Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 8 sur 8

Nombre de pages: 8

Notice complète:

Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1929-07-25

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 126844

Description : 25 juillet 1929

Description : 1929/07/25 (Numéro 19140).

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse

Description : Collection numérique : BIPFPIG15

Description : Collection numérique : BIPFPIG33

Description : Collection numérique : BIPFPIG35

Description : Collection numérique : BIPFPIG37

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6076458

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 07/11/2008

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 100%.


LE SÉNAT a engagé hier

le débat

sur la ratification L'EXPOSE DU RAPPORTEUR

Tout a été dit sur les dettes interalliées au cours du débat qui s'est déroulé devant la Chambre pendant plus de deux semaines. Partisans et adversaiTes de la ratification des accords ont épuisé tous les arguments en faveur de la thèse qui! leur est chère. Aussi cette première séance n'avait-elle attiré au Sénat qu'une assistance assez restreinte. Les galerits et les tribunes n'étaient potat encombrées. On pouvait s'y mouvoi'r à l'aise. On n'y suffoquait point malgré la chaleur, pourtant suffisamment violente.

Même aux premières heures de séance, peu de sénateurs dans l'hémicycle, mais au banc du gouvernement il y avait MM. Barthou, Briand, Tardieu. Chéron, Marraud, Hennessy, Antériou.

M. I'oincaré était absent. Il avait

M. Charles Dumorit a la tribune. On volt, dé «os, au fcanc <les ministre» id- gauche S limite; MM. "Chéron, Briand et Barthou re matin même adressé à. M. Puul Doumer une lettre dans laquelle il r s'exousait. souffrant, de. ne pouvoir assister à la séance.

M. j, Charles, Dumont

Premier orateur M. Charles Dumont. M. Charles Dumont, a développé son rapport, dont, nous avons donné l'autre jour l'essentiel. Rapport dont M faut louer la précision et la clarté. C'est d'abord l'historique des négociations qui ont abouti aux accords Caillaux-Churchill et MellonBértnger, accords qui ne sont point aussi désavantageux que certains se plaisent à le dire, puisqu'ils ont réduit notre créance de 50 0/0.

Etait-il possible d'obtenir des conditions meilleures ? Pouvons-nous espérer dans les conditions actuelles une amélioration quelconque, ? Non, explique M. Charles Dumont. Les négociateurs se sont heurtés à un mur de fer. En ce qui concerne la ̃ clause de sauvegarde, la France ̃ affirmait unanimement le droit d'obtenir l'assurance que les versements i couvriraient toujours les dettes, plus une part substantielle des réparatioûs mais elle n'a pu faire triompher ce droit.

Alors faut-il, en présence de cette situation, déchirer les accords ? Ce serait nous exposer à tous les périls politiques et financiers. Il est impossible, pour notre crédit, pour notre, honneur, pour l'autorité de la France, qui va prendre la tôle de l'organisation économique de l'Europe, de refuser de payer alors que nous demandons qu'on nous paie. ̃Puis quelques mots sur la motion de réserves qu'ont votée les commission.- dos affaires étrangères et des flnaiices. Elle a réuni les partisans des deux conceptions des dettes de guerre ceux pour qui la signature, mise au bus des dettes engage la France et ceux qui ne pensent pas que la signature mise sur les certificats -des dettes engage notre pays. El M. Charles Dumont conclut

Huit voix Je majorité hier k h Chambre sur udp Question si importante, c'est peut-être demain un mouvement de récrimination dans le pays. Au contraire, si ̃ le Sénat se prononce par une. majorité massive, tout sera apaisé. La ratification des dettes no f.'iil pas novation. Dans une pensée d'union nationale, nous pouvons, nous désirons, autour de ces textes, rassembler tous les partis du Sénat.

Le discours de M. Charles Dumont a élé salué à différentes reprises par des applaudissements répétés, et quand l'orateur quitte la tribune il est vivement félicité par ses collègues.

M. Millerand

Les applaudissements n'ont pas encore cessé que M. Millerand se lève. Dès qu'il est à la tribune, le silence se fait.

M. Millerand déclare tout d'abord que. dans une question aussi grave, toutes les considérations d^ partis ou de personnes doivent être écartées. Mais la Chambre ayant voté une formule de réserves dénuée d'pfflVacité et purement platonique, formule qui, aux yeux de M. Millerand, marquo l'abandon de nos droits, l'ancien Président de la République ne votera pas la ratification.

(ta suite à la deuxième page.)

LE COMPLOT COMMUNISTE PERQUISITIONS

ET ARRESTATIONS

Renverra 1 on les agitateurs en cour d'assises

ou en Haute-Cour ?

Les opérations

judiciaires a u xquelles il a été procédé dans la journée d'hier ont confirmé le caractère très net de complot contre la sûreté de l'Etat déjà relevé dans 1 e s agissements des d i r ig e ants c om munistes. Il ne reste plus, pour tirer de l'affaire toutes ses conséquences, q u e de

décider de la ju-

M. Dudiiieux ridiction qui aura à connaître des faits très graves révélés par les perquisitions. Il se peut, en effet, que les agitateurs arrêtés soient déférés à la cour d'assises, comme il est possible que le caractère des actes à leur charge les conduise en haute-cour. C'est au terme de l'information judiciaire engagée qu'une décision sera prise par le gouvernement. 1

Conformément; ans décisions prises mardi pendant la conférence tenue au ministère de la Justice* la police a procédé, dès hier matin, à l'exécution des opérations prescrites par M. Peyre, juge d'instruction. C:est ainsi que M. Edouard Dudilieux, membre du bureau politique du parti communiste et' secrétaire générale de la C. G. T. U-, a été arrêté à son domicile, 7, rue des Envierges. Une perquisition a amené la saisie de nombreux documents. M. Peyre a fait subir à M. Dudiiieux l'interrogatoire d'identité, de même qu'à MM. Midol, Mattieux, Jourdëàux et Maizières, déjà sous les verrous.

Des mandats d'arrêt, qui seront vraisemblablement exécutés aujourd'hui, ont été décernés contre tous les membres du comité central du parti communiste.

Ont été toutefois exceptés de cette mesure MM. Monmousseau et Sémard, actuellement en Russie Thorez. Bouthonnier, déjà arrêtés, et Duclos, député Barbé, membre du comité central Ferrât-, secrétaire du bureau, et Cornavin, ancien député, ces quatre derniers en fuite. Des perquisitions, dont on lira d'autre part le récit, ont. été opérées au «Secours rouge ». à la..« Banque Signaldns enfin que tous les cortèges projetée pour le. I août, ont été interdits'.

M. COL-SON

vice-président

honoraire

du conseil d'Etat grand-croix de la Légion d'honneur M. Colson, viceprésident honoraire du conseil d'Etat où il remplaça, en septembre 1923, M. Héhrard de Villeneuve et fut lui-même remplacé, en novembre 1928, par M. Théodore Tissier. est élevé à la dignité de grand-croix dans l'ordre de la Légion d'honneur. M. Colson est membre de l'Institut.

L'EXHUMATION

DU TERRASSIER ASSASSINÉ A LA PORTE DE SAINT- DUEN Devant le squelette, rapidement découvert sur les indications de l'assassin, celui-ci ne témoigne pas la moindre émotion

murmura seulement « Ça mène loin, le vol », pour nier aussitôt après avoir rien pris à sa victime

Premier plan, à droite, aussilôt franchie la porte de Saint-Ouen la rue des Buttés-Montmartre, esquisse de voie qui, par autant de trous que d'amoncellements de matériaux les plus divers, rejoint les anciuines fortifications.

Toille de fond: la muraille en demi-deuil, trouée de rideaux blancs, du vieil hôpital Bichat, avec à côté,

Desrocbes là g-auche) et sa victime, Grincer tout rose de' ses briques neuves, son futur remplaçant.

Dans ce cadre déjà si minable de la zone, auquel « l'annexion » n':i rien changé, parmi ces habitations, ce décor de ce qui fut le« « fort ifs ». auxquels Jean Lorrain trouvait une particulière saveur pecvyse gui Je.

Lord Tyrrell

s'est entretenu hier avec M. Briand du siège

de la conférence

L'incertitude qui règne, depuis tantôt un mois, au sujet du siège de la future conférence des réparations va-t-elle bientôt prendre fin ? Il y a tout lieu de le penser.

Au cours de la matinée d'hier, en effet, lord Tyrrell s'est rendu au Quai d'Orsay et a eu avec M. Briand, sur cette importante question, un entretien qui pourrait bien être 'décisif.

Au cours de la conversation, un certain nombre de combinaisons possibles ont été envisagées que lord Tyrrell a dû communiquer immédiatement à Londres et parmi lesquelles MM.1 Macdonald et Hén-; derson vont pouvoir choisir. II est donc vraisemblable qu'un accord ne lardera pas à s'établir entre Londres et; Paris, accord qui, tenant compte à la fois des objections allemandes et belges, aura toutes chances d'obtenir l'adhésion rapide aussi bien de Berlin que de Bruxelles et de Rome.

Parmi ces conibinaisons figurent sans doute Luxembourg, Ostende et une station de la côte française de la Manche..

Un aviateur, près de Compiègne s'écrase au sol

Gompiègne, 24 juill. {dép. p. Parisien.) Un appareil militaire piloté par le solis -officier Emile Navarre, 'accomplissant actuellement une période de réserve au 34° régiment d'aviation du centre du Bnurget, survolait, hier soir, un champ dépendant de la ferme dr. Corncanlieu, située route de Venelte à IV my, lorsqu'on le (,, vit piquer du nez à cinquante mètres et s'écraser sur le sol.

Des débris de l'avion, les témoins aocourus aussitôt retirèrent l'infortu-

Emlle Navarre a* pilote, qui avait (Cl. Hutln, Compiègne; perdu connaissance et qu'une ambu-

lance militaire, ^andéq aussitôt, transport^' à à l'hôpilal chirurgical SaintJoseph, à Compiègne.

'L'enquête a permis d'établir que le pilote réserviste commettait quotidiennement des utt prudences: Chaque jour, depuis' son arrivée- au Si% il venait voler sur Compiègne, se .livrant à quelques acrobaties, 'et.' repartait (non sans avoir salué sa famille, xfurhïibitè rue Préchin, Lundi soir, Navarre arrivait comme de coutume. Soudain son moteur eut des ratés, ce qui l'obligea à -atterrir près de, la ferma de ^orheavlieu.

Hier matin, les mécaniciens du i" régiment. d'aéroetîers de la' caserne de R'oyallieu, près Compiègne, vinrent. réviser l'appareil et' fe Remettre en état. Hélas'! tard Sans In soirée: quand Navarre voulut repartir, l'appareil décolla lourdement et ne put monter à plus ,d§ 50 mètres,. Puis- ce fut la descente brutale au:'sol.

A l'hôpital,, où aiops avons fait prendre de ses nouvelles, -on..nous a. appris que Navarre' avait la' j^mhé droite hroyée, des- hleesureis superficielles à la têlo et k' la' poitrine. On redoute surtout pour lui les conséquences de graves lésion» internes. Aussi ;les médecins qui le soignent, font-ils; epeore les plus sérieuses réserves.

L'aviateur Navarre, très épris d'aviation,, est l'inventeur d'un parachute qui fut expérimenté en France et en Angleterre et qui donna d'excellents résultats.

A gauche, René Odic touillant à l'endroit indiqué par le meurtrier a droite, le docteur Paul examine le crâne déterré

ravissait, l'annexion de la zone ne l'a guère changé. S'il y a moins de bals de barrière, c'est que la crise du logement a traqué, de très, honorables travailleurs jusqu'à cts- habitations hétéroclites qui semblent netenir debout que par un étrange défi. Mais le cadre est toujours aussi pitoyablement pittoresque où, hiter matin, avait .'lieu la macabre opération judiciaire anuoucée.

Dfcv;uil un groupe de graves messieurs à la boutonnière rouge, dans un, petit jardin d'une trentaine de mètres carrés, un assassin, pelle en main, commençait à déterrer le cadavre de sa victime scrupuleusement otifoui là, par ses soins diligents, il y a plus de trois ans.

Encadré par Its deux inspecteurs de la police judiciaire Legendre et Sahuc, Pierre Desroches, soixante et ] un ans, employé à tout faire chez I M. Lefébure, marchand de vins en I gros de l'avenue des Batignolles. à j Saint-Ouen, pénétra dans le jardm, qu'il disait le sien depuis la disparition de sa victime, sans aucune émotion apparente.

Alnre, où est-^e ? lui demandèrent à la fois M. Benoist, directeur de la police judiciaire, et M. Guillaume, commissaire divisionnaire.

De ses mains libres, l'assassin désigna un: carré de, terre végétale, à i m. 50" d« la maisonnette yoisine

LES GRANDES EPREUVES SPORTIVES DU PETIT PARISIEN Ils sont partis pour Strasbourg acclamés par une foule énorme

LE PAIN Ai2-.fr. 20

A PARTIR DE DEMAIN En corrélation avec la hausse des farines constatée depuis le 17 juillet 1929 jusqu'à ce jour, le prix du pain passera de 2 fr. 15 à 2 fr. 20 le kilo à partir de demain 26 juillet.

Les orages

ont rafraîchi le temps ON NOTA, HIER, 21 DEGKES ̃ sar- -divers; points ̃ dans ̃ la té^kin parisienne, le Nord-Est, l'Ouest et'surtout- le.. Centre oui -fortement rafraîchi lu température. Après un timide essai "dans ta 'matinée 'an 'cours d'une éelair'cie. :le soleil resta ̃ caché ̃ presque toute, 'la journée' derrière un épais 'écran' de rttta^es. Si bien "que l'on- ehregistra: seulement, à 14 heures,' 21 degrés à; Paris. Ue' vfolent orà&e qUi savait sévi sur Piiris. entre i;:h. 30 et -3 heures, donna 'Une précim'lation d'eau; assez- not.ihlic. On enregistrai en effet,- 19 millimè'lres au pluviomètre de là-rue de l'Cniversifé. En: dépitdes ̃fornjiaabTes- coups -de- tonnerre qui troublèrent lès dormeurs', cet orage n'a pas fait grand dommage. La foudre est tombée, Vers 2 h. 15", à Ivry, sûr la salle de spectacle, d'un patrnii.iRe de la rué de Paris, occasionnant séulemi.Mit quelques' dégâts ̃matéHels: ̃̃'̃̃. Un second ora&e, ;moins violent qn« 'le précédi*rit, éclata sur -la. banlieue ;N6!*iJ ̃de 'Paris, vers 17 h. 30. ,• La "situation orageuse va se thaintènir tout en s'attériuant un pe,u, déclare l'O. • N. M. Nous prévoyons pour jeudi un temps' nuageux *ou- brumeux, a'yee quelques éclaircios et possibilité d'drïdëes. Des orages sont, probables dans la moitié Nord de la France. La tempéi'ature sera sensiblement égale à celle de la: veille.

de celle qu'il .habiltait^et-qjui appartenait également, à la victime. C'est, comme je rai dit hier, sous la chicorée iimélioréé. « Vas-y r, toi-lmêïne,- lui ̃'commanda l'inspecteur- principal Bouygues, lui' imposant cetic sale tâche comme une première expiation. II se mit au travail, mais sans trop d'ardeur.. Alors le beau-frère de la v-ictime, M. René- Odic, costaud chef -terrassier, lui arracha la pelle et ntipromptement la rude besogne.̃•' «'Voilà le crâne.»

A 80 centimètres de profondeur, ce fut la partie; arrière du crâne, rondeur en demi-teinte rose viotet: qui apparut en premier :• le: malheureux avait été enterré couché sur l.e'vtntré, la tête 'juste- au-dé'ssbus d'un pfoi.rier rachitiqùe.'

Puis ce fut ,un- os. assez. long, dont s'emparèrent aussitét les. ma iti s hardiment nues du docteur Paul Bras droit; annonça ,1e célèbre médecin légiste. •- •' Enfin le tliorax se découvrit,! où des lambeiiui de vêienrenù, adhéraient encore sur les côtés décharnées qui s>ff ri tarent le's -uncfi sur les autres quand François, le chauffeur dû docteur, lès' .Inséra" mé.tiFuleusement. dans une. valise' plate. {La iuite à- iadeuxième paae.).

Il n'est pas d'épreuve sportive qui frappe et intéresse plus la foule que la grande course annuelle Paris-Strasbourg, qui est devenue aujourd'hui • classique. Pour ma part, j'en suis les péripéties avec beaucoup de curiosité et d'émotion. C'est qu'il s'agit d'une course à pied. Voilà le secret de l'immense succès, de l'immense faveur de ce « Gladiateur » des marcheurs.

Au temps de l'avion, de la six-cylindres. et des grands rapides, c'est une course à pied. On s'aperçoit que le fait de se servir de ses jatnbes .pour marcher, tout simplement pour marcher, constitue' encore' le maître sport, le sport qui exige le plus de courage, d'endurance et de sang- froid, te |>lus de méthode et dé: caicdl. 'Certes, ccmdutre un ''bolideà deux* cents, à l'heure sur' une •piste, ce n'est" pas ̃ jeu .d'enfant mais conduite sa. propre 'machine, ssfs ..muscle?, ses nerfs, son cœur, ses jarrets, conduire la simple carcasse. humaine' sur les cinq cents kilomètres: d'une courseà pied, il n'est pis de plus bel,' effort, il n'est pas de plus .noble sport.' « '•̃' Le' triomphe" de la mécanique, les victoires" du moteur, qui,; darts* le; ciel et sur terre, -a supprimé les distances, ne doivent pas nbîis faire oublier que' la pins magnifique machine est toujours ia machine hurtaine. Rien né aéra jamais fait qui puisse «gâler lé moteur humain, merveille d'hèrlogerië vivante. inirilitable. Des pièi*s détachées, -comme le cœur,

Allons I n'K le veto, ni l^aulo, ni môme l'avion n'ont amoindri le goût de -la1 fouie pour le plus- ancien de tous les; sports la. marche restei le plus populaire d'entre eux.

Le départ du. 4* PariS'-Strasboûrg en est une nouvelle preuve. 'Vainement la préfecture de police, àe souvenant de renthousia«mt.débordanf, (débordant le service d'ordre), qui avait marqué les départs, des trois épreuves précédentes, ayajt reculé le début de la lutte à Jà porte de, Pantin, la traversée de la capitale/ n'étant plus qu'un défilé des concurrents. Tout Paris a voulu fêter les courageux péde.striarjs.vIl, l'a fait avec bonne humeur, avec un réel souci de l'ordre, car sans cela toute la garnison., de, la place .eût' été impuissante à endiguer la foule.. Déjà, avant 11 .heures du matin, les plus patie,nts des amateurs encadraient la porte de la case'rné du Prince-Eugène. Us. ne voulaient rien perdre, du spectacle, -qui .avait egmmencé par l'entrée de,s concurrents venant se soumettre à l'ultitme, visite médibale du' docteur Corbier et de ses 'collaborateurs. A chaque minute,. la, haie humaine s'épaississait, le trottoir devenait, trop étroit' Les curieux envahirent la chaussée. Premier duel, à coups de-lazzi entre Gavroche et.les chauffeurs de taxis.

A midi, les chauffeurs et^ les conducteurs de tramways ne purent plus lutter les ateliers, lès magasins, lés bureaux, frémissants d'impatience, «ë ruaient place de ia République. ,£t il fallut .bien, pour conserver l'ordre, laisser; au peuple deP'aris la place qu'i'l avait, choisie. ̃ < A midi et demi, il y .avait des gens, sur -tout ce qui pouVarit1 servir d'observatoire à cent mètres à la ronde. Echelles', taxis, camions, tout était. envahi. Les gardes républicains luttaient -pour conserver leurs fénôtre ;5, un. peu pour- obéir au règlement, mais surtout pour voir, eux Et même notre sportif sous-secrélaîre d'Etat dé l'Education physique, M. He:nry-PatéJ a tenu à' se faire représenter. son sous-chef de cabinet, M. Darbôjit. donnera le signal du dépari aux marcheurs un peu ̃ plus tard..

« Les voilà !» »

A 13 -heures, un immense cri figea la multitude, de la BépuNique à la gare de l'Est. '•• :̃ La loiirde porte; 'débita*: casçrhe s'ouvrait. Op en vit.îprtir un. bataillon compact, culotté 'de blanc et à tftr ses ..multicolores. Les quaraniesepl partants' de Paris-Strasbourg La foule connaît -ceEtaina d'entra

le cerveau, les jambes, sont à la fois dune précision, d'une sûreté et d'une régularité miraculeuses. Elles font du Créateur un ingénieur absolument hors concQurs. Les pannes qui se produisent par suite de maladies ou d'usure n'empêchent pas la machine d'être essentiellement parfaite. (Seulement, l'homme est à la fois machine et mécanicien et il est souvent un détestable mécanicien il sabote sa propre machine.)

Malgré l'avion, l'auto et le train, il faut nous servir de la machine numaine. Nous né devons pas i négliger, ni abandonner cette merveille.

Pour nous servir dèiia-macbmehtmiaine. il nous faut commencEr par marcher, il nous faut marcher à pied. Un être humain qui ne se sert iias' lie ses jàmhes, pour riiarcher est! un moteur qui ne tourne jamais, et ilont tous les organes s'atrophient ou s'encrassent liien, d'ailleurs, n'eit- plus intéressant ni plus sédatif: que U marche à pied, ̃ Evidemment, la course Paris-Strasbourg n'est pas à la portée de toutes les machines. Les marches militaires, agrémentées de 1' «r as de carreati », ne soritpas elles-mêmes toujours très séduisantes. Àlais la marche à pied dans l'ordinaire de la vie est un vrai repos pour l'esprit, pour le cœur; pour tout le Corps.- Voici, pour beaucoup, le bon temps des vacances. Sans aller jusqu'à Strasbourg à pied, n'oubliez pas, s'il vous plaît, mesdames st messieurs, que vous avez des j.ambes Maurice Puax

eux, u les: ̃" as. » Linder, Godait, t. Roger Marceau, Romens. Elle les acclame. Mais il est venu de toute la Ffanee, et même de Belgique et d'Ualiè, des parents et1 des amis de ceux 'qui se sont illustrés srnotn dans PdrisTStrasbourg, du moins dans les éliminatoires • locales. Les « champions du terroir » que. dans leur for intérieur, les • pays > estiment bien 'n SjUpérieurs aiix autres, poiir les! avoir vus- s'entraîner, -le soir, au long des routes, et « semer » leurs bénévoles entraîneurs.

̃ C'est ainsi 'que le Belge' Paye, le cli'ii^mi Steiiimelz, le brave Toussaint (qui n'a qu'un bras, mais deux jambes, un peu là!) les Italiens Barello et Merlo, louchkoff, ex-capitaine de Tannée » russe, recueillent une ample moisson de .vivats. Paye, lui, a même mieux. Il est «scortê'par son bêau-frère." combattant" belge blessé aux? deux jambçs, qui suit, dans sa petite voilure de

Un mutilé précède, dans sa voiture, un groupe de marcheurs

mutilé • en pédalant ( ?) avec les mains.

Boulevard de Magenta, la foule est si dense toute circulation arrêtée bien entendu que les, autos ofticiellas peuvent difficilement suivre. Les, occupants sont traités de «feignants » ce qui, en ce qui me concerne, me fait plaisir, car cela prouve la chaleur des sentiments des Parisiens pour les extraordinaires bonshommes qui, eux, « y vont à p^iuce ». Voir la suite i la troisième page où l'on trouver*, le passage des coureurs dans tes différents contrôles.

La politique française du pétrole Nous avons exposé succinctement dans un précédent article (1) es principales directives suivies, depuis la fin de la guerre, par le gouvernement et les Chambres pour améliorer, consolider ou défendre les positions de la France dans la politique pétrolière mondiale.

Le fait le plus marquant de cet historique est sans conteste l'accord négocié par MM. Henry Bérenger et Walter Long en 1919 et signé à San Remo par MM. Millerand et Lloyd George en 1920. Cet accord offrait, en effet, pour la première fois à la France la perspective d'un ravitaillement national ou presque en huile brute suffisant pour rendre notre pays indépendant des producteurs étrangers, grands ou petits.

En dehors d'une collaboration franco-anglaise effective et cordiale pour tout ce qui concernait les pétroles roumains, polonais et russes, ainsi que pour les prospections et forages possibles dans les Colonies françaises et britanniques, l'accord de San Remo stipulait en elîet nous l'avons déjà dit • l'attribution à la France du quart de tous les pétroles découverts ou à découvrir dans les vilayets mésopotamiens de Mossouf et de Bagdad placés par le traité de Sèvres sous mandat britannique.

La réalisation matérielle de ces prérogatives était, en outre, ainsi définie, dans les deux hypothèses possibles envisagées par les négociateurs au cas où l'Etat britannique exploiterait lui-même les versements, il serait tenu de mettre à la disposition de la France 25 0/0 de l'huile extraite au prix du' marché mondial au cas où l'exploitation serait concédée à une société privée, la France aurait, le droit de participer pour un quart à la formation du capital de ladite société. Une intervention américaine, dont le détail sortirait du cadre de cet .exposé, amena le gouvernement anglais à préférer la deuxième de ces hypothèses à la première, et ce fut la T urkish Petroleum Company qui fut désignée comme société concessionPour lever par lui -même l'option dont il disposait sur le. quart du capital de là Turkish Petroleum Company, l'Etat français aurait dû débourser immédiatement une somme importante et envisager pour la continuation des travaux' l'investissement de sommes encore plus considérables. Or, à cette époque (1924), l'état de nos finances imposait aux gestionnaires des fonds publics une économie et une prudence extrêmes. En outre, bien que les avis des prospecteurs et des géologues lussent unanimes, la présence abondante du pétrole à Mossoul n'était pas encore absolument certaine l'opération comportait un risque. Pour ces raisons, et sur l'initiative de M. Raymond Poincaré. alors président du Conseil, notre gouvernement donna ses préférences à une formule qui, tout en n'engageant aucun denier public, répondait aux exigences de la défense nationale, et réservait à I l'Etat, encas de succès industriel, | certains proiits il provoqua la création de la Compagnie Française des Pétroles, constituée au capital initi il de 25 millions de francs, porté depuis, par trois augmentations successives, à 50, à 75, puis à 150 millions par la coopération de plusieurs banques, des • principaux pétroliers français et de quelques groupes pétroliers étrangers.

L'objet social était la mise en valeur des ressources et avantages que l'Etat français tenait ou pourrait tenir des accords diplomatiques ou autres existants ou à intervenir relatifs au .pétrole. Comme premier apport, l'Etat cédait à la compagnie son option sur le quart du capital de la Turkish, moyennant certaines servitudes et avantages détaillés dans la convention du 17 mai 1924, laquelle, bien qu'elle n'ait jamais été ratifiée par les Chambres, entra effectivement en vigueur et l'est encore à l'heure actuelle. Les servitudes étaient relatives à la conservation du paquet d'actions de la Turkish, à l'agrément de l'Etat pour l'administration et la direction de la compagnie, au contrôle régulier de commissaires du- gouvernement et à la priorité des fourniture^ intéressant directement ou indirectement la défense nationale.

Les avantages étaient de deux sortes l'un négatif, l'autre positif. L'avantage négatif était constitué par le fait que la compagnie effectuait l'opération à ses frais, risques et périls, acceptait toutes les charges futures et renonçait à demander à l'Etat aucune garantie d'intérêt sur les fonds qu'elle exposait.

L'avantage positif était représenté par une participation progressive de l'Etat aux super-bénéfices de la compagnie provenant de ses opérations en Irak, distribuabbes après paiement d'un intérêt cumulatif de 10 0/0 aux capitaux ili Voir le Psi.il Parisien du U jnUlftt lg«q

i'1


investis dans ces opérations et la constitution de différentes réserves. Le barème fixant cette participation prévoyait des taux ail nt depuis 10 0/0 sur la fraction du super-bénéfice inférieure à 2 0/0 des capitaux jusqu'à iô 0/0 pour la fraction supérieure ù 100 0/0 des capitaux.

Telle était la charte initiale de la Compagnie Française des Pétroles.

Peut-être fût-elle restée immuable si l'ave'nir de Mossoul avait rapidement confirmé les espérances générales. Mais cet avenir devait vréunir un succès éclatant ii une sérieuse déception. Succès technique, puisque les forages révélèrent la présence du pétrole en quantité considérable déception financière, puisque raisons ou prétextes des difficultés accessoires de tous ordres, tracé des pipe-lines en tête, ont empêché jusqu'ici, et peuvent empêcher longtemps encore la mise en exploitation effective et l'encaissement des premières recettes. Entravée dans son action à Mossoul, la Compagnie Française des Pétroles ne se découragea pas. Ses tentatives au Venezuela, au Maroc, à Madagascar attestent l'énergie de ses dirigeants. Pourtant, son principal objet, l'extraction de l'huile brute, so dérobait comme un mirage.

Le conseil d'administration, approuvé par les commissaires du eouvernement, pensa que, dans l'ensemble du programme national relatif au pétrole, la Compagnie Française des Pétroles pouvait trouver un autre champ d'activité en collaborant à la réalisation, en France, de cet équipement national d'usines de distillation et de raffinage des produits du pétrole que la loi de 1928 avait voulu susciter. Cette réalisation devrait être faite, non par la Compagnie Française des Pétroles elle-même, mais par la Compagnie Française de Raffinage, sa filiale.

C'est cette situation nouvelle que là convention du 19 mars 1929, dont la mise en vigueur a été proposée au Parlement, se propose de codifier.

Il est hors de doute que le nouveau texte est très différent dans son esprit du statut de départ. Voici sur quels points

̃ L'Etat, autrefois simpl" participant aux saper-bénéfices et garanti contre toutes pertes, deviendrait actionnaire et engagerait ses deniers. Cet engagement se monterai^ pour commencer, à la somme dé 55 millions, représentant l'augmentation du capital porté, pour la circonstance, de 150 à 200 millions nominaux, plus une prime de 59 francs payée par le Trésor public par chacune des 100.000 actions dont l'Office National des Combustibles Liquides deviendrait propriétaire.

Il est juste de remarquer que les premiers souscripteurs de la Compagnie Frauçaise des Pétroles ont couru un risque relatif à 4a richesse du gisement et que ce risque a maintenant disparu. C'est la raison invoquée par l'exposé' des motifs pour justifier l'engagement des fonds publics, raison qui vaut aussi,, dans une certaine mesure, pour expliquer le paiement de la prime.

Par ailleurs, si, en sa nouvelle qualité d'actionnaire, l'Etat participait tout naturellement aux répartitions ordinaires, il consentirait à une diminution de 50 0/0 sur les participations, aux superbénéfices que lui attribuait la convention de 1924. Les chiffres du nouveau: barème proposé sont exactement moitié de ceux de l'ancien.

L'Etat obtiendrait également le droit de souscrire directement jusqu'à concurrence de 10 0/0 au capital de la Compagnie Française de Raffinage, dont il se trouverait déjà indirectement actionnaire par l'intermédiaire de la Compagnie Française des Pétroles, laquelle a souscrit 55 0/0 des actions de la nouvelle société. La participation totale de l'Etat au capital de la Compagnie Française de Raffinage serait donc de 23,75 0/0, c'est-adire de près du quart. L'Etat serait représenté au conseil de la nouvelle société par au moins un administrateur sur cinq, sans que le nombre de sas représentants pût être inférieur à deux.

Enfin, en même temps qu'actionnaire direct et indirect, l'Etat deviendrait pour la Compagnie Française de Raffinage, par le jeu de la .Tiouvelle convention, un apporte.? des plus sérieux. Son apport à la société aérait repré-

fi. Feuilleton du Petit Parisien, 25-7-28 dons la Jungle humaine

grand roman inédit par

Paul UkGARDÉRE

DEUXihMh h. HARTIE

U PASSION DEMABEL SMITH VI (suite)

Utilité de la Presse

Non, merci dit le médecin, qui se dirigea vers la salle à manger, s assit à sa place accoutumée, mangea ce qu'où mi apporta, alla se laver tes mains et se rincer la bouche au lavabo, puis prit au vestiaire sa canne et son chapeau et s'élnnça au dehors. Il monta dans l'une des voitures du cercle et se fit conduire a son ancien domicile. JS'orman était ta. avec Annie et Mrs Laiijfham.

Tout autour d'elles resplendissait de propreté, car la jeune servante, Chris- Usa mettait à servir ses deux mattiresses un zèle et un dévouement affectueux fjne l'on ne trouve plus guère de nos jours.

Annie, sa mère et Norman firent an médecirt le meilleur accueil.

Que! fait nouveau t'a fait accouCopyrlght by Paul Lagardêre 192». Traduction et -reproduction interdites ea tous pays,

senté par la clientèle qu'il lui constituerait d'emblée en instituant à son proti'. un véritable monopole partiel. La convention stipule, en effet, que l'Etat « devra astreindre les titulaires d'autorisations spéciales d'importation de pétrole brut, de ses dérivés et résidjs à reprendre et à distribuer les produits finis de la Compagnie Française de Raffinage à concurrence de 25 0?0 des besoins annuels de leur commerce de distribution ».

Il semble d'autant plus normal qu'en envisageant de participer à la création d'un grand organisme national de raffinage les pouvoirs publics se soient préoccupés de créer des débouches aux produits que cet organisme fabriquerait, que la lenteur, inséparable de toutes les réalisations marquées d'étatisme, n'amènerait vraisemblement sur le marché^ les produits de la Compagnie Française de Raffinage qu'à un moment où les entreprises privées auraient eu le loisir de pourvoir à tous les besoins du marché que la loi de 1928, faite à leur intention, laissait à dessein insatisfaits. Mais autant, une fois le principe admis de l'intervention d'Etat dans la Compagnie Française de Raffinage, on s'expliqua son souci de lui créer des débouchés indispensables, autant le système imaginé pour constituer ces débouchés paraît procéder d'une inspiration moins heureuse. Il semblerait en effet, en bonne logique, que c'est aux seuls importateurs de produits finis qu'on pourrait imposer, sans préjudice pour eux, de s'approvisionner, pour un certain quantum des besoins de leur clientèle, à la Compagnie Française de Raffinage quant aux raffineries privées, elles pourraient être raisonnablement et utilement astreintes à employer comme matières premières une certaine proportion des produits bruts importés par la Compagnie Française des Pétroles, que ces produits soient achetés par elle sur le marché mondial ou extrait? de ses concessions quand cette circonstance heureuse se réalisera enfin.

Telles sont, analysées avec le plus grand souci d'objectivité, les principales dispositions de 'a convention que le projet de loi présenté à la Chambre serait destiné à mettre en vigueur.

Elles méritaient d'être exposées, et les graves conséquences qu'elles entraîneraient réclament mieux qu'un vote sans discussion. Les dégrèvements fiscaux

examinés à la Chambre

par la commission des finances La commiseion des finances de la Cliiimbro a abordé hier l'examen du «collectif». Après un exposé de M. de Chappedelain.e un échange de vues a suivi.

M. Lamoureux a (iédarô les dégrèvement» proposés p«sr ,te gouvernement comme insufflsante.&fci Pierre Deyris a insisté sur la nécessité d'entreprendre sans plus tarder la politique de dégrèvements préconisée au cours de l'étude des derniers projets financière par la commission des finances.

M. Jacquier a indiqué que les charges d'amortissement pourraient être limitées a 5 milliards par an. de façon à faire bénéficier les contribuables de cette diminution.

M. de Lasteyrie a insisté sur la nécessité de n'établir un programme de dégrèvements qu'après étude des réformes économiques Indispensables.

M. Nogaro a signalé que le coût de la vie provenait do causes plus économiques que fiscales, et en particulier de l'élévation des droits de douane, M. de Tinguy du Pouét a fait ressortir les causes des plus-values fies recouvrements budgétaires et montré que la question des dégrèvements devrait être liée à un programme général dp politique financière.

La commission a décidé, avant tout fxamon de détail, de retenir le principe des dégrèvements suivants

Mutations Immobilières, transports (bestiaux et denrées alimentaires), taxe à la mouture, taxe 'sur le sucre, taxe de luxe, filiales étrangères, abonnements pour les valeurs étrangères, emprunts départementaux et communaux, emprunts émis pour le service des P.T.T. LA SANTÉ DE M. POINCARÉ CONTINUE A S'AMÉLIORER La Journée d'hier a amené une amélioration très sensible dans l'état de santé de M. Poincaré. La fièvre ayant à peu près disparu, le président du Conseil a commencé à se lever et à recevoir des visites. On ne peut, toutefois, prévoir encore le moment où il sera en mesure de reprendre la vie active qui était la sienne avant le malaise dont il souffre depuis une semaine.

Le général Boichut

maintenu sans limite d'âge Le général de division Boichut. membre du Conseil supérieur de la guerre, gouverneur militaire de Strasbourg, est maintenu en activité sans limite d'âge et placé hors cadres sans emploi.

rlr si vite, frère ? Et pourquoi es-tu si pâle ? lui demanda Norman.

Tiens 1 prends et Ils 1 dit Fred en tendant à son ami le numéro du San Francisco Examiner.

Annie vint lire, elle aussi, par-dessus l'épaule de son fiancé. Ils dévorèrent des yeux le placard de publicité et l'article qui l'accompagnait de loin puis Norman replia le Journal et le posa sur la table.

Ses yeux fixes brillaient d'un éclat sourd.

