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Titre : Journal officiel de la République française

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1877-04-20

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328020909

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb328020909/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 20 avril 1877

Description : 1877/04/20 (A9,N108).

Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique

Description : Collection numérique : Ministères des Affaires étrangères

Description : Collection numérique : Traités, accords et conventions

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IIIe République (1870-1914)

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6223425c

Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, 2010-217349

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 11/10/2012

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4 "~B~ENT D'ADRESSE 'HUt rf chaque demande de changement d'adresse être accompagnée d'une bande imprimée ^pty^*^4imfcw<poste pour frais pression, pour frais r kSes: non accompagnées de cètte re*uCs cons¡derées comme nulles et t' -. -

l'administration et les it être adres-sé à l'imprimeurf"' Par isi oi, quai Voltaire.

t. SOMMAIRE 'rll - , 0FV Tc AS~~- - Décret portant protl°Hm 0r<*re de la Légion d'honneur.

ôeritrJ'tr®sorier perpétuel delà '66r{ traIe d'agriculture de France.

i^'i0r,: V1 de f>— office de courtier maritime Cl%m office de courtier maritime eret Cr (Algérie).

• Un courtier interprète conda r>» es * Saint-Martin-de-Ré.

raant des percepteurs.

:-^e,ttentH^nt contre-amiral à un comIf nt dnus l'escadre d'évolutions.

Ï — Nouvelles et étrangères. Nouvelles et l',(.^IO*S ET FAITS.

ERATURE BEAUX-ARTS. -

te chard SA CORRESPONDANCE. — pre" BS SCIENCES. — Btnri de Parville.

K les la Banque de France et de ses 'etin. s.

1~ t eOtnT\a

\6r' du ntit des recettes des chemins et au 8 avril 1877.

4 8 avril 1877.

~! ---

^Ï^Eoffigielle - ari$, 19 avril f877.

--

riera <} * résident de la République, .1 ^^ranr 1tdu ministre de l'agriculture « 0 p ort Iliriistr-o de ragdcutture ZD du ~les de l'orri e Conformément a J'avis du re M. de Cormette (LouisQI Q InSpf>cte¡r général des haras, aii grade d'officier dans l'ordre ~nal de la Légion d'honneur. - Chevalier 1858

Par décret en date du 16 avril 1877, rendu sur le rapport du ministre de l'agriculture et du commerce, M. Lavallée, membre de la société centrale d'agriculture de France, a été nommé;trésorier perpétuel de cette société, en remplacement de M. Huzard, démissionnaire.

o¡<¡i<', :'J ".,.,,< i <<<m

Par un autre décret en date du 17 avril 1877, rendu également sur le rapport du ministre de l'agriculture et du commerce, un officeVde courtier-maritime a été créé au port de BeniSaf, arrondissement de Tlemcen (Algérie).

Par un autre décret en date du même jour, M. Penaud (Pierre-Joseph) a été nommé courtier-interprète et conducteur de navires à Saint-Martin de-Ré (Charente-Inférieure), en remplacement de M. de Gouyon-Pontouraude, décédé.

Par arrêtés du ministre des finances, en date du 11 avril 1377, ont été nommés : M. Petit, percepteur de Neauphle-Ie-Chàteau (Seine-et-Oise), 2e classe, à la perception de Montcornet (Aisne), 2e classe.

M. Gastineau, percepteur de Templeuve (Nord), 2e classe, à la perception de Neauphlele-Château (Seine-et-Oise), 2e classe.

M. Picard , percepteur de la Ferté-Macé (Orne), 2e classe, à la perception de Templeuve (Nord), 20 classe.

M. Dumesnil, percepteur de Juvigny (Orne), 4* classe, à la perception de la Ferté-Macé (même département), 3e classe.

M. Germaine, percepteur de La Saussaye (Eure), 3e classe, à la perception de Cormeilles (même département), 2e classe.

M. Lambert, ancien officier amputé, à la perception de La Saussaye (Eure), 3e classe.

■* Par arrêté du ministre des finances, en date du 13 avril 1877, M. Dargent, percepteur de RomiUé (Ille-et- Vilaine), 58 classe, a été nommé a la perception de Châteaugiron (même département), 4e classe.

.——

Par décision du Président de la République en date du t8 avril 1877, rendue sur la propo.

sition dn vice-amiral, sénateur, ministre de la marine et des colonies, M. le contre amiral Lejeune (Laurent-Joseph) a été nommé à un commandement en sous ordre dans l'escadre d'évolutions.

— #

PARTIE NON OFFICIELLE

Paris, 19 avril 1811.

NOUVELLES et CORRESPONDANCES ÉTRANGÈRES

ANGLETERRE CHAMBRE DES COMMüNES. — Séance du 18 avril.

Sur la motion de M, Forster, le bill relatif au chemin de fer d'Harrow et du West End est retiré après la deuxième lecture.

M. Gorst demande la seconde lecture du projet de loi sur la juridiction des eaux territoriales, fort important, à son avis, pour définir les limites dans lesquelles l'administration de la justice peut s'exercer sur cette partie des domaines de la couronne d'Angleterre. Le besoin de cette définition est démontré par la récente collision du Franconia avec le Strath- clide, de Douvres, dans laquelle il y a eu mort d'homme. Le capitaine du Franconia a été reconnu coupable, mais les juges, à la majorité, ont décidé de réserver le jugement jusqu'à ce que l'autorité judiciaire supérieure ait tranché la question de compétence que la cour criminelle n'a pas admise.

Sir Bowter dit que la déclaration portant sur le droit de juridiction du ministre de la justice dans une zone marine de trois milles sur les étrangers, n'a de précédent dans aucune loi internationale. Il propose le rejet du bill.

MM. Harcourt, Staveley, Hill, Wheelhouse, Forsyth, l'attorney général et autres, parlent pour ou contre ce projet de loi. A la suite de cette discussion, le bill est lu pour la deuxième fois et la chambre décide que la commission, pour l'examiner, sera nommée le 14 mai. 1 Plusieurs autres projets, sans intérêt général, sont lus ensuite et donnent lieu à quelques observations, après lesquelles la séance est levée à six heures. (Havas.)

ALLEMAGNE PARLEMENT ALLEMAND. — Séance du 17 avril.

L'ordre du jour appelle la discussion du projet d'emprunt pour les administrations de la marine, des postes et des télégraphes ; le projet est renvoyé à la commission du budget.

ft

L'ordre du jour appelle la discussion du projet d'emprunt destiné à la construction de casernes. M. Richter combat ca, projet par la raison qu'il n'est pas sûr que l'effectif de l'armée en temps de paix soit maintenu au chiffre actuel.

M. Wehrenpfennig ne croit pas à une prochaine réduction de l'effectif de-paix de l'armée et prie la chambre de renvoyer lo projet à une commission.

Le ministre de la guerre déclare que le gouvernement ne s'est pas dissimulé les inconvénients que présente le système de casernement ; dans le cas cependant où le projet ne pourrait plus être discuté dans la session actuelle, il prie le parlement d'adopter la proposition de M. Wehrenpfennig. Cette proposition est adoptée.

L'ordre du jour appelle la discussion des propositions relatives à une modification de la loi sur l'industrie. M. Hirsch développa sa motion tendant à l'instruction des apprentis et à l'établissement des tribunaux d'arbitrage.

M. Westermayer se prononce aussi pour la réforme des conditions d'apprentissage, mais dans un sens chrétien, social, et plaide en faveur d'une observance plus stricte du repos dominical.

M. de Kleist-Retzow défend la proposition des conservateurs. Les artisans souffrent le plus, et les remèdes de la démocratie socialiste ne peuvent pas faire disparaître le mal.

M. Lasker combat la proposition de M. Galen, qui implique les entraves religieuses, et fait observer, en ce qui concerne la motion de M. KleistRetzow, que la nouvelle législation économique est une conséquence nécessaire des changements survenus dans la situation industrielle, qu'elle ne peut rétrograder, mais qu'on peut la modifier en ce qu'elle a de défectueux.

C'est là le point de vue auquel se placent les nationaux libéraux ; les propositions des démocrates socialistes aboutissent à un état policier tout sec ; la législation moderne doit viser, non à entraver l'activité humaine, mais à la développer. M. de Kardoff combat quelques-unes des assertions du préopinant. La séance est levée.

A demain la suite de la discussion.

(Havas.)

ITALIE

CHAMBRE DES DÉPUTÉS. - Séance du 16 avril.

La chambre des députés a continué le 16 la discussion du projet de loi donnant au gouvernement la faculté de changer les circonscriptions territoriales des communes de la Sicile.

Plusieurs amendements ont été présentés et développés.

On a ensuite discuté le projet de loi relatif à l'extension aux médecins de la marine militaire des dispositions de la loi du 9 octobre i 1873.

Après avoir approuvé ces deux projets&de loi, la chambre a passé à la discussion de la loi forestière. (Ilavas.)

S 'ance du 17 avril.

La séance est ouverte à deux heures, M. Torrigiani se plaint de ce que les gymnases (collèges) de quelques provinces sont dans de telles conditions qu'ils n'offrent aucune ressource à la jeunesse studieuse.

M. Coppino, ministre de l'instruction publique, reconnaît le bien fondé de ces plaintes.

Il explique cette situation par les contestations perpétuelles que soulèvent les communes désireuses de s'exonérer des obligations que leur impese la loi communale et provinciale du 20 mars 1865. Il déclare qu'il a l'intention qu'avait son prédécesseur de présenter une nouvelle loi.

M. Torrigiani présente quelques observations auxquelles le ministre répond.

Après une question de M. Bonghi, sur la construction des maisons d'école, M. Mezzacapo, ministre de la guerre, déposé le projet de loi sur la levée de la classe da 1877.

Le président annonce qu'il a reçu plusieurs demandes d'interpellation au ministre des affaires étrangères sur la question d'Orient et sur la neutralité de la Roumanie. M. Melegari, ministre des affaires étrangères, demande que ces interpellations soient ajournées à lundi. Je ne puis répondre plus tôt, dit-il, pour des raisons qui se peuvent facilement deviner.

M. Cesaro croit que l'h' M. Cesaro croit que l'honorable ministre des affaires étrangères pourrait sans inconvénient répondre immé diatement.

M. Melegari répond que les intérêts des Italiens ont toujours été protégés par le gouvernement de telle manière qu'il a reçu des remerciements. S'il survenait des complications le gouvernement continuerait à faire ce qu'il a fait jusqu'ici.

Le président annonce que l'interpellation aura lieu lundi.

La chambre reprend la discussion de la loi forestière.

La séance continue. (Idem.)

ROUMANIE

Ducharest, 18 avril.

M. Callimaki Catargi est nommé agent diplomatique de Roumanie à Paris.

On sait que M. Callimaki Catargi a déjà rempli ces fonctions en France.

(Havas.)

Ministère des finances, AVIS AU PUBLIC

-

D'après les indications fournies ~~ar !' nistration anglaise, les expétli Lions railec des dépêches à destination des Etats-Unis, par la voie d'Angleterre, auront lieu, PlIldail mois de mai prochain, aux jours e diqués par le tableau ci-après Jour et s Ports Dates JourSt eédil.l0U Ports Dates d'embarquement. d'embarquement. àelvS Southampton. 1 .rmai. 3 j^ai nIgti5, Queenstown. 4 — 3 mai matin - .6 - sOIr.

- 7 -- tinSouthampton. 8 - .,. 10 - p'.;0.

Queenstown 11 - •••" 12" soir.

- 13 - •••'• ® ^ir - 14"" soin.

Southampton. 15 — 17 atio, Queenstown. 18 — ., 19 — .1, - o/n U - •• 21 s"1' 20 - 21 olalia, Southampton. 22 - ., ,. 24, Queenstown 25 — 26 - matin - - 27 — 28 Southampton. 29 - ., 31

Queenstown iorjuin Les correqpondances à ation: Les correspondances à destination de la Nouvelle-Galles du Sud, de la Nouvelle-Zélande, e%pre,¡1 du reste de l'Australie, l Sur de la Nouvelle-Calédonie,* â~ seront acheminées par le pa.que p"'is le JI de Queenstown le 4 mai (de Paris Ie au matin). (¡JIlt le Vi) Des expéditions pour les Etats-Unis auront lieu, en outre, du Havre, Pendant le mois de mai, chaque samedi, Par paqlle.

français et par les paquebots hambourgeois

* L ]" '6 Pour leS 'eJ) * La voie normale et régulière pour les ee~oii à la Nouvelle-Calédonie est celle de StCl.

AVIS AU PUBLIC 1 :p T-T:B 1-à 1 a COMMUNICATIONS POSTALES AVEC CONSTANTINOPLE - t ConS taIJtillO~ A partir du 15 avril courant, les correspondances échangées entre Paris 101 seront acheminées conformément aux indications du tableau suivant :

<*-*- «u xv ttiixx wuiaui», ic3 ecuauyet!» tulllo AA seront acheminées conformément aux indications du tableau suivant : ~- POINTS VOIE ROUTE DE Tonn POINTS VOIE - ~~- —- , ¡. de Marseille et des paquebots .1 Voie de départ et d'arrivée. 1 français Voie de Vienne et de Varna. -------------- 4° Expédition de France. t V'cfldrodÍI Mardi e 0 soir.

Départ de Paris. Vendredi, 8 h. soir. Mardi et samedi, 7 b. 5 7 h. 50 soir. » di, Départ de Vienne » Jeudi et lundi, à midi. di et jeu", Arrivée à Constantinople Samedi, à midi. Dimanche et jeudi, ^4 li-'ï0®110 à midi 45.

t* Expédition de Constantinople. d, et il Départ de Constantinople Mercredi, 4 h. soir. Mardi et vendredi, 2 il.

2 h. soir. idel" faradl!

Arrivée à Vienne. » Vendredi et lundi. lél,C et frarc Arrivée à Paris. Jeudi, Dimanche et mercredi, h, 3O 111 6"h. 10 matin ou 6 h. soir. 5 h. 30 matin.

ÉTIONS ET FAITS 'Sse je retraites pour la vieillesse a 'k ier au io avril 1877 : ,|8)i6i 4 Vensements, s'éle1,394,998 f. 60 rrerages de rentes.. 449,122 » '^Va, 8es de rentes.. 449,122 » ÈnSfIïlble 1,844,120 f. 60 a 011ve t comptes nouveaux.

a ouvert 1.226 comptes nouveaux.

éte achet à pendant la même période fr. ,je rente ayant coûté 3,015,864 fr.

d'été, Ins Gran d -Livre de la dette inscZltlau Grand-Livre de la dette ¡àe 15 041, francs de rentes viagères aux ^231 1 parties.

d, concqurs pour le prix de poé! ,concCIlrs pour le pnx e poe.

UJ.Gt f C/~:<!r, l'Aca.

: André Chénier, l'Acai. fratltaise avait décerné un accessit à la | Scrî tQ /°QS''k no 70, et portant pour te'r dOt, Vertu, pleure si je meurs 1 rjîlr de cette pièce vient de se faire ,11én¡ip sur Sa demande, le directeur de da ns la dernière séance du jeudi PUiUYert le pli cacheté joint au marellrerniant la nom de M. Emile eur d'histoire et de philosophie de enairemont (Vosges).

\La sé

La rIe des dans les jardins pu4^fira concerts dans les jardins pu.

le per^anche prochain, 22 avril, si -et.

rOnt lie IOn des lieux et des jours où ''Q' ¡el1': :, I~ des T'

itjJ ^U^r^Cs : ^CS dimanche, mardi, m.

, ',dl.. les dimanche, lundi, jeudi et x "lire (,s dimanche, mardi et jeudi, en le dimanche seulement au >'H ^'ûianni A- et jeudi.

i 'Vr^ "SJ0 : les dimanche et jeudi.

l'Procha; aux: fleurs doit être ouvert le l,oeilain à Passy.

Ni* Iïlarc^ est situé à l'angle des l a.ux é et ^°is'le-Vent, non loin du îllx ^egtibleg;ça!» I\ NsemvS mardi, vendredi et dimanche du de quatre heures du matin Cftre3 H 11 soir en été, et de sept heures MU Se t eures du soir en hiver.

i!¡ peh j l'eglise Not!6 ^P8»'011 inauguraIt la nou- ■^i-* s»;? nie~^es*Ghamps, située, ou l'on sait, en bordure du boulevard ass e' 11011 loin de la gare du chemin l' Ilest , Cet édifice est aujourd'hui directement dégagé des palissades qui l'entou^it ri'v^ existe de chaque côté fait débiaYé d'ici à quelques jours, SûV^nsfo rai^ très- prochainement en ~are qui encadrera l'église entre deux îlots de Gxistfl!u-^®^se entre deux îlots au midi, c'est-à-dire en ^orf»r] e boulevard, auxquelles cor- \^0l5S dn bOUlevard, auxquelles cor:1~ i' ni talio<ns à faire derr.ère 6> aPrès le Percement d'une nouvelle cioif Ou Vrir à cet endroit et dont °'~, POUr effet d'isoler complète-

La création de ce nouveau square va donc ajouter encore à l'attrait que présente depuis quelque temps ce quartier de Paris autrefois peu fréquenté, en dehors des abords de la gare Montparnasse, et qui se trouve aujourd'hui l'un des mieux partagés quant aux moyens de communication. En effet, indépendamment du chemin de fer et de deux lignes d'omnibus qui le traversent, il est desservi, depuis quelques mois, par trois lignes de tramways, dont l'une communique avec le centre de Paris et les deux autres aboutissent aux extrémités de la ville.

