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Titre : Historique du 4e bataillon de chasseurs à pied pendant la guerre 1914-1918

Éditeur : (Nancy)

Date d'édition : 1920

Sujet : Guerre mondiale (1914-1918) -- Histoire des unités

Sujet : France. Armée. Bataillon de chasseurs à pied (004)

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42574594k

Type : monographie imprimée

Langue : français

Langue : Français

Format : 1 vol. (46 p.) ; 22 cm

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Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GG14182

Description : Avec mode texte

Description : Registres des morts

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k62435399

Source : Service historique de la Défense, 2012-124

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 23/07/2012

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HISTORIQUE

DU

4' BATAILLON DE CHASSEURS A PIED

PENDANT

LA GUERRE 1914-1918

IMPRIMERIE BERGER-LEVRAULT NANCY - PARIS - STRASBOURG



HISTORIQUE

DU

4e BATAILLON DE CHASSEURS A PIED -

PENDANT

LA GUERRE 1914-1918

IMPRIMERIE BERGER-LEVRAULT NANCY-PARIS-STRASBOURG



HISTORIQUE -

DU

4e BATAILLON DE CHASSEURS A PIED PENDANT LA GUERRE 1914-1918

JUILLET 1914

Le 4e B. C. P. est en garnison à Saint-Nicolas-de-Port. Il fait partie de la 11 s division du 20e corps.

Le poteau-frontière a été placé en 1870 à 25 kilomètres de cette garnison. Les chasseurs de Saint- Nicolas ne l'oublient pas. Combien de fois, en effet, ont-ils évolué à proximité de ce poteau qui marquait, en cas de conflit, leur place de combat.

Cette place, ils l'occupent fin juillet, avec un enthousiasme débordant. Combien d'officiers, de chasseurs, en quittant leur quartier, versent des larmes de joie en pensant qu'ils vont enfin permettre à nos trois couleurs de flotter au faîte des cités lorraines, qui, depuis quarante-quatre ans, ne voient passer que l'aigle prussien.


1914 -

l -

LA GUERRE « COUVERTURE »

30 juillet-6 août. - C'est la période de couverture. -Le bataillon occupe Haraucourt. Il a à sa tête le commandant LACAPELLE. Le nom de ce chef est e'ncore dans toutes les mémoires et dans tous les cœurs. Le séj our à Harauçourt est de courte durée. Les chasseurs-réviennent à Saint- Nicolas pour quelques heures seulement. - - 6 au 12 août. — Ils repartent en couverture vers Chambrey où le baptême du feu les attend. Un bataillon allemand se- heurte au 4e chasseurs à Vic-sur-Seille. C'est le premier contact.

Animés par une noble impatience et une ardéur qu'il est diffi- , cile de décrire, les chasseurs tirent les premiers coups de fusil,

auxquels répondent les claquements d-es - Mauser allemands.

Le sifflement des premières balles augmente à tel point leur intrépidité qu'il suffit d'engager trois compagnies pour bousculer l'adversaire.

I

BATAILLE DE LORRAINE

12 août-20 août. — Le 12 août marque la deuxième phase de la mobilisation : la concentration des troupes. Le bataillon marche sur Morhange. La bataille, dans toute son ampleur, se déclenche. Mais ici le choc se produit contre un ennemi nombreux soutenu par une artillerie puissante abondamment pourvue de munitions. Les poitrines des braves chasseurs le contiennent cependant: Un ordre ordonne la retraite quelle bataillon doit couvrir..

Mission de sacrifice qu'il remplit avec un dévouement et une


habileté remarquables. Les nombreuses Lombes étalées sur le champ de bataille de Pewange montrent avec quelle opiniâtreté le bataillon défendit le terrain. Ici l'histoire d'un brave.

Il s'agit du sous-lieutenant DE CURIÈRES DE CASTELNAU.

Le 20 août, à Morhange, depuis cinq longues heures, la 2e compagnie tient tête à l'ennemi. Celui-ci est bien supérieur en nombre et est sur le point d'entourer les chasseurs de toutes parts. Il faut attaquer pour ne pas succomber. Le souslieutenant DE CASTELNAU s'élance à la tête de sa section, plumet au képi et en gants blancs, ainsi que se l'étaient promis les Saint-Cyriens de la « Grande Revanche ». Les chasseurs sont admirables, lui aussi est sublime dans cette lutte corps à corps. Ils obligent l'ennemi à reculer; le sol est jonché de cadavres allemands.

DE CASTELNAU rallie autour de lui ce qui reste de sa section; il les félicite, il est heureux, il a fait son devoir de Français. Mais un Allemand blessé qu'il a épargné, se soulève et lâchement le tue d'une balle en plein cœur.

26 août-9 septembre. - Les Allemands ont conquis des avantages de terrain. Lunéville est prise, Nancy menacée.

La bataille du Grand-Couronné, à laquelle le 4e prend une part active et glorieuse, va mettre la capitale lorraine hors de danger. Le champ d'action du bataillon est le plateau de Flainval. Les divisions allemandes attaquent avec l'insolente certitude que rien ne les arrêtera plus. Elles sont clouées sur place, la partie de terrain confiée à la garde du 4e reste intacte.

Briser l'attaque ennemie était bien. Le 4e bataillon fait mieux. Il prend l'offensive à son tour et s'empare, dans un magnifique élan, de Vitrimont. Cette offensive, à laquelle participe tout le 20e corps, dégage Nancy et libère Lunéville.

Les Allemands reculent, ils n'avanceront jamais plus. Ils ne rentreront pas comme ils l'espéraient dans les garnisons des belles troupes de la « division de fer ».

Le commandant LACAPELLE quitte le bataillon, le commandant CORDIER le remplace. On parle encore aujourd'hui do ce chef avec la plus grande admiration. On no peut oublier son âme noble et chevaleresque, sa figure de beau soldai, son commandement ferme et bienveillant.


LA SOMME

25-29 septembre. — Arrêté par la bataille de la Marne dans sa marche sur Paris, l'ennemi prolonge son effort vers l'ouest et essaie de gagner la mer afin de rendre précaire et difficile l'aide de l'Angleterre. Le bataillon contribue à l'échec de ce nouveau plan de l'État-Major prussien.

Le 25 septembre, après une longue marche de nuit, il arrive dans le village de Cappy (Somme), pour y passer la nuit et marcher au jour à la rencontre de l'ennemi'. En entrant dans le village, la fusillade commence à crépiter. L'ordre de cantonnement est abandonné. Deux compagnies, la 3e et la 6e, s'établissent à droite et à gauche de la route de Dompierre; elles attaqueront l'ennemi au jour. Les lre et 7e compagnies vont s'établir à Éclusier. Le reste du bataillon est en réserve à Gappy.

LA BATAILLE

Les deux compagnies en marche sur Éclusier sont arrêtées avant d'arriver au village par des petits postes qui leur crient : « Halte-là ! » en français. Nos patrouilles de pointe répondent : « France! » et sont accueillies par un feu meurtrier. Deux compagnies ennemies occupaient le village et s'y étaient retranchées.

Les chasseurs tournent alors le village et l'attaquent de tous les côtés à la fois. Au petit jour, les Allemands sont en pleine déroute et abandonnent le terrain. Les chasseurs profitant de leur succès les poursuivent jusqu'au village de Frise et s'en emparent.

Pendant ce temps, les deux compagnies de droite font face à Dompierre; il vient, à l'aube, trois compagnies allemandes se masser pour l'attaque. Des éléments ennemis importants, sont également signalés venant de la direction d'Herbécourt.

Le commandement, mis au courant, engage immédiatement deux compagnies (4e et 5e) pour leur faire face. La lutte commence violente. Les Allemands qui, depuis quelques jours, ont eu affaire à des unités-territoriales, chargent en masse croyant


nous intimider. Accueillis à 100 mètres par une fusillade nourrie, ils se replient en laissant le terrain couvert de morts.

L'ordre arrive de se porter en avant. Des fantassins du 26e débouchent d'un bois à droite du bataillon et marchent sur Dompierre, menaçant ainsi le flanc gauche de l'ennemi. Celui-ci hésite un moment et commence à reculer, poursuivi par les chasseurs. La retraite ennemie s'accentue et les Allemandsfuient à toutes jambes en jetant leurs fusils. Dompierre tombe en noLre pouvoir. Le bataillon continue à le serrer de très près.

Les lisières d'Herbécourt sont atteintes.

L'ordre arrive de s'arrêter, de passer la nuit sur place et de se retrancher. C'est la guerre de tranchées qui se dessine.

Le 20e C. A. dont faisait partie le 4e B. C. P., reçoit, en récompense de sa haute bravoure, une citation à l'ordre de l'armée, dont voici les termes élogieux : Pendant les journées des 26 et 27 septembre, sur toutes les parties du front où il a été employé, le 20e corps a toujours su progresser et entraîner la progression de ses voisins.

Le 26, il a résisté aux attaques les plus furieuses et il a trouvé dans son ardeur assez de ressources pour passer à, l'offensive le 29 au matin.

Le général commandant l'armée est heureux de féliciter le 20e corps.

Dans l'Ouest, comme précédemment dans l'Est, ce corps ne cesse de montrer les qualités les plus manœuvriéres, une endurance qui ne se dément pas, une vigueur et un entrain que rien ne" saurait abattre.

1er au 31 octobre. — Cette citation confère la première palme au bataillon.

Avant de quitter la Somme, le bataillon participe encore à quelques engagements qui mettent de nouveau en relief sa valeur et son entrain : combat de Garnoy (1er au 10 octobre), Hannescamps (12 au 17 octobre), Monchy (18 au 31 oétobre).

A Hannescamps, la lutte fut particulièrement vive. Le bataillon inflige des pertes sanglantes à deux régiments allemands qui le contre-attaquent et s'empare de 97 prisonniers.


FIN 1914 ET ANNÉE 1915 -

BELGIQUE ,

1er novembre au 31 mai. -L'ennemi porte son effort touj ours plus au nord. Le 20e corps est transporté en Belgique.

Ce malheureux pays, incarnation de l'honneur pendant cette guerre, est envahi-lâchement par les armées germaniques..

Au bois 40, près de Saint-Éloi, les chasseurs prennent place à côté des Belges, leurs frères d'armes. Ils apportent dans la lutte une ardeur nouvelle et donnent tout leur cœur pour Marquer à la vaillante nation belge leur sympathie et leur admiration. ,- Les attaques ennemies se succèdent, elles sont violentes.

Le bataillon tient tête à cette ruée furieuse pendant trois j our&.

Le sang coule, au cours de ces terribles heures. La lutte est de plus en plus âpre. L'État-Major allemand jette sans cesse dans la fournaise de nouveaux effectifs. Les chasseurs se replient légèrement, nos pertes sont sérieuses, celles de l'ennemi sont très sévères. Deux jours après, le 16 novembre, le bataillon est devant Langemark et Boesinghe. La guerre change d'aspect de plus en plus. Le soldat français qui, par son tempérament fougueux, n'aurait voulu connaître que le fusil, est contraint à manier l'outil; c'est la guerre de tranchées.

Cette guerre, partout déprimante, terne et sans émotion, revêt un caractère particulier en Belgique. Le nom de ce pays rappelle, en effet, la boue gluante et l'eau qu'un travail incessant n'arrive point à chasser; les bombardements effroyables empêchant toute végétation sur ce champ de bataille.

On appelle auj ourd'hui cette partie de la Belgique la « Zone des entonnoirs ». On n'y trouve que la trace des luttes sanglantes dont elle a été le théâtre : des ruines, troncs d'arbres déchiquetés par la mitraille, trous d'obus aux dimensions


imposantes, touj ours remplis d'eau, et enfin de nombreuses petites croix que l'on ne découvre que difficilement dans ce terrain gris et sale.

Le bataillon séjourne sept mois sous ce ciel peu clément.

Il fait preuve d'une endurance et d'un esprit remarquables.

On ne peut sans émotion penser aux dures fatigues supportées en silence pendant de longs jours dans cette vase répugnante, au milieu de ce paysage sans vie.

Malgré les difficultés de terrain et l'absence de tout bienêtre, les chasseurs conservent intégralement leurs positions; ils libèrent même des points importants.

Le 14 décembre à Saint-Éloi, le 24 à Korteker-Kabaret, en janvier et février 1915 à Zillebeke, à la cote 60, en mars à Langemarck, ils acquièrent de nouveaux titres de gloire.

Le bataillon est retiré de la zone de combat. Il passe à la 153e D. I. sans cesser d'appartenir au 20e corps. Il avait bien gagné quelques jours de repos. Mais un événement qui cause la plus grande stupéfaction et le plus profond dégoût se produit. Les Allemands emploient une arme nouvelle : les gaz asphyxiants. Cet ignoble moyen leur permet de faire une brèche dans nos lignes vers Brielen. Les chasseurs sont ramenés en hâte et aveuglent cette brèche. Le 26 avril, ils attaquent Pilckem; la progression est arrêtée par une nouvelle émission de gaz devant laquelle on est sans défense, mais pendant la période du 30 avril au 9 mai le bataillon réussit à rej eter les Allemands de l'autre côté du canal de l'Yser (combat de Steenstraate, prise de la Maison du Collègue). La 5e compagnie est citée à l'ordre de la 153e D. I.

Le 4e B. C. P. quitte la Belgique.

OFFENSIVE D'ARTOIS

15 au 30 juin. — Le bataillon intervient pendant l'offensive d'Artois. Des tranchées ont été perdues dans le dédale qu'on a nommé « Labyrinthe ». Il faut les reprendre. Telle est la mission qu'il remplit avec abnégation. La nature du terrain, l'enchevêtrement inconcevable des tranchées, la violence inouïe du bombardement rendent la tâche difficile.


Néanmoins, le terrain conquis est conservé malgré de nombreuses et vives contre-attaques. Pendant cette période (18 au 25 juin), les, chasseurs rivalisent. de bravoure. La liste des braves serait longue. Tous au même degré avaientla haine de l'Allemand. A ce moment-là, deux frères gravent dans les annales du bataillon un trait d'héroïsme, le voici,: Les deux frères. — Louis et Édouard RODIER sont tous deux à la lre section de la 5e compagnie. Ils ne se quitteront jamais.

Au Labyrinthe, ils combattent ensemble; ils s'excitent l'un l'autre et montrent le plus admirable courage à une barricade fortement attaquée' qu'ils ont voulu défendre à eux seuls pendant quatre jours. Le 22 juin 1916, la lutte est plus dure; le soir arrive, mais l'Allemand n'est pas passé : Louis ROJDIER

est grièvement blessé et Édouard RÓDIER est mort pour la 2 France.. Hélas, combien de braves reposent dans cette terre boule-

versée du Labyrinthe ! Le commandant CORDIER, qui toujours a partagé les joies et les peines de ses chasseurs, partage aussi leur sort. Il tombe à la tête de son bataillon qui-l'afiectionne, frappé d'une balle en plein front.

OFFENSIVE DE CHAMPAGNE Septembre à décembre. — Relevé du Labyrinthe, le .bataillon est dirigé en Lorraine où il bénéficie d'un repos de deux mois.

