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Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1928-10-29

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 29 octobre 1928

Description : 1928/10/29 (Numéro 18871).

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse

Description : Collection numérique : BIPFPIG15

Description : Collection numérique : BIPFPIG33

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Description : Collection numérique : BIPFPIG37

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k607376r

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 20/11/2008

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,LE DISCOURS-PROGRAMME DE CAEN

M. Poincaré proclame et démontre que unlon nationale

est plus nécessaire que jamais Pour être parachevé, pour devenir définitif, pour permettre les grandes réformes déjà amorcées dans le prochain budget, le redressement financier réclame un effort solidaire pour la durée de la législature LA PREMIÈRE PARTIE DU DISCOURS DU PRESIDENT DU CONSEIL

A ETE UNE VIVE REPLIOUE AUX CRITIQUES DIRIGÉES CONTRE SON ŒUVRE FINANCIERE

M. POINCARÉ LiSANT SON DISCOURS (CL Petit Parisien.)

A la droite du président du Conseil, en partie dissimulés par les microphones, M. Sarraut et AT" Poincaré à sa gauche, M. Chéron.

M. Pniiu'iinj a prononcé, hier, à Cacn, Ie discours-programme qui était attendu par les milieux 'parlementaires à la (le la reprise des travaux des deux Assemblées. Les premières paroles du président du Conseil sont un hommage à M. Henry Chérou et à son œuvre de rapporteur général du budget au Sénat et sont aussi un rappel émouvant des liens qui attachent M. et Mme Poincaré à la Normandie et en particulier au Calvados. Et tout de suite, abordant Tes graves sujets, politiques qui intéressent le pays, M. Poincaré fait un exposé saisissant -de la situation de ta France en juillet 1926.

Dès le 3 juillet 192C, jour où les experts, antérieurement nommés par mon ami M. Raoul Pêret, avaient déposé leur rapport, üs avaient constaté que les sommes trouver pour combler le déficit existant et pour dégager la Trésorerie étaient de 2 milliards 500 millions pour 1926 et de 5 milliards pour 192î. Besoin n'était pas, du reste, d'être grande clerc en finances, ni même en calcul élémentaire, pour proclamer cette nécessité. Je l'avais signalée à M. Briand avant même le dépôt du rapport, lorsqu'il avait bien voulu m'offrir, au mois de juin, le portefeuille des Finances, et il l'avait luimême parfaitement reconnue. Malheureusement, le remède que je proposais n'avait pas été du gerfit de quelquesuns de ses collaborateurs. Plutôt que da renoncer à une condition indispensabie, je m'étais retiré; M. Doumcr, qui persait comme moi, en avait fait autant plusieurs semaines décisives avaient été aaors perdures daos de fiévreuses tergiversations. Deux crises minietérieUes avaient suivi et le 24 juillet ia marw disponible du Trésor h la Banque de France était tombée à un million de francs, pendant que le cours du change s'élevait à 49 fr. 22 pour le dollar et à 240 fr. 25 pour la livre. Or, la même date, nous étions menacés de grosses échéances extérieures, dont la proximité nous laissait à peine le temps d'aviser. Le plan des experts

Que pouvions-nous faire? Une voix me répond Mais tout bonnement ce que le premier venu aurait fait à votre piacel Tout bonnement ce que vous avez fait vous-même. comme le premier venu! Kxécuter le plan des experts. Et la méme voix m'apprend que le plan des experts n'était pa?, à vrai dire, leur œuvre, qu'il « concrétisait » les Idées «l'un tnaîirp ét.raneer à leur nominalinn et que, par. conséquent, je n'ai été qu'un élève docile, suivant à pas comptes deux rangée3 d'éminents professeurs. C'est un rôle dont je ne me sentirais pas humilié, si réellement je l'avais rempli, et je n'éprouve aucune tentation de discuter tel une affaire de contrefaçon ni de revendiquer, contre qui que ce soit, un brevet d'invention.

J'ai le droit, cependant, de rappeler qu'en présence d'une situation qui semblait désespérée, les experts nous avaient dit, à nos prédécesseurs et à nous « Stabilisez le plus tôt possible, stabilisez à un taux quelconque, et, pour stabiliser, réglez d'abord. avant tout, les dettes interalliées, ratifiez sans retard ces accords de Londres et de Washington, qui ont imposé nos hommes d'Etat la fatigue de traversées maritimes et de raids aériens. Oui. stabilisez. Peu importe le cours, p:u importe le sort des petits rentiers. Kngagez-vous, s'il le faut, pour soixante-deux ans, sans clause de transfert, sans garantie de vos propres débiteurs. Il vous faut absolument, dès demain, des devises étrangères; il vous faut des crédits extérieurs et vous n'aurez pas un centime sans avoir ratiflé. »

SI pressants que fussent ces conseils, je n'ai pas voulu les écouter, et ceux-là mêmes qui prétendent aujourd'hui que je les ai suivis avec une louable résignation m'ont alors reproché mon indocilité et mon imprudence. Si bien qu'à la fln de 192f, pendant que nous travaillions à redresser le franc jusqu'à la limite que nous semblait pouvoir supporter l'économie nationale. on prédisait autour de nous des catastrophes irréparables. On me comparait même ironiquement a. un mécanicien inexpérimenté, qui n'était plus maître de sa locomotive et qui allait être. au moment critique, impuissant à renverser la vapeur.

La concorde et_ la confiance

Et pourquoi le franc se redressait-il 81 rite? Parce que, depuis la fin de juil-

QUELQUES EXTRAITS DU DISCOURS DU PRÉSIDENT DU CONSEIL f

Lorsque la cabinet, animé tortt entier d'un mime sentiment de patriotisme, a pris la responsabilité des affaire. oubli- ques, la France était au bord de l'abîme. E n a

Pourquoi le franc se redressait-il si vite ? Parce que des Français, qui- s'étaient oivement combattus la veille,! s'étaient rapprochés dans une (Encre corn- mane de restauration et de salât. Noas avons méthodiquement poursuivi ane politique d'amortissement et de con- solidation facultative qai nous a permis de commencer, dans des conditions satisfaisantes, une restauration financière dont l'étranger n'a pas laissé d'éprouver quel- que surprise. Dans la question des dettes inleral- j liéea nous avons réservé l'avenir. Un redressement financier, qui ne s'ac- compagnerait pas d'une prospérité crois- tante de l'agriculture et de l'industrie et qui n'aurait pas pour corollaire et pour conséquence de rendre cette double prospérité possible et de la favoriser, ne serait qu'un trompe-l'aU et une réserve de déceptions.

Lorsque des groupements exposent, comme il est naturel, leurs Vœux collec- tifs, ils n'ont pas le droit d'imposer leur loi à ceux qui sont chargés de faire les lois. a

En proposant les dispositions relatives noz missions, le gouvernement n'a d'autre pensée que de ne pas laisser entamer i dans le monde la légitime et pacilsqae influence de la France.

Politique extérieurs Nous ne sommes demandeurs à rencontre de personne. Noaa sommes prêts à éconter les demandea qu'on peut nous adresser, mais dans fortle négociation dont notre créance sar l'Allemagne serait l'objet on l'occasion, noaa i n'avons le droit ni d'abandonner nos gages aveuglément, ni d'accepter une combinai- son qui n'aurait pas pour effet de nous assurer', avec le moyen de payer nos pro- pres dettes, une juste indemnité pour nos réparations

let. non seulement en France, mais an dehors. le public avait repris foi en la valeur de notre devise. Et pourquoi ce revirement s'était-il produit dans l'opinion universelle? Parce que des Français, qui s'étaient vivement combattus la veille, s'étaient rapprochée dans une oeuvre commune de restauration et de salut.

A partir du mois d'août les capitaux, étrangers aftluent sur notre marché des capitaux nationaux abusivement exportés sont eux-mêmes rapatriés les demandes de francs excèdent de plus en plus la quantité des offres et ce retournement complet des choses favorite une revalorisation graduelle de notre monnaie. des environs de 240 aux environs de

Le président du Conseil montre, faits à l'appui, qu'il n'a pas sollicité de crédits extérieurs.

Si nous avions suivi les suggestions des experts, nous aurions fait de ls France la débitrice de l'étranger notre politique de devises, poursuivie en plein itecord par ie gouvernement et la Banque, a fait de notre pays, depuis quelques mois, le dépositaire d'une grande partie de l'épargne internationale. C'est le plein jour au lieu de ta nuit.

Je reconnais, du reste, volontiers, qu'au moment où les experts émettaient leur avis, ils ne pouvaient prévoir la puissant- action psychologique qu'allait exercer la constitution du nouveau cabinet. Les techniciens donnent des conseils techniques. C'est aux hommes politiques

qu'il appartient de peser les considérations morales et d'envisager, dans l'intérêt public, l'ensemble des grands problèmes qui se posent devant eux. Le redressement financier Quant à nous, nous ne nous sommes pas laissé détourner de notre tâche. Nous avons écarté les solutions de fortune comme les moyens violents. Nous avons cherché à rétablir d'abord l'équilibre budgétaire par le vote des impôts indispensables. Nous avons organisé un amortissement rationnel et régulier de notre dette tlottante. A l'intérieur, nous avions rassuré les-porteurs de bons. A l'extérieur, nous avons fait face à toutes nos échéances. Dans la question des dettes interalliées, nous avons réserve l'avenir, parce que nous n'étions pas sûrs de pouvoir transférer pendant soixante-deux ans, mais nous trouvant hier et aujourd'hui en mesure de payer, gràce à l'exécution, régulière jusqu'ici, du plan Dawes, nous avons payé. Nous avons ainsi montré que nous no songions pas A renier nos dettes ellesmêmes. Bref, sans répudier aucun de nos engagements et, tout au contraire, en donnant au monde entier la preuve manifeste de la droiture et de la loyauté de la France. nous avons méthodiquement poursuivi une politique d'amortissement et de consolidation facultative qui nous a permis de commencer, dans des conditions satisfaisantes, une restauration financière dont l'étranger n'a pas laissé d'éprouver quelque surprise. Remboursement des avances à la Banque; abaissement du taux de l'escompte reconstitution de nos encaisses à l'étranger; longue stabilisation de fait préparant sans crise et sans à-coup1 une stabilisation de droit qui devait nous mettre désormais à l'abri des vicissitudes du change et donner un fondement durable à notre reconstitution économique et financière, telle a été l'entreprise que nous avons progressivement réalisée pendant deux annés d'un labeur ininterrompu, et du succès de laquelle une part importante revient certainement à votre excellent compatriote M. Henry Chéron.

Après la stabilisation légale Lorsque a été votée cette stabilisation de droit, à laquelle les deux Chambres se sont, à notre demande, ralliées ou résignées à la presque unanimité, j'ai prévenu le Parlement que, cette opération terminée, les effets n'en pourraient être maintenus que par une politique d'union et de sagesse, et j'al ajouté u Qu'importe, après cela, si un homme, quel qu'il soit, concentre ensuite sur luimême les mécontentements inévitables et s'il paye la rançon de l'assainissement monétaire enfin réalisé ? L'essentiel est que l'œuvre nécessaire soit accomplie et qu'elle soit capable par elle-même, si on ne la renverse pas demain, de survivre à ses ouvriers. » Depuis que j'ai prononcé ces paroles, il semble que, pour mieux éprouver la solidité de cette œuvre d'hier, quelques personnes se

complaisent à l'eDranier ou a la marteler et que. pour mieux savoir si elle est capable de survivre aux ouvriers, on soit pressé de condamner ces derniers à mort. « Eh quoi 1 me dit-on, voilà la stabilisation faite, et vous vous contentez de nous apporter pour 1929 un budget en équilibre, avec quelques dégrèvements partiels et quelques augmentations de dépenses sociales Et c'est tout 1 Quelle pauvreté d'imagination et quelle étrbitesse de cœur Laissez-nous faire un peu nous-mêmes et voue verrez combien les contribuables seront heureux 1 Certes, je reconnais volontiers que si nous supprimons tous les impôts ce matin, les contribuables se réjouiront ce soir, mais ils s'apercevront demain que ce cadeau leur coûte un peu cher et leur vaut le retour des désordres passés. Ici, encore, ici surtout, il est essentiel de procéder avec méthode et de ne pas compromettre, par des précipitations maladroites, les résultats acquis. Dans te budget que nous avons déposé, nous n'avons assurément pu incorporer, dès aujourd'hui, toutes les reformes désirables, mais nous en avons amorcé plusieurs et nous avons donné une orientation telle que, si les Chambres la suivent peadant quatre ans. la législature ne o'aenivera pas sans que soit défini tive:ncnl consolidé notre rétablissement financier et sans que, dans l'ordre économique et social. s'accomplissent les transformations profondes et bienfaisantes à à bon droit par notre démocratie républicaine.

(A la deuxième page, la suite du discours de M. Poincaré.)

QUATRE mois PARMI NOS NOIRS d'afrique LIRE DEMAIN i le prochain article | <f Albert LONDRES

que l'abondance des

matïères nous oblige

à différer

CONTRE LE BANDITISME AU MAROC

Nos troupes châtient les complices des bandits d'Oued-Zem

et prennent des otages

Rabat, 28 octobre (dép. Petit Parisien.) Ainsi que nous l'avons indiqué, des mesures énergiques ont été prises par la résidence contre tous les complices qui facilitèrent le crime d'Oued-Zem. En effet, des tribus insoumises limitrophes de nos protégés, bien que nous ayant témoigné de leure bons sentiments, n'hésitèrent pas à favoriser l'entrée de la bande de Bouzekrl sur notre territoire et il couvrir sa fuite. Des renseignements précis sont parvenus à cet égard qui ont imposé au commandement des sanctions rapides.

D'autres mesures très importantes sont en voie d'exécution le long du front dissident et permettront de resserrer les mailles du filet tendu devant les bandits de la montagne Chleuh.

Les premières mesures, à la suite du crime d'Oued-Zem, ont eu pour but de nettoyer le voisinage immédiat de la frontière de groupes dissidents qui s'y étaient établis, affectant des intentions pacifiques. Au cours de raids nocturnes vivement menés par nos partisans et nos forces supplétives, les campements ennemis ont été enlevés par surprise. Nous pûmes ainsi réunir une vingtaine d'otaKes, dont quelques-une, personnages de marque, répondront do la sécurité de M. Zubillaga.

Un ensemble de dispositions est également à l'étude pour l'application desquelles le général Freydenberg, commandant la région, a été rappelé do France, où il était en congé.

Selon des renseignements précis. M. Zubillaga a pu expédier une nouvelle lettre qui doit nous parvenir dans la soirée. Disons en terminant que, non seulement les collons, mais encore les indigènes soumis se félicitent des mesures énergiques prises ou envisagées contre le banditisme marocain.

L'élection législative de Dunkerque

BALLOTTAGE

Une élection législative a eu lieu hier à Dunkerque, NI. Corquelle, répirolicain, décédé. Sur 29.358 inscrits, 21.975 électeurs seulement ont pris part au scrutin. Ont obtenu MM. Vincent, républicain de gauche, 8.700 voix Valentin, S. F. I. 0., Théry, radical, 2.579 Barra, communiste, 2.8C4. Il y a ballottage.

FIANÇAILLES PRINCIERES Bruxelles, 28 octobre (dép. Havas.) Le Soir dit que dans les milieux d'ordinaire bien informés, on annonce comme prochaines les fiançailles du prince Olaf de Norvège avec la princesse Martha de Suède, sœur de la princesse Astrid. Le prince Olaf se trouve à Ostende depuis quelques jours, mais dans le plus strict incognito il y est l'hôte du prince Léopold.

MORT DU MÉTROPOLITE RUSSE Riga, 28 octobre (dép. Times.) On apprend la mort, à un âge très avancé, du métropolite Agafangel, que le patriarche Tikhon désigna, en 1922, conmme son successeur à la tête de l'église orthodoxe russe. Le gouvernement des soviets empêcha Mgr Agafangel d'exercer ses fonctions et le fit incarcérer à Moscou. Le métropolite y resta enfermé pendant un mois et fut ensuite exilé en Sibérie, à 500 kilomètres de la voie ferrée. En 1926, il obtint la permission do rentrer en Russie, et. depuis lors, il résidait à Jaroslav, où il vient de mourir.

UN COMBLE 1. Le commandant grec qui coula l' Ondine » demande une indemnité

Athènes, 28 octobre (dép. Havas.) Selon certaines informations émanant des cercles maritimes du Pirée, le commandant de l'Ekatcflna-Goulandris, qui, au large de Vigo. aborda et coula le sous-marin français Ondine, demanderait des dédommagements pour les journées pendant lesquelles il a été retenu à "Rotterdam.

COMME LES TURCS ET LES AFGHANS, LES PERSANS RECHIGNENT A PORTER LE CHAPEAU

ET METTENT A MAL LES FONCTIONNAIRES Bassora, 28 octobre (dép. Times.) Les membres de la tribu Turuf Ahwaz, en Perse, indignés de l'action du gouvernement qui veut les forcer à porter chapeau, jaquette et pantalon, ont tué un certain nombre de fonctionnaires persans chargés de faire exécuter cet ordre.

Moi, je ne pourrais même pas noyer m petit chat.

Moi nen plu. A6! si je le père assassin, jele couperais en morceaux Et mai, fy le le feu

La reconnaissance tchécoslovaque

Le monument élcvi1 In mémoire d'Ernest Denis qui vient d'être inauguré à Prague à l'occasion des fêtes grandioses du dixième anniversaire de la République tchécoslovaque. Le grand historien français est représenté contemplant le château Hradcany, .théâtre des grandes scènes; de l'histoire de la BohOme. Ln monument est l'oeuvre du sculpteur Karel Dvorak.

UNE DÉCLARATION DE M. CLEMENCEAU Prague, 2S octobre (dép. Havas.) Dans une interview accordéo au correspondant parisien de la Tribuna, M. Clemenceau a dit sa satisfaction de voir la Tchécoslovaquie indépendante. M. Clemenceau a dit qu'il avait gardé pour elle les plus vives sympathies, et qu'il était très content d'avoir pu contribuer à la réalisation des aspirations du peuple tchèque. Il a déclaré être au courant du développement de la Tchécoslovaquie dans le sens de la prospérité et exprimé ses meilleurs vœux pour la réalisation de l'œuvre de paix tant à l'intérieur qu'à l'extérieur.

POURSUIVANT SON RAID LE GÉNÉRAL-LAPERRINE A TRAVERSE LE SAHARA Oran, 28 octobre (dép. Petit Parisien.) Les aviateurs Marie et Boulmer, qui étaient arrivés A Reggan hier, en sont repartis ce matin, à 8 heures, en vue d'effectuer la traversée du Sahara. Ils se rendent à Gao, sur le Niger. Cette étape, la plus longue du parcours, est de 1.200 kilomètres environ à travers une région complètement désertique.

A 14 h, 12, le lieutenant Marie signalait par radio qu'il était en route pour Bourem, sommet de la boucle du Niger, à 100 kilomètres au nord de Gao. Bourem est à 3.500 kilomètres de Paria. A 1<> heures, Talion stgtiaîàit enfin qu'il arrivait en vue du Niger, pour atterrir à Gao. i

Demain, il fera l'étape Gao-Zinder. Le dirigeable « Comte-Zeppelin repartira demain pour l'Europe Londres, 28 oct. (dép. Petit Parisien.) On mande de Lakehurst il l'Exchange Telcgraph que le départ du Comte-Zeppelua, pour le vol de retour en Allemagne, a été retardé jusqu'à mardi prochain, à cause des difficultés que présente le ravitaillement en hydrogène. Quatre blessés à Melbourne par une bombe Melbourne. 28 octobre (dép. Havas.) Quatre personnes ont été blessées, la nuit dernière, par l'éclatement d'une bombe jetée dans une maisop occupée par une vingtaine d'Italiens.

Plusieurs avaient travaillé comme volontaires pendant la grève des dockers.

MORT DE GEORGE STERN

qui fut

vingt années durant en France

le krack-jockey

George Stern vient de mourir, à Chant illy, d'une crise d'urémie. C'e6t en même temps que l'une des Itgures les plus populaires du turf, l'un des grands acteurs de la scène hippique qui s'en Né en 1884, George Stern avait fait connaissance avec l'hippodrome dès l'âge de treize ans. En 1898,- il gagna sa première course à Colombes.

en selle sur Flnlas. Ce fut le premier succès d'une carrière prestigieuse. NI. Edmond Blanc, qui avait discerné les dons exceptionnels du jeune apprenti, le prit comme jockey, et/ dés lors, commença pour Stern la période des grands triomphes.

En 1901, il remportait, pour la première fois, le prix du Jockey Club, avec Saxon En avec Ajax, il gagnait non seulement le prix du Jockey Club, mais aussi le Grand Prix de Paris. Il renouvela sa victoire dans la principale épreuve de Longchamp avec Brûleur, en 1913. et avec Sardanapale, en 1914. Il avait également gagné le prix du Jockey Club avec Sardananapte, comme il l'avait remporté d'ailleurs en 1908 avec Quintette, dead-head avec Sea Sick et en 1913 avec Dajor. Stern était d'ailleurs le jockey spécialiste des Derbys, ayant pareillement enlevé le Derby d'l;psom, l'allemand et l'autrichien. Après la reprise des courses qui suivit l'armistice, Stern monta pour l'écurie Cohn, puis pour récurio Boussac, dont il fit triompher le champion Ramus, en 1922, dans le prix du Jockey Club.

A cette époque, Stern était également, concurremment avec R. Carver, l'entralneur de M. Marcel Boussac. Il se révéla aussi capable dans son nouveau métier qu'il l'avait été dans le précédent. Il n'eut malheureusement pas le temps d'y glaner d'aussi nombreux succès. George Stern fut l'un des jockeys les plus complets que l'on ait jamais -vus sur 1e turf science du train, vigueur, énergie, il posséda toutes les qualités qui font le grand cavalier d'hippodrome. Ses rivaux eux-mêmes s'inclinaient devant son évidente supériorité. Sa lutte avec O'NeiU, dans le Grand Prix de Paris de 1914, restera dans la mémoire des sportsmen qui eurent la bonne fortune d'y assister, comme l'une des plus émouvantes minutes qu'ils aient vécu dans leur carrière de turfiste. H. T. (Les obsèques seront célébrées (lamatn, heures, en rég-lise anglicane de Chantilly.]

