldat courageux et dévoué. A été tué glorieusement, le 10 novembre 1914, à la tranchée de Vendresse. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DRAUSIN (Alphonse-Guillaume), mie 03751, soldat : bon soldat, tué bravement dans la tranchée de Vendresse, le 30 novembre 1914, en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BARON (Edgard), mie 4888, soldat : bon soldat ayant eu une belle attitude au feu, a été blessé grièvement, le 21 novembre 1914, dans les tranchées de Vendresse (Aisne). Mort pour la France des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

SOUMIREU (Paul), mie 05242, soldat : boa soldat courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 13 septembre 1914, à la Ville-aux-Bois (Aisne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROLLAND (Joseph), mie 019765, soldat : bon soldat, courageux et dévoué. A été blessé mortellement, le 12 octobre 1914, au combat de Craonnelle en faisant bravement son devoir.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

VACHE (Guillaume), mie 5386, soldat : bon soldat. A été tué glorieusement, le 15 septembre 1914, au combat de Craonne (Aisne;.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEROY (Laurent), mie 06863, soldat : bon soldat. A été tué glorieusement, le 15 septembre 1914, au combat de Craonne (Aisne) en faisant bravement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze. E LATOUR (Pierre-Eugène), mie 02297, soldat : bon soldat, courageux et dévoué. A été tué glorieusement, le 14 novembre 1914, dans les tranchées de Vendresse (Aisne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

LABOY (Jean), mie 012889, soldat : excellent soldat. A été tué glorieusement, le 25 octobre 1914, dans les tranchées de Vendresse. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GIRARD (Porphire), mie 023667, soldat : bon soldat, consciencieux et dévoué. A été tué glorieusement au combat de Craonne, le 4 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

FAUTIIOUX (Joseph), mie 5029, soldat : soldat des plus courageux. A été tué glorieusement, le 15 septembre 1914, au combat de Craonne en faisant vaillamment son devoir.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

MENUET (Jean), mie 014801-024563, soldat : excellent soldat, dévoué et courageux. Tu4

glorieusement dans les tranchées de Vendresse (Aisne), le 16 août 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

RENNULT (Pierre), mie 9282, soldat : jeune soldat de la classe 1M7, plein d'ardeur et de bravoure au combat. Tombé glorieusement pour la France, le 24 novembre 1915, dans les tranchées de Vendresse (Aisne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

GERARD (Paul-Célestin), mie 7461, soldat : a toujours servi en brave et excellent soldat, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 16 avril 1917, au Chemin-desDames (Aisne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

BESSOUAT (Jean-Baptiste), mie 06835, soldat : bon soldat, dévoué et courageux. Blessé gnevement au combat de Thuin, le 23 août 1914.


Mort pour la France des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

t,* BOUCHET (Georges), mie 04076, soldat: : bon it brave soldat. Mort pour la France, le 23 août '1.914, des suites de glorieuses blessures reçues 'au champ d'honneur en faisant courageuse:ment- son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DESTRIBOIS (Jean), mie 03733, soldat : bon iet brave soldat. A été tué glorieusement dans les tranchées en avant de Vendresse (Aisne), le 21 novembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CAZENA VE (Elie), mie 025183 bis, soldat : soldat courageux et dévoué, blessé grièvement, le 18 septembre 1914, au combat du bois de Beau.

marais près de la Ville-au-Bois (Aisne). Mort pour la France des suites de ses blessures.

Croix de guerre avec étoile de bronze. PRINCE (Célestin), mie 5499, soldat : soldat courageux et dévoué. Blessé grièvement à son poste de combat, devant Craonnelle. Mort pour la France des suites de ses blessures, le 23 septembre 1914. Croîx de guerre avec étoile de bronze.

TARIS (Jacques), mie 05803, soldat : a toujours été un vaillant soldat, faisant constamment preuve de courage et de dévouement.

Tombé glorieusement pour la France, le 30 octobre 1914, en avant de Vendresse (Aisne).

Croix de guerre avec étoile de bronze.

MARTY (Julien), mie 5626, soldat : brave soldat. A été tué glorieusement dans les tranchées de Vendresse, le 13 décembre 1914, en faisant courageusement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze. MANSACAL (Barthélémy), mie 16073, soldat bon soldat, courageux et dévoué. A été tué glorieusement dans les tranchées de Vendresse (Aisne), le 31 décembre 1914. en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DURAND (Gaston), mie 023904, soldat : brave soldat, plein d'entrain et de dévouement. A été tué glorieusement au combat de Craonne (Aisne), le 14 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BEAU (Léon), mie 02042, soldat: bon soldat.

Tombé glorieusement, le 24 août 1914, au combat de Fontaine-Valmont (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

NIOIBAR (Arnaud), mie 6673, soldat : excellent soldat, dévoué et courageux. A été tué glorieusement dans la tranchée de Vendresse, le 4 juillet 1915, en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

SAUGNACQ (Pierre), mie 012583, soldat : bon soldat, courageux et dévoué. A été tué glorieusement, le 24 novembre 1914, au cours du combat de Craonnelle. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LOO (Jean-Louis) mie 017773, soldat: bon soldat. Tombé glorieusement dans la tranchée de Vendresse, le 10 décembre 1914, en faisant courageusement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BOSSARD (Louis-Emmanuel), mie 5194, soldat : bon soldat, dévoué et courageux. A été tué glorieusement au combat d'Avesnelles, le 26 août 1914. Croix de guerre avec étoile de 'bronze.

BERDOYS (Paul), mie 5239, soldat : bon soldat.

Tombé glorieusement au combat de la Villeaux-Bois, le 13 septembre 1914, en faisant bravement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JOSSELIN (Laurent-IIector), mie 03540, soldat : bon soldat, courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu.

<Mort glorieusement pour la France, le 13 septembre 1914, à la Ville-au-Bois (Aisne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

CHAGNEAU (Pierre), mie 5872, soldat : bon soldat, courageux et dévoué. Tombé glorieusement au cours du combat de Craonnelle, le 23 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

Cavalerie.

t 78 rég. de chasseurs à cheval.

r CAQUELIN (Alphonse), mie 1721, chasseur de T* classe : cavalier d'un grand courage, d'une

audace et d'un entrain remarquables. Tué, le t6 août 1914, au cours d'une reconnaissance à cheval poussée hardiment jusqu'aux lignes ennemies. A été cité.

JACQUOT (Eugène), mie 1975, trompette : trompette d'une bravoure, d'un sang-froid audessus de tout éloge. Volontaire pour toutes les missions périlleuses. Tué, le 2 juin 1918, en apportant un de ses camarades blessé. A été cité.

LAPORTE (Marius), mie 1747, chasseur : chasseur très énergique et audacieux. Volontaire pour toutes les patrouilles. Tué, le 16 octobre 1914, en faisant une reconnaissance périlleuse.

A été cité.

MARIOTTE (Marcel), mie 2848, chasseur : chasseur admirable de courage, ayant toujours montré le plus absolu mépris du danger. Toujours volontaire pour les missions périlleuses.

Tué, le 2 juin 1918, au cours d'une attaque, entrainant ses camarades par son exemple. A été cité.

FLEURY (Ange-François-Marie), mie 2122, chasseur : très grièvement blessé, le 27 septembre 1914, dans une reconnaissance où, après avoir été désarçonné, il se défendait énergiquement avec sa carabine. Mort pour la France. A été cité.

CUSSEY (Pierre-Jean), mie 2356, chasseur : s'est particulièrement distingué par sa bravoure, à Laventie, le 13 octobre 1914 ; ayant reçu une première blessure, a participé encore a l'offensive contre Llventie, où il a été mortellement atteint. A été cité.

GAVET (René-Victor), mie 2173, chasseur : chasseur très brave, très audacieux, volontaire pour toutes les reconnaissances. Tué en patrouille devant Ypres, le 14 novembre 1914. A été cité.

PLA (Joseph), mie 2257, chasseur : chasseur courageux et dévoué. Tué pendant une reconnaissance, le 13 septembre 1917. A été cité.

BRUGÈRE (François-André), mie 0298, chasseur de lre classe : chasseur très brave, ayant toujours donné le plus bel exemple. Tué à son poste de combat, le 3 juin 1918. A été cité.

MELIANDE (Emile-Albert-Henri-Léon), mie 3729, chasseur : chasseur très brave. S'est distingué par sa belle conduite au feu, Tué à son poste de combat, le 2 juin 1918. A été cité.

LEBRIAT (Pierre), mie 2071, chasseur de lre classe : excellent cavalier, très audacieux.

Tué pendant une reconnaissance à cheval, le 7 août 1914. A été cité.

DAGONET (Georges-Albert), mie 0837, chasseur : excellent soldat. Ayant eu une très belle tenue au feu. Tué à son poste de combat, le 19 avril 1915. A été cité, CHARBONNIER (Emile-Eugène), mie 3222, chasseur : chasseur très brave, très dévoué, toujours volontaire pour les missions dangereuses. Blessé le 26 avril 1918, est mort des suites de ses blessures. A été cité.

MAIRE (Louis-René), mie 07439, chasseur : cavalier brave et dévoué, ayant toujours bien fait son devoir. Tué glorieusement à son poste de combat, le 2 juin 1918 à Dammard (Aisne). A été cité.

MAILFERT (Paul-Lucien), mie 05138, chasseur : cavalier brave et dévoué, ayant toujours bien fait son devoir. Tombé glorieusement le 3 mars 1915, au bois des Haies (Meurthe-etMoselle), est mort des suites de ses blessures, le 8 Mosemllea)r, s 1915. A été cité.

FAURE (Jean-Marie), mie 3093, chasseur : jeune chasseur, ayant eu, dès les premiers combats, la plus belle attitude au feu. Tué à son poste de combat, le 3 juin 1918. A été cité.

ROLLAND (Jean-Etienne), mie 2157, chasseur : cavalier d'une bravoure remarquable, admiré de tous ses camarades. Tué à son poste de combat, le 14 novembre 1914 à Zillebecke (Belgique). A été cité.

KEIREL (Marcel-Armand), mie 1872, chasseur : a montré dans ses fonctions d'infirmier, un courage et un dévouement remarquables.

Tué, le 25 septembre 1914, en faisant son service, près du poste de secours dont il n'avait pas voulu s'éloigner, malgré un très violent bombardement. A été cité.

FRICHOT (Oeta-Jules), mie 1862, chasseur, chasseur très brave, ayant montré une grande Intrépidité dans plusieurs recoiinaiisai.-oes.

Blessé mortellement, le 3 septembre 1914. A été cité.

THIPHAINE (Eugène-Alexis), mie 0312, (,!,as seur: bon et brave cavalier, ayant toujours bie n fait son devoir. Tué, le 13 'février 1'tl', à Santheim (Alsace). A été cité. TESSON (Ernest-Clément-Armand), mIe 3°0î chasseur: cavalier, bravo et dévoué avani toujours fait son devoir. Tué. le :(i fcvnei 1916, à Santheim (Alsace). A été cité.

AUDIGUER (Eugène), mie 05670. chas:>"'IIr' cavalier brave et dévoué, ayant toujours bien fait son devoir. Tué glorieusement à l'attaque de l'Observatoire, côte 303 à Reillon (Meurlllo, et-Moselle), le 25 juin 1915. Croix de guerre avec étoile d'argent.

CHAMBRAUD (Léon), mie 0854, chasseur t cavalier brave et dévoué, ayant toujours fait son devoir. Tué glorieusement à l'attaque da l'Observatoire, côte 303 à Reillon (Meurthe aiMoselle), le 20 juin 1915. Croix de guerre aie* étoile d'argent.

MATHfEU (Louis), mie 01345, chasseur : cavalier brave et dévoué, ayant toujours bien :"jt son devoir. Tombé glorieusement en se portant à l'attaque, le 31 mai 1918, près de Dammard Aisne). Mort des suites de ses blessures, le 11 juin 1918. Croix de guerre avec éloiu d'argent.

FROMENT (Eugène), alias FRANTZ, mleSllû, chasseur: bon cavalier, modèle de bravoure et d'entrain, patrouilleur intrépide. Tombé glorieusement, le 2 juin 1918, à l'attaque de Dammard (Aisne), en entraînant ses camarades à l'assaut. Une citation amérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BOILEUX (Léon-Paul), mlo 2523, chasseur : brave cavalier qui a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne.

Mort glorieusement pour la France, ie] septembre 1911 Croix de guerre avec étoile de bronze.

V AIDIE (Go-ntran-Max-Roberl), mie 2503, chasseur : brave cavalier. Sur le font au début do la campagne, s'est fait remarquer par sa courageuse attitude dès les premiers combats. Mort glorieusement pour la France, le 20 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DARDY (Emile Louis), mie 2073, chasseur : brave cavalier qui a fait vaillamment son devoir dès les premiers combats de la campagne.

Mort glorieusement pour la France, le 4 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile do bronze.

BERGE (Henri-Charles-Eugène), mie 191'., maréchal des logis : sous-officier très brave et dévoué. Tué le 27 septembre 1914 en chargeant une patrouille de cavaliers ennemis. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GROSEILLE (Lucien-Maurice), mie 01295 brigadier : brigadier brave et dévoué, ayant toujours bien fait son devoir. Mortellement blessé, le 30 novembre 1917, à Prunay (Marne). Croix de guerre avec étoile de bronze.

IIARDIVILLIERS (Gaston), mie P?76, brigadier : gradé très brave, toujours volontaire pour les missions dangereuses. Tué dans une patrouille, le 3 mars 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BARBE (Florian-Français-Joseph), mie 2600, chasseur : cavalier très bravo et très dévoué.

Tué à son poste de combat, le 2 juin 1918.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

JONVAUX (Gaston-Jules), mie 2113, chasseur : bon et brave cavalier. Grièvement blessé au cours d'une reconnaissance à Juvrecourt (Meurthe-et-Moselle), le 14 août 191.4. Mort des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DUPUY (François), mie 2169, chasseur : cavalier très brave et dévoué. Tué glorieusement, le 11 août 1918. Croix de guerre avec étoile do bronze.

DEBOUCHAGES (Alexandre-Louis-Maurice), mie 2617, chasseur : cavalier brave et dévoué.

Tué glorieusement à son poste de combat, à Choisy-en-Brie (Seine-et-Marne), le 5 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.


BÉTIS (Louis-Albert), mie 2413, chasseur : cavalier très brave. Blessé mortellement par éclat d'obus, le 27 septembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

CORNITTE (Marie-Louis-Gustave-Denis) , mie 2406, chasseur : cavalier brave, ayant toujours montré beaucoup de courage. Tue à son poste, le 4 septembre 1914. Croix-de guerre avec étoile de bronze.

JACOB (Emile), mie 2284, chasseur : cavalier brave, énergique et très dévoué. Tué le 2 juin 1918, à son poste de combat. Croix de guerre avec étoile de bronze, TOUTIN (Maurice), mie 1839, chasseur: cavalier très bravé et très dévoué. Tué à son poste de combat, le 2 juin 19i8. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LAMBIN (Jules-Joseph), mie 1999, chasseur : cavalier très brave, animé d'un haut sentiment du devoir. Tué le 2 juin 1918, au cours d'une reconnaissance. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GODEFROY (Alfred-Charles), mie 1506, brigadier : brigadier brave et dévoué, ayant toujours bienfait son devoir. Tué glorieusement à son poste de combat, le 14 novembre 1914, à ZUlebackc (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

COURBEY (Georges), mie 16S9, chasseur : cavalier très brave et énergique. Blessé le 13 octobre J914, à son poste de combat, est mort des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GAUTIER (Louis-Auguste), mie 1379, chasseur: cavalier très brave et audacieux. Tné au cours d'une reconnaissance à cheval, le 7 août 1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

4e rég. de dragons.

ARMAND (Pierre-Etienne-Sylvain) dit OLIVIER, mie 1786, cavalier : cavalier dévoué et courageux. Tué à son poste de combat, le 26 avril 1918. A été cité.

VERNIîES (René-Maurice), mie 3072, cavalier : cavalier brave et dévoué. Blessé mortellement pour la France au cours des combats de Locre, le 29 avril 1918. A été cité.

(;EORGES (Fernand-Paul), cavalier : bon et brave cavalier, éclaireur modèle. Blessé grièvement dans un terrain difficile. Mort des suites de ses blessures, le 22 novembre 1914. A été cité.

GUILLAUME (Lucien-Jules), mie 2043, cavalier : brave cavalier. Blessé mortellement en faisant partie de I'avant-garde de son escadron qui se portait sur un village, le 22 novembre 1914. A fait preuve du plus grand courage en demandant à ses camarades de l'abandonner pour ne pas s'exposer eux-mêmes au feu de l'ennemi. A été cité.

GOZARD (Louis), mie 1821, cavalier : cavalier mlrailleur. Chargé de contrebattre une mitrailleuse ennemie, s'est porté à un endroit particulièrement repéré, d'où il pouvait accomEhr sa mission. A été tué à son poste de combat, le 29 avril 1918. A été cité.

GIRARD (Auguste), mie 3056, cavalier : cavalier d'une grande bravoure et d'un sang-froid admirables. Volontaire pour toutes les missions périlleuses. A été tué à son poste de combat.

A été cité.

MARTICIIOU (Paul), mie 3204, cavalier : jeune cavalier, engagé pour la durée de la guerre, brillante attitude au feu, d'un sangfroid imperturbable. A été tué à son poste, le 27 avril 1918. A été cité.

CATENOS (ErnestEugène), mie 2393. cavalier : cavalier brave et dévoué. Mortellement blessé de plusieurs balles en reconnaissance, le 27 octobre 1914. A été cité.

RIGAUD (Etienne), mie 1574, cavalier de lr* classe : excellent cavalier, au front depuis le début de la campagne, a toujours fait preuve de beaucoup de courage et de sang-froid. Tué, le 29 avril 1918, en accomplissant son service d'estafette. A été cité.

PELLETIER (Adolphe-Célestin), mie 2021, cavalier de lre classe : brave cavalier. Est resté à son poste et à la tête de son cheval sous un violent bombardement d'artillerie lourde, le 25 août 1914. A été tué au moment où il remontait à cheval. A été cité.

DEGEORGES (François-Marcel), mie 1631, brigadier : brigadier plein d'entrain et d'énergie.

A été tué, le 25 août 1914, au moment où il ralliait sa troupe sous un violent bombardement d'artillerie lourde. A été cité.

SIMON- (Henri-Valentin), mie 02909, brigadier : brigadier courageux et dévoué. Mort pour laFrance, le 25 août 1318, à son poste de combat. A été cité.

THIRION (Marie-Paul-André), mie 2022, brigadier: excellent brigadier. Merveilleux d'audace et de cran. Véritable entraîneur d'hommes.

Tombé glorieusement au champ d'honneur, le 27 avril 1918, en s'assurant que ses hommes étaient bien abrités. A été cité.

BOITON (Albert-Jean), mie 1888, cavalier : brave cavalier. Mort pour la France à son poste de combat, à Boucouville, le 27 septembre 1914.

A été cité.

PHILIPPOT (Charles-Henri), mie 03604, cavalier : cavalier brave et dévoué. Mortellement blessé à son poste de combat, àCutry, le 19 juillet 1918. A été cité.

= DUBUY (Georges-Emile), mie 03175, brigadier: brave cavalier. Au cours d'un violent .bombardement, a donné le plus bel exemple d'esprit de devoir et de mépris du danger. Mortellement atteint à son poste de combat, le 11 juil1917. A été cité. ESNAUD (Pierre-Marie), mie 2389, cavalier : cavalier d'une belle crânerie au feu, ne cessant d'entraîner, par sa belle humeur, ses camaradés dans les moments les plus critiques.

Mort pour la France, le 5 juin 1918. A été cité.

HANOT (Arthur-François-Joseph), mie 2310, brigadier : brigadier brave et dévoué. Mort pour la France à son poste de combat, le 2 juin 1918. A été cité.

RICHARD (Joseph), mie 1885, cavalier : mitrailleur courageux et dévoué. Mort pour la France à son poste de combat, le 27 septembre 1914, à Boucouville. A été cité.

COLLOMB (Joseph-Henri), mie 1633, cavalier: cavalier courageux et dévoué. Mort pour la France à son poste de faction au bois des Haies, le 25 mars 1915. A été cité.

BARTHÉLÉMY (Armand-Henri), mie 1999, cavalier : cavalier énergique et brave. Blessé au début de l'action, est resté à son poste de combat où il a trouvé uee mort glorieuse, le 2 juin 1918. A été cité.

HUBERT (Ernest-Emile), mie 04383, cavalier : brave cavalier. Tué, le 28 avril 1918, en se portant en avant sous un bombardement d'une violence sans pareille, entraînant gaiement ses camarades par son exemple. Type du devoir accompli à la française. A été cité.

MERCIER (Raymond-Numa), mie 2003, cavalier : cavalier brave et dévoué. En reconnaissance, le 24 août 1914, à Remenonville, a été tué de plusieurs balles en secourant trois de ses camarades blessés et démontés à courte distance de l'infanterie ennemie. A été cité.

LECORDIER (Gustave-Henri), mie 3479, cavalier : cavalier brave et dévoué. Mort pour la France au cours de l'attaque de Mont-Barroi, le 2 juin 19i8. A été cité.

FRISON (Célestin), mie 1602, cavalier : agent de liaison du commandant de compagnie, a rempli courageusement ses fonctions pendant trois jours. Tué a son poste de combat, le 29 avril lois. A été cité.

DEVOS (Georges-Jules), mie 2463, cavalier : cavalier courageux et dévoué. Mort pour la France, à son poste de combat, le 25 août 1914, au bois de Lallau. A été cité.

TAPPAZ (Amédée - Gustave - François), mie 1940, cavalier : fusilier très habile et très courageux. Le 29 avril 1918, pendant les combats de Locre, a tenu une mitrailleuse ennemie en échec, permettant ainsi à sa section de manœuvrer. Mortellement blessé à son poste de combat. A été cité.

HUGUES (Lucien-Fortuné), mie 1925, cavalier : cavalier énergique et brave. Mort pour la France en assurant le ravitaillement d'une section de mitrailleuses. A été cité.

LAMOLLE (Jean-Louis), mie 2186, cavalier de 1" classe : cavalier courageux, excellent fusilier mitrailleur, a pris part à l'établissement

d'une ligne de résistance à proximité da l'enJ nemi, a repoussé l'attaque du 29 avril 1918J Tué pendant l'action. A été cité. LAVEAUD (Robert-Jean-Daniel), mie 30©&j cavalier de lr* classe : jeune cavalier, pleiJ(j de courage. A pris part aux dures journées des 27, 28 et 29 avril 1918. A repoussé l'attaque 411 29. Tué en ravitaillant en munitions ses cama-j rades. A été cité.

DEFERT (Alyre-Vincent), mie 04098, cavalier S cavalier brave et dévoué. A été blessé gçiève«M ment à son poste de combat. Est mort des suites de ses blessures. A été cité. ,

GRENETTE (Albert-Camille-Erliest), mie 2208.- cavalier de ll* classe : cavalier très courageux; et plein d'entrain. A été tué au moment où 11i essayait de traverser un violent barrage d'artillerie pour se porter à l'attaque des lignes allemandes. A été cité.

MANISSE (Fernand-Théophile-Joseph), mlè 2157, cavalier: cavalier énergique et calme, avait déjà fait preuve d'un grand sang-froid dans plusieurs actions en Champagne. Blessé mortellement, le 27 avril 1918. A été cité.

BUREL (René-Marie), mie 01302, brigadier : !

brigadier grenadier d'une audace et d'une bravoure à toute épreuve, s'est toujours distingué dans les missions qui lui ont été confiées, par son intelligence, son dévouement et son courage. Mort pour la France, le 4 novembre 1916. A été cité.

LEVACHER (René-Alfred), mie 2863, cavalier: cavalier d'un grand courage. Le 29 avril 1918, à Locre, s'est porté à la contre-attaque avec un entrain admirable. A été tué de plusieurs balles au cours de l'action. A été cité.

BERRUYER (Léonce-Justin), mie 1592, cavalier : cavalier brave et dévoué. Glorieusement mort pour la France, le 25 août 1914, devant Saint-Boing. A été cité.

ESCOFFIER (Cyprien-Marie), mie 1311, cavalier de lre classe: bon cavalier. Détaché comme brancardier pendant les journées des 27, 28 et 29 avril 1918, a rempli admirablement ses fonctions dans les circonstances les plus périlleuses. Blessé très grièvement des suites de ses blessures. A été cité.

MARTINOT (Georges-Pierre-Constant), mie 2106, brigadier : brigadier d'un grand courage.

Le 8 août 1914, au cours d'une reconnaissance à l'intérieur des lignes ennemies vers Mittershein après avoir audacieusement chargé un convoi, s'apercevant de la disparition de son sous-officier, est retourné seul à sa recherche et a été tué au cours de cette action. Croix de guerre avec étoile d'argent.

9* rég. de dragons.

PECCHINI (Henri-Marius), mie 1992, cavalier de lre classe : cavalier éclaireur d'un courage à toute épreuve. Tombé, le 7 août 1914, en tête d'une patrouille d'avant-garde, dont il avait demandé à faire partie. A été cité.

GAUTIER (Albert-Julien-Maurice), mie 1810L cavalier : cavalier brave Son escadron ayant été cerné, a pris part à la charge de son peloton qui cherchait à se frayer un passage dansf les lignes nllemandes et a été tué, le 28 août 1914, près de Bernes. A été cité.

BALTY (Auguste), mie 1885, cavalier : étant dans le service auxiliaire, est parti sur sa demande dans le service armé. Tué à l'attaque de Saint-Georges, le 29 décembre 1914. A été cité.

SABOURDY (Jean), mie 2266, cavalier : excellent cavalier, modèle de devoir, remarquable par sa bravoure et son mépris du danger. Tué, à son poste d'observation, le 26 juillet 1915. A été cité.

LEVAVASSEUR ( Alphonse - Clément - Jean mie 2344, cavalier de lr* classe : cavalier parfait, très brave, animé d'un esprit d'offensive remarquable. Tué, en patrouille, le 30 août 1914. A été cité.

FASSEL (Henri-Antoine), mie 0131, brigadier!

brigadier énergique et brave. Blessé grièvo- ment au combat, le 29 décembre 1914, près de Nieuport, est mort des suites de ses blessures, le 1" januier 1915. A été cité.

COCQUILLON (Maurice-Louil). mie 1923, brioil gadier : brigadier très dévoué, très énergique


et brave. Blessé mortellement, aux tranchées, devant Souchez. A été éité.

POULAIN (Maurice), mie 0149, brigadier : brigadier plein d'entrain. Tué le 11 octobre 1914, à Vieille-Chapelle, en défendant il pied le passage de la Lys. A été cité.

LALLIER (Auguste-Eugène), mie 2405, briga* dier : brigadier dévoué et brave. Tué aux tranchées, le 26 juillet 1915. A été cité.

i GARNIER (Emile), mie 1943, cavalier : cava] | lier brave et dévoué. S'est fait remarquer par sa bravoure et son sang-froid devant le danger.

Tué le 28 août 1914, en chargeant avec son peloton. A été cité.

LABONDE (François), mie 01388, cavalier : ; cavalier très dévoué. S'est fait remarquer par ; sa bravoure et son sang-froid devant le danger.

; Tué au combat de Steenstraate, le 11 novembre 11914. A été cité. < MARGUET (Raymond-Georges-Arsène), mie , 2881 cavalier : excellent cavalier, modèle de 1 dévouement et d'énergie, d'un moral très élevé.

- Tué à son poste de combat, le 27 juillet 1915, à Souchez. A été cité. *

RUBY (Louis-Ernest), mie 2369, cavalier: excellent cavalier, d'un dévouement sans borne, toujours prêt à marcher dans les missions dangereuses. Mort en brave, frappé au cours d'un violent bombardement, le 28 décembre k 1914. A été cité. ;* CARON (Auguste-Charles), mie 01343, cavalier : bon et brave cavalier. Blessé aux tran■ chées, est mort des suites de ses blessures, le 13 janvier 1915. A été cité.

I COURTIN (Gaston-Ferdinand), mie 1912, cavalier de lre classe : très brave cavalier, toujours volontaire pour les missions dangereuses.

Blessé aux tranchées, est mort des suites de f ses blessures, le 2 août 1915. A été cité.

r CHAMPS (Henri-Edmond-Armand), mie 2471, cavalier : cavalier consciencieux et dévoué.

Tué au combat sur l'Yser, le 8 novembre 1914.

A été cité.

DATHY (Jules-Félix), mie 01332, cavalier : bon et brave cavalier. A pris part à tous les engagements de son unité, de septembre 1914 à mars 1918, ebs'est vaillamment comporté. Blessé mortellement au combat, le 31 mars 1918. A été cité.

GAUDEZ (Marcel-Emile), mie 3481, cavalier : cavalier dévoué et brave. Tué à Crezancy, le 30 mai 1918. A été cité.

LEROY (Adrien-Anatole), mie 04159, cavalier : excellent cavalier, d'un sang-froid remarquable. Blessé grièvement en juilllet 1918, en assurant le ravitaillement en première ligne.

Mort en brave, le 20 juillet 1918. A été cité.

TALCONNET (Narcisse), mie 2660, maréchal des logis : excellent sous-officier, n'a cesssé de se distinguer depuis le début de la guerre.

Déjà titulaire de deux citations. Tué à l'ennemi, le 18 juillet 1918. A été cité.

COURTIAL DE LASSUCHETTE (Jean-MarieFernand-Jules-Joseph), mie 2250, brigadier : brave brigadier. Le 28 août 1914, est tombé glorieusement aux côtés de son officier de peoton, en chargeant les lignes allemandes pour rejoindre son régiment. A été cité.

PEYREFITTE (Jean-Bernard), mie 4158, cavalier : brave cavalier. Ayant eu les deux jambes enlevées par un obus, le 20 juillet 1918, est mort en faisant preuve d'un courage des plus remarquables. A été cité.

MARTEL (Georges-Henri-Emile), mie.2244, brigadier : brigadier d'un dévouement et d'un courage à toute épreuve. Tué, le 7 août 1914, au cours d'une mission périlleuse pour laquelle 11 s'était offert. A été cité.

DUPEUX (Emile-Célestin), mie 0487, cavalier : brave cavalier. Le 9 novembre 1914, au cours de l'assaut donné à une tranchée allemande, a fait preuve de courage et d'un bel entrain.

A été fué pendant l'attaque. A été cité.

SEPTFONS (Camille-Jules-Eugène) , 2137, cavalier: brave cavalier, brillante conduite dans l'attaque du village de Saint-Georges, le 10 janvier 1915. Tombé glorieusement au cours de l'action. A été cité.

MAJOREL (Martial-Louis-Adolphe), mie 01072, Maréchal des logis : a tenté courageusement

le 9 novembre 1914, à Langemark, une attaque à la baïonnette sur les tranchées allemandes devant lesquelles il a trouvé la mort. A été cité.

RAPAUD (Joseph-Louis), mie 2275, cavalier de 1 re classe : brave cavalier. A été blessé mortellement, le 22 janvier 1915, à Furnes, en assurant les liaisons téléphoniques avec un dévouement et un courage qui lui ont valu l'admiration et l'estime de tour se: chefs. Une citation antérieure. Croix de guene avec étoile de vermeil.

GIRAULT (Henri), mie 1958, cavalier : très bon cavalier, très brave au feu. A été tué, le 16 décembre 1914, aux dunes de Nieuport, après avoir fait brillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze. •• LECRÃNE (Jean-Marie-Yves-Joseph), mie 0493, cavalier : cavalier très dévoué et d'une bravoure exceptionnelle, d'un très bel exemple pour ses camarades. Tué aux tranchées, le 23 août 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

NUEZ (Gabriel, mie 01374, cavalier de lre classe : cavalier dévoué et brave. Tué au combat, le 28 décembre 1914, aux environs de Saint-Georges. Croix de guerre avec étoile de bronze.

MARQUETTE (Jules-Maurice), mie 01649, cavalier: cavalier énergique et courageux. Tué au combat de Saint-Georges, le 28 décembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JUSTIN (Albert-Ernest), mie 01345, cavalier de 1re classe : cavalier énergique et brave.

Tué ai ennemi, le 29 décembre 1914, à Nieuport. Croix de guerre avec étoile de bronze.

NOUVION (Fernand-Albert-Marceau), mie 1884, cavalier : brave cavalier. Blessé mortellement, le 31 mars 1918, alors qu'il progressait à pied, avec son unité, sous le feu de l'ennemi.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

THIBAULT (Maurice-Théodule), mie 1852, cavalier de lre classe : cavalier dévoué et brav: S'est signalé par son intrépidité au combat de Saint-Georges où il a trouvé la mort, le 29 novembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

BECHARD (Georges-Gaston), mie 2422, cavalier : excellent cavalier, très discipliné et très dévoué. A fait preuve du plus grand sang-froid et d'un mépris absolu du danger. Tué à Nieuport, le 23 décembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

12e rég. de dragons.

THIEBAUT (Camille-Marcelle), mie 0100, brigadier : grièvement blessé en Belgique en assurant avec courage et sang-froid la conduite d'un échelon de voitures dans un carrefour violemment bombardé. Mort des suites de ses blessures, le 6 octobre 1918. A été cité.

IIUGON (François-Joseph), mie 4105, cavalier : excellent cavalier. Agent de liaison pendant les journées des 26, 27, 28 et 29 avril 1918, a fait l'admiration de tous, par sa bravoure et son mépris du danger. Tué dans l'accomplissement de sa mission. A été cité.

BOUILLOT (Léonard), mie 2093, cavalier : cavalier très brave. Est tombé mortellement blessé en allant à l'attaque, le 2 juin 1918, au combat de Saint-Quentin-en-Valois. A été cité.

WENDLING (Ernest-Théodore), mie 2525, cavalier : fusilier mitrailleur d'élite. A fait preuve, le 2 juin 1918, au cours de l'attaque, de

beaucoup de courage et de sang-froid. A été tué en exécutant le tir en marchant. A été cité.

ZIMMERMANN (Louis), mie 3868, cavalier : fusilier mitrailleur très brave. A contribué, par son courage et son sang-froid, à briser une contre-attaque ennemie. Tué à son poste de combat, le 6 juin 1918. A été cité.

SURTHEL (Jules-Octave), mie 2869, cavalier : cavalier très dévoué. Est parti à l'attaque du 2 juin 1918, avec un élan admirable. Blessé très grièvement et amené au poste de secours, a insisté pour que ses camarades fussent évacués avant lui. Mort des suites de ses blessures. A été cité.

PIERSON (Victor), mie 752, brigadier : gradé plein d'entrain et de courage, A été tué le

1er avril au bois des Haies-d'AIbe, alors que sa section contre-attaquait l'ennemi et le chassait du terrain qu'il nous avait momentanément enlevé. A été cité.

PONSARD (Fernand-Gustave), mie 1887, cavalier. le 17 octobre 1918, en Belgique, faisant la liaison entre l'escadron et le peloton de pointe.

n'a pas hésité à porter un pli, malgré un violent tir de barrage. A été mortellement blessé dans l'accomplissement de sa mission. A été cite.

HENRY (Gaston-Jean-Baptiste), mie 1919.

cavalier : étant agent de liaison, le 2 juin 1918 au combat de Saint-Quentin-en-Valois, a été blessé au moment du départ de l'attaque. Mort des suites de ses blessures. A été cité.

BATICLE (Paul-Gustave), mie 1755, cavalier cavalier d'une très grande bravoure. A fait preuve du plus grand sang-froid pendant un, bombardement violent. A été tué à son posta de combat. A été cité.

BARNABET (Charles-Paul-Samuel), mie 1158, cavalier : dragon plein de gaieté et d'entrain se proposant toujours comme volontaire pouf les missions périlleuses, exemple de sang-froié.

et de courage pour ses camarades. Tué aux tranchées, le 22 novembre 1917. A été cité.

BELLE (Louis-Jean-Baptiste), mie 598, maréchal des logis : brave sous-officier, mitrailleur parfait. A été tué à son poste de combat, ta 28 avril 1918. A été cité.

COUSIN (Adolphe Eugène), mie 2253, maréchal des logis : exemple de bravoure et de sang-froid. S'est, dès le départ de l'attaque du 2 juin 1918, précipité, en tête de sa demi-section, sur des positions fortement défendues.

Par son courage calme et réfléchi que tous admiraient, a donné un élan irrésistible à sa troupe. Blessé au cours de l'attaque. Mort pour la France .des suites de ses blessures. A été cité.

ARDIET (Joseph IIilaire), mie 1249, maréchal des logis : tué d'une balle à la poitrine, le 15 I.. ptembl'e 1914, en se portant en avant, d'une barricade qu'il avait pour mission de défendre, dans l'inlention de surveiller l'approche de l'ennemi. A montré une extrême vaillance pendant toute cette journée. Le matin avait traversé au galop un village occupé par l'ennemi et tué de sa main une vedetto qui lui barrait le passage. A été cité.

PELTIER (Raoul-Edouard-Ray" mond), mie 1740, brigadier : brigadier modèle, d'une bravoure exceptionnelle. Blessé d'une balle à la maia gauche, le 2 juin 1918, ne s'est rendu au posta de secours que sur l'ordre réitéré de son oracier. Blessé mortellement d'une deuxième balle au moment où il atteignait le poste.

Avait eu deux citations antérieures. Croix da guerre avec palme.

PIGNON (Gustave-Georges, mie 1290, maréchal des logis : sous-officier énergique et brava.

Sur le front depuis le début des hostilités, s'est toujours fait remarquer par son sang-froid et son esprit de décision ; particulièrement ta 2 juin4918, en enlevant sa section à l'assaut des positions ennemies. Tué au cours de 1 action. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BERTnUY (Antoine-Valdémôr), mi., 09W6, maréchal des logis : avialeur audacieux. A ét& tué en service commandé, le 8 avril i7.

Croix de guerre avec étoile da bronze.

MATHIEU (Léon-Victor), mie 1778, cavalier : brave cavaiier. Le 2 jui-n 1918, su combat de Samt-Quentin-en- Valois, étant agent de liaison, a été tué à son poste de combat après avoir bravement fait son devoir, Croix de guerre avec étoile de bronze PETIT (Emile-Laurent), mie 2085, maréchal des logis : excellent sous-officier. A été tué au Mont-Rouge, le 28 avril 1918, alors qu'il encourageait ses hommes soumis à un bombardement d'une violence inouïe. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DETWILER (Marcel-Gustave), mie 08806. maréchal des logis : très bon sous-officier, détaché à l'escorte de la 398 division d'infanterie.

A été blessé mortellement à son poste, en Belgique, le 22 novembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ROYER (Marcel-Pierre-Eugcne), mie 2506, pharmacien auxiliaire : pharmacien auxiliaire


d'un dévouement absolu dans l'exécution de son service spécial. Détaché dans un G. B. D.

devant Verdun, a été grièvement blessé à ce poste et est mort pour la France, le 4 septembre 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

ESPIC (André), mie 2647, brigadier : brigadier consciencieux et brave. Tué à son poste de combat à Burnhaupt (Alsace), le 30 mars 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.

15* rég. de dragons.

LORENZA (Daniel-Loufsft mie 01744, cavalier : bon cavalier, courageux, énergique. Après s'être distingué à l'armée d'Orient, a été grièvement blessé, à l'attaque du 17 juillet 1918, pendant la progression de son unité. Mort "our la France, le 18 juillet 1918. A été cité.

DAUBRIAC (Marius-Joseph), mie 3012, cavalier : cavalier d'élite, dune superbe attitude au feu pendant les combats des 25 et 26 avril 1918. A été tué au moment où il mettait son fusil-mitrailleur en position pour repousser une attaque ennemie. A été cité.

- DALLAIS (Abel). mie 1876, cavalier : très bon cavalier, au front depuis le début de la campagne, toujours volontaire pour les missions périlleuses. A été grièvement blessé, en se portant à l'attaque du 17 juillet, où il se fit remarquer particulièrement. Est mort des suites de ses blessures, le 18 juillet 1918. A été cité.

ARDOUlN (Pierre-André), mie 2211, cavalier : excellent cavalier. Mort glorieusement pour la France, en faisant tout son devoir, au cours de l'attaque du 18 juillet 1918. A été cité.

ADER (Germain Jean-Marie), mie 2163, brigadier : excellent brigadier. Mort pour la France, le 26 avril 1918. A été cité.

LATOURNERIE (Léonard-Robert), mie 1978, brigadier : excellent gradé, brave et énergique.

1\. été tué, en tête de son escouade, qu'il conA été tué, l'attaque, le 25 avril 1918. A été cité.

duisait à l'allaque, le 25 avril 1918. Â été cité.

LACIIIQUE (Maurice-Lucien), mie 3866, cavalier : brave cavalier, plein d'allant et d'énergie.

A été tué, à son poste, le 25 avril 1918. A été cité.

LARQUIER (Abel), mie 1652, brigadier : excellent brigadier, ayant toujours fait preuve de courage depuis le début de la campagne. Tué glorieusement, le 26 avril 1918, à son poste de combat. A été cité.

LAPORTE-BISQUIT ( Martial-Hubert René-Michel), mie 3400, brigadier : excellent brigadier, plein d'énergie et de courage. A été tué à son poste de combat, le 26 avril 1918, en assurant le commadement de son équipe de F.M. A été cité.

LOUIT (Charles-Emile), mie 1980, brigadier: s'est signalé dès le début de la campagne par son courage et son sang-froid. Le 23 septembre 1914, devant Marchelopot, a trouvé une mort glorieuse à la tête de son escouade qui avait reçu l'ordre de reconnaître une position occupée par l'ennemi. A été cité.

MOUSQUET (Jean), mie 02596, trompette: brave cavalier. Tombé glorieusement à son poste de combat à Lanevelotte, le 10 septembre 1914. A été cité.

MAIIAUD (Saül), mie 2191. cavalier: cavalier d'un courage à toute épreuve, est tombé glorieusement pour la France, le 25 avril 1918 A été cité.

FAYE (Martial), mie 2259. cavalier : cavalier d'élite, d'une superbe attitude au feu pendant des combats des 25 et 26 avril 1918. A été tué au moment où il mettait son fusil-mitrailleur ven position pour repousser une attaque ennemie. A été cité.

PUY-FOURCAT (Sernin-Jean-Baptiste), mie 9360, cavalier : modèle de bravoure et d'abnégation. A été mortellement blessé dans les affaires de Belgique, le 26 avril 1918. A été cité.

ROLAND - GOSSELIN (Louis-François-Marie, Joseph), mie 1725, maréchal des logis : sousofficier très brave et très allant. Le 4 octobre 1914, s'est porté froidement sur une crête occupée par l'ennemi, pour la reconnaître. Mortellement blessé, a donné le plus bel exemple de couraee et d'abnégation en disant au camarade -qui venait le rechercher sous les balles

« Laisse-moi, tu risques de te faire tuer pour sauver un mourant, va-t'en. Est mort peu après

en murmurant : « Pour la France 0. A été cité.

ROY (Marcel-Marie-Jean-Baptiste), mie 3203cavalier : a fait preuve du plus grand courage au cours des combats des 25 et 29 avril 1918.

Tué glorieusement à son poste de combat, le 26 avril 1918. A été cité.

TARNAUD (Firmin-Frédéric-Léonard), mie 2093, brigadier : le 24 août 1914, étant, avec son escadron, chargé de la défense d'un village, a fait preuve du plus grand courage en combattant jusqu'à la dernière cartouche contre un ennemi supérieur en nombre. A été glorieusement tué, après avoir donné à tous ses hommes le plus bel exemple de bravoure et d'énergie.

A été cité.