Son effectif est complété. L'instruction est poussée activement. Le 4e devient un bataillon neuf, les officiers et les hommes sont jeunes et ardents. Le commandant FoucHARD, maintenant leur chef, est fier de son bataillon et saisit chaque occasion pour manifester ses espoirs.

Le 24 septembre, le 4e B. C. P. est en Champagne. Le canon, tonne sans arrêt. L'heure de l'offensive est proche.

Elle se déclenche le-lendemain. Le bataillon est en réserve.

Aux premières heures, de nombreux prisonniers sont dirigés vers l'arrière, des gains importants de terrain sont annoncés. Les chasseurs trépignent d'impatience. Ils voudraient" se -


joindre immédiatement aux troupes qui ont eu le bonheur de commencer cette attaque et qui mènent si heureusement le combat.

Après quarante-huit heures d'attente, le bataillon intervient enfin. La mission qu'il reçoit est importante et difficile.

La Butte du Mesnil n'a pu être enlevée, il faut essayer de faire tomber cet obstacle sérieux en le tournant. Le 27, à 14 heures, le bataillon en entier charge la Garde prussienne qui occupe le bois en Zigzag. Le combat est acharné, la fusillade est vive de part et d'autre et les pertes graves des deux côtés. Mais le bois en Zigzag est français, les chasseurs ne le lâcheront pas, malgré les efforts répétés de l'ennemi.

Au cours de cet assaut mémorable, le clairon LASSARE (de la 6e) voit des camarades hésiter devant cette fusillade intense.

Il se porte devant eux et, debout, la tête haute, il sonne crânement la charge. *

L'offensive était arrêtée quelques jours après. Le 20e G. A.

organise le terrain qu'il a conquis. Le 4e B. G. P. travaille à la ligne de soutien. Il séj ourne dans ce secteur jusqu'au 18 décembre. La vie y est assez rude. C'est l'hiver, il pleut, une boue liquide envahit les boyaux. Les cantonnements de repos n'ont aucun confort, les paysages de la Champagne Crayeuse sont sans beauté.

Le bataillon va en Lorraine, où il « soufflera » un peu en exécutant des travaux de deuxième ligne au fort de Manonviller.


1916

VERDUN *

24 février à avril. - Le 21 février 1916 éclate le tonnerre de Verdun. Le bataillon y court pour défendre pied à pied la cité héroïque. Le 24 février au soir il se trouve à Souville, où il reçoit l'ordre de « retrouver le contact avec l'ennemi, qui a percé ».

On n'a aucun renseignement. On sait seulement que la côte du Poivre et Bezonvaux sont encore tenus par des éléments français. Le bataillon reçoit la mission, avec le 2e balaillon à sa gauche, de boucher le trou entre Bezonvaux et la côte du Poivre. En réalité, le mouvement a pour but de retarder le plus possible la marche de l'ennemi afin de permettre à la division de s'organiser sur la ligne Vaux—Douaumont et de mettre ses canons en batterie.

Le bataillon se rend à Vaux par la route, puis, conduit par des gardes forestiers, s'engage en trois colonnes dans le bois de Vaux. L'artillerie allemande bombarde violemment Douaull.l,QUt.- Vaux et tire quelques rafales dans le bois. Aucune pièce d'artillerie française ne répond. > La nuit est noire, de nombreux réseaux sillonnent le bois.

Après une marche de dix heures, le bataillon atteint Bezon- * vaux à 5 heures du matin et s'installe sur la ligne de crête à l'ouest de ce village. On creu-se des tranchées et on tâche de prendre la liaison avec le 2e B. C. P., qui est beaucoup plus à gauche, dans le bois de la Vauche.

Au cours d'une patrouille de liaison, les premiers Allemands sont aperçus par des chasseurs de la 2e compagnie, qui s'échappent à grand'peine.

Le dispositif du bataillon est le suivant de la gauche à la droite : 3e, lre et 6e compagnies. En réserve : 2e, 5e et 4e compagnies.


Vers les 13 heures, les Allemands profitent de notre situation très exposée pour nous attaquer dans le flanc gauche et s'emparer par surprise de la tranchée de la 3e compagnie. Une tentative allemande pour exploiter le succès est repoussée par les 2e et 5? compagnies, tandis que les lre et 6e maintiennent leur position.

Une accalmie survient quand, vers 20 heures, au moment d'une rafale de neige, le village de Bezonvaux est enlevé par l'ennemi aux débris du 4,, F ennemi aux débris du 44e R. I. qui le tenaient. Nous n'avons plus de munitions, pas un canon français n'est en batterie et nous sommes débordés à droite et à gauche.

Le commandant donne l'ordre de se replier. Nous atteignons Vaux sans incident, et nous sommes recueillis par la division qui organise le front indiqué plus haut. Trois compagnies renforcent ce nouveau front au bois de la Caillette et au nord de Vaux, les autres sont en réserve au bois Fumin.

Le bataillon reste dans cette situation jusqu'au 5 mars, sous un bombardement terrible et repousse toutes les attaques en masse, malgré les pertes très grandes.

La 153e D. 1. à laquelle le bataillon est rattaché obtient une citation à l'ordre de l'armée :

Après avoir montré sous les ordres du général DELIGNY un esprit d'offensive très remarquable, les 24, 25 et 26 février 1916, a fait preuve les jours suivants d'une ténacité, d'une endurance, d'un entrain, d'une volonté de ne rien céder à l'ennemi au-dessus de tout éloge.

A tenu, pendant onze jours consécutifs, nuit et jour, en terrain découvert, sans relève possible, sous un effroyable bombardement de tout calibre, un secteur dont elle n'a pas perdu un pouce de terrain et dont elle ne sortait que pour tenter des contre-attaques en vue d'arrêter l'offensive ennemie.

Cette citation confère la deuxième palme au bataillon. Deux figures, deux noms restent particulièrement attachés aux durs combats du 25 février. Il s'agit du sous-lieutenant ESTIENNE et du chasseur GIRARD (Emmanuel), de la 2e compagnie.

La 3e compagnie du 4e B. C. P. est encerclée par l'ennemi.


Le sous-lieutenant ESTIENNE ne sera pas fait prisonnier. -Il réussit à grand'peine à regagner le reste du bataillon. Mais il veut venger ses chasseurs et fait l'admiration, de tous par la magnifique exaltatio.n qui le pousse : il s'offre pour une reconnaissance dangereuse, participe à une contre-attaque, en-un, prenant un fusil, fait la chasse aux dernières patrouilles, s'avançant debout et offrant sa large carrure et sa haute taille au feu de l'ennemi. Il tombe frappé d'une balle, en plein cœur au cours de ce sacrifice héroïque. Blessé à la tombée du jour, le chasseur GIRARD (Emmanuel), de la 2e compagnie du 4e B. C: P., essaie de gagner le poste de secours en passant par Bezonvaux. Mais les. Allemands ont pris et occupent le village. GIRARD rampe, se dissimule, s'approche et surprend les conversations de soldats allemands, qu'il recueille longuement. Puis, malgré sa faiblesse, ayant perdu beaucoup de sang, il se traîne à travers la nuit de trou d'obus en trou d'obus pour aller avertir son bataillon du danger qui le menace. Il reçoit une deuxième blessure et s'évanouit, puis revenu à lui, il continue à ramper .jusqu'à la limite de ses forces. Enfin, il arrive près de ses. compagnons d'armes au prix de difficultés innombrables et d'horribles souffrances, sans se soucier de son isolement.

Le bataillon, relevé, se refait de nouveau au cours d'un repos de quelques semaines. Le commandant POMPEY remplace le commandant FOUCHARD, promu colonel. Pendant deux ans il commandera le 4e.

C'est un Lorrain à l'âme ardente, il se dépense sans compter pour son bataillon. Les officiers et les chasseurs sont à l'aise près de ce chef, qui ne ménage pas ses peines pour rendre leur tâche plus facile.

Le 13 avril, le bataillon est appelé à la cote_304, que l'ennemi attaque touj ours furieusement; son artillerie martèle les positions françaises sans répit. Il n'existe aucune organisation pour se mettre à l'abri des coups. La terre, constamment bouleversée par les explosions, ne permet pas la construc- tion du moindre élément de tranchée. Les chasseurs sont dans la boue, sans cesse, augmentée par une pluie diluvienne. Ils restent ainsi neuf jours sous la mitraille. Les pertes sont éle-


vées, mais les soldats du Kronprinz, dont il faut reconnaître l'obstination, n'entament pas le front du bataillon.

Retiré de cet enfer, le 4e bataillon va au repos dans la Somme. Il traverse Abbeville. La population de cette ville est saisie d'émotion. Les chasseurs, encore couverts de boue, défilent crânement malgré la fatigue qui pâlit un peu leur visage.

OFFENSIVE DE LA SOMME

Juillet et août. — Le 20e corps a l'honneur de commencer l'offensive de la Somme, à laquelle participent les Anglais.

Le 1er juillet 1916, tout est en place. Une artillerie formidable fait entendre un roulement continu. Les troupes sont à leur poste de combat. L'attaque se déclenche. Les succès sont rapides, le butin important.

Le bataillon, qui pendant les premiers jours est en réserve, prend les lignes le 9 juillet. Il occupe Hardecourt et ses abords.

Il attaque, le 20 juillet à 5 heures, la tranchée de Koloméa. La conquête de cet objectif demande un effort sérieux. Il est à 600 mètres de notre ligne, et en raison de la forme du terrain qui le cache aux observateurs terrestres, les tirs de destruction ne donnent que de faibles résultats. Un régiment allemand, le 182e saxon, à effectif complet, sortant du repos, défend cette position presque intacte.

Arrêtés à 100 mètres du but par une fusillade nourrie, les chasseurs s'accrochent, s'infiltrent, manœuvrent et enlèvent finalement cet objectif à 11 heures en s'emparant de 350 prisonniers, 5 afficiers, 5 mitrailleuses.

Au cours de ces six heures de lutte, les chasseurs rivalisent d'initiative. Des sections n'ayant plus de chef, des petits groupes séparés par les hasards du combat, des isolés mêmes continuent la lutte avec un acharnement farouche.

La lre section de la 2e compagnie, restée sans chef, fait avec un à-propos et un sang-froid remarquables une conversion difficile, qui lui permet de prendre de flanc l'objectif de la compagnie.

A la 5e compagnie la lutte est dure. Le caporal MAISONNEUVE et le chasseur GAZIN se battent comme des lions. Une


mitrailleuse allemande arrête la progression de la compagnie; MAISONNEUVE et GAZIN sautent dans la tranchée ennemie et à coups de grenades, avec un courage admirable, s'emparent de la mitrailleuse et ramènent à eux seuls 20 prisonniers.

Une deuxième attaque, menée par le bataillon le 18 août, est aussi heureuse que la première. Des pertes très graves sont infligées à l'ennemi : 135 prisonniers, 6 canons sont capturés.

Le corps d'armée a atteint son objectif. Relevé, il retourne au repos dans la Somme.

Novembre. - En novembre 1916, il est appelé dans le même secteur. L'offensive se poursuit.

Pendant la journée du 16 novembre, une contre-attaque allemande ébranle la ligne tenue par un régiment de zouaves au bois de Saint-Pierre-Waast. Il ne reste que des éléments épars pour défendre cette partie du front. Le bataillon est appelé en hâte pour rétablir la situation. La relève est difficile, la nuit est noire et l'on manque de guide dans ce terrain fangeux. Néanmoins, malgré des difficultés de toutes sortes, le bataillon remplit sa mission et tient tête pendant six jours à un ennemi touj ours renforcé pour arrêter à tout prix l'offensive franco-britannique. La vie y est très dure devant ce bois de Saint-Pierre-Waast. Le bombardement d'une violence exceptionnelle, les pluies de novembre, donnent au champ de bataille l'aspect d'une vaste nappe de boue. La circulation est particulièrement difficile dans ce terrain sans cesse bouleversé et détrempé où l'on enfonce jusqu'à mi-jambes.

Les rigueurs de la saison mettent fin à l'offensive.

Le bataillon est relevé et repasse à la 11e D. I. (10 décembre 1916).


1917

SÉJOUR EN LORRAINE

Décembre. — Le bataillon revient en Lorraine et cantonne à Saint-Nicolas-de-Port, sa garnison. L'accueil est enthousiaste, la population fête l'arrivée de ses « chasseurs ».

Après un séj our d'une semaine, le bataillon prend le sec-

teur de la forêt de Champenoux. Il occupe Brin et le Four-àChaux, les petits postes bordent la Seille.

L'activité est nulle dans ce secteur, le calme est absolu.

Cette période tient lieu de repos aux chasseurs habitués à la vie active des secteurs d'attaque.

Dans le courant du mois de février, le bataillon exécute des travaux de deuxième ligne dans la région de Baccarat. En mars, il embarque à Charmes. L'offensive de l'Aisne va commencer.

OFFENSIVE DE L'AISNE

Avril-mai. - De nombreux préparatifs sont faits en vue de cette offensive. Le bataillon est au complet. Les hommes sont instruits, enthousiastes; ils sont commandés par un cadre de choix.

Le 16 avril à 6 heures dyi matin, l'offensive commence. La 11e D. I. est en réserve. Elle doit intervenir pour exploiter le- succès. Le début de l'attaque ne donne pas les résultats qu'on espérait. Les progrès sont lents. Les organisations ennemies aménagées sans arrêt pendant trois ans ont résisté aux tirs de démolition de notre artillerie.

En raison de cette progression difficile, le bataillon n'intervient qu'au début du mois de mai. Il doit collaborer à la prise du plateau du Chemin des Dames. Cette position est


importante. Elle domine toute la région et se prête bien à une défense énergique.

Le dispositif à prendre avant cette attaque est difficile à réaliser. Le terrain est très accidenté et on manque de place.

Dans le courant de la nuit du 4 au 5, les chasseurs sont disposés par petits paquets dans des trous d'obus. Au jour, ils se recouvrent de leur toile de tente pour se soustraire aux investigations actives de l'aviation ennemie.

Des avions ennemis les survolent à faible altitude dès l'arrivée du jour. Rien ne bouge. Les positions françaises ne paraissent pas plus garnies que d'habitude. Les Allemands ne craignent pas l'attaque ce jour-là. Cependant, à 9 heures, leurs observateurs voyaient surgir de toutes parts les troupes d'assaut.

La première phase de l'attaque est menée par les 2e et 4e compagnies.

Ces unités doivent dégager la cuvette de Braye-en-Laonnois afin de permettre au bataillon de se mettre en place pour la deuxième partie de l'attaque qui doit libérer le belvédère important du Chemin des Dames.

La lutte est courte, mais violente. La 2e compagnie nettoie la tranchée du Havre à coups de grenades pendant que la 4e compagnie s'empare de la tranchée de l'Anse et d'une partie du bois du Drapeau.

La réaction se fait vite sentir. A trois reprises, l'ennemi contre-attaque furieusement. Mais le 4e B. C. P. ne laisse jamais reprendre le terrain qu'il a conquis. Les cadavres des chasseurs qui ont payé de leur vie le gain de terrain forment un rempart d'honneur que les Allemands ne franchissent pas.

Derrière le bataillon vers la gauche, la ferme Froidmont et la Bascule, que le 6e C. A. n'a pu enlever, sont de véritables nids de mitrailleuses tirant sans arrêt et fauchant tout ce qui avance.