DE SANGLANTS INCIDENTS ONT MARQUE L'INAUGURATION A PONS DU MONUMENT ÉMILE'COMBES

Après la cérémonie officielle, que présidait M. Herriot et qui s'était déroulée dans un calme absolu, des manifestants royalistes, usant d'un subterfuge, ont mutilé le buste de l'ancien président du Conseil Ils y sont parvenus après avoir violemment assailli les huit gendarmes désignés pour la garde du monument et frappé avec brutalité l'un d'eux qui, pour se dégager, fit usage à deux reprises de son pistolet

UN MORT, UN BLESSÉ':

Pons, 28 octobre (de not. env. spéc.) L'inauguration, sur la Grand'Place de Pons sa ville adoptive, du monument élevé à la mémoire d'Emile Combes, s'était, pour sa première partie, déroulée au militeu d'une atmosphère de liesse, dans l'allégrosse des orphéons, la joie des pavoisements et des oriflammes claquant au vent.

Pas un signe avant-coureur de forage ne s'était présenté au cours de cette radieuse matinée. Pas une rumeur hostile ne s'était élevée au long du cortège de la gare à l'hôtel de ville, de l'hôtel de ville au ciïnetïère où se trouve la tombe d'Emile Combes, du cimetière au monument. Pas un coup de sifflet, pas un remous pendant tout le temps que durèrent les discours. Une foule docile au service d'ordre, attentive, fervente et enthousiaste.

Tout semblait devoir se passer de la sorte, c'est-à-dire le mieux du monde, quand, peu d'instants après la fin de la cérémonie, une sanglants bagarre se déroula.

Le marteau sous les fleurs

Comme ia foule slécoulait en un flot compact, se dirigeant, à la suite de M. Herriot,' de M. Queuille et du maire de Pons, dans la direction de l'Ecole professionnelle, où un banquet de deux mille couverts était servi, un groupe de quarante à cinquante personnes se rassembla de- vant le monument, à la garde duquel étaient préposés huit gendarmes ou gardes mobiles.

En tête de ce groupe se trouvait un jeune homme qui portait une gerbe de fleurs dans ses mains. Nous formons, dit-il, une délégation d'admirateurs d'Emile Combes, et nous venons déposer ces fleurs au pied du monument élevé à sa mémoire.

Sans déflaace, le gendarmes qui se trouvait précisément en face du monument s'écarta légèrement pour laisser passer les admirateurs prétendus d'Emile Combes. Mais, renouvelant le stratagème classique d'Harmodius et d'Aristogiton, à cette différence près que le chef de la délégation portait caché sous les fleurs non plus un poignard mais un solide marteau, il découvrit son outil et s'élançant vers le monument il le frappa de coups furieux, brisant net le lieu et la barbiche de l'effigie. Derrière lui, une mêlée .tragique mettait aux prises ses complices, acharnés à lui assurer la libre disposition de ses gestes, et les gendarn.es et les gardes empressés à mettre un terme à cette inqualifiable manifestation de vandalisme. Trois coups de feu

Cette mêlée se poursuivit, confuse et ardente, au millileu des cris de la foule, qui avait distingué le geste do vandalisme du porteur de gerbe. Les manifestants frappèr,ent. brutalement les gendarmes et arrachèrent leurs décorations. Soudain, un coup de feu retentit, suivi bientôt de deux autres à intervalle plus rapproché. Le garde Cazet, du peloton mobile de la Rochelle, le visage ensanglanté, tilra. Il avait reçu un violent coup de poing sur la bouche et tenté de se dégager du cercle menaçant qui' s'était formé autour de lui'. N'y parvenant pas, i'1 saisit son pistolet et tira en l'air. Les assaillants redoublant de vigueur, il abaissa son arme et tira, coup sur coup, deux balles. Deux hommes tombèrent.

Un mort, un blessé

L'une des victimes de ce drame rapide devait succomber en franchissant le seuil de la pharmacie où on la transporta pour lui' donner des soins. C'était M. Jean Guiraud, âgé de vingt-sept ans. Une balle lui avait tranché faorte. L'autre victime, M. Georges Rouzet, avait reçu au bras gauche une balle que l'on parvint à extraire presque sur-le-champ. Après pansement, il fut conduit à l'hbpital de Saintes.

M. Jean Guitraud, comptable à Rochefort, était le fils d'un imprimeur de cette ville. Il étailt marié. M. Georges Rbuzet est typographe. Il habite Nanterre. Interrogé à la pharmacie où on le pansait, il déclara qu'il était venu le matin même à Pons, en compagnie de quelques camarades, pour manifester contre t'érecti:on du monument à Emile Combes.

Les arrestations

Les gendarmes et les gardes mobiles, aidés d'ailleurs par des agents de la brigade mobile de Bosdtaux, pro-jcédèrent immédiatement à des arrestations qui atteignirent bientôt le total de quarante-deux. Dans ce nombre figurent quatre manifestantes qui ont pu être appréhendés comme ils se disposaient à quitter Pons en automobile. Trois chauffeurs, que l'on soupçonne d'avoir amenf, des manifestants à Pons, ont été priés de se tenir à la disposition de la justice. Des barrages ont d'ailleurs été établis à l'entrée de la ville où, ,par le moyen d'un filtrage sévère, on veille à ce que de nouveau perturbateurs n'v pénètrent.

Que sont au juste les quarante-

Le buste de M. Combes

(oeuvre du sculpteur I.andowskl)

deux manifestants consignés à la gendarmerie de Pons ? Des jeunes gens, pour la plupart assez bien mis, venant plus particulièrement de la Vendée et du Périgord. Il y aurait parmi eux un dentiste de Périgueux. Le procureur de la Répablique de Saintes, M. Wedeux, et le juge d'instruction, M. Talbot, qui procèdent actuellement à l'enquête judiciaire, auraient pu distinguer dans le nombre certains adhérents des organisations d'Action française, notamment 00 ?,le Marie de Roux. On n'a trouvé sur eux que des lanières de cuir et des sifflets, pas d'armes. A noter que, non loin du lieu où la bagarre s'est déroulée, on a trouvé un second marteau en tous points semblable à celui qui a servi à mutiler l'effigie d'Emile Combes.

Ces deux marteaux, de respectable dimension, étaient entièrement neuf?. Ceux qui les portaient les ont vraisemblablement achetés la veille pour l'accomplissement. de leur funeste projet.

Rappelons que le monument élevé à Pons à la mémoire d'Emile Combes était gardé depuis quelque temps. jour et nuit, en raison d'une tentative de vandalisme qui s'est produite au milieu de la semaine dernière. En l'état actuel de l'enquête, on croit que l'auteur des coups de marteau portés sur le buste d'Emile Combes est un nommé Brunet, àgé de vingt-cinq ans environ.

Outre le garde Cazet. qui a dû se faire panser après la bagarre, trois gendarmes ont été plus ou moins grièvement contusionnés. Leurs unîformes ont été déchires et leur décorations arrachées. Ce sont MM. Melloin, de Jonzac Can et Alalanne, de A NANTERRE, CHEZ M. ROUZET M. Louis Ilouzet, (lui' a été blessé à Pons, dans les circonstances relatées ci-dessus, habituait à -Nanterre, 29, Cité-Jardin, où nous avons rencontré son père, qui nous a dit Je viens de recevoir un télégramme m'indiquant que mon tlls est .légèrement blessé au bras et qu'il est soigué à -l'hôpital de Saintes. Je savais qu'il devait si; rendre à Pons, où il s'est trouvé, loivqu'il a été blessis auprès de:\1. Jean Gui·raud, q,ui, lui, a tué. m. Jean th"raud, qui était président de la section des camelots du roi de Rochefort avait été mon élève lorsque nous habitions Rochefort. Je lui avais enseigné la sténographie et il était demeure l'ami du mon fils.

L'INAUGURATION OU MONUMENT Pons, 28 octobre (de not. env. spec ) Plusieurs discours ont été prononcés à l'inauguration du monument dEmile Combes. Tous furent pour rappeler la parfaite rectitude de la vie de l'ancien président du Conseil, sa puissance de labeur et évoquer sa pure foi laïque. Ainsi prirent la parole MM. Coyrard, sénateur, président du conseil général de la Charente-Inférieure de Landrau, maire de Pons. M. Cuminal, sénateur, viceprésident du parti radical, exprima ensuite le sentiment qu'Emile Combes n'avait, à aucun moment voulu priver les congrégations ihissionnnires des subventions d'Etat. Puis M. Daladier, chef du même parti, exprima la surprise qu'avaient éprou-

vee, selon lui, de nombreux militant. républicains à voir figurer dans la loi de flnances les articles 70 et' 71 relatifs aux cultuelles et aux congrégations missionnaires.

-Je déclare ici, de la façonln plus nette et la plus forte, ajouta-t-il, au nom de mon parti que tous les républicains ont le droit de faire bloc contre ces articles et de ne pas tolérer que.ce premier coup de haclie soit porte aux lois laïques.

Ce fut ensuite au tour de M. Herriot de prendre la parole.

LE DISCOURS DE AI. HERRIOT Il y a quelques semaines, prononce M. Herriot, était inauguré, à Remiremont, un monument en l'honneur de


M. Jules %féline. et les représentants des divers partis associés dans le gouvernement s'unissaient pour rendre hommage à un homme d'Etat qui avait lutté tour ses idées poliliques, mais dont ntfPnf saurait contester la parfaite dignité per-. Bsnflelle, la haute valeur morale et dans des années de péril pour notre patrie, avait apporté au service de li cause commune le concours de son (autorité. Aujourd'hui, dans cette ville de Pons sur laquelle tous les républicains ont les yeux fixée, nous voici groupés pour célébrer un citoyen irréprochable, un représentant du peuple à qui ses pires adversaires n'ont pu refuser un témoignage de respect, un président du Conseil qui gouverna le pays en des heures spécialement tragiques et qui, lui aussi, l'instant venu, offrit à la France, dans les conseils du gouvernement, tout ce qu'il avait d'expérience et de (volonté.

M. Herriot trace un saisissant portrait de l'homme laborieux qui fut successivement professeur au collèâe ecclésiastique de Pons, puis médecin dans la même ville, après quelques années d'études à Paris, et il montre l'évolution de sa pensée au contact de la réalité, de l'ignorauce ou de la misère.

Dévoué au progrès, qui est devenu sa religion nouvelle, mais réaliste et attaché aux actes, exempt de tout scepticisme, défendant l'idee laïque dans le cadre précis de ses écoles locales avant de combattre pour elle sur un plus vaste terrain, Emile Combes attend longtemps, sans du reste l'avoir désirée, l'heure qui l'appellera aux responsabilités nationales. C'est seulement en que M. Léon Bourgeois vient le chercher pour lui confier le portefeuille de l'Instruction publique; c'est seulement en 1902 que Watdeck-Rousseau lui transmet la présidence du Conseil des ministres.

II a eu raiscn de s'armer pour la lutte, 'car nul n'a, plus que lui, subi l'injure et l'injustice; pour l'idéal laïque et démocratique, nul peut-être n'a plus souffert. Et tout d'abord, on affecte de méconnaître son oeuvre extérieure. Cependant, les plus hauts témoignages en ont proclamé l'excellence. Le président du Sénat, dans la séance du 25 mil déclarait: « Le pays ne saurait oublier que ce fut son ministère qui fit le rapprochement avec l'Italie, scella l'entente cordiale avec l'Angleterre, préparant ainsi les alliances qui assurèrent le triomphe de la patrie et du droit durant la Grande Guerre. » Mais c'est l'œuvre intérieure de M. Combes, passionnément discutée, qui a concentré sur elle l'attention publique; c'est sur cette œuvre qu'on le juge.

La vérité, c'est qu'Emile Combes fut, dans, toute la force de ce terme encore si mal défini, un laïque. D'un côté de J'o.pinion, on lui reprochait son sectarisme brutal, comme l'on disait, tandis que de Timbre rappelez-vous la curieuse séance du 26 .janvier 1903 ou le soupçonnait, d'une tendrete trop grande pour la religion de sa .jeunesse. Il suivait son chemin, obstinément, patiemmcut, comme jadis, lorsque, enfant, il cherchait sa route entre 1rs pierres du plateau de Sidobre. Maintenant, ces pierres on les ramassait pour les lui jeter il la face. Ce n'est pas une métaphore je songe à cette inauguration du monument de Renan, à Tréguier, où l'éloge du plus pacifique des écrivains ne put être prononcé que sous la protection des baïonnettes.

Ce sont là des tumultes de passions dont un homme sùr de sa conscience sourit. Un politique effrayé par les outrages serait aussi indigne de sa tâche qu'un chirurgien trop sensible à la vue du sang. Le grand provincial de la laïcité subit l'orage avec un calme invariable. Notons que, s'il protège les droits de l'Etat avec énergie, il défend le Concordat avec scrupule tant qu'il existe pour reprendre ses propres termes, il combat non la religion, mais la théocratie. à maintes reprises, comme ministre des Cultes, il soutient le clergé séculier. La souveraineté de l'Etat, voilà son idée centrale, sa conviction essentielle, celle qui explique tout de lui s'il doute au sujet d'une Interprétation de la loi, il s'adresse aux, tribunaux. Quand on l'accuse d'intolérance, il se raidit et, dans son discours du 13 septembre 1903, Il parle plus haut que tous les mensonges ou toutes tes colères. « La religion, en tant e sen- timent inné du cœur de l'homme, échappe à notre prise comme les autres, sentiments. En tant que système de croyances, elle a droit la liberté qu'aucun de nous ne songe à lui dénier. Son domaine est la conscience. Nous serions les premiers à le défendre si, par un acte législatif ou par une mesure administrative, quelqu'un faisait mine de vouloir s'y introduire de force et s'y comporter en maître. »

Aussi bien, ce serait;une injustice de soutenir qu'Emile Combes s'est consacré uniquement à la question que les événpmenls politiques plaçaient au premier plan. Il a favorisé de son mieux l'établissement de l'impôt sur le revenu et la réduction du service militaire films d'artisan, il a, comme Waldeck-RousBeau, réclamé ce réformes que la République se doit de faire voter et d'appliquer poar introduire plus d'équité dans «no société où des citoyens, obligés aux mêmes devoirs, sont encore distribués selon des conditions si fortement inégales. Le ministre de l'Instruction publique lui sait gré d'avoir, avec son ami Ferdinand Buisson, collaboré avec vigueur à la transformation opérée dans notre enseignement par les -lois de 1881, 1882 et 1886.

Après tant, d'ouvrés, après la guerre qui avait infligé à son patriotisme des émotions dont nous fûmes le témoin, sa carrière se ferme aux lieux mêmes où elle s'ouvrit. Vous avez dressé sur une place publique, en pleine lumière, l'image de celui qui vous servit et qui vous aima. Ca monument est désormais placé sous la protection des républicains de France, des laïques, des démocrates comme eux, comme vous, j'adresse à la mémoire d'Emile Combes l'hommage de mon respect et do ma fidélité.

LE BANQUET

Aucun discours ne devait, être prononcé au banquet, mais devant l'insistanee des convives quelques orateurs se décidèrent à prendre la

17. Feuilleton du Petit Parisien, 29-10-28 LaKuitoeTgu Grand roman inédit

|>ar GASTONCHRICHARD PREMIÈRE PARTIE

LA MAIN DANS L'ENGRENAGE IX

Le cheval échappé

Demain matin, mon père Pascal, vous monterez au château avec votre équipe de chauffeurs.

Oui, monsieur le baron.

Il va falloir nettoyer les calorifères, les conduites.

Comme tous les ans, oui, monsieur le baron. On s'amènera sur le coup de cinq heures. Et il huit ou neuf heures, tout sera uni. Ça va bien, monsieur le baron, on y sera.

fx baron Hector regarda Frédéric qui. devant les yeux expressifs de son père, liocha la tête en souriant.

Si le Canadien refusr.lt, je crois, dit-il, qu'il vaudrait mieux ne pas Insister.

C'est mon avis dit Frédéric. Tous avez raison, père.

Le père Pascal se gratta la tête. C'est que. dit-il, j'aurais bien besoin de Iui. Il pigera le truc tout de suite, tandis que les nutres.

Prenez Van Oofheber;

Il n'est plus dans mon service. Perrot l'a mis nnx turbines, justement copyniFm hy Gaslon-ChT Rlcfiard I9îit Traduction et reproduction Interdites en tous pays

parole, parmi lesquels MM, Palmade et. Herriot.

Une fois de plus, déclare le ministre de l'Instruction publique, nous resterons fldMei d notre ami Combes et à ses conseils posthumes en restant calmes tlRvaiif 'la manifestation de ce matin et en laissant à la justice le soin de poursuivre .son muvre et de rechercher si certains actes n'ont pas été déterminés par certaine propagande. Contentonsnous de rappeler nos adversaires des passages de leur propre évangile qu'ils réclament dans certaines paroles, que nous admirons quand ils sont sincère et que nous regrettons quand leur conviction est absente.

Montrons-nous dignes, poursuit Ni. Herriot, de notre grand ami. A la violence de ce matin opposons la plus complète sérénité. Abstenons-nous des gestes »t dm mots. Montrons que la République est au-dessus do tout, parce qu'elle est la raison, la bonté et la justice, et qu'il n'est au pouvoir de personne de la diminuer, de l'atteindre et de l'insulter.

M. Herriot a procédé dans l'aprèsmidi à la pose de la première pierre de l'école d'artisanat rural. Puis un nouveau défilé a eu lieu devant le monument, à Emile Comhes.

M. Herriot et M. Queuille, sur le soir, ont repris le train pour Paris. Francisque [Murent.

La distribution des récompenses de la Société protectrice des animaux M. Bonnefoy-Sibour, préfet de Seine-et-Oie, obtient le prix du Président de la République Contrairement aux. années précédentes, la distribution des récompenses de la Société protectrice des animaux, qui a eu lieu hier dans la grande salle de la Société d'horticulture, a été dépourvue de toute solennité cet abandon provisoire d'une tradition déjà ancienne est dû, ainsi que l'a expliqué M. Pourriau,.soti président, l la mauvaise situation financière de la société qui subit durement les inconvénients de la • vie chère », et c'est d'une voix pressante que M. Pourriau a fait appel A la générosité publique pour seconder l'œuvre qu'il dirige. Un millier de récompenses ont été décernée. Parmi les lauréats citons M. Bonnefoy-Sibour, préfet de Seine-et-Oise, qui a obtenu le prix du Président de la République M. PeiTin, commissaire de police il Bône, à qui est revenu le prix du président du Conseil MM. Minier, préfet de la Loire Hélitas, préfet du Calvados le docteur Lefenvre, président de la filiale de Caen, etc. Le prix annuel de l' « Europe nouvelle » pour un ouvrage politique

On fait que l'Europe nouvelle a fondé un prix annuel de 10.000 francs destiné à » encourager la pensée politique contemporaine », il que cc prix va être décerne celle année pour la première fois.

Cinquante-sept auteurs ont posé leur candidature.

Le comité, composé de MM. Avenol, Phüippe Berthelot, Léon Blum, Georges Bonnet, André Chaumeix, Henri Moys;et, de Peyerimhoff, de Pressac, Maurice Reclus, André Siegfried et André Tar- dieu. a décidé de se réunir le 17 novembre chez, Mite Louise Weîss, directrice do l'Europe nouvelle

Au coure d'un déjeuner, ils discuteront les mérites, respectifs des œuvres présentées et attribueront le prix à l'œuvre qu'ils jugeront la meilleure. Une bijouterie cambriolée à Marseille pendant l'absence du gardien

Marseille, 28 octobre (dép. P. Pnristen.) M. Emile Bérard, bijoutier, 3, rue de la République, s'absentait pros d'une heure de son magasin, y laissant l'habituel gardien. Lorsqu'il revint, il s'aperçut que 100.000 francs environ de bijoux avaient disparu. Le gardien avoua qu'il s'était, lui aussi, attente pendant une vingtafne de minutes pour aller acheter de quoi mangrr. Ce cas singulier rend fort perplexe la police.

Le congrès du parti républicain socialiste Ncvers, 28 octobre ;dép. Ilavas.) Au cours de sa dernière séance, le congrès du parti républicain socialiste a adopté un certain nombre de voeux donnant mandat aux élus du parti 1° De repousser « Jusqu'au principe dei articles 70 et 71 de la loi de finances, dont il Psl Inadmissible que le gouvernement de la République ait osé prendre l'initiative » ̃2° De réclamer l'instauratton d'une politique d'oi-fritni-sntion de l'enseignement postscolaire laïque et obligatoire

3" De s'opposer ta prorogation du mandat des élus municipaux

Le congrès a adopté également une série de vœux réclamant notamment l'amélioration du sort des victimes de la guerre, la suppression de la justice militaire, l'accession plus aisée des travailleura à ln petite propriété, une fiscalité moins oppressive pour le petit commerce, etc., etc.

Il a ensuite été procédé b l'élection des membres de la commission administrative du parti dont les pouvoirs arrivaient à expiration, puid il l'élection des membres du bureau.

Le conseil national de la fédération postale a terminé ses travaux

Le conseil national de la fédération postale a adopté, dès le début de la séance d'hier matin, unfi résolution réclamant le rétablissement dos directions départementales, l'expérience tentée deputa deux ans n'ayant pas paru. au dire des postiers, donner les résultats escomptés par le gouvernement.

Abordant ensuite la question des traitements, on prit pour base de discussion le projet du syndicat des agents, discuté par une importante minorité des commis et repoussé par les ouvriers.

Deuz ordres du jour sont finalement en présence. Celui des agents est adopté par 61 voix contre 45 à l'ordre du Jour de M. Baylot. leader de la minorité. Le texte voté confirme la motion adoptée aux derniers conseils prescrivant la poursuite du redressement Immédiat de la situation des postiers sur la base de 1.SO0 « francs or ».

après cette batterie où que Dlck l'a si bellement rossé.

Enfin, faites pour le mieux, monsieur Pascal dit Frédéric. Nous avons des raisons pour ne pas vouloir humilier votre pensionnaire.