— Les paquebots ci-après des Messageries maritimes ont touché aux escales suivantes : Le steamer Anadyr, avec les malles de Chine, du Japon, de Maurice et de la Réunion est arrivé à Suez lé 18 avril avec 1,593 balles soie, 6,802 caisses thé, 999 sacs riz, 5,504 sacs sucre, 4,644 sacs café, 2,781 colis divers.

Le steamer Gironde, avec les malles du Sénégal, du Brésil et de la Plata, a touché Lisbonne, le 18 avril, avec 284 passagers. Repart avec 226, santé excellente.

Le steamer Peiho, avec les malles de Chine et du Japon, a touché Pointe de Galle le 18 avril avec 165 passagers, 863 balles soie,2,645 sacs sucre, 2,030 balles graines, 1,368 colis divers pour Marseille; 441 balles soie, 4,720 caisses thé, 749 colis divers pour Londres.

(Havas.)

- Une nouvelle comète, dit le Messager du Midi, a été découverte par M. Borrelly, dans la nuit du 14 au 15 avril, à l'Observatoire de Marseille. Elle est ronde, brillante, d'apparence granuleuse, avec un noyau apparent. Elle traverse la constellation de Cassiopée en montant vers le Nord;

— Le Bulletin de la Société pour l'instruction élémentaire, le plus ancien de tous les recueils sur l'instruction populaire publiés en France, puisqu'il est entré en 1877 dans sa 723 année, nous donne dans son premier numéro de l'année, lequel vient de paraître, le chiffre des journaux consacrés à la sténographie, qui se publient dans les d;fférents pays.

La France a 7 journaux de ce genre, qui ont adopté le système Duployé ; l'Angleterre en a 15, d'après le système Pitman; l'Amérique 7 d'après divers systèmes ; l'Italie, 10 ; l'Allemagne n'en a pas moins de 68, qui suivent différents systèmes ; en Russie, il ne s'en publie qu'un, d'après le système allemand. L'Ecosse en publie un également, de même l'île de la Réunion.

- Les journaux anglais nous apportent quelques détails sur l'épouvantable catastrophes qui s'est produite le 14 avril dans la mine de charbon de Trœdyrhiw (pays de Galles).

Les quatorze mineurs surpris au fond d'un des puits par l'irription d'une énorme masse d eau n'ont pu encore être délivrés.

Aux dernières nouvelles, on travaillait sans relâche afin de creuser une issue qui permît aux malheureux de sortir de leur prison et de rejoindre le puits voisin. Les ingénieurs qui organisent les secours ont bon espoir de les sauver car on les entend distinctement frapper à coups de marteau les parois de houille pour se frayer un passage du côté ou l'eau n'a pas pénétré.

Ces infortunés sont presque tous pères de famille; leurs femmes et leurs enfants, accou-

rus à l'entrée de la. mine, déploient la plus grande énergie pour les arracher à la mort. Les pompes ne cessent de fonctionner.

Deux plongeurs ont tenté de descendre au fond du puits ; mais la violence du courant, qui charriait des pièces de bois et d'autres débris, les a forcés à remonter précipitamment.

L'épaisseur de la muraille de charbon qui sépare les travailleurs des infortunées victimes de cet accident est d'environ 38 yards.

-, La Néva a débâclé sur une longueur de 15 verstes à partir de Schlusselbourg.

(Gazette (russe) de Saint-Pétersbourg.) — La Rigasche Zeitung dit qu'à la date du 30 mars plusieurs quartiers de Riga étaient encore inondés. Une grande partie du faubourg de Moscou, tout le quartier de Kojenholm, la place d'exercice de l'artillerie et la grande rue de Moscou, jusqu'à KrasnaïaGorka, étaient submergés. Les fabriques de ces quartiers étaient obligées de chômer. Dans la plus grande partie du faubourg de Mitau, on allait en bateau dans les rues.

La petite île de Hasenholm a été complètement submergée; les habitants s'étaient sauvés sous les toits, après avoir établi leur bétail sur des radeaux..

La Rigasche Zeitung fait le plus grand éloge des autorités pour l'activité intelligente qu'elles ont déployée, afin de combattre l'inondation et d'épargner à la ville de plus grands dégâts.

- Une dépêche, adressée de Rostow-sur-leDon à l'Agence internationale, sous la date de vendredi, annonce que les eaux débordées des rivières ont endommagé la' voie du chemin de fer de Vladikavkaz, entre Rostow et Bataï, et celle du chemin de fer de Voronége, entre Rostow et Novotcherkask. Le service des trains est interrompu sur ces sections.

-D'après une dépêche de Riga, de la même agence, la Dunaest entièrement libre de glaces entre Vitebsk et Dunabourg.

— On mande Narva à la Voix que la Narova a débâclé dans la journée d'hier vendredi.

— On télégraphie de Philadelphie, le 16 avril, que le vapeur Léo, allant de Savannah à Nassau, a brûlé en mer pendant une tempête.

Dix-huit personnes ont péri.

■

Aujourd'hui vendredi 20 avril, au théâtre national de l'Opéra, à 7 heures 1/2, Robert-leDiable.

-»Q»

Observatoire de Paris,

Situation générale au 19 avril 1877.

, Le centre de la bourrasque venue le 15 par l'Océan est resté stationifaire sur la Suisse, depuis hier, et se comble. Le baromètre est en hausse partout ; il est remonté à 768mm a Brest, et à 764 à Valent;a. Nos côtes de la

Manche et de l'Océan sont redevenues plus calmes, ; les mauvais temps ont gagné la Méditerranée.

Le vent du nord persistant sur la France, la température est peu élevée et tend à s'abaisser encbre.

2964 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE X 90 2964 JOURNAL OFFIC~EL DE LA RÉPUBLIQUE FRA~AISE 2

Ports français.

Avis particulier au port.

Manche. — Centre bourrasque reste sur Suisse, se comble. Baromètre en hausse partout Vent N.-E., très-fort encore Cherbourg, faible ailleurs. Temps continue à s'améliorer.

Bretagne. — Comme la précédente.

Océan. — Centre bourrasque reste sur Suisse, se comble Baromètre en hausse partout. Vent N.-O. frais. Situation s'améliore.

Méditerranée. — Centre bourrasque tend à se combler en Suisse. Baromètre remonte (Toulon 748). Vent 0. à N.-O. fort. Mauvais temps continuent.

Franc*.

Service agricole.

Europe.

Berne, Bruxelles. — Comme pour Manche, Florence, Rome. Vienne, Constantinople. —

Comme pour Méditerranée.

Pétersbourg, Stockholm, Cbristianià, Copenhague. — Observations de sept stations françaises.

Madrid. Lisbonue. — Baromètre en hausse partout. Vent N. faible. Beau temps.

Observations de Paris. 16 avril 1877.

S-' D ë w £ 5 £ Z ci * g Direction S i ■§ cj: ÉTAT DU CIEL «S J Ss S.: et forée du vent.

«P ® 03 S3 S -et — | 9 h. m. 747 88 7.9 E. modéré. Couvert.

Midi. 745 7o': 9.7 E assez fort. Idem.

3 h. s. 749 58 10 8 E. modéré. Idem.

6 h. s. 742 54 8.9 Idem. Idem.

9 h. s. 742 46 7.1; N.-E. fort. Idem.

Minuit.;741 87 5.1: Idem. Idem.

>

Températures extrêmes : Minima, 5°1 ; maxima 1100 ; - moyenne, 8'05.

SCIENCES - LITTÉRATURE BEAUX-ARTS

ÉTUDES BIBLIOGRAPHIQUES KLÉBER SA VIE, SA CORRESPONDANCE (1).

En publiant sosi livre, M. le général Pajol n'a pas entendu seulement faire acte de soldat et d'écrivain ; le fils de l'ancien aide de camp de Kléber a voulu surtout rendre hommage au protecteur de son père. C'est en parcourant, dans les riches archives du ministère de la guerre, les documents relatifs aux armées du Bhin et de Sambre-et-Meuse; c'est en y cherchant des renseignements sur la vie de Pajol (2), qu'il y a rencontré tout ce qui s'y rapporte au vainqueur d'Alterkinchen et d'Héliopolis. « Captivé par le génie de cet homme de guerre, dit-il dans son Avant-propos, la lecture dd ses lettres, de ses notes, de. ses ordres, m'a convaincu qu'il y aurait un grand intérêt pour les officiers sérieux, amoureux de leur carrière, à les connaîlre et à les méditer. »

C'est surtout, en effet, au public militaire que s'adresse l'ouviage du général

(1) 1 vol in-8*, par le comte Pajol, général de division. Firmin Didot et O, libraires-éditeurs.

(2) Pajol, 3 vol. in-8°. Firmin Didot et G", libraires-éditeurs. 1874.

Pajol. Les lettres qu'il renferme sont toutes, s'il m'est permis de parler ainsi, des lettres de métier : rapports, ordres de marche ou de bataille, communications à des supérieurs ou à des camarades sur l'état du corps commandé par Kléber, sur les forces et les positions stratégiques de l'ennemi, sur les périls ou les avantages de la situation militaire dans la région où le général des armées de l'Ouest, de Sambre-et-Meuse et de l'Egypte exerce son autorité. Non-seulement il n'y est pas question de la politique générale, mais elles ne contiennent aucun de ces détails de la vie intime, aucune de ces révélations de caractère qui rendent particulièrement attachante la lecture des lettres d'un grand homme.

Le recueil du comte Pajol présente en quelque sorte un caractère technique et officiel. On y voit toujours Kléber en uniforme ; on ne l'y voit jamais en robe de chambre. C'est donc l'intérêt purement historique, dans ce qu'il a tout à la fois de plus spécial et de plus élevé, qu'il faut se borner à y rechercher. On s'exposerait à un mécompte si l'on croyait y trouver de ces trait s de mœurs, de ces confidences inattendues, de ces anecdotes personnelles qui donnent à une physionomie pon relief individuel et parfois à l'histoire l'attrait du roman.

Toutefois, à côté de l'intérêt historique, il serait injuste de. refuser aux lettres de Kléber un autre intérêt, celui-là précisément qu'on s'attend le moins à rencontrer dans la correspondance d'un général plébéien des armées de la République, l'intérêt littéraire. Si Kléber n'égalait pas par sa naissance certains généraux républicains, il les égalait tous par son éducation. Alsacien né d'une mère protestante et d'un père catholique, orphelin de bonne heure du côté paternel, il avait reçu, sous la protection du cardinal de Rohan, les soins intelligents d'un honnête curé qui eut le bon esprit de diriger l'enfant deshérité vers les sciences exactes. Ses progrès en architecture déterminèrent le cardinal à. te pousser dans cette voie. Un accident tout à fait imprévu le jeta dans la carrière des armes en lui permettant d'achever son éducation à l'école militaire de Munich"où l'électeur de Bavière faisait élever les jeunes gens de famille destinés au service.

Un jour, dans un café de Strasbourg, quelques-uns de st-s amis avaient étourdiment cherché querelle à d'inoffensifs Bavarois assis auprès d'eux. Kléber, indigné de cette agression sans motif, provoqua en duel ses camarades. Les Allemands, reconnaissants, avaient offert au jeune Alsacien leur appui, et c'est ainsi que le futur général républicain, après son éducation d'ancien régime, put se faire remarquer à l'école de Munich par le prince de Kaunitz et se vit amené à faire ses premières armes dans l'armée autrichienne en qualité de cadet dans le régiment de ce nom.

Le 22 février 1783, il donnait sa démission et rentrait en France, armé du certificat suivant : « Nous, Albert, vicomte de Dam, chambellan, commandant le régiment de S. A. le prince Ferdinand de Wurtemberg, au service de S. M. l'em-r pereur et roi, certifions que Jean-Baptiste

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Kléber a servi au régirnerIt d e ™ rteIIibero|..

acltuellement prince de et quall'o elOI71 fanterie., pendant sept anS.® \uatre$ en qualité de cadet, 1 alie lieutenant avec autant dez vité. Il a mérité, non-seule sap 1 time, 'mais encore celle de ses av36 ^ouS a)' égaux et inférieurs. De qu * a~ael demandé un certificat, etc., ', 5; Fidèle à l'austérité scien;fit11 ue de

récit, le général Pajol faita' arrêter, aux épisodes, arrêter, aux épisodes T0IIîa ISLI gnalèrent, s'il faut en de,lp !> nuscrits conservés aux a guerre (1), le passage du A dan s l'armée autrichienne. L une , de Kléber a sem de Préteiie A.

vraisemblable légeiid e à 18 Sie vraisemblable légende à ^a le nom de l'irnpéra trice iY c r»

Le général Pajol a peii, ce avec létre, Sé rle ljg eteell qu'elle ne méritait pas d etre8éri^se

qu elle ne méritait pas u c-* | refutée. à Stt~- De 1783 à 1789, Kléber,J, ,,pntré & pjfl bourg, reprit son métier d iDt dj1J l'influence de sa-mère, il

la Galartière, intendant a aCe,l0X:Lt d'inspecteur des bâtimen s ^jes Haute-Alsace, avee Belfort QUr > Haute-Alsace, avec dence. Eu même temps, a le P .j.d dation du cardinal de Hoha l'iflSP® (t de Condé l'avait chargé as ~t.~ spéciale de ses terres e ge -J temps de repos lui permit G'i' études littéraires et M0s^hiqUeS c, e~ t ns O avait toujours aimées. C es oltitloil10 sibles occupations que la ;ér:l' surprit. Il embrassa ave^ 'l'l, t ~~c~ nouvelles, tout en en répud ;„ntl0Se* ^r1' tions C'est ainsi qu'on.110 pren d re vivement parti c t r8 ments qui, aux cris de • (( yive1 jf' ments qui, aux cris ùaieii}

au diable la nation ! » nia ggjfo j mes contre la munICIpalIté f3 ifor d,\l' d'autre part, refuser dej0!l' multitude, dans un loijr ble marque do roodératio mii» ,-l ble marque de modéra~on qtlll levant contre lui l'animo-1 yoblh et la haine de la populace, retourner à Strasbourg- s'orS J/1 Cependant, la coalitlolls'Oro , D'abofJl, t r contre nous en Europe, v ^e\îor ,5t.

dans la garde nationale 13.1for ~,j engagé au 46 bataillon d ^$de ,()«j Haut-Hhin, l'ancien 0'-rc autrichienne obtint éilftl' derls CP, bataillon, par l'eiVVe di, bal-ailtoii, par Illiiaill-oii tp ,v Wimpfen, un emploi û Bientôt il y était élu, à d

voix, commandant èni sccOI1 da pOllJ F\;I: de son génie militaire ndu llancl]1f;: faire sentir. Le 4e hatalllon s flalit devint promptement un d3 uelIO Il l'armée de Custine ve1 à;i' été dirigé. Le recueil LI éllér1 renferme plusieurs lettres de té général en chef, qui telIlOIg prodlo¡¡¡I:; incessante vigilance, u « activité et de ses rares a sUi taires. Arrêté à Nancy, élt coiid reddition de Mayence, , ¡JJ~1t\; ercorte à Paris, il eut le Je.

per à l'échafaud et fut 17 août 1793, général ào , ettu C. 1 dle, Custine, son général en tiné.

tlne. 'tl t ——————————-———-~~ frere

tiné. ¡lri~ ,.le tiné. au (H Notamment uue note dl] fl.ère Ut~ ri,1 ~~1c Kléber. ,e,li

:, j,rnornent de la nomination de Klél'arnjA ,e de Mayence, à laquelle il apaitse trotivair à Tours, où il la r,' ;f lo °>0 1 „ f"rt. pou l'a mp gnrr dan- march'-: "-ur Sau( les guerre:-, dp 10 est, Wif : kléber rsont assez rares.

Les C'im Kléber sont a~f:ez l'arcs, 3l796PaAnes de Kléb';r, en 1794, 5, 1797 , soit dans l'armée du soit dans celle du Rhin, soit ! •I^Ue ?h e ®ambre-et-Meuse, campaCornme on sait, de succès et ers et durant lesquelles l'Autriche de France perdirent tour à tour le cours P, r 4 h Perdirent tour à tour le cours CSu'il0Us valu autant de lettres qu'il en a peu écrit pendant ses ':"¡i¡. des de l'OUfSt. Il suffit de les parfeajol publié parle généVr PoS Voir jusqu'à quel point £ silè<i v ^esPrit de détail. Sur ce , -?11, de l'école de Bonaparte M n'a 111 l'impérieuse brièveté de J^Portement de plume, mais fil pelle la prévoyance et l'actiI |^i M^ent découragé à la mort de 4' Ilircce ea, il donna sa démission niiop Orté, au coup d'Etat de i'Stàp aris. Porté, au coup d'Etat de SU~ les listes de proscription jpe iS t un républicain aussi I * à iie ,:Ul ne pouvait pas avoir de er de cette accusation.

k ^vint Partaoer la retraite qu'il s' éa Sur les hauteurs de Chaillot.

'j ^riij]tfJl^'iUon isolé dont il avait fait t3 le v. l entrée de la rue qui a pris no de rue des Batailles qu'il "QI 1, or re l :t.ttachait comme généM i8 divisi 011 à l'expédition d'Egypte.

lettres, relatives à lt°n' constituent la partie la ]?tltérescfnî8 recueil. Depuis le '< s0n< î Hiort e. ar ueir-ent jusqu'à celui sa mort trag Lque on y suit pas à pas ih détt ^5ue» on y suit pas a pas Hj les fo al S de l'elpédition. Sans doute j-^e font qua eonlirmer des faits cont:;j% ]a uPart> mais, i par le caracde spailtalaeité dont elles sont ih et là ? • donnent à ces faits le l' Elles offrent en même t ° confirmation du génie I e de léber, prévoyant, prépa^Ut' exécutant tout avec une eUse^stesse de coup d'œil et une proraPtitude de main, admih Y,esandrie. soldat à HélioRte a alle eh.