Dam l dit-il, Ils viennent se jeter dans la gueule du loup. Le malheur est que l'affaire est maintenant classée et ne peut être rouverte sans fait nouveau. Et je n'ai rien relevé de cette nature. Les faits que nous avons constatés, Fred et moi. cjouta-MI en s'adressant à Annie, démontrent jusqu'à l'absurdité que ce Ne 11 ne et cette femme sont les assassins de votre père. Ils l'ont a coup sûr volé, hypnotisé et obligé de se jeter à l'eau. Malheureusement, sans fait nouveau, nous ne pouvons pas le prouver et ce ne sont certainement pas mes anciens collègues, égaux ou subalternes, quJ ai'y aideront, car. pour eux, Je suis un homme à la mer et je ne puis plus leur être utile, en quoi que ce soit. Et d'ailleurs, pour une action comme celle-là, pour pouvoir les suivre partout ti faudrait que nous aiglons partie du personnel du cirque. Or Mabel Smith nous connaît. Fred et moi. Donc nous ne pouvons pas passer Inaperçus. Ah pour venger mon père, je consentirais à danser quasi nue, comme cette femme dit Annie avec une espèce de farouche ferveur en regardant le eltehé qui représentait Xlabel. Je sais chanter, je suis bonne musicienne, je puis jouer du violon, de ia guitare et du banjo, outre le piano et l'harmonium, et

LE DÉBAT

SUR LES_DETTES SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE M. Millerand poursuit

Si demain, dit-il, pour prix de son acquiescement au plan Young, l'Allemagne exige l'évacuation do la Rhùnanio, que devra répondre la France ? Que garantit l'occupation rhénane ? Elle garantit les engagements financiers de l'Allemagne, mais aueei ses engagements militaires et la sécurité de tous les alliés.

Mieux que les accords de Locarno, le maintien de nos soldats sur le Rhin garantit notre sécurité el celle de nos alliés contre une Allemagne avide de revanche et qui, depuis dix ans, mène une campagiiH contre le traité de Versailles dont elle cherche à abolir les clauses territoriales, contre une Allemagne qui entend par tous les moyens s'annexer l'Autriche et réclame officiellement la modification de la frontière polonaise et de toutes les frontières orientales.

Il est bien vrai qu8 les bonnes relations franco-allemandes sont un grand élément de la paix du monde. M. Millerand le sait mieux que personne, lui qui, en 1920, alors qu'il était au pouvoir, a appelé ces bonnes relations. Mais évacuer le Rhin On ne peut demander à la France un tel sacrifice. L'occupation de la Rhénanie nous garantit de toute agression. N'était-ce pas l'avis du général anglais Morgan, qui disait « Le seul obstacle à une mobilisation allemande est l'occupation de la Rhénanie. » Et, applaudi par la droite de l'Assemblée, M. Millerand termine En face des excitations périodiques semées dans le peuple allemand par ses dirigeants, nous dessaisir de notre ultime garantie ce ne serait pas seulement trahir les Intérêts de la France, la cause de nos amis, ce serait préparer de nos mains l'explosion d'une guerre nouvelle et prochaine.

M. Henry de Jouvenel

M. de Jouvenel, qui parle ensuite, votera la ratification, regrettant, seulement qu'on n'ait pas ratifié plus tôt, car si nous n'acceptons ni les réductions ni les délais qui1 nous ont été accordés, il se trouvera que nous aurons dispensé l'Allemagne de payer.

Sans doute, il est même probable qu'après l'évacuation de la Rhénanie des temps difficiles viendront que troubleront de nouvelles revendications allemandes; la France aura des charges qui s'opposent au désarmement, puisqu'elle seule est garante de la paix pour tant de nations dans l'est de l'Europe.

Alors comment assurer notre sécurité ? Rien de mieux, propose M. de Jouvenel. que le pacte général d'arbitrage de la S- D. N. Et il souhaite que le gouvernement français puisse mêler la négociation du traité d'arbitrage général à celle du plan Young. Ce que voudrait M. de Jouvenel, c'est que les délégués de la France à la prochaine conférence y fussent, en quelque sorte, les représentants de la nouvelle Europe. M. Delahaye est hostile à la ratification. L'argent que nous ont avancé les Etats-Unis représente leur quote-part dans les sacrifices communs. Alors, conclusion de M. Delahaye, nous ne devons rten. Ne payons rien, ne ratifions rien. M. James Hennessy

Ce serait presque l'opinion de M. James Hennèssy, si M. James Hennessy ne connaisait point l'âme du citoyen des Etats-Unis. Mais il la connaît et nous l'a dévoilée dans un discours plein de charme et d'émotion.

L'argent que nous ont prêté les Américains était dans leur pensée un cadeau. Mais le temps a changé, et avec le temps leur état d'esprit. Aujourd'hui, plus de sentiment il s'agit d'affaires. Nous aurions dn demander aux Etats-Unis d'effacer de leurs registres les sommes avancées avant 1918 et de ne nous réclamer que celles prêtées ensuite. Mais avant tout il faut payer. La première chose pour la France est d'avoir son indépendance. Or nous serons bien plus libres quand nous aurons ratifié.

Et. avec un accent de véritable émotion, M. James Hennèssy termine

Je regrette vivement de voir qu'on ait pu mettre en parallèle nos morts avec les dollars. Cela n'est pas digne de leur sacrifice et de la cause pour laquelle ils sont morts.

M. Clémentel

Enfin M. Clémentel, président de la commission des finances, dans une brève intervention, fait remar- quer que le régime prohibitif doua- nier de l'Amérique rend difficile je problème des transferts, qui constitue pourtant le moyen le plus sûr du paiement.

Nous allons ratifier les accords, dit-il, il faut que les Etats-Unis nous permettent de les exécuter.

La suite de la discussion est renvoyée à cet après-midii, à 15 heures. VOIES ET MOYENS D'EXÉCUTION Le gouvernement et la commission «ont d'accord sur le texte à propeler aux Chambres

La Chambre aborde ce matin la discussion de la proposition de M. Henri

Je puis fnire des pitreries, mol aussi, au milieu des tigres et des lions. Norman, Fred, mère, c'est le feu de la vengeance divine qui brûle en mol et illumine mon âme. J'ai rêvé que Christ nie disait « Tu dois venger ton père, mon élu, mon ministre et mon serviteur I » Et je le vengerai 1

Elle parlait ainsi, debout, et l'éclat sombre de ses beaux yeux Illuminait son lier visage.

Je peux Jouer, mol aussi, du banjo et de la guitare, dit Fred avec un certain brio, ajouta-t-ll modestement. Et mol. dit a son tour Norman, je Joue de la flûte hawaïenne et de l'ukulele. Je sais aussi me servir des cymbales, du tambour, du triangle et du xylophone, votre du saxophone. A nous trois nous pourrions composer un ensemble assez peu banal. Mais II nous faudrait des Instruments, des heures de répétition, et. l'idée d'un numéro. Rien de moins difficile, dit Fred. Je pourrais fort bien me chnrger de cela, et même trouver un chef de répétition parmi les clowns et acrobates que je soigne à tout Instant.

Mon Dieu Mon Dieu que votre sainte volonté soit faite, murrnnrn la bonne Mrs Laugham Mais quelle humiliation et quelle honte, Annie 1 Il n'y a pas de honte à gagner sa vie sur les tréteaux des bateleurs, mère, dit hardiment Annie, pourvu qu'on le fasse honnêtement. Dois-je vous rappeler que père, lors de l'explosion du croiseur Illinois, ne fut. sauvé de la plus horrible des morts que grâce au dévouement de Red Jackeon, un matelot sabler qui, de son métier, était acrobate ?

Nous n'aurons jamais le temps de mettre an point le moindre numéro, maman, dit Norman. Et il faudra trou-

Lillaz fixant les « voies et moyens d'exé- cution » des accords do Washington et de J Londres sur nos dettes à l'égard des Etats-Unis et de la Grande-Bretagne. Un sait quo'la commission des finances, chargée do rapporter cette proposition, avait désigné une sous-commission char- gée d'en mettre le texte au point. Hier matin, au nom de cette sous-eommission, M. Piétri avait soumis à ses collègues deux rédactions différentes. La commis- sion des finances décida de les soumettre au ministre des Finances et de demander à M. Henry Chéron d'indiquer celle qui avait ses préférences.

M. Henry Chéron émit un avis favorable à l'acceptation d'un article unique ainsi conçu

Les sommes nécessaires au paiement des annuités que la France s'est enga- (lée à verser aux Etats-Unis et à l'Angleterre, en vertu des accords du 29 avril et du 12 juillet 1926, seront imputées sur les disponibilités d'un compte de servi- ces spéciaux du Trésor public. Au crédit de ce compte seront portées les sommes à provenir des paieiiùnts que la France recevra à eët effet ae l'Allemagne. Au débit du euinpte seront portés- les paiements effectués au titre desdites annuités.

Les soldes créditeurs, s'il y a lieu, seront reporté» d'année en année.

Un décret contresigné par le ministre des Finances déterminera les conditions d'application de la présente disposition, La commission, manifestant un complet accord avec le gouvernement, a approuvé ce texte dans sa séance d'hier LflGITflTIQN COMMUNISTE M. Oudard, chef de la section d<:s étrangers, s'est rendu 8, avenue Mathurin-Moreau, au siège du « Secours Rougo International», tandis que M. Llgnières, commissaire de police, so transportait 120, rue Lafayette, au siège de la quatrième entente des Jeunesses communistes, pour y perquisitionner. Pendant ce temps, M. Dorrer, commissaire aux délégations judiciaires, accompagné de M. Cau.jolle, expert comptable, se piisentait à la Banque Ouvrière et Paysanne, 106, rue Lafayette. De nombreux documents ont été saisis, dont la plupart ont trait aux rapports de la banque et de la République des Soviets.

Par ailleurs, MM. Torlet, Mangaux, Niclau&se, Ceccaldi, Paul Legrand, Bonnet. Gueude et Mollard, commissaires de police, opéraient des perquisitions chez MM. Maranne, maire d'Ivry et directeur de la banque, demeurant 27. rue MauriccBertaux, à Ivry Havez, conseiller municipal de cette dernière localité, 6, place Philibert-Bombée Bérioz, rédacteur à l'Humanité, 30, rue de la Solidarité, à Epinay Mauvais, secrétaire du syndicat de la C. P. D. E., 40, rue de l'Argonne Gueyman, 41, rue Peyronnet Galopin, des Jeunesses communistes, 27, rue de Meaux. Tous étaient absents. De nombreux documente et papiers ont été emportés. Au domicile de Galopin, des documents avaient été déchirés. Les six grévistes étrangers appréhendés il y a quelques jours et conduits à l'hôpital Saint-Louis ont été refoulés en Belgique mardi soir, par le train de 22 h. 53. Dans le même convoi avaient pris place les cinq étrangère arrêtés et expulsés. Ceux-ci, Nico-las Sas, vingt-cinq ans. Polonais Nekraso, trente-cinq ans, Russe Joseph Ujabiou, vingt-cinq ans, Polonais Drozdoff, trenle et un ans. Russe, et Alexandre Beck, trente-huit ans, de la seotion ukrainienne de la main-d'œuvre des étrangers à la C. C. T. 11., étaient venus à Paris pour préparer la journée du 1" août.

Enfin, sur commission rogatoire du .j u g e d'instruction de Valencienncs, M. Priolet, commissaire à la police judiciaire, a effectué une perquisition dans les locaux de l'imprimerie Pascal, 13, ruu Pascal. Au cours de cette opération, le magistrat a saisi un grand nombre de brochures antimilitaristes identiques à celles qu) ont été distribuées ces jours derniers dans les villes du Nord et dont la- majorité sont rédigées en langue- polonaise. Ces documents ont été mis sous scellés et confiés à l'examen de M. Villette, juge d'instruction au parquet de la Seino.

Tous les cortèges sont interdits On eait que la >< journée » du 1er août devait, dans l'esprit des chefs du mouvement révolutionnaire, constituer une sorte de revanche de l'échec du l'p mai. Elle était préparée avec soin depuis le 7 mai, selon des instructions de Moscou. Le suocès révolutionnaire escompte par les partis extrémistes aurait pu avoir, outre les conséquences immédiates, une répercussion considérable. Mais les mesures prises ces .jours derniers semblent avoir jeté quelque désarroi chez -lès communistes, où l'on paratt moins sûr de la réussite.

Les seuls Incidents à redouter pour le 1" août seraient ceux qui pourraient se produire à la sortie de certaines grandes usines du la région parisienne, où est faite une propagande communiste très active.

En prévision de ces incidents, tous les cortèges sur la voie publique seront interdits, ainsi que les meetings en plein air ou les réunions dans les salles communales.

Une réunion est également interdite • la Bourse du trayail

Les casquettiere unitaires avalent fait demander une salle pour y tenir, ce soir, une réunion. Tous les ouvriers de ce groupement étant étrangers et. par surcroît, non adhérents aux syndicats ayant leur siège à la Bourse du travail, la commission administrative a décidé de ne pas leur permettre de se réunir dans l'établissement municipal.

Un chauffeur porteur de tracts est arrêté

Le chauffeur de taxi Ambroise Combalessare, trente ans, 22, rue de la Hoquette, avait été chargé par la Fédération unitaire des transports en commun de livrer des tracts relatifs à la manifestation communiste projetée pour le 1" août. Mais Gombâlessare, victime du temps orageux, eut le malheur de boire avec exagération. Il fut arrêté avenue de Choisy par des gardiens de la paix qu'il avait failli renverser avec son véhicule. Les tracts ont été saisis et le chauffeur consigné à la disposition de la justice.

ver autre chose pour entrer dans le cirque faire partie du personnel ou. à moins que la partie décisive ne se joue entre eux et nous Ici. Qu'en pensez-vous, Fred ?

Vous savez ce que je vous al répondu, répondit Fred en secouant la tête d'un air sombre. Je ne m'intéresse à cette chasse à l'homme que dans la mesure où je pourrai sauver la complice de ce Neline et l'emporter sur mon cœur. Je l'aime, Annie, et si vous aimez vraiment, vous devez comprendre toute la force de sacrifice qu'il y a dans ce mot-là, ajouta-t-il en regardant la jeune fille. Un silence s'en*ulvlt pendant lequel Annie et Norman échangèrent des regards pleins d'une douloureuse éloquence.

Ecoutez, Fred, dit enfin Annie en posant la main sur l'épaule du médecin, cela veut-il dire que, le cas échéant, vous seriez capable de nous trahir en la faisant fuir ou en la soustrayant, de quelque façon que ce soit, au châtiment qu'elle mérite et qu'elle doit recevoir ?

Non, dit Fred. Non, ce n'est pas cela, Je le jure. Et je ne prétends pas la soustraire à ce châtiment dont vous parlez, Annie. Mais je veux pouvoir, à sa sortie d« prison, la recevoir, l'accueillir, la consoler. Oui, je sais, quand elle était ma femme, toutes les préventions étaient contre elle. Et les miens furent impitoyables, comme le destin lui-même. SI j'avais été, moi-même, moins sévère, moins puritain, plus fraternel, plus amant même, elle eût cédé. C'était une âme violente, passionnée, orgueilleuse, mais non pas mauvaise.

Vous oubliez qu'elle a aidé à tuer mon père dit farouchement Annie. Annie dit le médecin en élevant

Le crime de Saint-Ouen SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE La tête, qui se détacha sans effort du tronc, on la mit sous le nez de l'assassin. Le visage complètement hébété ne changea pas une seconde d'expression. La grosse moustache noire, les lèvres, Bougeant à peine, semblaient bredouiller placidement << Ça mène loin, le vol. »

Pierre Desroches, assassin de son compagnon le terrassier Emmanuel Granger, travaillait régulièrement, gagnant 165 francs par semaine, plus son vin et ses heures supplémentaires.

Comme imbécile, évidemment, il était irréprochable, déclare ironiquement son patron, M. Lefébure, chez qui il était entré en août 1919. 11 fallait toujours être derrière lui « Fermez ce robinet, ouvrez celui-là. » Mais pour l'avoir cru capable de tuer quelqu'un. Mais M. Odic, voisin de son beaufrère, ne partageait pas cette dernière impression. La disparition du mari de sa saur, il ne cessait de la trouver suspecte. Et à maintes reprises, durant trois ans, sans relâche, avec une incroyable ténacité, il questionna Desroches, parfois même avec assez de précision.

Toujours impassible, le minus habens répondait invariablement ce que nous avons déjà dit

Ton beau-frère, il en avait « marre » de la vie il a dû se f. à la Seine. Mais avec un flair digne d'un policier, le chef de chantier « sentait » le meurtre. Il ne cessa de harceler le commissaire de Saint-Ouen qui, un jour, fit venir Desroches à son cabinet.

Où eet Granger ? demanda le magistrat.

Pas dans ma poche, répondit froidement l'assassin.

M. Odic, sachant que personne n'avait, vu Desroches sortir aveo un volumineux paqtret, en déduisit que la viclime était enterrée près de la maison. Et il envoya au procureur de la République une troisième lettre affirmant que le cadavre était dans le jardin. Les inspecteurs Legendre et Sahuc, quoique tout jeunes, ne tardèrent pas à partager la conviction de M. Odic. Et c'est ainsi qu'ils amenèrent Desroehes à la police judiciaire avanthier matin, où il n'avoua, on le sait, qu'à la fin de la journée.

Les circonstances du crime sont encore mystérieuses

Comment et dans quelles circonstances le crime fut-il commis ? Les policiers ne le savent pas encore exactement.

On s'est disputé, dit l'assassin, il était assis près du fourneau. Je lui ai donné un coup de poing. Sa tête a cogné le fourneau. II est mort tout de suite. Il était encore chaud quand je l'ai- ;nlerré.

Ni le docteur Pau! ni M. Peyre, juge d'instruction, qui tirent mimer la scène par Desroches dans l'étroite pièce où elle se passa, n'admettent cette version.

Bien qu'il ait murmuré: « Ça mène loin, le vol », Desroches persiste à affirmer qu'il n'a rien volé.

Tout son argent et sa bague en or, j'y ai laissés.

Le portefeuille et le porte-monnaie ont bien été retrouvés, mais sans argent. Or les policiers ont établi que la victime avait touché d'une assurance de 900 francs quelques jours avant le meurtre.

La bague n'a pas été retrouvée. Desroches prétend qu'il n'y avait pas d'argent dans le portefeuille. Le chien de la victime

avait aussi disparu

II avait également paru étrange à M. Odic, et à d'autres voisins, que le chien de Granger ait disparu environ deux jours après son maître. Desroches, Dien qu'il le nie, dut le tuer pour qu'il ne grattât pas la terré au dessus du cadavre et l'enterrer avec ou après Granger, mais au même endroit, car on trouva une nuchoire de chien.

Autre fait non encore éclairci In papier par lequel Granger vendait à Desroches ses deux cabanes pour 2.500 francs porte bien un sceau de l'enregistrement, mais personne à l'enregistrement n'a encore pu, jusqu'ici, trouver trace de cette opération.

Depuis sept mois, Desroches louait. 90 francs par mois, la seconde habitation qu'il avait ainsi « achetée » celle devant laquelle le corps se trouvait à M. Husson, ajusteuroulilleur.

Les inspecteurs supposent qne l'acte de vente est postérieur au crime. L'assassin convient qu'il n'a rien payé à Granger, qui se serait ainsi libéré d'une vieille dette. Edmond Tourgis.

Le roi d'Espagne a quitté Paris Le roi Alphonse XIII, qui se rend a Saint-Sébastien, a quitté Paris hier soir à 20 h. 45, par le rapide PyrénéesCôfce-d'Argent le souverain accompagné dans son voyage par le duc de Miranda et M. Quinones de Léon, a été s&lùê â la gare d'Orsay par l'amiral Vedel, au nom du Président de la Képublique M. Forgeot. ministre des Travaux publics M. Bavelier, chef adjoint du protocole, au nom de M. Briand, et les attachés de l'ambassade.

les mains vers la pure et sévère jeune 011e, vous qui êtei la sœur terrestre des a&ges, ayez pitié d'elle.

Une telle émotion faisait vibrer sa voix qu'Annie prit ces mains moites et tremblantes et les garda dans les siennes.

Pourquoi, dit-elle enfin, pourquoi faut-il que vous ayez rencontré sur votre route cette démone saturée de l'esprit du mal, cette tille de Satan ? Pourquoi faut-Il que vous l'ayez priée de vous suivre dans ce long chemin de la vie, qu'elle vous ait trahi, bafoué et rendu (tout douloureux, tout meurtri et l'aimant encore I) à la vie solitaire ? Pourquoi faut-II que vous l'aimiez, cette femme, vous Fred, que j'aime comme un frère ?

Bile avait baissé la tête et ses deux mains tenaient toujours les mains dn médecin.

Pourquoi ces paroles, Annie, dit Mrs Laugham en joignant les mains. Annie dit. grave et triste à la fois Parce que je lui pardonnerai, au jour de la justice, tout le mal qu'elle nous a fait 1 Et cela pour ne pas Infliger r une douleur de plus à notre Fred. Et parce que ma main, au Jour du châtiment, ne se lèvera pas pour frapper la coupable. Mais l'autre, ce lâche Infâme, ce Neline dont vous m'avez appris lé nom, je le frapperai moi-même, s'il le faut. Et si Dieu l'ordonne ainsi, c'est de mes mains, je I« jui*, <«' rec«r« la mort, comme Holopnerne la reçut des mains de Judith de Bétbulle.

Christ sauveur murmura Mrs Laugham, faites qu'à ce misérable le châtiment vienne des hommes et non de mon enfiint

Nul des trois autres protagonistes de cette scène n'entendit le souhait de la simple et pieuse créature. Fred baisait

NOS ÉCHOS Aujourd'hui

La flamme du Souvsnir s«ra ranimée par la Société amicale des anciens musiciens du 28« de ligne.

Conseil de» ministre! à 21 h 30, à l'EIysee. Sénat Séance à 15 heures (accords Sur les dettes).

Chambre dei députés Séances à 9 n. 30 et » 13 heures (proposition Lillaz sur les voles et moyens d'exécution dos accords sur les dettes).

Cérémonies religieuses s h., Inauguration de la crypte de la nouvelle ésrlise de Javel 16 h., bénédiction, par Mgr Crépln. des autos en l'honneur de saint Christophe, 28, rue de la Convention. Congrès homéopathique, 9 h., visite aux Invalides il h., PCre-Lachalse 14 h., musée de Cluny 15 h., Notre-Dame 16 h., réception a l'HAtel de Ville 18 & réception au Talais de Justice 20 h., banquet, chez Drouant, place Gaillon.

Séance de guignol offerte par la commune libre du vieux-Montmartre, 15 I),, place J.-B. Clément.

Expositions Internationale de la lumière thérapeutlquï. Grand Palais, coupole d'Antln. Œuvres du sculpteur Bartlett et nouvelles salles du musée de l'Oranyerle (Tuileries). Le Horear, musée des Arts décoratifs.

Fêtes et concerts Aéro-Club de France, 20 il. <S, Sorbonne. Présentation du film Chemin de fer du Congo à l'Océan, 14 h. 30, 18, rue d'Anjou. Gala de la chanson, 30 h. Palais de la Mutualité. Distribution des prix aui élèves de l'école commerciale de la rue d'Abbeville, 10 a., salle des fêles de la mairie du X*. Concert 21 h., Tuileries.

Concert! publics 16 h., squares des Eplne ;tes et de la Réunion. 21 u.. Champ de Mars places de Montroug'e et de la Nation squares du Temple, de v»u&lrard et de Clichy porte de Salnt-Cloud. Courses à Saint-Cloud, à 14 heures. T. S. T. Essais sur ondes courtes de l'O. N. M. Conférence protestante (BadloParls). Festival de la enanson française (Paris P.T.T.). Un concert a Strasbourg- en 1758 (Stuttgart). Voir au. Courrier des amateurs.

M. André François-Poncet, sous-secrétaire d'Etat aux Beaux-Arts, visitera cet après-midi à 15 heures, la « Maison d'un artiste », édifiée 4?. avenue du Parc-deMont3ouris, sur les plans du gr.ind mutilé, aveugle de guerre, .lean-Julien Lemordant qui, non seulement en a conçu et fait exécuter l'architecture, mais aussi toute la décoration Intérieure et l'ameublement.

Aux « WO.OOO-ClIEMmS ». tous articles spéciaux pour ies vacances, à des prix très réduits. Maistm principale fiO, rue Lafayette, et succursales à Paris. Mlle, Bordeaux.

Quelle est, à. l'heure actuelle, la plus belle femme du monde ?

Un rnntch sensationnel de beauté en décidera à Deauville samedi 27 au dîner des Ambassudt'iirs e! dimanche 28 juillet sur les planches. Le» dîneurs du samedi émettront un vote de préférence et un jury international de grands peintres proclamera la lauréate dimanche soir. Miss Van Huesson (miss America de I'.lï8) est déjà au Normandy Hôtel et miss Europa, sa concurrente, triomphatrice de cette année, arrive oe soir. Courses à Clairefontaine les 28 et 31 iuiilet.

Concours hippique (600.000 francs de prix) du 25 juillet au i" août.

Régates dans la baie les 27 et 28 juillet.

Deux services de Pullman quotidiens. Trajet en 2 h. 45. 186 kilomètres par la route autodrome.

UNE CHALEUR CATASTROPHIQUE La vague de chaleur de ces jours derniers prend les allures d'un véritable déêastre pour certains corps de niétier. Ainsi notre confrère Vu est obligé de s'excuser d'un retard de vingt-quatre heures dans sa mise en vente- Une décomposition spontanée de la gélatine employée pour la gravure à l'eau-forte a provoqué une catastrophe. Il a fallu recommencer toutes les opérations, improviser des moyens de fortune. Mais, grâce à un travail de jour et de nuit, malgré les difficultés techniques exceptionnelles, Vu pourra présenter cette fois-ci un numéro spécial en couleurs sur le tennis, la maladie saisonnière des examens el les derniers records de M. Poincaré. Il lui en coûte dix tonnes de papier gâché, soit 174 kilomètres de papier.

AUTOMOBILISTES VOTRE SÉCURITÉ .vous commande d'employer l'ElectroEyquem, l'essuié-glace électrique le plus pratique. Il est également le plus léger et le plus facile à poser. Prix 140 fr. Notice franco. Ets Eyquem, 191, 195, boulevard Pereire, Paris.

SOYEZ PRÉVOYANTS

ayez toujours une provition de « Jolta », Chocolal-uenlcr eu poudre, au lait, pour préparation rapide.

Versez le « ;olta > dans l'eau bouillante, et vous pourrez à tout moment, préparer en deux minutes, une tasse de véritable chocolat au lait.

MÔNXAVON

même qualité C

même poids Jp ̃

même prix mm # |

passionnément, dans toute l'exaltation de sa reconnaissance, les mains d'Annie. Et la jeune fille, avec un déchirant sonrire, appuyait sa belle tête brune sur l'épaule de Norman Karr.

Que ferons-nous alors ? demanda Norman, quand l'émotion qui les bouleversait tous fut enfin calmée. Il est bien convenu que nous ne chargerons pas ton ancienne femme, Fred. Mats enfin, il faudra l'arrêter, la faire passer en jugement. Et la conclusion de tout cela c'est qu'elle sera condamnée à une peine grave–

Laissons s'accomplir les choses, murmura Fred.

.car je possède en lieu sûr toutes les preuves de la culpabilité de cette malheureuse et. à force de réfléchir, je vols aussi clair dans cette affaire que je distingue ces tasses et cette théière en pleine lumière, continua Norman. Enfin, Fred, ces crimes dont nous avons relevé les listes, ces misérables que les rayons Infernaux ont rendus fous, ce sang versé, ces victimes Innocentes dont votre femme ne porte pas la culpabilité est-ce que tout cela ne doit pas être vengé ? Oui, oui, je vous l'accorde, murmura Fred Mais que ces crimes soient punis par nous, non par la justice. Soyons les vengeurs du misérable l'ijgy Eawkins. du vénérable pasteur Laugham, de tous ceux qui les ont accompagnés dans la mort. Que le châtiment soit terrible, mais quil soit secret comme l'a été le crime 1

S'il doit conclure & la mort de ce bandit, soit dit Norman. Mais si je dois l'empêcher de se dérober, le faire arrêter par la police, juser par la justice et. en fin de compte, le conduire sur te fauteuil et l'y cadenasser de mes mains, Je tous déclare tout net que,

POUR LES MAMANS Lustucru est l'ami des enfants. A ce titre, il tient à offrir aux mères de famille une revue traitant spécialement de la natalité, de l'enfance et des familles nombreuses et il a choisi' pour cela la Femme et L'Enfant, la belle publication fondée par le Dr Jacques Bertillon et publiée sous les auspices de notabilités telles que M. François-Marsal, ancien président du Conseil M. Lefebvre du Prey, Mme la maréchale Lyautey, M. le professeur Calmette, sousdirecteur de l'Institut Pasteur M. Georges Lecomte, de l'Académie Désormais, il vous suffira donc d'adresser à Lustucru soixante Pères Lustucru découpés dans ses boîtes à damiers bleus pour qu'il vous abonne aussitôt, gratuitement, et pour six mois, à la revue bimensuelle la Femme et l'Enfant. Cet abonnement s'ajoute aux cadeaux de valeur que Lustucru donne déjà depuis plusieurs mois à ses clients service de cuisine, pendulettes, montres à poudre, gravures artistiques, plats à hors-d'œuvre, pots à lait, thermomètres, salières, moutardiers, etc., et dont vous trouverez la liste complète chez votre fournisseur. A défaut, demandez-la directement aux Etablissements Lustucru, à Grenoble, qui vous l'enverront, gracieusement. Et surtout, exigez plus que jamais les bonnes pâles Lùetucru, aux œufs frais mirôs, choisis, qui régalent, et nourrissent, car Lustucru vous réserve encore de nouvelles surprises agréables.

LA MARCHE FUNEBRE de Claude FARRERE, triomphe (115* mille)

C'est un fait con-

sidérable En quelques semaines à peine, portée par sa force irradiante, par son titre, par le prodigieux talent de l'auteur, la Marche funèbre vient d'atteindre son 115"- mille.

Et on ne rencontre

que des lecteurs que ce roman a bouleversés, littéralement, d'émotion. (Flammarion, 12 francs.)

^k

COMMENT S'APPLIQUERA L'AMNISTIE ?

L'examen du projet d'amnistie a été terminé hier par la commission de législation civile de la Chambre, qui a adopté le texte proposé par le rapporteur, M. Uhry. Il accorde l'amnistie 1° Aux infractions commises avant le 24 juillet 1929, prévues par les articles 8". 88, 89 du code pénal

2« A tous les délits et contraventions prévus par la loi pur la presse du 29 juillet 1881, à l'exception des infractions à l'article 28;

3* A tous les délits et Infractions prévus par les lois des 12 décembre ii'/A et 28 juillet 1894;

i' A tous les faits ayant donné Hru ou pouvant donner Heu contre des fonctionnaires, officiers publics et ministériels, agents, employés et ouvriers des services publics ou concédés, à des peines disciplinaires y compris les infraction» commises par les fonctionnaires signataires du manifeste publié en date du 5 juin 1926 et intitulé: « Appel k tous les Alsaciens», lesditps infractions sanctionnées par la cour d'appel 4e Colmar, par la chambre de discipline du B{tsnhin, du Haut-Rhin et par le conseil académique du Bas-Rhin.

INFORMATIONS POLITIQUES «»*» Dans sa séance d'hier, la commission des finances de la Chambre a adopté l° Sur le rapport de M. No&iro, le projet modifiant la loi qui accorde des suppléments de pension aux veuves dos maréchaux de France, et le projet relatif a la construction de locaux nécessaires a l'Installation des services des pensions

2° Sur le rapport de M. Pafranon, la proposition de loi de M. Lamoureux ouvrant un crédit au ministre des Affaires étrangères pour la fédération des « Poilus d'Orient »

3" Le projet relatif à l'acquisition Uo l'hôtel ae la Rochefoucauld.

4° Sur le rapport de M. Duco3, elle a donné un avis favorable i la proposition a» loi Rirolfl relative à l'Office national des pupilles de la nation.

rien ne ni'empêcbera de le faire tout en essayant de sauver la mise à Mabel. Tout en parlant II s'était levé.

Allons-nous-en, old chap I dlt-11 encore. Il est plus de » heures et e'e»t l'heure où Mrs Laugham et Annie ont coutume de se reposer.

Il salna Mrs Laugham, embrassa Annie longuement.

Puis les deux hommes descendirent l'escalier et, une fois dans la rue, se dirigèrent vers Broadway. Comme lis atteignaient a la hauteur du building que ron nomme le « fer-à-repasser », des lettres électriques, bautes de six pieds, commencèrent h clignoter dans l'ombre.

Machinalement, ils les regardèrent et lurent

AldERIGAÏl ZQO-CIRCUS

Débuts de miss Mabel Smith

dans ta danse du Feu

parmi le» trente fauves

de Tom J. Lockhard

le 15 avril, à 10 h. 30

Succès 1

Nous voilà renseignés maintenant, dit Fred.

Oui, dit Norman, en regardant fixement son compagnon. Et nous avons quinze jours pour agir. Le diable, si, d'ici là, nous n'avons pas trouvé. Un geste compléta sa phrase, terriblement

VII

Le «onper chet lord Melville

Pour la première fols, Mabel Smith, au lendemain de la dernière représentation de la danse du Feu à San-l"rancisco, avait accepté de dîner au chftteau de BeUnont, chez lord Melvllle. {A suivre.)


I/U.R.S.S.

NÉGOCIERAIT DIRECTEMENT AVEC NANKIN M. Serebriakof, ministre plénipotentiaire, e»t arrivé à Kharltn où les

pourparlers s'ouvriraient

prochainement

Changhaï, 24 juillet (tlép. Havas-)

Suivant un message de Nankin, le ministre de Chine à Berlin a envoyé un rapport disant que l'ambassadeur des Soviets à Berlin l'a informé que le gouvernement des Soviets n'était pas prêt à accueillir favorablement la médiation des signataires du pacte Kellogg.

le gouvernement des Soviets préfère négocier directement pour le règlement du différend des chemins de fer de l'Est chinois. Dans ce but, M. Serebriakof, ministre plénipotentiaire du gouvernement des Soviets, est arrivé à Kharbine, oii Von s'attend à ce que les négociations soient ouvertes prochainement.

ARRESTATION DE RUSSES

A KHARLINE

Landres, 24 juillet (dép. Petit Parisien.) Suivant un message Reuter de Kharline, plus do trois cents employés soviétiques du chemin de fer oriantal chinois ont été arrêtés sous l'inculpation d'entretenir parmi leurs compatriotes1 une agitation contre les autorités chinoises MM. DOVGALEVSKI

ET NORMAN ARMOUR

AU QUAI D'ORSAY

Après M. Kao Lou, ministre de ̃ Chine, dont nous avons signalé la visite à M. Briand, M. Dovgalevski, ambassadeur de I'U. R. S. S. à Parie, qui n'est nullement parti en congé, comme on l'avait prétendu, s'est rendu hier au Quai d'Orsay.

Au coure de l'entretien qu'il a eu avec M. Briand, M. Dovgalevski a remercié le ministre français de son intervention en faveur de la paix.

Le représentant du gouvernement soviétique a exprimé le regret que l'attitude intransigeante des autorités de Nankin, qui refusent jusqu'à présent de remettre les choses en l'état sur le chemin de fer de l'Est chinois, rende un règlement amiable difficile. Néanmoins, il a assuré M. Briand des sentiments de paix dont est animé le gouvernement de Moscou.

La visite du chargé d'affaires américain, M. Norman Amour, a eu également pour motif la situation créée par le conflit sino-soviétique. Le représentant des Etats-Unis a transmis à M. Briand les remerciements du gouvernement de Washington pour la promptitude avec laquelle il est intervenu auprès des deux parties et le ministre des Affaires étrangères en a profité pour mettre son interlocuteur au courant des résultats de 6es démarches, tant auprès des autorités de Nankin qu'auprès du gouvernement soviétique, et notamment de l'entretien qu'il venait d'avoir avec M. Dovgalevski. DÉCLARATIONS AUX COMMUNES DE M. ARTHUR HENDERSON

Londres, 24 juillet (dép. Petit Parisien.) M. Arthur Henderson a déclaré aujourd'hui aux Communes que les dispositions du pacte Kellogg ne comportent aucune sanction contre celles des parties contractantes coupables d'en violer les termes. En raison, toutefois, de l'assurance donné epar le gouvernement chinois qu'il s'abstiendrait de toute action agressive et arcepterait avec empressement toute conférence permettant de régler pacifiquement son différend avec le gouvernement soviétique, le secrétaire a ajouté que dans l'éven- tualité, que rien ne faisait prévoir à l'heure actuelle, où le gouvernement soviétique recourrait à la force, la Chine, invoquant l'article 17 du covenant, ferait certainement appel à la Société des nations.

Démission du haut commissaire britannique en Egypte

•tendres, 24 juillet (dép. Petit Parisien.) M. Arthur Henderson a annoncé aux Communes que lord LIqyd, haut commissaire britannique en Egypte, a offert sa démission au gouvernement, qui l'a acceptée.

_“• Cette nouvelle a provoqué dans l'assemblée une vive sensation et le secrétaire d'Etat s'est vu aussitôt assailli de questions.

Le premier, le colonel Gretton, conservateur, a demandé

Cette démission procède-t-elle de la politique que le gouvernement actuel a l'intention de poursuivre en Egypte ,? Oui, a répondu M. Henderson.

Devons-nous déduire de cette réponse, demanda M. Churchill, que cette démission a été imposée à lord Lioyd ? Le télégramme que je lui ai adressé, a précisé M. Henderson, était d*un caractère tel que beaucoup de personnes l'auraient interprété, ,]e crois, comme une invitation à se retirer.

Violente manifestation

dans l'antichambre

de miss Bondfield

ministre du Travail britannique Londres, 24 juillet (dép. Petit Parisien.) Convaincu que le gouvernement trayaiHiete est tenu à dee égards particuliers envers les chômeurs, le bureau des « sans travail » a demandé, il y a quelques jours, à être reçu officiellement par miss Bonfleld, ministre du Travail. La requête, toutefois, fut refusée et l'organisation des sans-travail en fut avisée par une lettre courtoise mais ferme. Surpris autant qu'indignés de cette fin de non-recevoir, les intéressés décidèrent de protester énergiquement et. à cet effet, nommèrent une délégation treize hommes et une femme pour apporter leurs doléances au ministre du Travail. La manifestation publiquement annoncée d'ailleurs a eu lieu aujourd'hui vers midi et elle a revêtu un caractère de violence particulier. Envahissant de force l'antichambre du ministère et sommant l'huissier de service de les introduire auprès du ministre, les manifestants refusèrent d'évacuer les lieux lorsqu'ils furent informés que miss Bondfleld ne pouvait pas les recevoir. C'est en vain qu'un inspecteur de police les adjura de se retirer. Les protestataires maintinrent leur droit à être entendus. Leur attitude devenant comminatoire, ordre fut donné aux trente policemen de service de les expulser. Lue forte bousculade s'ensuivit, qui se renouvela jusque dans la rue où elle provoqua de nombreux attroupements. En fln de compte, les manifestants se retirèrent non sans avoir au préalable harangué la foule et flétri le gouvernenn-nt.