VIGNES (Rémy), mie 1982, cavalier : excellent soldat, blessé mortellement, le 25 avril 1918, dans les combats du Kemmel en progressant avec sa section sous un terrible bombardement vers une position occupée. A été cité.

AUTIGNY (Léon-Paul-Désiré), mie 5442, cavalier : a fait preuve d'un grand courage et de sang-froid dans l'attaque du 17 juillet 1918. A été tué en assurant brillamment le service de sa section dans une zone violemment battue par les mitrailleuses. A été cité.

PÉBÉ (Jean-Baptiste), mie 2121, brigadier : brigadier ayant toujours fait preuve des plus belles qualités de courage et d'allant. Le 26 août 1914, étant en reconnaissance avec son officier, s'est porté hardiment en avant pour reconnaître un village malgré les coups de feu tirés par l'ennemi. A été tué glorieusement au moment où il rapportait un renseignement important. Croix de guerre avec étoile d'argent.

MAXIME (Jean), mie 2227, cavalier : étant en reconnaissance avec son officier et quelques camarades et se trouvant soudain en face d'une troupe de cavalerie très supérieure en nombre, n'a pas hésité à charger a fond. Est mort glorieusement, donnant ainsi le plus bel exemple de bravoure et de dévouement (13 août 1914). Croix de guerre avec étoile d'argent.

PUJOL (André), mie 1633, cavalier : étant en reconnaissance avec son officier et quelques camarades, et se trouvant soudain en face d'une troupe de cavalerie très supérieure en nombre, n'a pas hésité à charger à fond. Est mort glorieusement, donnant ainsi le plus bel exemple de bravoure et de dévouement (13 août 1914). Croix de guerre avec étoile d'argent.

HAURET-CLOS (Jean-Louis), mie 2169, cavalier : étant en reconnaissance avec son officier et quelques camarades, et se trouvant soudain en face d'une troupe de cavalerie très supérieure en nombre, n'a pas hésité à charger à fond. Est mort glorieusement, donnant ainsi le plus bel exemple de bravoure et de dévouement (13 août 1914). Croix de guerre avec étoile d'argent.

19e rég. de dragons.

MARAVAL (Jacques-Joseph-Marie-Isidore) mie 2333, adjudant : adjudant-pilote animé du plus pur esprit de devoir et de sacrifice. S'est distingué, tant dans l'aviation de chasse que dans l'aviation de bombardement, étant volontaire pour toutes les missions périlleuses. A trouvé la mort, le 30 mars 1918, à la suite d'un violent combat avec des avions ennemis, alors qu'il se portait au secours d'avions attaqués. A été cité.

CAZE d'ORTAIL (Emmanuel-René), maréchal des logis : sous-offlcier d'une grande bravoure.

S'est particulièrement distingué, le 19 août 1914, par son énergie et son sang-froid, en chargeant avec les débris de son peloton contre des cavaliers très supérieurs en nombre.

A été tué bravement au cours de cet engagement. A été cité.

PIRIOU (Emile-Julien-Marie), mie 1223, brigadier : brave brigadier mitrailleur qui a été tué, le 24 août 1914, en cherchant à dégager sa pièce cernée par l'ennemi. Croix de guerre avec étoile de bronze.

29e rég. de dragons.

GAUTIER (Basile-Louis-Almire). mie 1979, cavalier de 1" classe : excellent mitrailleur. A accompli vaillamment son devoir sous un feu violent et a servi sa pièce avec le plus grand

mépris du danger, Jusqu'à la dernière minute A été cité.

DELAMPLE (Jules-Georges), mie 808, cavalier : grenadier au poste d écoute, criblait l'ennemi de projectiles au cours de l'attaque du 10 août 1915. A fait preuve de beaucoup d'entrain et d'énergie dans une situation très dure.

Au cours d'une deuxième attaque de nuit a été couvert de blessures par une grenade tombant dans son boyau. Mort pour la France. A été cité.

CHERRIER (Jules-Léon), mie 2555, cavalier : le 7 février 1916, s'acquittait avec bravoure d'un travail devant les tranchées de première ligne, quand il tomba grièvement blessé. A succombé a ses blessures en donnant de beaux exemples de courage et d'abnégation patriotique. A été cité.

IIOLLINGER (Raoul-Ernest), mie 1737, cavalier: 1830 avril'1916, près de Prosnes, s'acquittait avec bravoure d'un travail devant les tranchées de première ligne, quand il tomba grièvement blessé. A succombé à sa blessure en faisant généreusement le sacrifice de sa vie. A été cité.

SINOIR (Robert-Jean), mie 2810, cavalier : le 25 septembre 1916, grièvement blessé, à son poste de combat, a donné à tous un bel exemple d'énergie, en restant calme et sans plaintes malgré de cruelles souffrances. Mort des suites de ses blessures. A été cité.

PLENECASSAGNE (Victor-Henri), mie 2778, cavalier ; étant de faction dans les tranchées, faisait vaillamment son devoir en assurant son service sous un violent bombardement. Est tombé mortellement blessé, le 9 janvier 1916, a Prosnes. A été cité.

LARSONNIER (Julien-Alfred), mie 1949, cavalier de 1" classe : brave cavalier, ayant fait son devoir d'une manière exemplaire depuis le premier jour de la campagne. Mortellement frappé, le 12 novembre 1917, dans son service de fourgonnier à Folembray. A été cité.

DE BOISGELIN (Alexandre-Bruno-Louis-Marie) mie 2115, brigadier : brave brigadier. Glorieusement tombé, le 5 octobre 1914, au combat d'Aix-Noulette, en chargeant avec son escadron contre de l'infanterie ennemie. A été cité..

GATE (Marcel-Jules-François), mie 18S6, brigadier : brave brigadier. Glorieusement tombé, le 5 octobre 1914, au combat d'Aix-Noulette, en chargeant avec son escadron contre de l'infanterie ennemie. A été cité.

BARDOT (Léon-Edouard-Emile), mie 1604, brigadier : brave brigadier. Glorieusement tombé, le 5 octobre 1914, au combat d'Aix-Noulette, en chargeant avec son escadron contre de l'infanterie ennemie. A été cité.

BERGER (Georges-Louis-Octave), mie 2178, cavalier: bon et brave cavalier, ayant toujours accompli son devoir. Frappé mortellement, le 12 juillet 1917. A été cité.

BALLE (Marcel-Louis), mie 2105, cavalier ?

dans tous les combats auxquels son escadron a pris part, s'est fait remarquer en faisant plus que son devoir. Le 29 septembre 1915, à Souain, marchait crânement à l'assaut des tranchées ennemies quand il tomba grièvement blessé.

Mort de ses blessures dans une ambulance allemande. A été cité.

AULET (Jean-Aléxandre), mie 2737, cavalier de lre classe : cavalier merveilleux de courage et de sang-froid. Exemple de dévouement, d'abnégation et d'énergie. Très belle attitude au feu. Tué à son poste de combat, le 27 mars 1918, à Armancourt. A été cité.

AUBERT (Alphonse-Marie-Joseph), mie 1828, cavalier de lre classe : bon et brave cavalier, ayant toujours accompli son devoir. Frapp mortellement, le 12 juillet 1917. A été cité.

TETARD (Jean-Adolphe), mie 81, brigadier : brave brigadier. Glorieusement tombé, le 5 octobre 1914, au combat d'Aix-Noulette, en chargeant avec son escadron contre de l'infanterie ennemie. A été cité.

ROGER (Pierre-Marie), mie 2116, brigadier : brave brigadier. Glorieusement tombé, le 5 octobre 1914, au combat d'Aix-Noulette, en chargeant avec son escadron contre de l'infanterie ennemie. A été cité.

MUZET (Arsène-Victorien-Eugène), mie 2168, cavalier : bon et brave cavalier, aussi conacien


cieux que dévoué. Blessé mortellement au s cours d'une mission individuelle, le8septembre 1914, à Chavres (Oise). Croix de guerre avec étoile de bronze.

LARCHER (Jean-André), mie 2800, cavalier : très bon et très brave cavalier. Mortellement blessé, le 14 juillet 1915, à Souchez alors qu il surveillait les tranchées ennemies d'un poste de guetteur particulièrement dangereux. Croix de guerre avec étoile de bronze.

JOIGNY (Delphin-André), mie 1662, cavalièr : cavalier énergique et discipliné. Tué bravement à son poste de combat, le 22 juillet 1915 à Souchez, au cours d'un violent bombardement.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

BRUN (Antoine-Joseph-Auguste), mie 2738, cavalier : cavalier énergique et discipliné.

Tué bravement à son poste de combat le 22 juillet 1915, à Souchez, au cours d un violent bombardement. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LOUBETTE (Emile-Noel-Léon), mie 1199, maréchal des logis : sous-officier énergique et dévoué, toujours volontaire pour les missions périlleuses. Tué bravement à son poste de combat, le 24 janvier 1915, à Nieuport. Croix de guerre avec étoile de bronze.

POIRIER (Léon-Georges-Arnand), mie 144, maréchal des logis : brave sous-officier, grièvement blessé au combat de Bixschoote, a fait preuve d'un esprit de devoir et d'une énergie remarquables en refusant de se laisser évacuer avant d'avoir remis entre les mains de son remplaçant la comptabilité de son escadron.

Mort pour la France, le 4 janvier 1915, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.

30* rég. de dragons.

DETERME (Nicolas-BenoistY, mie 2009, cavalier : très bon cavalier. Tué glorieusement en accomplissant vaillamment son devoir, le 22 octobre 1914. A été cité.

BÉNARD (Augustin), mie 03025, maréchal des logis : sous-officier mitrailleur d'une haute valeur morale. Très aimé de ses hommes pour qui il était un exemple de bravoure et de dévouement. Souvent volontaire pour des missions dangereuses, se portant aux points de combat les plus exposés. À été tué, le 5 janvier 1918, au cours d'un bombardement précédant un coup de main ennemi, à son poste de combat. A été cité.

HAVEZ (Désiré-Sylvain), mie 2308. cavalier : excellent cavalier-Blessé une première fois en juillet 1917, a été blessé à nouveau, le 16 octobre 1918. Mort des suites de ses blessures.

A été cité.

ROUYRENC (Henri), mie 738, maréchal des logis : maréchal des logis, .agent de liaison, s'est, en toutes circonstances acquitte de son rôle avec un zèle et un entrain remarquables.

Au cours de l'attaque de l'éperon de PargnyFilain, le 25 octobre 1917, a- été mortellement frappé en portant un ordre à son capitaine sous un tir très violent. A été cité.

4 ROBINI (Pierre-Marius), mie 2073, cavalier de lre classe : cavalier d'une excessive bravoure, exemple de sang-froid et de dévouement. Tué le 1er juillet 1917, en repoussant avec la plus grande énergie un coup de main ennemi qu'il fit échouer. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile de vermeil.

GRANJON (Antojne-Iarie), mie 1528, maréchal des logis : le 18 décembre 1914, après avoir tué de sa main deux Allemands en reconnaissant avec deux cavaliers Jes abords de la tranchée ennemie vers Lombaertzyde, a été abattu par une balle en plein front. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile de vermeil.

DEHAYE (Edouard-Alcide), mie 2228, brigadier : brigadier plus que brave, était réputé parmi ses hommes pour le mépris du danger qu'il poussait à l'excès. Tué, le 12 septembre 1917, pendant une ronde qu'il faisait maigre un bombardement de torpilles. Croix de guerre auec étoile d'argent.

CODRON (Paul-Jules-Henri), mie 2147, cavalier : cavalier plein d'entrain et de bravoure.

A été mortellement blessé en se portant à J'attaque avec son escouade, le 29 septembre 1945. Cr(A<i de guerre avec étoile d'argent.

GODART (Gaston-Joseph), mie 03801, cavalier : bon cavalier. Tué, le 29 septembre 1915, alors qu'il se portait avec son escouade à l'assaut des positions ennemies. Croix de guerre avec étoile d'argent.

MARGHEM (Henri-Marie), mie 07454, cavalier : brave cavalier. Le 29 septembre 1915, a été mortellement blessé alors qu'avec son escouade, il se portait à l'assaut des positions ennemies. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.

HAYE (Louis), mie 2445, cavalier : modèle de bravoure. S'est porté le premier en éclaireur à l'attaque de Neuf-Berquin sous une grêle de projectiles. Tué le 14 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile d'argent.

CARBONNIER (Fernand-Georges), mie 2209, cavalier: brave cavalier. Tué, le 29 septembre 1915, au moment où il se portait à l'attaque des positions ennemies. Croix de guerre avec étoile d'argent.

RUFFIN (Alfred-François), mie 05123, cavalier : brave cavalier. Mortellement blessé, alors qu'il se portait avec son escouade à l'assaut des positions ennemies. Croix de guerre avec étoile d'argent.

COMBES (Pierre-Jean-Marie), mie 2689, cavalier: brave cavalier. Tué, le 29 septembre 1915, alors qu'il se portait avec son escouade à l'assaut des positions ennemies. Croix de guerre avec étoile d'argent.

BUNEL (Ernest-Charles), mie 07351, cavalier: brave cavalier. Tué, le 29 septembre 1915, alors qu'il se portait à l'attaque des positions ennemies. Croix de guerre avec étoile d'argent.

VASSEUR (Louis-Joseph-Théodore), mie 07276, cavalier : brave cavalier. Tué, le 29 septembre 1915, alors qu'avec son escouade il se portait à l'assaut des positions ennemies. Croix de guerre avec étoile d'argent.

PAUL (Léon), mie 3124, cavalier : brave cavaher. Tué, le 29 septembre 1915, alors qu'il se valier. Tué, l'assaut des positions ennemies.

portait à l'assaut des positions ennemies.

Croix de guerre avec étoile d'argent.

JOLY (Charles-Henri), mie 1500, cavalier: brave cavalier. Tué, le 18 décembre 1914. alors qu'il partait à l'assaut avec son escouade.

Croix de guerre avec étoile d'argent.

MANET (Constant-Aimé), mie 03310, cavalier: brave cavalier. Tué, le 29 septembre 1915, alors qu'avec son escouade il se portait à J jittaque. Croix de guerre avec étoile d'argent..

ROBINET (Jean-Marie-Julien), mie 10147, cavalier : brave cavalier. Mortellement blessé, le 29 septembre 1915, alors qu'il se portait avec son escouade à l'assaut des positions ennemies. Croix de guerre avec étoile d'argent.

FOYET (Louis-Cyrille), mie 1819, cavalier : brave cavalier. Tué, le 18 décembre 1914, alors qu'il se portait à l'assaut avec son escouade.

Croix de guerre avec étoile d'argent.

TRAILLET (Georges), mie 05808, cavalier de ire classe : brave cavalier. Tué. le 7 juillet 1915, alors que, malgré un violent bombardement, il ne cessait d'assurer la liaison entre les guetteurs de première ligne. Croix de guerre avec étoile de bronze.

GARRIGUES (Marcel Auguste), mie 2893, cavalier : tué le 7 juillet 1915, à son poste d'observation, d'où il n'a cessé d'envoyer ses renseignements sur l'ennemi, malgré Un violent bombardement. Croix de guerre avec étoile de bronze.

VACHER (Ludovic), mie 1791, cavalier : brave cavalier. Mortellement blessé, le 8 septembre 1914, étant en pointe d'avant-garde de son escadron. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LENAIN (Pierre-Louis), mie 3194, cavalier : cavaviier très brave, toujours volontaire, faisant l'admiration de ses camarades. Tué, le 12 septembre 1917, pendant une ronde qu'il faisait avec son brigadier maigre un bombardement de torpilles. Croix de guerre avec étoile de bronze.

DAZY (Gustave-Lucien), mie 2062, cavalier : a été tué, le 22 octobre 1914, dans les tranchées de l'Yser, montrant le- plus grand courage sous le feu des mitrailleuses ennemies.

Croix de guerre avec étoile de bronze.

FAURE (Etienne-Pierre, dit LE P AOURf<:),. mie 1864, earalier : a été tué, le 7 juillet 1915, dans

un petit poste avancé où il était en sentinelle et n a cessé jusqu'au dernier moment d'observer 1 ennemi avec le plus grand calme. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEROUX (Thomas-Marie), mie 10044, cavalier : étant en sentinelle dans un petit poste avancé.

ne s est pas départi de son calme, malgré les obus qui tombaient. A été tué, le 13 août 1915 Croix de guerre avec étoile de bronze.

BLANCHARD (Lucien), mie 3224. cavalierexcellent cavalier. Le 30 décembre 1915, a été tué dans la tranchée où il était de guet en s'élançant au-dessus du parapet pour mieux observer. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LACALMONTIE (Pierre), mie 1624, cavalier : très bon cavalier. A été tué, le 8 janvier 1915, dans les tranchées devant Lombaertzyde (Belgique). Croix de guerre avec étoile de bronze.

LAMADON (Augùste-e enri-J ea fi), mie 1760, cavalier deire classe : excellent cavalier, brave et dévoué Tué à son poste de combat à la grande Dune, le 28 janvier 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEMAIRE (Georges-André-Joseph), mie 2476, cavalier: excellent cavalier. Tué, le 7 juillet 1915, alors qu'il observait avec calme les mouvements de l'ennemi. Croix de guerre avec étoile de bronze.

Paris, le 18 octobre 1919.

GEOROBS CLBMBNCBAtt.

ÉTAT-MAJOR GÉNÉRAL DK L'ARMÉE Les officiers généraux, colonels et fonctionnaires de grades correspondants dont les noms suivent ont été ou sont affectés aux commandements et emplois ci-après (premier posta d'après-guet're) dans la 2* région de corps d'armée : Commandant les 2' corps d'armée et région : M. le général de division Philipot Commandant l'artillerie du 2e corps d'armée et région: M. le général de brigade Cazalis.

Commandant le génie du 2e corps d'armée et région : M. le général de brigade Mathy.

Directeur de l'intendance du 2e corps d'armée et région : M. l'intendant militaire Bertrand.

Directeur du service de santé du 2e corps d'armée et région : M. le médecin principal de lr* classe Cultin. Commandant par intérim la 3* division d'infanterie et 1 ensemble des subdivisions d'Amiens, d'Abbeville, Péronne, Beauvais et Saint-Quentin : M. le général de brigade Mathieu.

Commandant la 5* brigade d'infanterie et les subdivisions d'Amiens, Abbeville et Péronue : M. le général de brigade Fraisse.

Commandant par intérim la 6* brigade d'infanterie et les subdivisions de Beauvais, SaintQuentin : M. le colonel d'infanterie Girardon.

Commandant la 4' division d'infanterie et l'ensemble des subdivisions de Soissons, Compiegne, Laon, Mézières ; M. le général de division Breto..

Commandant par intérim la 78 brigade d'infanterie et les subdivisions de Soissons, Compiègne M. le colonel d'infanterie d'Ollonne.

Commandant la 8* brigade d'infanterie et les subdivisions de Laon, Mézières : M. le général de brigade Boulangé.

La présente insertion tiendra lieu de lettre de service aux intéressés, à qui un extrait.

pour copie conforme, pourra être régulièrement établi par les soins du général commandant la corps d'armé-s.

La mention « service. est attribuée aux officiers ou assimilés qui ne tenaient pas garnison avant la guerre dans la garnison oii ils sont affectés.

Les officiers généraux, eoloneïs et fonction naires de grades correspondants dont les noms suivent ont été ou sont alîectés aux commandements et emplois ci-après (premier poste d'après-guerre) dans la 5e région de corps d'armée :


Commandant les 5e corps d'armée et région : M. le général de division Toulorge.

Commandant l'artillerie du 5e C. A. : M. le général de brigade Tardy.

Directeur de l'intendance : M. l'intendant militaire Duhamel.

Directeur du service de santé : M, le médecin principal de lre classe Cauvet.

Commandant par intérim la 9e D. I. et l'ensemble des subdivisions d'Auxerre, Montargis, Blois et Orléans : M. le général de brigade Mollandin.

Commandant la 17e brigade et les subdivisions d'Auxerre et Montargis : M. le général de brigade Weywada.

Commandant la 18e brigade et les subdivisions de Blois, Orléans : M. le général de brigade Bodin de Galembert..

Commandant la 10e D. I. : M. le général de division Lebouc.

Commandant par intérim la 19e brigade d'infanterie : M. le colonel d'infanterie Lapointe.

Commandant la 20* brigade d'infanterie : M. le général de brigade Margot.

Commandant par intérim la 5e division de cavalerie et l'ensemble des subdivisions de Sens, Fontainebleau, Melun et Coulommiers : M. le général de brigade Simon (L.-P.-E.).

Commandant la lre brigade de dragons et les subdivisions de Sens, Fontainebleau, Melun et Coulommiers : M. le général de brigade Arrault.

La présente insertion tiendra lieu de lettre de service aux intéressés, à qui un extrait, pour copie conforme, pourra être régulièrement établi, par les soins du général commandant le corps d'armée.

La mention « service. est attribuée aux officiers ou assimilés qui ne tenaient pas garnison avant la guerre, dans la garnison où ils sont affectés.

Les officiers généraux, colonels et fonctionnaires de grades correspondants dont les noms suivent, ont été ou sont atTectés aux commandements et emplois ci-après (premier poste d'après guerre) dans la 6e région de corps d'armée : Commandant les 6e corps d'armée et région : M. le général de division Duport.

Commandant l'artillerie des 6e corps d'armée et région : M. le général de brigade Lequime.

Commandant le génie des 6e corps d'armée et région : M. le général de brigade Dautheville.

Directeur de l'intendance: M. l'intendant général Lamy.

Directeur du service de santé : M. le médecin inspecteur Bioquet.

Commandant d'armes du camp de Châlons : M. le général de brigade Laroque.

Commandant la 128 division d'infanterie et la subdivision de Stenay : M. le général de division Boichut.

Commandant par intérim la 23e brigade d'infanterie et la subdivision de Stenay : M. le colonel d'infanterie Bourgeois.

Commandant par intérim la 24e brigade d'infanterie : M. le colonel d'infanterie coloniale Vallier.

Commandant la 40e division d'infanterie et l'ensemble des subdivisions de Bar-le-Duc, Châlons-sur-Marne et Reims : M. le général de division Genin.

Commandant la 79e brigade d'infanterie : M. le général de brigade Goybet (V.-L.).

Commandant la 80" brigade d'infanterie et la subdivision de Bar-le-Duc : M. le général de brigade Marty.

) Commandant les subdivisions de Chàlonssur-Marne et Reims : M. le général de brigade Didier.

4 Commandant par intérim la 42e division d'infanterie et l'ensemble des subdivisions de Metz

et Thionville (1) : M. le général de brigade de Barescut.

Commandant la 83e brigade d'infanterie (1) : M. le général de brigade Pigault.

Commandant la 84e brigade d'infanterie et la subdivision de Thionville (1) : M. le général de brigade Luyt.

La présente insertion tiendra lieu de lettre de service aux intéressés, à qui un extrait, pour copie conforme, pourra être régulièrement établi par les soins du général commandant le corps d'armée.

La mention « service » est attribuée aux officiers ou assimilés qui ne tenaient pas garnison avant la guerre dans la garnison où ils sont affectés,

Les officiers généraux, colonels et fonctionnaires de grades correspondants dont les noms suivent ont été ou sont affectés aux commandements et emplois ci-après (premier poste d'après guerre), dans la 7° région de corps d'armée : Commandant les 7e corps d'armée et région : M. le général de division Nudant.

Commandant par intérim l'artillerie des 7e corps d'armée et région : M. le colonel d'artillerie Moraillon.

Commandant le génie des 7e corps d'armée et région : M. le général de brigade Germain.

Directeur de l'intendance : M. l'intendant militaire Pommerol.

Directeur du service de santé : M. le médecin inspecteur Pech.

Commandant par intérim la 14e division d'infanterie et l'ensemble des subdivisions de Belfort-Vesoul : M. le général de brigade Baston.

Commandant la 27e brigade d'infanterie et la subdivision de Mulhouse (2) : M. legénéralde brigade Tabouis.

Commandant la 28e brigade d'infanterie et les subdivisions Belfort-Vesoul : M. le général de brigade Petit.

Commandant la 41e division d'infanterie et l'ensemble des subdivisions de Lons-le- Saunier, Besançon, Bourg et Belley : M. le général de division de Lardemelle.

Commandant par intérim la 81e brigade d'infanterie et les subdivisions de Lons-le-Satnier, Besancon : M. le colonel d'infanterie Antoine.

Commandant la 82e brigade d'infanterie et les subdivisions de Bourg et Belley : M. le général de brigade Bablon.

La présente insertion tiendra lieu de lettre de service aux intéressés à qui un extrait, pour copie conforme, pourra être régulièrement établi par les soins du général commandant le corps d'armée.

La mention « service » est attribuée aux officiers ou assimilés qui ne tenaient pas garnison avant la guerre dans la garnison où ils sont affectés.

Les officiers généraux, colonels et fonctionnaires de grades correspondants dont les noms suivent ont été ou sont affectés aux commandements et emplois ci-après (premier poste d'après guerre) dans le gouvernement militaire de Lyon et la 14e région de corps d'armée : Gouverneur militaire de Lyon, commandant les 148 corps d'armée et région : M. le général de division Marjoulet.

Commandant d'artillerie des iie corps d'armée et région : M. le général de brigade IIebrard. e Commandant le génie des 14e corps d'armée et région : M. le général de brigade flenry.

Directeur de l'intendance : M. l'intendant général Foliot. a Directeur du service de santé : M. le médecin inspecteur Ferraton.

(1) Dépendent au point de vue territorial, discipline générale et mesure d'ordre public, du général gouverneur militiit-A dp. met7

(2) Dépend, en ce qui concerna ls commandement territorial, la discipline générale et les mesures d'ordre public, du général gouverneur militaire de Strasbourg.

- ''v\

Commandant le département du Rhône : M. le général de brigade de Lallemand du Marais.

Commandant supérieur du groupe fortifié de Grenoble : M. le général de brigade Bard.

Commandant supérieur du groupe fortifié de Briançon : (V.).

Commandant la 27° division d'infanterie et l'ensemble des subdivisions de Romans, Grenoble, Gap et Montélimar : M. le général de division Farret.

Commandant par intérim la 53e brigade et les subdivisions de Romans, Grenoble : M. le colonel d'infanterie Ilusband.

Commandant par intérim la 5ie brigade et les subdivisions de Gap, Montélimar : M. le colonel d'infanterie Favier du Noyer de Lescheraine.

Commandant par intérim la 28e division d'infanterie et l'ensemble des subdivisions de Bourgoin, Vienne, Annecy et Chambéry : M. ls général de brigade de Corn.

Commandant par intérim la 55e brigade d'infanterie et les subdivisions de Bourgoin, Vienne : M. le colonel d'infanterie Ilalton. Commandant la 56e brigade d'infanterie et les subdivisions d'Annecy, Chambéry : M. le général de brigade Madelin.

Commandant les dépôts d'infanterie métropolitaine à Lyon (1) : M. le général de brigade de Montluisant.

La-présente insertion tiendra lieu de lettre de service aux intéressés, à qui un extrait, pour copie conforme, pourra être régulièrement établi par les soins du général commandant le corps d'armée.

La mention « service » est attribuée aux officiers ou assimilés qui ne tenaient pas garnison avant la guerre dans la garnison où ils sont affectés.

——————— ——————-

SERVICE D'ÉT A T-MAJOa Armée active.

Par décision ministérielle du 9 décembre 1919 : M. Rey (H.-L.-E.-J .), lieutenant-colonel d'infanterie breveté hors cadres, est désigné pour exercer les fonctions de chef d'état-major de la 46e division d'infanterie (service).

M. Langevin, capitaine au 227e rég. d'artillerie, est détaché à l'état-major de la 46* division d'infanterie (service).

M. Grelot (L.), capitaine au 15' bataillon de chasseurs, est détaché à l'état-major de la 46e division d'infanterie (service).

M. Bonnet (E.), lieutenant-colonel breveté au 3e rég. d'infanterie coloniale, est désigné pour exercer les fonctions de chef d'état-major de la 3e division d'infanterie coloniale (service).

M. de Charry (M.-M.-J.-A.), chef de bataillon breveté au 401e rég. d'infanterie, en mission, est détaché à l'état-major de l'armée française du Rhin (service).

M, Pruneta (A.), chef de bataillon à titre temporaire breveté au 78e rég. d'infanterie, do l'E. M. A. (section de liquidation du service des chemins de fer), est détaché à l'état-major de l'E. M. A. de ferd), 'infanterie (service )

la 31e division d'infanterie (service).

M. Carré de Lusançay (A.-A.-M.), capitaine au 65e rég. d'infanterie, est détaché à l'étatmajor du 11e corps d'armée, région.

M. Marcireau (A.) capitaine au 63e rég. d'ifanterie, est détaché l'état-major de la 458 bn- gade d'infanterie.

M.Ardoin (F .-E.), 'capit!line au 2)8 bataillon de chasseurs, est détche à l'état-major de la 2:3e brigade d'infanterie (service).

M. Revel (L.), capitaine au 63' rég. d'infanterie de l'état-major de la ne division d'infanterie est détaché à l'état-major du 12e corps d'armée (région) (service).

M. de Parseval (R.), capitaine au 149e rég.

d'infanterie, est détaché à l'état-major de la d'iMnf. anterie, d'infanterie.

13e division d'infanterie.

M. Coppens (A.-J.-E.), capitaine au 10e bataillon de chasseurs, est détaché à l'état-mator de la 25e brigade d'infanterie (service).

(1). Commandement en cours de suppression.


M. Guérini (J.-M.), capitaine au 163* rég. '1 d'infanterie, est détaché à l'état-major de la

d'infanterie, d'infanterie (emploi d'officier d'ad29e division ç ministration) (service).

! M. Coulon (S.-L.). lieutenant au 3e rég. d'in* fanterie, est détaché à l'état-major de la subit division de Toulon (emploi d'officier d'adminis-? tration) (service)..

M. de la Chapelle, lieutenant au 16e rég. de chasseurs, est détaché à l'état-major de l'armée française du Rhin (service).

.f ————— CAVALERIE MUTATIONS ç- , Armée active.

Par décision ministérielle du 9 décembre - 1919, les mutations ci-après sont prononcées ou régularisées : M. Vidalin, lieutenant-colonel au 3e rég. de spahis (détaché spahis marocains), passe au 4e rég. de spahis (rejoindra à Tunis à l'expiration de sa convalescence).

i - M. Altmayer (F.-R.), chef d'escaduons au * 4e rég. de cuirassiers (détaché école supérieure de guerre), passe au 12e rég. de dragons pour 1 ordre..

M. Baconnière de Salverte, chef d'escadrons au 4e rég. de cuirassiers (en congé de deux ans), passe au 26e rég. de dragons.

1 M. de Bordesoulle, chef d'escadrons au 4e rég.

t de spahis, commandant le dépôt de remonte l de Constantine, est classé E.M.P. rattaché a la 3e compagnie de cavaliers de remonte.

M. Bougrain, chef d'escadrons au 23e rég. de dragons (détaché à l'école supérieure de guerre), r passe au 24e rég. de dragons pour ordre.

1 ! M. Bouic, chef d'escadrons au 1er rég. de dragons (détaché armée polonaise), passe au L 1er rég. de chasseurs pour ordre.

Y M. Brun, chef d'escadrons au 28e rég. de drafc gons (détaché E.M. du C.S.T.L.), remis disporu sition, passe au 28e rég. de dragons.

M. de Calonne d'Avesnes, chef d'escadrons au : 28e rég. de dragons (détaché E. M. de la division i d'occupation de Tunisie), est classé E.M.P., ; rattaché au 4e rég. de chasseurs d'Afrique.

k M. Chaigneau, chef d'escadrons au 220 rég.

; de dragons (détaché armée polonaise), passe au 1er rég. de chasseurs, pour ordre.

M. de Chalvet de Rochemonteix, chef d'escadrons au 15e rég. de chasseurs (détaché école supérieure de guerre), est classé E. M. P., ratta1 ché au 15e rég. de chasseurs.

M. Chapuis, chef d'escadrons au 8* rég. de dragons (détaché P. G. R. L.), passe ali 9e reg. de cuirassiers (rejoindra à la dissolution de son service). de M. Clergues, chef d'escadrons au 31e rég. de dragons (détaché école militaire préparatoire t d'Autun), est classé E. M. P., rattaché au 31e rég.

de dragons.

M. Compagnon, chef d'escadrons au 2e rég.

i - de cuirassiers (détaché E. M. A.), est classé E. M. P., rattaché au 128 rég. de cuirassiers.

! M. du Cor de Duprat de Damrémont, chef d'escadrons à titre temporaire au iO8 rég. de hussards (détaché armée polonaise), passe au 1er rég. de chasseurs, pour ordre.

'\, M. Danloux, chef d'escadrons au 27e rég. de dragons (détaché A. S.), passe au 14e rég. de dragons, pour ordre.

M. du Bessey de Contenson (S.-L.-A.), chef d'escadrons à titre temporaire au 1er rég. de dragons (détaché armée polonaise), passe au 1er rég. de chasseurs, pour ordre.

M. de Froisdefoftd des Farges, chef d'escadrons au 1er rég. de dragons (détaché E. M. A.), est classé E. M. P., rattaché au 38 rég. de dragons.

M. Haentjens, chef d'escadrons au 5e rég. de cuirassiers, commandant le dépôt de remonte d'Angers, est classé E. M. P., rattaché au 6* groupe de cavaliers de remonte.

M. Houdemon, chef d'escadrons au 28 rég. de cuirassiers (détaché E. M.), est classé E. M. P., rattaché au 12* rég. de cuirassiers.

M. Husson, chef d'escadrons au 11* rég. de hussards (détaché administration supérieure de la Sarre), passe au 98 rég. de hussards, pour ordre.

M. Jacquemin, chef d'escadrons au il* rég.

de cuirassiers (détaché affaires franco-américaines), passe au 4E rég. de éuirassiers.

M. de Lafond, chef d'escadrons au 4* rég. de cuirassiers (détaché armée d'Orient), passe au 11e rég. de dragons, pour ordre.

M. de Lastic, chef d'escadrons au 12e rég. de cuirassiers (détaché P. G. R. L.), passe au IS- rég. de dragons (rejoindra à la dissolution de son service).

M. de la Taille, chef d'escadrons au 50 rég.

de chasseurs, commandant le dépôt de remonte de Fontenay, est classé E. M. P., rattaché au 5e groupe de cavaliers de remonte.

M, Laurens de Waru, chef d'escadrons au 2* rég. de dragons (détaché E. M.), est classé E. M. P., rattaché au 2e rég. de dragons.

M. Le Gorrec, chef d'escadrons au 1er rég. de spahis (détaché armée polonaise), passe au 1er rég. de chasseurs, pour ordre.

M. Levé, chef d'escadrons au 17e rég. de dragons (détaché administration supérieure de Ja Sarre), passe au 13e rég. de dragons, pour ordre.

M. de l'Orne d'Alincourt, chef d'escadrons au 13e rég. de dragons (détaché armée polonaise), passe au 1er rég. de chasseurs, pour ordre.

M. Lussaud, chef d'escadrons au 11e rég. de cuirassiers (détaché armée polonaise), passe au 1-r rég. de chasseurs, pour ordre.

M. Martin (G.-P.), chef d'escadrons au 5e rég.

de chasseurs d'Afrique (détaché E.-M.), est classé- E.-M. P., rattaché au 5e rég. de chasseurs d'Afrique.

M. Mathieu de Vienne, chef d'escadrons au 3* rég. de dragons (détaché affaires francoaméricaines), passe au 31e rég. de dragons, pour ordre.

M. de Nouaillan, chef d'escadrons à titre temporaire au 11e rég. de hussards (détaché armée d'Orient), passe-au 1er rég. de hussards, pour ordre.

M. Pérez, chef d'escadrons au 16* rég. de dragons (détaché E. M.), est classé E. M. P., rattaché au 16e rég. de dragons.

M. Perrochia, chef d'escadrons au 6e rég. de hussards (détaché E. M., missions), est classa E. M. P., rattaché au 6e rég. de hussards.

M. Pradelles de Latour-Dejean, chef d'escadrons au 15e rég. de dragons (détaché mission tchéco-slovaque), est classé E. M. P., rattaché au 15* rég. de dragons.

M. de Ravinel, chef d'escadrons au 15e rég.

de chasseurs (détaché E. M., 208 C. A.), passe au 8* rég. de dragons, pour ordre.

M. Sampayo, chef d'escadrons au 14e rég. de hussards (détaché P. G.), passe au 10e rég. de dragons (rejoindra à la dissolution de son service).

M Tardieu de Maleissye-Melun, chef d'escadrons (breveté) au 1er rég. de chasseurs d'Afrique (n'a pas rejoint), passe au 30e rég. de dragons.

M. Terce, chef d'escadrons au 4e rég. de cuirassiers (en congé de six mois), passe au 28e rég.

de dragons.

M. du Tillet, chef d'escadrons au 218 rég. de chasseurs (détaché E. M. A.), est classé E. M. P., rattaché au 23e rég. de de dragons.

M. de Tournemire, chef d'escadrons au 8e rég.

de cuirassiers (détaché A. S.), passe au 6e rég.

de cuirassiers, pour ordre.

M. de Vassoigne, chef d'escadrons au 19* rég.

de chasseurs (détaché E. M.), passe au 12* rég.

de chasseurs, pour ordre.

M. de Viguerie, chef d'escadrons au 98 rég.

de chasseurs (détaché aéro, Maroc), passe au 2* rég. de chasseurs d'Afrique, pour ordre.

M. Wallace, chef d'escadrons au He rég. de cuirassiers (détaché école d'application de cavalerie de Saumur), est classé E. M. P., rattaché au groupe de cavaliers d'école.

M. Wemaere, chef d'escadrons au 8e rég. de hussards (détaché E. M., 1er C. A.), passe au 6* rég. de chasseurs, pour ordre.

M. d'Antras, capitaine au 9" rég. dechasseurc (détaehé service des P. G. de la 17e régionï# passe au 10e rég. de hussards (rejoindra à lid dissolution de son service). M. d'Arodes de Peyriague, capitaine à titre temporaire au 13e rég, de dragons, est détaché au 50it IL A. S. à flence.

Augère, capitaine à titre temporaire an 98 chasseurs (détaché aux P. G. R. L.), passe au 10* rég. de dragons (rejoindra à la dissolution de son service).

M. Bergognie, capitaine au i4* rég. de dragons, passe au 5e rég. de chasseurs d'Afrique (régularisation).

M. do Boissieu, capitaine au 5* rég. de dragons (détaché E.-M., 25t B. 1.). remit disposition.

passe au 22e rég. de dragons.

M. Couveiel-Berthault, capitaine au 9* rg.

de cuirassiers (détaché recrutement de Thioaville), passe au 3* rég. de hussards.

M. du Couëdic du Gosqu(,r, capitaine au 24e rég. de dragons (détaché E.-M., 3e B. n.).

remis disposition, passe au 248 rég. de dragons.

M. Danglade, capitaine au 5* rég. de spahis (détaché sous-secrétariat de la démobilisation), est classé hors cadres colonies, A. 0. F. (régu.

larisation).

M. Durckel, capitaine au 4e rég. de chasseurs d'Afrique (détaché école militaire préparatoire d'Autun), passe au 21* rég. de dragons (dépôt).

M. Farcis, capitaine au 14e groupe d'A. M. A. C., passe au 5e rég. de chasseurs d'Afrique, groupe d'A. M. A. C. du 19e G. A. (régularisation).

M. Furet, capitaine au 3e rég. de dragons, passe au 31 e rég. de dragons.

M. de Gislain de Bontin, capitaine au 48 rég.

de dragons, passe au 3e rég. de spahis (régularisation).

M. Guillet de la Brosse, capitaine au 31* rég.

de dragons (n'a pas rejoint), passe au 3* rég.

de dragons.

M. de Leissègues de Pennayeun, capitaine au 14e rég. de dragons, est détaché au 505* R. A. S. à Rennes.

M. Miche de Malleray, capitaine à titre temporaire au 27e rég. de dragon (détaché conseil de guerre interallié), est détaché au 503* R. A. S.

à Versailles.

M. Palluy, capitaine au 138 rég. de chasseurs (détaché P. G. R. L., Meurthe-ct-Moselle), passe au 2* rég. de dragons (bureau de comptabilité) (rejoindra après l'arrivée da son successeur).

M. Pelège, capitaine au 21e rég. de dragocs (dépôt), pass6 au 5e rég. de chasseurs.

M. Pelletier de Chambure, capitaine au 198 rég. de chasseurs (détaché service de récupération à Laon), passe au 8e rég. de hussards.

M. Renaud, capitaine au 31* rég. de dragons, est nommé chargé du matériel dudit régiment.

M. Vignol, capitaine au 10e rég. de hussards, passe au ie rég. de chasseurs d'Afrique (détaché à l'E. M. de la Drigade de cavalerie de Tunisie).

M. Viguier, capitaine au 641 rég. de hussards, passe au 4e rég. de dragons (bureau de comptabilite).

M. Adjutor, lieutenant au 12e rég. de hussards (dépôt), passe au 128 rég. de hussards (portion active).

M. Barre de Saint-Venant, lieutenant au 6e rég de cuirassiers (dépôt), passe au 38 rég.

de dragons.

M. Beaune, lieutenant au 1*T rég. de chasseurs d'Afrique. est affecté au cabinet du sous-secrétaire d'Etat de l'administration de la guerre.

M. Bejot, lieutenant au dépôt de spahis de Marsillargues, passe au 6e rég. de hussards.

M. Bussac, lieutenant au 12* rég. de chasseurs, est nommé chef du bureau de comptabilité du régiment.

M. César, lieutenant au 3e ré. de spahis (Algérie), passe au 3* rég. de spahis (Maroc).

M. Chaban Mohamed ben Abdelkrim, lieutenant aux spahis marocains, en congé, rapatrié de l'armée d Orient, passe au 3* rég. de spahis (Algérie).


M. unanu ne umur, ueuienant au reg.

de dragons (détaché aviation), remis disposition, passe au 13e rég. de dragons.

M. Charbonnet, lieutenant au 128 rég. de hussards (détaché P. G. R. L.), passe au 3e rég.

de chasseurs d'Afrique (matériel) (rejoindra à la dissolution de son service).

M. Charron, lieutenant au G8 rég. de hussards, passe au 7e rég. de hussards.

M. de Clausade, lieutenant au 3e rég. de dragons (rapatrié de Pologne), passe au 13e rég.

de dragons.

M. Daoud Kaddour, lieutenant au 2* rég. de spahis (Maroc), passe au Ge rég. de spahis.

M. Delpech, lieutenant aux spahis marocains, rapatrié de l'armée d'Orient, passe au 20e rég. de dragons.

M. Desforges, lieutenant à titre temporaire au 10e rég. de chasseurs (détaché remonte C.

S. T. A.), passe au 3e rég. de chasseurs (rejoindra à la dissolution de son service).

M. Grosson (J.-B.), lieutenant au 11e rég. de hussards (détaché 2e rég. de tirailleurs algériens, dépôt d'Aix), remis disposition, passe au 6e rég.

de hussards.

M. de Guiraud, lieutenant au 28e rég. de dragons, passe au 19e rég. de dragons.

M. Joly, lieutenant au 11e rég. de chasseurs, passe Joly, 20e rég. de dragons.

M. Kohr (R.-E.-R.), lieutenant au 11e rég, de dragons, passe au 5e rég. de spahis (régularisation). b

M. de la Suderie de Calvayrac, lieutenant au 1GC rég. de dragons, passe au 8e rég. de hussards (régularisatiofi).

M. Lemoine (II.-J.-P.), lieutenant hors cadres (renseignements, Maroc), passe au 1er rég. de chasseurs d'Afrique (détaché remontes et haras, Maroc) (régularisation).