Cette grêle de balles arrête la progression du bataillon malgré la persévérance et l'ardeur dont officiers et chasseurs font preuve.

Il est important de garder intacte la nouvelle ligne. Le bataillon s'y emploie d'une façon remarquable. Au cours de la nuit, pendant un orage violent, une contre-attaque puissante


menée par des grenadiers prussiens réussit à reprendre à la 2e compagnie une partie de la tranchée du Havre. Cette compagnie, presque sans munitions et sans cadre — il ne reste qu'un officier et trois sou s-officiers — reprend à la baïonnette, dans un splendide retour offensif, la totalité du terrain qu'elle occupait quelques instants avant.

Pendant cette bataille du Chemin des Dames, tous les chasseurs font preuve de la même bravoure. Mais le souvenir de l'un d'eux reste particulièrement attaché à cette période.

Le chasseur E. GIRARD, fusilier-mitrailleur, qui, déjà à Verdun, avait donné la mesure de son cœur, bondit seul en avant pendant une contre-attaque ennemie. Il tire sans arrêt, debout, sans se soucier des balles qui sifflent autour de lui.

Il inflige des pertes graves à l'ennemi qui hésite et se terre.

Les mitrailleuses de Froidmont s'acharnent sur cette cible vivante qui ne consent pas à se cacher. Une balle met fin à ses exploits. Quelques jours avant, le chasseur GIRARD écrivait à sa sœur : « Je donne volontiers ma vie pour la France. »

--- Le bataillon reste engagé jusqu'au 17 mai, il reçoit en reconnaissance de sa belle tenue la citation suivante à l'ordre de la division (troisième citation) : Sous l'intelligente et énergique impulsion de son chef, le commandant POMPEY, a exécuté, au cours des attaques des 5 et 6 mai 1917, une manœuvre particulièrement difficile ayant pour objet la conquête de tranchées fortement organisées et inaccessibles de front.

A fait preuve, au cours de ces attaques et pendant la période d'occupation et d'organisation du terrain conquis, d'une énergie, d'une vigueur et d'une opiniâtreté remarquables. Le 4e bataillon de chasseurs a justifié une fois de plus sa vieille et glorieuse réputation de bataillon d'élite.

SÉJOUR EN LORRAINE

Après un séj our de quelques semaines dans la région de Château-Thierry, la division est transportée en Lorraine et tient le secteur Flirey-Beaumont. L'activité y est assez


faible. Nos patrouilles, cependant, touj ours vigilantes, explorent fréquemment, pendant la nuit, le terrain bouleversé par une lutte "de mines autrefois violente. Quelques embuscades donnent des résultats heureux.

Relevé le 2 octobre, le bataillon est dirigé sur le camp de SafYais, puis séj ourne à Lisle-en-Rigault.

C'est dans cette localité que le 4e B. C. P. reçoit sa première fourragère.

L'attribution de cette récompense provoque une explosion de joie enthousiaste, car officiers et chasseurs sont fiers d'aj outer à leur tenue sombre qu'ils affectionnent tant cet insigne de leur valeur, de leur mérite et de leur gloire.

Les fêtes s'organisent et l'on entend de toutes parts, dans le village de Lisle-en-Rigault, les accents de la Sidi-Brahim, chant sacré des chasseurs.


1918

VERDUN

Janvier. - Le bataillon revient à Verdun le 28 janvier 1918 et tient le secteur du bois des Fosses, secteur toujours agité, portant la trace des luttes sanglantes qui s'y sont livrées pendant près de deux ans.

Cette région, autrefois riante et fertile, coupée par de nombreux bois, ne conserve plus aucune trace de vie. Les villages sont complètement détruits, les routes sont défoncées, les bois déchiquetés jusqu'au dernier arbre et toute l'étendue de ce vaste champ de bataille n'est qu'une succession ininterrompue de trous d'obus, de débris de toutes sortes et d'ossements.

Le bois des Fosses, que le bataillon occupe, n'est reconnaissable que par quelques troncs meurtris ayant résisté à une pluie de mitraille presque continuelle. La garde de ce front nécessite une vigilance particulière. Il n'existe aucune organisation défensive et l'ennemi montre une certaine activité par des coups de main fréquents facilités par l'absence totale de défenses accessoires. Le mauvais état du terrain, l'eau nauséabonde qui envahit les trous d'obus, le manque d'abris, les difficultés du ravitaillement et l'emploi intense de gaz toxiques rendent pénible et déprimant le séj our du bois des Fosses.

Les bombardements à obus explosifs et asphyxiants font baisser rapidement les effectifs des compagnies. Néanmoins, le bataillon conserve intégralement ses positions, et les tentatives répétées de l'ennemi pour capturer des prisonniers échouent devant la ténacité et l'habileté des chasseurs.

Le bataillon est relevé le 18 mars. 11 a assuré, pendant son séjour en face des armées choisies du Kronprinz, l'inviolabilité absolue de son front.


LA GRANDE OFFENSIVE

Mars-novembre. — Le bataillon sera sous les ordres du commandant DE LA GUILLONNIÈRE, quand il participera à la contre-offensive victorieuse de juillet et à sa préparation.

Les 9 et 10 juin, le 4e B. G. P. attend, derrière la ligne Tricot -Courcelles, sous un violent bombardement, l'heure où ildevra intervenir pour'le « coup de maître ».

A 15 heures, le village de Méry, qui est un observatoire important, plus exactement la clef de la résistance, vient de tomber à nouveau aux mains allemandes. Coûte que coûte, ce village doit redevenir français. Pour cette mission glorieuse, le bataillon n'est pas oublié. Appelé en hâte, il se prépare à contre- attaquer.

A 14h 15, le bataillon est couché dans les blés. Un geste du chef de bataillon, répété par les commandants d'unité, et le bataillon s'ébranle.

Il progresse par petites colonnes d'une marche hardie, rapide et souple. Le barrage ennemi se déclenche, mais, mal réglé, il demeure sans effet. Quand les chasseurs arriveront aux lisières, l'ennemi seulement ouvrira le feu, le tir des mitrailleuses demeurera peu efficace, et demain, les prisonniers, appartenant aux 143e, 36e et 2e R. I. de réserve, avoueront leur surprise.

« Ils croyaient avoir affaire à des patrouilles venant recher-

cher le contact, jamais ils n'avaient pensé'avoir devant eux tout un bataillon. »

A 2111 30, le bataillon occupe entièrement Méry et l'avion de la D. I. transmet le message lesté suivant : « Méry français H.

Ce brillant fait d'armes vaut au 4e B. C. P. une citation à l'ordre du 35e G. A. (quatrième citation' : Bataillon d'élite qui, sous l'action énergique et vigoureuse de son chef, le commandant DE LA GUILLONNIÈRE, vient de donner une fois de plus sa mesure en enlevant a l'ennemi, dans une contreattaque vigoureusement menée, progressant comme à la manœuvre à travers un pays complètement à découvert, sous un feu


extrêmement nourri de mitrailleuses et l'abordant dans un superbe élan, un point d'appui dont la conquête avait coûté à l'ennemi deux jours d'efforts et des pertes considérables. En a assuré l'occupation contre un violent retour offensif ennemi.

Le valeureux bataillon a bien rempli sa tâche. Il va maintenant se reposer durant quinze jours dans un riche petit bourg de l'Oise ; Hautefontaine. Mais l'heure décisive est proche et ces périodes de calme sont de courte durée. Le 30 juin, il relève le 26e R. I. et se trouve à Fosse-en-Haut à côté du 2e B. C. P., où, sous un bombardement quotidien, régulier autant qu'intense, il organise défensivement le secteur. Ce travail sera inutile, puisque, le 18 juillet, la contreoffensive se déclenchera avec succès.

PRISE DE SOISSONS

18 juillet au 5 août. — Le 18 juillet, le 4e BîC. P. est réserve de la 11e D. I. Une compagnie et un peloton dè mitrailleuses seuls assurent la liaison entre la 11e D. I. et la 72e D. I.

Ce détachement, sous les ordres du capitaine d'Auteroche, tué au cours de l'action, se fait remarquer par sa belle attitude et le colonel du 26e R. I. demande pour lui une citation à l'ordre de l'armée.

Le bataillon doit traverser des tirs de barrage d'une extrême violence, ses pertes sont énormes. Le 19 juillet, il dépasse le 6ge R. I. qui a atteint les crêtes sud de l'Aisne et pousse sa ligne jusque sur la rivière même. A un moment, sa position est telle qu'il couvre tout le front de la division.

Envoyé en réserve, il subit des bombardements d'une extrême violence ; néanmoins, le moral reste excellent et, le 29 juillet au soir, il monte en ligne en face de Mercin-et-Vaux. Il n'y a pas de doute, c'est lui qui devra reprendre Soissons.

Les premières patrouilles, sous le commandement de l'adj udant chef MALHOMME, débouchent à 18 heures sur la place de la Cathédrale.

Le bataillon borde l'Aisne et les lisières nord de la ville.


Dans sa marche rapide, le bataillon a devancé tous ses voisins, même les éclaireurs du 3e dragons.

L'innombrable matériel, canons de 77, 155 S., canons lourds de 120 et 150, etc., et des munitions en quantités considérables sont une preuve évidente du désastre de F adversaire.

Malheureusement, des officiers, des sous-officiers, des caporaux et des chasseurs ont payé de leur vie ce fait d'armes éclatant.

Durant cette période, le 4e B. C. P. a fourni un effort colossal, il est en opérations actives depuis deux mois, il a fourni trois attaques et subi des bombardements toxiques d'une violence inouïe.

Le haut commandement rend hommage à la vaillance, l'énergie, l'endurance, aux qualités guerrières dont a fait preuve le bataillon, et lui confère sa troisième citation à l'ordre de l'armée (cinq citations au total) : Corps d'élite au moral magnifique, partout égal à lui-même, toujours capable de se donner tout entier pour la victoire comme pour le sacrifice. Le 10 juin 1918, par la reprise d'un point d'appui des plus importants pour le succès de la contre-offensive du lendemain, avait montré ce que l'on pouvait attendre de sa légendaire vaillance. Le 18 juillet, sous la conduite de son chef, le commandant DE LA GUILLONNIÈRE, a aidé à la progression d'un régiment d'infanterie, pénétrant de plus de 4 kilomètres dans l'intérieur* des lignes ennemies. A ensuite tenu un secteur constamment battu par des feux de face et de flanc.

Le 2 août enfin, est entré dans Soissons, poussant jusqu'à l'Aisne, sur les pas de l'ennemi en retraite, après avoir brisé ses dernières résistances aux abords de la ville délivrée, et reprenant 8 canons, 10 caissons et une quantité considérable de munitions.

20 au 22 août. — Une nouvelle opération est projetée à l'ouest de Soissons. Après quelques jours de repos à ('œuvres, le 4e B. G. P. y prendra part de la façon la plus glorieuse.

Dans la nuit du 17 au 18 août, il passe l'Aisne sur des ponts sans cesse bombardés. Le bataillon se prépare au combat..

Dans chaque compagnie, des ballots sont faits avec les sacs, les capotes ne seront pas emportées à cause de la chaleur.


L'idée de l'attaque en vareuse, chose neuve et chose crâne, plait aux officiers et aux chasseurs. Ainsi dégagés et vêtus de bleu sombre, rien ne les arrêtera.

A la nuit tombante, les voitures à munitions montent avec les cuisines roulantes; dans le ravin bombardé, on fait le plein, puis on se rapproche des bases de départ de l'attaque.

Le plan d'engagement est définitif, l'attaque va commencer, l'objectif assigné au bataillon est à 5 kilomètres : la route de Tartiers à Vézaponin.

Le bataillon relèvera les éléments du 43e R. I. dans la nuit du 19 au 20, dans le dédale des tranchées bouleversées par la préparation, conquise la veille et noyée de gaz.

A 4 heures, toutes les unités sont en place ; à 5 heures, avec le jour qui se lève commence la préparation d'artillerie. C'est un grand spectacle qui rappelle plus les batailles de 1916'et la guerre de position que les récents combats en campagne presque rase. Juché sur le parapet, sans avoir rien à craindre de la curiosité de l'ennemi abruti dans ses abris par la grêle d'obus, on peut voir le très long plateau nu, éclairé d'yn jour gris et voilé un peu par la fumée des éclatements.

Nouvron-Vingré tout auprès, caché dans un repli de ravin, au loin Tartiers, plus loin encore la crête indécise où les diables bleus seront avant midi, bel et bien, sans aucun doute. En quelques minutes, les tranchées successives, premières positions - des Allemands, sont enlevées. Des groupes de prisonniers se rendent sans hésitation.

La progression devient plus ardue en raison d'un barrage ennemi assez serré. Heureuse surprise, des chars d'assaut surgissent et rej oignent, mais l'ennemi les voit et ses obus spéciaux contre tanks pleuvent dru. Une résistance ennemie est tentée, les officiers entraînent les chasseurs, l'élan est irrésistible et les artilleurs d'une batterie de 77 installés en plein champ en sont rapidement convaincus par le F. M. du chasseur NIÉVIN de la 2e compagnie, qui s'installe délibérément à 50 mètres d'eux pour ouvrir le feu.

Alors c'est le triomphe, l'ennemi s'enfuit en abandonnant tout son matériel. Les chasseurs en vareuse, couchés au soleil, attendent tranquillement lo passage du 2e bataillon, qui vivnl continuer leur succès, succès consacré par une citation à


l'ordre de l'armée et la fourragère aux couleurs de la Médaille militaire. v Citation à l'ordre de la Xe armée, nO.344, du 12 octobre 1918 : Le 20 août 1918, sous les ordres du chef de bataillon DE LA GUILLONIUÈRE, s'est élancé à l'attaque avec une fougue irrésistible et un ordre admirable-; a gagné en deux heures et demie 4 kilomètres de terrain, faisant environ 400 prisonniers, Wemparant de 7 canons, 50 mitrailleuses, ainsi que d'un matériel considérable.

PRISE DE LA BASSE-FORÊT DE COUCY Septembre. — Après un repos de quelques jours à H aramont, le bataillon relève 'sur l'Ailette le "1 er régiment de zouaves. Sa relève est délicate. La traversée difficile sur des passerelles branlantes, en pleine nuit, sous une pluie d'obus explosifs et toxiques, du canal de l'Oise à l'Aisne, et les deux bras de l'Ailette., prélude d'attaque marqué par plusieurs tués et blessés. L'ordre arrive de « bondir en avant ». Il s'agit de s'emparer de Praast, d'enlever le saillant de la Basse-Forêt de Coucy. La préparation d'artillerie est insuffisarité, le débouché de l'infanterie extrêmement ardu : officiers et chasseurs tombent, il faut stopper. Le 4 septembre, l'affaire est reprise par infiltration, mais ce jour-là, une résistance acharnée se manifeste encore. C'est le 5 septembre seulement que l'ennemi s'enfuira en laissant de nombreux morts et un matériel considérable. Les objectifs assignés sont atteints au prix de pertes sérieuses.

Cette série de succès, d'autant plus glorieux que la résistance de l'ennemi fut opiniâtre, est suivie d'une période de quelques semaines de repos dans la région parisienne, lieu particulièrement choisi pour enlever au poilu toutes les fatigues physiques et morales accumulées par les dures victoires remportées sur l'Allemand depuis le 1er juin.