Une usine d'oxygène saute dans la banlieue de Berlin

Berlin. 24 juillet (dép. Petit Parisien.) Dans la banlieue berlinoise, une grande fabrique d'oxygène a été détruite par une série d'explosions qui se succédèrent à intervalles de quelques secondes et dont on ignore la cause.

Les ouvriers de l'usine, dont plusieurs furent blessés, se sont enfuis dans toutes le* directions.

On ne connaît pas encore le nombre des victimes. On croit qu'il y a des morts eous les ruines et de nombreux blessés ent été hospitalisés,

Paris-Strasbourg à la marche » SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE •«

Des cafee, des restaurants, des grappes humaines, accroohées aux montants des tentes, des consommateurs grimpés sur les tables, les siphons entre les pieds, applaudissent et hurlent. Les garçons font des signes avec leurs serviettes, comme les parents au départ des trains les serveuses envoient des baisers. A la gare de l'Est, les échafaudages sont garnis de tous les ouvriers, qui abandonnent la truelle pour battre des mains. Il y a aussi des contrôleurs, en casquette, auxquels un des concurrents lance

Pae besoin de billet pour le train onze 1

Le rond-point de Jaurès, l'avenue entière sont noirs de monde. Et porte de Pantin, où se donne le départ qui comptera seul pour la course, il n'y a plus un centimètre carré de vide. Malheur à l'automobiliste pressé qui attend son bulletin vert. Aujourd'hui, ce que les Parisiens veulent dfléclarer c'est leur admiration pour les vaillants marcheurs.

Ils la méritent. La course Paris-Strasbourg, avec ses 500 kilomètres à faire à. pied, sans autre arrêt que les quelques heures données aux soins et aux repas est un tour de force inouï.

Sur la route

A l'heure où j'écris, à peu près 100 kilomètres sont parcourus. Ces 100 kilomètres, les pédestrians les ont effectués entre deux haies ininterrompues de spectateurs enthousiastes.

Il est minuit, le ciel gronde, les éclairs sabrent l'horizon, de temps en temps une averse dégringole, brusque et violente comme une giboulée. Or, en cette nuit, troublée, de la Ferté-sous-Jouarro à Château-Thierry, toute la population est dehors. On veut voir passer « ParisStrasbourg ». 11 y a des tom -pouce à la mode, de gros parapluies de campagne à manche de corne, des trench-coat et même en guise d'imperméables, des couvertures à chevaux mais tous les villages sont sur les portes.

Nous roulons entre une armée de bataillons cyclistes et les autos de maîtres, les oamionnettes à transporter les veaux, nous aveuglent de leurs phares. Toutes les fenêtres sont éclairées, Ie3 plus humblee cafés ont leurs tables devant la porte garnies de consommateurs. Croyez-le si vous voulez, il y avait des lampions comme au 14 juillet c'est sans doute pour cela que le haut-parlpur du Petit Parisien jouait la Marseillaise. Les marcheurs arrivent, encadrés d'une foule hurlante, Godart me dit « Maie qu'est-ce qu'ils ont donc ? Je suis abruti, je n'ai jamais vu cela » Nous non plus et c'est notre quatrième ParisStrasbourg.

En pleine campagne, aux endroits où la route nationale est croisée par un chemin de terre, on voit des carrioles arrêtées, le cheval broute, et toute la maisonnée, de l'aïeul aux jeunes enfants, attend avec une patience paysanne. Et Eux vont dans la nuit fraîche. Van Hamme, le vainqueur du Circuit de Paris en tête. Van Hamme, qui est Belge, a un faciès et un teint de méridional. J'ai connu ainsi une jeune femme à la peau ambrée, aux yeux charbonneux, gu'on appelait la «Belle Toulonnaise ». Ile était de Douai. Derrière il y a fïodnrt. ovationné tous les cent mètres Linder qui lance des coups de poing à la lune et Romens bombant sa large poitrine et fauchant l'air de ses terribles bras de forgeron Roger Marceau qui sourit perpétuellement et le Pantinois Gravlo qui porte comme couvre-chef un bonnet de pâtissier. Ils sont en avance sur l'horaire, pourtant établi d'après l'horairere«ord de Linder. C'est trop beau Ces gars-là enthousiasment jusqu'aux soigneurs qui sont pourtant blasés.

Pronostics

Après une demi-journée seulement, il serait vain de formuler des pronostics d'après les positions actuelles des concurrents. La sagesse serait d'ailleurs de garder là-dessus un silence prudent, mais à chaque contrôle et partout sur la route des centaines de gens qui supposent les officiels bien renseignés vous disent « Qu'est-ce qui va gagner ? Lînder 1 Godart ? »

Donnons donc les impressions de ceux qui ont suivi les épreuves précédentes et les éliminatoires. Favori Louis Godart, vainqueur l'an dernier et qui paraît en excellente forme. Ses deux plus dangereux adversaires paraissant être Roger Marceau, son second de 1928 qui excusez cette lapalissade a un an de plus que l'année dernière, ce qui, à 6on âge, le veinard, est encore un avantage, et l'Alsacien Romens, dont l'allure athlétique fait impression

N'oublions pas Linder qui a ses fanatiques, Linder qui possède le record mondial sur la distance, record sans exemple dans les annales du sport. J'ajouterai Blin et Hennequin, tes frères siamois de Saint-Dizier et le Russe Iouchkoff, qui marche merveilleusement et qui n'a été trahi dans le Circuit de Paris que par un coup de froid.

Mais Paris-Strasbourg, comme toutes les épreuves sportives, est soumis à la glorieuse incertitude célèbre sur le turf. Qui sait 2 II y a peuUêtre un p«tit bonhomme inconnu des palmarès de la marche, qui poursuit gentiment son chemin dans l'anonymat et qui sera premier à Strasbourg, et soudain célèbre. Alors les Parisiens, les gens de Meaux, de la Forte, de Château-Thierry et nous, diront « Je m'en doutais, je l'avais remarqué oe gars-la. M avait la victoire dans les yeux » L.-C. Royer. LA PHYSIONOMIE DE L'ÉPREUVE Au signal du départ, à 13 h. 30. les 47 concurrents prennent le départ à la porte de Pantin, le Belge Paye en tête. Peu après, Bazin, de Compiègne, le devance et c'est lui qui mène le train dans toute la banlieue parisienne. A Pantin, une foule nombreuse lui fait une ovation chaleureuse et à Vau jours il arrive premier, à 14 h. 54' 30", précédant de peu Letréguilly, du Havre. Romens, Bracque, Barello. Van Hamme, Godart, Roger Marceau, Steinmetz, Blanquier suivent à de très courts intervalles. A 15 h. 47, les 47 concurrents sont contrôlés. Goguillon et Besnier, deux vétérans de l'épreuve, ferment la marche.

Sur le sentier cyclable ombragé par des arbres séculaires qui conduit de Villeparisis & Claye-Souilly, le Compiégnois Bazin active l'allure il semble pressé de fournir son effort et il porte son avance à 800 mètres sur Letréguilly. Bazin premier à Claye-Souilly A Claye-Souilly Bazin est contrôlé premier à 15 h. 52! Il est suivi par Letréguilly, Van Hamme, Romens, Godart, Bracque, Barello, Roger Marceau. Steinmetz, Blanquier, Loutchkof et le Suisse Linder. qui a arboré un grand chapeau de paille pour se préserver de l'insolation qui, l'an dernier, lui coûta la victoire.

Sur tout le parcours les spectateurs sont bien plus nombreux que les années précédentes, et tous multiplient leurs encouragements aux intrépides marcheurs.

Après Claye, Louis Godart s'arrête quelques instants au bord de la route, puis, après s'être ravitaillé, reprend sa marche, ayant perdu quelques places. Au monument Gallieni. Bazin eet toujours en tête et, sans ralentir, il gagne Meaux, où il arrive à 17 h. 40, salué par les acclamations d'une foule plus nombreuse que jamais. Sur la place Henri-IV, la circulation est complètement embouteillée et le marcheur et ses suiveurs cyclistes ont quelque peine à se frayer un passage. Bazin s'arrête quelques minutes et repart avec LetréguMv, qui a été contrôlé à 17 h. 48.

Peu de temps après arrivent Van Hamme. Romens, Bracque, Roger Marceau, Planquier. A 17 h. 59 Jean Linder 2&S36- ii IBSt Cfe? *fiU ffiUSff fflen t a/r*larjn^

II est suivi par Grégoire. Puis ̃ voici le Russe Iouchkloff. Godart passe seulement à 18 h. 10.

A Saint-Jean-Ies-Deux-Jumeaux Après Meaux, les marcheurs font des efforts pour se distancer.

Après avoir escaladé la côte de Trilport, les concurrents font leur entrée dans Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux. Le Belge Van Hamme y arrive le premier ayant une nette avance sur l'Alsacien Rcmiens. Letréguilly, diu Havre, est troisième précédant un groupe de quatre marcheurs où figurent Linder, Roger Marceau, Grégoire et Plantier. A quelques minutée, sixième le Russe Ioukoff, puis Guéné, de Lille, Toussaint, de Nancy, Blin et Hennequin, de Saint-Dizier, Bracke, de Lille et Louis Godart, ce dernier remis de son indisposition.

Bazin dont l'allure avait été rapide depuis le départ est vaincu par la défaillance et perd de nombreuses places. A la Ferté-sous-Jouarre

Van Hamme est en tête

Le Belge Van Hamme, vainqueur du Circuit de Paris, continue à faire excellente impression et rapidement, de son allure saccadée, il gagne la Ferté-sousJouarre, où il arrive à 20 heures, en avance sur l'horaire. La population lui fait un accueil sympathique.

A 20 h. 4, voici l'Alsacien Romens en superbe condition, il précède de six minutes le Suisse Linder qui fait route avec Blanquier puis voici tout près Roger Marceau, Letréguilly, Grégoire, Iouchkoff, Guéné, Godard, Eteinmetz, Toussaint, Hennequin, BJin, Le Ray, Thibault. Tous sont contrôlés avant 20 h. 30 et le long défilé des marcheurs continue voici Meret, Fontaine, Lobjois, Dujardin, Lebrun {dépositaire du Petit Parisien au Quesnoy), Dégardin, Ermonine et Merlo.

Bazin arrive seulement vingt-cinquième et doit s'arrêter au contrôle pour prendre quelques soins.

La pluie commence à tomber, un gros orage est sur la région mais, sans se soucier des intempéries, Van Hamme continue sa marche sur les routes qui longent les bords de la Marne. Partout, les spectateurs l'attendent et lui prodiguent leurs encouragements.

Roger Marceau en tête

à Château-Thierry

A Château-Thierry, des milliers de spectateurs attendent les coureurs. Jamais une aussi nombreuse assistance n'avait entouré le contrôle.

A 23 h. 45, le Belge Van Hamme arrive premier. Il s'arrête pour se faire soig,ner.

I A 23 h. 58, voici Roger Marceau. Le temps de signer la feuille de contrôle et de déguster un bol d'ovomaltine, et le voici reparti. Il s'assure ainsi la première place du classement, car c'est seulement à minuit 1 minute que le Belge Van Hamme repart.

A minuit 2 arrive Romens, suivi à sept minutes par le Suisse Lindre. Signalons que, comme les années précédentes, le ravitaillement des marcheurs est assuré par l'« Ovomaltine », qui reste le seul moyen de récupérer des forces lorsque l'effort à fournir dépasse les ressources offertes par l'alimentation habituelle.

TIENT-ON L'ASSASSIN DE M'" MARIE HUGUET ? Boulogne-sur-Mer. 24 juillet (dép. P.P.) L'enquête menée parallèlement par ta brigade mobile de Lille et la gendarmerie de Montreuil, concernant la mort mystérieuse do Mlle Marie Huguet, riche quinquagénaire, habitant Fruges, disparue depuis le 15 mai dernier, et dont le corps, coupé en quarante morceaux, était retrouvé, samedi aprèsmidi, sous un tumul'js dans un bosquet à Radinghem, ya-t-elle aboutir ? Le champ des investigations se resserre et les policiers interrogent, depuis mardi après-midi un fermier de Radmgheim, sur lequel pèsent les plue graves soupçons.

On sait que le médecin légiste qui pratiqua l'autopsie avait reconnu que le dépeçage du cadavre avait été effectué à l'aide d'une hache. Or, l'homme soupçonné, déposa, l'après-midi qui suivit l'autopsie, chez un voisin, je fer nouvellement aiguisé d'une cognée, en disant qu'il viendrait le rechercher plus tard, ce qu'il ne fit pae. Sur le sac qui contenait les morceaux du cadavre, la police avait relevé des traces de fumier. Il se trouve que le fermier en question transporta dans an champ proche du fourré où fut retrouvé le cadavre, plusieurs tombereaux de fumier depuis le 15 mai. Les policiers persistent à penser qu'ils se trouvent en présence de l'assassin, maie celui-ci se défend énergiquement. Le commis-greffier niçois disparu depuis quinze jours est retrouvé dans un commissariat «7 y avait été amené par un Arabe que, ae disant inspecteur Je la sûreté, il avait menacé

Nice, 24 juillet (dêp. Petit Parisien.) Depuis une quinzaine de jours on était sans nouvelles, au palais de justice, du commis-greffier, Georges Bourdon, qui avait quitté brusquement 6on poste. On l'a retrouvé hier soir dans un commissariat où il avait été conduit par un Arabe qui déclara au commissaire « Cet individu m'a abordé dans la rue. Je le priai de passer son chemin, mais il me menaça en disant qu'il était inspecteur de la Sûreté et qu'il allait se venger. Comme ce n'est pas là l'attitude d'un inspecteur de la Sûreté, je vous l'amène. Georges Bourdon protesta, mais fouillé, il fut trouvé porteur d'une fausse carte d'inspecteur de la Sûreté qui provenait d'une saisie faite il y a quelques mois au domicile de faussaires arrêtés à Nice. Le commis-greffier reconnut qu'il avait dérobé cette carte au greffe. 11 sera donc poursuivi pour usurpation de fonctions, détournement de pièces à conviction et port d'arme prohibée, car il avait sur lui un revolver chargé.

Chez les socialistes S.F.I.O. Dans sa réunion d'bier .soir, la commission administrative permanent* du parti S. F. I. O. a adopté l'ordre du jour suivant

« La commission administrative permanrnie dénonce avec indignation la politique tU- répression capitaliste du gouvernement, ilo Jour on Jour plus brutale et plus odieuse, qui a pour but d'accentuer encore k-s divisions de la classe ouvrière en paralysant tant son action politique que son organisation syndicale par les moyens les plus arbitraires. EUe s'élève contre la métnode tics arrestations préventives, contre le système de provocation et de mouchardage policiers qui violo les droits démocratiques U>* plus essentiels.

Elle demande aus travailleurs socialistes d'affirmer, dans les circonstances présentes, qu'ils se refusent, parce que socialistes, a abandonner ceux que l'on emprisonne au bon plaisir de ceux qui emprisonnent. Elle affirme une fols de plus, en face du gouvernement, Instrument de la dictature bourgeoise, son attachement à la liberté d'opinion et le droit imprescriptible de la classe ouvrière de s'organiser et d'agir pour la conquête de l'Etat et l'instauration dira ordre social nouveau fondé sur l'abolition du privilège capitaliste et l'avènement de la propriété socialiste.

M. Renaudel avait envoyé au journal du parti, en lut demandant de le publier, un manifeste faisant connattre pour quelles iaisons ses amis et lui ont refusé, au conKrè.s de Nancy, d'être repiésenlés dans les organismes dirig-eatits du parti.

La C. A. P., à qui la direction du Journal a communiqué, pour avis, ce manifeste a déclaré ne gM S'opposer, M euftU&gafe

Voici devant le jury les malfaiteurs

qui cambriolèrent la maison centrale de Melun

Melun, 24 juillet (dép. Petit Parisien.) La petite salle de la cour d'assises de Melun, qui connut déjà les débats à sensation des procès Joliot et Guyot, et ceux, non moins fameux, des adeptes flagellants de Notre-Dame-des-Pleurs, se voit de nouveau envahie par la foule avide d'émotions fortes et de détails piquants.

On juge, en effet, les protagonistes de la farce énorme qui provoqua, l'an dernier, dans la ifra.ni», entière, un immense éclat de rirei le coffre-fort de la prison centrale de Melun enlevé avec son contenu, 112.578 francs.

Aujourd'hui, la comédie s'achève. On touche au dénouement. Il va falloir payer.

Quatre bandits redoutables

Solidement encadrés, les six premiers prévenus prennent place dans le box des accusés. Quatre Ghiglia, Catusso, Pansu et Caille sont do redoutables repris de justice. Les deux autres font figure de comparses Germaine Minois, maîtresse dt Caille, incarcérée seulement depuis hier, et le garçon de café Boudet, qui, pour avoir prélevé une dîme de 4.400 francs sur le magot caché dans kl chambre de Germaine Minois, se voit poursuivi comme receleur.

Un de ces derniers retient l'attention. C'est Germaine Minois.

L'interrogatoire de» accusés

Après que la cour, dans une brève délibération, a rejeté les conclusions de M» Thaon, défenseur de Ghiglia, tendant ù, ce que l'on fasse, sur place, une reconstitution du cambriolage, le président Pittié aborde l'interrogatoire.

Le Marseillais Ghiglia, le premier sur la sellette, se montre prolixe sur son passé.

Pendant la guerre, dit-il, je me suis engagé à la légion étrangère, j'étais avide de gloire I

Gatusso, en smoking, n'est pas moins phraseur. Comme il fait avec véhémence le procès de la police, le président et son défenseur M" de $oro~Giafferi doivent lui imposer silence. Bien haut, il proclame son innocence et invoque des moyens fort réguliers d'existence. Si j'ai pu acheter ma villa (Je Fontaine-les-Hibouts (Eure-et-Loir) c'est avec les économies que j'ai faites en vendant des huîtres.

Pansu, lui, est plus simple. Il est camelot et s'en vante.

Quand je vends des montres, j'aborde une bonne tête et je lui dis que je l'ai volée. Alors, l'affaire est conclue. Je travaille surtout la nuit, puisque je suis interdit de « mes jours » (sic).

Caille, grand ami de Pansu, est un des receleurs de l'argent volé. Il a été l'amant de Germaine Minois, mais maintenant il la renie.

Elle devient, dit-il, une doublure de la police. (Rires.)

Caille se dit artiste peintre et propose au président de peindre à l'audience un tableau express.

Cette proposition n'est pas agréée. Le garçon de café Boudet semble regretter fort de s'ûtre fourré dans ce guêpier. Il n'a pas de passé judiciaire. La nuit du 29 au 30 juillet

Une protestation générale s'élève sur le bunc des accusée quand le président leur demande de donner leur emploi du tempe pendant la nuit du 29 au 30 juillet. L'un était à Marseille.

Je ne, connais rien de cette affaire, clame Ghiglia.

J'ai passé, dit Gatusso, la. soirée a boire et à chanter. Croyez-Vous qu'après une bonne soirée comme celle-là on ait envie d'enlever un coffre-fort ?

Tous deux, cependant, reconnaissent être venue à Melun le 21 juin. Ghiglia. Nous sommes venus lancer par-dessus le mur du tabac aux camarades détenus.

patusso. C'est exact!

Le président à Gatusso. Je remarque que vous aviez dit n'être jamais venu à Melun.

Gatusso explique qu'après la 60irée passée chez des amis, il rentra chez lui et passa la nuit avec son amie « miss Helyett ».

Après une suspension d'audience, le président fait raconter à Germaine Minoie dans quelles conditions, le i" août, dans un café des Halles. Pansu et Caille lui ont remis 20.000 francs en lui recommandant de les cacher sou6 les rideaux. Le lendemain eoir, elle apportait à Pansu 500 francs qu'il lui avait demandés. C'est alons qu'ayant lu dans un journal du soir que la police possédait leur signalement, ils décidèrent de fuir.

Le président à Caille. Avez-vous remis 20.000 francs à Germaine ? Caille. Ce n'est pas vrai; seulement 10.000.

Comme c'est là un point très important, de l'affaire, on conçoR que le président désire des précisions. On discute à perte de vue sur l'importance de la somme confiée. Cependant il est établi que Pansu est venu le lendemain trouver Germaine pour lui demander 2.000 francs pour aller à Nîmes.

Caille. C'était de l'argent que j'avais mis de côté pour payer le percepteur. J'avais été condamné à 1.000 francs d'amende pour trafic de stupéfiants. Caille affirme ensuite que Gatusso, dit Grandet, n'est pas le Grandet dont a parlé Germaine.

Germaine Minois. Oui, c'est bien lui. 11 y a longtemps que je le cormais. M" Freynet. Est-ce que Grandet connaît Germaine 1

Gatusso. C'est la première foie que je la vois. (Rires.)

On en arrive au voyage à Nîmes, où les quatre inculpés se trouvèrent réunis dans un but que la police connaît bien. Mais il est trop tard pour aborder cette grosse question et l'audience est renvoyée à demain.

Devant un café de Metz un homme est trouvé ligoté dans un sidecar

11 avait été attaqué et grièvement blessé par le propriétaire du véhicule qui, paisiblement, se désaltérait

Metz. 24 juillet (dép. Petit Parisien.) Cet après-midi, vers 3 heures, des passants remarquaient, devant le restaurant de l'Abattoir, un sidecar arrêté dans le panier duquel se trouvait une masse enveloppée dans une couverture. Le gardien de la paix Thiriet constata qu'il s'agissait d'un homme solidement ligoté et qui avait le crâne fracturé. On trouva sur lui des papiers au nom de M. Lazare Borel. marchand de bestiaux, né le 1" mai 1880, à Saarwellingen, où il habite.

Le propriétaire du sidecar. un commerçant. Joseph Deichbann. domicilié lui aussi à SaarweJliingen, ancien employé du marchand de bestiaux, fut arrêté presque aussitôt dans le restaurant de l'Abattoir.

Deiohbann avoua ère parti le matin même en sidecar pour Metz, en compagnie de M. Borel. Une discussion d'intérêt aurait éclaté entre eux, car Deiohbann assurait que M. Boreil lui devait de l'argent. Au cours de cette querelle, 1« marchand de bestiaux se serait armé d'un revolver «t Deichbann, à ce moment, lui aurait asséné un violent coup de clé sur la tête. Il l'aurait ligoté ensuite, ne croyant pas l'avoir sérieusement atteint.

Le meurtrier est incarcéré. Sa victime est à l'Hôpital, dans un état âéseefiéré,

DANS LA RÉGION PARISIENNE

LES MÉFAITS DE L'ORAGE Curbeil. Au cours île l'orage qui a sévi la nuit (ltrnlère, la foudre est tombée sur plusieurs paratonnerres et a communiqué le feu à une fuite de gaz existant au pont de Corbell. L'explosion arracha plusieurs dalles recouvrant la canalisation du trottoir ile droite. Une perturbation "lai's les services téléphonique, télégraphique et élecirique a duré une grande partie de la Journée.

Chartres. Un orage d'une grande vlolenoc a, sévi U nuit dernière sur l'Eureet-Loir, et particulièrement sur la région de Châteaudun, où les récoltes ont subi d'importants dégâts. Les blés ont été couchés ou arrachés. La terre a été retournée par endroits et des arbre? ont été dépouillés de leurs feuilles et de leurs fruits. La foudre est tombée sur plusieurs points, notamment sur le clocher de réalise de Lutzen-Dunols. A Ozolr-le-Breull, la toiture d'un hangar appartenant A M. Legrand a été détruite. Un autre hangar a éié détérioré. A Chartres et dans ses environ», les jardins ont également souffert. D'autre part. l'orage précédent a complètement déchiré les tentes du cirque Lamy, installé & Anet. Provins. Au cours de l'orage qui a sévi la nuit dernière, une pluie torrentielle est tombée M a raviné les fossés de la i-oie Saint-Xicolas. mettant au jour plusieurs squelettes humains. On croit à la présence en cet endroit d'un ancien cimetière. AISNE

Un cheminot tué par un exprès* Sur la vole ferrée entre la Ferté-Mllon et Neuilly-Satnt-Front, M. Alfred Barras, quarante ans, rantouniej de la compagnie de l'Est, demeurant a 1» Fmé-MUou, a été tamponné par l'express Charleville-Parls et lue sur le coup. Il était marié el père de trois enfants.

A la veille de comparaître en justice un domestique de ferme se pend Le domestique de ferme Ernest Dhennfm, trente ans, qui devait comparaître devant 1« tribunal correctionnel pour outrage public à la pudeur, s'est pendu à un arbre près de l'habitation de son patron, M. Lamotte. berbacer au hameau de Malussise, commune de Noiivlon-en-Th!éraehe.

SAINT-QUEKTIN. M. Roger Loutte, vingt-quatre ans, employé de bureau, rue d'Ostende, a tenté de se pendre. La corde fut coupée a temps par un voisin. Descendant d'un tramway, M. Léon Capelle, quarante-dçux ans, a été renversé par une auid conduite par M. Durlot, cultivaient. Vin- (Somme).

VADENCOURT. La médaille d'honneur du travail est décernée a M. Jules Devailly, éclusler.

EURE-ET-LOIR

CHARTRES. M. Henri Monthlaux, vingthuit ans, chauffeur, a l'usine hydraulique, qui avait fait une chute de motocyclette, a succombé à l'hôpital sans avoir repris connaissance.

Les gendarmes ont arrêté te mécanicien Alphonse Brennelot, qui, la nuit, avait auitê un camarade de rencontre dans le clos Saint-Jean et l'avait dévalisé.

OISE

Collision entre une auto et une voiture Sur la route, prfes de Russy-Bémont, l'auto de M. Martin, boulanger, a tamponné la voilure attelée dans laquelle s* trouvaient M. Lemoine, sculpteur sur bois à Boillant sa femme, ses trois (Ils, son oncle et sa tante.

Ces derniers n'ont reçu que des contusions peu graves. Mais M. Martin et M. Emile Maillet, qui l'accompagnait ont été blessés assez sérieusement, le premier au vlsag-e, le second à l'épaule.

BEAUVAIS. Ce soir, a 21 heures au kiosque du Jeu-de-Paume, concert par la Société philharmonique. Au programme les Moujiks, Phèdre, l'Arlésienne, les Saisons, ballet de Faust <?n sept parties et fan- talsi«-polka.

BREttlL-LE-SEC. Le berger Auguste Fouinât, cinquante-neuf ans, employé t la Terme des Sables, s'est pendu dans un bols. Depuis quelque temps il donnait des signes de dérangement cérébral.

BONHEUIL-EN-VALOIS. Neurasthénique M. Charles Ganneron, trente et un ans, s'est pendu à un arbre à l'entrée du village. CUVERGNON. M. Eugène Boucher, ouvrier agricole chez M. Dumont, attelait un cheval lorsque l'animal lui lança une ruade en pleine figure. M. Boucher a été transporté à l'hôpital de Senlis, où son état a été Jugé assez grave.

MERU. Rue de la République, un motocycliste, M. René Mouton, boutonnier A Fosseuse, est entré en collision avec une auto et a été contusionné.

MOOY. La consultation des nourrissons aura lieu samedi prochain, à 9 heures, salle de l'hospice.

PRECT-SDR-OISE. On a retiré de l'Oise le cadavre d'un homme sur lequel on a trouvé un porte-monnaie contenant 134 fr., une montre et un livret militaire au nom de Jean-Marie Jego, cinquante-cinq ans. On suppose qu'il s'auit d'un accident.

RAMTIGNY. Deux automobilistes se sont présentés chez Mme Froment, débitante, à qui ils ont escroqué 50 francs au moyen du coup classique du vol au « rendez-moi ». Ils avaient, quelques Instants auparavant, tenté la même opération chez M. Georges Nicolet, buraliste. La gendarmerie recherche les deux filous, qui sont âgés d'une trentaine d'années.

SAINT-MARTIN-LE-NŒUD. Une cultivatrice, Mme Staelen, trente-cinq ans, qui conduisait ses vaches, a été culbutée par une auto. Atteinte de contusions multiples, elle a été ramenée à son domicile. SEKLIS. Conduisant à pied un attelage. M. William Lyon, journalier, regagnait la ferme de son patron lorsque, son cheval ayant fait un écart, le renversa. Une roue du véhicule broya la jambe du journalier, qui a été transporté dans un état grave à l'hôpital.

SEINE-ET-MARNE

MAISON- ROUGE-EK-BRIE. M. Auguste Gauthier, cultivateur au hameau d'Audry, avait surpris, la nuit, deux individus occupés à capturer ses canards. A sa vue, les malandrins prirent la fuite. Ils ont été retrouvés et arrêtés. Ce sont deux forain» André Sedouse et Fernand villersten. SEINE-ET'OISE

Collision entre une auto et un camion M. Antoine Dumas, chiffonnier à Nanterre. passait en automobile rue de Nesle, à Bouglval, quand il entra en collision avec le camion que conduisait le chauffeur Lambrerh, 3, rue de Suresnes, à Ruell. Trois personnes qui se trouvaient dans la voiture de M. Dumas ont été blessées M. Louis Jegu, 7, rue du Laboureur, à Nanterre, qui a une cote pnfoncée M. Victor Vevi, 5, rue de Courbevole, i Nanterre; M. Désiré Prévôt. 19, rue des Moellonniers, à Nanierre. Seul l'état de M. Jeg-u est grave. Une septuagénaire disparue

est retrouvée noyée

On a retiré du canal de l'Ourcq, à Bondy, le cadavre de Mme veuve Brismentler, soixante-dix-huit ans, disparue depuis lundi de son domicile, 5, rue de Valence, a Auluay-sous-Bois.

On repêche un inconnu

On a repêché, dans les fouilles d« Villeneuve-Triage, le corps d'un homme de très grands taille, de forte constitution, et dont l'état de décomposition avancée n'a pas permis d'établir un signalement précis ni ae définir l'âge avec quelque précision. CHENNEV1ERES-SUR-MARNE. Rue du Fort, M. François Jeancolas, comptable à Parts, a été heurté et blessé par un motocycliste.

l'ETANG-LA-TILLE. Le3 gendarmes ont arrêté Auguste Malingre, pupille de l'Assistance publique qui, placé chez Mme Lornreteau, l'avait a plusieurs reprises menacée de mort et avait pris la fuite. MONTESSON. un incendie dû à l'imprudence a détruit hier, au hameau de la Bqrde, une partie de la maison et tout le mobilier de la famille Le Métayçr.

MONTGERON. Un cycliste, M. Pierre Navoizat, soixante-six ans, Journalier. Il, rue de Brunoy, a été renversé et blessé grièvement par une automobile.

POISSï. Les corps de M. Marcel Blgreux et du gardien <le la paix Bapaume dont nous avons relaté la noyade accidentelle ont été repêchés, hier, en «val du pont. VERSAILLES. Neurasthénique, un jeune Somme de vingt-trois ans. M. Yves Stephan, 17, rue des Célestlns, s'est suicidé en se jetant dan* la piftee d'eau des Suisses. VILLIERS-SUR-MARNE. Route de Combault, le jeune François Lopez. neuf ans, dont les parents demeurent 38, avenue Pasteur, a été renversé et blessé par un cycliste, m. Lucien Hûudrlcnoo, 66, rue 4e

UN MECANICIEN ENLISE DANS LA DURANCE EN SAUVANT SON FILS C'est au cours d'une partie de pêche que le drame se déroula

Marseille, 24 juillet {dép. Petit Parisien.) M. Marcel Dumont, trente-sept ans, ouvrier mécanicien chez MM. Cruvelier et Molland, négociants à Noves, après son travail était allé à la pêche avec son fils, âgé de douze ans, venu passer les vacances chez ses parente.- Arrivés au noïd de la Durance. ils lancèrent leurs lignes à l'eau, mais l'une d'elles resta accrochée à des broussailles, non loin du bord.

Ne parvenant pas à la ramener, le jeune Dumont se mit à l'eau, la Durance paraissant peu profonde à cet endroit. Mate' à peine l'enfant avait-il avancé de quelques mètres qu'il sentit le fond vaseux de la rivière manquer sous ses pieds. Son père, qu'il appela à son secoure, se mit à 1 eau tout habillé et tira l'enfant cjfi cotte situation criliqiK1. Malheureusement, la vase traîtresse le retint à son tour et, malgré ses efforts, il s'enfonça rapidement, en présence de son fils terrifie et impuissant à le secourir.

Les cris poussée par le garçonnet attirèrent des habitants d'alentour, mais quand ils arrivèrent sur les lieux, l'eau avait repris son calme et rien ne décelait le terrible drame qui venait de se dérouler.

Par mots entrecoupés par la douleur, l'enfant raconta ce qui venait de se passer et aussitôt l'on alla ch.eroh.er une barque pour explorer ce fond dangereux. Après bien des efforts, le corps de M. Dumont fut découvert dans la vase et, remonté à la surface, mais tout était inutile le malheureux était mort. Dans une carrière de kaolin abandonnée, i Hag-uenau. deux flllwte-s, les petites CommcnKingcr eu De-rkert, se sont noyées en s-e baignant.

Prés Colmar, à Horbourg. l'attelage de M. Sej'ler est tamponné par le train e*t le conducteur ltil-mWne est tué. Marguerite Bellement et Angè.l? Imbert, en se baignant au GraiKl d'Agile, près Montpellier, se noient.

DONT*ACTË

M. Dupont nous pria de déclarer que ce n'est qu'avec t Le Diable • qu'il a pu parvenir à se débarrasser d'un cor douloureux, rebelle à tous les autres corricides. « Le Diable » enlève les cors en pix Jours, pour toujours. 3 fr. 40, toutes pharmacies. Attention ErtR-ez « Le Diable >. Epernay pharmacie Welnmann.

LE TRAVAIL ASSURÉ Mme Bully, qui était menacée ae perdre ?on emploi à cause de ses cheveux blancs, affirme qu'elle a pu le conserver grâce t la recette suivante. Cette dernière. qu« tout le momie peut préparer facilement chez soi, fonco les cheveux grisonnants ou décolorés et les rend souples et brillants.

< Dans un flacon de KO gr., versez 30 gr. d'eau de Cologne (3 cuillers à soupe), 7 gr. de glycérine (1 cuiller à caré). le contenu d'une boite de Lexol et remplissez svec de l'eau. » Le3 produits servant à la confection de cette lotion, qui donne de si merveilleux résultats, peuvent être achetés dans toutes les pharmacies, rayons de parfumerie et salons de rolffure, à un prix minime. Appliquer le mélange sur les cheveux deux fols par semaine jusqu'à ce que la nuance désirée soit obtenue. Il ne colore pas le cuir chevelu 11 n'est ni gras ni poisseux et reste Indéfiniment. Ce moyen rajeunira de beaucoup toute personne ayant ries cheveux irris.

Repart en vacances qui revoit ses photos "Kodak"

Emportez votre "Kodak" C'est lui qui vous donnera le plaisir de prendre des instantanés de tout ce qui vous charmera, c'est lui qui gardera et prolongera pour vous toutes ces belles heures à venir et plus tard, c'est lui seul qui vous procurera la joie immense de revivre par la pensée toutes vos belles vacances de l'année 1 929.

En quelques minutes, vous

saurez vous servir d'un "Kodak".

Chez tout bon marchand d'articles photo, vous trouverez des "Kodaks" pour tous les goûts, pour toutes les bourses, pour tous les âges, pour toutes les compétences, de 70 à 2.400 francs. Koiak-Palbi S. A. F., 39, Aomae Montaigne, Paris (8?).

BYRRHI Etendu d eau. rafraîchit /al I

CAFÉ MARltm M DÉPÔTS M H fimt'BênhtiM Qnviac» H H MBi5-a«i»ui« pROvtNCB u| H 6 4O i^r 6 50 I I lê'Cûïê Martin' 1 H comporte qu'un» jeuk jfl H qtHlHLetvnuêttscBUïi m H tnkcaucmiBMt.dckeair M H k meilleur cafî&.tti prix IH ̃ /ep/w juste. Il H 54. RUE JCUBERT ̃ ̃ PARIS M

Etablissements A. CLAVERIE 234, Faubourg Saint-Martin, PARIS

(Angle de U r. U Fayette, Métro Louit-Blanc) Applications tout tes jours de 9 heures 4

7 heures, par dame* spécialiste*.

Usez rintéressante Plaquette illustrée adressée gratuitement sur demande.