M. Moktar ben Abdelkader, lieutenant au dépôt de spahis de Marsillargues, passe au 1er rég. de spahis (Algérie), (régularisation).

M. Person (C.-A.), lieutenant au 11& rég. de dragons, passe au 5e rég. de spahis (régularisation).

M. Petrier, lieutenant au 14e rég. de chasseurs, passe au 6e rég. de cuirassiers.

M. Rigot, lieutenant au 11e rég. de cuirassiers, passe au 9e rég. de cuirassiers.

M. Roussin, lieutenant au 3' rég. de dragons (détaché armée polonaise), passe au 1er rég. de chasseurs, pour ordre.

M. Sorlin, lieutenant au 6e rég. de cuirassiers, passe au 14* rég. de chasseurs.

M. Arnould, sous-lieutenant au 4e rég. de chasseurs d'Afrique, rapatrié de l'armée d'Orient, passe au 9e rég. de dragons.

M. Farne, sous-lieutenant au 20e rég. de dragons, passe au 11e rég. de chasseurs.

M. Probsl, sous-lieutenant au 11e rég. de cuirassiers (détaché remontes C. S. T. A.), passe au 18* rég. de dragons (rejoindra à la dissolution de son service).

M. Rouget, sous-lieutenant aux spahis marocains, rapatrié de l'armée d'Orient, passe au 4e rég. de spahis.

Les affectations ci-dessus sont prononcées avec la mention « service , comme première garnison d'après-guerre.

Réserve.

Par décision ministérielle en date du 10 décembre 1919: M. le lieutenant de réserve à titre définitif Schmautz (Henri-Emile-Antoine), du 20e escadron du train des équipages militaires, passe au 1er groupe d'A. M. A. C., rattaché au 16e rég.

de dragons.

+

SERVICE DE L'INTENDANCE MUTATIONS Armée active.

Par décision ministérielle du 5 décembre 1919, les mutations ci-après ont été prononcées avec la mention « service » :

Fonctionnaires.

M. Busy (L.-J.-V.), sous-intendant militaire de 28 classe, à Marseille, est affecté à la sousintendance de Perpignan.

M. Gouin (A.-J.), sous-intendant militaire de tre classe, disponible, est affecté à la sousintendance des frais de déplacement et transports à Marseille. :

+ ———————

SERVICE DE SANTÉ Armée active.

Par décision ministérielle, en date, du 9 décembre 1919, les mutations ci-après sont prononcées avec la mention « service «.

Médecins principaux de 2e classe.

M. Larrieu (Adrien-Pascal), sous-directeur du service de santé du 8e C. A., à Bourges, passe place de Bourges, président de commission de réforme.

M. Dettling (Georges-Edouard), sous-directeur du service de santé du 218 corps d'armée, à Epinal, passe place de Strasbourg, président de commission de réforme.

M. Blchelonne (Ilenri-Céleslin-Bernard), de la place d'Amiens, passe G. M. P., médecin-chef, hôpital Percy.

Médecins-majors de 1re classe.

M. Courvoisier (Albert-Léon), de la place d'Epinal, passe place d'Oran, hôpital.

M. Pasteur (Edmond-François-J oseph-Félix), de la place de Metz, passe gouvernement mili taire de Paris, hôpital du Val-de-Gràce.

M. Van Merris (Camille-Adolphe-Léon), du 21e rég. de dragons, à Noyon, passe place de Rennes, hôpital.

M. Gaud (Georges-Raoul-Charles), de la poudrerie du Bouchet, passe place de Nancy, hôpital.

M. Géniaux (Hippolyte-Auguste-AlexandreMarie), des troupes du Maroc, passe place de Saint-Brieuc, centre spécial de réforme.

M. Andrieu (Henri-Louis), du lOJe rég. d'infanterie à Tulle, passe place d'Epinal, hôpital.

Médecins-majors de 2e classe.

M. Roualet (Ferdinand-Adrien-François-Victor), de la place d'Amiens, passe place d'Autun.

M. Guiot (Marie-Joseph-Isidore-Clément), de la place d'Issoudun, passe place de Châteauroux.

M. Masson (MarIe-François-Jules), désigné pour le Maroc, n'a pas rejoint, passe place de Metz.

M. Charrier (Gaston-Jules), de la place de Dinard, passe place de Tours, direction du service de santé.

M. Laforge (Albert-Auguste), de la place de Saint-Brieuc, centre spécial de réforme, passe place d'Epinal.

M. Dreneau (Louis), de la place de Marseille, passe place de Baccarat.

M. Théllier (François-Louis-Edmond), du 151e rég. d'infanterie à Verdun, passe armée française du Rhin.

M. Minouflet (Charles-Aimé-Léopold), des troupes d'occupation du Maroc, passe Algérie.

M. Blanc (Henri-Martin), de la Tunisie, passe armée française du Rhin.

M. Potier (Louis-Ernest-Michel-Ivan), d'Algérie, passe place d'Epinal.

M. Colleye (Henri-Jacques-Philippe), désigné pour l'école militaire des Andeiys, n'a pas rejoint, passe place de Rouen.

M. Thurel (Fernand),du 9* bataillon de chasseurs à pied à Longuyon, passe armée française du Rhin.

M. Dumas (Jean-Marie-Joseph), des troupes d'occupation du Maroc, passe place d'Amiens, M. Duband, (Paul-Victor-Marius-Gaston), du 20* B. C. A. à Baccarat, passe Algérie.

M. luvay (Lucieîi-Emiie-Rivay), K. au Y»* reg.

d'infanterie au camp d'Avor, passe armée H française du Rhin.

M. Cheneby (Jean-André), du 4e rég. de dragons à Commercy, passe Algérie.

M. Rougeux (Edmond-Cyrille), d'Algérie, passe armée française du Rhin.

M. Drouet (Joseph-Jean-Louis), de la place de Tours, direction du service de santé, passe Algérie.

M. Chagnaud (JeanîGabriel). du 9ic rég. d'infanterie, à Mézières, passe place de Bar-le-Duc.

M. Lafaix (Emmanuel-Gaston-Auguste-Maurice), des troupes d'occupation du Maroc, passe armée française du Rhin.

M. Delis (Afmire-Antoine-Georges), des troupes d'occupation du Maroc, passe place de Cosne.

M. Voizard (François-Frédéric-Ed&uard), désigné pour les troupes d'occupation du Maroc, , n'a pas rejoint, passe place de Metz.

M. Sarrat (Jean-Augustin-Marie), des troupes d'occupation du Maroc, passe armée française du Rhin.

M. Noël (Jean-Raymond), des troupes d'occupation du Maroc, passe armée française du Rhin.

M. Martin (Marccl-IIenri-Marie), du 154e rég.

d'infanterie à Lérouville, passe Algérie.

M. Simonot (Lucien-Pierre-ONave), en résidence à Nevers, passe armée française du Rhin.

M. Benazet La Carre (Fernand-Jean-Léon), d'Algérie, passe armée française du Hhin.

M. Bureau (Gaston-Paul-Lucien), du 18e rg: de chasseurs à Lunéville, passe troupes * cupation du Maroc.

M. Coulon (René-Marcel-Henri), du *60e rég.

d'artillerie à Neufchâteau, passe troupes a occupation du Maroc.

M. Llioste (Jean-Marie-Octave), désigné pour les troupes d'occupation du Maroc, Il a s rejoint, passe place de Sedan.

M. Arène (Sextius-Pierre), de Tunisie, passe armée française du Rhin.

M. Liberge (Fernand), du 11e rég. de dragons à Belfort, passe gouvernement militaire de Paris.

-. Médecins aides-majors.

M. Odinot (Nicolas-Paul), en non-activité pour infirmités temporaires à la Ferté-Macé (Orne), passe place de Briançon.

M. Rychbusch (Georges), en résidence à Belvès, passe place de Bergerac.

M. Ruzie (Marcel-Jean-Léon), de la place de.

Belfort, passe place de Montbéiiard.

M. Lamaison (Jean-Antoino-Conslant), e," résidence à MOllt-dc-Marsan, passe hôpital ae la Veuve.

M. Edard (Charles), en résidence à Vire, passe place d'Istres.

M. Bnr¡;]Q !fi'?rnard-Jcan-Isidore), en résidence à Cil.. :nnc, passe Algérie.

M. Henry (Georges-Pierre), en résidence à Clermont-Ferrand, passe Algérie.

M. Ignard (Louis-Jean), du gOl'Trnemnt militaire de Paris, passe troupes doc i non du Maroc.

M. Sourdois (Joseph-Pierre-ncn,ri). en résidence à Mont-de-Marsan, Passe place dfit Bayonne. M. Brunei (Pierre-Numa-Marie), en résidence à Montpellier, passe Maroc.

M. Marotte (IIenn-HnaTe) do fecole du service de santé militaire de Lyon, passe place de Briançon.

M Mendouce (Georges-Eugène), à Mirande, passe troupes d'occupation du Maroc.

M Queffeulou (Jean), du gouvernement militaire do Paris, passe troupes d'occupation du Maroc.

M. poirot (Marcel), de l'école du service de santé militaire à Lyon, passe place de Remira mont.

-


AÉRONAUTIQUE MILITAIRB MUTATIONS

Armée active.

Par décision ministérielle en date du 4 décembre 1919 : M. David (Joseph-Marie-Laurent), lieutenant d'artillerie du groupement aéronautique n° 2, à Dijon, est atl'ecté à l'école d'aviation d'Istres, en qualité d'élève pilote (service).

Par décision ministérielle en date du 5 décembre 1919 : M. Leclerc (Jean-Alphonse), lieutenant d'infanterie de l'escadre 14, à Luxeuil, est affecté au dépôt du 1er groupe d'aviation, à Dijon (service).

Par décision ministérielle en date du 6 décembre 1919 : M. Baronna (Norbert-Hubert), sous-lieutenant de cavalerie, du dépôt du 3* groupe d'aviatien, à Bordeaux (rentrant de la mission aéronautique de Pologne), est affecté à la réserve générale d'aéronautique, à Dugny (service).

M. Dire (Marcel-Joseph), lieutenant d'artillerie coloniale, de l'école d'aviation d'Avord, est affecté à l'aéronautique de l'armée française du Levant (service).

M. Letourneur (Honoré-Charles), lieutenant d'infanterie du groupement aéronautique n* 4, au Bourget, est affecté au groupement aéronautique d'Algérie (service).

M. Ferez (Eugène-Elie), lieutenant d'artillerie, de l'école d'aviation d'Avord, est affecté à la division aérienne, groupement de bombardement n° 3 (service).

———————

ERRATA AU JOURNAL OFFICIEL Etat-major.

27 novembre 1919: page 13549, 3* colonne, au lieu de : « M. Martineau (R.-F.), capitaine d'artillerie », lire : « capitaine au 355e rég.

d'infanterie ».

Infanterie.

6 décembre 1919, page 14052, lre colonne, 5e alinéa, au lieu de : « M. Courtheoux (J. A.), lieutenant du 91e rég. d'infanterie, passe au 45* rég. territorial d'infanterie », lire : « passe au 22e rég. territorial d'infanterie » ; 2e colonne, avant-dernier alinéa, au lieu de : « M. Mandin (IL-L.), sous-lieutenant du 93* rég. d'infanterie, passe au 93e rég. territorial d'infanterie, lire : « passe au 83e rég. territorial d'infanterie » ; 3e colonne, 238 alinéa, au lieu de : « M. Eigner (A.), lieutenant du 95e rég. d'infanterie, passe (A.), 62e rég. territorial d'infanterie », lire : au * passe au 41e rég. territorial d'infanterie ».

Page 14053, 3e colonne, 5e alinéa, la mutation conernant M. Guiraud (G.-P.-A.), capitaine du 103e rég. d'infanterie, passe au 31e rég. territorial d'infanterie, est annulée, cet officier se trouvant actuellement dans la situation hors cadres; 10e alinéa, au lieu de: « M. Martin (L.-L.-A.), capitaine au 104e rég. d'infanterie 11 lire : « M. Martin (L.-A.-A.); 11e alinéa, au lieu de : « M. Pauchet (M.-E.-L.), capitaine au lOi* rég. d'infanterie, passe au 35* rég. territorial d'infanterie », lire: « passe au 32e rég. territorial d'infanterie »; 13e alinéa, la mutation concernant M. Pellisson (J.-L.), lieutenant du 104* rég. d'infanterie, passe au 129e rég. territorial d'infanterie est annulée, la démission de cet officier ayant été acceptée.

Page 14054, lre colonne, 3e alinéa, au lieu de : « M. Gonthier de Biren (A.-A.-F.-M.), lieutenant du t.88 rég. d'infanterie, passe au 95e rég. territorial d infanterie », lire : « passe au 968 rég.

territorial d'infanterie p.

Artillerie.

19 novembre 1919 : page 13046, 3* colonne, au lieu de : a chef d'escadron à titre définitif Censier (L.), du 62e rég. », lire : cc à titre temporaire de l'état-major particulier, pare

d'artillerie du 20e corps d'armée, au 392 rég. »; 2, colonne, au lieu de : « capitaine Burdet (J.-F.), du 6e groupe à pied d'Afrique (trésorier au 6e groupe) », lire : « du 6° groupe d'Afrique trésorier, au 6" groupe d'Afrique ».

25 novembre 1919 : page 13381, l15 colonne, au lieu de: « lieutenant Ferry (M.-R.), du 66* rég., au même rég. », lire : « du 60e rég. au même rég.. » ; au lieu de : « Mouneau (C.-E.) », lire : « Monneau (C.-F.) » ; 2c colonne, au lieu de : « Decaussin (A.-C.), du 118e rég. », lire : « du 110e rég. ».

26 novembre 1919: page 13460, ire colonne, au lieu de : 'a M. Brevon », lire : « M. Drevon ».

Train des équipages.

6 décembre 1919 : page 14055, 28 colonne, au lieu de : « les capitaines Duroubier (Jean) », lire : « Duroudier » ; 3e colonne, au lieu de : « les lieutenants Thomas (Georges-Albert), à la T. M. à Sarrebruck,,,, lire : « à la T. M. Il à Sarrebruck ».

Service de santé.

30 novembre 1919 : page 13719, M. Pujo (Gabriel-Roger), au lieu de : « passe gestionnaire de l'hôpital complémentaire n° 14 à Talence », lire : « passe à l'hôpital complémentaire ne 4, à Talence ».

Citations.

5 octobre 1919 : page 10935, Ire colonne, 4e citation, au lieu de : « Castannier (CamilleMarius), mie 44439, soldat à la 88 compagnie du 99e rég. d'infanterie », lire : « Castanier » ; 8e citation, au lieu de : a Boughes (Jules), mie 60, adjudant à la 9e compagnie du 57e rég. d'infanterie », lire : « Bougues »; 28 colonne, 5* citation, concernant Meyrieux (Eugène), mie 838, lieutenant au groupe cycliste du 14e bataillon de chasseurs alpins, au lieu de : « a été grièvement blessé le 22 juillet, alors qu'il visitait ses sections sous le bombardement », lire : « le 21 juillet » ; 9e citation, au lieu de : « Cheyrnaud (Gabriel), mie 23963, caporal à la 6e compagnie de mitrailleuses du 1er rég. de tirailleuramarocainslI, lire: « Cheyreaud » ; 3e colonne, 8e citation, au lieu de : « Veiliet (Gaston-Armand) sous-lieutenant à la ire compagnie de mitrailleuses du 231e rég.

d'infanterie, au cours de l'attaque, étant soutien de la 8e compagnie, a fait preuve de beaucoup de calme et de sang-froid », lire : « du 251e rég. d'infanterie, étant soutien de la 23e compagnie Il ; 9e citation, concernant Kanga Sui Alla, mie 51881, tirailleur à la 2e compagnie du 31e bataillon de tirailleurs sénégalais, au lieu de : « le 26 juillet, a été blessé grièvement à son poste de combat », lire : « le 26 juillet 1917 ».

Page 10936, lre colonne, lre citation, concernant Benassy (Camille-Louis), lieutenant à la 21e compagnie du 281e rég. d'infanterie, au lieu de : « le 21 juin 1938, blessé à la jambe et au bras, n'a consenti à se faire panser que lorsque son subordonné ait reçu les premiers soins », lire : « le 21 juin 1918, eût reçu les premiers soins » ; 2* colonne, ire citation, au lieu de : « Evrard (René-Adolphe-Eugène), mie 014819, soldat à la 3e compagnie du 285e rég. d'infanterie u, lire : « du 28' rég. d'infanterie a.

7 octobre 1919 : page 11018,2e colonne, 1" citation, concernant Dumaine (Henri), soldat de lre classe au 1er rég. d'infanterie coloniale, au lieu de : « mert des suites de blessures reçues en service commandé, le 11 avril 1919, une blessure, deux citations », lire: « le 12 avril 1919, deux citations antérieures » ; 3e colonne, lre citation, concernant le 157e rég. d infanterie, au lieu de : « sous l'énergique impulsion du lieutenant-colonel Du Noyer et Lescheraine, « est particulièrement distingué en Belgique », lire : « Du Noyer de Lescheraine » ; 2' citation, ali lieu : « Deschamps, lieutenant au 4* bataillon de chasseurs d'Afrique », liro - « au 4' rég.

de chasseurs d'Afrique a.

Page 11019 i" colonne, 6* citation, concernant Duval (Henri), zouave à la 1" compagnie du Ie* Fég. de marche d'Afrique, au lieu de : * faisant partie d'une traction débordée par un ennemi en nombre, est resté à son poste », lire : « par un ennemi supérieur en ncmbre »; 2e colonne, 58 citation, au lieu de. « Brillet, premier maître, second de la flotille de l'armée française d'Orient », lire: «Drilîet ».

26 novembre 1919, page 13461, 3e colonne, 2e erratum, - au lieu de : « 9e citation, au lieu de : Guittard (Jean-Louis), lire: Il lre colonne, 9e citation ».

Page 13462, 1 re colonne, 98 erratum au lieu de : « Britah Mostefa ben Mohamed, soldat à la 1" compagnie du 9e rég. de marche de tirailleurs algériens », lire : » Britah Mostefa ben Mohammed ».

1er décembre 1919 : page 13764, 28 colonne 3e erratum, au lieu de : « Ivas (Bernard), tirailleur du bataillon mixte du Pacifique, iire« Ivas Bernard » ; 3? colonne, 6e erratum, au lieu de : « Chevalien (Joseph-Eugène), sergent au 28* rég. d'infanterie », lire : « au 128* rég.

d'infanterie ».

Décorations.

il juin 1916, tableau spécial de la médaille militaire : page 5151, lre colonne, au lieu de : « Donaté (Georges), mie 2792, soldat à la 128 compagnie du 1400 rég. d'infanterie », lire : « Donnaté (Georges) ».

26 janvier 1918, tableau spécial de la médaille militaire : page 940, 28 colonne, au lieu de : « Duboc (Emile), mie 35465, adjudant à la 6e compagnie du rég. de marche de la légion étrangère », lire : « Marest (Jules-Amédée) », 24 juin 1918 : page 5459, lre colonne, supprimer l'erralum concernant l'adjudant Laurence dit Lavanche et le remplacer par le suivant': Erratum au Journal officiel du 13 juin 1918, tableau spécial de la Légion d'honneur : page 5095, ire colonne, au lieu de : « Laurency dit Lavanche (Georges), mie 01923, adjudant (réserve) au 42e bataillon de chasseurs », lire : « Lavanche (Georges) ».

10 avril 1919, tableau spécial de la Légion d'honneur : page 3/55, 3e colonne, au lieu de : « Pour prendre rang du 16 décembre 1918, Pages (Marcel-Paul-Marie), lieutenant à titre temporaire (réserve), au 64e rég. d infanterie », lire : « Pour prendre rang du 14 novembre 1918 ».

9 mai 1919, tableau spécial de la médaille militaire : page 4".93, 28 colonne, supprimer l'inscription au tableau spécial de la médaille militaire du tirailleur Haddouche Ali ben Khelifi, mie 16324, de la 9e compagnie du 1er rég.

de tirailleurs, déjà décoré par arrêté du 30 décembre 1918 (Journal officiel du 5 janvier 1919).

13 juillet 1919, tableau spécial de la Légion d'honneur : page 7253, 1re colonne, au lieu de : « Thiéry (Edouard-Edmond), lieutenant (territorial) au 70e rég. d'infanterie territoriale », lire : « Thierry (Edouard-Edmond) ».

2 août 1919, tableau spécial de la médaille militaire : page 8027, lre colonne, supprimer l'inscription au tableau spécial de la médaille militaire du sergent Balioul Ali ben Ahmed, des troupes de police marocaine déjà décoré par arrêté du '21 avril 1917 (Journal officiel du 22).

Page 8045, 3e colonne, supprimer l'inscription au tableau spécial de la médaille militaire de l'adjudant Maillard (Jean-Joseph), du dépôt du 2ie rég. colonial, décoré par arrêté du 13 octo, bre 1919 (Journal officiel du 23), au titre des armées. t 4 octobre 1919, tableau spécial de la médaille militaire : page 10896, Ir. colonne, au lieu de ; « Detruy (Gilbert-Marius), mie 017471, caporal au 216* rég. d'infanterie. 19* compagnie If..) lire : « Détruit (Gilbert-Marius) ».

23 octobre 1919, tableau spécial de la médaille militaire : page 11741, 1 H colonne, au.

lieu de : « Pour prendre rang du 17 juillet 1919, Maillard (Jean-Joseph), mie 1IC 4893, sergent (active) à la 38 compagnie du 24e rég. d'infanterie coloniale », lire : « Pour prendre rang da 19 mars 1949 ».

25 octobre 1919, tableau spécial de la Légioa d'honneur : page 11859, 2e colonne, au lieu de : « Boittier (Paul), mie 930, sous-lieutenant de réserve à la 21e batterie du 216e rég. d'artillerie » lire : « Boiti-er (active) ».

fer novembre 1919, tableau spécial de la Légion d'honneur d'honneur : page 12220, 28 colonne, après Tardieu (Jeari-Xavier), lieutenant* colonel, lire : « Pour chevalier ».

19 novembre 1919 : page 13088, 28 colonne, au lieu de : Pabis (Maurice) », lire : « Pari* (Maurice).

+


MINISTÈRE DE LA MARINE

f Par décret en date du 10 décembre 1919, est promu dans la lrc section du cadre de l'étatmajor général de l'armée navale :

f Au grade de vice-amiral.

M. le contre-amiral Merveilleux du Vignaux (Marie-Benjamin-Gaston-Jean), en remplacement de M. le vice-amiral Tracou, placé dans la 2e section du cadre de l'état-major général.

f ———————

Par décret en date du 10 décembre 1919, est nommé dans la lre section du cadre de l'étatmajor général de l'armée navale : Au grade de contre-amiral.

M. le capitaine de vaisseau de Faramond de Lafajole (Gontrand-Marie-Auguste), en remplacement de M. le contre-amiral Merveilleux du Vignaux, promu.

; Par décret en date du 10 décembre 1919, a été admis, sur sa demande, dans la 2e section du cadre de l'état-major général de l'armée navale, M. le contre-amiral de Faramond de Lafajole (Gontran-Marie-Auguste) (application de l'article 19, § lsr, de la loi du 16 juin 1917).

———————

Par décret en date du 10 décembre 1919, est nommé dans la 1re section du cadre de l'étatmajor général de l'armée navale : Au grade de contre-amiral.

M. le capitaine de vaisseau Malcor (EmileLouis-Albert), en remplacement de M. le contre-amiral de Faramond de Lafajole, passé sur sa demande dans la 2* section du cadre (réserve).

———————

Par décret en date du 10 décembre 1919, a été promu dans la première section du cadre de l'état-major général de l'armée navale : Au grade de vice-amiral.

* (Pour compter du 26 décembre 1919.) ,.

M. le contre-amiral Barthes (Eugène-MarieClément), en remplacement de M. le viceamiral Rouyer, placé dans 28 section du cadre de l'état-major général de l'armée navale.

——————— .- ———————.

Par décret en date du 10 décembre 1919, est nommé dans la lre section du cadre de l'étatmajor général de l'armée navale, pour compter du 25 décembre 1919 : Au grade de contre amiral.

M. le capitaine de vaisseau Le Vavasseur fMaxime-Haphaël-Marie-EùOllard) , en remplacement de M. le contre-amiral Barthes, promu.

Par décision du 5 décembre 1919, un congé pour affaires personnelles de trois mois à demi-solde a été accordé aux officiers désignés ci-après : M. le capitaine de frégate de Monts de Savasse (M.-J.-B.), du port de Rochefort, pour pompier du 4 février 1920.

> M. le lieutenant de vaisseau Pavot (H.-M.), du port de Toulon, pour compter du 10 décembre 1916.

M.le lieutenant de vaisseau Broussignac (J.-P.-L.), du port de Brest, après son remplacement à 1 artillerie du front de mer d'Ajaccio.

Par décret en date du 8 décembre 1919, M. le lieutenant de vaisseau Mathieu (FrancoisZlouard) a été nommé au commandement du ,ceutte d'aviation maritime de Brest.

Par décision ministérielle du 5 décembre 1919, M. le capitaine de corvette Vernisy (Jules-Marie-Pierre), du port de Brest, a été placé en congé sans solde et hors cadres pour servir aux établissements Mallat, à Paris dans les conditions des décrets des 7 novembre 1906 et 25 juillet 1914 et de la loi du 30 décembre 1913 (art.

33 et 35), pour compter du 5 décembre 1919.

——————— —————— Ont été reconnus admissibles au grade d'officier de 2e classe des équipages de la flotte les premiers maîtres infirmiers dont les noms suivent : CuetT (Claude), Toulon 5397, 16 points 25.

Dorso (Jean), Lorient 1194, 15 points 88.

M. le commissaire en chef de 2e classe de Marqueissac (A. G.), du port de Lorient, continuera ses services à Bizerte, en remplacement de M. le commissaire en chef de 29 classe Loutil, dont la période d'affectation est terminée, et qni ralliera Lorient, son port d'attache. Départ de Marseille par le premier paquebot de février 1920.

M. le commissaire en chef de lre classe Mangin (C.-A.-M.), du port de Brest, maintenu provisoirement à Lorient (Journal officiel du 25 juin 1919), ralliera son port d'attache dès la prise de service dans le port de M. le commissaire en chef de 2e classe Loutil.

» 1 111 —— ■■'il I

M. le commissaire de 1" classe Le Boulanger (J.-T.-A.), du port de Lorient, rapatrié de Bizerte et réservé pour le stage technique des services de l'intendance (Journal officiel du 9 septembre 1919). est autorisé à servir à Toulon à l'exiration du congé de convalescence dont il est titulaire.

Sont rayés des cadres des officiers de réserve de l'armée de mer, par application de l'article 9 du décret du 25 juillet 1897, modifié le 23 octobre 1916, les officiers du corps de santé ciaprès désignés, qui ont dépassé de cinq ans la limite d'âge d'activité des officiers de leur corps et de leur grade : Les médecins en chef de ire classe : MM. Pfihl (Joseph-Henri¡).

Drago (Thomas).

Ludger (llenri-Edmond-Guillaume).

Mercie (Louis:Léon-Gustave).

Nodier (Charles-Mathurin-Simon).

Aubert (Joseph-Louis-Jules-Antoine).

Coquard (Arftoine- Victor-Alfred).

Les médecins en chef de 2e classe : MM. Alix (Léon).

Maget (Lucien-Gabriel).

Plagneux (Louis-Emile-Gustave).

Hervé (Henri-Marie-Victor).

Vergos (Paul-Marie-Edouard).

Vergniaud (Louis-Antoine-Henri).

Les médecins principaux : MM. Soliaud (Charles-Auguste-Edmond).

Miquel (Jean-Antoine-Alfred).

Gueit (Paul-Alexandre).

Esclangoa (Firmin-Victor-Toussaint).

Theron ('L«uis-Camille).

Thamin (Paul-Amaury-Michel-Ange).

Gauran (Jules - Joseph - Charles - FrançoisClément-Guillaume).

Bourguignon (Louis-Emile-Paul). *

Cazanova (Jean-Toussaint).

Bizardel (Jacques-Georges-Maximilien).

Duclot (Dominique-Noël-Joseph).

Desmond-Sicard (Mare-Marie).

Landouar (Jean-Baptiste-Marie).

Petit-Dutailiis (Paul-Marie-Alphonse).

Dumas (Jean-André-Aymar).

Gougaud (Alexandre-Emile).

Les médecins de lre classe : MM. Candé (Jean-Pierre).

Hamon-Dufougeray (Eugène-Marie).

Augier (Pierre-Lucien).

Giraud (Emile-Médcric).

MM. Le Cuziat (Yves-Marie-Alexis).

Triaud (Louis-Marie-Joseph).

Allain (Louis-Marie).

Bourrée (Alexandre-Jules-Marîe).

Vidal (Jean-Louis-Césaire).

Bonnaud (Paul).

Jean (Jean-Athanase).

Plouzane (Edouard-Franc).

Morin (Jean-Gustave-Adolphe).

Les médecins de 2e classe : MM. Marianelli (Pierre-Paul-Albert).

Nourry (Gabriel-Marie).

Capuron (Camille-Auguste).

Les pharmaciens chimistes en chef de lre classe : MM. Billaudeau (Louis-Théodore).

Bourdon (Frédéric-Marie-Raoul).

Les pharmaciens chimistes en chef do 2e classe : MM. Baus (Joseph-Jean-Crtme).

Cavalier (Lazare-Louis).

Reboul (Georges-Frédéric-Antoine), M. le pharmacien chimiste principal Calot (Camille-Casimir-J ean).

Les pharmaciens chimistes de ire classe : MM. Launois (Isidore-Adolphe).

Brousmiche (Edouard-François-Charles).

Par décision ministérielle du 8 décembre 1919 ont été nommés dans le personnel technique du service des travaux hydrauliques, pour compter du jour de ladite décision : A l'emploi d'agent technique de 5e classe.

(Emplois vacants.) A Cherbourg.

2e tour (concours). M. Leterrier (Maurice..

François-Eugène). > 3e tour (concours). M. Pichot (Jean).

5e tour (concours). M. Richard (Augustin).

6e tour (concours). M. Kerlidou (Hippolyte.

Yves-René).

Se tour (concours). M. Cren (Auguste-Je anJoseph-Marie).

9e tour (concours). M. Lurion (Martin).

2e tour (concours). M. Drugeon (Eugène). ,3e tour (concours). M. Lestréhan (CharlesPierre).

( A Brest.

8e tour (concours). M. Le Montagner (Emile-Ambroise).

9' tour (concours). M. Lebrelon (GustaveFrançois).

2' tour (concours). M. Massé (Léon-Pierre).

: A Lorient.

3e tour (concours). M. Le Sellin (AlbertDésiré).

5e tour (concours). M. Thiriet (Paul).

6e tour (concours). M. Hervé (Louis-Félicien) (affectation pour ordre).

8e tour (concours). M. Vincent (CamilleGeorges) (affectation pour ordre).

A Rochefort.

ge tour (concours). M. Masson (Maurice).

A Toulon.

8' tour (concours). M. Bascoul (PAul-AI.

phonse). (F- ge tour (concours). M- Guinchard (Frédério, Marius). -J 2* tour (concours). M. Millet (Auguste).

38 tour (conéours): M. Pezron (MarceauLouis).

5e tour (concours). M. Négri (Antoine).

6e tour (concours). M. Barrin (Marcel).

:

Par décision ministérielle du 8 décembre 1919, M. Le Cabeller, (René), agent technique - (2* Supplément.)


de ire classe des travaux hydrauliques du port de Brest, est affecté, sur sa demande, au port de Lorient.

M. Le Garff (Ludger-Léopold), agent technique de 2e classe des travaux hydrauliques du port de Toulon, est affecté, sur sa demande, au port de Lorient.

M. Besset (Louis-Laurent-Albert), agent technique de 3e classe des travaux hydrauliques du port de Brest, est affecté, sur sa demande, au port de Toulon.

M. Hervé (Louis-Félicien), agent technique de 3e classe des travaux hydrauliques, nouvellement nommé pour ordre à Lorient, est affecte au port de Brest.

M Vincent (Camille-Georges), agent techn iq ne de 3e classe des travaux hydrauliques, nouvellement nommé pour ordre à Lorient, e t affecté au port de Brest.

Par décision ministérielle du 10 décembre 1919, M. Allain (Mathurin), agent technique de 3* classe des constructions navales du port de Lorient, a été désigné pour continuer ses services à Sidi-Abdallah.

vices à Cet agent sera mis en route à une date qui ■g? lui sera fixée ultérieurement.

f

Par décision ministérielle en date du 8 décembre 1919, M. l'agent technique de 3e classe des constructions navales de Toulon Lararny (Jean-Georges-Emile), a été placé en congé sans solde et hors cadres, à compter du 1er janvier 1920, pour servir à l'industrie dans les conditions des décrets des 7 novembre 1906 et 25 juillet 1914 et de la loi du 30 décembre 1913 (art. 33 et 34).

—..I »! '■

Le ministre do la marine à MM. les vice-amiraux commandant en chef, préfets maritimes, officiers généraux supérieurs et autres commandant à la mer et à terre.

Paris, le 9 décembre 1919.

L'examen des dernières listes trimestrielles des états-majors transmises au département eu exécution des prescriptions de la circulaire du 2 mars 1906 (8. O., p. 253) a montré que, malgré les fréquentés recommandations adressées1 à ce sujet, celles-ci ne sont pas établies avec tout le soin et la régularité désirables.

Il importe que ces listes dont la production a pour objet de permettre de vérifier et de suivre la situation des officiers soient fournies régulièrement et dressées avec le pins grand' soin.

Je vous prie de vouloir bien, en conséquence, donner des ordres aux bâtiments et services placés sous votre autorité pour qu'il soit tenu compte de ces recommandation. ,.

Je saisis cette occasion pour preciser qu'il doit Ctre établi une liste distinc c pour chaque bâtiment ou service. En particulier, chacun des organismes militaires relevant d'un centre administratif doit faire l'objet d'une liste spéciale. Certains centres se sont bornés jusqu'à maintenant à fournir un état collectif dont les indications ne permettent pas de déterminer * à quel service appartiennent les intéressés.

D'autre part, je rappelle que les officiers do marine officiers mécaniciens et officiers des équipages de la flotte étant administrés par le même bureau (bureau de l'état-major de la llotte), il n'y aucun inconvénient à ce que ces Irois catégories d'officiers soient comprises sur la mémo liste.

Le ministre de la marine A MM. les vice-amiraux commandant en chef, préfets maritimes, officiers généraux, supérieurs et autres commandant à la mer et à terre.

Paris, le 8 décembre 1919.

Les envois en disponibilité première catégorie seront repris, à partir du l*r janvier 192), dans les conditions prévues par les articles 143 et suivants du décret du 17 juillet 19J8.

Conformément à la circulaire du 26 octobre 1919, sur le régime des permissions, la durée de la disponibilité première catégorie sera, en principe et jusqu'à nouvel ordre, de deux mois

au minimum. Il est vraisemblable qu'en raison de la situation des effectifs, cette durée sera ultérieurement plus longue, tout au moins pour les gradés de certaines spécialités.

Cette considération et la nécessité de conserver dans les dépôts un nombre d'officiers mariniers disponibles suffisant pour pouvoir donner satisfaction aux demandes de personnel m'ont conduit à adopter le mode de roulement indiqué ci-après ; il n'est pas possible, en effet, de faire bénéficier en même temps de la disponibilité tous les officiers mariniers qui y ont droit, car presque tous sont dans le cas de l'obtenir.

Le premier contingent de gradés à envoyer en disponibilité, à partir du 1er janvier 1920, comprendra les officiers mariniers disponibles, ou qui le deviendront par suite de débarquement ou de remise au service général, réunissant moins de sept années consécutives de présence sous les drapeaux, soit depuis leur incorporation, soit depuis leur rappel de la disponibilité. Le deuxième contingent comprendra tous les autres officiers mariniers réunissant les conditions requises, c'est àdire ceux ayant accompli plus do sept années de présence consécutives depuis leur incorporation ou leur rappel à l'activité, ainsi que les gradés embarqués ou affectés à des emplois à terre ayant moins de sept ans d'activité ; il sera envoyé en disponibilité à partir du 1er mars 1920. Ce mode de procéder a été adopté en vue de pouvoir accorder, si possible, une plus longue période de repos aux gradés qui ont accompli la plus longue période d'activité.

Il demeure entendu que les officiers mariniers qui ont été réintégrés dans les équipages de la flotte et admis dans le cadre de maistrance après avoir été congédiés momentanément, n'auront droit à leur envoi en disponibilité qu'après avoir accompli trois, années d'activité depuis le jour de leur réintégrntion.

En ce qui concerne les officiers mariniers embarqués ou affectés à des emplois à terre, l'année de présence prévue aux article 564 & 2 et 366 § 3 de l'arrêté du 30 juillet 1910, ne sr.ra pas exigé avant l'envoi en disponibilité, sauf pour les instructeurs, ainsi que dans les cas de nécessité absolue, qui devront être soumis à l'appréciation des commandants en chef, ou, s'il y a lieu, du département. En tout état de cause, l'envoi en disponibilité des officiers mariniers embarqués ou affectés à des emplois à terre, reste subordonné à leur remplacement, à moins qu'ils ne deviennent en excédent à l'effectif de leur bâtiment ou service.

Les dispositions de la circulaire du 3 mai 1910 (Bulletin officiel, p. 1019), sont remises en vigueur pour les officiers mariniers de l'armée navale, qui peuvent seuls demander à accomplir trois années d'embarquement, quelle que soit leur situation au point do vue de leur envoi en disponibilité.

Les officiers mariniers fourriers et commis aux vivres en disponibilité pourront solliciter leur rappel à l'activité, dans les conditions de la circulaire du 15 mars 1910, pour être mis à la disposition des services de l'intendance dans les ports, jusqu'au jour où leur tour les appel-

lera a recevoir une aitoctation aéunitive.

Dans lo même ordre d'idées, les envois en congé après réadmission ou rengagement, dans les conditions fixées par l'article 363 du décret du 17 juillet 1908 et par les articles '107 et suivants de l'arrêté du 30 juillet 1910 seront également repris à partir du 1er janvier 1920, mais seulement pour les seconds maîtres et quartiers-maîtras et matelots qui ont souscrit une réadmission ou un rengagement de trois ans.

Jusqu'à nouvel ordre, la durée de ces congés sera de deux mois à solde entière.

Les seconds maitres, quartiers-maîtres et matelots serunt mis en possession du congé auquel ils peuvent avoir droit lorsqu'ils seront disponibles dans les dépôts ou à leur débarquement ou remis au service général ; ceux qui sont embarqués ou affectés à des emplois à tepre seront envoyés en congé, dans les conditions indiquées plus haut pour l'envoi en disponibilité des officiers mariniers qui se trouvent dans la même situation e.u point de vue de l'affectation.

Il demeure entendu que les congés après réadrnission ou rengagement peuvent être remplacés par des permissions de trente à quarante-cinq jours, conformément aux dispositions de l'article 369 du décret du 17 juillet 1903.

GEORGES LKYGUB8.

i i ii ^-mi ■!■■■ ■■

Errata au Journal officiel du 10 décombre 19iy, page 14287, tableau d'avancement et do concours pour la Légion d'honneur du personnel de l'administration centrais de la marine : 3e colonne. Légion d'honneur, pour le grade de chevalier, commis d'administration (inscriptions nouvelles), les quatre candidats doivent être inscrits dans l'ordre suivant : MM. Kervelta (F.-R.-M.), commis d'administration principal de 3* classe.

Le Roux (H. J.-M.-P.), commis d'administration principal de 1" classe.

Parain (J.-E.), commis d'administration principal de 1M classe.

Masson (C.-J.-B.), commis d'administration de 3e classe.

-

Lisle nominative des officiers admis à suivre les cours de l'école supérieure de la marine.

Cochin (J.-P.-D.-M.), du port de Cherbourg, capitaine de corvette à Cherbourg.

Lemarcsquier (J .-H.-E,). du port de Cherbourg, capitaine de corvette commandant le Dehorter.

Perrier (L.-A.), du port de Toulon, capitaine de corvette, en service à Toulon.

Devin (L.-Il.), du port de Toulon, capitaine de corvette, adjoint à i'attaché naval à Home.

Duval (V.-J.), du poi de lorient, capitaine do corvette commandant le Bouclier.

Coutance (J.), du port de Cherbourg, capitaine de corvette à Lorient.

Duplat (E.-A.-II ), du port de Brest, capitaine de corvette commandant la Suippe.

Cayol (L.-M.-G.), du port de Brest, capitaine de corvette, en service à Brest.

Mario (A.-J.-L.), du port de Cherbourg, capitaine de corvette, services 0. D. à Cherhourg.

De Bronac dn Vazelties (J.-H.-F.), du port du Cherbourg, lieutenant do vaisseau, commandant la Luciole.

Le Bigot (J.-J.-G.-M,), du port de Toulon, limitenant do vaisseau, aide de camp du préfet maritime à Brest.

Donval (Y.-V.-M.), du port de Lorient, lieutenant de vaisseau, commandant l'Inconstant.

Moreau (J.-Il.-G.-F.), du port de Toulon, lieutenant de vaisseau, en coné de convolesccnee.

Mouron (L.-J.-L.), du port de Toulon, lieutenant de vaisseau, en service à Paris létatmajor général. 5e section).

Brow'n de Colstoun (D.-A.-J.), du port de Brest, lieutenant de vaisseau, escadriiie do dragage de Bretagne.

Decoux (J.), du port de Toulon, lieutenant de vaisseau, commandant la Gracieuse.

Deslrem (A.-V.-M.), du port de Brest, lieutenant de vaisseau. à Brest.

Auverny (M.-A.-E.-P.), du port de Cherbourg, lieutenant de vaisseau, commandant la Railleuse.

Cotelle (n.), du port de Toulon, lieutenant de vaiisaau, commandant la Capricieuse.

Mac-Grath (W.-A.), du port de Cherbourg, lieutenant de vaisseau, commission permanente do détection littorale.

Tous ces officiers devront se présenter en tenue no 3 à l'école supérieure, 3, avenue Octave-Gréard, le lundi 5 janvier 1920, à dix heures du matin. 1

RMISTÈRE DE L'lHSTBUCTJOI PUBLIEE ET DES BEUH-ADTS

Par décret du Président de la République en date du A décembre 1919, rendu sur le rapport du ministre de l'instruction publique et des beaux arts, M. Ln-Caen, professeur do droit commercial maritime et législation commerciale comparée à la faculté de droit de l'université de Paris, e.t admis, sur sa demande et pour ancienneté d'àgo et de services, à faire valoir ses droits à une pension de retraite à.

dater du 1er décembre 1919.

M. Lyon-Caen est nommé professeur honoraire à ladite faculté.

i i i

Par décret du Président de là République en date du 8 décembre 1919, rendu sur le rapport du ministre de l'instruction publique et des


beaux-arts, M. Simon est nommé professeur de la chaire de chimie appliquée aux corps organiques au Muséum national d'histoire naturelle, en remplacement de M. Arnaud, décédé.

—————— ——————— Par arrêté du ministre de l'instruction publique et des beaux-arts en date du 10 décembre 1919, M. Henri Martin, artiste peintre, mem- 1919, de l'Institut, a été ïiôpimé membre du conseil supérieur de l'enseignement des beaux- arts, en remplacement de M. Roll, décédé.

——————— -

Par arrêté du ministre de l'instruction publique et des beaux-arts en date du 1" décembre 1919: MM. Coudray (André), Hémin (Raoul), ont été nommés calculateurs stagiaires à l'administration centrale des beaux-arts.