C'est ca fit le brave homme. Mais. des fois, si y refusait, faudrait pas que ça vous soit une cause le mettre dehors, monsieur le baron. Mais non Mais non dit Hector de Morsunge avec un peu de hauteur. C'est un service que nous demandons, ce n'est pas un ordre que nous donnons. Je vais vous dire, s'entêta le père Pascal. Il est comme ça, fiérot, ombrageux avec vous, pasque, voyez-vous, c'est un gars qui n'est pas comme les autres. Et, à mon avis, chez lui, c'est du côté du sentiment, du coeur, quoi que ça le tarabuste. Il y a des choses qu'il ne dit pas, qu'il n'avouera jamais. II y a an grand chagrin dans cette belle nature d'homme-là. et ça le tue. ça. monsieur Hector, aussi vrai que je vous le dis.

Le père et le fils, silencieux, écoutaient le maître-chauffeur, qui continuait

Il vtt avec nous, chez nous. on le connaît bien maintenant. Y a pas meilleur sars, je vous le dis. Et doux, et bon, et obligeant. Y r'garde jamais à sa peine pour faire plaisir au pauv' monde. Y a des vieilles et des vieux, dans not' quartier, c'est pas ni riche, ni bltn solide. T leur fait leurs commissions, y leur tire de l'eau, y lear fend du bols, le matin, avant, ou le soir, après sa journée Y fabrique des louets aux sosses, leur donne des sous, des bonbons. Tout l'monde en raffole, autant. presque, que de mndemolselie Geneviève, car Ils sont aussi bons et aussi beaux l'un que l'autre. Et

MORT DE M. THEODORE REINACH

membre

de l'institut M. Théodore Reinach, membre de l'Insti- tut, eat mort, hier, à 15 heures, à son domicile 2, place des EtatsUnis, à Paris. Il était âgé de soixante-huit ans.

Né à SaintGermain -en- Laye, M. Th. Reinactt, docteur en droit et es lettres. avocat, fut, pendant deux législatures, députv de la Savoie (19061914). Il appa r benait à l'Institut com-

me membre libre de ('Académie des inscriptions et belles-lettres et s'intéressait particulièrement à la numismatique.

Parmi les nombreux ouvrages qu'il publia outre des traductions diverses son Histoire aes Israélites depuis leur dispersion est le plus connu. M. Théodore Reinach était le frère de M. Salomun Reinach, conservateur du Musée national de Saint-Geimain-enLaye, et de Ni. Joseph Reinach, décédé. Il était officier de la Légion d'honneuT. Au début de la guerre il avait été mobilisé comme officier d'état-major de complément, et fut, en 1918, 'chargé d'une importante mission aux EtatsUnis.

LA REINE D'ESPAGNE

AU MUSÉE DE MALMAISON La reine d'Espagne a visité, hier aprèsmidi, le musée national de Malmaison. Elle a été guidée dans cette visite par le NI. Jean Bourguignon, auquel elle a exprimé sa satisfaction. Les infantes Béatrice et Marie-ChrisUne accompagnaient la reine, ainsi que la duchesse de San Carlos, la comtesse del Puerlo, le marquis de Bendana. l'ambassadeur, NI. Quinones de Léon et le comte de Molina.

A LARC DE TRIOVIPHE Une délégation d'anciens combattants de l'armée tchécoslovaque, ayant à sa tête M. Stephen Osusky, ambassadeur de Tchécoslovaquie Paris, s'est rendue, hier soir, a l'Arc de Triomphe, pour ranimer la flamme du Souvenir.

Après avoir déposé une magnifique gerbe de fleurs sur la tombe sacrée, les délégués signèrent le Livre d'or institué par le, cnmité'dc la flamme.

CHEZ LES VOYAGEURS DE COMMERCE UN IMPORTANT CONSEIL FÉDÉRAL La Fédération nationale des syndicats des voyageurs et- représentants de commerce, qui groupe soixante-dix syndicafs répartis sur l'ensemble du territoire français, a tenu hier. rue Danton, un important conseil fédéral sous la présidence de M. Vil lai te (MonlJuçon), président de la Fédération.

Aux élections complémentaires du conseil d'administration, ont été élus .NI. Maximin, de Paris, vice-président MM. Barbot, de Paris, et Stiegler. de Strasbourg, administra ens.

Les résolutions suivantes ont été prises concernant les questions professionnelles:

« Continuer les démarches en vue de l'amélioration du régime de la carte d'identité professionnelle; activer le vote des dispositions législatives permettant d'accorder aux voyageurs de commerce une juste indemnité pour la création d'une clientè;e; dispositions législatives en vue d'obtenir l'obligation du contrat écrit de travail; amélioration ferroviaire et, particulièrement, obtention du demitarif sur les bagages-échantillons. » La résolution suivant a été adoptée k l'unanimité.

« La Fédération nationale, malgré les difficultés présentes, continuera ses efforts en vue du regroupement de toutes les forces professionnelles, persuadée que l'entente seule permettra d'ohtenir plus rapidement les améliorations impatiemment attendues par toute la corporation. »

DÉJOUÉE PAR LA POLICE M. Peyre, juge d'instruction, vient d'être chargé d'ouvrir une information sur des faits d'espionnage relevés à la charge d'un Italien et de son beau-frère, un Français, par la sûreté générale qui surveillait ces deux individus depuis plusieurs semaines.

disons tout de suite que l'affaire est très peu importante, les deux inculpés n'ayant pas réussi à se procurer les renseignements qu'ils cherchaient. L'Italien, qui serait un certain Saccarlni, est employé au consulat d'Italie à Lyon, mais il n'est chargé que de fonctions subalternes. Sa saur étant mariée à un Français qui, ipar ses attaches paraissait être à même de recueillir certains renseignements confidentiels mir notre aviation et nos sous-marins, Saccarini l'aurait décidé à se charger de cette besogne. Mais le personnage s'y prit si malhabilement que son action fut rapidement connue de notre service de contre-espionnage et Il ne put rien obtenir.

On assure qu'il avait pour mission de se renseigner sur nos postes d'aviation et de dirigeables dans le Sud-Est et sur la Côte» d'Azur, ainsi que sur les bases servant de ravitaillement en carburant pour notre flotte sous-marine.

Pincé, cet Individu, qui habite Toulon, aurait fait l'aveu de ses coupables démarches. Il a été ramené à Paris et sera aujourd'hui vraisemblablement. comme son hejau-frère, interrogé par le magistrat instructeur.

c'est malheureux, allez, monsieur Frédéric, pour deux bonnes gens comme nous, ma vieille et mol, de savoir qu'intérieurement Il se ronge, et qu'il souffre comme s'il nourrissait un rat dans son cœur.

Mais enfin, mon bon Pascal, cela ne nous regarde pas et nous n'y pouvons rien, dit Hector de Morsange. Et puis, peut-être vous faites-vous des Idées. Le père Pascal hocha la tête.

Non, monsieur Hector, non, je ne me fais pas des idées. Il vit avec nous, chez nous, on l'entend aller et venir. Et des fois le bonhomme baissa la voix c'est pas pour dire, mais son chagrin nous fait peur. Y n des moments, y s'agenouille sur le carreau, devant l' crucifix de feu not'gars, et y dit, comme ça « Mon Dieu Mon Dieu Pourquoi faut-il qu'a soye la fille de cet homme ? Pourquoi fauWl que j'accomplisse les dernières volontés de mon père ? Ah Seigneur, qu'il dit, je ne peux pas Je ne peux pas » Et il pleure, monsieur Frédéric. Il pleure, un homme comme lui II pleure que ça nous en fait mal. Bien sûr. on n'a pas l'air de s'en apercevoir, la maman et moi, et on n'ose pas lui dire < Dis-nous ta peine Ça te dégonflera le cœur Et puis, le lendemain, y tape dans son charbon à abattre, en une matinée, la besogne de trois hommes. Ah oui, allez. croyezmoi, c'est un brave et digne garçon Eh bien 1 mon père Pascal, dit Hector de Morsanges avec un sourire un peu ému, on passera, en faveur de votre plaidoyer, sur les. bizarreries de rotre protégé. Vous êtes un trop brave homme pour qu'on vous chagrine. Faites comme Il vous plaira. Au revoir, mon père Pascal.

Merci bien. A vous revoir, mes-

LE DISCOURS-PROGRAMME DE M. POINCARE

SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE

Je sais trop qu'on est souvent mal venu recommander la patience à des assemblées généreuses et qu'au surplus beaucoup de gens se sont fait sur les conséquences de la stabilité monétaire lee plus étranges illusions. Ils ont cru qu'elle les libérerait de tout effort de prudence et d'économie. Combien de fois n'al-je pas essnyé do mettre l'opinion en garde contre les tentations d'un aussi foi optimisme 1

Le budget de 1929, réformes économique*

A la vérité, l'équilibre budgétaire n'a jamais été plus nécessaire qu'aujourd'hui et jamais non plus n'a été plus difficile. Nou# sommes dans l'obligation d'ajuster pou à peu nos dépenses administrativcs et notamment la rémunération des serviteurs de l'Etat à la nouvelle valeur de la monnaie nous ne pouvons nous dispenser ni de prendre les mesures préparatoires du service d'un an, ni d'assurer, sur terre, sur mer et dans les airs, notre sécurité permanente. Nous nous trouvons donc en présence d'un certain nombre de charges incompressibles, Nous n'en avons pas moins considéré que nous devions faire, dés cette année, un grand effort pour développer notre outillage collectif.

Un redressement financier qui ne s'accompagnerait pas d'une prospérité croissante do l'agriculture et de l'industrie ci qui n'aurait pas pour corollaire et pour conséquence de rendre cette double prospérité possible et* de la favoriser ne serait qu'un trompe-l'œil et une réserve de déceptions. Nous avons d'autant pl besoin, en ce moment, de veiller au maintien d'une balance positive de nos comptes avec l'étranger que les derniers chiffres de notre commerce extérieur accusent un fléchissement de nos exportations par rapport aux importations, et que si, à cet égard, notre situatien venait à empirer, la nouvelle assiette de notre devise risquerait, un jour, d'être ébranlée. On a beaucoup plaisanté uu homme d'Etat d'autrefois, parce qu'il avait donné un peu crûment aux Français !.̃> conseil de s'enrichir. II aurait eu to,rt, j'en conviens, de ne leur faire que cette recommandation matérialiste et de no pas les exhorter, en même temps, aux vertus publiques et privées. Ce n'en est pas moins un devoir pour l'Etat d'aider l'enrichissement de la nation et, par exemple, comme noue le faisons dans le budget de 192'J, de donner à certaines catégories de la production une impulsion systém.atique, d'aménager de mieux en miëux les forces hydrauliques et les distributions d'énergie électrique, d'agencer les ports de manière qu'ils puissent recevoir et décharger plus rapidement les navires, de faire en sorte que le réseau téléphonique et télégraphique garantisse la transmission immédiate des ordres commerciaux, d'entretenir convenablement les voies de communication qui rapprochent les campagnes et les villes, de chercher en un mot à mettre en mouvement les activités créatrices.^ A toutes ces dépenses d'ordre économique s'ajoutent, dans notre budget, celles qui permettraient de commencer le rajustement des traitements, pensions et salaires, par rapport à la nouvelle valeur du franc, et dindemniser en partie de la dépréciation monétaire les victimes de la guerre, mutilés, veuves et ascendants. Mais ces charges inévitables ne noua ont pas fait oublier les dépenses sociales et nous avons entendu marquer, dès cette année, dans cet ordre d'idées, une volonté très ferme en portant dans le projet même qui a été distribué à la Chambre, 275.000.000 d'accroissement sur les crédits du ministère du Travail et de l'Hygiène. Nous avons voulu, d'abord, garantir au pays la rapide application de deux lois récentes que le cabinet a fait voter dans l'Intérêt de la santé publique et au profit des classes les moins fortunées: la tci sur les lotisscments et celle qui prescrit la construction de maisons à bon marché et à loyer modéré. Nous avons également trouvé équitable de majorer de 50 0/0 l'allocation des vieillards assurés à la caisse des retraites ouvrières et paysannes. Nous avons enfin multipllé, autant qu'il dépendait de nous, les moyens de lutter contre certains fléaux qui font aujour- d'hui des ravages dans nos populations laborieuses, notamment le cancer et la tuberculose.

En matière fiscale, enfin, M. Poinraré a prévu un aménagement, meilleur et, une répartition plus équitable des charges budgétaires. Le budget ne méritait pas de la part de ses contra- dicteurs, M. Poiïicaré l'affirme, un accueil si dédaigneux.

L'œuvre parlementaire

Entre eux et nous, reprend M. Poincaré, la Chambre décidera le moment venu. 11 va sans dire que nous n'accepterons pas que, sous prétexte d'améliorer le budget, on en compromette l'équilibre, ni qu'on nous expose à retomber dans la détestable pratique des douzièmes provisoires. C'est un jeu facile que la surenchère, et il se trouvera toujours des démagogues irresponsables pour offrir sur les fonde de l'Etat le double ou le triple de ce que le gouvernement croira pouvoir donner. Mais le patrimoine que nous protégeons est celui de tous les Français et nous ne le laisserons pas gaspiller.

En luttant pour le bon ordre financier, nous avons, du reste, conscience de défendre la République et le Parlement lui-même. Depuis la guerre, un grand nombre de nations ont été en proie il des crises politiques plus ou moins prolongées les systèmes constitutionnels ont été, çà et là, bouleversés ou suspendus certains peuples on; cherché ou accepté des méthodes de gouvernement très différentes des nôtres, et il semble que l'humanité hésite encore, en plusieurs points du globe, sur la plus juste expression de la souveraineté populaire et sur la meilleure façon de concilier

sieurs, dit le père Pascal en se retirant.

Le lendemain, à cinq heures du matin, Dick et ses ordinaires compagnons de labeur, Noël le Frisé, ChapouIon, Franiosier, Michel Le Boiteux et Paul Hassé faisaient leur entrée dans le château par les communs, où trois palefreniers étrillaient et pansaient trois chevaux de selle de belle allure. Dick s'arrvta un instant pour les regarder.

C'est-il que tu veux en acheter un. camarade ? goguenarda l'un des trois étrilleurs.

Oui. répondit négligemment Dick. L'alezane il trois balzanes me plairait assez. Un peu légère pour moi, peutêtre, mais elle est bien mise, ses aplombs sont corrects, les paturons longs, le sabot net. Un peu froide de l'épaule peut-être, hein et la bouche sensible. Bon sang fit le chef palefrenier, tout ébaubi. Qu'est-ce qui t'a dit tout ça ?. 0'est que c'est vrai, tout ce que tu dis

Mon œil droit et mon petit doigt, fit Dlck en riant.

Eh ben puisque tu t'y connais, tu devrais bien te charger de seller Mustang, l'anglo-nrabe que M. de la Toursches doit monter ce matin. fit le chef. Tu parles d'un tréteau Il a toujours un sabot h ton service, ce carcanlà.

Allons. Dick. fit le père Pascal. on nous attend.

Allons-y dit le jeune homme, qui suivit son compagnon.

Ils disparurent tous deux, une minute plus tard. dans les sous-sols du château.

Sept heures et demie sonnaient quand

les deux conditions vitales de toute démocratie l'autorité et la liberté. Nous autre» Français, qui avons fait, souvent à notre grand préjudice, l'expérience des institutions les plus variées, nous avons adopté, il y a cinquante-trois ans, un régime auquel nous sommes restés fidèles dans la guerre comme dans la paix et qui a, tout au moins sur les autres, l'avantage d'être entré dans les moeurs de notre pays et de laisser au peuple, en toutes choses, lit faculté du contrôle et la liberté du dernier mot. Plus ce régime fonctionnera avec régularité, plus Il pourra défler les attaques. Que. sans rien changer à son mécanisme, !a France soit parvenue à l'assainissement financier et a la stabilisation monétaire, c'est. j'ose le dire, un succès qui n'est pas médiocre et qui est tout tl l'honneur des deux Chambres. Il leur appartient de continuer, aux yeux du monde, féclatante démonstration qu'elles ont commencée et de prouver qu'une République parlementaire sait préférer les faits aux parole, les résultats aux promesses, et qu'elle est capable, en matière économique et sociale, des longs desseins rationnellement préparés.

La souveraineté nationale Pour rester A la hauteur de sa mission, le Parlement a déjà réussi, en ces derniers mois, il discipliner son travail. Il devra également, il l'occasion, sauve- garder ses prérogatives. C'est lui qui représente la souveraineté nationale,. c'est lui qui est l'interprète des volontés populaires, c'est lui qui exerce le contrôle sur les recettes et les dépenses publiques, c'est lui qui parle et décide au nom de l'intérêt général.

Contre cet intérêt général ne saurait prévaloir aucune coalition d'intérêts par- ticuliers, et lorsque des groupements professionnels exposent, comme il est naturel, leurs vœux collectifs, Ils n'ont pas le droit d'imposer leur loi il ceux qui sont chargés de faire les lois.

A plus forte raison, cette prétention serait-elle inadmissible de la part de groupements administratifs, car mille fonctionnaires associés ou syndiqués peuvent sans doute multiplier par mille la force de chacun d'eux, mais ils ne peuvent légalement ajouter aucun droit nouveau il leurs droits individuels ni rien enlever à leurs devoirs respectifs envers l'Etat. Le gouvernement a déjà fait savoir aux Chambres qiae, parmi les graves questions à examiner après le budget, celle-ci lui apparait comme une des plus graves et des plus urgentes Questions internationales Cette dignité du Parlement que nous jugeons indispensable de maintenir, dans la politique intérieure, contre tous les fauteurs de désordre et en particulier, je n'ai pas besoin de le. dire, contre les révolutionnaires communistes, elle est, à plus forte raison, l'une des conditions maîtresses de notre politique extérieure. Si grande que soit notre volonté de paix et si puissants qu'aient été les efforts accomplis en ces dernières années pour hlter le rapprochement des peuples, il reste encore à régler un certain nombre de difficullés internationales qu'il ne nous est pas permis d'ignorer et qui nous interdisent de fermer les yeux. Dans les six mois qui viennent se poseront peut-être devant nous quelques-unes des plus grandes questions d'après guerre. Lorsque Ni. le ministre des Affaires étrangères nous a demandé, il M. le ministre de l'Intérieur et a moi, d'insérer dans la loi de finances des dispositions destinées sauver en Amérique, en Asie, en Afrique, nos missions menacées, il n'a eu, en prenant cotte initiative, d'autre pensée que de ne pas laisser entamer dans le monde la légitime et pacifique influence de la France. C'est la même préoccupation qui nous animera chaque fois que seront en jeu nos intérêts moraux.

Quant a nos intérêts matériels, les épreuves que nous avons subies ne nous laissent pas la liberté de Ics sacrifier. J'ai dit il Chambéry, et je me plats à répéter que, pour notre compte, nous ne désirons pas autre chose que l'exécution loyale des traités et accords diplomatiques. Nous ne sommes demandeurs ;t l'encontre do personne. Nous sommes prêts il écouter les demandes qu'on peut nous adresser, mais dans toute négociation dont notre créance sur l'Allemagne serait l'objet ou l'occasion, nous n'avons le droit ni d'abandonner nos gages aveuglément, ni d'accepter une combinaison qui n'aurait pas pour effet de nous assurer, avec le moyen de payer intégralement nos propres dettes, une juste indemnité pour nos réparations. C'est la position que M. Briand a prise à Genève au nom du gouvernement tout entier c'est celle que j'ai définie à Chambéry c'est celle que nous avons maintenue et que noue maintiendrons

Il reste que les conversations annoncées, si, comme je l'espère, elles s'engagent bientôt, exigeront de notre part, et spécialement de la part du Quai d'Orsay et du ministère des Finances, en même temps qu'un sincère désir de nous entendre avec tous les Intéressés et particulièrement avec nos anciens alliés, une attention soutenue et une vigilance de tous les instants.

Jamais le gouvernement n'aura eu plus grande besoin de s'appuyer sur une majorité nombreuse, confiante et fidèle et d'avoir la certitude qu'il peut parier clair, au nom du pays et de ses représentante. Le Calvados m'apporte aujourd'hui la preuve qu'il approuve notre langage et notre action. A la Chambre de noue dire bientôt si elle juge que nous sommes restés dignes des suffrages qu'elle nous a donnés.

MORT DE M. EYMERY, SÉNATEUR M. Eymery. sénateur de la Dordogne. maire du Pizou, est décédé hier à Nontron (Dordogne).

Docteur en médecine, M. Eymery était entré au Sénat, ou il siégeait sur les bancs de la gauche démocratique, en 1920. Il avait été réélu en 1921.

Sigismond de la Toursclres, le chapeau il la main, conduisit Geneviève près de sa monture. l'alezane que Dick avait remarquée.

Il l'aida 1 se mettre en selle, assura son monocle, se recoiffa, et se dirigea vers son cheval, qui tenu, un sabot levé. à l'arrière-main par un lad, tandis qu'un des camarades de ce dernier se cramponnait aux brides, encensait, écumait, frissonnait et ne tenait pas en place.

Monsieur fera bien de le tenir ferme murmura le chef palefrenier. Il est nerveux comme une jolie femme, ce matin.

Epargnez-moi vos conseils et vos Plaisanteries, n'est-ce pas ? dit Sigismond, d'un ton très sec.

Il se mit en selle légèrement, saisit brides et, sans doute pour avertir sa monture, fit siffler furieusement la lanlère dn fouet de chasse en rotin qu'il tenait à la main.

Ce fut une faute qu'il paya aussitôt. Mustang poussa un hennissement aigu, puis rua, pointa, fit un saut de mouton, rua encore, et. dans un saut des quatre pieds, fit exécuter à son cr.valier un panache tel que, tombé la tête la première sur le sol, heureusement couvert de sable épais, Sigismond demeura sans connaissance durant quelques secondes.

Geneviève de Morsange avait poussé un cri d'effroi le voir ainsi s'effondrer, et son père ayant d'un saut mis pied à terre se précipitait vers le jeune homme en même temps que le chef palefrenier.

Tonnerre de sort Le damné chevnl criait en même temps l'un des garçons d'écurie. Le votla qui court droit sur les serres basses 1 S'il ne se tue pas

L'ASSASSIN DU GARDE

DE LA FDRÊT DE COMPIÈ6HE

EST ARRETE C'est m jeune bûcheron qui a fait

des aveux

Il taa Faurtaa pour le dévaliser

Compiègne, 28 oct. idép. Petit Paris.) L'opinion des magistrats et policiers chargés de l'enquête sur l'assassinat du gardechasse F a v r e a était que le criminel devait se trouver dans un rayon

Henri Cattolre

très restreint autour du poste de SaintePérlne qu'habitait la victime.