Un. ^Kléber et de Bonaparte D4 V!*tout particulier. A une ^at larr U & éber, commandant rie) avait exprimé au général v;; ses uiétudes au sujet de la ?C (JUe XG avait répondu : a L'exi avoas entreprise exige rSe da i • un £ enre "• La ré- tvivp 111 a*s encore sans aigreur.

Ir la ancières allaient bientôt V KkCt^QteHigence au point d'al\rVante à écrire à Bonaparte la suivante * Je vous prie de me l8t;v? cûuâ.Prendre de T. ma division; je (Si!?■ °l'drP9 trop en contradiction 'lf A^atir^ trop opposée au système S IOn qUI paraît être adopté, %]f^roisiS certain de vous dé1 VlJe de BJOurs après, sur une lettre naparte' il lui répondait : ec oublié) lorsque vous avez

écrit cette lettre, que vous teniez en maia le burin de l'histoire, et que vous écriviez à Kléber. Je ne présume pas pourtant que vous ayez e" la moind re arrière-pensée ; on ne vou-: c?o r. i: pas. J'attends, ^-héral, par le retuor du courrier, l'ordre de cesser mes fonctions, non-seulement dans ia place d'Alexandrie, mais encore dans l'armée, jusqu'à ce que vous soyez un peu mieux instruit de ce qui se passe et de ce qui s'est passé ici. »

Bonaparte reconnut son erreur et regretta-sa vivacité. Courrier par courrier, il répliqua : « J'ai vu avec peine que vous donniez à ma lettre un sens qu'elle n'a ni n'a pu avoir. Si je tenais le burin de l'histoire, personne n'aurait moins à s'en plaindre que vous. »

L'irritation de Kléber, qui se rendait compte de l'état de nos affaires en Egypte et "fcn prévoyait le dénoûment, n'était pourtant point apaisée. Plusieurs lettres de lui au général en chef témoignent de cette disposition d'esprit, qui finit par se traduire en une demande formelle de congé pour cause de santé. Bonaparte, à qui il était indispensable, se fit caressant et s'empressa de lui écrire : « Je suis extrêmement fâché de votre indisposition. J'espère que l'air du Nil vous fera du bien. Croyez au désir que j'ai de vous voir complètement rétabli et au prix que j'attache à votre estime et à votre amitié. Je crois que nous sommes un peu brouillés ; vous seriez injuste si vous doutiez de la peine que j'en éprouverais. Sur le sol de l'Egypte, les nuages, lorsqu'il y en a, passent en six heures ; de mon côté, s'il y en avait, ils seraient passés dans trois ; l'estime que j'ai pour vous est au moins égale à celle que vous m'avez témoignée quelquefois. J'espère vous vôir sous peu de jours au Caire. »

Les prévisions de Kléber se réalisaient ; notre situation en Egypte était loin de s'y améliorer. Soit que Bonaparte, soucieux de sa gloire personnelle et du prestige de son nom, voulût les dégager du triste résultat de l'expédition, soit-que l'intérêt .de son ambition l'appeiàt en France où l'état des partis et du pouvoir faisait présager une crise suprême, il se décida à abandonner subitement l'armée. Kléber était son successeur désigné par 1 opinion de tous ; c'est à lui qu'il laissa le commandement. Le 25 août 1799, dans la matinée, Kléber adressait de Roselte au général Menou la lettre suivante : « Je recois, le 22 au soir, une lettre du generai en chef dont voici l'extrait : « Vous recevrez cette lettre le 20 ou 21. Partez sur-le-champ pour vous rendre de votre personne à Bosette, si vous ne voyez aucun inconvénient à votre absence de Damiette ; sans quoi vous m'enverrez un de vos aides de camp ; je désirerais qu il put arrivera Rosette dans la journée du 24.

J'ai à conférer avec vous sur des affaires extrêmement importantes. » Je traverse en deux jours le désert et le lac Bourlos ; j'arrive à Rosette le 24 à dix heures du soir * mais l'oiseau était déniché et n avait pas même passé par ici. Je m'en retourne à Damiette. »

La nomination de Kléber au commandement en chef de l'armée d Egypte apaisa mi peu son ressentiment sans réussir à lui faire excuser tout à fait la

brusquerie du départ de Bonaparte et l'espèce de mystère dont ce départ avait été environné. « Si j'approuve, écrit-il à Menou dans l'aprè-midi du 25, aussitôt après avoir reçu avis dp sa nomination, le motif du déport de Bonaparte, du moins me reste-t-il à dire quelque cho-e sur la forme. » Toutefois, il fallait maintenir le moral de l'armée, que l'inattendue nouvelle de cet embarquement secret aurait pu ébranler. Il publia l'ordre du jour suivant : « Soldats, des motifs impérieux ont déterminé ls général en chef Bonaparte à passer en France. Les dangers que présente une navigation entreprise dans une saison peu favorable, sur une mer étroite et couverte d'ennemis, n'ont pu l'arrêter : il s'agissait de votre bien-etre ! Soldats, un puissant secours va vous arriver, ou bien une paix glorieuse, une paix digne de vous et de vos travaux, va vous ramener dans votre patrie ! »

De son côté, Bonaparte avait laissé, en partant, l'ordre du jour bien connu : « Soldats, les nouvelles. d'Europe m'ont décidé à partir pour la France. Je laisse le commandement de l'armée au général Kléber. L'armée aura bientôt de mes nouvelles. Je ne puis en dire d avantage. » A partir de ce moment, les lettres de Kléber se multiplient. Chargé,' en ce moment critique, de la plus lourde responsabilité qui puisse peser sur un général en.

chef, il fait tête à toutes les difficultés.

C'est dans le livre même qu'il faut lire ceite correspondance serrée, diverse, fiévreuse, avec les généraux, les commissaires, les administrateurs, les membres du Directoire, les ministres, les membres de l'Institut de France, le grand visir, les chefs de la flotte anglaise ; il pourvoit à tout, répond à tout, supplée à tout.

Lord Keith ayant déclaré qu'il n'accepterait de capitulation qu'autant qUI) l'armée française se rendrait prisonnière de guerre et que tous les vaisseaux et munitions du port d'Alexandrie seraient abandonnés aux puissances alliées, Kléber, pour toute réponse, publia sa lettre sous forme d'Ordre du jour à l'armée, en y-ajoutant ces simples mots: « Soldats,, on ne répond à de telles insolences que par des victoires : préparez-vous à combattre ! » La victoire d'Héliopolis vint éclairer d'un suprême reflet de gloire les derniers jours de notre domination en Egypte.

Cette histoire et son malheureux dénouement, ainsi que l'assassinat de Kléber par un musulman fanatique, sont trop connus pour qu'il nous soit permis d'y revenir. Nous avons voulu seulement indiquer les points sur lesquels la correspondance de Kléber jette un jour nouveau. L'histoire dissipe chaque jour les nuages d'or de la légende. La cor-, respondance de Napoléon Ier, celle d4 roi Louis, ont déjà contribué à rectifier plus d'un fait et à redresser plus d'un jugement. Les lettres de Kléber ajoutent un nouvel élément à l'œuvre de vérité et de justice. D'autres, celles de Davoust entre autres, sont impatiemment attendues. Ainsi le temps rétablit hommes et choses à leur vraie place. Le général Pajol a le droit de se féliciter d'avoir apporté sa pierre à l'édifice historique, en

2968 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

20 e n 1911

même temps qu'il a offert aux officiers de notre armée, par la publication de ces lettres, des modèles d'esprit et de vertu militaires.

F. BÉCHARD.

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ACADÉMIE DES SCIENCES

Séance du 16 avril 1877.

PRÉSIDENCE DE M. EUGÈNE PELIGOT La correspondance est dépouillée par M. Bertrand. Le directeur de l'école d'agriculture de Montpellier demande à l'Académie de vouloir bien lui faire don, pour continuer les essais satisfaisants entrepris l'année dernière, de 500 kilog. de sulfo-carbonate de potasse, substance toxique qui tue le phylloxéra. Les expériences de M. Mouillefer, délégué de PAcadémie, ont montré aux environs de Montpellier l'efficacité des sulfo-carbonates.

M. Kirchoff, l'éminent physicien, correspondent de l'Académie, adresse une réclamation au sujet d'une récente critique faite à un de ses mémoires par M. Maurice Lévy, dans une note relative à la théorie des plaques vibrante?.

M. Kirchoff fait observer que dans un travail postérieur à ce'lui que cite M. Lévy, il a fait disparaître le point dont parle le géomètre français et qui était effeotivement sujet à critique.

M. le secrétaire perpétuel revient sur la communication qu'il a faite dans la précédente séance et relative à la solution du problème suivant : « En sachant que les planètes décrivent des sections coniques, et sans rien supposer de plus, trouver l'expression des composantes de la force qui les sollicite, exprimées en fonctions des coordonnées de son point d'application. » On connaissait deux so- lutions du problème. La force peut être dirigée vers un centre fixe et agir proportionnelles ment à la distance ou en raison inverse de scn carré. Mais n'en exis-t-il pas d'autres ?

M. Bertrand avait dit que pour répcnlre à la question ainsi posée, il fallait entreprendre des calculs tellement compliqués qu'aucun géomètre peut-être ne tenterait de les exécuter avant d'avoir trouvé teanoyen de les simplifier. En y réfléchissant depuis, il a trouvé une multitude de simplifications qu'il a exposées dans sa dernière leçon du Collège de France, et un de ses auditeurs, M. Darboux, jbien connu de l'Académie, a effectué les calculs Je soir même. Il en résulte qu'il y a au problème une infinité de solutions.

M. Dumas présente au nom de M. Denayrouse une note relative au nouveau procédé de production de lumière électrique imaginé par M. Jablochkoff.

M. Jablochkoff a eu l'idée ingénieuse d'introduire dans le circuit central d'une machine magnéto-électrique le fil intérieur d'une série de bobines d'induction et fait passer l'étincelle d'induction sur une lame de kaolin placée simplement entre les deux extrémités du fil extérieur de chaque bobine. La lame de kaolin, interposée , s'échauffe et rougit, absolument comme s'échauffent et rougissent les petites baguettes de-charbon de M. Ladyguine, directement interposées sur le trajet du circuit de de la machine magnéto-électrique ; seulement ici le kaolin se vaporise et doit être remplacé de temps en temps.

On fait d'abord pas,, On fait d'abord passer le couraut sur une

sorte d'amorce plus conductrice disposée sur le rebord de la lame de kaolin. La partie de la plaque qui est chauffée donne une bande brillante. Quant à la puissance de la lumière, elle ne dépend naturellement que du nombre des spires et du diamètre des fils des bobines employées.

Il est facilede multiplier les bobines et d'interposer une lame de kaolin entre chaque circuit. On parvient ainsi à multiplier à volonté le nombre des foyers, et comme la bande lumineuse n'est plus réduite à un simple point, mais à una série de points, la divisibilité de la lumière est obtenue. Ce nouveau résultat est intéressant.

M. Jab'ochloff panient, dit-il, à produire aisément cinquante foyers lumineux avec une seule machine magnéto-électrique; il échelonne les intensités des divers foyers depuis deux becs jusqu'à quinze becs. En employant les courants alternatifs, on peut supprimer l'interrupteur et le condensateur des bobines ; alors le système total des distributeurs de courants se réduit à une artère centrale représentée par la série des fils intérieurs de la bobine sur laquelle viennent s'embrancher autant de conducteurs distincts que l'on place de bobines sur le circuit. Chaque foyer lumineux est donc parfaitement indépendant, et chacun d'eux peut s'éteindre ou s'allumer séparément. La distribution de l'électricité dans un bâtiment à éclairer devient alors analogue à la distribution du gaz.

Attendons que l'expérience se soit définiti-

vement prononcée sur la valeur pratique du nouveau système vraiment simple en théorie et joli dans l'application.

M. Janssen met sous les yeux de l'Académie une belle photographie d'une tache solaire obtenue dimanche, à huit heures du matin, à l'observatoirre de Meudon. Nous traversons en ce moment un minimum de taches; aussi la tache photographiée est-elle d'autant plus remarquable qu'elle rappelle de tous points les grandes taches des maximum. Elle est apparue brusquement et semble devoir se dissoudre avec rapidité.

M. Hervé-Mangon présente au nom de M. Renou une note sur l'hiver 1876-1877, hiver particulièrement remarquable, conclut l'auteur , au point de vue météorologique. C'est l'hiver le plus doux que l'on puisse citer depuis l'hiver de 1719. La période de froid la plus grande est tombée en mars ; c'est le mois de mars le plus froid depuis 1825. Le minimum de température est survenu le 12 mars; il faut remonter jusqu'en 1764 pour trouver un minimum de froid semblable correspondant à la même date.

M. Bouillaud présente, de la part de M. le professeur Feltz, une note relative au principe putride du sang. Ce principe ne serait pas soluble, selon l'auteur. L'éminent académicien fait suivre sa présentation de considérations intéressantes dont nous reproduisons la substance.

Le nouveau travail de M. Feltz roule sur une question qui, aujourd'hui, autant et plus que jamais, préoccupe vivement les chimistes et les médecins ; il n'en est point peut-être qui joue un rôle plus important que celle désignée sous le nom de « putréfaction » ou de « fermentation putride », notamment en ce qui concerne son influence funeste sur la salutbrité générale et particulière.

La singulière et terrible facilité que possèdent les matières putrides de communiquer la contagion a été la cause en tout temps des

maladies les plus meurtrières, SOl, ! ce sporadique, soit sous forme epidémique. A ce groupe de maladies appartien quelque phoïde, dont l'étiologie est depUIs lieS partlll années l'objet de recherches nou\le eut l'aC' lesquelles porte surtout en ce nio luelit f&Cl tion des égouts.

Qu'il ma soit permis d'insister ^-pi de3 mistes pour qu'ils achèvent "er ttl de s- t biea commencée de la fermentation putride. Un tel vœu se comprend de lui-inôni" quand On ego voeu se comprend de lui-même e"

que, sans la connaissance aCCL des CPa uo réelles de la fermentation Putride , les moyens prophylactiques et curatifs des ID ladies ce!

doutables auxquelles donnent "al. s auto eî foyers d'infection seront touj plos ni moins précaires. le

loyers d'infection ocwmoins précaires. sur'i La parole revient ici en pareille matlère sur tout à M. Pasteur qui a déjà tant problème si complexe des fermentation ed0 souhaitons vivement qu'il continue avec empressement ces importants r j des entreprises de l'autre Cbl él, de ja Ma t,a semblent convier notre erm *ljentrependre une nouvelle camp °fTae e® tAÏÏ entreprendre une nouvelle cam 'avail t gogp, des théories qu'il soutient. Un savant mopatholagiste non l M. Pasteur au sujet de sa théorie de la putréfaction de l'urine, va beaucoup r gén,« ; core et défend la théorie de la gen, éraioe spontanée. Il est donc à soushaiter que M. Pasteur, en rentrant dans la lice, faSse ~rn1!

justice de théories surannées; en même temps il n'est pas douteux qu'il ne J U e POU lumière sur la théorie de la fermentation et le mode de contamination des age 41 l'observatoire

mode de contamination Gt:1I -. J8 des. '~u M. Stéphan, directeur de Pl frelli, M. Stéphan, directeur de 1 !d', )3orrfe!Í5 Marseille, annonce, au nom de d>Qn<?n son collaborateur, la découverte d$' js' comète dans la nuit de samedi à dimanche C'est la troisième de l'année M.Stéphan est heureux de pouvoir "faire reularqtl et à démie que M. Borrelly possède à son actif la découverte de deux planetes jgg V et 172, et la découverte de trois depuis le commencement , e dll M. Stéphan lit ensuite un résuiue travail géodésique qu'il a entrepr» travail géodésique qu'il M. Lœvy, de l'Académie g comandant Perrier, du bureau des Mar df~ pour déterminer la longitude de J d'Alger 0 - Úottl.tIOI'

pour déterminer la longitu v J d'Alger,.

En 1874, MM. Lœvy, Pe-rrier. et ont effectué en commun la détermination différences de longitudes entre Paris, l différences de longitudes entre les institution seille et Alger. On a trou e n tre lesle019' ments de Paris et Marseille 12m 13 400 les instruments de Marseilel et Alger 9m 23 213 La différence 2m50s2i, représente la longitude est d'Alger par rapport a Paris et Perner ont directement trOtllt3 u longitude un résultat qui de secoJ1 ¡JI. j dent que de quelques millièmes de secondes !

qui montre la grande exactltu des résultats. !11UIliCall'eOtt' M. Stéphan termine sa leS faisant connaître briève, lient les e, xpbriei qu'on a faites sur le câble 1116 1itiOn Je, Mais déterminer la vitesse de plropoc 'Ittoil. dei,élo ticité dans les conducteur métalique. heureusement, la Pile dont il s'est servé est faible, puisque pour la J ne peut employer que de fal ne S'tlPPI18 pe triques. Les résultats obtenus ne s'appliquent donc qu'à la vitesse d'un 1~~ reC donc qu'à la. vitesse d'un ~ct~ intense. de

M. Jules Guérin Ut la suite de,ea te

Il:i!s ilVUl\

%, sur Otlgme et la Rature de la fièvre D e.