Ce sera le dernier repos avant l'armistice.

C'est en Belgique qu'il donnera son dernier effort. Dé-


barqué à à Bergues le 10 octobre, il s'achemine par Dunkerque, Oostvleteren, où il stationne, Lichtervelde, Ruysselede, Arseele, vers la Lys qu'il franchit le 30 octobre dans la nuit.

Le 31, la 11e D. I. coopère à l'attaque générale, en liaison à gauche avec la 77e D. I., à droite avec la 12e.

L'ennemi, tout le jour, par une défense très âpre, retarde la progression. La nuit, il disparaît, mais les patrouilles éventent son repli.

Le 1er novembre, dès le point du jour, le commandant prend la décision de se jeter à sa suite jusqu'à l'Escaut.

Son avance rapide facilite la progression du régiment de gauche sur le plateau de Nazareth.

A midi, il borde le Morbeck (affluent de l'Escaut).

Malheureusement, les ponts ont sauté, l'absence de cavalerie n'a pas permis d'empêcher ces destructions.

En récompense, de nombreuses décorations belges sont accordées aux officiers et chasseurs.

C'est sur les bords de l'Escaut que le 4e B. G. P. termine la campagne. Relevé dans la nuit du 8 au 9 novembre, il gagne Thielt où il est touché par l'armistice.

Voilà tracée en quelques lignes l'histoire du 4e B. C. P., dans sa longue campagne contre l'Allemagne.

L'armistice, synonyme de victoire, dont il est un des courageux artisans, a mis fin à ses exploits. Maintenant la démobilisation le désagrège, les chasseurs, satisfaits du devoir bien accompli, retournent dans leurs foyers, et bientôt le 4e sera un bataillon neuf, formé de jeunes chasseurs qui, semblables à leurs aînés, seront prêts à intervenir à la première alerte. Tous, jeunes et vieux, se souviennent des sacrifices faits et pensent avec recueillement à leurs frères d'armes qui, d'outre-tombe, surveillent leur attitude.



LISTE NOMINATIVE DES GRADÉS

ET

CHASSEURS DU 4e BATAILLON DE CHASSEURS A PIED MORTS AU CHAMP D'HONNEUR -

OFFICIERS

AGUILLON (Louis), sous-lieut.

ANDRON (François), lieutenant.

AUBRY (Rodolphe), sous-lieut.

BEAUDOT (Achille), sous-lieut.

BOUCHERON (Louis), sous-lieut.

BOURGEOIS (André), sous-lieut.

BRILLET (Gérard), sous-lieut.

CAZAUD (Louis), sous-lieut.

CHAPPE D'AUTEROCHE (CI.), cap.

CHATAIN (Charles), sous-lieuten.

CHATEL (André), lieutenant.

CHEVALIER (Henri), sous-lieut.

COLI.OT (Jules), sous-lieutenant.

CORDIER (Jean), chef de bataillon.

COURTEAU (Pierre), capitaine.

CROZET (Raoul), capitaine.

CUVELLIER (Arthur), lieutenant.

DE CURIÈRES DE CASTELNAU (Joseph), sous-lieutenant.

DELACROIX DE CASTRIX (Ch.), cap.

DEVIC (Louis), sous-lieutenant.

DODANNE ( Louis), sous-lieutenant.

DUPUIS (Pierre), sous-lieutenant.

ESCANDE (Front), capitaine.

ESTIENNE (Marc), sous-lieutenant.

FAURIE (André), sous-lieutenant.

FAYET (Gustave), capitaine.

GEKONy-SENGUINET (Henri), cap.

GRANDJEAN (Ernest), capitaine.

GUEUGNIAUD (Philippe), s.-lieut.

GUILLEMIN (Jules), sous-lieut.

HAMILTON (Paul), capitaine.

HocQUE (René), sous-lieutenant.

HOUSSET (Bernard), capitaine.

JACQUEAU (Henri), capitaine.

LALLEMENT (Marie), capitaine.

LELORRAIN (Louis), sous-lieut.

LE SAINT (Jean), sous-lieutenant.

DE LIEDEKERKE DE BEAUFORT.

(Aymard), sous-lieutenant.

LIOTÉ (Marcel), sous-lieutenant.

LOUVRIER (Barthélémy), s.-lieut.

MARCHAND (Ladislas), sous-lieut.

MARMAND (Reinold), sous-lieut.

MATERN (Henri), sous-lieutenant. MENGIN (Charles), capitaine.

NECTOUX (Joseph), lieutenant.

ORFILA (Michel), sous-lieutenant.

PATRIMONIO (Christian), lieut.

PIERROT (Paul), sous-lieutenant DE RESZKE (Jean), sous-lieut.

RICOME (Paul), lieutenant.

DE ROHAN-CHABOT (Ch.), capit.

ROY (Maurice), sous-lieutenant.

RUMÈBE (Raymond), capitaine.

SASSIN (Athanase), sous-lieut.

SCHMIDT (Maurice), sous-lieut.

SEGUINEAU DE PREVAL (Marc), sous-lieutenant.

DE SEISSAN DE MARIGNAN (P.), s.-I.


SINON CELLI (Ange), lieutenant.

STAMM (René), sous-lieutenant.

TIIOORIS (Eugène), sous-lieut.

TRUMEAU (Charles), sous-lieut.

VIALA (Maurice), sous-lieutenant.

VIARD (René), lieutenant.

TROUPE

ABLON (Pierre), 2e classe.

ABOT (Gabriel), 2e classe.

ACCAULT (Henri), 2e classe.

ADAM (Léon), 2e classe.

ADENIN (Émile), 2e classe.

ADNET (Narcisse), caporal.

ADRIAN (Albert), adjudant.

AGENET (Gaston), caporal.

AGEON (Constant), caporal.

AIRIAU (Auguste), 2e classe.

AKREMANN (Lucien), sergent.

ALAIGRE (Marcel), 2e classe.

ALARY (Henri), 2e classe.

ALEXANDRE (Victor), 2e classe.

ALLAIN (Georges), 2e classe.

ALLÉE (Fernand), 2e classe.

ALOUIS (Louis), 2e classe.

ALTHUSER (Marcel), 2e classe.

ALUISON (Lucien), 2e classe.

AMBLARD (Charles), 2e classe.

AMIRAULT (Léon), 2e classe.

AMIRAULT (Frédéric), sergent.

ANATOLE (Célestin), 2e classe.

ANDRÉ (Marcel), 2e classe.

ANDRÉ (Gaston), 2e classe.

ANDRIEUX (Victor), 2e classe.

ANDRIEU (Maurice), 2e classe.

ANTOINE (Paul), 2e classe.

ANJORAN (Eugène), caporal.

ANSELIN (Jules), caporal.

ANTOINE (Anatole), caporal.

ANTOINE (Émile), 2e classe.

ANTONSANTY (Cavier), caporal.

ARMAND (Jean), sergent-major.

DE ARMAS (Marcel), 2e classe.

ARNAULT (Charles), 2e classe.

ARNOUX (Henri), 2e classe.

ARRESTE (Léon), 2e classe.

ARVIN-BÉROD (Armand), 2e cl.

ASSIER (Henri), 2e classe.

AUBIJOUX (Auguste), 2e classe.

AUBRIT (Gustave), sergent.

AUBRY (Auguste), 20 classe.

AUBRY (Camille), 2e classe.

AUBRY (Eugène), 2e classe.

AUCHER (Saint-Ange), 2e classe.

AUDEGOND (Floréal), 2e classe.

AUDO (Honoré), 2e classe.

AUGER (Georges), 2e classe.

AUGER (Raoul), 2e classe.

AUGUSTIN (Émile), caporal.

AURIAU (Victor), 2e classe.

AUZILLEAU (Louis), 2e classe.

AVELINE (André), 2e classe.

AVINEN (Ernest), lre classe.

AVRIL (Édouard), 2e classe.

AVRIL (Henri), 2e classe.

BACH (Désiré), 2e classe.

BACHELIER (Louis), 2e classe.

BACHON (Bernard), 2e classe.

BADUEL (Paul), caporal.

BAGIAU (Élie), 2e classe.

BAGLAN (Abel), 2e classe.

BAILLAIS (Gaston), 2e classe.

BAILLAT (Arsène), sergent.

BALANCHE (Georges), 2e classe.

BALLARIN (Pierre), 2e classe.

BALLON (Marcel), lre classe.

BALLOTEAU (Octave), 2e classe.

BALY (Henri), 2e classe.

BANAL (Lucien), 26 classe.

BANNERY (Julien), 2e classe.

BARAULT (Édouard), 2e classe.

BARBEREAU (Saturnin), 2e clause.

BARBERON (Marius), 2e classe.

BARBETTE (Alfred), 2e classe.

BARBIER (Joseph), caporal.

BARBIER (Marcel), 2e classe.


BARBIER (Roger), caporal.

BARBOT (Constant), caporal.

BARBOTIN ( Henri), caporal.

BARBOU (Marcellin), jre classe.

BARDOU (Marcel), 2e classe.

BARDOUX (Maurice), 2e classe.

BARES (Jean), caporal.

BARIBAUD (Abel), caporal fourrier.

BARRAT (Maxime), 2e classe.

BARRE (Edmond), caporal.

BARRE (Jean), 2e classe.

BARREAUD (Joseph), jre classe.

BARRAULT (Alfred), 2e classe.

BARRAULT (Eugène), 26 classe.

BARROIS (Maurice), 2e classe.

BARROU (Émile), 2e classe.

BARTHÉLÉMY (Andr6), caporal.

BASSINOT (Jean), 1re classe.

BATY (Georges), 26 classe.

BAUDHUIN (Robert), sergent.

BAUDINIÊRE (Ernest), 2e classe.

BAUDOIN (Gaston), 2e classe.

BAUDOIN (Pierre), 2e classe.

BAUDRY (Joseph), 2e classe.

BAULAND (Auguste), 2e cl.

BAUVILAIN (Alexandre), 26 cl.

BAZIN (Alphonse), 2e classe.

BAZIN (Gilbert), 26 classe.

BAZIN (Jean), 2e classe.

BEAUMONT (Ernest); 2e classe.

BEAUMONT (Léonce), 2e classe.

BECARD (René), 2e classe.

BÉE (Alexandre), 2e classe.

BEGAUT (Émile), 2e classe.

BEGNIER (Henri), 2e classe.

BEILLOT (Louis), 2e classe.

BELLARD (Marcel), 2E classe.

BELLENOUE (Georges), 2e classe.

BELLOCHE (Eugène), 2e classe.

BENARD (Louis), 2e classe.

BENARD (Maurice), 2e classe.

BENARD (Raoul), 2e classe.

BENETIER (Justin), caporal.

BENOIT (Roger), 2e classe.

BENOIST (Pierre), 2e classe.

BERARD (Remy), caporal.

BERBIGIER (René), 2e classe.

BERGER (Paul), 2e classe.

BERLIN (Ernest), 2e classe.

BERMONT (Pierre), 2E classe.

BERNARD (Antoine), 26 classe.

BERNARD (François-Aug.), 2e cl.

BERNARD (François), 26 classe.

BERNARD (Pierre), 2e classe.

BERNARD EAU (Jérémie), 2e classe.

BERNEREAU (Henri), 2e classe.

BERNEUX (Alexandre), 2e classe.

BERROYER (André), 2e classe.

BERT ( Henri), caporal.

BERTELOOT (Henri), caporal.

BERTHELIN (Henri), 2e classe.

BERTIN (Raphaël), 26 classe.

BERTRAND (André), clairon.

BERTRAND (Ernest), 2e classe.

BERTRAND (Marcel), 2e classe.

BERTY (Paul), 2e classe.

BESÀUT (Auguste), 2e classe.

BESNARD (Ernest), 2e classe.

BESNARD (Victor), 2e classe.

BESNIER (Georges), 2e classe.

BESNIER (Henri), 2e classe.

BESSÉ (Paul), 2e classe.

BESSON (Alfred), 2e classe.

BÉTOURNÉ (Raoul), 2e classe.

BEUF (Antoine), caporal.

BEURIENNE (Clément), 2e classe.

BEURIER (Prosper), 2e classe.

BEUTIER (François), 2e classe.

BEZARD (Alphonse), 2e classe.

BEZY (Robert), sergent.

BIARD (Louis), 2e classe.

BIAUDÉ (Léon), 2e classe.

BIBENS (Gaston), 2e classe.

BIELLE (Jean), 2e classe.

BIENFAIT (Lucien), 2e classe.

BIGORNE (Ernest), 2e classe.

BIGOT (Alfred), 2e classe.

BIGOT (Albert), 2e classe.

BIGOT (Jean), 2e classe.

BIGOT (Jules), 2e classe.

BIGOT (Léopold), 2e classe.

BIGOT (Paul), 2e classe.

BILLIARD (Georges), 2e classe.

BILLARDELLE (Armand), 26 d.

BINET (Gaston), 2e classe.

BIOT (Jean), sergent.


BIRAUD (Louis), 2e classe.

BIZE (Albert), adjudant.

BLAISE (Cyrille), 2e classe.

BLAISE (Émile), 2e classe.

BLANC (Victor), 2e classe.

BLANCHARD (Eugène), 2e classe.

BLANCHE (André), 2e classe.

BLANCHE (Georges), 2e classe.

BLANCHET (Séverin), 2e classe.

BLANCHON (Georges), caporal.

BLANCHON (Paul), 2e classe.

BLANCHOT (Marceau), 2e classe.

BLANCHOT (Charles), 2e classe.

BLASTIER (Louis), 2e classe.

BLIN (Adrien), 2E classe.

BLIN (Ernest), 2e classe.

BLONDEAIT (Marc), 2e classe.

BLOND Y (Eugène), 2e classe.

BLOSSIER (Henri), 2e classe.

BLOSSIER (Léon), 2e classe. *

BOBLET (Auguste), 2e classe.

BODOT (Eugène), 2e classe.

BOEHM (Charles), adjudant.

BOIDRON (Pierre), 2E classe.

BOIRY (Paul), 2e classe.

BOISRO MET (Emmanuel), sergent.

BOITON (Fernand), 2e classe.

BOLTZ (Félicien), sergent.

BOMPAS (René), 2e classe.

BONEME (Armand), sergent.

BONHOMME (Paul), 2e classe.

BONICHON (Cleophas), 2e classe.

BONIN (Lucien), 26 classe.

BONNAUD (Jean), sergent.

BONNEAI D (Arsène), 2e classe.

BONNEBEAU (Serge), 26 classe.

BON NE ROT (Georges), 2e classe.

BONNETTON (Louis), 2e classe.

BONNOT (René), 2e classe.

BONTÉ (Georges), 2e classe.

BOQUEL (Charles), 2e classe.

BORDEAUX (Léon), 2e classe.

BOREL (Louis), caporal.

BORGHI (Arthur), 2e classe.

BORNET (René), 2e classe.

BOSSIÈRE (Raymond), 2e classe.

Bossu (Marcel), 2e classe.

HOST (Marie), caporal.

BOUARD (Auguste), 2e classe.

BOUBHET (Louis), 2e classe.