Des recherches avaient été déjà fattes dans ce cercle par les inspecteurs de l.i brigade mobile do Versailles et les gendarmes. Elles étaient demeurées jusqu'ici infructueuses. Aussi, persévérant dans leur lâche, les membres du parquet de Compiègne, MM. Rousselot, procureur de la République, et Martin, juge d'instruction, qu'accompagnait le capitaine de gendarmerie Durand, se rendaient ce matin au village de la Boiseivre pour y interroger diverses'autres personnes et notamment un jeune bûcheron de vingt ans, Henri Cattoire. Pendant que ce dernier était entendu par les magistrats, le chef de brigade Frappier eut l'idée d'aller interroger la mère de avec qui celui-ci habitait au hameau de la Brevière, commune de Saint-Jcan-aux-Bois.

Mme Cattoire raconta à M. Frappier l'emploi du temps de son fils le jour de l'assassinat. Vers 18 h. il était sorti, lui annonçant qu'il allait chercher, dans la forêt, un bâton souple dont il avait hesoin, et, à la surprise de sa mère, il emportait sa cognée pour couper ce bâton. Il était rentré vers 19 h. 30. Comme ces heures s'accordaient précisément avec celles entre lesquelles le médecin légiste plaçait le crime, le chef de brigade emporta la conviction que Cattoire était l'assassin.

Les aveux du criminel

Revenant alors auprès drs magistrats. Il leur demanda la permission de poser quelques questions au bûcheron. Pourquoi cs-lu sorti, mardi soir à 18 h. 45 ? Et qit'uti-tii fait dans la forêt jusqu'à 19 h. 30, lui demanda-t-il brusquement.

Comme Cattoire, décontenancé, ne savait que répondre, le chef de brigade lui ,jeta « Tu es allé attendre Favreau pour le tuer

Accablé, le bûcheron essaya de se disculper, puis, à bout de forces, il avoua. Oui, était parti de chez sa mère pour guetter Favreau qu'il savait devoir passer par ce chemin. Après l'avoir déjà assommé d'un violent coup de cernée sur la tête, il l'avait frappé d'un second coup pour être bien sûr qu'il ne se relèverait pas. Une fois le garde inerte, il l'avaik délmuillé drs 53G francs dont U le savait porteur. Il avait ensuite couru jusqu'à la maison de Favreau dans l'espoir d'y trouver quelque autre butin. Défonçant un carreau, Il s'était introduit chez sa victime. Mais c'est en vain qu'il avait touillé ses hardes et les tiroirs. A ce moment, il s'était rappelé qu'il avait laissé auprès du cadavre son arme souillée de sang. Il était revenu prendre sa cognée, était allé la laver dans l'étang de Sainte-Périne, puis l'avait jetée dans un fourré, sous un tas de feuilles mortes. Alons, seulement, il était rentré auprès de sa mère. LA MUSIQUE M. Pierné étant allé à Vienne diriger à l'église Saint-Stéphan une exécution solennelle du Requiem de Berlioz, M. Ruhlmann a conduit les deux derniers concerts du Châtelet. Il l'a fait avec le talent que tout le monde lui reconnaît, nons donnant de parfaites auditions des œuvres inscrites aux programmes de samedi et de dimanche. Le premier de ces concerts débutait par l'ouverture du Roi d'Ys, à laquelle il donna un feu extraordinaire, puis vint la fantaisie espagnole de Falla intitulée Nuits dans les jardins d'Espagne. Cette oeuvre, remarquablement exécutée par M. Ricardo Vinès, lui valut son succès habituel. Ensuite vinrent les fragments de Wagner qui sont toujours pour M. Ruhlmann des sources de triomphe éclatant.

Ce triomphe se renouvela pour lui le lendemain dans l'ouverture é'Egmont, dans la 5* Symphonie de Beethoven et dans le deuxième acte d'Ariane et Barbebleue de Paul Dukas, exécuté intégralement avec le concours de Mme Balguerie, l'émouvante créatrice du personnage de Maeterlinck, et par Miles Cernay, E. Ruhlmann, Vacchino et L^bard, qui se montrèrent à la hauteur de leur tâche.

Au théâtre des Champs Elysées, l'éblouissante Damnation de Faust de Berlioz remporta ses applaudissements habituels sous la conduite de M. RhenéBaton. Le rôle de Marguerite était tenu d'impeccable façon par Mme Montjovet et celui de Faust par l'éminent professeur du Conservatoire, M. G. Paulet. La distribution excellente était complétée par MM. Panzéra et Gilles et par le Chœur mixte de Paris, de M. Marc de Rouve. Intérim.

Mon cheval gémit Slglsmond qui, d'un puissant effort de volonté, avait réussi il se remettre debout. Des serres, au même instant, sortait un homme au cri de Geneviève, aux hennissements furieux de Mustang. C'était Dick Dawson. noir de suie, méconnaissable.

Il s'assura d'un coup d'œil que nul accident n'éttUt arrivé il Geneviève. Et un sourire dédaigneux plissa ses lèvres devant la mésaventure humiliante de Sigismond.

Mustang, il la vue de ce démon noir surgi brusquement de terre, était resté immobile, frissonnant, médusé. Mais sa surprise ne dura pns.

Il volta. prêt à reprendre son galop furieux.

Dick, au même Instant, s'élançn, Un même cri de stupeur et d'admiration échappa à la jeune fitle, à ses compagnons et aux palefreniers euxmêmes, qui soutenaient Slgismond, hagard, saignant du nez, le crâne bosselé et d'une humeur de dogue.

Et le cavalier malheureux lui-même ne put maîtriser un geste d'étonnement effrayé.

Dick, d'un bond, daus le moment même où le cheval affolé voltait, s'était élancé sur sa croupe, puis se mettant en selle aussitôt. Il réussissait à ressaisir les rênes. car Mustang, abasourdi par cette audace, était resté Immobile durant quelques secondes.

Mais ce calme fak de stupeur céda la pince il la fureur. ftuant, pointant, sautant, voltant. Mustang s'efforçait à désarçonner Dick, qui, les étrters A peine chaussés, les rênes bien en mnin. le laissait se démener tout il son aise. Mustnng. alors, essaya de se cnocher, mais, dans le même instant, son cavalier, se portant brusquement en avant,

LE CONCOURS de la « Maison familiale » Nous avons publié, dans nos numéros des 23 et 24 octobre, le règlement général et le règlement annexe de notre concours de la Maison familiale qui a pour objet, rappelons-le, de convier nos lecteurs à nom présenter lêe plans de la meilleure maison, conçue selon l'idée de chacun, dans le cadre de la loi Loucheur.

La modèle choisi par le jury, dont nous avons donné la composition, sera exécuté en grandeur réelle dans le Grand-Palais, par les soins du Petit Parisien, et exposé au cours du prochain Salon des arts ménagers. En outre, chacun des auteurs des dix projets classés en tête recevra une prime de 2.000 fr. On sait que le règlement annexe (publié dans notre numéro du 24 octobre) a pour objet de placer lès constructeurs évent.uels dans les meilleures conditions pour obtenir les prêts accordés en application des lois sur les habitations à bon marché, et plus particulièrement de la loi du 13 juillet 1928 (loi Loucheur).

Dans ce règlement annexe, une omission s'est glissée, concernant la surface minimum des chambres à coucher, que la toi détermine ainsi, et dont il convient que les concurrents tiennent compte CHAMBRES. La chambre principale représentera une surface de 12 mitre» carrés; chacune dcs autres chambres un minimum de 9 mètres carrés.

Les dispositions annexes étant ainsi complétées, les concurrents n'ont plus qu'à se mettre au travail, pour nous. envoyer leurs plans avant le novembre, dernier délai.

VOULANT SE JETER A t'EAU ELLE TOMBE SUR UNE PENICHE Une jeune femme enjambait, hier mat'n. le parapet du pont de Neullly et se précipitait dans le vide. Le hasard voulut qu'à ce moment une péniche d(bouchat sous le pont. Au grand émoi du marinier, la désespérée vint s'abattre sur le pont, où elle resta inanimée. On la transporta aussitôt il l'hôpital fVau.joii où el'fi se borna à faire connaître son ttlenlité. Louise Obcrs. mais pe refusa obstinément à indiquer son domicile et les motifs do son acte de désespoir.

wos ÉCHOS Aujourd'hui

La flamme du Souvenir sera ranimée par l'Arjuciatlou d'aide aux veuves de mllltaires de la Grande Guerre.

Expositions Société générale d'horttculturr. (•durs la r.elne. cinquième Salon annuel de, T. S. P. et Salon du cycle et de la motocyclette, Grand Palais. Salon du fofer, de l'alimentation et des attractions, l'arc des expositions, porte de Versailles. La « Parisienne », société serftiophflp. la h.. Parc des expositions. Peintres de montagne (clôture). 117, boulevard Saint.Germain. Société artlstique des agents de chemins de fer français, '17, faubourg' Montmartre.

Réunion Anciens combattants uoneners dûtaillnnls, )5 h., salle des Sociétés savantes, rue Danton.

Courses à Saint-Cloue!.

T. S. F. Lflî documents ue l'Histoire le 1S brumaire (n;nlIo-Paii3). Les Deux Pigeo1is, de Messager (Haiito-Toulouse). Pelléas et Méllsande, de Debussy (Dtventry-Experrmemal). Voir au Courrter des amateurs.

L'Académie des beaux-arts a décerné deux prix d'architecture de 3.000 francs et de 1.000 francs à MM. Dubreuil et Giraud, et partagé le prix Badiola de 2.000 francs entre le peintre Giess et le sculpteur Saulo.

Le buste élevé docteur Goy, sénaleur, a été inauguré hier après-midi 4 llcignier (Haute-Savoie), dont M. Goy avait été maire pondant dix-huit ans- M. F David, séuateur, présidait la cérémonie.

Pour cause de démolition de l'immeuble Faïenceries Chauchat, 15, rue Chan.chat, réalisation de stocks considérables à vils prix service table, faïence, porcelaine, cristaux, café et thé, vases, cachepot, potiches, etc.

Les rassortiments seront, dans l'avenir, assuréa par le Consortium de la céramique et de la verrerie, au grand dépôt, 21 et 23, rtrc à Parts. NECROLOGIE

On nous prie d'annoncer que les obsèques de M. Jean Sauphar, croix de guerre, décédé accidentellement à Hateg (Roumanie), ont eu lieu le dimanche 28 octobre dans la plus stricte intimité. De la part de Mme Jean Sauphar. de M. Lucien Sau|ihar, maire du IX, arrondissement, et Mme Lucien Saupliar, du docteur et 'fine Georges Schreiber, de M. et Mme Paul Lang et de toute la famille.

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1

lut saisit une oreille et la lui mordit. Mustang se redressa avec un hennissement douloureux.

De nouveau, l'ombrageux animal essaya de désarçonner Diek, mais ce fut peine perdue. Et, las de se secouer ainsi frénétiqnement, le cheval demeura c»mpé sur ylace, les yeux fous, les naseaux écumants, tremblant, pointant les oreilles.

Une cravache Une cravache cria Dick.

En courant, le maître palefrenier se portait vers lui, et lui tendait son fouet de chasse, un solide jet de cornouiller, terminé par une béquille de cuivre, et pourvue d'une lanière longue comme la main, en buffle-

Dlek la saisit nu vol. cependant que sa monture essayait, en secouant v!olemment la tête. de lui arracher les rênes des mains.- Et piété, refusant d'obéir, reculant, renâclant, la croupe basse, Mustang se débattait avec fureur. Oh Dam gronda le Jeune homme qui leva sa cravache.

Une grêle de coups drus, serrés, cinglants, tomba sur Mustang, stupéfait. Oreilles, naseaux, joues, col, érmules, tout y passa. La pauvre bête, n'en croyant pas ses sens, obéit enfin fi la pression du talon et de la guide d'opposition, et fonça au galop sur la grande pelouse.

Dick l'obligea à sauter les corbeilles, a tourner, if volter, à changer de pied, à trotter, à galoper, tout cela an grand désespoir du maître jardinier, qui voyait fort maltraiter ses gazons. Enfin, Mustang, dompta, revint vers les cavaliers. non sans décrire, tontefois; une série de huit Impeccables, sous la senie pression de la ¡mille d'opposition et des talons de son cavalier. (v4 suivre.)


LE VOYAGE MINISTÉRIEL

LA JOURNÉE A CAEN

Caen,*8 oct. (de notre ewoyé spécial.) Le programme des cérémonies, dont M. Henry Chéron avait offert la présidence ,1Il î pmsidont du Conseil, s'est déroult! avec la précision que ses organisaleur· avaient prévue. Tout au long de cette journéc la foule accourue n'a cessé d'acclamer M. Poincard, Mme Poincaré, ainsi que MM. Albert Sarraut et Henry Chéron.*

Avant de quitter la préfecture pour 'aller visiter le preventorium, M. Poincai'é reçut J'évêque de Bayeux et ses A travers la campagne, sous la pluie qui ne cesse de tomber, le cortège officiel gagne Coureeulles, puis arrive à jGraye-eur-Mer, où se trouve le préventorium, magnifiquement installé dans une belle propriété au bord de la mer. Cette visite faite, le cortège, par Saint-Auhin-sur-Mer et Douvres, se rend à la Délivrande. On s'arrête à l'école jd'arl.isanat des forgerons et des maréchaux ferrants.

C'est ensuite la traversée de BénouVi'Me, la visite, sous la conduite du maire, M. André Verwoort. du merveilleux château édifié par l'amiral Sarfiuin de Livry et qui abrite aujourd'hui des femmes en couches et des enfants assistée.

Le banquet

Le banquet est servi dans un vaste hall, qui d'ordinaire sert de tennis couvert. A la table d'honneur, aux côtés de M. Poincaré, ont pris place MM. Albert Sarraut, Henry Chéron, le préfet Hélitas, le maire Uetôlle; Renard, directeur de la sùiflé générale; Grignon, les représentants du Calvados. LemieuY, prési- dent de la Chambre des communes du Canada Diamandy, ministre de Rouma- nie; Dupont, bâtonnier de l'ordre des avocats de Caen, etc. -Après les discours du maire, du préfet, de M. BUiisol, M. Henry Chëron déclare que les sept cents maires lu Calvados qui sont réunis au banquet traduisent fidèlement les senti- ments des populations qu'ils représen- tent en acclamant le président du Conseil, qui personnifie, à leurs yeux, « les qua- lités auxquelles ils tiennent le plus l'ordre. la méthode, la prudence, l'amour du travail, une très haute probité, la droiture d'une vie sans tache et passionnément consacrée à la chose publique C'est d'ailleurs la Franco tout entière, continue le ministre, qui reconnaît ainsi ses vertus traditionnelles. Quelle que soit la diversité de leurs opinions, tous les Français sont fiers de vous. Ce qui fait la force de votre popularité c'est qu'elle est à base d'estime et de respect. Le président du Conseil, salué par les applaudissements de toute l'assistance, se lève ;) son tour et prononce le discours qu'on a lu d'autre part.

Les derniers mots du président du Conseil soulevèrent des applaudisseEnsuite, inauguration de la maison où 1rs étudiants seront nourris pour j-i fr. 50 par jour et logés pour 100 francs par mois. M. Albert Sarraut. en un discours très applaudi, dit les services que doit rendre cette maison.

Enfin, c'est, l'inauguration dans une ialle du très. très vieux palais de justice, du buste du jurisconsulte Guillouard, enfant de Caen. Ap> \« le bâtonnier de l'ordre des avocats, Ai1. Tlupont, M. Henry Chéron prend la parole

Mes compatriotes, dit-il, tiennent à trois choses essentielIes qu'ils ne laisseront jamais sacrifier leur liberté. leur bien et Jour droit. Quand un Normand a dit C'est mon droit il a fait. au nom de la race tout entière, la profession de foi traditionnelle.

Puis. ayant rappelé l'œuvre formidabie de Ni. Guillouard, M. Henry Chéron termina

Si, dit-il, Guillouard, qui était, en même temps qu'un grand jurisconsulte, un ardent patriote, avait pu designer le président de cette touchante cérémonie et si son exquise modestie ne lui avait point interdit d'élever aussi haut ses re.ards, il aurait souhaité, comme dans un réve, que l'hommage de ses confrères lui fût rendu devant le plus illustre des avocats de notre temps, grand serviteur du droit, interprète admirable de la pensée française, défenseur inlassable et sublime de la cause de la pairie. C'est fait.

Cette cérémonie termine la journée présidentielle.

M. Poinearé et M. Sarraut, de nouveau traversent la ville pour se rendre à ta tfav, salués sur tout le parcours par les acclamations de la foule.

Un incident au passage du cortège Au moment où le cortège sortait de la cour de ta gare, NI. Pierre Riynaud, Agent de publicité, demeurant à Marseille, 1, rue Stoannat, de passage à Caen, cria Vive Poinearé Il Un voisin lui asséna un coup de poing dans la figure en clamant: « Poincare. assassin » M. Raynaud se plaignit à un agent et le commissaire de police Richelmi, de la brigade mobile de Rouen, et les inspecteurs Delalànde, Pélissier et Garnier partirent à la recherche de l'agresseur. lis le trouvèrent dans un hôtel voisin, en compagnie d'un autre individu. L'hommo, uommé René Havas, trente et un ans, peintre en bâtiment, demeurant à Cocn, 8i, boulevard Leroy, reconnut les faits. Son compagnon, Albert Hilaret, sans domicile fixe, avait également menacé un manifestant qui criait Vive •Poinearé » Il était arrivé de Paris dans la matinée.

Havas et Hilaret ont été conduits au parquet et incarcérés. Ils seront poursuivis, le premier sous l'inculpation de coups et blessures et injures à un magisirat. de l'ordre administratif, l'autre pour ce second motif seulement.

Le président du Conseil et Mme Raymond Poincaré, M. Albert Sarraut, ministre de l'Intérieur, accompagnés de MM. Grignon, directeur du cabinet du président du Conseil, et Renard, directeur dp '.a sûreté générale, sont rentrés hier soir il Paris, à 22 h. 55.

Ils ont été salués il la gare SaintLazare nar Ni. Bouju, préfet de la Seine, et M. Chiappe. préfet de police,

Les nombreux voyageurs qui se trouvaient dans le hall da la gare SaintLazare ont salué respectueusement et applaudi M. Raymond Poinearé.

M. LOUIS MARIN A CALAIS Calais, 28 octobre {dép. Petit Parisien.) La fédération républicaine déaprtementale a tenu son congrès sous la présidence de M. Louis Marin, ministre des Pension?. Après les séances de travail a «il lieu un banquet de six cents couverts. Des discours ont été prononcés par treize députés du parti et par M. Louis Marin qui a félicité la fédération du Pas-deCalais, non pas comme ministre, ni comme député, mais comme simple cit n'en, de ses résultats acquis, ajoutant <|ii" i*« qui le veulent et qui savent vouloir obtiennent du pays tout ce qu'ils désirert.

LE TRAFIC MARITIME SE RÉ60URISE A MARSEILLE MureoMe, .2» nct. {dép. Pclit Parisien.) Les légers incidente d'hier ne se sont pus aggravés. Bien au contraire, le synJicat des inscrits a adressé au ministre une lettre pour le, mettre au courant du désaccord qui subsiste entre ses membres et quelques armateurs, au sujet de la réintégration des équipages. En dehors de cela, les réarmements se 4Mtt poursuivis aujourd'hui et plusieurs mires ont pu prendre la mer.

DES FETES GRANDIOSES ONT MARQUÉ

LE 10e ANNIVERSAIRE DE LA RÉPUBLIQUE

TCHÉCOSLOVAQUE

Prague, 28 octobre (d. Petit Parisien.) Annoncé ce matin à 8 heures par une salve de vingt-huit coups de canon, le 10* anniversaire de la République tchécoslovaque a été célébré dans une atmosphère d'heureuse sérénité.

A 8 h. 45, le président a reçu au château, en présence du gouvernement, les représentants des deux Chambres et a tu un important message puis il a reçu les chefs des missions étrangères. D'anciens soldats des logions tchèques revêtus de leurs uniformes de guerre, formaient la garde du château. De grandioses manifestations militaires ont rempli toute la matinée. A partir de 8 h. 15, un imposant défilé, commandé par le chef d état-major général Zyrovy, accompagné des quatre gouverneurs militaires des provinces, traversa la ville. Sur son parcours étaient massés des sokols en uniformes, la jeunesse des écoles et des universités, le parti socialiste national et toute une foule enthousiaste.

A 11 h. 30. à quelques kilomètres de la ville, sur le plateau de la Montagne manche où se déroula en 1620 la bataille qui priva pour quatre siècles les Tchèques de leur indépendance, eut lieu la revue des troupes de la garnison, plus de 11.000 homme's. Des tribunes avaient été dressées. Les membres du gouvernement, le corps diplomatique, les attachés militaires, M. Oberkirch, sous-secrétaire d'Etat M. Charles Roux, ministre de France à Prague et tous les officiers de la mission militaire française étaient présents.

Toujours droit et svelte en dépit de ses soivantp-dix-huit ans, le président est arrivé a cheval sur le front des troupes accompagné du chef de sa maison militaire, du ministre de la Défense nationale, du général français Mittelhauser qui fut chef d'état-major de l'armée tchécoslovaque et dirigea en 1919 les opérations contre lçs Hongrois, du chef d'état-major de l'armée yougoslave et du général inspecteur de l'armée tchèque.

Quand les troupes eurent rendu les honneurs, le président gagna la tribune et le défilé commença pendant que vingtneuf avions sillonnaient de ciel.

A 9 heures, une messe fut dite à Notre-Dame-de-Tyn par Mgr Cordac, archevêque de Prague. A l'issue de cette messe. l'assistance se rendit en cortège sur la colline Vinharandy où fut placée solennellement la première pierre d'une nouvelle église.

Le président Masaryk a assisté ce soir à deux représentations de gala au théâtre national tchèque et au théâtre allemand.