——————— ———— 1 ——

Instruction sur la scolarité des sursitaires des classes 1918 et 1919 et dés non-sursitaires de la classe 1918.

Les instructions des 25 mars et 19 décembre 1918, rappelées et complétées par le,# décrets ,lu 10 janvier 1919, ont accordé aux démobilisés des classes 1917 et antérieures les facilités nécessaires pour leur permettre de reprendre le cours de leurs études et réparer, dans la mesure du possible, le tort qu'avait causé à ces jeunes gens leur maintien sous les drapeaux.

Il convient aujourd'hui de déterminer 'dans quelles conditions les étudiants des classes 1918 et 1919 qui ont pu, en exécution des circulaires de M. le président du conseil, ministre (le la guerre, en date des 24 août et 26 octobre 1919, obtenir un sursis, seront admis à poursuivre leur scolarité.

Il ne saurait évidemment être question d'étendre à ces jeunes gens, qui n'ont accompli au maximum que deux ans et demi de service militaire et se trouvent ainsi dans une situation privilégiée, le bénéfice des « mesures réparatrices » prises en faveur ae leurs aînés. Il s'agit 'seulement de fixer les conditions dans lesquelles sera établi le raccord entre les études interrompues par leur incorporation et celles qu'ils se proposent de reprendre présentement.

Enfin il y a intérêt à prendre dès maintenant des dispositions en faveur des jeunes gens de la classe 1918 qui n'ont pu obtenir de sursis et ,-ne seront, de ce fait, vraisemblablement rendue à la vie civile que vers la fin de mars ou le début d'avril 1920. Sans leur accorder intégralement le bénéfice des décrets du 10 janvier 1919, il paraît équitable de prévoir en leur faveur les facilités nécessaires pour remédier à la situation défavorable dans laquelle ces étudiants se trouveront vis-à-vis de leurs camarades qui auront été mis en sursis.

C'est de cet esprit que s'inspirent les dispositions de la présente instruction ; elles permettront en effet aux non-sursitaires de la classe 1518 de se trouver en juillet 1921, au plus tard, dans une situation scolaire exactement semblable à celle des sursitaires de la même classe.

A. —• Etudiants des classes 1918 et 1910 bénéficiant d'un sursis.

1° Etudiants dont la scolarité a été interrompue en cours d'année par leur incorporation. — Ces jeunes gens devaient avoir normalement troi8'inscriptions (novembre, janvier et mars). La quatrième leur sera délivrée immédiatement. Ils seront autorisés à subir en janvier l'examen de fin d'année correspondant et, s'ils sont admis, à prendre ensuite deux inscriptions cumulatives, de façon à poursuivre normalement leur scolarité et à passer l'examen suivant en juin-juillet.

Pour les études comportant des stages ou des travaux pratiques, ils devront justifier de deux mois continus de stage ou de travaux praques.

t i 2° Etudiants pourvus du baccalauréat ou ayant accompli une ou plusieurs années de scolarité complète (examen compris). — ils doivent, dès maintenant, commmencer ou poursuivre une scolarité normale.

30 Etudiants pourvut de la 1M partie du baccalauréat. — Ces jeunes gens seront autorisés à passer la 2e partie à la session spéciale de janvier (programme normal) et, en cas de succès, a prendre cumulativement les deux premières inscriptions. Ils poursuivront ensuite une scolarité régulière. -

•i° Candidats à la lrc partie du baccalauréat.

— Ces étudiants seront autorisés à passer la première partie en janvier (programme normal) et la deuxième en juin-juillet (programme normal).

B. — Ftudiants non-sursitaires de la classe 1918.

10 Etudiants dont la scolarité a été interrompue par leur incorporation. — Ces jeunes gens qui devaient être normalement pourvus de de trois inscriptions lors de leur appel sous les drapeaux prendront la quatrième en mai 1920 et subiront en juillet l'examen de fin d'année correspondant. Ils seront ensuite autorisés à prendre cumulativement deux inscriptions en novembre et deux inscriptions en janvier, de façon à subir dès le mois de janvier 1921 le deuxième examen de fin d'année. Les quatre inscriptions suivantes leur seront délivrées pendant le semestre février-juillet 1921 de façon à leur permettre de se présenter en juillet à l'examen correspondant. Ils poursuivront ensuite une scolarité normale. Pour les études qui comportent des stages ou des travaux pratiques, ils devront justifier d'au moins deux mois continus de stage ou de travaux pratiques.

20 Etudiants pourvus du baccalauréat ou ayant accompli une ou deux années de scolarité complète (examen compris). — Ils seront autorisés à prendre, en mai 1920, quatre inscriptions cumulatives et à subir, en juillet ou octobre, l'examen correspondant, pour continuer ensuite une scolarité normale. Ils devront, s'il y a lieu, justifier de deux mois de stage ou de travaux pratiques.

3° Candidats à la 2e partie du baccalauréat.

— Ces étudiants seront autorisés à passer, en juillet 1920, la deuxième partie (programme restreint). Ils pourront prendre ensuite quatre inscriptions cumulatives pendant le premier trimestre de l'année scolaire 1910-1921 et subiront en janvier le premier examen. Ils seront également autorisés à prendre quatre inscriptions au cours du premier semestre 1921 et à passer en juillet l'examen suivant. S'il y a lieu, pour chaque examen, ils devront justifier de deux ipois de stage et de travaux pratiques. Ils poursuivront ensuite une scolarité régulière.

4° Candidats à la première partie. — Ces jeunes gens pourront subir en juillet 1920 les épreuves de la première partie (programme restreint) et en janvier 1921 la deuxième partie (programme restreint). Autorisés à prendre, en janvier, deux inscriptions cumulatives, ils commenceront ensuite une scolarité normale.

Il reste d'ailleurs bien entendu qu'indépendamment des mesures bienveillantes accordées par la présente instruction, les étudiants qu'elle concerne (sursitaires des classes 1918 et 1919 et non-sursitaires de la classe 1918) pourront, s'ils justifient de services de guerre réellement méritants (blessures, citations, etc.) obtenir, en vertu du décret du 12 juillet 191V des dispenses de titres initiaux et des abréviations de scolarité.

Le ministre de l'instruction publique et des beaux-arts, LÉON BERARD.

MINISTÈRE DES TRAVAUX PUBLICS, DES TRANSPORTS ET DE LA MARINE MARCHANDE

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre des travaux publics, des transports et de la marine marchande, Vu la loi du 22 juillet 1886, qui a : Déclaré d'utilité publique l'établissement, dans le département du Var, d'un chemin de fer d'intérêt local, d'llyèresVille à Fré jus-Saint-Raphaël et des raccor-

dements aux points extrêmes ave. les lignes existantes ; 2° Approuvé la convention passée, le 19 septembre 188i, entre ledit département et la société des ponts et travaux en fer (à laquelle a été substituée la compagnie des chemins de fer du sud de la France) ; ensemble cette convention et le cahier des charges y annexé ; Vu avec les actes y annexés, le décret du 10 juin 1892, qui a : 1° déclaré d'utilité publique l'établissement d'un - tramway de Cogolin à Saint-Tropez ; 2° approuvé la convention passée, le 9 avril 1892, entra ledit département et la compagnie des chemins de fer du sud de la France, pour la rétrocession de l'entreprise ; Vu la loi du 6 juillet 19J1, qui a déclaré d'utilité publique l'établissement d'un chemin de fer d'intérêt local de Toulon à Hyères, et raccordement avec le chemin de fer d'Hyères à Fréj us-Saint-Raphaël ; Vu, avec les actes y annexés, les décrets des 13 décembre 1917, 11 décembre 1918, 15 mars et 13 mai 1919 qui ont approuvé l'allocation et la majoration d'indemnités allouées au personnel, ainsi que différentes majorations temporaires des tarifs en vigueur sur ledit réseau ; Vu la délibération du conseil général du Var en date du 9 mai 1919 ; Vu le rapport du service de contrôle en date du 18 juillet 1919 ; Vu la lettre du préfet du Var en date du 23 juillet 1919 ; Vu l'avenant passé, le 20 novembre 1919, entre le préfet du Var et la compagnie des chemins de fer du sud de la France, à l'effet de payer, avec clîetrétroactif, au personnel de ladite compagnie les campos et congés et de proroger jusqu'au 31 décembre de "-' l'année qui suivra celle de la cessation des hostilités l'allocation des indemnités de cherté de vie et de charges de famille allouées au personnel par les avenants conclus antérieurement ; Vu l'avis du conseil général des ponts et chaussées en date-du 30 juillet 1919; Vu la loi du 31 juillet 1913, relative aux voies ferrées d'intérêt local, modifiée par celle du 22 avril 1916 ; Vu la loi du 30 novembre 1916, relative à l'approbation des accords intervenus entre les concessionnaires de voies ferrées d'intérêt local et l'autorité concédante, à l'effet de modifier les contrats de concessions pendant la durée de la guerre et une période consécutive d'une année au maximum ; Vu la loi du 23 février 1918, qui a prorogé ce délai jusqu'au 31 décembre de l'année suivant celle de la cessation des hostilités,

Décrète : Art. 1er. — Est approuvé l'avenant aux conventions des 25 octobre, 12 novembre 1917, 12 juin 1918, 20 février et 11 avril 1919, intervenu le 20 novembre 1919 entre le préfet du Var, au nom du département et la compagnie des chemins de fer du sud de la France, à l'effet de payer, avec effet rétroactif, à partir du l'r août 1914, au personnel de cette compagnie les campos et congés non accordés et de proroger jusqu'au 31 décembre de l'année qui suivra celle de la cessation des hostilités les accords provisoires, conclus et à conclure, entre le département et la compagnie, sous


le régime des lois susvisées des 30 novembre 1916 et 23 février 1918.

Ledit avenant restera annexé au présent décret.

Art. 2. - Le ministre des travaux publics, des transports et de la mirine marchande est chargé de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel et inséré au Bulletin des lois.

Fait à Paris, le 5 décembre 1919.

R. POINCARR.

Par le Président do la République : Le minisire des travaux publics, des transports et de la marine marchande, A. CLAVEILLE.

AVENANT AUX CONVENTIONS DES 25 OCTOBRK-12 NOVEMBRE 1917, 12 JUIN 1918, 20 FKVRIKR 1919 ET 11 AVRIL 1919 Entre M. IIenrv Bazin, préfet du département du Var, [agissant en celle qualité on vertu de deux délibération:, du conseil général du Var en date du 9 mai 1319, D'une part ; Et la compagnie des chemins de fer du sud de la France, société anonyme au capital de 25 millions de francs, dont le siège social est à Paris, 56, rue de Londres, représentée par M. Georges Poulet, directeur de la compagnie, agissant en cette qualité en vertu d'une délibération du comité do direction en date du 1CI octobre 1919, D'autre part ; Il a été dit et convenu ce qui suit : Art. 1er. — La compagnie payera à son personnel, avec effet rétroactif à partir du 1er août 1914 et jusqu'à concurrence de cinquantedeux jours par an, les campos et les congés qui ne lui ont pas été effectivement accordés ou qui ne pourront pas lui être donnés.

Art. 2. — La compagnie accordera à son personnel des augmentations de traitement qui auront effet, selon qu'il y aura lieu à partir des 1er janvier 1915, 1916, 1917, 1918 et 1919.

Art. 3. — A partir du 1er octobre 1918, le payement des campos et congés, non effectivement accordés au personnel, sera à la charge de la compagnie : pour la période comprise entre le 1er août 1914 et le 3) septembre 1918, la dépense correspondante sera imputée au débit du compte special, institué par les articles 4, 5 et 6 de l'avenant des 25 octobre-12 novembre 1917.

Art. 4. — A partir du 1" janvier 1919, les dépenses, résultant des augmentations de traitement accordées, soit avec effet rétroactif antérieur à cette date, soit postérieurement à cette date, seront à la charge de la compagnie ; les dépenses résultant des avancements accordés avec effet antérieur au 31 décembre 19i8 et jusqu'à cette date, seront imputées au débit dudit compte spécial.

Art. 5. — La mise en vigueur des dispositions résultant des quatre articles qui précèdent ne pourra toutefois avoir lieu que lorsqu'elles entreront également en vigueur sur le réseau d'intérêt général, à la suite de l'approbation des accords que la compagnie aura conclus avec l'Etat au sujet du payement rétroactif des campos et des congés, ainsi que des augmentations de traitements.

Art. 6. — Les allocations de cherté de vie et de charges de famille, instituées par les avenants des 25 octobre, 12 novembre 1917, 20 juin 1918, 20 février 1919 et 11 avril 1919, resteront en vigueur jusqu'au 31 décembre de l'année qui suivra celle au cours de laquelle la cessation officielle des hostilités aura été proDoncée par décret.

Il en sera de même du compte spécial institué par les articles 5 et 6 de l'avenant des 25 octobre-12 novembre 1917, de la prise en charge des allocations complémentaires par le département du Var en vertu de l'article 3 de cet avenant et des majorations temporaires de tarifs qui seront mises en application en vertu do l'article 4 du même avenant.

Il en sera de même encore de toates les autres dispositions des accords provisoires, conclus et à conclure, entre le département et

la compagnie, sous le régime des lois des 30 novembre 1916 et 23 février 1918.

Art. 7. - Tou te5 les dispositions des accords provisoires, conclus sous le régime des deux lois précitées, qui ne sont pas modifiées par le présent avenant, sont et demeurent expressé-, ment maintenues.

Art. 8. — Les frais de timbre du présent avenant, ainsi que les droits d'enregistrement calculés conformément à l'article 40 de la loi du 31 juillet 1913, seront à la charge de la compagnie.

Draguignan, le 20 novembre 1919.

Le préfet du Var, Lu et approuvé, Signé : H. BAZIN.

Paris, le 20 novembre 1919.

Lu et approuvé, Le directeur de la compagnie, Signé : POULET.

1 Par arrêté du 5 décembre 1919, M. Frois, inspecteur départemental du travail, à Paris, a été nommé membre de la commission des distributions d'énergie électrique pour les années 1919 et 1920, en remplacement de M. Seguin, nomme inspecteur divisionnaire.

——————— +-

Par arrêté du commissaire aux transports maritimes et à la marine marchande: M. Hamel (Emile-Jean-Chrisostome), sousclief de bureau de classe exceptionnelle à l'administration centrale des transports maritimes et de la marine marchande (établissement des invalides) est admis, sur sa demande, à faire valoir ses droits à la retraite, à titre d'ancienneté de services, à compter du 31 décembre 1919.

M. Saffroy (Henri), rédacteur principal de 3* classe à l'administration centrale des transports maritimes et de la marine marchande (établissement des invalides) est admis à faire valoir ses droits à la retraite, à titre d'ancienneté de services, à compter du 31 décembre 1919.

Par application de l'article 47 du décret du 9 novembre 1853, modifié le 27 mai 1897, MM. Ilamel et Saffroy sont autorisés à continuer leurs services jusqu'à la délivrance de leur brevet de pension.

iljfo»

Par arrrêté du commissaire aux transports maritimes et à la marine maichande en date du 10 décembre 1919, est nommé à l'emploi de garde pêche mécanicien de 2e classe l'ex-quartier maître mécanieien torpilleur Ainses (Michel).

Le garde mécanicien Ainses est affecté au Cabillot(ile-de-Ré), en remplacement du garde mécanicien Aillaud qui reçoit une autre destination.

BIltlSTÈBE DES CfllCiUES Le Président de la République française, Vu l'article 9, § 2 de la loi organique du 30 novembre 1675; Vu le décret du 20 octobre 1911, fixant les pouvoirs du gouverneur général de l'Indo-Cliine; Sur le rapport du ministre des colonies ; Le conseil des ministres entendu, Décrète : Art. jer. - M. Long (Maurice), député, est chargé à titre de mission temporaire, des fonctions de gouverneur général de l'Indo-Chine, en remplacement de M. Sarraut, démissionnaire. Art. 2. — Le ministre des colonies est chargé de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 10 décembre 1919.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le ministre des colonies, HBNRY SIMON.

Par arrêté du ministre des colonies en date du 9 décembre 1919, les électeurs des ilea Saint-Pierre et Miquelon sont convoqués, àlEt date du 14 mars 1920, à l'effet d'élire leur dë:Ü.

gué au conseil supérieur des colonies.

Par décret en date du 5 décembre 1919, rendu sur la proposition du ministre des colonies M. Fourneau (Lucien-Louis), gouverneur de tre classe des colonies, a élé admis, sur sa demande, et à titre d'ancienneté de services, à faire valoir ses droits à une pension de retraite pour compter du 31 décembre 1919.

Par décret en date du 5 décembre 1919, rendu sur la proposition du ministre des colonies, M. Fourneau (Lucien-Louis), gouverneur de lre classe des colonies, commissaire de la République française au Cameroun, admis à faire valoir ses droits à la retraite, a été nommé gouverneur honoraire des colonies.

———————

Par décret en date du 5 décembre 19D, rendu sur la proposition du ministre des colonies.

M. Carde (Jules-Gaston-IIenri), gouverneur do 38 classe des colonies, a été nommé gouverneur de 2e classe des colonies.

■ —

Par décret en date du 5 décembre 1919, rendu sur la proposition du ministre des colonies, M. Carde (Jules-Gaston-Henri), gouverneur de 2e classe des colonies, chargé de l'intérim des fonctions do commissaire do la République française dans les territoires do l'ancien Cameroun, a été titularisé dans lesdites fonctions, en remplacement de M. Fourneau, admis à faiie valoir ses droits à la retraite.

----.4.

Par décret en date du 5 décembre 1919, rendu sur la proposition du ministre des colonies, ont été nommés dans le personnel des administrateurs coloniaux :

A l'emploi d'administrateur en ehef de 2e classe.

MM. du Chaxel (Marie-Claude-Félix), Jacquier (Pierro-Louis-Léonce), administrateurs do lrc classe.

Par décret en date du 5 décembre 1919, rendu sur la proposition du ministre des colonies, M. Leprince (Jules-Auguste), administrateur en chef de 1re classe des colonies, a été admis, sur sa demande et à titre d'ancienneté de services, à faire valoir ses droits à une pension de retraite, à compter du 31 décembre 1919.

--

Par décret en date du 5 décembre 1919, rendu sur la proposition du ministre des colonies, la démission de son emploi offerte par M. Mary (RaoulllenryAbel-Constantl. administrateur de 3e classe des colonies, a été acceptée pour compter du 1er mai 1919.

4, - ---

Par décret en date du 5 décembre i919, rendu sur la proposition du ministre des colonies, a été acceptée la démission de son emploi offerte par M. Boutonnet (Paulin), administrateur adjoint des colonies, à compter du 19 avril 1918, date de sa nomination au grade de sous-lieutenant à titre définitif dans l'armée active. „ ♦ ———————

Par décret en date du 5 décembre 1S19 rendu sur la proposition du ministre des colonies M. Delacour (Marie-Joseph-Alfred), administra-


tcur adjoint de ire classe des colonies, a été placé d'office et pour raisons de santé dans la position de disponibilité sans traitement, pour une durée d'une année, à compter du 12 novembre 1919.

Par arrêté du ministre des colonies en date du 4 décembre 1919, M. Lamole (Léon-Auguste), administrateur de 1 r'e classe des colonies, nouvellement nommé, a été mis à la disposition de M. le gouverneur général de l'Afrique occidentale française.

- ——————— eo

Par arrêté du ministre des colonies en dato du 4 décembre 1919, M. Rolland de Ravel (Clément-Henri), administrateur adjoint de 3e classe des colonies, du cadre de l'Afrique occidentale française, a été placé dans la position de congé hors cadres et sans solde, pour une durée de deux ans, à compter du 1er mai l'.)19, dans les conditions prévues à l'article 66 du décret du 2 mars 1910, pour servir à l'association cotonr nière coloniale, en qualité d'agent général au Soudan.

_o.. ,

Par arrêté du ministre des colonies en date du 4 décembre 1919, M. Chignac (LaurentAlexandre), administrateur adjoint de 3e classe des colonies, du cadre de l'Afrique occidentale française, a été placé dans la position de congé hors cadres et sans solde, pour une durée de trois ans, dans les conditions prévues à l'article 66 du décret du 2 mars 1910, à compter du 5 novembre 1919, date de son embarquement pour la Syrie.

Ce fonctionnaire sera mis, pendant cette période à la disposition du haut commissaire de France en Syrie. -NOTA. - Les gouverneurs généraux et gouverneurs des colonies, dès l'arrivée du Journal Officiel, notifieront aux intéressés, en service .dans la colonie, les promotions, mutations, décisions dont ils sont l'objet.

La même mesure sera prise par les chefs du service colonial dans les ports en ce qui concerne les fonctionnaires se trouvant en France, en congé, mobilisés, ou pour tout autre cause ; par ailleurs ces chefs de service tiendront immédiatement les intéressés au courant de la solde afférente à leur nouveau grade et s'il y a lieu les dirigeront sur leur nouvelle destination coloniale.

Par arrêté ministériel du 24 novembre 1919, exceptionnellement, le brevet de l'école color niale est accordé aux élèves ayant accompli une année d'études en juillet 1914 et ayant obtenu un nombre de points suffisants pour passer en seconde année : MM. Méric, mort au champ d'honneur, Lafon-Lanouvade. murt au chamn d'hnn-

neur, i Michel, Truc, Rome, de la section indo-chinoise.

MM. Tasson, mort au champ d'honneur, Arcens, Pilley, Vial, 6 De Gentile, Deboudaud, Laure, de la section africaine.

M. Lejeune, mort au champ d'honneur, de 'la section de l'administration pénitentiaire.

o

Par arrêté ministériel du 24 novembre 1919;

les élèves de l'école coloniale dont les noms suivent ont été autorisés, pour l'année d'études; 1919-1920, à changer de section dans les, < conditions suivantes : M. Brasey, reçu au concours de 1913 (section de la magistrature, Indo-Chine), est classé aux sections administratives (section indo-chinoise).

M. Delsalle, classe à La suite du concours de 1916, à la section africaine, est classé' à la section indo-chinoise.

M. Simonel, classé à la suite du concours de 191'2, à la section indo chinoise, est classé à la section africaine.

M. Vally, classé à la suite du concours de 1916, à la section africaine, est classé à la secou indo-chinoise.

——————— ——————— Par arrêté et par décision ministériels des 24 novembre et 5 décembre 1919 ont été admis à suivre les cours de première année de la section spéciale de préparation aux carrières de l'Afrique du Nord, pendant l'année scolaire 1919-11)20: MM. Girollet (André).

Lcmaille Maurice), Muselli' (Marcel).

Beaufils (Léon).

Chastel (Alfred).

«1> RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

Paris, le 3 décembre 1919.

Monsieur le Président, Depuis plusieurs années, diverses lois ont successivement prorogé le privilège des banques coloniales et, parallèlement, ont été maintenues les dispositions du décret du 9 avril 1903 aux termes duquel les bons de caisse émis à la Guadeloupe peuvent être représentés, en tout ou en partie, par des rentes françaises.

Le dernier décret, réglementant la matière est en date du 3 février 1914 et l'effet de ses dispositions, primitivement limité au 31 décembre de la même année, a été successivement porté au 31 décembre 1918, puis au 31 mars 1919, par décrets des 11 avril 1917 et 15 mars 1919, rendus sur le rapport des ministres des colonies et des finances.

Le conseil d'administration de la banque locale a demandé le renouvellement des dispositions du décret du 15 mars 1919 précité.

La commission de surveillance, consultée, a émis un avis favorable au renouvellement pour 1: deux années seulement, à compter du 1er avril 1919 de la faculté accordée à la banque de la Guadeloupe de constituer en-rentes françaises le dépôt de garantie de ses bons de caisse, étant entendu que cette prorogation ne serait plus renouvelée.

Nous partageons cette manière de voir et nous avons, en conséquence, l'honneur de soumettre à votre haute approbation le projet de décret ci-joint préparé à cet effet, en vous priant de vouloir bien, s'il ne soulève pas d'objection de votre part, le revêtir de votre signature.

Nous vous prions d'agréer, monsieur le Président, l'hommage de notre profond respect.

Le ministre des colonies, HENRY SIMON.

Le ministre des finances, L.-L. KLOTZ.

Le Président de. la République française, Sur le rapport du ministre des finances et du ministre des colonies : Vu l'article 6, paragraphe 10 du sênatusconsulte du 3 mai 1854; Vu les décrets des 9 avril 1903, 18 mars 19Q8, 13 avril 1912, 17 janvier 1913, 3 février 1914, 7 mars 1915, 11 avril 1917 et 15 mars 1919 relatifs aux bons de caisse de la Guadeloupe; Vu la loi du 13 décembre 1901, article 15; Vu la loi du 21 mars 1909 portant prorogation du privilège des banques coloniales;

Vu lavis de la commission de surveillance des banques coloniales en date du 5 mai 1919: La conseil d'Etat entendu, Décrète : Art. 1er. — Est prorogé jusqu'au 31 mars 1921.

l'effet du décret du 3 février 1914 concernant la constitution en rentes françaises des bons de caisse dans la colonie de la Guadeloupe.

Art. 2. — Le ministre des colonies et le ministre des finances sont charges,, chacun en ce

qui le concerne, de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 3 décembre 1919.

H. POINCANÉ.

Par le Président de la République : Le ministre des colonies, HENRY SIMON. ** Le ministre des finança*] L.-L. KLOTZ.

+

RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

Paris, le 6 décembre 1919.

Monsieur le Président, J'ai l'honneur de soumettre à votre haute approbation le projet de décret ci-joint, contresigné par M. le ministre des finances, et relatif au personnel de l'inspection générale des travaux publics des colonies.

Le personnel supérieur de ce service est régi actuellement par un décret du 14 octobre 1910, complété par un autre décret de même date déterminant l'organisation et les conditions de fonctionnement de l'inspectiou générale.

Mais à ce personnel en est adjoint un autre, d'agents techniques et de sténo-dactylographes, pour les travaux de dessins, études, atfaires d'ordre et de comptabilité, écritures: ce dernier n'est pas réglementé.

11 m'a paru indispensable de mettre fin à cette situation, ainsi qu'il a été fait pour le personnel similaire du service administratif colonial par le décret du 1er juin 1918, et do mettre par un texte approprié l'organisation de l'inspection générale des travaux publics en harmonie avec la situation réelle.

D'ailleurs, pour plus de simplicité, contrairement aux dispositions adoptées en 1910, la décret présenté est unique et se rapporte a la fois aux cadres du personnel et à l'organisation du service.

En ce qui concerne les fonctionnaires apparu tenant au corps métropolitain des ponts et chaussées, le nouveau texte reproduit en principe et sans modification essentielle les dispositions des deux décrets du 14 octobre 1910.

Pour le personnel des agents techniques et sténodactylographes, le projet de décret reproduit, avec des changements d'espèce sans importance, les dispositions du décret du 1er juin 1918, se rapportant au personnel technique du service administratif colonial. Ori s'est d'ailleurs conformé aux indications de la loi du 6 octobre 1919 relative à l'amélioration des traitements des fonctionnaires de l'Etat.

La réorganisation dont il s'agit permettra au service technique de mon département de faire face aux nécessités résultant de la reprise de l'activité coloniale en matière de travaux publics. J'ai donc l'honneur de vous prier do vouloir bien revêtir de votre signature le projet de décret joint au présent rapport.

Veuillez agréer, monsieur le Président, l'hommage de mon profond respect.

Le ministre des coloniest HENRY SIMON

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre des colonies,

Vu la loi du 9 juin 1853 sur les pcnslon civiles » Vu les articles 55 de la loi de finances du 25 février 1901 et 65 de la loi de finances du.

22 stvril 1905 * Vu la loi du 20 mars 1894 portant création d'un ministère des colonies, ,

Vu le décret du « mai 1896 sur 1 organisation centrale du ministère des colonies, modifié par les décrets des 22 janvier 1898, 11 janvier et 26 février 1901, 9 juin et 9 décembre 1904, 25 novembre 1903, 18 mars 1909, 19 août 1910 et 30 mars 1915 ; Vu le décret du 20 mai 1911 portant réorganisation des services de l'administration centrale des colonies ; Vu les décrets des 17 août 1894,17 août 1897 et 14 octobre 1910 fixant l'organisation de l'inspection générale des travaux publics des. colonies ;


Vu le décret du 5 août 1910 portant réorganisation du personnel des travaux publics et des mines des colonies autres que l'Indo-Chine, la Martinique, la Guadeloupe et la Réunion, modifié par décrets des 7 mars 1913 et 2 mai 1914 ; Vu le décret du 12 octobre 1912 relatif aux versements à la caisse des retraites pour la vieillesse des agents temporaires et agents réceptionnaires du service administratif colonial et de l'inspection générale des travaux publics des colonies; Vu le décret du 10 janvier 1012 port, ant .mod..ification du régime des retraites des diverses catégories de personnel auxiliaire relevant du ministère des colonies, modifié par le décret du 22 septembre 1 * Vu le décret du 10 avril 1915 réorganisant le personnel non commissionné des bureaux de l'administration centrale du ministère des colonies; Vu les décrets des 3 juillet 1897, 14 août 1899, 6 juillet 1904, 10 juin 1905, 14 mai et 8 juin 1906, relatifs au classement et aux indemnités de route et de séjour des fonctionnaires civils et militaires des services coloniaux ; Vu le décret du 2 mars 1910 portant règlement sur la solde et allocations accessoires du personnel colonial modifié par le décret du 13 juin 1912 ; Vu le décret du 1er juin 1918 organisant le personnel technique des cadres permanents et auxiliaires du service administratif colonial; Vu les décrets du 29 juin 1919 portant organisation du ministère des colonies et de l'agence .générale des colonies ; Vu la loi du 6 octobre 1919 portant ouverture de crédits en vue d'améliorer les traitements et salaires des fonctionnaires, agents et ouvriers des services civils de l'Etat, Décrète : Art. 1er. — Le service de l'inspection générale des travaux publics au ministère des colonies est dirigé par l'inspecteur général des travaux publics des colonies.

L'inspecteur général a autorité sur tout le personnel rattaché dans la métropole à ce service. Il présente au ministre les propositions pour la nomination, l'avancement et les distinctions honorifiques en faveur de ce personnel.

Art. 2. — Le service de l'inspection générale des travaux publics des colonies est chargé d'une façon générale de l'étude des questions se rattachant aux travaux publics des colonies, aux réglementations techniques des mines, aux concessions de chemins de fer ou de travaux publics subventionnés ou garantis par l'Etat. Il exerce le contrôle central technique et financier de ces entreprises, il est chargé de l'étude de la réglementation des personnels des services locaux de travaux publics et services s'y rattachant ainsi que de l'administration de ces personnels (recrutement, avancement, mutations, discipline, traitements et accessoires).

A l'inspection générale des travaux publics sont rattachés les secrétariats de la commission de vérification des comptes des chemins de fer et entreprises de travaux publics coloniaux et de la commission de surveillance du chemin de fer et du port de la Réunion.

Le détail des attributions de l'inspection générale des travaux publics des colonies est fixé par des arrêtés du ministre des colonies.

Art. 3. — En dehors du personnel proprement dit de l'administration centrale, le service de l'inspection générale des travaux puJblics des colonies dispose d'un personnel spécial, qui constitue un cadre spécial dont l'effectif est fixé, suivant les nécessités de service et dans les limites des crédits budgétaires affectés à son entretien, sans pouvoir dépasser les maxima suivants : Un inspecteur général chef du service.

Un ingénieur en chef adjoint à l'inspecteur général.

Un ingénieur inspecteur des travaux publics des colonies.

Un ingénieur ou sous-ingénieur.

Deux sous-ingénieurs ou conducteurs' Quatre agents iechniques.

Trois iténQdactylographes, im SOLDES ; Art. 4. — Les soldes et les classes du perJonnal sont fixées comme suit : Les soldes des fonctionnaires appartenant au corps métropolitain des ponts et chaussées

seront celles de leur grade dans leur corps d'origine. A ces soldes pourront s'ajouter des indemnités de fonctions qui seront fixées dans les conditions à déterminer par décret contresigné par le ministre des colonies et par le ministre des finances et par assimilation avec les allocations analogues accordées aux fonctionnaires du ministère des travaux publics attachés aux services centraux de ce département o.u d'autres départements ministériels.

Les soldes des fonctionnaires de l'inspection générale n'appartenant pas au corps des ponts et chaussées sont les suivantes : Inspecteur général des travaux publics des colonies de. 22.00) à 25.000 (par avancement de 3,000 fr.

a l'intervalle de deux années au minimum).

Ingénieur en chef, adjoint à l'inspecteur général. 2. 18.000 à 22.000 (par avancement de 2,000 fr.

à des intervalles de deux années au minimum).

Ingénieurs et ingénieurs inspecteurs :

Principal 18 000 De le classe 17.000 De 2e classe 14.000 De 3e classe 11.000 Sous-ingénieur : Principal 12.000 De 1re classe.,..,.,.,.,.. ll.OOo De 2e classe 10.000 Conducteurs : De lre classe 9.000 De 20 classe 8.000 De 3e classe 7.000 De 46 classe 6.000 Agents techniques principaux : De ire classe 10.000 De 2e classe 9.300 De 3e classe 8.500 De lie classe 7.700 Agents techniques : De lre classe 6.900 De 2e classe 6.100 De 3e classe 5.300 De 4e classe 4.500 Sténo dactylographes : De le classe 7.000 De 2e classe. , , , , , , , , 6.510 De 3e classe 6,(0) De 4e classe 5.5GO De 5e classe 5.000 De G'classe. 4.500 De 7e classe 4.000

L'ingénieur inspecteur reçoit en France ou en cours de traversée la somme ci-dessus indiquée. Aux colonies il reçoit le même traitement auquel s'ajoute pendant le temps de sa mission effective un supplément colonial d'égale importance. Il a droit pendant sa mission au logement, à l'ameublement et aux moyens de transport en nature.

RECRUTEMENT ET NOMINATION

Art. 5. — L'inspecteur général des travaux publics des colonies est nommé par décret du Président de la République, sur rapport du ministre des colonies.

L'ingénieur en chef adjoint à l'inspecteur général et l'ingénieur inspecteur sont nommés par décret, sur le rapport du ministre et la proposition de l'inspecteur général des travaux publics. Les autres fonctionnaires ou agents sont nommés par arrêtés du ministre, sur la proposition de l'inspecteur général.

L'inspecteur général est choisi, soit parmi les inspecteurs généraux ou les ingénieurs en chef du corps des ponts et chaussées, détachés du ministère des travaux publics soit parmi les ingénieurs en chef des travaux publics des colonies ayant exercé, en cette qualité, pendant au moins cinq années, les fonctions d'inspecteur général ou de directeur des travaux publics d'une colonie.

L'ingénieur en chef adjoint à l'inspecteur général est choisi parmi les ingénieurs en chef ou les ingénieurs de lre classe des ponts et chaussées, parmi les ingénieurs inspecteurs des travaux publics des colonies, parmi les inspecteurs généraux, directeurs ou chefs de services des travaux publics aux colonies, ou parmi les ingénieurs attachés depuis au moins

dix ans avec ce grade au ministère des colonies.

L'ingénieur inspecteur est choisi parmi : 1° Les ingénieurs des ponts et chaussées ou des mines, comptant au moins cinq ans doservices dans ce corps.

2° Les ingénieurs attachés avec ce grade au ministère des colonies ou à un service de travaux publics aux colonies depuis au moins cinq ans.

3° Les anciens élèves de l'école polytechnique, ou les anciens élèves de l'école des ponts et chaussées, de l'école supérieure des mines ou de l'école centrale des arts et manufactures, pourvus du diplôme d'ingénieur et ayant effectivement rempli, pendant au moins cinq ans, les fonctions d'ingénieur dans un service de travaux publics, ou ayant été pendant le même temps, en qualité d'ingénieur attachés à des exploitations ou chargés d'exploration de mines.

Les ingénieurs, sous ingénieurs principaux, sous-ingénieurs, conducteurs, sont recrutés : D'une part, parmi les fonctionnaires techniques de l'inspection générale des travaux publics d'un grade immédiatement inférieur et de la classe la plus élevée dans ce grade, par voie d'avancement normal.

D'autre part, parmi les fonctionnaires de même catégorie appartenant aux cadres métropolitains des ponts et chaussées ou des mines.

au cadre des travaux publics des colonies ou, à défaut, parmi les candidats remplissant les conditions fixées par le décret du 5 août 191G pour être nommés, suivant le cas, soit ingénieur, soit sous-ingémeur principal, soit sousingénieur, soit conducteur des travaux publics des colonies.

Les agents techniques n'appartenant pas aux cadres des ponts et chaussées ou des travaux: publics des colonies sont choisis parmi les candidats ayant subi avec succès, dans des conditions qui seront fixées par arrêté du ministro des colonies, un examen dont ie programme sera celui du concours pour le grade d'adjoint technique des ponts et chaussées.

Les sténodactylographes sont recrutés dans des conditions identiques à celles fixées pour les sténodactylographes de l'administration centrale des colonies par l'article 4 du décret du 10 avril 1915 portant réorganisation du personnel non commissionné des bureaux de la dite administration. Ces agents sont admis à la dernière classe de leur emploi.

Les fonctionnaires et agents appartenant déjà à l'administration et nommés dans le ca dre spécial de l'inspection générale des travaux publics sont placés, dans leur corps d'origine, dans la situation de service détaché.

Les candidats aux emplois ci-dessus n'appartenant pas déjà à l'administration coloniale devront annexer à leur demande : 1° Un bulletin de naissance constatant leur qualité de français.

2° Extrait du casier judiciaire ayant morins de trois mois de date. 3° Un certificat de bonne vie et mœurs.

4° Les diplômes universitaires, certificats ou relevés de services établis par les personnes ou les administrations qui les auront antéricu rèment employés.

S'il y a lieu, une pièce établissant leur situation au point de vue militaire.

Arant d'entrer en fonctions, ils seront examinés par un délégué du conseil supérieur de santé des colonies appelé à constater qu'ils ne présentent aucun symptôme de maladie contagieuse de quelque nature que ce soit.

A V ANGEMBNTS

Art. 6. — Pour les fonctionnaires ou agents appartenant au cadre métropolitain des ponts et chaussées ou au cadre général des travaux publics des colonies, les augmentations de solde suivent, dans la limite des crédits affectés à l'entretien du personnel de l'inspection générale, les avancements accordés dans le corps d'origine. En ce qui concerne les agents du cadre général des travaux publics des colonies, les avancements ne pourront avoir lieu qu'à des intervalles de trois années au minimum. nonobstant les dispositions de l'article 12, du decret du 5 août 1910.

Pour les autres agents, les avancements en classe et en grade sont accordés dans les limites des effectifs et des crédits affectés à l'entretien du personnel de l'inspection générale exclusivement au choix, par arrêtés du


ministre sur la proposition de l'inspecteur général, et sous réserve, pour les intéressés, de réunir, dans chaque classe, pour les avancements en classe et dans la première classe de chaque grade, pour les promotions au grade supérieur, au moins deux ans d'ancienneté.

Les fonctionnaires promus à un grade supérieur peuvent être nommés immédiatement à ia classe comportant le traitement immédiatement supérieur à celui dont ils jouissaient dans leur grade antérieur.

DISCIPLINE

Art. 7. — Sous réserve du maintien à l'égard des fonctionnaires ou agents en service détaché des dispositions régissant leurs corps d'origine les mesures disciplinaires applicables au personnel du cadre spécial de l'inspection générale dfes travaux publics des colonies sont les suivantes : 1° Blâme avec inscription au dossier; 2° Rétrogradation en grade ou en classe pouvant comporter un ou plusieurs échelons; 3° Révocation ou licenciement sans indemnité.

Ces peines sont prononcées par le ministre des colonies dans les conditions suivantes : Le blâme, sur la proposition de l'inspecteur général, chef du service.

La rétrogradation, la révocation et le licenciement sans indemnité, après avis d'une commission de discipline dont les membres sont désignés par le ministre des colonies et qui est composée de la façon suivante : ec Ingénieurs, sous-ingénieurs ou conducteurs.

Un fonctionnaire de l'administration centrale des colonies, ayant rang de directeur, président.

Un inspecteur des colonies.

Un ingénienr en chef ou ingénieur des travaux publics, suivant le grade de l'inculpé.

Deux fonctionnaires ou agents du cadre général des travaux publies, de la même catégorie que l'inculpé, mais d'une classe supérieure ou au moins égale, membres.

Un fonctionnaire de l'administration centrale.

ou de l'inspection générale des trayaux publics des colonies, également désigné par Je ministre remplit les fonctions de secrétaire.

l'O. Agents techniques et sténo-dactylographes.

Un fonctionnaire de l'administration centrale des colonies, ayant rang de sous-directeur ou de chef de bureau, président.

Un ingénieur des travaux publics des colonies.

Un sous-chef de bureau ou un rédacteur de l'administration centrale des colonies.

Deux agents appartenant à la même catégorie que l'inculpé mais ayant autant que possible un traitement supérieur ou au moins égal, membres.

Un commis d'ordre et de comptabilité de l'administration centrale ou un agent de l'inspection générale des travaux publics des colonies désigné par le ministre, remplit les fonctions de secrétaire.

Le fonctionnaire ou l'agent incriminé est invité à comparaître devant la commission d'enquête et à exposer personnellement &es moyens de défense. Il peut le faire verbalement et par écrit.

S'il s'y refuse, la commission passe outre après avoir constaté le fait. Il peut également se faire assister devant la commission par un de ses collègues.

L'intéressé a droit, conformément à l'article 65 de la loi de finances du 22 avril 19 j5, à la communication préalable sur place de son dossier intégral.

Les délibérations de la commission doivent, pour être valables, être prises par trois membres au moins, en cas de partage des votes, la voie du président est prépondérante.

DÉPLACEMENTS Art. S.- A l'exception de l'ingénieur inspecteur dont les irais de mission sont réglementés à l'article 4 ci-dessus le personnel du cadre spécial dej'inpection générale des travaux publies est soumis au point de vue des déplacements et des passages aux dispositions du décret du 8 juillet 1897 et des actes subséquents sur la matière.

Les ingénieurs, sous-ingénieurs et condue-

teurs appartenant au cadre général des travaux publics des colonies sont admis à la catégorie correspondant à leur grade dans ce cadre.

CONGÉS Art. 9. — Les prescriptions des règlements sur la solde et les accessoires de solde applicables au personnel de l'administration centrale le sont également d'une manière générale aux fonctionnaires et agents de l'inspection générale des travaux publics.

Les agents techniques et les sténo-dactylographes sont assimilés à ce point de vue au personnel non commissionné des bureaux de l'administration centrale, et les dispositions des cinq premiers paragraphes de l'article 3 du décret du 10 avril 1915 réorganisant ce personnel leur sont également applicables.

LICENCIEMENT POUR INAPTITUDE

Art. 10. — Après une année de présence, la manière de servir des agents techniques et des sténo-dactylographes fait l'objet d'un rapport de l'inspecteur général des travaux publics. Si ce rapport est défavorable, l'intéressé est licencié sans indemnité par décision ministérielle.

Ce licenciement peut également être prononcé dans les mêmes formes pendant tout le cours de ladite année.

LICENCIEMENT POUR RAISON DE SERVICE Art. II. — En dehors des cas prévus par les articles 7 et 10 ci-dessus, le ministre des colonies peut, lorsque les nécessités du service exigent une. réduction d'effectifs, licencier des agents du cadre spécial de l'inspection générale des travaux publics.

Le licenciement s'opère dans ce cas en commençant par les agents nommés les derniers.

Les agents détachés d'une administration métropolitaine et ceux appartenant aux cadres des travaux publics des colonies sont placés en congé d'expectative de réintégration dans les conditions fixées par l'article 68 du décret du 2 mars 1910 sur la solde.