BOUCHAUD (Louis), 2e classe.

BOUCHER (Léon), 2e classe.

BOUCHEREAU (Gaston), 2e classe.

BOUCHET (Léon), 2e classe.

BOUCHET (Marie), 2e classe.

BOUCHIER (Élie), 2e classe.

BOUCHIGNY (Élie), 2e classe.

BOUDAIRON (Léon), 2e classe.

BOUDARD (Edouard), sergent.

BOUDET (Robert), 2e classe.

BOUDIN (Remy), 2e classe.

BOUGARDIER (Marcel), 2e classe.

BOUGRIER (Georges). 28 classe.

BOULAY (Gaston), 2E classe.

BOULIER (Albert), 2E classe.

BOULOGNE (Henri), caporal.

BOURCEREAU (Siméon), 28 classe.

BOURDIN (Daniel), 2e classe.

BOURDIN (François), 28 classe.

BOURDON (Corentin), 2E classe.

BOURGEOJS (Antime), 2e classe.

BOURGEOIS (Maurice), 2e classe.

BOURGUIGNON (Clément), 2e cl.

BOURGUIGNON (François), 2e cl.

BOURLIER (Gaston), 2e classe.

BOURLON (Louis), 2e classe.

BOURNAZAUD (Émile), caporal.

BOURRIN (Jean), 2e classe.

BOURSE (Camille), 2e classe.

BOUSSENAY (HenriJ, 2E classe.

BOUTET (René), caporal.

BOUTHIER (Jean), 2e classe.

BOUTRON (Émile), caporal.

BOUTTIER (Auguste), 2e classe.

BOUTTIER (Edmond), 2e classe.

BOUTTIER (Victor), 2e classe.

BOUVET (Alphonse), 2e classe.

BOUVRIT (Gabriel), 2e classe.

Boy (Noël), 2e classe.

BOYER (Paul), 2e classe. •BRAGUE (Albert), 2e classe.

BRANCARD (Edouard), 2e classe.

BRANCARD (Arthur), 2e classe.

BRANQUART (Félix), 2e classe.

BRAULT (Alphonse), 2e classe.

BRAULT (Edouard), 2e classe.


BRAUX (Clément), 2e classe.

BRÉARD (Eugène), sergent.

BREMAUD (Camille), 2e classe.

BREMOND (Gustave), Fe classe.

BRETIN (Etienne), 2E classe.

BRETON (Joanès), 2e classe.

BRETONNEL (Félix), 2e classe.

BREUGNOT (Émile), caporol.

BRICARD (Arthur), 2e classe.

BRIGNON (Jean), 2e classe.

BRIQUET (Alfred), 2e classe.

BRISBARE (Henri), 2E classe.

BRISSARD (René), 2e classe.

BROCHOT (Louis), 2E classe.

BROSSARD (Auguste), 2e classe.

BROSSARD (Julien), 2e classe.

BROSSEAU (Joseph), 2e classe.

BROUILLY (Alphonse), 2e classe.

BROUSSE (Marcel), 2e classe.

BRÛLÉ (Lucien), 2e classe.

BRUNE (Edmond), 2e classe.

BRUNELOT (Alfred), 2E classe.

BRUNET (Eugène), 2e classe.

BUISSON (Elisée), 2e classe.

BUISSON (René), 2e classe.

BUNEL (Marcel), 2e classe.

.BURDET (Georges), caporal.

BURET (Désiré), caporal.

BURNICHON (Henri), 2e classe.

BURON (Lucien), 2e classe.

BURTON (Joseph), sergent.

BUSSON (Louis), 2e classe.

CABASSUT (René), caporal.

CABBEKE (Narcisse), 2e classe.

CADET (Gabriel), 2e classe.

CAILLARD (Charles), 2e classe.

CAILLET (Henri), 2e classe.

CALLOT (Aimable), brancardier..

CAMUS (Adrien), 2e classe.

CAMUS (Raymond), 2e classe.

CAPITAIN (Paul), sergent.

CAPUT (Félix), caporal.

CARBONNIER (Auguste), 2e classe.

DE CARHEIL, 2e classe.

CARMIGNAC (Emile), 2e classe.

CARON (Charles), 2e classe.

CARON (Gaston), 2e classe.

CARPÉNTIER (Roger), caporal.

CARRE (Maurice), 2E classe.

CASIMIR (Auguste), 2e classe.

CASSAGNEAU (Georges), 2e classe.

CASSIN (François), 28 classe.

CASTILLON (Xarcel), 2e classe, CATHALIFAUD (Léonard), adjudant.

CAVEREAU (Aristide), 2e classe.

CAYLA (Louis), 2e classe.

CAZAUX (Jean), 2e classe.

CAZENEUVE (Jean), 2e classe.

CENTLIVRE (Louis), 28 classe.

CERFONT (Julien), 2e classe.

CERISIER (Gabriel), 2E classe.

CHABERT (Albert), sergent-major.

CHABRILLANGE (Emile), sergent.

CHAGNON (Louis), 2e classe.

CHAIGNEPAIN (Apollon), cap. fourr.

CHALLAN (Pierre), 2e classe.

CHALTÉ (Louis), 2e classe.

CHAMBON (Ernest), 2e classe.

CHAMPENOIS (Alcide), 2e classe.

CHAMPION (Alphonse), 2e classe.

CHAMPION (Jean), sergent.

CHAMPROUX (Marcel), 2e classe.

CHANGEUX (Charles), caporal.

CHANTEPIE (Marcel), 2E classe.

CHAPAUD (Julien), 2e classe.

CHAPERON (Joseph), 2e classe.

CHAPILLON (Gaston), 2e classe.

CHAPOTOT (Edmond), 2e classe.

CHARDINAL (Raymond), 2e classr.

CHARDON (Auguste), 2e classe.

CHARLES (Marcel), 2e classe.

CHARLOIS (Lucien), 2e cl.

'CHARLOIS (Gaston), 2e classe.

CHARLY (Louis), sergent.

CHARMOIS (Eugène), 2e classe.

CHARPENTIER (Alphonse), 2e cl.

CHARPENTIER (Marcel), Fe classe.

CHARPENTIER (Georges), 2e classe.

CHARRIER (Pierre), 2e classe.

CHARRIER (Augustin), 2e classe.

CHATELAIN (Auguste), 2e classe.

CHATELAIN (Emile), 2e classe.

CHATELAIN (Gaston), 2e classe.

CHATELAIN (Louis), 2e classe.

CHAUFOUR (Charles), 2e classe.

CHAUMIER (Paul), 2E classe.


CHAUMONT (François), 2e classe.

CHAUMONT (Henri), sergent.

CHAUMONT (Marcel), 2e classe.

CHAUMONT (Robert), caporal.

CHAUSSY (Fernand), jre classe.

CHAUVEAU(Alfred),1re classe. CH AU VEAU (Lazare), 2e classe.

CHAUVET (Aimé), 2e classe.

CHAVENEAU (Roger), v2e classe.

'CHAZAL (Baptiste), 2e classe.

CHEMIN (Pierre), 2e classe.

CHENE (Georges), 2e classe.

CHENEAU (Georges), caporal.

CHEHEAU (Henri), sergent.

CHEROT ( Jean), 2e classe.

CHESNOY (Alphonse), 2e classe.

CHEURLIN (Charles), 2e classe.

CHEVALLIER (Adolphe), caporal, CHEVILLON (Camille), 2e classe.

CHEVREAUX (Gaston), 2e classe.

CHEVRIER (Victor), 2e classe.

CHICAUD (Octave), 2e classe.

CHICHERY (Jules), 2e classe._ CHIGNIER (Claudius), 2e classe.

CHOPLTN (Henri), 2e classe.

CHOLLET (Maurice), 2e classe.

CHOQUET (Jean), sergent.

CHOUARD (Edmond), 2e clasfe.

CHOUART (Gaston), 2e classe.

CHRÉTIEN (Jules), 2e classe.

CHUETTE (Albert), sergent.

CIBARD (Ernest), 2e classe.

CINGET (René), 2e classe.

CINTRÂT (Lucien), 2e classe.

CLAVEL (Maurice), 2e classe.

CLAUDE (Constant), 2e classe.

CLAUDE (Félix), 2e classe.

CLAUDEPIERRE (Lucien), 2e classe.

CLAUDON (Auguste), caporal.

CLAUDOT (Henri), 2e classe.

CLÉMENT (Francis), 2e classe.

CLÉMENT (Charles), 2e classe.

CLÉMENT (Léon), caporal.

CLEMONT (Louis), 2e classe.

CLERGÉ (Antony), 2e classe.

CLIQUOT (Georges), 2e classe.

CLISSON (Marcel), 2e classe.

CLODORÉ (René), caporal.

CLOSSE (Paul), 2e classe. -

CLOSSET (Victor), 2e classe.. V COBERT (Philippe), 2e classe.

COGNE (Augustin), 2e classe.

CDGNET (Qaston), 2E classe COILLAUD (Marcel), 2E- classe.

CORUEL (Maurice), 2e classe. COLAS (Ëmile), 2e classe.

COLLIGNON (René), 2e classe. COLLIGNON (Victor), 2E classe.

COLIMARB (Yves), lre classe.

COLIN ( Jules), 2E classe. COLIN (Vincent), 2ô classe.

COLLARD (André), 2e classe. COLLARD (Paulin), -2e classe. COLLIN (Auguste), cap. fourrier: COLLOT (Auguste), 2e classe.

COLLOT (Robert), 2e classe.

COLLOT (Laurenty, 2e classe.

CoMBRALLIER (Adrien), caporal* COMMIS (Remy), lre classe.

COMMUNAL (Jean), 2e classe.

CONFRÈRE (Marius), 2e classe.

CORRINCH (Henri de), 2e classe.

CONSTANT (Céleste), caporal.

CONTE (Arsène), 26 classe.

CONVENTZ (Charles), 2e classe.

CONVERT (René), sergent.

COQUELET (Henri), caporal.

CORDONNIER (René), 2e .classe.

CORNET (Louis), 2e classe.

CORNUEIL (Léon), 2e classe.

COROT (Adrien), sergent.

COSNIER (Gustave), 2e classe.

COSSET (ÊmilB), 2e classe.

COSTEL (Gaston), 2e classe.

COTTÉ (Paul), 2e classe.

COULBOIS, (André), aumônier.

COURJAUD (Louis), 2e classe.

COURNAC (Abel), 26 classe.

COURS (Jean), 2e classe.

COURTE AUX (Joseph), 2e classe.

COUSON (Armand), 2e classe. COUTANT (Salvator), 2e classe.

COUTURE (Émile), 2e classe.

CouvÉ (Émile), 26 classe.

COUVREUX (Fernand), 2e classe.

COWACHE (Eugène), 2e classe.


ÇREMIER (Louis), sergent..

CRÉPIN (André), 2e classe.

CREVET (Antoine), 2e classe.

CROIZON (Georges), 2e classe.

"CROS'NIER (Albert), 26 classe.

CUNY. (Lucien), adjudant.

DAMBRE (René), 2e classe.

DAM-MAN (Arthur), 2e classe.

DANGELSER (Albert), 2e classe..

DANTARD (Adrien), 2e.classe: DARBOIS (Marcel), caporal.

DARD (Laurent), 26 classe.

- DARTHESE (Jacques), adjudant.

DASBOURG (Pierre),2e classe.

DAUPHtN tHend), 2e classe.

PAUTRËY (Maurice), aspirant.

DAVIAUD (Théophile), 2e classe.

DAVID (Biaise), 2e classe.

DAVID {Eugène), LÎE classe.

DAVID (Henri), -adjudant.

DEBARD (Félicien), 26 classe.

DEBERT (Jean), caporal.

DEBLAIZE (Alexis), 2e classe.

DECHÊNE (Aristide), sergent.

DEDIEU (Joseph), caporal.

- DEDRON (René), 2e "classe; ..DEFERT (Edgard), 26 classe.

DEFRAIN (Julien,) 2e classe.

DEJAUNE (Lucien), 2e classe.

DELAMAISON (Kléber), 2e classe.

DELAUNAY (Jacques), 2e classe.

DELAVEAU (Pierre), 2e classe.

DELHAYE ( Henri), sergent-fourrier.

DELINGER (Gaston), 2e classe.

DELMARD- (François), 2e classe.

DELONGE (André), 2e classe.

DELORME (Henri), 2e classe. DELORME (Henri-Raymond), 2e cl.

DELPIROU (Pierre), 2e classe.

DEMANGEL (Léon), 2e classe.

DE MARNE (Joseph), 2e classe.

DEMETZ (Lucien), 2e classe.

DEMONs'(Gaston), caporal.

DEMDUGEOT (Arthur), 2e classe.

DENIAU (Robert), 2e classe.

DENIS (André), 2e classe.

DENIS (Gustave), 2e classe.

DENIS (Marcel), 2e classe.

DENOU (Jean), sergent.

DEPARDIEU (Albert), 1re classe.

DEROUET (André), 2e classe.

DE ROUGET (Léon),- 2 e classe.

DERWEDUWEZ (Armand-), sergent. ,

DESAVEISNES (Georges), aspirant.

DESBOIS (Henri), 2e classe.

DESBOIS (Charles), 2e classe.

DESBOUES (Raoul), 2e classe; DESCHANBE (Georges), sergent..

DESCRYVER (François)', 2e classe.

DESERT (Louis), 2E classe.

DESFORGES (Galande), 2e classe.

DESHAIES (Maurice), 2e classe.

DESHAYES (Louis), 2° classe.

DESLOY (Marie), Jre classe.

DESIRÉ (Louis),, 2e classe.DESMARS (Joseph), Jre classe.

DESMARS (Pierre), 2e classe.

DESMÈTRES (Gaston), 2e classe.

DESMONS (Gaétan), caporal.

DESTOUCHES (Raoul), méd. auxil.

DETANT (Albert), 2e classe.

D'EUVY (Jéan), 2e classe.

DEVANT (Pierre), caporal.

DEVERNAY (Eugène), 2e classe.

DEVILLE (Eugène), caporal.

DEVINAT (Eugène), 2e classe.

DIÉTRICII (Adolphe), 2e classe.

DIRNAY (Alphonse), 2e classe.

DOISE (Charles), caporal.

DONCK (Louis), 2e classe.

DOUCHE (Raymond), caporal.

DOUSSIN (Georges), 2e classe.

DOUSSOT (André), 2e classe.

DRAGON (Victor), 2E classe.

DRANCOURT (Charles), caporal.

DREUX (Constant), 2e classe.

DREZET (Robert), 2e classe.

DRION (Charles), 2e classe.

DROUOT (Marcel), 2e classe.

DRUGEON (Paul), 2e classe.

DUBÉ (Marius), 2e classe.

DUBECQ (Raoul), sergent.

DUBOIS (Camille), adjudant.

DUBOIS (Auguste), 2e classe.

DUBOIS (Georges), 2e classe.

DUBOUILLÉ (Marcel), 2e classe.


DUBOURG (Paul), 2e classe.

DUCLOS (Henri), 2e classe.

DUCROTÉ (Louis), 2e classe.

DUFLOS (Raphaël), 2e classe.

DUFOUR (Marie), 2e classe.

Du G AS (Zéphirin), 2e classe.