On peut noter, à propos de cette démarche conciliante, que les minorités allemandes de Tchécoslovaquie, sans participer à ces fêtes, les ont suivies sans hostilité en général.

Dans un article publié ce matin par 1'offlcieuse Prager Presse, M. Spina, 1 un des deux ministres allemands, prend prétexte des fêtes du peuple tchèque pour souligner la volonté de collaboration qui anime les Allemands qu'il représente au gouvernement.

A 16 heures, M. Oberkireh et les personnalités françaises venues pour les fêtes ont visité l'Institut français de Prague.

LA ROUMANIE CÉLÈBRE

L'ANNEXION DE LA DOBROUDJA

Bucarest, 28 octobre (dép. Havas.) Les fêtes du cinquantième anniversaire de l'annexion de la Dobroudja à la Roumanie se sont déroulées à Constanza au milieu d'un grand enthousiasme et en présence d'une foule considérable.

Les délégués de tout le pays y assistaient ainsi que la famille royale, les membres du conseil de régence, M. Bratiano et les membres du gouvernement et les chefs des partis politiques, MM. Iorga et Averesco.

La ville était richement pavoisée. M. Buzdugan, membre de la régence, et M. Bratiano, ont relevé les progrès immenses réalisés pendant un demi-siècle dans l'administration de la Roumanie, sous le règne de deux grands rois. M. Buzdugan a fait appel a la coopération harmonieuse et solidaire de toutes les énergies patriotiques pour développer toujours davantage le patrimoine national.

Un grand cortège ethnographique très réussi a défilé parmi les ovations de la foule. Ce cortège reconstituait la vie des populations de la Dobroudja depuis les Scythes et la période daco-romame jusqu'à nos jours.

Les fêtes se sont terminées par un concours hippique et des régates. LE ROI DES BELGES INAUGURE LE MONUMENT DE LÉOPOLD Il Bruxelles, 28 octobre (dép. Petit Paris.) Cet après-midi, à Namur, a eu lieu l'inauguration du monument élevé à la mémoire du roi Léopold II. Le roi Albert, la reine, ta'princesse Clémentine et ses enfants, le prince Louis-Napoléon, la princesse Vlarie-Clotilde ainsi que le cardinal Van Roye, les présidents de la Chambre et du Sénat, les. membres du gouvernement, les autorités provinciales et communales assistaient à la cérémonie.

Après que le baron Edmond Carton de Wiart, président du comité, eut dit quelques paroles, le roi prononça un grand discours dans lequel il retraça l'œuvre de son illustre prédécesseur. Il déposa ensuite une couronne au pied du monument devant lequel défilèrent toutes les sociétés de la ville et les enfants des écoles.

Les Tare* se reposeront le dimanche et non plus le vendredi

Constantinople, 28 octobre (dép. Havas.) Développant le cycle des réformes qu'il a entreprises, le cabinet turc déposera devant l'Assemblée nationale un projet de loi proposant la suppression du vendredi comme jour de repos hebdomadaire et son remplacement par le dimanche, afin de mettre,la vie économique turque en harmonie avec la vie économique européenne.

La chambre de commerce turque de Constantinople réclame instamment le vote de cette réforme.

Les députés de Constantinople déposeront devant le Parlement une motion demandant que le dimanche soit déclaré jour de repos officiel.

Manifestation à Philadelphie

contre le candidat démocrate Smith Philadelphie, 28 octobre (dép. Hâtas.) Une foule tapageuse remplissant les rues conduisant au théâtre où il devait parler a fait a M. Smith une réception aussi bruyante que celle par laquelle le candidat démocrate fut accueilli à Boston, mercredi dernier. Après avoir réitéré ses déclarations antérieures sur la question des tarifs en particulier, M. Smith a critiqué les leaders républicains et a conclu en invitant les électeurs américains à décider, par leurs votes 'du 6 novembre, pour combien de temps encore ils consentiraient à recevoir de fausses promesse».

LES INCIDENTS SANGLANTS

DE TONS

PREMIERS RÉSULTATS

DE L'ENQUÊTE

Pons, 29 oct. (de not. envoyé spécial) Après les interrogatoires, qui n'ont pas duré moins de huit heures, l'instruction est ,parvenue à établir que les manifestants arrêtés aujourd'hui devant le monument de Combes sont venus à Pons en quatre groupes. Il y aurait celui de la Vendée, avec M. de la Bastière, licencié en droit, vingt et un ans celui d'Angoulême, avec M. de Riff ay le troisième de Poitiers, avec, NI. Yvan de la Debiétrie, gendre de M" Marie de Roux, avocat de l' « Action française »; le quatrième de Bordeaux. Ces derniers manifestants, au nombre de quinze, avaient pris des billets d'aller et retour de Bléac, station voisine de Pons, de manière à ne pas attirer l'attention sur eux à leur descente du train.

Le juge n'a encore délivré qu'un mandat de dépôt visant M. Rolland Ballon, trente-cinq ans, marchand de pneumatiques Angoulême, accusé d'avoir frappé les gendarmes avec une lanière de caoutchouc. M. Rolland Ballon, ancien gendarme, a prétendu qu'il était partii d'Angoulême pour assister à un match de football à Cognac. Il a ajouté que le sifflet retrouvé dans ses poches devait lui servir à manifester au cours du match. Comme on lui demandait pourquoi il s'était arrêté à Pons, M a répondu que c'était par hasard. M. Guilraud, qui a trouvé la mort au cours de la bagarre, était père de deux enfants. Sa mère, qui est employée aux P. T. T., à Rochefort, est venue, ce soir, reconnaître le corps avec Mme Guiraud. On a trouvé dans les poches du mort des paquets de pansements.

M. Herriot, avant de prendre le train pour Paris, a tenu à interroger le garde Cazet, qui a confirmé devant lui' le fait qu'il se trouvait en état de légitime défense. F. L.

UN DISCOURS DE M. MANDEL Lesparre, 28 octobre (dép. P. Parisien.) Pour fêter sa double élection à la Chambre et au conseil général, M. Georges Mandel, dans un discours fortement documenté, s'est efforcé de dresser le tableau de la situation politique. Après avoir Indiqué que le début de la législature parait repéter celui de la législature de 1919, après avoir dit de la réforme monétaire qu'elle reste conditionnée par l'équilibre du budget et l'état de la balance commerciale, l'orateur aborde le programme de la législature. Et cela l'amène à parler des divergences entre certains groupes politiques. Mais dira-t-on, poursuit M. Manuel; beaucoup de ces divergences ne sont pas d'hier et pourtant on a assisté, depuis près de trente ans, seus la dénomination de Bloc des gauches ou de Cartel, Il bien des coalitions entre radicaux et socialistes. Ce n'est même que grâce A de telles coalitions que certalns cabinets ont pu se for-

mer et durer. C'est vrai. cependant, que ce fût avec Ni. Waldek-Houssean ou avec M. Combes, Il ne s'agissait de rien moins que de défendre les institutions en péril ou de poursuivre l'oeuvre de sécularisation de la société civile. Les deux partis faisaient donc momentanément taire leurs préférences doctrinales dans un Intérêt supérieur. De même au temps du premier ministère Herriot, le désir de sauver la Paix qu'ils prétendaient compromise par l'occupation de la Ruhr suffisait à resouder leur alliance. Mals dès qu'ils ont été aux prises avec de graves difficultés fiscales. Ils se sont divisés comme cela leur était déjà arrivé en 1905, à propos des syndicats de fonctionnaires ou en 1907 à l'occasion de mouvements grévistes. Toutefois, avant la guerre, le problème religieux ponvait toujours leur servir de prétexte, on cas de besoin, pour recimenter leur union. Depuis, l'esprit public s'est modifié. On ne s'accommode plus du maintien de certains lois que parce qu'on les laisse sommeiller. Même sous le cartel, MM. Herriot et Palnievé ne se sont pas avisés de les appliquer. Etrange conception, n'est-ce pas, de i'intangibllité législative II serait en tout cas étrange de vouloir désormais s'en réclamer pour tenter quelque résurrection anachronique. La vérité est que les deux partis (radicaux socialistes et S. F. I. O.) ont pu faire « un bout de chemin ensemble tant avec la séparation ries Eglises et de l'Etat qu'avec l'impôt sur le revenu Ils ont préconisé des réformes communes. Mais du jour où les radicaux eurent réalisé la presque totalité de leur programme historique et où Ils durent aborder la question sociale, Il leur suffit de paraître attachés au maintien de la propriété individuelle pour se trouver en posture de réactionnaires vis à vis do leurs anciens alliés. UN MONUMENT EST ÉRIGE EN SOUVENIR DE LA TRAVERSÉE DE LA MÉDITERRANÉE EN BALLON Ajaccio, 28 oct. (dép. Petit Parisien.) Aujourd'hui a eu lien l'inauguration du monument commémoratif de la première traversée de la Méditerranée en ballon sphérique, de Marseille à Ajaccio, par les aéronautes Capazza et Fondere. Co monument est érfgé à l'endroit même de l'atterrissage.

Les ministres de la Guerre, de l'Air, de la Marine, de l'Intérieur et la Ligue aéronautique étaient représentés par des délégués.

Des discours furent prononcés par MM. Tessarech, président du comité, et Landry, président du conseil général. UN RAT D'HOTEL ARRÊTÉ A CANNES APRÈS UNE CHASSE A L'HOMME Cannes, 28 octobre (dép. Petit Parisien.) Il y a quelque temps, descendait dans un lïixeux hôtel, L Juan-les-Pins, un jeune homme très élégant, disant se nommer Harold de Lloydes et être sujet américain. Cinq jours plus tard, il disparaissait, après avoir cambriolé la ohambre d'une voyageuse et dérobé lès économies d'une domestique. Celle-ci, venue à Cannes, se trouva soudain, rue de Châteaudun, face à face avec le faux gentleman, qui, ayant reconnu sa victime, détala. La femme de chambre poursuivit le fuyard en criant « Arrêtez-le 1 · Après une chasse à l'homme mouvementée, le sous-chef de la sûreté, M. Epagneul, lui mit la main au collet, boulevard d'Alsace.

Conduit au commissariat, l'individu fut t.rouvé porteur de papiers d'identité les plus variés, aux noms de Robert Moreau, Jacques Darlet et Jules l3ézfers. Interrogé par Ni. Lombard, commissaire de police, il déclara se nommer, en réalité, Julier Blanc, né à Paris, le 11 juin 1908, comptabie, et sans domicile fixe. Il reconnut être l'auteur des vols de l'hôtel de Juan-les-Pins. En outre, Blanc fut, par deux fois, porté déserteur du 22° régiment d'infanterie coloniale, en garnison à Aix-en-Provenoe. et fut l'objet, le 3 mars dernier, d'un mandat d'arrêt du juge d'instruction de la Seine, pour vol, II a été déféré au parquet. Rome. Le docteur Raphaël VHIanuevaMats, ministre du Venezuela, près le SaintSiège, est mort.

Un incendte a détruit, près de Savonne, une fabrique de cotoa.

LA TEMPÊTE CONTINUE SUR LA MANCHE

ET L'ATLANTIQUE

Un voilier, rompant son emarre en rade de Ckerbonrf, heurte une jetée et doit être secouru

Cherbourg, 28 oct. (dép. Petit Parisien.) Tournant du sud-ouest au nord-est, la tempête est devenue plus violente, la nuit dernière. Elle a retardé plusieurs transatlantiques attendue au port et a mie en danger les voiliers qui lou- voyaient en Manche. On voit, en rade de Cherbourg, un rassemblement de petite dundees, transporteurs de pommes, qui, depuis plusieurs jours, ne peuvent se hasarder i sortir. La mer en furie bat les ouvrages avancés et les jetées. En pleine nuit, un voilier de Binio, la touisette, relâchant en rade, a rompu une chaîne et chassé sur ses ancres. Son équipage a fait des signaux de détresse. La Louisette est allée se jeter sur les enrochements de la nouvelle jetée des Flamands, se faisant une énorme voie d'eau. La cale a été inondée et le voilier n'a pas tardé donner de la bande. Les remorqueurs envoyés à son secours l'ont rapidement amené à l'entrée du port et ont pu l'échouer au chantier de la place Napoléon.

Près de Lorient, un charbonnier a été démoli par les vagues une barque de pêche a disparu

Lorient, octobre (dép. P. Parisien.) La tempête d'ouest-sud-oueet qui souffle sur les côtes a déterminé hier soir une poussée de marée de plus d'un mètre par rapport aux cotes prévues. La mer est démontée. De nombreux cargos et bateaux de pêche ont du en hâte se réfugier en rade du Palais, attendant une accalmie pour reprendre le large. Sur la côte sud de Belle-Ile, le vapeur charbonnier Yser qui s'était mis au plein sur les rochers de Port-Donnant, a été démoli par les énormes paquets de mer qui s'abattaient sur sa coque.

Le remorqueur Tourbillon, parti il. la recherche d'une barque de pêche en perdition dans le nord-ouest d'Hœdick, est revenu au mouillage sans l'avoir rencontrée. On croit qu'il s'agit de la barque Petit-Joseph, considérée comme perdue. Plus que jamais, dans l'Isère,

la situation est inquiétante

Lyon, 28 octobre (dép. Information.) Les pluies torrentielles qui se produisent depuis plusieurs jours ont provoqué une nouvelle et importante crue de 1 Isère et du Drac, venant aggraver singulièrement le désastre qui vient de ruiner la vallée de l'Isère après celle de la Romanche.

L'inondation s'étend à nouveau largement dans la plaine du Bas-Grésivaudant, de Sassenage jusqu'à Ponenas. La brèche qu'on avait voulu pratiquer dans la digue de l'Isère, près du pont de Saint-Quentin, n'a pas provoqué l'amélioration attendue et le niveau de l'inondation remonte avec une vitesse angoissante. Le courant de la rivière, qui s'étale dans la plaine, deux kilomètres du lit normal de l'Isère, entraîne tout sur son passage des vaches ont été ainsi emportées, du mobilier, des ln6truments aratoires, même des chargement% complets de foin.

Le désastre est immense. Un grand nombre de têtes Ce bétail ont péri dan3 les étables, sans que leurs propriétaires aient eu le temps matériel de les évacuer, tellement l'inondation a été soudaine. A Bourg-d'Oisans, la Romanche est de nouveau en pleine crue. On redoute des éboulements, quinze brèches ayant été repérées dans les digues de l'Isère, eut if, Saseenage et Tullins neuf sur la rive droite et six sur la rive gauche. Des travaux de réfection ont été aussitôt organisés..

A L'ÉTRANGER EN SUISSE

Bellinzone, 28 octobre (dép. Havas.) Aux environs d'Arbedo, dans le canton du Tessin, un torrent, grossi par la pluie, a débordé et inondé la ligne du chemin de fer, interrompant le trafic sur la ligne du Gotnard.

Le service des voyageurs est assuré par transbordement au moyen d'automobiles. Le trafic des marchandises se fait par la ligne du Loetschbcrg. EN ITALIE

Géncs, 28 octobre (dép. Havas.)

Un orage très violent s'est apattu sur la ville, la nuit dernière, et a fait rage toute la matinée. On signale plusieurs personnes blessées légèrement. La foudre a mis le feu à un immeuble. Au port, les bateaux ont dû renforcer leurs amarres. Le bateau Re d'Italia, heurté par le bateau hollandais Moena, a eu de légères avaries. Le bateau Tripolitania, qui avait rompu ses amarres, a eu, lui aussi, de légères avaries.

EN ESPAGNE

Cadix, 28 octobre (dép. Havas.)

On est sans nouvelles de trois bateaux de pêche qui étaient au large lorsque la tempête a éolaté.

TROIS MONUMENTS AUX MORTS INAUGURÉS DANS LA MEUSE Verdun, 28 octobre (dép. Petit Parisien.) Aujourd'hui, trois petites communes lorraines ont inauguré leur monument aux morts. Le matin, les cérémonies se déroulèrent d'abord à Boinvllle, sous la présidence de M. Schleiter, député, où sont gravés sur la monument les noms de dix enfants tués au champ d'honneur et de sept civils morts en captivité, ainsi que la brillante citation à l'ordre de l'armée que Boinville a obtenue. A Warcq, M. Lecourtier, sénateur, préside la cérémonie. Sur le monument sont inscrits les dix-neuf noms des héros et ceux des vietimes civiles et la citation décernée l'héroïque cité.

Les personnalités gagnent ensuite Maucourt, situé au pied des jumelles d'Orne, où se déroulèrent de terribles combats en 191G, et qui valurent au pays une belle citation.

Un banquet fut présidé par M. Maginot, député, ancien ministre, qui, plus tard, au pied du monument, rappela le .calvaire de ces cités du front.

LESACCIDENTS DE LA ROUTE Un piéton tué pu nue moto

dont la occupants vont eux-mêmes blessés A l'angle des rues du Château et de Neuilly, à Puteaux, une motocyclette montée par MM. Paul Van den Daël, dixneuf ans, rue du Moulin, à Lambersart (Nord), et Alfred Decreux, rue d'Arcalme, à Lille, a renversé un passant. Sahir Mohamed, 4, rue de l'Eglise. Ce dernier est mort à l'hôpital Beaujon. Les deux motocyclistes, qui avaient été projetés sur la chaussée, ont été transportés à l'hôpital de Boulogne avec le crâne fracturé.

Une jeune fille écruée par un autobus Nime6, 28 octobre (dép, Petit Parisien.) A la Grand'Combe, bflle Reine Aurand, dix-sept ans. fille de Mme veuve Aurand, modiste, demeurant rue Pasteur, a été happée par t'autobus d'Alès à la Grand'Combe. Lee roues arrière du véhicule lui ont passé sur le corps. Transportée l'hôpital de la Compagnie dos mines, elle a expiré deux heures plus tard. Mlle Aurand avait passé, la veille. avec succès, son examen d'entrée au conservatoire de Nîmes.

LE TRIPLE CRIME DE ROCHEjyAGOUX Beauvillers renouvelle ses aveux et, confronté avec Quintin, affirme avoir agi à l'instigation de ce dernier Clermoat-Ferrand, 28 oct. (d. P. Paris.) .Iules beauvillere, qui tua 6auvas-ement son grand-père, M. Jacques Beaugeard, sa tante et sa cousine, à Roched'Agoux, a été amené, a nouveau, dans le cabinet de ?IL Rolland, juge d'instruction.

Je n'ai pas tué pour voler, dit-il. Je savais bien que je no trouverais pas grand argent à la maison. Mais il y avait l'héritage qui était conséquent. Le vieux et les deux femmes supprimés, mon beau-frère Quintin héritait de la maison et de tout le bien. Il avait été convenu entre nous que nous partagerions. Avec ma part, je devais acheter un petit fonds de commerce à Paris.

On le voit, le misérable avait tout prévu, sauf qu'il serait arrêté. Le juge d'instruction lui montra le revolver taché de sang trouvé ,par deux enfants le matin du crime, à Saint-Maurice-dePionsat. Il ne fit aucune difficulté pour reconnaître que c'était bien là ['arme dont il s'était servi et affirma une fois de plus qu'elle lui avait été remise dans ce but par Quintin. Il ajouta que personnellement il n'avait jamais possédé de revolver. Le juge d'instruction lui objecta que sa femme, au cours de 6on interrogatoire, avait déclaré qu'il avait un revolver placé dans un tiroir et qu'il l'avait pris avant de partir. Un peu déconcerté par cette déclaration, Beau-

villere se ressaisit et expliqua qu'il avait, en effet, un vieux revolver tout rouillé, mais qu'il l'avait jeté dans la Seine. « Celui que j'ai emporté à Roched'Agoux, dit-il, est celui de Quintin. » Lorsque l'interrogatoire de Beauvillers eut pris fin, on amena dans le cabinet du juge Gaston Quintin. La confrontation entre les deux beaux-frères fut fort agitée. Sollicité par le juge d'instruction, Beauvillers renouvela en les précisant avec force les accusations portées contre Quintin, qui se défendit énergiquement d'une telle machination. Pris soudain d'une véritable crise de fureur, il bondit sur son beau-frère en le traitant de menteur, de canaille et d'assassin. Les gendarmes durent s'interposer pour séparer les deux hommes. Malgré les objurgations du magistrat, l'un et l'autre persistèrent énergiquement dans leurs affirmations.

Tous deux regagnèrent alors leurs cellules, à la maison d'arrêt. Quintin paraissait fatigué, pâle et défait. Il marchait affaissé et plié en deux. Beauvillers, au contraire, relevait la tête et marchait d'un pas assuré, comme soulagé par les aveux qu'il venait de faire. Un mémorial britannique sera inauguré le 4 novembre à la Ferté-sous-Jouarre Ainsi que nous l'avons annoncé, c'est le dimanche 4 novembre prochain, à 11 h. 30, qu'aura lieu l'inauguration, à la Ferté-sous-Jouarre (Seine-et-Marne), par le lieutenant général sir William Pultney, d'un mémorial à la force expéditionnaire britannique et aux militaires de cette force tombés aux mois d'août, septembre et octobre 1914 et dont les restes n'ont jamais été retrouvés. Le War Office a fait savoir qu'à cette occasion il enverra en France une musique anglaise et un détachement de troupes qui seront transportés en autos de Paris à la Ferté-sous-Jouarre. De son côté, le gouvernement français fera également rendre les honneurs par un contingent emprunté au gouvernement militaire de Paris.

Le lieutenant-général Pultney, les officiers l'accompagnant, ainsi que les représentants du gouvernement français et toutes les personnalités officielles, seront reçus à l'hôtel de ville de la Ferté, 10 h. 45. Un cortège, auquel se joindront toutes les sociétés tocales, se rendra d'abord au monument français du boulevard Turenne, où le général anglais déposera une couronne, puis au mémorial, où, après le dépôt des couronnes offertes par le roi, le prince de Galles, l'armée anglaise, la vlle de la Ferté et le gouvernement français, les enfants des écoles feront entendre un chant patriotique. Plusieurs discours seront prononcés et le monument sera béni par un révérend anglais. Un lunch terminera la cérémonie.

TROIS RÉUNIONS CATHOLIQUES Le fénéral de Castelnaa à Cnâlons-sur-Harne Cliàlons, octobre (dép. Petit Parisien.) Le congrès catnolique du diocèse de Chalons-sur-Marne s'est ouvert, ce matin, sous la présidence de Merr Tlssier, évêque de Châlons, assisté de Mgr Hurault, évêque de Viviers et du général de Castelnau, président générai de la Fédération nationale catholique.