%ie L llller travail communiqué à l'A~'eroise e 2 février dernier, dit M. Guérin, fvis av„- lr démontré l'existence d'un principe toxique a ns ^es excréments des su j ets , les excréments des sujets la fievre dite typhoïde. Mais ces 3re8 à ? ?5r sort;ie de l'économie, sont un coi]enet complexe de toutes celles L!Se reHcorit nfc dans chacune des trois paropt * Se COIDpose le tube digestif : l'estomac 0 intestin. Il y mac * ^Uî" ^a^re un second pas vers la dei0ri^e- et du mode d'action, euet a,, c,oïücidence du principe toxiivd ns ces matières, à expérimen^fênipnt : 10 les liquides rendus par le itent °? extraits de l'estomac; 2° la !CotUenUe dans ces matières ou extraite (li&res Inort de la vésicule du foie; 30 les ies t>rA 7enailt-^irectement de l'intestin ¡:e!Qent celles qui appartiennent plus spét^nt a» gros intestin.

11 résuit

gros intestin.

r^lted®s expériences ainsi faites que matières bilieuse vomies, que la bile, que ftlTea vomies, queJa bile, que matière fécales proprement dites provenant du gros intestin, n'ont que très exceptionlement causé a mort: une fois sur 12 e»rov e la lUatière diarrhéique spéciale, 1 l'ove de l'intestin grêle a, dans plus la le Ces, presque constamment occaa a l'espace de quelques heuif^elaiioo D es jours.

<

Ï! * POUr la distinction des matières. Il y 1161" ensuite à quelle époque de maladie,au Comencement, au milieu ou à îti>' lei)rn_Pri^té ,toxique des excrétions se riété. toxique des excrétions se ! l'iSes 8 sttr ip vi vant les matières stomaca- leg les ê (Intrées presque inoffensives à «^ •ta énnfT88 de la maladie : au cinquiè5r h l..xiè e, au Seizième et au vingtième es atière8 extraites de l'estomac d'une ^Ue tnatleres extraites de l'estomac d'une graphique morte au treizième jour de la mala- die on causé la lUort à deux lapins en vingt u, ^ptho u/®f ». mais la bile pure extraite la v®siCllip biliaire de la même malade, produit q'un malaise passager. passager.

.- -,,,eire ûe la même malade, l'cru'n falaise passager.

JésultiU an °Sue a été obtenu par rapPério^ a été obtenu par ~Pûtenlle S de la maladie avec la matière Vh 116 <ian3 19®0» i«intestin.

Cî)e SiîS,e^f,fr'ences instituées au doude VQfi , e a distinction des matières Méri0des , la distinction des matières e la maladie, il résulte donc atte- Pécialement toxique chez les a.tteint peclalement toxIque chez les Kà qUelqu s. de fièvre typhoïde est celle ^elque epoque de la maladie qu'on la maladie qu'on la re' est ntenue dans l'intestin grêle; r, ce * exclu "on presque complète des malqj Remit dans les autres parties du ernièef^®r*ence ^ien propre à mettre hors de doute ^ex'stence d'un principe IOr ors d lereexPérience bien propre à met- re typhoïde, est celle que iShi-^ée av fievre typhoïde, est celle que 6 Par ip de la matière purulente par j bIstouri, d'un petit anthrax survenu dans la convalescence d'une fièvre tyde b l fISee chez une malade du service de M. le docteurGuéneau de du ser- .IJieu Octeur Guéneau de Mussy a consistallte, lioino-ène, ZDino- s 'r,o ttt~ l SUbI aucune sorte d'altération; S°us la Peau d'un lapin à la dose de 1Qil p\^Htaf îS n1 US elle a causé la mort de A î Y311 liel esheures.

M. Jules Guérin ajoute à cet exposé les con.

111 aj°ute à cet exposé les con4, !^s sujygnes'^onnes à faire connaître.

deia fievre typhoïde, on remarque

généralement des phénomènes qui sont univoques, à savoir : 1° une constipation partielle ordinairement suivie de diarrhée; 2° le gargouillement iliaques; 3° le météorisme intestinal ; 4° la fétidité exceptionnelle des matières et des gaz excrétés. Ces quatre phénomènes, interjetés comme ils doivent l'être, sont l'expression d'un double travail qui s'exécute au siège matériel reconnu de la maladie : la fermentation stercorale , laquelle donne lieu à la formation et à la dissémination du principe toxique de la maladie : d'où l'intoxication stercorale; la stagnation des matières anciennes dans le gros intestin, la rétentioa des matières nouvelles à la fin de l'intestin grêle, dont j'indiquerai ultérieurement le mécanisme, mais dont le gargouillement établit le fait. Ce gargouillement, expression tout à la fois de la présence et du mélange de matières liquides et gazeuses; le météorisme, témoignage d'un développement insolite de gaz ; enfin la fétidité putride des matières et des gaz expulsés, ne sauraient avoir d'autre signification.

Cette interprétation, mise en présence des altérations anatomiques qui, depuis plus d'un demi-siècle, ont été considérées comme l'origine et le caractère spécifique de la fièvre typhoïde, semblerait se concilier difficilement avec ces altérations et les doctrines qui en découlent. Mais on se croit en droit de l'affirmer dès aujourd'hui : tous les symptômes et toutes les altérations anatomiques propres à la fièvre typhoïde, loin d'être en opposition avec la théorie de l'intoxication stercorale, n'en sont que la plus éclatante confirmation. Cette démonstration sera l'objet d'une troisième et dernière communication.

A cinq heures, la séance est levée. Lundi prochain aura lieu à deux heures la séance publique annuelle de l'Académie des sciences et la distribution des prix aux lauréats du concours de 1876.

HENRI DE PARVILE.

Dimanshe prochain, 22 avril, quatrième jour- née des courses de la Société d'encouragement au bois de Boulogne. Six prix, dont voici les conditions sommaires, seront courus dans l'ordre suivant :

Prix de Monlretout, 3,000 fr. pour chevaux de 3 ans et au-dessus. Entrée 100 fr., moitié forfait ; la moitié des entrées au 2e, jusqu'à concurrence de 2,000 fr. Distance, 2,400 mètres; 17 chevaux engagés.

Prix des Acacias, 10,000 fr. pour chevaux de 3 ans. Entrée 150 fr., forfait 100 fr., s'il est déclaré ; les entrées au 2e, jusqu'à concurence de 2,000 fr. Distance, 2,400 mètres. 42 chevaux engagés.

Prix de Sèvres, 3,001 fr. pour poulains de 3 ans. Entrée, 100 fr.. Distance, 1,700 mètres.

16 engagements.

Prix Rieussec handicap), 10,000 fr. Entrée, 200 fr. ; forfait, 100 fr., et 50 fr. s'il est déclaré; 1,000 fr. au 2e. Distance, .4,000 mètres.

24 chevaux engagés.

Prix Vaublanc, 6,000 fr. Entrée 50 fr., la moitié des entrées au 2e ; le gagnant à vendre pour 25,000 fr. Distance, 2,100 mètres. 15 chevaux engagés.

Prix de Saint-James, 3,000 fr. pour pouliches de 3 ans. Entrée 100 fr. ; la moitié des entrées au 2e. Distance, 1,700 mètres. 14 pouliehes engagés.

, Les coufses commenceront à deux heures, v

BANQUE DE FRANCE & SUCCURSALES

SITUATION HEBDOMADAIRE

19 AVRIL. , 12 AVRIL.

A. CTIP MATIN MATIN Argent monnayé et lin- gots à Paris et daas les succursales 2,1-98,406,874 C7 2,198,411 540 34 Effets échus frier à recevoir ce jour 156 038 64 181 388 33 Portefeuille de Paris : - Commerce 194,011,775 73 168,666,4F6 60 Bans du Trésor. 338,845,009 > 338 845,000 a Portefeuille d. sucearsal.:

Effets sur place. 197 632 073 « 195 222 657

Avances sur lingots et monnaies. 11,911,400 « 12,5029J0 » Avances sur lingots et monnaies dans les sue» clmales. 2.560,200 » 2,437,700.

Avances sur effets pu.

b'ics français. 28,515,500 > 27,369,700 » Avances sur effets publics français dans les succursales 19,556,080 » 19,156 600 » Avances sur actions et.

obligations de chemins de fer. 16,573,600 * 15,813,700 » Avances sur actions et obligat. de chemins de fer dans les succarsal" 13 211,150 » 12668650.

Avances sur obligations du Crédit foncier. 1,213,400 > 1,224,500.

Avances sur obligations du Crédit foncier dans les succursales. 802 500 » 807,760 » Avances à l'État (conv.

du 10 juin 1857). 60,090,000 > 60,000,000.

Rentes de la réserve : Loi du 17 mai 1834. (a) 10,069,809 » (a) 10,600,000 » El-banques départ1"., (fc) 2,980,750 14 Ch) 2,980,750 14 Rentes disponibles. 76,313,613 8î 78,313,613 82 Rentes immobilisées (loi du 9 juin 1857)(compris 9,125,000del« réserve) (c) 100,000,000 » (c) 100,§00,000 » Hôtel et mobilier de la Banque. (d) 4,000,000 à (d) 1,000,009 » Immeubl. des saccurs'»'. 5,306,313 1 5 365 979 » Dépenses d'admMtstrat'" de la Banque et des succursales 1,848,428 52 1,568,242 25 Emploi de la réserve spéciale (e) 17.694 ?J)9 97 Ce) 17.694,20997 Divers. 30,SU,593 38 30165,803 12 *

3,332 500.420 87 3.301 487 120 57 » I-A3SI7

Capital de la Banque. 182,505,000 1 182,500,000 » Bénéfices en addition an eapital (art. S, loi .1 r: 9 luiu 1857). 8,002,313 54 8.002 313 54 Réserves mobilières : Loi du 17mafl834. (a) 10,009,000 » (a) 10,600,000 » Ex-banques dépa[tlll.. b 2,980,750 14 (b) 2,980,750 14 Loi da 9 juin 1857. (c) 9,125,000 » (c) 9,125,000 a Réserve Immobilière de la Banque (d) 4=000,100 (d) 4,000,800 » Réserve spéeiate. (e) 17,694,23997 (e) 17,691,2055 97 Billets au porteur en ciro eulatoa (Banque et succursales). 2,528 614 410 2,537,509,145 » Arrérages titt valeurs transférées ou déposées 4,094,507 60 5,068,400 04 Billets à ordre et récépiSc sés payables à Paris et dans les succursales.. 34,701,701 02 33 451,770 90 Compte courant du Tré.

sor, créditeur. 105,076,317 89 83.52392344, Comptes cour" de Paris. 355,740,096 87 S3t63l.MO 51 Comptes courants dans les succursa.le. 37 820 532 » 44 274,188 » Dividendes à payer 1,575 615 ». 1,664 600 * Effets au comptant son disponibles. 1,955,611 85 1.890 325 79 Escompte et mMréts dl- vers à Paris et dans les succursales.. 6,130 552 22 5 679,772 '11 Réescompte du dernier semestre à Paris et dans les succursales.. 1,662,127 11 1,662,127 11 Réserve pour effets pro- ,

regés-en souffrance. 6,960,000 » 6 960 008 » DweïS 13 866 655 66 13 868 054 13 3,332 500 420 87 3 201 57 vi 'II' i > I I '< ai i Certifié conforme aux écritures : Le gouverneur de la Banque de France, ROULAND.

BÏÏLLEm CdMPMATlf DES RSBSTTm SES CHEMINS DE FER DU 2 AU 8 AVRIL ( 14° Smmt)

■ i SXBBB 11 II „ , I | *'*" ■i.-sssn^nogi^jgfr; RECtTTHe DU LA BLIMAM D IFFÉRELIZCU EN FAVEUIT DF. REGLIM-S, A PARTIR DIFFËRENCE Ëe -FÂ'VPUli DIS - RÊOETrES, A PARTIR DIFFERENCE EN FAVEUR DE LIGNES. 18771876 1'877 1876 ]}u.t~J;Â;N"V'œB 1877 RBGETTEa PB LA SEMAINE DIFFÉRENCE EN FAVEUR DE RECETTES A PARTIR DIFFÉRENCE ÉNr FÂVEUK BS ™-. | 1677 1876 *877 1876 ; : 1877 1870 U<}NBS 187' 187& S'lir recettes p~I' ,:surreeett~ '~ar - r : , a ssr "sar g nsr g »«* i8™ e -œr* s 1 Pari^yon-àMitla^.) 3,990: 4«M M W 4i 3,856 * 5,105,875.95 l||4 14 .? ? jffii» « 64,887,476 61 63,204,95! 57 i,62^25 <M S f (nouv, rés.) 1,223 293,415 91 1,096 324,412 * * 58 1895 4,050422 69 4,038,128 63 - Rhône au 133 101.791 19 76S 35 132 inqMI n? '*?? n? W 88 »! 7.23 14 11,894 06 » » 9 39 -.Ghemi~A~iens~ 513 105,006 20 513 9o,655 75 K2^! 14 "40 541 24 * *4 = » , -.Chemin A Igériens..513 05,' 006 S'- » "58 w i 655 7J5 o » » » l l » » » 1,432,752 80- ■ 1)254,0.02 37 178,750 43 14.25 » » Nord À\ \7 £ S'?3 * * : TS&f » >s-« »,,«&» » Id, Ô3 ic = (nouveau réseau). 560 231,944 » 414 18 541 * 450 1 Zi » 12>934 * 7.98 3,249.329 xr 3,271,453 » * » 3:u g-- - INord-Est :-= - Lille à 175 24*91 » , )!O

= : : 0 - Lille à Béthune. local. ,161 17,817» 110 66 38 '5,233» 137 71 502 » 11-20 19,64 2Í>7;75'S J 77;3r7. t7D,Hl II) <¿4.36 si l!| - >*»*»*«*»*• tS tf ?ÉI: Sfô » hoM u : î&s I2$t : , : :n-M. g:i'; : 170jsl , v v» ço pS«»:.g «,656 49,564 50 5*32 25,133 30 - » « S 203,497 31 1.27.., • 1 S7 50 27,577 95 1.41 23,024 250 49^ 23,013,427 33 10,823 16 0.05 » » 0ïanS £ çuvSe§iw îrrSôseauu)),'i 12,*22444 4 1,778877,^ ^.63 3D 953 842,MO 1,?5fi?2l« 773,175 88 o44 55 14,09* n* 45 1.82 .» t » 33 10,823 16 0.05 ré' 7i 7,,) 6 8 33 ~350 83 2244 773,17588 344 55 H,09! 45 1.82 j » 9,676,983 25 ; 9,523,110 21 '153,873 04 1.61 » » J55 * JI M 59 » » 9 065,762 42' 8.945 281 88 [120,480 54 1 35 , , nouveau, réseau); "Hu 1,723 M 1,723 D » » Il » '- 12,019,612 43 11,958,592 94 61,019 49' 0.51, - » Midi (ancien réseau).79g 924,898 63 1,159 02. 798 849,018 12 1,063 93 75.880 51 8.94 » 11,379,66133 135477530 1 L 91 »

- (nouveau Réseau) 1,257 387,323 64 308 13-1,227 344,,294 53' 280 60 43;029 11 9.81 ! 1 » ; 1273443^6 63 4,5(9)46539 "1 35^4775 30 1U1 9l 1 l ; ^OOM 82; sWO 43 § 2 ( Orléaris-Châlons-sur-MaT#e« .295 32,572 06 •' 498 • 123,859 69, 248 71. » » -14,822 39n3.6B 1,499,3^2 45 1,619,430 35 » * 120> 047 90 8 30 'i?§ lS?SI ^3 •• ÎÎS 110 41 295 31580 97' 11722 » » i » 466 485 11 ■ 427 391 76 39 163 35 9 18 , Vendée (Sables-d'Ol. à T rs) 251 31,925 40 127 19 251 31,029 40 123 62 896 » 2.80 • » ,471,593 55 48U548 94 JI, 39 2.06 Dombes et Sù^Esfc. ■ S36 85,577 » 255 » 300 .60.963 » 203 » 24,614 , » l 810 719 » 678 OM. 132,657 11: » , Sffe i tOl 19,942 70 19745 loi 16,393 24 16230 3,519 46 222,355 68 202,591 29 19 764 39 » » Je 81 12-008 30 148-25 Si 9,9.8740 123 30 2,020 90 20-23 1 .35. .01. 98 10. 118,:87140 H3'226,/ol.1.3S;}'» » £ *ë\T»JnJnn?¥•«[ Lerouvdle-à-SedanTv.^ tTf #£ /■ .• 4?l 143 îl-???30 148.25 SI 9,987 40 123 30 2,020 90 20 23 » » 135,098 10 118:871 40 16 226 70 13 65 » l "7

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g Perpigrian a Pïades, 41 11,378 03 27,7 » 27 5,922 83 219 » 8- 5,455 20 20.93 » , 117,020 88 80,954 63 36,066 25 » » 4:80 f 4tt^îeMei». 1,805 1^96,377 W 718 54 1,7-79 ; 1,291,fî75 • » 72573 5,902 50 0 45 » »• » » - » - » 2 1S 1,1 V N.-O. dAutn,ebe (aï«î. rét8.)i. -, m 693'98. 2,237 ; 1,520,053 65 679 51 32,386 35. 2.10 » » 20,183,789 50 17,262,746 25 2,921,043-25 » »

~S~N.-0.d'A-tit~c~(aR8.r68.).. ?6 .2~0250 44? 4~ 626 276230 ~441.26 3.87250 » » 4137!lS0 3,561370 s 575,760 r » » )8 v 32Q3&^ 69\ U^^ '74 l W - 19U 87, 1.651,907 50 » 575,760 16 90 » » 2'!3I '.250^2 50. 50 37& 4| 3Ô9 114,967 50 '372- 06 1,360 » » » 270,515 ) HaWTlÎu 270,515 » » -» » E~~ aJP$& 11 S 1,559 9l0-6î7 25 584-10 » 169 8-13. 97 18:65 9,95^,818 10,427.536 78 » , »• 473,717 91 4.46 &S lS^6&1^ '8vS€Q^- 0kAkc^te^V.', v|Ô| :^ ;81f. 3.. ~8..: ./t.1. 18. "',559 9lO.6~7 ~5.. 1)'. 1698'.13. '«J7 18': 65 .;:,.:9,.95'.13. ,.8t8.. 87, .t.'ü,4il'7.,..f)36 /8. ,JI¡ ..,.. )l': .473,7.17. &1 4.46 t *1 |1 t9.41\ t~9. ilzs 446i5*i>-9U; 6lf ;63 » 1 18 V 73.596 92 16;4SI 5,424«602 &2 0.10 49 t ; 7.18 1 » » V to* f V bT"-' I® ^ta^6r%i,o,i'i* â\ 4|2. 40\ - 139V Vl%004r 97V 1 .856-15 » 1 » 1 40J3L 22134 3f\\ .5,8(4,61^31 422-50 1 1 o ^X^.-l*aTn. açelm%B&ïea£ Si&i>\ (2fâv,^ © 3,3\« 3&4 Q4\-.-çaiV- 25ï-,935 02.405 69 , > -\ » l,i7&,3.5,t 9ii 1,898,126 83V ,390 W » ■ 419774r89.22 1-1 œ2,7^2o7 75 1 2§9\:2\8 » r * V 123!ï\0 87 1 4 25 r ; .- '€~;-~ Y J L. :, l, , ~-~ - ..,

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h avuli ^MES & ANNONCES «kcto» W * , 'ADCHBK LAFFIT1 «i Q4i v>— ~~c~ ~,. iI& &oars* \re .Q département de la Seine.

