UN IMPORTANT CONSEIL DE CABINET RÉUNIS AU QUAI D'ORSAY les ministres ont examiné le projet de budget 1935 Aucun sacrifice nouveau ne sera demandé aux contribuables, fonctionnaires
et pensionnés de guerre
PARIS, 30 août. Les membres du gouvernement se sont réunis ce matin, a 10 heures, en Conseil de Cabinet, au ministère des Affaires étrangères, sous la présidence de M. Doumergue. Les vacances officielles
des ministres
Le Conseil a décidé qu'en raison de la proximité des élections cantonales, les déplacements ministériels seront suspendus à dater du 10 septembre, exception faite pour les cérémonies nationales.
Les affaires Stavisky et Prince M. Chéron a mis le Conseil au courant des affaires en cours. Il a fait connaitre qu'il a reçu du Parquet l'as-
.Ni. RIVOLLET,
ministre des Pensions,
se rend au Conseil de Cabinet.
surance que les diverses instructions dans l'affaire Stavisky, seront réglées en octobre prochain. Il a mis, également, le Conseil au courant dans l'affaire Prince, de la communication de certains documents au bureau de la Commission d'enquête parlementaire.
Li hausse anormale du sucre Le garde des Sceaux a fait connaitre, d'autre part, que le procureur de la République de Paris a prescrit une enquête à l'occasion des mouvements des cours du sucre qui se sont produits ces ;urs derniers au marché de la Bourse du Commerce de Paris. S'il y a lieu, cette enquête se terminera par une information.
Le ministre du Commerce, de son côté, a informé le Conseil des mesures qu'il a prises pour éviter toute manœuvre contraire au jeu normal des cours. Les ministres de la Justice et des Finances ont été chargés d'examiner les mesures à prendre à cet égard Le budget de 1935
M. Germain-Martin, ministre des Finances, a mis le Conseil au courant des résultats des travaux budgétaires. Les accords survenus au cours de ces derniers jours avec tous les membres du gouvernement permettent d'arrêter la masse des dépenses à 47 milliards. Comme nous l'avons annoncé, aucun impôt ni taxe ne sont prévus pour la réalisation de l'équilibre, aucun sacrifice nouveau n'est demandé aux fonctionnaires ni aux anciens combattants.
Le projet de budget. définitivement arrêté lors du prochain Conseil, sera déposé vers le 20 septembre, conformement aux décisions déjà prises par le gouvernement.
Les instituteurs
Le gouvernement est décidé à faire respecter la neutralité qui est un élément essentiel du statut de l'école publique. Le ministre de l'Education nationale a fait connaitre les premiers résultats de son enquête sur le récent Congrès des instituteurs à Nice. Le défaut de réponse à cette enquête sera considéré comme un aveu. Les appels A la révolte contre la loi seront déférés aux Comités départementaux.
Le plan Marquet
M. Marquet, ministre du Travail, a entretenu le Conseil 1° des projets de loi qu'il prépare pour la création d'un font national de chômage et d'une direction de la main-d'œuvre; 30 de
l'action qu'il poursuit pour la mise en œuvre des grands travaux.
Le Conseil a pris fin à 13 heures. AUTOUR DU CONSEIL
Paris, 30 août. Commencé a 10 heures ce matin, le Conseil de Cabinet s'est prolongé jusqu'à 13 heures. En dehors de l'exposé de M. Chéron, sur les instructions en cours, Prince, Stavisky et la spéculation sur les sucres, la délibération gouvernementale a été, dans sa plus grande partie, consacrée à l'examen du projet de budget et aux explications fournies a ce sujet par M. Germain-Martin, ministre des Finances.
Les chiffres globaux du budget des recettes et de celui des dépenses ne seront d'ailleurs définitivement arrêtés qu'au cours des conseils de cabinet et des ministres qui se réuniront vers le 20 septembre au retour de M. Doumergue, de Tournefeuille où le président du Conseil compte se rendre de nouveau ces jours-ci.
L'important problème du blé que M. Queuille, ministre de l'Agriculture, devait exposer à ses collègues, a été reporté à la délibération du Conseil des ministres de demain, ainsi que le compte rendu de la situation extérieure que doit présenter M, Barthou. Les bouilleurs de cra
PARIS, 30 août. A propos du Conseil de cabinet de ce matin, soulignons qu'une solution favorable a été donnée aux desiderata expltmés par les petits bouilleurs de cru au sujet de l'utilisation des pommes.
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Disons aussi que le Conseil a également examiné le rapport établi par MM. Herriot et André Tardieu sur la vie chère.
Les conclusions de ce rapport seront discutées ultérieurement.
UN AGENT TIRE
SUR UN VOLEUR D'AUTO.-
PARIS, 30 août. Rue Claude-Vellefaux, un malfaiteur. Gaston Mernet, qui venait de voler une voiture et qui était poursuivi par un agent, a reçu un coup de feu tiré par le gardien Robert Prévôt, du 10* arrondissement. Son complice, le nommé Graillot, demeurant avenue Victor-Hugo, à Aubervilliers, a été arrêté.
.Et un cambriolé
sur le cambrioleur
PARis, 30 août. M. Lucien Kra, qui regagnait son domicile, 42, avenue du Parc-Montsouris, vers 3 heures du matin a surpris un cambrioleur sortant de son appartement et qui tenta de s'enfuir avec son butin.
M. Kra tira alors sur le malfaiteur un coup de revolver le blessant dans la région lombaire. Le cambrioleur, André Canionu. a éte transporté à l'hôpital Cochin dans un état très grave.
Une fillettes meurt
après avoir avalé un sou
Reims, 30 août. La jeune Georgette Gouilly. âgée de 3 ans. dont les parents habitent Reims. 9, rue Moisson. avala dernièrement un sou en cuivre. Le sou s'étant arrêté dans l'oésophage l'enfant est morte hier dans d'atroces souffrances.
UNE CHUTE DE 100 MÈTRES DANS LES ALPES
VWVWVW
Ckakpert (canton du Valais). 30 août. Un Hollandais, M. van Lennep, en séjour à Champéry, a fait une chute de cent mètres, par suite d'une rupture de la corde, en effectuant l'ascenclon des Dents-Blanches. Le corps a été ramené à Sixt. M. Tituleaco à Paris
Paris, 30 août. Venant de la cote d'Azur, M. Titulesco est arrivé ce matin à Paris. Le ministre des Affaires Etrangère; de Roumanie a rencontré M. Léger, secrétaire général du Quai d'Orsajr.
NOTRE
NOUVELLE
MARINE
L'imposante
silhouette du futur cuirassé
u Strasbourg »
qui va être
prochainement
mis en construction à Saint-Nazaire. On remarque
la formidable
artillerie de
chasse en tourelles doubles
et quadruples
dont disposera
notre nouveau
bâtiment de ligne.
LA COMMISSION STAVISKY EST CONVOQUÉE POUR MARDI AU SUJET DE L'AFFAIRE PRINCE Ainsi en a décidé le bureau
après avoir pris connaissance des rapports que lui a communiqués M. Chéron
Paris, 30 août. Conformément à l'engagement qu'il avait pris avanthier, M. Chéron a fait parvenir ce matin à M Henri Guernut, président de la commission Stavisky, le rapport de M. Guillaume, commissaire divisionnaire â la police judiciaire, les rapports'de. MM, Barra, procureur général de la République, et Rabut, juge d'instruction à Dijon, ainsi que les notes de l'ingenieur en chef de la Voie sur les -circonstances dans lesquelles a été retrouvé le corps de l'infortuné conseiller Prince
M. GUERNUT
PARIS, 30 août. Le bureau de la Commission d'enquête a pris connaissance cet après-midi des documents qui lui avaient été remis ce matin et de la lettre que M. Henry Chéron lui avait adressée à ce propos. Il a parcouru les principaux passages du rapport de M. Guillaume et notamment ceux sur lesquels le Garde des Sceaux avait attiré l'attention de la Commission passage 19 qui peuvent mettre en cause des tiers ou porter atteinte à l'honneur des familles et qui, aux dires de plusieurs commissaires, constituent des témoignages d'une origine «Jouteuse et suspecte.
Le bureau a délibéré assez longuement sur les différentes suggestions présentées par ses membres concernant la suite à donner à la communication du Garde des Sceaux. Il a d'abord écarté l'idée de transmettre immédiatement les documents communiqués à tous les membres de la Commission en attendant que celle-ci soit en mesure d'en délibérer. Il a résolu ensuite de convoquer la Commission à brève échéance et de lui présenter un premier rapport d'information sur le rapport Guillaume.
M. Ernest Lafont, rapporteur général, a accepté de préparer ce rapport, d'accord avec un autre membre du bureau. M. Ballu, secrétaire, a été désigné à cet effet en remplacement de M. Xavier Vallat, rapporteur général adjoint, qui n'avait pu assister à la réunion de cet après-midi. M. Ballu a proposé alors à la Commfsslon de restituer au Garde des Sceaux les documents communiqués aussitôt après l'élaboration du rapport. Mais plusieurs assistants ont fait ressortir que des commissaires avaient annoncé par lettre et même télégraphiflUement leur désir de prendre connaissance des rapports Guillaume, Barra et Rabut et ils ont ajouté qu'il appartiendrait à la Commission de décider de la publication de ces pièces
C'est à la suite de cet échange de vues que le bureau a résolu de convoquer la Commission pour mardi proLa Commission ne tiendta vraiseiu blablement qu'une seule .séance la semainp prochaine,, celle de. mardi, fc' 14 h. 30, pour régler la procédure de publication et elle s'ajournera ensuite a la fin de septembre ou au mola d octobre.
If. Chéron reçoit SI. Gaernà Paris, 30 août. La communication à la Commission Stavisky des rapports Guillaume et Barra sur l'instruction criminelle de l'affaire Prince était accompagnée d'une lettre personnelle de M. Cheron à M Guernut, dans laquelle le ministre de la Justice exposait les scrupules d'ordre administratif qui l'empêchaient de livrer à l'opinion publique les pièces d'une instruction en cours. Néanmoins, le Garde des Sceaux, tenant compte de la volonté des Chambres de mettre tout en œuvre pour élucider cette troublante affaire, s'était résolu, après avoir pris lavis des magistrats et des personnalités autorisées, à donner connaissance à la Commission d'enquête des pièces essentielles du dossier.
MM. Guernut et ses collègues, après avoir pris connaissance des rapports en question, sont venus, à la fin de l'après-midi, remercier M Chéron de sa decision. MM. Guernut, Fié et Boully, mandatés par leurs autres collègues. sont arrivés place Vendôme, à 17 h. 30. et ils ont été aussitôt reçus par le Garde des Sceaux qu'ils ont mis au courant de leurs délibérations. Ils lui ont indiqué notamment que le bureau avait décidé de laisser le soin à la Commission d'enquête. convoquée en séance plénière pour mardi prochain, de prendre toutes décisions utiles quant à la publication éventuelle des rapports et des pièces annexes.
LE QUATRIÈME CIRCUIT DE L'OUEST
Neulenberg enlève 1'étape
St-Nazaire Lorient De Saint-Nazaire à Lorient, par leâ plages de la Côte d'Amour, le pont de La Roche-Bernard, les vieilles cités de Vannes et d'Auray, les coureurs devaient trouver jacilement l'occasion de se distinguer. Malheureusement, le beau temps., qui avait bien voulu tasoriser notre épreuve depuis le début de la semaine, n'était plus de la partie et c'est sous une pluie violente que les routiers durent effectuer le parcours rendu très difficultueux.
La moyenne à enregistrer est cependant plus qu'honorable. puisque si
premier du classement gênera. \not calculs sont exacts, elle, dépassï 35 kilomètres de moyenne horaire. Quand nous aurons dit qu'à part quelque* accidentés. tous les routiers ont terminé en peloton. nos leeteurs auront une .idée de la grande valeur des parti- ̃cipants de notre Tour de l'Ouest. Nous avons ci déplorer les abandons de Lucien Weiss. le brillant sélectionné du Critérium des Aiglons, éüminé par un accident de machine, et celui de Doucet, qui fit une chute assez grave dans un virage, par suite de l'état glissant de la route.
Sont également éliminés Romain Maés, Sylvère Maës et Coolen.
A l'arrivée au vélodrome de Lorient, très grosse affluence, malgré le mauvais temps du début d'après-midi. Au sprint final, van Meulenbero et Morenhout se disputent la première place. Le premier nommé ne triomphe que d'un rien qui, d'ailleurs, fut contesté par certains.
Le classement de l'étape
MEULENBERG. 4 h. 38' 48' 2'Morenhout Se Tommies ex un peloton de 29 coureurs dans le même temps que le premier Le classement général
ENOGGHE, sur Génial Lucifer, pneus Hutchinson 28 h. 27' 25" 28 h. 29' 15" 3' Morenhout 28 h. 29' 15" 4e P. Le Drogo. même temps (Voir en c Vie Sportive Il.)
LES CRAHDES MANOEUVRES AÉRIENNES J
Le Bourget a été
virtuellement détruit LE Bourget, 30 août. Après les exercices aériens qui se sont déroulés à Lyon et où ont été mises à l'épreuve les méthodes de guet et de signalisetion, l'armée de l'air exécute, aujourd'hui, aux abords de Paris, ses grandes manoeuvres, sous la haute di« rection du général Denain et en présence du général Weygand et du conseil supérieur de l'Air.
La tempête, qui soufflait ce matin aux premières lueurs de l'aube, a retardé l'heure H mais a favorisé l'assaut des escadres du général Gérard (parti bleu) venues de l'Est. Le Bourget et son aéroport civil et militaire ont été copieusement bombardés à deux reprises et les avions de chasse du parti rouge, qui avaient quitté Chartres et Etampes aussitôt l'alerte donnée ont vainement essayé d'arrêter l'« ennemi ».
Au reste, voici les phases les plus Intéressantes de ces manoeuvres aériennes au cours desquelles • noi équipages, volant bas et par un temps très dur, ont prouvé leur cran, leur adresse et leur esprit d'initiative. Il avait fallu retarder de près de trois heures le commencement des manoeuvres, le temps dans l'est de la France étant très mauvais quand, à huit heures, on apprit que les poste» de la première ligne de guet figurant la frontière supposée une ligne de Longuyon à Genève, passant par Com.mercy et Lons-le-Saunier avaient signalé le passage des ennemis.
Le thème de la manœuvre
Le général de Goys, directeur de» opérations, réunit les journalistes présents dans la salle que le service de -°sse du ministère de l'Air leur avst»,
LE GÉNÉRAL DENAIN,
ministre de l'Air,
est reçu au Bourget par le général de Goys.
réservée et rappela le thème de la manœuvre. La défense venant de Chartres et d'Etamoes et qui a mission de se rendre au devant des envahisseurs se déplace pour les rencontrer sur une ligne Reims, Chàlons, Sommesous une deuxième ligne de guet, vers Châlons, permet d'évaluer la vitesse des ennemis. Des avions transportent des arbitres chargés de décider si tel ou
LES AVIONS DE CHASSE P£ND DANT L'ATTAQUE DU BOUKUEX I
LES VtUilL.s, LO.N&ULXENl LES DERNIERS ORDRES
AVANT DE DECOLLER
tel assaillant doit être ou non considéré comme mis hors de combat. Après le départ de la première vague de bombardement, le parti bleu en envoie une seconde avec l'espoir que l'aviation de chasse rouge, occupée A dire son fait à la première vague, ne gênera pas son passage. Un poste radio-central, à Auxerre. reçoit et retransmet les renseignements.
Les lignes de guet ront franchies A 8 h. 30, premier communiqué, tôt ̃uivl de plusieurs autres, caz la marche de l'adversaire fut suivie pas à pat, Bientôt. les postes d'écoute précisent que cinquante-cinq avions de bombardement, répartis en quatre groupea, avaient franchi la première ligne, entre 8 h. 15 et 8 h. 30; la deuxième ligne de guet entre 9 h .10 et 9 h. 15. En cours de vol. les avions de bombardement du parti bleu sont attaqués par des avions de chasse de la défense. Certains, d'après les décisions des arbitres, se posent; d'autres qult-
Des maisons de commerce de Paris ont profité des manœuvres aériennes pour faire effectuer à leur personnel des exercices de défense contre les fat. Vold une charmante (?) dactylo munie de son masque.
tent également le ciel pour la terre. Il 6'agit, cette fois. U'ordr< de route laissés tous pli cacheté au pilote, lequel en a pris connaissance pendant son vol. Cette précaution a pour but d'apprécier l'initiative du pilote, car ce sont surtout des chefs pilotes à qui on a enjoint de quitter leurs groupes, L'escadrille, privée de son chef, dok, néanmoins, manoeuvrer et continuer l'attaque
L'attaque do Bourget
Il est 10 h. 10, lorsqu'une première vague surgit sur Le Bourget. Les gros avions volent à 300 mètres environ, atltude moins élevée que celle qui avait été fixée. à cause du vent.
Ils viennent de l'Est. Ils sortent de gros nuages .ris et franchissent la ligne des hangars sans qu'on les ait entendus. Ils épanouissent leur attaque, s'élargissent en éventail et lentement, sûrement, font un long tour de piste. Des fusées partent. Des pétards tombent, figurant des bombes. Méthodiquement, les bombardiers remplissent le rôle qui leur a été assigné détruire le terrain. 17 avions d'abord, puis 21, s'alignent au-dessus du vaste aérodrome. De l'avis des arbitres, ils réussissent pleinement leur opération. Le Bourget est virtuellement anéanti. Cependant, du sol, des mitrailleurs cachés dans l'herbe tiraillent quelques bandes contre les agresseurs. Soudain, devant les hangars, on entend un grondement multiple ce Sont les avions de chasse qui s'envolent. Pendant près d'un quart d'heure c'est un spectacle éblouissant de virevoltes, d'évolutions précises, rapides, nerveuses. Les petits avions de chasse qui tournent autour des gros avions de bombardement échangent avec eux des salva de mitrailleuses; des fusées partent bleus et rouges sont confondus. Mais il y a aussi des avions arbitres qui survolent la bataille, marquent les coups, et lorsqu'un appareil semble avoir été atteint, le rejoignent et lui Indiquent, par des signes conventionnels, qu'il doit se poser sur le terrain. Le général Denain, ministre de l'Air; le général de Goys, qui dirige les opérations les généraux Barès et Pujo, notent avec soin les différentes phase* de cette première attaque.
On apprendra bientôt que certains commandants de groupes ont pris de* initiative* fort heureuses. C'est ttnal qu'une escadre d'avions de chasM du parti rouge qui devait survoler 1. tertains du parti bleu et les attaquer, a pu être avertie en vol par T. i T. de j'attaque massive des avions de bombardement. Elle les a rejointo et s'est efforcée de retarder leur avance. D'autre part, les services de météorologie ont pu donner, à tous les tertains des deux partis, des indication* fort précises sur la situation du ciel tt în différents r/1nfr"y^
Cette première attaque réussie, on arbitrait la seconde. Cependant que le général de Maraucourt, commandant le parti rouge, prenait ses dispositions pour diriger une contreattaque énergique sur les terrains d'aviation et les villes ennemies, tandis que les appareils dite de représailles allaient prendre leur vol, cinquante nouveaux appareils de bombardement surgirent à l'improviste, venant du nord et pilonèrent méthodiquement, à 12 h. 20, les bâtiments, les appareils et la localité du Bourget, chaque cellule d'escadrille ayant reçu un objectif déterminé (ils n'étaient à ce moment qu'à une altitude de 100 à 150 mètres). Des tirs de mitrailleuses furent déclenchés contre eux, mais ce n'est que fort longtemps après leur départ que des avions de chasse purent les rejoindre.
Les deux attaques étaient terminées et le parti bleu sortait légèrement vainqueur de ces premières manœuvres. Cependant, dans quelques Jours, le développement des pellicules enregistrées par les mitrailleuses photographiques nous dira si la chute de quelques avions du parti bleu a pu être homologuée et portée l'actif de la défense.
Aussi bien, les rapports des services de la D. C. A., qui avaient organisé toute une ceinture de protection d'artillerie anti-aérienne dans la banlieue Est de Paris, permettront de connaltre exactament les pertes que le parti bleu aurait sublea dans la réalité.
Le Botmorr, 30 août. L'après-midi, au Bourget, fut calme. Aux grands thèmes généraux d'attaques massives ont succédé les petites manœuvres de détaiL
C'est maintenant au tour du parti rouge de mener des opérations de harcèlement. Les avions de reconnaissance, appareils mixtes de bombardement léger et de combat s'en vont par petits groupes de cinq ou dix, bombarder les terrains du parti assaillant et gêner ainsi la préparation des attaques nocturnes prévues.
Ces opérations, avec participation de la D. C. A., se déroulent fort loin de Paris, dans t'Est, et les avions de reconnaissance viennent rendre compte du résultat obtenu par ces expéditions. Cette journée, qui a commencé avec un vent soufflant par rafales, se poursuit avec des grains et un ciel bouché, mais ces conditions défavorables gênent, en vérité, assez peu les équipages rompus désormais aux pilotages les plus difficiles.
Un communiqué
Le Bourget, 30 août. Les résultats obtenus par les deux parties font l'objet, à la fin de l'après-midi, du communiqué suivant
< Les résultats positifs des exercices d'attaques et de défense de la première journée de manœuvres ne peuvent être connus dès maintenant. Ils ressortiront de l'étude détaillée des comptes rendus des exécutants, de ceux des arbitres et de l'interprétation der films photographiques.
c D'après les premiers renseignements recueillis, les escadres bleues, qui ont bombardé Le Bourget dans la matinée, ont été en butte, de la part de la chasse rouge, à des attaques répétées, tant a l'aller qu'au retour des expéditions. Les régions de Montmirail, Villeneuve-les-Vertus, Châlons et du Bourget ont été le théâtre de combats prolongés. De son côté, l'aviation de bombardement rouge a pris son vol avec quatre escadres, en vue de bombarder les terrains de Tout. Nancy, Mars-la-Tour, Luxeuil et ToulOchey.
De part et d'autre, ces expéditions ont été exécutées dans des circonstances atmosphériques particulièrement pénibles pour les équtpes,
LE STATUT
DES FONCTIONNAIRES Paru, le ÏO août. Pendditf bien des années, avant les intolérables abus des Syndicats des fonctionnaires, leurs meilleurs amis réclamaient pour eux un statut. Rien de plus lUite. Mai» M. Herriot, après le succès du Cartel en 1024, promit tout simplement aux fonctionnaires de leur donner le droit syndical. En 1925 le groupe radicalsocialiste déposa une proposition dans ce sent. Pourquoi n a-t-elle pat été votée ? C'est une question que pourraient poser Nantei des militants du Quot qu'it eft soit, d cette heurt, le syndicalisme des fonctionnaires est illégal. Quand M. Herriot promit le droit syndical aux fonctionnaires, il avait prononcé quelques paroles nettes qu'aucun radical-socialiste n'a le droit d'oublier 1 Au cas, disait-il, d'une action collective des fonctionnaires contre les intérêts de la nation, le gouvernement ne renonce Il aucun des droits dont les gouvernemente républicains ont usé et qu'ils tiennent toit dés lois, doit de la jurisprudence. » Puisque la loi ne donne pas aux fonctionnaires un droit dont pourtant ils ont abusé Mce et en bien d'autres lieux suaei, il est naturel que, pour affermir et affirmer l'autorité de l'Etat, en même temps pue pour garantir les droftg légitimes des intéreasés, on en revienne à l'idée démocratique du statut. Mdis voilà qu'on nous révèle que lel fonctionnaires, se mettant hors des lois, méme quand il8 sont chargés d'en enseigner le respect, se prononcent contre le statut. L'arbitraire, l'Illégalité, la rébellion leur paraissent préférables.
Dans La Tribune des Fonctionnaires, un journaliste improvisé proteste avec force Nous n'ignorons pas, écrit-il, que, pour essayer d'abattre nos organisations syndicales, le gouvernement songe sérieusement à nous imposer un statut. Peut-être même, pour mieux réussir son mauvais coup, envisage-t-il de faire passer ce projet de statut grâce à la procédure des décrets-lois. Ce le- rait odieux, antidémocratique etc. » Ce qui est antidémocratique et odieux, c'est qu'une oetégorie de attoyens au service de l'État, et qui he connaissent pas les affres du chômage, violent les lois, se moquent de la ditcipline et refusent par avance la salutaire réglementation de décrets qui n'ont pas besoin d'être des décrets-lois. La volonté d'un ministre de l'Education Nntiottale, connaissant ses devblr* et son droit, devrait suffire 0. remettre de l'ordre dans la maison et d la purger des éléments malsains. M. Doumergue l'a certainement compris.
OoUve AtlBEttt.
Un cultivateur incendiaire est démasqué et arrêté
près de Tours
TOURS, 30 août. Le 27 août, à 4 heures du matin, M. duquoir, fermier, au Paleteau, près de Chéeellea, était réveillé par les aboiementa de ses chiens. Il se leva et constata que sa grange était la proie des flamme*. Il alerta ses voisins qui vinrent rapidement lui porter aide, mais en van car l'immeuble, qui contenait 26.000 quintaux de foin, 6.000 kilos d'avoine non battue et autant de gerbes de blé. fut détruit entièrement,
La gendarmerie de l'ile-Bouchard se livra à une enquête, et ses soupçons se portèrent sur le précédent fermier le nommé Louis Bourdeau, âgé de 47 ans, qui avait quitté la ferme du Pale- teau le 31 juillet, laissant sa récolte de blé estimée à environ 16.000 francs, ta grange incendiée.
Bourdeau nia tout d'abord énergique- ment; mais, pressé de questions, Il J reconnut avoir allumé l'incendie dans le but de toucher l'argent que l'assu- rance lui aurait versé ,)or' le blé lui appartenant. Conduit devant le procu- j reur de la République, à Chinon. Bourdeau a renouvlé ses aveux. Il a été placé sous mandat de dépôt et conduit à la maison d'arrêt. t L'ALLEMAGNE VEUt ACHETER DU CUIVRE A CRÉDIT A LONDRES j
le. c
Lohdres, 30 août. M. von Ribben· c trop, représentant personnel de Hltler f es; arrivé à Londres. Il aurait pour mission de négocier l'achat de cuivre c et de nickel « à crédit
8 O V R t M £ 8
Les ttals-Unis vont-ils atslster à dei protestationsmtnli populaire* et à la création d'une Ligue des droits. du bandit ? Si nous en croyons la proue américain*, les foules de là-bat sont indignées par les mouvais traitements infligé à l'un de leurs enfants chérit. Il paratt que AI Capone c'est lui, la chouchou malmenf, oui, madame I subit, en prison, les pires torturei. morales 1.
jugez-en juiqu'à et jour l'ex-tnntmi public numéro un recevait quotidiennement dans Ml cellule, et les journalistes curieux, el §et fondés de pouvoir. Il dictait ion courrier, gagnait der dollar», s'adressait aux badaud» par l'Intermédiaire dei reporters. Brutquemont tout cela cette Al Capone ait transféré dard un « carcero dure n où nul n'a la satisfaction de lui tendre viitte 1.
Voyant, etl-ceclence universelle ne va-t-elle pas s'émou. voir un face d'une telle Allonsnom rester les bras ,roll. nous, les amis de la liberté, un présence d'un châtiment qui dépasse les bornes permitet. en
Car le célèbre gangster, en raison de ta notoriété et de son rôle commercial, doit dire le prpnitr à bénéficict du conJort
des « butldtngt de ganté » Inéugunti outreAtlantique, et aussi dei indulgence, qu'on accorde, l'ordinaire, aux captifs illutlrtt. On ne ligote pal un businessman de cette envergure tant préjudice pour ld nafion J. Il aura donc son bureau d'affaires a l'intérieur du palais disciplinaire, l'homme des bas-fond» il recevra matin et soit sa dactylo, il téléphonera tant gêne, il coltclura Jet marchés, orientera set lieutenanlr, lignera dei lelttet. Il montera un gourmet, dormiro en sybarite, parlera en mettre. Bref, t'il y a encore des juges à New-York, Al Capone sera soumis à un régime royal.
Pour qui ont été construites le. priionlpalaces, nom d'un petit bonhomme, si ce n'af pour les ennemli publics numéral un, deux, trois. et leur suite
Oteta-l-on, par dei mesures excetslvei, di/oûlet lui gangsters de leur profusion ? Le Petit Oréfotr»
Keocrttoni de diplomate. Part*, 30 aoGt. Le président de la République a reçu aujourd'hui en audience officielle M. Halvard Huitfeld-Backe qui vient d'être nommé ministre de Norvège à Paris et M. Phya Rajawangsan, nouveau ministre de Siam à Pari».
LES SUITES DU CONGRÈS DE NICE DANS UNE LETTRE A M. Il SÉNATEUR GAUTHEROT, M. AIMÉ BERTHOD EXPRIME SA FERME VOLONTÉ DE MAINTENIR LA DISCIPLINE CHEZ LES INSTITUTEURS
PARIS, g0 août. M. Aimé Bertnod, ministre de l'Education nationale, a répondu à la lettre de M. le sénateur Qautherot, au sujet des 1nBtituteurs.
Au lendemain du congrus de Nice du Syndicat national des Instituteurs, M. OauUierot, sénateur de la Loire-Inférieure. avait adressé au ministre de l'Education nationale une lettre dont la Bresse a publié d'importants extraits. M, Aimé Berthod a envoyé récemment à M. Qautherot la réponse suivante
« Monsieur le Sénateur,
< Ptar une lettre, dont le.: journaux ont donné de larges extraits, vous avez bien voulu me dire les inquiétudes que vous causent les maîtres de nos écoles publiques, et. vous en référant à notre correspondance antérieure, Vous me demande* si ma volonté est toujours aussi ferme de maintenir intacte l'autorité que j'exerce, au nom de la nation, sous le contrôle du Parlement.
< Je serait) indigne de ma fonction, s'il en était autrement, après les événements du 12 février. Suivant les dé- cisions prises par le Gouvernement tout entier », et, pour tenir compte à la fois des conditions très partie ilières dans lesquelles cette manifestation t'était produite et du désir d'apaisement avec lequel le cabinet s'était
VU par Bx.
{Reproduction interdite.)
constitué. J'ai montré, vis-à-vis de* maîtres qui n'étaient coupables que d'une interruption de service plus ou molns complète, Une indulgence'qui. en d'autres circonstances, eût, à bon droit, paru excessive.
e Je n'ai pas manqué, cependant de réprimander, comme ce devait, ceux dont les propos ou les actes avaient eu quelque gravité. En même temps. J'ai rappelé à ces inspecteurs, dont vous assures que quelques-uns n'auraient pas fait dans le passé tout leur devoir, qu'ils ont pour mission de renseigner exactement le ministre et de faire exécuter fidèlement ses ordr
t J'ai vu personnellement tous les inspecteurs d'Académie. Je leur ai prescrit d'agir en chefs soucieux d'exercet leur autorité aveo bienveillance, mais avec fermeté, et de veiller à ce que les inspecteurs primaires s'inspirent, dans une discipline étroite. des mêmes directives.
« De ceux qui doivent donner l'exemple. je n'admettrai aucune défaillance. J'ajoute que. s'il était avéré que les règlements eh vigueur ne leur donnent pas les moyens d'action indispensables, je n'hésiterais pas à les modifier. Dès à présent, sans avoir là vanité de croire que tout soit devenu parfait dans une administration qui comprend un si nombreux personnel, J'ai la certitude que mes paroles ont été comprises, et J'ai le droit de noter, pour m'en réjouir, qu'au cours des six derniers mois, au milieu de circonstances dont vous voudrez bien reconnaître qu'elles étaient particulièrement difficiles, en dépit du malaise que ne pouvaient manquer de provoquer les sacrifices tépétés qu'on a exigés ..es fonctionnaires, malgré les suppressions de postes et les mises à la retraite, qui, si limitées qu'elles aient été, n'en ont pas moins affecté douloureusement beaucoup de situations très dignes d'intérêt, toutes les tentatives faites auprès des maîtres de nos écoles, pour les filviter renouveler la manifestation de février ont totalement échoué, et ni en avril, ni en mei, ni en juillet, une seule classe n'a été interrompue pour obéir au mot d'ordre des agitateurs. « N'ai-je pas le droit de conclure qu'en vous disant ma volonté de maintenir intacte l'autor.té ministérielle, je ne prononçais pas une parole vaine, et qu'en n'attachant par un effort quotidien de fermeté patiente et mesuré, dont la sympathie n'est pas exclue, à remettre chaque chose à sa place, je n'ai pas été sans obtenir quelque résultat 7
c Il y Il est vrai, le Congrès de Nice, et J'entends bien que c'est la principal* raison de la nouvelle lettre que vous m'adresses. J'aurais mauvaise grâce à diminuer l'importance de cet événement. Je ne m'attarderai pat i remarquer ni qu'il a eu lieu pendant les vacances, c'est-à-dire en dehorl du aervfoe scolaire que les maîtres ont miMkm d'auurer. ni qu'il convient de tenir compte, pour juger équitablement des propos qui ont été tenus, de cette atmosphère si spéciale des Congrès, gué n'ignorent pas ceu* qui ont Iré-
quenté des réunions de même sorte, ni même qu'U M faut pas s'émouvoir A l'excès a'un Verbalisme qui ne semble pas avoir pris la mesure de son efflcacité et qui ne trouverait pas le vlnistre désarmé le jour où il Voudrait passer à l'action. J'aurais l'air de chercher des excuses à ce qui, pour moi, n'en comporterait pas.
< Si désireux que Je soi8, en eiTet, de reconnaitre aux fonctionnaires la liberté d'opinion qui appartient à tous les citoyens, je serai d'accord avec vous pour déclarer que le respect de la légalité et la défense de la patrie ne sont pas des opinions que des éducateurs aient le droit en aucun cas et sous aucun prétexte dé discuter. A ceux qui auraient pu l'oublier, il importera de le rappeler. Mais le Juriste éminent que vous êtes m'approuvera de ne vouloir appliquer aucune sanction avant qu'une enquête impartiale, au cours de laquelle les intéressés auront été appelés à s'expliquer, ne m'ait renseigné exactement sur la nature et la gravité des fautes commises. Tel a été du moins l'avis unanime du gouvernement dont j'ai l'honneur de faire partie.
c En ce qui me concerne, je persiste à croire que la fermeté n'exclut pas le sang-froid. Je connais trop, de trop près et depuis trop longtemps, le personnel que j'ai aujourd'hui la périlleuse mission de diriger, pour le rendre responsable des écarts de quelques-uns. Dans son ensemble, il n'a pas cessé de mériter pleinement la confiance de la Nation. Mais, par cela même que j'en ai la conviction profonde, je ne me déroberai pas à mon devoir, qui est de le défendre aujourd'hui contre ceux ffui pourraient dangereusement le compromettre, comme je n'ai jamais cessé de le défendre au cours de toute ma vie politique, comme je le défendrais encore demain contre ceux qui l'attaqueraient Injustement.
« Veuillea agréer Monsieur le Sénateur, l'assurance de ma haute considération.
« Le ministre de l'Education Nationale, signé A. Berthod. »
La concurrence viticole entre l'Algérie et le Roussillon PerpigHju», 30 août. L'abaissement du degré minimum des vins algériens suivant le décret-loi de juillet dernier a provoqué l'arrivée en France de quatre millions d'hectolitres de vins algériens, qui ont provoqué une chute Verticale des cours, au moment précis où l'épuisement des stocks métropolitains allait permettre la soudure avec les vins nouveaux à des prix permettant aux viticulteurs de poursuivre leurs exploitations.
Pour protester contre cette nouvelle crise, qui frappe la viticulture métropolitaine, le Conseil d'arrondissement de Perpignan a tenu une session extraordinaire sur la convocation de M. Louis NoguèreS. avocat à la Cour d'appel de Paris, president du Conseil d'artondissement,
Après un large débat sur le problème, on vota un ordre du Jour de protestation.
INAUGURATION DU SERVICE TÉLÉPHONIQUE MOSCOU-PARIS
Moscou, 30 août. Demain 31 août. à 17 heures (heure russe), le services téléphonique de Moscou-Parts sera inauguré en présence du commissaire du peuple aux P. T. T.. M. RykoH du commissaire adjoint des Affaires etrangères, M. Krestinski, et de l'ambassadeur de Franche. M. Alphand.
M. Rykoft aura une conversation téléphonique avec M. Mallarmé, ministre des P. T. T. M. Krestinski avec l'ambassadeur de l'U. R. S. S. à Paris, et M. Alphand avec le Quai d'Orsay. UN PARRICIDE
SE1tt.IS, 30 août. A AntheUH-enValois, l'ouvrier terrassier Dito MasOitti. âgé de 48 ans, habitant La FertéMilon, a été tué de quatre coups de revolver par eon fils Nino, 19 ans, au cours d'Une discussion.
Nino Mascitti s'est constitué prisonnier à la gendarmerie de Betz Il y est gardé à vue en attendant l'arrivée des magistrats du Parquet de Senlis.
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LE MYSTÉRIEUX CRIME DE NICE
M. Arribat qui t'est suicidé fat-il l'amant et le meurtrier de M" Graz
Nie*, 30 août. L'enquête sur l'aasassinat de Mme Graz, trouvée morte dans sa salle de bains, n'a pas fait ce matin un grand pas. On n'a pu encore réussir à établir l'identité exacte du Jeune amant de la victime. On pense cependant qu'il se trouvait à Paris le jour du drame. Cette piste serait donc abandonnée par la police.
D'autre part, le bruit court de plus en plus qu'un certain M. Arribat, qui s'est suicidé hier à Nice, était bien la c vieux protecteur de Mme Graz. Cette étrange coïncidence des deux drames n'a pas manquer de créer dans l'esprit des enquêteurs un certain rapprochement. Aussi ceux-ci s'appU»^ quent-ils à rechercher les multiples in» dices dont le faisceau convergent prou*<i verait que M. Arribat, amant soudain répudié à cause d'une situation de for- tune sur le déclin, serait l'assassin de la jeune femme.
Les opérations effectuées jusqu'ici, troublantes parfois, tendraient à ren.dre vraisemblable une telle hypothèse. Ce qui reste mystérieux, c'est la manière dont cet élégant sexagénaire, très connu dans le milieu dès jeux et des bars de nuit, aurait exécuté son forfait. Toujours est-il que la ressemblance de M. Arribat avec celui que Mme Graz appelait son « oncle est pour le moins frappante et que le calibre du projectile qui tua Mme Graz est le même que celui d'un revolver appartenant à M. Arribat. Mais les balles qui frappèrent les deux victimes ne sont pas identiques. Il apparaîtrait que feu M. Arribat serait c l'oncle et l'assassin de Mme Graz.
La police poursuit activement son enquête.
L'ENCAISSE-OR
DE LA BANQUE DE FRANCE Paris, 30 août. Le bilan de la Banque de France pour la semaine du 17 au 24 août fait ressortir une encaisse-or de 81.759.495.986 francs, en augmentation de 441.667 723 francs sur la semaine précédente. Les engagements à vue. sur lesquels les billets en circulation figurent pour 79 mllliards 971.019.960 francs, en diminution de 499.320.200 francs sur la semaine précédente représentent 102 milliards 131.638.393 francs.
La proportion de l'encaisse-or aux engagements à vue est de 80.05 contre 80.23 la semaine précédente. La proportion fixée par la loi est*35 La publient* de VOuett-Sclair est M soins entre parce Que la j)»UscrcxluctHr«,
Le cottage du capitaine Caot, le célèbre explorateur, a été démonté pierre lar pierre à Great Eton (Angleterre) pour être reconstruit à Fitzray-Parsb Melbourne .CAustxaUe), à l'occasion du centenaire de cette ville.
L'escroc à la lotarie Nationale a un lourd passé
Lyoh, 30 août. MM Teyssier, sous:hef de la Sûreté, et Granger, inspecteur principal, qui ont procédé à l'in;errogatoire de l'escroc Decerf. arrété lier, ont pu obtenir ée celui-ci certailes précisions sur sa personnalité. Decerf, ne le 4 jwUet 1899 à Stavlot [Belgique), eut à s'occuper de nomareuses affaires ctfnmerciales plus ou moins suspectes qui lw valurent plusieurs condamnations. Arrivé à Paris en 1922, il créa un comptoir de publicité qu'il tint pendant deux ans, ainsi lu'un annuaire publicitaire qw lui valut deux condamnations la première le 200 francs d'amende avec dommages et intérêts pour contrefaçon et la deuxième de six mois de prison avec sursis et dommages et intérêts. il s'associa ensuite à un nommé de La Rocca pour éditer un annuaire hôtelier De La Rocca fut arrêté et condamné 0 un an de prison. La mère de Decert, complice de son fils, fut également arrêtée et condamnée à treize mois de prison avec sursis, tandis que Decerf réussissait à se soustraire aux recherches de la police en passant dans le grand duché de Luxembourg avec un faux passeport au nom de Kabor. Après un court séjour en Luxembourg. il réussissait, à l'aide de la carte d'identité d'"n chauffeur de taxi, à se faire établir un passeport au nom de Trillet et passait en Belgique, puis à Paris. A son passage a Nancy, il fit connaissance d'un nommé Causin, qui
vint le rejoindre peu ae temps après. en février 1932 Ils créèrent alors tous deux la fameuse société c La Caisse des valeurs à lots vaste escroquerie organisée qui rapportait aux dires de Decerf 500 francs par jour au meilleur représentant.
L'escroquerie consistait a vendre ce nombreuses parts d'un même billet, dix parts d'un quart de billet par exemple. Si le billet ne sortait pas, il rapportait 250 francs. S'il sortait à un petit lot, il était remboursé l'aide des bénéfices des billets non sortis. Mais le malheur voulut que plusieurs oillets sortissent remboursables à 500.000 francs, 10.000 francs, etc. Causin et Decerf furent alors dans l'impossibilité de rembourser les trop nombreuses parts vendues. C'est alors qu'ils s'enfuirent avec les gains des oillets gagnants.
Decerf, qui s'était réfugié à Lyon. fut arrêté par la Sûreté comme on le sait. Quant à Causin, il est activement recherche. Decerf, qui est sous mandat d'arrêt du Parquet de la Seine, avait été condamné par défaut à cinq ans de prison pour escroquerie et complicité dans l'affaire de la Rocca.