Les autres agents peuvent recevoir, au moment de leur licenciement pour raison de service, une indemnité accordée par décision ministérielle, et dont le montant est équivalent à une période de un à trois mois de solde, suivant leur ancienneté et les ressources budgétaires.

Les agents licenciés dans les conditions indiquées ci-dessus ont un droit de préférence à tous autres à être appelés avec leur- situation antérieure à la première vacance qui se produirait après leur renvoi. Il leur est accordé un délai de quinze jours pour faire connaître s'ils acceptent le nouveau poste qui leur serait ainsi offert. Leur droit est périmé en cas de refus. Si la réintégration est effectuée avant un délai égal à la période qui représente le montant de l'indemnité de licenciement attribuée, il est fait reprise à l'intéressé do la partie do cette indemnité ne correspondant pas réellement à une période de licenciement,

RETRAITES

Art. 1?. — Les fonctionnaires qui seront ultérieurement nommés dans le cadre spécial de l'inspection générale des travaux publics y serviront, s'ils proviennent d'une autre administration. dans les conditions appliquées aux fonctionnaires en service détache. Ils continueront par suite à concourir, s'il y a lieu, pour la pension ou pour les primes personnelles, suivant le statut administratif de leurs corps d'origine.

Un décret rendu dans les conditions de l'article 10 de la loi du 5 avril 1910 déterminera le régime spécial de retraite des agents n'appartenant pas aux catégories précédentes.

Art. 13. — L'inspecteur général quittant le service après cinq années de fonctions dans ce grade, l'ingénieur en chef adjoint à l'inspecteur général quittant le service après huit années de fonctions dans ce grade, peuvent obtenir par décret le titre d'inspecteur général honoraire des travaux publics des colonies.

DISPOSITIONS TRANSITOIRES -

Art 14. — Pour la première formation, le personnel du cadre spécial de l'inspection générale des travaux publics des colonies sera cons-

titué par les fonctionnaires ou agents actuel lement attachés à ce service, qu'ils soient rétribués sur les fonds du budget colonial des budgets locaux ou annexes.

Le classement dans les grades et classes prévus par le présent décret sera fixé pour chacun des fonctionnaires ou agents en service à la date du 1er juillet 1919 par le ministre des colonies, sur la proposition de l'inspecteur général des travaux publics, suivant l'échelle indiquée à l'article 4 et dans la limite des crédits budgétaires.

L'attribution des traitements provenant da ce classement ne sera pas considérée comme un avancement et l'ancienneté des agents comptera du jour de leur dernière promotion.

Jusqu'à la mise en vigueur du decret prévu par le dernier paragraphe de l'article 12, lo personnel visé par cette disposition et actuellement en fonctions à l'inspection générale des travaux publics, continuera, à titre provisoire, à recevoir l'application du décret du 12 octobre 1912.

Art. 15. — L'cfTet des mesures fixées par la présent décret aura lieu à compter du lar juillet 1919.

Art. 16. — Les décrets sus visés du 14 octobre 1910, ainsi que tous autres actes réglementaires, sont abrogés en ce qu'ils ont do contraire au présent décret.

Art. 17. — Le ministre des colonies est chargé de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française et inséré au Bulletin des Lois et au Bulletin officiel du ministère des colonies.

Paris, lo 6 décembre 1919.

R. POICARK.

Par le Président de la République : Le ministre des finances.

L.-L. KLOTZ.

Le ministre des olonies, HENRY SI.MO:f.

BtëiSTlBE DU TRAVAIL ET DE LA PRÉVOYANCE SOCIALE Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre du travail et de la prévoyance socialo, Vu la loi du 2 janvier 1918 et notamment l'article 5 do ladite loi ; Vu la délibération du conseil général des Pyrénées-Orientales en date du 7 octobre 1019 ; Vu l'avis de la commission de rééducation de l'ofllce national des mutilés et réformés de la guerre, en date du 12 novembre 1919; Vu la délibération du comité d'administration de l'office national des mutilés et réformés de la guerre, en date du 11 avril 1919, Décrète : Art, Ie*. — L'article 2 du décret du 18 juin 1919 instituant, dans le département des Pyrénées-Orientales, un comité départemental des mutilés et réformés de la guerre, est modifié ainsi qu'il suit : « Ce comité sera composé de vingt-quatre membres; sa circonscription sera celle du département. »

Art. 2. — Le ministre du travail et de la prévoyance sociale est chargé de 1 exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 30 novembre 1919.

R. POINCA.Ré..

Par le Président de la République : : Le minisire du travail et de la prévoyance sociale, COLLIARD.


Le Président de la République française, 1 Sur le rapport du ministre du travail et 1 de la prévoyance sociale, Vu la loi du 2 janvier 1918 et notamment l'article 5 do ladite loi.

Vu la délibération du conseil général du Doubs, en date du 30 septembre 1919; Vu la .délibération du comité d'administration de l'office national des mutilés et réformés de la guerre, en date du 10 octobre 1919, Décrète : Art. ter. — L'article 2 du décret du 2 juillet 1919 instituant dans le département du Doubs un comité départemental des mutilés et réformés de la guerre est modifié ainsi qu'il suit : « Ce comité sera composé de trente-et-un membres ; sa circonscription sera celle du département. »

Art. 2. — Le ministre du travail et de la prévoyance sociale est chargé de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 30 novembre 1919.

R. POINCARÉ.

Par le Président de la République : Le minisire du travail et de la prévoyance sociale, COLLIARD.

4,

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre du travail et de la prévoyance sociale, Vu la loi du 2 janvier 1918 et notamment l'article 5 de ladite loi; Vu la délibération du conseil général de la Loire, en date du 25 avril 1918 ; Vu l'avis de la commission de rééducation de l'office national des mutilés et réformés de la guerre, en date du 12 novembre 1919; Vu la délibération du comité d'administration de l'office national des mutilés et réformés de la guerre, en date du 21 novembre 1919,

Décrète : Art. 1er. — L'article 2 du décret du 26 mars 1919, instituant, dans le département de la Loire, un comiié départemental des mutilés et réformés de la guerre est modifié ainsi qu'il suit : « Ce comité sera composé de trente membres, sa circonscription sera celle du département. »

Art. 2. — Le ministre du travail et de la prévoyance sociale est chargé de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 30 novembre 1919.

R. POINCARÂ.

Par le Président de la République : Le ministre du travail et de la prévoyance sociale, COLLIA.RD.

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre du travail et de la prévoyance sociale, Vu la loi du 2 janvier 1918, et notamment l'arlicle 5 de ladite loi ;

Vu iz délibôratioa du conseil gênerai de

la iluule-Vienne, en date da. 22 tout 1919t Vu l'avis de la commission de rééditca» lion, en date du 17 octobre i9t9; Vu la délibération du conûlé dVdminis- tration de l'offico national des mutilés et reformés do la guerre, en date du 7 novembre Décrète : Art. 1er. — Il est institué dans le département de la Haute-Vienne, un comité départemental des mutilés et réformés de la guerre.

Art. 2. — Ce comité sera composé de quarante-deux membres ; sa circonscription sera celle du département.

Art. 3. -- Le ministre du travail et de la prévoyance sociale, président de l'office national des mutilés et réformés de la guerre, est chargé de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 30 novembre 1919.

R. POINCARïi.

Par le Président de la République : Le ministre dit travail et de la prévoyance sociale, COLLIARD.

IINISTÈRE DE LA RECONSTITUTION 13 DUSTRIELLE

RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

Paris, le 10 décembre 1919.

Monsieur le Président, L'intensité des fabrications de guerre durant les hostilités avait conduit le Gouvernement à distraire du ministère de la guerre les services de l'artillerie et des poudres et à constituer avec ces services un ministère de l'armement et des fabrications de guerre.

Ce ministère a été transformé à l'armistice, en ministère de la reconstitutioniindustrielle.

Les motifs qui avaient conduit, à distraire du ministère de la guerre le service des poudres n'existant plus aujourd'hui, il nous paraît opportun de replacer ledit service sous l'autorité du ministre de la guerre de qui il dépend en vertu des dispositions ds la loi du 24 juillet 1873 et de la loi du 13 mars 1875.

Tel est le but du projet de décret que nous avons l'honneur de soumettre à votre signature.

Veuillez agréer, monsieur le Président, l'hommage de notre respectueux dévouement.

Le président du conseil, ministre de la gUerre, GEORGES CLEMENCEAU.

Le ministre de la reconstitution industrielle, LOUCHEUR.

Le Président de la République française, Sur le rapport du président du conseil, ministre de la guerre, etdu ministre de la reconstitution industrielle, Vu le décret du 31 décembre 1916 fixant les attributions du ministère de l'armement et des fabrications de guerre et le décret du

3 janvier 1917 relatif aux services au ministère de l'armement et des fabrications le guerrs et aux attributions des soussecrétaires d'Etat des inventions et des fabrications de guerre ; Vu le décret du 20 novembre 1918 portant iransformation du ministère de l'armement ;t des fabrications de guerre en un miniaère de la reconstitution industrielle et fixant les attributions de ce ministère, Décrète : Art. 1er. - Les dispositions des décrets des 3t décembre 1916, 3 janvier 1917 et 26 novembre 1918 sont abrogées en ce qui concerne le service des poudres.

Art. 2, — Le service des poudres (direction, personnel, établissements et services secondaires) est rattaché en totalité au ministère de la guerre.

Toutefois, les officiers et fonctionnaires du service des poudres continueront a faire partie des commissions interministérielles où ils ont été nommés pour y représenter le ministère de la reconstitution industrielle.

Art. 3. Le président du conseil, ministre de la guerre, et le ministre de la reconstitution industrielle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 10 décembre 1919.

R. POING ARE.

Par le Président de la République *.

Le président du conseil, ministre de la guerre, GEORGES CLEMENCEAU.

Le ministre de la reconstitution indHstdellt.

LOUCIIEUR.

-----+-

RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE "FRANÇAIS!

Paris, le 10 décembre 1919.

Monsieur le Président,

Par suite des nécessités de la guerre un certain nombre de services et d'établissements de l'artillerie ont été rattachés le 31 décembre 1916, au ministère de l'armement, et ont été en partie maintenus au ministère de la reconstitution industrielle, le 26 novembre 1918. «

Certains de ces services ou établissements ont fait retour au ministère de la guerre depuis cette dernière date.

Les commissions parlementaires ont expriméle désir de voir revenir au ministère de la guerre le reste de ces services et établissements.

Rien ne s'oppose plus à ce retour et il n'y a, au contraire, que des avantages à placer le plus tôt possible la totalité des établissements de l'artillerie sous une direction unique.

Nous avons donc l'honneur de soumettre à votre signature le projet de décret snivant si vous en approuvez les termes.

Veuillez agréer, monsieur le Président, l'hommage de notre respectueux dévouement.

Le ministre de la reconstitution industrielle,' LOUCIIEUR.

Le président du conseil, ministre de la guerre, GEORGES CLEMENCEAU.


Lo Président de la République française, Sur le rapport du président du conseil, ministre de la guerre, et du ministre de la reconstitution industrielle, Vu le décret du 31 décembre 1916, fixant les attributions du ministre de l'armement et des fabrications de guerre; Vu le décret du 26 novembre 1918, portant transformation du ministère de l'armement et des fabrications de guerre en un ministère de la reconstitution industrielle et fixant les attributions de ce ministère ; Vu l'arrêté interministériel du 22 janvier 1919, transférant au ministère de la guerre divers services ou établissements de l'ancien ministère de l'armement et des fabrications de guerre ; Vu l'arrêté interministériel du 25 juin 1919, transférant au ministère de la guerre, la poudrerie militaire du Bouchot et l'atelier de chargement de Vénissieux, Décrète : Art. 1er. — Tous les anciens services et établissements de l'artillerie qui ont été transférés au ministère de l'armement et des fabrications de guerre, puis au ministère de la reconstitution industrielle, pendant la durée de la guerre, de 1914-1919.

font retour au ministère de la guerre.

Art. 2. — Sont également transférés au ministère de la guerre, tous les services et établissements de l'artillerie crées pendant la guerre de 1914-1919.

Art. 3. — Le président du conseil, ministre de la guerre, et le ministre de la reconstitution industrielle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 10 décembre 1919.

R. rOINCARÉ.

Par le Président de la République : Le président du conseil, ministre de la guerre, GEORGES CLEMENCEAU.

Le ministre de la reconstitution industrielle, LOUCHEUR.

<0.

Par décret en date du 10 décembre 1919, est rejetée une demande de la « société anonyme des mines de Chaudesaigues » en concession de mines de mispickel aurifère et métaux connexes à Chaudesaigues (Cantal).

'■ ■!—I -■ -I

Par décret en date du 10 décembre 1919, est acceptée la renonciation de MM. Auguste Lumière et Max de Lagrevol à la concession de mines de mispickel, pyrite de fer °t autres métaux connexes de Vèze (Cantal).

—————— ——————

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre de la reconstitution industrielle et du ministre des travaux publics, des transports et de la marine marchande, Vu le décret du 20 septembre 1919 sur l'affectation des ingénieurs des mines ; Vu le décret du 23 août 1919 rattachant temporairement l'administration des mines au ministère de la reconstitution industrielle.

Vu les listes, par ordre de mérite, des

élèves de l'école polytechnique, déclarés admissibles dans le service des mines par le jury de classement dans sa séance du 8 novembre 1910, conformément aux dispositions du décret du 1er novembre 1852 ; Vu les engagements souscrits, le 22 octobre 1919, par MM. Raby (Marcel), Betier (Gaston). Blondel (Fernand) et Dumas (Lucien), élèves à l'école polytechnique, comportant l'obligation pour les signataires d'accepter tout emploi qui leur sera attribué en Algérie, dans une colonie française, dans un pays de protectorat français ou à l'étranger, conformément aux conditions qui sont fixées par les articles 2 et 3 du décret du 20 septembre 1919; Vu la lettre du 30 octobre 1919 de M. le ministre des colonies, d'où il résulte que MM. Raby (Marcel), Betier (Gaston), Blondel (Fernand) et Dumas (Lucien) ont été reconnus aptes à faire du service dans une colonie française quelconque, Décrète : Art. 1er. — Sont nommés élèves ingénieurs des mines du service métropolitain, pour prendre rang à comptcrduSnovembre 1919, les anciens élèves de l'école polytechnique dont les noms suivent : Promotion 1912.

MM. Le Besnerais (Robert-Henri).

Delmas (Louis).

Scycr (Pierre-Jules).

Lafay (Pierre-Jules).

Pagallier (Urnri-Marie-Gaston), Descombcs (Claude-Jean).

Promotion 1913.

MM. Duruy (Maurice-Victor).

Pagezy (Henry-Jean).

Blum-Picard (Lambert).

Fontan d'Andon (André-Aimé-Hippolytc).

Mayer (Armand).

Lenhardt (Edgarll-Alexis).

Chanzy (Jacques-Louis-Paul).

Bûcher (Maxime).

Promotion 1916.

M. Vigier (Jean-François-Georges-René), Promotion 1917.

M. Roy (Paul-Maurice-Ferdinand), Lorsque ces élèves ingénieurs seront nommés ingénieurs du corps des mines, ils ne pourront être affectés d'office qu'à des emplois situés dans la France métropolitaine ou dans le bassin de la Sarre.

Art. 2. — Sont nommés élèves ingénieurs des mines du service colonial, pour prendre rang à compter du 8 novembre 1919, les anciens élèves de l'école polytechnique dont les noms suivent : Promotion 1912.

MM. Rahy (Marcel-Jules-Adrien).

Betier (Gaston-Alexandre).

Promotion 1913.

MM. Blondel (Fernand-Albert-Jean).

Dumas (Lucien-Jean-Marie-Baptiste).

Lorsque ces élèves ingénieurs seront nommés ingénieurs du corps des mines, ils pourront être affectés d'office à des emplois situés dans la France métropolitaine, dans le bassin de la Sarre, en Algérie, dans une colonie française, dans, un pays de protectorat français ou à l'étranger, conformément aux conditions qui sont fixées par les articles 2 et 3 du décret du 20 septembre 1919.

Art. 3. — Le ministre de la reconstitution industrielle et le ministre des travaux

publics, des transports et de la marine marchande sont chargés de l'exécution du présent décret.

Fait à Paris, le 7 décembre 1919.

R. rOIcARL Par le Président de la République: Le ministre de la reconstitution industrielle, I.OUCHEUR.

Le ministre des travaux publics, des transports et de la marine marchande, A. CLAVEILLE.

Le ministre de la reconstitution industrielle, sur la proposition du directeur des mines, Vu la loi du 22 avril 1916, et notamment son article 1er, relatif à la taxation des charbons extraits par les mines françaises, dont la validité a été prorogée par la loi du 14 novembre 1919, Arrête: Art. 1er. — Les prix de vente des ,harbon.

extraits de diverses mines françaises, qui avaient été fixés à titre provisoire par des arrêtés antérieurs pour des périodes prenant fin le 1er novembre 1919, sont prorogés jus- qu'aux dates de mise en vigueur des nouveaux prix que des arrêtés ultérieurs fixeront pour ces mines.

Art. 2. — Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.

Fait à Paris, le 10 décembre 1919.

LOUCHEUR.

Pensions (marine).

Par décret du 14 novembre 1919, sur le rapport du ministre de la marine. il est accordé une pension à chacune des veuves dénommées ci-après : COMMUN (Anne), veuve RICOUX. Le mari commis de lrf classe des directions de travaux, décédé' titulaire d'une pension. -Jouissance du 8 juin 1918. 767 fr.

MÈDUS (Marie-Louise), veuve MI LU ET. Le mari premier maître canonnier, décédé titulaire d'une pension. — Jouissance du 4 mai 1919. 767 fr.

JAINE (Thérèse-Fortuné), veuve VENTRE. Le mari premier maître torpilleur, décédé titulaire d'une pension. - Jouissance du 10 janvier 1919 767 fr.

LE BRAS (Emélic-faric), veuve LEBOURGE.

Le mari premier maître torpilleur, décédé titulaire d'une pension. — Jouissance du 4 juin 1919. , , , , , , , , , , , 767 fr.

LEVAVASSEUR ( Pauline-Victorine), veuve BALLOT. Le mari premier maître de timonerie, décédé titulaire d'une pension. — Jouissance du 9 juin 1919 767 fr.

LE SCANFF (Marie-Françoise), veuve GUERLESQUIN. Le mari premier maître de timonerie, décédé titulaire d'une pension. - Jouissance du 30 avril 1919. , 767 fr.

SOULARD (Nathalie), veuve POMMIER. Le mari maître mécanicien, décédé titulaire d'une pension. — Jouissance du 16 janvier 1919. 767 fr.

LAURENT (Joséphine-Eugénie-Céline), veuve GONNAUD. Le mari second maître charpentier, décédé titulaire d'une pension. - JouiSsance du 24 juin 1919 750 IrPOGNT (Marie), veuve SALAUN. Le mari quartier-maître canonnier, -décédé titulaire d'une pension. - Jouissance du 30 septembre 1918. ,. , , ,., 450 fr.

GÛENGANT (Barbe), veuve KERMARREC.

Le mari ouvrier, décédé titulaire d'une pension.

— Jouissance du 3 juin 1919. 375 fr.

CHfiDANE (Philomène-Julie), veuve SCIOU.

Le mari ouvrier, décédé titulaire d'une pension.

Jouissance du 26 avril i9i9. 375 tr.

;


PLANTEC (Anne), veuve LE GALL. Le mari ouvrier, décédé titulaire d'une pension. —

jouissance du 20 m'ai 1919 375 fr.

LERICHE (Maric-IIcnriette-Françoise-Rosalie), veuve LEMAGNEN. Le mari ouvrier, décédé titulaire d'une pension. — Jouissance du 26 novembre 1918. 375 fr.

LE COAT (Marie-Julie), veuve GUILLOU. Le mari ouvrier, décédé titulaire d'une pensIOn. Jouissance du 19 décembre 1918,. 375 fr.

TA PIN (Joséphine-Aiexandrine), veuve DÉMOUSSEAU. Le mari ouvrier, décédé titulaire .-rune pension. — Jouissance du 17 mai 1919.-" o/5 fr.

ROI (Marie), veuve ROUSSET. Le mari ouvrier, décédé titulaire d'une pension. Jouissance du 6 mars 1919. 3 î5 fr.

IJARNAY (Marie-Louise), veuve LE BOUDIC.

Le mari journalier, décédé titulaire d'une pentiion. -- Jouiss. du 8 mars 1919. 365 fr.

Par décret du 14 novembre 1919, sur le rapport du ministre de la marine, il est accordé une pension à chacun des officiers ou assimilés dénommés ci-après : AUBUSSON DE CAVARLAY (Henri-AugusteMarie-Edouard), ingénieur en chef de lrc classe du génie maritime ; 46 ans 9 mois 15 jours de services. — Jouiss. du 1er avril 1919. 5,763 fr.

DANEY DE MARCILLAC (Jean-François), lieutenant de vaisseau ; 37 ans 11 mois 19 jours de services. -Jouiss. du 20 janvier 1919. 3,550 fr.

LABANNÈRE (Jean-Baptiste), lieutenant de vaisseau ; 46 ans 7 mois 20 jours de services.

- Jouissance du 20 juin 1919. 3,70 ) fr.

EYCHENNE (Paul), lieutenant de vaisseau; 43 ans 6 mois 28 jours de services. — Jouissance du 15 juillet 1919. 3,429 fr.

ANDRÉ (Marie-Joseph), lieutenant de vaisseau; 40 ans 3 mois 20 jours de services. —

Jouissance du 16 juillet 1919.,. 3,267 fr.

KERMOGANT (Pierre-Nicolas), mécanicien principal de lve classe; 42 ans 11 mois 27 jours de services. — Jouissance du 31 janvier 1919 :., , , , , , 3,600 fr.

LEBOITEUX (Etienne-Noël), officier d'administration principal des directions de travaux: 48 ans 10 mois 8jours de services. — Jouissance du 1er septembre 1919.,. 4,000 fr.

MÉZERGUES (Charles-Alexandre) , officier d'administration principal des comptables des matières; 40 ans 9 mois 27 jours de services. —

Jouissance du 17 juillet 1919., 3,542 fr.

GERMAIN (Joseph-Philémon), officier d'administration principal des directions de travaux ; 55 ans 1 mois 4 jours de services. - Jouissance du 15 juin 1919.,.,. 4,000 fr.

RA YNACD (François-Christophe), officier de lrc classe des directions de travaux; 35 ans 1 mois de services. — Jouissance du 1er août 1919.,.,., 2,954 fr.

BOURIGEAUD (Jean), officier d'administration de lre classe des comptables des matières; 46 ans 1 mois 16 jours de services. — Jouissance du 1er mai 1919.,.. ,. 3,708 fr.

TALVAS (Adolphe-Louis-Sylvestre), officier d'administration de lre classe des directions de travaux; 44 ans 11 mois 10 jours de service, — Jouissance du 13 mai 1919.. , ,. 3,650 fr.

Par décret du 14 novembre 1919, sur le rapport du ministre de la marine, il est accordé une pension à chacun des marins, militaires ou agents dénommés ci-après : COURBICHE (Jean), commis principal de ir* classe des comptables des matières ; 35 ans 6 mois 13 jours de services. — Jouissance du 1er juillet 1919.,.,. 2,323 fr.

PEBOSCQ (Paul-Frédéric), commis principal de Ir,, classe des comptables des matières ; 33 ans 10 jours de services. — Jouissance du 11r août 1919 2,423 fr.

MOCQUILLON (Martial-Jean), commis principal de ire classe des directions de travaux 40 ans 1 mois 4 jours de services. — Jouissance du 4 mars 1!)19. 2,507 fr.

BA LLAGER (Julien), agent technique principal de 3e classe ; 40 ans 5 mois 22 jours de services. - Jouiss. du 1er avril 1919. 2,1Î0 fr.

Sauf déduction des sommes perçues depuis cette époque sur la pension de 2,113 fr. qui lui a été concède par décret du 17 juin 1919, que la présente annule.

GUYOMARCH (Jean-Louis), premier maître canonnier ; 41 ans 8 mois 2 jours de services.

— Jouissance du 25 mai 1918.,., 1,953 fr.

MONTFORT (Auguste-Emile), premier maître de manœuvre: 43 ans 2 mois 25 jours de services. — Jouissance du 12 avril 1919. 1,998 fr.

SÉVELLEC (Bernard), premier maître de manœuvre; 50 ans 11 mois 14 jours de services.

— Jouissance du 9 avril 919.,. 2,050 fr.

CABEC (François-Marie), premier maître de manœuvre; 45 ans 2 mois 6 jours de services.

— Jouissance du 19 avril 1919.,. 2,050 fr.

PIAT (Alfred-Léopold), premier maître de manœuvre; 38 ans 9 mois 4 jours de services.

— Jouissance du 14 avril 1919. 1,865 fr.

RIDELLER (Guillaume), premier maître de manœuvre ; 41 ans 9 mois 16 jours de services.

— Jouissance du 16 avril 1919.,. 1,955 fr.

CARAËS (Gabriel), premier maitre de manœuvre; 46 ans 9 mois 27 jours de services. —

Jouissance du 25 avril 1919. 2,050 fr.

POULOUIN (Pierre-Marie), premier maitre canonnier, n'ayant pas 2 ans de grade; 43 ans 11 mois 11 jours de services, — Jouissance du 26 mars 1919 1,775 fr.

TILLENON (François), premier maître fusilier; 38 ans 8 mois 4 jours de services.—Jouissance du 13 avril 1919. 1,863 fr, LE BIHAN (Louis-Marie), premier maître fusilier; 42 ans 10 mois de services. -Jouissance du 15 aVl'ill)t\).,..,.,. 1,935 fr.

BIZARD (Joseph-Guillaume-Alexandre), premier maître électricien; 38 ans 11 jours de services. — Jouiss. du 17 avril 1919.. 1,843 fr.

JULOU (Jean-Marie), premier maître timonier; 44 ans 2 mois 29 jours de services. —

Jouissance du 12 avril 1919..,.,. 2,028 fr.

ELAIN (Yves-Clément), premier maître fourrier ; 34 ans 6 mois 10 jours de services. —

Jouissance du 3 avril 1917 1,738 fr.

LE GARFF (PieF), premier maître fourrier; 35 ans 11 mois 6 j t\UfS de services. — Jouissancedul5avritl919. 1..780 fr.

CALVÉ (Ange-Marie-Benjamin), premier maître fourrier; 38 ans 2 mois 4 jours de services.

— Jouissance du 1er mai 19H.I. 1,848 fr.

LE HUEC (Pierre-Marie), premier maître commis; 34 ans 10 mois 29 jours de services. —

Jouissance du 23 aVl'il1919. 1,748 fr.

BATAILLE (Paul-IIubert-Julien -Léon), premier maître armurier; 47 ans 3 mois il jours de Services. — Jouiss du 1ermai 1919. 2,160 fr.

ESVAN (Auguste-Laurent-Marie-Michel), maître mécanicien ; 37 ans 11 mois 5 jours de services. — Jouissance du 26 mars 1919. 1,632 fr.

LE MERDY (Martial-Louis-Xavier), maître mécanicien ; 41 ans 6 mois 6 jours de services. —

Jouissance dul3avrill919. 1,718 fr.

DUCHAMPS (Jean-Paul), maître mécanicien ; 38 ans 7 mois 18 jours de services. — Jouissance du 17 février 1919.,. 1,648 fr.

MAISONNEUVE (Jules-Aristide), maître mécanicien ; 37 ans 11 mois 17 jours de services.

— Jouissance du 13 avril 1919., 1,632 fr.

DANIÉLOU (Hervé-Marie), maître mécanicien : 42 ans 11 mois 10 jours de services. —

Jouissance du 15 avril 1919. 1,752 fr.

LE VÉNEC (Jean-Marie), maître mécanicien ; 41 ans 5 mois 16 jours de services. — Jouissance du 4 avril 1919. 2,055 fr.

HÉLARD (Hervé-Marie), maître mécanicien, n'ayant pas 2 ans de grade ; 38 ans 10 mois 4 jours de services. — Jouissance du 10 avril 1919. 1,654 fr.

TRIBOUCLET (Emile - Louis-Joseph-Baptiste), maître mécanicien ; 39 ans 5 mois 9 jours de services. — Jouiss. du 12 avril 1919. 1,668 fr.

LIORZOU (Etienne), maître mécanicien ; 44 ans 8 mois 11 jours de services. — Jouissance du 12 avril 1919.,. 1,794 fr.

GUESNON (Alfred-Auguste), maître mécanicien n'ayant pas 2 ans de grade; 40 ans 5 mois

14 jours de services. — Jouissance du 16 avril 1919 1,692 fr.

LE MO AL (Théodore-Jean), maître mécanicien ; 41 ans 18 jours de services. — Jouissance du 15 avril 1919.. ; 1,706 fr.

PELLEN (Yves-Marie), maître mécanicien n ayant pas 2 ans de grade; 43 ans 4 mois 2 jours de services. — Jouissance du 12 avril 4919 1,762 fr.

JETJ (Servais), maître chauffeur; 40 ans 8 mois 24 jours de services. — Jouissance du 15 avril 1919.,.,'. 1,694 fr, DALVOET (Jean-Marie), maître chauffeur, n'ayant pas 2 ans de grade; 43 ans il moit 1J jours de services. — Jouissance du 15 avril 1919. 1,480 fr.

CORNALY (Joseph-Marie), maître chauffeur, 40 ans 1 mois'7 jours de services. — Jouissance du9avrit 1919. 1,68i fr.

CANN (René-Marie), second maître mécanicien ; 37 ans 5 mois 18 jours de services. —

Jouissance du 11 avril 1919. 1,350 fr.

MARCHALAND (Hervé), second maître da manœuvre ; 41 ans 10 mois 9 jours de services.

— Jouissance du 10 avril 1919 , 1,438 fr.

BERGOT (Hervé-Marie), second maître de manœuvre; 37 ans 22 jours de services.— Jouissance du 15 avril 1919.,. 1,342 fr.

PICART (Jean-Marie), second maître fusilier; 41 ans 1 mois 24 jours de services. - Jouissance du 15 février 19HÎ..,.,.",.,., 1,423 fr.

CREFF (Goulven), second maître fusilier; 37 ans 1 mois de services. — Jouissance du 20 avril 1919 1,342 fi.

BIGOURDIN (Auguste-Hené), second maître canonnier; 41 ans 2 mois de services. — Jouissance du 11 janvier 1918. 1,423 fr.

BERNARD (François-Marie), second maître canonnier ; 44 ans 3 mois de services. — Jouissancedu8mars 1919. 1,485 fr.

LARNICOL (Pierre-Jean-Marie), second maître canonnier; 42 ans 17 jours de services. —

Jouissance du 13 avril 1919.,. 1,442 fr.

MOREL (Ambroise-Marie), second maitre électricien ; 42 ans 11 mois 1 jour de services.

— Jouissance du 15 février 1919. 1,460 fr.

TRELLU (Pierre-Marie), second maître charpentier; 40 ans 10 mois 20 jours de services. —

Jouissance du 15 avril 1919. 1,702 fr.

LE HIR (Jean-Pierre-Marie), second maître boulanger-coq: 44 ans 1 mois 3 jours de services. — .'ouissance du 10 avril 1919.. 1,483 fr.

NICOLAS (Louis-Marie), second maître boulanger-coq; 42 ans 7 mois 19 jours de services.

- Jouissanco du 24 avril 1919. 1,453 fr.

BOIXIÈRE (Pierre-Jean), second maitre clairon; 36 ans 6 mois 24 jours de services. Jouissance du 19 avril 1919 1,598 fr.

CASTEL (François), second maitre chauffeur'; 40 ans 7 mois 4 jours de services. — Jouissance du 25 février 1919 1,413 fr.

SIMON (Jean-François-Mariei, second maître chautfeur; 40 ans 7 mois 22 jours de services.

—Jouissance du 4 avril 1919 1,413 fr.

GUILLERM (Jean-Louis), second maître chauffeur; 40 ans 11 mois 3 jours de services. —

Jouissance du 14 avril 1919. 1,420 fr.

HERVÉ (François), second maître chauffeur; 42 ans 8 mois 6 jours de services. — Jouissance du 16 avril199.. , , , , , 1,455 fr.

GUENNEC (François-Marie), second maître chauffeur; 42 ans 6 mois 28 jours de services.

— Jouissance du 18 avril 1919..,..,., 1,452 fr.

LE BELLEC (Emile-François-Marie), second maître chauffeur : 43 ans 6 mois 1 jour de services. — Jouissance du 23 avril 1919. 1,472 fr.

VENNEGUEUS (François), quartier maître' fusilier ; 39 ans 11 mois 27 jours de services. Jouissance du 10 décembre 1918 1,020 fr.

LE BARZE (Mathurin), quartier maître chauffeur ; 38 ans 2 mois 26 jours de services. —

Jouissance du 19 mars 1919. ,. , , 833 fr.

LE SOUDÉER (Eugène-Marie-Gonéry), quartier maître tailleur; 43 ans 6 mois 20 jours de services. — Jouissance du 20 avril 1919. 886 fr.

COUILLANDRE (Jean-Yves), quartier maître fusillier ; 41 ans 11 mois 24 jours de services. —

Jouissancedu23avhM919. 870 fr-


SAOS (Valentin-Marie), chef-ouvrier ; 36 ans 7 mois 13 jours de services. — Jouissance du 11 mai 1919.,. 817 fr.

Par décret du 14 novembre 1919, sur le rapport du ministre de la marine, il est accordé une pension à chacun des marins, militaires ou agents dénommes ci-après : BERNARD (Philippe-Séverin), commis principal de lre classe des directions des travaux ; 41 ans 26 jours de services. — Jouissance du 12 juillet 1919.,.,., 2,543 fr.

MAURY (Henri), commis principal de 3e classe des comptables des matières n'ayant pas 2 ans de grade; 29 ans 1 mois de services. — Jouissancedul4aoûtl919. 1,473 fr.

BOUINEAU (Jacques-Désiré), agent technique de 2e classe ; 30 ans 3 mois 3 jours de services.

— Jouissance du 6 mai 1919. 1.320 fr.

L'IIOTEL LIER (Alexandre-Marie), premier maître mécanicien ; 42 ans 1 mois 2 jours de services. — Jouiss. du 1er avril 1919.. 2,075 fr.

LANN (Jean-François-Hervé), premier maître canonnier; 38 ans 8 mois 4 jours de services.

— Jouissance du 26 mars 1919. 1,863 fr.

NEUHRlSSE (Antoine), premier maître électricien - 42 ans 3 mois 6 jours de services. —

Jouissance du 15 février 1919 1,970 fr.

BANNAIRE (Louis-Marie), premier maître électricien ; 44 ans 4 mois 23 jours de services.

— Jouissance du 30 avril 1919. 2,033 fr.

LAVANANT (Gabriel), premier maître électricien ; 44 ans 9 mois de services. — Jouissance du 6 mai 1919. 1,794 fr.

LANNUZEL (Prigent-Félix-Ambroise), premier maître de manœuvre ; 52 ans 6 mois 25 jours de services. - Jouiss. du 1er mai 1919. 2,050 fr.

LE CORVOISJER (François-Marie), premier maître fusilier : 38 ans 10 mois 14 jours de services.— Jouiss. du 15 février 1919. 1,868 fr.

SCOUARNEC (Joseph-Paul), premier maître fusilier ; 41 ans 8 mois 14 jours de services. —

Jouissance du 11r mai 1919.,.,., 1,953 fr.

NICOLAS (Renê-Touis), premier maître fusilier n'ayant pas 2 ans de grade ; 43 ans 10 mois 29 jours de services —Jouissance du 27 avril 1919. , , , 1,773 fr.

PÉRIER D'HAUTERIVE (Adolphe-Pierre-Marie), premier maître de timonerie ; 41 ans 3 mois 28 jours de services. — Jouissance du 3 mars 1917,.,. 1,940 fr.

LARS (Ollivier-Marie), premier maître timonier ; 42 ans 10 mois 13 jours de services. —

Jouissance du 21 mars 1919. 1,988 fr.

PALUT (Eloi), premier maître timonier; 41 ans 4 mois 9 jours de services. — Jouissance du 7 mai 1919,., .,. 1,943 fr.

ILIOU (Jean-Louis), premier maître fourrier; 45 ans 2 jours de services. Jouissance du 5 mai 1919. 2,460 fr.

CHAMONIN ( Gustave Jean-Louis), premier maître armurier; 42 ans 21 jours de services.

— Jouissance du 1er nril1919. 1,963 fr.

MADÉ (Frédéric-Louis), premier maître armUrier; 42 ans 5 mois 8 jours de services. —

Jouissance du 13 mai 1919. 1,975 fr.

LOUTY (Julien-Pierre-François), maître canonnier ; 39 ans 4 mois 5 iours de services — Jouissance du 26 mars 1919; 1,660 fr.

VOURCII (François Marie), maître canonnier t 43 ans 11 mois 10 jours de services. — Jouissance du 19 avril 19i9. 1,775 fr.

RIOU (Jean-François-Yves), maître fusilier; 37 ans 2 mois 29 jours de services. — Jouissance du 26 avril 1919 -. 1,606 fr.

PROVOST (Henri-Louis), maître mécanicien ; 33 ans 2 mois de services. — Jouissance du 1er juillet 1914 1,805 fr.

Prescription interrompue.

MORVAN (Henri-Joseph-Marie), maître mécanicien ; 41 ans 4 mois 3 jours de services. —

Jouissance du 25 mars 1919 2,053 fr.

TREIIORET (Jean-Marie), maître mécanicien; 38 ans 11 mois 24 jours de services. — Jouissance du 25 mars 1919. ,.. , 1,656 fr.

CHASSAIGNE (Pierre), maître mécanicien; 43 ans 2 mois 5 jours de services. — Jouissance du 29 mars 1919.,. 2,108 te.

LE GAOUYAT (Guillaume-Marie), maître mécanicien; 41 ans 2 mois 3 jours de services. —

Jouissance du 1er avril 1919. 1,710 Cr'.

GAU (Emile-Désiré), maître mécanicien; 46 ans 10 mois 19 jours de services. — Jouissance du 9 avril 1919.,. 2,160 fr.

LE CAM (Michel-Marie), maître mécanicien ; 42 ans 2 mois 27 jours de services. — Jouissance du 19 ayril 1919 1,734 fr.

OZANNE (François), maître mécanicien : 42 ans 5 mois 17 jours de services. — Jouissance du 23 avril 1919.,.,. 1,740 fr.

KERMEN (Charles-Marie), maître mécanicien ; 39 ans 11 mois 26 jours de services. — Jouissance du 27 avril 1919.,. 1,680 fr.

SANQUER (Jacques), maître commis n'ayant pas 2 ans de grade ; 40 ans 8 mois 25 jours de services. - Jouiss. du 16 février 1919.. 1,415 fr.

CLOCHON (Alexandre-Barthélémy), maître voilier; 41 ans 6 mois 22 jours de services. —

Jouissance du 11 avri11919.,.,. 1,715 fr.

PESNEL (César-Victor), maître armurier; 36 ans 7 mois il jours de services. — Jouissance du 1er mai 1919.,.,. 1,603 fr.

LE STUM (Jfian), maître chauffeur ; 45 ans 1 mois 20 jours de services. — Jouissance du 18 avril 1919. ,.,.,.,.',.,., 1,800 fr.

SOLLIER (Jean-Marie-Victor), maître chauffeur; 41 ans 9 mois 23 jours de services. —

Jouissance du 23 avril 119. 1,721 fr.

VOISARD (Jean-Marie-Charles), second maître de manœuvre : 40 ans 6 mois 7 jours de services. - Jouiss. du 15 avril 1919.. 1,412 fr.

CADIC (François-Marie), second maître canonnier : 40 ans 9 mois de services. — Jouissance du 25 mars 1919.,..,. 1,415 fr.

GALÉRON (Pierre-Olivier), second maître canonnier ; 44 ans 2 mois 22 jours de services. —

Jouissance du 19 avril 1919. 1,485 fr.

JÉZÉQUEL (Jean-Marie), second maître timonier; 42 ans 1 mois 11 jours de services.— Jouissance du 26 avril 1919 1,443 fr.

LE TOULLEC (Yves), second maître mécanicien ; 38 ans 2 mois 17 jours de services. —

Jouissance du 4 avril 1919. 1,365 fr.

SALAÛN (Yves-Monna), second maître fusilier; 37 ans 9 mois S jours de services. —

Jouissance du 25 mars 1919..,. 1,357 fr.

QUINQUIS (Jean-Victor), second maître fusilier; 38 ans 9 mois 10 jours de services. —

Jouissance du 6 avril 1919.. ,.,. 1,377 fr.

KERBRAT (Baptiste-Elie-Auguste), second maître fusilier; 34 ans 7 mois 10 jours de services.

— Jouissance du 29 avril 1919. 1,293 fr.

LE BÉGIN (Eugène-Marie), second maître électricien; 46 ans 6 mois 11 jours de services.

— Jouissance du 16 février 1919. 1,500 fr.

CREN (Yves Marie), second maître électricien; 38 ans 9 mois 2 jours de services. —

Jouissance du 10 mai 1919. 1,377 fr.

LE CUFF (Jean-François), second maître chauffeur ; 42 ans 1 mois 7 jours de services.— Jouissance du 2 avril 1919 , , 1,443 fr.

MAZÉ (François-Marie), second maître chauffeur ; 42 ans 7 mois 5 jours de services. —

Jouissance du 27 avril 1919. ,. , , , 1,453 fr.

COHENNER (Jean-Guillaume), quartier maître chauffeur; 40 ans 2 mois 23 jours de services.

— Jouissance du 3 avril 1919. 853 fr.

QUIDELLEUR (Divy), quartier maître chauffeur; 32 ans 5 mois 24 jours de services. — Jouissance du 8 mai 1919. 930 fr.

ROUHAUD (Jean), chef ouvrier; 34 ans 2 mois 27 jours de services. — Jouissance du 3 avril i919. 793 fr.

Par décret du 21 novembre 1919, sur le rap port du ministre de la marine, il est accordé une pension à chacun des officiers ou assimilés dénommés ci-après :

DOUCET (Pierre), officier d'administration principal d'artillerie coloniale ; 57 ans 2 mois 8 jours de services. — Jouissance du 15 avril 1919 4.0C0 fr.

Par décret du 21 novembre 1919, sur le rapport du ministre de la marine, il est accordé

une pension à chacun dos marins, militaires ou agents dénommés ci-après : LEMARIÉ ( Léon-Eugène-Pierre ), commis principal de lrc classe des directions de travaux; 43 ans 4 mois 21 jours de services.— Jouissance du 15 juillet 1919. ft637 fr.

ROBIN (Lucien-Eugène), commis ^flhcïpal de ire classe des comptables des matières; 3i ans 10 mois 24 jours de services. — Jouissance du 1er août 1919 2»297 fr.

BROCA (Louis), commis principal de irc classe des comptables des matières ; 49 ans 16 joun de services. — Jouiss. du ï mai 1919.. 2,930 fr.

BOUET (Théodore), commis principal de lre classe des services administratifs ; 39 ans .10 mois 22 jours de services. — Jouissance du 28 juin 1919.,.,.",., 2,497 f r, WEISS (Armand-Paul), commis de 2e classe des directions des travaux; 31 ans 8 mois 10 jours de services. — Jouissance du 15 juillet 1919. ,.., , , , ., , , ., , , 1,363 fr.

PONDAVEN (Eugène), agent technique de 2e classe, n'ayant pas 2 ans de grade; 30 ans 2 mois 4 jours de services. — Jouissance du 1er août 1919. 1,318 fr.