AMORTISSEMENT DE ^i'ST DRPUTEMENTAL DE 50 MILLIONS (Loi du 17 juillet 1856.) eto. TIRAGE

I~ AVIS

mardi 1er mai Prochain, à dix heures du matin, procham, -à dix heures Qiaf 1 il sera procédé publiqueau Palais de Industrie, au 40e tirage ® ohlif f, f-?ls a rembourser pour l'al'enipruiit de 50 millions, Partement, de la Seine, en ti Ili du 17 juillet 1856.

ge, cectirage, il sera extrait de la roue 4,646 *' dont les huit premiers ont droit, , orflre de sortie, aux primes ciKiej.,J,1imero sortant, 100,000 francs, I,

nUmero sortant, 100,000 francs, • • • • 100.000 fr.

Io 00 0 suivants, ¡el!¡ClnuO lf, ancs > ensemble. 20.000 ; i & niimf"ssni™ts,chaaocs, ensemble 5.000 W des lots. 125.000 fr.

le 1 3 Qavril 1877.

Le préfet de la Seine, ar le Préfet. FERDINAND DUVAL.

Le seC1' 't'

e aw-e général de la préfecture, 'iQt

tee d E. TAMDOUR.

do » u .M. o aura lieu par la porte n° 5.) ~j "*~~-—————— if: R~(¡¡.el.l. P ,

P-li, (M-chenin) cuyre Couri Ilimai.

BULLETIN FRANCAIS l ciel du soir, meilleur rckè de tous les jour'P^dieno comme il est le mieux fait ~tia dans sa rédaction politique, litï,r> ^Uflcrno « 0mnlerc1a!e et agricole. Le 'c~ raûcaie publie tous les jours un ^uit prti °uaes, plus une Variété littéiJ^tifirrun coûte 12 francs par an, ::\rte eSt!\hai 8 centimes environ.

à 10 francs pour les maires, 4 iV! rVa,Us lnstituteurs, fonctionnaires pu}h et°yês i e ^iàh^ats Sa mm8 de fer, officiers, sous%ci bibs; de terre ou dg mer, les lieux VîO> biblintK\ 'CfUes populaires, cercles, Vh^sVbLïlî 3 mois, 4 fr.; 1 mois, Sta 0, ) ortue en adressant franco un > t, quai Voltaire, à Paris.

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LIBRAIRIE DES PUBLICATIONS LEGISLATIVES. — A. WITTERSHEIM et Ce, 31, quai Voltaire.

ADMINISTRATION DEP ARTE~IENTALE &. CO~I~IUNALE LOIS, DÉCRETS & JURISPRUDENCE CONSEIL D'ÉTAT — COUR DE CASSATION - DÉCISIONS & CIRCULAIRES MINISTÉRIELLES

Deuxième édition, revue, corrigée et considérablement augmentée. — Ouvrage honoré de la souscription de M. le Ministre de l'Intérieur.

Les Magistrats etiles Jurisconsultes, chargés de l'application du droit civil ou criminel, sont rarement astreints à s'éloigner de leur résidence judiciaire ou professionnelle; ils ont sous la main, dans leur bibliothèque, tous les trésors de la science, les Codes et leurs commentaires, le Bulletin des Lois, le Recueil annoté de M. Duvergier, etc., etc.

Les administrateurs délégués par le pouvoir central ou par le suffrage universel ne jouissent pas tous du même privilège, ainsi les préfets, les sous-préfets, les mémbres des conseils généraux, des conseils d'arrondissement, des conseils municipaux, des conseils académiques, les délégués cantonaux, les membres des commissions d'enquête pour l'ouverture des canaux, des chemins do fer, des routes, etc., etc le personnel des conseils de révision,les sénateurs, les députés, etc., etc., dans les discussions si diverses sur l'application des lois administratives, se trouvent presque toujours dans l'impossibilité de se munir des publications spéciales contenant le texte des dispôsitions législatives ou réglementaires: ces documents sont épars ou sont l'objet de traités séparés.

Nous avons pensé qu'il serait utile d'offrir aux membres des corps délibérants et aux nombreux fonctionnaires et agents chargés de la mise en œuwe de notre Législation départementale et communale, la collection aussi complète que possible des Lois et Décrets qui reçoivent l'application la plus usuelle, réunis en un seul volume.

Nous avons cru devoir compléter cotte publication par l'addition des actes législatifs et judiciaires que tous. propriétaires, industriels, administrateurs, 'etc., ont besoin de connaître, tels que les lois sur le Conseil d'Etat, l'Armée, les Associations syndicales, le Drainage, la Presse, les Réunions publiques, la Chasse, les Chemins de Fer d intérêt local, les Travaux publics, l'Expro.

pridtation, les Sociéfés de "Secours mutuels, les Dons et Legs religieux et chairtables: les Tensions civiles, l'Affichage, la Comptabilité publique, l'Enseignement, la Zone frontière, la Jurisprudence récente du Conseil .d'Etat relative à la loi du 10 août 1871, aux délibérations des Conseils généraux, les honneurs et préséances, etc., etc.; enfin, comme l'a dit un haut fonctionnaire, nous avons fait le vade mecum des Fonctionnaires et des Membres des Conseils généraux et municipaux.

Beux Tables, l'une alphabétique, l'autre chronologique, facilitent les recherches. •• L'accueil très-favorable que la publication de la première édition de notre recueil, rapidement épuisée, a reçu des diverses administrations centrales, et particulièrement dans les Conseils généraux les Conseils d'arrondissement et les Conseils municipaux, nous a engagé a refondre notre œuvre en y ajoutant les lois, les dispositions réglementaires et les décisions judiciaires nouvelles, pour en accroître la valeur et l'intérêt. Cet ouvrage a été honoré de la sousciiption de M. le Ministre de l'Intérieur, qui a dans ses attributions l'exécution de la plupart des lois et règlements contenus dans cette deuxième édition; édition qui « peut tenir lieu dune bibliothèque de droit administratif, » et contient plus de 600 documents représentant la valeur de 5 a 6 vol. ordinaires.

Nous avons, en outre, l'intention de mettre à la disposition du publie, en les insérant dans une Nous avons, en outre, 'e titre de Supplément, les actes législatifs et administratifs qui paraîtront livraison spéciale, sous pendant la mise en vente de cette deuxième édition, de manière à tenir cette publication toujours au courant de la jurisprudence administrative. Déjà, le lecteur trouvera, page 353 et suivantes, les documents récents publies au cours de l'impression sous le titre : Parité supplementaIre.

Un second supplément, contenant 417 documents nouveaux, édition; il met cet ouvrage au courant de la jurisprudence actuelle. (Avul 1876.) EXTRAIT DE LA TABLE ALPHABÉTIQUE

Affichage. Affouage. Aliénés. Alignements. Ar- chivistes. Armée. Arts et métiers (écoles de).

Associations syndicales. Assurances en cas de décès et d'accidents. Aveugles et sourdsmuets. (jeunes).

Bienfaisance.

Cadastre. Calendriers grégorien et yjg (concordances). Carte postale. Chanté mater.

nelle. Chasse. Chemins de fer. fqr d'intérêt local. Chemin rural, Chemms vicinaux. Cimetières. Circonscription territoriale.

Commissions départementales. ComptabiJité publique. Conflits. Conseil d'Etat. Conseils de préfecture. Conseils généraux. Conseils d'arrondissement. Conseils municipaux. Crèches.

Crieurs publics. Culte catholique.

Décentralisation a(In~ inistrative. Décrets. Dépu- tés pïoe^î D.»x public. Dons et legs, Drainage.

Élections. Enfants assistés. ~~n~rants du premier age et nourrissons. EnseIgnement. Epar<'1'ne (caisse de). Expropriation pour cause d utilité publique.

Forêts.

Gardes champêtres. Gendarmerie.

Haras et remontes. Hommages publics. Honneurs et préséances. Hospices et hopitaux.

Imprimerie et librairie. Industrie. Inspection générale des services administratifs du'minis tère de l'intérieur. Internationale. Ivresse pu blique Jury.

Légion d'honneur. Logements insalubres. Lou.

veterie.

Maires. Marais et terres incultes. Médailles. Médecine gratuite. Mendicité.' Naturalisation.

Octrois.

Pensions. Police. Portes et fenêtres. Préfets.

Presse. Prisons et établissements pénitentiaires.

Réunions publiques. Routes.

Sapeurs-pompiers. Secrétaires généraux et conseillers de préfecture. Siège (état de), 'Sociétés de secours mutuels approuvées ou reconnues comme établissements d'utilité publique. Sociétés de secours mutuels autorisées. Sous-préfets.

Tabacs (~lébits de). Télégraphie, Travaux publics.

Trottoirs.

Zone frontière.

«

Sur demande accompagnée d'un mandat-poste, on recevra l'exemplaire broché, franco par la poste, ,n France et en Algérie.

Un Vol rra ia-4° à 3 col., avec le nouveau Supplément.— Broché, 18 fr.; relié, 22 fr.

5970

JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

20 Avril 187~

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do do bul. négociables. 3 %"* ,. BONS lîtJ TRÉSOR 5",' mars 1877 (105% éch. 1er sepv t. 1880 (coup, de 500 frO - - •• iWn ,: do a. ao (coup, de 1000 fr.).4 do do do (coup, de 5000 fr.)*» ®| "; d® (coup. de:i>00 fr.-). 1"» ,,", • ••■ • •• d® (jo 4U0.4îa/D'- ; d° (coup, rte «10 fr ; 5U5..

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do do do ùo do (coup. de 1000 f.). (1 V 20janv.77 OBLIGATIONS DU TRÉson, int. 20 fr., rem- en •• <1 ', bours. 500 fr., annuités finissant en 1889, t.p. 490 fin ct •• •** .., -~ jîHI 1874 ct en liq.. «Ç '41 •15jan,vÇ77 nONS DE M»>tiDATlON, 5% (éirtiss. à 1874 fr. 500 05 508 75 510 fin et 'jgt.jhjja 1875), remboursables fi. ~()Q 25 508 ~~Q.a:ict. ~50 • •• janv. 1873 do (départements), titres provisoires. (;oo m ,. janv.1877 SEINE, Empr. dép. 1857, 4%, remb. 225 fr., t.p. 2H2 50 »• « mars 1877 /Obligations 1855-60, 3%, remb. 500 fr., t.p. 4^ 499 50 490 flnet * -50 §■ févr. 1 8 il 1885, 4%, remb. 500fr., t.p. 495 497 5q 500 en et ~,.

31JMV.77 d" lSC9,3%,rcmb.4(JOtr.,t.p. 370 372 50 375 377 50 fil, et. <, 5f) en liq •• • • • •• •••••••• ••• •• ••• "** 1S77 d' 1871, 3%, remb. 400fr, t.p. 3G0 361. 25 365 364 3G5 finct.- dÎ0 Jnn! *' 1 janvd. » 5| ! d' do quarts, 3^,, rumb. lOO fr. 'J5 50 96 50 Pl fi a f ffii do 1; ! llo do séries sorties (unîtes) '.,..: : :" l0~,. ::, do a ) - do do séries sorties (série ent. ) r 8" ',III avril 1877 s do 1872,6%, remb. 1,000 fr 1050 ÎOGO- fin et. 50 ", s en liq • 15oet.76. 23 H j ] d* 1875, 4%, remb.500fr., t.p. 455 457 50 490 fin'et dio •" .-''A ?l fMlnc d5f do "f do 1876, 4%, r. 500 fr., 12a fr. p. 475 478 4S0 479 en liq *""! î?! !!..•••' d'' 5^ 20 oet. 76. Boni de liquid., 5%, r. 500.fr., t,p. (garantis P« fin c. ", et payables par 11^. exempts.dïimfits). 52052125 finct »d5f .., ■" à^'!

31janv.77 VILLE DE MARSElLLïif-ie/?, ,i%, r. 400 fr., poanc. ',9-~ |S ■ SI :, 1,,, t 1t ,k ï ï lr. 333 75 335 25 33875 340 337 50 en liq 340 -^. W do do do tout paye 340 342 50 335 fin et. 337 5U 340., 33 .,' Pe fin c. ••• •• • •• •••* -? ( 1 VALEURS FRANÇAISES 3195 :: ':: janv. 1877 banque DE FRANGE 3200 ; fin et.. •" :" ■-.••• Pcfine dlOO jll Pefinp dlOO T. Zifi.T, d* BANQUE DE PARIS ET DES PAYS-BAS, aet. en liq ,,'.,,, de 1,009 fr., 500 fr. payés (cx-coup. n® 9).••• 925935. au 30.. 930 ,. 935 dIo .,.' Pcau30< d5f :. hiO •• 6 p«aui5 d5f ;;

en lia.:,. lJ. ,.,' févr. 1877 COMPTOIR D'ESCOMPTE, action 500 fr., t.p. 630 647 50 650 652 5fl 653 75 au 30.. 6GO :. ,.' SÓZ 50.

655 657 5.9 P°au30 3U & j3l •• en li juill. 1876 CRÉDIT FONC. COLONIAL, a. 500 fr., 300 f. P. "9 611 liq •• •• ••• •• ••• ••• • • wfïCi • » V 1^1 janv.1877 Action de 500 fr., 250 fr. payés,. 590 592 50 •• lin et. 585 595 585 •• 5e p. fin c. d40 diP ..Anflfl% ™ nov. 1816. rf l Obligations/oncières 1.080 fr., 3%, r. 1,200 fr Pc fin c. d20 ;. dio "gt ,:' do û l Obligations 500 fr., 4% r.500fr. 490 P®finp diO d5f jiW 5® ■ do «1 d. 10"'=» 4% r. 100 fr. 94 P'finp. d20'" & a- ? )Obligations 500 fr., 3% r.fiOOfr. 492 50 o «15 ,l', d' ;.oc d® 10" 3% r. 120fr. 92 '* 435 , /] d. h j Obligations 500 fr., 4%, 1868 r.5O0fr. •••■ 79" xl do à j Obligations communales, 3% r.500fr. 430 427 50 430 *1 mai 1876. 'g i do do 5m", 3%, r.lOOfr. 82 83 ■ aÔ5 m'" janv. 1877 y f Obligat. communales et départlei, 1872, 5%. en liq •• * â\^ ,. remb. 300 fr., t.p. 293 50 294 finct "':. .:.:" {¡'i • •• - do V do 1875, 4%, r.500fr., t.p. 465 lin et.a .,. «jç •' f|' en liq •• mai 1876. ALGÉRIENNE (Soc.gén.),a.508fr.,.250fr."p. 310 320. fin et ••• •' •••■M 128 75 au Il~ o ::: :.

fév. 1877. do oblïg. remb. 150 fr ?.. 128 75 au 30 ••• * [05 A déc. 1876. do do 5%, remb. 500 fr 495 492 50 490. au 30 * 610 ;1;1 nov. 1876. CRÉDIT INDUSTRIEL ET COMMERCIAL (SO- en Ji • •• • » • •• cicté générale de), action 500 fr., 125 fr. payés au 30* '•' •• •" 0. en li 15janv,77 CRÉDIT LYONNAIS, let. 500 fr., 250 fr. payés. 557 50 560 ., au 30.. 550 557 50 550 diO •' 4' (ex-coup, no 9) ; P®au30 d5f , dlO 'à I?