LE BLOC BALTIQUE SERAIT CONSTITUÉ Varsovie, 30 août. D'après le Jaunuk.cs Zinias, de Riga, la formation du bloc baltique serait un fait accompli. Le premier ministre de Lettonie, M. Ulmanis, aurait déclaré que le pnoiet de traité entre les trois Etats baltes était, dés maintenant, établi et avait reçu l'approbation de leurs repré.rentants.
Pour le Voyage emportiez un flacon d'alcool de .jenthe de Ricqlès D'une saveur exquise, le Ricqlès stimule et rafraîchit délicieusement. L'emploi du Ricqlès est économique, car on l'utilise toujours à raison de quelques gouttes. Pas de voyage sans Ricqlès.
La défense du tourisme PARIS, 30 août. M. Théodore Valensi, député de la Haute-Saône, a avisé le président de la Chambre de son intention d'interpeller dès la rentrée le m»iistre des Travaux Publics sur la situation du tourisme français, sur les mesures qui s'imposent pour mettre fin aux campagnes de dénigrement contre le tourisme français et les moyens propres à rendre sa prospérité à cette industrie nationale dont le rendement atteignit Jusqu'à 16 milliards par an.
ŒDERCTÈHE MEURE PARIS, 31 août, 3 heures du matin.
Les fêtes de IV' centenaire de la découverte du Canada Excursions et cérémonies
Quéssc, 30 août. Les fêtes francocanadiennes, organisées pour commémorer le quatrième centenaire de l'arrivée de Jacques Cartier, prennent. chaque jour. un peu plus d'ampleur Toute la journée d'hier, se sont déroulées d'imposantes cérémonies au cours desquelles les différentes délégations, venues jusqu'à Québec, prirent une part active.
Des excursions très pittoresque» fu.rent faites par les délégués francocanadiens au point stratégique de Charlesbourg, ainsi qu'au village indien de Loretti. Une réception officielle a eu lieu au jardin zoologique. en fin d'après-midi, et, le soir, un dinei de gala fut oflert en l'hôtel du gouverneur général. A Levis, petite cite tranquille sur la rive droite du Saint-Laurent, des fêtes grandioses se derou.lèrent eu l'honneur du duc de LevisMirepoix, venu de France, dont le» aïeux furent les fondateurs de cette ville canadienne.
UN BAPTÊME DE L'AIR
FINIT ACCIDENTELLEMENT Epinal, 30 août. Un accident d'aviation s'est produit cet après-midi à proximité de l'aérodrome de Dogneville. Un avion, piloté par M. Starck, de l'Aéro-Club de Chartres, qui effectuait des baptêmes de l'air, a été pris à faible altitude par un remous et a été plaqué au soL
Des débris de l'appareil, on retira Mlle Dreyer, d'Epinal, qui est grièvement blessée.
Quant au pilote, il est seulement atteint d'une fracture du bras gauche et de quelques blessures superficielles. KJN NOUVEAU PORT D'ESCALE EN INDOCHINE
Saïoos, 30 août. Le gouvernement de l'Indochine projette la construction d'un port international d'escale à Camranh, sur la côte dWnnam. La marine française y installe déjà, à l'heure actuelle, une station de ravitaillement.
La situation de Camranh, placé à égale distance de Manille, Bornéo, Hong Kong et Singapour, permettra l'établissement d'une escale très fréquentée et d'un port de sortie des industries qui, en cette région du sud de l'Annam, vont se développant rapidement-
M. JASPAR, MINISTRE BELGE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES, VIENDRA DEMAIN A PARIS Paris. 30 août. On confirme que M. Jaspar, ministre des Affaires étrangères de Belgique, viendra samedi à Paris conférer avec M Doumergue, président du Conseil, et M. Louis Barthou, ministre des Affaires étrangères, pour examiner de concert les différentes questions de politique internationale qui se posent à la veille des réunions prochaines de Genève, ainsi que divers problèmes d'ordre commercial en suspens entre les deux pays. L'AFFAIRE D'ENGHIEN Nice, 30 août. Ce matin, Ramella, Pranza et Villaplane impliqués dans l'affaire c Hallencourt ont quitté la prison de Grasse pour être transférés a Pontoise. c Hallencourt et c Ecureuil V sont t^Aours à Nice a la disposition de la Justice.
L'AFFAIRE PRINCE
L'avocat général Parant
n'est pas rentré de vacances Dijon, 30 août. Ce matin, au Palais de Justice de Dijon, aucune décision n'est encore prise au sujet de la nouvelle audition éventuelle de l'avocat général Durand, mis en cause, comme on le sait, par certains journaux relativement au drame de la Combe-aux-Fées.
Le haut magistrat n'est pas encore rentré ae vacances. On nous a déclaré tout à l'heure, à son domicile, qu'il se trouvait actuellement à Chatenois (territoire de Belfort), où 11 est l'hôte d'un parlent de M. Albert Prince. Tous ses proches, qui connaissent ses convictions de catholique et sa grande droiture de magistrat, consldè.rent qu'il est totalement incapable de garder un secret aussi affreux que celui qui concerne la mort de M. Prince. LE FAUX CAPITAINE D'ÉTAT-MAJOR
EST TRANSFÉRÉ
A PÉRIGUEUX
Limoges, 30 août. Le faux capitaine d'état-major qui a été arrêté par la gendarmerie de Limoges, a quitté ce matin la prison pour être transféré à Périgueux où il a commis de nombreux délits d'escroqueries.
Le juge établira s'il s'agit bien de Guillaume Kervellec. Celui-ci a quitté sa tenue militaire, ne voulant pas être enchainé avec cet uniforme.
LA LIVRE STERLING ET LE PRIX DE L'OR Londres, 30 août. La détente de la livre sterling, notée hier à son niveau record de 75 3/16 par rapport au franc, s'est traduite, ce matin, par une hausse considérable du prix de l'or fin. Ce métal a été, en effet, coté, aujourd'hui, à 140/3 l'once, cours record jamais atteint, contre 140 en février dernier, au moment de la dévaluation du dollar.
DES CIGARETTES DE LUXE i-, A BON MARCHE PAD L'EMPLOI DES
papiers
MACHINES
BOUTS FILTRES
LE FEU DANS UNE USINE DE SOIE ARTIFICIELLE A LYON Lyon, 30 août. Un incendie qui a causé plus d'un million de dégâts s'est déclaré-cet après-midi dans un atelier d'une société qui s'occupe de l'encollage de la soie artificielle. Un bâtiment de 1-200 mètres carrés a brûlé. Tous les métiers qu'il contenait, une importante quantité de soie artificielle et des matières premières ont été entièrement détruits.
m FLANELLES DE REIMS M PURE LAINE à LISIÈRES "ARC-EN-CIEL" Les Premières formellement Garanties
La grève des textiles
est décidée aux Etats-Unis 800.000 ouvriers
y prendront part
New- York, 30 août. La grève des textiles et du coton est déclarée. Elle commencera samedi à 23 h. 30. Telle est l'annonce officielle de l'échec de longs efforts déployés par des mandataires de M. Roosevelt et par le Président lui-même pour éviter un conflit qui se présente comme le plus grave de tous ceux qui ont éclaté depuis l'application du c New Deal
La cause immédiate de cette grève est le refus des patrons de l'industrie textile de reconnaître les chefs des syndicats de la c Fédération du Travail Américaine une organisation pourtant modérée, comme des représentants légitimes des ouvriers pour discuter avec eux les conditions de travail. Les seuls syndicats que les patrons admettent sont les syndicats fondés avec leur consentement dans leurs propres usines et sans aucun lien fédéral.
M. Roosevelt, on le sait, s'est déjà prononcé contre cette prétention. Aussi bien, peut-on croire qu'il appuiera moralement et matériellement aussi les grévistes qui seront plus de 800.000 ouvriers.
LES CRIMES
Une épicièrc étranglét
Epwal, 30 août. Un crime épouvantable vient de Jeter la consternation dans la petite localité de Oamas, devant Compaire. Mme veuve Drouin, âgée de 59 ans, épicière, a été trouvée hier matin, assommée à son domicile. D'après l'enquête menée par la police mobile de Nancy, deux hommes d'une allure louche, ont été vus la veille rodant autour de l'habitation. On suppose que la malheureuse a du surprendre les malfaiteurs au moment où ces derniers s'apprêtaient à la cambrioler et que ceux-ci la frappèrent violemment sur le crâne avec une barre de fer. Les assassins la baillonnèrent pour l'empêcher d'appeler au secours. Avant de s'enfuir et après avoir pris un repas, ils dévalisèrent la maison.
Tuée par son amant
Bordeaux, 30 août. Un drame passionnel entre sujets polonais, s'est déroulé hier après-midi à Bordeaux, cité du Périer. L'ouvrier raffineur Marjan Wierzbieki, 29 ans, a tué de deux coups de revolver à la tête son amie Bolestava Modrochowska, 24 ans, lingère. L'ouvrier raffineur a ensuite absorbé un poison violent après avoir en vain tenté de se suicider avec son revolver. Il est dans, un état très grave. UHE FILLETTE ÉTRANGLÉE Raoes, 30 août. Au Fosse, une fillette, âgée de 20 mois, EMane Bauchamp, est morte étranglée par le foulard avec lequel sa mère l'avait attachée à sa chaise durant une courte absence.
Le squelette d'un Allemand
retrouvé sur l'ancien front
BAR-m-Duc, 30 août. En cherchant des champignons dans le bois de Vaubecourt, à proximité de Vaudoncourt dans un endroit où, en 1914 avait fait rage la bataille connue sous le vocable de la Vaux Marie Rembercourt et où abondent encore des trous individuels, M. Robert Leblanc, 'entrepreneur de transports à Bar-le-Duc, découvrit dans un fourré le squelette d'un fantassin allemand. chaussé encore de ses bottes de cuir. Le service de l'Etat militaire a été prévenu.
LE PUTSCH DE VIENNE Vœnnx, 30 août. La Cour martiale a condamné à 15 ans de réclusion Wœlffel et Kaupatz, qui prirent part au putsch de Vienne.
EN ALLEMAGNE Un plaidoyer du Dr Schacht pour un moratoire
de plusieurs années
Berlin, 30 août. « Il ne restera pas autre chose à faire que d'accorder à l'Allemagne un moratoire complet de plusieurs années pour lui permettre de se relever », a déclaré aujourd'hui le Dr Schacht, président de la Reichsbank.
« Il faudra d'autre part, a-t-il ajouté, ramener le niveau des dettes allemandes à un niveau qui puisse être supporté après l'expiration du moratoire. Si un accord international peut être conclu sur ces bases, le principal obstacle au relèvement du commerce mondial sera supprimé. a
Des communistes décapités Dortmudn, 30 août. Aujourd'hui ont été décapités, dans la prison de Dortmund, les communistes Hans, Voit et Friedrich Rapior, condamnés à mort le 7 mars dernier sous l'inculpation d'avoir assassiné un S. A. Deux condamnés de droit commun ont été décapités également dans cette prison sous l'inculpation de triple assassinat.
LES DETTES ALLEMANDES AUX ETATS-UNIS
Une proposition inacceptable du Reich
Washuigtok, 30 août. Le Gouvernement allemand a adressé dernièrement à Washington une nouvelle note relative aux dettes. Le secrétaire d'Etat M. Hull étant absent, le département d'Etat ne pourra pas répondre à Berlin avant plusieurs jours. On indique pourtant aujourd'hui au département d'Etat que la note allemande expose un point de vue inacceptable pour Washington, car elle établit un traitement discriminatoire contre les porteurs américains d'obligations allemandes.
Dans sa note, le Gouvernement allemand affirme, en effet, à nouveau son refus d'accorder l'égalité de traitement aux porteurs américains d'ooligations des emprunta Young et Dawes. GRIERSON A ATTEINT LE CANADA
Loidrxs, 30 août. L'aviateur John Grierson a atterri à Ottawa cet aprèsmidi, à 15 h 25. venant de Québec. John Grierson qui tentait de relier l'Angleterre au Canada par la route arctique a dû se poser à 510 milles du but qu'il s'était fixé.
ECHOS PARLEMENTAIRES Le financement des travaux contre le chômage
PARis, 30 août. La sous-commission financière des grands travaux contre le chômage, s'est réunie au ministère du Travail. Son président, M Tannery, directeur général de la Caisse des Dépôts et Consignations, a exposé la situation du marché des rentes.
La sous-commission a examiné les conditions dans lesquelles pourraient être simplifiées les modalités de versement des subventions de l'Etat prévues par la loi du 7 juillet dernier. La procédure envisagée sera soumise au ministre des Finances.
La sous-commission technique se réunira au cours de la semaine prochaine et la Commission nationale tiendra une séance plénière le 13 septembre.
Enrichissez-vous!
Enrichissez votre sang avec une seule cure de Vin de Frileuse. C'est le plus fort des fortifiants. Le Vin de Frileuse donne de l'appétit, de la force, un sang vif et du cran. L'extrait pour faire soi-même un litre de Vin de Frileuse ne croûte que 6 francs chez votre pharmacien.
Les digestions difficiles
Il y a celles qui suivent de trop fins repas, mais il y a aussi celles qui proviennent d'un estomac paresseux ou fatigué et qui sont journalières. Ceux qui souffrent ainsi de lassitude et d'aigreurs d'estomac après leurs repas se trouveront bien d'essayer cette petite recette Quand commen.cent les lourdeurs d'estomac, absorber trois ou quatre morceaux de sucre en les suçant ou en les faisant fondre dans un tout petit peu d'eau. Le sucre a la propriété d'activer les fonctions digestives.
AVEC CA
PILE HEINZ
CoMME lc Joua
Aujourd'hui 31 août Saint Aristide Le soleil se lève à 6 h. 5 et se couche il 19 h. 36.
La lune se lève & 22 h. 22 et se couche à 14 h. 32.
Nouvelle lune le 9 septembre.
Températures maxtma du 29 août Perpignan. Marseille Wangnan). 26': Antibes, 25 Rocheîort. Bordeaux, Pau iv.lle). Dijon. 22; Paris iMontsouris). Clermont-Ferrand, 21 Tours. Angers, Biarritz, 20: Valenciennes. Rennes. 19 Lyon, Nancy. Besançon. Strasbourg. 18; Calais iSaint-Inglevert), Le Havre. 17; Brest. 16.
Températures minima du aoùt Ant.ib~ 18* Biarritz. 16 Royan IL» Coubre;, Perpignan, 14; Marseille iMa.rignane). 13; Le Havre. Brest, Lyon, Pau (ville), 11; Calais iSaint-Inglevert). Paris (Montsourlsi. Tours. Angers, Bordeaux, Dijon. Nancy. Besançon. Straebourg, 10; Valenciennes. Toulouse, Clermnnt-Ferrand, 9 Rennes. 7.
Etolution yrobable de la situation jvsou'au 31 août. à 18 heures Le 31 août, à 7 heures, une baisse faible couvrira l'ouest et le sud-ouest de l'Ecosse (-3 3 millibars). Les variations seront positives ailleurs avec minima de +10 millibars en Ecosse, +5 millibars sur le nord de l'Italie.
Des systèmes nuageux faibles et étroite donneront des précipitations à caractért d'averses et traverseront la Franc. à l'exception du sud et du sud-est au cours des 30 heures à venir.
Probabilités
pour la journée du 31 août
Vents Dans le sud et le sud-est, secteur nord, modérés: ailleurs, secteur ouest, modérés. irrèguller-
Etat ciel Dans le s_d et le sudes, beau temps. peu nuageux ailleurs, ciel nuageux, avec belles éclaircies. devenant par intervalles très nuageux avec quelques averses et rares orages.
Température Stationnaire.
M. Hr» o H"
in dm in.i d».
Cherbourg 12.59 61 1.23 49 Granville 11. 6 108 23.2': 102 St-Malo 10.58 98 23.19 92 St-Brieuc 10,48 91 23, Il 85 Paimpol 10.54 84 23.18 19 Brest 9, 5 61 20.3U 58 Lorlent 8.49 40 21.15 38 Vannes 10.58 40 23.2, Le» Sables 8.34 41 21. !9 Le Rochelle 8.42 47 21.20 45 St-Nazaire 8,34 42 21, 1 40
Feuilleton de L'Ouest-Eclair
du 31 août 1934 S
Zompette à la cour
ROMAN
par DYVONNE
Le Jeune homme qui avait feint le sommeil demanda, excédé
Eh bien la girafe est-elle partie 7 A l'instant précis que le marquis prononçait ces mots peu flatteurs. Horace eut la sensation Que Mlle Regrais l'avait suivi, était sur aea talons et venait d'entendre. n et un signe de silence son anu et, quand il se retourna et se pencha dans le couloir, Il aperçut ClotUde qui, lui tournant le dos, s'acheminalt vers la sortie. Avait-elle entendu ?
En qu'importe, dit Saint-Selves. On ne s'impose pas comme elle le tait. Je t'attendais impatiemment et je m'étonne que tu ales pu si vite te libérer d'elle.
J'ai agi de ruse. J'espère qu'elle ne t'a pas entendu car elle est mauvaise comme la fièvre quarte et se ven.genit.
Que peut-elle me faire ? demanda nonchalamment Salnt-Selves. Elle est impuissante contre moi.
Or dtt Horace, balançant Ma
bras mollement devant lui comme une trompe (geste fâcheux qui lui était familier), mon cher, souvent on n'a aucun moyen, aucun pouvoir pour fair, le bien: mais, en général, on est tout-puissant pour le mal. T'ai-je lu à ce sujet ma fable du dfille-pattes et du spiromètre Franc-Nohain l'a entendue l'autre jour dans un salon et m'a beaucoup félicite.
Félicité de ne pas être un rival sérieux sans doute Non. épargnemoi, ne la dis pas.
C'est bien.- n'y pensons plus, dit Horace, profondément vexé. Cela com. mence ainsi
Un spiromètre un jour se sentant [amoureux.
Horace, ouvre la fenêtre tout de suite 1
Pourquoi pour qu'on m'entende au jardin ?
Non, mats pour faire entrer ce rayon de soleil, un des derniers de la saison.
Horace ouvrit la fenêtre et du jardin dénudé parvint une véritable bouffée de tiédeur
C'est la Cote d'Azur, dit Jacques. En tout cas méfie-toi de Clotilde.
Hein
Je reviens a mon idée Elle est fille à ne jamais oublier le qualificatif de girafe..
Laisse-moi en paix. Regarde le jardin sous le soleil
Sinistre, dit Horace, on dirait un moribond qui sourit 1 si c'est cela que tu attends pour éclater de rire. Hélas Cette douceur mourante s'accorde avec mon besoin Infini de repos. Les choses souffrent et cela me rappelle un court poème de Khayyam le poète pâma
Je me souviens Qu'un toir sur le {.marche
Comme un potier pétrissait son argile. L'argile dit d'une voiz presque étetnte c Ah'! doucement mon trère, le te lP7ie.
Tu es positivement lugubre I répondit Vallier
Ils se turent. Immense était ta douceur humide de ce ciel laiteux, argenté plutôt que doré par le soleil pâle. Le jardin, en bordure du boulevard Bineau. avec ses arbres et ses arbustes sans feuilles, imprégnés de brume. était roussatre avec de longues coulée: violettes. Tout semblait mort mais d'une mort sans lutte ni secouasseClotilde. reprit Horace.
Chut supplia Saint-Selves.
Obstiné, Horace poursuivit
Elle veut pour tel le mariage. l'amour, avec elle, bien entendu. L'amour ne m'intéresse pas, ni avec Clptllde ni avec la plus belle des femmes.
Oh I Jacques 1
Mais, mon cher, l'amour c'est l'angoisse, l'espoir mêlé de crainte, les désespoirs imprégnés de confiance, un tas de sentiments violents que je redoute, dont l'évocation me fait mal. Et sais-tu ce que c'est encore que 1 amour 7
Horace eut un petit barrtssetient plein de confusion
J'ai tout de même quelque expérience, mon cher.
Eh bien l'amour n'est-ce pau l'attente dans un dancing trop chaud o. elle a juré qu'elle serait à quatre heures, et 11 en est six ? Ou le planton dans une rue glaciale. car les rues de nos bien-aimées sont toujours, on ne sait pourquoi, les plus froides ou les plus ventilées de la ville. L'amour
c'est le petit bleu qui décommande une soirée et cela non pas au moment qu'on se disait quel ennui de quitter s-; pantoufles s, mais à l'instant ou cravate, ayant lutté avec sept ou huit boutons, on aspire à sorti.- pour échap. per au souvenir de ces combats L'amour c'est une suite de travaux trop pénibles pour mol.
Enfin, tu es souffrant, car sans cela, tous ces ennuis t'apparaltralent comme de négligeables imperfections Tu es malade.
Très malade et peut-être serais-je sauvé si Je pouvais. non pas aimer, fi I c!? ces émotions, mais rire. Ah le bon rire large qui détend, aère. Fais-moi rir-> et Je revis
Regarde-mot.
Tu as perdu le pouvoir de me d1straire. de soulever par l'hilarité la montagne d'ennui qui m'étouffe. Va voir des clowns.
Tais-toi, ne troublons plus le silence.
Il n'avait pas achevé ces mots que des vociférations éclatèrent dans la chambre voisine.
Une voix d'Américaine clamait, au paroxysme de la fureur.
Oh 1 c'est vous enfin avec mes chapeaux. stupid little girl I Je pensais moi pas pouvoir sortir ce soir.
Une voix flûtée répondit
Oh 1 fallait pas voua en faire. Chez Olympe et Anafe, mes patronnes, c'est toujours comme ça la dernière minute. Mais on ne rate jamais son train.
Voyons-les, ces chapeaux, reprit l'Américaine. Venez sur la terrasse que j'examine si la couture elle est bien faite.
Ob 1 peur et c'est de l'extra, ré-
pondit la midinette en avançant avec l'Américaine sur la terrasse.
Cette terrasse desservait toutes les pièces aussi bien celle de Samt-Seives qu celle de l'irascible Américaine. Mais entre chaque chambre ou salon, une petite cloison les séparait. Le mar.quis ne voyait donc pas les deux interlocutrices, mais il avait, le matin même, croisé dans le couloir l'Américaine aux cheveux blancs et roux. portant dès l'aube deux millions de perles autour d'un cou décharné que tous les reflets de l'Orient ne parvenaient pas a rajeunir. Sans doute était-elle dans la maison de santé pour reposer ses nerfs surmenés par une vie mondaine trop intense Déjà Il l'avait entendue vitupérer contre sa femme de chambre et la traiter de fille damnee Maintenant c'était le tour d'une arpète quelconque.
Où 1 disatt la vieille dame, regardez-moi cette rosé mal cousue, tout de travers. Oui ou non. est-elle de travers ?
Ce n'est pas moi qui l'ai mise et le vous accorde qu'elle a un peu l'air d'avoir bu.
D'avoir bu quoi ?
Enfin, elle se tient mal, répondit le timbre acidulé de l'arpète.
Et ce doublure?-
La coiffe.
Elle tient paa.
On dirait qu'elle veut se Jeter pardessus les moulins.
Assez, je vous défends de rpondre., malhonnête fille 1
Moi, malhonnête, quand Je vous donne raison ?
Horace dit a son ami
Je ferme la fenêtre, n'est-ce pu ? Cette discussion est fastidieuse. mais non, laisse donc. Chut 1
L'Américaine hurlait maintenant Remportez, remportez les cha- peaux, fille a vos patronnettes; moi, je n'en veux pas
Et la voix en bonbon anglais de l'arpéte
Oh madame, les petits défauts n sont rien. Je vais vous recoudre la 1 folle et la coUle volage.
Mais l'Américaine excitée au plus haut point, désirant peut-être annuler une commande qui ne lui plaisait pus, ne voulait pas entendre raison A son timbre rendu chevrotant par la colere se mêlait celui de la fillette. Puis sou« dain
Vos chapeaux, vous ne vouiez pas les reprendre ? cria la vieille dame, eh "ien voilà ce que l'en fais
Et de son salon Jacques meduse vit soudain dégringoler sur sa terrasse, passant par-dessus la cloison qui la séparait de celle de l'Américaine, uo_. deux. trois chapeaux qui rouleront dans la poussière.
Oh l ça, c'est trop fort clama la jeune fille.
Or. tout aussitôt, Jacques et Horace virent apparaître au-dessus de la cloisor la tète fine, moulee dans un turban, d'une très jeune filte. Montee probablement sur une chaise. elle contemplait le désastre les chapeaux ae grand Prix tombés dans la poussière humide.
Soudain, elle se décida, se russa pardtssus la cloison eL plouf. retomba sur la terrasse devant l'appartement de Saint-Selves.
D'abord, elle se jeta sur un ces couvre-chefs. puis, en se tournant pour en saisir un autre, elle aperçut le salon ouvert et. dans la pénombre deux Jeunea gens qui la regardaient.
ILLEsVILAINE A CHARTRES-DE-BRETAGNE LA FOUDRE S'ABAT DANS UN CHAMP BLESSE UN CULTIVATEUR
ET tUE DEUX CHEVAUX
Rennes, 30 août. (De notre rédac- tion) Mercredi après-midi, vers 17 heures, M. Launay François, 70 ans, travaillait à son champ de la « Croixdes-Potiers avec son fils Adrien Launay, âgé de 27 ans.
Une averse de grêle étant survenue, M. Adrien Launay détela ses chevaux et alla se mettre à l'abri sous un pommier. Soudain, la foudre tomba le blessant aux jambes et au bras droit et tuant sur le coup ses chevaux. Les gendarmes de Bruz se rendirent immédiatement sur les lieux et le docteur Belliard vint donner des soins au blessé qui, fort heureusement n'est pas gravement atteint et pourra reprendre prochainement son travail.
ïïïïïïïïïïïïïïïïïïi VOYAGES A LOURDES PÈLERINAGES DE VANNES ET St-BRIEUC
A 8 jours tout en autocar
9-16 Septembre
905 Frs de Rennes
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Visite de Bordeaux, Biatritx, Le Pays Basque. Lourdes. Gavarnie. Pau. Programme sur demande a l'office des Voyages de L'Ouest-Eclair, 38, rue du Pré-Botte. Rennes rél 36.75. Les inscriptions seront. cioses le 6 SEPTEMBRE AU SOIR.
HATEZ-VOUS
COTES-DU-MORD UN BÉBÉ ÉCRASÉ
PAR UNE CHARRETTE LouoiAC, 30 août (De notre rédacion)
Un pénible accident est survenu mardi après-midi près du village de Langast-Pré, en Plessala. Le jeune Giffrain cultivateur chez ses parents conduisait une charrette chargée de iumier et trainée par deux chevaux atteles en :lèche. Mais il suivait son attelage d'assez loin et, sans le surveiller beau- 1 coup.
Dans un tournant du chemin des :ues Rocaboy, très encaissé, le jeune André Laubé, âge de deux ans s'était assis et s'amusait, trompant la surleillance de son père. Mme Gaudin, Qui était près de chez elle à quelque distance vit l'attelage arriver sur l'en:ant et cria. Le charretier s'élança mais la roue du véhicule avait passe sur le pauvre petit qui décédait quel- ques heures après, des suites d'une fracture du crâne, malgré l'intervention du docteur Bellamy de Plessala. La gendarmerie a ouvert une enquête; le charretier et le père de la petite victime ont reconnu leur responsabilité.
CALVADOS UN CYCLISTE SE JETTE
SUR UNE AUTO ET SUCCOMBE A SES BLESSURES
LisiEtrx, 30 août. (De notre rédaction)
Une collision s'est produite entre une automobile et un cycliste sur un territoire de la commune de Saint-Juliende-Maiiloc.
Teillez. entrepreneur de bâtiments a Cambrai (Nord) se dirigeait en auto à Mélicourt, en suivant la route nationale nd 819, dans la direction d'Orbec lorsqu'un autocar qui le précédait l'a mis dans l'obligation de ralentir
C'est alors que M. Georges Desserre, âgé de 47 ans, ouvrier agricole, demeurant à Argentan, qui circulait en sens inverse vint se jeter sur l'automobile Après avoir reçu les premiers soins. M. Desserre, gravement atteint à la tête et ayant une jambe fracturée, a été transporte dans le coma à l'hôpital de Lisieux où il est décédé sans avoir repris connaissance.
édites brèves Lisirux. Un camion conduit par M. Vallée, de Livarot, a capoté dans un virage et est tombé dans une prairie située à 7 mètres en contrebas de la route. Les deux occupants du camion ont été gravement blessés. RENSEIGNEMENTS JURIDIQUES OooMotleux, procès, affaires litigieuses «un. loyers successions. Impôts, etc.. &avo! da renseignements contre mande • te. M Mtirn* à VOuttt-Eciair,
UDACTION 6, place du Commerce (TéL 112.53). DEPOT CENTRAL 13 ne Bon-Secoun
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AUJOURD'HUI
Théâtre Apollo, 14 h. 30 et 20 h. 30 Catherine de Russie.
Cinéma Palace. 14 h. 30 et 20 h. 30 Le sexe faible.
Cinéma Katorza, 14 h. 45 et 20 h. 45 Celle qu'on accuse.
Cinéma Olympia, 14 h. 45 et 20 h. 45 En Bordée.
American Cosmo, 20 h. 30 L'Affaire Blaireau.
Majestic Cinéma, 14 h. 45 et 20 h. 45 Roger-la-Honte.
Royal-Cmé. 14 h. 30 et 20 h. 30: La Folle Nuit.
LES CÔTES ae LA Loirs
Tours le 29, 16 le 30. 17 le 31 18; le 1 18.
Saumur le 29, 20; le 30, 18; le 31. 16.
Ponts-de-Ce le 29, 05 le 30, 03 le 31. 02 le 1, 02.
Montjean le 29, 15; le 30, 18; le 31. 20: le 1, 20.
Ancenis le 29, 27 le 30, 25 le 31, 28 le 1. 30.
Jusqu'à deux heures du matin seulement. Il est des portes ouvertes qu'il convient parfois d'enfoncer et des maisons closes qu'il vaudrait mieux fermer.
Mais, en attendant cette solution radicale, voici que le Maire, par intérim, d'une grande ville de l'Ouest située par 47° 13' 8" Nord et 3» 53' 18" à l'Ouest du méridien de Paris vient de s'aviser d'une mesure qui ne manque pas doriginalité. Elle soulève, au reste. de grandes clameurs dans un certain monde.
Elle se présente pourtant comme le simple corollaire d'un arrêté préfectoral en vertu duquel tous les cafés de la ville en question doivent être fermés à 2 heures du matin.
Désormais, les noctambules de l'endroit ne pourront plus prolonger leurs tournées en visitant les établissements dont l'hospitalité était surtout nocturne. Elle ne sera plus nocturne que jusqu'à 2 heures du matin.
Une 6llette de Trentemoult est écrasée par un camion près de Brest
BREST, 30 août (De notre rédaction) Hier, vers 13 h. 30, un lourd camion appartenant à Une entreprise de Brest et chargé de briques, traversait à vive allure le bourg de-Melon, lorsqu'à la sortie du quai, en direction de Porspoder, 'une fillette de six ans et demi, la petite Anne Nizou, traversa la route devant le véhicule. Le conducteur, M. Ernest Nicolle, 27 ans, habitant rue Graveran à Brest, ne put éviter l'enfant qui passa sous les roues et fut relevé dans un état désespéré.
En effet, la pauvre fillette rendit le dernier soupir dans une clinique de Brest où elle avait été transportée d'urgence.
La petite Anne Nizou était en villégiature à Melon, chez des parents, et elle devait quitter le pays aujourd'hui pour rejoindre Trentemoult (LoireInférieure) où habite son père M. Nizou, capitaine au long cours. Nous adressons aux malheureux parents si douloureusement atteints dans leur plus chère affection, nos condoléances.
Autour de l'arrestation de deux contrebandiers à Rouen
C'est grâce à la police nantaise qu'ils ont été pris
Nous avons, en nouvelles générales de dernière heure, signalé l'arrestation mouvementée par la gendarmerie de Grand-Couronné, près de Rouen, de deux contrebandiers Raymond Poiron, 32 ans, chauffeur de taxi, demeurant à Cachan, et Pierre Lefebvre, 24 ans. couvreur, en chômage, demeurant à Hauteville-sur-Mer.
Or ces deux individus étaient de passage a Nantes le 22 août. Le lendemain la Sûreté apprenait en effet que deux hommes avaient été vus offrant dans divers chantiers et en particulier dans le quartier Monselet, des cigarettes et du tabac à vil prix. Ils circulaient dans une auto conduite intérieure, marque Chenard et Walcker, couleur bleu ciel et immatriculée 4515 R. F. 7. Aussitôt les inspecteurs se mirent à leur recherche, mais les oiseaux s'étaient envolés.
De Nantes, on diffusa sans tarder dans toutes les brigades de gendarmerie et les polices locales le signalement des individus C'est ainsi qu'ils purent facilement être repérés par les gendarmes de Grand-Couronné qui les arrêtèrent, alors qu'ils revenaient de la Sarre avec un chargement de 250 kilos de tabac, cigares et cigarettes. Les suites mortelles d'une collision
Dans la foirée du 25, sur la route de Basse-Goulaine, deux motocyclettes entraient en collision. L'accident faisait trois blessés, dont M. Abel André, âgé de 24 ans, menuisier, demeurant à Port-St-Père, et sa femme. Il y avait quelques jours qu'ils étaient mariés. M. André, qui avait été hospitalisé à l'Hôtel-Dieu, a dû être ramene chez lui où nous apprenons qu'il a succombé à ses blessures.
Nous prions sa famille d'agréer nos
UN PROCÈS EN MATIÈRE DE CONTREBANDE
LE CARGO MIXTE « KAKOULIMA » EST CONFISQUÉ AU PROFIT DE L'ADMINISTRATION DES DOUANES Telle est la décision de principe
qui a été prise hier
par la troisième Chambre correctionnelle
Le « Kakoulima dont la confiscation a été ordonnée par le Tribunal de Nantes.
Les Nantais connaissent tous aujour- d'hui le magnifique transport bananier qu'est le Kakoulin:a, cargo mixte de 6.000 tonnes, appartenant à la société d'armement « Les Chargeurs Réunis ». qui apporte assez fréquemment dans notre ville des cargaisons de bananes provenant des Canaries ou de la Guinée française.
Or, nous allons voir comment, pour une banale histoire de 186 paquets de cigarettes passés ou plutôt qu'on a tenté de passer en contrebande, la 3» Chambre correctionnelle du Tribunal de Nantes s'est trouvée hier dans l'obligation, en vertu de la loi et à la requête de l'administration des Douanes, d'ordonner dans son jugement la confiscation de la superbe unité de notre marine marchande qu'est le Kakouüma.
Confiscation. de principe, peut-être, mais confiscation tout de même. CE CAMBUSIER
ET LES CIGARETTES
Le 12 uoût dernier, le Kakoulima étiat ancre quai Saint-Louis. Des equipes de dockers travaillaient activement au déchargement du navire. Des chefs d'équipes et des contremaitres surveillaient les opérations, mais ils n'etaient pas les seuls des douaniers aussi étaient à leur poste. Vers 15 heures de l'après-midi, un docker, très estimé de ses employeurs et n'ayant pas ou peu fait parler de lui encore, M. Francis Michel, 33 ans, descendait du Kakoulima, portant sur les épaules un régime de bananes. Il se dirigeait vers un café situé en face le quai de déchargement.
Les douaniers veillaient, avons-nous dit. Et deux de ceux-ci, deux « ambulants », c'est-à-dire habillés en civil, suivirent le docker.
Avant de pénétrer dans le débit, Michel était interpellé c Hep là l'homme où allez- vous ? y. Je vais au café.
Qu'est-ce que vous avez sur l'épaule ?
C'est un régime de bananes. J'ai reçu l'ordre de mon contremaître de le descendre à quai et de le porter sous la tente de la douane. Comme j'avais soif, j'ai fait un détour et je suis venu pour aller prendre un verre avant d'exécuter l'ordre.
Les douaniers ont-ils du flair ? Il faut bien le croire car les deux « ambulants a prirent possession du fardeau et en examinèrent le contenu. Un régime de bananes est, on le sait, enveloppé d'un sac en papier épais, mais pour protéger les fruits, on les entoure d'une couche,de vrillons ».
Or, dans le paquet il y avait bien quelques vrillons, mais les douaniers constatèrent que la principale couche de protection était constituée en réa- lité par 186 paquets de cigarettes « Camel ».
L'affaire était bonne pour les douaniers. Mais ceux-ci voulurent en avoir le cœur net.
Ils se rendirent auprès du contre- maître indiqué par le docker Michel, M. Victor Létang. 45 ans.
Celui-ci déclara
« Oui, j'ai bien dit à Michel de descendre le régime. Je lui ai donné l'ordre de l'emporter sous la tente de la (Douane mais, si j'ai agi de la sorte c'est sur un ordre formel que j'ai reçu du cambusier du Kakoulima. On rechercha le cambusier et on le trouva bientôt Ferdinand Delisle, 29 ans. excellent homme d'équipage au passé irréprochable. Il avoua « Le contremaître ignorait complètement le truc des cigarettes, et le docker encore moins. J'ai droit à un régime, je leur ai dit que c'était le mien, un point -c'est tout. D'ailleurs, je me mets à votre disposition et je demande à ce que l'on me conduise à la direction de la Douane. Je vais faire mes çflres de transaction a.
600 FRANCS
NE SUFFISAIENT PAS
Il y a des arrangements avec le ciel dit-on. Il n'y en a pas toujours avec la Douane.
Le cambusier discuta âprement le prix d'une transaction mais si l'administration ne refusa pas un arrangement possible, elle exigea le versement d'une somme de 6.000 frs. Ferdinand Delisle ne possédait pas cette somme. Il écrivit aussitôt partout où il pouvait, quêtant de l'argent. Seule, sa maitresse, habitant Bordeaux, (port d'attache du Kakoulima) répondit favorablement, mais elle ne put envoyer que 600 francs.
N'ayant pas d'autre planche de salut, le cambusier fut mis en état d'arrestation, tandis que la Douane exigeait des poursuites contre lui, le contremaitre Létang et le docker Michel. A l'audience
Et Ferdinand Delisle figurait ainsi hier dans le box des inculpes, sous l'inculpation d'importation en contrebande, tandis que ses deux complices ou pretendus tels étaient des prévenus libres.
M. le président Bastit, avec son autorité cQutumière, procéda à l'interrogatoire des trois hommes.
Il commença par Michel. Celui-ci, protesta de sa bonne foi. « Je n'ai commis qu'une seule faute d'ordre professionnel. Le seul tort que j'ai eu, ce fut de faire un détour et de vouloir aller au café avant d'aller à la tente de la Douane p.
M. LE PRÉSIDENT. Vous ne vous êtes douté de rien ?
Mais non, M. le Président. Un régime de banane pèce entre 8 et 35 kilos. Combien pensaient les cigarettes, je n'en sais rien, mais je n'ai pu constater une différence de poids qui seule, en pareil cas, aurait pu m'indiquer si le régime était suspect. J'ai fait ce que mon contremaitre m'a dit, un point c'est tout et encore je l'ai mal fait puisque j'ai fait un détour. Mais, après être allé au café, mon intention était bien d'aller à la Douane. »
Avec une explication pareille dont la preuve contraire est impossible à établir, Michel n'a évidemment pas besoin d'un avocat.
Le contremaître Létang est aussi formel
« J'ignorais et je ne pouvais pas savoir que le régime était entouré de paquets de cigarettes. J'ai commandé un de mes dockers, je lui ai dit d'emmener le colis à la Douane, ce qu'il aurait dû faire avant d'aller au café. » Là aussi, on le voit, le raisonnement ne permet d'impliquer la moindre culpabilité.
Le principal intéressé, le cambusier Delisle, ne cherche pas à s'innocenter « J'ai dit au contremaître de faire passer le régime à la douane. Il ignorait s'il y avait autre chose que des bananes dans le paquet ».
M. LE PRÉSIDENT. Combien avezvous payé ces paquets de cigarettes vendus dans nos bureaux de tabac 6 fr. 60 chacun et dont le total valait 1.216 francs.
Je les avais achetés 1 fr. 10 -pièce aux Canaries.
M. Pellerin, 59 ans, contrôleur en chef des douanes, est venu assisté de deux collègues à l'audience où il doit être .seul entendu comme témoin. Il rappelle comment deux de ses préposés ont surpris le docker et comment échoua la tentative de transaction proposée par le cambusier. Puis il accuse le contremaître et le docker étaient certainement au courant de la combine. C'est un principe classique lorsque les douaniers vous prennent sur le fait, d'alléguer de sa bonne foi. Si l'on admettait cette bonne foi, les fraudeurs et contrebandiers auraient toujours la partie trop beU*.
LA DOUANE
ET LES CHARGEURS REUNIS POURRONT PEUT-ETRE
TRANSIGER
M. le substitut Dupin est moins sévère que le contrôleur en chef des Douanes
« Je laisse le soin au Tribunal d'apprécier les faits et en toute sagesse de juger les trois prévenus au point de vue pénal. »
Reste l'importante question de la confiscation
« Pour les paquets de cigarettes, la question ne se pose pas, ils sont d'ores et déjà confisqués et sont la propriéte de la Douane.
Quant au moyen de transport, la loi est là aussi très formelle et nous devons l'appliquer. Le moyen de transport qui a servi, c'est le navire Kakoulima et il doit être confisqué. Peu nous importe la suite le procès sera jugé la Douane et les Chargeurs Réunis pourront peut-être transiger ». Telles furent les conclusions de M. l'Avocat général, conclusions qui pour le profane semblent formidables de conséquence et le seraient certainement si aucune transaction ne pouvait survenir.
LE c KAKOULIMA »
EST CONFISQUÉ
M. le Président Bastit après en avoir délibère avec ses deux assesseurs prononce le jugement suivant Le docker Michel et le contremaître Létang sont acquittés, leur bonne foi étant reconnue et par conséquent admise.
Le cambusier Ferdinand Delisle est condamné à quinze jours de prison sans sursis et à 100 francs d'amende. Le tribunal ordonne la confiscation des 186 paquets de cigarettes saisis et la confiscation du moyen de transport, Il le steamer Kakoulima, de 6.000 tonnes. »
Ainsi, Delisle, qui a fait plus de quinze jours de prison préventive a quitté la maison d'arrêt hier soir et est libre.