DUMAs (Louis), 2e classe.

DUMAZEAUD (Adrien), aspirant.

DUMAY (Albert), 2e classe.

DUMONT (Basile), 2e classe.

DUPLANT (Prosper), 2e classe.

DUPONT (Constant), 2e classe.

DUPORT (Henri), 2e classe.

DUPRÉ (Albert), 2e classe.

DUPRÉ (Georges), caporal.

DUPREY (Lucien), sergent.

DUPRIEZ (Pierre), caporal.

DUPUCHE (Georges), 2e classe.

DUPUIS (Émile), 2e classe.

DUPUIS (Gaston), 2e classe.

DUPUIS (Jérôme), 2e classe.

DURAND (Henri), 1re classe.

DURAND (Léon), 2e classe.

DURAND (Louis), 1re classe.

DURAND (Paul), 2e classe.

DURAND (Paulin), 2e classe.

DURIVEAU (Lucien), 2e classe.

DURY (Claude), 2e classe.

DUTHOIT (Henri), 2e classe.

DUVAL (André), 2e classe.

DUVAL (Maxime), 2e classe.

DUVALLET (Albert), 2e classe.

DUVAUX (Louis), caporal..

DUVIEILH (Edmond), 2e classe.

DUVIGNAU (Jean), 2e classe.

EDARD (Auguste), Fe classe.

EINHOLTZ (André), 2e classe.

ELIGERT (Paul), 2e classe.

ÉLOI (Raymond), 2e classe.

ENGEL (Narcisse), 2e classe.

ENGRAND (Joseph), 2e classe.

ERMENAULT (Victor), 2e classe.

ÉTIENNE (Lucien), 2e classe.

ÉVEILLARD (Georges), 2e classe.

EVRARD (Jules), 2e classe.

FABRE (Robert), 2e classe.

FAGNET (Jean), 2e classe.

F AIZEAU (Alexis), 2e classe.

FARCY (Clément), 2e classe.

FAUCHET (Henri), 2e classe.

FAVIER (Émile), 2e classe.

FAVROT (Eugène), 2e classe.

FELS (Albert), 2e classe.

FELTEN (Louis), 2e classe.

FERDUT (Louis), 2e classe.

FERMONT (Joseph), 2e classe.

FERRAND (André), 2e classe.

FERRASSE (Émile), 2e classe.

FERRE (Ernest), 2e classe.

FERREL (Pierre), 2e classe.

FERRIERE (Jean), 2e classe.

FERRY (Émile), sergent.

FERRY (Joseph), caporal.

FERRY (René), sergent.

FETZ (Lucienr, 2e classe.

FEUGLET (Auguste), 2e classe.

'FEUILLERET (Paul), 2e classe.

FEUILLET (Gaston), 2e classe.

FEUILLU (André), 2e classe.

FEYBESSE (Léon), 2e classe.

FICHOT (Camille), 2e classe.

FILINGER (Joseph), 2e classe.

FIXE (Maurice), 2e classe.

FLAUNET (André), 2e classe.

FLEURY (Auguste), caporal.

FORGEAS (Arthur), 2e classe.

FORTIN (Georges), 2e classe.

FossÉ (Robert), 2e classe.

FOUCAULT (Jules), aspirant.' FOUCAULT (Jules), 2e classe.

FOUCHER (Édouard), sergent.

FOUCHER (Ludovic), sergent.

FOUET (Alphonse), 2e classe.

FOUET (Georges), 2e classe.

FOUGERON (Lucien), 2e classe.

FOULTIER (Henri), '- 2e classe.

FOURLON (René), 2e classe.

FOURNEAU (Louis), 2e classe.

FOURNIER (Émile), 2E classe.

FOURREY (Paul), 2e classe.

FRADIN (Jean), 2e classe.

FRANCLET (Georges), caporal.

FRANÇOIS (Ernest), 2e classe.

FRANÇOIS (René), 2e classe.

FRANIATTE (Albert), sergent.

FRANJOU (René), 2e classe.


FRAUDIN (Camille), caporal.

FRAUDIN (Léon), 2e classe.

FRÉDÉRIC (Charles), caporal.

FREYBURG (Georges), 2e classe.

FREVIN (Georges), brancardier.

FRTLY (Albert), 2e classe.

FROGER (Valentin), caporal.

FROMONT (Joseph), 2e classe.

FROMONT (Marcel), 2e classe.

FROTTIER (Charles), 2e clasJc.

FUCHS (Lucien), 2e classe.

FUHRMANN (Joseph), 2e classe.

GABET (Léon), 2e classe.

GABIROT (Léon), sergent.

GAESSLER (Louis), clairon.

GAILLOT (Paul), 2e classe.

GALIN (Jacques), 2e classe.

GARANDEAU (Jules), 2e classe.

GARÇON (Gaston), caporal.

GARNIER (Maurice), 2e classe.

GARNIER (René), 2e classe.

GARNIER (René-Désiré), 2e classe.

GARNIER (Victor), 2e classe.

GATEAU (Édouard), 2eclasse.

GATELLIER (René), sergent.

GAUCHER (Maurice), 2e classe.

GAUDRY (Émile), 2e classe.

GAUJARD (Louis), 2e classe.

GAUTHEROT (Alfred), 2e classe.

GAUTHIER (Williams), caporal.

GAUTHIER (Onésime), 2e classe.

GAUTIER (Émile), 2e classe.

GAUTREAU (Jules), 2e classe.

GAUTRUCHE (Raymond), 2e classe.

GAUVIN (Clément), 2e classe.

GAYNÉ (Augustin), 2e classe.

GEISKOPF (Auguste), 2e classe.

GELÉE (Victor), 1re classe.

GELLER (Charles), 2e classe.

GELLON (Anthelme), lre classe.

GENETAY (Louis), 26 classe.

GENIN (Gaston), clairon.

GENS (Adolphe), 3e classe.

GENT (Clément), caporal.

GENTIL (Alfred), 2e classe.

GEOFFROY (Albert), lre classe.

GEORGE (Henri), 2e classe.

GÉRARD (Nestor), lre classe.

GERBE (Paul), 2e classe.

GERBOL (Fabien), 2E classe.

GERBOT (Marcel), 2E classe.

GESNEL (Victor), 2e classe.

GIBERT (Amédée), 2e classe.

GIBERT (Gustave), caporal.

GIBERTIIA (Jean), LRC classe.

GIBEY (Cyprien), 2e classe.

GIGAULT (René), 2e classe.

GIGOT (Maurice), 2e classe.

GIGOU (Ladislas), 2° classe.

GILET (Raimond), 2e classe.

GILLES (Claude), 2e classe.

GILLES (Robert), 2e classe.

GILLET (Charles ),2e classe.

GILLOPPÉ (Alfre i), 2e classe.

GIRARD (Abel), 2e classe.

GIRARD (Camille), 2e classe.

GIRARD (Eugène), caporal.

GIRARD (Emmanuel), 1re classe.

GIRAUD (Jean), Jre classe.

GIRARDCHAMBAZ (Albert), 2E cl.

GISSON (André), 2e classe.

GISUIS (Gaston), 2e classe.

GITTON (René), 2e classe.

GOBERT (Lucien', 1re classe.

GOBERT (Émile), caporal.

GOBIN (Léon), 1 te classe.

GODARD (Amand), 2e classe.

GODEAU (Maurice), 2e classe.

GOD FROY (Lucien), adjudant.

GODRON (Camille) 1re classe.

GOHIERRE (Jean), 2e classe.

GOIN (Georges), sergent.

Goix (Jean), sergent.

GOLDSTEIN (Xavier), 1RE classe.

GONTIER (Henri), 2e classe.

GOORDEN (Joseph), 2e classe.

GOSSIN Alphonse), 2e classe.

GOUBET (Charles), sergent.

GOUERE (Fernand), 2e classe.

GOUFFAULT ( Kléber), 2e classe.

GOUGEON (Désiré), 2e classe.

GOURRIER (André), 2E classe.

GOURRY (Maurice), 2e classe.

GOUSSARD (Jules), 2e classe.

GOUSSET (Charles), adjudant chef.

GOUSSET (Marcel), 2e classe.


GOYER (Gaston), caporal.

GRABY (Camille), 2e classe.

GRAEFF (Louis), 2e classe.

GRAILLOT (Eugène), 2e classr.

GRAMIN (Robert), sergent.

GRANGER (Achille), 2e classe.

GRANJEON (Maurice;, 2° classe.

GRANDMOUGEIN (Lionel), adjud.

GRIGNON (Léon).. 2e classe.

GRIGNON (Édouard), caporal.

GIULLET (Georges), sergent.

GIUMONPREZ (Paul), 2e classe.

GROSJEAN (Auguste), 2e classe.

GUOSJEAN (Louis), 2e classe.

GUENER (Georges), 2e classe.

GUENO (Émile), caporal.

GUERRE (René), 2e classe.

GUEU (Val'ry), 2e classe.

GUICHARD (Georges), 1RE classe.

GUIDON (Victor), sergent.

GUIGNARD (Georges), sergent.

GUIGNON (François), adjudant ch.

GUIHARD (Alfred), 26 classe.

GUILLOT (Georges), sergent.

GUILET (Louis), Ireclasse.

GUILLER (Marcel), 26 classe.

GUJLLET (Émile), 26 classe.

GUILLON (Charles), 26 classe.

GUILLON (Léon), 26 classe.

GUILLOT (Auguste), 2e classe.

GUILLOT (Auguste-Émile), 2e cl.

GUILLOUX (Honoré), 2e classe.

GUILMONT (Georges), 2e classe.

Gui MARD (Lucien), 2e classe.

GUYON (Henri), 2e classe.

GUYONNET (Pierre;, aspirant.

GUYOT (Fernand), 2e classe.

GUYOT (Jules), 2e classe.

HABAY (Maurice), 2e classe.

HALLUIN (Alphonse), 2e classe, HAMELIN (André), 2e classe.

HANOTTE (Martin), 2c classe.

HANS (Léon), 2e classe.

IIANSSER (Virgile), caporal.

HARAT (René), 2e classe.

IIARAUX (Louis), 26 classe.

HARDY (Gustave), 2e classe.

HARDY (Octave), 2e classe.

HAREND (André), sergent.

HATTE (Eugène), 2e classe.

IIAUCHECQRNE (Henri), 2e classe.

HAUTECŒUR (Louis), 2e classe.

HAUTECOUVERTURE (Henri), 2e cl.

HEID (Henri), 2e classe.

HEMET (Paul), 2e classe.

IIENNEBELLE (André-Henri), 2c cl.

HENNINOT (Georges), 2e classe.

IIENOT (Maurice), 2e classe.

HENRI (Gaston), 2c classe.

HENRY (Maurice), 2e classe.

HENRY (Pierre), 2e classe.

HENRY (Pierre-Paul-Nicolas).2e cl).

HEPPENHEIMER (Louis), caporal.

HÉRARD (Marcel), 2e classe.

IIÉRIN (Émile), 2e classe.

HERKERT (Charles), 2e classe.

IIERRY (Gilbert), 2e classe.

HERVÉ (Clodomir), sergent.

HERVÉ (Louis), 2e classe.

HILAIRE (Arthur), 2e classe.

HILAIRE (Léon), caporal.

HIMBERT (Eugène), 2e classe.

IIOTTIER (Eugène), 2e classe.

HOUDARD (Charles), sergent.

HOUEL (Paul), 2e classe.

HOULIEZ (Fernand), 2e classe.

HUBERT (Maurice), 2e classe.

HUE (Henri), 2e classe.

HUE (Marcel), 2e classe.

HUET (Constant), 2e classe.

HULIN (René), 2e classe.

HUMBERT (Jean), 2e classe.

IIUOT (Jules), lre classe.

HUOT (René), 2e classe.

IIURÉ (Léon), 2e classe.

HURE AU (Armand), 2e classe.

HUVIER (Maxime), 2e classe.

IAMANN (Maurice), 2e classe.

1 MBERT (I^ouis), 2e classe.

IMBERT (Henri), 2c classe.

isAAC (Marcel), 2e classe.

ISAc (Julien), caporal.

ISSELIN (Georges), 2e classe.

JACOB (Edmond), 2e classe.

JACOB (Eugène), 2e classe.

JACQUEMARD (René), 28 classe.


JAGOU (Victor), 2E classe.

JALMARD (Ernest), 2e classe.

JAMAIN (Maurice), 2e classe.

JANEL (Alfred), 2e classe.

JANN (Marie), 2E classe.

JAMNIAUX dit MEYET (Ém.), 2e cl.

JAQUET (Joseph), 2e classe.

JARRE (Charles), 2E classe.

JARRY (Albert), lre classe.

JATTIOT (Marie), Jre classe.

J AULIAC (Marcel), 2e classe.

J A VAUX (André), caporal.

JEAN (Jules), 2° classe.

JEANNIOT (Charles), 2E classe.

JOBARD (Jules), 2e classe.

JOLLY (Eugène), 2E classe.

JOSEREAU (Baptiste), sergent.

JouAN (Yves), 2E classe.

JOUVE (Pierre), 2E classe.

JUGNOT (Constant),, 2e classe.

JUILLET (Hugues), 2E classe.

JULIARD (Joseph), 2e classe.

JURION (Marcel), aspirant.

KEIL (Henri), 2e classe.

KELLER (Henri); 2e classe.

KERFANTO (Félix), 2e classe.

KIMS (Louis), 2e classe.

KINOSKY (Alexandre), 2e classe.

KLASSER (Georges), 2E classe.

KLOCK (Auguste), caporal.

KOEST (Lucien), caporal.

KbscHER (François), 2e classe.

KRUMEICK (Armand), caporal.

KUENEGEL (Maurice), 2° classe.

LADBÉ (Aristide), sergent.

LABBÉ (Lucien), 2e classe.

LABONDE (Maurice), 2e classe.

LABORDE (Jean), 2e classe.

LACAISSE (Antoine), caporal.

LACHAISE (Ém.-Is. ), 2e classe.

LACOMBE (Émile), 2e classe.

LACOUR (Jules), 2° classe.

LADRET (Maurice), 2E classe.

LAFITTE (Jean), 2e classe.

LAFOHET (Louis), 2e Glassc.

LAGNIEZ (Charles), sergent..

LAIR (Louis), 2e classe.

LALUQUE (Marius), 2e classe.

LAMATTE (Baptiste), 2" classe.

LAMBELIN (Émile), adjudant.

LAMBELT (René), caporal.

LAMBERT (Léon), 28 classe.

LAMBLA (Ernest), jre classe.

LAMIEUX (Eugène), sergent.

LAMOUREUX (Gaston), 28 classe.

LAMY (Georges), caporal fourrier.

LAMY (Julien), 2e classe. ,

LAMY (Gaston), 2E classe.

LANCOSME (Eugène), 2E classe.

LANDEMAINE (Émile), 2E classe.

LANGLOIS (Marcel), 2c classe.

LAN G LOIS (Henri), 2° classe.

LANIESSE (Louis), 2E classe.

LAMESSE (Paul), 2e classe.

LANNAUD (Edmond), sergen'.

LAPIERRE (Louis), 2E classe.

LAPOIX (Fernand), 2E classe.

LAPOULE (Émile), 2E classe.