Grosses coupures. Peaul5 d5f ,., ,.' 13?.- , en liq. •• '•* .,.. ", j.ui. ll. 1873 CRÉDIT MOBILIER (Soc. de), act. 500 fr., t.p. 135 au 30.. 135 1.Jn/U | .d. lQ :,.-:: ':: (ex-coup. iio 2) - P«au30 d5f •" dlO ,'¡.ii p^aulS d5f ., - (il , pe au ••• •• ••••' •••• • • • • ♦ * 1876. DÉPOTS ET COMPTES COURANTS (Société enUq. ", 6 de), action 500 fr.. 125 fr..payés. 61750 ., au 30. •" ••• -,' 50 ", d* do actions estampillées.. •• •" 401, avril 1877 SOCIÉTÉ, FINANCIÈRE DE PARIS, action de en liq •• •'* 'g'l 3«n$ "0 500 tr.,250 fr. payés (ex-coup, n® 8) 415 auM.. 415 ,. dl" én ■ ••• ••. do SOCIÉTÉ GÉNÉRALE pour le développement po an 3D d5f ",:" 481 ,'' du commerce et de l'industrie en France), act. en liq ',ok "k >• ;. de 500 fr., 250 fr. payés * 490 485. au 30.. 487 50 ., ., fllft pe au 311 d5t *" * diO '!,» Pl atal 15 d5f •** #ff

to>0ttTs : : : DCLOTURE Mnaua Jeudi'19 Avril 1877 AU comptant te^me cours haut bas » cooS pDernier cours* en lie?.. • •• ; UT "7777777 en liq.

ianv- 1870 BANQUE FRANCO-ÉGYPTIENNE, action de au *" âU ■ !! d5f !!! !! diô 450 •• -• •• - 500 fr., 250 fr. payés (ex-coup, n® 7) fP tirasses ecupures i^auia p7nr! d5f dlO , févr. 1875 banque franco-hollandaise , action de y !ôi !! !!y! • !! 1! !" !! !.. 252 Kl 252 50 l' 500 fr., 250'fr. payés (tx-t"oup. n- 1) au30 d5f di0 r-.. peall::lO. dgf d^ *" , |( Janv. 1877 banque française ET italienne, act..

de 500 fr., 250 fr. payés (ex-coup. n° 8) 408 75 412 },\:> 50 M !!! ™ 50 !!! 406 25 406 25 407 50 d5f dlO *' • • • jjj Q * m 9 •• * • avril 1877 bone aguelma, a. 500fr., tout payé, remb. *" !! • !! 7. !

, 600 fr;, 6% garanti par le départem. de Cons- en liq.

tantiae dès la réceptioa des travaux al5 a 10 50a 500.. • • • 11 •* ®

févr 1877 CHAIOErîTES, action de 500 fr., tout payé.22250 225 en lir¡. : .; .,

''févr- 1877 CHArentes, action de 500 fr., tout payé 22250 225 230 23250 235 23750 2J • • 230 .-. 225 •• 225

,t, diO •• • •• • • y." 47a • • 490

* mars 1877 est algérien, act. 500 fr., 250 fr. payés. 180 475 pefin/ • • • •• (7350 fr. de revenu net kilométr. garanti par „n li(I ;* ;* ••• v. 876. EST, action dc 500 fr., tout payé. 615 617 50 0aC55 630 C35GI0r„,c^ » «30 j..( « 50 628 7» 612 50 612 50 , Ii ü30 P. fin C. d 5 f dl 0

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•• ^an. y. 1867 COMP" immobilière, act. 500 fr., tout payé. 13 * ) y y* ** !! 1" au 30 d5f d|0 s ,t d» grosses coupures. piau la û;)I yy y y y y y < ':'

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l, jany- 1877 CANAL MARITIME DE SUEZ a. 500 fr., t. p. 6!5 630 632 50 625 623 75 620. ,1U 30.. 625 630 6-2 t 25 6-.5. 627 50 ô15

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15) 1t pe au 1., d 51 dl

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Grogses coupui,es. en liq

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yté,,ieure, (n 4«0riat-, change au 3 0

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dIt d. cop. de!"r.ï!!!!!!!:'!! !!! !! !! au^!! !!! !! !!!!!!!! !!! !! !!!'.:..• 17 54 Jan". 1873 t ::::: ::: ::::: ::ïï?o:: ::: :: ::: !! ::: !!: :: :::::::: îo :: :: d coup. de 75 piast. et au d. do t wup.de 75 piast. et au-dessus. y; y y ; y y; y au 10

1877 d d- CÀ)Ilp. de 75 piast- et au dessus. -. -- 3 0 ,. 515 d- do 5. petites coupures. audO.- P" M ,.

18770 51a Il

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do do coup. au dessous de 50 Cr. 69.. '0' P- au 15 69 dlf ::: 35:: ".:: avril 1877 do 6?::::: ;::::::::-:;--peau^ :: :: fiô Sri •• •" ;; 35 —\«s •" .î; 0.. d" d" Obi. Victor-Emmanuel, 1863, r. 500fr. 215218 75 au fc !!.' !! !!! !! i" !!!!! !!!!!!!• 56 18 * en JjJ;; ;; ;;; ;; ;; !!! 18 50 41 • y ; ;; ; •• iuffl. 1875 péruvien, obligations 6%, tout payé au 30. 13 ", ': do de 504, 0'« •• 51 - | • •• mv. lS77 rouTUGAîS,^18i3,3VoP(néj".,'ch ! flxc25fr.25)! !.'! !! Gr. coup. au 30 de d- 1856 - 57-59 - 60 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! "! !! ;; ;;; ;;; 41 • •• av'ri' 1S77 emprunt roumain 1875, 5»/o, tout payé ; !! 1 avrillS77 EMPRUNT ROUMAUt 1875, 5%, tout payé.o. au |J;; ;;; ;; ;;; ;; ;;;. ;;; ;; ;;; !! !!! <•44 $ ,. nov. 1876. RUSSE, 1862, 5% (négoc. change fixe 25fr.20). f 75 aS 30.'! .!.!! .!.!! .'!! !!! .'! !!! !! ••• L 74 * ,? "•' en 1¡1f. o.,.

,. do d' oblfg.de 50 11V. st 75~ 7 * c d fin\ i 4 • «• de de 100 liv. s1. 75 ; 74 5» •' r: .liL r do' de 1 de 500 liv. st 75 74 im f6vrif!T7 do l d* de 1000 liv. 75 a îl ., , * .; (évr.1871 d« ; 1870,3% .„ (négoe. change ''ii i -f t% t d° de 500 lfiivxe. s2t5. rf^O), * 78 76 « « 77 76 « au 30 7fi $^ - v 0^»- de 50 liv. st., t.p n w d. I » do st 2 dJ » ; obilg. de 100 liv. st., t.p. 47 * 77 76 A 77 i;. ;;; ;; ; 0" fi h* do i~;~ SS::~K: ~::: ::::::::: - :: ----- - :: .-::.::::: ~~-:; ,■& î 'f do obiig.de 500 liv. st.t.p. 77 *

f ■ oblig. de 1,000 liv. st.. t.p. 7 •• ej> l •••(. avril 1877 j* 187' 5, (négoc. cbonRe fixe 25 ?.20), en liq ••• 68 *A oblig.de 50 liv. st., t.p. 68 au 30.!.:.:;!! !!. f$- .a d. - d» d» obiig.de 100 liv. st., t.p. 61 gg i de do de oblig.de 500 liv, sf., f.p. 66 H 66 67 : ; $%

a If d» d» obiig. de 1,000 liv. st., t.p. 66 66 67

v * Janv- 1877 dette gén. tunisieivne, 5%,ob.500f.,t.p. 175180 au 3?.'! !! !!!!!!!! !!.*o .*! .!!!•!! ••• !!• "'f l en IH(., , ,

,.,.. janv;.187G ï>ETTE TURQUE, 5%, 1865-73-74, coup. 125fr. 9 30 50 20 10. ou 30.'! 9 20 «/! <« •' •• ;:Â 9 I !•• '^î d- do d» 62 fr. 50. 9 30 50 Peau 30 !J dffi !• Hfl? l!

do de dé 12 fr. 50. 1050 P -aul5 d 1 7j 'f il jaliv. 1876 emprunt ottoman, 1860, 6%, r. 500 f., t.p. au 30. â 75 - ■ 1 * do d- d.. 1863, 6%; r.500f.; t.p. 57 ! !! !! au :iO.. o. "0" g'-Sl» !'1 de a® 0 grosses cou pures. en lia kl •; ,. de d" d' 1865,6%, r. 500 f., t.p. 50 !! au 30.. !!! !!!!!'.!! !!.' 69 5(r '5î•• fSru!

~t~e~ do de grosses coupures en lin * ?

oet. 1875. t d. 186% 6%, r. 500 f., t.p. 504750 ! : ! au-W.. !!.!! :!!.';!!! !!: :. d:l;A ° 1 - !•• ète d. do coupures de 5.P.au30. d5f 64" f 1» * - d do de coupures de 2o en li/r 'ïô :

d- 1873, 6%, r.500 fr 48 47 .W;; au 30.'! .!! !! d5f !!! .! d^ : fô 23 iIs: ± d* do coupures de 5. pc au 30 d af ., 65 *' ~! }

janv. 1877 BANQUE hypolhée. au ": de de coupures de /too'ffp! !!.' !! !!! !'!! au "o*' !! !! •' 460 !• f ,(ex-coup. 2.) .< .,. ••• .- 1 janv. 1875 J(V,r batooti de cuiîdit>italien , act. 500 fr., ® 300 fr, payés (ex-coup. n° 19) ii? liV! !!! 4 .-ià'iJi *' en '•• * janv. 1876 banque ^tomane , act. 500 fr., 250 fr. p. 331 25 335 332 50 !.! !! en îig.! ! ! !!! M$|j - t »li * h® do d" grosses coupures. pcau3Q d5? o., ..0:: d10 0.0 0' :~ ijj "• «"«s coupures ™ î? «î ? ® 5? & 0 5 î(i juill. 1873 CRÉDIT FONCIER D'AUTRICHE, action de en liq. o. ';;." O" 44:) -' t 1 45a. 453 75 e5 | 500 fr., 200 fr. payés. 452 50 30.. 455 !! 455 !!!!! 453 75 455 •• JJj| t:A jjfr d d. ■d. # grosses coupures P»au30 d5f f * •• janv. 1877 BANQUE CENTRALE DU CRÉDIT FONCIER en liq 3' :.'

,. DE RUSSIE, oblig. lr« série5%, remb:500fr. 355 * X au 30.! !!! !! !!! !.!!! 'I! ! !!! !. ••• •' p«au30 !!! !!.'!! d5f !.! !!■ •' !•• ! I ii'.l?!

en ! !• I î P, au 30 d5( .:::: ii5 ? ?; p.an30 !!! 4480 a dlO ..0 0' 0.,. .!! dsf !!! o'

: :: : !: : im'i877 mÉDTr E '6 (ex"coaP- coafA??,OL'a-500f-'t-p-400 Ln !t m m :: ::: m iwsô !j- f!î !; ;;!;:.h n» 3) P«au 30 <J20 490 .- 480 •• m

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P°aul5 •.. d40 jif '-il S'a, 4 P°au 30 d 5 : :: : :: : :: ^.«u «km «nmon, 422504275042875430 3 :: a » ■ f!î :::;i do > P»aul5 d20 •- 50 1?' d* possee coupures P^u30 :: 438 75 » 433 75 432 50 g ■■ y ,|?j SÎE «Hôa i» ., ; ;; ; ;; • •• Mv. 1876. BADAJOZ (Giudad-Reai A), action 500 fr., t.p ; ^3oq': !!! *

p^au30 !!! !! !!!!.! :: !!-! !'' ! !!! '• o.' ?!. - ÏM' en liq. f.1. !•• 152 50 152:m 150 1 dI0 ,. !! nov-1874. lombard (SUD-AUTRICHIEN), act. 500 fr., au S.! 152 50 152 55 !!! 150 !! 151 25 ;SS 1 do d- tout payé (ex-coup, n-31)1 160 1^1, 30 7. 7.. 7. d5f ; 4?

a d. rid. » grosses coupures P«aul5 d5f

.* :: : :: : janV877 n^-ouestde L'AUTRICHE, r. 500fr.,t.p

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Pe30 %l , pc au 30 d5f ., o' dl0 .0' 0' W P<aul5 .d20 ;;.;.$;; '• «1 • •• J'uill. 1866 Pampelune et Barcelone (saragosse à), !'eal'lj d5f !!! !! ••• ili) ,., 0 jUlll. 1866 PAMPMU' YE ET IARCELONE (SAUGOSSE li), en 1i o.' :, 0. actIOn de 500 fr., tout paye. 140 2s»':: n 140 :: ::: :: ::: ::: :: - •• « *, :: â • H, Grosses coup P»au30 d5f en ¡¡¡T.. 0 o.' .., ::: ::: ::: janv.1866 PORTUGAIS ffomi»i.Boraie),,a.5oofr.,..p. 28250285280. au 30. 0. ":::0 1120 -- 4 ;& Grosses coup P«au30 d5f ., .., .- ::: ocuim- romains, act. 500 fr., t.P. 62 50 65 aSfc.w 75 !!:!.*!!! ''::':!! ••• W ,. oct. 18G5'¡CBEML.'VS DE FER RO.YAINS, act.500rr.,t.p. 625065. au 30.. 63 75 ., .., Grosses coup P«au30 d5f .0 o' sol 50 janv. 1877 SARAGOSSE (MADRID A), action r: fr.. t. p 3,o3js 'f?" ~m ~n" 25 3 i Ó .0 o.' :' : :: : :: : :: lM'- «?» ""««» .«.«n 500 «r.. J10 „5 S &: m :: 310 m » W j: » •■•■■ S •" *

o ,. I « P®a 1130 y (jjO ,1 iPnala ) ,.t

*' 15 dôc.76 Mines Grand-Combe, act. 1/24000*. iuill. 18;, Perpignan à Prades, 3%, r. 500 fr.

btuépllfrançaig. knID, de niles e - ex-c- 21.. Mines de Huelva, a.'de cep. r. 250 Î. jany. 1877 Picardie et Flandres, 3%, r.-500fr. 252 50 ex-c. 21.. Minesde Hyelva,act.dejoûissanc'e. juill. 1874 Saiijt-ËtiBijne à Saint-Bonnet*3cÂi ••• ♦♦ •• r»fr. lboçt.7b. Mimes de la Wife ; ••• ••• •• Janv* **$} ?eine-et-Marrie, 3%, remb. 500.fr remb. de la Loire. Janv. 187b ûeIne-et-Mnrne, 3 remb. 500,fr. À AmiensrroL r*1»000fr. 101 50 ;A •• d» Mines de Montrambert. janv. 1877 La Seudre, 3%, rembours. 500 fr •• t §°fdeaiiT Xr;î® ^e)> 3%. r. 100 fr. 450 Stoeflikn\ %» 100fr. 93 50 91.. d° Mines de Rive-de-Gie'r. 5° Tram\vays(Cicg.fr. ) ,6°/o,r.500f.,t.p. 450 4« • • ?«nkerw T(C ft.),6%,r.500t. 4.¡,)..

M ,Liw«(VF/L \5oY»'r-10Ô0f-,235p. •: do Mines de SMnt-Etienne. •• (J° Tramways (sud), Ç»/# r.500 fr., t.p. •• •• 1. 141!\!(ViUede,1860,03%,r.100f.-. c.8estam. M!R&Malfldano, act. 500 fr., t.p. 735 /30 4; JrépQrt,^, rembours. 500 fr..»;.. 2j2 50

» l î*fcftr ®r \> 18eo,«%, r. 100fr. 6 ex-cosp. 6 Mines Afalfidano, act. de jouissance. 9e?- 1876. ; M VeiiaSe, 3%, rcmbdtira. 590 frii lM •• 18a ?• 3> 3%>r* luO fr.

??<> !<'18®8>i54%»r-500f. Jf)49J.. 1 nov. 1876. Mines Mokta-el-Hadid,a.500f.,400ni ,te UlJe (Viiin ®2 49J~ nov. 1876. Mmes Mokta-e)-Hadi4,a.5COf.,4COp~ lanv. 18771 Vitré à Fougères, 3%, remb. 500 fr. •• •• Ly9 do Mines Mokta-el-Hàdid, à. 500 f., t.p. ?1 jany /7 do Bons de Délég., 5%, r. 500 fr.

VWfVii%^?\72< 5%>r-500 f., t.p. 15 ,r déc. 76 „ Mines deSantander et Quiros janv. 18/7 La Vologne, 5%, rembours. 600 fr." ,5°4, r. 500 fr» 15dëc.76mnesdeSantandere<Quiros. janv. 18171La V91ogne, 5%, rembours. 600 fr..--. Î^afseili» ^a;-ir?}' 02, 1§0 fr. nov. 1872. Mines de Soumah, a.500fr.;375f. p do Vosges,. 3 %, remboursable 50.0 tr: 215 nîes i<7- tifti 1875. MlllesdeSoumah,a,nouv.,187.50p. déc.1876.WassyàSamt-Dtzlcr,3°,'o,r.500fr. tll 5°abài\ Pt%ù r-1,000 ft*.» fiai 1875. Mines de Soumah, a.nouv., 187.50 d,t, c. 1876.1 Wassy à Saint-Dizier, 3%, r. 500 fr.

î WillA®2, 5%, r. 650 f.pf. 43 ex-c. 25.. Alais (Forges et Fonderies d') févr. 1877 Crédit Colonial, 5%, remb. 500 fr.

i°i"?0!,1H(VUe*)^ r- 50 ¡ K?inV^)^Vo,r.l,250-fr. juin. 1876 Châtillon et Commentry (Forges de). janv. 1877 Crédit Colonial, 1865,6%, r.600 fr.