Aux Chargeurs Réunis de trouver maintenant un terrain d'entente, ou plutôt de transaction avec l'administration des Douanes, ce qui sera peutêtre possible, comme l'a dit M. le substitut Dupin. mais qui sera aussi sans doute assez difficile.
P. B.
TRIBUNAL CORRECTIONNEL (Audience de vacation du 30 août 1934) Hier après-midi, il y 'avait audience de vacation à la troisième chambre correctionnelle présidée par M. Bastit. Sept inculpés avaient pris place dans le box, et ils étaient gardés par un nombre égal de gendarmes.
Parmi ces prévenus, il y avait cinq moins de 15 ans, qui ont comparu, à huis clos, devant le tribunal jugeant enfants et adolescents. La loi, à juste titre, ne nous permet pas de rendre compte des débats en pareil cas. Dans la partie réservée au public, il y avait fouie. On y remarquait notamment de nomoreux dockers, venus assister au procès de contrebande à bord du Kakoulima. A ces derniers se joignaient évidemment les habitués que l'on voit toujours à la moindre audience correctionnelle.
L'audience d'hier s est déroulée comme de coutume, avec cette seule différence que nous n avons pas vu le moindre avocat plaider, ce qui est très rare. IL EST FÉROCE LORSQU'IL A BU Auguste Gaure, 27 ans, titulaire de deux condamnations antérieures, serait peut-être un brave nomme lorsqu'il n'est pas en état d'ébneté. Malheureusement, il est continueilement sous l'empire de la boisson, et, comme le déclare le maire ne lajtoinmune de Bouguenais, il est à souhaiter que les habitants de la commune soient débarrassés a tout jamais a'un etre aussi inaésirable.
Les faits qui l'amenaient devant la troisième chambre étaient graves. Le 12 aoùt dernier, Gaure, étant ivre, a sauvagement trappe sa maîtresse, la fille Chenard, avec un tisonnier, et ce, parce qu'elle lui avait lait une observation sur son état d'ébriété. La fille Chenard fut grièvement blessée et tomba sans connaissance. La fureur de Gaure ne fut pas satisfaite. 11 se précipita sur les enfants de sa maîtresse et porta un violent coup de tisonnier sur un bébé de deux mois qui fut atteint à la tète.
Gaure ne se souvient de rien, prétend-il. M. le Substitut Dupin prononce un sévère réquisitoire, en partant du principe que le coup porté à l'enfant de deux mois aurait pu avoir les plus graves conséquences.
Et Gaure est condamné à trois mois d'emprisonnement et à 5 fr. d'amende. IL S'ENIVRAIT A BON COMPTE Francis Marabœuf, 42 ans, repris de justice, sans profession ni domicile, se présentait au débit exploité, 14, quai de l'Ile Gloriette, par Mme Fauché, et demandait un litre de vin à emporter. Tandis que la débitante descendait dans la cave pour soutirer le litre de vin commandé, Marabœuf quittait le café, emportant dans ses poches un litre de rhum et un litre de Iine-champagne soustraits sur le comptoir. Quelques heures plus tard, il revenait en état complet d'ivresse dans le but de chercher le litre de vin commandé.
La débitante le pria d'attendre un instant, le temps de descendre à la cave chercher le précieux nectare. En réalité* par une porte dérobée, car elle s'était évidemment aperçue du vol, elle s'empressa d'aller quérir un agent de police.
Et l'agent n'eut qu'à cueillir Marabœuf qui avait profité de sa solitude pour mettre dans sa poche un litre de Mandarin.
MaxaUeui déclare i C'«*t peutrêtre
M. MARIUS JULLIAN ÉCRIT A M. GASTON DOUMERGUE L'actif secrétaire général de la Féd»» ration départementale des contribua- bles de la Loire-Inférieure nous a re» proche naguère d'ironiser autour de ses écritures innombrables. Et le ton de la dernière lettre personnelle qu'il nous a adressée, était de nature à nous faire croire que jamais plus nous ne serions priés d'insérer sa prose. Nous en aurions été peinés. Mais M. Marius Jullian a sans doute réfléchi. Le voilà à nouveau qui nous écrit en nous assurant « qu'il lui serait agréable » de nous voir publier la lettre dont le destinataire n'est rien moins que M. Gaston Doumergue, président du Conseil Comme l'Ouest-Eclair n'a aucune rancune, nous donnerons satisfaction à M. Marius Jullian, et nous ne nous permettrons aucune réflexion ironique. Nous nous plaisons à espérer que M. Gaston Doumergue prendra lui-méme très au sérieux les avis que lui prodigue notre très distingué correspondant.
Voici sa lettre à M. le Premier Monsieur Gaston Doumergue
Président du Conseil
Paris
Monsieur le Président
Croyant savoir que votre ministère se réunit ces jours-ci, nous estimons utile d'attirer votre bienveillante attention sur ce qui suit
Vous ne pouvez ignorer à quel point la situation économique est « vacillante ». Cela ne peut durer plus longtemps pour de nombreuses raisons, dont la principale est que nous nous devons d'éviter toute solution contraire à l'intérêt général.
Pour ce qui est de la rentrée des impôts commerciaux et industriels, nous croyors inutile de vous dire qu'il ne faudra être surpris de rien, car nombreux, hélas sont les assujettis se trouvant dans l'impossibilité de répondre favorablement à l'appel fait à leurs tiroirs vides. ou presque. Notre régime fiscal n'est pas étranger à cette volatilisation, et quoique nous comprenions votre réel désir de le simplifier, il n'en est pas moins vrai et aucun Français sérieux ne peut le contester que la plupart de vos prédécesseurs (peut-être même tous vos prédécesseurs) n'ont fait que le compliquer de plus en plus.
Il nous paraitrait Conc sage non seulement d'inviter MM. les tresoriers généraux et percepteurs de se contenter d'agir pour le mieux et de n'ajouter aucun frais aux avertissements déjà trop lourds, mais de dégager leur responsabilité de perception, au moins provisoirement, afin de ne pas voir s'écrouler certains espoirs à la fois respectables et admirables même en vérité.
Pour ce qui est de la très importante question du blé nous voyons plusieurs moyens faciles de faire route vers une situation acceptable Id 1° Taux d'extraction faible imposée à tous, sans exceptioil >h 2° Importation formellement interdite, y compris l'admission temporaire.
3° Annulation de toutes les lois et de tous les arrêts et décrets s'appliquant à la question, et remplacement par une nouvelle réglementation générale à la .'ois claire et intelligente. 4° Invitation aux interessés à s'appliquer à emblaver moins et a penser a la qualité plutôt qu'à la quantité, etc. etc. et, entin, paiement des impdts d'Etat en bte, aussi bien pour les agriculteurs (propriétaires et fermiers) que pour les artisans, commerçants et industriels, imposés dans les communes dont la recolte en ble de 1933 et 1934, est supérieure aux besoins locaux. Le blé ainsi mis a la disposition de vos services, pourrait aisément devenir farine puis pain, dont toute l'armée française, les nospices, les hôpitaux, écoles-pensions, etc. assureraient l'absorption tout naturellement.
Vous avez été à même d'apprécier nos véritables sentiments et ne pouvez douter de la sincerité avec laquelle nous luttons pour conserver une France propre et un régime sain. Vous ne nous en voudrez donc pas si nous nous permettons d'insister pour que toutes décisions îeureuses soient prises d'urgence, car nous ne pourrions répondre de rien dans le cas contraire.
Nous vous prions, Monsieur le Président, d'agréer pour vous et vos collaborateurs, nos salutations très respectueusement empressées.
Le -président, Le secrétaire général, Adrien Praud. Marius Juixiah. Pour l'érection d'une stèle au capitaine Schlœssinger Nous avons annoncé ici même, il y a quelque temps. le projet d'érection d'une stèle en souvenir du capitaine Schloessinger.
Ce projet, œuvre en collaboration de l'éminent architecte Robida et de l'artiste sculpteur nantais Mahé. prend forme et. grâce à la ville de Nantes qui a offert le terrain devant servir à son édification, la stèle va bientôt s'élever à l'entrée du terrain du PetitPort et avant peu la date d'inauguration en sera fixée.
De nombreuses personnes désirant participer effectivement à cette manifestation du souvenir et y apporter leur obole, le comite fait savoir que les souscriptions peuvent être adressées ou remises au trésorier du comité. Mj Rondeau, receveur municipal. rue de Briord à M. Belurier, passage Pommeraye, et au siège de l'U. N. M. R^ 10 bis, rue de l'Arche-Sèche, Nantes, où elles seront reçues avec reconnaissance.
vrai, mais je ne me rappelle plus de rien, tellement j'étais ivre. »
Comme c'est un repris de justice, réputé dangereux, il s'entend octroyer trois mois et un jour d'emprisonné,ment.
Autrement dit, il parcourt une étape de plus vers le chemin de la relégatio»
La sortie pique-nique des gardories scolaires
II pleut On monte à l'assaut des tribunes de l'hippodrome pour se mettre à l'abri.
Chaque année, à pareille époque, c'est-àiire au milieu des vacances, les dirigeants des garderies scolaires de la ville de Nantes, organisent une grande sortie pique-nique.
Au mois d'août 1933, c'était une promenade en bateau la joie des joies sur la Sèvre, de Nantes à la HaieFouassière.
Cette année. le directeur des Garderies, le bon M. Joubert, les présidentes et présidents de cantons, avaient décidé une sortie un peu moins lointaine, afin de permettre à un plus grand nombre d'enfants d'y participer. C'est ainsi qu'hier les 4. des garçons et fclettes inscrits aux garderies scolaires, soit deux bons milliers, se sont trouvés réunis au Petit-Port, le « Bois des Nantais.
De bon matin, des tramways, que la Compagnie avait mis à la disposition des Garderies avaient chargé les enfants des quartiers les plus éloignés. Le rassemblement de tout ce petit monde s'était effectué dans l'ordre le plus parfait sur le terre-plein de la Bourse, sous la direction d'une soixantaine de surveillantes et de surveillants.
A 9 heures, précédés de quelques agents qui remplirent fort bien leur rôle tutélaire. les deux mille enfants. chantant à pleine voix, chapes de musettes et de paniers, défilèrent en un cortège impressionnant, par les places du Commerce et Royale. les rues d'Orléans, de la Mame, de Verdun et la rue de Strasbourg.
Au Pont-Morand, arrêt. Là, quatre nutobus de la Cie des Tramways et un des grands cars 'de la société des Batignolles attendaient les plus jeunes pour les transporter au but de la promenade.
Diminué ainsi de 450 paires ae petites jambes que la longueur du chemin aurait pu fatiguer. la troupe enfantine, au rythme des chansons de marche, continua pédestrement vers le Petit-Port, par la rue de Rennes, les boulevards Félix et Gabriel Lauriol. En arrivant dans le parc de l'hippodrome. vers 11 heures. la faim -se faisait sentir aussi M. Joubert donna-til sans tarder le signal du déjeùner Par groupes, les enfants s'installèrent sous les arbres et déballèrent leurs provisions. Oh, que les musettes étaient bien garnies qu'elles contenaient de choses appétissantes serrées par les mamans
Hélas le temps qui menaçait depuis quelques heures devint tout à coup franchement mauvais. La pluie commença à tomber, troublant ce char- mant pique-nique et faisant fuir les enfants. On se réfugia à l'abri des tribunes. au pesage. dans les boxes cou- vers du paddock. Il fallut se tasser un peu. mais le premier moment d'émoi passé la bonne humeur prit vite le dessus et le repas s'acheva gaiement. Dans l'après-midi garçons et fillettes improvisèrent des jeux sous leurs abris, profitant des éclaircies pour allergambader dans le parc et dans le champ de courses, rentrant docilement au signal de: surveillants lorsque la pluie revenait.
Le retour s'effectua dans le même ordre que le matin. vers 17 h. 30. Nous avons vu. au Petit-Uort, M. Joubert, directeur des garderies de vaoances de la ville de Nantes les présidentes et présidents de canton. Mmes Le Jallé, Leseur et Allain, MM. Courtel, Guihard, Biron et Lalouette; puis Mme Leroux. MM Leseur, commissaire central honoraire Ribrac. Guindré. <»jurrias. etc.
M. Pinard, adjoint au maire, représentant la municipalité,, auquel l'œuvre des Garderies de Vacances doit tant, est venu dans la matinée, visiter les deux mille petits nantais qu'il a trouvés en excellente forme. Il a présidé ensuite un dsieuner intime des dirigeants des garderies au pavillon du Petit-Port.
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Ajoutons que cette belle œuvre n'a jamais réuni autant d'enfants que I cette année, dans les trente-huit cenI tres des sept cantons. Leur nombre dépasse 2.500. Et les statistiques tenues quotidiennement à jour, indiquent que jamais la fréquentation des garderies n'a été aussi régulière. D'un jour à l'autre les variations du nombre des présents sont insignifiantes. LA FETE DE CLOTURE
DES GARDERIES
Les Garderies des Grandes Vacances se terminant le 22 septembre, la fête de clôture aura lieu le dimanche 16 septembre, dans le Parc du Granr Blottereau à Doulon.
Tous les ans cette fête est très fr- quentée.
Mais c'est naturel
La station des tramways de la gar de Doulon est à proximité, le très bea parc attire la foule par ses fleurs, s verdure et ses ombrages enfin le. assistants fournissent un appoint trè sérieux à la somme nécessaire pou maintenir et développer l'une des ce,. vres de bienfaisance les plus préciel ses.
il faut, en effet, de très gross sommes pour payer les 116 gardienni et gardiens pour recueillir et charnu près de 3.000 pauvres petits parmi lt plus malheureux pour offrir, chaqu jour, à chacun une boisson saine e une collation composée d'un petit pan et d'un bâton de chocolat pour prc curer à tous les jouets nécessaires e aux fillettes les fournitures pour tra vaux manuels pour donner les diF tractions enfantines (visites, prome nades, excursions) indispensables à la joie et au bien-être de cet âge.
L'ouverture aura lieu à 14 heures. Les enfants de moins de 14 ans ne payeront pas s'ils sont accompagnés.
HELICE-CLUB DE L'OUEST
Il est rappelé aux Sociétaires de l'H.C.O. que la dernière Sortie Officielle de la Société aura lieu le dimanche 2 septembre avec comme but Gaschet. Rendez-vous au pont de la Tortière, à 9 h. 15. Départ pointé à 9 h. 30. Fermeture du contrôle annoncé par un coup de canon à midi. Retour facultatif.
Les sociétaires désirant déjeuner en pique-nique sont informés que le symoathique propriétaire du restaurant du »f'etit Gaschet, M. Corgnet, met à notre disposition, la prairie située à proximité de son établissement.
Le Président ALLART.
SOCIÉTÉ P%S HORTICULTEURS DE NANTES
MM. les sociétaires sont invités à assister à la réunion générale mensuelle qui aura lieu dimanche prochain 2 septembre. a 10 heures du matin, à la salle Colbert.
L'AMICALE DE LA RUE NOIRE Le conseil d administration des anciens élèves de l'ecole de la rue Noire. informe le public qu'aucune manifestation artistique n'est prévue. C'est par erreur qu'une Flamande a été annoncée à l'issue de la réunion de la section de basket-ball.
UN CONTROLE SANITAIRE DES VIANDES CUITES. Le maire de la ville de Nantes informe les intéI ressés Qu'un contrôle sanitaire des viandes cuites, salées ou fumées, et des préparations de viandes, saucisses. saucissons, etc. fonctionnera au marché Talensac à partir de mardi prochain 4 septembre. Ce contrôle aura lieu de 5 h. 30 à 6 h. 30, du mardi au samedi de chaque semaine.
ARRESTATION. La Sûreté a procédé à l'arrestation du jeune René Robert, f4 ans. en vertu d'un mandat d'arrêt de M. le juge d'instruction de Nantes, sous l'inculpation de vagabondage de mineur.
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CONVOIS MORTUAIRES
du vendredi 31 août
7 heures Mme Jourdain, rue JulesPolo, 2. direct, Saint-Jacques.
8. heures Enfant Boutin, Hôtel-Dieu, chapelle, Saint-Jacques.
8 heures M. Deron. avenue des Rosiers, Saîîit-Slmilien, Miséricorde.
9 h. 45 Mme Heulln, place de la Bourse, Saint-Nicolas, Miséricorde. 1 h. 30 Mme Lesesvre, avenue de l'Ouest, 5 bis. Saint-Clair, Saint-Clair. 1 h. 30 M. Guénault, Hôtel-Dieu, chapelle, Salnt-Pierre-de-Rezé.
3 h 30 Enfant Braud. boulevard de la Liberté, 58, Saint-Martin, Saint-Martin.
LA BERNERIE-EN-RETZ
VISITE DE COMBATTANTS POLONAIS, Dimanche prochain. l'U. N. C. recevra une section polonaise. A 11 h. 15 messe
A l'issue de cette messe défilé au cimetière, avec la musique; dépôt d'une gerbe de fleurs au monument aux morts de la guerre 1914-18. A 15 heures, salle Jeanne-d'Arc, rue de la Mer concert, chants, danses polonaises.
Les Berneriens recevront dignement nos visiteurs polonais.
ETAT-CIVIL. Publications de mariage. Lambert Joseph. instituteur à Bourgneuf-en-Retz. et Foucher Fernande, couturière à la Jaglnlère.
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LE DÉPART DU CIRCUIT CYCLISTE DE'L'OUEST
Les coureurs gagnent le carrefour de Sautron
Sous l'averse diluvienne qui ruisselle, les Nazairiens sont accourus dès 11 heures place Marceau pour assister au départ des coureurs du 4' Circuit de l'Ouest Cycliste. Stoïques, ils s'immobilisent autour du Café du Ralliement, où viennent les uns après les autres les coureurs pour les signatures et le ravitaillement.
Les banderoles et les décorations lavées d'eau sont secouées furieusement par le vent de tempête qui a soufflé une grande partie de la nuit. Le peloton, escorté de la longue file des autos gagne Sautron entre deux haies de curieux enthousiastes. Un pâle soleil, au moment de l'envolée, parait entre les nuées orageuses. La rade de Saint-Nazaire et les ouvrages du port se détachent en saisissant relief.
A toutes les fenêtres des coquettes villas, il y a des gens qui regardent, et puis c'est la course acharnée vers Pornichet. La Baule. Le Pouliguen. cù l'affluence est considérable.
Le marais salant traversé, l'inter-
minable colonne monte vers les rem- parts de Guérande. Des cités bal- néaires au modernisme parfois outrancier, on va plonger en plein moyenâge.
Les grandes régates d e Saint-Nazaire
Les grandes régates de SaintNazaire auront lieu, le 2 septembre, à partir de tl heures. Nous donnerons demain en détail les différentes courses
L'embarquement à bord du remorqueur Pornic, mis gracieusement à la disposition de la société pour les personnes invitées à suivre, en mer, les évolutions des yachts, aura lieu à 12 h. 30, quai de Marée.
Vin d'honneur et distribution des prix à la Mairie de Saint-Nazaire, à 21 heures à partir de 22 heures, bal au Grand HôteL
Le parc aux bicyclettes i l'entrée du vélodrome
Pitclit: ci Chariot prennent contact avec les vedettes locales, Max Hall
AUJOURD'HUI
Théâtre Trianon, à 20 h. 45 Cantique d'Amour.
Caméo-Cinéma, à 20 h. 45 Les chercheuses d'or.
Rex, à 21 heures Intermèdes variés. Salle de la Jeunesse, à 20 h. 30 Distribution des prix de l'Ecole de musique.
HEURES DES MAREES
31 août. Pleine mer: matin, 7 h. 34; soir, 20 h. 1; basse mer matin, 2 h. 12; soir, 14 h. 35.
10r septembre. Pleine mer matin, 8 h. 38; soir, 21 h. 31; basse mer matin, 3 h. 1; soir, 15 h. 32.
LE DRAMË'cÔNJUGAL DE LA RUE HENRI-GAUTIER M. Pacaud, commissaire du l"r arrondissement, s'est rendu à deux reprises différentes à l'Institut médicolégal de Saint-Nazaire. En présence des agents de la sûreté Callo et Pinchon, il a examiné minutieusement le cadavre de Samuel Hervouët, dont nous avons conté hier, en détail, l'efirayante fin.
Le corps avait été criblé de cinq oalles. Deux projectiles s'étaient loges dans la tête, sous l'oreille droite, à gauche du ternum, le quatrième a ete retrouvé dans la hanche droite enfin le cinquième a transpercé le bas des reins.
L'autopsie a été pratiquee hier apresmidi, à 15 heures, par M. le docteur Cousin, médecin légiste. On ignore les conclusions du rapport établi par le praticien.
CE QUE DIT LA MEURTRIÈRE M. Pacaud a dû entamer, au sujet du drame sanglant de la rue HenriGautier, une longue procédure qu'il n'a pu achever avant midi.
Un peu après 11 heures, la meurtrière qui, ainsi que nous l'avons annoncé, avait passé la nuit au poste de la rue des Quatre-Vents, a été conduite au Palais de Justice
La pluie tomoait par rafales. M Pacaud prêta son parapluie- à l'agent Callo, afin que Mme Hervouët ne fut point mouillée. La galanterie française ne perd jamais ses droits.
M. le juge d'instruction Lelièvre procéda immediatement à l'interrogatoire de première instance de la meurtrière. A 13 heures, la boulangère était écrouée à la maison d'arrêt.
Dès hier, nous avions indiqué que Mme Hervouët seule avait tiré. Son mari, surpris par la brusque attaque de sa compagne n'avait songé qu'à s'enfuir. La chose a été connrmêe par la meurtrière
Je ne crois pas que mon mari ait tiré, a-t-elle déclaré à M. le commissaire Pacaud
Avant que de sortir pour rejoindre son époux dans la chambre du Cafe du Levant, au coin des rues HenriGautier. à la Dermurie. où devait se terminer cette sanglante tragédie, la femme a marqué une hésitation et s'est ressaisie. C'est donc avec un plein sang-froid qu'elle a précipité le dénouement fatal de la scène, puisqu'aussi bien elle a dit, lors de son interrogatoire
J al compris qu il vaiav mieux le tuer, car par la suite c'est lui qui m'aurait anéantie.
La meurtrière a indiqué également que le chargeur de son pistolet contenait six balles. L'arme de son mari, au contraire, ne portait que quatre projectiles
Mon époux, a-t-elle expliqué, avait tiré deux cartouches la nuit précédente sur un chat qui s'était réfugié dans notre grenier a farine. Il n'avait pas réussi à tuer l'animal.
Au cours de l'après-midi. M. Lelièvre a entendu le père, la mère et le frère de la victime, ainsi que le père I de Léa Mainguy.
L'interrogatoire de la meurtrière aura lieu dans quelques jours. Ajoutons que l'émoi causé par ce drame dans le quartier de la Dermurie et de la route de Nantes n'est pas encore calmé. Les curieux défilent devant la boulangerie dont la glace est encore ornée de deux trous en étoile. GAVY. Nous apprenons que la fête enfantine organisée par la municlpalite de Saint-Nazaire et l'Université Popu- laire aura lieu samedi 1er septembre dans la propriété du Petit-Gavy. Voulez-vous déguster des COQUtLLAGES IIIIÎKKS HALOl RUES fU-
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ATTENTION
AU CERF-VOLANT
L'Energie Electrique de la Basse*Loire, ayant constaté à plusieurs reprises que des fils de cerf-volant étaient pris dans ses lignes de distribution d'énergie électrique, tient à attirer l'attention du public sur la gravité des accidents que peuvent occasionner des jeux d'enfants en apparence innocents et sans danger.
Le court-circuit qui se produit inévitablement sur les lignes haute-tension peut entrainer de graves avaries à l'usine et l'arrêt de la distribution d'énergie électrique dans toute une région les auteurs de ces accidents sont civilement responsables du préjudice ainsi causé et s'exposent à des poursuites judiciaires.
Enfin, nous ne saurions trop insister sur les risques mortels d'électrocution que comportent de tels jeux pour leurs auteurs.
SYNDICATS & SOCIÉTÉS
A L'AMICALE DES RETRAITES DE LA GENDARMERIE
ET DE LA GARDE REPUBLICAINS La réunion de l'Amicale des retraités de la gendarmerie et de la garde republcaine de l'arrondissement de SaintNazaire aura lieu le 2 septembre 1934, à 10 heures du matin, Café Lagrange, place de la Gare. Séance très importante.
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AU PAYS DU SEL
La vieille chapelle de Carheil qui domine le marais salant.
L'industrie salicole en presqu'île guérandaise est préhistorique. César nous apprend qu'antérieurement à la conquête de l'Armorique par ses légions, la république des Vénètes. métropolitaine, manifeste du sud armoricain, trafiquait avec la Grande Bretagne. Dans ce trafic le sel entrait pour une bonne part.
Avant la Révolution de 1789, et sous le régime de la gabelle, la vente et les transports du sel n'étaient pas libres en Fynce. C'étaient les fermiers de l'Etat qui avaient le monopole du trafic. Ces derniers payaient des droits et conduisaient eux-mêmes le sel à leurs frais aux greniers du gouvernement. Ce sel s'imposait tous les ans. Chaque paroisse était tenue d'en prendre la quantité à laquelle elle était imposée. La Bretagne avait le privilège du Franc-Salé, consistant dans la circulation libre et l'exemption de tout droit sur les sels
Sous l'ancienne monarchie, la ville de Nantes était l'entrepôt de la majeure partie du sel que l'on consommait en France. Elle en fournissait annuellement pour cinq cent mille écus d'or. si l'on en croit Loriot et Aubert. députés du commerce de Nantes en 1557. Les paroisses de Guérande, Mesquer. Le PouUguen, Batz, Le Croisic,
cultivaient le sel sur une étendue de 1850 hectares, dans 35.600 œillets. Les paludiers, très riches au temps des franchises bretonnes, furent ruinés par l'abolition des anciens privilèges dont ils jouissaient depuis 1644. Le commerce des ports du Pouliguen et du Croisic consista, de longues années durant, presqu'exclusivement dans l'exploitation des sels bruts et raffinés qu'on transportait jusqu'en Hollande. En 1746. une requête adressée aux Etats de Bretagne afin d'obtenir des travaux d'amélioration au Pouliguen, nous apprend que le port de cette loca30 tonneaux de jauge pour le transport des sels.
En 1816, l'exportation de ces sels s'élevait à 7.600 tonnes, et en 1835 à 9.600 tonnes.
Les mauvais jours vinrent. Ayant à se défendre contre la terrible concurrence des sels de Tunisie et du Abidi, affligés d'autre part, de plusieurs années de pluie, nos paludiers, un moment, voulurent laisser inculte le marais, dans lequel il fallait travailler beaucoup et très durement sans pouvoir gagner son pain. Heureusement, leur cri d'alarme a été entendu. Et la chanson du sel a repris.
Un douanier, de faction, près de sa c urieuse hutte, dans le marais salant.
Commencement d'incendie Un homme est légèrement brûlé Dans la nuit de mercredi à jeudi, vers 23 h. 30, un commencement d'incendie sest déclaré dans les dépendances du chalet « J'y suis, j'y reste v, appartenant a Mme Delavrée. situé avenue de la Gare.
Il a été rapidement éteint par les locataires et les voisins. Malheureusement M. Boulet, représentant de commerce, domicilié à Noyant-La-Gravoyére, qui occupait l'appartement avec sa famille, a eté brûlé assez sérieusement au bras droit en combattant le sinistre.
M. le docteur Deschamps, qui l'a examiné, lui a prescrit trois semaines de repos.
LA VIE MARITIME. Le vapeur Prieur, de l'Union Industrielle et Maritime, est attendu a Saint-Nazaire dans la nuit de samedi à dimanche. Le paquebot Flandre, de la Compagnte Transatlantique, touchera SaintNazaire samedi prochain, avec passagers et marenandises
Sont montes a Naiu.es. à la marée le Kinàia et YAthelstone.
Le pétrolier anglais Brittish Industry est arrive à Donges hier.
DES VIOLENCES Hier soir, vers 19 h. 4b, le nommé Launay Prudent, d0 ans. demeurant place de la Motte, a porté un coup de canne sur la telle de ia jeune Iiélun, H ans. qui est ta fille de sa voisine. L enfant a èlé conduite a l'hôpital, d'eu ap;e^ pansement eue a e:e ramïr.ee chez ses parents La blessure qu'elle a reçue est sans gravite Une -Tiqueté ouverte par le commissariat du 2, arrondissement.
FILS INDIGNE. M Moranct Gajnel. 57 ans, charp-^ier sur bois. 304, rue de Trignac, à M v a porté plainte contre son fils Eugeuc. 26 ans. en chômage depuis trois ans. pour coups et menaces. Le jeune homme aurait injurié et frappe sa mère
Tous les mardis, dit-on. Morand Eugène est ivre, car c'est le jour-là qu'il EPAVES Mme Mahé, impasse rue du Maine, a trouvé une bicyclette "entant.
M Langlais Marcel, S8, rue Albertde-Mjn a trouvé une bicyclette de dame portant une plaque d'identité au nom de J Benoist aux Grands-Champs de Trignac
M. Couraleau Philippe, place de la Motte, a trouvé une bicyclette d'homme avec plaque au nom de Pichon Ernest, à Paris.
M. Pontzaère, !0, rue AristideBr !and a recueilli une chienne de chute.
Une crtte de chômage au nom de
Bellamy Constant portant le n° 3636, a été déposée au commissariat du 2, arrondissement, rue du Dolmen.
M. Moriceau, 83, rue Henri-Gautier a trouvé une ceinture de gabardine. S'adresser au poste de police du 2' arrondissement.
Mlle Rousseau Yvonne, 51, rue de la Trinité, a trouvé une chaussure en caoutchouc.
Le jeune Moreau André, 53, rue Jean-Macé, a trouvé un foulard. On a déposé au bureau des épaves, une clef d'appartement.
COLONIE DE VACANCES DE SAVENAY. Les parents sont informés que les enfants qui séjournent à la colonie de vacances de Savenay depuis le 30 juillet, rentreront à SaintNazaire dimanche 2 septembre par le train de 18 h. 30.
touche son allocation de chômage. La gendarmerie enquête.
ETAT CIVIL
Décès. Allaire Louis, 54 ans. boulevard Gambetta; Le Bouhellec Lucien. 44 ans, boulevard Gambetta.
Convois mortuaires
Hôpital a 9 Heures, M. Brlsson Méan. à 14 heures M. Pelleteur, au Pré-Gras, n 108;
Saint-Marc, à 14 heures M Bertho, à Praslllan.
HERBIGNAC
ETAT CIVIL. Naissance. Léone Dedron. à Louvergnac.
Mariage. Emmanuel Oullseneuf avec Yvonne Aso:y
Promesses de mariage. Albert Da- vld. marchand de chevaux, a Landaul avec Ài^i Maguero. s. p., a la Bonne- Source
Décès François Rousseau, 81 ans. &. Manay -emmr Perraud, 27 an», a Kercerldry.
LA CHAPELLE-DES-MARAIS
L'EMPLOYE INDELICAT. Le nommé Wallet Edmond. 22 ans, manœuvre au service de Mme Bernler. née Trigodet Cécile, 28 ans, commer- çante à la Chapelle-des-Marais. a sub- tilisé dans la chambre de cette der- nière 150 francs. La somme etait composée d'un billet de 100 francs et d'un billet de 50 francs.
Interrogé peu longtemps après son indélicat, a avoué n avait déjà dépensé au café Quillou. 18 fr 70 Le billet de 50 francs qui avait été dissimulé entre une armoire et une cheminée a été découvert par la fillette de Mme Bernier.
Wallet a été arrêté.
SAVENAY
COMICE AGRICOLE. Le Comice agricole du canton de Savenay aura lieu cette année le mercredi 5 septembre, à heures, heure légale.
L'Oueit-tolmtf publie cn*au* loui dn a ANNONCES CLASSXSS «, m–– in*
PRINQUIAU
DES LEGUMES A BON COMPTE. M. Cochard Frédéric, 60 ans, cultivateur au village de la Haie-d'Appée, a constaté qu'un individu avait soustrait dans son champ, au Pont-deMélo, sur la route de Saint-Roch à Bessin, une certaine quantité de rutabagas et de carottes.
L'auteur du méfait a pu être découvert. Il s'agit de Moisan Maxime, âgé de 33 ans. cultivateur au Pas-de-Lauiie. Ce dernier a dédommagé la victime. PONTCHATEAU
ACCIDENT D'AUTO. Hier, dans la soirée, un accidant d'automobile qui aurait pu avoir de graves conséquences s'est produit aux environs de Pontchateau. M. le. docteur Griffon, de Vannes et quelques amis qui se trouvaient dans la voiture n'ont été fort heureusement que très légèrement blessés. L'automobile est dans un piteux état.
SAINT-JOACHIM
CONSEIL MUNICIPAL Le Conseil municipal de St-Joachim s'est réuni sous la présidence de M. Joseph Aoustin, maire.
Etaient présents MM. Louis Corbillé, Bénoni Valtier, Victor Moyon, Joseph Moyon, Henri Philippe, Clovis Desmars, Julien Legoff, Pierre Aoustin, Joseph Moyon, Pierre Halgand, Alexis Moyon, Joseph Fouré, Pierre Leroux, Emllien Vince.
M. Emilien Vince a été nommé secrétaire de séance.
L'incendie de la rue Brisiais. –? Sur la proposition du maire, le Conseil municipal adresse ses remerciements aux chômeurs et à toutes les personnes qui ont apporté leur concours lors de l'incendie du marais de la Rinais. Grâce à leur dévouement, ce sinistre, qui aurait pu être grave, a été rapidement circonscrit.
Bdtimtnts communaua. Les tra-
vaux divers concernant les écoles se- ront entrepris incessamment. Le Con- seil a pris connaissance du devis des réparations à effectuer dans ces écoles. Commission de chômage. M. Pierre Hagand est désigné pour remplacer M. Emilien Vince à la commission de chômage.
Listes Electoralea consulaires. MM. D. Bouilland et J. LegoB assisteront le maire lors de la revision des listes électorales de la Chambre et du Tribunal de Commerce.
Location de la salle de ïa mairie. La location de la salle de la Mairie pour les ventes conduites par les officiers ministériels est fixée à 20 francs. Foires de Saint-Mol]. Avis favorable est donné à la suppression des foires existant actuellement à Saint-Molf et à leur remplacement par les foires ci-après
Le troisième lundi de janvier le dernier lundi de février le premier lundi d'avril le lundi précédent le jour de Noël.
AU SYNDICAT DES MARAIS DE DONGES. Le receveur des Marais de Donges se trouvera à la mairie de Saint-Joachim le jeudi 6 septembre prochain, pour la perception des contributions syndicales.
LE PRIX DU PAIN. Pain de 3 kilos, 5 fr. 55 pain de 1 kilo 500, 2 fr. 95 pain dit de 1 kilo, 2 fr. 15 pain dit de 500 grammes, 1 fr. 15 coupé dans le pain de 3 kilos, les 1.500 grammes, 2 fr. 80 le kilo, 1 fr. 85 les 500 grammes, 0 fr. 95 coupé dans le pain de 1 kilo 500, le kilo, 2 fr. 15 les 750 grammes. 1 fr. 05 les 500 grammes, 1 fr. 15 prix du kilo de farine, 2 fr. 80. ETAT CIVIL Mariages. Victor Bertho, soudeur, aux Levées-Omès, no 400, et Marie, Henriette Vince. s. p., au Louy, n° 9; Alphonse Aoustin, charpentier, à Ménac. n° 146, et Emma Lelaut, s. p., au bourg n- 116. Décès. Marie Moyon, épouse Maha, 66 ans, à Mazin, n- 40.
SUR LA COTE
PORNICHET
UN CANOT DISPARAii. M. Jules Grillet, 55 ans, propriétaire à La Baule-les-Pins, avait laissré sa plate montée sur un charriot, à l'extrémité de la plage de Pornichet Ne la retrouvant pas, il se mit à sa recherche sans succès. Le charriot a été découvert par M. Lachiche, établissement de bains Bellevue le canot est resté invisible. Il a été estimé 300 fr., et porte les indications suivantes T. C. 1235 S. L. LES JEUNES GENS S'AMUSENT. A la villa Bols-Colombes, des jeunes gens ont cassé des carreaux et se sont introduits dans l'intérieur du local. Avant de repartir, ces noctambules ont disposé dans le couloir de l'immeuble une batterie de cuisine et aligné toutes les bouteilles qu'ils avaient auparavant vidées.
Les gendarmes enquêtent. On ne croit pas avoir affaire à des cambrioleurs, mais à des fêtards.
ACTE DE PROBITE. Une montre en or, estimée 1.500 francs, a été trouvée par M. Bouteau, employé chez M- Corbé, au restaurant de l'Univers. Nos félicitations à M. Bouteau pour son bel acte de probité.
EPREUVES DE NATATION. Des épreuves de natation se sont déroulées en face les Etablissements Neptune et des Evens. Elles étaient organisées par MM. Lachiche frères et Auguste Le Yaoueng, professeurs de natation et d'éducation physique.
En voici les résultats
1° 25 metres (scolaires). Jacqueline Morrellec, André Rochard, Christiane Ferron, Jacqueline Mathis, Marie-Antomette Reveillant.
2° 50 mètres (scolaires). Jacqueline Maulick, Jeanne Nollet, Geneviève Clairouin, Jean Lamoureux, Yves Pineau, Marie-Ange Debertrand, André Guichard.
3° 100 mètres (scolaires). Jacques Favresse. Marie-Thérèse Dugué, Paulette Baudot. Michel Redon, Jacqueline Gaillet, Jean Gorgeon, Marie-lherèse Carton, Jean Nicolas.
4" 500 mètres (demi-fond). Michel Goguet, Nicole Michas, André Coefffc, Israel Yvon.
5° 1.000 mètres (fond). Emile Dugué, Pierre Amineau, Gertrude Cocard, Lioubomin Pechitch. Jean Ferron, Jacqueline de la Hamayde. Pour la délivrance des diplômes et médailles, on est prié de s'adresser à M. Maurice Lachiche, professeur d'éducation physique, aux bains Bellevue, en face l'Hôtel Mazy-Plage.
LES FETES SPORTIVES. En raison de la pluie qui a sévi hier matin malencontreusement, les épreuves cyclistes et pédestres dotées par l'OueatEclair n'ont pu se dérouler. Elles auront lieu aujourd'hui vendredi 31 août à 16 heures, en face les bains Pierreville père. avenue de la Mer. Les engagements s'effectueront sur place, avant les courses.
La distribution des prix se fera aussitôt après les épreuves aux bains PierreviUe.
AU CASINO DE PORNICHET. Voici le programme des attractions des prochains jours, au Casino de Pornichet Au cinéma, du 31 août au 6 septembre inclus Une journée au Bois (documentaire) Le seul bandit du village (attraction) Laissez faire le temps (comédie) Rien que des Mensonges, avec Marguerite Moreno Uatetots, avec Do j Dispatte et Patachon et Direct au Cœur, avec Pierre Juvenet. Au Dancing, samedi, 1" septembre bal-tombola mercredi 5 septembre Gala Bacchus danses-surprises concours du buveur le plus rapide jeudi 6 septembre, à 15 h. 30 bal d'enfants. UNE CONFERENCE. Mercredi soir, à 21 heures, à la salle Jeanne d'Arc, Mme Lucie Torré, de Paris, a fait une conférence sur Louise de Bet- tignies. sa vie et sa mission héroïque pendant la grande guerre. Cette conférence. accompagnée de projections lumineuses, fut d'autant plus intéres- sante que Mme Torré a passé toute la guerre en pays occupé, et qu'elle a très bien connu l'héroïne.
AU SELECT.CINEMA. Au Select Cinéma, du vendredi 31 août au lundi 3 septembre inclus, deux grands finis par séance Toto, avec Albert Préjean et Artane, jeune Jille russe, avec Gaby Morlay et Francen.
Puis, les 4, 5 et 6 septembre J>J«in •tu Ai, avec Tramai,
AU CINEMA JEANNE D'ARC. Au Cinéma Jeanne d'Arc ,du vendredi 31 au lundi 3 septembre inclus, le très beau film L'Amour commande, en première partie les actualités et les attractions habituelles.
NOUVELLES RELIGIEUSES. La fête patronale de N.-D. des Dunes, sera célébrée à Pornichet le dimanche 9 septembre. Elle sera précédée d'un Triduum qui aura lieu les 6, 7 et 8 septembre, à 18 heures.
Le 9 septembre, une procession sera organisée et on bénira un petit monument à la Vierge, qui sera dressé du côté de la place de l'Europe. Cette procession sortira de l'église dans l'aprèsmidi. vraisemblablement à l'issue des vêpres.
Nous reviendrons, d'ailleurs sur cette belle fête patronale.
LE CROISIC
LES REGATES DU SPORT NAUTIQUE DE L'OUEST. Nous publions ci-dessous le résultat des régates organisées par le sport nautique de l'Ouest et qui se sont courues lundi en baie du Croisic.
Première course Série Handicap National 8 mètres Premier Armen, à M. Derilles 2. Coq Gaulois, barré par M. Lebec 3. Butty à M. Guillet 4 Nicko barré par M. Thubé; 5. Gwallau à M. Meller 6. Lethé à M. Trellu, Deuxième course Handicap National 1. Saint-Louis à M. Perraud 2. Violetta à M. Robin 3. Leilah (Bougouin) 4. Bellem à M. Fleuriot. LA BAULE
Septembre à La Baule Mme André, dont l'activité est inlassable, et qui, tout au long de la saison, cherche à occuper et à distraire les villégiateurs afin de les retenir sur notre côte d'Amour, a mis sur pied, pour septembre, tout un programme de fêtes et de concours bien faits pour plaire à la clientèle bauloise.
Le 1", dans le Hall du Casino, le grand gala de la Couture plus tard, le Weeck End des vedettes du théâtre et du cinéma, des soirées, des bals, pour l'automobile, l'aviation, le concours hippique. Le gala d'adieu d'Harry Pucer. Comment résister au mouvent donné par une telle animatrice. Ce sont les Vieux du Volant qui viennent tenir leur congrès à La Baule les 1 et 2 septembre c'est, le 4, un gymkana automobile, au Tennis-Club les 5 et 6, le Concours Hippique les 8 et 9. le Rallye-Aviation les 15 et 16, le Rallye du Soleil.