JP


LES CO\TES DU « PETIT PARISIEN » ♦♦S^ ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦^ pnr Edmond SÉE

Après un copieux dîner offert par les Marescat aux Carmontel en l'honneur du prochain mariage rie leur fils Léon Carmontel avec la jeune Odette Marescat et tandis que les fiancés, blottis dans un coin du salon, roucoulaient amoureusement, Mme Marescat proposa a Et maintenant si nous emmenions nos amis visiter notre petit musée ?.. »

Le « petit musée » en question était une pièce de débarras située au fond d'un uloir et où les Marescat avaient entasse un certain nombre de meubles, bibelots, tableaux et objets d'art provenant de la succession de l'oncle Cardanne, récemment décédé et en laissant à ses héritiers une fortune rondelette trois cent mille francs pour le moins Grâce à cet héritage, tombé du ciel, on peut le dire, le père Marescat (jusque-là greffier au tribunal de commerce) s'était trouve brusquement haussé au rang de petit rentier et, comme sa fille Odile aimait depuis longtemps le fils de son vieil ami Carmontel (ce dernier tenait l'emploi de chef des huissiers au soussecrétariat des Beaux-Arts), le mariage avait été décidé entre les deux familles et d'autant plus aisément que Marescat avait généreusement promis à Odile une dot de cent mille francs

Donc, ce soir-là, la proposition émise par Mme Marescat (cette visite au « petit musée ») fut accueillie avec allégresse et, laissant les fiancés au salon, les parents sortirent et gagnèrent la pièce de débarras, derrière la cuisine. Là s'entassaient maints et maints objets plutôt hétéroclites, mais qui provoquèrent l'enthousiasme des visiteurs. Il s'accrut encore lorsque Marescat avisa dans un coin et puis exposa cinq ou six tableaux dont un surtout parut séduire Mme Carmontel, laquelle affichait volontiers des « goûts artistes ». La toile en question représentait l'orée d'un bois au soleil couchant et était signée Hubner. Ce nom (celui d'un peintre célèbre sous le second Empire), Marescat l'ignorait, aussi bien que Mme Carmontel elle-même, mais l'enthousiasme de cette dernière le flatta au point qu'il lui offrit le tableau. Après quelques façons, elle accepta et, vers minuit, la cordiale soirée étant achevée, les Carmontel se retirèrent, emportant le Hubner bien empaqueté.

Or huit Jours plus tard, sur le coup de midi, Mme Marescat, qui attendait son mari pour se mettre à table, vit arriver un homme rouge, congestionné et frémissant d'un agitation insolite. Sitôt' entré, il s'exclama

Sais-tu ?. Sais-tu ce qui arrive aux Carmontel ?

Un malheur? demanda 1 elle, effrayée.

Mais il haussa furieusement les épaules

Ah 1 bien oui, un malheur Une veine insensée, insolente 1. Ce tableau d'Hubner que j'ai eu la bêtise, la folie de leur laisser emporter. Il vaut une fortune. Doux cents, peut-être trois cent mille franc» 1

Trois

Comme je te le dis

Mais par qui as-tu appris ?'

Par qui? Par Carmontel lui-même! Il est comme fou de bonheur. Et sa femme aussi 1 Je comprends Il y a de quoi Maintenant, les voilà aussi riches que nous Oui, c'est un de ses patrons. an sous-«hef aux Beaux-Arts, auquel il a montré ce tableau, par hasard, et qui lui a affirmé qu'il détenait là une fortune I Et il a eu l'audace, le cynisme de me remercier.

Dame

Quoi, dame ?

C'est bien à toi qu'il la doit

Evidemment, c'est à moi Mais j'ignorais que je lui faisais un pareil don. Si j'avais pu prévoir

Elle soupira

Que veux-tu

Il s'énerva

Ce que je veux ? Voilà ce que tu trouves à me répondre.. Eh bien, moi, je trouve qu'accepter un cadeau dans ces conditions-là c'est une escroquerie, un abus de confiance, un vol Oh Parfaitement Et je le leur ai dit, aux Carmontel.

Tu.

Oui, je ne leur ai pas caché îrion sentiment à ce sujet. Ça a été plus fort que moi. surtout quand j'ai vu qu'ils considéraient la chose comme toute naturelle Et comme ils voulaient le prendre de haut, je suis. parti en claquant les portes

Oh mon Dieu gémit-elle, atterrée, et ta fille. son- mariage

Quoi Quoi, son mariage D'abord il n'est pas encore fait

Mais comme la jeune Odile paraissait,. ils se turent .tous deux, d'un eommun »ccord, et l'on se mit à table.

Une semaine, puis dçux s'écoulèrent sans que les Carmontel, vexés, reparussent chez les Marescat. Surprise, anxieuse, Odile s'informa auprès de .sa mère, qui dut lui avouer la vérité. Alors la jeune fille, désespérée, menaça de se retirer dans un couvent ou même de mettre fin à ses jours Du coup, le père Marescat, comprenait qu'il avait peut-être eu tort et agi inconsidérément, s« résolut à réparer sa faute (car tout de même il tenait au bonheur de sa fille) Et il avait, au surplus, sa petite idée de derrière -la tête Il se rendit donc chez les Carmontel et, après quelques paroles d'excuses, leur offrit de reprendre les projets

44. Feuilleton du Petit Parisien, 25-7-29 AIMER' ETT ROMAN INÉDIT

TROISIEME PARTIE

A TRAVERS LE DÉSERT D'HOMMES XXVIII (suite)

Gabrielle ckez Antoinette

Le lendemain était un dimanche. Darennes déjeunerait certainement avec Antoinette Durthail. Pour être sûre d'arriver rue Suint-Charles avant lui, Gabrleile s'y rendit avant dix heures. Ce fut l'enfant qui vint ouvrir.

Surpris de voir une inconnue

Vous désirez, madame ? fit-Il. Madame Durtliail. c'est ta maman, n'est-ce pas ï

Oui. madame.

Est-c-e que Je puis lui parler? Maman est sortie: elle est allée, aux provisions.

Elle ne tardera donc pas à revenir ?

Oh non. madame.

Dans ce cas. je vais entrer pour l'attendre.

Elle pénétra dans la chambre et prit une chaise, l/tenfant se tenait debout devant elle, l'air soupçonweux. Bile lui tapota la joue, s'efforçant de la mettre en confiance.

Tu habites +ci seul avec ta inaman ? Ouï. madame.

Copyright by Jean Le Citerne 1929. Traduction et reproduction Interdites en tous pays,

matrimoniaux si fâcheusement interrompus. Il ajouta, bon prince, qu'il consentait même à augmenter d'une vingtaine de mille francs la dot promise. à la condition toutefois que les Carmontel (un geste en vaut un autre) consentissent à se défaire -du tableau reçu, le Hubner, 0 en faveur de leur fils ». Ainsi, et de toutes manières, la toile ne sortirait pas de la famille

Mais cette proposition fut accueillie par des ricanements méprisants et les Carmontel apprirent alors au petit père Marescat que le Hubner (cause du litige) ne valait rien, ou presque rien, trois ou quatre cents francs à peine, selon l'avis d'un expert (un vrai, celui-là) et qui, convoqué la veille pour donner son avis, avait déclaré la signature apocryphe. A cette nouvelle, le donateur se sentit soudain rasséréné. Il lui sembla qu'on soulageait sa poitrine d'un poids pesant, et ce fut presque joyeusement qu'il invita les Marescat à dîner pour le mercredi de la semaine suivante (c'était précisément le jour où l'on devait mettre le Hubner aux enchères, à l'Hôtel des ventes), afin de fêter l'heureuse réconciliation.

Conformément aux dires de l'expert, le tableau atteignit, en effet, le mercredi suivant, deux cents francs mais le repas n'en fut pas trop attristé pour cela, car les deux jeunes fiancés enfin réunis et cette fois définitivement après une telle alerte rayonnaient d'allégresse et les parents se sentaient tout réconfortés par le spectacle de leur bonheur. On ne se sépara qu'à minuit.

Mais à peine rentré dans la chatr.bre conjugale, le petit père Marescat, prenant sa femme par la main, comme pour lui faire une surprise, la conduisit devant un tableau accroché au mur, juste en face de leur lit, et qu'elle reconnut aussitôt. C'était le Hubner

Mais la « surprise » ne parut pas l'enchanter.

Oh fit-elle, avec reproche. Tu l'as racheté ?

Eh oui.

Mais pourquoi ?. Moi, je ne l'aime' pas ce tableau, je le déteste Il me rappelle un trop mauvais souvenir 1 Quand je pense qu'il a failli causer le malheur de ma fille

Mais il l'interrompit

Ta, ta, ta Tout ça ce sont des idées de femme 1. Et moi j'avais mon idée, mon idée d'homme. Je savais ce que je faisais.

Et tandis que ses lèvres ébauchaient une moue encore rancunière

Quand je pense que grâce à lui j'ai risqué de perdre une fortune Mais au moins, maintenant, je l'ai repris 1 Je le garde Il ne m'échappera plus. quoi qu'il arrive

Il ajouta, avec dans les yeux la petite flamme d'un espoir malicieux et sournois

Et sait-on jamais, avec ces vieilles toiles, ce qui peut arriver

Edmond Sée.

Un comité d'experts

va rechercher les causes

de la catastrophe de l'Algérie qui coula avec 500 passagers Rouen, 24 juillet {dèp. Petit Parisien.) Le y janvier i920, le paquebot V Afrique, des Chargeurs Réunis, quittait Bordeaux k destination de Dakar. Peu après la sortio do la Gironde on s'aperçut qu'il y avait une voie d'eau a bord. Mais le commandant du bord, le capitaine Ledu, çstimint qu'elle pourrait être obstruée par les moyens dont il disposait, gagna la haute mer où régnait une violente tempête. Bientôt la situation s'aggrava et • les pompes furent impuissantes à épuiser Veau. Finalement, dans la nuit du iO au tl janvier, l'Afrique, désemparé coulait -sur le plateau de Rochebonne. Sur les sept cents passagers, cinq cents périrent.

Une information judiciaire fut ouverte, qu'interrompit la loi d'amnistie. Mais u» groupe de famille des victimes demanda réparation du préjudice qu'elles avaient subi devant le tribunal de commerce du Havre, qui les débouta, [mis dnvunt la cour d'appel de Rouen, ijui leur ;clorina gain de cause. Une nouvelle action fut alors introduite par un autre groupe de soixante-trois famillesLe tribunal de commerce du Havre les débouta aussi. Elles portèrent alors leur demande devant la cour de Rouen. Les • débats, qui ont occupé trois audiences, ont remis en question toutes les circonstances du naufrage do l'Afrique. La première chambre civile de la cour, que présidait M. le premier président Reaujour-Bourgct, vient, de décider de l'air» procéder à une nouvelle expertise pour étabiir de façon exacte les causes rtu naufrage. Les experts auront à recherche !1 slil .existe des fautes à Ja charge du capitaine, auquel on reprocha d'avoir engagé son navire en haute mer avec une avarie, et d'avoir demandé du seoours trop tard, ou à la charge do la compagnie* des Chargeurs Réunis, à laquelle on fait grief d'avoir laissé partir l'Afrique sans que le navire soit en parfait état de navigabilité.

La cour a commis pour celte expertise le vice-amiral Le Vavasseur, membre du conseil supérieur de la marine, qui présidera le comité composé do 1 ingénieur mécanicien général de première classe Reckel, chef des services techniques des machines au ministère de la rilarlnè, et l'ingénieur en chef do première classe du génie maritime Laucou, sous-directeur des constructions navales au ministère de la Marine.

Et ton papa?

L'enfant baissa la tête;

Je n'en al plus.

Il y a longtemps, mon pauvre petit, que tu n'as pins de papa?

Oh! oui.»

La porte s'ouvrait

Maman! Maman! Il y a une clame qui t'attend, cria l'enfant en courant au-devant de sa mère pour la débarrasser des paquets.

Vous désirez, madame? dit Antoinette en s'avançant vers la visiteuse qui s'était levée.

Vous êtes bien Mme Durthail? Oui, madame.

Je suis la fille de M. Darennes et je voudrais vous parler en tête-à-tête. Volontiers, fit Antoinette tout interdite. Rasseyez-vous, je vous en prie, et excusez-moi de vous avoir fait attendre, mais je ne savais pas. je m'attendais si peu. je vous reçois dans une chanvbre à peine nettoyée.

C'est mol qui m'excuse, madame. Il n'est pas dans les usages de faire des visites à cette heure matinale, mais ce que j'ai à vous dire ne saurait souffrir de délai.

Va jouer un peu en bas, dit Antoinette à son flls.

L'enfant obéit à regret et, avant de sortir, coula un regard inquiet vers la dame dont l'arrivée inattendue semblait troubler sa mère.

Je vous écoute, madame, dit Antoinette en revenant près de Gabrielle. Je ne vous surprendrai pas, madame, en vous disant qu'il s'agit d'un certain projet de mariage». Vous devez comprendre que je ne l'ai pas appris sans émotion. J'ai tant aimé ma mère! L'idée qu'une autre va devenir Mme Darennes.

Madame, Je comprends très bien

L. A VIE SPORTIVE

LE TOURJDE FRANCE Metz, 25 juillet {de notre envoyé spécial.) J'ai fait connaissance avec julien Moineau le 30 Juin dernier, peu après Manies. 11 pleuvait, et celui que l'on a surnommé « le petit Moineau parisien » afllrmait déjà, qu'au prochain kilomètre il abandonnerait. Or, nous n'étions ce jour-'là qu'à la première étape, et depuis, il ne se passa pas un jour sans que nous entendîmes le sympathique coureur de Clichy jurer que c'était fini et qu'il partait. Qu'il pleuve, qu'il vent/1, qu'il fasse un temps radieux, Julien disait J'en ai assez. Je laisse ça là. Mais le lendemain il repartait. De grosses dépressions nerveuses, certes, mais aueei de fougueux élans. Par ailleurs, l'un des trois ou quatre hommes vraiment très sympathiques du Tour de France. Aussi regrettons-nouS vivement son départ. Car Julien Moineau nous a quitté ce matin.

Le vaillant champion a lutté jusqu'au fo"out, comme la chèvre de M. Séguin, la petite chèvre qui se débattit longtemps, longtemps, d fut mangée par le luup. Courageux, Moineau, songeant à l'entrée qu'il ferait dans quatre jours au Parc des Princes, voulait continuer 6t essayer de gagner Dieppe-Paris, la dernière dee dernières. Mais, victime de l'accident que nous avons relaté, il no tenait sur sa machine que par miracle, et quand nous le croisâmes peu après Mulhouse, il respirait avec beaucoup de difficultés et n'avançait qu'avec peine. Aussi ne put-il atteindre Strasbourg ̃Jane les délais réglementaires. Lui qui, jusque-là, se refusait à abandonner, ayant surmonta énergiquement, farouchement, «sa douleur, apprenait qu'il était éliminé

Hector Martin, souffrant également, se trouvait dans le même cas et était écarté de la compétition, tandis que Charles Pélissior, très fatigué, n'arrivait au contrôle qu'une minute avant la fermeture. Il se ressentait de ses efforts répétés dans Evian-Belfort et se réservait pour l'étape d'aujourd'hui.

11 est vrai que Strasbourg-Metz est une promenade. Aucune bataille émouvante n'est possible. Et cette courte étape qui se courut pendant toute la matinée sous la pluie nous n'avions pas eu d'eau depuis Bordeaux ne nous a, offert qu un sppctaele quelconque. Signalons simplement l'effort de Leducq et de Ch. Pélissler qui s'enfuirent dans cet ordre, devant Frantz.

Ln Luxembourgeois qui, dans le Tour actuel, -n'a pas de chance, eut une crevaison à 20 kilomètres de Metz, et revint dans le style brillant que nous avons déjà apprécié si souvent, et plus particulièrement l'autre jour, après le passage du col des Aravis. Il remonta tous les pelotons et vint finir, sur la ligne d'arrivée, dans la roue des deux Français,

Dis mètres de plus et Frantz gagnait cette étape qui est avec Vannes-les Sables-d'Olonne, celle qu'il préfère. André Le Brct.

Le classement de l'étape

1. Leducq sur {Alcyon, Dunlop), en 5 11. 47' 11"; 2. Cft. Pélïssicr 3. N. Frantz; i. Van Bruaone 5. Ant. Magne 6. Rebry 7. Vun Ryssclberghe, même temps. 8. ex œquo, Demuysère; M. Blaot, Taverne, De Lannoy, Cardons, De VVaele, VerwaecKe, même temps que Leducq.

15, Grégoire, 5 U. 49' il" 16. Benoit Faurc: 17. iVeuliard; 18. Laloup; 19. CUene; 20. Perrln.

21. Bonduel, 5 h. 50" 34 22. Boiilllet, 5 11. 51" i'i" 23, P, Maijne a. Pancera, 2», Louesse.

26. Barlffl. S h. 52' 29" 27. H. Dents, S h. 53' 56" 28. Plautin, 29. Touzard, 80. Pomposl.

31. Bcrardi. 5 h. 56' 18"; 32. Jordens, 3 h. 5S' 50" 33, Iunoceutl 34. Hreuss 35. beruult.

36. GovacrtS, 5 IJ. 59" 41" 37. Bolsselle, G 11. 1' 36" 38. Ond.et 89..Moreels 40. Thomas il..Martinet; 42. Delbart; 43. Canovas 44. Lebas.

43. Etienne, 6 ti. 4' SJ" 46. Merrlel, 6 tl. 9' 1" 47. Recordon 48. Çhartoa, 6 t). 15' 2Î" 49. Faillu 50. Masson 51. P. Denis 52. Teisselrc.

Le classement général

l.DEWAELE(A(cwon, Dv.nlop). 15! il. 14'14"; 2. Pai.cera, 151 n. 34' 43" 3. Domuysère, 151 h. 37' 34" 4. FranU, 151 h. 58' 53" S.Cardona, 152 h. 3' 32" 6. De Lannoy, 152 h. 10' 55" 7. A. Magne, 152 h. 13' 46"; s. P. Mag;ne, J52 h. 3? 28" 9. Leducq, 152 il. 56' 36" Vervaeclte, 153 h. 12" 40" 11. Benoit Faure <l« de touristes routiers), 153 il. 21' 14" 12. Reljry 13. Bidot 14. Vgn Rysselbarg-he 15. Louesae 16. Bonduel 17. Boulllct 18. Van Bruaenroa 19. Neuhard 20. Govaert 21. Pomposi 22. Chêne 23. Jnnocentl 24. CU. Péllssier 23. Taverne 29. Mervlel 27. Laloup 23. Perrain 29. Berton 30. Grégoire, etc.. AUJOURD'HUI 19* ETAPE

Metz-Charleville

Les « Tour ûe France » Quitteront Metz cb matin a 10 heures poiu; effectuer la 19* étape de leur longue randonnée (139 km.) de Metz à Charlevllle.

l<a moyenne de 30 kilomètres n'ayant pas été atteinte, le départ sera donné d'abortt aux touristes-routiers, les groupés devant partir dix minutes plus tard.

L'arrivée est prévue au vélodrome de la grande cité ardennaise pour 15 h. 15. DEMAIN ao* ETAPE

Ch«rleville-Malo-les-Bains

Chaneville (départ) 6 1. > Hirson (57 km.)_ 7 n. 40 Maubeuge (1U8 Km.) 9 û. 15 valenciennes (144 km.).» (0 n. Si Lille (193 fcm.) 12 û. • Malo-Ies-Bains (271 km., arr.j. 14 û. 45 UN AVION MILITAIRE TOMBE PRËS DE BALE Bàlc, 24 Juillet (dép. Ravas.)

Hier soir, vers 9 h. 30, un avion militaire français a été contraint d'atterrir près du village de Biel-Benken. En voulant se poser sur le sol, l'appareil toucha les fils d'une ligne électrique à haute tension et se retourna. Les deux aviateurs furent projetés hors de leur carlingue.

Le pilote, le sergent Allbert, âgé do vingt-trois ans. est atteint d'une fracture compliquée du bras l'observateur, le caporal Jolivot, âgé de vingt ans, a une jambe fracturée.

votre sentiment, 11 vous honore. Mais vous êtes vous-même mariée, je crois? Je suis mariée, en effet.

Et vous vivez loin de votre père. Ce changement dans sa vie ne vous sera donc guère sensible.»

Guère sensible! Vous en parlez bien à votre aise! protesta sèchement Gabrielle.

Je ne voudrais nullement vous froisser, madame. Il suffit que vous soyez la fille de M. Darennes pour que je me sente aussitôt portée vers vous et toute disposée à vous considérer comme une amie.

Gabrielle eut un geste vague qui pouvait toutefois signifier, et qui signifiait réellement: « N allons pas si vite, }e vous prie »

A l'âge qu'a mon père, reprit-elle, je ne crois pas être indiscrète en supposant que l'amour, de votre côté du moins, n'a pas joué un grand rôle dans vos projets d'union.

Antoinette rougit très fort:

J'ai accepté d'épouser M. Darennes. préclsa-t-elle, parce qu'il semble tenir beaucoup à ce mariage, que j'ai contracté vls-fi-vis de lui une dette de reconnaissance dont je veux pouvoir m'aequitter en l'entourant de mon affection et de ma sollicitude, et enfin parce que j'ai la conviction d'être heureuse grâce à lui.-

Qu'il vous rende heureuse, c'est peesible. du moins dans les premiers temps. Dans dix ans, nous en recauserocs. Mais que votre affection et votre sollicitude, comme vous dites si bien, lui soient indispensables, permettez-moi d'en douter. Mon père n'est pas seul au monde, II a deux filles Antoinette avait beau s'efforcer de rester maltresse d'elle-même, elle ne put réprimer un sourire.

Paris-Ies Pyrénées-Paris (du 27 juillet au 4 août) organisé par Moto-Revue

&Tec la concours du Petit Parisien La grande épreuve annuelle «le MotoReiue et du Petit Purisien est entrée dans sa phase active. Los engagements :Maiil clos sur un chiffre record, il a c:t<5 procédé au classement des concurrents en vue des opérations de pesuEC. Les opérations de pesage rt de plombage se feront sous le contrôle de commissaires sportifs de l'Association Motocyclecarisle do France, demain vendredi, 0y, route de la Révolte, k Levallois (porte de Cliamperret).

Voici les heures de convocation des concurrents.

14 Heures 6. Lçroy (Hoyal-spoit) 8. Moun-t (Sim-SoiùfapMHtc 9. Baudart (âaiiSou-Pap II; 10. SleYn^ (San-Sou-Pap III); il. Lardenois (San-Sou-Pap IV); 12. Calvet (Hovlu): 13. Drus (Lucifer); 29. Bila (Ai>înor) 30. qu Jaefluiêre (Clément-Gladiator) 31. Louis (Matoiat-Debon); 32. Mlssier (BoyalKnlleld).

14 h. 13 33. Malnpuct (UtiltS I); 34. Kels ser (Utilla II) 33. Maisonncuve (Velocctte); 3U. Mors (Rochestet); 42. Pcan (Peusreot). 14 11. 30 20. Renaud (C.-P. Roloo);43 (.\ufrère (Ind.); 45. Pou-Penneau (Ind.); 46, Vanel (Iud.); 48. François (Ind.); 40. Kaddar (Ind.); 51. Bacqira (Ind.)

11 h. 45 69. Boutillier (Saroléa); 70. Leclcrc (Saroléa); 72. Jarely (Ind.); 73. Labau (Ind.); 74. Peraldi (Ind.).

15 heures 1. Garot (Terrot i); 2. Destrube (Terrot H>; 21 Quenette (Terrot III); 22. Schneider (Terrot IV); 16. Boura (Slylson).

13 h. 15 3. Lacaze (Gnome-e-t-Rhône) 5. Bourgouln (Gnome-et-RSône); 5». iv'aas (Gnome-et-Rhône); 60. Bernard (Qnome-etRhone) 6i. Maillard Brune (Gnome-et-RKOne) 52. Nebll Dlno (Arlel I); 53. Goluz (Arlel II); 5i. Bobs (Arlel III); 5», Jarllor (Waudercr).

15 h. 30 5(5. Flachat (X.); 58. Maurice Simon (Saroléa); 65. Murgult (M.-G.-C); f>6. Venlu'iX.); 67. Elchaker (D.-S.-Maltcrre); 68. Gênons (D.-S. -Malterre); 17. Bodard (O.S.-Malterre).

15 u. 45 15. Baudry (Ind.).

16 heure* 7. Fouchy (Slylèon); 37. BardÈche (Styison); 40. ColoWc (Siylsoa); 41. Labaut (Slyison).

16 h. 30 50. Camplotll (In-d.); 76. Maréchal (d'Yrsan); 77. vilatier (Rosengart I); 78. Lani? (Rosengart II); 79 Véniel (Rosengart III);

16 h. 45 i. Gruyère (A.-G.-S.); 14. Pousse! (X.); 23. Màliaut (Ruvat); 24. X. (Soycr) 23. X. (Soyftr) 64. Tastet (X.) 75. Buet (Ind.); 80. Poggl <Ind.); 81. Mme Ferraïut (X.); 82. Clercx (Ind.); 83. Desurmont (Ind.); 17 lieures 2W Lliuissler (F.-?i. I); 27 IllChard (F.-W. fi)»; 28. Marciau (Peugeot) 30. Leng'agne (Helyett) 38. Flaliaut (Calthorlie) 44. Glastre- (Ind.); 57. Carré (F.-N.); 6-2. Dumoulin (Glllet-Herstal); 63. Dcbny (Giliot-Herstal); 71. Crouze (Glllet-Herstal). UN CADAVRE IDENTIFIE Boulognc-sur-Mer, 24 juillet {dèp. P. P.) Le cadavre de la femme repêchée à dix milles au large de Boulogne, il y a six jours, a pu être identifié. Il s'agit de Mme Doflger, née Louise Meyer, demeurant près de Berne. Elle était bien une passagère du City of Ottawai

BULLETIN FINANCIER Cours de la Bourse du Mercredi 24 Juillet

L'activité de la Bourse est toujours réduite à sa plus simple expression bien que d'une façon générale les dispositions d'ensemble soient un peu meilleures. On note, en particulier, une certaine reprise au comptant. Le marché du terme se montre aussi mleui disposé et sur quelques rachats, les valeurs françaises regagnent un peu de terrain. Sur le marché offlclcl, nos renies sont inchang-ées ainsi que no3 banques. Notons cependant l'avance de la Banque de France i- 25.180 (4-130). Parmi les industrielles, ce sont les valeurs d'électricité qui se montrent le plus fermes, .g-ag-nant toutes du terrain. Les charbonnages s-but aussi bien orientés

vaieiidc Cours Cours vaiciidc Cours | Cours VAtCMDQ I Cours { Cours VALEURS Iprte+di I amour VALEURS prSoM. | an |onr VALEURS [prteM,j,)oar PARQUET Société Marseillaise 1196 MARCHÉ EN BANQUE A terme et a» comptant g!î?iTFr°frfimmib. ^00 'soo A terme et au comptant Bsunue île France. ,2*5050.. 2^180.. iS0?(;ï,v;;j îm ÎIRO Bons Mcxlc. 6 7C1 775 Biwiaue-i'.llgèrie.. 14650.. 1B800., ™& n-iwiiwtl i«i km", Caoutchouc 2«5 Î08 BaiM. NatlOtédit. 1701 m» m JÏÏ,1^ te' 11" S" Ctertere- 240 50 240 Banque fie Paris.. 3205 3195 X,S"° S§2 b?2 Corocoro 72 25 76 Banque Transat! 1101 1203 S^TS 42Ï «5 t'rowo Mines 46a.. 407.. «anq. Union Parla. 2340 2845 èSS'Sï *••<; 517 vSt Colotnbla 228 2SO Compagnie Alger.. 2550 256. ï2S.£LfCTrénni" 24( n -"m Concorrtla 100 100 Comptoir (VEec. 20J5 2010 lw? lîXnrw" 120M Ï20M CrecUén. p«tr. «et. »76 960 t/rwllt. Fonder. 5SÏ0 5850 ?™V™£S 750 755 DeBeem 1545 1549 Crédit Lyonnais.. 8100 S190 iS ?wv ->530 2505 Easteni 197 1!)7 Créd. Mobil. Franc. 9S0 !)40 ™iKW 2850 2«7O Kr^tHaud 87 50 87 50 Sodété Générale.. 1856 1855 K™*mk.' 2OSO Ekaterine 40B •• 415 ?T SSS& 14i 3ô un i fig* &S i 5K83&: S8 il S«l Canal Marit. 23125.. 23025" §§£££". ?^ ll^ iwA. Ij*?™11 1§S •• »f •• Est. Uni" 1675": ?rei™ HaVaï"" 1478 H75 MttfcMKttto. 158 188 8Bf -•: \fS iffî ESSar i M~,nï°: El» iiî {fis; B S *-s*s=3 S » S » «sa* « n a s 8SMW ÏSS SS c6™-to5E^S SS II SSfe*» ï « S a Thomaon-Houfton 1192 1208 «iim4V1«M 457 457 Phosphates Tonat. §20 805 Eleofcdolaseine. 1028.. 1037 l'SVVÎ1: 305 il M5 I! «J"«*»^TuBto- £» •• $" ̃̃ fourrières 1638 184} Tunis 3 1902 372.. 37g Kand Mmes 381.. 382 fëiiiiIiiïi;B^:I::I:i^:i"8i'IiJ! Iranaatlant. ordin. 1212 1219 Bréuil 4 1889 S75 273 "ubiïe prlv 718 755 Voitures à Paris. 26«0 2670 chine 5 1913. 1010 1500

SaS-eSKi.0^ 21u 05 illl 20 Fffleîfffi– *S "S »5 Au comptant 5% 1908. 10 70 10 55 ra ° n-dmn ROO 781 Dette Ottom. unif. 93 85 94 55 /1871 367.. 368 ..™tSU

Ottoman 6 1914 86 25 87 86 1875 474 50 468.. ni?f_- B275 BS75 Banq. Nat.Mexlaue 735.. 742.. 1878 470.. 472 plï? Héiiiiée' 89600" 88700 Banq. Tmp. OttOBl. H4O 1575 J 1892 240 238 ?îf?ir d^MtaM 588 505 Central Mining. 2295 2290 S\ 1898 295 294 »“ Jî ïïSïi; Azote 3040 3050 11904 290 60 292 50 s,"îfi Rninii^' 226" 22a" Loutaro 8«ï 55« W/1905 891.. 392 s£ÏÏ^SR^" 255" an Sucrerie» d'E»ypte Mo.. 978 0,1910 2 254.. 254 ÏÏ3? ïSénOli' 39 75 39 25 A. Citroen, actions. Iti78 169S ajl910 3 265 261 50 r^vIjèS 39700 39850 Peugeot, actions.. 750.. 760 311912 243.. 244 50 S2, 5G8' «1 Au comptant > >« j» Jj| gml^n.^t.parta uaoo.. ntoo.. 3% 75 2i 75 15 ïolî«'«i.*V"" -?n 522 •• Est Asiatiq. Danois H5Ô il 7050 S ir, iiAortlssable.. 82.. 82 85 \}JÎJ?î?iS«i un 59? •• Sumatra 3050 3150 3 # «mortlss 94 20 MMS7 (mât.) 520.. 521 Arg(!ntin 6 o/o i910 430 25 481.. 5 1915 10Î 85 102 70 1S7B 488 4R« Brésil 5 1914. 412.. 411 4 «5 1917 92 05 92 80 îggS joi 500 Colombie 5 1906 2415 2405 4 1018 9180 91 70 igoï S5 o«o •' Mexique 5 1899 5 1920 125 90 125 00 s ÏSO» 307 lo? Monaco 8275 8275 6%1920. 103 20 103 25 3 JagS S, SXl ;a Le Kétol

1925 128 95 12« 50 < Î96J SÏ»" ,»5 50 S"»- F«>. Paris, net 5B50 5160 6 1927. m m 20 g isïs ̃•• ff* a, î#g 50 d»™>. io?oo.. 9900 6%i928 100 50 10045 g 1920 «2 ««•̃

WttS£îSg i \p% jg gj cours des changes 7%1927 682.. 582.. Ïg-.T IJâ" iV, • ̃ Xew-Yoric 25 51 26 61 Obligat. 6 1027 508 50 508 50 0W" Î">U Belg.. lf«100duc.. 354 75 354 50 CalSK Auton. 1926 947 948 50 (1879 498 50 498 50 Berlin, les 100 mar 608 75 Crédit Nation. 1919 875 575 SS 1883 295 295 Espafme 372 371 12 1920 528 528 5H885 295 Ï96 Hollande 1024 1023 75 1921 550.. 550 S 11895 320.. 318 Italie ISS 50 138 55 1922 630 636 S<190S 840 839 Roumanie

nouv.1922 527 .i 527 SÎ1909 172 169 60 Suède 684 25 janv. 1923 555 651 g/1918 S H 850 350 SutaK 490 50 491 juin 1928 547 547 Sf 191» 4 423 50 424 Vienne

mi* 554 553 \1917 284 284 50 Prague 75 70

Pourquoi souriez-vous?

Al- je souri? En tout cas, le ton sur lequel vous me parlez ne m'en donne pas envie. Si j'ai souri, c'est malgré moi. Que disions-nous, madame? Je vous disais que mon père a deux tilles auprès desquelles il est sûr de trouver, le moment venu, les soins que sa vieillesse exigera.

Peut-être a-t-il en effet cette certitude cependant, W ne m'en a jamais donné l'impression, et votre conduite à son égard.

Qui vous autorise, madame, à vous faire juge de ma conduite?

La liberté que vous avez prise de vous occuper de la mienne, tout simplement. Au surplus, il est inexact de dire que je me fais juge de votre conduite. Je constate seulement que vos rapports avec M. Darennes ne sont pas de nature à le rassurer sur le sort qui sera le Bien dans ses vieux jours. Décidément, c'est une leçon Mais à charge de revanche Permettez-moi de vous dire, madame, que je m'étonne, ou plutôt que Je ne m'étonne pas, de vous voir décidée h épouser mon père à la veille du jour où il va retrouver une fortune.

Une fortune?

Antoinette écarquillalt les yeux. Les faits sont là, insista Gabrielle. Vous savez comme moi qu'un de ses anciens employés recherche mon père. Vr-'s savez que cet homme, grâce à l'argent prêté par mon père, a fait for»tune au Brésil.

Je sais, en effet, que M. Sennevllle doit à M. Darennes une somme de cinquante mille francs. En admettant qu'il ait l'intention de la lui rendre, il est prématuré de parier de fortune; c'est de la fantaisie

Ce que vous appelez fantaisie, madame, est la simple réalité de demain.

La réforme de la patente -MM. Louis Rollin, Lamoureux, Georges Pornot de Tinguy du Pouët, ïasso, Frédéric Brunet et plusieurs de leurs collègues viennent de déposer l'amendement suivant au projet relatif aux impositions départementales et communales, en ce qui concerne la réforme de la patente Le» majorations de loyer résultant de l'application de lu loi du 29 juin 1929 nu devront pas entrer en ligne de compte dans le calcul de la patente.

nu ce qui concerne les loyers professionnels non assujettis h ladite loi et les loyers commerciaux dont la valeur locatlve ne dépassait pas, en 1914, a Paris et dans le département de la Seine et dans un rayon de 50 kilomètres des fortifications de Paris 9.000 rrancs; dans les villes de piu3 rie too.000 habitants et dans les communes limitrophes 6.000 franc* dans les villes au-dessous de 100.000 habllams 3.000 tr.. la partie de ces loyers dépassant cette valeur locatlve de 1914 ne pourra entrer en llS'iie de compte dans le calcul <lu la putente que jusqu'il concurrence des majorations nxée3 par la loi d'avril 1026 pour les loyers professionnels.

Daus le cas où l'application de celle disposition entraînerait une diminution dans le rendement actuel de la patente, les départements et Ici communes pourront vot»r dos centimes additionnels spéciaux à la conMibulion de la patente pour compenser cette perte.

En aucun cas, le montant de la patente ne pourra dépnsser le prix du loyer. Les élections municipales de la Guadeloupe

Agissant au nom de M. Gratlcn Candace, député de la Guadeloupe, M* Maurice Rihet vient de déposer entre les mains de M. Vlllette, juge d'instruction, ,une plainte pour corruption électorale, a propos des élections municipales d'avril dernier, contre M. Tellier, gouverneur de la Guadeloupe. M. Glard a été commis pour enquêter 6ur les faite signalés par M. Candaoe-

SI VOUS AVEZ UNE HERNIE NE PORTEZ PAS DE BANDAGES à. pelotes dures, qui risquent d'aggraver votre mal. En effet, pénétrant dans l'ouverture herniaire comme un bouchon dans une bouteille, ces pelotes écartent constamment les bords de l'orifice qui livre un passage de plus en plus grand à la hernie. La méthode du docteur Livet-Garigue, da la Faculté de médecine de Paris, permet, au contraire, le rétrécissement naturel et normal de l'anneau herniaire, sans aucune souffrance pour le hernieux. Celui-oi n'a donc plus à subir la gêne habituelle des bandages sans pour cela être obligé de se faire opérer. Pour que les lecteurs atteints de hernie puissent apprécier l'efficacité de cette méthode, l'expoeé de cette importante découverte sera expédié gratuitement et franco par la poste, discrètement emballé, aux personnes qui enverront cette semaine leur nom et leur adresse à l'Institut orthopédique de Paris (Division 10), rue Eugène-Carrière, 7 bis, à Paris. Puisque cela ne coûte rien et n'engage à rien, dans votre intérêt ne manquez pas de profiter de cette offre.

avance do Citroën à 1.693 (4-15) et de Pathé, jouissance à 529 ( + 11).

Peu d'atraires dans le grroupe étranger, le Suez faiblit à 3.02Û (– 100) le Rio ne varie lias. On note surtout la fermeté dea valeurs ottomanes Banque Ottomane, 1.573 (+35) 5 1014, 87,85 contre 86,20.

Sur le marché en banque, l'Impression générale est au=3l meilleure, notamment sut les pétrolifères, qui opèrent un redressement sensible Crédit Général, 990 (+14) Malopolska, 358 (+15). Caoutchoucs indécis Padàng-, 1.008 (–7) rermeté de la Tuntze, à 7S5 ( + 37). Groupe sud-africain délaissé, cle même que les valeurs françaises.

L'assurance, l'autorité de Mme Lesteur commençaient à troubler Antoinette. Décidée à bluffer et à jouer le tout pour le tout, Gabrielle poursuivit: J'ai vu M. Senneville. Je connais ses intentions. Et je vous avertis que si vous persistez dans les vôtres. Eh bien?

Eh bien vous ne ferez croire à personne que vous ayez agi avec désintéressement.

Antoinette se dressa en sursaut: Oh madame. C'est affreux Pouvez-vous dire?.

Affreux ou non, c'est la vérité. Et qui sait si dans six mois, mon père luimême n'en viendra pas à se demander si vous ne vous êtes pas décidée par calcul?

Antoinette dut se rasseoir. Ses jambes vacillaient.