Versaii^ k'I'ie de), 5%, r. 50§rf. 15mars77 Chàtillon et Commentry (Forges de) j. anv. 1S77 G'" Frar.co'-Algér,iae, 3%, r. 500 fr. ¡ nov. 1876. Fives-LiUe, act. 500 fr., t.p 780 d° Docks du Hayre, 3 %, remb. 5P0 fr.

!'<?. Àotiona frïra-,.aç.ûnltsi-e.sn ex-coup. 4 Liverdun.(Forgesde), a. 500 fr., t.p. üo BocRè de Marseille, 3%, r. 500fr.

, Ij." %S°leil /» Y°cetld^)-, a. 500 fr., 100 f. p. 15 oct. 76 Bateaux à vap. amnibfr;, a. 500 t, q;, ., lor mai i4. Halles, etc. de Naples, 6%, r. 400 fr. • •• J, , nifXa.l,000f.,750f. p. ••• •• ex-coup. 6 Chargeurs réûm C'«ïr.),a.-500f., t.p. 15 act. 76 Marchés aux Chevaux, r.500 fr., t.p.

fa. t.Sftlçi]^' 250 fr. payés * •* netàpayer, J^nv. 1877 jC^gefièr. dcsOmnibus, a.500f.,t.p. î*20 .avril 1877 Eaux ÇComp. £ Cii.dcs),3%,r. 500fr.

i W ^brph!^rv ux act-ûe jouissance. jàiM^ 1876 jGï* génér. des Omnibus,, a. dejouiss nov. 1876. Eaux (Camp. gén. des) 5%"r. 500 fr.,.

^e/ CPA,(Canal dejonct.de Iak ; ex-coup. 2 Voitures à Paris, act. de jouissance. janv. 1877 Eaux de la Banlieue de Paris, r.300fr.

1~6 do Dél , Ï.,300 fr.

31 incl,, EOB dét.l janv. 1877 TouageB,e-SeineetOiso, av.500f.,t.p. d» d° 6%. remboursable à 500 fr ;■ 'ÎÎ8 d°A.ci(aou.P.-tHOinct.,nondét. janv. 1864 Touage de Conflans.act. 500fr., t.p avril 1877 Industrie linière, 6%, remb. 300 fn

':"" d' Délé fl°,puissance nov. 1876. Transports maritimes, a. 500 fr.,t.^ do Gaz de Bordeaux, 9%r r; à 5Ô0 fr. 540 10 jouismce. février 77 Valery (Cie marit.), act.500 fr., t.p janv. 1877 C'eParisienne dit Gaz, 5%, r. 500 fr. 495 480 •• i ¥ Pont Pni;?l 6are de Gren«ifô. jany. 1877 Société Chameroy do d' nouv. 1875, 2j9 fr. payés. .;..

W ClieminM^del'Est,act.dejouiss. 5 fèvr. 77 Deux-Cirques, act. 200fr-., t.p d® 50 illh

• ïl Chemu'i Etablissements Duvat,a.5COfr.,t.p. 630 mars 1877 général de Paris, remb. SOÎJfr; 2fol-' ^60 •• #,-W Ch«mi»S5îer4a^lWi, act. de jouis», '-'f 15 févr. 77 Etablissements Duval, a. 500 fr., t.p; 630 mars 187.* 'GjGa!ez cbntr,d'écl.at!0az,5%,r.500rr- 267 50 2fir>

,;!17 C¡'eillin de uu Nord, act.de jouiss. 8'5 janv. 1877 Etablissem. Malétra, a. le fh, t.pi janv. 1877 Union des Gaz, remboursable &Ù'fr. ••• i* *' Chemin ! 2-. feJÇrd'Orléans,a.dejoniss. ^bo 2 avril 77.. Journal Le Fiçàïo, act. 125 fr., t.p. 7C0 15 oct. 76 Houillères d'Aliun, remb:312 fr. 50. 212 50

Chemi, (,16 fer de l'Ouest, a.d«fôuiss. nov. 1876. GUfcièr'és de Paris, act. 500 fr., t-P. - - - 20janv.77 Forges de Chàtillon et Commentry.

, 'îlr Bon(iVi.f^ay-lès-Bv»a.&bofr.,t.p. 20févr.74 Lits militaires, action 510 fr., t.p. avril 1877 Mines Grand-Combe, 5%, r.l,250fr.

ï 15janv.77 Saint-Eloi (Hoifîl. de), lrc sj5rie -" , 'm WHO»,,\ Àa,Sau^ra a00f.,t.p.,liq. jmv. 1877 Matériel ch. de fer (Cie), a.500f., t.p 15janv. 77 Saint-Ktoi(Ho~t.de),l~s~rie.- V1®11»'^a.500fr., 375 fr. p. 7 janv. 77 Sa'lins du Midi, a. 5C0 fr., t.p. do a. do 2e série

V Croit "Illxeà mars 1877 Télégraphe s»-mar..franco-angl., t.p. a.vril 1877 Cail et C,e, remboursables à 450fr.

janv. 1877 Flves-Lille, 6%; rembours. 450 fr. 41D .,

W DomhIUsse (Lyon à la-) .'s..r»iïi f tu Obligat,i, ons , françai. ses. 15 oct. 76 Liverdun (Forges de), 6%, r. 250 fr.

^„elïh.dcf.S>»E ,^00f 300p :'1¡ Epepn', f., 250 f. p. a vril 1877 sèges à Alals, 3%, rcmb. 500 fr. avn)1877Mcssag.Mt(marft.),6%,~500~

- '^a.500f., 2a0f.p. avril 1877 .sèges à Alais, 3%, remb. 500 fr avr.l 1877 Mcssag. reiiib. 500 ri.

j !i)t Pr(;v nti?1!»»!®, a. 500 fr., t.p. mai 1876 BondyàAulnay-lès-B.,3%, r.gOOfr d« Omnibus, 1S66, 5%, remb. d00 fr. ••• • • •• K;:,| Cdefer),à.500f-,375f.p. janv. 1877 Bordeaux à La Sauve, 3%, r. 500 fr janv 1877 Omnibus, 5%, remboursable y00 fr. 49a 490 •• ici,), a. l"émisîs., r.â2^ fr;

23250 d" 1877 d.

ÎJ# Lille Làt >y»encie500 fr. t.p. avril 1877 «hareng, 3%, remb. 500 fr 260 2a2 50 d» do ,2e r. à 250 ft

P S Us«Nantes, a^t.p. janv. 18/7 Ctiarentes, Bons 6%, remb. 250 fr. NIU. avril 1877. v Voitures;à Paris, 5 0, r. 500 fr., t.p •• t% '^nÎJlÔrbec action t.p. do Croix-Housse (Lyon à la), 31»/.,r.500f. avn!187L Cotons Aériens 4//,%,r. 4(Xfr.

IJlitj >;V>^h ^une, ûnes, a. 500 Wffr., V.ti. avril 1877 Dombes et Sud-Est, 3%, remb. 500 f. ex-r. 3. i>4 C- Immobi1. de Pans -3%, r. 500 fr. 5 25 ••

., Cr'). pavé.. il- Dombes et S.-K, 3% nouy, r..7)00 f. iiiiv. 1877 Ci, 'll'ansat!antIl]ue, 5r. 500 fr. ZO 415

P ini Wvesk a.

ïifi î^S4(ln?n n f !?■" 500 fr.', tout lÀf n rs 1877 Do-nbes et S-E 3<M, nouv, r.500f. |anv. 18/7 C>« Iransatlantique, 5%, r. 500 fr. 4o9 4ia •• de fer),ftct. 3Ô0 fr , ûp! mars 1877 Epernavà RÔmiïly, 3%, remb. 500f. • ;• • • • • • 31 déc. 76 Glaces-de Montluçon 5%, r. 200 fr.

tfr-(^a.wn r-fh'if t n 310 dcc. 1876 Est, tA5?^-54-56 'ri°/n - remb. 650 fr. 520 50 o 7 50 tany. 1877 Gtocieres de l'ans.vjo/o, remb. 300 fr. ••• N d» Es 3%r 500 fr.(inUar pârETa { 320 317 nov. 1876. Lits Militaires, 6S, remb. à 600fr. 417 50

■liiJftMiHu st,f"Tl^àct eflividende' !. .!..1.. ! janv? 1877 Sennes 3% r'# ( «• •• :Jl!),. janv. 1877 Salines de l'Est, rembours. 625 fr. •• ••• •• I 7,i ()?^Wn;'S(Ch f. ( ( ).

> de fer) a1.

Ao/ (i4'tfrtn't n ::: :: ::: :: avrMil 187? 7 iv.io rStrVshnurc^ 18W 1'.1,2.'10 fi' avril 1877 Suez, 5%, remboursable à 500 fr. 5105

OH îns à Cliàlons a-t Xftli f. 50 , jaiiv. 1877 Ràlc,r.625fr.(int.gar,parI'Etat). n.. n 50 lirisn.ni1iTe fc^tle)'a-500 fr., t.p. d® Uieuze, 3remîio&rsaijle à 5001r. janv. lb/7 Toua8cdeCoi]llansalaMer,r.^Ofr » •».

N,)' a" 5w0 f-> l-P- 340 * * 320 * d^ ® i< révent à Gamaches, 31/0, r. ;:00 fr 'fe terPifinan ?cs>act* 5('0 fr.,tp. d' Freven[aGnmaches,3~,r.:;0!)f'W O^ri"iippf ? t RR ^ndres,act.500 fr. t.p. d' L'Hérault, 3%, remboursable 500 fr nov. 18/b. Emprunt ÆUtflCh., 18hO, obI. 500 fi.

d° Emprunt Autrich., 18b05'=-.

M L(,ClSeineJ -dcf-).a-500fr. t. p. avril 1877 Lille à Béthune, 3%, remb. 500 fr. •••••.. mars 187,7 7 O-'.b ^raytAutncuabGO, (estampe 271 - --10 (Tv;defor,dota)-a-500f- '-P- août 1876. Lille à Valcneienncs, 3%, r. 500 fr. 132 50 ;13:0 • •• Dom. Astnch., 6b (estamp.). 271 2/0

^Smw-fr" a- 500 f., 250 p. 475 470 nov. 1876 Lille à Valeneicnnes 5%. r. 625 fr. 200 19.).. janv 1877 Dette Autr., 5%, ob 10011. arg.. 50 50

^• ^tSiQ/voril'a-500f.,t.p.,r.1000 Ja"v. 1874 Lisieux à Orbec/3%, remb. 500 fr. avril lJ/7 Rette A" 'k ïrïrnvi,?lls'r<ls,^-)!a-500,250p. 570 550 •• juili. 18/3 Lorraine, 3%, remboursable 5(i0 fr. nov- ,18^.6,. Emp.(4/é/#, 18j3-j3-a7-6J-6j-67.

& fi urfyori K•'^rsaiiiLn ^w1011 500 fr., tout payé.. avril 1877 Lvon, 5%, remboursable à 1,250 fr. janv. 1877 Mse|Jl4°/o: d°o„ Lyo". 1855,3%, rembours. à500 (r. 324 Danubien (Pnnc.-Unies). 8% •• •• ?.lïe sauchc ) en li(iuid- janv. • 1877 Avignon à Marseille,5%, r. 1,250 fr Tl Luil>-v-r.(x Lg.,6),ob.hjp.i.o00f. 315 300 •• [fuI :,Itré à t.p. janv.1877 Avignon il MarseJHe,5%,r. 1,250 fr. D?'~- 77 Em¡>. v.-r.Il'E;;.,6.'),ob.h}'p.r.51J0f. 315 300

vHrtà Png-Ies) act-500 fr., t.p ip n^gésfPh^w®'act* 500 fr., t.p. •• ••• .• Bourbonnais,3%, r.500f. (int gar.). • • •• ••• ljjanv.70 Lmp. hgvpUeii, 1868, 7 W? y?«^%def?r).. a. 500 f.,400 f.p. !K do Dauphiné, 3%, r.500f. (int.g.p.Lt). 321 253 0 LspagneLxter. Bons de coup, arnér.

.,.:s'er'a-500fr.,t.p. do Genève (Lyon à), 55.3%, r.500 f.(gar.) 325 do In.tr. Lons de coup, amer ■ Aniluités(i^'I>art., ti.tre do 200 fr., 't.p. il- Genève (Lyon à), 57, 3%, r. 500 fr. 31.") 22janv.77 77 l™!1, f,'!? : ï.; '— 'JttkôoT^oovilleàSedan(Sorriv n* avril 1877 Méditer int 9r.f r Vî.'Sr l'int "nr.l. 550 Sî"-C" Kmp. Hollandais, ~214%.V, 'p C. '1« r»AOf 'Jt '* • • lauv 1877 Mpditô r^f"iof ( (F0 3*2i •• n2.. mars 1873 Kmp. Honduras, obi. Iivpot.r.300fr.. •• ••• •• 4 ^aiinti ^e''Alsériè art d® 'S r 500f 326 322 janv. 1877 tilp. Hongrois,obi.300fr. (unités}. 190 180

iï, îsa n rr., t. P Ilotibi-ois (1,,rosses coupures).

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actions 500 fr. 70 k P>. io®4n '0V^ 11' ^Commerce et de avni 1877 f. 317 31,2 50 6d'C-S-6 ..p. ltoaui i,a • •• • h r ''faflus , rnr V, ? a^500 fl- 125 fr.p Ja»v. 1877 Médor, 3%, remboursable 50!) fr. aw'L1877 "p n" f186 68 >t

a- 500 fr., 300 p. rnars 1H77 Médoc, Bons 6 »/,, remb. à 1,00') fr •• do 7" r l'?/nu- ^87(j Vi r' Vob'fr 4P 5V 0 410

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^pran n 410 i\ Moî1'01 uI' -[î'If'P janv. i877 Midi, 3%, rembouerabie a :>00 fr. 321 •• 3 9 J • I-:Iup. «Kw«Vn 1)^

|PLFPSIFS:I:R Ôneir-*;c SA»#. nov. 1876 R 'kH;*rcuib. 5QÔVr. 360355 •• .t 4 ;,",! ~b'5M 0 3Jl 25 S. ':.' : :'.: P - S;.-~j- :: :: :: : £1Itl'e ô I~tr. Hanc, a.1f;;(HJQc, t.p. do Charleroi à ErC/lleUne" r, 562 rI'. ;J{), ., ::; En),). TUlm., ¡ do1 fr.). ';'

et Etitr. à, t.1) d' Chartcrf)iaErff')uii.)es,r.;)62fr.5U._ - ~o~.v.~Ftn~ :: ::: F H »:« S « :: ::: :: 18 J2, 4»i, remb. I,2o0 fr..,1» Actions et OWlgat. etraDgeres.

Oiea-n«, r' Actions et Obli¡;at. étra.ngères.

°1^ilinK'a' 't-P Oikvins, j3%, janv. 1877 Orféans, 1818, r4eVmob, ou^i-" ^b'ee '5')l) fr-TU'7 t •• 3^ 23 5o0 v juill. 1876 Société Autrichienne, aet. dejouiss 1 C Rlevauvftt ,ourr-'a-5r P0« M-P - ca1, Méridionaux (C-ital.), a.500 f.,t.p

Ifc Sci>'81'11- des PV?act,^0f.,t.p ttov. to->r 18/6 Orsay, « ^rc«n-B°raeaux,a.r,00f. tt'.pP"'l t « Rraad" 5£ .i,^r' i" rr- d.Ui)/J ) ffrr - juill. 1876 Crédit mob..espa«nol,a.dejouis.est ll'arcd.« avril 1866 Uomains,a.trent.privil.,6%,r,500f.

En,/," r. .W r.

T^Wpute &a-fr-'ï'P* i050.. 1010. Ûr cuns a Chalons .r anv. 1877 Cie Madrilène (Gaz), a. 500 fr., t.p.