Avec les beaux jours en perspective, nul doute que de nombreux visiteurs se donneront rendez-vous sur nos plages et tiendront à participer à ces fêtes, à ces réunions sportives et mondaines.
La clientèle, particulièrement brillante qui a séjourné cette année, est un sur garant de la juste renommée que nos plages se sont acquises par les efforts combinés de tous, mais, en particulier, de M. et Mme André qui dépensent et se dépensent, sans compter. Les beautés européennes à La Baule
Européennes, accompagnées par M de Waleffe, sont les hôtes de Mme André, à l'Hermitage. Le 28 août, un grand dîner de gala en leur honneur eut lieu aux Ambassadeurs. Le 29 à midi, à Ker Causette, Harry Pilcer. le gai chef du protocole et grand introducteur des reines de beauté, présenta ces chatmantes jeunes filles parmi lesquelles se détachent plus particulièrement, Mlle Belgique, Mlle Finlande, extrêmement distinguée. Mlle France et enfin Mlle Russie.
Un grain vint troubler la fête Il fallut se transporter au Hall du Casino où eurent lieu une nouvelle présentation et le tirage d'une tombolasurprise où, chacune des beautés élues actionna les roues à numéro. La reine de La Baule fut Invitée à prendre pla- ce à côté des beautés Européennes. Ce fut charmant, tous les assistants s'amusèrent beaucoup et l'on se se- para à 13 h. J0, se donnant rendez- j vous A aa heure* pour le grand gala.
LE RALLYE AÉRIEN DE LA COTE D'AMOUR Nous avons annoncé que le Rallye- Aérien de la Côte d'Amour au.a a lieu les 8, 9 et 10 septembre prochain. Cette grande manifestation est organisée par l'Aéro-C:ub de l'Atlantique, section de la presqu'île guérandaise, sous le code sportif de la Fédération Aéronautique Internationale et les rè- glements ce la Qommi.-sion sportive de l'Aéro-Club de France, avec le conejurs des municipalités de La Bau.e, de Pornichet et du Pouliguen, de la direction du casino de La Baule, de la Société Générale Foncière de La Baule-lesPins, de l'Association des Propriétaires du Pouliguen et de notre confrère, le journal Le Matin.
Le Comité d'honneur comprend M. le comte de Montaigu, député M. le comte de Lapeyrouse, conseiller général, maire de La Baule M. Bertoye, maire de Pornichet M. Touchard, maire du Pouliguen M. Métrai, sous.' chef de cabinet du ministre de l'Air Mme la marquise de Noailles, présidente de la section féminine de l'AéroClub de France M. Paquet, directeur des Chantiers et Ateliers de la Loire M. Ary Jean, président de l'Aéro-Club des Côtes-du-Nord M. Gasnier du Fresne, président de l'Aéro-Club de l'Ouest M. Rampillon du Maguil, président de l'Aéro-Club de Cholet M. le comte de Toulouse-Lautrec, président de l'Aéro-Club d'Ille-et-Vilaine. Le Comité d'organisation est constitué de la façon suivante M. René Bazin, président de la section guérandaise de l'Aéro-Club de l'Atlantique M. le docteur René Dubois. vice-président M. Pierre Gasson secrétaire M. Bernard Lecuyer, trésorier MM. Jacques d'André. Marius Auviaux. Roger Bernheim, Pierre Caucanas. Marcel Daujean, Jean Gommy. Emile Huchet, Georges Koenig. Francis Le Gouic. Joseph. Mercier. Paul Minot, Jacques Pavie, Marcel Poupinot, Marcel Rigaud, Alain Rubeaux, Georges Tienne, Jean Vincent, membres du Conseil d'administration.
Voici le programme du Rallye 8 septembre. De 16 à 18 heures Arrivée des concurrents.
19 heures au casino de Pornichet, apéritif offert par la municipalité. 20 h. 30 dîner aux Trois-Faisans, chez Macouchot de Dijon.
9 septembre. 10 heures Rallye, comportant deux épreuves obligatoires: 1° golf aérien 20 rallye clochers. 13 heures déjeuner officiel à l'Her.mitage-Hôtel.
15 h. 30 au casino, lecture du palmarès et distribution des prix. 19 heures apéritif offert par la municipalité du Pouliguen.
20 heures diner libre.
21 h. 30: au casino, bal de l'Aviation. 10 septembre. 10 heures départ pour l'aérodrome de Cesson (SaintBrieuc), en bordure de la mer, où l'Aéro-Club des Côtes-du-Nord organise un concours d'atterrissage, doté de nombreux prix et suivi d'un piquenique.
LES CONCOURS DE KER CAUSE=. Le concours des grains de beauté s'est déroulé à Ker Causette, le dimanche 26 août, avec succès. Le jury était composé de Mme Mary Costes; Mlle Hélène Boucher, la femme « la plus vite du monde »; Mlle Mary Shilson, Mme Vallée, M. Roland Dreyfus, M. Midlarsky, M. Moirinat, M. Pierre Berlioz.
Parmi les concurrentes, ont été remarquées Mlles Cats, Allain, Vézien de Ribaucourt.
Mardi 28, le concours du plus joli nez a réuni de nombreuses et jolies concurrentes.
Des nez divers, mais tous charmants, ont affronté le jury composé de MM. Georges Pioch, Léo Poldès, du Club du Faubourg; Mmes Léo Poldès et Vallée. 1er prix d'honneur, Mlle S. Vermeuleni; premiers prix ex-eequo. Mlle Cats, Mme Finaz: deuxièmes prix ex-eequo, Mme Kustenar, Mlles Grégoire et Reynaert troisièmes prix ex-aequo, Mlle Brocand, 1/tme Delaunay, etc.
UN PAUVRE HfeRE. La gendarmerie de La Baule a arrêté, pour défaut de carnet anthropométrique, Arriel Louis, 62 ans, sans domicile, manœuvre, sans travail.
LE POUUGUEN
UNION SYNDICALE DES RETRAITES CIVILS ET MILITAIRES. Réunion le dimanche 2 septembre, à 15 heures, Mairie du Croisic. Examen de la situation décrets-lois appel à tous, fonctionnaires et retraités. GRAVE RIXE. A bord du bateau de pêche Abri-du-Marin, inscrit à Auray no 953, une querelle a éclaté entre deux matelots, au cours de laquelle l'un d'eux s'arma d'un couteau et en porta cinq coups à la jambe de son antagoniste, lui faisant, en particulier, une large et profonde blessure à un centimètre de l'artère fémorale. UNE BRADERIE. Il est question d'organiser une fête commerciale ou braderie sur la promenade du Pouliguen.
Tout le monde applaudit; mais pourquoi localiser cette braderie exclusivement à la promenade, lorsque nous savons de source sûre que tous les commerçants du Pouliguen sont bradeurs et ne demandent qu'à bradeur. Et nous ne voyons pas pourquoi les commerçants qui n'ont pas le privilège d'être sur la promenade seraient exclus de cette fête.
Nous espérons nue les organisateurs reviendront sur leur première idée, dans l'intérêt de tous.
CONFÉRENCE. Une conférence sur les peintures du Musée de Chàteaubriant sera faite samedi soir à 20 h. 30, par M. Mahé. artiste peintre à Rennes
Cette conférence sera diffusée par le poste de T. S. F. Radio-Rennes. DISPENSAIRE D'HYGIÈNE Pour le mois de septembre, les séances sont figées aux Jeudis 6 et 20 septembre, à 14 heures et au mercredi 12 septembre, à 9 h. 30 et 14 heures. RENVERSÉE PAR UNE AUTO, En retournant du marché de Châteaubriant, mercredi dans l'après-midi, Mlle Amprou, demeurant à la Gélinais, fut heurtée par l'aile droite d'une auto sous le pont de Chécheux.
Légèrement blessée aux bras et à la tête, Mlle Amprou a reçu les soins du docteur Néret. Que l'automobiliste. M. Proustin, voyageur de commerce Tour*, «'empressa d'aller chercher.
DEBVAL
LE BUREAU D'ENREGISTREMhNT EST SUPPRIMÉ. Par décret du 14 juin 1934, le bureau de l'Enregistrement de Derval a été supprimé et rattaché au bureau de Nozay, à compter du 6 septembre 1934.
LE PRIX DU PAIN. De nombreuses réclamations ayant été faites à la Mairie de Derval contre le prix abusif du pain à Derval, M. le Maire faisait publier xendredi 24 août, aprèsmidi, qu'à partir du 27 courant le pain serait vendu le même prix qu'à Nozay, Guémené, Jans, etc. et fixait le prix de vente de cette denrée. Les Dervalais, qui payaient le pain de 3 livres 6 sous plus cher qu'à Jans et à Nozay, le pain de 6 livres 0 fr. 70 de plus que dans les communes voisines, attendaient impatiemment le 27 pour aller chercher cette denrée de toute première nécessité et la payer enfin un prix normal, puisqu'il est pratiqué par des boulangers qui, au prix actuel de la farine, gagnent largement leur vie. Leur déception fut grande, car les boulangers de Derval continuaient leurs prix de vente abusifs, disant qu'ils n'accepteraient nullement la décision de M. le Maire.
Que fera ce dernier ? L'infracton & son arrêté et publication est flairant Il est temps que ce scandale finisse. Nul n'ignore que le pain est de toute nécessité, et la base de nourriture des travailleurs et des malheureux.
SUPPRESSION D E L'ENREGISTREMENT. Par décret le bureau d'Enregistrement de Derval est supprimé et rattaché à celui de Nozay, à compter du 6 septembre prochain. HÉRIC
RÉUNION DES CONTRIBUABLES. On nous prie d'insérer
Une grande réunion aura lieu dimanche prochain 2 septembre au café hôtel Dibon, à 9 h. 30 (heure légale), dans le but d'installer une Section de défense des contribuables comme déjà fait dans bon nombre d'autres communes du département. M, Marius Jullian, secrétaire général de la Fédération départementale des contribuables de la Loire-Inférieure et membre du Comité directeur de la Fédération Nationale, développera le programme du mouvement contribuable en France D. Tous les contribuables de Héric et des communes voisines se doivent d'assister à cette réunion.
LA CHAPELLE-GLAIN
MORT SUBITE. Le 28 courant* dans la matinée, M. Gautier Pierre, 72 ans, cultivateur à la Boucaudière. a été trouvé mort dans un chemin, è une centaine de mètres de son domicile.
Le décès constaté par un docteur, est dû à une maladie de cœur.
Le permis d'inhumer a été délivré. ROUGE
VOL DE POISSONS. M. Guthé. neur Joseph, 56 ans, propriétaire au bourg de Rougé, a déposé une plainte pour vol de poissons commis dans sa carrière sise au bois de Saint-Joseph. Cette carrière dans laquelle se trouvait du poisson, a été dynamitée dans la nuit du 25 au 26 courant. Tous les gros poissons ont été enlevés et les petits sont restés crevés à la surface. De plus, l'eau est contaminée, ce qui va causer un gros préjudice aux fermiers des environs qui venaient s'aUmenter en eau à cette carrière.
M. Guihéneur estime le préjudios qui lui est causé à 200 francs. t, Enquête de la gendarmerie.
CHASSEUR PINCE. Procès-verbal pour chasse en temps prohibé a été dressé contre M. Perrin Pierre, 59 ans, cultivateur à la Géraudais, qui a été surpris par le garde de la forêt de Teillay au moment où il était à l'affût en bordure de la forêt le 27 courant vers 20 h. 10.
JUSTICE DE PAIX. M. Bourdai» Louis a été nommé suppléant du juge de paix de Rougé, en remplacement de M. Chaplais.
VAy en Châteaubriant
SAINT-VINCENT-DES-LANDES
DES COUPS. M. Malgonne Louis, 49 ans, cultivateur au Jarrier, a déposé une plainte pour coups et blessures contre les frères Duhil Jean, 19 ans, et Duhil Joseph, 25 ans, tous deux manœuvres au même lieu.
M. Malgonne qui s'est fait remettre un certificat médical, déclare que daM la soirée du 26 courant, les frères Duhil lui ont porté des coups sans provocation de sa part.
Après cette scène, les frères Duhil se rendirent à la Madeleine, hameau situé à un kilomètre du Jarrier. Là, ils rencontrèrent le fils Malgonne Louis, 20 ans, cultivateur chez ses parents, qui leur reprocha d'avoir battu son père. Des coups furent alors échangés, et une véritable bataille s'engagea, à laquelle furent mêlés plusieurs jeunes gens, dont Bouché Ferdinand, 24 ans, maréchal ferrant Bourdeau Francis, 27 ans, cultivateur; Bonnier Raymond, 18 ans, maréchal ferrant, au Poteau; et Laloué Albert, 20 ans. cultivateur.
Sur la plainte de Duhil contre Malgonne fils, la gendarmerie a ouvert une enquête.
NORT-SUR-ERDRE
POUR UNE TOURTERELLE. Le 27 courant, vers 20 heures, M. Charron André, 23 ans, chauffeur d'auto à la Pancarte, a tlré un coup de fusil sur une tourterelle qui se trouvait dans un pommier.
Procès-verbal pour chasse en temps prohibé a été dressé contre le délinquant. VAY OBJET TROUVÉ. Une roue do secours d'auto, marque Michelin, a «r.e trouvée sur la route de Nozay. Ir réclamer chez M Lebreton. à l'Etriché en Vay.
AUJOURD'HUI
Service médical et pnarmaceutlque de nuit s'adresser au commissariat cen.tral.
20 h. 30 cinéma aux Variétés.
Cotes de la Loire Saumur. 18. 16. 029? Ponts-de-Cé. 003, 002. 005. 010: Mont. jejan. -018. -020. -020, –015a étale à Tours.
Cote de la Maine o m
RENSEIGNEMENTS MIU'l A TRES
Recrutement, sursis a'incorporattm», •èform». pensions, «t<v. 8'iHlrvsaei a. Ram us Outst-Eclair, Renne% Joln jre t te. en Umbres-poiM wur 1» répninx
Flotte
Se dirigent vers
Brest, le 29 Remiremont.
Alexandrie, le 29, Diana.
Le Pirée et Bizerte. le 29, Vimy. Nagasaki, le 28. Primaupuet,
Arrivés
Brest, le 29. Jeanne-et-Genetiève. Palma de Majorque. le 30. Chas»ei*r-3.
Casablanca le 29. Patiente.
Batoum, le 29, Var.
L'aviso Ypres a appareillé de Beyrouth le 28, à destination de Bizerte. Le croiseur Primauguet a quitté le 38 Tsing-Tao à destination de Nagasaki.
Ckeksoum. 30 août. Les soue-marins Psyché. Eurydice et Anuuone. ̃ont sortis pour exercices.
CONSEIL DES PRISE$
M le commissaire général de 1" duse Nloodème. inspecteur général de l'intendance maritlme, est nommé membre du Conseil des prises, en remplacement de M. le commissaire général de 1" classe Charet, passé dans la 2' section de réserve du cadre des officier» généraux de l'armée de mer.
NOMINATIONS
Enseignes de vaisseau
Ont été nommés au grade d'enseigne de vaisseau de 2' classe pour prendre ranp du 1» octobre 1934. les élèves de l'Ecole Polytechnique dont l:s noms suivent
Fay, Bleoul, Maumejean, (le commissaire général de 2- classe de la marine Bulssow par anticipation dans la 2* section réserve).
DESIGNATION
Agent technique des C. N.
M. Marlottl, agent technique principal de 2* claase des constructions navales en service au service de la surveillance des travaux confiés à l'industrie i circonscription de la SeyneK a été désigné pour continuer ses services au port de Toulon. La date de mise en route de cet agent technique sera axée par le chef du service de la surveillance. RESERVE
Commissaire général
M le Commissaire général de 21 classe de la marine Buisson, est placé d'office et par anticipation dans la 2> section (réserve i.
ANNULATION DE DESIGNATION Agent technique des C. N.
La décision désignant l'agent technique de 3. classe des constructions navales Jéaéquel. du port de Brest. pour continuer ses services à l'usenal de Saigon, a été annulée.
DEMISSION
Ingénieur du renie maritime
A été acceptée pour compter du 1F« Juillet 1934. la démission de son grade offerte par M. Rouchet. Ingénieur de 2' classe du génie maritime.
Cet officier a été nommé à la même date avec son grade dans la réserve de l'armée de mer.
RETRAITES
A;ent technique des C. N.
Est admts 'aire vaU.ii ses droits a la retraite, à titre d'ancienneté de seiviees et sur sa demande, pour compter du 1" septembre 1934
M. Brlchet, agent technique de 1" claase des constructions navales du port de Cherbourg.
DÉSIGNATIONS
POUR LES ÉCOLES
Ecole des officiers brevetes a aeronautique. Sont admis a i'ecole des officiers brevetés d'aéronautique M. le le lieutenant de vaisseau Glal«ot.
Les enseignes de vaisseau de 1" clasMM. Colas des Francs; Chavane; Ecbinard; Launay: Hacard Pontchardier Normand, Hervé; de Vitton de Peyruls; Ziegler; Tuai; Roux; Guezennec Costey: Menne; Lucas.
Les enseignes de vaisseau de 2* classe MM. Rlsler; Thabaud: Chatel: Delmas; Le Blanc: Fromheim. Faure; Billioque: Lassalle: Casse.
Ces officiers se présenteront le 1- octobre, A neuf heures, au général commandant l'école militaire et d'application de l'armée de -l'air à Versailles: us seront administrés par l'E. G. A. M. d'Orly.
Courriers à poster
Les dates de postage indiquées ci.après. sont celles auxquelles les lettres doivent être mises a lu poste, au plus tato pour pouvoir bénéficier d courrier* en partance, mais Il y a toujours lieu, sauf pour les postes a terre, de porter sur I enveloppf via Pans-Etranger
Pour se croiseur Primauguet, les lorcet navales d'Extrême-Orient, la arine en Indochine la Cochlnchlne. le Tonkin poster le b beptembre. pour départ du paquebot Porthos. de Marseille le 7 îarrivée a Saigon Le 2 octoorei 'er également le s septembre, pour le dépars du paquebot Radjputana, de Marseille le 7 arrivée Hong-Kong le 3 octobre et a Shanghai le 71.
Pour les avisos Ville d'Yê et d'Entreaasteaux. poster via New-York et HallTax Je 3 septembre pour départ du paquebot La Fayttte. du Havre le i (arrivée a New-York le 12
Pour Nouméa. Papeete la station navale du Pacifique la Marine en c éanle, poster via New- York et San Francisco. vo:e par laquelle les courriers parviennent en 25 Jours. En conséquence, poster le 3. pour départ du paquebot La fayette, du Havre le 6 (arrivée & NewYork le 121.
Pour Dakar et la marine en '.trtque Occidentale, poster le 3 pour départ c:u paquebot AnJn, de Marseille le 6 sepSombre (arrivée à Dakar le 13 sept. Pour Casablanca et la marine au :.laror. poster le 2. pour départ du paquebot Marrakech, de Bordeaux le 4 <arri- ▼ée Casablanca le 7i.
Pour Beyrouth et la division navale du Levant poster le 6 septembre pour départ du paquebot 'tariette Pacha, de Marseille le 7 (arrivée Beyrouth le 1« septembre).
CmrrieT* mttendas
Courriers provenait du croiseur Pritoouguet, des forces navales d'ExtrêmeOrlenl, de la marlnr en Inde-Chine, et du Tonkln à Marsetlle. aujourd'hui Jeudl 30 août, par le paquebot ChenonQWHTisfl provenant de Moumsa, Pa-
peete, la station navale du Pacifique, la marine en Océanle, via New-York et San-Franclsco; des avisos Vtlle d'Ys et d Entrecasteaux, via Halifax et NewYork, au Havre le 2 septembre, par le paquebot La et le 5 par le paquebot Paris.
Courriers provenant de Fort-de-France et de la marine aux Antilles, à SalntNazaire. le 1er septembre, par le paquebot Flandre.
Courriers provenant de Diego-Suarez et de la station navale de l'Océan Indlen, a Marseille demain vendredi 31 août, par le paquebot Leconte de l'isle. Courriers provenant de Dakar et de la marine en Afrique Occidentale, à Marseille, aujourd'hui jeudi 30 août, p.ir le paquebot An/a et à Bordeaux le l«r sept., par le paquebot Kerguelen. Courriers provenant de Casablanca et la marine au Maroc. à Bordeaux le 1" septembre,. par le paquebot Meknès. Courriers provenant de Beyrouth et de la division navale du Levant, à Marseille le 7 septembre, par le paquebot Providence.
Courriers aériens
Lignes d'Alger et du Maroc. Départs quotidiens.
Ligne de Tunis. Départs tous les jours, sauf le dimanche.
Lipne de l'Afrique Occidentale. Dépar, de Marseille le dimanche a 3 :1. 30, poster le samedi matin à Paris le vendredi dans les départements; ce courrier arrive & Dakar le lundi. Les courriers aériens provenant de Dakar arrivent a Marseille le samedi
Ligne de Beyrouth et saïgon. Départ de Marseille le jeudi à 4 h. 45, poster le me/credi matin à Paris et le mardi dans les départements; ce courrier touche à Beyrouth le vendredi et arrive à Saïpon le mercredi suivant. Les courriers aériens provenant de Saigon et Beyrouth arrivent à Marseille le lundi.
Nouvelles diverses LA FLOTTILLE FRANÇAISE
D'AVISOS QUITTE ANVERS
Anvers, 30 août. Les trois avlsos au la marine militaire française venus en visite au port d'Anvers, ont quitté celui-ci aujourd'hui, se rendant à Brest où Ils arriveront demain soir.
MARINES ÉTRANGÈRES
LE PREMIER NAVIRE
COMMERCIAL AUTRICHIEN
Rome du août. On apprend Que ie I premier navire commercial autrichien 1 nisse son pavillon dane ie pon a Ancone hier. Il s'agit d'un ancien paquebot yougoslave qui a été acheté par une compagnie autrichienne et qui, en exécution des accords îtalo-austro-hongrois. aura sa oase dans le port franc de Trieste.
Ce navire, qui sera ainsi le premier de la flotte autrichienne, a pris le nom de Wien.
AVIS AUX NAVIGATEURS
MISSION HYDROGRAPHIQUE
DU COTENTIN a GASTON RIVIER i La mission hydrographique du Cotentin Gaston Rivier effectuera, pendant le mois de septembre. des dragages hydrographiques dans les zones suivantes 1" Au large de la ligne joignant les bouées des Pierres Noires et des Equets, entre les méridiens du Clocher des Maupertus et du phare de Barfieur; 2° Au large de la côte entre le méridien de la Tourelle du Ras de Bannes et du parallèle du Clocher de Vauvllle. Les zones Indiquées ci-dessus devront être libres de tous <ngms de pêche icasiers. filets. lignes de fond).
Aucune réclamation ne sera prise en considération pour les engins de pêche perdus ou détériorés.
Aucun bâtiment ne devra mouiller dans les zoues interdites.
La drague longue d'environ 4.^00 mètrés est tendue entre deux remorqueur pouvant des boulets d'incapacité de manœuvre.
Elle est soutenue par des flotteurs peints en noir. blanc et rouge.
Les extrémités sont supportées par deux bouées peintes en blanc.
Les bâtiments peuvent, en naviguant avec précaution, passer entre les flotteurs, mais ils ne doivent, en aucun cas, chercher à passer entre le remorqueur et la bouée blanche voisin qui se trouve à 500 roétrea environ. Ils doivent, dans tous les cas. obéir aux ordres des bâtiments de surveillance.
Paquebots et vapeur* longs-courriers
ALGERIAN arrivé le 30 à Dunkerque, venant de Londres.
ALSIA parti de Marseille le 29 pour Bang&ok.
ANFA arrivé à Marseille le 30, venant de Dakar.
ARA6Y parti de Dunkerque le 30 pour Londres.
ARETURUS signalé à Gibraltar le 28. de provenance inconnue.
AUSSA parti de Marseille le 29 pour la Nouvelle-Orléans.
b AH RAM arrivé à Suez le 29, venant d'Abadan.
BASSE-TERRE signalé & Niton le 30, allant de Basse-Terre a Rouen.
BRISEiS signalé a Gibraltar le 28, allant de Barry à Boue.
CAP-ORTEGAL arrivé a La RochellePallice le 29, de Saïgon.
CARIMARE touché Vlgo le 29. allant de Saint-Nazaire a Polnte-a-Pltre. CHENONCEAUX arrivé a Marseille le 30. de KoDé.
CHAMPLAIN parti de Québec le 29 pour New-York
CHANTILLY arrivé Tamatave le 28. ailant Marseille.
CLEMENCE;AU arrivé à Bordeaux le 30, venant de Port-Arthur
COLOMBIE arrivé au Havre le 30, de croisière.
D'ENTRECASTEAUX arrivé à Suez la 29. venant de Haiphong.
EDITH parti de Basse-Terre le 29. EXPLORATEUR-GRAN DIDIER arrivé à Tamatave le 29, allant à Maurice. FORMOSE parti de Santos le 30. GLBVGARRY parti d'Oran le 29, 1 pour Rotterdam.
HAVENSTEIS parti de Dunkerque le 30. pour Fleslngue.
/LE-DE-FRANCE parti de Plymouth le 29. pour New-York.
JEAN-LABORDE parti de Marseille le 29. pour la Réunion.
KAIROUAN touché Dakar le 28, de provenance Inconnue.
KAHOULIMA parti de Bordeaux le 30, pour Dakar.
KOUANG-SI parti d'Anvers le 29. pour Shanghai.
UIDA parti d" Nantes le 30. pour Dakar via Bordeaux.
LECONTE-DE-LISLE attendu à Marxllle venant de Maurice.
LIBE&TY parti de Dunkerque le 30, pour Le Havre.
MALDA arrivé à Tanger le 30, venant de Londres.
MEGARA arrivé à Bordeaux le 30, venant de Port-Arthur.
MONTCHARE touché Cherbourg le 30, allant de Southampton a Québec. NARHUNDE attendu à Marseille venant de Brisbane.
NEW-YORK touché Cherbourg le 30 allant de New-York à Southompton. OREGON arrivé à Rotterdam le 30. PATROCLUS attendu à Marseille venant de Yokohama.
PAULINE arrivé à Bône le 29, venant de Gdynla.
POITIERS arrivé à Dakar le 28, venant de Dunkerque.
RANDI arrivé à Bordeaux le 30, venant de Casablanca.
RAVNEDAL parti de Bordeaux le 30, pour Port-Lyautey.
SAN-PEDRO arrivé à Anvers le 30. SCHIAFFHVO signalé Gibraltar le 28, provenance Inconnue.
STRABON arrivé à Dunkerque le 30, de Buénos-Ayres.
TOMBOUCTOU passé a Gibraltar le 29, pour Marseille
VILLE DE ROUÉN parti d'Alger le 30, pour Madagascar, via Marseille. W1NNIPEG parti de Los-Angelês le 29.
WYOM1NG arrivé à Balboa le 29, venant de Vancouver.
Navires diverê
Signalés par T. S. F. le 30 août A OUESSANT-RADIO
Marie-Hélène. Mitidja, Normand, Penerf, Roxane, Marguerite-Finaly, Flandre, Pen/ret-2. Carimare, Nadine, LucteDelmas, Lida, Charle-SchiaJfiTio, Raffinage, Fort-de-Souville, Shetspra, Téméraire, S.N.O.-7, York, Enseigne-de-Vaisseau-Marie-St -Germain, Argonne, Menhtr-Braz, Thisbé.
A TANGER-RADIO
Laurent Schiaffino, Kerguelen, Tombouctou. Athénée Batna, Saint-Ferréol, Saint -Camille, Tourny, Imerethie, CapTarifa, P. L. M. 14.
Caboteurs
♦ ALGER. Arrivés le 30 Saint- Prosper de Rouen, Saint-Michel de l'unis, ùuii-brah.im ae Marseille.
PARTIS ie 30 Cap FiQulo pour Nan- tes, Kamsa pour Rouen, Psyché pour Bougie. DunkciQuois pour Tun.s, Chan- zy pour Marseille.
♦ BONE. Arrivés le 29 P.L.M.27 de Génea, Finistère de PhilippeviUe le 30 Sig de Djidjelll.
PARTIS le 29 P.L.M.22 pour Rotterdam, Ville de Mostaganem pour Alger le 30, Finistère pour f-nilippevihe, Char- Us-houx pour Marseille.
ATTENDU Cypna.
BORDEAUX. Arrivés le 30 Nantais, Yetrophalt, Petite Couronne, Méngnac du Havre.
PARTIS le 30 Brancas pour Vi«o, Marpaux pour La Palliée. Gonneville pour Marseille, Seine pour Copenhague, La Mailleraye pour Lorient, Saint-Joseph, pour Le Légué, Préfléver, Boyardville. Attendus Rollon, Chàteau La Rose. BOULOGNE-SUR-MER. Arrivés le 29 Almée de Plymouth, Médoc de Nantes.
PARTIS le 29 Jean de Béthencourt pour Oran. Jacobsen pour La Rochelle. BREST. ARRIVÉS le 30 Rampino de La Pallice, Président de Lavit de Bordeaux, Chorus Schiaffino de Rouen, Loustic, Saint-Martin de Ré, Camaret. Partis le 30 Tiinyris pour Paull!ac, Menhir Bras pour Rouen, Sainte-Anne pour CardiS, Saint-Nicolas pour PortLaunay. Reine de l'Odet pour Quimper, Yves Charles pour Concarneau, YvesThérèse pour Douarnenez, Espoir pour Pont-1'Abbé Jeanne d'Arc pour Pontl'Abbé.
♦ CAEN. ARRIVÉS le 29 Nébé de Newport. Emile Deschamps du Havre. PARTIS le 29 Hébé pour Newport, Colglen pour Londres. Ellriède Charlotte Bêcher pour Anvers, Ville de Caen pour Le Havre, Adolphe Leprince pour Le Havre.
CALAIS. ARRIVE 1 e30. Naxos, de Leningrad.
Partis .e 29. Aros. pour Trangsund; Penchateau, pour Dunkerque; Chdteau-Palme: pour Dunkerque; le 30, Danaé, pour Caen; La Seine, pour Boulogne.
CARDIFF. ARRIVE le 30, Albatros.
Parti le 30. P.L.M. 12. pour Caronte.
♦ CASABLANCA. Arrives le 30. Goleta, de Safl; Oued-Mellah, de Rabat.
Partis le 29, Asni, pour Oran; Iméréthie-U, pour Marseille.
DOUARNENEZ. Arrives le 28, Ara, de Dunkerque Douar-Breiz, de Bordeaux.; le 30, Yves-et-Thérèse. de Brest.
PARTI le 30, Sainte-Barbe, pour Le Havre.
DUNKERQUE. ARRIVES le 30, Médoc, de Boulogne: Chateau-Palmer, de Calais: Penchateau, de Calais. Partis le 30. Purfina, pour Lorient; Cambraisien, pour Boulogne; Penchateau, pour Le Havre; Amiénois, pour Calais; Teneriffa, pour Anvers. LA ROCHELLÉ-PALLJCE. ARRIVES le 29. Isole: le 30. Seine, de Bordeaux; Fey, de Bordeaux.
PARTIS le 29, Eperan, pour Marseille; le 30, Isole, Seine, pour Le Havre.
ATTENDUS Margaux, Batavier, de Bordeaux: Penhir, de Nantes.
LE HAVRE ARRIVES, le 30 Morlaix et Pomèlin, de Morlaix; Entrevent, de Newport Artabaze, de PortJérôme VUJe-de-Caen. de Caen: Cherbourg et Sainte-Barbe, de Bretagne. PARTIS, le 30 Barsac allant à Brest: René-Marpuerite (voli.) allant à Cherbourg.
LE LEGUE. PARTIS. le 29 Granville. pour le Guildo; M.-S.Craig, pour Swansea; Overton, pour Fowey. LORIENT. Arrives, le 30 Vir» go-Fidelis, de Nantes.
6 MARSEILLE ARRIVES le 30 Préside nt-dal-Piaz, d'Oran India-Pcra, de Rotterdam; Patris-2. du Pirée Ci/snos, de Calvi: Mooltan. de Londres TiWeriade, de Beyrouth: Augunin-LeBorgne, d'Alger; Schia//ino-24, d'Alger: Charles-Le Borgne, de Bon»; Ebio. de TenérlfT.
PARTIS. le 29 Timrad. pour Alger; Ville-d'Ajacdo, pour Alacclo; Cap-Ferrat, pour Nice; Kilbane, pour Oran; El-Nil. pour Alexandrie: Chevreuil, p. Salnt-Louls-du-Rhône; Canigou. pour Site- Popnniri. pour Barcelone; Kroumir, pour Tunis; Cap-Ferrat, pour Nice.
♦ NANTES. Arrives, le 30 Olga, de Salnt-Nazalre.
Parti», le 30 Léoville, pour Anvers. Olpa, pour Nolrmoutier; Penhtr, pour Weymouth et Londres.
Attendus Penhir Guermor, Maurict-Rose. Avaloir, Lucifer.
ORAN. Arrivés le 29, La Fer.Hère. d'Alicante; Cap-Fipalo et Kamsa, d'Alger; Jeanne-Schiaffino. de Mostaga-. nem: le 30. Rabat de Casablanca: Formigny, Villier, de Rouen; DjebelAmour, de Séte. Pastis le 29. La feutre. pcnssVXll- eaot*. Saint-Camille, poux Rouea;
le 30. Kamsa. pour Rouen: Nicole-Schiaflino, pour Rouen; Diebelj- Amour, pour Sète: Villiers, pour Mostaganem. Attendus • £1 Mansour, Oued-Sebou. PHILIPPEVILLE. ARRiv* le 29. Bolivia, de Gagliari.
Partis le 29. Finistère, pour Bône; Soumet, pour Bougie: Ginette -Le-Borgne, pour Marseille.
ATTENDUS Finistère et Le Sig, de Bbne: El Djezaïr. Mayenne, de Marseille; Saint-Prosper, d'Alger.
PORT-VENDRË5. Arriv* le 30, El Kantara, d'Alger.
Parti le 30. Et Mansour, pour Oran. ♦ ROCHEFORT-S/-MER. ARRIVE le 30. Rugia. de Dantzig.
SÈTE. ARRIVÉS le 30. Canieou, Kroumir. de Marsellle.
Partis le 30. Allier, poui' Oran; Kroumir, pour Tunis: Canigou, pour Marseille.
SFAX. Arrivés le 29, Achurt, de Pescara; S.-A.C.-i, de Bône; SainteMarguerite et Citta Di Savona, de Sousse.
PARTIS le 29, Achuri, pour Le Boucau CiKa-Df-Sauona. pour Djerba. ♦ SAINT-MALO. Arrivés le 29. Princess-Ena. de Jersey; Cherbourg, du Légué; Honfleuraise, de Purt-Talbot. PARTIS le 29. Cherbourg, pour Le Havre Saint-Bnac. pour Southampton. TANGER. Arrives le 30, Giowinezza, de Gênes; Asni, de Casablanca. PARTIS Giowinezza, pour Casablanca; Asni, pour Marseille.
TONNAY-CHARENTE. Partis le 30, Juies-Ilauzeur, pour Elthrem.
NOUVELLES DU SPITZBERG Fecamp, 30 août. Le chalutier Orage a été rencontré faisant route vers Fécamp avec 1.000 quintaux environ. Le chalutier Elisabeth-Marie a été rencontré. Tout bien à bord. Pèche d'environ 400 quintaux.
DEPART POUR LA MAURITANIE DOUARNENEZ. 30 août. Le dundée mauritanien Mont-Blanc, patron Grégoire Charles, a appareillé ce Jour pour une campagne de pêche Il la laugouste verte sur les côtes de Mauritanie. LE THON
♦ DOUARNENEZ, 30 août. A la dernière vente d'hier, un seul présenté le 1 n" 2522 avec 400 thons, vendus i 537 fr. les 100 kilos.
Aujourd'hui aucun bateau n'est rentré.
SAINTEJEAN-DE-LUZ
Pèche DU 28 Aour, 21 vapeurs et 14 moteurs ayant pris la mer A la première heure, les premiers sout revenus dans l'après-midi et le dernier 22 heures,' ayant fait 12 heures de route tous avec une petite quantité de thon rouge et blanc les plus favorises le moteur Gustave-François, 351 kilos de thons rouges les vapeurs Satnt-Pterre, 311 kilos de thons rouges Camitte, 215 kilos de thons blancs soit au total général 3.267 kilos. Il a été vendu aux enchères 1.562 kilos de thons rouges au prix de 5 fr. à 8.25 le kilo. iL la marée et aux petits revendeurs 1.572 kilos de thons blancs ou germons, vendus au prix de 5 à 7 fr le kilo aux mareyeurs et revendeurs 133 kilos de thons blancs vendus au prix de 4.50 le kilo a l'usine. LA TURBALLE
PECHE du 30 AOUT, On a péché 10.000 petites sardines par bateau. Un certain nombre de ces poissons a été pris par les mareyeurs à raison de 50 à 65 fr le mille. L'usine a acheté 200 :kilos par ba- teau au prix de 170 et 175 fr. les 100 kllos. AUDIEHNE PECHE du 28 AouT. Sardine de rovue. 110 bateaux sont rentrés avec de la sardine moule 50-52, vendue aux usiniers de 155 à 190 fr. les cent kilos. 80 bateaux avalent de 15.000 a 20.000, et les autres de 12.000 à 14.000. Maquereaux. 18 canots sont rentrés avec par bateau de 200 à 500 gros maquereaux vendus de 65 à 70 francs le cent, et de 400 à 700 moyens maque- Homards. 8 canots sont rentrés ave cchacun de 7 10 kilos de homards vendus à 13 fr. le kilo; de 30 à 40 kilos de crabes et araignées vendus de 1.25 1.50 le kilo.
SAINT-GUÊNOLÊ-PENMARC'H Pêche DU 29 août. Sardines de rogue. Bateaux sortis et rentrés 56, ayant tous péchés le maximum, c'est-àdire une moyenne de 300 kilos par bateau. Le moule de ces poissons étant de 50 a 54. le prix des 100 kilos. c'est-àdire unique pour tous les bateaux. 150 francs, le tout pour les usines de conserves. Petits nmquereaui. Quelques ba- teaux de sortis. Par suite du mauvais temps une partie de la flottille est restée au port moyenne par bateau. 40 60 kllos prix moyen du kilo, 1 ,95 à 2.20 (20 à 25 au kilo). Le tout pour les usines de conserve.
Licrneurs. Ces bateaux ont péché des pironneaux, tacots, lieus. vieilles. etc. vendus pour la consommation loca.e à raison de 1,90 à 3 francs le kilo suivant qualité.
iVlarcbe de Paru
PAtus le 30 août .De notre eor- les pondant spécial)
Marché encore plus actif grâce aü temps plus frais et cours en nausse sur le colin, dorade. hareng maquereau, toarlan ordinaire et rate. Toutefois, la D»lnse a touché d'environ 1 franc par kilo les lottes, turbots et barbues. MAREE-CRUSTACES Ott cote au kilo cours extrêmes)
Bkrbues, 0-9 bars. 15-20 carrelets, 4-0 colins décapités 8-15 colins entiers, S-13 congres 3-6 50 crevettes grises, 3-1 0 crevettes rouges grosse* 40-45 dorades de France, 2-0 harengs français pleins, 0.75-1.50 homards vivants 10-20 homards morts. 5-12 langoustes vivantes, 12-19 langouetes Maurltanles vivantes. 15-18 langoustines. 9-5.50 limandes. 5-7 loues, t-7 maquereaux français gros.
1-2.50 maquereaux français petits. 2-6.50 merlans ordinaires. 0.50-2 mu-: lets, 4-12 aies entières. 2-4.50 rougeta-barbets. 6-12 rougets-grondins, 24, soles françaises grosses. 14-20. soles françaises petitee, 7-12 turbots. 5-9 On cote au cent
Sardines salées grosses 15-2b sardines salées petites 4-6 sardine traiches. 15-26
MOULES ET COQUILLAGES. On cote aux 100 kilos
Moules Isigny-Honfteur 40-90 moules diverses. 80-85.
On cote au kila
Coques ou hémon, 0.60-1
POISSON D'EAU DOUCE On cote au kllo
Ablettes, 1.50-4 anguilles Vivantes. 7-11 anguilles mortes 6-11 Darbil- Ions 5-6 brèmes 1-4 brochets morts. 5-11 carpes vivantes. 5-6 ëperiaus. 1.60-3.50 saumon frigorifie. 6-13 truites saumonées argentées, 20-26. Arrivages
Marée 190.700
Eau douce 9.400
Coquillages 15.400
Déposé au frigorifique 49.700. Resserre de la veille 65.300
Quantités mises en vente 281.800 Quantités saisies le 29 août 320 kilos. Arrivages par gares
Gare du Nord 124.000
Vaugirard 47.400
Satnt-Lazare 26.400
Orléans 5.400.
Marche de La Uochelle
LA Rochellb, 30 août. En pêcheries, physionomie des apports sans changement, sauf pour la dorade. A l'encan municipal, activité très Julte. Cours fermes.
On cote suivant grosseur, provenance En pêcheries Merlu. 10.80 à 13.40 triage 9 à 11,20 tout venant merluchons. 3.50 à 5.70 merluchons blessés. 1 70 A 3 dorades, 4.50 ptronneaux, 2 5u saint-pierre 3 limandes. 3,50 raie 2 70 à 3,80 ralteauy fleuris. 0.80 rouget-grondin gris, 1; congre ~ros. 4 à 5 60 petit. 2.20 à 3 anon. 0.80 tiétan entier. 6 uglefln entier 2,20 à 2,70 campagnols, 1.20 à 1.5C touille gros 2.20 à 3.20 poc: eteau. 2.20 6 5 80 muzérallle, 3.20 turbot. 10 rascasse 4 Julienne. 1.20 à 1,50; maquereaux. 3: morue fraîche. 2.50 à 3.50; A l'encan Sole. 18 a 25 sole-perdrix, 11; limande de voilier 4.50- raie bouclée 3.50 à 6; rouget-barbet. 17: ct.rrelet. 5 merlan chalut, 2 brillant, 3 vive. 6 tacaux, 2 mulet. 15 turbot. 15 barbue 16: cêtaux. 14; harengs fiais. 3 maquereaux, 3: merluchons salée, 25 à 36 thon. 9.50 homards 21 langoustes. 30 langoustines tout ve-
bouquet. 60 100 grise. 5 crabe. 5 moules. 1 Dalourdes 8 sou'dons 1.75lavagnons. 2.