LARCHÉ (René), 2c classe.

LARRIVÉ (André), caporal fourrier.

LARROQUE (Eugène), 2e classe.

LARROUCEAD (François), 2e cl.

LASNE (René), 2e classe.

LASSAIGNE (Jean). 2e classe.

LASSAUSSAYE (Émile), 2e classe.

LASSAUSSAYE (Georges), 2e classe.

LATUS (André), 2e classe.

LAUNOIS (Camille), pe classe.

LAURENCIN (Henri), 26 classe.

LAURENCY (Jules), caporal.

LAURENT (Alphonse), 2e classe.

LAURENT (Maurice), caporal.

LAUZANNE (Camille), 2e classe.

LAVAUD (Pierre). 2e classe.

LAVIGNE (Lucien), caporal.

LAVOISY (Henri), 2e classe.

LE BARCH (Joseph), LIE classe.

LE BLANC (Henri), 2e classe.

LE BUT (Marcel), 2e classe.

LECARLÉ (Jean), 2e classe.

LECIEC (Désiré), 2e classe.

LECOMPTE (Marcel) 2° classe.

LECOMTE (Clotha.ire), 2e classe.

LECOT (Eugène), caporal.

LEDARD (Georges), 2e classe.

LEDUC (Marcel), 2e classe.


LEFEBVRE (Victor), 2e classe.

LEFRANC (Valentin), 2e classe.

LÉGER (Ernest), 2e classe.

LÉGER (Léon), 2e classe.

LE GRAND (Léon), 2e classe.

LEGROS (Fernand), 2e classe.

LEGUEDART (Charles), sergent.

LEGUEIL (Arthur), 2E classe.

LEISCHTENSCHNEIDER (M.), 2c cl.

LKLEU (Gaston), 2e classe.

LELONGT (Fernand), 2e classe.

LE MAIRE (Alfred), 2e classe.

LEMAIRE (Jules), caporal.

LE MOINE (Charles), sergent.

LE MOINE (Constant), 2e classe.

LE MOT (Maurice), 2e classe.LE MOT (Paul), 2e classe.

LENOIR (Robert), 2e classe.

LÉONARD (Joseph), LRE classe.

LEPÊME (Émile), 2e classe.

LEPESQUEUR (Adonys), 2e classe.

LEPICARD (Raymond), caporal.

LEPROVOST (Léon), 2e classe.

LE QUEMENT (Louis). 2E classe.

LE Roy (Georges), 2e classe.

LEROY (Eugène), 2e classe.

LEROY (René), 2e classe.

LESAGE (Albert), 2e classe.

LE s ÂGE (Émile). clairon.

LESPIAUCQ ( Jean),sergent-fourrier.

LESCURE (Benoit), sergent.

LESŒUR (Albert), 2e classe.

LETTERON (Alphonse), 2e classe.

LEVASSEUR (Charles), 2e classe.

LEVET (Ernest), caporal.

LEWENS (Henri), caporal.

L'HOTELIER (Fernand), 2e classe.

LIARD (René), caporal fourrier.

LIESER (Laurent), 2e classe.

LIGEROT (Henri), 2e classe.

LIGEROT (Louis), 2e classe. •

LIGNIER (Hyacinthe), 2e classe.

LILLERY (Fernand), 2e classe.

LIMPALER (Guillaume), 2e classe.

LINTINGRE (Charles), sergent.

LOCHON (Paul), 2E classe.

LOCHON (Gustave), caporal.

LOEWENSTEIN (Georges), 2e classe.

LONGE (Joseph), 2e classe.

LORIDON (Clovis), 2e classe, LORIOT (Raymond), 2e èlasse.

Louis (Alfred), sergent, Louis (Léopold), adjudant.

Louis (Henri), sergent-major.

LOURDÈLE (Paul), 2c classe.

LouRs -(RobertL caporal.

LOISEAU (Charles), 2e classe..

LOYAL (Adoais), sergent.

LUCAS (Joseph), sergent, LYQRET (Ernest), 2e classe.

MACÉ (Auguste), 2E classe.

MACHY (Georges), 2e classe.

MADDU (Pascal), 2E classe.

MAILLARD (Paul), 2° classe.

MAILLARD (Henri), caporal.

MAILLET (Alfred), 2e classe.

MAIRE (Charles), 2e classe.

MAIROT (Paul), 2e classe.

MAISON (Marcel), 2e classe.

MAITRET (Eugène), 2e classe.

MALLET (Léon), 1re classe.

MALLET (Louis), 2e classe.

MALLET (Auguste), 2e classe.

MANCHIN (Ernest), 2e classe.

MANIGAULT (Albert), 2e classe.

MANOURY (Roger), 1re classe).

MANSART (Paul), 2e classe.

MANSEL (Raymond), aspirant., MANSUY (Charles), 2e classe.

MANSUY (Henri), 2e classe.

MANSUY (Jules), 2e classe.

MAPPA (Marcellin), 2e class-j.

MARC (Émile), 2e classe.

MARCHAL (Édouard), 2e classe.

MARCHAL (Henri), 2e classe.

MARCHAL (Marius), -2e classe.

MARCHAND (Antoine), capor. four.

MARCHAND (Auguste), 2e classe.

MARCHAND (Marie), serg.-major.

MARCHETEAU (François-C.), capor. MARCILLY (Georges), lre classe. MARCOUX (Pierre), sergent.

MARFAING (Jean), caporal.

MARIN (Albert), 2e classe.

MARIN (Louis), 2e classe.

MARION (Constant), 2e classe.


MARION (Gustave), Jre classe.

MARION (Marius), 2e classse.

MARIOTTI (André), 2e classe.

MARLIAC (Albert), 2e classe.

MARMILLON (Désiré), 2e classe, MAROIS (Raymond), caporal.

MARPXAU (Én ile), sergent.

MARC (Lucien), adjudant.

MAROT (René), 1re classe.

MARROT (Baptiste), caporal.

MARTIN (Charles), 1re classe.

MARTIN (Étienne), 1re classe.

MARTIN (Jean), 2e classe.

MARTIN (Marc), 2e classe.MARTIN (Narcisse), 2e classe.

MARTIN (Paul), 2e classé.

MARTINEAU (Xavier), 1re classe.

MARTINOT (Émile), adjudant.

MARTINOT (François), 2e classe.

MARY (Charles), Jre classe.

MARY (Fernand), 2e classe.

MAS (Lucien), lre classe.

MASLÉ (Eugène), caporal.

MASSOT (Jean), sergent.

MASUY (Louis), sergent.

MATHIEU (Éloy), 2e classe.

MATHIEU (Eugène),sergent-major.

MATHIEU (Jules), 2e classe.

MATHIEU (Léon), 1re classe.

MATHIS (Ernest), 2e classe.

MATIGNON (Georges), lre classe.

MAUCLAIR (Julien), 2e classe.

MAUCOTEL (Victor), 2e classe.

MAURICE (Auguste), 2e classe.

MAURICE (Georges). 2e classe.

MAUROY (Henri), 2e classe.

MAURY (Georges), 2e classe.

MAURY (Laurent), 2e classe.

MAYER (Moïse), 2e classe.

MENAND (Lucien), 2e ci a se.

MENEVEAU (René), 2e classe.

MERCIER (Alfred), 2e cl sse.

MKRESSE (René), 2e classe.

MERLANDE (Adrien), 2e classe.

MERLE (Serge), caporal.

MESSENS (Paul), 2'' classe.

MEUNIER (Alfred), 2e classe.

MEUNIER (Jules), 2e classe.

MEUNIER (Robert), 2e classe.

MEYER (Pierre), caporal.

MICHAUD (Edouard), 2e classe.

MICHEAU (Pierre), 2e classe.

MICHEL (Georges), 2e classe.

MICHEL (Hervé), 2e classe.

MICHEL (Jules), 2e classe.

MICHEL (Lucien), 2e classe.

MICHENET (Gaston), 2e cla se.

MICLOT (Émile), 2e classe.

MILLIÉ (Léon), sergent.

MILLET (Agénor), 2e classe.

MILLET (Jules), 2e classe.

MILLIEN (Marcel), 2e classe.

MILLOT (Henri), 2e classe.

MILLOT (Paul), 2e classe.

MINNOST (Camille), 2e classe.

MINOUX (Pierre), 2e classe.

MIOT (Gaston), 2e classe.

MIQUEL (Joseph), 2e classe.

MIR (Auguste), sergent.

MIRAMONT (Henri), 2e classe.

MIREMONT (Charles), 2e classe.

MIS MER (Charles), 2e classe.

MOHIER (Henri), lrp classe.

MOISSON (Gustave), 2e classe.

MOLEUR (Édouard). 2e classe.

MONDEMÉ (Julien), 2e classe.

MONGE (Louis), 2e classe. MONNORY (Pierre), 2e classe.

MONTEIL (Jules), adjudant.

MON VOISIN (Édouard), sergent.

MORANGES (Léon), 2e classe.

MOREAU (Gabriel), 2e classe.

MOREAU (Gaston), caporal.

MOREAU (Valentin), 2e classe.

MORILLON (Fernand), 2e classe.

MORIZE (Gas'on, 2e classe.

MORIZOT (RoLert), 2e classe.

MORLET (Émile). 2e classe.

MORTIER (Georges), 2e classe.

MOSSET (Joseph), 2e classe.

MOTUS (Georges), sepger.t.

MOUCEOT (Paul). 2e classe.

MOUILLET (Louis), 2e cla se.

MOUISSETTE (André), F" classe.

MOULET (Julien), 2e classe.

MOURLON (Lucien), ,2e classe.


MOUTEWET (Constant), lre classe.

MULLER (Auguste), 2e classe.

MULLER (Raymond), caporal.

MÙNIER (Pierre), 2e classe.

NANCEY (Louis), 2e classe.

, NAVIER (CharlesL 2e classe.

NEGLER (Eugène), 2e classe.

NE MAILLER (Marie), caporal.

NERBUSSON (Moise), 2e classe' NETTER (Marie), sergent NEUGUES (Pierre), 2E classe.

NEVEU (Raphaël), 2E classe.

NEYROUD (Joseph), 2e classe.

NICOLAS (Émile), 2e classe.

NICOLAS (Jean), caporal clairon.

NICOLLE (Lucien), 2e classe.

NI LLES (Adrien), 2e classe.

NOBLE (Étienne), 2e classe.

NOËL (Étienne),. caporal.

NOËL (François), 2e classe.

NOËL (L?on), 2e classe.

NOËL (Paul), sergent.

NOIROT (Georges), 2e classe.

NOIROT (Gustave), 2e classe.

NONCLERC (Marcel), 2e classe.

NORIN (Flavien), 2e classe.

NORMAND (Jean), caporal.

NOVIANT (Henri), 2e classe.

NUEZ (Jean), 2e classe.

Nys (Armand), 2e classe.

ODIN (Charles), sergent.

OLIER (Joseph), 2e classe.

OLIVIER (René), caporal.

ONILLON (Jean), 2e classe.

ORGER (Amédée), 2e classe.

OIJDELETTE (Louis), 2e classe.

OULLIÉ (Noël), 2e classe.

OUVRARD (Georges), 2e classe.

PAiNs (Émile), 2e classe.

PALAING (Alban), sergent.

PARISÊ (Victor), 2e classe.

PARIZET (Ferdinand), sergent.

PARIZOT (Lucien), 2e classe. PASCAL (Charles), adjudant.

PASQUEREAU (Gabriel), 2e classe.

PAUL (Georges), 2e classe.

PAULET (Émile), 2e classe.

PAVILLON (Maurice), 2e classe

PECQUET (Alphonse), caporal.

PEIFFER {Jean), 2e elasse.

DE PÉNAËORZ {Raymond), 2e cl. DE PÉNAPO "R 'Z (Rayrnond ) , 2e-c l

PENILLEAU (Fernand), 2e classe. PENNEL (Charles), 2e classe.

PERDRIAT (Marcel), 2e classe.

PERDRIAU (J.-B.), caporal PÉRONNET (Gustave), 2e classe.

PÉROTTI (Édouard), sergent.

PERREAU (Charles), 2e classe. PERRIER (Mathieu), 2e ciasse.

PERRIN (Émile), 2e classe. PERRIN (Louis), 2e classe.

PERRINST (Edgard), 2e classe.

PERRON (Charles), caporal.

PERSIN (Alfred), 2e classe.

PETIT (Étienne), caporal.

PETIT (Georges), sergent.

PETIT (Georges-Léon), 1re classe.

PETIT (Henri), 2e classe.

PETIT (Jean).. 2e classe.

PETIT (Maurice), 2e classe.

PETIT (Paulin), caporal.

PETITJEAN (Marie), 2e classe.PETITPAS (Paul), 2e classe.

PETITPEZ (René), 2e classe.

PETITPRÉ (Édouard), 2e class'e.

PETOIN (Maurice), 1re classe.

PETREAU (Louis), 2e classe.

PETRIGNY (Victor), 2e classe.

PETSCH (Jacques), pe classé.

PETUREAU (Ernest), 2e classe.

PEYRAOT (Eugène), 2e classe.

PEYROT (Georges), 2e classe.

PHILIPPE (Jean), 2e classe.

PlAT (Charles), caporal.

PIARROT (Henri), 2e classe.

PICARD (François), sergent.

PICARD (Louis), 2e classe.

PICARD (Maurice), 2e classe.

PICARDAT (Émile), caporal.

PICAUD (Alphonse), 2e classe.

PICAULT (René), 2e classe.

PICAUT (Alphonse), 2e classe.

PICHON MARTIN (Pierre), sergent.

PiICHON (Aristide), 2e classe.

PICOT (Hubert), 2e classe.

PIEDOUX (Auguste), 2e classe.


PIERRE (Ernest), 2e classe.

"PiERRON (Georges), sergent.

PIERRON (Maurice), sergent.

PIERSON (Gabriel), 2e classe.

PIGET (Joseph), 2e classe.

PILLARD (Prosper), 2e classe.

PILLET (Louis), lre classe.

PINAULT (Raymond), 2e classe.

PITET (Alexandre), 2e classe.

PIVERT (Henri), 2e classe.

PLANQUETTE (Maurice) , 2e classe.

PLARD (Désiré), 2e classe.

PLÉ (Adrien), 2e classe.

PLOUZENNEC (Edmond), 2e classe.

POGNANT (Charles}, 2e classe.

POGNON (Henri), 2e classe.

POILE (Emile), 2e classe.

POINSARD (Paul), 2e classe.

POINSIGNON (Marcel), 2e classe.

POIRISSE (Jules), 2e classe.

POIROT (Joseph), sergent.

POINSOT (Louis), caporal.

POISSON (Pierre), 2e classe.

POISSONNIER (Auguste), 2e classe.

POITOUT (Georges), 2e classe.

PONTHIEU (Émile). 2e classe.

POPINEAU (Léon), caporal.

Popu (Pierre), 2e classe.

PORTRON (Eugène), 2e classe.

POSSOT (Jules), 2e classe.

POTHET (Martial), 2e classe.

POTIER (Désiré), 2e classe.

POUCHER (Henri), 2e classe.

POUGET (Bernard), 2e classe.

POULAIN (Pierre), 2e classe.

POUTHÉ (Arthur), 2e classe.