Le matin, l'abbé Huot, M. Séjourné et le K. P. Ganay présentèrent divers travaux au cirque, puis une messe solennelle fut célébrée Il la cathédrale. L'après-midi, M. Feitgen, de Nancy, puis le (rendrai de Castelnau, dirent ce qu'est la Fédération nationale catholique et Invitèrent l'auditoire Il grouper autour des évêques une masse compacte de catholiques. Mgr Tlssier, évéque de Chatons, tira les enseignements du congrès et adjura son auditoire de mettre en pratique les grandes leçons de la journée. Le Credo fut ensuite chanté-

A Nancy

Nancy, 28 octobre (dép. Petit Parisien.) L'Union catholique du diocèse de Nancy s tenu, ce matin, son congrès annuel sous la présidence de Mgr de La Celle, assisté de M. Bour, président de l'U. C. et de Mgr Thouvenln, président de l'Union des Coopératives de reconstruction. Un rapport sur la vie de l'Union fut présenté par M. Bour et un autre sur l'application du décret Sarraut du 10 novembre 1927, relatif à la formation des associations diocésaines.

A la séance de l'après-midi fut décidée la transformation de la caisse mutuelle lorraine en caisse primaire d'assurances soA Roubaix

Roubalx, 28 octobre (dépêche Petit Parisien) Le congrès générat annuel de la Fédération de la jeunesse catholique de Roubaix s'est ouvert à la maison des oeuvres, sous la présidence de M. Catrice. M. Antoine Hubert, du bureau fédéral, a commenté les travaux accomplis pendant l'année par les différents cercles d'études de la région. M. Maurice Florin a parlé ensuite du mouvement catholique en France et en Belgique M. Jean Lerolle, député de Paris, a pris ensuite la parole. Un banquet, suivi de la remise du drapeau fédérai et d'un dénié en ville, a terminé la Journée.

Le général Gouraud préside à Chartres la fête des anciens soldats d'Orient

Le 10e anniversaire de l'armistice franco bulgare a été célébré a Chartres sous la présidence du général Gouraud, gouverneur militaire de Paris, ancien chef du corps d'expédition des Dardanelles, assisté de l'amiral Guépratie, ancien commandant de l'escadre des Dardanelles du général Henrys, commandant l'année française cn Orient du général Franck, commandant le i" corps, des représentants des anciens combattants serbes et roumains, du préfet et des parlementaires.

A l'Issue d'un banquet, servi dans les salons Sainte-Foy, les orateurs ont fait l'historlque de la guerre en Orient et rendu hommage aux sotdats de France. Le général Gouraud rappela aux anciens combattants d'Orient que leur sacrifice n'avait pas été inutile. « L'armée du générnl Henrys. dit- Il -notamment, est la seule qui eut la récompense et la gloire de faire capituler dans ses mains une armée allemande. » Après le banquet, les anciens poilus d'Orlent, conduits par le président de leur association départemental*1, M. Maudult, ont reçu la médaille commémorattve puis un cortège s'est rendu devant le monument aux morts, où une couronne de fleurs fut déposée. Au cours de cettc cérémonie, l'Association départementale des poilus d'Orient a reçu son drapeau des mains du général Gouraud.

En gare de Vendôme on arrête le maréchal de logis Naturel qui a volé à la gate îles marchandises dont il assurait la surveillance.

L'assassin ne Mme Maura, a Arles, est l'Espagnol Subira Santé?, que la police recherche.

DANS LA RÉGION PARISIENNE

AISNE

Accident de chasse

A Itancourt, M. Fernand Boulant, cultivateur, chassait en plaine au Ileudlt le « Gibet ». Un autre chasseur, N. Alfred Babllotte, cultivateur, se trouvait en bordure d'un bois accompagné de son chten. M. Boula.ni, voyant des herbes bouger, nt feu. Une partie de la décharge atteignit NI. Babilotte. qui fut grièvement blessé. Il a été transporté dans une clinique de SaintQuentin.

Le pseudo-inspecteur est n escroc

La gendarmerie recherche un individu qnl a réussi à escroquer plusieurs habitants de Lfnncourt. Se faisant passer pour inspecteur d'une société de capitalisation, II remet de faux timbres en échange des versements qui lui sont faits. C'est en examinant ces timbres de près qu'une de ses victimes, Mme EMille Douchy, s'est aperçue de la supercherie.

La loi Loucheur dam l'Oise

Une première enquête faite dans l'Oise au sujet de la crise du logement et de l'application de la loi Loucheur a fait ressortir la nécessité de construire dans le plus bref délai i.300 logements ouvriers et 250 maisons 3 loyers moyens. Le conseil général de l'Oise vient de décider d'assurer la garantie départementale pour tous emprunts comnyinaux jusqu'à concurrence de 40%.

Mouillage de lait

Une cultivatrice du Brlot, Mme Eugénie Forchy, qui avait mouillé le lait qu'elle mettait en vente dans la proportion de 30 0/0, vient d'être condamnée par le trtbut/81 de Beauvais Il quinze jours de prison avec sursis et francs d'amende, avec afflcliage de ce jugement.

Un incendie criminel dévaste une ferma Un incendie a éclaté, vers 5 heures du matin, A Fontatne-Bonueleau, a la ferme de la Petite-Forét, appartenant à M. Hector Desmet, cultivateur. Un bâtiment contenant une grosse quantité de récoltes, ainsi que deux faucheuses-lieuses a été la proie des flammes. La maison, habitée par le contremattre, M. Van Aker, a subi le même sort. Quelques Instants avant qu'éclate le sinistre, des ouvriers ont aperçu tout près de la ferme un Individu qui s'est enfui & toutes Jambes, H a été Impossible de le rejoindre. La gendarmerie de Crévecœur enquête. Les dégâts sont évalués francs. SEME

Une moto contre une voiture

Une motocyclette, montée par MM. Segondo Vecchies, mécanicien et son frère. Ricardo, perceur, 49, chemin. des Fillettes Il Saint-Denis, a heurté, avenue Georgesclemenceau, à Nanterre une voiture de maraîcher, conduite par M. François Le Querrec, îo, avenue des Ganlllous, & Croissy-surSeine. Les deux motocyclistes, sérieusement blessés, ont été transportés à l'hûpltal de la Charité.

Coups de feu sur tme auto

Des coups de feu ont été tfrés la nuit dernière. vers minuit, avenue Georges-Clemenceau, à Nanterre, sur l'auto dt' M. Cuchmann, banquier, rue Beaujon, à Parts. Une enquête est ouverte par M. Lambert, commissaire de police.

Une jeune fille brûlée vive

Au domicile de ses parents, 11 bit, rue Raspail, à Saint-Ouen Milp Jeann* Relié, dix-sept ans, préparait de l'encaustique, Il proximité d'un fourneau Il gaz allumé, lorsque l'essence prit feu. Mlle Rellé voulut éteindre les premières flammes, mais ses vêtements prirent feu Il leur tour. A ses cris, sa sœur la roula dans uue couverture. Mais Mite Relié avait été si grièvement atteinte qu'elle succombait Il l'hôpital Bichat peu après son admission. Mort au cimetière

Au cimetière parisien d'Ivry, Ni. Paul Panot, quarante-cinq ans, demeurant 41, rue Jeannc-d'Arc, i Saint-Mandé, s'affaissa soudain, hier matin, au moment où Il se disposait Il fleurir une tombe. Le malbvureux, qu'une embolie venait de frapper, ne tarda pas A' succomber.

Bleué par m obus

Dans l'iMeJlcr de son patron, s, jue de Saint-Mandé, Il Montreur, un ouvrier ébéniste, M. Gustave Gousse, vlngt-quatre ans, 20. sentler des Poiriers, était occupé, hier matin, à démonter un obus rapporté des champs de bataille. Soudain, l'engin fit explosion, blessant grlèvement, sur diverses parties du corps, M Gousse, qui dut être transporté l'hôpita» Saint-Antoine. On repêche un inconnu

Quai de la Varenne. à Saint-Maur. on a retiré hier de la Marne le cadavre d'un inconnu ayant les yeux bandés par un mouchoir et portant Il la chevitle gauche une corde axée Il un pavé. L'homme parait figé d'une cinquantaine d'années. Il reste hors de doute qu'on se trouve en présence d'un suicide.

NANTERRE. Au cours d'une discussion, devant leur domicile, 23, rue de Sartrouville, deux Algériens, BouJ-eani Mohamed et Peckual Mohamed, se sont Trappes mutuellement il coups de couteau.

Les deux adversaires ont été consignés à la Maison départementale, il la disposition de M. Lambert, commissaire de police. CHOISY-LE-ROI. Au début de l'aprésmidi, à l'angle de l'avenue de Versailles et de l'avenare de la République, deux individus ont, pour une cause inconnue, échangé des coups de feu. L'un d'eux, Gaston Kramer, brigadier au Il- dragons, a eu son calot troué par une balle L'autre, nommé Fontaine,, s'est réfugié chez lui, l, avenue de la Marquise, à Orly où, un peu jilus tard, on l'a arrêté.

LE PRE-SAINT-GERVAIS. Rue LedruRollin, un immeuble vétuste vient de recevoir la visite d'architectes municipaux qui décidèrent l'évacuation tmmédiate de cette demeure. En conséquence, par tes soins de la municipalité, les quatre familles qui y résidaient, colportant en tout dix peursonnes, ont été hospitalisées dans des hôtels voisins.

SEINE-ET-MARNE

L'exposition d'horticulture de Coulommiers Sous la présidence de M. Desseint, dépillé, assisté de MM. Paul Prouharam, conseiller général, et Brodard, président de la Société d'agriculture, la Société d'horticulture de l'arrondissement a célébré hier son banquet annuel.

L'après-midi, une foule considérable a visité la très belle exposition de chrysautlièmes, de légumes et de fruits, que la société organisa au théâtre municipal, avec le concours de l'Harmonie et de la Symphonie de l'Association fraternelle, qui donnèrent un brillant concert.

Voici les premiers prix décernés par le Jury grand prix d'honneur, M. Delolsy, à Dammartln-sur-Tigeaux; prix d'honneur, M. DelaUnay, Il Faremoutiers; médallle d'or, M. Lavenchy. à Sainte- Avoye; médaille d'argent. M. Greny, à Nesles.

LAGNY. Un jeune homme qui se donnait comme le flls d'un architecte expert à la Panne (Bergtque) se présentait, ces jours derniers, chez M. Robquin, architecte, 2, rue Victor-Hugo, et réussissait se faire remettre, une certaine somme d'argent en racontant qu'il avait été entUlé a Paris et qu'il n'avait plus d'argent pour se rendre il Reims. Apprenant peu après qu'il avait eu affaire à un escroc, M. Robquin a porté plainte contre cet Individu que l'on recherche.

MOUROUX. Mme Elise Doux, vlngt-hntt ans, cultivatrice à Chéru, qui avait été grièvement blessée, hier, par l'automobile d'un médecin parisien, a succombé il ses blessures.

PROVINS. Résultats des matches de football: A.S. Provlnoisp (1) et FX. de la Marne (i font match nul par 2 Il 2. SE1NE-ET-O1SE

Une mère coupable

t;ne bonne (le restaurant. Julie Carré. demeurant rue Gallieni, a Auell, avait mis au monde, Il y a une dizaine de Jours. un enfant du sexe féminin, né viable, qu'elle avait jeté dans une fosse d'aisance. Avisé par une dénonciation anonyme, M, Maestralli. commissaire de police, arrêta la mère coupable qui lit des aveux. Elle a été écrouée à la prison de Versailles. HEKBLAY. Un cycliste, M. François Larourcade, maçon, avenue de la Gare, passait Il Couflans lorsqu'il fut renversé par une automobile qui le blessa ta tête. Il a été t'amené Il son domicile par Fauteur de MONTESSON. A la suite d'une bagarre qui éclata, l'autre soir, dans un café de la place de l'Eglise, il Conflans, les gendarmes appréhendèrent quatre des antagonistes Pierre Jaouen, demeurant à Chatou; Jean Madec et Aimé Lambert, demeurant à Montesson, et Pierre Poiret, demeurant à Achè-

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LES COURSES HIER A LONGCHAMP. Les résultat PRIX DE PRECY

L Bladf Bcss (A. Esling) M. J.-D. Cohn P 10 > 2. Arbalète (R. Roueille) u » 3. Paray le Monfal (G. Duforez).P 4. Inorest (R Galaurcni). Non placés Célibat (Ch. Sembtat) Menulda (J. Rosso); Derviche (F. Hervé) llonsard <J.-H. Casnier) Sang Dragon (T. Dwyer) Saint Marceaux (C. Vagnat) Mlranda Il (A. Palmer): Bâta vie (W. SlbbriU). 2 long., tête, tête. PRIX D'ERMENOWVIILE

1. The Trait (G. Duforezj ai 50 à M. Octave Homberg 21 50 S. Torfou (Jennings) P 18 3. Cétlne (C. Bouillon) 21 5C 4. Rapld (D. Torterolo). Non placés Toy Toy (W. Slbbritt) Regain (C.-H. sommât) Cheverny (R. Kalseri Gantilllus «< Garner) Goldsmlth (F. Hervé) Jessy (G. Bartholomew) Princesse de Bagdad (E. Chancelier). long., Vi long., 2 long. PRIX DE SAINT-FIRMIN

1. Flèche d'Or (Semblât) a à M. J.-D. Conn •. 2. La Périchole (W. Li3ter) 46 a 3. Lysure (Sharpe) P 35 5t 4. Epinal (A. Eslt-ng). Non placés Poutrhardon (M. Mac Gee) Van der Meei (C. Bouillon) Chef de Gare <E. Chance- lier) Téoflla (D. TOrterolo) Starry (.NI Honaventure) Languette (G. Garner) Christabelle (F. Hervé) La Furia Jen. nings) Le Phalène (A. Dupult). Ion, gueur, long., 1 long. u,

PRIX GLADIATEUR

1. Bouda (A. Sharpe;. G S0 à Si. Henri Temyiick P 10 Si 2. Raisonneur (Semblat).P » 3. Bois Josselyn (il. Allemand) 4. Opintàtre (R. Ferréi. Non placés Llcteur F. Hei-véi Altesse (H. Bontemps). Courte tête, 5 long., loin.

HANDICAP LIMITE

Tea ror Two (A. Dupult) G 6? à M. Jean Stem 19 2. Feb (Bég-ulrlstaln) 20 » 3. Isocrate (Semblât) P 12 50 ̃i. Sapor (F. Rochetti). Non placés Aurelian (A, Esllng) Le Soleil (A. Rabbe); llimar (J. Rosso) Karcotic (F. Hervé) Zagre (C. Bouillon) Ilimac (0. Vatard) Phamton (E. Goldin) Afflito (G. Duforez) La Mauviette II (J. Jennings) Faquin (J. Cornut) Feudat Ladye (H. Vincent) Courageuse (Palmer). Courte tête, 1 1. %,tei«. PRIX DE CONSOLATION

1 Godefroy' IG. Uarner) 47 50 a M. Jean Prat. P il 50 2. Daouau (A. Sharpe.) M a. Royal Banjo (D. Torterolo).P '•> 50 4. Komana (T. Turner). Non placés Sir t.ancelot (A. Esllng) Brlght Morn (H. Bontemps) Courtmlni (J. Peckett) Infaot (M Allemandi princesse Magc (J. Cooke); Le Bourdon (F. Hervé). 5 1., de L, i 1.

AUJOURD'HUI A SAINT-CLOUD, A 13 H. 30 MONTES ET PARTANTS PROBABLES

Prix du Cœur Volant, il ivndre aux enUVt (A. ivresse U% (O. Duforez); Miss Tynguett (11. Montaron); Red Sun 53 (G. Vatardt; Prince Kara ï'i (J. Jennlngsi; Verlaine 53 (G. Ctaruer); Fanfan 111 r>3 (C.-H. SemBlat); Oïpres 51V4 (X.) Aintru -W. Sibbrltt); Stalx) 50 (H. Kai.-ri- r.» (A. Dupuit) Erodion 50 (H. Signorct) Escâîibor 50 (II. l.uquet); Bclfry f,0 (A. tUibbe); Frontalet M (E. Goldin?: Hesle avec Moi M (L. Robsonj; Bilboquet yt (A. Mafrclelatne). Douteux La Cunlluière 48]/j (X.).

Prix de la Bourdaisière, francs, métres. Seule w (A. lisllng;; Abrled 5C% (J, Wiiiklleld) Itose <T. ;>i\,u<s', Cigarette MVà (F. Hervé); Hydrophile 55 (E. Chancelier); Prince du Sang Il 54 (A. Elsensolui); Fioriture 52% (L. King; Jersey M'A (R. Kaiser); Mgssabit'lle ù-Pk (K. Iloare. Marcigny 52 (X.); Pslmoutll 52 tT. Turueri ii:ar 3i (J.-H. GaMien; Martyr 52 f.C.-H. Semblât); Phtléas Fogg (M. Dallery); Léopanlus oi (W. sibbritts; Pilou (A. Kabbe;; Saint GUdus 52 (d. l'iiilipiis*; Grelot d'Argent 52 (R. (ïennoniD; Alaclin id (U. vatorw, Ascot (R. Hretun); Struma 50% (A. l'almen La Magisirate 50% (C. Bouillon); The Voilier (M. Dairé); Régente 50>i (W. Lister-: La Farldondalne >,J. iinssoi; Jus ."ai'- (F. RoclK'ttt); Sisygauioi» jdv- (A. Dibus;. Douteux Pharos (X.; FarakabaU 50% (X.).

Prix d'Evreux, à vendre aux enchères, lO.oOo francs, t.600 mètres. Mastaba 58 (M. Bonaveinure); Hâbleuse (C. Herbert, Fée Itïsette (C. Herbert); Alcmène (E. Kottequin); Tflale-S (H. Docnaletche; Ilégulier 55 (J.Jenningsi; ltadaniès i 1 .un. (ialvautieiir (U. Durerez) orange Drops 53% (0. llartholomew, La i.auverjaî 53% (C.-H. Semblât;; U'i'uls 52 ChautTour Lido (W. sibbritt) Hat Lu (G. Jouvinj; La Liiclie 111 ."iOVj Diez;; Vierge (II. Trumeau.: Gibson (Jirl J. linsso).

Prix de Flore. fr.. 3.100 m. Roabouga 59 (G. Garnerl; Larsy 5V G. Duforezj; Gratis 55 (A. lisling); Foldy 53 iW. Slbbritt Erlca 53 (A. S,harpe) Lilybee â3 (E. Chancelier) Costette 53 IW. Lister); Boccbetta S3 (C. Bouillon); L'OIlvète 55 Sainte Maudane 55 (C.-H. Semblât).

Prix de Langé, liauitn-ai), fr.. 2.800 ni. Occam, (A. Esiing) Réparsac (F. Hervé) Suroît (D. Torterolo Famélique (H, Kaiser); Oronte 5S (G. Kréel): Dinardais 52 (J. Jennmgsj; Cbarrua ifi. fiez): Lady Bird 51 (W. Sibbritt); Kilfare r.i (C.-H. Semblat); Muscat 5t (F. Rociietti;; Cédi* Bleu 50% (C. Bouillon); Pesraro (T. Dwyer); Termint 50 (G. Duforez); Audorra (H. Signoreti; Ma Chérie 40 (E. Ooldin.: Balboa 47 (G. Vatard); Carnavalet 46 (J. Frigoul<; Floréal Il u (J. Rosso,; Lanrete 42 (J. Lee): Aymado 42 (R. Breton); hidme 40 (L. Robson).

Prix Mont Bernina, fr., m. Pèlerin 54 (C. Vagnat); Pas de Loup M (R. Ferré); Les Champlevots 54 (R. Ferré); Rodrigue 54 (X.); Meeting 54 (E. Chancelier): L« -Yacht M (A. Rabbei; Malmesbury (C. Bouillon); Raymond 54 (F. Rovellai; Bicoque Il (E. HoareJ; Grande Duchesse (A. Etsensohn); Embardée (G. Vatard) Hâbleuse 52% (C. Iierbert); Terre Rouge 52% (X.); Libertin VIII 52 (A. Duputt) Acrobate 52 (G. Bartholomewi Paris Voyeur 52 (A. TMbos); Lilas 52 (R. Kalseri; Savarin 52 (R. Vincent); Gualantuomo 52 (C. Sautour); Bibron 52 (F. Sampsoni; Rôdeuse 50% (F. Rochetti); Eyma (E. Hoare). NOS PRONOSTICS

Prix du Cœur 0olant Fautan III, Miss Tynguett.

Prix de la Bonrdaisière Leopardus, La Haglstrate.

Prix a'Evreux Mastaba, Galvaudeur. Prix de Flore Sainte Mandane, Boocbetta. Prix de Langé Suroit, Famélique.

Prix Mout Bernina Meeting, Ec. Beauvals.

GAUDIER

REMBAUX

AUUNOVE- NORD

MONUMENTS FUNÉRAIRES Un mo*ument funéraire eon être «npenssaDle Confiez-la a une maisor ancienne, spécialisée loin Ittani A ut «nui» m cranracitim sm Masot loi Isismn rintrtjriM du «imrasjt ses im> ̃nwrtw


LES CHAMPIONS DE FORCE AU GYMNASE VOLTAIRE Rigoulout et Hostin ont batta chacun

deux rtcprdt du monde

lliut" apros-inUli, au gymnase YolUiiros, Fédération Française des Poids et Hai[̃03 a donné uue grande réunion spor* 1,\e <?u l'honneur du champion olympique, Roger François, et (Je ses caniaiM- <! 06 HosUn et Arnoud, qui se distinguè-

i nt également à Amsterdam. O.te m"i:i'ef>Hion, placée sous la pres ̃. viec-présl,i .i>puti59, avait i|tii

II: J v.i, iî. pulll' lOUr.

i '̃̃-•'̃ c0""constitué ji.'ir .w i.'xinLiitiont; ifs chartes Higoulot et de Hostiu qui batlin-mt chacun deux records Un inonde. Rigoulot réussit, en effet. ,*i IuHi- lu t cord fie l'arrache1 a deuv !̃ •; i\iv •tu kilos (ancien .,¡, celui de l'épaulé et jetô avec itft) kilos (ancien record, kilos DOO). Quant à Hostin. il battit ̃•gaiement propre record do l'arraché deux liras, avec 11 i kilos 500 (ancien record. di2 kilos 500). et celui de lY-paulô ot Vtô avec 145 kilos 500 le record précé'.Hit kilos 500. était détenu par Hostin et, l'Egyptien Nosseïr. Rivière, de '!̃̃>. iL également un record de y j:r.x 'ui de l'arraché adroite avec b kilos j«t) (ancien record, 05 kilos).