LE MOAL (Henry-Emile), agent technique de 3e classe ; 30 ans 11 mois 9 jours de services. —

Jouissance du 1er août 1919 1,340 fr.

GUILLOTEAU (Charles), agent technique de 3e classe des directions de travaux; 35 ans 4 mois 19 jours de services. — Jouissance du 1er septembre 1919.,.,. 1,473 fr.

MAHÉ (Antoine), maître principal électricien n'ayant pas 2 ans de grade ; 48 ans 5 mois 25 jours de services. — Jouissance du 15 février 1919. 2,160 fr.

COLLET (Jean-Marie), maître principal fusilier n'ayant pas 2 ans de grade ; 36 ans 8 mois 24 jours de services. — Jouissance du 2 avril 1919. i. 803 fr.

BLANCIIET (Joseph-Ange-Marie) , premier maître pilote ; 48 ans 3 mois 16 jours de services. — Jouiss. du 1er janvier 1919. 2,460 fr.

MARSOLET (Emile-Henri), premier maître mécanicien; 37 ans 5 mois 14 jours de services.

-— Jouissance du 19 février 1919." 1,935 fr.

LOUISE (Alphonse-René), premier maîtro mécanicien ; 41 ans 11 jours de services. —

Jouissance du 8 avril 1919. 2,Oi2 fr.

LALANNE (Laurent), premier maître fourrier; 35 ans 6 mois 19 jours de services. —

Jouissance du 14 avril 1919 1,708 fr.

LE GUÉVEL (Ténénan), premier maître infirmier; 39 ans 8 mois 19 jours de services. —

Jouissance du 10 décembre 1918., 1,893 fr.

COTTEL (Yves-Marie), premier maître de manœuvre ; 45 ans 7 jours de services. — Jouissance du 1er avril 1919.,. 2,050 fr.

JÉGO (Joseph-Marie), premier maître de manœuvre ; 44 ans 6 mois 10 jours de services.

— Jouissance du 26 mars 1919.,. 2,033 fr.

LE GUEN (Joseph-Marie), premier maître de manœuvre ; 48 ans 8 mois 10 jours de services.

— Jouissance du 15 février 1919. , ,. 2,050 fr.

DAGORNE (Jean-Marie), premier maître de manœuvre ; 47 ans 6 mois 21 jours de services.

— Jouissance du 10 mai 1919. 2,050 fr.

KERZRÉIIO (François-Victor), premier maître commis ; 39 ans 4 mois 2 jours de services.

— Jouissance du 15 avril 1919. 1,883 fr.

ROPARS (Joseph), premier maître commis ; 44 ans 9 mois de services. — Jouissance du 15 avril 1919. 2,451 fr.

BELLEC (Yves), premier maître charpentier ; 42 ans 7 mois 19 jours de services.

sance du 17 janvier 1919 ■ LE BLANC (François-Marie), premier maître charpentier ; 43 ans 7 mois 13 jours de serYlces.

— Jouissance du 8 avril 1919..,. 2,010 fr.

LUCAS (François), premier maître canonnier; 41 ans 10 mois 4 jours de services, - Jouissance du 12 mai 1919 1,958 fr.

PRIGENT (François-Marie), premier maître canonnier n'ayant pas deux ans de grade ; 48 ans 11 mois21 jours de services. — Jouissance du 11 mai 1919.,..,.,. 1,800 fr.

LE GOFF (François-Marie), premier maître électricien: 39 ans 11 jours de services. —

Jouissance du 2 août 1911. 1873 fr.


TEXIER (Joseph-Alexandre), premier maître électricien; 39 ans 10 mois 29 jours de services. - Jouissance du 4 mars 1917. 1898 fr.

BRENNER (Corentin-Julien), premier maître fusilier ; 41 ans 3 mois 23 jours de services.

— Jouissance 2 avril 1919 1940 fr.

POSTIC (Joseph), premier maîtrè fusilier ; 39 ans 4 mois 22 jours de services. — Jouissance du 31 juillet 1918. 1883 fr.

LE BOZEC (Jean-François), premier maître des directions du port; 43 ans 9 mois 26 jours de services. — Jouissance du 22 juillet 1919. 2015 fr.

LAIZET (Pierre-Marie), maître commis ; 39 ans 20 jours de services. — Jouissance du 1er mai 1919.,.. 1.658 fr.

MARTIN (Guillaume-Marie), maître commis; 40 ans 5 mois 10 jours de services. — Jouissance du 6 avril 1919.,. 1,688 fr.

SPAGNOL (AUain- Marie), maître commis 33 ans 10 mois 8 jours de services. — Jouissance du 25 mars 1919.,. 1,648 fr.

MANIVEL (Louis-Marie), maître mécanicien ; 41 ans 9 mois 4 jours de services. — Jouissance du 25 avril 1919 1.724 fr.

LUCAS (Auguste-François), maître mécanicien : 42 ans 11 mois 4 jours de services. —

Jouissance du 25 avril i919. 2,100 fr.

PERRON (Jean-Marie), maître mécanicien ; 38 ans 3 mois 28 jours de services. — Jouissance du 5 avril 1919.,. 1,640 fr.

DÉTRIE (François-Ernest), maître mécanicien ; 44 ans 13 jours de services. - Jouissance du 26 mars 1919 2,132 fr.

MAXIMI (Dominique-Jean-Marie), maître mécanicien ; 44 ans 8 mois 8 jours de services. —

Jouissance du 26 avril 1919. 1,794 fr.

TOBY (Jean-Marie), maître mécanicien; 42 ans 1 mois 5 jours de services. — Jouissance du 26 mars 1919 1,732 fr.

MÉTAYER (Jean-Marie), maître mécanicien ; A6 ans 7 jours de services. — Jouissance du 3) avril 1919.,. 1,800 fr.

MA1LLOUX (Jules-François), maître mécanicien ; 39 ans 11 mois 11 jours de services. —

Jouissance du 3 avril 1919., 1,680 fr.

IlERVf (Théophile-Marie), maître mécanicien ; 45 ans 8 mois 1 jour de services. —Jouissance du 27 avril 1919 2,160 fr.

KEROMNÊS (Pierre-François), maître mécanicien; 36 ans 4 mois 19 jours de services. —

Jouissance du 22 mars 1919. 1,594 fr.

BASTARD (François-Marie), maître patron pilote ; 4'1 ans 2 mois 1 jour de services. —

J onissance du 22 avril 1919., , , , , 1,781 fr.

IAlIÉ (Emmanuel), maître canonnier ; 39 ans 8 mois 22 jours de services. — Jouissance du 29 avril 1919 1,669 fr.

MONCUS (Pierre), maître fusilier ; 40 ans 11 mois 11 jours de services. — Jouissance du 8 avril 1919 1,703 fr.

LOZACII (François-Marie), maître fusilier; 42 ans 2 mois 9 jours de services.— Jouissance du 23 avril 1919 1,731 fr.

NICOLAS {Jean-Christophe), maître fusilier ; 39 ans 6 mois 12 jours de services.—Jouissance du 15 avril 1919 1,665 fr.

LE CALYAR (Pierre-Marie), maître des directions de port ; 42 ans 6 mois 5 jours de services. - Jouissance du 27 avril 1919. 1,742 fr.

THOMAS (Pierre-Marie), second maître mécanicien : 42 ans 2 mois 18 jours de services. —

Jouissance du 14 février 1919.,. 1,734 fr.

TRESSARD (Guillaume), second maître fusilier; 38 ans 5 mois 22 jours de services. — Jouissance du 25 mars 1919 1,370 fr.

QUÉGUINER (Pierre-François), second maître fusilier: 41 ans 3 mois 7 jours de services. —

Jouissance du 12 avril 1919 1,427 fr.

CANNELLEG (Yves), second maître fusilier; 29 ans 4 mois 3 jours de services. — Jouissance du 27 mars 1919 1,388 fr.

DERRIEN (Emmanuel), second maître fusilier; 41 ans 6 mois 4 jours de services. —

Jouissance du 11 mai 1919 1,432 fr.

BLOAS (Allain-Ernest), second maître canonnier; 40 ans 10 mois 20 jours de services. —

Jouissance 4u 11 ami l9i9. 1,418 fr.

LE MALÉFAN (Joseph-Marie), second maître canonnier ; 45 ans 7 mois 11 jours de services.

— Jouissance du 19 mars 1919. 1,500 fr.

LE GUEN (Hervé-Marie), second maître canonnier ; 38 ans 2 mois 22 jours de services. —

Jouissance du 30 avril 1919. 1,365 fr.

BERHAUT (Jules-Auguste), second maître canonnier ; 44 ans 5 mois 14 jours de services. —

Jouissance du 10 décembre 1918. 1,490 fr.

LE BRAS (Pierre-Marie), second maître canonnier ; 42 ans 11 mois 10 jours de services. —

Jouissance du 16 février 1919. 1,460 fr.

LANLO (Jean-Marie), second maître électricien ; 39 ans 9 mois 26 jours de services. —

Jouissance du 18 avril 1919. 1,397 fr.

JAFFRÉ (Julien-Marie), second maître électricien ; 42 ans 8 mois 27 jours de services. —

Jouissance du 1er mars 1919.,. 1,455 fr.

LESCORNEC (François-Marie), second maître manœuvre ; 40 ans 10 mois 9 jours de services.

— Jouissance du 25 avril 1919,..,..,. 1,418 fr.

Par décret du 21 novembre 1919, sur le rapport du ministre de la marine, il est accordé une pension à chacun des marins, militaires ou agents dénommés ci-après : GUYOMAR (Alexandre), premier maître fourrier; 31 ans 8 mois 25 jours de services. —

Jouissance du 25 avril 1919 1,653 fr.

Pension proportionnelle.

ROUILIIAC (Jean-Baptiste), maître chauffeur ; 32 ans 9 mois 19 jours de services. — Jouissance du 12 avril 1919. 1.496 fr.

Pension proportionnelle, LE LOUARN (Louis-Marie), maître fusilier, n'ayant pas 2 ans de grade ; 27 ans 16 jours de services.- Jouiss. du 8 avril 1919. 1,142 fr.

Pension proportionnelle.

LE ROUX (Joseph-Marie), second maître fusilier; 27 ans 11 mois 1 jour de services. —

Jouissance du 13 mai 1919.,.,.,.., 1,160 fr.

Pension proportionnelle.

MOÉLO (Joseph), second maître fusilier; 28ans 1 mois 21 jours de services. — Jouissance du 25 mars 1919'H' 1,163 fr.

Pension proportionnelle.

LE FORESTIER (Louis-Marie), second maître fusilier; 26 ans 2 mois li jours de services. —

Jouissance du 8 avril 1919., 1,125 fr.

Pension proportionnelle.

GAUDIN (Jules-Marie-Ferdinand), second maître mécanicien; 29 ans 5 mois 1 jour de services. — Jouiss. du 18 mars 1919. 1,190 fr.

Pension proportionnelle.

BERTIIOU (Anatole-Louis-Marie), second maître timonier; 28 ans 8 mois de services. —

Jouissance du 17 mai 1919.,., 1,173 fr.

Pension proportionnelle.

ANDRÉ (Hippolyte), second maître électricien; 37 ans 2 mois 7 jours de services. —

Jouissance du 29 avril 1919. 1.345 fr.

Pension proportionnelle.

DREANO (Jean-Marie), quartier-maître fusi- lier; 24 ans 3 jours de services. — Jouissance du 29 mars 1919.,. 674 fr.

Pension proportionnelle.

PRIGENT (Joseph-Jean), quartier maître clairon : 26 ans 3 mois 14 jours de services.—Jouissance du 4 février 1919.,. 713-fr.

Pension proportionnelle.

L'HÉNAFF (François-Marie), quartier-maître chauffeur; 32 ans 11 mois 27 jours de services.

— Jouissance du 18 mai 119., 780 fr.

Pension proportionnelle.

BOREL (Henri-Joseph), quartier-maître chauffeur; 26 ans 10 mois 25 jours de services. —

Jouissance du 26 février 1919.,. 719 fr.

Pension proportionnelle.

LE CORRE (Cyprien-Louis-Marie), quarliermaître chauffeur ; 30 ans 6 mois 23 jours de services. — Jouiss. du 2 février 1919.. 756 fr.

Pension proportionnelle.

VINS (Joseph-Louis), quartier-maître chauffeur: 28 ans 4 mois 28 jours de services. —

Jouissance du 17 mars 1919. 734 fr.

Pension proportionnelle.

CASTEL (Hervé), agent de service embarquant; 37 ans 6 mois 16 jours de services. —

Jouissance du 6 août 1919. , 826 fr. Pension proportionnelle.

LÉAL (Antoine-Marie), matelot ; 27 ans 2 mois 17 jours de services. — Jouissance du 10 décembre 1918 617 fr.

Pension proportionnelle.

Par décret du 21 novembre 1919, sur le rapport du ministre de la marine, il est accordé une pension à chacun des officiers ou assimilés dénommés ci-après : ASSIER DE POMPIGNAN (Raoul-Henri), capitaine de frégate: 48 ans 3 mois 18 jours de services. — Jouiss. du 1G juin 1919., 5,000 fr.

LE GOUZ DE SAINT-SEINE (Christian-Marie), capitaine de frégate ; 49 ans 1 mois 5 jours de services. — Jouiss. du 1er mai 1919.. 5,000 Ir.

FRANCRU (Gustave-René), mécanicien principal de lrc classe ; 42 ans 10 mois 15 jours do services. — Jouiss. du 26 juin 1919. 3,396 fr.

--

Noininations à des emplois réservés.

MINISTÈRE DE L'INTERIEUR Ont été nommés, à défaut de candidats militaires, cantonniers du service vicinal : Ilautes-Alpes. - MM. Villard (Jean), Raymond ( Pierre ), Guiramaud ( François ), Bernard (Pierre).

Alpes-Maritimes. — MM. Bellendy (Benja min), Gasiglia (Rosalinde), Bris (Séverin).

Aube. — MM. Dupuis (Zéphirin), Pavoilla (Maurice), Harmaud (Gustave), Guyon (Albert).

Aude. — MM. Aribaud (François), Cabrol (Maximin), Cordier (Auguste), Durand (Antoine), Fabre (Edouard), Ferran (Jean), Germa (André), Gouze (Emile), Izard (Jules), Lignères (Auguste), Olive (Emile), Rivière (Paul), Saury (Elie).

Calvados. — MM. Alleaume (Pierre), Dugr() (Louis), Viel (Albert), Levannier (Georges', Roullier (Georges), Levanier (Maurice).

Côte-d'or. - Roze (Pierre), Chaussard (pierre), Perrin (Ceorges), Gros (Henri), Ormencey (Henri), Mignard (Henri), Defosse (Jean), Carême (Joseph), Noirot (Charles), Chevigny (Louis), Prévost (Alexandre), Fournier (Martial), Guillot (Pierre), Humbert (Humbert (Jules), Clerget (Charles), Renaud (Emile).

Côtes-du-Nord. — MM. Berville (Joseph), Bricns (Ludovic).

Creuse. - MM. Galateau (Eugène), Fortat (Henri), Jouannin (Auguste).

Eure-et-Loir. — M. Neau (Marcel).

Finistère, — MM. Le Golï (Corcntin), Penanech (Vincent).

Hérault. -- MM. Agussol (Irenée), Boudet (Toussaint), Berteau (Emile).

Ille-et-Vilaine. — MM. Frittiau (Constant).

Garnier (Jean), Scgouin (Ange), Lavigne (Joseph).

Indre. — MM. Masset (Louis),, Berger (François).

Isère. — MM. Petit (Louis), Romet (Marius).

Jura. — MM. Vincent (Marius), Fumey (Léon), Jeannin (Raymond).

Loire-Inférieure. — MM. Jambu (Alcide), Thétiot (Joseph), Ferré (Jean).

Lozère. — MM. Gizard (Jean), Brunet (Privât), Renouard (Emile), Ilébrard (Antoine), Affortit (Léon), Castahet (Paul), Pongy (Louis), Auguy (Astin), Chabot (Marie), Laporte (Jacqucs) Fages (Louis), Escurier {Pierre).

Marne. — MM. Defrance (Maurice). Fromagu (Eugène), Seube (Jules), Cellier (Noë), Moreau (Jules), Anceau (Raymond), Prillieux (Ladislas), Rey (Jules).

Meuse. — M. Moulut (Albert).

Pas-de-Calais. — MM. Cristmacher (Auguste), Delaporte (Emile), Delaire (Victor).

Basses-Pyrénées. — MM. Lacamoire (Célestin).

Lousteau (François), Claverie (Théodore), Chapotin (Louis), Etcheberry (Cadet), CazabanBonnecaze (Jean).

Sarthe. — MM. Bourgaly (Joseph), Cartereau (Gustave), Chotard (Marcel), Dubois (Louis), Hulot (Louis), Grange (Charles), Lesaive (Marcel), Leroux (Georges), Naveau (Auguste), Prod'homme (Charles), Leduc (Arthur), Picault (Henri), Blutcau (Auguste), Bouteiller (Marcel)*


Breton (Henri), Courcier (Henri), Evrard (Albert), Levazeux (Léon), Miche (Fernand), Papillon (Gustave), Péan (Alphonse), Rouaux (Albert).

Haute-Savoie. — MM. Gruaz (Jean), Portin (Jean), Rouge-Pontasson (Hyacinthe).

Deux-Sèvres. -Groleau (Charles), Poussineau (Joseph), Raineau (Henri), Touret (Fernand), Roland (Albert), Fruchet (Stanislas).

Yonne. -. MM. Trocmé (Maurice), Devaux (Charles), Auger (Lucien), Poirier (Gaston), Bachin (Robert), Millot (Eugène).

■ -♦

MINISTÈRE DES FINANCES

Sont nommés préposés des douanes, à défaut de candidats présentés au titre de la loi du 21 mars 1903 :

Direction de Dunkerque.

MM. Allewœireldt (Robert-Etienne).

- Verbeke (Paul-Cornil-Henri).

Vandowalle (Negtor-Cornil).

Cauwclaere (Marcel-Alberi-Cornil).

Boussekey (Maurice M arcet-Cornit).

Deconinck (Maurice-Albcrt-Eugène), Six (Albert-Emile-Joseph).

Leriche (Gustave-Auguste).

Dcschodt (Clément-Charles).

Droulez (Lucien-Agathon).

Le Pallec (François-Marie).

Ducoroy (Pierre-Jules-Edouard).

Outters (Gcrmain-Firmin).

Veryepe (Etienne-Ernest-Paul).

Decock (Jules-Emile-Cornil).

Swingedauw (Henri-Louis).

Direction de Lille.

MM. Dachez (Victor-Auguste-Louis-Hippolyte).

Descheemacker (II ubert -Ilemi-J oseph).

Dhénin (Etienne-Victor).

Castel (Jacques-Marie) Terrier (Jules-Armand-Louis).

Prum (Eugène-Albert).

Devogle (Paul-Emile).

Steuperaert (Julien-Joseph).

George (Gaston-Fidèle).

Oudacrt (Lucie ii-Géi-y-Joseph).

Goupy (Joseph-Marie).

Delcambre (Charles-Henri).

Roignant (François).

Derycke (Eugène-Désiré-Joseph).

Lebacquc (Jean-Baptiste).

Wartelle (Léandre-Auguslin).

Billet (Joseph-Ilippolytej.

Lebacque (Lucien).

Delrue (Emile-IJ enri-Joseph), Vanhoute (Fernand-Désiré).

Frémon (Daniel-Abel-Cornil)..

Laporte (Jean-François-Joseph).

Direction de Valenciennes.

MM. Delfosse (Octave).

Guelton (Lionel).

Houdart (Achille-Elisée).

Piéchon (Georges).

-Dubois (Alfred).

Capliez (Emile).

Papin (Léon).

Marchand (Mi (,h el-Marie -Joseph).

Moriau (Gaston).

Dugautier (Alber).

Prévost (Ernest).

Vrévin (Eugène).

Verger (François-Marie).

Jouniaux (Gustave-Henri-Juies).

Guyot (Eugène-Georges).

Legrand (Achille).

Wallerand (Henri).

Baille (PhiJoxène).

Liénard (Léon-Joseph).

Bertaux (Jules-Henri).

Lagouge (Constant-Auguste :Désir6).

Lallemand (Jean-Marie).

Gouy (Louis).

Le Blohic (Marcel-Théodore).

Denigot (Victor-Narcisse).

Boismain (Joseph-Henri).

Martin (Jean-Marie).

Bourriau (Gustave-François).

Machefaux (Louis-Mario).

Maurice (Joseph-Paul).

Cahello (Arthur-Ellgène, Tendron (Jean).

Remillet (Albert).

Baudry (Alphonse.

Place (Eugène). -

MM. Hecq (Amédée).

Menu (Georges).

Direction de Charleville.

MM. Mathieu (Pierre-Gabriel).

Arnould (Clément-Maurice).

Barbarot (Jean-Emile).

Jeunesse (Eugène-Elie).

Laroche (Gaston-Ernest).

Lavalléo (Julien-Ernest).

Terrien (Léon-Clément).

Albin (Victor).

Gilbin (Emile-Fernand).

Julien (Albert-Marius).

Adam (Jules-Emile).

Petit (Georges-Lncien).

Serra (André-Sauveur-Jacques).

Tattevin (Charles-Emmanuel).

Trépier (Ernest-Pierre).

Barreaux (Léon-Fernand).

Dropsv (Mauric-Georgeg).

Golinval (Polydor-Emile).

Lefebvre (Jules-Isidore ).

Marlaing (Georges-Achille).

Chaussard (Georges Auguste).

Gillet (Henri-Georges).

Villeval (Gaston-Julien).

Tellier (Ernest-Léon).

Warin (Germain-René).

Baudoin (Léon-Constant).

Debouchez (Marcel-André).

Guyarder (Àndré-IIyacinthe-Charîes).

Ninin (Alexis).

Chadeau (Eugène).

Direction de Nancy.

MM. Devron (Auguste-Pierre).

Jullion (Camille-Victor).

Guildener-(René-Philippe).

Hausse (Emilien).

Vuillerme (Alphonse-Séraphin).

Aspar (Louis-Antoine-Chades).

Clause (Lucien-Louis).

Perron (Louis-Joseph).

Venandet (Charles-Gabriel), Sarloutte (Lucien).

Direction de Besançon.

MM. Cote - Petit - François (Georges-LucienAlexis).

Huot-Pleuroux (Lucien-Fernand).

Lépine (Emile-Louis).

Chouet (Louis-Jules-Hené).

Prêtre. (Ilenri-Eraile).

Cuinet (Paul-Urbain-Germain).

Cheval (Paul-Charles-Eugène).

Ilerbelin (Félix-Joseph-Ulyssc).

Party (Roger-Paul-Jean).

Jardy (Roger-Gérômo-Eugéne), Perrey (Léon-Joseph).

Chopard-Lallier (Nestor Ilenri).

Direction de Chambéry, MM. Favre (Joseph).

Boix (François).

Croset (Jean-François).

Faure-Brac (Augus tc-Domini<'l).

Fichet (Honoré-Maurice).

Pelaz (Paul-Honri-Marius).

Prière (Jules).

Beauquis (Louis-Antoine).

Rousset (Eugène-Stéphane-Jean).

Troccaz (François-Joseph).

Buttard (Jean-Justin-Emile).

Bérard (Lucien-Josoph). Desdier (Henri).

Donzel (Lucien).

Martel (Jules-Marie).

Mollard (Louis-André).

Damovin (Louis).

Desaires (Léon).

Galice (Aimé-Adrien).

Vesin (Henri-Maurice).

Clerissi (Marcellin-Antoine-Gaspard), Gùig'o (Joseph-Maurice Marcellin), Gazagnaire (Baptistin).

Melan (Etienne-Marius).

Torre (Louis-Frédéric).

Castelli (Louis-Ignace).

Taglioli (Pasq-uin).

Merle (Jean-Alphonse).

| I Conil (Marc-César-Antoine).

Graglia (Joseph-Pierre).

Grac (Adolphe-Justin).

Chio (Joseph-Pierre).

Guibert (Joseph-Virginin-Désiré).

Collet (Henri-René).

Tourrel (Félicien-Auguste).

Guigo (Louis). - -

MM. Fabre (Jules).

Bouchot (Charles-Jules).

Vinccnsini (Mathieu-Jean).

Acquatoila (Pascal), Cullel (Jean-François-Joseph).

Blanc (Paul).

Martin (Martial).

Bonnemaison (Gaudérique-Eugène).

Llères (Louis-Joseph-Michel). 0 Faucet (Joseph-François-Gaudérique).

Carrère (Jean-Pierre-Guillaume).

Vicens (Louis-Elie-Martin).

Ravgot (Pierre-Béranger).

Gascou (Lucien-Mari us-André), Bernadoy (Pierre-Jean).

Bouille (Michel-Charles-Armand).

Coromincs (André-Jean-Jacques).

Oliver (AMon-Michel-Jean).

Roig (Michel-Jean-Pierre).

Verges (René-Piafre-Guillaume).

Male (Jean-Etienne-Alphonse), Barbès (Jacque,s-Jean-Joseph).

Galin (André-Gaston).

Sitrre (Marius-Jean-Hippolyte).

Samson (Jean-Pierre).

Brunet (Jean-Michel-Barthélemy).

(Laurent-Charles-François).

Depigny (Alphonse).Rouzaud (Paul-Antoine).

Corlopassi (Paul-David-Joseph), Lacroix (Erncst-Louis-Julest. .af Supeli (Jean-Marie).

Legros (Marcel-Léon).

Muscagorry (Rémi).

Jaurégnibèrry (Jean-Pierre).

Goyénèche (Paulin).

Gously (Alexis-Cyrille-Léonard).

Bla (Dominique-Jean-Pierre).

Garaîta (Dominique).

Montus (Charles).

Fontagnere (Joseph).

Soulu (Jean-Bapliste).

Mandagaran (Pierre).

Aguerret (Dominique), Eteheverry (Pierre).

Gourbin (Jean-Paul), Lazare (Charles-Auguste-Edmond).

Drcano (Charles-Marie).

Rousseau (André).

Lagunes (André-Pierre).

Dahiton (Louis).

Baylongue (llondQa-Elienne.

Jougla (Gaston).

Dumartin (Pierre-Elie).

Jaulicrt (Jean), Le Gourvollec (Joseph-Louis).

Birot (Guillaume).

Direction du Havre.

MM. Lefebvre (F¡'ançois-AugusLe-Yîct(,r).

Losq (Thomas-Marie).

Pelletier (Georges-Louis).

Nevot (Haphaël-Julcs-Mal'ie-Mauricc).

Audou (Henri).

Pasco Oean-Picrrc-Mario).

Bisson (Jean -llenri-Françoist.

Moizeau (Georges-Louis).

Maupaix Hcnri-André.

Tanguy (Jean-Maril.

Le Houx (Noël-Eugène).

Lemaire Léon-Jean).

Guillevic (Vincent-Marie).

Pallier (.J ose ph, Fri.lnçois-Mad..

Rondeau (Pierre-Camille).

Laguerre (Jean-Célestin).

Mercier (Bénony-Joseph).

Lebaud (Jules-Marie).

Avenel (Ferdinand-Adrion).

Marhadour (Alexis).

Gallou (Yves.

Le Dertt (Paul-Jean-Françoisj.

Crolais (Théophile-François-Marie).

Ilirondet (Charles-Marcei-Oetave).

Laignet (Jean-Baptiste-François-Augosto).

Nicolle (Jean-Baptiste-Victor).

Thoumine (Louis-Alexandre-MarîeîLucas (Louis-Marie-Albert).

Lefebvre (Charles-Louis-Fr Laroque (Louis-Auguste-Jean-Baptiste).

Benoist (Ilenri-Auguste).

Gaumain (Léon-Louis).

Collet (Edouard-Joseph).

Boudet (André-Marcel).

Paisant (Alfred-Casimir), jaffrelo (Emile-Louis-Marie).

Laronche (Jules-François-Jean).

Viel (Jules-Auguste-Alexandre) Casseron (Amana olivier Valentin).

Lebel (Alexandre-Pierre).

Carré (liéon-Julien Alexis-Fraoçoi^»


Direction de Rouen.

MM. Delamare (llenri-Prosper).

Friront (Joseph-Eugène).

Enault (Théodore-Albert).

Daufy (Justin-Alfred).

Disert (Paul-Jean-Victor).

Madeleine (René-Paul).

Michon (Georges-Louis-Joseph).

Vicier (Charles-Albert).

Tué (Jean-Marie-Jules-Guillaume).

Merder ; Loub-Etienne).

Poulain (Rcné-Charles-Marie).

Cuiavarch (Gilles).

Guichoux (Pierre).

Kerjean (Gabriel).

Oriach (Irançois-Marie).

Salou (Sezuy).

Rendu (Albert).

Rendu (Charles-Yves-Marie).

Quéré (Gabriel).

Croguennec (Yves-Marie).

Thépot (Francois-Maria).

Marin (Louis-Joseph).

Le Floch (Firmin-André).

Oéqui n ( J o s e p h-M a ri e ).

Le Grérellce (Albert).

Autret (Yves).

Kerret (Yves).

, - Lelchat (Jean).

Le Gall (Joseph).

Vasse lPiol'fC).

Pautreniai (Louis).

Derrkn (Oilivicr).

Tocquet (Emile).

Le Meur (Alain-Marie).

Guénézan (Vincent).

Le Gall vKJisé).

Merdy (Gabriel).

Peliot (Toussaint).

Direction de Boulogne.

MM. Tellier (Lucien-Alphonse).

Paraphe Fulgcnce-Clovis-Julien), Bruvry (Alfred-Raoul-Théodore)* Lendos (llenri-Théodule).

Demarlière (Emile-Amédée).

.1>.

nNISTÈRE DE L'INSTRUCTION PUBLIQUE ET DES BEAUX-ARTS Par arrêté du ministre de l'instruction publique et des beaux-arts en date du 8 décembre -1910, M. Baudoin (Marius-Louis), bachelier ès sciences, a été nommé, à défaut de candidat militaire classé, commis stagiaire au secrétariat de la faculté de droit de l'université de Paris ,1 er tour).

Par arrêté du ministre de l'instruction publique et des beaux-arts en date du 4 décembre 1919, ont été nommés, à défaut de cadidats militaires classés, gardiens de 98 classe aux musées nationaux : M. Collenot (Charles).

M. Javouhey (Armand), en remplacement de Mi Renard (Marcel-Auguste), ex-chasseur au 2Ge bataillon de chasseurs à pied, nommé audit emploi et non acceptant (inscrit sur la 12e liste do classement).

M. Puault (Louis-Camille), en remplacement de M. Chabaud (Urbain-Georges), ex-soldat au 7e bataillon de chasseurs, nommé audit emploi et non acceptant (inscrit sur la 128 liste de classement).

PARTIE NON OFFICIELLE

SÉNAT ARKÉÉ 1919 SESSION BXTRAORDDTAHIB

Ordre du jour du jeudi 18 décembre.

A quinze heures — RÉUNION DANS LIS BUREAUX Organisation des bureaux.

Nomination des commissions mensuelles, savoir ;

Commission des congés (9 membres).

Commission des pétitions (9 membres).

Commission d'intérêt local (9 membres).

Commission d'initiative parlementaire (18 membres).

A quinze heures et demie. - SRANCB PUBLIQUB lre délibération sur le projet de loi, adopté par la Chambre des députés, ayant pour objet de modifier provisoirement les conditions de l'allocation partielle de la subvention de l'Etat à la voie ferrée d'intérêt local de Neuilly-enSancerre à Vierzon, par IIenrichemont (Cher).

(Nos 5C0 et 613, année 1919. — M. Martinet, rap porteur.) lrc délibération sur la proposition de loi, adoptée par la Chambre des députÔs, relative à l'organisation d'une exposition coloniale interalliée à Paris, en 192i. comportant la création d'un musée permanent des colonies. (Nos262et 630, année 1919. — M. Saint Germain, rapporteur).

lrc délibération sur le projet de loi,, adopté par la Chambre des députés, portant ratiiieation du décret du 8 juillet 1919, qui a substitué aux surtaxes ad valorem des coefficients de majoration des droits spécifiques. (Nos 527 et 636, année 1919. — M. Jean Morel, rapporteur.) La séance du jeudi 18 décembre est la 2e de la session extraordinaire et la 103e de l'année 1919.

Les billets portant la date dudit jour et valables pour cette séance comprennent : 1er étage. — Depuis M. Ribot, jusques et y compris M. T. Steeg.

Tribunes. — Depuis M. Goy, jusques et y compris M. Magny.

Les billets distribués ce jour seront valables pour la 104e séance et comprennent ; 1er étage. — Depuis M. Paul Strauss, jusques et y compris M. le comte d'Alsace.

Tribunes. — Depuis M. Maillard, jusques et y compris M. QuesneL

Un concours aura lieu prochainement pour l'emploi de sténographe auxiliaire au Sénat.

Les candidats devront adresserleurdernande, avec pièces à l'appui, au secrétariat général de.

la présidence du Sénat, où elles seront reçues jusqu'au lundi 22 décembre 1919 inclus.

Ils seront tenus de justifier qu'ils ont la qualité de Français, possèdent le grade de bachelier, ont satisfait à la loi du recrutement, sont âgés de moins de trente ans, ou s'ils ont été mobilisés entre le 1er août 1914 et le 28 juin 1919, de moins de trente-cinq ans, enfin qu'ils ne sont atteints d'aucune maladie organique ou infirmité les exposant à des interruptions de service.

(Le certificat médical est délivré par le méde- cin du Sénat, qui reçoit au palais du Luxem6ourg, les mardis et vendredis de 17 heures à 18 h. SO.) A l'appui de leur demande, les candidats devront produire : 1° Leur acte de naissance ; 2° Un extrait de leur casier judiciaire ; 3° Le diplôme de bachelier; 4° Les pièces établissant qu'ils ont satlsfaIt a la loi du recrutement ; 5° S'il y a lieu, leur acte de mariage et le bulletin de naissance de chacun de leurs enfants.

CHAMBRE DES DÉPUTÉS 12- législatllre. — Session extraordinaire de 1919.

RÉPONSES DES MINISTRES AUX QUESTIONS ÉCRITES

FINANCES 31670. — M. Emmanuel Brousse, député, demande à M. le ministre des finances, quelles mesures il compte prendre pour faire

actorder à tous les fonctionnaires de l'Etat une majoration d avancement puur le temps passai dans les armes combattantes. (Ouettion du 18 octobre 1919.) Réponse. — Le principe de cette mesure a été examiné par l'office interministériel de l: présidence du conseil, il a paru qu'une tor-i rimle de réglementation uniforme serait, sauf dans des cas très spéciaux, presque impossible; à établir sans créer des inégalités difficilement; justifiables et qu'il était préférabis de laisser aux comités d'avancement le soin d'apprécier les avantages à attribuer aux fonctionnaires.

Ordre du jour du mardi 16 décembre.

A quatorze heures. — RÉUNION DANS LES BUREAUX Examen des pouvoirs.

Ordre du jour du mercredi 17 décembre

A quatorze heures. — SÉANCE PUBLlQQ Vérification des pouvoirs.

La séance du mercredi 17 décembre est la2* de la session extraordinaire de 1919; des billets portant la date dudit jour et valables pour cette séance comprennent : Galeries. — Depuis M. Abel, jusques et y cornpiis M. André Fribourg.

Tribunes. — Depuis M. Gaborit, jusques et y compris M. Georges Barthélémy.

AVIS ET COMMUNICATIONS

Ministère des nnanceR.

OBLIGATIONS DES CHEMINS DE FER DE L'ÉTAT Avis de tirage.

Le samedi la décembre 1919, à dix heures du matin, il sera procédé publiquement dans l'une des salles du ministère des finances; service des titres des chemins de fer de l'Etat, 21, rue de l'Université (1er étage), au tirage au sort de dix mille quatre cents obligations des chemins de fer de l'Etat, 4 p. 10), lre série, et dix mille cinq cents obligations des chemins de fer de l'Etat 5 p. 10), lrc série.

Le remboursement des titres amortis sera effectué à partir du 1er février 1920.

I -

Ministère des travaux publics des transports et de la marine marchande.

Note relative aux transports intéressant * l'exportation, adressée aux grand réseaux.

Il m'est signalé que certaines gares refusent le bénéfice du traitement préférentiel prévu pour les marchandises destinées à être exportées par mer, qui ne sont pas adressées directement aux compagnies de navigation.

En raison de l'intérêt pressant qui s'attache à l'intensification de nos exportations, la déciu sion du 15 novembre du comité prrovisoire d'exploitation des chemins de fer doit viser tous les transports d'exportation, qu'ils soient effectués par l'intermédiaire de compagnies de navigation, d'armateurs ou de transitaires.

qu'ils jouissent immédiatement, ou par voie de détaxe, des tarifs spéciaux d'exportation.

Je vous invite, en conséquence, à donner d'urgence à vos gares des instructions précises à cet égard.

Il vous appartient, d'ailleurs de proposer les mesures que vous croiriez nécessaires pour


prévenir les abus résultant de déclarations inexactes.

Paris, le 10 décembre 1919. Le ministre des travaux publics,, i des transports 3 et de la marine marchande, >• - A. CLAVEILLE.

iL

Ministère des colonies.

dvit indiquant le taux officiel de la piastre ; en Indo-Chine.

Le gouverneur général de l'Indo-Chine vient de faire connaître au ministre des colonies qu'à la date du 2 décembre 1919 le taux officiel de la piastre était de 10 fr. 60, et qu'à la date du décembre 1919 il était de 10 fr. 70.

Ministère du travail et de la prévoyance sociale.

1déclarations de reconstitution totale ou partielle d'établissements, communiquées au ministère du travail, en exécution de l'article .55 de la loi du 17 avril 19'9 sur la réparation des dommages causés par les faits de guerre.

Déclaration reçue le 8 décembre 1919 : MM. Jules Pollet et fils, tissage de toile et de coton, 283, rue Pierre-Legrand, à Lille (Nord), font connaître que leur tissage sera partiellement remis en marche, le 19 décembre.

Déclaration reçue le 9 décembre 1919 : M. IIuvelle-Labenne, fabricant de sabots à Englefontainc (Nord), fait connaître qu'il reprendra sa fabrication à partir du 1er janvier 1920.

Concours pour des emplois d'aide-statisticien et de statisticien adjoint.

Les personnes (hommes ou femmes) de nationalité française, âgées de plus de vingt ans et de moins de trente ans le 1er janvier de l'année 1920 peuvent prendre part à ce concours, qui s'ouvrira à Paris, le 8 janvier 1920.

Pour les candidats qui ont accompli leur service militaire durant la dernière guerre, la limite d'âge est reculée d'une durée égale au temps de service passé sous les drapeaux.

Le concours porte : 1° sur les mathématiques et la statistique théorique (interpolation, calcul des probabilités, etc.) ; 2° sur l'économie politique ; 3° sur la technologie industrielle et la géographie économique ou sur la nosologie et l'hygiène, au choix du candidat ; 4° sur les langues étrangères (allemand et anglais principalement).

Il comprend des épreuves écrites et des épreuves orales.

Une bonification spéciale de vingt points est attribuée à la suite des épreuves orales aux pensionnés et réformés no 1 pour blessures de guerre.

Les candidats admis à l'essai à la suite du concours entrent en fonctions comme aidesstatisticiens au fur et à mesure des besoins.

Toutefois, les candidats possédant un diplôme de docteur des universités de l'Etat ou bien un diplôme d'ingénieur d'une des écoles de l'Etat, école des mines, école des ponts et chaussées, école centrale des arts et manufactures, ou bien justifiant avoir subi avec succès les examens de sortie soit de l'école polytechnique, soit de l'école normale supérieure, pourront être nommés directement statisticiensadjoints. Les candidats militaires admissibles n'entreront en fonctions qu'après leur libération du service militaire.

Le concours est ouvert pour trois emplois d'aide-statisticien et trois emplois de statisticien-adjoint dans les conditions indiquées ci-dessus.

Le programme du concours sera adreseé à toute personne qui en fera la demande au service d'observation des prix, 97, quai d'Orsay, à Paris.

Avis de concours pour temploi de rédacteur au ministère du travail et de la prévoyance sociale.

Par décision du 16 septembre 1919, le ministre du travail et de la prévoyance sociale a prescrit l'ouverture d'un concours pour 24 places de rédacteur à son département.

12 places sont réservées dans les conditions prévues par le programme, aux candidats réfor més no 1, par suite d'Infirmités résultant de blessures reçues ou de maladies contractées devant l'ennemi, au cours de la guerre.

Les femmes sont admises & prendre part ce concours.

Les épreuves commenceront le 17 mars 1929.

Les demandes d'admission au concours, établies sur papier timbré et accompagnées dei pièces, diplômes et certificats exigés des candidats, suivant les indications du programme.

devront être adressées au ministère du travail et de ia prévoyance sociale (bureau du personnel, du matériel et de la comptabilité, 127, rue de Grenelle), le 15 février 1920, au plus tard.

Les demandes parvenues après cette date ne pourraient être examinées.

Un exemplaire du programme du concours sera remis ou envoyé à tout candidat qui en fera la demande.

, -

Caisses d'amortissement et des dépôts et consignations. �

I. — CAISSE D'AMORTISSEMENT (Application de l'art. 5 de la loi du 26 octobre 1917.) Capitaux employés en achats de rentes effectués en Bourse du 1er au 10 décembre 1919 pour le fonds spécial des emprunts de la défense nationale 54.458.493 13 II. — CAISSE DES DÉPÔTS ET CONSIGNATIONS

Opérations des caisses d'épargne ordinaires avec la caisse des dépôts et consignations.

(Résultats parvenus du 1er au 10 décembre 1910.)

Dépôts de f{}nds.,. 33.225.097 53 Retraits de fonds 8.056.293 58 Excédent de dépôts 30.168.803 95

Excédent de dépôts du 1er janvier au 10 décembre 1919 879.703.445 32 Capitaux employés en achats de rentes efteci tués en Bourse du 1 et au 10 décembre 1919 : 1° Pour le compte, des déposants des caisses d'épargne orùiqau'es. 82.815 95 2° Pour placement des excédents de dépôts et des arrérages et des capitaux encaissés sur les valeurs composant le portefeuille provenant des caisses d'épargne ordinaires. 14.999.955 12

v --+-

CAISSES D'AMORTISSEMENT ET DES DÉPOTS ET CONSIGNATIONS COMPTE RENDU PAR LE DIRECTEUR GÉNÉRAL A LA COMMISSION DE SURVEILLANCE DE LA SITUATION AU 30 JUIN 1919 # DE LA CAISSE D'AMORTISSEMENT ET DE LA CAISSE DES DÉPOTS ET CONSIGNATIONS (Exécution de l'article 112 de la loi du 28 avril 1816.)

CAISSE D'AMORTISSEMENT

Situation des comptes au 30 juin i 919.

SOLDES

débiteurs créditeurs

au 1 au au an 30 juin 1919. * 31 mars 1919. 30 juia 1919. 31 mars 1913. 4 fonds spécial d'amortissement des emprunts de la défense nationale (art. 5 de la loi du 26 octobre 1917).; » » SCO.0„ 00„ .0„ 00 » 368.736.600 29 Compte courant au Trésor. *339.253.234 80 360.000.000 » » » rentes rostant à livrer ou déposées au Trésor pour être portées au compte de réduction de la dette publique 20.746.765 20 8.736.600 29 If * 360.000.000 36S.736.6.0 29 360.000.000 » 363.736.630 ;*■=


CAISSE DES DÉPOTS ET CONSIGNATIONS Bilan au 30 juin 1919 (Exécution de l'article 112 de la loi du 18 avril 1816).