On vend la pêche de quelques voineit et d'un chalutier côtier. dont les places prises ne forment lue cina to- d encan
Chalutiers arriver eu pêenenes .Narte-Simone 150 merlus. 4 paniers de dorades et rascasses, 145 paniers merluchons et tout venant Chassiron 200 merlus. 3 paniers de dorades 76 paniers de merluchons et tout venant Joselle 230 merlus. 8 paniers de dorades. 55 'anlers de merluchons et tout venant. Grald chalutier attendu en pêcherie le 31 Afarie-Yerte
Marche de Saint-Nazaire
Saint-Nazairï, 30 août. A la Criée. Un bateau de l'Ile-d'Yeu. le PierreLegrand, patron Papin, a vendu 150 tables de poissons divers pour 1.700 francs. Les pêcheurs Nazairiens ont réalisé 175 fr. avec 18 tables: 66 francs avec 6 tables; 44 fr. avec 12 tables 75 fr avec 6 tables- 77 fr. avec 6 tables 110 fr avec 6 tables: 75 fr. avec 20 tables; 67 fr avec 6 tables: 140 fr. avec 8 tables; 189 fr. avec 13 tables 330 fr. avec 12 tables.
Les mareyeurs ont recueilli 700 fr. avet 50 table»; •440 fr. avec 30 tables: 265 fr. avec 20 tables: 85 fr. avec 10 tables: 280 fr. avec 25 tables; 190 fr. avec 13 tables; 470 fr. avec 30 tables; 470 fr avec 30 tables- 570 fr. avec 40 tables; 530 fr. avec 35 tables. 20 tables de moules ont été cédées de 10 à 11 fr. les 3 tables.
La crevette grise de Loire valait de 35 à 45 fr. les 3 tables.
42.000 sardines ont été vendue* à raison de 65 à 90 fr. le mille. Marché de Lorient
Lorient, le 30 août. Otarie, 37 tonnes 400: Océante, 5 t. 200; Risson, 12 t.: Lion, '0 t, 400, Port-Melin, 16 t. 800: Louise-Marie, 4 t. 300: Brivet. 7 t. 400; Gnmenco. 9 t. 500: Mars, 4 t. 800: Petite-Yretie, 4 t. 500; Prsncesse-Isabelle, 2 t. 200.
On cote les cours suivants anons. 0.50: anguilles, 5; carrelets 4; chiens, 165 (5 caisses); chinchards, 55 (5 caisses): congres. 4.25: dorades petites. 4; grosses. 7.75; égleflns, 1; grondins gris, 275 (5 caisses rouges, 440 i5 caisses); Juliennes, 1.25; langoustines, 2.20: limandes. 3; lottes entières. 3.50: merlus gros, 10; blessés, 9.50: merluchons gros. 9.90: moyens. 6.60: petits. 2.20: merlans de drague, 1; pelons, 2.50; pocheteaux. 2: poules d'eau, 4: raies petites, 2 25: grosses, 3.85; rascasses. 2.50; soles, 20: solettes, 7.70; tacots, 1.25.
Est annoncé pour demain. le chalutier Kergroise.
ECOLE DES TRAVAUX PUBLICS 1 I Liste, par ordre de mérite, des élèves J de l'école spéciale des travaux publics, du bdtiment et de l'industrie, 3. rue, i Thénard, à Paris, reconnue par l'Etat. ayant obtenu, à la fin de l'année 1 scolaire 1933-1934, le diplôme d'ingé- r nieur ou le certificat de fin d'études de l'école. 1 Promotion 1933-1934 Diplôme d'ingénieur des travaux pu- Dites. MM. Dentzou Audré. Berna:d Ebert Sonsino Avraln Cho:sy Lucien. Graffln Robert, Firmin Pierre, Roux Georges, Gulllemaln Marcel, Ledln Ro- 1 bert Labadie Jean-Louis Bafoils André. > Aloalus Louis. Routfet Paul, Garât Jean.. Beauzamy André, Procureur Paul. Colo- nat Henri. Lecocq André, Mlquel Mau- rice, De Foucauld Jacques, Darnls Pierre Papillon Guy. Ravetler René Meiud:e 1 Pierre. BcuquiPon Henri. Salvat Jules, | Lequeux Jean. Besse Adrien. Bonnet • Otto, Hazzl Joseph. Lecat René, Fabre Louis, Grlsel François. Déré André, Ganantan Khatchadour Gay Roter. Maccagni André. Julienne Pierre. Vauzelles Jacques, Mora François. Brljdenbach Alphonse. Safwat Yehla. Renauld Frantz, Clermont André. ( HORS Promotion
MM Lacote Henri. Messaver Maurice.. Fortunat Louis. Comte Alexis Gozdava Quigitsky, Badarell! Robert, Danton SU- vestre. Schrceder Joaeph.
Diplôme d'ingénieur architecte.- MM. Rlgaud Je0.n. Petousel Dèmétrlo, Prinet Lucien. Meot André, Aftundllmntz Edouard, Marcais Jean, Pardo Jacques. Nazml Osman. Garcta-Maldonado Enrl- que, Susterovlclus Elle, Ramadan Moha- med, Utudjlan Martin Duday René Hejal Sald. Ansara Elle, Assous Georges. Hors PROMOTION
MM. Benedlck Vojko, Pavll Arnold. Klée Ferdinand. Diplôme d'ingénieur mécanicien eieo- tricien. MM Carbonel Roaer, Sturtn de Valllère Lucien.
Diplôme d'ingénieur geomitrt. M. Canetier Paul.
Promotion 1932-iS>33
Diplôme d'ingénieur des travaux publics. MM. Roucalrol Xavier, Casaonnet Maxime. Casamlchèle Maurice. Brb gnon Louis. Peretz Ellezer, Jouard Roger. Lehalle Aimé. Delory Léonid. Proskouriakoff Boris. Leclerc Stéphane, Brousset Raymond, Ravoux Camille, Portensetgne Jean. DarRler de SaintVaulry Jean. Delgado Carlos. Grimaldi Louis. Vally Lucien. Rucani Constantin. HORS Promotion
MM. Bertm Michel Ewald Joseph, Paillard Jean, Mainix Paul. Loaëc René. Certificat de fin d'études section travaux publics*. MM. Bertrand Jean, Capt Jean.
Diplbme dingemeur architecte. MM. Vidai Pierre. Escougnou Jean. Mochiri Agha-Khan Pilliard Jacques, Barzilal Richard.
Certificat de fin d'études section du bâtiment). M. Gagliardi Jean
DiplOme d'ingénieur mécanicien éleo- tricien. MM. Lu Chia Shu. Laporte Pierre, Lauer Ernest, Ladoucne André. Diplôme d'ingénieur géomètre. MM. Theisen Paul. Langumier Henri. Quenioux Roger. Le Maître Bluet, Geiller Marcel. Hummel Charles.
Certificat de lin d'études 'section des) géomètres). M. L'Hoste Roger.
Conducteur du bâtiment. M. Ph rize Georges.
Promotion 1931-1932
Diplôme d'inpénteur des trauaux pv* oHcs. M. Lhomme Louis.
Certificat de fin d'études (section des travaux publics). MM. Debonne Jules, Croizard Robert.
Divlôme d'ingénieur architecte. M. Lejeune Emile
Certificat de fin d'études (section du bâtiment). M. Serlin Maurice.
Diplôme d'ingénieur mécanicien èleotricien. MM. Hamdy Mohamed. Azlml Nosiatallah.
PROMOTION 1930-1931
Diplôme d'inpénteur des travaux jm» blics. M. Cormier René.
Diplôme d'ingénieur mécanicien éleotricien. MM. Longeron André, Quesnot Jean-Jacques.
Promotion 1929-1930
Diplôme d'ingénieur des travaux plt> I blics. M. Senot André.
PROMOTION 1927-1928
Diplôme d'ingénieur des travaux psv blics. M. Peignen André.
PROMOTION 1924-1925
Diplôme d'ingénieur du Moment. -à M. Lecadre Henry
ECOLE DES ARTS
ET MANUFACTURES
Résultats du concours d'admission à l'Ecole centrale des :rts et Manufacture» (srssion de 19341
MM. 1. Vlachlis De:retrius. 2. Laroche René 3. Guillon Jacques 4. Cazin André. 5. Bourgeois Pierre. 6. Bochet Henri. 7. Mazeron Louis. 8. Kleitz Henri, 9. Hérubel Jean. 10. Aguesse Yves. 11. Dreyfous Daniel. 12. Durandin Jean. 13. Camilleri Raphaël. 14. Mazalre. Chiatian, 15. Sevestre Jean, 16. Alexandre Philippe. 17. Asfla Mohamed Safl. 18. Robert Daniel. 19. Mlle Cadenat Hélène. 20. Guagno Jean, 21. Loury Jean. 22. Antonelli Marc. 23 Delarue Jean. 24. Faure Maurice. 25. Marotte Michel 26. ex-aequo Bonneau Pierre. Wiîlard Jean, 28. ex-tequo Engelmann François. Favereau Robert. 30. Dubois Jérard 31. Granier Georges. 32. Mulin Henri. 33. ex-œquo Curt André, Krawtzoa Wadim. 35 ex-œquo Fleurot Etienne. Renard Jacques. 37 Bosc Michel 38. Mannet PauJ, 39 Sarcos Gabriel.
40. Hamy Maurice. 41. ex-£equo BJin Raymond, Renaud Gilles. 43. Dargon, Fernand, 44. Pradelle Roger. 45. ex-œquo Jacqmart Pierre, "jegris Maurice, 47* Cendron Lucien. 48. Tellier Marcel. 49. Lamotte André. 50. Peyresaubes Raouy bl Cazaux André, 52. Noyrand Paul, 53. Angot René, 54. Gouiric Roirer, 55. Kayser Charles, 56. Castaigne Etienne, 5i. ex-œquo Ackermann Gérard. Duray Georges. Tarrab Isaac.
60. Nataf Jean-Pierre. 61. Chaussil1 Pierre. 62. Lancrenon Etienne, Le Strat Jean. 64. Germain Pierre. 65. ex-eequo Couder Jean. Herrebaut Léonce, 67. exïrquo Guillaume Jacques. Drouille René. C9 Plâtrier Albert, 70. ex-œquo Guihert René. Trompât Henri 7 Philippon Charles. 73. de Corta Hubert, 74. de Geoffre de Chabrlgnac, 75. Bizard Armand. 7(L Hospitel Jean, 77 Lefort Pierre. 78. Au. mont Pierre. 79 Risler Jean.
80. Bykhovetz Georges, ill. Oognin Claude, 82 Chiron Roger 83. Krl-sickl Faut 84. Bouivin Roger 85. Flamand Jean. 86 ChotTel Georges. 87. ex-œquo Ccrles Georges. Nourettme Ali Reza 89. I Prioux Michel 90. Wallut Raymond 91. i Counll Albert 92. Monnet Georges. 93. Kiry Fernand 94 Arbault Maurice 96. ̃ ex-œquo Bridoux André. Brisson Fran·çois Douesnel Pierre- 98. Giboin Jean. 99 Meyer Jean-Lcu:s
100. Boulagnon Jean 101 Fouqulet André. Wallon Marcel. 103. Lebrec Jean. 104 Clicques Macel 10c. An3alont Ma-» t:me. Fine Jacques Henet Jacques. 108. Guyur dit Vallée Andre. 109. Body Pierre- 110. Chautry Jean. 111. Denya Albert, 112. Saltet de Sablet Paul. 113. Rick Jacques. 114. ex-œquo Grugerolles Elle Gucsdon Hubert. Ozoux Gervaia, 117. ex-œquo Cazaban Henri. Gauche? Jean. 119. Bréthès Claude.
120. Barthe Dejean Henri. 121. Duran-
dln Roger. Mabillon René. 123. de Lemog Pierre 124. Brousset Robert 125. «̃œquo Jaumoullle Joseph, ichard Cîaude 127. Ciavaldini Raoul, 128 Bruley Charles. Tonnelier Jacques. 130* Jonven Gaston. 131. Garnoer Guy. 132 Planiol Michel, 133. Boudou Jean. 134 ex-aequo Constantin Gaston Gronter Jean, 136. Rortin François 137. Demantke Pierre. Prodel Marcel. 139 ex-œquo îarraud Joseph. Bragadir Pierre.
141. Stadler Jean. 142. Rousseau uis, 143 Fleurot Marc 144 ex-eequo Guy Rcbert. Bonn Voeunsal, 146. Porteaux Jean 147. de Malsain Guillaume. 148. Bourguignon Pierre 149. ex-œquo Dani^i Serge Rouquet Jean. I51. Queyron Jean. 152. Kastler Robert 153 Grenier P:iul, 154 ex-œquo Buchaillat René Nolitt Lucien. Péhé Jean 157 rost Raymond. 158 Anuereau Roger. 159 Wid:̃ Maurice
160 ex-æquo Biard Hugert Thomas Jean-Marie. 162..ex-œquo Nfachavekhl Abbas Thomas Bernard. 184 Massoa Bernard 165 Faidherbe André, 166. Karoi sLouis. 167 Cambournac ^ferre Lamant Henri. Lemay Marc 170 Soudry Robert 171 Ma'hieu Henri. VPjert RoR'-r 173. Château Antoine. 174 Bendayan Jacob 175. Duvll'arrl Gustave. 17C Biais Maurt-e. M'Ion Marcel "78 Ber»e.uid Jean -79 Petirdidier Max 180. ex-œ.iuo Bernard Gérard, de 'îoouemaur»' Ithler, 182 exaequo .ou.danne Pierre Pélonl Georges 184 exsenuo Lynch Jean Ouhayoun Paul 8 Traverse Henri. 187 Rerdu Henri 188. Cnechewinz Henri. 189 R??nler 'acoucs, ÎJO Nouhant Léonce 191. rot Paul !9? Acker André Ma-^sias Jurten de la Gravlère Roux Xavier 195 Tsrzls Nicolas :96. ex-œquo Dhellemmea MleneL D;ssee Pierre. Espivent de la Vlllesboincf Lucet Pierre 200 ex-œquo Blanc François Perrin Victor. 202. ex-tenuo Mathieu Roger, Toussaint Pierre 204 El Ma%ri Tassyn Adel 205 ex-œquo Gatvtn Pierre. Ccrret René. 207 ex-eéquo Calmet'e Paul, Dupont Michel. Que\' Fernand. 210. J»«Qiiesson Claude d? Saboulin Bollénaj Jean 212. ex-œquo Mynard Andrè Ribeaureau-Gayon André, 2!4 ex-œquo Dcrerrler Robert. Prat Jacques 216. Rolland Jaccuiee 2:7 Pingeot Pierre. 2' 8. Grillet Pierre Martinet Jacques.2?(; Mlle Cauneael Mireille 221 Mathieu Edouard 22.2 Galme Roland. 223 Maunn Philippe. 224. ex-squo L'Henry Edouard Vimon Maurice. 226» de Cour» to.» Ga-ton. Galand _"aul. P1mla H08sein 229. ex-sjquo Bl<tnc Marcel Calme. Jean Harlsne E'ienne Renaud Jean 233. Léger Jear-E'lenne. 234. Ba» dampt Maxoei. 334. GhaXaroux Sobaft»
LE 48 GRAND CIRCUIT DE L'OUEST CYCLISTE organisé par L'OUEST-ECLAIR, avec le concours du Véloce Club Rennais
MEULENBERC, après une arrivée très disputée gagne l'étape Saint-Nazaire-Lorient
Malgré la pluie, les coureurs ont réalisé près de 36 kilomètres de moyenne horaire Morenhout s'incline d'un pneu l'arrivée. Van Enogghe conserve le maillot jaune
NICOT PÉNÈTRE LE PREMIER SUR LE VÉLODROME DE LORIENT
Au départ de St-Nazaire Sadit-Nazaire, 30 août (de l'un de ttos eavoyés spéciaux). Après une nuit pluvieuse, les premières heures de la matinée s'écoulerent sous un ciel gris qu'éclaircissait un soleil pâlot et le temps frais. La cité industrielle nazairienne a, depuis longtemps, repris ses habituelles occupations lorsque les géants de la route commencent défiler par la ville pour gagner la place Marceau et le contrôle au café du Ralliement. Depuis longtemps déjà. pavillons deployés, les autos officielles, les cars de nos amis de circuit et nous nous en voudrions d'omettre, comme nous l'avons fait précédemment, celui de la bière de la brasserie Grafl frères. de Rennes; puis celui de l'anis qui se suffit à lui-même. Pernod fils, naturellement. comme ceux du roi du cirage le Lion Noir, du comité de propaganae pour le cuir, et j'en oublie.
Côte d'Amour et terre bretonne A quelques encablures se trouvent les plages de la Côte d'Amour. Puis. par « des levées de terre » parfois assez prononcées. la route cirée, au Lion Noir, naturellement, va se dérouler entre les marais salants dessinant des parallélogrammes, des quadrilatères ou formant des espaces quadrilles et scmtillants balayés par le vent du large. Guérande, la ville fortifiée. La Roche3ernard. son pont suspendu, La Roche3ernard animée par son grand jour de narché et La Trinite-Surzur. mitape et voici les belles terres ore:onnes Nous allons te saluer. Bretagne sportive. Vannes. Auray où l'on admire de curieuses maisons moyennâgeuses: Plouhinec. Hennebont et Lorient, capitale du Morbihan.
Allons, en selle messieurs les chevaliers de la petite reine d'acier; allons. en route pour entamer la deuxième partie du circuit, celle qui va décider définitivement du classement gênerai.. Car, nous l'espérons bien, jusqu'à present nous n'eûmes de servis que des hors-d'oeuvre
La foule, des cris d'enthousiasme, des poignées de mains sont échangés et la route nous reprend.
LETTRE A MON COUSIN LE COUREUR
Lorient. le 30 Août.
Mon chet Cousin,
J'ai reçu votre lettre. le suis persuadee que; vous allez beaucoup mieux raire dèi maintenant J admets certes que voua n allez vas foncer tête bausée, tel un aspirant recordman dans l'espace contre le temps. Our bten %ûr En entrant dans k paya des légendes touchantes et que l'on raconta a La veillée, vous 'aurez ce qu'il ne !aut pas lafre vous avez ru tes coiffes du pays d'Auray et -elles du Morbihan et vendredi de Lorient d Brest voua pourrez admtrer les plus telles robes du monde les plut curieuses coilles les clocher" lourés di dentelles arant d'egrener le chapelet des plages bretonnes aux criquets sablonneuses. Tout cela va rie.fiter en bon rang vous vos veux. Voua m* demandrz quels 'nueianetnenti ta terni? wvt tire' de la grande épveux* cycliste: tIa tont nombreux Tant d'abord par leur cran, par leurs tffwU réfétit. tout le* acteur. de lfM
comme ceux des précédentes années, prouvent que tout est à la portée de l'homme, qu'il n'a rien de surhumain, mais qu'il faut, en cyclisme comme dans la vie courante, montrer beaucoup de volonté, de ténacité, si l'on veut parvenir. Tous les croureurs fournissent chaque jour une leçon d'ordre moral. Brunis par le soleil, poussiéreux enduits de sueur. ils roulent sans cesse énergiguement, par monts et par vaux Les coureurs, mon Cousin. ont un coeur. des espérances et des muscles. Je comprends que la joule aille au bord de la route pour les applaudir. Voilà ce que le voulais vous dire miparcours du circuit de L'Ouest-Eclair Et puis, ce Circuit n'est-il pas le triomphe de la petite fi bécane s inventée par Michaux, aux environs de 1891.
Votre Cousine,
Yvomhe.
7 heures de route. des côtes. l'étape a été dure. Mais au bout nous attendait l'excellente bière fraiche de la Brasserie Graff frères, de Rennes.
LES CLASSEMENTS
LE CLASSEMENT
DE LA CINQUIÈME ÉTAPE 1. 38' 2. Morenhout 3. Louyet 4. Ladron 5. Nicot 7. 8. Tommies 9. M. Georges Paul Le Drogo
Cloarec
Goasmat
Gouptl
Drouet.
Lowie.
Ccelaert
Wierynck
Spiessens
Handel
Petit
Tessier.
Sciardis
Duerloo
Saliou
Le
Maillàrd
Le Guével
Lemarchand
Police.
Bigoin
Leroux (Brest)
Leroux (Savenay)
Van Enogghe
Clochard.
Franzil
Le Moing
39. Ferdinand Le Drogo 4 h. 39' 15" 40. Rover 40' 30" 42. Favé 43. Hamon 4 h. 58' 55" 44. Le Doaré 5 h. 21'
GÉNÉRAL APRÈS LA 5'ETAPE
1- VAN 28 h. 27' 25" sur Génial pneus 2. 28 h. 29' 15" S. Morenhout 28 h. 29' 15" 4. P. Le même temps 3. 28 h 30' 20" 28 h. 31' 38" 7. Marcel 28 h. 32' 20" 8. même temps 9. Goupil même temps 10. Franzil 28 h. 33' 32" 11. 28 h. 33' 49' 12. F Le Drogo 28 h. 33' 59" 28 3" 14. Goahnat 28 h. 41' 15 Maillard 28 h. 44' 25" 16. Saliou 28 h. 46' 27" I7. Cloarec 28 h. 46'54" 18 Peuziat 28 h. 50' 11" 19. Ladron 28 h. 20. Sciardis 28 h. 53' 21" 28 h. 55' 5" 22 Degreff 28 h 55' 27" 23. Le Roux Sezny 28 h. 57' 26" 24. Driancourt 28 h. 57' 27" 25. Le Guével 28 h. 58' 22" 26. Le Roux 29 Bigoin 29 20" 28. Le Goft 29 h. 6' 16" 29. 29 h. 6'32" 30. Duerloo 29 h. 9'36" SI. Wrzeciono 29 h. 12' 24" 32. Clochard. 29 h. 33. Le Marchand 29 h. 34. Handel 29 h 20' 34" 35. Le Moing 29 21' 40" 36. Tommies 29 h. 24' 15" 37. Rayer. 29 h. 24' 37" 38. Police. 29 h. 27' 3" 39. 29 h 28' 25" 40. Hamon 29 h-28'56" 41. 29 h. 33' 11" 42. 29 h. 43. Petit. 29 h. 37' 56" 44. Le Doaré 29 h. 56' 52'
iraiMffBBIB^g ^J' ^1B^LJ»1 –M fJ II
LES COUREURS SOUS LA PLUIE APRÈS VANNES
Le « Grand Ferdinand n se restaure
Vu au fil des kilomètres LORIENT, le 30 août (D'un de nos envoyés spéciaux)
Après quatre étapes splendides quoique inégales par le sport qui y fut pratiqué, la cinquième, de Saint-Nazaire à Lorient a été à ce point de vue assez creuse.
Les neuf premiers au classement général étant dans le peloton qui débou- cha sur la piste, il s'en suit que les positions aux places d'honneur ne sont pas modifiées, et Van Enogghe conserve son maillot jaune
Le départ retardé
d'un quart d'heure
Après un retard de 15 minutes sur l'horaire fixé, retard consenti par M. Joseph Morin, directeur de la course, afin que les hommes, tous décidés a rouler très fort aujourd'hui, restent dans l'horaire publié dans L'Ouest-
1 LE PASSAGE Dar KOUIlUtS AU BAULK à
Eclair, eut lieu le départ. Il fut donné à 49 coureurs. Pas une seule défection. et voilà déjà un fait remarquable au mafia de la moitié du parcours tcjj. Immédiatement, les hommes de Cfenial Lucifer dirigés par le sympathique Pierrard, j'allais dire Duchateau, Jb ne sais trop pourquoi, mais Pierrard. peut-être sera-t-il mieux informé que je ne le suis, prirent le commandement de la meute bigarrée, qui s'élança sur la route mouillée car, la pluie. peu d'instants auparavant était tombée.
Promenade
sur la Corniche d'Amour
En moins de vingt minutes, ces messieurs de la route, qui ne s'en font guère, et je vous conterai plus loin pourquoi, atteignent Pornichet puis, par le boulevard de Mer, où les estivants sont assez nombreux, quoiqu'il soit l'heure de l'apéritif, passent La Baule-Plage. La Baule-les-Pins i-t virent au casino, en direction du Poi>liguen. noir de monde.
En tête du long serpent aux innombrables anneaux disloqués, se trouve la grande silhouette très reconnaissable de Ferdinand Le Drogo. Pas d'incident durant ces vingt premiers kilomètres couverts rondement.
Heureusement que le départ a été retardé, nous dit un estivant, car les hommes auraient subi un très violent orage
Près du casino, nous apercevons Harry Pilcer, très entouré de jolies femmes et parmi elles, certainement doit se trouver Mlle Pans. L'artiste n'est pas le dernier à applaudir les routiers. En direction de Guérande Pendant la traversée des marais safiant de biais, oblige les coureurs A rouler en évantail. Dans les virages, en se retournant, on peut alors à loisir admirer l'inimaginable cortège des coureurs et des voitures dont les fanions claquent au vent.
C'est à la sortie de Guérande, âpre» l'escalade de la côte qui y conduit, que l'équipe Stella, de Nantes, perdra un nouvel équipier, le jeune Doucet qui tombe malencontreusement et brise une pédale. Il se voit obligé d'abandonner.
Quelques kilomètres plus loin. Handel saute en vitesse de sa selle, arrache un pneu qui avait rendu l'âme, et en moins de dix. comme l'on dit parmi les spécialiste de ce sport, change de pneu et repart à fond, car ses camarades ne l'ont pas attendu.
Jour de marché
à La Roche-Bernard
C'est le jour de marché à La RocheBernard, où pas un des suiveurs ne voudrait manquer de s'arrêter de longs mais agréables moments pour le ravitaillement de chaque jour; car vous n'ignorez pas qu'il n'y a bon bec qu'en France ». et, d'après certains suiveurs, la grand'route creuse énormément.
Mais voici nos hommes. Le long serpent s'est encore plus étiré dans la montée vers le bourg. Il déflle entre deux haies humaines et parmi les coiffes bretonnes, et parmi les veaux et les bceufs amenés pour la vente, car le marché aux bestiaux bat son plein. La route ondule à travers la campagne, se perd en méandres et les coureurs, à la queue-leu-leu. profitant de ce que les douze coups de midi souk sonnéa depuis longtemps, aoittot 4»
LA PLUS BELLE EPREUVE CYCLISTE DE L'OUEST 4" ANNEE. 8 ETAPES. 1.600 KILOMETRES
Aujourd'hui, sixième étape LORIENT-BREST L'étape du café « SAO »
111111'1111111111'111111111.1111111111.11111111111111111111111111111111111111111101111111111111111111 Il 111111
Par Quimper, Douarnenez, Châteaulin, a travers la Cornouaille,
les routiers vont rallier Brest
leur musette bien remplie sandwich et bananes.
La plaie fait son apparition Dans chaque ville ou bourg traverse par le Circuit. comme chaque jour, pour l'attribution des primes, le sprint a lieu et donne un peu d'animation a l'allure du peloton, mais cette fois elle est excessivement régulière, cependant elle s'accélère pour le sprint.
Huit ltilomètres avant Vannes. Lucien Weiss se lamente au bord du chemin. Dans un nid de poule, il a cassé la fourche avant de son vélo. Comme le 36 il l'heure est de rigueur, et qui] n'a pas le temps d'effectuer la réparation nécessaire, Lucien Weiss. que nous interrogeons, nous dit c Je m'étais bien promis de terminer le Circuit, mai& décidément, c'est la fatalité; après les furoncles, c'est la panne; je préfère abandonner »
Et peu après, son constructeur ayant été alerté, l'homme qui gagna deux grandes courses dans la même semaine, voici bientôt un mois, monte en voiture et rejoint directement Lorient. Cependant, à la suite du train rapide soutenu par les hommes de Lucifer. des équipes Roold et Dilecta, quelques coureurs lâchent pied dans les raidillons et l'on aperçoit à l'arrière Sylvère Maès. Romain Maès et Hamon. Peu après, l'on apprendra l'abandon sans motif plausible des deux Maès.
Les cataractes célestes se sont ouvertes avant Vannes. Il pleut maintenant sans discontinuer. Ferdinand Le Drogo revêt l'un des premiers son imperméable de cycliste. D'autres hommes l'endossent également et l'on en profite pour remarquer les traits durcis de Van Enogghe; le Flamand ne semble pas goûter la pluie. Par contre. Cloarec, comme Paul Le Drogo sont très frais sans jeu de mots et tous deux poussent dur sur leurs manivelles. Décidément, ce sont deux beaux et énergiques athlètes de la route. Le pauage à Attray
Quelques gouttelettes du côté d'Auray. 18 kilomètres plus loin. Le soleil se cache encore dans son bonnet de gros nuages Il apparaîtra peu après pour nous faire escorte jusqu'au port militaire de Lorient. tout pavoise. Cinq kilomètres avant d'entrer dans Auray, où la pluie cesse définitivement de tomber. Saliou glisse dans un virage Il est vite debout et parvient A
rejoindre après une courte chasse, aide par Goasmat, qu'il finit par dépasser. Des fugues inutiles
Les légères coiffes lorientaises et du pays d'Auray apparaissent. La meute est toujours compacte. Elle passe a Auray à 40 à l'heure. Van Enogghe et les rouges maillots de Lucifer sont au commandement. Quelques fugues sans résultat positif se produisent Sans doute nos régionaux de la route veulent-ils saluer a leur manière 1 excellent sprinter Jézo, qui suit ses compagnons routiers à bord d'une auto. Avant la traversee de Beiz. à 60 .un. de la ville-étape. l'Allemand Wrzeclono s'arrête. Nous ne le reverrons pus qu'à l'arrivée, parmi les derniers. Chaque jour, d'ailleurs, nous constatons qu'il effectue sur la fin du parcours le même manège En direction de Port-Louis
Par suite de travaux sur la route directe, notre itinéraire passe à PortLouis. Auparavant, du côté de Bel» Morenhout crève. Verrons-nous les hommes du manager Feuillet déclencher la bataille afin de mettre le troisième au classement général dans l'embarras ? Pas du tout. C'est à croire que la trêve est faite entre les marques.
Le Moing d'abord, puis Handel et Robert Petit se laissent glisser du lot. Ils reviendront cependant peu de temps après.
Loin derrière, quelques routiers ont formé un groupe celui des accidentés par crevaison 1 Mais il faudrait être de très 'grands « rouleurs de caisse pour rejoindre le peloton des leaders.
Le Pont-Lorois, traverse sans encombre, fournit un embouteillage remarquable. Un coureur a même glisse sur la chaussée, mais a pu se relever avant d'être embouti par une voiture. Plouhihen, où la foule est nombreuse 11 y aura même des spectateurs juchés dans le clocher dominant la towe donne l'occasion de quelques démarrages. Mais aussitôt tout rentre dans 1 ordre.
Voici Fort-Louis, d'où "on aperçoit la rade de Lorient. C'est un long détour que nous allons effectuer vers Hennebont. Meulenberg crèvera peu après mais ejoindra.
LU MEUBLES FOIBIKR SUIVENT tx CIKCUIg
AUJOURD'HUI 6' ÉTAPE LORIENT-BREST L'étape du Café « SAO »
La traversée du pont très étroit de Hennebont n'a apporté aucun changement mais un des frères Le Drogo, tombe encore de vélo. C'est par sérlea, et Royer, un brave compagnon, l'il'de à se relever et à rejoindre.
Foule dans Lorient
et le sprint final
L'immense foule sportive de Lorient est accourue sur l'itinéraire. Le vélodrome est noir de monde mais, plur l'atteindre, 11 faut passer par de belles avenues .Mvées et à travers les rails des trams. Les 40 horr.mes du groàpe de tête s'égayent sur toute la largeur de ces avenues pavoisées et bordée*" de spectateurs. Le coup d'ceil de tous ces cyclistes roulant à fond de train et emmenant dans leur sillage plus de 30 voitures a quelque chose d'invraisemblable.
Duerloo et Cloarec essaient de profiter de l'embarras des voitures pour prendre une centaine de mètres mais ils sont aussitôt rejoints. Par contre, dans la cohue, quelques hommes, notamment Ferdinand Le Drogo, Royer Favé et l'Allemand, que nous avlojps cités précédemment finissent par perrdre légèrement contact. < Et voici le magnifique vélodrome. La foule est assez dense, moins ltriportante cependant qu'on aurait pu le supposer mais ce n'est pas dimanche à Lorient, et il est 16 h. 30 au plus. Tous les commerçants travaillent. En trombe, l'escadron pénètre sur la piste, suivi par les voitures des managers et par les Rosengart officielles. Tout cela forme une cohue.
L «priât «t très rageusement 41»-
'puté, à tel point que Meulenberg bat d'extrême justesse Morenhout qui voulait récidiver sa dernière victoire. Et des personnes placées en haut, en face de la ligne droite, discutent sur la victoire de Morenhout et de Meulenberg Mais que voulez-vous, à chacun son étape. et Meulenberg. par sa belle tenue depuis le départ de Rennes, mérite bien d'enlever à Lorient la première place.
C'est fini L'étape où 11 ny eut rien de sensationnel est courue. Journalistes et officiels font leur tour, à travers les rues lorientaises, un sprint pour arriver les premiers au téléphone et au contrôle de ville, où doit être examine le cas de Wierynck. non encore pénalisé, contrairement aux bruits qui ont pris naissance à St-Nazaire._J.-A. DUMOULIN.
CIRCUIT DE L'OUEST
1*' Morenhout sur bicyclette
DILECTA, pneus Wolber.
A. CHICHERY, Constructeur, LE BLANC (Indre)
De Saint-Nazaire à Lorient En bref rien,
si ce n'est la moyenne horaire Loriwt, 30 août (de Fun de nos envoyés spéciaux). Cest a près de 36 kilomètres de moyenne horaire. chiffre qui parait invraisemblable et qui pourtant est fort exact, que le peloton de tête, comprenant 38 coureurs, accomplit jeudi l'étape Saint-Naaaire-
La pluie n'avait cessé de tomber durant toute la nuit à Saint-Nazaire et, dans la matinée de jeudi, vers 8 heures, l'averse redoubla de violence. Cependant, au moment du départ, le temps devint clement et nos coureurs ne subirent que quelques assauts de pluie aux environs de Vannes et d'Auray. Ils durent revêtir leurs imperméables- Par la suite, la voûte céleste devint d'un bleu de mer et, au milieu d'une affluence considérable, eut lieu. au vélodrome lonentais, l'arrivée. A proprement parler, il n'y eut pas de course, d'échappee ou de fugue. Seuls les crevaisons et quelques abandons furent les seuls incidents qui émaillèrent un tram excessivement rapide et très régulier. Doucet abandonna le premier. puis, à la sorue de Vannes. Romain et Sylvère Macs. qui occupaient précédemment les 15* et 100 places, estimant leur tâche achevée, laissèrent tomber leurs camarades et abandonnèrent sans motif apparent. Enfin. Lucien Weiss, souffrant toujours de furoncles et ayant cassé la fourche de sa machine, monta dans la voiture de son manager, laissant Ladron. son inséparable compagnon, comme seul et dernier représentant de la marque Lutetia.
Le belge Morenhout. qui confirma nettement sa classe et aussi sa pointe de vitesse, faillit enlever la première place sur la piste lorientaise. Mais Meulenberg. d'un pneu. le battit. Louyet, se réveillant, et l'on s'y attendait quelque peu. se classa troisième dans un mouchoir. Quant à Ladron, il devance de peu, dans le groupe Nicot, un régional qui. l'on s'en souvient, enleva le premier Tour de l'Ouest en 1931.
Le fait principal de cette étape fut la course des maillots rouges, c'est-àdire des Duerloo, Van Enogghe, toujours porteur du maillot du leador; de Louyet, Lowie, Degreff et Marcel Georges. L'équipe Lucifer fut en effet constamment au commandement de l'imposant peloton et surveilla attentivement ses concurrents, les empêchant, fort bien d'ailleurs, d'essayer l'échappade qui- aurait pu profiter a Wierynck ou au vaillant Paul Le Drogo. Mais que se passera-t-il demain, aux environs de Brest ? Il est certain que l'on attend, vendredi, à Brest, Paul Le Drogo et les énergiques Favé, Saliou, Cloarec et autres régionaux.-
J.-A. Dumoulin.
A MI-COURSE Par J. MORIN
Lorieht, le 30 août (du directeur de la course). A la mi-course, c'est mon tour de prendre la piume pour vous dire ce que je pense des équipes restant en course après la 4e étape. D'abord procédons par ordre.
Au départ de Rennes, les équipes au grand complet faisaient les unes et les autres l'impression de pouvoir gagner, chacune d'elles comptant des hommes de valeur au service desquels de courageux routiers étaient affectés. Mais la Circuit de l'Ouest, comme les direoteurs sportifs et les coureurs surtout, se plaisent à le reconnaitre, n'est pas une promenade de touristes c'est vraiment une course. Aussi, y eut-il dès la première étape des éliminations en nombre, qui jetèrent la consternation chez certaines /irmes. J'avais cru que nos régionaux n'auraient pas su résister à la coalition des as belges, ils m'ont donné un magnifique démenti et loin d'en être navré, j'en luis fort heureux.
On ne peut pourtant oas aire que la course soit monotone auisque jusqu'à présent le maillot jaune r.'dvait tenu sur les épaules des leaders que 24 heures Van Enogghe, de l'équipe GénialLucifer, dont l'ami Pierrard est le grand maitre, a réussi lui à le conserver. A vrai dire le jaune va très bien à Van Enogghe, aux cheveux blonds et rares et te conçois parfaitement qu'il veuille eonserver son mailbt, Il sera aidé comme il se doit, par de courageux garçons, dont Lowie, un jeune de 20 ans, dont la tenue dans le Tour de Belgique fut remarquéepar Houyet qui reprend du poil de la bête et par Marcel. Georges qu'on n'attendait pas I voir si bien figurer et qui tout de même est un bel espoir. Aidé comme il peut compter l'être jusqu'à Rennes, le leader de Pierrard et de Génial-Lucifer sera difficile à faire tomber du classe.ment général, en tête duquel il s'est hissé.
Après une remontrance de Pierrard hier, Van Enogghe lui répondit c Ne vous en faites pas. je serai encore premier ce soir. Ceci prouve suffisamment la volonté qu'a le Belge de de/endre sa place chèrement.
Son adversaire direct. Wterynck, qui n'est qu'à une minute 50 secondes, n'a évidemment rien perdu d" ses chances
POUR LE TOUR DE L'OUEST, HUILE CELOR NE SAURAIT MANQUOI P'BTKE LA
qui sont grandes, ïar a vainqueur du Tour de Belgique des Indépendants, la dernière recrue de Ludovic Feuiüet et de Thomann est un homme de grande classe dont la tenue aujourd'hui, bien que sur veille de très près par les hommes de Pierrard. a été très remarquée en raison de l'esprit combatif dont il fit preuve. Bien soutenu par Meulenberg, un méchant lui aussi, par Tommies, Colaert et Spiessens et en dépit des abandons de R. Maës. souffrant de l'estomac et S. Maès souffrant d'un genou, il compte bien ravir à Enogg!ie le maillot symbolique. Ce serait une erreur de croire que Morenhout, le poulain de Dilecta, dans lequel l'ami Véron a mis toute sa confiance joue battu. Il lui reste pour l'aider dans sa tâche. le grand Ferdinand Le Droso, dans une, forme parfaite, Handel, Petit et Royer, aussi, les 21 minutes 11 secondes qu'il a de retard comptent-elles peu.. P. Le Drogo de l'équipe régionale Roold, n'est pas loin derrière et comme les écureuils, Favé, Cloarec, Saliou, Goupil et Goasmat sont de sérieux adversaires, il serait prématuré de dire qu'il n'a aucune chance de prendre la tète du classement.
Et Fontenay de la jeune équipe Henri Nogues Ne croyez-vous pas qu'il ait encore son mot à dire. C'est un homme que la distance n'est pas faite pour effrayer. Nous venons de courir deur petites étapes et il en reste trois longues. Je ne serai pas surpris de ie voir réaliser de nouvelles prouesses avant notre rentrée à Rennes pour peu que ses petits camarades dont le ne dirai jamais combien ils furent magnifiques ne soient pas victimes d'accidents. Le Guével, Lemarchand tombé deux fois, Police, Bigoin et Leroux en ont étogné plus d'un, le puis ·ous l'affirmer et ce qu'il y a de beau cest que l'équipe est toujours au complet.
Chez Lutetia il ne reste plus que Ladron, son camarade Weiss dont le courage fut digne d'éloges ayant été 1 contraint d'abandonner à la suite d'un accident de machine.
Stella ne compte plus que Le Doare qu'accompagne Tessier. Ils feront tout pour justifier la confiance qu'on avait placée e7f eux ainsi que Sciardis et Hamon de l'équipe Aü Right.
Chez A. Leducq, Y Le Golf, Driau- court, Maillard et Peuziat sont toujours solides au poste, suivant à la lettre les consignes que Rérolle, leur manager, leur donne sur la route. Ils veulent les uns et les autres parmi tous ces jeunes, affirmer leur valeur
ainsi d'ailleurs que les isolés Clochara, Leroux (de Savenayl, Nicot, Le M oing et Franzil, ce dernier se payant le luxe de prendre la dixième place du classement général avec seulement six minutes de retard sur le leader.
Pour qui sait ce qu'est le travail de l'individuel dans une course par équipe, on admettra que le représentant de t La Perle » remarqué d'ailleurs lors du dernier Tour de France est un Icoureur excellent qui mérite la citation et maitttenant au concours des pronostics ?
La course est loin d'être terminée et il vous faut désigner un vainqueur. C'est une tâche difficile que je n'essaierai pas d'entreprendre.
J. Mordc.
Les primes de la pile Heinz HEINZ a donné sa première
prime a Van Meulenberg et
sa deuxième a Morenhout.
Bravo Ce fut une course
bien menée et intelligente,
de même que tous les gens intelligents et comprenant leurs intérêts
s'éclairent avec la Pile HEINZ.