PRANVILLE (Paul), caporal.

PRENANT (Joseph), sergent.

PRIE M (Jean), LRE classe.

PRILLOT (Gaston), éclaireur monté (5e hussards).

PRIME AU (Alphonse), 2e classe.

PRIN (Émile), lre classe.

PRONIER (Georges), caporal.

PROUST (Georges), 1re classe.

PRUVOST (Anatole), 1re classe.

PROVÔT (Hubert), caporal.

PUCHOT (Julien), caporal.

PUYPE (Charles), caporal.

py (Théophile), sergent.

QUÉNARD (Eusèbe), 2e classe.

QUENETTE (Edmond), 28 classe.

QUÉRARD (Joseph), 2e classe.

QUERIMALOT (Ludovic), 2e classe.

QUEV AL (Alfred), 2e classe.

QUINTARD (Louis), 2e classe.

QUQu (René), 2e classe.

RABOT (Georges), jre classe.

RABOT. (Robert), Jre- classe.

RADDAZ (Clément), 2e classe.

RADET (René), 2e .classe.

RAFFOUX (Frédrric), 2e classe.

RAGAZZACCI (Stephanopoli), cap.

RAGUIN (Edouard), 2e classe.

RANPAZZI (Lucien), 2E classe.

RANCILHAT (Fernand), 2e classe.

REBOURG (Manus), 2e classe.

REDAUT (Léon). 2e classe.

REFORD (Léon), 2e classe.

REGARDEBA" (Louis), 2e classe.

REGNARD (Henn), 2E classe.

REGNIER (August'), caporal.

REBEL (Sébastien), 2e classe.

RICHMANN (Jean), 2e classe.

REMÈS (Louis). 2e classe.

RENARD (Anatole), 2e classe.

RENAUDON (Baptiste), 2e classe.

RENAULT (Jean), 2e classe.

RENAULT (Georges), 2e classe.

RENAULT (Lucien). 2e classe.

REN AUX (Georges): 1re classe.

RICHARD (Henri) 2e classe.

RICHARD (Marie), adjudant.

RIBOULET (Georges). 2e classe.

RICHE LOT (Victor), 2e classe.

RIEU (Jean), 2e classe.

RIMBERT (Charles), 2e classe.

RINN (André), 2E classe.

RINS (Edmond), 2e classa.

RITTER (Marcel), 2e classe.

ROBÉ (Marius), caporal.

ROBERT (Henri), sergent.

ROBERT (Paul), caporal.

ROBLIN (Adolphe), 2e classe.

ROCHE (Edmond), 2e classe.

ROCHEL (Maurice), 2e classe.


RODIER (Édouard), 2e classe.

Ro DOT (Emile), 2e classe.

ROGER, (Jean), 2e classe.

ROGER (Léon), sergent.

ROLAIN (Marcel), 2e classe.

ROIVLOT (Marie), 2e classe.

RONDEAU (Aristide), 2e classe.

RONDIER (Louis), 2E classe.

ROSE (François), 2e classe.

ROTURIER (Louis), 2E classe.

ROUET (Alexandre), 2e classe.

ROUSEU (Eugène), 2e classe.

ROUSSEAU (Edmond), 2e classe.

ROUSSEL (Henri), sergent.

ROUSSELLE (Eernand), 2e classe.

ROUSSIN (Auguste), 2e classe.

Roy (Charles), caporal.

ROYER (Gaston), 2e classe.

RUAULT (Émile), 2e classe.

RUBE (Auguste), 2E classe.

RUELLE (Alzire), 2e classe.

RUMELLA (Antoine), 2e classe.

SADOUET (Léon), 2e classe. SAGET (Émile), 2e classe. - SAINTON (Émil?), ife classe.

SALOMÉ (Félicien), 2e classe.

SALOMK (Raphaël), 2e classe.

SALOMÉ (Urbain). ire classe.

SAMMIER (Albert), 2e classe.

SANGLEBŒUF (Armand), caporal.

SANS (Jules), sergent.

SAN/SOIS (Joseph), 2e classe.

SANTER-RE (Louis), caporal.

SAUTEREAU (Lucien', 2e classe.

SAUTIER (Paul), 2e classe.

SAUVAGE (Marcel), 2e classe.

SAVEL (Gabriel), 2P classa.

SAVJGINY (Camille), 2* classe.

SCULIENGER (Georges), 2e classe.

SCHWAEDERLE (Raymond), 2e cl.

SCHWINDENHAMMER (Alp.), capor.

SÉCHER (Georges), 2e classe.

SEGARO (Edouard), caporal.

SECAULT (Louis), 2e classe.

SEGAUT (Étienne), adjudant).

SEIGNEZ (Georges), 2H dusse.

SE MENAR (Jules), 20 classe.

SERMET (Jean), 26 classe.

SERRÉ (Eugène),-2E classe.

SERRÉ (Henri), caporal. #' SESQUIÈRE (Isidore), 2€ classe.

S-ÉVRIN (Marie), caporal. -, SEVIN (Charles), 2e classe SIFFERT (Charles), 2e classe. ■" SIMON (Camille),2e classe.

SIMON (Maurice), 2E classe, SIMONET (Georges), 2e classe.

SIMONIN (ChaTles), 2e classe.

SIMONIS (Maurice), 2e classe..

SIROU (Charles), sergent. ,SOLIVEAU (Louis), 2e diisse. SONNOIS (Éliè), ï £ classe. -' SONRIER (Alfred-), caporal..

SORlN (Léon), 2e classe. SouFFLET (Henri), 2E classe.. SOULAS (Henri), caporal.

SOUPET (René), 2e classe. - SOURDILLAT (Luëien), 2e classe..

SOURI (Martial), 2e classe.

SPIEGEL (Charles), caporal.

STAATH (Jean), 2e classe.

STEPHANO (Lucien), 2e classe.

SUEERT (Robert), 2* classe.

Suss (René), 2E classe. T ADDEI (Philippe), 2e classe.- T AFFIN (Paul), 1re classe.

TAILLAT (Raymond), 2e classe.

TAMÉ (Ernest), caporal. TANGRE .(Robert), 2e.classe.

TANQUEREY (Charles), 2E classe.

TARDIEU (François), 2e classe.

TARDIF (Frédéric), 2e classe.

TARDIF (Paul), sergent.

TAUPIN (Eugène), 2E classe. TAUPIN. (qimon), caporal.

TAVERMER (Fernand), 2E classe.

TELLIER (Fernand), 2e classe.

TERRY (Claudius). caporal.

TEXIER (Edmond), 2E classe.

TEXIER (Louis), 2e classe.

THÉBAULT (Charles), 2e classe.

THÉODOSE (Amédée), 2e classe.

THÉVENIN (Armand), 2e classe

TUÉVENIN (Auguste), 2° classe.

THÉVENON (Gustave), -2e classe.

THÉVENON (Louis), 2e classe.


THÉVENON (Louis-Marcel), 26 cl.

THIBAULT (Alexandre), 2e classe.

THIBERGE (Maurice), 2e classe.

THIBIAS (Charles), 2e classe.

THIÉDOT (Fernand), 2e classe.

THIÉRY (Émile), 2e classe.

THIÉRY (Joseph), 2e classe.

THIERRY (Arthur), 2e classe.

THIERRY (Charles), 2e dasse.

THILLOUX (Paul), 2e classe.

THIMONNIER (Arthur), adj. chef.

THINSELIN (Aimé), 2e classe.

THIRION (Georges), sergent.

THOMAIN (Constant), 2e classe.

THOMAS (Albert), 2e classe.

THOMAS (Edmond), 2e classe.

THOMAS (Joseph), 2e classe.

THOMAS (Jules), caporal.

THOMAS (Lucien), adjudant.

THOMAS (Lucien), sergent.

THOMAS (Marcel), 2e classe.

THOMAS (René), sergent.

THOREAU (Édouard), 2e classe.

THOUVENIN (Henri), 2e classe.

THOUVENIN (Marcel), 2e classe.

THOUVENY (Charles), cap. fourrier.

TIÉBAUT (Maurice), 2e classe.

TISSERAND (Jules), caporal.

TISSIER (Gilbert), 2e classe.

TOBIAS (Charles), 2e classe.

TOISON (Adrien), adjudant.

TONNELIER (Edmond), 2e classe.

TONNELLIER (Edmond), 2e classe.

TOTAIN (Albert), 2e classe.

TOULISSE (Abel), 2e classe.

TOULOUSE (Georges), adjudant.

.TOURAINE (Alexandre), 2e classe.

IOURNEROCHE (Isidore), 2e cl.

TOUSSAINT (Louis), 2e classe.

TOUZEAU (Adolphe), sergent.

TRANCHAND (Fernand), caporal.

TRANCHAND (Jean), 2e classe.

TRANSLER (Amédée), 2e classe.

TRASSARD (Albert), 2e classe.

TRAVOUILLON (Alfred), 2e classe.

TRESCARTES (Hypolite), 2e classe.

TRICOIRE (Maxime), 2e classe.

TROLANGE (Théophile), 2e classe.

TROMAS (Edmond), 2e classe.

TURC (LouisL. 2e classe.

TURMEAU (Moïse), Fe classe.

TURPAUD (Fridolin), 2e classe.

TURQUOIS (Philadelphie), 2e cl.

TURROC (Marius), sergent.

VACHEROT (Félicien), 2e classe.

VAILLANT (Raymond), 26 classe.

V ALAISE (Alexandre), caporal.

V ALDENAIRE (Victor), 2e classe.

VALENTIN (Joseph), 2e classe.

VALET (Ernest), 2e classe.

VALETTE (Théophile), 2e classe.

VALLÉE (Paul), 2e classe.

VALLET (Joseph), caporal.

VALLET (Joseph-François), 2e cl.

VALOIS (Gabriel), sergent.

VALTIER (Henri), 2e classe.

VANDAMME (Jules), caporal.

VANHUFFEL (Georges), caporal.

VANNIER (Édouard), jre classe.

VARIN (Henri), 2e classe.

VATTEPAIN (Georges), 2e classe.

VAUDIN (Georges), caporal.

VAUDIN (Jules), 2E classe.

VAUTRIN (Louis), 2e classe.

VELLTJET (Henri), 2e classe.

VELTIN (Léon), 2e classe.

VENDE (Camille), 2e classe.

VENET (Émile), 2e classe.

VENIER (Charles), 26 classe.

VERDIN (Alphonse), 2e classe.

VERDIN (Émile), 2e classe.

VÉGER (Auguste), 2E classe.

VERGER (Charles), 2e classe.

VERGER (François), 2e classe.

VERGNIAUD (Louis), 2e classe.

VERGNOI, (René), 2e classe.

VERJOT (Léon), 2e classe.

VERMET (Émile), 2e classe.

VERMOT (Eugène), 2e classe.

VERONNEAH (Alfred), 1RE classe.

VERRIER (Désiré), 2e classe.

VERRIER (Fernand), 2e classe.

VERRIER (Gaston), 2e classe.

VERSLY PPE ( Henri), sergent-major.

VERVANT (Henri), 2e classe.

ViAL (Eugène), 2e classe.


VICHERAT (Alfred), 2e classe.

VIDART (Henri), 2E classe.

VIEZ (Gaston), 2e classe.

VIGIER (Jean), 2e classe.

VIGNERON (Léon), 2E classe.

VIGNERON (Paul), 2e classe.

VIGNOT (Virgile), 2e classa.

VILLADIER (Amand), 2e classe.

VILLATTE (Alexandre), 2e classe.

VILLOTEAU (Charles), caporal.

VINCENT (Albert), sergent.

VINCENT (Auguste), 2e classe.

VINCENT (Lucien), caporal.

VINCENT (Maurice), 26 classe.

VINCHELIN (Louis), 2e classe.

VIOVY (Joseph), 2e classe.

VIRION (Camille), 2e classe.

VISSIOT (André), 2e classe.

VIVIER (Denis), 2e classe.

VIVIER (Raoul), 28 classe.

VOINCHET (Pierre), 2e classe.

VOYEN (Alfred), 2e classe.

VUILLAUME (Ernest), caporal.

VUILLAUME (Ernest-Aug.), 2e cl.

WAHL (Armand), aspirant.

WAILDELICH (Pierre), caporal.

WARMONT (Marcel), 2e classe.

WÉBER (Albert), 2e classe.

WEILL (Jean), 2e classe.

WERGUET (Georges), caporal.

WETSCH (Jean), 2e classe.

WETTSTEIN (Richard), sergent.

WINTER (Georges), 2e classe.

WOLFF' (Henri), 2e classe.

WOLLBRETT (Jean), 2e classe.

ZELLER (Jean), 2e classe.


MORTS EN CAPTIVITÉ

OFFICIERS

DELAYGUE (Charles), capitaine.

SIMON (Georges), sous-lieutenant

TROUPE

ALOISE (Georges), 2e classe.

BAILLY (Marcel), 2e classe.

BARBILLON (Félix), 2e classe.

BATAILLON (Maxime), 2e classe.

BEAUMONT (Jean), 2e classe.

BEAUVALLET (Anatole), 2e classe.

BEZAYRIE (Louis), 2e classe.

BOISSART (Alphonse), caporal.

BORDEREAU (Adolphe), 2e classe.

BOURASSEAU (Clovis), 2e classe.

BRONDER (Lucien), sergent.

BURET (Louis), 2e classe.

CABLÉ (Benoit), 2e classe.

CARBONNEAU (Paul), 2e classe.

CHAMPEAU (Eugène), 2e classe.

CHAPLOT (Félix), 2e classe.

CHASSON (Alexis), 2e classe.

CHATEIGNER (Léon), 2e classe.

CHRIST (Charles), 2e classe.

CLAUDE (Eugène), 2e classe.

COTTANCE (Eugène-Joseph), 2e cl.

CREVEAU (Charles), 1re classe DANIEL (Ernest), 2e classe.

DENAY (Marcel), 2e classe.

FAGRET (Désiré), 2e classe.

FOISSIER (Abel), 2e classe.

FOLTZENLOGEL (Lucien), 2e classe.

FORMENTIN (Emile), 2e classé.

FOURRÉ (Kléber), 2e classe.

FRA VELLE (Alfred), 2E classe.

GAUJARD (Anthème), 2E classe.

GAVET (Jules), caporal.

GEORGE (Marcel), 2e classe.

GIROUARD (François), 2e classe.

GUICHARD (Arthur;, 2e classe.

GUILLERME (Raymond), 2E classe.

GUYERY (Pierre), 2e classe.

GUYOT (Paul), 2e classe.

HENRICII (Charles), 2e classe.

LAMY (Marius), 2e classe.

LAROSE (Paul), 2e classe.

LE MAIRE (Étienne), 2e classe.

LEVAGE (Jules), 2e classe.

LIGNÉE (Roger), 2e classe.

MARTEL (Raymond), sergent-mai.

MELJEU (Louis), sergent.

MOUREY (Achille), sergent.

MULLER (Pierre), 2e classe.

PAILLAU (Maurice), caporal.

PATHIER (Georges), 2e classe.

ROGER (Paul), 1re classe.

SUSSIAU (Raymond), 2e classe.

VANIER (Maurice), sergent.

VINGERT (Nicolas), 2E classe.