Apres les exercices aux uarre» jkuai1',les des Solbaeh, Courson et Carlot, <l.'ï3 Touristes do Suresnes, l'on applaudit l'assaut do iïeuret entra lo maître Iiaussy, champion de France professionnel, fst M. Spinosi, i't à celui 1¡ l'épée de comb.it antre MM. Banr et Barmann. Ce dernier battit hou par dix toucha il, tsis. Ces d':ux assauts ttaiunt arbites

Les deux recordmen: Riqoulot • et Hostiu

y.i. le. champion olympique Lucien Gaudiu, qui fut chaudement acclamé. Mctcttcs ̃-)' frit trois mouvements (déceloppé à doux braj, arraclié à deux bras. Épaulé et jeté). Poids kiirer i. Jeauroy (C.A.P.), kilos 500 2. Moreau <C.A.P.>, kilos. Poids moyens i. Le Put S.A.M.), 205 kilos S. Courgnlau (-.A.M.), *vj kilo». Poids lourds Fouré is.A.M.j, -kilos; s -Montigiion (H.a.m.. ̃̃!>••> KiHostin 'mi-lourd). 35U kilos Rigonlut lonW* i^'êcWles}. 407 VilOS

Des Il poids lourds au Cirque de Pans Les sportsmen parisiens qui ont touuiiu's préféré les combats de poids vont avoir satisfaction cette fois vec le programma que le promoter JcŒ Uickeo'n a mis sur pied à leur intention ̃•t qui se déroulera demain soir au Cirque de Paris.

Ted Sandwina, Giverny, Jloret, Nicolaïeff, Primo Carnera et Rugirello sont autant de bons géants qui vont dans le ring de l'élégante arène se livrer à trois rudes batailles. Le premier qui n'est butro que le fi!3 do la célèbre femme mthlète Mme Sandwina, présentée pendant de longues années par Barnumsous ton titre de la a Femme Canon ». fera ses idébuts à Paris devant Giverny. C'est un «thiète magnifique dont le match sera •uivi avec intérêt.

Primo Carnera, une fois de plus, remportera par sa taille et sa puissance, son i'iii- une tache difficile.

BOXE. Va Central Sporting Club. Hij~ultatâ de la mstinOu d'hier Eu S rounds, narras bat Jim AK-x mx points. Tassait DSt \i;iurice Georarp-* aux poinK. Aiikhho et Car!l'on fout matcii nul.

l'il 1U rounds, Yourj? bat Potier aux [,ami6. bat Bracqbieu (aw'èt tic l'ariiltr<> au ciuqiilùnic round, li'ijartlm bat Moment aux points (déci- -roc). Bus-m bat Slmhau k. au r-ound. Demain, en .-oinje moyens rranct et Géo Brt.sjof et lo cract italien l'etrarca contre Ftugêre.

̃>7 Feuilleton du Petit Parisien, 29-1O-28 La Hutte 5 GR1VD ROMAX INÉDIT DEUXIÈME PARTIE

V (suite)

La voix de Trochut ne fut plud qu'un murmurer de drôles La sœur r1'Hurtot a tenu de drôles de propos. Je n'y crois pas, bleu antenda Je vous répète ce qu'on dit, voilà tout 1 J'aime pas à parler de ça avec les gens du pays, ils sont trop »êtes! 1 Muls voue, vous êtes pas du patelin et vous m'êtes sympathique, alors je me déboutonne.

D est lamentable de faire peser des soupçons aussi ridicules sur une personne parfaitement Innocente '1 «le Trocbut accusa une contrariété toui-tiante. Désolé d'avoir déplu à son client. il larmoya

Je ne dis plus rien .le suis une t>Oie 1 Bien sur que vous étes plus au courant que moi de tout ça, puisque vous êtes un ami du château

Il ne pas de ça Vous dites îles bêtises, reprit Corde avec vivacité. \*& personne dont vous Parlez n'a pas pu commettre le crime, puisqu'elle était au château lorsqu'il s'est produit. Je ne dis pas le contraire

Elle aurait pu. évidemment, le ctvoyriirnt ov Je*n Faber 122s. Trartucùon reproduction tmersines en tons vi$i.

LE CHAMPIONNAT DE, PARIS DE FOOTBALL

Le C. A. XIVe bat le Racîor

Le mauvais temps nuisit considérabloment au match de football qui opposait, au stade de Colombes, lo C. A. du XIV au Racine Club de France pour le .championnat de 'Paris. Peu de spectateurs assistèrent à la victoire des MontTouRîens par 4 buts 1 A la mi-temps,

Un arrière (lit C. A. XIV- dégage

ies équipes se trouvaient ;'i égalité, ayant marqué chacune un but.

Au début de 1a rencontre, le Racinq accule le C. A. XIVe dans ses buta, mais, après un quart d'heure de jeu. Montrous-e se ressaisit et fait jeu égal. A" la vingt-cinquième minute, Roques marque le premier but, donnant l'avantaze au C. A. XIV et il 11 fin de cette mi-temps, ltontgailiard égalise pour le Racing.

En deuxième mi-temps, le C. A. XIV* prend délibérément l'avantage et Ulloa, Roques et Auribault marquent successivement tandis quo le Racing ne peut arriver à marquer.

Dans les dernières minutes, le Racing Club do France sa reprend maie ees attaques sont arrêtées par la défense du C. A. XIV.

Le Red Star bat le C. A. Paris

Il ne pouvait être question de voir le Red Star et le C. A. P. qui évoluaient sur la patinoire du Stade de Paris fournir le jeu brillant qui a fait la réputation des deux équipes. L'état lamentable du terrain nuisit la beauté de la rencontre, et les joueurs commirent de nombreuses maladresses. La partie fut cependant fertile en émotions, et, si elle Tut parfois durement jouée, elle tint longtemps en haleine les spectateurs dans l'attente du résultat. Finalement, le Red Star triompha par 3 buts (Fenamorc 1, Turpaud 2) a 2 (Lanaiilier, Queutier)v après avoir mené Li la mitemps par 3 buts à 0.

Le Red Star sut mieux s'adapter aux circonstances et se montra dans l'ensemble plus dangereux ses joueurs parurent plus a l'aise sur le terrain glissant et se montrèrent plus capables de tromper la vigilance des défenseurs adverses.

En première mi-temps, les joueurs audoniens multiplièrent leurs offensives et parvinrent au repos avec un avantage do 3 buta, obtenus sur une défense quelque peu incertaine.

La reprise vît un beau réveil des capistes qui avaient paru, au début de la partie, mésestimer quelque peu leurs adversaires: ils jouèrent dans la seconde partie d'>, la rencontre avec une plus grande volonté. Quoique privés de leur avait-centre Bertrand, Ils purent remonter leur handicap et marquèrent deux beaux buts.

Uno descente de Jean Laurent sembla devoir se terminer heureusement pour les joueurs du C. A. P. mais une intervention assez irrégulièro de Wartel vint réduire à néant leurs espoirs. A la surprise générale, l'arbitre n'accorda pas la sanction qui paraissait alors nécessaire. Dès loris, malgré de beaux efforts. le C. A. P. ne put arrache;1 le match nul. Le C. A. S. G. battu .par le « Club C'est en présenco d'un très petit nombre de spectateurs que s'est disputé, a Buffalo, le match mettant aux prises le Ciub Athiétique des Sports Généraux et le Club Français.

Maigre l'état du terrain détrempé et très lourd, la partie débuta à toute allure. La technique et la 'précision s'affirmèrent immédiatement supérieures du côté du Ciub Français, qui marqua son premier but cinq minutes après le début du match.

Malgré leur ardeur, trop souvent désordonnée d'ailleurs, les Généraux ne purent éviter que la supériorité de leurs adversaires se traduisit peu après par la marque d'un deuxième but. Les avants de la Générale, niai soutenue par leurs demis qui se conflnaient trop dans un rôle défensif. virent alors chacune de leurs échappées impitoyablement arrêtées par les arrières adverses.

Les attaquants du Olub, au contraire, vivement poussés et contrôlant excellemment une balle glissante, furent constamment dangereux. Ils ne purent jamais néanmoins parvenir il augmenter leur marque avant le repos.

Le début de la reprise vit une sérieuse réaction de la Générale. Barvillo parvint m£me il marquer un but refuse pour hors-jeu.

Peu après, la rapidité du jeu décrut, en raison de la fatigue qui se faisait jour chez quelques joueurs. Cette fatiguo fut le plus rapidement évidente chez les joueurs du C. A. S. G., qui en arri-

faire commettre par quelqu'un, continua Corde d'un ton démonstratif, mais il eût fallu pour cela que ce quelqu'un lui fût tout dévoué ou qu'il eût intérêt et la disparition d'Hurtot. Eh bien 1 permettez-mol de vous dire, mon cher monsieur Trochut, que si ce quelqu'un avait existé dans un pays comme le vôtre, où fon s'espionne mutuellement, le monsieur aurait été désigné instantanément

Trochut parut quelque peu démonté par cette démonstration. A deux ou trois reprises, il répéta

Bleu sur. bien sûr.

On ne connaît, n'est-ce pas, insista Corde, aucune liaison à Mme Hurtot ? Elle n'a jamais fait parler d'elle V Trochut hésita une seconde. Sa grosse tête se balança sur ses épaules comme une pendule, puis se décidant brusquement, il répondit

Depuis son mariage, bien sûr, mais tout de même, on n'a jamais su, dans le pays, ce que c'était que cette femme,S'il fallait que tous les gens qui viennent dans votre patelin soient obligés d'exposer sur la place publique d'où ils viennent, a quelle famille ils appartiennent et toutes leurs affaires personnelles, ce serait vraiment ahurissant 1

A la campagne, ou aime bien savoir à qni l'on a affaire 1

Mo Hurtot aurait dû sans doute organiser un référendum dans le village avant de prendre flemme dit Corde sur un ton amer.

Vous b!as<i« Mais tout de même

vcrent à se laisser complètement manœuvrer. Deux nouveaux buts furent alors marqués par la Club.

Sans so décourager, les Généraux fournireut un dernier effort, mais ne réussirent qu'à sa montrer parfois menaçante, sans parvenir il marquer, Finalement, 18 Club Français battit le C. A. S. G. par i bute h 0.

Match remis

Ln match qtd devait opposer au stade de Saint-Jlandé, l'Union Sportive Suisse au Stade Franrais, a ébi remls par décision de l'arbitre en raison de l'impraticabilité du terrain par suite de la pluie. Le classement

.A !.i suite, des inatchcs dispute hier, lo classement du championnat parisien eet fe suivant

Club Français. 13 points; U. S. Suisse. 10 points C. A. XIVe, 10 points C. A. Paris, poinla Hed Star, 9 points Stade Français, S points Racing Club de France. 7 points; C. A. S. G., 6 points. Il convient de noterqua le C. A. P., le Racing, le Stade et l'U. S. Suisse ont un match ds que leurs adversaires.

FOOTBALL. Dans les départements A Elbauf, Stade HavraU bat C. A. SalntAubin, 4 buts a 1.

Au Ifaere, Havre A. C. bat F. C. Dieppe, 2 buts h 0.

A Quevilty, F. C. Rouen bat tt. S. Quevilly, 5 buta 3.

A Dunkerque, U. K. Dunkerque-Malo et U. S. Tourcoing1 font match nul, t but à 1. A Amiens, Amteas A. C. bat E. C. Tourcoing, 7 buts à 0.

A Butiy, E. S. Bully bat R. C. Arra3, 3 buts il i.

A Calais R. C. Calais et. Olympique Lillois, font match nul 2 buts à 2.

A Raubaix, R. C. Roubaix bat U. S. Boulogne, 2 buts a 1.

A Strasbourg, 1t. S. Strasbourg bat S. S. Mulhouse-Dornach, s buts k i.

A Craffenstaden, F. C. Graffenstadan et A. S. Strasbourg font match nul, 2 buta a 2. A Haguenau, F. C. Haguenau bat R. C. Strasbourg, t but à 0.

A Mulhouse, V. C. Mulhouse bat P. C. Biscliwlller, 4 buts à 0.

A Cherbourg, Dépôt de la Flotte bat flottlile, 4 buts fi i Ecole .des Courriers bat Déferse fixe, 2 buts à 1.

A 0. Caennals' Oat Bas Normand. 3 buts il 1.

A Vire, A. S. Stella Cherbourg bat S.C.U. Pirois, 9 buts à t.

A Nancy, C. A. Mcssin bat S. U. Lorrain Nancy, 2 buts a 1.

A Forbach, U. S. rorbach bat U. S. T Wonville, a buts

A Metz, A. S. Messine bat S. 8. R. petite Bosselle, 5 buts à 3.

A Remiremont, A. S. Remiremont bat U.S. Tbaon, 1 but A 0.

A Ucaunn, U. S. Beause bat Eveil Sportif Dijon, 6 buta

A 6'è/Cj S. C. Slinos bat F. C. Sèle, I but EN RUGBY, HENDAYE BAT LE C. A. S. G.

Au bladi! Jean-Bouiu, w match ami- cal, le C. A. S. G. rencontrait le Stade Hendayais. La pluie gêna particulièrement cette belle partis, mais, malgré tout, les Basques, qui avalent eu un détiut difficile, se ressaisirent et flrent de leur mieux pour faira du beau jeu, Ils furent d'ailleurs particulièrement applaudis par les cinq mille spectateurs qui s'étaient rendus au stade. La partie se termina à leur avantage, puisqu'ils triomphèrent par Il points (3 essais, 1 but) à points ;1 essal Maupain). Le coup d'envoi est pour le Stade Hen.dayais qui, d'emblée, malgré k\ balle

Une touche courto à Farantage du C. A. S, d. glissante, essaie de jouer à la main les généraux de leur côté, jouent au pied. Après un quart d'heure de jeu, un des Basques, un peu bousculé, se dégage par des dnlibUngs que termine un essai en coin. Le but n'est pas réussi. Durant tout le reste de cette mi-temps, !o jeu se concentre au centre du terrain, où touches et mêlées vont se succéder sans arrêt.

Dès la reprise, la bagarre continue au pied, et Maugaia marque un essai pour 10 C. A. S. G.

Sur une contre-attaque, Lafourcade, d'Hendaye, marque ensuite pour les Basques, puis Il domine continuellement et réussit un nouvel essai au centre du terrain. Pardo transforme.

La fin est 6iffléo peu aprt'6 au centre du terrain.

ce mariage n'a pas été ordinaire. Une jolie fille n'arrive pas dans un pays pour venir s'enfermer, sans jamais sortir, dans une petite maison et aller se marier, quelques mois après, il Paris, avec un bonhomme comme Hurtot. Bien des mariages se font a l'Impromptu et le hasard est un grand maître 1

Tout de même, c'était un drôle de ménage. Hurtot ne devait pas aimer beaucoup sa femme puisqu'il avait des maîtresses dans tons les coins. Et puis, il avait laissé tout son mobilier au nom de sa sœur et le juge de paix u'a trouvé aucune valeur dans la maison. Tout ce qu'il possédait était sûrement passé entre les mains de la Clotllde Dans ces conditions, dit Corde, if serait beaucoup plus logique de penser supposer que la mort d'Hurtot soit le résultat d'un drame da famille que l'inspiratrice ait été Clotilde Hurtot, puisqu'elle en était la bénéficiaire.

Encore une fois Trocliut resta abasourdi devant la logique de Corde. Eh bien dit-il, v'ia une chose a laquelte personne n'avait pensé Puls se reprenant. il secoua la tête et affirma

Non, ce Ferait invraisemblable. mie avait élevé son frère, cette filie-là._Elle l'atmait trop.

Qui sait si la haine qu'elle avait pour sa belle-scenr ne l'a pas poussée à raire assassiner son' frère Vous me direz que mes suppositions sont abracadabrantes ? Pas pins que les vôtres, mon cher monsieur Trochut.

LA COURSE DE COTE DEGOMETZ-LE-CHATEL In-Cliâtol pour là fois pu- l'A. C. I. F. et l'A. M. C. F., fut gratinée cette année d'un teu>|>ri épouvantable..

qui

Lambert,

qui a fait le meilleur temps de la Journée Ci7r le matin 0. 9 heures ne purcnt avoir lieu, Ja pluie tombant sans arrêt. Les organisateurs décidèrent d'attendre et de les reporter a l'après-midi.

A Il heures, les concurrents se piésentèrent assez nombreux. Malgré la pluie diluvienne, et la route détrempée la course eut lieu.

La fameuse rampe de 1 kilomètre fut escaladée sous l'avise, et, malgré les circonstances défavorables. le record de la l'ôh; fut battu par Lambert .«m* moto 1.000 cille. en 31' il la moyenne horaire de km. L'ancien record était détenu par Massé en 32" 2/5. Le meilleur temps des voitures de course fut effectué par Mme Jennky, en H" 3/5, à la moyenne horaire de 104 km. 010.

Vingt-huit concurrents terminérent dont voici les résultats

i' 10" 1/5 (moytuue K 1cm. MO) 2. Robert. Mutas 125 cmc.: 1. ravre (Motû-necurcl!, r i7" 3/j .moyenne 46 km. 640). Motos 1, cmc: i. Sourdot (Monet-Goyon- •45'' 1/5 (moyenne 70 km. 6M).

Motos 250 cme. '̃ i. Coulon (Terrot), 41" s/5 (moyenne 86 lun.

Motos 350 ciac: 1. Monneret (Sunbeain), 3t" 3/5 (moyenne lui km. ûiû) a. Hauijualra 3. Coulou.

Motos 500 ente.: I. Francisques (5unbeam), imoyenno îuo Km. o'Jfl) i. Kiciianl S. Merle.

Motos 1.000 cmc.: 1. Lambert (D. S. Malterre), 1/5 (sjoyenne H5 km. 3SO). Sidecai's 350 cnte.: l. Homiaalre (Mcmet«oyonï, 4.V 4/5 (moyenne km. 2. Coulon.

Cyvlecars 350 cmc. 1. Ciiéret (Austral), 55" (moyenne 64 km. 510).

Voituras de course 750 cnc.: i. Dumoret (Slma- Violet), 2/5 (moyenne 64 Ion. S80). Voitures de course cmc.: i. Oirautl- Cabantous (Salmson), i/5 (moyenne 101 km. 2. Bourbon 3. Lafont, l'allures de cotante i.500 cme.; 1. Mme Selielle (Bugrattt), 42" 3/5 (moy. 84 km. 5M). Voitures de course 2 litres: 1. Mme Jennky (Bugatti\ 3i" (moyenne loi km. moi Voitures de sport 1.1D0 cmc.: i. Girattit- Cabantuuj (Snlmi-on), S7" (raoy. i/; km. 2. Leplcard.

Voitures de sport cmc: 1. Grégoire (Tracta), l" là" 2/5 (moyenne 45 km. Voitures de sport 2 litres 1. Bu3slennt! (Stzalre;, l' 2" (moyenne km. 060). Terrot triomphe à Carets

S'il fut une course difficile, ce fut uien celle qui se disputa hier sur la côte de Gometz-le-Chatel. Et Terrot triompha. En catégorie 250 cmc., Coulon réalisa le tcrnps merveilleux do 41" 3/5, soutenant la vitesse moyenne fantastique de 86 km. 5'iû ;1 l'heure, eur une route glissante. Véritablement, !a Terrot, reine ds la côte, est aussi ln reine de la route.

LA FÊTE ATHLÉTIQUE DE NICE EST REPORTÉE_AU_ler NOVEMBRE :'lice, 28 octobre (dép. Petit Parisien.) La grande fête d'éducation physicpie, organisée par im soins de M. Lattes, président de l'Uniou des sociétés d'éducation physique et de préparation au service militaire de Franco et des Colonies, qui devait avoir lieu aujourd'hui, a été reportée au 1" novembre.

ESCHIME. Cher: les scolaires. Au lycée Conaorcot l'remlere poule (seniors, fleuret) 1. Chauvin (Lakanal) Simou IConctorcet) 3. Clauzicr. (Alsacienne). Deuxième poute (seniors, fleuret) l, Georgv.a Lcvy (Condoreet) 2. Simon (Coudorcei.) 3. CJauzier .(Alsacienne).

Troisième poule (Juniors, Ueiwet) CsdJC (nollill) 2. fle'SiS (RollUi) Mlcliel (Condorcet).

Quatrième poule (seniors, flwirct) 1. Crivaud (Janson) 2. R. Léo (Rollln) 3. Hleftartl (Conaorcet).

Cinquième poule (lamot1;, flt?uret) 1. Yen Houie (Condoreet) 2. (Condorent) 3. Compepas (Condorcot).

SIstème poule (seniors, fleuri:!) 1. Oeorires Lévy (Condorcet) S. Gultlcvitcli (Boliin) 3. Aqualre (Saint-Louis).

Septième poule (mixte, Crée) i. Jîolici {UakanlD ?. Kantor (lnkanat) 3. vx o>quo Aqualre (balut-Louis), Maireïse (RoIlin), Cadic (ItolUii), GalUeritcU (RoUU))'. H00KET. Le Championnat de Paris. Standard Athlétic Club bat le Colfarâ club par fi il .1; Stade français bat U. s. Ar(fnnteuit par 3 il 0 et Tennis Club de Piiri*C. A. nosalro font match nul, û A U.

Le cabaretier hocha la tête sans répondre et Corde ayant achevé son dîner qui n'avait comporté, après la salade, qu'un morceau de fromage, bourra sa pipe.

Vous retournez il la pêche demain? demanda Trochut.