Madame, dit-elle enfin, j'étais décidée à unir ma vie de travailleuse à la vie d'un travailleur. Mais je n'épouserai pas un homme riche!

Une flamme brilla dans les yeux de Gabrielle.

Elle avait touché l'endroit sensfble. Vous dites que si mon père était riche, vous ne l'épouseriez pas? Je le jure Si pénible qu'il me soit de renoncer au tranquille bonheur que je me promettais de goûter auprès de lui. dans une vie de travail et d'affection partagée, je ne pourrais pas supporter l'idée qu'un Jour mon mari &<i soupçonnerait d'avoir été vénale™ Et mon pauvre petit Jean!.» Lui qui aime tant M. Darennes Mais 11 se trouverait des gens pour lui dire, à lui aussi, que je me suis vendue! Non, non. cela ne sera pas.

Elle ne pouvait plus retenir ses larmes.

J'ai rempli un pénible devoir, lui dit Gabrielle en se levant, Pardonnez-

Les feux follets dans la rénovation de l'estomac

C'est ainsi que l'on pourrait dénommer les résultats obtenus par l'emploi c!e nombreux remèdes préconisés journellement & tous ceux qui souffrent d'une affection de lestomao récente ou ancienne. Ces c-almants momentanés n'ont pas la prétention d'être autre chose que des palliatifs en attendant mieux. Ce mieux peutil être réalisé? Eh bien, ouil Aujourd'hui, vous avez la possibilité, non pas seulement de calmer vos douleurs d'estomac digestions pénibles, somnolences et états consesilfs après les repas, renvois, acidités, aigreurs, brûlures, fermentations suivies ou non de diarrhée ou de donstipation mais encore celle de rénover votre estomac, c'est-à-dire de lui restituer ses qualités premières de façon définitive. Il ne suffira que de vouloir vous laisser convaincre. Notre méthode, au-ssl simple qu'efficace, consiste dans ̃l'emploi de ipoudres soientlflquee choisies «t dosées, agréables à prendre et mélangées soim le nom de QASTR0KALM.

La boite U tr. 20

Aux personnes atteintes d'affections tenaces, il est indiqué pendant la durée du traitement do supprimer toute boisson irritante et dé faire usage de tisane digeetive Coussinet. La boita 5 Ir. 10

Bn vente dans toutes les pharmicles et aux laboratoires de da Pharmacie Cciisslnot, 20, rue des Martyra, Parls-IX» CONCOURS DU 6 JANVIER 193O INSPECTEUR DE L'ÉTAT SUR LES CHEMINS DE FER Pas de diplôme exigé. Age 21 à 30 ans ou plus (serv. mil.) Beau traitement. Carte clrcul. grat. en 1™ classe. Rens. sjrat. par l'Ecole 8péolale d'Administration, 4, r. Férou, Paris-»

moi, madame. Si cruelle que soit votre décision, elle vous vaudra l'estime de tous les honnêtes gens. Adieu, madame, soyez forte!

Adieu. murmura Antoinette. Accablée, comme morte, le visage exsangue, elle restait sur sa chaise. Gabrielle se dirigea seule vers la porte.

On entendit alors, venant de l'escalier, une voix enfantine, joyeuse bien qu'un peu essoufflée par la montée. Une autre voix lui répondait.

C'étaient Florent Darennes et le petit Jean.

Comme prise au piège, Gabrielle touiN naît sur elle-même.

Déjà Florent Darennes était dans ta chambre.

Devant le visage désolé d'Antoinette, où des larmes mal essuyées brillaient encore, il s'écria:

Ma pauvre amie, que vous est-il arrivé?

Il lui baisait les mains.

Mais relevant la tête et apercevant sa fille:

Gabrielle! Toi, toi ici!

Oui, j'avais à parler & madame. Nous sommes complètement d'accord, maintenant, n'est-ce pas? ajouta-t-elle en se tournant vers Antoinette. Et serrant contre elle son manteau, elle sortit, non sans avoir ajouté: A demain, papa! Je passerai te votr chez toi, dans la soirée.

La porte refermée, Florent scruta anxieusement le visage d'Antoinette: Que s'est-il nasse, ma chérie ? Allez-vous m'expliquer ?.

Elle eut un geste infiniment las. Qu'est-ce que ma fille a pu vous dire pour que je vous retrouve en pareil état ? Qu'a-t-ellé Imaginé ? Qu'a-t-elle Inventé pour vous faire souffrir Elle

est souvent méchante, je le sais bien t Mais il ne faut pas lui en vouloir elle n'est pas heureuse

Antoinette sanglotait silencieusement. Antoinette, mon amie, vous devez tout me dire

C'est vous, Florent, qui auriez dû tout me dire

Et qu'y a-t-Il, mon Dieu 1 que j« vous aie csiché ?

Florent, mon cher ami, Je savais que vous étiez d'un milieu social différent du mien. Pourtant, si J'avais consenti à vous épouser, c'est parce que je croyais unir ma vie d'ouvrière à celle d'un homme qne de malheureuses circonstances avaient fait presque aussi pauvre que mol.

Eb bien Ma nouvelle situation est-elle donc si brillante ? Hélas non t Et je me le reproche assez Je serais si heureux de vous gâter, de vous faire oublier la pauvreté Mais c'est une toute petite aisance que je vous apporte 1 II l'attirait contre lui.

Florent, je connais votre cœur I Mais on n'est jamais seul dans la vie il y a les autres. Le monde me jugera sévèrement, croira toujours que je vou« ai épousé pour votre fortune™

Ma fortune Elle est loin, hélas 1 Pas si loin que vous le dites Et c'est en cela que vons avez peut-êtr» manqué de franchise envers mol™

Ce monsieur Sennevllle qui vou» recherche ne veut pas seulement voua rembourser cinquante mille francs, que vous lui avez prêtés Jadis. N'a-t-li pas l'intention de mettre à votre disposition la moitié d'une fortune qu'il a acquise grâce à vous.î

{A suivre.) Jean Le Gpersb

FemmesAveuôles Beaucoup de femmes s'aveuglent sur l'effet des fards, crèmes et poudres. Elles croient pouvoir se refaire ua nouveau teint en recouvrant l'ancien au moyen d'artifices et s'imaginent que les boutons, la couperose ou Ta rugosité de la peau peuvent être cachés. Jamais erreur de femme ne fut plus profonda, car un teint sain et naturel peut seul être réellement beau. La peau perd sa beauté naturelle lorsqu'elle est malade, mais la recouvre dès qu'elle est redevenue saine. Pour avoir raison de la rugosité de la peau, des boutons, tacnes. éruptions, dartres, employez la Pommade Cadum qui est le remède le plus efficace contre les affections de la peau. Chemins da fer du P.-O. et de 'Etat LIAISON AUTOMOBILE LA BAULE-DINAJID. En vue de faciliter aux villégiaturants de la Baule et (le ninard l'accès rapide d» l'une & l'autre station, lu Compagnie d'Orléans et le réseau de l'Etat, viennent de créer en commua un service automobile entre ces deux villes.

Départs de la Baule 1! h. 30, Arrivées a Dinanl, 18 11. 30 en juillet et du 1" su 14 septembre, les mardis, Jendis et samedis; en août, tous les jours.

Départs de Dinard, 12 h. 30. Arrivées i la Baule, 18 b. 30 en Juillet et du i" au 13 septembre, les lundis, mercredis et vendredis en août lous les jours.

Prix par voyase simple l«0 lrtncs.

Elle se dégagea

II eut un rire amer..

Je ne comprends plus du tout


Une médaille du président Hoover Cette médaille, dont l'avei'3 représente le président de la République des Etats-Unis, M. Herbert Hoover, et le revers les armes qu'il a adoptées ainsi1 que la date de «nn élection,

vient d'être frappée par ta Monnaie de Paris. Elle est due au ciseau de Mme Annie Mouroux, qui l'a composée en France, au retour de son dernier voyage aux Etats-Unis.

Une Importante innovation vieni d'être Introduite par le gouvernement autrichien en ce qui concerne l'entrée temporaire des automobiles et motocyclettes étrangères dans le territoire autrichien.

Dorénavant, les automobilistes pourront pénétrer en Autriche, pour un séjour rte dix jours, sur la simple présentation du certificat international de roule prévu a la convention de Paris du lt octobre 1909, sans avoir besoin d'un triptyque ou d'un carnet de passage en douane.

m p|| ̃ T Brillants J. 8.000 fr. carat. Al H 11 I Argenterie. Or.

HwllH I Dentiers très cher

DANIEL, SS, rne Rivoli. Métro Châtelet. MÛNTGFRON *H «&««»« "» 1V1U11 X U£KU11 CHALANDHAÏ A la gare, près marché. Bx terrains, e., g. et.. Jolie vue. Px mortér., racll. palom. Vente t. 1. jours. Douceraln, 24, r. de Crosnes, Montgorrn

Obsèques d'Ldouard Risler Les oljsèques d'Edouard Hisler, membre du conseil du Conservatoire, ont été célébrées hier, à midi, en l'église SjintPliilippe-dti-Houle.

La levée du corps fut faite par l'abbé Carra, vicaire de la paroisse la messe, en plain-chant liturgique, fut célébrée par le chanoine Coulombeau, curé arebiprêtre de la cathédrale de Chartres, ami personnel du défunt. Le chanoine Colombe curé de l<i paroisse, donna l'absoute. Après le Pie Jesu, de Loisel, exécuté par !a maltriee, sous la direction de M. Jean Gallon, 6e déroula, devant le cercueil qui disparaissait sous les couronnes, le long défilé des notabilités du monde musical et artistique et des amis d'Edouard Risler.

M. Louis Barthou, ministre de la Justice, s'était fait représenter par un membre de son cabinet.

Puis le cortège, dans lequel M. JeanFrançois Rifiler et Mlle Elisabeth Risler conduisait le deuil, s'achemina sous la pluie vers le Père-Lachaise où, sans aucun discours, l'inhumation a été faite dans un caveau de famille.

Les élèves de l'école de Qrignon vont partir pour le Canada Grâce à la généreuse Initiative du comité France-Amérique, les élèves de l'école supérieure d'agriculture de Grlgnon s'embaTqueron» à Cherbourg le 3 août pour se rendre au Canada. La mission sera dirigée par les professeurs Mamelle, Ftambaud et Guerlllot. Au cours de leur voyage, les grlgnonnals étudieront 103 principales productions de notre ancienne colonie au double point de vue technique et commercial. Le retour aura lieu dans le courant de septembre.

Obsèques du baron Davillier Les obsèques du baron Davillier, régeni de la Banque de France, ont été célébrées hier matin, en l'église Saint-Philippe-duRoule.

Parmi la nombreuse assistance on remarquait MM. Moreau, gouverneur de la Banque de France, entouré des régents et du haut personnel de la banque M. Renaudin. président du conseil d'administration, et le haut personnel de la compagnie de l'Est M. Alexandre Millerand, le maréchal et la maréchale Lyautey, le général Pau M. Paléologue, ambassadeur de France le vice-amiral Grasset et une foule de notabilités de la banque et de la haute industrie parisienne.

APPARTEMENTS

a CoiouitK'ï, angle rue des Henoulliers et rue l'aul-Bert, très bien situés, près stade I, 3 et 3 i)lèCL';t cuisine, salle de (louches nu bains, w.-c, eau chaude et chauffage central. Loyer de 2.500 a 5.000 francs.

Ou près jquare a 150 mètres du lot ci-<ie=sus, appartements 3 et 4 pièces, même confort. 4.<00 a 6.000 francs (aucune reprise ni rétribution». S'adresser aux GARDIENS, 13, boulevard Edgar-Quinet, 21, me Ambrotse-Parè. à Colombes

sumDuumn ACTUELLEMENT I

QUINZAINE

Ayant le perpétuel désir de la recherche du nouveau, les GALERIES LAFAYETTE se trouvent, chaque saison, dans la nécessité de sélectionner leurs stocks et de SOLDER avec d'importants rabais un nombre considérable d'articles qui n9ont fait que passer et qui n'en doivent pas moins céder la place à d'autres, nés de l'orientation nouvelle de la mode.

GRATUITEMENT «1 RftiU voar un TERRAIN de SOû metr. DVItI avei; Joli chalet-abri de Jar'lin. 2 pièces, situé à ESBLY dans le morcellement de l'Ile Fleurie et offert gratuit1 par l'UHlON CENTRALE IMMOBILIEHE, 12. r. de Strasbourg, Paris-10», i comme prix spécial au concours de pêcbe à la ligne du Syndicat des [>ê- «̃Meurs d'Esbly et de la région qui aura j lieu ;<: DIMANCHE 4 AOUT 1929 lienseiîfnemrnts il M. DELHAT. Caîè de i tgjjiâi la Renaissance, à ESBLY SSi^

BOU«Alf-suH-juiN£ (SeJno et-oise) M minutes di» l'aris-i.ijrne elei:triuue Pu Lu vraie cainpajene, cure d'air, ueche Beaux terrains à bntir i la «ortlf de la jjare' «rlnT^Ï.1 'a convenance de l'acneteur. nLRLUE. r,e l'are a <; gare fle Bouray. L'AGRICULTURE NOUVELLE Le numéro 75 centimes

PAPIERS PEINTS SOLDES AVEC UHOS UABAIS

35 boulevard dt la ViHett», qe UB) IJien observer le numéro. V» HSF&§ ACHETE CHERTOUS ̃ JBIwOllA DÉGAGEMENT GRATUIT ̃V m DU CRÉDIT MUNICIPAL- EXPERTISE *ue des Archivas .23. METRO: HftteldeVill» m il h it n il r ii i iiPTnr maoazimh 1 1 1 rJI H [y I i H r 1 1 In Hr iu.ustb« UlmnlIUllL ILLUulIlL EN COULEURS «nuisant el instructif. Ifi nages. 50 centimes

UN PROBLÊME D'HYGIÈNE, SOCIALE Le conseil municipal de Paris demande qu'il soit résolu pour les concierges et les domestiques comme il l'a été pour les autres travailleur» Dans un jugement concernant une jeune domestique, un (tes considérants était ainsi rédigé « il est de notoriété çju"à Paris c'est au dernier étage, où les jeunes filles se couchent, qu'elles contractent la tuberculose et parfois de pires maladies. »

A cela, il est vrai, bien des maîtres répondent qu'ils n'y peuvent rien et que ce n'est point leur faute si les maisons bourgeoises, à Paris, sont disposées de telle sorte que les chambres des domestiques y sont indépendantes des appartements occupés par les maîtres.

Le jugement tient compte de l'objection dans une certaine mesure il reconnaît que la responsabilité des propriétaires est plus engagée en l'espèce que celle des locataires. Aucun article du code ne règle sur ce point les rapports des maîtres et des domestiques. C'est une lacune qu'il importe de combler. La question est, en effet, importante. Klle intéresse de nombreux travailleurs I D'après 12 dernier recensement, la corporation des gens de maison compte, en effet, à Paris, environ 270.000 membres. Il y a t. 200.000 domestiques en France. Beaucoup trop sont logés dans des conditions déplorables. Cette question d'hygiène sociale a déjà, en son temps, été signalée par Juins Simon qui. dans un discours prononcé à la Société des habitations! à bon marché, insistait sur l'urgence des mesures à prendre. « II faut, disait-il, que notre œuvre se préoccupe du logement des domestiques je vous en prie, pensez à ces demeures do luxe au-dessus desquelles il y a de misérables mansardes où sont empilés des domestiques voilà, des habitations que vous ne surveillez pas. » Dans son mémoire à la Société des habitations à bon marché, M. Béchous Insistait sur l'insécurité où sont les jeunes filles que les besoins ou les tristes3cs •le l'existence ont condamnées au rôle de domestique.

Souvent les clefs des chambres sont les mômes et s'adaptent indifféremment à. toutes les serrures. <. En visitant un vaste immeuble que je devais réparer, dit Georges Picot, j'ai rémarqué que les verrous et les serrures des portes avaient été dévissés dans toutes les chambres habitées par les femmes et que les malheureuses étaient ainsi privées de toute défense. »

Le problème a retenti en Franc", aussi bien qu'à l'étranger, l'attention de nombreux hygiénistes. Leur KCtion a déjà produit quelques résultats. Le règlement sanitaire actuel de la Ville do Paris édicté des prescriptions dont blnétlcinront Ins. concierges dans liv» futurs immeubles. Leur loga, d'aprèe ce reniement, ne pourra pas avoir une surface inférieure à 12 mètres; oîi-uftio pièce devra être munie d'un oondu!» do fumée, éclairée et aérés directement. Les cuisines de concierge devront également être éclairées et aérées directement aveo tuyau de fumée, cheminée de ventilation, etc.

Pour faire bénéficier les domestiques des mêmes améliorations, M Emile Massard a fait adopter au conseil municipal un projet de résolution invitant l'adin'nistration à interdire l'habitation, en vertu de la loi de 1902 sur la santé publiaue, de toutes pièces non éclairées et aérées par une fenêtre à proscrire les lucarnes dans les chambres à coucher situées dans les combles ou ailleurs. La vigoureuse application de tous les règlements d'hygiène peut déjà, d'ailleurs, apporter une notable amélioration au sort des concierges, domestiques et employés couchés. Leurs prescriptions devront être, notamment, rigoureusement observées dans les constructions nouvelles édifiées en vertu de la loi Loucheur.

L'assemblée, sur la proposition du conseiller de la Plaine-Monceau, a, d'autre part, émis le vœu qu'une loi intervienne obligeant les services compé-

A Pieds sains Santé florissante U n'est nullement besoin d'être expert pour distinguer parmi la foule ceux dont les pieds sont sains. On les identifie à leur allure marche rapide, alerte, ardeur au travail, visage réjoui. Les chaussures ont conservé l'élégance de leurs lignes, les pieds sont à l'aise.

Si vous souffrez de pieds anormaux ou sensibles vous pourrez maintenant retrouver et pour toujours les joies que procurent des pieds en parfait état. Les Appareils du DsSchoJl

apportent un soulagement immédiat et assurent la correction permanente de toutes les causes de maux de pieds. Légers, ils se portent invisibles dans les chaussures ordinaires. Construits sur des données strictement anatomiques, ils ont reçu l'approbation des Corps Médicaux du monde entier. Des milliers de personnes portent chaque jour les appareils du D' Schoil et ont retrouvé, grâce à eux, l'aisance de la marche, le bien-être absolu, le confort des pieds et la santé. Quel que soit le mal dont vous souffrez il existe un appareil du Dr Schoil qui vous soulagera instantanément. Sur demande, envoi de la brochure Traitement et Soins des Pieds par le Dr Schoil et d'un échantillon gratuit de Zino-pad pour cor. Conseils gratuit* et

| Schoil

h 2, boulevard des Italiens (Coin du Nouveau Boulevard Haussmann) Ainsi que 44, rue du Louvre,

et *O. Faubf. Montmartre PARIS

tents du ministère du Travail a «ccordpr aux concierges et domestiques la même protection qu'aux autres travailleurs. En effet, si paradoxal que cela paraisse, lag domestiques attachés à la personne sont exclus d« lois de protection dont bénéficient, en matière d'hygiène du logement, le» autres oteeses laborieuses. En adoptant ce vœu, le« édiles parisiens ont témoigné de leur désir de voir la loi affirmer pour tous une égale sollicitude. Aristide Véran. ENSEIGNEMENT L'Antociatien d*ê directeur» et Verse trietê J'icoU» normal* i va-t-mll* a» transformer en tyndieat 7

Un de nos confrères a annoncé dernièrement Ja transformation d'une des trois amicales des inspecteurs et Inspectrices de 1 enseignement primaire eu un syndicat mil « par son affiliation à la Fédération frénéralp (le I enseignement, va être inscrit ipso facto à la Confédération générale du travail. Les inspecteurs primaires ont toujours compris qu'ils y avaient Jeur place a tenir et leur rôle » remplir a côté des instituteurs. »

Le même conrrere laisse entrevoir comme posstljle et prochaine la transformation en syndicat de l'Association amicale des directeurs et directrices d'écoles normales. Ce qui est exact, c'est que cette transformation a été proposée, lors de l'assemblée Srênéraie du 3 avril dernier, par une directrice d'école normale d'institutrices de l'académie de Lille. On a décidé de publier au bulletin corporatif un article favorable et une thèse opposée puis d'organiser un référendum. « SI la majorité absolue se déclare pour la transformation, fit remarquer le président de l'assemblée, cotte transformation ne sera pas réalisée ipso facto le conseil d'administration considérera que la question de principe est acquise et 11 étudiera sans délai les conditions pratiques de la transformation. »

Cn haut fonctionnaire de l'université, qui connaît très bien les écoles normales leur personnel enseignant et administratif, a bien voulu nous exposer les motirs de la décision prise le i avril.

Les directeurs et directrices d'écoles normales se demandent s'il n'est pas temps, pour eux, d'aller au syndicat. Tour des raisoni toutes pratiques, depuis trots ans, l'Etat les y pousse; présentement. 11 les y accule enfin, ils n'aperçoivent plus d'autre moyen de retrouver leur place légitime dans la hiérarchie des traitements.

Ces dévoués fonctionnaires sont choisis parmi les inspecteurs primaires pourvus d\i professorat et comptant plusieurs années de service dans l'inspection. Leur t*cb« est lourde, leurs attributions complexes, leurs responsabilités très sérieuses. Aussi Joulssalent-ils jusqu'Ici d'un traitement d'élite 800 rrancs de plus que tes Inspecteurs primaires, ce nul reralt maintenant 4.000 franc» d'écart. Or, depuis trois ans, tous les rajustements de traitements effectué.? cbei les fonctionnaires ont fait rétrograder i tel point les directeurs d'E. N. qu'Us en sont unanimement ulcérés. Aujourd'hui. l'inspecteur primaire qui reçoit une direction subit une • perte de traitement • de *» a 3.000 rrancs par an. Cette singulière conséquence d'un avancement est paradoxale, inique, révoltante. Pour retrouver sa situation pécuniaire d'inspecteur, le nouveau directeur d'K. N. devra accomplir quinze années de services L'Association des directeurs et directrices d'E. N. a multiplié ses démarches pour faire disparaître cette injustice. Ses efforts restant vains, elle imagine ils. se dérendre en se pilant aux nécessités du moment. Parlement, gouvernement, hautn administration prêtent une oreille docile aux revendication* syndicales les directeurs et directrices envisagent donc, sans hésiter, la transformation de leur association ,en syndicat confédéré. ̃

Le dernier numéro du bulletin de l'Amicale directoriale publie un article exposant • te* raisons que peuvent avoir les directeurs d'E, ]V. de transformer leur assoctatlou en un syndicat qui adhère a la Fédération gér nérale de l'enseignement et à ia C G, T.» Hédirc par uu chaud partisan des syndicats, de fonctionnaires sroilés a ia C. G. Tt, cet article attribue naturellement à. de tels groupements toutes les. vertus corporatives. sociales, etc. Il es: regrettable « pour 1* bonne règ-te du peu • qu'on' n» trouve pw dans ce bulletin un autre article etuosunt !» thèse contraire, ainsi que l'avait prévu l'assemblée générale d'avril dernier.

Maurice Jeeenara.

̃«» r

mise: en liberté Faisant droit, à la requête de M" MarUnaud-Déplat et Marcel Massot, M. Bossu, juge ^instruction, vient d'ordonner la misa en liberté provisoire du droguiste Alexandre Baron, qui, le- 15 juillet dernier, 4, rue Ernest, tua.de cinq coups de revolver M. Albert Tronsson.

démonstration en privé


Le crime de Franconville L'assassin de M"" Darlan va répondre «l'abord d'un vol

M. Boyer, juge d'instruction à Poritoise, pousse activement sou information concernant le jeune garçon boucher Moricè qui, è iKranconville, on le sait, assassina, sauvagement Mme veuve. Darlan. \a< magistrat interroge actuellement diverses rentières de Franconville, qui, ansez-âgoes, vivent seules et furent frappées par .l'ût range altitude à leur égard du jeune Moiïce.

Celui-ci comparaîtra ces jours-ci, pour vol et abus de. confiance; commis au préjudice, de son patron, devant le tribunal correctionnel de Versailles.

C'est -seulemsnt on- octobre, (fue le jury <lo Seïne-et-Oi?o aura à .connaître de l'assassinat dont il- s'est rendu coupable. .\lorice sera défendu par M* Farges, tandis <in<? Me Théodore Valensi représen«~

Le congrès homéopathique franco-américain

La séance inaugurale .du congrès homéopathique franco -américain s'est Elysées. Une assistance nombreuse applaudit le D' Léon Vannier dans l'exposé extrêmement clair et précis qu'il fit de ses théories. Le conférencier, après avoir défini le principe, tellement simple, de l'homéopathie, passa en revue les différentes méthodes d'Investigation dont elle, s'accompagne

M. Nelson, architecte américain, commenta en anglais la conférence du Dr Vannier et présenta au public un projet d'institut homéopathique, dont il est l'auteur. On applaudit vivement au procédé ingénieux qui doit permettre à une centaine d'assistants, internes et élèves, d'assister aux consultations, alors que le médecin traitant et son assistant seuls se trouvent en présence du malade ainsi sera respectée l'intimité du malade,' riche ou pauvre. UN BANQUIER RENVOYÉ EN CORRECTIONNELLE

M. Rrack. juge d'instruction, vient de renvoyer devant le tribunal de police correctionnelle, sous l'inculpation d'escroquerie, d'abus de- confiance et d'émission de chèques sans provision, le banquier Auguste Moreau. demeurant 12, 'rue Caumarlin.

Le préjudice éprouvé par les victimes du financier y été évalué à, 3 millions de francs par l'expertise comptable.

LE GALA DE LA CHANSON Nous rappelons que c'est ce soir Jeudi, à 20 11. DU, qu'aura lieu, an Palais de la .Mutualité, le grand gala de la chanson, au profit de la Maison de retraite des artistes, lyriques (fondation Dninem). Toutes les1 vedettes des caf eonc' et du music-hall prêtent gracieusement leur concours a cette soirée. Prix fies places :• de 5 a 20 francs -a»-

Le nombre des passages pour piétons

va être augmenté

Les « passées clouté?» ont considérablement facilité ia circulation des piétons dans Paris. On va en augmenter le. nombre. C'est ainsi que 'l'administration 'se propose «l'en Installer place de la Bastille, entre 1» Les refuges-quais devant la station du chemin de fer métropolitain et la gare de Vlncennes

!• Le terre-plein central et la rue du ̃Faiibourjr-SaiM-Antoine et la rue de Charenton'

3» Lo terre-plein central et le trottoir entre le boulevard Henri-IV et la rue SaintAntoine

4° Le terfc-plcin central et l'angle du boulevard Rlçhard-Lenoir et du boulevard Beaumarchais!

Des passage» ont été également prévus pour faciliter aux piétons la traversée de la rue. du Faubourg-rSaint-Antoine et dn boaleverd Beaumarchais.

̃ UNE FÊTE DES SOKOLS ta société de gymnastique tchécoslovaque de Paris «Pofcolxa donné hier, au gymnaso Huyghens, une belle soirée de frymnastique, fous le patronage dé M. Stephan Osusky, ministre de Tchécoslovaquie, et sous la présldenc d'honneur rie M. Sansbœuf, pour commémorer le 40e anniversaire de l'amitié fraternelle entre les gymnastes fronçais et tchécoslovaques.

La Promenade des mutilés la « Promenade des mutilés », oeuvre •»ationa-le des automobiles pour invalides (te guerre, organise, pour le dimanche 28 Juillet, sa deuxième sortie de l'année, laquelle est exclusivement réservée aux amSutés et aura Heu en forêt de Fontalne-

eiïBJ|KSCUISSÊS Industrie

AJUSTEURS-OUT1LL. PÎ\ÔFÉSSION.\ELS OUVRIERES petit montage

MONTEURS pour ACCUS

SOUDEURS AUTOGENE

CHEFS D'EQUIPE produits chimiques. Bons salaires et frais de déplacement. ACCUS DININ

S3, rue de la Croix, NANTERRE. Âjusteu rs=omtilleu rs POUR L'OUTIL A DECOUPER

BON SAXAIRE

S'adresser 13, rue des Favorites (15«). '&>ns êlectriciensTmécanTclens et chaudronniers pour entretien usine sont demandés. Logement avec jardin assuré. Ecrire sans timbre pour réponse ou se présenter. Fàtre connaître prétentions et références. Société Bozel-Maletra,

a cuise-Lamotte (Oise),

¥t atelier "^intëÏTe7"tr7 "urgent, 2 très bons tourneurs méc. gêner., 2 ajust.. 2 mont. connaUs. mot. huile lourde.

S. I. F. T. 10. r. Cauniartin.Paris.

On fiem^Tnonteurs"élëctrîciens"poûr travaux de lignes. Ecr. Sicap, 16 faubourg d'Orléans, Plthiviers (Loiret).

5n~3êîn7~regleiïr5~ sur tour parallèle, tourneur-outil leur.

DA.GIIER. 63, rue du Mesnll, Aânières Tram. Bourguignons.

On dern. bons ajusteurs, tourneurs, fraiseurs et manoeuvres spécialisé».

Xts POCRTIEH frères, 113, rue du GénéralOalliejiL à__ROM AINVILLE _< SeineK

Bon tondeur broBiëTp. conduire four à huile Dulcif, 360, r. rVoisy-le-Sec, B<agnolet. è~ûn~dcm. traceur fers'-Ji loles serruriers, idliers et ioudeur autogène.

Davoine, 13. rue Godillo^ Saint-Ouen. Siiï.~srRkfs"i7r,~txl"s77D(riris, Courb=voie, demande moulurier 4 faceï.

Snllématkic "de» "bobineuses retordeuses ttseeuses. Tissag-e do coton, J. Laroche -Lechat, 245, avenue Gambetta (Métro_LUas)_ (Ij-ès bons mb(lëïeulrs~BÔïïs~~salaires. Banl. imra, Paris. Kcrire N 2g Petit Parisien. ÇHnaudroKiniier eoL usime conmio soudure autog. ajusteur niécaotcicn entret. camion, chauffeurs poids lourds. 13. r. Carnot, Ivry. ~~S.~a7 p7 rT, «7 "rûc '"de Pr ùrênhe, apprentis ou p. m. tourneurs.

ÔûTlî]eôils~7>ïïtlls~décoûp "eï emboutir, dëcôiû peuses. S'àdr. 0 à 10 h. Ateliers AUBRY, 38, r. Fessait, Paris, métro B.-Cbanmont. SFRK Y7~rabrTquë~dô "c ai îîeî7~55, b(f A 1 1 g 1 1 s t e Blamiul, Pafis-!3c, demande bon scieur. 5"n~ileiriahde"1~l°~il(rs outtlleursdans l'outil à (lépouper; 1° ile.s ouvrières s. machines; 3» manuiliv. Ji^ançai- 77. hd Rlcliard-I.cnoir. Bonr~plâtriers plâtre lisse, travail de longue durée,

à l'heure ou a la tache.

Sérieuses références exigées.

Entreprise de Plâtrerle

C. LANGLOIS.

264. rue Viala, PARIS U3«).

On dën).bnn«"~trareurs >;n chaudronnerie, Ouvriers chaudronniers et manœuvres jpéclallsés. ti, rue Edgar-Quinet. Putcaux. Ares bons raboteurs et mortaiseurs. Constr., méc an. tô. r. Danton. Levallois

On dern7~soud. et soudeuses autog. et étain. Boullloy, 18, nie de Grenelle.

î!é«~K!- N7rô~"sïïïrtërs7 50. "~r7~Béii6lt-Siaion7 Gcutilly, demandent bons tourneur; et fraiseurs. Autobus Ail. Tram. 125.

fou fm'geroS dem. aux Ateliers du Ralnr.y, 138. vue de Latrti.v. Montrcuil-«oii57Boi5. On demande ébénistes, menuisiers, charrons. Etablissements DECAUVILLE, CorbeU '(3.tO;),

On va développer à Paris l'éclairage électrique

Plui de cent rut* en bénéficieront I.e conseil municipal, sur le rapport de 31. Louis, Gelis, a voté un. crédit de 9 millions de -fraies, pour la réalisation d'un nouveau programme d'Instillation de l'éclalW> lulensif par lélirirlerié. Plus de" cent rues parviennes vont bénéficier de la mesure. Citons notamment l'avenue Duquesne, lame et la ptace Françols-I", la rue de Mlronusnil,' la, rue. de Cons-tantlnople, la vue Saint-Lazare, la rue'dePétrograd, la rue de Provence, la' rue dlHauteville les rue VIIbert et Claurte-VeUcfaux, la route de Vincennes à Nog*nt (entre le fort de Vincennes et l'avenue- 4e la Belle-Gabrielle, l'avenue de Vtncennç? à. Jolnyille, le., bouelvard de Bercy, le quai de la Râpée, le qual.d'Austerlitz, la rite de. Tolbiac, la rue1 et la place Jeaniie-d'Ar-r, Ja rue de Patay, l'avenue d'ivry, le- hauleiard .'Sairit-Jacques, I* riie de Vanves, le boulevard Garlbaldi, le boulevard dr, Grqn>U>, l'ailée ̃ de* Fortifications entre le rond-point de l'hippodrome d'Mttfiill et l'aven ne de' SAim-.iUoud, l'allée de Lonirrliàirip (entre l'allée de Ma Reine-Ma-rguerite et le carrerour de Lonjrrhamp), la rue de TocqùevIHe, le sqtfare Saint-Pierre. La nouvelle réglementation de la carte d'identité

des étrangers

L'administration des journaux officiels vient de procéder a un tlrijfè à part du décret du 10 -juillet 1029 relatif à la carte d'identité -des étrangers, ce- texte qui -réglemente les obligations Imposées aux élrang-ers résidant en France, la situation des travailleurs étrangers et les déclarations des hôteliers, est en vente, au Journal Officiel, 31, quai Voltaire, Paris, au prix de vingt rentlim»* l'exemplaire.

LA GRÈVE DES TERRASSIERS Les terrassiers grévistes et lock-omés ont tenu, hier matin, leur 'éunion habituelle, rue de -la Gran;rc-aiix-BcllPS, après avoir accompli, sans plus de sucres que les Jours précédents, leur petite promenade aux nlentours des chantiers er activité, ils ont résolu (l'exécuter demain le même programme. L'ne démarche, cependant? a été aceomplie-auprès die. l'entrepreneur des chantiers du Métro fos ouvriers désireraient reprendre le travail. La direction n'a fait aucune promesse absolue cependant, II se pourr.iii qu'elle, décidât, d'ouvrir ce matin quelques chantiers.

Chronique judiciaire LES HERITIERS DE SUZANNE GRANDAIS ONT GAGNE LEUR PROCES

Devant, la onzième chambre de la cour, le 17 Juillet, le substitut Si'ramy avait développé ses conclusions concernant le1 procès des hérHters de Suzanne GraïUlats, l'étoile de cinéma tuée dans un accident d'auto en revenant de Vltfel od elle avait tourné l'Effort. M. Bnrguct,. administrateur de la société qui créait ce film, réclamait à la famille' de l'artiste une partie des appointements touchés d'avance par Suzanne Grandals. L'a famille de celle-ci, par contre, demandait des dommages-intérêts a M. Burjruel; qui les refusait, se retranchant derrière la loi de 1808, sur les accidents du travail. Le ministère public avait déclaré Insoutenable cette dernière thèse, car une artiste, d'après lui, ne' peut être assimilée à une employée:

C'est ce point de vue qui a prévalu. L'arrét rendu par la onzième, chambre de la cour stipule, en effet, ilajis ses considérants » que. des ai-tlstes du rang- dç Mlle Suzanne Orandais ne peuvent être considérés comme des employées qu'ils mettém au service des auteurs et directeurs leur Initiative, leur ijitelllfrence et leurs dons particuliers, et (fue, par conséquent. Ils ne sont Justiciables que du droit, commun ».

De sorte que M. Burgiiel est débouté de sa demande en -restitution d'appointements versés d'avance. la famille de Suzanne Grandals obtient 30.000 francs de dommages-intérêts.

FAILLITES. Gnarle.5 Durand, chaussures, 90. rue du, Faubourg-du-Temple, puis. 245, rue des Pyrénées. S[é Abelman et Cie, responsabilité limitée, capital 200.000 fr:, maroquinerie, 18, bd du' Temple. Cc/rrado Tavolla, machines de précision, 40, rue St-Sébastien. –Albert Kelle.r, mécanicien,: 1Q5, rue du faubourg- du. Temple, usine aux Lilas, 59, rue du Par.c et' avenue Jean-Jaurès, a Lure (Haute-SaOnei. Albert Billard, brasse'rte, restaurant, hôtel. et, (lanciné, 53, rue Grande, à Fotitainebledu, puis dépôt de vins a là Varenne-Saint-IIilaire. 24, boulevard de la Marne. FourgU, chatt>0Tis,' 15, rue de 1» Nouvelle-France, à Aùbervilliers.. David Fonrschlnsky. bonueterfp, 84, rue Qtilncampoix. 1. Henri Minaii. 2. Flrmin MUiard, louape de taxis., '31. rue du Ruisseau. Mlle Guny, bureau d'affaires divers, 16, rue Vé>elay, puis 23, rue la Boétie. Théodore Pastre, eliarbOBS, 40, rue de la Convention avec chaniler a Issy-les-Moulineaux, 315, quai rt'Fssy. Louis Rifral.' charcuterie, 18, rue Yvart. Edouard Mauduit, boulanyerle, i, avenue du Balncy au Parc-SaintMaur. Raymond Pllet, forain, 133. rue de Paris, Vanvav Schkolnilc, Joaillerie. 2, rue du Jiarrhérdcs-Blanc-Manteaux. Marius Bernçt. restaurant 8, rue d'Hautevllle. René Brault, fourrures, 25, rue Vi?non. Roper Meyerfeld, brocanteur, 16, oiilevard Magenta et 6?, rue Beaubourg.

Suiveurs de pièces au courant mécanique pour travaux d'ateliers dem.