S SITUATION SITUATION AUGMENTAau an DIMINUTIONS 30 juin 1919. 31 mars 1919. TIONS ACTIF jvsunmmnenraiirre o et effets à arreecceevvo oir. 9. <00.166 44 13. 295.025 3 » 3 594 qjlq g* 1 Rentes 426.355.495 90 42G.C06.415 87 £ ,091997 ( Dépôts et consignations j Valeurs diverses 438.169.843 32 440.455 843 32 » 2 286 000 » Rentes 1 Fondsproycnantdessociétésdesecours Rentes,. 210.015.34949 21O.U15.34949» » sur l'Etat l ponds provenant des sociétés de secours l Rentes 210.015.349 49 210.015.349 49 » » et mutuels. 1 Valeurs 82.243.183 57 51.284.11969 30.959.06388 » et Fonds de réserve et de garantie des t Rentes. t a » » civerses. caisses d'épargne.,. t Valeurs 17.121.700 » 32.262.600 Il » 15.140.900 « 1 Rentes .3.681.140.344 40 3.562.139.766 02 119.000.578 38 r Cai. sses d épargne orddii nai• res. î Valeurs diverses 956.894.664 17 764.918.262 37 191.976.401 80 Il prêts aux département commu- S 1° Antérieurs à 1891. DéÕts l 852.055 91) 90.893.(^753 91.731.595 90 » 838 508 3: nés et établissements publics. 1 2° Postérieurs à 1890. /eonsi¡;nations\ 90.041.031 6/) ffl-893.087 53 91.731.595 go » 838.508 3-1 ( Dépôts et consignations et caisses d épargne. 363.991 34 363.816 13 - 175 21 » Avances à divers. Fonds de réserve et de garantie des caisses ( d'épargne 2.171.302 96 2.195.90296 » 24.600 « Comptes courants 254.(306.905 03 244.443.629 97 9.563.275 06 » Comptables préposés de la Caisse des dépôts et consignationl..,.,. 128.927.972 05 141.583.542 63 » 12.C55.570 58 Comptes d'ordre et divers 52.556.128 62 106.937.352 26 » 54.381.223 64 Produits et charges 17.230.105 90 8.264.840 50 8.965.265 40 » Dépôts divers. - Caisse autonome des OUVrIers mineurs .525.686 07 » 525.686 07 Il * 6.368.315.926 79 6.096.498.062 42 360.990.445 SO 89.172.581 43 -" Augmentation 271.817.86; 37 PASSIF Consignations 447.984.231 24 435.585.474 85 12.398.756 39 » Caisses d'épargne ordinaires 4.584.159.303 32 4.336.989.192 59 247.1,0.110 73 » Sociétés de secours mutuels 315.149.409 62 317.920.236 94 » 2.770 827 32 Fonds de réserve et de garantie des caisses d'épargne 21.967.709 17 38.613.22726 » 16.645.518 09 ! Dépôts volontaires appartenant à des particuliers. 327.0')6 47 Etablissements publics ou autres établissements assimilés, L/C de dépôts 42.074.244 83 Produit du prélèvement opéré sur le produit brut des jeux danslescerclesetlescasinos. 23.909.693 43 DI. l'Jt d, c: INotaires, L/C de dépôts.,. 9:i.8';>.857!}ï L99 068 858 £, 8 0 11 835 390 16 Dépôts lver" Pensions de retraites sur fonds spéciaux 13.696.9 )9 43/ *99>868.858 87 488.033.468 71 11.835.390 16 » Produits du prélèvement etYectuè sur le pari mutuel. 39.012.332 79 Séquestres ou autres mandataires de justice, L/C de 1 dépôts 263.709.022 73 Caisse autonome de retraite des ouvriers mineurs. »

Autres dépôts. 23.303.79122 ! Ministère du travail. - Produit de la vente des timbres 471.500 69 1.571.560 85 » 1.100.059 86 Revenus provenant de l'emploi du produit non imputé de la vente

Retraites des timbres. 605.500 » 358 000 » 247.500 » » ouvrières Caisses d'assurance constituant des retraites ouvrières. 2.542.298 50 2.314.485 46 227.813 04 et Caisse nationale des retraites pour la vieillesse. — Retraites oupaysannes. vrières (art. 4 et 14 de la loi du 5 avril 1910). 9.372.649 83 8.888.C82 54 483.66729 » Fonds de réserve des retraites ouvrières 2.038.998 88 1.759.768 78 22?-2]0 10 » Provisions pour le pavement des bonifications 162.996 66 138.628 34 24.368 32 Mandats ordonnancés 10.756.054 41 9.297.648 51 1.458.405 90

Divers 2.835.431 93 2.383.171 30 452.260 63 , Di y ers- à ijonale d'épargne 13-808.558 43 21.739.561, 05 7.93i.om 62 Services spéciaux gérés par la Caisse nationale d'épargne 13.808.558 43 21,739.564 05 » 7.931.005 62 Caisse des dépôts et consigna- < Caisse nationale des retraites pour la vieillesse.

tions (Lois des 20 juillet 1886, 9 avril 1898 et 28 avril ( 1905.) 51.283.421 21 24.952.217 86 26.331.203 35 » Comptables préposés de la Caisse des dépôts et consignations 150.811.304 71 185.783.950 60 » 34.972.645 89 compt*es i Banque de France S/C d'avances sur dépôts de titres provenant

des caisses d'épargne ordinaires 1.696 65 1.000 » 696 65 » d'ordre Î Trésor public S/c de règlement des souscriptions en rentes des déet diver S. posants des caisses d'épargne ordinaires » » » Il ( Autres comptes 53.179.865 02 107.575.603 04 » 54.395.828 02 Comptes de réserve.. , , , , , ,., , , ,., , , ., ., 57.755.901 60 52.643.095 90 5.112.806 70 » Produits et charges 32.382.991 64 12.701.475 61 19.681. 516 03 » Revenus provenant de l'emploi des fonds des caisses d'épargne 111.177.244 11 47.247.219 23 63.930.024 88 » Produit do la déchéance trentenaire. (Loi du 16 avril 1895.) » » » u 6.368.315.926 79 6.096.498.062 42 389.633.749 17 117.815.884 80 1 -.,. ---

Augmentation 271.817.864 37

Tu et vérifié par le membre de la commission, délégué, Signé : J.-L. DILONGLK.

Vu et approuvé par la commission de surveillance : Signé : SIEGFRIED, Michel TARDIT, COURTIN, , G. PA^LÀIN, PASCÀLIS et CKUER.

Paris, le 1er décembre 1919.

Le conseiller d'Etat, directeur général, Signé : A. DKLATOUR.

Pour topie conforme : Paris, le. 5 décembre 1919.

le chef de division, secrétaire de la commission de surveillance, Signé : A. DBLACOURT.


ANNEXE AU BILAN, D'AUTRE PART, DE LA

État de développement, au 30 juin 1919, des opérations

SITUATION -. SITUATION I&UGMENTA- ';-- l, AUGMENTA- M et DIMINUTIONS OBSERVATIONS ACTIF 30 juin 1919. 31 mars 1919. TIONS Application des lois de 1886,1898 et 1905.

Fonds en compte courant avec le Trésor public. (a)51.283.301 21 24.952.159 8G 26.331.141 35 » (a et 6) Ces deux sommes forment Rentes sur l'État et valeurs du Trésor 1.056.407.™ 08 1.OU.755.5» 08 14.052.2-0 ÎB^rt^Au'd^Mtaï 21, qui ressort au passIf du IHlan - de Bons et obligations de chemins de fer. 169.574.302 56 172.229.203 52 » 2.654.900 96 la caisse des dépôts et consignaPrêts aux départements, communes et colonies. 1.210,220.80021 1.213.503.8,J.O 68 Il » 3.283.0iO itions comme de' Prêts aux départements, communes et colonies. 1.210.220.800 21 lU. sans emploi de la CalSSOj Capitaux réservé, L/G de rem- - nationale des retraites pour la boursements 7.435.561 04 3.6^2.939 62 3.751.021 42 » vieillisse (opérations dos lois de co M r TES ! Rentes viagères, L/C de payements 1880, 1898 et 1905).

d'arrérages 23.336.591 30 8.094.101 54 15.242.489 76 » AH«US.W> Dépenses et recettes diverses, L/C.. 66.516 33 40.56J 53 25.955 80 » l Frais administratifs, L/C » » » » Timbres-poste affectés auxbulletins-retraites. (6) 120 * 58 » G2 » Préposés, L/C de dépenses à vérifier. , , , , , , 7.709.461 24 6.709.980 56 999.480 68 » Divers correspondants 5.940.689 29 5.833.826 76 106.862 53 » l, 1 Totaux 2.531.974.142 26j2.476.802.2l0 15161.109.88354 5.937.941 43 Augmentation < 55.171.942 11 Section spéciale des retraites ouvrière.. 1 (Art, 14, l", de la loi du 5 avril 1910.) 1 Fonds en compte courant avec la caisse des ,,- (eetcf) Ces deuisoraincsforment1 dépôts ot consignations (c) 9.172.191 79 j 8.746.674 25 425.517 54 » ensemble celle da <>,o72,6VJ !r. S j| Iqui resso rt au pa,,isit du b:laii dcDons et obligations de chemins de fer. 41.993.673 90 42.319.213 90 320.570 o lia caisse dos depot ,, et consigria-~ Prêts aux départements, communes, chambres tions comme représentation de d'te 1 "Ion' :-1:; 131 "1 ')8'" (\3' "71 91 f.<)1 C)!.ll"ct'f ,J' .11. l de commerce, etc 41.291.515 13 41.385.930 37 j » 91.421 21 l'actif sans emploi do la caisseObligations des sociétés d'habitations à bon nationale WWiSîfd. Kî^.

rn^ne 1.S5..00D • I1 .&-5h4 .O00^0 O J Ktraitcs édites et paysannes). I ID3.fCne..,..,.,.,..,.,.,.,. 1. 1, l, N'Y!. "l' retraites ouvrières etp3.Y3i1nnes}.1 Rentes et valeurs du Trésor 104.998.107 10 99.938.107 10j 5.0C0.C00 » » Obligations du gouvernement général de l'Afrique éqtiatoriale Ir,,tiiçaiso 5.680.931 76 5.680.931:6 * w Avances pour allocations et bonifications, L/C.. 16.141.C63 04 12.534.573 36 3.605.489 68 < Assurés, L/C de différences 319.402 11 319.402 11 » w f Capitaux. L/C de remboursements. i 77.253 9j 1 30.568 51 46.685 43 COMPTES toutes viagères, L/C de payements 1 1 ANNUELS d'arrérages 1.979.672 16 911.402 77 1.0G8.2C9 39 It Dépenses et recettes diverses » 24.286.73 12.765 71 11.52102 1 Ministère du travail, S/C d'indemnités de gestion à liquider 1.325.778 » 1.151.352 » 171.126 » * Totaux 224.265.875 66 214.347.957 84 10.329.9i9 06 411.991 24; Augmentation 9.917.917 82 i 82 - ,. ,.. , , , .., A j Section des allocations viagère" l (Art. 139 du décret du 25 mars 1911.t JY (Art. 139 du décret du 25 mars 1911.) Fonds en compte courant avec la caisse des dépôts et coningnations. (d) 200.458 Oi 142.308 29 58.149 75 Bons et obligations de chemins de fer 10.754.852 • 11.062.852 - • 308.000 ..?

Prêts aux départements, communes, etc. 765.902 49 769.337 40 3. 43 9 Avances pour bonincations, L/C 428.342 50 364.522 50 63.820 » • Allocations viagères, L/C de payements d'arrérages 627.671 • 234.455 III 353.216 » t Frais administratifs. » » • - 753li 434 91 Totaux 12. m. 225 03 12.573.475 19 515.185 751 3lï7434 fi Augmentation 203.750 84 j -

(3* Supplément}


CAISSE DES DÉPOTS ET CONSIGNATIONS de la caisse nationale des retraites pour la vieillesse.

------- -------.--.,----- -----_-----:------ .:¡ , AÙGMBNTA. , f , SITUATION SITUATION 3 SITUATION SITUATION tu au AUGMENTA DIMINUTlONi OBSERVATIONS TIONS PASSIF 30 juin 1919. 31 mar 1919.

————————' *~ —————"**' ——'~*" 1 Application des lois de 1S8, 1898 et 1905. 1 ——.

Déposants, L/C de capitaux de garantie. 8.334.459.977 28 fc,358.641.296 35 , 24.181.319 07 1 Déposants, L/C de sommes mises en payement. 85.532.329 12 ,68.351.010 05 24.181.319 07 , * Versements à capital aliéné L/G..J » • » • co M Versements à capital réservé L/C.

! Primes sur rentes et valeurs. ] 1.Î53.058 02 98.9G5 20 ; 1.054.092 82 * Arrérages et intérêts de rentes et t valeurs 49.579.663 33? 26.060.55514 23.519,110 19 » Versements sur promesses do livrets ,. J 12.530 J 12.530 * „ » Déposants, L/C déversements notifiés àliquider. 57.425.013 81 28.233.304 60 29.191.709 21 » Divers correspondants 2.803.755 60 1.404.538 81 1.399.217 85 » Frais administratifs L/C 7.812 04 « 7.812 01 » Totaux 2.531.974.142 26 2.476.802.20J 15 79.353.261 18 21.181.319 07 Augmentation 55.171.942 11 f __-=========== = = = = = Section spéciale des retraites out-rières. -- - (Art. 14,1°, de la loi du 5 avril 1910.) : 1 Rentes et valeurs, L/C de primes et différences. l 29.59G 60 10.987 » 12.609 60 » ! Assurés, L/C de capitaux mis en remboursement. 83.220 33 34.02S 19 49.192 14 9 Assurés, L/C de capitaux do garantie 187.599.127 37 188.901.605 » » 1,302.477 63 Assurés, L/C de sommes mises en payement. 4.242.219 55 2.957.291 21 1.284.928 34 9 Assurés, L/C de versements à liquider 10.388.857 Si, 5.006.306 43 5.382.551 41 » f '1 I Vsieurs diverses, L/C d'arrérages et intérêts; j dépenses et recettes diverses 4.479.423 28 2.246.65210 2.232.7(1 18 » ! Assurés, L/C do capitaux réservés 9.015.114 27 9.051.787 01 » 36.672 74 *

,'i Divers correspondants 3.226.103 65 1.470.186 13 1.755.914 52 » : 1 Remises aux organismes d'encaissement 315 46 315 46 » » lcmlSCS aux orgamsmes d'encaissement.,. 315 46 315 46» » Remises aux organismes d'encaissement, i,/c , ¡ d'arrérages et intérêts j.. ». » » t I Allocations do gestion encaissées L/C 3.876.122 31 3.508.447 31 367.675 Il » ! Allocations de gestion L/C d'arrérages et intérêts. » » * * ¡AllOCatiOnSdegestionàliQUider.,. 1.325.778 Il 1.154..352 tl 111.26»

Allocations de gestion à liquider 1.335.778 » 1.154.352 » 171.426 » » 1 Totaux 224.265.875 66 214.347.957 84 11.257.06819 1.339.15037 Augmentation 9.917.917 82 1 .j ===============^===^^ Section des allocations viagères. -",1 (Art. 139 du décret du 25 mars 1911.) ¡ Assuré, L/C d'arrérages d'allocations viagères i mis en payement 3,003.694 90 2.493.919 90 509.775 1). *

Valeurs diverses, L/C d'arrérages et intérêts. 203.435 93 2.837 59 200.598 34 » Assurés, L/C de capitaux représentatifs 9.564.470 20 10.074.245 20 » 509.775 Il 1 Divers correspondants. ,. 5.580 » 2.472 50 3.10750 w Rentes et Valeurs L/C de primes et diffé- 1 rences » J» » » » Dépenses et recettes diverses. 45 » » 45 » » Totaux..,.,.,.,. 12,777.22603 12.573.475 19? 713.525 84 509.775 » Augmentation 203.750 84 ,i Aurrmcntation 1 209 71': S


SOCIÉTÉ DE STATISTIQUE DE PARIS Séance du 19 novembre.

En l'absence du rapporteur, M. Neymarck, empêché par une indisposition passagère, M. le président donne lecture du rapport : Mes chers confrères, Pendant les années 1916, 1917, 1918, il a été publié quinze articles originaux ou études de nos - anciens présidents ou de membres du bureau; seize articles originaux ou études de collègues qui ne font pas partie du bureau. Le prix Bourdin doit être décerné à l'auteur du meilleur article publié dans le journal de la société de statistique, pendant les trois années qui précèdent le concours. Cette clause du testament de notre cher et regretté ancien président, le docteur Knurdin, était nette, précise. Le docteur Bourdin ne faisait aucune différence entre 4es titrer divers des auteurs et n'envisageait que leurs travaux ; il ne demandait pas s'ils faisaient partie ou non du bureau, s'ils étaient ou avaient été président ou vice-président de notre société.

Quand le conseil se réunit pour fixer les conditions du concours et de l'attribution du prix, il jugea utile d'établir des règles sévères pour déterminer le choix du lauréat. Ces règles à suivre étaient strictes et sont justes, mais elles augmentaient les difficultés du choix à faire.

C'est en présence de ces difficultés que s'est trouvé notre regretté ancien président, E. Cheys- 1 son, qui a été le premier rapporteur. Dans ses rapports si vivants de 1889, 1892, 1895, 1898, 1901, 1904 et 1907, il se plaignait de 1' « abondance de richesses » qui s'offraient à lui et des difficultés qu'il rencontrait pour arrêter son choix.

Ce sont les mêmes difficultés que le rapporteur actuel a rencontrées tous les trois ans, depuis 1910, pour l'attribution du prix Bourdin ; il les rencontre, cette fois encore, pour le choix du meilleur article ou étude paru dans notre recueil en 1916, 1917 et 1918.

Plusieurs anciens présidents et notre président en exercice, M. Meuriot, ont présenté à la société des travaux si considérables, importants et variés que, malgré tout le mérite des travaux de ceux de nos collègues qui peuvent "être proposés pour le prix Bourdin, le rapprochement et la comparaison sont des plus difficiles et délicats. Les anciens présidents — c'est une tradition dans notre société - ont donné à tous l'exemple du travail persévérant; ils ont'continué à travailler et nous ont fait profiter de leur expérience et de leur science. Il serait impossible de mettre sur le même plan leurs travaux et ceux des autres membres de la société : aussi, avons-nous dû nous conformer aux règles que l'ancien conseil de la société de statistique adéterminéespour choisir le lauréat du prix Bourdin pour la période 1916-1918. :

En examinant avec votre rapporteur, les diverses communications, études et articles qui ont été présentés à la société pendant la période de 1916, 1917 et 1918, et en rappelant les travaux des précédents lauréats du prix Bourdin (l) la commission a été unanime à penser qu'il serait à désirer qu'à l'avenir les lauréats eussent à leur actif plusieurs articles, communications ou études : c'est, -du reste, ce qui avait facilité le choix du lauréat lors des précédentes attributions de la médaille Bourdin.

Cette suggestion devait faciliter la tâche de votre rapporteur. *

Il a pensé que nous connaissions tous et estimions un collègue qui, depuis 1902, date de son entrée dans la société, nous a donné de multiples travaux qui n'apparaissent pas certainement dans notre recueil depuis trois ans, mais qui sont une œuvre de tous les jours.

Statisticien et actuaire émérite, faisant, chaque jour, par ses occupations professionnelles, des statistiques importantes, professeur d'un cours de finances et statistique, à Paris, et 1 un des plus fidèles parmi les plus fidèles de notre s(1) Les lauréats du prix Bourdin ont été depuis sa fondation : MM. Alfred Neymarck (1889), Emile Boutin (1892), Pierre des Essars (1895), Léon Salefranque (1898), Gustave Bienaimé et Maurice Bellom (1901), Toussaint Loua (1904), Paul Meuriot (1907), Maurice Yvernès (1910), Gaston Roulleau (1913), Paul Matra t (1916).

ciété, il était tout désigné à notre choix. Il est une des chevilles ouvrières de notre société; il en prépare les travaux, fait appel à tous ceux des membres qui peuvent être utiles à la science qui nous est chère, et a publié des études statistiques sur des questions actuelles, telles que le prix de revient de nos grands emprunts, de celui de la Ville de Paris en 1919, etc.

Je n'ai plus besoin maintenant de vous le désigner ; vous avez reconnu le nom du lauréat du prix Bourdin pour la période 1916, 1917, 1918 : c'est notre cher secrétaire général Barriol. Cette médaille lui dira quelle haute estime nous avons pour ses travaux et quelle véritable affection nous avons pour lui.

Le conseil a approuvé ce choix à l'unanimité dans sa séance du 15 octobre, et il vous demande, ainsi que le rapporteur, de confirmer ce vote unanime.

ALFRED NEYMARCK, ancien président de la société de statistique, rapporteur.

(Applaudissements).

M. le président félicite M. Barriol, et exprime en termes éloquents toute l'estime qu'il porte à notre secrétaire général dont le. dévouement et la compétence sont connus de tous.

M. le secrétaire général remercie en ces termes : Messieurs, je vous remercie de tout cœur de votre sympathie qui me fait attribuer cette année la médaille Bourdin.

Tous ceux qui ont eu l'honneur de la. recevoir, à commencer par notre cher présidentrapporteur M. Neymarck, avaient donné à la société des travaux extrêmement remarquables ayant fait avancer la statistique ; en m'attribuant cette médaille, vous récompensez plutôt un travail continu de collaboration au journal, travail qui m'est rendu bien agréable par votre appui à tous; les présidents, les membres du conseil me facilitent ma tâche ; vous-mêmes, mes chers collègues, êtes des collaborateurs précieux en rédigeant des résumés de communications et enfin, n'ai-je pas toujours eu près de moi, appelés par votre confiance au poste de secrétaire des séances, des amis laborieux et dévoués ; Roulleau, Bunle, Qubern, Girard, Clamagirand? Je reporte sur eux une partie de l'honneur qui m'échoit aujourd'hui et dont je vous resterai profondément reconnaissant.

Vous me créez ainsi, mes chers collègues, une dette envers notre chère société, et je vous promets de me consacrer à des travaux statistiques dès que mes occupations un peu trop absorbantes pour le moment, me permettront de les entreprendre.

Il règne ici une atmosphère d'affection entre les anciens, de franche cordialité, prête à se transformer en un sentiment plus élevé, entre les nouveaux ; il faut qu'elle se maintienne toujours pour le plus grand bien de nos études, car on ne discute avec fruit que dans le calme; nos travaux eux-mêmes nous commandent cette sérénité puisqu'il est difficile de faire des chiffres et de leur « ouvrir la bouche » si la passion obscurcit vos idées ; vous voulez bien rapporter une partie de cette situation tranquille à votre secrétaire général : c'est m'encourager à continuer, étant donné les fruits que nous en tirons, je n'y faillirai point.

Encore merci à vous, mes chers collègues, et surtout à notre cher rapporteur et grand ami, dont la bienveillance à mon égard s'est affirmée dès mon entrée à la société et qui me donne encore aujourd'hui une preuve d'affection en me désignant aux suffrages de mes collègues.

Communication de M. Emile Borel : « La statistique et l'organisation de la présidence du conseil If..:. Après avoir rappelé brièvement ce qu'a été l'organisation de la présidence du conseil sous les cabinets Ribot, Painlevé et Clemenceau, M. Emile Borel indique le rôle important que doit jouer la statistique dans cette organisation. Les deux piliers de la présidence du conseil seraient la direction de la statistique et la direction de la documentation.

Il est urgent de penser à cette organisation centrale du Gouvernement, qui n'est pas moins nécessaire pour la paix qu'elle ne l'a été pour la guerre. M. Emile Borel pense que la société de statistique devrait attirer l'attention du Gouvernement et des pouvoirs publics sur l'urgence qu'il y a à s'occuper d'une telle organisation; il ajoute qu'une discussion permet-

trait de préciser sous quelle forme la statistique doit y intervenir.

M. le président remercie M. Borel de son intéressante communication -et ouvre la discussion.

M. Delatour demande quelques compléments d'explications qui lui sont donnés par M. Borel.

M. Lucien March dit que les suggestions de M. Borel intéressent particulièrement l'avenir de la statistique française, en ce sens qu'elles tendent à renforcer son action, en même temps qu'à préciser l'utilité de ses services.

La statistique générale de la France a été rattachée à des administrations assez différentes : intérieur, travaux publics, commerce, travail; elle pourrait aussi bien être rattachée, comme on le fait dans certains pays étrangers, à l'instruction publique, aux finances, etc. Comme le service central de statistique groupe les informations recueillies par les autres administrations, c'est souvent quelque circonstance étrangère aux intérêts de la statistique qui décide de son sort administratif.

Or, on pourrait rechercher au contraire la solution qui permettrait la meilleure utilisation possible des documents statistiques.

Il y a une vingtaine d'années, l'exemple de l'Allemagne, de l'Italie, où le service central de statistique était chargé de travaux très divers, on s'était demandé s'il ne convenait pas d'accroître la centralisation des statistiques en France. L'idée a été abandonnée pour deux raisons principales.

D'abord, parce que la réunion des documents 'statistiques est presque nécessairement l'œuvre des agents des diverses administrations qui établissent ces documents au cours de leur besogne administrative, puis, parce que pour analyser les résultats du dépouillement, il faut bien connaître la matière ; nul ne peut la mieux connaître que l'administration compétente.

On a seulement pensé, — et le conseil supérieur de statistique a émis des vœux en ce sens — que le dépouillement des documents serait mieux et plus économiquement fait, s'il était exécuté par le service central spécialement outillé et entraîné pour cette besogne.

L'expérience des vingt années a démontré que la proposition a eu peu de succès. D'autre part, d'autres vœux émis par le conseil supérieur de statistique, pour l'amélioration ou le développement de diverses statistiques, sont restés sans effet. -, On peut donc revenir à l'idée première amendée dans une juste mesure. Il ne saurait être question, en effet, d'enlever aux administrations la tâche de dresser les statistiques qui résultent de leur fonctionnement normal. Des raisons-évidentes de simplicité, d'exactitude, d'économie s'y opposent. Mais les documents utilisés -pour ces statistiques contiennent souvent beaucoup de renseignements dont l'administration intéressée ne tire pas parti, parce qu'ils n'intéressent pas directement ses services, et qui offrent pourtant un grand intérêt, social économique ou financier.

Si le service central est rattaché à un ministère qui jouit d'une certaine autorité auprès des autres, celui des finances ou la présidence du conseil, il lui sera possible d'obtenir communication de ces documents lesquels pourront même être utilement étendus.

Le rattachement à la présidence du conseil préconisé par M. Borel, permettrait donc un développement des recherches statistiques, avantageux pour le bien général, et la misa des résultats à la portée immédiate du chef du gouvernement dont le contrôle sur la vie administrative et économique du pays pourrait s'exercer en connaissance de cause.

Comment s'-exercera ce contrôle? Le président du conseil aura-t-il à côté de lui un personnel administratif spécialisé, une sorie doublure de chaque ministère? M. Bore an Parfaitement prévu les objections que jne m „anqL„ rait pas de suggérer, une organisation de co genre. A son avis, le personnel q P esi dent chargerait d'une mise au pOlllt des informations statistiques, conformément à ses directions, à sa manière de conceVOlr la marb8 des affaires, serait entièrement temporaire.

nommé par lui et disparaissant avec lui. Aucune mesure d'exécution ne lui appartiendrait chaque ministre conservant ainsi toute son autorité pour la gestion des services dont il est chargé. point de doubles emplois par conséquent, mais contrôle éclairé et permanent, non seulement de l'action administrative réa-


lisée, mais encore des résultats généraux de l'application des lois et des besoins du pays.

i M. Borel remercie M. March de ses observations et déclare qu'il ne faut pas des sous-ministres mais des hommes ayant un rôle de coordination. Il cite la guerre sous-marine de 1917 à l'appui de sa thèse. Alors il y avait lieu de décider s'il fallait transporter par bateaux soit du pain soit des armements, soit des divisions américaines. La carte de pain était donc liée aux effectifs, le président du conseil avait en conséquence une direction à prendre : pour l'éclairer il était nécessaire non seulement d'avoir un contrôle auprès de lui, mais des hommes capables d'étudier avec lui l'ensemble de ces questions. La coordination gouvernementale est fort importante.

M. Michel explique que la coordination est nécessaire et que tous les bureaux de statistique devraient être rattachés à la statistique générale.

Sur une observation présentée par M. Delatour. M. March réplique qu'il faut éviter les doubles emplois comme il y en eut pendant la guerre.

M. Hisser demande si l'organisme du bureau de la statistique du G. E. M. est due à la présidence du conseil et rappelle un article de M. G.

Boutroux sur ce sujet.

M. Borel répond que M. Boutroux était à la statistique générale du ministère de la guerre et qu'à la présidence du conseil il a suivi la question des effectifs.

M. Cliervin estime que la question est complexe : la statistique générale de la France dépend du ministère du travail, c'est-à-dire d'un

ministère qui n'a pas l'oreille de la Chambre ; si le président du conseil sait qu'il a un organisme dans sa main, il y pensera.

Certes, M. Délateur dit que le président du conseil est généralement titulaire d'un département ministériel'et qu'il peut se renseigner par ses collègues ; cependant il estime qu'il n'y aurait aucun inconvénient à rattacher la statistique générale -à la présidence de la Chambre des députés, par exemple.

M. Delamotte déclare qu'à son avis les stalistiques doivent èlre faites par les ministères ; la statistique générale est un organisme de centralisation: elle publie un annuaire. Ce qui,, lui paraît manquer c'est une direction générale conduite par une réunion d'hommes comme le conseil supérieur de statistique qui est appelé à émettre des vœux.

M. Lucien March répond que le système proposé est celui qui fonctionne à présent : malheureusement, de nombreux vœux du conseil supérieur de statistique restent sans effet, notamment ceux qui se rapportent à la statistique hypothécaire, à la statistique des successions et à tant d'autres.

L'expérience a démontré également que les renseignements demandés par la présidence du conseil aux différents ministres exigent la mise en mouvement d'une lourde machine quand ils ne résultent pas d'une organisation permanente d'informations suivies.

M. Delamotte dit que la question do dépenses se pose ; ainsi une statistique intéressante à établir serait la statistique hypothécaire or pour l'établir, il faudrait un crédit do 40,0^0 fr.

environ.

M. le président remercie M. Borel et les orateurs qui ont pris part à cette intéressante discussion.

La séance est levée à dix-neuf heures.

Le secrétaire général, Le président, A.LFKED BARRIOL. PAUL MEUroT.

Chemins de fer Paris-Lyon-Méditerranée.

Vient de paraître : Agenda P.-L.-M. 1320 9e publication du même genre, comportant] notamment, divers articles littéraires avec do nombreuses illustrations en simili - gravure.

12 hors-texte en couleurs et une série de cartes postales détachables.

En vente, au prix de 4 fr., à l'agence P.-L -M.

de renseignements, 88, rue Saint-Lazare. a Paris, dans les bureaux, succursales, et bibliothèques des gares du réseau P.-L.-M.. dans les grands magasins du Bon Marché. du Louvre, des Galeries Laiayette, des Trois Quartiers, etc., à Paris.

Envoi à domicile sur demande adressée au service de la publicité de la compagnie P.-L.-M., 20 boulevard Diderot, à Paris, et accompagnée de 4 fr. 60 pour les envois à destination de la France et 5 fr. 05 pour ceux à destination de l'étranger.

Imprimerie, 31, quai Voltaire, Paris 7e.

Le Directeur des Journaux officiels • G. Pkyceujw,

EXTRAIT DU COURS AUTHENTIQUE DE LA BOURSE

j TERME 1 niiss, Mercredi 10 Décembre AU COMPTANT Oimti<oi i> lifndstioB. ,

nm D'ÉTAT FRANÇAIS GO 3J ., 'U" GO

i 60'3j.„.< 1 0 »..

Oet. Promesses d'inscriptions 3% 66(

ÙcL 19 i 3 amort. (r. SW, p. coup. de - c lât de r", de 1878 a 1953). 70f35 71r £ 5 KCY. 19 3 1/®% smort. (r. à mo fr.

ji. coup, de 7 fr. de rtc, de 1915à , r - Î939). au comptant SSH75

Kcy. 10 do t. pavé dep. le 1er févr. 1915.

lXr. i'j £ 1917 (au (cmpnt}. "1J1M

Cet. 19 & 1918 (au comptant) 71r55 ';

Nov. 19 a (tu comptant) 8Sf

Août 19 Oblieations4% 1912-13-14 desCh#rains de fer de l'Etat, r. à500f. 359 »,.

AoiH19 d° 5 1919. rcrab. à 5U0 fr.. 432

Bons du Trésor.

QblifttigB& dn Trésor

FONDS GARANTIS 1 1 par le GoaVernenwnt fraPtflil

Cet. 19 ©Mg.TnnisieQnes3%1808(int. et amort gar. par le Orouv. franç.). I j 32'! i .u ..1

1 TERMB

JOHSJL Mercredi 10 Décembre AU COMPTANT ejfcstim h Bjaiaatn».

- Août 19 Empr.Prot. AerAimam.

T a0.

Not. 19 Colen. de Mfateftaaoar ObL 2 fS.ep. t. 19 â. 3 r.iaan8&p^.O§s6a., et am.gar.)., Sept. 19 j. 3 iaaMM6. obt. 500 Fr., 1 remb.anpairéQar.Rtalfcraraç.). CS'3C .M

Oct. 19 Goav.gésér.éofAJfcwseosesâ. N., ov. 19 Emp.3Ç$4^3-7-âf.CÈ>.580',r.p. 314 - t.

Noy. 19 Gainera. eaa du Casça £.

Emp. 3« 1909. Oiil.âî(H reœb. )

au pair fiât, et amort. saroatis). *11 ••• •» Oct. 19 gécéral de l'into-CSiiae. ).

Oct. 19 Genvea. r^&01ufâfi»r.aapar. J.,.p.f"

S. ept. 19 i-d» 3(»0 Sept.19 j. ci- t911..0.r'oanll. 360.

i nia 19 Genv. du&noe. lisxpr. 4% iSil. - 442 «• Sept-19 Obk. au p. int 04 am. g. :?.,.

Sept.19 <t.Hmp.5Xi9M.r<fBi!à:~ff. 49~

ENPBBNTS DE SOLOIflES Juiil. 19 GoHvaranuat Géa. de l'Aliéna.

p.

Nov. 19 Gouv. gén. de l'Inio-Qkinc. BEP.

âcsOteaàoa de 1er. ml. 2 imet 19m, rmb. a 3H ',. ¡.

W. W fr 28 Nov. 19 i° 3 ÎS8B, rascfbaa». àSOOfr. | 284 ,. 8O.

Août 19 GeB<aH:.MB!M<TMs&tea-MB)pNB)H 3 Yt 19M-07. Obi, remb. tœ fr. 328 "ooP" ., ta

---- .- -- --_-

COTE DES CHANGES CHÈQUE- VERSEMENT. PAPIER GOUIlt -

Cours Cours Conrs 1 moyen moyen D10YCIl 1

I.OBdres 4149 Es^S" 223 Prague 20..

Hcw-York .,..,. 112 f FI?'ande.,.,.,. •• Roumanie 31 22 Sn^de « '~,;Ô •• Argentine 1 Hol!alde. •• j:uttte. Belgique 10a A \talie 85 Uruguay •• •• Belgrade JaIJOI"-" Vienne 7

Brésil £ ?rrcg<L- 230

Canada Petrograd Danemark I 205.. Porlogal !r.-,.. '-"" '-'-' ,O--'---- (rta_,!_!..!. u '!" Il.' Il ,", - --- -

BOURSE DE COMMERCE DE PARIS

COURS DU 4 DÉCEMBRE 1919. - HUILE DE MN. Les 100 kilogr. nets en entrepôt. à

COURS DU 1 DÉCEMBRE 1919. — HUILE DE COLZA. Les 108 kilogr. nets en entrepôt. , .,. à

COURS DU MERCREDI 3 DÉCEMBRE 1919. - SUIF INDWENE. 430 franco Paris, les 100 kilo¡;r. 370 à 380


A. JST 3NT 0 3NT CES Les annonces sont reçues à la SOCIÉTÉ GÉNÉRALE DES ANNONCES, 8, place de la Bourse Paris, 2*1 L'Administration et les Fermiers déclinent toute responsabilité quant à la teneur des annonces.

PRÉFECTURE DU otpARTEmEftTDE LA SEIIE espiuM mmm DE 1898 Li..:te des 1 :s numéros sortis au Sô* tirage effec-

tue le 5 décembre 19!9 et dont la 50'premiers ont droit aux lots ci-uiirès :

!f NUMÉROS 1O::iTATII12' NUMÉPO MONTANT d. des o 0.; 1 !iorlls. LOT' 1 Õ (1) ¡SortIS. 1 Report. 325.000f, - 1 Ii - Repot. 325.000f, ler. 84.042 - 200.000f. 23e. 158.838 1.000 2e 619.313 50.000 27e. 487.156 1.030 Se 603.119 10.000 28e. 108.424 • 1.000 4e 673.731 10.UO) 2r. 603.423 1.000 ,).e,!, 3 1 lO.I.;O) 30". 568.974 1.000 517.468 10.000 31e. 575.403 1.000 7e 180.y18 5.000 32e. 617.175 1.000 Se 312 3il 5.000 33e. 377.278 1.000 e.1 121.211 5.000 34e 623.914 1.000 10e601 201 5.000 35e. 612.327 1.000 11e 455. 1 000 30'. 486.263 1.000 12® 62 .920 1.000 37". 67.810 1.0G0 131' 4iî 149 1.000 38e. 663.933 1.000 14c is:{2")0 1.000 39e. 588.929 1.00) 13e 617.469 1.000 40e. 312.2. >3 1.000 it;c. 336.U89 1.°90 41e. 010.4G5 1.000 -e i 28-^ 739 1.0uO 142e. OUo.bSo 1.000 lie"! iV»® 1.000 l-W. 12'922 1.0:30 îr/1 ii)V,7 1.00 > 14'ic. 339.612 1.000 ':07.¡;)'J 1 003 145e. 598.390 1.000 <>.' ! T/V10) 1X03 46e. 61.389 1.000 20e 1.00) U7e. 410.314 1.000 23"' 598.132 1.001 148e. 222.343 1.000 o^e2')° 8T0 1 Lli)" 149e. 310.211 1.000 2;.,g.¡ 91/345 i.0Q 150c.\ 367.438 1.000 A reporter. 325.030f. ; 1 Total. :350.000f.

----,.--- -------

150 16.321 29.297 43.933 53.350 1 104 16.395 29.495 41.262 53.384 2.796 17.121 29.699 41.365 54.414 3.094 17.411 30.305 42.851 54.702 3 665 17.669 30.359 43.1lu 55.603 18.296 30. à78 43.344 57.093 4.129 18.539 30.646 43.378 57.43G 4.192 18.5S0 30-760 44.284 58.176 4.912 18.806 31.718 44.408 58.556 5.332 18.890 32.963 44.466 58.624 5.773 19.246 33.166 44.475 58.959 (3 032 19.429 33.337 44.770 59.131 6 323 19.570 33.388 45.566 59.267 7.031 19.882 33.418 _45.884 60.036 7.128 20 005 33.597 45.945 60.309 7400 23.148 34.095 47.176 6O.3J9 8.994 21 234 34.531 47.737 60.48" 9.035 213)6 34.841 47.852 60.496 9.809 21.810 3'1.973 48.377 60.49.

9.958 21.857 35.181 48.445 60.5* 10.243 23.352 35.215 48.802 10.511 23.724 35.520 48.913 61.39.

11.386 23.939 36.106 49.816 11.695 23.919 36.307 49.964 61.42 11.715 24.968 36.743 50.235 62.85 12.061 24.991 37.319 50.632 12.680 25.182 37.821 51.094 *62.92' 12.843 25.456 38.201 51.109 13.258 25.816 38.780 51.317 63.05 13 640 25.918 39.857 51.421 63.43 14.370 26.804 39.900 51.788 63.63 14.925 27.465 39.912 51.922 63.61 15.216 28.121 40.038 52.193 64.55 15.395 28.579 40.314 52.389 64.93 16.188 28.732 40.422 52.655 65.0c

(*) Voir le tableau des lots.

65.493 100.484 136.801 168.354 207.958 252.636 285.044 316.316 3a3.209 389.419 65.685 100.529 137.220 lbS.769 207.978 2*3.071. 316.675 '333.26.) 391.366 66.694 100.577 138.105 168.968 2 8.179 *252.876 285.808 31b.82b 353. 149 391.800 65 718 10 ) 615 139.193 169 035 208.314 283.881 317.183 3a4.434 393.207 65.685 100.861 139:290 169:579 208.610 253.003 286.190 317.362 354.438 393.360 6/ : 333 ~.86 67.466 101.149 140.809 170.617 208.92) 2a4.173 2 6.491 317.84a | 393.4/7 101.736 140.96J 171.903 2)9.103 254.967 28 469 318.013 3a6.0ob ; 39L008 '67.810 1,)4.107 141.3:» 172.386 2 «9.850 256.092 287.9/b 318.^67 39i.4o8 10 318 287.976)318.267 '394.02.) lOï 318 142 483 173.34i 210.2/2 2o6.b37 9SS 9b7 31b.30* 3j6.0->9 ; t gj-Jfe 68.335 104.411 142.493 173.499 210.712 257.098 - 3i8.917 395.132 68.555. 105.337 143.574 173.937 212.349 2->7 ll-i 2bb.«>9 2i1 355.2-'1 395.933 69.348 Í 103.403 144.001 175.027 212.661 25S. i 8") aa0.6f9 3%.056 69.845 105.534 144.402 175.24 2l2.9o6 2-8.2'. 289.a8. a 320.wo , 3a/ 396.391 69 879 103.612 145.liO 173.r,28 213.063 2a8.:>2, 293.a.w 320.911 3a».o,d 396.877 7;1.:3:3:¿ in, 6^6 145 '841 177 6/; 213. <0 > 259.097 291.9281 321.a28 < 3aJ.(>-••> 396.939 71'343 1(6 25Ï Ï8 145.89 178.231 2:4.793 239.177 293. >82 j 321.763 j 359 6 :3 ! 397.230 7 911 16.3 145.949 ifeî 2l'K»2 259-491 293.160 321.985 j 359.8781 397.563 72.259 .07.466 146.41; 178.5:6 216.627 25J.826 293.189 :32:;:. ¡¡J7 ! :m7.8?'l •70 Q .i) 4,)g 071 147 49-> 17 8 8. 6 o22.90b j 398.