Les régionaux de l'étape Saint-Nazaire-Lorient
LoRnarr, 30 août (De l'un de nos envoyés spéciaux.) Nos régionaux cnt fait une sorte de trêve dans cette étape. Il y a bien eu quelques velléités de départs de Paul Le Drogo, qui eut bien aimé gagner à Lorient où il est très connu Mais il avait un autre motif de chercher l'échappée. C'est qu'il n'est qu'à 2' 11" de Van Enogghe le maillot jaune, et qu'il peut encore caresser l'espoir du triomphe final. Nous allons le voir à l'oeuvre dans les jours qui vont suivre on peut s'attendre à de belles offensives de sa part et de celle de son équipe.
« II ne faut pas que Pierrard croie que c'est fini, nous dit-il. D'ailleurs, a partir de demain, nous les Roold nous sommes chez nous Et on le verra. » Ainsi donc les écureuils Roold, qui se sont contentés de suivre le train aujourd'hui. vont, dès demain reprendre la bataille Au fait, ils on: tous les atouts à leur disposition pour réussir l'ambiance. la connaissance du parcours, le moral.
Cloarec, Sahou. Goupu Goasmat et Fave. malgré la chute que ce dernier vient de faire à Port-Louis, chute pro-
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108 CLOCHARD .Tnouars).
109 LEMO1NG .Paris)
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Chez Henri Nogues, toute l'équipe est présente et tient bon. Ici aussi on s'est contente aujourd'hui de suivre, la cadence. Mais les Fontenay, Bigoin, Leroux, Le Guével et autres vont reprendre la lutte d'ici peu.
Chez Stella, signalons l'abandon de Doucet. Doucet roulait aans le peloton lorsque par suite de l'humidité du soi, son boyau se déjanta. Doucet fit une lourde chute, a la suite de laquelle il fut contraint d'aoandonner. C est dommage car c'est un garçon sympathique, double d'un courageux.
Le Doare. Tessier. Urouet tiennent toujours bon. Chez All Right, Hamon et Sciardis poursuivent courageusement, sans grand espoir désormais. Yves Le Gofl se retrouve lentement, mais un peu tardivement.
Nicot. qui pénétrait le premier sur le vélodrome. eût pu gagner l'étape s'il avait ete plus rapide au sprint. Clochard et Leroux sont toujours a dans le bain J. LE TRAON TOUTES LES QUATRE CYLI\URES RENAULT
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DEMANDEZ UN ESSAI
à la Succursale RENAULT, à BENNES. Messieurs, faites vos jeux! Lorif 30 ttoûi,. (de l'un de nos envoyés spéciaux). Cette cinquième étape, peu mouvementé., ta nous donner le loisir d-examiner brièvement les chances des hommes restant en course. A la taceur des premières batailles, toutes très belles, qui se succédèrent de Rennes à Angers, dans les dix premiers, les Belges, et presque toujours un homme nouveau, sont en majorité Chaque équipe a iauge ses chances possibles ou probables, car il y a encore, ne l'oublions pas, trois dures étapes a accomplir.
R est évident que tes sept hommes du team Génial-Luciler n'avaient aucun intérêt, nt nier, nt aujourd'hui, à laisser partir leurs adversaires, et qu'ils devaient, par tous tes moyens, en lui jvitant des efforts inutiles surtout, protéger le leaaer et leur coéquipier Van Enogghe. Ils le tirent avec enormement d'à-propos. Cependant, tes tracts ues autres maisons, dont certaines ont le droit d'invoqu.r les circonstances atténuantes pour leurs hommes, ne perdent pas de vue le leader et mettront à prolit la moindre faute de tactique, le moindr: incident, pour contre-attaquer d'ici Rennes. L'intérêt sportif la course reste entier..1 n'en faut pas doutei surtout lorsque des hommes comme les Belges Wierynck, Morenhout, Meulenberq, sont à moins de deui o» trois minutes de l'homme au 'cheveux roux. Quant à Paul Le Drogo, leader de l'équipe Roold, il sait très bien où il va. Il connaît admirablement le Circuit. Il monte vers sa région, vers ses concitoyens. On pe~<. donc s'attendre dz sa part à beaucoup, car il est enI touré d'une très belle équipe, avec Cloarec le rouleur, avec Favé le sprintter, av ec Gou et ioasmat, que les kilomètres n 'effrayent-pas et qui ter:-t tout pour l'aider.
Enfin, Fontenay, le krack d'Henn Nogues, a prouvé depuis dimanche qu'il tiendrait sa place dans toutes les bagarres qu'on voudrait bien lui livter. Et les occasions -ne vont pas manquer aus uns et aux autres. Reste à savoir s'ils arriveront tous au but linal sans encombre ?.
1 Les plus racés, les plus en forme, ceux sur qui se portent tous les regards, 1 sont Van Enogghe, Morenhout, Wierynck, Georges Marcel et MeutenI berg Favé, quoique éloigné au classement général, est également parmi ceut que l'on considère comme pouvant oagner des places au classement final et même des étapes. Et Paul Le Drogo reste l'outsider le plus dangereux.
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DANS L'AMBIANCE DE LA CARAVANE Lorient, le 30 août 1934 (De l'un de nos envoyés spéciaux)
Si l'étape se terme sous un soleil radieux et par un ciel d'un bleu lumineux, elle débuta sous une pluie diluvienne avec accompagnement de tonnerre et d'éclairs. Le croiriez-vous ? Stoiques sous ce déluge, les Nazairiens, en foule innombrable, assisterent aux opérations du départ. On aime le sport cycliste, a Saint-Nazaire. En voilà une nouvelle preuve.
Les nommes de Génial-Lucifer avaient été fort vexes de voir le maillot jaune qu'avait acquis Van Enogghe disparaître de ses épaules, et ce o autant plus que celui-ci avait pris &oin d'y coudre un ecusson de sa marque. Ce serait la, dit-on, la raison pour laquelle ils tirent tout ce qu'il faut pour que Van Enogghe le reprit. Ils y réussirent dans 1'etape Angers-Samt-Nazaire. Aussi, tout ner de démontrer que son travail de couture n'avait pas ete vain. Van Enogghe avait-il revêtu ce matin le maillot qu'il avait preceaemment porte dans l'étape Alençon-Angers. il parait que le travail de couture auquel s'est livré le leader est un modèle au genre et démontre qu'il avait l'intention, dès l'origine, de conserver longuement ce trophée. En tout cas, ses co-équipiers ont fait aujourd'hui tout ce qu'il fallait pour qu'il le gardât, car ils ont entraine leur leader tout au long de la route et, pour éviter toute surprise, ils ont eux-mêmes donne la cadence. Si cela continue ainsi, Van Enogghe aura eu raison de se livrer a des travaux de couture sur le maillot jaune. On verra ça dans les prochaines journées.
Morenhout, le vainqueur de l'étape Angers-St-Nazaire, reçut, nous l'avons dit une magnifique gerbe à l'occasion de sa victoire. Les fleurs, il les distriBua. Mais, précieusement, il recueillit le' ruban qui les liait et l'adressa en hommage à son épouse, afin qu'elle partageât un peu la gloire de sa victoire.
Nous avons traverse La Roche-Bernard où se tenait le marché hebdomadaire. Grosse affluence de paysans bretons, aux chapeaux à larges bords et de paysannes en coiffe. Un pittoresque charmant Mais comme la journée était pluvieuse et que le vent soufflait, de nombreuses paysannes avaient remplacé leur gracieuse coiffe par un bandeau blanc, genre de foulard noué sous le cou. Un des suiveurs parisiens. qui ignore tout de la Bretagne qu'il tra- verse pour la première fois, questionnait le camarade Goupil sur la raison du port de ce foulard. Celui-ci. blagueur, de lui répondre
r C'est parce qu'elles sont blessé1». Elles ont reçu des pierres sur la tête. C'est un pansement. »
Nous ne savons si cette explication a été agréée du Parisien. Demam, lorsque nous serons au pays bigouden, au pays des coiffes haut juchées sur le sommet de là tête. Goupil expliquera sans doute à son collègue parisien que c'est à cause des bosses faites par les pavés. b
Weiss, malchanceux, casse la fourche de'' sa machine. Il est éliminé de L'épreuve par cet accident, stupide Mais il ne s'en émeut pas pour autant, car de la Voiture de son manager, dans laquelle a pris place, avec un oàton il s'amuse à faire la nolice des toitures suiveuses. En somme travail utile, car celles-ci sont très nombreuses oerrfère Nous avions quitté le peloton depuis quelque temps et nous nous précipitions vers le vélodrome lorientais. lorsqp'à l'entrée de Lorient nous trouva- j mes deux coureurs oue tous applaudis.; salent. Ils allaient à petite allure, les mains au haut du guidon, en bavardant*. C'étaient les deux Maës. Sylvère et FBOmain. qui. ayant abandonné, le premier oarce qu'il souffrait du genou. le second rrrce ou'il était ir«lf>de nous avaient devancés en prenant un rac- courcl N'empêche' mie nous avons cru un moment .ainsi oue plusieurs autres. oue nous nous trouvions en présence de coureurs en fuite J.
Les prix de l'étape Ai premier 700 trs + 300 1rs otleris paf Pernod *̃ 100 frs otterts par là Société des Accumulateurs Hetnz. Tytal VU$ 1rs
Au deuxième: 450 1rs + 100 fr$ offerts par G Lombard, hôtel des Voyageurs à Brest + les prix en nature de la Société de4 Accumulateurs Heinz Au deuxième du classement général 9.1D0 trt 200 1rs ollerts par G Lombard, propriétaire de l'hôtel dei,VoyaSous tenons à souligner le çeate géwtreux de il. Q. Lombard, k tumpa-
thique propriétaire de !'Hôte! des Voyageurs à Brest, qui a doté de 1.000 francs notre grande épreuve.
Pour les régionaux
La Direction de l'Ouest-Eclair ac- corde aux coureurs régionaux tes cru spectaux suivants
A chaque étape au premier, 2uu irs, au second, 150 1rs; au troisième. 100 'rs; au quatrième, 50 1rs
Et au classement gênerai au premier, 500 irs au deuxieme, 300 us et au troisième, 200 1rs.
Les primes de la sixième étape 50 fr offeru. au premier regiOi.a.. Quimperle, par l'U: S yuimperloise iuu franco du paasugt ci i^umiperiÊ otlerts par la Municipalité, aont oU ir au premier coureur et 60 fr au Dremiei coureur du Finistere
25 francs au passage devant le groupe scolaire de Moelaa-sur-Mer offert* Dai la Municipalité
A Quimper. 50 francs au prem.ei coureur qui passera au naut de ta rue de Douarnenez avant :e p&ssage a niveau. Prime offerte pa: M Kerouédan. A Douarnenez. 75 francs offerts par un groupe de sportifs a répartir comme suit 50 francs au premier coureur passant devant les magasins Maguet, rue Duguay-Trouin.
25 francs au premier Fmlstêrien. Au Moulin-Blanc. 35 francs offerts par un groupe de sportifs au premier Finistrrien passant devant la grille de la poudrerie nationale.
A Brest. 20 francs et Brest offerts Dar M. Bergot. dépositaire des Bocks Lambe. rue Yves-Collet a Brest. au deuxième régional.
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300 fr. a Brest. offerts par le généreux comité du V. C. Brestois. dont 100 fr. au 1«. 50 fr au 2'. 100 fr au l- régional et 50 tr. au 2' régional
50 fr. au 3' de l'étape offerts par M. Pierre Préplu. dépositaire de la Brasserie de Kerlnou, rue Coat-ar-Guéven. Prime de 50 francs au premier coureur régional passant devant la porte principale du magasin Ho-Te. 5-7. rue Jean-Jaurès, i. Brest.
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LORIENT.BREST
(180 kilomètres 500) Cette étape Qui sera courue aujour d'hul nous mènera du port de Lorient a une autre grande ville maritime bretonne. Nous serons au cours de cette étape, au plein cœur de ta Bretagne. au paye des jolies coiffes des beaux calvaires, des sites merveilleux que les coureurs n'auront évidemment pas te temps d'admirer a loisir Mais cette étape sera pour eux celle ou l'effort leur coûtera le moins car les encouragements leur selon' prodigues en abondance. Tous les ans. eu effet, le Circuit a particulièrement connu, dans cette étape le grana succès Une fouie nombreuse, incalculable se presse sur tout le parcours Il en sera ae même cette annee
Après la signature au cale au Commerce, nous partirons de Lorient a 10 h. } Par une excellente route on rejoindra Quimperle On traversera Riec-sur-Beton, Pont-Aven. Tregunc. Concarneau pour arriver a Quimper ou itinéraire sera le suivant avenue de la Gare. le Pont-Firmin qu'on contournera pour suivre le boulevard de Kerguelen, la rue au Parc Puis on déviera A droue après le pont élargi de l'ancienne poste pour prendre la rue René Madec. la place Terre-au-Duc et par la rue du Chapeau-Rouge, on prendre la route qu; conduit a Douarnenez
Douarnenez passe, on ti:ere su' Cnâteaulm. le Faou. Plougastel le fameux pont sur Elorn et on anordera terme d'étape, par ta poudrerie du MoulinBlanc, la nouvelle route ̃<̃ Petit-Pans On arrivera au vélodrome Kerabecam ou se jugeront les arrivées par les rues Anatole France Jean Jaures, la place de la Liberté et la route de Kennou.
L'horaire probable
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Départ 10 n. 3U
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10 11 13 Moélan 11 Pont-Aven Tregunc 12 04 Concarneau 1 1 13 H 13 36 Locronan 10 Cast 14 24 Le 4.b 8.c 15 10 Daoulas 15 19 Ptougastet i5 39 moulin-Blanc 5.5 15 4à 50 2.1 15 55
L'Ouest qui produit d'excellents cidres et dans la vallée de la Loire d'excellents vins produit aussi d'excellentes orges et par suite d'excellentes bières. Celles de la Brasserie GRAFF Frères de Rennes se placent au premier rang pour leur qualité indiscutée. DANS LES PASSAGES A lu Bade
La Bauu. 30 août. Foule énorme au contro.e de La Bauie où tous les cou. reurs passent ensemble follement applaudis Service a'ordre parfaitement t sur* par l'adjudant Moui»ud.
CE QU'IL LEUR RESTE
A FAIRE
L'horaire probable de l'étape Brest-Saint-Brieuc
Contrôle ne Café du merce. 9 heures
Départ 9 h. 45.
Contrôle d'arrivée Hôtel d'Angleterre. olace Dugueaclln.
Brest 0 8 10 1010 Lesneven 11.5 10 30 8 1040 3 1050 15 11 17. Penze Il il 37 12 1159 13.5 1222 8 12 7 12 48 15.5 13 18 Perros-Gutrec 10 13 3 13 4,5 13 50 Penvenan 1405 7 14 20 2 14 26 10,5 14 5.5 14 52 Plouézec 6 15 r 8 15 15 5 15 24 Tréveneuc. 5 15 34 4 15 43 Etables. 3.5 15 57 4 16 07 5 16 la 3 16 30
L'horaire probable
de l'étape Saint-Brieuc-Rennes Contrôle de signature Hôtel d'Ans:» terre, 9 h. 30.
Départ 10 neures.
Contrôle Café de 0 Tregueux 3 10 1 8 10 34 Le Val-André 10 45 4 10 52 Erquy 10 11 11 20 Pléhérel 5 11 29 5 12 3 8 10 12 240 1 12 37 Tréméreuc 2,5 12 41 3 12 47 Dman 9.5 13 C5 1 13 07 La 3 13 13 Pleudihen 2 13 Châteauneuf 6 13 32 Saint-Jouan-des-Guérêts 7 13 13 55 Gare 2 13 59 4.5 14 07 Saint-Coulomb 14:5 Cancale 5 5 14 4 14 1 14 42 Hirel 3,5 14 49 Le Vivier. 1.5 Mont-Dol 14 59 3 15 10 15 28 7 15 16 La 8.5 1615 Rennes 13.5
CHAQUE ANNEE AUKA LIEt UN MATCH ENTRE LES EQUIPES DE FRANCE ET D'ITALIE
PARIS. 30 août. i^a Fédération ïraiw caise de rugby vient de décider que sera joué annuellement le match entre l'équipe nationale de France et d'Italie. Le premier match sera joué au prin. temps à Milan par l'équipe de Franc*.
A La Baule GONTAL VAINQUEUR DE LA COURSE
u COOPERATIVE HO1ELIÈRE 1) Le départ a ete donne a 14 n. 30 par M .Boyer, devant le café du Ralliement. Dès le départ, les coureurs Gontai et QUulauca s'échappent et gagnent ainsi ui;e avance de plus de trois minutes su: les parisiens Cattet. Fieux et Moreau. A mi-course le retard de ces derniers n'est plus que d'une minute vingt. deux secondes.
Dans la cole d Escouolac, eu avant l'arrivée. Fteux et Moreau lâchent Cattet qui est pris de défaillance et le ré. sultat a l'arrivée est celui-ci
1. Gontal Umon velocipcdlque Saint» Nazaire. en 1 n 48 moyenne 34 k. 500. A deux minutes, arrive le peloton emmené par Qualanca. suivi de Fieu.% et Moreau. classés ex-œjuo. Le parisien Cattet arrive 3', a 30 secondes du peloton ayant un retour magnifique Lj hallenge Coroany est gagne par les coureurs Fieux -'t Cattet dj l'U. S. C. de Nice a qui revient la coupe offerte par l'nôtel Hermitage.
Un vin d'honneur a été offert ux coureurs a l'arrlvée 8 Dimancde a La Montagne
SORTIE CYCLISTE
Le Vélo-Sport Montagnard mvtte ses adhérents & participer très nombreux à la sortie cycliste qui aura lieu dimanche. Départ à 7 h 30, place de la Malr.e, pour l'Itinéraire suivant La Montagne, Le Peller;n. Buzay, La Chaussée-ie-Recz et retour. Une épreuve comptant pour le classement annuel sera disputée au cours de cette sortie. Un apéritif ser-% servi après cette épreuve 8 Le i septembre a La Montagne GRANDES COURSES CYCLISTES Les courses annuelles du Vélo-Sport Montagnard auront lieu cette année, le dimanche 9 septembre sur le circuit habituel.
Nul doute que, comme chaque annee. ces courses obtiennent un brillant succès, nous pouvons assureur que jea organlsateurs n'ont rien négligé pour que le succès soit complet.
Voici d'ailleurs le programme, doté de 1.200 francs de prix
A 14 heures Course de Club, départ et arrivée (Stand) 18 km. sur un circuit à couvrir 4 fois. Prix 100. 70, 60, 35. 25,' 15, 10 fr. et nombreuses primes. A 15 heures Course régionale, ouverte à tout coureur licencié de la LoireIntérieure et départements limitrophe» (60 km. sur un circuit à couvrir 14 fois Prix 250 175. 125, 100 70, 50. 35. 30 francs et nombreuses primes. Les engagements sont reçus chez M. Fleury trésorier du V.S.M.. rue des Grandes-Vignes. La Montagne jusqu'au 9 leptempre, à 14 heures. Droit t tr.
AU SPORTING CLUB NAZAIBIEN Section cycliste
Prix de la course de la route de Gueror.de. Les coureurs dont les noms suivent sont priés de se présenter dét> maintenant au Café Voltaire, place Marceau, pour toucher leurs prix Hervoche. Keriouédan. Travaille Vincent, Magre J.-B.. Gulllou Renault -Aoustln. 6
LUNIUM CYCLISTE NANTAISE A MON1'REVAULT
.La commission spéciale de cyclo-tourisme de l'Union Cycliste Nantaise organise, dimanche prochain, un piauenique a Montrevault.
Le rassemblement aura lieu au siège Ce l'Union Cycliste Nantaise. Café de Europe, place du Commerce. à 6 heures. Départ a 6 h. 30 exactement. L'itinéraire sera le suivent Nantes route de Clisson. la Chapelle-Heulin, Vallet ( casse-croûte Geste. la Chapelle-du-Genét, Baupréau, Montrevault {pique-nique >, St-Rémy-en-Mauges. le Fuilet. Sulnt-Laurent-des-Auteis. Landemont, Loroux-Bottereau (arrêt), SaintJulien-de-Concelles. St-Sébastien, Pirmil. et Nantes. Distance 100 km environ.
Cette sortie est réservée aux membres de l'Union Cycliste Nantaise, ainsi Qu'aux touristes désirant y adhérer. Tous renseignements seront fournis au départ. 6
MATCHFS AMICAUX Dimanche
à l'Union sportive de La Baule POSSIBLES CONTRE PROBABLES Un niant] ae sélection ouvrira le 2 septemoie la saison de football sur la Côte d'Amour.
Les spectateurs qui se rendront nombreux au Siade de l'avenue Rosière verront évoluer les joueurs qui auront a défendre cette année les couleurs de 1 U.S.B.
vo:ci ie» aeux lormations qu: se rencontreront
Probables maillots rouge et noir). Guilloux Le Marée et Saveyroux Luces. Fiaiisciilei et Hurseau Bouisset Serreau Lecarlate H Eon et Morvan.
Possibles maillots Diaucsi. Micne: Jaur. Vie Kei^uen, et LecaUo –-Leduc. Hameune et bouteiOux G. de Champsavin et A. de Champsaviu ôoroski .Remii.ii- nts Yoquet Degre Dame* J. Lehuétié
Le in^^cn comniciueia a ib n. 30 ci sera arbitre par M Robert Por.cet, Le prix d entrée est rixe .« 3 francs. Tous »eo autre. joueurs de l'U.S.B. sr.nt pnés de se rendre au terrain ie 2 sep'-einure a 13 n 30 pour l'entrainement 6 DEMANDE DE MATCHES
Concorde de Couëron (1). demande matches les 9. 16 et 30 septembre et 7 octobre sur son terrain, et le 23 septembre sur terrain adverse, contre indemnité ou promesse de retour. Ecrire d'urgence au secrétaire. 16) L'U. S. Basse-Indre demande matches sur son terrain le 21 octobze.£ur-ieirâlri adverse les "23 décembre, ^20 Jahvler. 3. 10. 17 -février L'U. S. Basse-Indre (3), ayant quelques dates de libre pourrait rencontrer équipes région nantaise
Ecrire secrétaire U S. Basse-Indre. Btsse-Indre. 6
AU SPORTING CLUB DE L'OUEST Les basketteurs du S. C. O. sont informés que les séances d'entraînement sont commences depuis une q'.ttnzaine de Jours. El:rs se contir.wrni les jeudi et tllmanrhe de chaque semaine. Le jn;di. de 17 heures à 19 heures o' le dimanche de 9 h. 30 i 10 h. 30. Une séance spcci .le est organisée p0ur dlTianche prochain 2 septembre. dans la matinée. Tous les joueurs de la précédente saison y son conviés ainsi nue les jeunes gens de notre ville. désireux de pratiquer sous les couleurs du S C 0.. cette année.
Les inscriptions seront prises sur pltoe. 6 t"Ouert-Eclav puant chaque îoui aet 9 ,ANNONCES CLASSEES • Oftraifwam tao« se? IV «rtitior.»
La Péaale Nantaise. Réunion du bureau et de la commission sportive aujourd'hui à 20 h. 30. Café c Chez P tit Louis ». 3. rue Rosière. 6 Championnat des patron de la LoireIntérieure (association). Une réunion en vue de l'établissement du calendrier pour la saison 1934-35, aura lieu dimanche. au siège de la Saint-Pierre. 6. rue des Carmélites, à Nantes, 9 h. 45. Les 1 sociétés engagées sont invitées à en- voyer un délégué.
Championnat des Patron de la LotreInférieure (basket-ball). En vue de rétablissement du calendrier pour la saison 1934-35. une réunion aura lieu samedi prochain, à 14 h. 45. au siège de l'A. S. Saint-Rogatien. 47, rue de Coulmiers à Nantes. Les sociétés intéressées sont invitées à envoyer un délégué à cette réunion
A l'A S. Saint-Rogatien. L'A. S. Saint-Rogatlen commence son entraînement le 1" septembre. Cet entraînement a lieu le mercredi soir et le samedi après-midi pour les seniors le mardi soir et le Jeudi après-midi pour les minimes. au siège de la société. 47. rue de Coulmlers. Ceux qui désirent pratiquer à Saint-Ho peuvent se présenter à cette adresse. 6 Vélo-Club Doulonnais. Réunion du bureau et de la commission sportive aujourd'hui, chez M Lemirre. café du Genêt d'Or. 107. boulevard National. Ordre du Jour Paiement des prix de la course régionale du 14 juillet dernier.
Les coureurs Mocqulllon. Caillât. Augereau. Doucet, Esnault. Ronsln Ollivier. Devais. etc. sont priés de toucher leurs prix cette réunion. Tous ce= non réclamés dans le délai de deux mois, à partir de cette date. resteront acquis à la société. 6
COURSES DE SAINT-MALO Résultats du 30 août
PRIX DES ELEVEURS DE DEMI-SANG (trot monté. 6.000 ft., 2.550 mètres). 1. lroke, 2.550 iFortini, à M. TemDller; 2. Ile-de-France-ll, 2.600 (Boudeau), au Haras des Landes; 3. Joas, 2.525 iDuvall, a M. de la Vaissière; 4. Grog-ll, 2.850, a M. d'Heuciiéres.
Non places Grelot-Il, 2.550 (Urvoyo, Jeune-Etaile, 2.475 (Le Gros): Grabuche 2.975 H. Laisisi: Générnl-Lanplats, 2.600 .P. Laisisi.
Temps: 4 1". 4 l' 1/10. 4' 2".
Mutuel Gag. 18.50; pi 7. 8.50, 7.50. PRIX DE la Ville de Paramé (5.000 ir. 1.200 metre»>. 1. Gaylight, 52 Signoreti. a M. Lauzenaerg: 2. Helen-Fox, 54 1,2 (Paveei, a M. Duval-Lemonnter; a. Pnori nette, 6a 1 2 (Hugun,
Son placés Blue-Jersey, 53 1/2 (Da- vidi; Semeuse-d Ur, 49 1/2 (Martinez). Distance 1/2 long., a long., 3,4 long. Mutuel Gag. 15. pl. 8.50, 7 fr. PRIX DES CORSAIRES (attelé, 8.000 fr.. 2.850 mètres). 1. 1-Love-You, 2.850 (Petupas). a M. Hallier; 2. Hic. 2.800 id'Heudiéresi, a Mme dTleudières; 3. Gaby-II, 2.850 ¡Fortin). à M. Brunet; 4. Hayesha, 2.825 (Dolé), à M. Brunet. Non placés Halte-là. 2.875 (P. Laisls); Inca, 2.825 (D^val); Italia, 2.825 (Leroux. Dauphin*, 2.850 (Leroux i FrancMarcheur, 2.850 (Marie>; Fileuse-Il, 2.B25 iBigeoni; Houlette-111, 2.900 (Boudeaui; Fleur-de-Mai-lV 2.875 iLefâuconnler); Favonte-VUl. 2.900 cLegrosi.
Temps 4' 26". 4' 28". 4' 28" 4/5. Mutuel: Gag. 20.50: pi. 10.50. 39.50. 11.50.
PRIX DE LA Société DE SPORT (apprentis, 10.000 fr., 2.300 mètres). 1. PortMarly. 56 iVaisster), à M. Rousselle; 2 2 Jongleuse, 48 1/2 (Martinez) A M. Guittet; 3. Rosier, 56 (Paveei, a M Porte: 4. Criaolet. 52 (Labbél.
Non placés: Zanobie, 52 1/2 Bercovieil. tolletie-V, 53 -Tourillon >; Dogarrcsae, 50 1/2 (Chavrieri.
Distance: 1 long., 1/2 long., tête. Mutue: Gag. 9.50; pl. 7.50, 13.50. PRix Revanche (monté ou attelé, 3.000 francs. 2.550 métresi. 1. ltalia, 2.575 (Lerouxi. a M Ratti; 2. Favorite-VlII 2.650 (Legros. a M. Gérard; 3. Iliade, 2.550 iGoubet'. 4. Hayeska, 2.600 (Dolé). Non placés Grog-il, 2.5 50 .d'Heudiéresi Hic. 2.600 R. Laisies i lnca. 2.575 iDuvali; Franc-Marcheur, 2.625 (Marie). Houlcttc-IIl, 2.650 (Boudeeui.
Temps 4' 7", 4' 7" 1/2. 4 8" 115. Mutuel Gag. 43.50: pl. 10.60, 8.50. 10.50.
PRIX DES Remparts tsteeple-cnase à ré- clamer. 5.000 Ir.. 3.400 mètres 1. Rhodiunt, 68 ILeursonl. M. Barré; 2. Djy, 69 (Signoreti. à M. Champion: 3. Xapotpa, 63 (George).
Non placés Chair-de-Poule, 68 (Lang.oisi.
Distance 8 long.. loin.
Mutuel Gag. 7; pi. 5.50. 6.50. 0
COUIESES A VINCENNES
PARIS, le 30 août. Aujourd'hui, à v'incennes. malgré un temps maussade, de. nombreux sportmen se sont rendus à l'hippodrome du Plateau de Gravelle pour assister à une belle réunion dont les 3 ans avaient la primeur. L'épreuve principale, le Prix de la Normandie, mettait en ligne les meilleurs 3 ans. à l'attelage. de bout en bout la course fut Intéressante. Au départ. Jim-Mc.Kimmey et Judite partent très vite devant Jolesia et Junior -du-Verdier. Au petit bois. Jim-Mc-Kimmey précédait Jolesia, Jonquereis, Junior-du-Verdier. Dans la ligne droite, Junior-du-Verdier attaquait le poulain américain et le battait nettement, celui-ci terminant second après avoir assuré le train pendant une grande partie du parcours De Welle. Kesultats
Prix DE CAMBRAI, Monté, 10.000 frs, 2.250 mètres, 12 partants). 1" Judex •n. Picard). Haras de Louvière 2' Jacobi (A. Morel). a M. Balllère 3' José G. (M. Dumontier), a M. Dumontler. Durees 3' 34 3' 34 3/10 3' 36' 1/5' 3' 37" 2/5'
ueductton 1 35" 1/10".
Mutuel g. 68 pi. 12, 6.50, 10. Non placés Jeannot il (E. Carré) Joulouville (A. Forcinal) Jasmin (Per-'barg) Java VU (Cheval) Janina VIII lA. Deziéray) Jasmin VII (M. Bouley) Jour d Espoir iMondevllle) Josaphat 11 (Ed. Picard); Judith Il (Chrétien).
PRIX DE EAINT-MANDÉ (attelé. 12.000 fr., 2.250 mètres. 12 partants). 1" Ira T iSimonard), à M. de Cabannes: 2« Ingénu IV (Bertho), & M. Lempérlère; 3' ldone (Capovilla), à Mlle Chesnê. Durées 3'20" 4/5. 3'24" 1/2. 3'25" 1/2. 3'25" 4/5.
Réduction 1'29" 1/10.
Mutuel Gag 40.50. Pl. il, 9.50, 39. Non placés Indore iVanlandegheml, Impérieuse B (Doumén). Icare 111 ichyrlécosi. Industan iMasson). Ibérie 111 (Netter), Iris (Verzèle). Indus (Choisselet). If You Please (Bernardin), Inter il (Le boucher)
PRIX DE Bazas (attelé. 10.000 fr.. 2.250 mètres. 14 partants). 1" Je/Jries (R. Geenens), M. Vanhecke; 2» Javari iVandenberg), a M. Gouin; 3« J'ai Compris (Marquet). à Mme Souilhac. Durées 3'42". 3'45" 1/2. 3'46". Réduction 1'33" 1/2.
Mutuel Gag. 9.50. PI. 6.50, 9, 16.50.
Non placés Jupiter (R. Céran-Maillard). Jentil Voisin IF. Devreesei. Jour d'Espotr Mourrah (Neveuxi. Juvig'ny 1 iR.-C. Simonard), Jules César Il ijansen). Jarnac VII (Lecomte). Jéricho V (H. Netter), Jocelun Il (Ruftato), Jéricho (A. Expert). Jouviers IH. Picard). Ju-nivérus iTh. Monsieurl.
PRIX DE TOURS emonté, 15.000 francs. 2.600 mètres. 7 partants). 1" -Islo (Carré), à M Macé; 2' Iris IV (Deziéray), à M. Châtelain; 3e Idaho tseroin). à M. Gypteau.
Durée, 4'00" 4/5. 4'04". 4'00" 1/5, 4'06" 3/5.
Réduction 1'32" 3/5.
Mutuel Gag 16. Pl. 12. 36.
Non placés Incltatus VII (Martel. Isly (Expert). Ibérien iForcinali. Issarles R.-C. Simonardl.
V1NCENNES
PRIX DE Normandie .attelé. 40.1)00 tr. 2.250 m.. 9 part.). 1. Junior du Verdie< (R. Geenens). à M. Vanhecke; 2. Jim Af.*C. Kinney iM. Capovilla), à M. Bernardin- 3. >imy .Leverrier). à M, Ballière.
Durées 3 20" 4/5 3 22" l/ô, 3' 23". Réduction l' 27" 9/10.
Mutuel G. 16,50; pl. 7, 6,50. 20.50. Non placés Jolesia Bernardin). Juuer (Vandenberg), Judith ,R. "jran Maillard). Juvénal Il (A. Tambéri), Job (Il Gypteau). Janquerets (Rialid). PRix ns TouLox. (Monté 20.000 francs. 2.800 mètres, 10 partants' 1' Hupues-Capet (eSroin). à M Fougères 2. Fléréal-11 (A. More» à Mme Simonard 3. Helios (A Forcinal). M. Forcinal.
Durées 4'.1»" 4." 15" 1/10. +W i/5. 4' 19" 4/5.• Réduction l' 29" 1/2 Mutuel G 66 p. 12,50, 13. 7. Non placés léna-VII 1R.-C. Simonard) Gamaliel treine) Hamlet-Ul iH. Marte) Harem tE Marie) Glaive (L.-L. Libeer) Faust (F. Devreese) 6'lexanville (Chrétien)
Prix DE L'ALLIER (attelé. 1.200 fr.. 2.800 m., 12 partants). 1. Huesca tA. Sourrou bille), a M. Bertrin 2. HardiBouquet tR. Simonard). à M. Omont; 3. Houat iH. Masson). a Mme Ollivero Durée 4'18"l/2. 418"3/5. 4'18"4/5. 4'19"3/10.
Réduction l"32"2/6.
Mutuel G. 20.50 P. ?,50, 8,50. 7.50. Non p:acés Gardenia-Vll (Dubreull); Genet-d'Or tA. Expert) Grantille-ll Butti) Héléna <R. Wlndels) Hades (H. Netter) Gejely (F. Devresse) Hermine-Royale-H iBlancart) Nypres (R. C. Simonard. /peu iR. Céran Maillardl. COURSES A CABOURG
Résultats
Piux D'ENGHiti. (2 .00 Ir.. l.*00 .1.. paru, 1. Ibis VIII (Gittun). à M. Goaefroy; 2. Délivrance Il iChalntreull) comtesse Guales de Mezaubran. Distances 1/2 long.. 2 long. 3 long. Mutuel G. 41 pl. 11,50. 6.
Non placés la Ili .Bourdln). Ji'Kye iBéguiristain).
Prix DE varaville (3.500 fr., 2.400 m.. 4 part.). 1 Kirghiz iCarrattl. nrin- cesse de Fauclfmy 2 Mueique iOUoqtueguii. à M. Duchet :n.
Distances 3 long., 1 long., long. Mutuel • G. 7 pi. 6, 11.
Non placés llex tmontane), La Radio V. liwilli
PRIX DU Golf (A réclamer. 3.000 trancs, 1.200 mètres 3 partants) 1" Novelette iM. Brethes). a M. Adele 2. Otrante (C. Carratt). a M. Count. Distances 1/2 tang., 2 long., 2 I. 1/2. Mutuel- G. 25.50 p 10.50. 8.50. Non placés Antonita R. Sancho) Transe-Il IJ, Leplntel Grain-de-Calé (F Vonwilli.
Prix DE Longchamp' i5 CKK. francs, 1.800 mètres. 7 partants) 1" LaSpéria tR. Sancho). il. M. Wenger 2. Egry iM. Lollieroui. a M. de SaintGenez 3. La-Curée iM Brethesl. à M. Adele.
Distances 1 1. 1/2. 1/2 long., 2 long. Mutuel G. 20.50 p. 10.50. 9 Non placés Rio-Bamba (A. Dixon) Gymkana Kerbirlou) Dauneck (R. Leblanc) Coryanthe ;Taffs).
PRIX du PESAGE (haies, hand.. 5.320 fr.. 2.800 m., 3 partants). 1. Caramon iDuchemin), à M. Roussel: 2. Ventrebleu (M. Denton), il. M. Quevieux; 3. Riched-Battle iL. Foulllade), à M. Carpentler.
Distances 3 long. 10 long.
Mutuel G. 16.
Prix D'AUTEUiL isteeple. 4.180 fr., 3.600 mètres) 5 partants. 1. Tride IR. Poignant). a M. Iselln; 2. Venttebleu (M. Denton). A M. Quévieux: 3. Grenicheux (P. Duchemln), a M. Duchemin.
Distance 4 long.. 10 long., 2 long. Mutuel Gag. 28; pi. 11 et 10 fr. Non placés Tobs (L. Foullladel, Hermtone-/1 (M. Teyssou).
COURSES A CLAIREFON'fAINE Partants probables
Prix.du Vieux-Poirier thaïes, 10.000 francs, 2.800 mètres). Prince-des-Ténèbres (W. Mac Garry), Barberousse IL. Niaudot), Neuvillais IH. Gleizes), HauteMarée (R. Harrisson). Reynolds iM. Brunet), Silistrie (J. Driancourt).
STEEPLE-CHASE DE CLAIREFONTAINE (handicap, 15.000 fr., 3.400 mètres). Grigri (J Driancourt), Arnale IH. Burette). Bleu-de-Chine et Le-Ludion (M. Bonaventure). La-Louvière (H. Brierre). Coefficient iG. Cervo). Brulfor et Belluaire (L. Niaudot).
PRIX DES Narcisses la vendre, 8.000 tr., 2.000 métres). Ottawa (R. Sancho), Golden-End (V. Kerbiriou). Kirghiz (X.). Tormenta (A. Spencley). Aiglemont (E. Mantelet), Xanbie iG. Duforez), RoyalOrder (R. Vonwllll, Bridoie tA. Dixon). PRIX DE LA VILLE DE TROU VILLE Ihand., 15.000 fr.. 2.600 mètres). L'Eldorado (A Lavlalle). Spurklet (F. Piergiovannl). Crémq-Renversée IF. Rochetti), Princedes-Ténèbres iW. Mac Garry). Tonnencourt tJ. Lepintel, Princess-Rose (C. Lombard \Silistrie (X.J.
CRITERIUM DU CALVADOS (20.000 fr., 1.300 mètres). Estrelle tC. Bouillon). Valetta et Robe-de-Bure (A. Lavialle). Officine (R. Brethès), Astaire >G. Duforez), Terclade (R. Sancho). Azoni lA, Dixon i, Taiiganika (A. Galloui.
PRIX DE LA CROIX-BRISÉE (12.000 fr., 1.100 mètres). Miss-Take (G. Vatard), Charmai ne-Il iJ. Rosso), Borodino (G. Delaurte). Ol-Man-River (W. Sibbntt). Santa-Margarita (R. Sancho), Bernita (F, Pfergiovanui). Mano-Stella et lmonora (A Dixon).
Pronostics
lr' course Neuvillais Barbe Rousse; 2« course La Louvière, Grigri.- 3' course Aiglemont. Golden End; 4. course Tonnencourt, Crème Renversée 5e course Officine. Astaire; 6" course Santa Margarita. Borodino.
Pronostics d.< ta presse spéciale PARIS-SPORT. 1" course Reynolds; 2' course Sc. Veil-Ploard; 3- course Xanbie; 4, course Crème-Renversée; 6> course Astaire; 6* course Charmatne-U.
Auteuil-Longchamp. 1" course- Rey- nolds: 2' course Ec. Veil-Picaid; 3« course Xanbie; 4' course Remanso; 5- course: Astaire; de course: Char.maine-11.
Un concours de majoration CAEN, 29 août (de notre envoyé spécial)
J'ai déjà écrit bien des fois l'histoire des concours de majoration et j'ai expose l'évolution de ces concours. Ils avaient pour but, dans le principe, de donner ofiicieUement et solennelle.ment la leçon du cheval de selle, leçon dont les éleveurs avaient besoin, car. dans beaucoup de régions. meme de grand élevage, on ne se doutait guère des qualités à exiger pour une monture de vrai cavalier.
Tous les ans, dans chaque région d achat de chevaux pour l'armée, les Remontes, assistées des Haras, procédaieut à l'examen et au classement des chevaux que, seuls, les éleveurs avaient le droit de présenter Des primes tres importantes étaient attribuées aux animaux classés dans les premiers et vendus ensuite au comité
d'achat qui, pour ce jour-là, payait très largement, pour bien, comme on dit, marquer le coup. Il s'agissait aussi de rénumérer l'éleveur des frais occasionnés par la préparation des chevaux qui etaient présentés montés et que l'on exigeait non pas dressés, mais suffisamment débourrés et supportant bien le cavalier.
A 1 époque de la création du Concours de majoration, il n'y avait pour ainsi aire pas d'autres concours de selle Maintenant tout est changé; des concours de selle, il y en a partout et a chaque instant. Ce sont non seulement les grandes manifestations de la Société hippique française et d'encouragement à l'élevage du cheval de guerre: mais aussi tous ces petits concours particuliers dont l'ensemble représente des sommes immenses dépensées pour l'élevage.
Mais chacun sait que, dans tous ces concours, les grands comme les petits, ce sont toujours les mêmes chevaux que l'on retrouve, présentés par les mêmes entrepreneurs, devant les mèmes jurys, et aussi devant le même public. J'ai tort de parler de ce public qui n'existe pas; partout c'est toujours le grand vide autour du cheval de sang.
La leçon du cheval de selle ayant été donnée ou censée donnée dans tous ces concours, la majoration actuelle est tout simplement la séance dans laquelle les grands entrepreneurs de chevaux de concours liquident la marchandise qu'ils ne veulent pas conserver pour l'année suivante, soit parce qu'elle coûterait trop à garder pour ce qu'elle pourrait rapporter dans la suite, soit parce qu'il n'y a plus rien à en tirer et qu'il n'y a pas d'espoir de la vendre ailleurs, plus cher qu'à l'armée.