S. E. V.. as. rue Uuyncmer, à Issy.

lions monteur» éleitricie:is p. lignes H. T. et B. T., munis de sêr. référ., dem. par Chartres. Nt! pas se présenter, écrire. Fondeurs, potiers d'étain,

pour le Joint plomb.

SAI\T-MlHIIiL. i(i, rue des Cascades. Bons tourneurs sur métaux dêm.

36, r.. des Orteaux, 20^.

Monteurs élcxirici:ns pour PaFis et bânUFilë pour moutago téléphonie automatique. Nat. française. Se présenter de 9' à 10 Cie des Téléphones, 3M, nie de Vauglrard. Electriciens, ajusteurs, tourneurs, chaudronniers formeurs fer et cuivre, conducteurs de tracteurs automobiles sur voie normale, chauffeurs et mécaniciens de locomotives sont demandés par Société Métallurgique de Normandie, & Mondeville, près Caen. Ecrire en fournissant âge, références et situation de famille.

On dem. soïideusvs.à l'êtain p. petits réserv. LILOR, 120, av. J. -Jaurès, Paris.

Tourneurs parallèles tourneurs verticaux, ajusteurs-monteurs, tôliers, tuyauteurs, chaudronniers fer sachant river et mater, contrôleurs- vérificateurs

font demandés par Société RATEAU, 30, rue Carnot. Le Pré-Saint-Gervais. Bons mont, lignes H. T. B. T. et- mm. spéc. dem. p. prov. par. Cie Gén. d'entreprises électriques, 16, rue de la Baume, Paris. For^rônsTTMmïffieTs, montëû7s~ênT)lanc et en noir au. courant du csxle.

JL'ERY, 29, rue Saint-Fargeau.

BON FRAPPEUR

BON* CHARRON

dem. de suite. Ateliers du Raincy ââ, av. du_Ghemin-de-Fer. Le Raincy. ca rtoiïcherie^de' la Seine, chèrinn~ du Fortde-la-Briche, Saint-Denis, demande contrôleurs outillcurs. tourneurs outflleurs, tourneuses", ouvrières sur machines. Sc7ciété~dêï machines i écrlTe MAIS 271, boni. Ornann, Saint-Dents, dem. Mécanographes. Polisseuses.

Régleur pour tour Gridley pour son atelier d'outillage.

Ajusteurs. Raboteurs. Affûteurs.

Contrôleurs, (jalibristes.

Bons salaires. Allocations familiales. •Ajusteur entretien i"~ôrdfc7 ~très~au~côurânt pose' machines outils, transmission, réparations entretien usine.. Ecr. âge, exp. et sal. dem. ;i MFCCANO. 78, -rue flébeval. Bobineuses T. I. et ruagnétoiTTont dciuanili's, yo. rue Pelieport.

Tourneurs parallèles et verticaux, perceurs, raboteurs, traceurs et contrôleurs, ajusteurs monteurs et outilleurs, aides^nionteurs, chefs de gfrjupe ajustage et montage, mouleurs fonte et bronze, ébarbeurs

demandés Société RATEAU, 117, route de Flandre, La^ourneuvc. Trams 52, 72. On demande niïrbon7traceur en chaudronne" rie- et un polnçotinenr. GODERNAUX, 1?2. avenue de Paris. Gsunevilliers. Sôûrfleu5es~têtes"~de Iampés~a Ia~mâiïï7~ LE.NUD, 46, rue_ Am-cloi, P,arts-tl«.

Un chef ~dréqujpé pour" tnachlnëF'outils et ajustage avec bonnes références, des ajusteurs, monteurs électriciens, contrôleurs sont demand. à Société ligne» télégraphiques et téléphoniques, Connans-Ste-Honorine. Nationalité française exigée.

On demande des ajusteurs.

Etablissements LEFRANC.

kî. quai d'Issy. i Issy-les-MnuIlneaux. sTq7"cTwl

place de la Gare, LA COUR.NEUVE,

recherche chef magasinier au cour, méthode moderne, 3 employés techniques. Ecrire en présentant références. Bons ouvriers tourueur^ traceiirs et emballeurs.

Bons ferblantiers pour radiateurs. Neuf~êt réparation. 3. rue de- Cotte (12e).

On dem. niodélelîrs en plaq. nrcUèle, noyau teurs de série.. Fond, de Ter L. BERNARD, ËoiEy-s-iontmorcncy (900 m. «are Eagalen).

Usin. banl. Est. 10 min. barr. dem. dessinateurs industriels. Ne pas se présenter, écrire téKr. et i)rétent. Cie RONEO, serv. métal, 120, M Liberté, Les Lilas.

On iIhiu. ajust.. oui. logé.

Se prés, ou écr. av. réf. CARUELLE, St-Ucnis-de-l'Hotel (Loiret).

on <leni. "ajusteur, tourneur,- décolleteur et petites mains. Pleury, 4, rue Jessaint. Chefs 'd'équipe et ouvriers très au courant construction lignes électriques sur poteaux béton et pylônes métalliques sont demandé?. Ecrire ou se présenter ENTREPRISES LEGAY 12, avenue du Maine, Paris.

Tourneurs demandés. LEFI, 18; rira de l'Avenir,_Bagnolet (Seine)

Ateî. BARIQUAA'D et MARRE, 127| r. Oberkampf, Paris, dem. ajusteurs-fraiseurs, ajustp. macli. -outils, ajust. p. compteurs, fraislrégleurs. perceur, tourn. précis., rret.-m. tourn., régi. 3. tours autom., régi, s tour à barre, décollet, pet.-m., décolleteuses, découpeuses, ouvrières s. mach., mariœ Se pr. le matin de 9 a 11, munis de références. On dem. conducteurs, metteurs au point, ajusteurs élctricieps en voitures, tourneurs. S'adresser 19, rue Curial.

Tourneurs et perceurs' dem. par Société Appareils de Levage, 78, r. Vitruve, Paris. On demande bons calqueurs, ayant belle écriture, de 18 à 25 ans. Nationalité française. Bons salaires. Ecr. seulement. en indiquant âge, références et prétentions service du personnel, 26, rue de Sèvres,

à Boulogne-s-Selne.

On dem. un aide-chauffeur sérieux p. _chaufferie. BEISSIER, ljs,r. de Reliilly. On dem.. un bon calqueur, 18 a. eïivir. un bon ferblantier; un bon aiTûleur de scie. Nationalité rranc. et sér. réf.ér. exig. PharesCode B. R. (1. 34, r. St-r«eiii8, Aubervllliers.

Chaudronnier et aide-ch.. riveurs, rnanœuvr. GENEVE, 18S, r. Cllttcaii-dcg-Remiers, 13°. On demande TjïïïïeTir^rnomeur. Ateliers de Bondy, 75. rue Liberté, Bondy. Chaudroniers fer et cuivre, D min. gare Enghien. Bon salaire. DEBAY, 20, r. d. Loges, Montmorency (S.-et-O.).

Des ouvrieT^niécôlleteurs sur touf~à~barïe7 des petites mains décolletcurs,

des ouvriers pour travaux de reprise, des ajusteurs, des manœuvres hommes et femmes sont demandés

aux Ateliers NEUHAUS,

1, rue Gefbler, métro Philippe-Auguste. "MO.SitKUSE!? Ë.N TKLE'PHOME REGLBIJR- DE TOURS AUTOMATIQUES BROWN ET SHARPE, REGLEUR DE TOUR MICRO. S'adresser 13, rue des Favorites (15e). cXrQUÈ"uiTirat7~rrâlï(;77~lU]i. Tsërv. milit., [Ï7 dessui pièces mécaii. et charpentes métall: Kcr. Hérest. 43. rue I.afayette.

Sténos-Dactylo» St«no-daïijrlo "demandée par Gentïïi 10, rue Juliette-Dodu (Combat).

(m demandd une sténo-dactylo.

Agence Métropole. 16, boulevard Raspall. 1° Bonnes sténos-dactylos; 2" Dactylos';

3° Jeunes Mlles pour classement.

Se préa. de 8 à 10 11. rue Amelot, 30, Paris. 6n~dëmande~sténâ;dactylo."

Poupart et HlcUard. 7 bis. rue Fromentin. On dem. bons sténos, travail JoufT

S'adr. Agence FOUR-MER, t. r. do la Bourse. Sténos-dactylos et dactylos dem. S. E. V., go, rue Guynemér, à issy (50!) m..Nurd-Sud. purtc de Versailles). Sténo-Dactylo expérimentée. Coustr. 300 m. métro Chatnperret. 15, r. Danton, Levallois. Débutante sténo-dacï}Tô~de suite.

BERNARD. 22. rue Cambacérès, Paris-8». Bontie sténo-dactylp, pt. stable. MatînT 5, rue Montaigne:

Une bonne stèno-dactyio. Se présenter de ?ulte av. référ. TOBANI, 14, rue Beaurepalre. ~Jeiïnes~ filles dact.vlngruplics demandées." Bi.'incliijSfriP BOSQUET.

i et C, rue de la Grotte (15°),

Dem. sténo-dactylo tr. expérimentée. Banque, FOURMEH-CORO.N,- 5», 6d Haussinsnu (9*).

Jeune nlle 17-20 ans, sténo-dactylo et bureaux, même début. Se prés. de. 9 à 10 h., 167, boulevard Uaussmann, Tissages. HEIM. 48, r. Lafntte, dem. d'urgence jeunes remmus dactylos au courant maison couture. On'- dem. bonne sténo-dactylographe pouvant tenir comptes-courants. Sérieuses réf. exig. BECQUART, 20, rue Richer.

On dem. sténos-dactylos expérim., dactylo classeuse, facturière.

S'adres. 55. rue Greffulhe, a Levallols. On dem. très bonne secrétaire sténo-dactylo, une débutante et une bonne aide-comptable. S'adresser PROTECTION TOTALE,.

25^ rue_Victor-Hugo. Pantin.

ACIERIES, 131, rue des Cabœufs, Gennevil11ers (ch. fer- Nord, halte Grésillons), dem. bonties sténos-dactylos.

Société, ALSTHOM, 364, rue Lecoirrbe, demande dactylos et sténos-dactylos Bons salaires. Urgent.

Jeune homme ou Jeune fflle 25 ans, bon sténo-dactylo, bonne écriture- et classement, llbr^ de suite. Se prés, mardi ou mercredi après-midi. Pierre, 62, r. de Rennes, Paris. Dactylo ou sténo-dacty7lo~ïïl>re dï~"suite. Se présenter de 10 à 11 ou de 4 a 5. Contentieux ^Européen, _31, rue Larayet^. 'Sténo-dactyio française débutante"; bonne orthograplke. Ecrire avec âge et prétentions à LUSITA3IA, ̃ 29, rue de3 Petites-Ecuries, -̃ .'• qui convoquera.

Dactylo '^àvec ̃- réf.7~Ï3, rue" Frahçoia-I" Importante administration demTdames dactylos' (sans- sténo)-, 21 à 30 ans. Retraite, ailoc. fam. ge prés. 83, quai de Javel. On dem. 2 bnes sténo3-d7act. bien au cour, trav. bUr., une aide-compt dact. Produits Akker, _U8, r. de Villiers, Levalloiî-PerreL On dem. sténo-dact place stable et remplac. _^Je«bl«s_ARBEY,_80, faubg Saint-Antoine. LEROY, 28 "bis, avenue Daumesnll.

OomptabllJtt

On dem. excell. facturier rapide, précis dans ses travaux, ay. exercé longuement daps gdes entreprises. Référ. exig. Situation Mable et d'avenir assurée si satisfaction donnée. _CASE,78, rue Fondary, 15». Messieurs el Clames aides-comptabljs. Jaunes gens 14-16 ans, pour écritures. dem. par Banque. Indiq. âge, prêtent., réf. a M. SAUGER, P., O. P., 11, bd st-Germain. Impnrt. Cle assurances uem. de suite: aFdescomptables femines^et hoinmes et une sténodactylo. S 'ad. Assicuratrice, 26, r. Chiteaudun Dact. facwriÈre daûjEts ÀDT,i5, r. furbigoî Paris. Se présenter 11 heures à miui^ .\Tde-comptable~dé 20 à 30 ans, si~pôisible connaissant comptabilité, prix de revient est demandé par SADIM, 55, r. de Châteaudun. Se présenter avec références.

Aldes-compfables, hommes et dames, français, 20 à 40 ans. Sem. anglaise. Retrait", primés -diverses. Alioc. fam. Se prés. 221, r. Lafayctle, Paris.

Ôîwlem. du necsonnel féminin de 18 à 28~â7 pour aides-comptables. S'adr. Grands Magasins du Louvre. 17, r. de Richelieu. Facturièrc-caissirre, 4 fr. i'heure.

DUVAL. 3, r. Robért-Esticnne, métro Marbeur OïTdihT. dactylo-fact u rïèrê"Së"~prês~. MECA1SO. Place de la Mairie. La Courneuve. On dem. une racturlèro dactylographe. Sérieuses références.

Se prés, à TEP. 55, rue de Châteaudun. Paris. p5cty]o~factiîrière ëspërîïn.

Et. Wallacli. U>3, r. Tocqneville, M" Wagrani. Jne homme lifter. 5erv. militaire pour comptabilité, méthode C. S. M. fct. Wallach, 103, rue de Tocqueville. Métro Wagrain. On dem. comptable homme ou femme Jeune, actif, très sérieux, au courant opérations banques, caisse, posséd. bonne notions génér. comptables. Emploi subie et avenir. Début 1.200 à 1.300 suivant capacités.

Ecr. en donnant réf. à !i. BOt'VJER. ?(i, place Sl-Jacquet. Paris ( t i«)

Jeunes ïllles aides-comptables. FAIRYLAJîd, 12, rue Saim-Florentln,

On recherche aide-comptable, très au courant comptes prix revient et fournisseurs. Ecrire âge, exp., prêt. A MECCÀNO, 78, rue Rébeval.

dem. ouvrières secondes mains pour la robe de lingerie et entrepreneuses' Paris et banlieue. Se prés, avec références. Bonnes ouvrières manteaux.

DANARD. 67, rue Turblgo.

Mécanicienne monteuse de manches confeciion liomrnps. S. N. A.. 17, rue Francœur. On demande pour le chldïe brodïûse~maln et métier po^ur atelier. 13, rue Villedo. Jane Duverne ot Cie, Couture, 18, rue Royale7 dem. mannequins taille 42, avec références. On dem. des mécaniciennes p. la robe au dehors. Se prés. av. certificats domicile. Zlmelmann, _P»ssage • Ménilmomant. quins. grands, minces. Urgent.

Coupeuses expérimT p] la sérié hTanteâûx dames, trav. assuré toute l'année.

L. BOUET et Cie, 39, r. de l'Echiquier. Bonnes patrônhières~manteaïïx.

DANARD, 67, rue Turbigo.

Bonnes ouvriëreT^Iîngères, apprëntifs fais. courses. Léa Dessay, 65, avenue Wagram. Ouvrières corsetières maciïinê~èt njaiîi^ LIBRON, 54, avenue de XUchy.

Très bonne couturières montage tricôTslûxë'. Atel. CHEVALIER, 6, r. Jean-Doirus prol.-lS*. ~Bonnés~premièrés et "secondes i mains7 fioïïT" ^X^-yy^ » bi». cl'é Trévise.

Bonnes ouvr. domic. mam. nïîêTf. J..nom. 1618 a. drapier. J. Ohresser, 130, r. Montmartre. On demande des premières apprêteïïîês hautes modes. 675 Ir. par mois, nourries le midi. HERMANCE, 22. rue Richer.

Bonnesouvr. dom. robe flou. Dëfanoë, 23, rue villiers. NeulHy (Cliamperret). Loudon Tirades, 2, r. de Berri, dem. prem. sec. mains flou, laill. sport. Celle pr. de ste cotnpt. comme

étant 6 m. dans la maison.

Entrepreneurs et entreprepeuses pour fa série manteaux dames. Se prés. av. modèle de travail L. Bouet et_Cle, 39, r. l'Echiquier. Coupeur ou coup«uses~corsets, slt. stab. Bons app. ORIANO, 262, bd Voltaire. _Z 1 Pans a» maison

Renée. 37, boulevard Haussmann On dêm. borine à tt raire~25-35 a., gage" 4W fr,, sér. référ. Se pies, vendredi de 9 à 13 ou 2 à 5 li. Simonol, 10, r. Martel, Paris. "Donne à tout faire. Hôtel vie de "fiïiïui". CESSAT, 30 bis, avenue Parmentier. On dem. bonne à tout faire, 425 par mois. CORONIS. 14, r. Lally-Tollendal, Paris. Pet. bonne 15 a., 100 fr. p. m., nour., couch., payerai voyage. Ecr. I. GOLDSTEIN, 41, boulevard^Sadl-Carnot, Enghien-les-Balns (S.-O.) (În~dëm7 p7~camp.~bno tt faire, faisTcûiT. Ecr. Ditboi;, Tremblay-les-Gonesse (S.-O.). On dem. bonne à t. faire, sachant ménagë~et couture. 500 fr. 71. r. St-Sauveur (2e). "iPTOMOBllM

VENTE D'UN LOT INDIVISIBLE SE 6 camionnettes et camion EN ETAT DE MARCHE

Paiement comptant. S'adr. au Petit Parisien, g?rvlfe (les Petites Annonces.

ACHATS «t VSWTBS <» PR0PBIETZ3 "Brûnôy. Je~c*ède cau7erdépîrt7~pavïll.~meùl. 8 p. princlp i.500 m. tert. sdjnir. situés. Px 175.000. Rambaud, 65, r. de la Verrerie, Paris. CLÀMARf" 57.00(0)

Pavillon tr. b. const.. libre d. suite. Entr., 3 p.. cuis., w.-c, gd 5.-50I, Jardtu 221 mq. 2 PAVILLONS 110.000 le- deux. Très b. constr. piv* gare. 1» Entr., 3 p., culs., w.-c.ca?e. Loué, 4.000. 2° Entr., Ar. Métayer, pi, Fourche, Clamart, T, K8,

FAITS DIVERS i ̃" ̃• ̃ m t m

̃ i • Attaque nocturne

.M. JosepU P«ricauli,> vinçt-ne,itfîns,.mployé ;»'Ia'S. T.'C.H.,P,. '.lp.'rua Neuve-dufhéilrcqul regagnait son dpmictle en. compairnl-e d'un- ami » été attaqué par sept ou liiiit individus, rue de' l'Amtiral-Rousstn.' Il a reçu pjusleiurs contusions àla-tM« «t- a U Saint-Lambert le> signalejnem- diun- de ses agresseurs.

Pifeon Toyagaor éguré '•M.- Gricourt. -59, rue-/e«n-Ja«iè«; à Vanves, a recueilli' uni piyeon voya^uri portant le. n» 0.132.9» France 38-M3- et le nom'd» M. Van ̃ MuJIea,. à .Paris..

Un* f emm* de chambre voleuse Une artiste, de 'l'Opéra, Mme G. demeurant 3, villa Môncealu, avait' prj»" son servife, il y ;i quelque' t-emps. une fén^mc de chambre, Amélie Dufrasmjy," trente-deux ans, qut possédait les meilleurs certificats. En effet, l'artiste ine taeda-pas à < se: louer des bons services^ de sn soubrette/ et elle le lui «prouva en .lui. misant de menjis, cadeaux. Mais, II, y a qu«UH(?s jours. '^Mpi« -G. s'aperçut .soudain que sa .'(rar.àe-jol)é. avait été piijée De3 robt'.de prix et des fourfuxes avalent.étê 'dérobées. ~EFle' alla 'conter la chose au commissaire de snn quartier qui charjrea' un "Inspecteur rlc'rat're une >nquéte dùcr&te.' Amenée devant le niafrtstrat, la domesilqun avuua 'Ses. larcins .ev déclara que les- vêtements avaient • été ̃ vendus psr elle. Elle, a été mise à Ua disposition. de la justice. ̃

Le trafic de* stupéfiant»

Les Inspecteurs de la brifade mondaine viennent d'arrêter, dans 'un 'bar de la rue Saim-Hono'nê, un récidiviste diitralle de la cocaïne. Gaston- Vincent Mfchel, âfrée • de trente-neuf ans, habitant 6, "rue de la Vlllençuve. Sorti de prison t depuis qùelqpes mois, il avait bientôt repris son commerce clandestin. On a saisi sur lui. les' paquets de stupéfiants qu'il se disposait i.écoutïT, et, » son domicile, trois livres de cocaïne, de l'héroïne et de la morphine.'

,D'autre part, les Inspe.cte.iirs .ont appréhendé, au moment où il écoulait d« la cocaïne et de l'héroïne, Danton-Morcel Teulin, trente et un ans, 5, rue Lécluse. Les deux trafiquants ont é!é envoyés ̃ au dépôt. Un chauffeur, irascible

A la sirite d'une discussion d'intérêts survenue hier, ver» miçit, Joseph. Schmllt, chaurfeur, 15. passage de l'Elysée-desBeaux-Arts, a blessé légèrcrnent, d'un coup de revolver au genou droit. M. Jacques Laurent, directeur de garage, 8, même, passage. Le blessé' esf à Laribol»itre'; son meurtrier à la disposition de la-justice. Arrestation de quatre Toleur» c à la tire»

Depuis plusieurs mois de nombreux habitants du quartier de la Valette s'étalent plaints au commissariat diavolr été victimes de voleurs à.ia tire les inspecteurs Sergent, Marin et Belmadl, de la brigade nord-africaine furent chargés d'arrêter les malfaiteurs, ceux-ci, d'après les indications des. plaignants, paraissant être, des Algériens. Après de longues': et habiles, recherches, les policiers ont pu arrêter au cours de l'autre nuit les Individus qu'Us recherchaient II s'agit en effet de trois sldis, Soltanl Saïd, l rente. ans, Mohamed Bahram, vingt-cinq ans, tous les deux s«ns domicile fixe, et Sali Mohamed, vingt-sept ans M rue de la Chapelle, un Sénégalais, SUva José, vingt-sept ans, qui complétait la bande, a été aussi appréhendé.

Les accidents de la rue

M. Marcel Bernard, trente ans, demeurant 12. quai d'ivry, à Ivry, passutt i motocyclette, rue de Tolbiac, lorsqu'un taxi qu'il n'avait pas vu venir accrocha sa machine et le renversa. Le jeune homme* a -été' admis ii la Pitié.. II attendait son amie pour la tuer Des agents du commissariat de Montreuil remarquaient, couché dans l'herbe, pires dès buttes Amoref, un individu qui leur » déclaré attendre le passage de son ancienne amie ponr la • tuer. Fouillé, il fut trouva porteur d'u.n revolver chargé.

C'est un peintre en bitanent, Roman Crattfchtçk, trente-cinq ans, ti, rue des Bons-Plmts. II a été arrêté pour port d'arme, prohibée.

La jeune disparue s'est-elle suicidée? M. Gustave Nouveau, demeurant 3î, impasse des Deux-Sœurs, à Salnt-Ouen, a signalé aii commissariat de cette localité la «Uaparltion- de sa Dlle Lucienne, Ijçee de dix-huit ans, qui a quitté -le domicile paternel maitdl, i 13 h. 30, à la suMb d'une réprimande. Depuis, la jeune fille- a f«lt>parrenlr k ses parents uile lettre dans laquelle elle anrioTJce son- intention de se suicider. Mlle Nouveau mesure lm. 62, a lés. cheveux châtain clair, coupés, le teint mat'et était vêtue au moment de son départ d'une jupe belge & carreaux, d'un corsage rosé pâle, d'un manteau rouge, coiffée d'un ena>eau de même couleur et chaussée de souliers acajou et de-bas couleur chair. M. André Perrat, lolxante-quatorze ans, commandant en' retraite, demeurant 32 rue Saint-Placide, est tombé accidentellement dans la cour par* la fenêtre de son" appartement, situé au-trolslème étage. Mort instantanée.

M. Lucien Petillot, vinjft-huit *ns, re-

Pav|llon Eaubonne, étages, clos, confortable. SuperX., 435 mq. Habitation outre location 3.O00'. rr. a vendre,' 65.00V rr. avec racilltés. Cardeillac, lî.-rue'Lamartlne.jPàris. A vendre près Dreux, a- Luat-sur-Vert, maison libre- 3- piée., dépend., cave, Jard., arb. rruit., -eau, élect. Bon • état. Terres, 1.000 met..Très gde racil. paiem. • 32.000 rr. Mme Hideux, .52, rue'St-Jean, Dreux. Lire- la' tuile page S

Fonds de Commerce et Industries

/lonlonnerle. B. 9. L. 2.0Ô0. Aff. î.2t». àv.s.ûoo \j logé. Zlmmcnnann, 31, boni. ScbaMopol. nordonnerle et- f.- B. 8, 1. âSboT logé. AIT. i; 1.800, av. 10.000. MALWOURT-aAILLARD, Bnr. 104, Bourse commerce, J" et.. Parti 1". isr. ÈPËRn7Cy~ Modeiy^pïeïneTprpspr Affl ,60.000. Beau mag. Gr. log.Loy. 1.600. Bail 13- a. Fac.-p. A*f. sér. à enlever. Ecrire F S*lt vPartilen^^

nouleuFs ménage, mari malade. 'AIT. t dèvel. \j Bén. actuel SiilOOO. 4 pièces., Bail iO ans;- Av. 25^100. Occas. TAHON, >7, bd' Basnmsrehsl». TD 1 IVCDiVDTC DEMENAOEstEItTS I WAil 5l UH I 5 MESSAGERIES 1 cam. capitonné, i camionnettes excellent était. Tenu 9 ans.-Bénéf. 50.000. Tr. av. 4S.000 EST-OFFICE, 11, bouleYard de Strasbourg comnmoB» ni jmxmn

Pp«t. LuxembonTg. B. 7 a. à 800. Log. An*. 60.000. Av. 8.000 cpt. Dion, H, «Y. Cllch-y. ïïiiré::TlS7:Hbt.l~iri>T seul" tab. gFTTbourg t;Norm. B. 18 a., loy. mod. AIT. 300 p. j. buv. tabac 190.000, hOt. en plus, 3 sal cour. gar. Aff. sup. A pr. urg. cause santé av. 35.000. Magnlar-TbailUeE, T. gros, 37, r. Condorcet. ÎIAT fl fÏTi1' mervëïïïëûieïnent 's"itué7"a IIU 1 ELvitr Ij proximité d'éléments uniques. Le café couvre tous les frai» compris la nourriture. La recette de l'hôtel, 100.000 fr, donne le bénéf. bien net: II y a tt le grand confort. ̃ Loyer 8.000. Bail 13 ans. imim 4\T Avec 300.000. nUt'UtlAll I p. boulevard poissonnier». R6tei-Vin«. Haltes,, 11 n", couvrent les frafs. Le comptoir débite G00 par jour.

lAlînrni? Cède avec 150,000 comptant. HILDliHli 3. rua de Turblgo (Halles) Holel-C»ié7~faee gare, lli. 1/2 Paris~P.-L.-M. io chambre;. Belle terrasse, pays pêche et chas»?, dépendances, garage, gaz. élecirlcLté, 2 salles. Loyer 2.200.

Affaires totales 160.000. Buvette • 140.000. 1 irAUDF Avee 30-0()0 rranr5 LAtUlflDIi «, boulevard Sébsstopol. A.i.rMsarTATio-r-CAS'Bs-vi-rB

BCT»I--»B-RllSTAimAjrT8

LES VIHS DE FRAlfCEÎ «, rue Pouchet seuls vous procureront, en vente ou gérance Bars, Epiceries, Dépôti-Vlnt, Bftteli, à Paris ou banlieue, laissant un bénéfice de. 5 » 8.000 par mois, sutv. capac. Av. jet." compt. prêts si sérieux.

AFFAIRE ÉXCEPTIÔNirELLÉ"

Café sans Restaurant. Ode banlieue. Clientèle forcée. Fait ISo.OOO fr. prouvés. Facile à augmenter Cas fore? majeure fait céder avec 50.000 compt. Etude MARTIN, iM, faubg Saint-Dsnis (Gare de l'Est). ÂVEC7.000 FRANCS

EPICERIE- VIKS

Bail to ̃ ans. Loy. 1.500. 3 pees cuis. AIT. 300 fr. Urgent. Cau=e accident.

FERT, 35, bd de Strasbourg,-

îîede sup. Dépôt-Vlu» i emporter. AfT. 400 p. j Jour./ Bewuog.i Av. 12.000 v. mon- rouraiM.'

cfveur àla ?. T. a-R P. se pend chez lui* M. Rorer Mory,, demeurant 72, ,Grand«Rùe. ;au Pré-Suhit-Gervàls, ,se baignait, dans 1* Seine au quai d'ivry, lorsque pris- d» congestion, 'il uoula a plc.'Son cadaVre fus retiré', peu sures.. i un arrête, dans un grand '̃ muslc-nalt delà plaça Blanche, Georjcs Pinsard, vin^t^ cinq ans, demeurant a ASnfères, qui t<Stit ait -de dérober le sac à- inaîn d'ime spectatrice.. Près.de la-porte^decilgnancouit, l'employfMarius Lenoury, vingi-cinq ans. sahs dowicile fixe injuriait, hier matin, des Jeunes 'soldats du 21' colonial. Arrêté. 11 a .élé- mis à la disposition de la justir?.. On arrête Benhc Saunier, vingt-quatre ans, demeurant 22 passage Douielles k LeTsJlols. qui, 11 y a quelques Jours, abandtmna.son enfant npuveaù-né dans» le vestibule d'un- Immeuble do l'avenue de- M«lakoff. Hue des-ABbesses, au caur3 d!une djscujslon, ABgustine Sirot •̃ trente ans,' demeurant 29, rue. Tliolozé,. frappe d'un coup dp r&soir au vi.'agre Mil* Germaine Baudln, même'ige,, domiiillée au numérpM4: mima rue. BieSat.

<- l'n Alpérltu, Mohamed Hanaiult, -vingtquatre ans,, demeurant, 48, rue Léon, se prepd de querelle, rue de la Goutte-d'Or, avec sem compatriote Tabar' Habit, sans domicile..Tous deux' se blessent mutuellement à cqùp de couteau. 'Consignés a l'hft»pitai Lariboisiere.

̃ –Employé ̃ dans une banque delà ra» des Fîlles-Salnt-TUomas, Mlle. Magdelein» Sjmll, trente ans, .se Jette par une fenêtra fiu quatrième. étage < et se lire sur le coup, •M b. 30, square Diderot, concert par l'^»r-> monie de la Plaine. Programme Viliefranche, pas j-edoublé (F. Pbpy); le Cortègo d'Attila, ouverture de concours (Gattenne); les Cloches de Corneville/ fantaisie et vat.=a (H. Planquette) • les Cadets de Picardlei allegro (J. Bauchef).

Des.prcirpcDOiirs ont trouvé dans le bois rie Vinrrnnpj, r>rN du lac de Saint- Mandé, une ,ca*quette maTron et un livret militaîra au nom .de Jean Guilloux, né à Marseille le ?1 novembre 1894, et ayant habité dans cette ville, ss, rue Montaux; Ces objets ont été déposés au commissariat de police. Concerts public; Cet «prà-«n<li à 16 k. Sqnare des Epinettes. 5" d'infanteriB (M. Barat). Marche solennelle (Farigoul); Prélude symphonique (G. Sporck) le Val d'Inspruclc (de Sehevper) la' Voix du cloctier (C. Bàlayj; Danses hongroises 5 ,«t-' 8 (Brahms).

Square d« la Réunion. 23* d'infanteri* coloniale (M. Huot). Marche chevalerëS" que iBenoist); .Ouverture (F. vidai); mazurka ;de- Coppélia (Léo Dellbes) les VingtHuit Jours 'de "Clairette (Coquelet); Solferrao (Aliter).

.Et ce soir, a 21 heures

Chtmp-ds-Msri. Harmonie du VII* (M. Rej'det). Msrcbe des cadets de Gascogne (Poujade); ouverture de Mireille (Gounod); Diane (Petit); le "Grand -Mogol (Audran); le» Ecjios- du Midi (Kelsen); Paris reste Paris (Trespaillé).

Square da cilcby. Harmonie des chemins de iTer.de l'Etat «(M. Michel). Tully (Andrleu) le .Mariage secret (Cimarosa); Récit et polonaise (Weber) 'Dolly (Fauré); Sénénade carnavalesque (Erlanger) Prélude ;et danse .(Barat).

Place de Hontrouge. Harmonie ouvrière du ;X1V« (M. ,Bonnevle). Marche russe (Canne): Faust (Gounad); l'Arabesque (Reyiiaud) 'Panairge • (Planquette) .Si tu voulais (TiiMne).

Porte de Saint-Clond. Rappel du Pointdu-Jour. (M. -Rogis). Las Anus du xv* (Dupuy) Caltanlsctta (Gadennè) le Boulonnais (Dupuy); Sur les bords du Golo (Derrance) la • Madelon (Defrance) l'Orientglej (Gadenn*); Une chasse à £rqueville (Dupuy). Sqatre dn Temple, Musique de3 gardien» de1 la paix (M. Bleu). Marche lorraine (Garnie! ouverture de Guillaume Tell (Rqssini) Enchantement (Popy); sélection sur Samson et' Dallla (Saint-Saëns); le Grenadier du 'Caucase (Meister).

•' Square, de TÉugirard. Harmonie du XV» (M. ̃ Pageot)." Le Clmbre (Slgnard); Ouverture fantastique (Gcvaert; Amltiê-Cmnllance (Kuen) la Poupée de Nuremberg (Adim); Vlvaiel- torero (Popyj.

Place de -la Nation. Lyre d'Alsace-Lorraine (M. Bernard). Valeur française (Fontenelle) ;̃ Poète et Paysan (Suppé/ Cortego .ballet. (Avon);da Chanson des nids (Mayeur); Saverne ̃ (Schlmmer)

CONCERTS C. loir, à 21 keira TuUerlas. Orchestre-Jazz • Excelsl,or Dance- Orchestra (M/Bnm), avec le conèours de Mlle Henriette Chaplro, des grands concerts, et de M. René Max, chanteur fantaisiste de l'Olympia. Au programme œuvres de Rachmaninoff. Perslani, Ba"helet, AMiti, Woire, Gabert Wayre, Espartero, U~rome Kern, Harry Canlon, Howard Simon, Milton, Age-r, ̃ etc.

Beaux terrains, «sau, éleçt., 10 min. gare, ̃ »ur large avenue. ̃

280 et'4io, mètres » 23 et 27 fr. le mètre, ̃ .m et 670 mètres à 13 et 14 fr. le mètre.* Nombreux autres i partir de 8 fr..le m. H Grandes facilités de paiement. -̃

Prults et Prlnxsurs. Splend. bout. lux. insl f: en plein cent, aristoc, a~enc. ulrra mod. Appt 5 p. B. bail. Loy. nul. Ree. 2.000 p. j. "ïr_»v_; 60.000. l'» mut, pay. Ré»u, 13Î, Rivoli COQBÉT CAFE-BAR"

350 p. j. prouvé a l'essai. B. il ans, loy. 1.800. B. logé. Maladie grave. Traite avec 30.000.fr. nilTHII BiHcts fds ou garant. Fonrn. «td. 1/1. 1 IIlL VlpjM»nj[roi, 5L1rue_a'JUe-and£je Mari mal.~Eplc.-BnT. Àff7 sér. porte Parts7 Ode lie. Log. 3 p: Loy. 2.000. B. a. 4O.()0b, 1/2 compt. Ecr.- r 33 P. Parisien qui transin. Caté-'Tsbac-"Eplcer."JoIi locaMOo" k7 Est.BaU 11. ans. Loy. 1.300' AIT. #>.000 buv., 40.000 épicerie, 00.'»» ̃ tabac. Traite avec 130.000. «tàgnlsr-Thiilinei, Tins gr.j7t r. Condorcet. Bar-H6t*l-Telepa. Pr. rare, 1/2 b. Paris. Jolie banlftue. Sup. agenc. Bosquets. An*. 80.000 p. an. Rapport des chambres en phis.

ETS IliD'l/lG 45, bouleTtrd Magenta HI/mT.'lJGd choix autres affaires. Mil) V1C MAISON SPECIALISEE

HTM lA~l POUR DEPOTS DE VINS

Alimentation-Café-HOtel. Paris, banlieue. Bén. de 2 a 10.000'p. mois. Bien logé,' pas besoin être du métier. On mettra au courant. Renscign. et adress. grat. Avant de chercher ailleurs, venez voir les meilleures affaires disponibles av. garant. Minirn.- 8.000,- chez MARVAS, 45, bonleTsrd MagenU

Vil. 15.000 H. ~7~l~PÏrTs~TcTM-Hest7lIWT. 350.000. an*. Just., a jr. bén. T. d«p. 10 a. Ode sal. rest. p. 100 couv., sal. caré et.bUl. Tr. imp. miter. V; pprefera bail à dlscr. Cet arr. est ».enl. c»e fatlg. ap. fort. p. pers. sér. Avec 60.000.' MEUTET, M, rne du Pont-Keiil. ÏÏHIOIf DES CAVES BEAnjOLAISES

Désire trouy. ménage ou dame ayant goût comm. p. gérer Depot- Vins. B. logé. Av. gar 6.600.' L. MICOLAS, Jl.-V., Ut, r. Silnmartin! fiai* -Tabac BoïïFg~4Ô kii7~Baïl et loy. avant. \j I11I 3 salles, ôchamb., jsrd. AIT. 125.000 «Ifllll Avgc J8_)_).»,_ru» ̃ de RItoH. JAJT, M, me de HiToIi

Obligé retourner aux. colonies, cède Alimentation générais, rue. passag.. Belle bontiqus d'angle. Sali et loyer intéressant. Air.^350.00u _Vu l'urgence, avec 25.000. A3 somm. chargés p. un groupe de ppres d« DEPOTS DE VIHS, BARS. AUHENTATIOHS. Paris et banlieue, de leur procurer ménages et dames p. reprendre ou tenir leurs affaires logement assuré avec 1« commerce. Bénéf, de Sa 10.WO selon importance de l'affaire. Mi.=e au courant pour débutants.