!IS !« deVic'.v iï,janv. 1877 l-émtss., i e l i■ <} d® TélégrapbesNord(gr.Ci«).a.25Uf.,t.p. 515 15 ^V.P.(cx-c.26) Is' ^uu 200 mars 1877 Obi. Autr., 3%, r.500f. (l-émiss.). 301 m

à»vCmi)ieet5i?n !Cy' ct-^f" ^,£ 3*etoe w4«ém.,de ^ih108,3LU lw ^iV'PloO J'L'îj/'r fr. ••• • do Obi. Autr., 3%, r. 5!K)f.(nouv.rés.). 280 277

janv urJ -Evl1'llx a Elbcu, J r. ,)0J d® Obi. Autr., 3%, r. 500 f. (2= émiss.). 281 280

• îlnft ••laberi ; ~}~' obi.Kronpri~Hodoiphe.5~ '3~ 2,~() : Cunn 500 fr., t.p avril .18// JO— Orleans-Gisors-\enion,,} »,r.of.J ?Í7

'ii'I i, de Rn?i "P* 21) avril 1877 Obi Kronprinz Iîodoiplie, 5" no 25 220

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¥ &x?''n^'al (lVi'fC paric''a-fr- 512 50 510 •• • r 'D" 'Vit SiuiyV^rr.()(ifrSI 50 78 50 janv. 1877 Obi. Lombardes, 3%, remb. 500 fr. ;>3| 25 220

A s\act-^0f.,t.p. 340 Jui'oi « ..- avril 1877 Obi. Lombardes r?", remb. 500 fr. 227 2?6

4 (iv ^^illïp^I .otS.,r S 600f. •• : ••• •• avril ll- 18/7 «if LOrnt, J.nounou Xorf]-Ksr)a^.,^ n°/A r. irehM«t.) rr.Ai ^.7 0^7» ;; 9Wf'a-d«jouiss cx d- r F. r.par kt,. 32. 50 3^ ;; , J# * Ouest, 5%,5-^1,r..2^ * j. ;;; ;; a./„, Y.. 7.

act.(!Cjoilis. ¡j. 5(,0 fr..112 liO act. (le frM t.p d°r'lte b.w, lr-i1--'50f.d« oct. 18/:>; Pauipeiuue, 3»4 (ex-o. 3i), r. 500 fr. 142 1W

Sî JnW''a ïiUïïOfp-P' ntfr'i,'cs,c.t,p déc. 18776fi Oue»t, 5%, ,-, ,i® -janv. 1877 Portugais., 3%, r. 500 fr 248 245

^TA'h\a,iU'ioi-;:^i 11')-«t.de 1/8000^. 1877 Ouest, 4%, janv. 1873 Humains, 3%, remboursable 500 fr. 227 Mï 225

I» i-enu». M î? Iv^yron l-P n,ars avr°' l]o V 6rvl3l'(i»ii<nJ ° ,e;,.,'a/1.5800000f.e,,tt..p p janv lo^ 77 laMre, obV/'lltbA is "4 : d- janv. 1877 Sara^osse, 3°!, retours, à 500 fr. 257 50 255

$?lmu.tai-)(,0 ri» Cordouea.SéviUc;3n,remb. 500 fr. 250 1IV^(|ené h,a-(led° 1.ouen, 18'i.>. i,->;>of. d' mars 1877 Rons Lombards, remb. 1877, 500 fr. 505 'T^ 'ieni'asd,''or'") déo. 1876. (4/-4(Kj"t0/ "(lo d» Bons Lombards, remb. t878, 500 fr. 5117 50 i.- o, wlllines Camn»janv. lti/7 C!s,i''f, fi<. janv. 1877, lionsMérid.,6%, r.500l'r^n30ai]s iilniui(Houiî1 vres a-l/'60fî0e, t.p -A1VWr- ),- M.nip rpiJiture'de), r.nOOfr avril 1877 Soc. hypot.'Etats-lJnis(MoïigafteG1') ^-y-p. ••• ; | #vr, £ ,ParlaeSiTnStt.-K«f<1.6%»r-400fr jsav.1877 C«Ma<frilfc»e(Ga?).ol>J.5»/.,r..§p0îrf 335 383 75

BONS DU TRESOn de 3 à 5 mois, '$ ; de 6 à 11 mois, X %, 1 an, 1% ; remb. en 1881, 4%.

BANQUE DÉ FRANCE. Escompte, 2.—Avances, 3.

BANQUE D'Angleterre Escompte, 2..

BOURSE DE LONDRES, 3% c. Midi, 951/16;— 1 h., 913/16.

BOURSE DE VIENNE, 19 avril. Métall.Pap. 59 30 64 25M.

Crédit Autrichien. 137 50 Ch. de;fer Autrich. 216

Lots.:. 107

Napoléon 10 32

Matières d'Or, d'Argent, etc.

Or en barre à 1000/1000, le k° 3,434 f. 44. à U 0/00 pte Or (pièces de 20 francs) Pair à 0/00 pr.

Argent en barre à 1000/1000, le k° 218 f. 89. 90 à 100 0/00 pte Argent (pièces de 5 francs). Pair à 0/00 Quadruples espagnols 82 à 82 50 do colombiens et mexicains. 80 50 à 80 75 Ducats de Hollande et d'Autriche. 11 70 à

Piastres à colonnes Ferdinand. à

d- mexicaines 4 80 à 4 90 Souverains anglais. 25 05 à 25 10 Banknotes. 25 10 à 25 12% Aigles d'Amérique (20 dollars) 103 àl03 20 Doyar 5 12!4 à 5 17K Guillaume (20 marks). 24 50 h 24 60 do (10 marks). 12 20 à 12 30 Impériales (Russie). - 20 50 à 20 55

Valeurs se négociant à trois mois

CHANGE PAPIER LONG PAPIER COURT 3.. Amsterdam 206!4.. à 207. 206% à 206% ct4. 4. Allemagne. 1215*.. à 12L^ 1215* à 121 & et 4. .5. Trieste. 190. à 191. 190.. à 19t.. et4. 5. Vienne. 190. à 191. 190.. à 191.. et4. 6. Barcelone. 501— à Wi - - 501.. à 503.. et i-.% 6. Madrid. 487. à 489. <588.. k 490.. et4. 6. Lisbonne.. 5!i. à E$6 544.. à 546.. et 4. 6. Pétersbourg 292. à 294. 293.. à 295.. et 4..

New-York. à.et5.

Valeurs se négociant à vue

2. Londres. 25 10.. à25 15 ! 25 09J* à25 14 2% 254% Relique. 3/16 M/16p. M p. à — 2A'% 5. Italie 11 à 10 %ptei 11 à 10% pte—5-.% 5. Italie (or). M à p. plll 'A à U% p'«—5. 5. nome. 11 à 10 p'« 11 à 10% P">—5. 3-.% Suisse. 3/16 à l/16p% 3/16 à 1/16p.

HALLES & MARCHÉS (Bulletin authentique du 19 avril) Hulle de Colza disponible .93..

Huile de Colza disponible, en tonnes 95

Huile de Colza épurée, en tonnes. 103

Huile de Lin, en fûts. 78

Huile de Lin, en tonnes. 80

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- - - - 10/13. 77 50 Sucres blancs en poudre, titre no 3. à 81 50 Sucres raffinés. - Boune sorte. à 159 50 8IlCI"f'S ramnés. - Belle sorte. t à 160)

Reprit 3/6 disponible, lin, lre qualité, 90°. à 60 25 Suifs de France 95 50 Farines, lre qualité. — Prix moyen du quintal. 38 74 Blés vieux, l'hect 1/2 33 60 à 31 80. 100 k. 28 à 29

nouveau, - 34 80 à 37 80. — 29 à 31 50 Au rayon, - à 4.. — à

3e qualité, - à - à

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Avoines : choix, 3 hec. 34 13 à 3i 8S. — 22 75 à 23 25 1 re qualité, - 33 75 à 34 13. — 22 50 à 22 "75 Ordinaires, - 31 50 à 32 25. - 20 à 21 50 Inférieures, — 29 25 à 30 - 19 50 à 20

28 qualité, — à. - à - -

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TRIBUNAL DE COMMERCE DE LA SElNE

DÉPOT AU GREFFB Formations, modifications, dissolutions de sociétét Formations. — C* française de Saigon pour le décorticage et le blanchissage du riz, rue Scribe, 19. (Acte M. Devôs, not., 16 mars.) Digeon, Muller et C., Soc. franco-australienne, r. de Choiseul, 16. (Acte M' Gatine, not, 7, 14, 15 et 16 mars.)

F. Girard et Ce, appareils en fer battu, etc., r.

des Trois-Couronnes, 40. (Acte s. s. p., 31 mars et 3 avril.) Carle et Ce serrurerie, route de St-Germain. 40 bis, à Courbevo;e. (Acte s. s. p., 31 mars.) Scbaeffer et Ce, chaussures, 97, r. de la FolieMéricourt. (Acte s. sT p., 10 avril.) Varral, Ehvell et Middleton, construc. de machines, av. Trudaine, 1. (Acte Me Le Vilain, not., 24 mars.) Modifications. — Bichelberger, E. Champon et Cc, à Clairfontaine et à Paris. (Acte M. e Gossen, not., 31 mars.)

Pallu et G6, r. Taitbout, 63. (Procès-verbal, 26 mars.) Dissolutions. — Guignolle et Chauvet, épiceries, r. St Denis, 53. (Acte s. s. p., 3 avril.) Ghardon et Collet, tissus noirs, r. de Cléry, 5.

(Acte s. s. p., 5 avril.) Roussel et Uazart, produits pharmaceutiques, r. Molière, 41. (Acte s: s. p, 10 avril.) Cazalang et C", r. de Choiseul, 20. (Acte s. g.

p., 10 avril.) Legendre et Ce, entrepr. de vidanges, av de St-Germain, 76, à Courbevoie. (Acte s. s. p, 4 avril.) Brown et G*, horlogerie, r. de la Paix, 12. (Acte M" Chatelein et Cabaret, not., 31 mars.) Déclarations de faillites.

Coucliv fils, march. de vin à Neuilly, 27, avenue de Neuilly. J. c., M. Gaudineau; s- p., M. Beau jeu.

Pluet, loueur de voitures à Boulogne, route de Versailles, 33. J. c., M. Hurez; s. p., M. Maillard. à

Gazagnes père, anc. entrepr. de charpentes, r.

des Ecluses-St-Martin, 22 bis. J. c., M. Mozet; s p., M. Meys.

Ract, march. de vin, r. Lavoisier, 27. J. c., M.

Truchy ; s. p, M. Sarazin.

Gallon, march. de vin, 22, r. Vieille-du-Temple, pass. Raguinot, 29. J. c, M. Truchy; s. p, M. Barboux.

Spectacles du Vendredi 20 Avril Opéra. — Robert le Diable.

Français. — Le Demi-Monde.

Opéra-Comique. — Zampa. Les Nocts de Jeannelte.

Italiens.— (Saaicdi) lligoletto.

Odéon. — (Lundi) Mauprat.

National Lyrique.— Le BrMo Châtelet. — Voyage dans la Lune.

Historique.— Un Drame au fond de la mei.

Vaudeville. — Dora.

Variétés. — Les Charbonniers. Professeur pour Dames.

Gymnase.- Bebé.

Palais-Royal. - Les Convictions de Papa Grand CoL Porte-Saint-Martin. — Les Exilés.

Ambigu. — Relàche.

Bouffea-Par. - La Sorrentine.

Renaissance. — La Marjolaine.

Folles-Dram. - Les Cloches de Corneville.

Athénée-Comique. - Goguette.

80 Th. Français - La Lectrice. Pierrot ermite.

Menus-Plaisirs. - Re'àclie.

Beaumarchais. — Lazare le Pâtre.

Cluny. — Le Ilevenant-de la Clairière.

Château-d'Eau. -- Les Mohicans de Paris.

Marigny. — Le Bal des Modistes.

Délassements. — Vaudevilles, opérettes.

Folies-Bergère. — Opérettes, Ballets, Pantomimes.

Cirque d'Hiver. — Tous les soirs exercices équestres Cirque Américain.- Tous les s., exercices équestreu Cirque Fernando.—Tous les soirs exercices équestres, Fantaisies Oller. - Spectacle varié.

Th. Miniature. — Marionnettes, Pantomimes, etc.

Robert-Houdin. — 8 h. — Séance par Brunet Skating-Ring de la Chaussée-d'Antin. - Exercices tout les jours de 2 h. à 6 h. et de 8 h à 11 h. 1/2.

Valentino. — Tous les soirs à 8 heures soirées mustfsdot et dansantes. Mercredis et samedis, fêtes de minuit.

L'Imprimeur-Gérant, A. WITTERSHEIM et Ge, 31, q.Voltaire Machines cylindriqucs de U. Marinom. — Eacrct dt Lorilleux.

Ministère de la justice.

M. le baron Delaire (Maurice-Jean-Marie Louis), demeurant à Paris, rue de Rivoli, 238, né à Paris, le 1er mars 1835, est dans l'intention de se pourvoir près de M. le garde des sceaux, ministre de la justice, pour obtenir l'autorisation de joindre à son nom patronymique celui de de Cambacérès que portait son aïeule paternelle.

, LYOII, Etude de Mc Patricot, avuoé à WD' rue du Bat-d'Argent,.10 VENTE AUX ENCHÈRES PUBLIQUE Pardevant le tribunal civil de Lyon, pardevant le tribunal en'! n et par la voie de la licitation, En deux lots avec enchère g PROPRIÉTÉ Dite de POYETON ET DES TRÉFONDS NON B~ DU SO):,l Se trouvant sous cette propriété Située sur les commune

de Saint - Jean - Bonnefonds Ç ij-ej.

arrondissement de Saint'EM e (Lotie) — - rie arc 81~S hÍ' Cette propriété comprend im pare clos murs de douze hectares avec t:mcnts X*

murs de douze hectares avec ;tel* , 'f tation et d'exploitation, jardin, p ,r cage et taillis. t une conte Le parc et ses dêpendances on uo® c nance approximative de 30 hectares.. ^diAdj d.. 1877 a III

Adjudication au 12 mai La vente aura lieu en flcuX lots roin "lrerigt le premier la surface, le deuxième l«s sur les mises à prix de cinquante mille francs pour le premier lot, ei.• •• • ••'' et de cent cinquante mille francs pour le deuxième lot, ci Outre les charges. roprleJ9 La principale valeur de cette propriété consiste dans la richesse jé et des redevances houillère^ ~t O y compte jusqu'à 14 et 111 à to profondeur plus ou supeiP" g~es ~- IC5 diverses couches subjacentes» joDt diverses couches subjacentes, dolit, cou,,, Iieq supérieures seules ont été jUSqu 1 i dl pour des parties peu imPOrtalates, repe tent une puissance totale 1Il 01,00 do 20 à 25 mètres.

FAUX seol Les eaux de la ville de raCjie de, à la porte du clos. Il est d^apPj, duire à peu de frais, dans toutes les articl la propriété, d'y créer des jets ^'cat^ i4 rr reils hydrauliques et d'irriguer tout®4 reils hydrauliques, et d'irng priétê. MOYENS D'ACES ."brB"'¡, c0fljrJ Cette localité est desservie VanonVdf°U<feîfl omnibus, ceux do Saint-Jean de le re' passent }'a~ !a.P passent à la porte du clos, et e le pry noire qui toutes les heures font leS de tour, et passent à quelques JlllIlU. û rre' priété e de l' et' La distance de la propriété Jf/ïb^ÎJ ar0d0%t5Vcelle du à peine de quinze. Caents OÔtr Os et i noire est à peine de quinze de celle du Château-creu, ejDe.

Etienne, de quatre kilomètres à P tricot.

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a Un criminel. Les questions pour eltes-mêmes. Le vote du 30 janvier 1879. Le Sénat. 1 a L'esprit révolutionnaire. Le 24 février 1847. La mort de George Sand. Le silence du Journal officiel. 1 S L'union postale. Un danger. La question de confiance. Autre situation, autre conduite. 1 La justesse 'd'une idée. - Le radicalisme. Le Sénat et le ministère. La nouvelle présidence du conseil. 1 Qui avait raison? La rue. Une interpellation nécessaires La déclaration de M. Jules Simon. |1 A bas les masques,! L'wvrier. Des compromis. M. Jules Simon et M. Léon Gambetta. 1 La souveraineté du fait accompli. L'Exposition universelle v en 1878 & p,,* La proposition des Trente. , M. Jules Simon et M. Louis Blanc. 1 Les constitutionnels et les non-constitution- Mort de la comtesse d'Agoult. La collation des grades. A M. Louis Blanc. j nels au Sénat. La contre-épreuve. La honte de l'Europe. t République et républicains. 1 |j|i | Elections générales du 20 février 1876. L'appel au peuple. La sainte alliance maritime. Les Chambres réunies. 1 La République, c'est la paix. Les impérialistes à la Chambre des dé- Ni conflit, ni révolution. Anachronisme. 1 jjj Le discours de Lille. putés. La mort d'Auguste Netftzer. C'est la faute. à la République.

fB L'élection du neuvième arrondissement de Un ministère correct. La presse européenne. La grosso objection contre la République. 1 ffi Pariî L'union républicaine. La question d'argent. Le retour de l'Empire en 1880.

1 1 Le revers de la médaille. Les préfets qu'il faut à la France. La nouvelle presse républicaine. Une œuvre de taret.

) 1 La politique des fantômes. La mort de M. Ricard. La conservation de la République Le suprême péril.

|jl L'abus du nom. < Un ministère dm&ble. - La crise ministérielle. Le jardin des Tuileries transformé en parc.

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LE PHENIX ESPAGNOL COMPAGNIE D ASSURANCES RÉUNIES Conformément à l'article 31 des statuts, le conseil d'administration convoque MM. les actionnaires en assemblée générale ordinaire, pour le 30 mai prochain, à deux heures de l'après-midi, au domicile social, paseo de Recoletos, 9, à Madrid, L'ordre du jour consistera dans la lecture du compte rendu de la situation de la compagnie; l'examen et l'approbation, s'il y a lieu, des comptes de l'exercice 1876; le remplacement de MM.

les administrateurs sortants.

Les livres et comptes de la compagnie seront mis à la disposition de MM. les actionnaires, à partir du 20 mai jusqu'au 28 inclusivement.

MM. les actionnaires pourront s'adresser à Madrid au siège social, ou à Paris, rue Ménars, 4, pour recevoir les cartes d'admission qui seront délivréos jusqu'au 26 mai inclusivement.

_<t_ Le directeur, G. D'ENTRAIGUES.

COMMISSION GÉNÉRALE DES FINANCES D'ESPAGNE A partir dn 20 courant; cette ommission délivrera tous les jours non fériés, de onze heures a trois heures, les titres et résidus de la r,;nte 2 0/0 amortissable exterieure d'Espagne, équivalents aux récépissés ri" 1 à 2210, -des coupons de la Dette 3 0/o consolidée extérieure présentés à la conversion.

Paris, le 19 avril 1877.

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