398.726 70 QK'î 147 6 )8 179 53> 217.181 260.977 295.100 324.125 360.8*8 I 398.726 7A?6 M0S' 4O4 147.834 179:88» 217.358 261.209 295.198 325.510 ! 361.134 398.877 75.817 148.277 180.433 217%668 261.61/ 295.537 320.430 :1G2.11h;) 400.536 75.007 108.724 148:870 ISO.712 217.918 261.702 295.731 326.498 j 302.a3S 400.636 76. 9J¡ 10'). :"'1 H9 1 77'^ fifis 10«9 hK87O 1 ï14t9 H2k i0 * "-iso ois lî:îi 11:901 333 j &:m\ ifeS 401.675 14922 833 202.903 296.688 328.240, 362.84S 401.751 78 ?n 3:)!) 14. 483 180.9'9 222.208 262.938 298 059 330 381 363 627 402.043 iq nin Ain il.'- 149 6^3 180 96 263.2U" 298.«>31 3o0.-ia- : • bi.ObO 402.40 79.'439 113.93!. 149.644 181.49-' *222.343 263.49U) 298.940 330.49a | ô0o.828 402.462 EOFI8 111'383 lj0 933 182 7->9 203.0i7 I 299.168 331.21; 365.03i 403.087 bO.65'! 651 149 951 182:7.-;. 222.632 213.970 299.239 331.345 403.087 01 007 m RA7 150 039 126 1. 5-1 2}9.3;)v S33 ! 305.6 >9 403.145 < 8 ?56 112 15 > 150 4)5 183 Mi. 223.250 264.047 293.706 | 333311.. 699 j 3;».».a83 403.098t 81 180 ll-5> *rj0 151 '37° 223.723 265 n21 299.85» 332.088 303.943 403.898 /.or, ÎÎ48', 1517-M *183.230 2 5.699 265.025 299.885 | 333.5:;8 , 360.175 403.898 81.,2:-) 1\2.48'! 1e39 '"07 223.973, 265.l.Ki 29).942 3X3.585! »0l-8a0 -405.52» j Job.OOb 4u^.J06 Il Î'fu 4 lu5 '.fe t.n97 183.795 227.445 263.833 30».27J 3u-Soi i,00 7i^06'96b 82.292 1111.19'; 1::12.59:; 183.918 228.01U 2GG.()'¡ 3u2.31 '333.S:3i 406.04G 82 '292 114 19': ! 152.593 183.918 228.01) 2Gu.O-i2 o 82313 115.139 152.651 184.850 228.093 260.498 :Kn.?27 3:11.Ü\'2 I -=~~ ~:~ m rau i4R 313 153 13.4 183.3,,-2 228.4.-.6 26J.61/ I c~t -9 83:809 115:773 153: 151 185.872 23 >.813 1 266.857 ;?'} i ! ^'-^0 i^f0/,7.7o9 116 179 153*°.":!' 185.8.4 232.2.x» I 2b/. i-.l o0».:>il ûo».wJ .,07.h^ *84.042 116.311 153.402 186.0'.3 232.302 \E.G:! ^01.082 ; OS.i H7 305 v-h. 0->l 186 075 23i.ia/ 2b/.9a2 0O1.O0.» ooi.8^(> ob.>. <28 '¡US.cGi 85.519 134 748 186 3>9 23-4.801 208.614 304.868 335.219; 309.977 409.044 85 519 î1n17 'l85l 6 154:821 186233.092 268.^,6 3 >5.016 335.373) 370.820] 409^80 85 *616 * 86'740 IIS*022 155.'516 18 >.G2r.- 235.9i>!> 2G9.HSS 3 k:>.114 3:.5.5C» i j 370.90) i 409.541 87.873 a 19747 156.002 18: 400 236.185 270.149 303.492 330,110 371.377) 81.911 118.876 156.139 187.775 236.346 270.622 305.657 336.20 1. 8 i9 *410.ol4 88.241 118.998 156.201 188.903 237.400 272.061 305.892 337.0.x o/w.j/a 88.3U 119.165 156.Mj3 11»8^ 9 374' 239.087 272.580 306.006 337.094 ! j 373.262 411.884 83.3 156.577 189.63:) 272.630 336.672 337.832 373.877 411.958 89 163 *121.204 156 -97 239.267 272.727 307.039 337.989,373.903 412.008 89 468 156957 189 81- 240.187 274.187 308.280 338.043' 375.096 412.653 545 190 508 157 030 189 864 240 277 274.348 303.438 338.342 375.518 412.940 90 594 120 714 19108. 240.323 274.540 309.387 338.3i7 375.936 412.950 90 904 120 843 *157 236 191.274 2!10.623 274.678 309.543 338.455 376.594 413.392 91.6811 103 098 191.436 241.051 274.962 309.958 339.112 377.240 413.540 91.818 123,71.3 157.754 193.180 241.165 275.001 310.150 339.227 -377.2-8 fd4.289 157.928 193.283 241.961 276. 0') t *317.278 415.775 -91.945 *124.922 158.418 193.4:5 242.152 276.609 *310.211 *339.012 MAU 194.00) 242.673 271.32 377.482 416.901 Q9 Aftrï î-12œ -4 123 M58 838 195 425 242 780 278.015 310 261 340.320 377.686 417.128 93.932 126.029 19.895 243.019 278.659 310.356 340.476 378.59J 417.5M 94.001 126.119:3 158.967 196.214 243 749 278.668 310.373 340,854 3/9.803 417.643 94 068 126 566 159.396 196.252 244.217 279.019 311.138 341.379 380.175 418.846 94.523 121.898 159.439 193.841 244.334 279.377 311.154 341.440 380.202 419.

994 4.55053 9 11^27 8.85990 8 11559 9:44356 9 lltm 244.360 279.579 311.166 341.531 381.106 419.8.

94.882 128.946 159.533 198.781 244.710 2/9 594 311.313 341.879 381.138 95.247 129.498 160.084 198.870 244.8a4 280.1/1 311.866 3i2.27a 3o2.000 42o.l92 95.612 129.660 162.294 198.873 245.378 280.361 311.976 3i3.681 382 096 420-736 95.885 162.295 199.091 245.411 280.542 312.063 343.742 38®422.326 96.714 *130.357 162.343 200.195 245.746 280.627 343.757 382.553 422.326 96.963 163.081 201.115 2i6. U8 280.635 *312.253 36.367 383.485 422.706 97.169 132.543 163.306 201.226 246.650 281.645 347.956 38.419 423.069 97.302 132.644 163.362 201.319 247.182 281.718 *312.381 348.540 38 i■ 682 423.752 97.425 132.706 164 ^22 201.421 248.567 282.014 * 97.628 132.993 165.511 201.983 248.645 282.116 312.606 348.87 385.597 424.287 98.546 133.390 166.165 203.012 248.840 282.395 312.760 348.971 385.689 424.288 98.641 133.403 166.176 203.535 249.371 282.647 313.027 349.240 385.913 426.261 99.611 i3~-483 167.227a 2~6.4D82 1 2&9.787 282.694 3t3 .J55 349.745 3S,5.916 427*426 99.012 134.526 166.277 204.656 249.787 282.694 3l3.1o5 349.745 385.916 427.426 99.274 134.585 166.778 205.152 250.216 283.169 313.204 351.183 387.796 428.041 99.611 135.483 167.225 235.481 253.233 283.693 313.744 351.908 387.833 428.302 100.311 136.533 167.287 206.368 250.828 283.810 3 3.912 388.174 428.637 [ 100.377 136.775 167.710 [ 207.580 252.617 t 284.998 1 314.155 3o3.iû0 1 389.Ga31 4*9.496


ANNONCES — L'Administration et les Fermiers déclinent toute responsabilité quant à la teneur des annunces. -' ANNONCES

430.309 477.494 520.617 568.072 605.853 686 477.534 520.876 606.008 432!.i<J$477.856 521.080 '568.974 6QÇt150 432.269 478.006 521.990 607.1x2; 433 274 478.049 522.155 569.668 607.530 433.279 478.662 522.754 569.820 608.342 433455 479.574 523.465 569.826 610.156 433 503 480.066 523.679 570.625 610.216 434 115 480.526 524.052 570.881 434.633 480.905 524.153 571.031 *610.465 436.173 481.059 524.177 571.479 437.128 481.091 524.575 571.626 612.254 437631 481.124 526.653 571.634 437 672 481.731 526.696 572.543 *612.327 438.354 482.733 526.793 572.746 438 621 482.736 527.296 572.756 612.816 438 698 483.017 527.361 572.808 612.849 440 830 483.673 528.020 573.174 612.917 441.069 483.874 528.026 573.478 613.449 441.123 484.725 528.521 573.6il 613.767 484.977 530.015 575.277 615.011 '441.H9 485. C:07 530.257 575.322 615.530 486.127 5301425 615.551 44L212 530.521 *575.403 615.694 441 3S9'486.263 530.706 615.756 442.700 531 541 575.623 616 180 443.105 *487.156 531.565 576.247 616.649 443.364 531.(567 577.371 617.123 443.490 487.543 531.709 577.396 -444'236 488.921 533.217 579.480 '617.175 445227 489.109 533.348 579.913 489.469 533.518 581.340 617.275 *445 309 489.504 533.529 580 365 489.847 534.285 581.027*617.469 445.448 490.117 535.466 581.658 445910 490.274 535.692 581.699 617.877 446760 490.463 536.409 582.537 618.234 446'971 490.480 537.101 583.298 618.499 447100 491.163 537.243. 583.321 618.538 448!135 491.361 537.677 584.451 618.628 448 9S4 492.120 537.758 584.636 619.128 449.064 492.160 538.278 584.699 449 *537 492.311 538.590 584.986*619.315 449 653 493.732 539.534 586.245 451.190 494.006 540.084 586.608 619.594 451.380 494.627 540.177 587.177 619.645 452.493 494.833 540.478 588.760 619.913 452.915 494.990 541.002 620.059 453.061 495.526 541.178 *588.929 620.195 453.311 497.080 542.440 620.491 454.105 497.253 542.448 510.142 621.240 454.248 497.468 543.506 590.217 621.500 455.064 497.641 513.518 590.797 622.033 455.432 497.830 544.826 591.648 622.385 497.952 545.112 592.099 622.794 *455.903 497.980 545.270 593.348 - 498.065 546.147 594.794 *623.914 456.395 498.2S8 546.992 596.053 457.253 499.398 547.284 596.121 624.041 457.654 501.254 547.688 596.123 624.539 457.778 501.855 547.902 596.444 625.167 458.185 501.916 548.525 596.507 625.376 458.562 502.231 549.024 597.066 627.209 458.813 503.006 549.276 597.281 627.713 4^9 *013 504.424 549.743 597.355 628.149 459*522 504.574 549.768 597.383 629.545 460047 504.992 550.219 597.504 629.550 460.945 506.18Ô 550.511 597.527 629.7G3 461.557 506.467 550.586 598.076 629.915 461.804 551.662 598.237 630.020 462.294 *503.132 551.682 630.237 463.581 552.343 *598.390 631.875 463.998 509.462 552.467 631.957 464.497 509.969 553.372 598.809 632.282 464.961 511.017 553.519 598.909 632.319 465.535 511.474 553.526 599.113 632.415 466 163 512.321 553.663 599.296 632.433 466.960 512.739 555.530 599.439 632.577 467.639 512.751 555.805 632.98E 469.369 513.011 556.397 *600.119 633.151 469.531 513.204 556.468 633.224 470.273 513.678 558.514 600.447 635.09 470.279 514.290 558.518 600.489 635.19*!

470.387 514.998 559.306 600 519 636.21t 470.555 515.003 560.052 600.755 636.31 471.844 515.057 560.491 600.879 636.47: 472.665 515.684 560.959 636.77f 473.033 516.808 561.159 *601.201 637.12 473.256 561.715 637.71 474.124 *517 468 562.418 *603.423 637.79; 474.545 562.681 637.98J 474.615 517.685 563.090 603.639 637.99i 475.204 518.376 564.072 638.58: 475.255 518.900 564.629 *603.688 638.91 476.975 519.023 565.891 1 638.98( 477.137 519.244 566.674 1 605.511 63q.99 477.231 519.608 5fi7 440 fia"».702 639.95!

640.347 649.124 659.973 668.414 1 680.676' 640.378 649.141 - 660.813 669.3861 681.141

640.613 650.840 661.740 670.408 682.422 641.188 .1 651.715 661.763 670.881 683.341 6-iî ,465 652.200 1,630193 672.288 683.653 641.867 652.926 663.218 672.377 68 5.702 642.553 652.986 672.742 683.729 642.718 653.115 *663.938 673.223 684.314 643.519 654.330 673.405 684.501 644.232 654.427 664.182 684.665 644.234 655.027 664.605 *673.734 685.001 644.249 6,5.041 664.706 685.021 644.318 655.413 664.823 674.034 6803 614.414 655.886 665.031 675.001 6S6.261 644.843 656.542 665.122 675.694 1.8).392 616.263 657.318 665.499 676.300 686.515 646.443 657.532 665.647 677.124 6 6.966 646.701 657.8 8 665.714 677.233 687.057 647.029 658.614 666.433 677.685 687.503 647.076 6 8.667 666.563 677.921 688.083 617.828 658.995 616.7:0 678.696 689.414 647.966 659.514 665.776 679.167 689.629 618.335 659 604 667.172 679.267 691.119 648.340 659.640 667. £ 8* 679.325 691.892 618.482 659.920 6:7.297 679.483 692.356 619.021 659.951 668.149i 679.564

PRÉFECTURE DU DÉPARTEMENT DE LA SEINE

111 MIMIPAL DE 1012 (205 MILLIONS) Liste des -<'2 numéros sortis au 90e tirage effectué le 5 décembre 1919 et donnant droit aux lots oaprès :

soi g L'MÉROS M0SWT Si UMÉROSMONTANT ê des g S des Q sortis. LOTS CD sortis, LOTS Report,.. 72.000 f.

1". 380.535 50.000f. 22' 101.527 500 2e.. 377 283 10.000 23c.. 214.197 500 3e.. 211 ! 978 1.000 Íc.. 611/780 500 4e.. 157.639 1.000 25e.. 362.876 500 5e.. 512.283 1.000 26e.. 618.117 500 6e.. 142.552 1.000 27e.. 508.419 500 7e.. 456.494 1.000 28e.. 520.571 500 Se.. 63.530 500 29" 628.790 500 9e.. 587.517 500 30e.. 421.766 500 10.. 558.081 500 31e.. 633.366 500 11e.. 152.945 500 32" 301.510 500 12e.. 128.120 500 33e.. 123.556 500 13" 591.207 500 I?-Í.. 195.389 500 14e.. 417.311 500 35'-.. 607.339 500 15e.. 368^624 500 36e.. 308.723 5e 16e.. 346.508 500 37'. 111.902 500 17* -17° *247 500 38 c.. 562.938 500 18e" 690.569 500 39*.. 501.268 500 19e" 69*147 500 40" 481.237 500 20V «715'350 500 Mc.. 188.366 500 2189.397 500 42e.. 263.670 500 A re porter.. 72.000f. Total,. 82.500f. -

Le payement des lots aura lieu à l'Hôtel de Ville à partir du 15 janvier 1920.

Ministère des travaux publics, des transports et de la marine marchande.

DÉPARTEMENT DE LA VIENNE

Remise en état des chaussées empierrées des routes nationales.

Le mardi 30 décembre 1919, il sera procédé à la préfecture de la Vienne à l'adjudication publique des travaux de remise en état des chaussées empierrées .des routes nationales du département de la Vienne.

Ces travaux, divisés- en six lots, sont évalués commi Suit

1er LOT Route nationale o 10 de Paris à Bavonne partie comprise entre l'origine et la borne 50 k. 7 sur une longueur de 50 k. 616.

Estimation des dépenses, 123.000 fr. N Cautionnement à verser, 3,100 fr.

2e LOT Route nationale n8 10 de Paris à Bayonne. partia comprise entre la borne 50 k. 7 et la borne 58 k. sur une longueur de 7 k. 3.

Route nationale no 11 de Paris à Rochefort, partie comprise entre l'origine et la limite du département sur une longueur de 28 k. 155.

Route nationale n* 147 de Limoges à Saumur, partie comprise entre la borne 53 k. 800 et la borne tiOk. 100 sur une longueur de 6 k. 300.

Route nationale n° 150 de Poitiers à Saintes, partie comprise entre l'origine et l'extrémité sur une longueur de 9 k,2i5.

Estimation des dépenses, 100,000 fr.

Cautionnement à verser, 2500 fr.

3e LOT

Route nationale no 147 de Limoges à Saumur, partie comprise entre la borne 85 k, et la borne 129 k. 892 sur une longueur de 4i k. 892.

Estimation des dépenses, 279,000 fr.

Cautionnement à verser, 7,900 fr.

4 e LOT Route nationale n" H7 de Limoges à Saumur, partie comprise entre la borne 60 k. 100 et la borne 85 k.

sur une longueur d,> 24 k. n.

Route nationale noUS bis de Poitiers à Nantes, partie comprise entre l'origine et la borne 29 k. 215 sur une longueur de 29 k. 215.

Estimation des dépenses, 355,000 fr, Cautionnement à verser, 9,700 lr.

5c LOT Route nationale no 147 de Limoges à Saumur, partie comprise entre l'origine et la borne 53 k. 800 sur une longueur de 53 k. 890.

Route nationale n" 151 de Poitiers à Avallon, partie comprise entre l'origine et la borne 4ij k. 19 sur une longueur de 46 k. 19.

Estimation dos dépenses, 210,000 fr.

Cautionnement à verser, 5,700 fr.

LOT Route nationale n" 10 de Paris à Bayonne. partie comprime entre la borne 58 k. et le point kiloméV trique 107 k. 711 sur une longueur de 49 k. 711.

Route nationale îv 118 de Limoges à Nantes, partie comprise entre l'origine et le point kilométrique 31 k. 071 sur une longueur de 34 k. û71.

Estimation des dépenses, 151.000 fr.

Cautionnement à verser, 3,9U0.

On peut prendre connaissance des pièces du projet tous les joiflrg ouvrables : 1" Dans les bureaux de la préfecture, de neuf heures à onze heures et de quatorze heures à seize heures ; 2. Dans ies bureaux de M. Antin ingénieur en chef à Poitiers, 13, boulevard de Verdun, de huit heures à onze heures et de treize,heures à dix-sept heures.

Les candidats à l'adjudication doivent adresser les pièces réglementaires dans les délais prescrits par l'affiche d'adjudication, à M. Antin, inganieur en chef à Poitiers, boulevard de Verdun, 13.

Ministère des travaux publics, des transports et de la marine marchande.

Préfecture du département de Ieurlhc-et-Moscne.

TONTS ET CHAUSSÉES

RECONSTRUCTIONS D'OUVRAGES D'ART Avis d'ouverture d'un Concours.

Un concours est. ouvert pour la reconstruction de "cinq ponts détruits pendant la guerre, sùr la MEURTRE et sur la SEILLE.

Chacun de ces ponts fait l'objet d'un lot.

ier LOT PONT DU NEUF-COURS sur la MEURTHE (Chemin vicinal ordinaire de Rosières aux-Salines à lludiviller.) Pont droit de 40 mètres de portée.


f ANNONCES — L'Administration et les Feraiere éMaent toute M~mM~ qud à la tenee des annonças. ANNONCES

! Chaussée de 3 mètres de largeur entre trottoirs de 80 centimètres de largeur utile.

Outre la construction du pont proprement dit, l'entreprise comprendra l'enlèvement de la passerelle provisoire, la démolition d'une culée, la construction lune culée neuve, le rescindement d'une rive et l'établissement d'une défense de rive.

2" LOT PONT DE BRIN sur la SEILLE (Chemin vicinal ordinaire de Brin à Bioncourt.) Tablier à construire sur les culées et pile actuelles, en deux travées de 15 mètres de portée.

Chaiissée de 3 mètres de largeur entre trottoirs de 80 centimètres de largeur utile.

Outre la construction du tablier, l'entreprise comprendra la réparation des culées et de la pile, leur adaptation au nouvel ouvrage et la démolition du pont provisoire.

3S LOT PONT DE THEZEY-SAIHT-MART1N sur la SEILLE !

(Chemin vicinal ordinaire de Thézey-Saint-Martin , à Lctricourt.) Tablier a construire sur les cnlées actuelles, en une travée biaise à 75 degrés de 26 m. 00 d'ouvertnre biajs9.

Chaussée de 3 mitres de largeur entre trottoirs de 80 centirnéties de largeur utile.

Outre la construction du tablier. l'entreprise comprendra la réparation des cuiécs, leur adaptation au nouvel ouvrage et la démolition du pont provisoire.

4e LOT PONT D'ABAUCOURT sur la SEILLE (Chemin d'intérêt commun n" 4, embranchement no 5.) Pont de 26 mètres de débouché linéaire, en utilisant les fondations anciennes.

Chaussée de 5 mètres de largeur entre trottoirs de 80 centimètres de largeur utile.

Outre l'ouvrage proprement dit, l'entreprise comprendra la réparation dos arches de décharges voisines de l'ouvrage neuf, la démolition du pont actuel çt du passage provisoire.

5e LOT PONT DE CHEMINOT sur la SEILLE (Chemin d'intérêt commun n" 7, ligne principale.) Tablier en trois travées de 7 m. 50 d'ouverture hiaise, s'appuyant sur deux piles et deux cuiécs existantes.

Chaussée de 5 mètres de largeur entre trottoirs de 80 centimètres de largeur utile.

Outre le tablier proprement dit, l'entreprise comnrondra la réparation des piles et culées, la démolition de l'ancien tablier et du pont provisoire.

v, CONDITIONS PRINCIPALES DU CONCOURS I. — Demande d'admission.

Les concurrents qui désirent prendre part au concours doivent en adresser la demande à M. Canel, ingénieur en chef des ponts et chaussées, à Nancv, 11 bis. rue de Lorraine, dans le délai de vingt jours suivant la publication du présent avis au Journal officiel, le délai expirant le vingtième jour a dixhuit heures, et joindre à cette demande les pièces ci-après : l'our les concurrents autres que les sociétés d'ouvriers français : , 1° Une déclaration indiquant leur intention de soumissionner et faisant connaître les nom, prénoms, qualité et domicile du candidat ; 2° Luc note indiquant le lieu, la date, la nature et l'importance dos travaux exécutés par le candidat ou à l'exécution desquels il a concouru, l'emploi qu'il

occupait dans chacune des entreprises auxquelles il a collaboré, ainsi que les noms, qualités et domiciles des hommes de l'art sous la direction desquels ces travaux ont été exécutés. Les certificats délivres par ces lionimesde l'art peuvent être joints à la note.

Pour les sociétés d'ouvriers français : 1" La liste nominative de leurs membres (noms, prénoms, domiciles, dates et lieux de naissance) ; 2° Leur acte de société ; 3* L'engagement d'employer effectivement aux travaux, pendant toute leur durée, un nombre ruinipium de sociétaires qu'elles fixeront ; 4° Un acte, en bonne et due forme, désignant le délégué chargé de les représenter et définissant ses pouvoirs comme il est prescrit ci-après ; 5° Une déclaration de ce délégué indiquant le lieu, la date, la nature et l'importance des travaux que la société a ou à l'exécution desquels elle a concouru, ainsi que les noms, qualités et domiciles ;les hommes de l'art scus la direction desquels ces travaux ont été exécutés. Les certificats délivrés par tes hommes de l'art pourront être joints à la note.

Les demandes, accompagnées des pièces mentionnées ci-dessus, seront adressées franco à l'ingénieur

en chef, et devront lui parvenir (vingt jours après publication de cet avis au Journal officiel), à dixhuit heures, terme de rigueur.

II. — Instruction des demandes.

La liste des personnes admises à concourir sera arrêtée par le préfet du département de Meurthe-etMoselle.

Les personnes admises à prendre part au concours seront avisées ultérieurement et directement de leur admission et seront convoquées au bureau de l'ingénieur en ohef des ponts et chaussées, pour prendre connaissance du devis programme du concours.

Les pièces remises par les personnes non admises leur seront renvoyées, avec l'avis que leur demande n'a pas été accueillie.

Fait à Nancy, le 8 décembre 1919.

Pour le préfet de Meurthe-e-Moselle : Le directeur général de la reconstitution, Signé : GUKRù"

Ministère des travaux publics, des transports et de la marine marchande.

DÉPARTEMENT DES HAUTES-PYRÉNÉES

Remise en état des Chaussées des Routes nationales.

Fourniture de matériaux d'empierrement pendant les années 1920 et 1921.

Le jeudi 8 janvier 1920, à quatorze heures, il scîVa procédé, à la préfecture des IÍautes-Pvrcnées, à l'adudication des fournitures do matôriaux d'empierrement pendant les années 1020 et 1921 pour les lots ci-apres désignés 1" LOT Rente nationale n" 21, ligne principale, entre les bornes 67 k. 7 et 69 k. 6, et embranchement de Cauterets, entre les bornes 61 k. 5 et 65 k. 5.

Fournitures de matériaux. 47-295 » Travaux imprévus 205 » Total. , 37-500 »

------

Il n'est pas e:dgé de cautionnement. -2e LOT Route nationale nO 117, entre *es bornes 60 k.

et 65 k. 294

Fourniture de matériaux 25.C06 » Travauximprévus.,. - 9i » Total. 25.700 »

Il n'est pas exigé de cautionnement. ---3c LOT Route nationale n0- 129, entre les bornes 51 k. 6 et 59 k.

Fourniture de matériaux 79.832 » Travaux imprévus Iti8 » rotaI. '-" 80.000 »

Il n'est pas exigé de cautionnement. 1 lie LOT Route nationale nO 135, entre les bornes 55 k.

et 63 k. 370.

Fourniture de matériaux.,.. 13.519 f.O Travaux imprévus 50 50 Tutat. 13.000 «

Il n'est pas exigé de cautionnement.

On peut prendre connaissance des pièces du projet tous les jours ouvrables i* Dans les bureaux de la préfecture (3e division), de neuf heures à onze heures et de quatorze heures à seize heures ;

20 Dans 1rs bureaux de MM. les ingénieurs chargés des arrondissements de l'Est et de l'Ouest, rue Lordat, n" 3„ à Tarbes, de neuf heures à onze heures et de quatorze heures à seize heures.

Les candidats à l'adjudication doivent présenter les pièces réglementaires dans les délais prescrits par l'affiche d'adjudication à M. Reynes, ingénieur en chef des ponts et chaussées, rue'Lordat, un 3, à Tarbes.

Ministère de la justice.

DÉPARTEMENT DE SEINE-ET-MARNE.

ADJUDICATION de l'entreprise générale des services des prisons.

Le directeur de l'administration pénitentiaire au ministère do la justice, donne avis que le 20 décembre 1919, il sera procédé à la préfecture du département de Seine-et-Marne à l'adjudication de l'entreprise générale des services des prisons des départements de Seine-etMarne, du Cher, du Loiret, de la Nièvre et de l'Yonne pendant trois années qui commenceront le 1er janvier 1920, Le dépôt provisoire exigé des concurrents est fixé à trois mille francs. Le cautionnement définitif à quarante-cinq mille francs.

On peut prendre connaissance du cahier des charges au ministère de la justice, rue Cambacérès, no 11, direction de l'administration pénitentiaire, 28 bureau, aux préfectures des départements de Seine-et-Marne, du Cher, du Loiret, de la Nièvre et de l'Yonne et à la direction de la circonscription pénitentiaire à Meiun.

Ministère de la justice.

DÉPARTEMENT DE MAIXE-ET-LOIRK

ADJUDICATION de l'entreprise générale des services des prisons.

Le directeur de l'administration pénitentiaire au ministère de la justice donne avis que le 20 décembre 1919, il sera procédé à la préfecture du département du Maine-et-Loire à l'adjudication de l'entreprise générale des services des prisons des départements de Maine-etLoire, de la Sarthe et de l'Indre-et-Loire, pendant trois années, qui commenceront le 1er janvier 1920, pour les départements de Maine-et-Loire et de la Sarthe, et pendant deux années et onze mois, qui commenceront le 1er février 1920, pour le département d'Indreet-Loire.

Le dépôt provisoire exigé des concurrents est fixé à trois mille francs, le cautionnement définitif à quarante mille francs.

On peut prendre connaissance du cahier des charges au ministère de la justice, rue Gambabarès, no 11, direction de l'administration pénitentiaire, 2° bureau, aux préfecture,;: des départements du Maine-et-Loire, de la Sarthe et de nndre-ct-Loirc, et à la direction de la circonscription pénitentiaire à Fontevrault.

Ministère do la justice.

DÉPARTEMENT DES DEUX-SÈVRES

ADJUDICATION de IVmrepi'ise générale des services des prisons.

Le directeur de l'administration pénitentiaire au ministère de la justice-, donne avis que le 20 décembre 1919, il sera procède a la préfecture du département des neux-hevrcs à l'adjudication de l'entreprise générale des services des prisons des déparfemt-rus des Deux-Sèvres, de la Vendée, de la Vienne et de llndte pendant trois années qui commenceront le 1er janvier 1920. 1 Le dépôt provisoire exigé des concurrents est fixé à trois mille francs Le cautionnement définitif à vingt mille francs.

On peut prendre connaissance du cahier des


ANNONCES — L'Administration et les Fermiers déclinent toute responsab^të jaant à la tc:u' dss annonces. — ANNONCES 1

charges au ministère de la justice, rue Cambacérès, no 11, direction de l'administration pénitentiaire, 2e bureau, aux préfectures des départements des Deux-Sèvres, de la Vendée, de la Vienne et de l'Indre et à la direction de la circonscription pénitentiaire à Thouars.

Ministère de la justice.

DÉPARTEMENT DE LA CÔTE-D'OR

ADJUDICATION de l'entreprise générale des services des prisons.

a

Le directeur de l'administration péniten- tiaire au ministère de la justice, donne avis que le 22 décembre 1919, il sera procédé à la préfecture du département de la Côte-d'Or, à l'adjudication de l'entreprise générale des ser- vices des prisons des départements de la Côted'Or, du Jura, de Saône-et-Loire, du Doubs et du territoire de Belfort, pendant trois années qui commenceront le 1er janvier 1920.

Le dépôt provisoire exigé des concurrents est fixé à trois mille francs. Le cautionnement définitif à quarante mille francs.

On peut prendre connaissance du cahier des charges au ministère de la justice, rue Cambacérès, n° 11, direction de l'administration pénitentiaire, 2e bureau, aux préfectures des départements de la Côte-d'Or, du Jura, de Saône-et-Loire, du Doubs et du territoire de Belfort et à la direction de la circonscription pénitentiaire à Dijon.

Ministère de la justice.

DÉPARTEMENT DES BOUCIIES-DD-RUÔXR

ADJUDICATION de l'entreprise générale des services des prisons.

Le directeur de l'administration pénitentiaire au ministère de la justice, donne avis que le 22 décembre 1919, il sera procédé à la préfecture du département des Bouches-duRhône, à l'adjudication de l'entreprise générale des services des prisons des départements des Bouches-du-Rhône, des Basses-Alpes, des Alpes-Maritimes et du Var. pendant trois années qui commenceront le 1er janvier 1920.

Le dépôt provisoire exigé des concurrents est fixé à trois mille francs. Le cautionnement définitif a cinquante mille francs.

On peut prendre connaissance du cahier des charges au ministère de la justice, rue Cambacérès, n° 11, direction de l'administration pénitentiaire, 2e bureau, aux préfectures des départements des Bouches-du-Rhône, des Basses-Alpes, des Alpes-Maritimes et du Var et à la direction de la circonscription pénitentiaire à Marseille.

Ministère de la justice.

, N DIRÉCTION DE L'ADMINISTRATION PÉNITENTIAIRE (3e bureau.)

Le directeur de l'administration pénitentiaire donne avis que le 19 décembre 1919, il sera procédé, à Montpellier, en l'hôtel de la préprocédé, à l'adjudication des fournitures difecture, à l'adjudication des fournitures d.lverses nécessaires aux services de la colonie industrielle d'Aniane pendant l'année 1920 (1er semestre).

Il sera donné connaissance du cahier des charges au ministère de la justice (direction de l'administration pénitentiaire — 3e bureau, 11, rue Cambacérès), à la préfecture de l'Hérault et à 1 économat de la colonie d'Aniane.

Ministère de la justice. 7-

DIRECTION DE L'ADMINISTRATION PÉNITENTIAIRE (3* bureau.)

Le directeur de l'administration pénitentiaire donne avis que le 17 décembre 1919, à quatorze heures, il sera procédé, à Bordeaux, en l'hutel do la préfecture, à l'adjudication des fournitures diverses nécessaires aux services de l'école de p. éservation de Cadillac pendant l'année 1920 {!«' semestre).

11 sera donné connaissance du cahier des charges au ministère de la justice (direction de l'administration pénitentiaire — ;;e bu eau, 11, rue Cambacerèsi, à la préfecture de la Gironde et à l'économat -de l'école de préservation de Cadillac.

MARINE NATIONALE Vente de Prises maritimes *

Le 19 décembre 1919, à quatorze heures trente, il sera procédé à TOULON, service de la solde et des prises, quai de la Consigne, à la vente par adjudication sur soumissions cachetées, en lots, des articles ci-après : Armes de guerre et de chasse usagées. —

Papier pour appareils télégraphiques. —

Appareils à induction. — Tubes en cuivre. — Compteurs électriques. — Objets d'histoire naturelle et de laboratoire. —

Huile « Poley ».

L'affiche portant indication des conditions' de la vente peut être consultée à l'établissement des invalides de la marine, à PARIS, 3, avenue Octave-Gréard, dans les directions et • quartiers d'inscription maritime, ainsi qu'aux chambres de commerce de Paris et des principales villes du littoral.

Pour tous autres renseignements s'adresser à M. le chef du service de la solde et des prises" à Toulon.

CHEMINS DE FER DE L'EST ALGÉRIEN TIRAGE DU 4 DÉCEMBRE 1919d'Actions et d'Obligations rembonrsables à la Société Générale de Crédit Industriel et Commercial.

90 ACTIONS remboursables à partir du 1er Janvier 1920.

Nos 51 à 60 10.731 à 10.740 27.671 à 27.680 :33.961 à 33.970 34.991 à 35.000

N°» 37.411 à 37.420 37.691 à 37.700 41.021 à 41.030 41.321 à 41.330

2,826 OBLIGATIONS remboursables - à partir du 15 Janvier 1920,

301 à 320 1.5J1 & 1.520 2.961 à 2.980 13.581 à 13.600 13.901 à 13.906 18.901 à 18.920 21.281 à 21.300 23.201 à 2:3.220 29.041 à 29.060 32.581 à 32.600 34.541 à 34.560 36.601 à 36.620 38.681 à 38.700 39.261 à 39.280

42.181 à 42.200 42.881 à 42.900 45.101 à 45.120 59.361 à 59.380 60.381 à 60.400 67.521 à 67.540 72.721 à 72.740 75.221 à 75.240 89.961 à 89.980 93.581 à 93.600 94.261 à 94.280 96.941 à 96.960 105.721 à 105.740 101.461 à 107.480

109.721 à 109.740 124.741 à 124.760 124.961 à 124.9SO 131.141 à 131.1M 133.481 A 133.500 135.201 à 135.220 139.901 à 1:59.920 141.581 à 141.600 141.701 à 141.720 144.701 à 144.720 146.341 à 146.360 160.961 il 160.U80 -162.921 à -.62.940 163.321 à 163.340 166.341 à 166.360 166.641 à 166.660 171.661 à 171.680 177.421 à 177.440 178.381 à 178.4UO 179.631 à 179.700 181.341 à 181.360 182. «"01 à 182.520 182.541 à 182.560 186.421 à 186. i-iO 183.761 à 188.780 190.021 à 190.040

200.101 à 200.120 200.281 à 200.300 201.121 ù 2)1.1 iO 204.401- - à 2 i4.420 205.081 à 205.100 214.941 a 214.960 216.061 à 216.080 219.381 à 210.400 2:0.801 à 23H.S20 230.181 à 236.200 2iO.281 à 240.300 241.721 à 2 il.740 249.621 à 249.640 253.441 à 253.460 254.341 à 254.360 251.781 à 254.800 258.601 à 258.620 265.001 à 255.020 2iï5.961 à 265.980 2;1.221 à 271.240 272.601 a 272.620 273.541 à 273.560 275.661 à 275.680 275.961 à 275.980 281.5VI à 281.560 285.961 à 285.980 283.781 à 286.800 287.861 à 287.880 290.561 à 230.5SO 291.481 TI 294.500 295.861 à 295.8SO

296.241 il 296.260 306. C.01 a 306.620 3'>9.621 à 309.640 310.101 à 310.120 311.9i1 à 311.960 323.641 à 323.660 326.201 il. 326.220 329.021 à 329.040 332.081 à 332.100 332.541 à 332.560 331.901 à 334.980 339.202 à 339.220 3.3.801 à 343.820 345.841 à «4 £ » 860 348.421 à 348.440 3.W.081 à 355.100 356.221 à 356.240 362.641 à 362.860 389.72t à 389.740 390.0)1 à 3m 1.020 331.261 il 391.280 392.231 à 3*2.300 39S.431 à 398.500 399.2d à 399.160 408.681 à 408.703 423.161 à 423.180 424..*61 à 424.580 426.541 îi 426 560 43;.961 à 437.980 442.421 à 442.440 445.821 à 445.840 4G.1Gl à 4i6.180 446.461 à 446.480 453.241 à 453.260 453.2,.1 à 453.280 451.8S1 à '454.900 4 56. D '( 1 à 456.960 4 CO. 541 à 460.560 462.501 à 462.520 463.511 à 463.560 46S. 6-i 1 il 4 68.660 4TG.9:)1 à 476.920 477.4:il à 477.420 480.381 à 480.400 483.871 à 483.880 480.201 à 486.220 489.701 à 489.780 491.901 à 491.920 492.201 à 492.220 492.641 à 492.660 494.481 fi 494.500 501.331 h 501.400 505.521 à 506.540 510.741 à 510.760 512.741 à 515.760 514.821 à 514.840 516.281 à 516.300

DÉCLARATIONS D'ASSOCIATIONS (4rt. 4" du décret du 10 aollt 1901.)

12 octobre 1919. ASSOCIATION DES ANCIENS COMBATTANTS DE FOUGÈRES. But : Secours en cas do maladie, aido en cas de décès. Siège : Mairie de Fougères (I.-et-V.).

D

11 3 novembre 1919. SOCIÉTÉ DES VÉTÉRANS l, DE SAINT-FROMOND. Camaraderie, solidarité.

aeiense aes interets communs. Siègs social: Saint-Fromond (Manche).

l

E FOOT-BALL CLUB LISZIGNANAïS, en date du 8novembre 1919, ayant pour but la pratique

ne tous les sports et notamment celle du football rugby, dont le siège social est situé iL Lézignan (Aude), Grand Café Jourdet.

10 novembre 1919. COMITÉ EN VUE DE FAIR* APPELA LA GÉNÉROSITÉ PUBLIQUE ET D'ÉLKVBR UN MONUMENT COMMÉMORA TIF AU\ SOLDATS MORTS POUR LA PATRIE A DOMFaON) (SF INT-FRONT).

Siège: Ecole des garçons de Sait t-Front (Orne).

12 novembre 1919. FOYER DU SOLDAT DU 103E R. I.

Objet : Mettre à la disposition des caporaux et soldats de la garnison et de passage un lieu de réunion où, dans des locaux confortablement aménagés, ils puissent se délasser, se récréer, lire, écrire, s'instruire et sa procurer des consommations saines à bon marché. Siège social : Ru. Thiers, Bergerac.


là ANNONCES — L'Administration et les Fermiers déclinent tonte responsabilité qnaat à la teneur les annonces. — ANNONCES -

12 novembre 1919. CERCLE DE L'UNION, dont l'objet do l'association est l'agrément. Siège social : commune de Vauchrétien (Maine-et-Loire).

17 novembre 1919. ASSOCIATION DU CERCLE DU COMMERCE VOIRONNAIS. Exploitation d'un cercle à Voiron. Siège ; Voiron (Isère), avenue Dugueyt-Jouvin.

17 novembre 1919. ASSOCIATION AMICALE DES AUXILIAIRES MÉDICAUX DE L'ALGÉRIE. Objet : Entretien des liens de solidarité entre tous ses membres. Siège social à nemc/en (Oran).

18 novembre 1919 (récépissé n° 709). Déclaration de constitution du PATRONAGE PAROISSIAL DE SAINT-AUGUSTIN d'Alger. Le patronage a pour but : développer chez ses adhérents leur instruction morale. la pratique de leurs devoirs religieux et leurs forces physiques.

Le siège social est rue de la Liberté, no 24, à Alger. .1

20 novembre 1919. SYNDICAT DE DÉFENSE DES INTÉRÊTS GÉNÉRAUX DES CONTRIBUABLES DE TAvRRNY. But : étude des questions locales.

Siège social : Taverny (S.-et-O.).

G décembre 1919. CENTRE NATIONAL D'INITIATIVES. Mettre en valeur les arts français en Amérique, grouper tous professionnels en vue de l'exportatian, rechercher les produits importables nécessaires à l'industrie. Siège social : Chez le président, A. Niquet, 20, boulevard Saint-Denis, Paris (10e).

ENVELOPPES Commeraitles st administratives 1 Collection franco.

Comptoir gcséral, fonrnisMen gros,236, fg St-Martin, Paris.

ofII"";

4

ANNONCES Publicité concernant l'Alsace et la Lorraine.

'",.. J4 _r.~r.- -:-_

LIQUIDATION DES BIEIS SÉQUESTRÉS

Mise en liquidation du patrimoine des ateliers: FRÉDÉRIC KLAAS, à Basse-Yutz, près Thionville.

(Ateliers de constructions métalliques et chaudonnerie.) Liquidateur: M. A. Pol, ingénieur E. C. P., 42, rue Saint-Marcel, à Metz.

Les offres des acheteurs éventuels devront être faites au liquidateur dans le délai d'un mois à partir de cette insertion. Passé ce délai, elles ne seront plus recevables.

Metz, le 6 décembre 1919.

Le commissaire du Gouvernement.

——————

Mise en liquidation du patrimoine des LOTHRINGER ZIEGEL WERKE (Tuileries lorraines), à Morhange.

Cette usine peut produire huit à dix millions de briques par an.

Liquidateur : M. A. Pol, ingénieur des arts et manufactures, 42, rue Saint-Marcel, à Metz.

Les offres des acheteurs éventuels devront être faites au liquidateur dans le délai d'un mois à partir de cette i-nsertion. Passé ce délai, elles ne seront plus recevables.

Metz, le 10 décembre 1919.

Le commissaire du Gouvernement.

Est ordonnée la liquidation des biens dépendant de la société « ART Frerex, à Forbach », et comprenant : ,

1* Une cartonnerie à Marien&u ; 2* Une usine de fabrication d'objets en carton durci et en pulpe de bois, à Forbach.

Importance approximative: 10 millions dt francs.

Liquidateur : M. Voiscnat, ingénieur à Forbach.

Sarreguemines, le 8 décembre 1919.

le commissaire du Gouvernement, près le tribunal régional.

Sommation publique. -

i«Marie-Françoise-Ernestine Morquin, épousa de Jules Martin, à Cheminot ; 20 Marie-Julicnns Morquin, épouse de Jean-Louis Billot te, à Alémont; S* Joseph-Octave Morquin, agriculteur à Louvigny ; 4* Clément-Gaston Morquin, agriculteur à Louvigny ; 5° Ernest Gauget, clerc de notaire à Sillégny, agissant comme curateur de Georges Morquin de résidence inconnue ; 6" Marie-Catherine Lallemand, veuve de Joseph Morquin, à Louvigny, agissant comme tutrice de sa fille mineure Georgette-Madeleine Morquin, à Louvignv ; 7* Marie Boileau, veuve de Camille Morquin, à Sillégny, agissant comme tutrice de ses enfants mineures Marie, Georgette, Emilie et Elise Morquin, à Sillégny ; le s sus nommés en leur qualité d'héritiers de JeanFrançois Morquin, décédé à Louvigny en son domicile, représentés par M" Schmoll, Hœpffner et Klein, à Strasbourg, ont demandé la procédure provocatoire en annulation de la lettre de gage à 3,5 p. 10J, série VI. Litera A, no 23, valeur nom. 2.000 marks sortie au tirage du crédit foncier et communal d'Alsace-Lorraine, à Strasbourg.

Le détenteur de ce titre est sommé de faire valoir ses droits au plus lard- à l'audience lixée pour le débat en forclusion, le 14 juin 1920, à dix heures en la chambre n° 55 devant le tribunal soussigné et de produire le titre, faute de quoi l'annulation en sera prononcée.

(F M/19). «

Strasbourg, le 29 novembre 1919.

Tribunal de bailliage.