Aucune commission à payer.

Renseignements, entièrement gratuit*.

DADCI Méiiages se présenter ensemble. lUIDLb 11. place de la Képubllipie. (CAPITAUX

(Grosses Commanâet pour senti assurées. I Fabrication en marche. Ai besoin collaborateur arec 300.000. Si pas actir s'abstenir. BLOCH. 5, square Maubenge, Paris. 1.S0O tr. rte mens. sTTJéa~~r cip. ÎÔ.ÔÔO fr. gar. en m. Et M, r. Cbite»a-d'E»u. S» et. Prêts lmm. à FOlfCTT5»SAIRES~âûx mellïT cond. BOTCR, (0, r. Chttesn-d'Esn. S» et. CAPITAUX DE SUITE

sur Hypothéquas, Billets de Fonds, etc. ROEL, __t,-r. du Faubg-Poissonnière, Pèrji acFat~cher billets fonds. "pkets~T FOKCTIONJÎAIRES. VALLET. 31, r. St- Lazare. L'ESSOR dépanne Commerçants, Industriels gêné». ARGENT Jour mêm^. «. Ch.-Antin. Prêt» Fanct. Csi'ëiu, H, r. St-taurent. M°~Esj Disp. eïplt7~p7 hypôthTit constru"ciiôn"pïvÏÏIon«. Banl. Nord et Est. Ecr. «m, ab. P. O. P., i, rne de Strasbourg, Paris. particulier" Fré tTT~f 6 ~rc fi 6 nT; ôffîc! le jour même. TUF, W. fg St-Deni». M" Est. jpjêt~~tmnf. i Fonct." KOEL, 4, bd* St-Martin7 PRETS IMMEDIATS ~SÏR NX JfTISSEMENTS Ach. TRES CHER BILL. FONDS HYPOTHEQ. OIT. Commercial, J, bd Rochechoimrt, 2 à 6 h.


Courrier des Théâtres Opéra, s b., Faust.

Françaii, l h. 15, A quoi rêvent les Jeunes mies, ie Bâcler de âêvlile 8 b. 15. le Pnln de ménage, la Méirtre apprivoisée. Opéra-comlqu», g n., Louise.

ss.-Bernù., s aii, tes dames aux ebap. verts: Palaia-Royal, s n. 30, l'Attachée.

Martgny, reiâfcfte.

Mogador, a h. ao. s n. 30, Rose-Marlc. Ambigu, 9 b., Au baille.

Aiuome, s u. 45, la i-'leur d'oranger.

Renaissance, reijehe.

Bouffes-Parisiens, 2 h. 30, 8 b. 30, FlOSSle. Femina, g h. 43, le Roi boit (R. Hasttî. Athénée, 3 h. 4:>. u n., ç.i.

tïadeUlne, 9 h., le Tram fantôme.

Nouveauté», 8 b. 45, Elle est a vous.

Théâtre de l'Avenue, 8 11. 40, Prise.

Scala, 9 n., En bordée.

Grand-Guignol, 9 li.. les Pantins du vice. Potinlère, 0 h., Ou'en pensez-vous T (opér.). Nouv. Th. Comœdli, 9 15, l'Ecole des vierge*. Bataclan, S 30, Dragons «e Villars (Rozant). Cluny, 9 h., le Train des Cocus (ftivers cadet) Séjazet, 8 b. 30, Une femme qui flambe. AVAWT-PBBjnBRB

Lm Rein» joyeuse, au théâtre Mnrijoy Créée en 1913 à l'Olympia, puis reprise en itfiï a l'Apoiio, cette opérette i grande mise en scène va Bientôt revoir les feux de la rampe sur la scène du théâtre Marigny, ou M. Léon Volterra l'a remontée avec tout le luxe désirable.

Pour, une fois, les provinciaux, et les étrangers île pals&g-e à Paris qui voudront voir ou revoir la Heine joyeuse ne seront point déçus. Au. cœur de l'été, M. Volterra leur offrira, parmi les venes frondaison» tlct Cbamps-Eiysécs, une opérette dont le livret rou amusant de M. André Bartle a .fa» ses preuves tandis que l'exquise parution, de M. Cnarlos Cuvilllcr ilcmçure un bijou du genre. U lui a donné une Inter• pr£tation. de choix, rtc.s décors et des cûSiiimcî somptueux. E'iltn. le pittoresque dê• lllé du Bai des Quat'-z-Arts sera le • clou » incomparable et bien circonstanciel de cespectacle estival.

-o- Ce soir aura lieu au tiic&tre Femina la dernière représentation de le Ilot boit. Vendredi, ce MWatrc fera relâche, puis II donnera samedi soir la première représentation (à ce théâtre) de Dollars, conV'OH1 en trot» actes et quatre tableaux, de M. naoul Praxy. A. l'occasion de cette reprise. MM. le* critiques et courriéristes s&ront icçus an contrôle sur présentation de leur eSrtè. -p- PALAIS-ROYAL. La pièce de M. Hog«r Ferdinand, Touche à lotit, qui va proclialnemeni ewe créée, comptera Mlle Oerma|ne Auger parmi ses principales Inlerpretes.

-o- NOUVEL-AMBIGU. Les matinées du jeudi et du. samedi sont désormais suppri- mées. Elle» seront rétablies le 8 août prochain.

-o- NOUVEAUTES. II ne «era plus rtfln• né de roprésonlalions en matinée le jeurtt. -o TH. C0M0ED1A. Dernière de l'amusante Ecole des vierges. Samedi Un» pellle femme sans chemise..

-0- THEATRE DE L'AVENUE. Jusqu'au ̃ 1" septembre prochain, toutes les matinées sont supprimées.

dç Viltinrs. Demain, lit Cocarde de .W/rniPlnson Rentrée du célèbre baryton Jysor. -o- iCLTJNY. Le Train de» cocu*, le Train des cocus, le Train de» cocus, le Tratn ries coene, te Train rimt meut.

i PALAIS-ROYAL –p– RIRE

L'ATTACHEE de M. Y les MIBANDE

SUCCÈS

SPECTACLES ET CONCERTS Folies-Bergère, S h. 30, De la rolie pure. C.-Wayol, 2 30, 8 30, Et moi je te dis. Maud. Palace, « ti. 3». l'afls-Madrid (H. Mollcn. Cajino de Paris, 8 h. 30, Paris qui charme. Moulln-ftouge, 9 h., Mlack Hlrds.

Houllh Chanson, (O, Bd Cllchy), S h., Rev. Eldorado, ;< au. les 13 Clochards (Georglusj. Cirq. «inàr, 237, bd Haspail, È 30, m., J., s., fi. Luna-P»rir, attràct., danc, matinée et soiréii. Jarflln d'Acçllm., entrée, 2 fr.; enfanta, 1 fr. .Fatals Pompéien, clôt, amii réouv. 7 sept. -o- La salle étant aérée, le CONCERT WA.Ï0L continue, les matinées et soirées de la triomphale revue Et mot je te dis. Maud, avec la distribution du début Maud Loty: A. Slmon-GIrard, flognonl. le Sparck ballet; 80 artistes, lu tableaux, etc.. Aujourd'hui., matinée et soirée.

-Or. Rappelons que c'est ce soir, à 8 n. 30, qu'à lieu au Palais de la Mutualité le grand gala de la chanson organisé au Bénéfice de la Maison de retraite des artistes lyriques (Fondation Dranem).

LES PREMIÈRES

GEORGIUS A L'ELDORADO C'est Par de véritables ovations que Bravo. Tero i la folle espagnole en trois actes, Où Georgiug dïënaiaè d«s éclati de rire inlntpirompui;, s été saluir » la première Las « 13 clochards », que nous voyons pour la preraterè f61s es France, ont remporté un véritable triomphe. En réalité, vçiila un spectacle d'une fantaisie et d'une origritialité charmantes. Nul doute que l'Eldorado ne fasse des salles coiâbles pendant les io Jours ou ce spectacle de i)fem.ler ord^e sera dûnti*.

CINÉMAS

Madèlelne-Cinemi, l'Egcadre volante.

Paramount, la chanson de Paria.

Gaumont-Filace, la Boule blanchie.

Aubert-P»la*e», le Chanteur de jazz.

Haz-Llnder le Roi de la valse.

Marivaux.. Bessie a Broadway.

Electria-PaUce, le Dernier des hommel. impérial, Verdun, visions d'olitotrÇ.

Rlalto, le Drame du Mont-Cervtn.

MaiUût-PuIaoe, la Maison du bourreau. 0mnl«-P»tné, Cœur» déebu».

«araêo, l'Epave vivante.

Cotisée, le Village du peciie.

Cijale.CIn* Tu te vant*5 (William Heinst), Carillon, Cirque d'épotiv., Idylle atlx champs. ArtliUo, l'AJlantïde.

Luna, la oanseus* d% Broadway, etc.

PETITES ANNONCES CU5SEES orramn p'»<tyi.oi»

tHéèfi On tidmsutfe eiupluyë, ayuut irbt lionne écriture, féfêr. »ér. exliifées. Début» 880 tr. p»r nuits; Ecr. OFFICE SPECIAL DE PUBLICITE, 29, boulevard de» Italiens.

On dërnsinde bon monteur électricien con^ttssant la Haute tension et entretien moteurs. Ne pas se présenter, écrire eu Indiquant références au Service Electrique _u Pètlt_ Parisien, 18, rue d'Enshlen, l'arts, 5h "dëiiir9rfpuiies"irens 14-16 an» aïde-oul»tne et comptoir. Nourri*, couchés, lui) fr. par mois, pourdolros. E3CAH0OT D'Ofl,

5, rue Blcnat, Paris.

TËtaWlsiT HAYMANN frèrei, 160. r. du Temple, dern bon drapier cour, confection dames. Bien rétribué. Urgent.

Sté d'ajimëmation dem. employée» bureau, plus. ann. praiiq.; ciiaulT. livrsurs pds lrdê; cochers livreurs, cnef rlnceur, chef fabrlc. limonades. S'adr. Soclélé UorrfeUlie, îl. bd Vlctor-ltugo. gjltlt-ouen. On dem. chefs dî rayon. S0co:ifl« vendeurs, caissières, ia^yeeteue» et garçons, munis de sér. rértr. S'artr. Al! PAUVnE MCOUKS. it, pl.dt la Rétmb)lqjie. Parli. 9 û. à mlllL On dëniTpuns débiteurs ut riéDitrîces, calculant rapidement.

Ecrire JUSTlfl/11. rue rte la Cesionnerlt. On dem. un Jeune nomme ou une Jeune fille de l( & U ans pour travail bureau et téléplione. Salaire âuo fr. par mois. pour d^éftljt. Se ^r_>. BONDIS, 43, avenue Grande- Année. On" dènir clê~ vleùY~oùvïlêri~00 ansst piîis, habitant la région, pour travail facile. Crlslallcrie. iù, rue de Pari;, a Pantin. ÔTv fletn. mriiiofinTpf. f7T~RT"U., 187, quai d'issy-tes-Mniiliiieaio. k lasy-ies- Moulineaux On demande débiteur, facturier, expédiJlonnaire, actif. Se prés. 7, r. Sibuet, 9 à 12 b.

COURRIER DES X C C AMATEURS DE 1 • »J. F • Jeudi, Î5 juillet 192».

Les essais de ro, B, M. L'OfUce aatlonaj météoroleglque fera aujourd'hui a juilJet un essai d'émission sur ondes trfts courtes, de 12 b. lu à 12 h. 35, sous la forme suivante

Onde de n m., minutes io à in.

Onde de 36 m., minutes ta a 27.

Onde de M m., minutes 58 à :w.

La lettre < é > sert transmise accompagnée de groupes de cinq chiffres. Les comptes rendus d'écouté pourront êt»e adressé* à l'O. ïi. M., iîê, rue de l'Université, Paris (VH-).

LES PRINCIPALES

ÉMISSIONS FRANÇAISES

Po*to da PETIT PARISIEN (329 «.-OkwSM) SK) h. 45, disques, causerie û<i Miroir des Sports, par M. René Pujol, sur le Tour de France cjclitt* Infornuioa».

Si Heures, concert n«ç ie concours dt> Mlle Suzanne Berlin, du irianon-Lyrique, dans L'Ho ttçurouje ,Chai3c|er Le Colibri (Chausson) Si tu le veux (Kœchlln) et de .M. llou.-jtau, Je l'Upéta-Comlque, ;Ians Baitaéa et itiliime, • Ballade de ta reine Mab > (Oounodi Les FaullUs sont mortes (Doret) J'at des p'Utni fleurs oieuev (Francis Cssadofu»).

Ouverture dramatique (Oaunod) Gavotte de Mignon (»mb. Thomas) Un bal d'otteaax (P. Lacôme) Mireille, suite sympbonique (Counod) Us ArmilUl» < entr'acte > (0. Doret) Ssèoes nuptifjtf (SmeUna) Les Brigandi, sélection (Olfenbacb) Sérénade (Widor. Marche gi)Ulque (Francis Casadcsus). (PUno Flejel.l

RADIO-PARIS (I.72Ï m. VJ Kw). 12 h., « Le pèlerinage proicitstlt en Palestine l'Eternel contemporain », pïr le pasie'tir Ueoijfcs Lck'US,

12 h. 30, Roméo et Juttells, invocation d (a nature (Berlioz) Romaiwe de t àloilç, la Valkyrie (Wufhcr) Cluinton Irttlç (Utiparc); Premier moifvement dé Is Quatrinhù iymithonie (Schuraann) Air a'<# (Mozart) Chanson d'aviour (Horfmanri) Menuet des Follets (Berlioz).

15 h. 45, l'heure classique.

18 h. 35, concert de disques wn» do l love (llammeisleln) P.aaamm (Lehar) Chanton triste (TschaUoWsKy) Carmen (Btzet) le Prince Igor (Uoroqlne) Uagali (MUiral) Valse en ut cliite (Chopin) tes Gai hilarants (Laurent llalel) la Hlousme (Louis (Janne).

29 b. 5, « Le théâtre du Don vieux temps ». Le budget d'un jeune mànane, comédie-vaudeville à couplets (1851), musique reconstituée par M. Ludovic Bouserez; l'Attente; les Feuilles des peuplterti Barcarollu (Massenet) Quatuor (Brahms) Pièce rémanlit/iie (Marcel Grandjany) Dans l ambre du piitio (Slmune Blanchard) m Clwnxon d'IlaUlcux (Marguerite Canal) ta Chimère; Çhanban pour l«an (Grccourl) Quatuor (DoBussy).

TOUU EIFFEL (1.445 m. I, lî IfW.). 18 h. i», Journal parlé.

30 h. ta, chinions, Jazz et fantaisies. PARIS P. T, T, (4*7 m. 1, 15 Kw.). 7 h. 45 et 13 b., compte rendu du Tour de Franco.

t-2 h. 30. concert.

14 h.. Quatuor avec piann, premier et deuxième mouvement (B râom jjj Valse w 4 (Ovotak) i le uhemtaeau (X. Leroux) Andan/e (Mozart); Mdtliircâ,' iércn!lde espagniJIo (Albenlz).

15 h., l'heure enfantine par la Lieue française d'éducation morale.

20 b. 30, causerie sous les auspices de 13 Sorlêlê nationale d'horticulture de France « Les flpurs d'éM ».

so h. 4S. « La fibliotbeque de Versailles p.1r M. Charles Klrschaiter, conservateur de la blblloinèqtie de Versailles. îii li. so, Marche militaire et Rêverie du soir, tirées de la Suite algérienne, par l'orCbcslre (Sainl-Snëns) II' faut rjtïùnc pnr.t? toit ouverte ou fermée, proverbe en Un, acte (SJusscO i Faulaisiv hongroise (Qoppler) Festival do la rnnlisoti française les Amfiu'eux grivois, 1747 (Favart) Plaisir d'àmoûr Martini) le vmur.de ma mie (J. Da(croze) la nernière Gavotte <ynr(rues) le Petit Béguin (Cniï3tfn6) Quand te mai ha teiitr (J. Dalcroic) fanfrèiucn es (Paalnplmet) le Coffret (Xnrler PCIvos) le Temps des cerises (J.-B. Clément-A. Renard); les Bêtises (Victor Roger) la Musique rie la garde (Delormel-Sinclalr) Contes de fées (^arinjer) les Heures (X. Privas) Quand lai litas rcffcutironl (Ùéalré Dlhau). 24 h, 30, /liffiiàion ac Xa solrae donnâe au Prado par l'orchestre des cosaques balalaïkjstés d'Alexandre de Scrlablne.

LILLE P. T. T. (î«3 m, 5. 0 kW. 5). 17 h., m.itlnêe enfantine de grand-papa Léon ta Mascotte, par la petite Thérèse (Atldran) lé Loup, le Renard, et le Pot de miel (L. Pineau) Werther (Mnssèfiet) Crimée maman, monolbgue j le Cheval de selle de frère Lapin, histoire lé 'P.'itt QutntjUIn de la bçtte à musique du grand-pire, RADIO-TOULOUSE (380 m.. 7, S «W,). 19 b. 45, Snrabanda (Debussy) i chant iindou (Rlmslty Korsokoff) Plaisir d'amour (Martini) légende, d'après Us Slfèi de Locoule de Liste (Renier!; Rêverie (Plclifanl; Doma (lllrtlnlted). 13 b. n. mmique dé. dane« Dut you mëantt, fox (Baker) Hussiiti de VÛlUit; vaUe (Berlinr Oriental chtaëte Oluts (fiardner) Entre suros, tango (Altiâ) PltHtay heat, foi (Bufiell); venu» aon mtigo.

Bonne vendeuse active «t sérieuse et dame au courant de ta correspondance, connaissant dactyloffrapim. Mouton, 17, r. Beaubourg-. Femme robuste, libre 19 à iJ heures, pour nettoyage ateliers.

83, rue Vleille-du-Tempie.

Surjetteuse, bobineuses, rebroussemes, formeùse, »ppaireu*e.

Bonncicfte, 145, de Bellevl^

"Âlanutentionnairt-e et manœuvres français ou atran;«rs dem. 7a, quai 6» Javel. Taris, 13*. p. comptait! et cmliaqurtaïe Journaux, Uvres cl papeterie. Sem. aiiglaUc, avantage» divers e__r__aUa:

Dîmes employées »ulf écritures. Si à~40 ans, ay, bonne écrit, «t cblff. rapldoma()t. Primes diverses, luiralte. Alloc: mm. Sa pr6S. lit, r. néaumùr.

~iL)*êmrMaiei>iHH>ri8. «, rua de Vgrénp*t'Coupeur mactiiiîe cefifet't. 43. r. Bir'rauîl t côupéusas roiîf'fctïoni, "43, r. Barrauit. tjit dam. Jne nomme 15 à 18 in* \>. tr»van facile. Pétard. 31 bd Honne-.Noiivelle, Paris. Durai ne AKMAUU,' «. avëuuê~ae l'Opâra, ejem. un jeilpc hoitime U a tVjtjé. Apprenti rinpriineûf.~i3rrue" Frânçof» •»'. JEUNES PïLLBS l4-f6 ANS dem. par cnocolatt-na. 51 av. fle Ségur. ine»^ni|es au couraiû~piriâure sur émaux, falenee ou vtrre. Travail bl«n p»5'é. S« vris. n. Impasse Bamcon (20*). Prêts*-

un J«ni. employée pour télipbone et classement. Ne pas «e présenter, écrire SCUTT et WILLIAMS, 18, rut ût Paradis, Parlé. BONNES CARTo.NNtEâiES pôut renveioppe. i massicotitr à papeterie.

MODERNA, 2«, rue .-1« Tatifer.

ÉîSployés'pour bureau "de fabrication. S9~i 30 ans, sténos-dactylos, dactylos sont demandés de suite par imp. Industrie. Ecr. en tndlq. »fe, référ. el prêt. MAUMCE, Boite n« _«, BurMu 17, PAHIS.

bami: J5-35 ans. sérleufc. active, bon chiffrage, rérer. eilgr., p. caisse magasin détail. Se pr. » 4 10 U. 167, M Haussmaon. Tisaases.

Et inlerriano, tango (Bosendo).

20 n. 80, concert.

ET ÉTRANGÈRES

8TUTTOAHT (361) (I). 1, 4 kw.). 52 h. 1», un concert dans la salle • Au Mbrolr ̃. a $tra«t>OUig, en 1753 Introduction (W. Kipp) Quatuor à cordes, op. 6 et 7 Ugn. Pleyui) i Trois chansoni (Job. Phll. Scnoenfeld) concert de flûte 'en ut majeur avec l'accpmpagnement de l'orchestre à cordes. Air avec cymbaium et violon: Joie, la déesse {Job. Phll. Scnœnfeld).

LO.NDHES (3SS m., 2 ïw.). DAVENTHV (t. 562 m. S, Si kw.). it b.. 19 h., 19 b., concert.

18 h. 15, œuvres de Beethoven.

19 a. 45, musique militaire.

DAVEJSTHY EXPEItIME.NTAL (482 m. 3. 23 k».). 15 h., concert par l'orchestre municipal Ouverture des Guêpes (Vatican Williams) Suite de Va Hère l'Oye (Ravel); Concerto pour violon en sol mineur (M. Urucb) Deuxième Symphonnte (Borodlne).

t« b. 30, concert d'orgue Fantaisies, sélection (Seule) Sous les arbres (Hope) Valse romantique (Uelnecke) Amour argentin (Don Carlos) les Hirondelles (Çowon) Vieux Camarades, mnrcihe (Telke) Son de soprano comme Intecmèdes.

18 h. 30, orgue Prélude de la Sonate en mi bémol majeur (Rhelnberger) Prélude choral et Fugue en ré mineur (Bach); Fantaisie en mi (Wolstenholme) les Oiseaux, marche (Parry).

19 h. 45, concert sytnpnonlque Ouverture occasionnelle (Hiondei) Cnneeilo en ré (MQZ3H) Quatrième Symphonie en la (Mendel.Mohn). si h.. Sélection de la Boulimie fantasque (Rosslnl) Feuille d'album {Wagner) Suite de Trois Pièces (E. Vidal) la Fringante (Flocce) Sérénade Bourrée (Bach) Fantaisie impromptu (Chopin) Soll de soprano comme intermèdes.

LES ACCIDENTSJ3E LA ROUTE Une auto dérape et capote un l,!e»»é Beauyais, 24 juillet (dép. Petit Parisien.) M. François Solengtii, sujet italien, mé- canlpien à Paris, se rendait en auto à Dieppe. Son beau-père et (juatre autres personnes l'accompagnaient.

A l'entrée de Talmohtjer», la volturo dérapa sur la cliausséo nouvellement goudronnée et capota. Projeté sur ia routp, le beau-père de M. Soleiighi a eu la jdnjbe gauche brisée. Les autres occupants n'ont "reçu que des contusions légères.

Un» moto contre un arbre t

deux bleuit

Boute nationale n* 7, près du camp d'ôFly, un motocycliste, M. Eugène Ilivièrë, vingt-Sept aas, employé de banque, à Paris, est venu par suite d'une erhhardde ee jeter contre un arhre; et s'est fracturé, le crâne. Sa fiancée, Mlle Jeanne Làborde, dix-neuf ane, couturière, qui raccompagnait, fut également blessée h la tête et aux genoux. Les detix jeunes gens ont été transportés dans une clinique par un aùtornolilllute qui passait au moment de LA MAISON DE RABELAIS La commission de l'enseignement de ia Chamtire, réunie, sous la présidence dé M. Cazdls, a adopte à l'unanimité le rappqrt de M. Georges Legros tends nt & inviter le gouvernement à classer comme monument historique la maison natale de Rabelais à 1b Devinière, commune de Souilly (Indre-et-Loire). Etmttnajor général de l'armée Ce colonel d'artillerie Posse est nnmme au commandement par intérim de la SO pripade d'arinierié, a Nancy, en remplacement dii générai de Brljfafte Kauffer, placé dans la position de disponibilité.

AUX HALLES HÏF.R Hausse de 0 30 a 0 30 au Kilo sur la première qualité ilu bœuf quartier de derrière, 7 i 13 aloyau et milieu de train de coté, 8 â 90 SO train entier, 8 A 14 50. Baisse de u Su au Kilo sur re poulet nantais et Mtmal», «5 H 28 50 rte Bresse, 23 a 27 Mi la poule du Nord, 10 a H de o sut l« lapin du uatlnals, 13 a lï 80 de 0 40 sur ie lapin autre catégorie, H a 12 40 de 0 25 sur le lapin vivant, 8 a 9 35.

Baisse sur la daurade française, U 50 » m langouste, 16 à 84 turtiot. a 14 barbue, 7 a 14.

Les beurres lins des charemes et du Poitou valent de 17 A 22 50, et les ordinaire» de 13 59 a le le kilo. Les ceufs valent ae 560 a 800 le mille.

Hausse sur la pomme de terre de saintMaio, iô à 50 de Paris, 50 h 100 les 100 Kilos. Balite sur le caôu-fleitr de Salnt-omer, ?B ft 190 de Pans, 73 a SM le cent ûxir les cornlctions, 100 4 350 la tomate du Midi, 300 à 330 la groseille a trappes. ISO a 330 les 100 kilos sur le haricot a écosser de Paris, ISO i m les 100 kilos.

Hausse *ur le melon de Paru, « u de Naritel, i a 25 ls pièce.

llllllllllllItlIISIIIIIIIllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllîllll

J. g» 13-10 a. pres. p. par. p. bur., manœuv. mec.-outill. Caplaln St-André, 12, Porteroln-3* Garçon de m3»aslo el caissiers-facturiers d?m p. Dofnns, 40, rue du ri Poissonnière. Se présenter le matin, référency _t||«fl_. du di'inaliBe OuvHerés aû"r macfiinés. UO1S9KLOT, in. rué castaiciiar.v-i>». isut Diën. TUnJvËli, ift, rue H«»pall, ivry. Ou dem. entreiir. Jauge 7~et 8 coupeuse pour atelier tricot, ai, bd Bonne-Nouvtlfe. On demande immédiatement une remplaçants téléphoniste. Bons appointements.

société N. E. S., ji^ruej*» Lisbonne. cfti dem. garçon maaraiitt au courant du paqueugra. vendeuses pour fausse bijouterie, 16 a VO ans. Bonne facturlère, calculant bien. Mosclienroas, 7a, rue de s Archives, de 5 & 6. Anprentiei, apprentïs7T3~fr. pïr Jour. liélfctnirc. 84, nie <ti* la Prévoyance. Paru. On detn. p. «oTrfr^-s. iy n. t «4 heure» !• Bèceveuses, S0 francs par «olrée 8" Contrôleurs, 90 francs par soirée. Se prés. Jardin Acclimatation. Bois de Boulogne. Pte SaBlon* un dein. bon arcliivïste pouFb'ûTëiïîFdëïirtK actif, bonne écriture, très ordonné, libre de suit*. 9e près. av. réf. le matin de S à 9 b. et lé soir de «4 a 15 b. Ayions amiot, __7l-lii3. bd du Havre, k Colombes (Seine). CHAUKfEUhs caillions 5 (onn«s'"«t COMMIS LIVREURS tout demandés polir livraison vins en paniers et alimentation ds succursales. Tr. str. réf. eJ.lt. Se pris. Kntreiiôt (le Grenelle, t3, rue Boideiafeé, Cnarenton. Courtiers reècvéui1», -forr.' par Jeur, rteTST" par Progrès Comroierclal. sa, rue Beaubourg. On déni, contrôleur tnsnutenilohbalre. S'adr. U, r. Jessaint (I8«).

bemanne vendéuseï ot apprentSI

N'OBLET. 77. avenue d'Orléaris.

un dem. dut'irenie des ouvrlêrps spCcialutès ou des enireprenetises de, premier ordre pr tricot main. Bien payées.

Maison TROIS. îl, i-ue^ vignon.

Métreur d«tn. 'débutant ie a. muni brevet. Cùainpeau, 6, r. Mtebel-de-Bourg-es, Pam-SO*.

'-ES COURSES Hier à Chantilly. L«» ré*ult«t* PH1X DE CHAUMOHT

(A rijciamer, to.uoo Trafics. m.oou mètres) 1. Mj'Kette (J. Frt^OUl) O 84 • & M. Euçéne Antoine. 1» t6 6U 8. Bairlster (W, Sibnritt) V 7 • S. Hoi du Médoc (K. Chancelier) P » • 4. Oitalleu (U. Duforeï). Won placé1» i Mandarin (A. Esllnjf) Hliea sylvla (U. Vatsrd) oiroilée (R. oermonfl) Blue Bell II (U.-H. Seiùblàt). Courte eccol., 1 lonj:. î», ions.

PRIX DE VINEUIL

(20.000 rrancs. i.uûo mètres)

I. CommandeTle (F. H^rvé) O 25 • A M. Edouard Henrlqqef. P i 50 a. Princesse Eugénie. (H. tiates) P 17 » 3. Rosy m (C.-H. semblât). _H 14 50 4. Oolden Mann» (O. (larner). Non placés Freddo (E. Chancelier) Régime àte (C. Bouillon) Cachet Royal (G. Vitard) El Pajo (L. Orantham) NoUeau (A. Eslmg); Feu de Joie (J. Peckett) DJilou (G. Durorci) Azaya (A. Sharpo).– S 1., 14 I.. c. tête. PRIX DE LA THEVE

(20.000 rrancs. 2.400 mètres)

1. mfouan (A; Shar|)e).™Av..w-o 30 • à M. Henry TernyneR.™P lô SO i. Van der Mecr (C. Boirlllpn) P 7 50 3. Saint-Aubin (C. Herbe»). H 13 • 4. Pnaros (W. Slbbrut). Non macés Loula (A. Eslln?) Lasso (M. Uéarii!rl*uin) Esculalie U (F. Hervé) Enfer (E. Chancelier) Sandro (G. Gainer). %'Eucol., 1 1 1. PRIX SE CREIL

(25.000 francs. 3.Q00 mètres)

1. Sâlnt-COrentln (A. Esllnjf) O 12 » à M. 1. D. Gohn .•. P 7 60 a. Petit Poucet (Semblât) P 17 » 3. P«imeuih (W. Slbbrllt) 4. Sainte Mandane (O. Garner). Non placés Dame Oui (Sharpo): S.ipor (Hervé)– 1., 1 1. 14, 81. PRIX DO GBOS CHEKE

(80,000 francs. 1.000 mètres)

1. La Fayette (A. Eslln&i G 8 50 a M. Pierre Werthelmer P 6 > S. Probité (SeijjOlat) P 8 » 3. Alnta Savoïa (W. Slbbrltt) 4. Touchaud (D. Tonerolo). Non placé Winnlpeg (M. Mac Gce). 3 lonj-. tête, long;. PRIX DU BOIS BA1KT-1)£M6

(Handicap. so.OOO rrancs. 1.800 mètres) 1. Sirocco (M. Vincent) U S7 » k M André Schwob P 13 • S. Sllkineis (W. Sibbrltt) P 8 50 S. Barftéur (V. Flora) H 14 • 4. Bis Boy (F Rocndttl). KOn placés Netherby (A. Esling) L'Amiral il (M. Allemand) Hotchklss (F. Hervé) Abd el Krim (M Bônavéuture) TOlôde (A. Wlldman) A la Violette (J. Frlfroul); Slrlus (A. Patmer); Rajrlinde (L. ltobson) Téôllla (M. Bésulrlstalh). S Ion?. Va. 3 Ion; long. Aujourd'hui à Saint-CIou4> 14 heure* MONTE» El PAMANTS PROBABLES

Prix de Cmplère», a rendre aux enclifires, 7,000 rrancs, 800 mètres. Galante 56 (0. Duforez); Allones 56 (A Rabtie); Spoletta 5û (O. Howland); Hydromel 56 (E. Hoare); Cloche de Bronze 56 (R. Trumeau); Cûrneville II 56 (M. Ariello); Fioria 56 (F. novella»; Tairanroclc 56 (R. Daniel); Diànthe 53 (M. Dairé); Don Gilles 52 (W. SlbDritt) Sibylle 52 (T. TurneD: Hotte rte N'overs 5-2 (J. Cornut); Magenta 5-2 (A. F. Robin).

Prli da Saldy Choury, 12.500 francs, 2.000 mètres. Orner 53 (A. Sbarpe); Monoclo 33 (R. oermond); Rodos 03 (A. Rabbe); Mésange 5î (C.-H. Semblât); Sabotière 58 (G. Garner); L'Ou3se 51% (G. Durorez); La Rlvièra 50 (A. Palmer); Reine dès Prés Verts 50 (G. Vatard); Blanche Hermine 50 (W. SibbrlU); Brlpht Colours 50 (3. Smith); GalIant Hoyrten 50 (E. Goidin); Hâbleuse 5(1 (M. ArlellO); Poky Nosy 50 (J. Cornut); Mhénée 50 (J.-B. Vaulato).

Prix de Clerniorit, à vendre aux enchères, 10.000 francs, 900 mètres. Héléna 56 «3. Wsrren); Svrius 56 (R. Germond); Cor» Pearl 51 (w. Slbbrltt); Ondulée 51 (h Robso); Nika h 51 (H. Pâma»)-. Marinette III 51 (J. cornut); Haute Epine »l (M. Austruy).

Douteux Ancilla 51 (X.).

Prix de Joyênval, handicap, 25.000 francs, 3.100 motre». Mws en Carême 57% (A. nahbe); Salvia 57% (F. Hervé); Moqueur ai (T. Turner); Oronte 51 (E. Goldlni; Slradan 49 (E. Goldln); l'ulchérle 48 (Q. Vatard Mer Egée 48 (R. Hochetti); Stellus « (A. Pfllmer); Golo 47 (J. Kosso); Urlirht Mgru HV, (M. Beritrlsulu); Hannlbal 44 (H. SiPrix du Petit Trlanon, 12.500 rrancs, 2.100 mètres. Dagg-aroim 56 (A. Sharpe); Mlranda II 54 (M. Dairê); Emery 54 (H. Yatp*): Le Louplot 53% (G. Durorez); Mue Orl»n 5814 (A. Rabbe); Allumeur 52>4 (X.); Centaurée 11 52H (R. Boulineau); Barman 5-J (R. Eyrnard); Emté 52 (II. Sl^norét);' Osl Guesclin 49 (W. Slbbrltt); Stone Broke 49 ;,1. Rosso); Margrave 47 (C. tfagnat).

Prix de Gourtellle, 15.000 fr., 1.300 m. Sillon 00 (M. Brog-l); Hervé 60 (M. Bonavonturc) Franconl 57 (F. Rocliètti); Sa Fille 55% (X.); Héllclana 54% (M. Dalleryi; Echappade 54V> (G. Garri«r); sunbar 53* (W. Slbbritt); Ëtival 53 (G. Duforez); Ecureuil H 53 (H Sigrnoret); Oliver Cromwell 53 (E. Chancelier); Mayno 51% (T. Turner): Bricole 51% (E. Hoare) Perpétua 51% (A. Rich).

Douteux Otprès 55% (X.).

NOS PRONOSTICS

Prix de crespteres Hotte de Nevers, ntamhe. Prix de Saldy Choury Sabotière, Mésange ?rl£ de Ûlerinont [Uléna, Hauts Epine. Prix de Joyenval Salvia, Mars en Carême. Prix du Petit Trianon Barman, Stoné Brete. Prix de- ÛouneiUe* Francont, Echappade. lllfllt«tllll«lll!milltll!IIIIIUIIlll!ll[IUIIIIItlltlHI[lllllllll!llll[tlflllll

SOCIETE TRANSPORTS EN COMMUN dem. agents nationalité française p'»r emplois de 10 Receveurs (21 à 40 ans). 2« Macbinlstes omuiuus automobiles (21 à 10 ans), munis du permis da conduire: 3° Receveuses (il k 40 »O3) pour asBur»r un serv. journalier, durée moy. 4 li. soit matin, soit soir; 4» Machinistes tramways, receveurs et receveuses suppl. (ai a 50 a.), p. sam. ap.-m., dlin. et Têtes; S" Machinistes omnibus automobiles supplément. (31 t Su anai, munis permis de cond., p. samedi op. -midi et Jours ouvrables, a partir de lii h. Se prés. IIS, r. Mont-Cenis-18», t S h, (Livr. fam., pièce état civil, livr. mil. êt_r_ctile mobills., certif. travail eilgés.) f)EB"UTANTS ET DEBÛTA-TÏtS

13 k 10 ans, ayant scrtlf. d'études FILLES 16 FIL PAR JOUR OAligONS 17 FR.

Jeunes mies ayant brevet, 16 à 20 ans 23 FR. PAR JOUR

Travaux bureau.

Auto- Accessoires, 32, r. Parmentler, IVeuilly 'importante maisën~acccss. autos demande préparateur de commandes.

FLERTEX, «5^ r. J.-Duhid, NenlUy. urT~TieiiiT~bon vendeur alimcmatiuii tiulependitiL CHAPUN.ju, rue de là Oaité. Jeune nflë pour téléphoné et copie. JuST, lus, r. Villlers-tieritle-Adain (to«i. On dem. des vendeuses p. la confection dames, pouvant travailler le dmmno. S'aiir..M. FELDMA.N. 43, av. des Qobg'lns. Dame ou demoiselle pour travail facile. ADRESSQ, 3, rue Castes (9«).

On dem. cycliste, homme p. tri, manutentionnaires hommes et femmes. Se prés. Etabllss. DAHRASSE,_ Frères, l__r. Pavée (4»K emballeurs. Xe pas se présenter, écrire a l__LatTolx, |«0. jv. duRoule, WeullIy-s-Sne. On deinTTSanœuvres non spériallsés. S_sdj;. C. js. P.J..J7, rue Bonaparte. 5iâïsô~n 1res miportante démrremmes manutentionnaires. Ne pas se prés., écrire M. Lacroix, 140, av. du Roule, iNeullly-s-Sne.