La majoration, ce n'est plus autre chose et la preuve c'est le concours d'aujourd'hui à Caen. J'ai la plus grande estime pour MM. de Carville. Hardy et Henry, mais je constate que. à eux trois, ils avaient bien plus que la moitié du nombre des chevaux qui ont eté présentés, et puis, si je regarde la liste. des récompenses, je vois que, parmi les 25 premiers du classement. tous, saut deux qui sont, l'un à Mme Vve Terrée, l'autre à M. Lerat, tous ces 25 premiers, sauf ces deux, appartiennent à MM. Hardy et de Carville. Il y en a 15 à M. Hardy et 8 à M. de Carville.
Que tous ces chevaux, que les concours précédents ont mis en valeur, soient payés plus cher qu'un inconnu dont les qualités se manifestent seulement le jour du concours, plus cher aussi que tel autre présenté un jour quelconque au Comité d'achat, je trouve cela tout naturel; mais que la majoration soit, en définitive et uniquement, la consécration officielle et solennelle de la supériorité de telle ou telle entreprise, sans qu'il en ressorte vraiment un profit pour l'élevage ou même seulement une leçon pour cet élevage, j'estime que c'est abusif. Ces messieurs de Carville, Hardy et Henry. dont j'applaudis la réussite dans tous les concours et qui me sont extrêmement sympathiques, ne m'en voudront pas de ma franchise.
Il n'y a plus de leçon de la majoration alors que, même avec le système actuel, il pourrait y en avoir une. On présente des chevaux que nous connaissons et que nous avons vus classés à peu près toujours de.la même façon dans tous les concours où l'on n'a jamais' d^eniandé jiue les mêmes allures excitées et sans qu'il y ait eu obligation d'un moindre dressage, même pour les chevaux de 4, 5'qu 6 ans. Eh bien aujourd'hui, à la majoration, c'est un concours pour des chevaux qui doivent entrer dans les rangs de l'armée et qui, par conséquent, doivent être essentiellement militaires. avec des qualités spéciales de trempe, d endurance, de rusticité, qualités qui ont pu rentrer moins en ligne de compte dans les concours de la Sociéte hippique française, malgré qu'elle ait ajouté a son titre celui de Société d'Encouragement à l'élevage du cheval de guerre
Ce sont les qualités militaires des chevaux qu'il fallait mettre aujourd'hui en évidence et, si on l'avait fait réellement, lé classement aurait été tout autre que celui auquel nous avons assisté. Je ne pense aucun mal des premiers du concaurs je reconnais qu'ils sont de belle conformation avec de belles allures; mais, de par leur taille, leur volume et aussi, pour quelques-uns, de par certain sang qui leur fait un peu défaut, ils sont beaucoup moins militaires que tels autres qui sont plus loin dans le classement. A parler franc, au point de vue militaire. je donnerais tout le lot du premier tappel pour celui du deuxième.
Et c'est pourquoi j'estime que les
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concours de majoration de la Remonte doivent être transformés radicalement et de telle façon que l'argent qui leur est attribué soit réellement employé à donner la leçon que j'ai réclamée jusqu'ici sans succès, la leçon imporv tante du cheval de selle mititaue, qui< il faut bien le dire, est bien, à l'heure actuelle, le seul intéressant.
Nous donnons par ailleurs tes sultats du concours.
Colonel CHAKPY
Cours des changes
freceo Jour
Livre 75 M 75 2t Dollar. sa Belgas (100) 355 50 355 75 Lires (100) 130 10 130 Pesetas .100) 207 25 207 25 Florins (lOOi 1026 5U 1026 50 Cour, tchée (100) 63 •. » Francs suisses (100) 495 » 195 n Cour, suédoises (100) 391 » » Zlotys (100) 286 75 286 7ft
BOURSE DE PARIS fAH.it le au aout.
Séance satisfaisante. Les 3 Quelque. dégagements inevilaules a la veille de la liquidation )!Il été trls absorbes La reprise >esi nb^ez vifcuuieubemeni Oevt.oppee sur e groupe ces rentes oien impres=..jnnee» su; te résumât au Conseil de Caoiuei et .en deciaiations du ministre de» rinunce^. Le weux 3 n'a pas gu^iie moins ae 0 75 a 73 le 4 1/2 a 8V.4U 0.30i ie 4 1/2 B a 88.lu Banque sann glauas changements, ttui le Créait foncier tres terme a 4210 -i. 30i.
Aux industrielles, oonne tenue de l'action Nickel a 303 71.
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En wUlis&a. i arbitrage ae Londres a continue a se montrer acni malgré la nouvelle baisse au sterling La CotaîieiAs, i'tasi liand, la Urown. la tiana Mines, ont gagne des fractlons, par contre, le Trantvaai et la Charter ei ont cedé quelques points.
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240U BONS fRESOH Il Mu SOC MARSEILLAISE il 45U PART PARISIEN OEP Il.1'' sept. ) du;, 1 INJ. 4 Si QUENELLE lU.u 5 3 3 .au nI 5 b A EST b b » noms 1uu LION NOIR, "1 BONS à 'le. 151U MIDI 5 BONS MIDI à NORD » NORO 5 1933 832 815 BONI 0RL 95i ni1495 OUEST 3 Anciennes.. 364 n,1520 Il BRIBIL 4 t
LES COOPÉRATIVES
ADMISES A L'EXPORTATION Voici une première liste des Cpopérative3 admises à exporter, par le ministète de l'Agriculture
COTES-DU-NORD
QUINTAUX
Coopérative c La Rochoise »
Roche-Derrien 4.900 Coopérative de Pèdernec 250 Syndicat de Plouha 650 Syndicat de P.eubian 250 èyad. de Belle-Ilt-en-Terr».. UM Synd. de Mûr-de-Breta*ae. e00 Syndicat de Corlay 100 Syndicat de Loudéac 450 Syudicat de Planooët 8.400 syndicat de UmMllt 1. 100 Syndicat de Lanvollon 300 Syndicat de Kuca-MaUgnon 600 Total le-000 PINLSTe
Union des Syndicat* agrl-
cote* du Finistère et des
cote$-du-Nord. a Lander-
neau, a· 1 1.600 Pnion des Syndicats agri-
colts du Finistère et des
C6tes-di -Nord, a Lander-
Beau, n" 2 5.800 Syndicat agricole de Lan-
meur 300 Syndicat agricole de l'arron-
dissement de Ch teeulln.
M. L'Handon, secrétaire. 4.800 Syndicat agricole de Ros-
poraeu, M. Leareton 850 Syndicat agricole, rue de la
Gare, à Qulmperlê. M. Le-
Jean-du-Ooigt 600 Total 17.650 Coopérative agricole de la
régton Sud-Est de Ren-
nes, M. Gaudiche, négo-
ciant, Caateaugiron 2.200 Coopérative agricole de la
région de Retiers, M. Pour-
teau, Reiiers 800 Coopérative agricole de
Bréal-sur-Montfort, M. J.
Roussin, au bourg, Bréal-
sur-Montfort 600 Coopérative -.cric:, d'Arien-
tré-du-Ples»is. M. Boull-
lon, A la Gare, Arien.
tré 1.400 Coopérative agricole de Vi-
tré, M. Pierre Leroy. rue
de Brut, 12, Vitré 700 fÇrchaud *.900 Coopérative de CuQuen
H. Mossay. négociant, b
Cugtlen 400 Coopérative agricole de
Bèdée, M. Uouée, Lls-
tendiére. à Bédée 350 Coopérative aîricole de Mé-
dréac. M. Gourgt, négo-
ciant, i Médréac -000 Coopérative Les Silos de
PÛcnatel 300 Syndicat agricole. 32, place
des Lices Rennes. ML Le-
pannetier de Roiesay 1.600 Société d'agncult., M. Bail-
large, Il. Galerie du Théâ-
tre, Rennes » ̃ 800 Coopérative des Associations
agricole». M. de la Bour-
donnaye, 6, rue de la
Chalotais, Rennes 800 Coopérative a La Château-
glronnalse », M. Des
Hues, à Chàteaugiron 300 Coopérative agricole de
OaèL M. Valliandre, a
Oatt 000 Coopérative agricole de La
Ouerche-de-Bretacne. M.
Ooopératlve agricole de la
région de Noyal-sur-Vi-
laine. Bas-Noyai 600 Société Coopérative Agri-
cole de stockage de cé-
réales. M, Balllargé. Ren
nés 600 Coopérative agricole dt
Cnateaubourg. M. Sour-
dln O00 ORNE
Coopérative de stockage de
la Fédération des Syndi-
cats agricoles de l'Orne
kl. Drouet. 3, place ktané
4 Argentan 300 Coopérative agricole de
atoctage et de vente de»
produite agricoles de la
région de Laigle, M Oué-
bert, a La Bols&ière, priés
LaXie 2 300 union des Agriculteurs et
Coopéra teurs de Bellé-
tne, 18, rue de Paris, M
J. Delaitre. il. Bellême ..100 Svndloat des Agriculteurs
de l'Orne. 5 rue Demées.
a Ale&con. M. de Sainte-
Preuve, 6. rue de l'Air-
&ut, Â Alençon 250 TorAoz 5.850 VENDtE
Coopérative des Produc-
teurs de la Vendée. M.
Mercier des Rochettts.
7, place du Théâtre. à
la Secbe-sur-Yon 39.800 Coopérative du Syndicat
agricole départemental.
M. Châtelain. 1. rue des
Sabiei. a La Roche-sur-
Yon 10.400 Société Coopérative de la
région de Breull-Barret.
il. Qubaud René 1.700 Sociéu Coopérative d utUi-
sstlca des machinas agrl-
oolas. à Culmes 800 ToTacx 62.000
ANALYSE DES ENGRAIS
Le Journal Officiel du 80 août pubtle uo arrêté déterminant les méthodes officielles pour l'analyse des esterai!. Dosage de J 'azote sous aes divers états.
Dosace de l'acide phosphorique •oui acs divers états.
Dosage de la potasse
f aju», le 30 août O>« notre correspondant tptetalt
BEUBRiS. Le temps Plus frais a permis une meilleure demande alors Que tes envoi$ ont encore diminué. ne ce lait cours ferma» et réductions dtt On eotr eu kilo 'courr. extrêmes avec oour» moyens entre parenthèses i Qmuruuge* des Laiteries Coopératives
et Industrielles: Charentes-Poltou, 12.50 a 16.50 (14.80) Normandie 13.50 15.70 (14) Touraine, 12.50 à 16.50 (14.80) autres provenances, 10.50 i. 14.50 (13.50).
Malaxes Normandie; 11 a 13.90 (12.501 Bretagne, 10.50 13 (12) autres provenancea, 10 à 12.50 (11 20). Beurres en vrac Provenances cliverses, 9.90 10.60 (10).
Beurre* en livres Provenancea diverses, 9.90 a 11 (10.50).
Arrivages du jour Beurres français, 26.720 kilos pour 2.394 mottes ventes du Jour, 2.573 mottes resserre du Jour, 1.488 mottes.
♦ŒUFS. Petits arrivages et meilteure demande, ayant pour résultat une bonne tenue des cours et même légère hausse en marchandise ordinaire et diminution de la resserre.
Cours par colis de mille œufs (cours extrêmes avec coure moyens entre parenthèses) Picardie, Normandie, 290 a 450 (410) Brie, Beauce, 350 a 450 (390)_j Bretagne, 300 à 360 (330J Poitou, Touraine. Centre. 330 480 (430) Champagne, Bourgogne, Bourbonnais, 320 a 390 (370).
Arrivages du jour (colis), 436 ventes du Jour (colis). 567 resserre du Jour (colis). 963.
FROMAGES. PATES MOIXJSS NotrVELLES. Légère amélioration de la demande et cours bien soutenus, surtout pour les Bries.
Prix au cent Camemberts Normandie, 160 à 290 camemberts divers, 80 à 190 Lisieux en boites, 175 à 400 Gournay, 90 110 NeufchâteL 50 à 85 ̃ Pont-L'Évêque. 150 à 300 Chèvre, 50 à 800.
Prix d la dizaine Brie moyen moule, 100 150 Brie laitier, 80 à 140. PATts sèches. Vente assez active. Cours en hausse sur les bons gruyères. Aux 100 kilos Port-Salut, 400 & 1.050 gruyère, 600 à 800 Comté, 600 à 800 Hollande, 1.250 à 1.300
Arnvapes Pâtes molles. 63.250 kilos; pâte* sèches. 8.630 kilos
VIANDES. Le temps plus frais a quelque peu stimulé les affaires, et avec les arrivages très moyens il y a eu reprise sur le veau et le mouton. On cote au ktlo (cours extrêmes) Bœuf. Quart derrière non traite 1" qualité, 6 à ?.50 2' qualité, 5 à 5.90 3' qualité. 4 a 4.50 quart devant, 3.50 il. 5.80 aloyau, 5 à 13.50 train entier. 4 a 8.50 paleron, 3.50 a 6 bavette, 3 il. 6.50.
Veau. Hausse de 30 centimes sur toutes qualités.
Entier ou demi 1" qualité, 7.80 à 9.30 2' qualité, 6.80 4 7.70 3« qual6té, 6.50 & 6.70 pans, culsseau, carré, 6 Il basse complète, 4 & 7. MotJTOH. Hausse de 50 centimes sur toutes qualités. 1" qualité, 12.50 à 14.50 2- qualité. 10.60 12.40 3* qualité, 7 10.40 gigot. 12 à 18 carré, 10 à 26 épaule. 5 11 agneau de lait. 9 1 16.
Pottc. Demi 1" qualité, 6.80 à 7.80 2* qualité. 5,30 à 6.70 longe ou filet, 8 & 12 reins, 5.80 a 8.50 poitrine, 4.50 il. 8.50 Jambon, 5.30 a 10 lard, 4 6.
Arrivapes du jour (kilos), 240.000. VOLAILLES. Devant l'insuffisance de la demande, la baisse a encore atteint légèrement les canards de choix. les oies et les poulets de Bresse, qualités ordinaires. Cependant, il y a eu hausse sur les lapins morte et les oies dépouillées, toutes marchandises faisant l'objet d'une demande assez active.
On cote au küo (cours extrêmes) Agneaux gros, 3 à 13 canards rouennais, 10 à 10.50 canards nantais, 10 a 10 50 canards de ferme, 7 à 9 dindonneaux nantais, 11 a 13 dindonneaux du Midi, 11 a 13 lapins du CUtinais et Touralne, 8 a 8.50 lapins de provenances diverses 7.75 il 8.25 oies en peau, 6 a 8 oies dépouillées, 8.50 i 9.60 poulets nantais, 10 il. 12 poulets du Outillais, 11 12.50 poulets de Bresse, 13 à 14.25 poules de Bretagne. 10 à 12 coquelets, 11 13. On cote la pièce (cours extrêmes) Pigeons (gros et petits), 4 à 7.5 j pintades. 14 il 16.
yolailks vivantes
On cote au kilp (cours extrêmes) Canards, 7 a 8 lapins, 4.75 5.25; oies. 6 à 7 poulets jeunes Gaunais, Charentes. 8 a 9.50 poulets vieux •Gâtlnais, Bretagne, 7.50 à 9.
Arrivages kilos), 60.000 resserre de la veille (kilos), 3.700.
GIBIER. Néant
+ LEGUMES. La demande n« s'améliore pas, aussi les cours conti* nuent-ils de fléchir, notamment sur les haricots verts, beurre et mange-tout, poireaux, choux-verts, choux-fleurs Ce la région Parisienne et pommes de terre eerstellngen.
Cours extrême* aux 100 kilos Ail, 250 A 350 carottes de Meaux. 20 à 40 champignons couche extra, 400 à 550 moyens, 400 a 500 de conserve, 280 à 400 cèpes. 600 A 700 chicorées l'antes, Orléans, 80 140 cornichons, 30 a 200: échalottes. 200 a 250 épinards. 80 a 130. haricots verts du Midi. 100 a 220 Angel s. Saumur 140 à 300: région parisienne. 140 à 300 haricots beurre rcijlon parisienne, 50 à 140 haricots mangetout. 60 130 haricots écosser, 70 à 120; laitues de Nantes. 101 à i lentilles, 200 4 350 oignons en graine. 60 à 100 oseille. 50 120 poivrons. 120 à 30D r ..rons. 40 à 60.
Les pommes de terre. Cours extrémes aux 100 Hollande commune, 80 à 120 rosa. 100 à 110; saucisse rouge, 85 à 100 eerstellngen, 45 60 blanche commune, 50 a 70.
Cours au cent Artichauts bretons, 10 à 80 région parisienne. 20 110 aubergines. 20 à 40 chicorées région parisienne, 16 a 50: choux-verts de Paris. 30 100; choux rouges. 50 1 100 choux -fleurs du Nord, 40 125; de l'Aisne, 40 à 100 de Paris. 30 a 225 courgettes -égion rlslenne, 15 à 25 escaroles. 15 à 60 laitues de Paris, 20 70 romaines. 30 a 100.
Court aux 100 bottes Carottes des Vertus. 30 a 60 de Montesson, 30 Il 90 ciboules. 60 100 échalotes nouvelles. 120 170 estragon. 70 à 130 navets région Parisienne, 100 & 250 oignons nouveaux, 90 a 150 panais 75 a 125 poireaux de Montesson. 125 l 176 ordl. naires. 70 à 125.
bouri aux uo Donc» vjresson, w à 40.
Coun à la botte Carottes nouvelles de Paris 0,20 a 0.60 célerl. 1 2.50 thym. 1.26 à 2.26.
FRUITS. Les fruits et placent toujours très lentement, faute d'acheteurs, de ce fait, 1ee cours sont en baisse sur les tomates, raisins et mirabelles. Hausse sur les Maux melons d èla région parisienne.
On cote nus 100 kiloa icours extrême* i
Amandes vertes, 200-400 figues fraîches 350-600 noisettes fraîches. 250450 nota vertes (en brou). 200-250 noix fralcnes <écBlees>. 350-500 pèches du Midi. 150-600 du Midi en plateau. 400-760 poires choix. 160-400 communu. 60-100 pommes communes, 80150 prunes départements, 90-150 Reine-Claude de Paris, 250-600 départememtt. 200-SOO mirabelles. 140-170 quetenas, 100-1*0 raisin blanc du Midi, 100-200 raisin noir du Midi 180-220 raisin OCuiade. 250-350: Muscat. 250-400; CaasMlas Molaiac. 250-320 du Midi. 50-120 région parisienne, 40-100. On cote d la Pièce
Melons de Nantes. 0.75-2-50 de Paria. 1.50-8 melona de Cavaillon. 0.602.60 melon* de Vendre. 0.25-1.
On cote à la corbeille
Fraises de Niorts, Rouen .Orléans, 3-6.
On cote au kilo
Fraises des quatre saisons, 10-14. Aux 100 kilos
Bananes des Canaries, 360-300 de Guinée. 200-300.
Paris, 80 août (de notre correspondant spécial).
Temps moins chaud. Jusqu'ici la consommation a été faible, mais les rentrées de vacances vont s'accentuer.
Amenés basu}s. 1.259; vaches, a39 taureaux, 250. Total 2.348. Introductions directes aux abattoirs depuis le dernier marché 431. Réserves vivants* ce matin aux abattoirs 1.215.
Renvoi 45 bœufs, 16 vaches, 4 taureaux.
La vent a été un peu plus facile en très bons animaux qui ont légèrement repris, mais l'ordinaire se vend toujours avec difficulté.
On cote à la livre de viande nette • BCEDPS. Normands extra, 3.203.60; bons normands, 2.80-3.10: ordinaires, 2.60-2.70; Charollais, Nivernais, Bourbonnais, Berrichons. Bourguignons, extras. 3.30-3.70; bons bœufs blancs, 2.90-3.20; ordinaires, 2.60-2.80; Salers du Centre ou de Charente et rouges divers extra, 2.60-2.90; bons boeufs rouges, 2.302.50 ordinaires. 1.80-2.20; Gris de l'Ouest. Vendéens. Partnenais. Man·ceaux de Sarthe, Mayenne, Choletais, Nantais extra, 2.80-3.30: bons animaux. 2.50-2.70; ordinaires, 1.90 -2. 40; Bretons extra. 2.70-3.20; bons Bretons. 2.30-2.60; ordinaires. 2-2.20: boeufs du Midi, 1.902^90: boeufs communs de toutes races, 1.70-2.30.
• VACHES. Charollalses, Nivernais ses, 3.50-4- Normandes extra. 3.40-3.90 rouges extra, 2.80-3.20; Mancelles. Choletaises extra. 2.70-3.30; Bretonnes extra, 2.60-3.20; génisses ordinaires de toutes races, 2.50-2.90; bonnes vaches, 2.803.25- vaches ordinaires, 2,40-2.70; vaches médiocres. 1.40-2.30- viande saucisson. 0.80-1.10.
• TAUREAUX. Bretons extra, 2.603.10; Jeunes de ferma. 2.20-2.60; gros, 1.50-2.10.
Amenés 1.877. introductions directes 1.032. Réserves vivantes 595. Renvoi 150.
Malgré ce petit total exposé, les affaires ont été plus mauvaises que Jamais, sauf pour les beaux veaux qui seuls sont demandés. Les cours sont aujourd'hui au plus bas.
Les veaux de sorte extra des meilleures provenances ont été vendus au détail. la livre neue, 4.30-4.70; bons Gâtinais, Eure-et-Loir, Blésais, Eure, des rayons de Nonancourt et Damville. 3.604.10: ordinaires. 2.90-3.50; Tourangeaux de Richelieu. Sainte-Maure, 3.50-4.10 Tourangeaux de Chlnon. Loudun. Loches. 2.90-3.90- Champenois de Romllly, Sézanne, Nogent-sur-Seine, 3-3.40; autres rayons Champenois. 2.50-2.90: veaux à robe blanche, 2.70-3.70; Manceaux d'Ecommoy. Mayet, Le Lude. Châteaudu-Loir. 3.40-4; autres bons Sarthois. 3.20-3.90: Manceaux communs de la Sarthe, notamment du rayon de Sablé ou de Maine-et-Loire, en provenance du Baugeois, 3-3.40; Angevins. 3.10-3.80 Orne, des rayons de Laigle ou Gacé, 2.603.30 Manche. 2.90-3.40; Caen, Gournay, 2.80-3.30; Vendée, 2.70-3.30; Bretons d'IUe-et-Vilaine et Cotes-du-Nord. 2.70.3.30- veaux de service, 2.70-3.30: broutards. 1.60-2.10- petits veaux ou c crevards ». 1.60-2.10.
MOTTTOWS
Amenés; 5.043. Introduction directe* 2.716. Réserves vivantes 4.870. Renvoi 192.
La boucherie de gros n'a que peu de besoins. Les affaires ont traîné en longueur avec cours généralement faibles. Sauf indication contraire, les cours ci-après s'entendent à la livre nettt pour animaux en laine.
a AGNEAUX. Les agneaux extra Southdown ont valu 7.20-8.10; croisés. 7.10-8; Dishieys-Mérinos de Beauce. Ilede-France ou autres régions. 6.60-7.30: Loiret, 7.10-8: Charmois, 7.10-8.10: Nivernais Bourbonnais. 6.80-7.40; Berrichons, 6.70-7.40; Bretons, Maralchlns, 8.40-6.50; Sarthe, Mayenne, Vendée, 6,40-7: Bourguignons, Champenois, 6.607.20 Lorraines. 6.20-6.50- Métis. 6-6.70. 8 MOUTONS. Diahleys-Mérinos de Beauce Ile-de-France. 5.90-6.20: Loiret. 6.30-6.70: Nivernais Bourbonnais, 6.206.60- Berrichons, 6.10-6.50: Poitou. 6.406.80: Bourguignons. Champenois. 5.80-6, Lorrains, 5.7O-5.90: Limousins, 6.90-6.30; Lozerots, 5-5.30; Gascons aveyronnals. 5.60-6.20; Albigeois, 6.10-6.80; Métis. 5.80-6.
8 BREBIS TONDUES, Beauce. nede-France. 4.70-5: Berrichonnes. Nivernaises 4.60-5.10; Aveyronnalses. Gasconnes, 4.20-4.90; mères usées. 3.50-4. Amenés; 1.970. Introductions directes 4.023. Réserves vivantes 1.029. Renvoi Néant.
La vente a été difficile avec baisse de 10 centimes par kilo vif. sauf en extra. On cote au kilo vif
Porcs maints extra. 5.20-5.30; bons Dores de pays maares. 4.70-b: mnlpres ordmalres et petite marchandise. 4.604.90' fonds de parquets. 4.40-4.60; porcs un peu épais de l'Ouest et du Centre, 4.60-4.90: gros Rras, 4.40-4.60; nourrisseurs, 4.40-4.60: porcs Craonnsls. 5-b.30. Bayeux. 5.10-5.30; Vendée. 4.70-5.30; CQches de toutes provenances, 3-3.40: la1tonnes, 3.50-4.
On cote à la pièce
Porcelets. 130-200.
Coati officielt
Cours de clôture au kilo de viande nette
Les chiffre* s'entendent de la mamère suivante Amenés, invendus. 11, 2' et 3* qualités, extra*
Bœuj*. 1239, «A. 6.50, 0.30, 4.20. 7.40.
Vaches. 83», 19. 8.ê0, 4.70, 8.l0, 7.80. Taureaux. 250. 4 4.70, 4.20. 3.60. 5.40.
Veaux. 1377. 1N1, 8.50. 6.60, 6.30 9.70.
Mouton*. 6.043. 102, 15, 10.00, 8.80, 15.80.
Paru. 1.970, néant. 8.se. 628, 4.66. 7.58.
Brebis. 8.10 9.80.
Cours approximatif au trito, poids vil
Les chiffres t'entendent de la manière suivante 1", 2* et 3- qualités, extras Boeufs. 3.90. 2.90 2.10, 4.69. Vaches. 3.78. 2.S8, 1.95 6.
Taureaux. 2.88. 2.31, L80. 8.S6. Veaux. 5.10, 3.90, 2.86. 6.21.
Mouton., 7.50, 6 3.85, 7.90.
Porcsi 4.80. 4.40, 3J20, 6.30
Arrivaget par département
Calvados 180 bœufs, VU vaches, 10 taureaux. 85 porcs.
Côtes-du-Nord 70 vaches, 130 porcs. Charente Néant.
Charente-Inférieure 90 boeuf*. 10 vaches, 15 taureaux.
Deux-Sèvres 40 boeufs. 20 vachea, 10 taureaux.
Eure 10 boeufs, 10 vaches. 5 taureaux.
llle-et-V Haine 10 bœufs. 10 vaches, 10 taureaux, 120 veaux, 420 porcs. Finistère Néant.
Loire-Inférieure 40 bœufs. 20 vaches. 10 taureaux, 16 veaux, 130 porcs. Maine-et-Loire 90 boeufs. 25 vaches, 10 taureaux, 165 veaux, 160 porcs. Manche 40 bœufs, 20 vachea, à taureaux. 100 veaux, 203 moutons. Morbihan Néant.
Orne 73 vaches, 30 moutons. Sarthe 105 boeufs, 45 vaches, 10 taureaux, 310 veaux. 150 moutons, 300 porcs.
Vendée 155 bœufs, 76 vaches. 10 taureaux, 15 veaux, 190 porcs.
Vienne 90 vaches.
BOURSE DE PARIS
Clôture
Paris, le 30 août.
BLÉS. Tendance sans affaires. Disponible, cote officielle, 110 courant, nooté prochain, 111 vend. octobre, 111 vend. novembre. 112 vend. décembre, lncoté janvier, 114 vend.FARINES, tendance tous lnootés. AVOINES DIVERSES, Tendance irrégulière. Courant, 57.50 à 68 prochain, 58.25 payé octobre, 59.75 à 60 3 de septembre, 59.75 à 60 3 d octobre, 62 payé 3 de novembre, 63.50 & 63.75 payés 3 de décembre, 64.75 à 66 3 de Janvier, 66 payé.
SEIGLES. Tendance tous Incotés. ORGES. Tendance tous Incotés. MAIS, Tendance tous Incotés. SUCRES. Tendance lourde. Courant, 243.50 payé prochain, 221 payé octobre 206.50 à 207 payés 3 d'octobre, 206 206.50 payés 3 de novembre, 206.50 à 207 payés.
Cote officielle, 243 à 243.50.
ALCOOLS (libres). Tendance soutenue. Courant, incoté prochain. 420 payé octobre, tncoté 3 d'octobre, incoté novembre-décembre, tnooté 3 de novembre, Incoté 3 de décembre, Incoté 3 de janvier, incoté.
ALCOOLS (libres). Cours officieux, tendance soutenue Courant, 432,60 ach. prochain, 420 yayé cet.. 417,50/ 422,50; 3 d'oct" 420/422,50; nov.-déc. 420/422,50 3 de novembre, 420/422,50 3 de décembre, 425/430: 3 de Janvier, 427.50/432.50.
CAOUTCHOUCS. Crêpe first latex et feuilles fumées gaufrées Courant, 6.75 prochain, 5.85 3 d'octobre, 6.95 novembre, 6.03 Janvier, 6.10 février, 6.10 3 d'avril. 6.30 mai, 8.30. Tous nominaux.
FARINE DE CONSOMMATION, Cote officieuse établie par la Chambre Syndicale de l'Industrie meunière parisienne 190.
BLES, Cote officielle 110.
COURS DES CUIRS
PARis, le 30 août. (De notre correspondant spécial)
Bœufs extra lourds, 200.25 (+ 1.80) bœufs lourds, 188.94 (+ 14.52) bœufs moyens, 172.40 (+ 15.44) bœufs légers, 143 ( 3.60).
VACHES lourdes, 160.88 (–8.66) va- ches légères .153.26 (-12.08).
Taureaux Sourds, 169.88 (+ 5.33) taureaux légers, 166-12 i+ 28.12). BOURSE DU HAVRE
Clôture
La HAVRE. 30 août.
COTONS. Tendance Irrégulière. Vente 1.850 balles.
Août incoté, septembre 261, octobre 260, novembre 260. décembre 260, Janvier 260. février 260, mars 269. avril 259. mal 259, Juin 259. Juillet 260. août 11936) 260.
CAFES. Tendance soutenue. Vente 1.000 sacs.
Août 159.50, septembre 160.50. octobre 160.50, novembre 160,76, décembre 160.50, Janvier 160.50. février 160. mars 160. avril 160. mal 169.16. Juin 169.50, juillet 159.75.
BOURSE DE MARSEILLE
Clôture
Marseille, le 30 août.
HUILES, Arachides à fabrique Disponible, 177.60 a 187.50 de coprahs, disponible. 115 de palme blanche, 117.50 Dahomey (Caf), Marseille 82.50. De graines comestibles. Arachides neutralisées désodorisées, 220 a 230 ruilsques supérieures. 232.50 a 247.50 sésames alimentaires désodorisées, 225 i 235 ordinaire, 216 225.
D'oliva 1" pression. 370 380 2* pression, 355 il. 365 Borjas extra, 200 & 215 Andalousie extra, 180 à 195 surfine 170 a 180
De lin Disponible, 205 a 228.
RIZ. Saigon n- 1. 25 de brisures août. 60 vend.; sept., 58.26 nom.; cet., 68.50 payé: nov.-déc, 68,60 payé; Janv.-fév., 59.50 payé et vend.: marsavril, 59 nom.
Circulation néant. Stock 3.760 qtx. Base liquidation mois courant 66,50. Cotation limite du courant 68,50. MARCHÉS ETRANGERS
METAUX
LONDRES, le 30 août. Antimoine. Qualité spéciale, 44 a 46 Cuivre, Comptant. 28 6/7 1/2; trois mois. 28 13/0 11/2 ̃ Be» 6elected, 30 10 31 15/0 électroUUque. 31 10/0 à si 15/0.
ttam. Comptant 228 S/0 trois mois. 227 7/6.
Plomb. Anglais comptant, 12 10/0 étranger comptant, 10 16/3 étranger II*, élolg.. 10 16/3.
Zinc. Comptant, 13 16/0 livraison éloignée. la 16/3.
Argent. Comptant, 21 Il/le deux mois, 21 11/16.
Or. 140/8
Mercure. Il 6/0 11 7/6.
C£KSAL£»
UVXRPOOL, 30 août (Clôture). Blés Tendance facile Oct. 6/8 3/4 déc. 6/11 3/4; mars 6/1 7/8; mai 6/3 1/8. Maïs Tendance facile. La Plata (Caf) Août 24/1 1/2: sept. 24/3: oct. 24/7 1/2. NEW-YORK, 30 août. Clôture. Blés dur d'hiver, n» 2. dlsp., 114 3/8; roux, 109 3/8; bigarré durum. Incoté. Maïs bigarré pour l'exportation. 85 7/8. ♦ WÏNNIPEO.. 30 août. Clôture. Blés octobre, 81 3 '8; décembre, 83 1/2; mal, 86 6/8, Seigles octobre, 70 6/8; décembre. 71 3/8; mal, 74 1/8. Avoines octobre, 46 7/8; décembre. 46 3/8: mal. 47 1/2. Orges octobre, 59 1/4; décembre, 69 1/4 mal, 60 1/2. CHICAGO, 30 août. Ciôturi. i
Blés dur d'hiver, n° 2, disponible, 109; dur d'hiver ne 3, dlsp., incoté; septembre 102 7/8 à 104; mai. 106 1/4 à 105. Mali bigarré ne 2, disp.. 81 1/2; septembre, 79 5/8; décembre, 80 3/4. Avoines septembre, 52 décembre, 52 3/8; mai, 82 7/8. Seigles n' 2. dlsp. lncoté; septembre, 84 3/4; décembre, 86 3/8; mal, 89 1/4. Orges septembre, 81; dé- cembre, 79 1/4; mai, inoote.
COTON:
♦ LIVERPOOL, 30 août (Clôture). Haute Egypte Août 7.36, sept. 7.38. oct. 7.33. nov. 7.37, déc. 7.42, fév. 7.47, mars 7.47, avril 7.52. mai 7.52. Juin 7.68. juillet 7.58.
Sakellaridis Août 8.43. sept. 8.45. oct. 8.48. nov. 8.61. déc 8.52. Janv. 8.58. fév. 8.63, mars 8.68. avril 8.68. mai 8.68. Juin 8.74, Juillet 8.74.
Américains Août 6.93, sept. 6:91. oct. 6.90, nov. 6.87, déc. 6.87. Janv. 6.88. fév. 6.88, mars 6.88, avril 6.88. mal 6.88, Juin 6.87. Juillet 6.87. août 6.85.
NEW-ORLEANS, 30 août. (Clôture). Dlsp. 13,17, oct, 13.05-07, déc. 13,17-18. Janv 13,20, mars 13.27, mai 13,34, Jull. 13,41.
%̃ NEW- YORK, 30 août (Clôture). Dlsp. 13,20, août Incoté, sept. 12,98, oct. 13.06, nov. 13.13. dée. 13,20-21. Janv. 13,25. fév. Incoté, mars 13,29, avril incoté, mai 13.38, Juin 1ncoté, JulL 13.43.
SUCRES
%• LONDRES. 30 août (Clôture). Base 96°. Tendance soutenue Août 4/10 vend., 4/6 ach.; déc. 4/8 payé; Janv. 4/9 vend., 4/8 ach.: mars 4/10 vend., 4/9 1/2 ach.; mai 5/ vend., 4/11 1/2 ach.; août 5/1 3/4 payé.
♦ NEW- YORK. 30 août. (Clôture). Centrifuge Cuba 96o, droits papée, prompte livraison 335, à terme sur sept. 185, oct. 189, déc. 193. Janv. 193. mars 196, mal 199. Jull. 20S; Ventes approximatives. 67.000 tonnea.
CAFES
♦ NEW- YORK. 30 août (Clôture). Bantos na 4, contrat D.. dlsp. 11 1/2 sept. 10,91, déc 10.93, mars 10,95, mal 11,02, Jull. 11,07; Ventes approximatives, 11.000 sacs.
DEUX-SEVRES
♦ PARTHENAY, 29 août. Animaux frai r-nenés 240, vendus 240, première 3.25. deuxième 2,50, troisième 2 veaux gras 275, vendus 275. première 4,50, deuxième 4,25, troisième 4 porcs gras 650, vendus 650, première 5, deuxième 4.60, troisième 4, le tout au kilo sur pied. Expéditions sur Paris, Metz, Lyor. Nancy, Sarrebrilck. Chalons, Forbach. Poitiers, Pouzauges.
Bœufs maigres 160. vendus de 1.200 à 2.200 pièce vaches maigres 25. vendues de 1.000 à 1.700 pièce porcs maigres 520, vendus de 150 à 250 plèce porcelets 620. vendus de 100 à 150 pièce. Blé. à la taxe avoine. 50 à 54 le quintal.
Beurre, 6,25 à 6,75 la livre: oeufs, a, 50 a 4 la douzaine poules, 3,25 à 3.50 poulets, 4 à 4,50; lapins, 2.25 à 2,:0 la livre.
Marché assez bien approvisionné en animaux gras et maigres. Vente facile. Cours bien tenus.
MAINE-ET-LOIRE
♦ VIHIERS, 30 août. Animaux gras amenés, 38. vendus. 37 première qualité, 3.25 deuxième qualité. 2.85 troisième qualité, 2.30. Expéditions sur Chemillé.
Bœufs maigres, 32, vendus de 3.000 & 4.200 francs la paire vaches laitières. 14 vendues de 1.200 à 2.000 francs la pièce génisses, petits bœufs et vaches herbagères, 28, vendues de 700 à 1.500 pièce.
Pores maigres, 41, vendus 150 a 250 frs pièce porcelets. 25. vendus de 100 à 150 francs pièce.
Blé à la taxe avoine, 48 a 52 frs le quintal.
Beurre, 6.50 a 6.75 la livre ceufs, 3.75 à 4 frs la douzaine poules. 3 à 3.50 porcelets. 4 a 4.26 lapins, 2.25 à 2.50 la livre.
Marché moyennement approvisionné. Vente calme sur tout l'ensemble du marché.
MORBIHAN
LOOMINE, 30 août. Malgré le temps orageux et pluvieux, nombreux étalent les cultivateurs à cette foire de fin de mois; aussi, les différents marchés étaient fortement approvisionnés de toutes catégories d'animaux. Transactions actives avec légère reprise sur les jeünes vaches bien mamelées. Les vaches présentées au nombre de 300, de différentes races et qualités, trouvèrent la vente satisfaisante avec peu de variation dans les cours. Les bonnes amouillantes de 4 et 6 dents de grands rapports obtiennent entre 700 et 800; les vaches de services ordinaires se traitent entre 500 et 700; les vieilles toujours peu recherchées se paient entre 200 et 400 suivant Qualité, Les va- ches grasses valent le kilo sur pied 1.60 à 1.70; bœufs gras 2.10 à 2.20; génlssons et génisses grasses 1.75 à 2. Les veaux groupés au nombre de 160 de toutes qualités ont obtenu au début du marché une hausse de 50 centimes par kilo pour retomber au cours de la semaine dernière à la fin du marché néanmoins, ils furent tous vendus sur la base de 2.10 IL 2.25 la livre pour les extras et 2 fr. la qualité ordinaire. et l'inférieure 1.75; veaux pour l'éleva-,ge 60 80 fr. la pièce, suivant confor- mation.
Les moutons également fort nom- breux se vendent, les jeunes, de 3.75 a 4 le kilo sur pied; les vieux 100 à 120 la pièce.
Exactement une centaine de cages de porcs garnissaient le marché. La vente fut plutôt calme, sans emballement. Cours maintenus pour les porcs gras vendus 2.10 à 2.20 la livre sur pied: les maigres 2.25 IL 2.30 la livre. Porcelets, 110 à 150 la couple, entre six et huit Volailles au poids, 4 à 4.60 la livre: la couple 12 à 18; lapins au poids, la livre 2 25 a 2.50.
Beurre en gros 5.50 à 5.75 la livre; au détail, 6 a 6.25 la livre; beurre de table en gros 6 4 6.25 la livre au détail 6.25 à 6.50 la livre; œufs, 2.75 à 3 la douzaine. Cours maintenus.
OIRi- INFERIEURE
· ANCEN1S, 30 aoat. Les 500 kl1O3 blé. la taxe; avoine. 84 i 6o; seigle, incoté; oree, 80 à 82; sarrasin. Les 500 kilos paille de blé. 100; foin, 125 à 130.
On cote 1 la pièce poulet0. au poids, 3.50 4 4.00 la livre; canards. 18 a 22. le couple; pigeons, 8 9,00 le coũDli lapins. 5 a 12.00 pièce.
On cote au kilo beurre fin, 13. 60 à 14 f>0; œufs, la douzaine. 2.50 à 3.00. Boeufs de travail, amenés 180, vendue 122. de 2.800 à 4.600 la paire: vaches amouillantes. amenées 110, vendues 87, de 1.200 à 2.000 fr. pièce; génisses de u nan, amenées 108, vendues 82, de 700 a 900 la pièce; veaux de lait, amene% 67. vendus 49, de 4.00 à 4.80 le kllo. pores de lait, amenés 240, vendus 220, de 80 à 125 pièce: porcs maigres, amenés 100, vendus 128, de 160 à 280 pièce: porcs gras, amenés 310, vendus 280, de
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FINISTERE
SAINT-POL-DE-LEON, 28 août. Les 100 kilos ̃ blé. taxe; avoine, 64 à 66; seigle, 55 à 56; orge, 58 à 60: sarrasin, 90 à 100; farine, 176 à 185; son, 60. On cote à la pièce poules, 12 13; canards, 12 à 14; lapins, 10 à 12.
On cote au kilo
Beurre ordinaire ou aalé, 12 à 14 beurre tln, 15 a 16; oeufs, la douzaine, 4.50 à 4.75.
Viande de boucherie. On cote au kilo veau, 4.50; vache, 2 2.40: génisses, 2.60 à 2.80: taureaux, 2.80 à 3.00; boeufs, 3.50.
*• PONT-AVEN, 30 août. Beurre doux .le kilo, 9 fr.; beurre salé. le kilo, 15 fr.; oeufs. la douzaine, 2.50; poulets jeunes, la livre, 3.50; vieux, la livre. 3; lapins, la livre, 2.50.
Cidre ordinaire, 130; cidre pur Jus, 150. Marché calme; transactions très ralenties.
NOTA, La grande foire est fixée au premier mardi de septembre. Foire de8 plus Importantes de l'année, renommée pour tout bétail.