BULLETIN COMMERCIAL MARCHE LIBRE DES GRAINS. Pans. 24 Juillet. On tient les 100 kilos départ: Blé Beaucc, Loiret, 154 t 155 Touraine, Indre. Loir-et-Cher, 154 a 155 Poitou, 154 i 155 Allier, 155 k 156 Cher. 195 a 196 Vendée. Anjou, Lolre-lnrêrleure, 153 à 154 Nord, Pas-dc-Caials, 154 à 156 Oise, 164 a 156 Aisne, 154 4 156 Somme, 154 à 156 Aube, Marne, Seina-et-Marne, 154 15s Yonne, Côie-d'ur, 154 à 15& Sacthe, Mayenne, 153 a 154 Bretagne, sans offres. Seigles calmes nretagne. nouveaux. 105 a 106 Loiret. Sologne, 110 a IIS. Sons vente calme ordinaires, disponible, 61 a 63 livrable. 78 à 80 belle» aualllcs, disponible. 66 a 70 Ilvrnble, 82 a 84 recoiipelics, 62 a 65 remoiilajçc, 78 a 82 francs.

Avoine» calmes grises de printemps. Centre, 112 a 113 grises d'hiver, Poitou, Boaiice. Eure, Brie, IIS à 113; noires centre, 111 a 112; Jaunes et blanches du îford, 10-3 à 103 blanches pures, 103 t 104; noires Bretagne. 103 a 106 bigarrées Brelarnp. 103 à 106 grises Bretagne, 103 a 106. POMMES DE TERRE. Paris, 24 Juillet. Au mnrrhé des innocents, on cote les 100 kilos départ. En nouvelles Espagne, dédouanées Sète et Cerbère. 85 à 98 fiarhMitatle, sans offre? Palmpol, 25 a 80 Salnt-Mato. 3ft à 45 Saini-Pol-de-Léon. S8 à 35 Perpignan, sans offres Paris, 40 a 70 saucisse rouge Uretîtjine, E5 a 60 Hnlnnnl du Loiret. 70 à 75.

COTONS. le Uarre, 84 Juillet, clôture Juillet. 647; août. 688; sontembre. 632; octobre 6Sfl: novembre. 627; décembre. 628: janvier. 627; février 626; mars 629; avril 629: mnl. 620: Juin. 628.

CAFES. Le Havre. 24 .Juillet. Clôture Juillet 465; août. 461 S<>: septembre 463 75: octobre, 460 75; novembre 457 7û; décembre 454 E0; Janvier, 448; février, 444; mars. 443 75: avril, 440 ?5; mal 435.

SHCRES. Clôture ronrmit. 246 a 246 50 P; août 244 P: septembre 242 50 à 243 P; 3 d'octobre, 234 234 50 P 3 de novembre. 834 50 a 235 P. Cote ornctelle, 947 5ft A 241).

BLES. Courant, 159 P aoftt. 158 P septombre-octobre, 16H 50 P 4 derniers, 16? 50 p. Cote orttcielle en blé disponible 160 en a 161 50.

SEltiLES. Courant. 190 N août, 115 N; ̃septr-mhreroctobre, 114 50 N 4 derniers. 114 50 N.

AVOlPiES DIVERSES. Courant, 109 50 N; aont. 109 N.

OR(ÏES BRASSERIE. Courant, 152 V août, 190 N septembre-octobre, 191 M 4 derniers, 121 A.

FARINE. Courant. 209 N aont, 210 N «ppternbrv-oetolire, 208 N 4 derniers, 208 N, ALCOOLS. Gnurant. 1.205 N; août, 1.100 H; septembnp, 050 à 9m a d'octobre, 805 P octobre 80» N novemhre-rtéeernbrp, H95 N. FARINES PAMKHBI.ES. Les farines paniflnbi'-? valent actuellement 227 franc» les ion kilo?.

LE MUROIIR DES -SPORTS

Le plus fort tirage

des hebdomadaires spot'tifs

Voir dans snn numéro rie vendredi LE MAGNIFIQUE SUCCES

CE CHARLES rELISSIER DANS L'ETAPE EVIAIf-BELFORX

LEDtTCQ VAINQUEUR A STRASBOURG LE MATCH NUL DE JACK TATLOR ET ROMERO ROJAS

U» TABLEAU DES NETS PROGRES BE LA NATATION FRANÇAISE DEPUIS 1927 SES ECHOS. DES ANECDOTES

LE BONNET 27

Roman Inédit par René PUJOL

ET TOUTES LES ACTUALITES SPORTIVES Le numéro 75 centimes

18, rue d'Engbien. Paris (10«)

MOUVEMENT DES NAVIRES Posta (je

Amérique du Nota. Pour New-York, les 26 et 27/7 via Boulogne, le 26/7 via Oêncs, le 26/7 via Oslo, le 27/7 via Cherbourg, le 97/î via le Havre, le 27/7 via (jolhenberg. Pour Québec, les 26 et 27/7 ma Cherbourg, le 26/7 via le "avre, le 26/7 via Llveipool. Indes et Emrênif-orlent. Pour PortSaïd, Djibouti, Colombo, Singapour, Saigon. Hang--Kotrg, ClKingftâî, Kotié^t Yafcohama le 26/7 via Marseille.

AUJOURD'HUI

achetez

Le Numéro 146 (Août 1929) de

LE PLUS GRAND MAGAZINE MIZNSUEl.

DES SCIENCES ET DE LEURS APPLICATIONS A LA VIE HODERNB

F km! les sujets aussi nombreux que variés traités dans <e numéro, il faut retenir tout particulièrement un article mettant à la portée de tous la délicate question de la turbine à vapeur une étude de haute vulgarisation sur l'émission thermoélectronique, oii Marcel B<»lî nous initie au fonctionnement intime de la lampe de T. S. F. comment on utilise rationnellement le vent au Danemark un article remarquablement documenté sur l'état colloïdal de la matière, base de nombreuses industries les progrès récents dans la fabrication de la pâte à papier de bois le tricentenaire d'Huygens, son œuvre, exposée par L. Houlievigue avec son talent habituel: comment l'avion-laboratoiré de gavants français permet d'étudier en plein vol les efforts subis par les ailes d'avions 1b XXI* Foire de Paris le phonographe et la vie, etc.-

Le Numéro 4 franc*

FlUC* M Colonie., pu poste 4 il. St Etnncer. pu poste.• fe. • 11, rue (TEnghien, Paris (10')

Ouvrières, 16 à "JS ans, demandées par Usine Lampes, 31, r. Caniille-Desmoullns, a Issyles-Moulineaux, s. conilalss. sp. mais bonne vue et agilité. Lig. Invalides, stat. ISe.v- Plaine Ciiltuiinâïa ÛELlS, 33, r. Je la Mars, pour atelier ouvr. boité enveloppe, J. fit. trav. facil. pour dehors ouvr. carré ordiu.

et eiivelqppe.

Côch. ctirirvi tir, luïi. Ctt,r. Moulin -la- i'uinie. Poïïr~pï»cï ïtâblêT Homme séViïu'x, 30 ans env., aucune connaissance spéc. exigée. T_ les J^d^à 6 n_quai de Clicliy, t». Clicliy^ ^ACIERIES, 151, riie des CibœiifS, Oennevilliers (cb. fer Nord, halte Grésillons), demandent jeunes employés de bureau, libérés service militaire.

ivEA.«A»5M^JlJCJC\i3i dênchecs Molos DOLLAR, m, quai de Marne. ioiaviUe-le-1'ont. ~G^mTi__a. Agenc_7_cipuciiies. Dem. manœuvres et serruriers bâtiment, Français, 25^40 a. Flcbct. 84, Ouyul, Paris DëmT~iléïTon» "tourneurs et manœuvres. Se présenter de suite.

26, ruo des AnnéletS (19*), métro Butzails. Elëctilcr tir soijniëriier*maïn, "pompeuse, monteuse Illam. lu, Sidl-Carnot. Asnicrea. "^eWrëstrâboïeurs SUR MACHINÉ, UUal'EUKâ et KPAKUEUBS Cuttat, 13, impasse Gaudelet.

TOÛRNlURS

CUTTAT. 53, nie Servait.

Petites mains aF'îteurs, p. Br~tôïïrnèurs, bobineuses en téléphonie, rêgrleùrs sur tour, semt-automallque, soudeuses ou ouvrières saris spécialités pour apprendre soudure en téléphonie, Grammont, II. rue Itasnall, .Malakoff,

Petiré~niam mécanicien poITr rép. moteurs électr., srroupe^ électrotrèncs. Oirr et BourSreois, 9, rue Salnt-Sadns, 15«.

CORROYEUB^GRAtSSEUR, avec "sér. "réf. Leroyer, 48 b., r. Botzaris. M° B.-Gtiaumont.

UN RAYON SPÉCIAL POUR LA VENTE DES APPAREILS PELLICULES & ACCESSOIRES KODAK- PATHÉ

Vous trouverez au PHOTO-PLA1T deux Séries d'ApptreUs à Pellicules objectif» Achromatiques Obturateurs à vitesses variable» à la portée de toutes les bourset.

L'HAWK EYE N° 2 I LE POCKET No 1 a-u™ Prix 225 frs | Prix 265 frs Les mêmes avec ANASTIGMAT ROUSSEL F. 6,3 Prix 275 fr* » Prix 375 fr»

Ces Appareils sont vendus garantis avec (acuité d'échange et expédiés

partout Franco de Poit et d'Emballage pu les Établissements

PHOTO PLAIT 35, 37, 39, RUE LAFAYETTE PARIS-OPÉRA Si7CCi7R5AZ.ES;

142, Rue de Renne* Pari* 6e, Gare Montparnasse; 104, Rue de Richelieu Paris -Bourse Z

15, Galerie des Marchands Rei-dc-ch.uMw Gare SAINT-LAZARE. LE CATALOGUE GÉNÉRAL de» Éubli»«emenU PHOTO-PLA1T contenant la deKtiption et Us prix de tous les KODAKS, CINÉ-KODAKS et TRAVAUX PHOTO POUR AMATEURS vous sera adressé gratis sur demande.

à .'OFFICE DE PUBLICITE du «Petit Parisien*

118, Champs-Elysées, PARIS-8* Téléphone Élysées 65-94 à 6'-98 18. rue d'Enghien, PARIS-10" Téléphone Provence 15-21 et 15-22

PH05CA0

LE PLUS EXQUIS DES DÉJEUNERS 1 I LE PLUS PUISSANT DES RECONSTITUANTS 1 1 Aliment complet, composé et dosé judi- S cieusement pour répondre à toutes les M I exigences physiologiques, agréable an g i goût, d'une préparation aisée et d'une S digestibilitéparfaiteJePhoscaoarésolu E j la question de l'alimentation rationnelle S i des malades et des bien-portants, des E j convalescents, des vieillards, des nour- E | rices et de tous ceux qui digèrent diffl- M j cilement la nourriture ordinaire. g ENVOI GRATUIT D'UN ÉCHANTILLON j A. DARDANNE & FILS, Docteurs en Pharmacie, S 12, Rue de la Tour-des-D»mes PARIS (9'). 136 M S miitiMinintiiitiititiiHiiitiiiiiiniiiiiiiiiiiiiniiiiiniminiitinnimnininmniiiiiiiiiiimiiiimiiiiiiHiniiiHiiitiiiiifiS

Etabllsseincnls COCUO1, 4ù, me dû Tanger, demandent morlalseurs-raDotuiirs.

TTn dem. bon. bobineuses et boblnlers 111 flu, pour induit neuf et réparai, et des apprentis. Bon salaire. Lisent.

BONJEAN, 35), rue Montcalm, 18«.

î» Découpeuses"" et "monteuses trav. facile. 2« uutllleur-mecanic. out. duc. perc. métaux. Rossignol, 133. rue Chemin-Vert, Paris II». Chautiruninurs, ferblantiers, uianœuvres. E. DEHILLEUIPf. 3, r. Léon-DelaKranire-131. On dem. Forgeron à ia 'main.

MOHLN. graveur. 14, r. du Vert-Bols (3«). Bons ouvriers horlogers au courant horlogerie électrique demandés par 01; HO, 13, rue de fEntrepct.

Appareillage électrique NAUROY,

17, r. Championnet, dem. apprenlis petites mains et ajusteurs au cour, gros appareillage Déconpcuscs man. spéc. e. machine. Ets DUCELLIER, 5S. rue Vlct.-HugO, Ivry. tourneurs, petit, mains tourn.

BONNAFFOUS, 36, rue Blanqul, Saint-Ouen. ~Sîontê"urs fadiàtëûrs^ûtoïTiiêtiies mains tôliers. SAGA. 58. r. des Plantes.

MENUISERIE CHARLETY, 11, rue Blanqul, St-Ouen (près porte Clignancourt), dem. bons ouvriers d'atelier pour meubles et agencement. Bons débiteurs. Bons ouvriers dé ville, toupilieur. dégauchisseur. BONS^FiKiïÂNTIERS^cùiîiïarfsaiit "dessin. Bous Silaires. Radiateurs LAMBLIN. 3fl, bd Bourdon e uiuy-s ur-Selne. Joune dêïslnateur d'ôîitillâge. découpage et emboutissage, libre de suite. Ecrire avec références el prétentions, sans

timbre pour réponse. Radiateurs

Moreux, 34, r. Camllle-Peiletan, LevalloK Plômbiérs^zlnlfiTêiirs" sont (lemT"Sè"~prés.~avëc certificats. Eatreprlse Kaspérelt,

7, rue tics Huissiers, a [veiiilly-sur-Selne, Très bons raboteurs et mortaiseurs. const. raée. 15, rue Danton, Levaiiots. On rtôm" alûîû-ur mécanicien connaissant groupes élecirogènis. S'adresser t 3AF, SQ. ruâ n-'irlff ^iirr^ur jB^r^i a>jw. xno.it.

Vous êtes embarrassés pour le choix d'un APPAREIL PHOTO Tant Je Marques Oous sont offertes

Pourquoi ne vous adressez-vous pas aux Etabt* 'Pholo-'Plait qui ont créé

FONDS DE COMMERCE ET INDUSTRIES myBRa

pRÊs'TÂRÎir VIE AD"ÔItAÎrB~AIR

Paille en gros pour commerce. Facile a lou* et d'un rapport meilleur qu'une importante renne. Gros avantages. Xi stocks, ni pertes. Heureuse situation. Bull* voiture, rlcne nUr tériel. Jardin. U'S.000 rrancs.

CHEVASSU, 10, rue Parrot, Paris.

A^rUEKTATIOM-CAPES-VIKa

BPVETTES-aBaTATTBAWTS

OK DEMANDE DES GERAMTS

même débutants

• t» pour Hôtels;

2 ° pour cafés-HotelsResUuraots:

3° pour Calés-Restaurants;

4" pour Epiceries-Dépôts de Tins.

pour renseignements, s'adr. Ets DELAISSE, Vins en gros, 12, rus des Halles. M" ChiUelet. EPÏC.-BUVÉÏTË7~Â"HT.~ SEMAOE

Aff. ûb confiance tenue 20 ans, à céder après décès. Veuve est propriêt. fera bail A volonté av. loy. rnod. Ôd log., dépend. Fort chiffre d'affaires. Bonne vente. Prix total Illn 33.000, avec tactlltts.

Mj\j 3W, rn« Saint-Martin, 35»

LtN Bfl!>S iLOa <nm»% i 8UP. *ép«uVim-AUmeat. rap. d3 3 a 8.060 p: m»l«, sulv. împnrt. i»t garantie. Méuasr. se près, ensemb. Eté SEBA, propr. 102, bd de Sébastopsl. CAPITAUX

PRETS A FONCTIONNAIRES s. SJOHATtlHÏ Remboursement 12 mois.

ANCELLE, 1M, a». Jean-Jaurès.

~PRËTS~HTPOTHECAÎRÊS. R. LETEQUE, 1». r. Vignon, Paris. Tél. Gut. 08-7S. Cent. »_» 30.000" "fra«cs~dispoh"iblès

en 1 au 2 tranches, punr faciliter achst • immeuble, bvuottièuue. ouverture crédit pour terminer construction.

..BESTJLET. 3t. biwlavard da T««»w


LA ^%BST^^I I /k KJ J\ I CjB" CAPITALISATION ^K^fVJ PW^IM A^ IQ6v a- Fondée en l888aL5g | ^-norprise P™« “<••* «u ron/rô(e de mat, siège social Réserves mathématiques an 31 mars 1929 î LA PLUS IMPORTANTE DETOUTE3 i rue jtobttiii PriIiBf. rt fi -Q |nMQ î les sociétés de capitalisation «U8. n» .ïn.t.foB. Paris tawrtMnj.iit, OHO lYlILLlUNo 084.626 Ff. i SOMMES ̃^Jïï£"iïÈ?t2it±ZSb~ JUIN 1929: NEUF MILLIONS -nui, I Tous les titres amortis au TiRAGE Ju 12 JUILLET 1929 ont été payés par anticipation pour la somme totale de UN MILLION SÎ9.00I Fr. î

Titrei remboursé* as tirage d» 12 JUILLET ̃ TITRES DE 10.0OS FRANCS

Tarif O. Primes payables rendant 12 tins durée 20 ans 2036 M"" Vve H.rpillard M., r. Reale, Pat». 2631 M. Bonnevie A.. Par».

5352 M. Turin Pierre, rue Poncelet. Faris.

TARIF W. TITRES DE 0.000 FRANCS 1A1\11 « Somme répartie 1.152.000 (ranci. 32S39 M.. Petit A.. CreU (Oi«e>.

32684 M. et M™ Lapons A., Liiaes. JIO'AfMVf. 32685 P. E.»onnc (S.-O.). (Ié.UUWI. 412285 Au porteur.

412286 Au porteur.

575717 M11" Suchcr G.. E.. ) 1 9 IWI fr 575718 St-Deni. (Seine). I l£.UUU Ir. 841070 MM.. M" Bouet A.. ( -| Q A A A f 641071 Houille, lO.UUUl. 641072 (Seine-et-Oise). ( 1U'WWVI' Mian M.. M"; R°d« J., P.. io nnn t. «41074 Bezons (Seine-et-Oise). ( l^.UUU Ir. 641078 M. Mallard G.. j 11 fjnft f641079 Cernoy (Oise). ii.UUU ir. 714581 M. Ricqueboure H.. Oft AAA 714SS2 Saint-Mandé \k ï I II H I 714333 (Seine). O\J •\J\j\j 714384

714586 M1" K.lHan M., O A AAA 714587 Saint-Mandé "Vl I I 11 11 I 714358 (Seine). «JUoVVU 7145Î9

738910 M.. M™ Lapointe. J M 0t\(\ ir 738911 r. Saussure Paris. ( J^.UUU H. 738912 M. Lemulloi*. r. Vital, Paris.

i Le PROCHAIN TIRAGE aura lieu le MARDI 13 AOUT 1929 1 Irttfrftpef.RUioueltt H eet rrocédé au moyen d'urnes, bc font rubliquenient rhanue mois au Stèse social, h R heures du matin, en principe à la date du 1S. Aucun tlns«n>raat Jamati lien leaaamadJui.dJnuD0be9.Joan | ̃ kriit ou veUietue ïftes. cette date est, Je cas échéant, avancée en conséquence. Los tînmes ont pour but la répartition aux porteurs de titre» a jour de leurs versements de 70 00 de tous les Denattces distjribaés S ™ conformément a i'art. 55 des statuts. Cette rjuactition est faite entre les dirers tarifs arec participation provortioouel.ement aux bénéfices produits par chacun d'eux. g

I Titres W à prime unique 1.860 fr. | rj«v*w*T-%w=>a> \iW I 1 uni£ï:8M*^<W^ TITRES W de la Séquanaiss Capitalisation permettent à toute personne d'acquérir i jfi sieurstitre» W libère» par un veire^tent unique, lepoiteur en touche s htcc 100 francs paur mois ^8% ̃«̃7 M Ma^Mi »– ̃ ̃ ̃ ̃« -*iiliilli>ni<llt>lii«llll<lliltlli(|i[lliliil1!llllllllll!illll(llllIll|tllHlllltllli|t | i ï^o^iï«ï™^XJzi m *>̃»* SOIXANTE MILLES |Aprè. 16 «“. d. vér,ement, 1 ™ de U réserve mathim»«:que à la date de sort e du ou des tities et ̃ «“ ^O AAQ-, U Tiletir Ja ratkat i. ck«*a. tilr» W «Ittiit 2.OOOfr. = :-= la libération du ou des titres amortis se fût effectuée non enuu^: «:«3«%#^«%â^SS m« U A. flAfl 3 I versement unique, mais »r versements mensuels. § -.30fr«le. -»_ 1 8.OOO- j ».UU«J– | i= Le. titres W libéra par prime unique peuvent donc, tu »ré dej ss •« » n <» *» » ̃ 29 >pa '5 OOQ ̃ ̃ porteurs constltutr d'excellents placements à co-jrt terme. ̃ 2« Ir»BCS I2.OOO ï ̃»». «-«–«, «##vr«^ m S EXEMPLE D'UN PLACEMEKT A CINO ANB s .« f (1) • tC f\f\f\ M ̃ Un titre W est libéré à la .ouscription p«r une prime unique BJ 3VCC lVlTâllCS par IHO1S 6.O0Ofr = 32 >». »\J\J\J M 1 iî,TSl^^S»te îS Ikm .â^.um1,n.n.n.n,1.l,1,1,lllll,ll,,1,1I,,1,1,,1I,,1,1 | I Uerp7uTdr«n0.nppCoTin de toucher -Î44« I En *»• des *«. W à.l>un «5uel«n^ «JetHRACiS MEHSVEJLSA^j^h ils participent,» la souscription ̃ ̃ Et, en outre, son titre aura participé à 60 tira«e, mensuels. La S les pnmes cewent d être due» et le porteur reçoit immédiatement ̃ sortie à l'un quelconque de ces tirages, eût valu au porteur le paie- s ^%B^^ W[\ Oâf\ f%f\f\ ««, ^k. ̃̃ g B| ment immédiat d'une somme compris, en». 7.658 franc. « p] WW«VVV fr»nc» 4U.UUU franu 1 8.OOO franci 1 2 OOO francs 6 OOOfranca ™ jË (l) En sua 22 franc a pour droit de timbre (taxe légale) et port, jfi ^j^ Seine S277J I |»ii«!l»!sm:i.g»

A PROFITER DE SUITE I Vends à particulier terrain I de 350 m. à une demi-heure I de gare de l'Est. Viabilité. I Prix el conditions intéressants. I CORNU, 44, me Le Peletierj

et «pp.rte.iant i d.» attéreoU de L RÉGION PARISIENNE

738913 M. Graisin G., r. Vital. Pari..

735914 M. Lemullois, t. Vital. Paria.

738915 M"« Piner G.. »y. Par- 1 O nnn f_ 738916 mentier. Paris. i IC.VW) IT. 738917 M. Trévaut R., r. de» Gr.-Champs. Paris. 738918 M"* Combet» P.. ( f o Ann (_ 733919 koul. Davoust. Paria. I l^.UVU ir. 1158720

!i"^ïliO Mil.' bb UU.UUU 1156729

1231583 M., M™ Aueer. 1 O M\(\ f_«_ 12315S4 r. St-Sabin. Pari.. ÎZ.OUO irHBCS 1231585 M"" Boyer C. G.. -I Q AAA f 1231586 imp. Moulin- Joly. IX UifU IT TITRES DE 2.500 FRANCS Tarif L. Prîmes payables pendant 15 ans. Durée 20 ans. Somme répartie 117.5W francs.

5(01 M"" Fouchère M.. Bd Perdre, Paru. 5602 M1" Bouheret V., ru» des Partant». Paris. 42173 M"" Richard G., rue de» Dames, Paris. 45M7 M1!' Dinssult, C^rbeil C;rf (Oise). 450C8 M– Ufort P., Méru (Oise). 715S5 M.. M"» Corjon F., M., Billancourt (S.). 71557 M. Bunel G., Porchefonuine (S.-et-O.). 71582 M. Bilfcor R., Pantin (Seine). 109995 M.. M™ Deletoille J., nie des Martyrs, Paris. 109996 M. Voiron R.. rue de ta Boêtie. Paris.

#V«%'CH>IOR| 2Olle(t Brillant» ̃ H ptm VsDeniirraZO'lagantmemaswgr ^W M. m. Jeaa 67 t. Cfiétaau-4'Eau il- Cbit.d'lu flSBV. Catalogue franco

110M1 M. Sslesse. Les Lilas (Seine).

167229 M. Dudoux G., av. Duquesne, Paris. 2263M M. Commecy E.. Méru (Oiae).

23U1J M.. M°" Mkhelaio E.. J. t AAA f23*814 Clichy (Seine). I O.VWII. TITRES DE 1.M4 FRANCS

Tarif C Durée 15 ans. Somme répartie 176 MO fr. 277171 Noyon (Oiae). 6.UUU lUllCS 331890 M. Béraud, Asnicrei (Seine).

335(11 M Lapic L., Fontmay-toul-Boi» (Seine). 485164 M.M»'BaillyC;G.. t O Afin fr,575445 M. Boucault-Cordier. r. Chernovitz. Paris. 575448 M. Moulin D.. TrembM.-Gon. (S.-et-O.). 588031- M. Baistrochi Fismo, Boulogne (Seine). 6(8180 M. Durand L., Créw-en-Valoi. (Oise). 932494 M*" Elie M., Lormaison (Oise).

967258 M. Lourde! P.. r. Lccourbe. f O AAft f967259 Pari.. î «Î.'WU Ir. 1S9136Z M" Vve Hombert P.. r. Blanche, Paris. 194353 M"' Le Gueyet M., r. du Télégraphe. Paris. (2508M M~ Duperrier M., r. de Rivoli, Pari.. 12508» M- Schmidholer N., Montreuil (Seine). I283S72 M>" Smidt. S., boul. Victor. Paris. 12SM74 M'" Gilles H., r. Le Regrattier, Pari.. 1283875 M'1' Mousseau A., r. Lato, Paris. 132JM2 M'1" Couivuault G., r. Boubourt. Paris. 134(230 M- Oury-Leclerc L.. U Car.-Colombe.. 1382153 M. Chuat L.. r.. Amelot, Paris.

1382158 M1» Ch.uss.rd C. r. Myrha. Pari». 1382K9 M" Moison. Asnicres (Seine).

1817248 M1" Purent O r. Bufjon, Paris.

1734122 M et M" M.isonhiute. O AAA f

tu capital (le t .000.000 de (ranci. Siège loclal 49, avenue Hoche, Parti TIRAGE D'AMORTISSEMENT DU 20 JUILLET 1929

Tarif A. Série I. Durée 15 ans. Capital i. 000 francs. Numéros remboursables 58.113 ?9.7P4 54.751 9O."M2 12.970 réduit 42.944 réduit 72.918 7.47S réduit 22.462 37.449 52.436 réduit 67.423 réduit 127.371 27:i25 42.112 102.060, Tarif A. -Série II. Numéros remboursables1 11.4-47 rérluil 5:453 réduit 20:440 341973 4.0S8 réduit 12.785 57.746. Tarif E. Sérié II. Durée, 25 ans. CajifUl 3 000 francs. Numéro remboursable 50.414. Tarif G. Série III. Numéro remboursable 6.420 Tarif E, Série II., Durée .18 ane. Capital 5.000' frafics. Numéros, remboursable* 55.427 34.052. Tarif. F. Série III. Numéros remboursables 10.941 A B CD– 9.674. Tarif C. Série I. Durée 20 sris.'Capital 2.500 fr. Numéros remboursables 3.682' 1&669 858. réduit 15.845 réduit 30.832 4.563. •

̃̃̃i AGENTS ET INSPECTEURS ACTIFS ET TRÈS SÉRIEUX SONT DEMANDÉS ̃̃̃

Les annonces pour NOS LOISIRS tont reçues à I' « Office de Publicité > du Petit Parisien, 118, avenue des Champs-Elysées, Paris (8") et 18, rue d'Enghien, Paris (io').

(Seint, S«ine-et-Oi»e,S«i»e-et-Mame, Oise) 173(440 M. Ferre M., r. P.^l. Paris.

H78904 M" M. Luber H.. ( O AftA f, 2IW905 r. Au«.-M.quet, p.ri.. Lxm trancs 2249966 M. Duverger R.. Courbevoie (Seine). 2Z48067 M-t Duron Y., Nanterre (Seine).

2331184 M.. M- Maillet A.. J..

2331185 Coutbevoi.. { O AAn f2331186 (Semé). ï «J-UW tr. 2331188 M'" Pi«.l T.. Bi«««. p. Prov. (S.-et-M.). 2367631 M"' Ferrière M.-L,. ( O nAA (“ 23(7632. viiujuif (Seine). î *î.uuu trancs 2393599 M. Duport R.. Lny-sur-Ourcq (S.-et-M.). 2447417 M'" Assense G.. LUncourt (Oise). 2584887 M. Hauducceur C, B.mmar-e.-S. (S.-O.). 2(18132 M. Baumann R.. Mj>rmn»-Ors;e (S.-O.). 2(18133 M. Porte L.. Epina#.ur-Orte (S.-et-O.). 2799232 M" Dupont, Le. Ulsi (Seine).

2968831 M'" Viwt A., r. de Nice. P.ris.

«68832 M.. M1" Laine R.. E.. j •) AAA t 2968833 Cl.rn.rt (Seine). | /.UUU IT. 2968834 M.. Pidjer, Issy-le.-Mouline.usc (Seine). 29(8835 M11' Differs M.-L. Ivry (Sein.l

»(883( M»'. M Dufour D.. CM ftnft fr 2968837 Ivry (Seine). î 6.UUU Ir. 2*68838 M. AuflTet ]., j O AAA f_ 296883» Swnt-Dcni. (SeinA j Z.UUU traBCS Tarif G. Durée 10 ans. Somme répartie 15.000 franc 13717 M~ Carlier A., Bezon. (S.-et-O.).

29830 M. Geoffroy M., r. PaUy. P.ris.

42199 M. Penven. Saint-Denis (Seine).

55032 M™ Thomas M., Levallois-Perret (S.). 57517 M. Renaud P.. Cbâteaufort (S.-et-O.). 78905 M" Pordier C. Cuineau, E«reville (S.-M.). 80737 Mm# Foumier C, Pantin (Seine).

Les anrionces pour l'Agriculture Nouvelle sont reçues à I' « Office de Publicité » du Petit Parisien, us, avenue des Champs-Elysées, Paris (8*) et 18, r. d'Enghien, Paru (io"K

III Kl !>*<>PnMain. «tanî». b AM.M ̃ Hall mi "̃ '••̃ fôt G fil U I III n«"f. tt comiirii. 3 «cfa. 3 fr. 4 f 1 1 I II 1 v«"> JEAN, propriétain. al I II ̃ ̃̃ ̃ Domaine du Roc. B. Nime*. *•̃» Armes, Cycles DEPREZ 24, rua Meslay, PARIS (3)

Iflkl naturel, la pièce Mo lit., rco port, fut, VIN r6g-' 40° ir- 3 éeh- gratis. »• BardonIlli Valette, propr., Saint-Césaire (Gard).

Liiiiiiiifiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiip: | U N I Q U E j g Vciuls a paiaiouiior Krratn iu«rv«U- j m leusement amftnaKe, proche Paris, j E flans îocalltft ln>|ioriant«. Atrencef ̃ 5 s'aisteiilr. Prix el fscllllés de S 5 paiement très ivantairem. S M TH1RI0N. 3. square de Maubeuge £ (colo 5», r. de Maubeuge), Paris (9-). ai ̃ ̃TBaaaBflBaBBaaBIBBlIlBIlBMaB'BaBSBaaMaHHÂ

a*T|a.'W^AcJiial Or j 2O1 |; jr. Brillante XFMKHenri, 187. r. du Temple-S- ïcmp,, LEVADÉ, CH°"n-DENTISTE CRÉniT l54- Bd MBfloxt* WnCUl I Métro: Gara du Noro Dentier incassable 250 fr. Sur or 400 (r. Bridge en or, ni plaque ni ventouse

URGENT Terrain biwii placé, projimu» l'aria, proche gare, a enlever de suite. Prti dérisoire. H. Brevard, M, r. Taltbout, Parts (S*) (Métro i Trinité)

IBACHESi neuves et d'occasion provenant des stocks de l'aviation CONFECTIONNÉES -TOUTES DIMENSIONS VENTE <•! LOCATION. ÉcAonii/U. «raiin'/i f. HUIHE. 31. av. Jean-Jaurès. PUIS. Combat 08-18

CHIRURGIEN DENTISTE É^BlÉrnl^" 70> ru* d0 Turbigo l^nbUl I Métro s République Dentier garan'i, 250 tr., sur or, 400 ir. Extractlona aans douleur comprise* FLACON GRATIS

D'UN REMÈDE CONTRE AFFECTIONS delà PEAU Vous ponrez arrêter c*ttc terrible démangeaison causée par l'eciéma ou toutes autres maladies de la peau en deux secondes. Cela parait incroyable, mais c'est vrai. Les premières pouttesdu REMEDE D.D.D. appliquées directement sur le mal feront cesser Instantanément la plus terrible démangeaison ou irritation de la peau, car il pénètre profondément dans les pores, tue les pernies de la maladie, et laisse la peau saine et pure. Le REMEDE D.D.D. fait disparaître lVciéma, psoriasis, plaies des jambes et toutes autres maladies de la peau et du cuir chevelu. Il ne, manque jamais de donner un soulagement. Pourquoi retarder alorsTLERESOËDE D.D.D. est invisible quand appliqué, est un liquide, pas une pommade et neatiit'paf le linge.

Envoyé» aujourd'hui pour un flacon s'essa. gratuit a Pharmacie Scott, 38, rue du Mont Thabor, Paris. Le REMEDE D.D.O. chez tous lei pharma -.îens à Frt 4.0 le flacon.

nnp la fiarrlq neuve au lit. de iiiuh Vl\ Ill'y naturel, fût, port, droits roinn. tlll UUU 3 éch. 3< tiinb. M"" Varie Castanler. propr*. Les Aubes, par ttontpellier (Hérault). SI VOUS AVEZ SOIF M. Angréllaume, 47, rue Colbert, Tours, vous Indiquera procédé pour raire vousmême de suite une riéliulïiise hnissotj roiifre. iJi,cour< O»-Î3adau<l, St'fettBnne <L.olre> LE MARCHE IMMOBILIER DVI I t l>Ulkl>TS à vendre, à rianryOrXLr I nUI s.-AndeU«(t:ure). 10Uk<». de Paris, sur plateau. 14ez-de-<^tl. 3 g"" p.. raves 1" et. 2 g"" en. et rab. toil Jard. 23 a. planté arbres et verser. Pêche. chasse. 1-ib. suite. Px 55.000 fr., à d£b Paoil. Photos et rens. Jules Maillard 43, chaussée d'Antin, Paris. JOUE PROPRiETE TSïïT^ Paris-Nnrd, 4 km. Solasons, ^are d'express. 500 m. gare. Maison pierre de taille, 1 9 et services, (jarage, gà atelier, buanderie, eau, élect. Jardin de 1.500, mq. Très jolie vue sur vallée de l'Aisne. Libre da suite. S'adr. & M» Locomte. notaire, à Soissons. Vente, en l'étude de M' Tanaard, notaire. à Paris, CB, rue de Turnlgo. le X août lt)2J. à 14 heures Fonds de commerça lll(i!l!HtH!IH!lll liim

Joaillerie-Orfèvrerie, à Troyee (Aube). 67, rue Emile-Zola. Oblig. reprend, tnatér. et marchand, a dire d'expert en sus. du prix. M. à p. 80.000 fr. Cons. pour ench 30.000 fr. Paiem1 25.000 fr. cpt. Solde' S ans p' trim. Intér 7 S'ad. M" Tansart. not. Barbier, avoué; Johanet, av.. à Parts ViUemenx-sur-finre (E-et-U) Maison neuve, 4 plèc, d^p.. Jard., belle- pêche. Llb Adj. Vlllemeux, 28 Juillet 1929, 15 H. M" Fresnean. notaire, Prouais (E.-et-L.). HYGR.E8. V4H ASSAINISSEMOTT Adjudication 1" tranche travaux, 12 septembre 1929. Montant devis 2.100.000 fr. Cautionnement 100. 000. Rens. à la Mairie. A VKMIRK I.IUMI Hl\ll\l construit en I9in. Hsrc (le 4ti n,i.35 Km. ne l'arts Ket conviiMKirHit p' maison île ronvaleiccnr» Duvot. 33. nie l'armentler, Neuilly-sur-Seine B I S 0 R A l\ (l I S OC FBOMONT Le p3u» beau inorcHleiiifMit <1« la ban lieue, tl reste encore linéiques beaux l«Ps bien placés t des prix vrfts a,v«ntajreux, Graiwiws tw.&ïtts de »rs.r«i>erit. »"a<1resîer sur pince, mi BERNARD* LEVT FILS. 24. rue de Coarcelles. Paris Paris, Uémery, tmyr.-Kér, 18, rue d'Enïhteo.

| ACCORDÉONS I J «o couleur. Prix i 1 fr. ^| I DEDENI8 ̃ fabricant. ERIVE (Corrtw) J

JARDINIERE 2. 4, 6.' RUE DU PONT-NEUF PARIS Succursale 1. PLACE DE CLICHY ^tXA>J

BAINS. MER, SPORTS PRIX EXCEPTION IV Kl.!»

I ENVOI FRANCO sur DEMANDE f OUS LES ACHATS AU-DESSUS <te CATALOGUE SPÉCIAL, DE 5O FRANCS SONT FEUILLE DE MESURES, EXPÉDIÉS FRANCO DE PORT et ÉCHANTILLONS DANS TOUTE LA FRANCE SES 7 SUCCURSALES SONT A

PARIS, 1, Place de Clichy? LYON, MARSEELLE, BORDEAUX, NANTES, ANGERS, NANCY.

BELLE

tlllllllllllllllltilllll1'

CHAPELLERIE, CHAtSSUKES, CRAVATES,

OMBRELLES, PARASOLS, ARTICLES

DE VOVAGE, JEUX DE PLEIN AIR, etc.