COTES-DU-NORD
♦ PLŒUC, 30 août. Veaux première qualité, 2.60; ordmaire, 2.25 la livre; moutons, 2 fr. la livre; agneaux, 3 fr. la livre.
Beurre 9 fr. le kilo; oeufs. 3 fr. la douzaine. Baisse sur le beurre.
♦ ROSTRENEN, 28 août. Boeufs de travail amenés, 4, vendus 2, de 1.200 à 1.350 la paire; bœufs gras amenés, 3, vendus 3. de 1.100 a 1.150 francs; 2.50 a 2.75 le kilo; vaches laitières ou amouillantes amenées, 50, vendues 40, de 800 à 1.000 pièce: vaches grasses amenées. 8, vendues 8, de 900 à 1.050 fr., le kilo 2.50: génisses amenés. 30, vendues 25, de 700 à 850 pièce; veaux de lait amenés, 5, vendus 5, de 180 à 220 fr., le kilo 3.50; moutons amenés. 15. vendus 15, de 160 à 210, le kilo 6 fr.; porcs de lait amenés, 180. vendus 110, de 160 à 240 la couple. Marché calme dans l'ensemble. Peu de bêtes, lea travaux de la moisson n'étant pas finis. Baisae sur les petits porcs, vu le grand nombre.
On cote au kilo beurre ordinaire ou salé, 8 à 10; beurre fin, 11 à 12; œufs (la douzaine). 3 à 3.25, suivant grosseur. Beaucoup de poulets sur le marche. Baisse sur le beurre et sur les œufs. r- V LANNION, 30 août. Les 100 kilos; ° blé 108; avoine, 48; orge, 70; farine, 178; son 60.
Les 500 kilos pallle de blé, 150 1 paille d'avoine. 155; foin, 260.
On cote poulets. couple. 1- à 20; poules, pièce. 12; canards, 12 à 20; pigeons, couple, 5 à 6; lapins, pièce. 12 à 13.00.
On cote au kilo beurre ordinaire ou sale, 11; oeufs. la douzaine. 3.50.
̃ LAMBALLE, 30 août Les 100 kilos blé, incocé: avoine, 50: seigle, 50; orge, 55; sarrasin, 90; farine, 172; son, 60 fr.
Les 500 kllos paille de ble, 115; foin, 150.
Porcs de lait amenés, 650- vendua, 650, de 70 à 90 fr. pièce.
On cote à la pièce poulets. 13 14; poules, 12 à 13; canards. 13 à 14; pl. geons, 4.50 à 5: lapins. 12 à 14.
On cote au kilo beurre fin. 12 à 13; œufs, la douzaine, 3.25 à 3.50.
DINAN, 30 août. Le kilo, sur pied vaches, 2 (amenées. 3; vendues. 3); veaux, 4 4.50 (amenés, 198; vendus, 188); moutons. 4 à 4.80 {amenés. 200; vendus. 122); porcs. 4.50 à 4.55 «.amenés, 6; vendus. 6); porcelets, 60 à 100 i amenés. 540; vendus, 510).
Beurre fermier, 10 14; marchant. 12 à 14; poulets, al pièce, 13 à 14; œufs, la douzaine, 3 à 3.50.
LES LÉGUMES
LES POMMES DE TERRE
SAINT-POL-DE-LEON, 30 août. Les pommes de terre sont payées à la culture de 25 a 28 fr. les 50 kilos, suivant la Qualité,. Tendance calme. Cours stationnaires.
LES ARTICHAUTS
SAINT-POL-DE-LEON. 30 août. Environ 110 voitures d'artichauts ont été amenées ce matin sur le marche de la place de l'Evèché.
Les artichauts ont été paye» aujourd'hui de 35 A 40 fr. les 50 kilos. suivani la qualité.
Cours soutenus dans l'ensemble.
LES OIGNONS ET ÉCHALOTES SAINT-POL-DE-LEON, 30 août. Les oignons sont actuellement payés 4 la culture de 16 à 17 francs les 50 kilos, suivant qualité. Tendance calme. Cours stationnaires.
Les échalotes sont payées la culture de 33 a 3» fr. les 50 kilos, suivant la qualité. Cours stationnaires. Tendance LES POMMES A CIDRE SAINT-GERMAIN-DU-PINEL. le 29 août. Les premiers wagons ont été expédiés de la gare de Saint-Germaindu-Pinel. Les cours sont bas.
Cette annte, la récolte est moyenne dans les communes de Saint-Germain et Domalain A Gennes-sur-Seiches. Moutiers, AvalUes, il y a plus de pommes qu'il était prévu il y a quelques mois. A Laudriéres. Cullle. Oastines, plusieurs cultivateurs nous ont dit que la récolte dans certaines fermes de leurs commune*. était meilleure que l'année dernière.
LITTRY, 30 août. Les cours de» nomme» commencent dans la région des cours très peu élevés de 80 fr. les mille kilos On pense que la semaine prochaine, lorsque les distilleries de la région auront ouvert leur campagne. cette cotation pourra s améliorer Jus» qu'aux environs de 100 fr.. mais actuel* lement il est nécessaire d'expédier à de longues distances et les frais de transport obligent t ne donner Que des pris I extrêmement bas.
PHOTOGRAPHIES MORALES
en est parmi vous qui bâillent leur Vie J, comme le disaient, il y a cent ans, nos romantiques. Alors qu'il était de mise, pâles et chlorOtlqiies, de traîner mélancoliquement ses jours
ou, tout au moins, de paraitre les traîner.
Aujourd'hui, les pâles couleurs ne bronzé. sportif et cela vaut mieux, st l'on n'exagère pas en sens inverse. Mais cela ne veut pas dire que l'on ne « bâille pas sa vie tout en la brusquant. Précisément parce qu'il en est qui exagèrent. Projectiles lancés au dehors, tournant en rond ou en tourbillon. ils ne connaissent pas l'occupation saine et le bonheur qui en résulte. Autrement dit. désœuvrés, ils s'ennuient.
Egalement ceux que presse la vie matérielle et qui la prennent en rechignant. avec des âmes de forçats condamnés aux travaux forcés. Ceux-là, celles-là forment les ennuyés que rien ne satisfait, et les inoccupés blasés ou les occupés aigris. Jeunes ailes, on les reconnaît ou au besoin de s'étourdir et de crâner ou à certaines attitudes qui décèlent la lassitude, le vide. Voulez-vous que, de celles-là, je vous donne quatre ou cinq photographies récentes où, peut-être, a travers des soeurs lointaines, certaines d'entre vous retrouveront de leurs traits ?
Et cela, en pendants, par contrastes, car il y a aussi les saines, les très bonnes devant la vie et que l'on rencontre avec plaisir au long du chemin. Mettons-les donc deux à deux, toutes croisées sur ma route de vacance*, connues ou non auparavant.
TIRE JTVKE rtLLx IKOOCUPf*. une belle fille, hàlée, ouverte, sportive, expressions garçonnières, voix brève, au fond. bonne, nette et saine. Vingttrois ans. sans cesse dehors golf, tennis, piscine, ascension, bar, pâtissler, etc., etc. Bref. les « occupations de la jeunesse actuelle qui n'admire rien, toute en mouvement.
Odette aime cela. Et cependant, l'autre soir, dans l'intimité, Odette a lâché le cri du cœur ou le son de l'âme qui. elle, n'est pas assouplie au grand sport intérieur, c Au fond, je m'ennuie, a-t-elle avoué, on ne m'a rien appris pour m'occuper utilement. » Et cela est vrai Odette, riche de la grande industrie qu'eurent ses pa.rents. « n'a pas appris à n'occuper l, Voilà ce que c'est. a repris SA mère. que d'être toujours au dehors. Quand la jeune fille restait la matson, elle trouvait toujours quelque chose à faire.
La mère avait raison de le dire, elle eùt eu davantage raison de le faire. Mais l'excellente femme ne fut pas assez ferme. Et la jeune fille, dans une telle ambiance mondaine, subit, il faut bien le dire, la grande pression du dehors. Il faut de telles grandes forces intérieures pour résister aux attractions de la vie des oisifs
Une femme d'œuvres se trouvait là. Il y a besoin, en telle banlieue, de tels secours et de telle présence chaque semaine. Vous ferles très bien. Voulez- voim ? »
Mais la belle fille Inoccupée secoua la tête c Je voudrais bien, mais je ne peux m'engager régulièrement. Cela me priverait, cet hiver, de faire du patinage et du ski. Et la jeune fille pleine de force et de vie qui c bâille sa vie derrière ae raquette de tennis et en glissant sur les pentes blanches, pour le plaisir, s'éloigne du bonheur. pour le dehors, du dedans. Alors que. tout au fond, elle mendie du pain le pain de l'âme.
Un JEUNE FILLE OCCUPÉE. Elle est charmant*, modeste, ne fait pas de bruit. ne quitte pas les siens. Blonde et solide, bien que plus grêle qu'Odette, elle est fort Joliment « démodée Songez donc elle n'a pas de robe de soleil non plus une perpétuelle raquette. Elle parle comme une jeune fille, tout simplement. Surtout elle ad- mite les grandes cimes et en jouit. Elle se repose, celle-là. Elle est Une occupée et qui aime son travail. Déjà, elle est quelqu'un, une valeur conte* nue. en puissance, qui. demain, donnera son plein. A vingt-deux ans. elle sort de cinq ans d'études, elle est deve.nue pharmacienne l'égale d'un homme. Sans bruit. sans embarras, sans rien qui le fasse deviner. Il a fallu l'interroger pour le savoir
Des gens mo0estes, cela ge volt, et qui ont dû serrer leur bourse avant de l'ouvrir pour elle Mais des gens qui ont gardé les traditions familiales et spirituelles. Alors, l'enfant s'est épanouie, contente de son sort et des sietu, aimant l'étude et le métier qu'elle a choisi. tlle se repose. A l'in- verse d'Odette, c on lui apprit à j'oo* cuper 1.
Un: nvut fillc maoris. Celle-ci est en promenade et en visite avec les siens. Tète nue. bras nus. pieds nus dans des sandales talon*, robe blanche largement ouverte, elle réalise l'idéal banal de tant d'autres en cette saison. Physionomie insignifiante, lèvres légèrement carminées visiblement, elle s'ennuie. Ses dix-huit ans ne vont pas avec les vingt et trente ans de plus qu'elle qui l'entourent. Seuls, deux jeunes Sens l'intéresse» raient. Mais sérieux, courtois, lrlelll- gents. ceux-ci se prêtent à tous avec plaisir et Jeannette reste enfoncée en son fauteuil, sous le large parasol de campagne. Un vague sourire. un mot bref de temps à autre, la rapprochent de l'entourage. L'esprit, le désir sont au loin. « Ne va-t-on pas bientôt partir ? crie-t-elle par toute son attitude D'autant qu'elle veut faire une course dans la petite ville monta- gnarde avant de reprendre les cent kilomètres de la route. Or son père. ravi de ses amis, prolonge, prolonge. Et la. petite ennuyée, âéji 1mm qu*a4
elle n'est pas en bande, au golf, au tennis, au bar, frappe inconsciemment le sol de sa sandale où le pied n'est pu joli. joli.
Quelle idée, entre parenthèses, d'exhiber dos. bras du pieds, quand ils He sont pas harmonieux I A l'inverse de ce que l'oh croit. cela, ne dit rien. mais rien, aux regards d'autrui et n'attire pas les maris. Ah 1 les Illu$lune de trop de snobinettes qui ont un but et s'en détournent 1
Un JEUHI FILLE AMUSÉE DE ÏOtff. Celle-ci, par contraste, exprime la joie de vivre, la joie de ses vingt ans. Gracieuse. charmante, fraîche dans sa simple robe blanche, elle est un plaisir de» yeux.
Rien eh elle que le naturel sous la correction àisée Surtout elle est attentive à tous, s'active, s'empresse, veille au confort de chacun. Son sourire, son ail observateur Se posent sur Vous sans la suffisance, le dédain, la raill6rle, le je ne sais quoi de dur qu'ont trop de jeunes. On sent qu'elle s'intêre!lse, qu'elle cherche à profiter de l'expérience des autres, mais sans cette opposition latente plus ou moins inconsciente qui dresse l'actuelle génération centre sa devancière.
De plus, elle s'intéresse aux choses comme aux gens. De l'atome à l'infini. de la science naturelle à la science humaine, rien ne la laisse indifférente. < Tout ce Qui est vie me passionne J, me disait-elle,
Celle-là ne « bâille pas sa vie », mais la vit comme Ce doit être. Elle ne Joue pas à la petite blasée précoce. Elle sait bien qu'à vingt ans, les yeux sont neufs quand le cœur est heuf. Et elle regarde, regarde, et elle admire l'insecte des champs comme la grande cime blanche. c Et tout se sent par l'âme », concluait-elle, très simple, sans airs extasiés ou forcés.
Son Age elle avait son âge 1 romprenez-ygus ? Elle aime la vie et saisit l'âme, l'enfant souriante et sérieuse. si simple et naturelle dans ce qu'elle dit et fait partant, si charmante et charmeuse à son insu 1
Voyez-vous, par mon brelan de quatre, ce que faire et comment être ? Je Voue les ai choisies opposées, et vous les ai données telles que Je les ai Vues. Photographies morales, silhouettes dressées dans le grand cadre des monts fauves et blancs, les Voyezvous deux par deux, positif et négatif ? Regardez-les comme on scrute Un visage sur Un instantané Ou nul n'a eu le temps de poser. Et choisissez celle que vous préférez, que vous désirez être pour votre propre bonheur. Peut-être avez/vous des traits communs avec l'une d'elles ? Si c'est avec l'une des bonnes, accentuez-les. Si c'est avec une déficiente, lâchez le portrait, rappelez-vous le cri désenchanté d'Odette la skieuse. Avec les qualités qui s'engourdissent en elle parce qu'on n'a su lui donner le sens des grandes réactions, elle est banale, tirée à des milliers et milliers d'exemplaires. Faites tdut, au contraire, pour que votre portrait soit unique et personnel. Peut-être la jeune fille occupée et la jeune fille qui s'intéresse à tout vous en donnent-elles le meilleur type. Amhk,
J. Le P'. l L. Je n'et Du répondre directement. Que vous dire T C'est à vous de trancher. Peu» tout de chaque côté, dans let nuances P, putative tes otande, Hpnee se valent. Examinée fond votre âme, votre eœtif, voir possibilités de tout genres. C'est trop délicat pour Que te tranche. Ne négligez pas cependant les contingences argent et tanti. Consulte» votre guide ordinaire qui connaît mieux que mol les dires, les tessource», les inconvénients de chacun. Mettes dans la balance estime et amout, L'estime y est. voyez où l'amour penehe. Cette réponse-là est en vous et revient à vous seule. Continuez a me lire. Rien n'entraine à boire, surtout sur ce tefrain, qui ne veut.
Dominique. Faite. graver les initiales. Etant donnE l'absence et l'état du parrain flul, lé fie peut grand'chose, le! crois QUI! vous faudra pourvoir ait dragées. Vous les restreindrez aux intime* et eu donnerez dette ou «rois ballet à la maman qui en offre une au prêtre. Je ne croit xat, pu cela, que vous ayet autre chose a lui offrir, Mais quelque pièce de layette ou de la toilette de bap.tême fera toujours plaisir. Vous-mime pouvez travailler pour le bébé, Sa chemiiette blanche sera très bien et se porte cette année. Les manches longuet sont Plus habillées en l'occurrence, i,t reste va.
M. D. M. Je n'ai pu répondre directtment. Mxcutea-mot. Une belle famille et un beau ehoix pour ïainée Je re- grette que la seconde ne lasse pas l'année qui la mènerait au baccalauréat. POUF les cours par correspondance le ne Bais trop en dehors des écvle6-omntbus que voue connaissez par leur grande réclame et où l'on travaille, du reste. Le mieux ne serait-il pas de s'arranger avec les professeurs dt l'établissement où elle était ? Il y a eu à Paris le court Blanche de Castille exclusivement par correspondance et pour toutes les classes. Je ne sais s'il existe toujours et où il est. Pour les livret, danl « l'art d'être charmante ». fai indiqué quelques ouvrages place des Brunetiére et des Faguet comme tolidité. Morale et religion ifton manuels, mais vie pratique) vous avft les miens iddit, écrits jeune tille. Et comme bases théoriques, queiquet-uns de ceux que j'al tndiquèt. pour les romans, Bazin. Bordeaux, Certains (Le Bourgtt. Qui valent autrement que ceux que vantent let mot». Il exitte eh et Bloud et Gay un livre récent indiquant et classant les lectures de la jeunes fille Comme revues rien ne me satisfait Il n'en est pal de spéoiflquée. Le t Notl est dans les metlleurea, surtout ti l'on té laisse prendre son mouvement qui donne une élite de jeunes. En vous remetolant 04 vot aimables mote pour mot Elve TrélKaden. Votre délicate atténtion m'a trouvée sensible. C'est un i haut-lieu Que l'on aime pour tout. il. B. T. le ne croit pat vu'il y ait dt feuille timbrée tptoialt pour ce attira je ne tau mime Il c'est nécessaire, torirégie, de oompriMi vot Intentions réciproque!, mau It dernier aura mlruz à faire. Je vous adrutetai bientôt une rd.JmuvJm* »'« j«| vfcVI mt «i éait
compter Mit la nature pour l'amincir. Pna autre chose, aucun produit, voue m'entendez, Taut cela nuit la tante. Evite* les féculente et les graisses. Fditee de l'exercice marctee et Mouvement! rythmiques qui harmonisent les muscles en les fortifiant. Pour ilout, btag et os sont forts, l'effet sera moindre et cela on ne peut rieil qu'accepter et être plus grande par le cœur et l'âme. Prendre sa tdillé de vie, c'ett-a-dlte ta valeur, vput encore mieux. Merci de penser aihsi i « l'amie inconnue
Mlle 0. à St-V. H. le n'ai pu répondre plus tôt. Une demoiselle d'hen* neuf n'offre rien à son cavalier. Et lul, s'il offre, se borne d des fleurs. Marais Poitevin fil le. Ce ne sont pds les ouvrages qui manquent sur votre e petite patrie It qui est aussi rhienhe et, d'ailleurs, et belle, Vous dvez tfit joliment illustré et, caractéristique un ouvrage de la collection Artaud, de Grénoble. Demandez-le votre libraire. Dans votre ville méme, il doit y avoir de ces ouvragéi de 25 à 30 francs, je crois, élégamment présentés. D'autres aussi eut le sujet désiré, U n'en manqué ¢de chez tout Hbr6ire bien achàlartOé et au courant, Ainsi Vérree-vous par vous-même avant de décideur. Je ne suis pas graphologue et ne puis donc rien vous dire, Sinon due l'êeriture me plaît dans son ensemble rapide, franche. Intelligente, dénotant soin, ordre, et âme. Merci de vse lignes émouvantes pour moi. fin peina. Si vous avez ce vieux Hvre de cuiaine traitant de ptatt de la répion, adrêssez-lè Il « La Ménagère française t cette petite revue si pratique qui publie actuellement 1 Le Tout de France d'un cordon bleu 1. Ainsi aidetea-vous d'aütres, en étant aide'ê. Adtet* tes 32, rue Cassette. Paris [Vl«) M. Le R. à A. Que Votre lettre détailtée m'a fait plaisir. Avez-vous fait Bu moins passer rtanj le journal, qui les donne ordinairement, l'annonce de ces noces d or et le portrait des jubilaires ? Certes, lls sont bién verts et beaux, et nous verrons, je Bute sûre, d'autret niocet. Cela m'a lait plaisir de voir au complet cette belle famille, tous très bien tirés, pleins de Vie, débrouillés et debrouillards Comme il arrive aus fdmlllés nombreuse». Tout a été lait avec une telle délicatesse, sans oublier les morts, reliant ainsi une génération. C'est beaul J'eèpefe que lias neveux pourront suivre leur belle voie. En attendant, comme tout, ils se tont le petit discourt, Gardet bien l'éPi d'or souvenir dune fête Qui fut d'abord celle des émet. Pour l'autre question, le ne crois Paâ que vous dl/ea été en défaut, Puisque vous aviez prié qui de droit de faire linvitation. La personne a été un peu ombrageuse en la circonstance, Surtout vu son jeune ége par rapport a l'âge et l'honorabilité de vos parents. Mdis ce sont de ces petits riens qui s'ou^blient, n'est-ce pas? Je vous retournerai les photographies l'un de ces jours Encore merci. Au moins, le vous eohnditrat. Ecrive&mol quand «oui le dêsiÉUgène Je ne vois Que l'école Pigier qui a des succursales dana les grande» vtliet et dans là Vôtre je pen- se ou une école similaire.
Miles Le H. et Le D MbHVez à l'Institution Sainte-Ursule, d Château-Gontier et redites ce que vous m'écrivez. Marie C. vos lettres me font plaisir Tenez-voua à ce programme. A l'occaSion aidez-vous d'un de mes livres, Ecrives- moi quand vaut voudrez
Mlle sueanne D, B. Ecrives vite l'institution ci-dessus, en parldnt bac. calauréat, si voua acceptez éette régiàn, Mais sans doute vous faut-il une Faculté voisine, Car tl faut continuer pour votre licence. A moins que Vous ne puissiez faire Une navette une lois par semaine. *£/l,ra<,u°1" vous seriez je crois, bien accueillie. Très bien pour ttos études et brava Pour la famille et votre Cumin Mlle Allée X. à It. Votre maman a raison. Lisez bien, arücle et courrier la page de quintaine du vendredi Aussi' de mes livres et brochures. pour ee que vaut demandez, je suit incompétente et Ce n'est pas moi qui en ai pane. C'est hors de mon domaine. Mêlez vaseline pure et eau de Ook>Bne- cela nettoie <urtâ haut wî. D. Avec 'iïsBz fence que comporté le bàccal. obtenu Uemanuee aussi d la directrice au M 4 [lui l'on peut demander de Ces choses Merci de Vos gentilles lignes pour mai, au» £,' Un se gante en ville, en w«Îf;»t2 cérémonie, Mais on donne une poignée de '"f'î'f gantée ou aé^nlél selon le lieu et la circonstance où l'on se trouve. VOUS Jetez un cadeau utile et adéquat pale, linge d'église, au encore un ouvrage T%^iexa pour bibliothèque personnelle. Consultez votre ami» tut les goûts de son frère.
Mme L. C. 4 (3, Voue aurez ainsi dlnt vite ma réponse. Ces murs demandent de toute nécessité un stage aratl- que, donc dilHcile pour vous avec vos deux toutes petite Vous aveu une écri- ture élégante et clatre, un style très aisé, de bonne langue, ne pourriea-voui trouver quelque chose sur place, écritu w«i" niïazat Vu autres? AuToJsVoii près. Ce serait peut-être le mieux en vous dérangeant le moins. Merci de ce que vous me dites de si encourageant, A l'occasion, mon « art d'être iducatriee » vous aidera. C'est bien joli deux jumelles pour une toute jeune et
il. U. k. à L. VOUS aussi aurea plut vtie ma réponse ici. Puisque tout est admis, cela ne fait rien d'attendre un peu Mieux vaudrait peut-être le servSê rait T\ bien F°Uf les ame« ef la sécurüé du loyer. Un peu plus dupe ne fera QU*rJnJ0TÇeT et s/atrtHsef le loyer sitôt fondé, au Heu de le couper par le S, Mi Vous étes tous les deux au bel âge et Z^w'W?**1" *?*<£ encore, mais d le refus persiste, attendez. Ce gain est lutte, mais il permet de eommencer avec dea goûts simples une jeune lemme ordonnée et ingénieuse, absence de plaisirs, factices daitleurt Donc persévérance et attente, s'il le faut ou •' 'en veut la fin des éludes. **• 13. CI. Que j'aime ces lettres de mères soucieuses de leurs garçons I Voye* bien fil veut k métier de son père ou pour quelles raisons il lé té- pousse Posem-le devant l'avenir au'tl cherche ses goûts, des aptitude@. Et vous mérne. êtudiet-le. Vous veffex alors quel apprentluage ou quelle école trolessionnelle lui donner. Il en est ae très bonnes et chrétiennes où il garderait, Il 1 âge délicat, la hôte sûre Que vous lui avez donnée. Pour ûed côté moral en bien de. livret. Demande»-en la liste ou le catalogue aux Edition» Spes, 17, ru* Soufflât, Paris [V), J'aimeyais qu'il aille à un diplôme de la nofession choisie. Sinon, vaut verrez 4 l'entourer, à l'intértr dans un groupe, «Wut ou autre. OUI aide Il! garder. Voyet à tout cela. C'est l'heure des grandes vigilances.
Mlml Pln»ott( Bfeft. Quelle Mitre rajah e, bien avea fige. Rettta ainsi, Suivez vidée de votre bonheur, mais tans trop vous y cramponner, les yeux en haut, Pult garde* bien le grand itère comme tûr confident, PtuUitrt cela sera-t-tl si ce doit être solide et chrétien. Vous élus Il l'Agi OU l'on lait pleine eon-
intérieurement, et continuée cet études, afin de tenit une maison comme il convient « et pour le plaisir de tous P. Cet oubli de soi et cette clarté d'Ame dmên'eront le bonheur. Mais tenez vetfè coeur, rien n'étant encore dit par l'iniéreaaé.
« LA MÊKAdKKË tHANÇAISfe n, revue d'économie domestique et des soins dü ihênage, publiant CI LE TOUlt bÈ FRANCE D'UN CORBoSf BLEU Il annoncera tous les Bvree de cuisine régionale aui lui seront envoyés en senlce de presse* On, ne cassette. PaHs-â»,
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18 h. 1 18 h. 30. Parls-P.T.'Î'. in ft. 80. HaaiO-Jourhal tle France. ad h. •=– Informations i tirage des prt< ni entre tes adhérents de l'A A.R.R. 20 H. la. chronique des Assurances Sociales par M. Fernand Baudln chrd^nique du Combattant, par M. F. Saldmon.
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8 h. Presse. ♦ 10 h. 30. BdWIeaU*. · 18 h. Chronique du toiirlstne. ♦ 12 h. 16. Orchestre national de par. Paul Payen, de l'Opéra-Comlque Une fête patronale en Veidy suite d'orcliestre (Perllhou) Sérénade mélancolique, aubade Japonaise lA, L»chaume) Ctstor et Pollux, suite d'airs de ballet iRntiieau«tr. Qevaert) Rotr.ahce pour ':or et orchestre (Saint-Saëns) La Nur* séry (D. E. Inghelbrecht) Le Caïd, ouverture (A. Thomas). 18 h. ÏS. Cbnor». 14 h. risques. 4 ls il, 30. t- Vlohjr, ♦ 17 h. 46. Causerie sur le travail. ♦ 18 h. La demi-heure timl13 h. 30, Raaio-Jeurnal de PrailM. ♦ 1B h. 46. Causerie sur les mueéea nationaux. « le h. »3. Politique extérteure.
go au Il. tr (Lecocu) Ciboulette <Re>naJdp Hahn
(OflenbocH). informations. ♦ Xi fa. 90. Musique de danse.
tOUR EIFFEL i 1.448 m. 7. M kw. 20 h. 30. Concert. Les contrées inualcaies. Chine et Japon VaHdtioni japonaise» (Vidât) Fête chinoise (Nàgglar) Suite japonaise (Holst) Dansé ehinofse (Tchalkowsky ) Estampes laponaise» Il. Tambourin chinois (Krelsler). ♦ 21 h. 15. Informations. ♦ il h. 30; Suite du concert A japaneSe carhaval (de Basque) Mélopée chinoise (Flamant) Fete nipponne Iblouton) Japanese intermezzo (Cassard) Au jardin d'une pagode chinoise iKetelbejrl Berceuse japonaise (ArinanMi-ti&u prie, Ml-tsbU Ml-Jstû danse; Fête de printemps dit vieux Japon (Marc DélmM).
POSTE NATIONAL RADIO-PAHIt 1.858 en. 78 kw.
Il h. 48. Culture physique, o 7 h. Disques. 4 7 h 16. Presse météo. ♦ 7 h. 46. Culture physique. ♦ 8 h. Disques. « 10 M. 15. Vlchlr. 12 h. Orchestre Qoldy
15 h. 45. Bdurse. 4 18 h. 80. Météo régionale Le rôle du sucre dené les conserve% 1. par Miné Bensemat. ♦ 18 h. 46. Par Mme Morgenstern L'Exposition de la danse sacrée au TrocftcMro ». ♦ 19 h. Causerie sur la chasse, par M. Dukerey; 4 10 h. 15. Espana (Cnabrler). ♦ 19 h. 15i Chronique des Assurances sociales. 19 h. 30. La Vie bratlqùe. ♦ 20 h. Lectures littéraires présentées par M. Qeorgos Salllard Jude l'obscur, de Thodie en trois actes, de Paul Oéraldy. Au cours du côticert informations elironique. par Paul HèbdtU. ♦ ai h. 89, Muslaue de danse.
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Ï78 m. Il 12 kw.
20 h. 30. Goheert Le pet» bue, ouverture ILecOcqJ Valse Il Ninon la, fieartly) La jolie Persane, fantaisie iLécocq) Les Chatfsohs de jadis Bergereiie (Wefcerlih) Que le jour me dur lAndréanl) Le codaqui,. la codaaua (Tabarln) Ronde des fraises du bijou pefdU (LeUWeti et Adartll Hardi, les bleus (Clérice) Ballet russe Les airs le Christine (arr. Salabert) Les chansbns d'hier et d'aujourd'hui; Une soirée au cinéma (J. Rieux) Le Chaland lui patse (B1|IO) • Marinette ittelcroze) Péché Véniel (èl. Terrasse), par l'orchestre La Bâyadère, fantaisie iKalman) dhdiiion et iiienuét (G. MarylliS) Les marionnettes, air de ballet iFlllupueel) Mifche des petits rastas lOauwln), kABlO-NORMANOIE (FéeattK)) 200 m. 1 kw
Il h. bisques ,Lacorrie) Serments de femmes (Pyscher); Prés du berceau (Moszkowsltyi L'Oise- leur (Zeller) Seg viane (Lacome) tlrl neve (Pyscher) ̃ Sérénade i Celombine IPlerné). ♦ 12 h. 45. Presse. « :e h. 60, Heure de. auditeurs Je pense d Vous IBehétiHy) Cor et lyroiefine (Anureanyï Ça sent l'ail (Thomas) Marche du & régiment de ligne iH«nsotté) Le» quatre frère» et l'Ella iNlbor) Marche d'Alexandrie Wonatdt) La Chdnsofi des p'tits bons enlanta (Le Bmai j L'dme notre (Naaelési Le Petit Voltigeur lOaudon); C'ett le. femmes (Benntaky) Schps pyrénéens (Biangy) hiel) Marche du 13* régiment de ligne iQorbel) Le. deûi Gabiers (Botréli Faust. marche*déflM (titi. Oounod) là alouette (Restand). Mata ton soutire (Pense) Moint cinq I (Clsudon), <- Variétés. ♦ 17 h. Musique de danse. 4 17 h. 80. orche«tr«. 4 19 h. Demi-heure enfantine. 18 h. 80. Chronique de la teVUe e Artistes et !cflv«n« fMrrAÉnds é 18 h. M. RrmveilM retionalM. si II la. Heure dj-sv, auditeur». # 30 h. Concert
mdrtre (Dfepas) Parisette tnel Gavroche au cinéma (Vannelli) f.a Maison de Grand 'mère (Foateml). ♦' 20 h. 80. Chansonnettes. 21 h. Concert Des mots (Achard) Véronique (Messager) Sondé iWettje) -Dialogues conjugaux dovfcl); er./M-s (OfTefabach) Radetzky. marché)' (J. Strauss) Les Funérailles d Emerance iWleheler) L'Ame des violons (de Bu- teull) Lakmé (Dfellbes) La Mamoura IMàrtlnot) Cher l'avocat (Poulot) Mensonges (Curtl) Les Brigands (Ot, fenbach) Tout avec nous (Robrecht) 1 Au dessert, chacun sa romance 'Chep» Ges Mousquetoires au couvent (Varney);i Souvenir de la 56' Bripade (Mornay) A dame jolie (COdlnl) Marche de régi- ment (Jurek) Fable sans fil (Wich». eri Tu nt sauras jamais (de Rico) Marche arabe (Martinot) La leçon de musique (Poulotl Ma sérénade Ces! toi ( Curtl I. • 33 h. Variétés. 24 h. Musique de dahse. POSTE PARISIEN 31« m. » 60 kw. 20 h. 12. Concert ta Grotte d« Pinpal, sérénade, et La Flttuse sym- phonie Indienne, fragments (MendeU- 9ohn) Rhapsodie basque. Izéïl, suite ai Entrée du roi, b) Entrée des prtn- eesses, c) Intrqductlon et lamento, d) Sérénade à Izétl Bourem d'or suite (Plerné) Petite suite ̃ a) m bateau, b) Cortège, c) Menuet, d> Ballet L'Sh. tègt et air de danse (Claude Debussy) ♦ 22 h. 20. Informations. STRASBOURG 349 m. 2 Il kw. 999 19 h. 45. -Disques. 23 h. Revue de presse. · 20 h. 30. Vtehy Tiftpres- siens d' Italie (Charpentier). -| KAD1O-TOULOUSE St*-m. -Iff, 20 h. 30. Mélodies. 21 h. Théâtre Concert sur L'Heure espagnole. de Rave!. 4 22 h. Le Caveau de Dix heures. 4 22 h. 16 Bulletin d'Infor- mations, 4, 22 h. 39. Chante d'op*. tettes. 4 h. Musique militaire. ♦ 11 h. 15. Tangos chantés, 33 h. 3O. Orchestre viennois, 23 h 90 Scènes comiques. 4 24 h. Bulletin d'Informations. 4 0 h. 5. Opérette» minutes. 4 0 h. 16. Orchegtrt phonique;
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1 2
Feuilleton de L'Ouest-Eclair
du 31 août 1934 24
La promise
marin perdu roman inédit par
Georges LE FAURE
Ce fut tout; 11 se tut, attendant que son interlocuteur complétât sa pentee: comme Mathls continuait à se uure. l'nomme demanca
Alors. les revenants ?.
Eh bien voilà. elle prétend qut'as la mém' voix qu'un garçon d'chez nous qu'a péri, v'là deux ans d'ça, dans un naufrage. un nommé Jean-Marie Lemeur. Moi. j'trouve' pas T'aurais p'utôt un accent qu'est pea d'chez nous.
Ah flt l'autre, laconiquement. En sorte qu'elle a point osé r'venlr
n y eut un silence qui, à se prolonger, devint embarrassant, si bien que Màthls conclut
V'là tout' l'histoire.
Il s'apprêtait à tourner les talons, pressé s'échapper au trouble que lui ^Hfntf bien qu'il a'eo ^fyrHiit
le regard du client attaché sur lui, quand une main s'abattit sur la sienne et que, des lèvres déformées, tendues vers lui, coulèrent ces deux syllabes, murmurées avec précaution
Elle a raison. C'est moi.
Mathis sursauta et balbutia T'es Jean-Marie Lemeur Le fils aux Lemeur qui tienn' l'auberge. contre l'église.
Jean-Marie Lemeur. oui. c'est moi.
T"as donc pas péri avec le c JeanBart »?
Ça aurait mieux valu; au lieu de ça, on m'a sauvé Arrangé de la sorte par l'explosion de la chaudière. j'aurais mieux aimé aller au fond mais, quoi, ce qui était fait, était fait; pas moyen de me replonger dans le bouillon. Alors, voilà. j'ai vécu. Comme accablé, il laissa retomber sa tête dans sa main et demeura silencieux.
Pourquoi n'avoir pas prévenu chez toi ?
Arrangé comme ça, j'ai eu honte.T'as pas songé à tes vieux, donc ? Je n'ai songé qu'à Marilou; l'idée de m'montrer à elle, abimé comme ça, m'était odieuse; j'ai préféré me laisser croire mort.
Te via rev'nu.- pourtant..
Je ne pouvais plus durer Dans les commencements, on croit qu'il sera possible de s'arracher du cœur les souvenirs du pays. qu'on pourra continuer à vivre, en oubliant tout 1. Eh bien ce n'est pas vrai Une heure vient où quelque chose, de plus fort que tout, vous attire. On lutte tant qu'on peut, parce qu'on a l'instinct des moments affreux qui vous attendent; •t puis, oa cet vaincu par la force du
pays et on revient. comme je fais aujourd'hui.
Des larmes semblaient près de couler sur sa face ravagée et, sous son ciré, sa poitrine, comme soulevée par des sanglots contenus, haletait.
Les doigts de Mathis pétrirent ceux du jeune homme.
Mon pauv' gas, murmura-t-il Puis, cherchant à détourner l'esprit de son interlocuteur, il ajouta, tout de suite
C'que tes vieux vont £tr* contents! lança-t-iL
C'est pour la mère que je suis revenu, confessa le jeune homme. ma face mangée ne lui fera pas peur, à elle.
Il y avait, dans la manière dont cette phrase venait d'être prononcée, une telle somme d'amertume que Mathis crut devoir chercher à excuser Marilou.
Faut pas en vouloir & la fille. murmura-t-il; sur le premier moment, est-ce pas.
Mais, je ne lui en veux pas, coupa le garçon C'est naturel et c'est 1 parce que c'est naturel que, le prévoyant, j'ai hésité pendant deux ans. Il ajouta, à voix basse, comme honteux de sa confession
J'ai beau être comme ça. Je l'aime toujours; alors, vous comprenez.
Tout de suite, Mathis déclara Quoiqu' ça, t'as joliment bien fait d're venir Les vieux sont dans une sale passe.
Une sale passe 1. Expliquez-vous, grand-père.
La nouvelle de ta mort leur a fichu l'coup du lapin; l'vieux n'a p'us le cœur à travailler. il a délaissé son champ., il »'•> mis a boire; quant à la,
mère, ça lui a quasiment dérangé la tête. En sort' qu'y z'ont fait des dett' et que j'crois ben qu'y vont êtr' vendus
Vendus
Dans huit jours, on les met dehors.
Jean-Marie poussa un gémissement douloureux.
Les pauvres Oh 1 les pauvres
Puis, soudain, éclatant de rire, il s'exclama
OuL. en ce cas. j'ai bien fait de revenir. comme vous dites, père Mathis. et l'huissier va faire un nez, quand il s'amènera pour l'expulsion. Se frappant sur la poitrine, il déclara
J'ai là, de quoi lui répondre, à l'huissier. et on rira. bien sûr. Le masque de Mathis refléta une soudaine inquiétude.
C'qui veut dire?. interrogea-ML la voix rauque.
Que, pendant ces deux ans, j'ai travaillé; Là-bas, en Australie, on m'a soigné. j'ai gagné gros et J'apporte un magot. un magot. qui ne peut tomber plus à pic. Hein 1. qu'est-ce que vous dites de ça ?.
Le cabaretier grogna, riant à contrecœur
Pour une surprise 1. Oui, ça en sera. une surprise 1.
Seulement, recommanda le jeune homme, pas un mot à personne. surtout à eux.
Entendu. et. à Marilou ?.“ Jean-Marie ne répondit pas tout de suite; puis il déclara, tout net A elle, pas plus qu'aux autres. moins qu'aux autres, même.
n ajouta, avec un soupir
D'ailleurs, pour ce que ça Ilote-
resse, maintenant. avec une tête comme ça, même un aveugle ne voudrait pas de moi.
Après un silence. le cabaretier demanda
Mais, qu'est-c' que j"vals y dire, à Marilou ?. Je la vois qui me guette, de là-bas.
Quelle s'est trompée. Qu'il n'y a pas plus de Jean-Marie que sur la main.
De quoi aurons-nous causé, alors ? Je vous aurai raconté mon accident. c'est simple Et maintenant, je vais me coucher.
il jeta, sur la table, quelques pièces de menue monnaie
Où vas-tu coucher ?
A l'auberge, donc.
L'auberge. de tes vieux ?. Dame, je n'en connais pas d'autres, dans le pays. et je n'ai pas envie de pousser jusqu'à la ville.
Il ajouta plaisamment
Comme ça, je serai tout porté pour demain recevoir l'huissier.
Ils avaient gagné la porte, suivis par les regards anxieux de Marilou. Bonsoir, fit le voyageur, en serrant la main du cabaretier.
J'te fais un bout d'conduite. dit brusquement celui-ci. histoir' de voir si t'as pas oublié l'chemin d'ehen toi.
Le jeune homme mâchonna entre ses dents
A votre aise.
Et il fonça dans la nuit, indifférent à la pluie que le vent lui plaquait sur le visage il gardait le silence, troublé évidemment par ce face à face avec celle qu'il avait aimée plus profondément encore qu'il ne le pressentait. Et il marmonnait, semblant avoir oublié. la présence de son compagnon
t .Oui, c'en était fait de la joie qull s'était promis de recommencer à vivre avec ses vieux. toute grande qu'elle fut, cette joie, elle était impuissante à lui faire envisager l'éventualité de se rencontrer, à tous moments, avec Marilou ce lui serait là un supplice audessus de ses forces Donc, il s'en irait. dès le lendemain, il aurait, jusque-là, le courage de demeurer c#> qu'il était en apparence, un passant anonyme; à l'insu de ses vieux, il s'entendrait avec l'huissier et les dette» providentiellement payées il s'en irait. >
Le cabaretier cheminait à ses côtés. silencieux, mais le regardant de coin, cherchant à lire sur cet affreux visage les sensations successives par lesquelles passait le malheureux, et, un peu troublé, lui aussi.
Ce retour inattendu lui semblait presque invraisemblable. et il aurait voulu.
En apparence Indifférent, il l'écoutait monologuer, cherchant à retrouver, dans cette voix bredouillante, quelque intonation déjà connue dont s'était émue Marilou. Mais l'horrible déformation de la mâchoire, forcément, devait dénaturer les syllabes, car.
Mathis, cependant, suivi de son compagnon, avait quitté la route pour s'en*gager dans un chemin creux, à l'extrémité duquel se voyait un toit de chaume.
Hein fit le cabaretier, en hochant la tête, ça fait, un effet de r'voir ce qu'on n'pensa* pu r'voir.
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(Reproduction et traduction intas» ducs, tau/ «jw*i «ftfW,* «*e Ï<iut4*r^