Certainement J'en veux prendre une indigestion Appelez-moi il sept heures du matin, sans fauta

Veinard Je voudrais bien Gtre h votre place SI

VI

Un brouillard glacial s'attardait sur l'étang. Des grives éveillées volaient d'un bord à l'autre et des poules d'eau piquetaient le silence de leurs piongeons furtifs,

Depuis plus d'une demi-heure, une canne à. pêche à la main, Corde suivait la rive du premier étang en lonçant en vain sa ligne nu bord des bancs de roseaux.

Abandonnant ta place, il reprit l'aliée qui suivait la droite de l'étang, atteignit la digne, la dépassa et s'arrêta en bordure d'un pré bas que coupaient de petits canaux, repaires habituels des poissons chasseurs.

Promené par sa main experte, son « vif explora les goulets de chacune de ces coupures, mais nulle attaque de brochet ne répondit il ses avances. Il reprit sa marche pour atteindre de larges épaisseurs de joncs, qui s'étendaient cent mètres de là, devant nn petit bois dout le taillis bordait l'étang. Le démarrage brusque d'un lapin le Gt tressalllr. Un éxla,ir taché de blanc passa devnot inl sur sa gauche, tandis

LES ÉPREUVES DU "PETIT PARISIEN"

L'ELIMINATOIRE PARISIENNE DU GRAND PRIX DE L'ARMISTICE Victoire de Delamare

mauvais temi^, U ii.'ui'; tombant sjus uri'i* pondant- l'épreuve, en ù Arfronleuil, avec le concoure du Petit Parisien, la dernière éliminatoire parisienne du Grand Prix do l'Annisticc.

L'épreuve bù dis|ini.i mit un circuit uV 1C km. 700 à parcourir trois fois, soit 50 kilomètres, alln de qualifier quinze marcheurs qui, avec le gagnant du Marathon et les concurrents désignés à la suite des éliminatoires de province, la grand»; épreuve du i 1 novembre. La Hi.irwlie d'iiler a vivement intértissé Ii?6 populations des localités traversées Sartrouville, Dezom1, Argenteuil. Hélas le mauviiiri •ti>.mp« fit abandonncr nombre ilô marclieiu's, et ceux qui linirent l'onreuvo ont droit à tout; les éloges pour leur courage extraordinaire, pour ioup endurance jamais en défaut. Le départ fut donné à 10 heures par le commissaire de police d'Argenteuil, qui avait aimablement, après un service d'ordre Impeccable, facilité 1rs épreuve du contrôle.

Au dtHiui.. LercnarJ Ià'cha sa? concurrents. Il ptiHea, il la lin du premier tour, aveo 300 mètres d'avance sur ses suivants, Pariset et Basquet. couvrant les 1C> lau. 700 en t b. 30' Nombre de marcheuvis ^'arrêtèrent au contrôle, transis de froid. Le docteur Corbler. qui dirigea, avec dévouement et compétence, lo service médical, remit la plupart des 1 défaillants en état. Cependant, Lerenard abandonna dans la deuxième boucle, laissant la première place il. Paris et qui, peu après, s'arrêtait également.

Au deuxième passage, il y avait enaoro 52 coivciUTente en courei.1. Delamaro passait premle! ayant. couvert les 33 kilomètres en 3 Il. 19' ÎT, suivi de Tronni à six minutes et de Chassainjç.

Au troisième tour, Delamare maintint son allure souple. Il conserva, la promièro pince sur Delhomniii, qui. dans un bel effort soutenu, revint, pour finir à deux minutes du vainqueur. Classement

1. Delamare,' en 0 h. ti' -îb".

2. Delhommé, en D ii. 14' lsi" a. Trotiel S. Bunoust 5. Leyman C. Chaiâ.Un? Ceorg-es 7. Serraiu 8. Demorivalle i). Germain; 10. Roll; 11. Chassai ng Marcel VI. Borrel 13. lsianaute-r u. Thomas f Drouiu lts. Dufrenoy 17. î'v'igwin

Selamare

Morui 22. Lemoulmier S3. Duboi3 m. Lautler S5. Henri Lucien.

Ni. la comte de Fels, député de Se!ueet-Otse, qui s'intéressa vivement Il !'épreuve, offrit un prix qui a été alloué à Serrain, premier de lx catégorie des combattante.

LE DES «SPORTS Le plu fort tirage des hebdomedaires sportif» Voir cette semant

L'INCOMPARABLE RIGOULOT BAT DE NOUVEAUX RECORDS LE CHAMPIONNAT DE PARIS DE FOOTBALL

DEUX MATCHES AMICAUX DE RUGBY LA COURSE DE GOMETZ-LE-CHATEL JEAN LAFFINEUR BAT DARTON LE SALON DU CYCLE

Des échos. Des anecdotes.

TOUTES LES ACTUALITÉS SPORTIVES PRISONNIER DES SIDIS

roman inédit par Hervé Trémazan

Le numéro 75 centimes

18. rue d'Enghien, Paris-10'

que sur si droite un coq faisan s'enlevait lourdement en lançant un gloussement d'appel. Un peu plus loin, l'envol simultané d'une bande de petites grives froufrouta. Aucun désir de chasse ne posséda pourtant le pêcheur dans cette solitude peuplée de bêtes.

A cinquante mètres de la, le bots reculait » et l'étang s'incurvait en face d'une clairière, pour former une anse profonde. Fatigué de sa « pêche marchante Corde s'arrêta, mit sa ligne à fond et attendit.

Cette halte, où il demeurait totalement Inactif eu face do sa ligne immobile, l'obligeait tout coup à penser. Les propos tenus la veille, par le cabaretier Trochut remontèrent brusquement il la surface de s2 mémoire. Arraché a sa tranquillité par cet Intempestif rapil il souffrit de ceux qui concernaient le pnssé de Mme Hurtot et se posa à lui-même des questions insolubles. Qu'était-elle venue faire, dans cette solitude, avant son mariage ? Qui l'y avait conduite ? Pourquoi ne sortaitelle pns dans le village ? Pourquoi nvait-elle vécu dans une telle réclusion? Pourquoi, cnlin. avait-elle consenti il épouser Hurtot ?

Le petit pavillon perdu au fond du pare, dont lui avait parlé le cabaretier. devait se trouver quelque part sur sa droite. Qui sait si sa vue ne lui apprendrait pas ou ne lui suggérerait pas quelque chose ?

Il se promit d'aller le visiter.

Brusquement, son flotteur plongea, puis s'Immobilisa sur le fond. Uepris par sa paesion de r>0etie<ir, Corde cessa

LE CHAMPIONNAT DE LA VIE CHÈRE Il ET CELDI DES Il VIEUX JETONS"

le départ des du championnat de la chère le vainqueur de la « Vie chère ̃̃> a u droite., quelques « Vieux Jetons a 1 arrive

La commune libre du Vieux-Montmartre avait organisé, hier matin, dans ses Etats, avre le concours du Petit Parisien, deux amusinfes épreuves pédestres, ou;

̃^ prirent p •̃'̃ jiiuïieurs :?r;»ei3ec, le dipart fut donné par M. Provost, au Moulln-Rougo. Les concurrents. °:i culottes courtes, leur maillol; collé I r.)r le corps :iar la pluio battnnte, par-M'.irurent a leAle allma les six Kilornêtres du parcours, empruntant le noij'.evird de Ollchy, le boulevard Hoj r'ifjcli'juart. la. rua du Mont-Genis, etc., l'arrivée.

M. Maurit"! hricheisbercli gfijfna. celio ''preuve et reçut en récompense un filet le provisions si bien garnI qu'il lui pernettra certainement de latter aveo sucoàs contre la vie cliêre pendant plusieurs jouiB. Enfin. vers 10 h. 30. la seconde «preuve, dite des «Vieux Jetons », réîcrvée aux citoyens de !et ̃•̃̃'mmune libre ayant plus de quarante ans, s'est courue sur deux cents mètres, pbcà du Tertre. Le départ de cette coups'ï fut donnée par la srracieuaa muée (le Montmartre. Selon le règlement, les concurrents durent 3'arreter dix fois sur le parcours. et, à cliacrue arréf, vider dans 11:1 ciftf

VICTOIRES AU VEL' D'HIV DE BERGAMINI ET MOELLER La mauvais temps avait incitû hi'.™ plein air pour venir se réfugier an Vélodrome d'Hiver. Ils furent nombreux, car la vaste enceinte était comble. Résultats

''•jttrse de tripieltes t. coiulci'-HebourDevolssoti-v; 5. Doion!ie1n-Merci>rott-Mep(r •J. Chocque père et Ills-Coml3otnloiiï. Covrse de 1rrimes (5 km.) I. An^cl, en T 50" S. I.asbordês 3. Miraude. Courre scratch (2 km.) 1. Gilifoerli 2. LngTls S. Lévelllé.

llamliraji du kilomètre i. Lnnolnc, ;O).. Wetss 2. 'Callbux S. ItlOeyre i. Henri Pierre.

Course individuel In {" Tan. 1 Iv moine ?. Knudàcn 3. Guyard.

Match Omnium. Pi'ùjnif-iV manclie

(s Km. su») i. HicDii, la points v. l,iliai-1, 9 pointa y. Wambst. 6 Points i. Ch. ,'Pélissler, ;¡ ];Joint! Deuxième man.ebo (course-poursuitfi) i. tinarl 2. niclilf. rejoint s CD. Pêllssler, reJoiQl 4. Wambâi. rejoint. Troisième manche (2D km. derrière triplettes) 1. Wamb.it, il' Î7" 4/5 Ricllli. à 200 mètres Linaii, k métrés 4. Cù. à a :iôo mètres. Classement yénér: 1. Hlchll, 5 poinls s. Linarl. o* point? :t. Wamljst, 8 pointa 4. Ch. Péli^sler, Il jiolnti. Match international de vitesse. Première manche (1.000 metres) 1.' Leone 2. Bergamini, a 1/i de roue; :J. Mourand, i i longueur. Deuxième marche (7S0 mètres) 1. Berg^mint il. Mourand, a 10 centimètres 3. Leone, il 10 centimètres. Troisièmu mancho (500 mètres) i. Bergomlni 2. Mouraud, à 1/4 de roue 3. Leene, route. Classement général: 1. Ber-gamlnl, 6 points i. 7 7 points; J. Mourand, 7 points.

Pnu Tom Lintox. Course de demrfotitl ileriire molon (deux manettes do :!i> kilomètres). Première manclie j Moetler, ?«• 30" 2. Paillard, a v0 mètres 3. Adelin Benoit, il 50 mètres 4. Linart, 150 mètres. deuxième manche: 1. Moetler, 26' 51" 2/5 2. Benoit, 5 mètres 3. Linart. è 150 mferres ,1. Paillard. à 200 mètre,. Classement g-énéral 1. Moeller, 3 points 2. Adelln Benoit. 5 points 3. Paillard, 6 point: 4. Linart, 7 points.

de souffrir de sa jalousie rétrospective. Les yeux fixés sur sa ligne. il attendit. Une longue minute s'écoula, puis les flotteurs, emportas par l'élan du brochet qui, sa proie avalée, reprenait sa course, démarrèrent brusquement et tilèrent vers le large. Il empoigna sa gaule et ferra.

Il amenait à lui un brochet do moyenne taille, quand un froissement doux glissa sur les feuilles sèches. Quelque chevreuil, sans dnute, passait par là. Il écouta. Le même bruit continuait, plus distinct, et, comme uu pas léger, semblait oenir lui. Qui pouvait passer par la ? Il jeta les yeux sur sa gauche et. shtpéfait, vit s'avancer Mme Hurtot,

Elle était vêtue comme la veille, d'un sweater noir et chaussée de soude sport fortes semelles. Toutes mes félicitations, pêcheur! lui cria-t-elle de loiu. II n'est bruit, dans tout le pays. que de vos prises miraculeuses 1 C'est la première nouvelle que m'a annonce, ce matin, ma lattière, qui en est la Mette. J'espère que vous êtes satisfait.

Son visage et ses yeux souriaient. Elle s'interrompit, pour considérer sur l'herbe la victime de Corde, puis reprit: Je vois avec plaisir qne vous conlinuez.

Surpris et ravi, Corde se taisait. Elle reprit

Je vous al vu du château, lorsque vous étiez dans le pru L'occasion m'a paru favorable pour vous rejoindre puisque vous dés'rinz me uarier avant l'Or 1'0 départ.

une chope de bellï ai i le. Le pi-cmier arrivé au but iut M. Noël, qui, lui anse., reçut u:! des prix offerts par les commerçante du quartier.

Ces amusantes épreuves tcrmiin"1-, coureurs et ot'jrîsntesîouvb te r<:n .>̃ ̃̃̃i\. chez la •• m' ̃ "̃ ̃̃ nrtits rccjri'j.• Lu classements

(.huiiifiiuutiiit tic lit Yie.cltèrr. ̃ I W- iiarès; a. Ren<5 J. in'-qu. m. Navarre: ii. Maun:m: ii. <ini-; ̃" H. !:̃ Dijii i:npiionl; ;i:>. l'z, liulio' ̃'•>

il. 'Bâillon: i3. MOnsHi; 4'J. AnUrê Ka,' inonrt; ii. Pouchet; «. Siiejen-, 16. Pa/. 17. Bouillon: iS. Ciltot; iv. Comlx-; :'̃. :•̃: ̃̃̃ -S. r..H)i!,ui.

i;i. D.i- i'

BLANC EST VAINQUEUR

DU CROSS D'OUVERTURE

DE LA F. F. S. A.

RUGBY. Dans les riépartumeu!1;

Tarîtes, \>a' L'. A^en, 3 points fi 0.

(A. i. Bézters, s |inîi. :i 0.

A Bordeaux, U. A. i.ibuurno bat S. Borde* ̃ t.'iis, S iiolnls :i S. A. Bordelais bal A Eayonne, A. U.r roulou-

Salat-Sever. 1S points il.

A Toulon, R. C. 'foulon bal I. C. té«l«yn:in. S8 polnt3 a

A Karltonne, R. bas AHe* quins Perpignann, 6 points i 5.

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Dans l'herbe, à leurs pieds, le brochet captif secouait rageusement l'h;i« mer,on qui meurtrissait sa gueule. sono que Corde, absorbé dans Ja contemplation muette do Mme Hurtot, y prit garde.

\'allez vous point décrocher cette pauvre bête ? dit-elle d'un ton de reproche que son sourire démeptatt.

Arraché il sa béatitude contemplative par cette réflexion. Corde jeta droite et à gauelte un conp d'œil inquiet et répondit d'an ton impersonnel et prot'essora.!

Cette pauvre est le iléau des eaux et dévore jusqu'il ses enfants. Cependant, vous avez raison, madame, je ne dois pas la faire souffrir inutilement, car elle obéit aveuglément il la marâtre Nature.

Se penchant vers la terre, il s.iisït le brochet par les onies, lui arracliu i'iiameçon d'un mouvement a la fois adroit et brutal et le jeta au loin, dans l'herbe. Lorsqu'il reporta les yeux sur Rlme Hurtot. le visasie de la jeune femme avait changé d'expression. Le beau sourire, qat la rendait si attirante, n'y flottais, plus. Une irritation sourde y transparaiisair. Elle dit d'une voix pointuo

Ma visite ite vous est certainement pas aussi agréable que vos paroles d'hier me l'avalent fait supposer. Je suis vraiment confuse de troubler vos distractions, monsieur Corde. Je vais vous laisser il vos poissons

(A tuirre.) Jc'in Faheb.


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Dans notre vie fiévreuse noas n'avons plus le temps de mâcher. ni d'insaliver nos aliments nous avalons les bouchées triples, à la hâte telles quelles, et il se trouve ainsi que par la suppression d'une pré- mière formalité, nous compromet- tons, dès le début. le travail de la digestion. L'estomac fonctionnant mal provoque des tiraillements, de la dilatation, des crampes, des renvois, des migraines. Pour supprimer ces douloureux malaises il faut mettre l'estomac au repos. Pour reposer l'estomac sans affaiblir- l'organisme, il suffit de suivre pen- dant quelques semaines le régime du délicieux Phoscao, aliment réconfortant dont l'assimilation n'exige aucun effort puisqu'il est digéré par les estomacs les plus délicats et les plus délabrés.

pourquoi la nouvelle Ford est une cylindres

^= LA VIE FINANCIÈRE ==.

LA SEMAINE SUR LES MARCHES FINANCIERS Le marché a continué cette semaine 4 donner de multiples preuves de sa bonne volonté et de ses possibilités d'action. Ainsi, tandis que tes banques, les rentes, le Suez, etc.. consolidaient facilement leurs plusvalues antérieures, des valeurs comme les charbonnages, les métallurgioues, les pêtroltfères roumaines, les cuivres, elc., faisaient montre d'une fermeté exemplaire et paruenaient, pour la plupart, à réaliser d'appréciables progrès. Sans doute, ces manifestations d'activité ont-elles eu comme contrepartie quelques défaillances de la part de certaines valeurs de la coulisse, mais l'allitre générale du marché n'en a gudre été affectée.

Il se confirme donc (pie la Bourse est en mesure d'aborder une bonne période d'af.faires. d ne considérer que la question des crédits, qui commande, au point de vue boursier, toute la situation, les conjonctures actuelles sont d'ailleurs des plus favorables un nouveau témoignage en a été donné cette semaine, et par le bilan de la Banque de France, pour ce qui concerne le marché français, et par la politique libérale de la Fédéral Réserve Bank de New-Tork pour ce qvl est du marché américain. SUR LES PLACES ETRANGERES

A Jïnw-Yonu. La tendance du marché est très ferme pendant la première partie de la semaine, puis la tension du cali money do G Vt à 8 et le rappel par les banques de 30 millions de dollars provoquent dlm| portantes vantes qui raleyitissenl le mou. | vement de hausse. Les valeurs directrices font de nouveaux progrès, notamment les sidérurgique*, stimulées par les lonnes nouvelles des ceutres industrie!* d noter particulièrement l'avance de la General Electric, de la General Motors, du Pont de Nemours, e'c. Les vaieurs de soie artificielle sont soutenues. Pétroles bien arien.tés. Ces titres sont moin* fermes en clôture. A LONDRES, [/orientation est très favorable et, malgré quelque irrégularité, la se. malne se termine en dispositions satisfaisantes. Les pétrolifères et les cuprifères sont très actives, MUS les bonnes indications de New-York. Maritimes soutenues. Lex valeurs métallurgiques et les valeurs d'électricité sont demandées. Par contre, les valeurs sud-africaines sont plus faibles, de même que tes soies artificielle*.

A Bruxeu.es. La tendance, tout d'abord est meilleure par la suite et l'on termine dans une am'bicnce plus favorable. Les affaires retrouvent une cerUiim activité à terme. Le comptant se raffermit. Quelque* banques proprement Aux transports. Congo-Grands-Lacs s'inscrit à

Il eut été facile à M. Henry Ford de

faire une 6 cylindres et nul doute qu'elle

eut été la meilleure, mais il a estimé

qu'une 6 cylindres ne répondait pas à sa

politique. La 6 cylindres, en effet, qui a

des qualités indéniables, est plus com-

pliquée, consomme plus d'essence, néces-

site plus d'entretien, est donc c'est

indiscutable moins économique.

Le constructeur a donc tenu à ce que la

Nouvelle Ford fut une 4 cylindres qui,

tout en conservant la robustesse, la sim-

la part Belge des Chemins de fer Béunis à 22.850. Valeurs d'électricité bien d'importantes plus-values. notamment sur Ougrée-Marihaye, les Court à cake Le C0C7. Les charbonnages enregistrent d* nouveaux progrès. Au groupe minier, la part Minière des Grands-Lacs termine à 3.313 conlre 3.115 et l'action à contre Aux produits chimiques, fermeté de la Belge des industries chimiques, à 1.087, venant de 1.020.

LES VALEURS. Fonds d'Etat. ̃- Lu rentes françaises, plus calmes, ont cependant bien défendu les progrès ncquls précédemment. Les bons du Trésor et titres vu Crédlt National ont conservé une bonne orientation. Amélioration des obligations ae la Caisse autonome.

Les fonds russes ont peu varié. On annonce la constitution d'un comité international des associations de porteurs. anglais, français. Hollandais, allemands, belge* slllsses et danois, de fonds russes, en vuo de coordonner Ics offort3 do ces associations pour un règlement (les réclamation» présentôM. Progrès des serbes. Les emprunts ottomans se ressentent de quelques prise. de bénéfices.

Les banqnes françaises ont vivement progressé au Aubut de la semaine. Plus hésttantes ensuite elles s'alourdissent en dernier lieu.

La Banque de France clôture 21.T03 contre K.000 aprés An dernier bilan, on note un nouvel accroissement de l'encaisse or. une diminution de ¡;SI millions 1/2 de la circulation. Proportion 38,90 0/0. Le Crédit Foncier se tlent i 4.910. Oa escompte une élévation de l'acompte déclaré en décembre.

La Banque do Parts termine a 4.W0; l'Union Parisienne, i la Banque Nationale de Crédit. a l.t«0; Parisienne d4 Banpue, contre

La Société anonyme cle Crédit a l'industrie française, récemment créév sous les ausplccs de la Soctété Générale, et ayant pour but de consentir Aes crédits A long terme A notre industrie nationale, va poriur son capital de 50 & 100 millions.

Au groupe étranger, redressement de la Batiçpis nationale du Manque. Le Foncier Egyptien demeura ferme.

Aux valeurs foncières, la Eociéfé (îènerate Foncière sa retrouve à i.128.

L'Union Européenne est terme à 2,:cs, venant de Ï.U35.

Les titres des grands réseaux trançals se sont alourdis tiu.v dorniCn.'s «oanc>3. L'Est s'Inscrit a contro le Nord contre î.ko. L'Orléans est ferme Il 1..162 contre

Les recettes des Chemins français accusent de 110a rellej augmentation: Pour la

La Nouvelle Ford peut être livrée soit, avec un moteur

12 CV. soit, pour ceux qui cherchent une voiture de forte

puissance, avec un moteur 29 CF. sans supplément de prix»

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semalne, au 6 octoDre la olus-T3luc sa ctiilfre par 24.533.000 francs sur la semaine correspondante do 1927.

La grèvo des inscrits Il Marseille n entralnû quelques dégagements sur les valeurs de navlgatlùu. La Transatlantique revient de 1.0S3 a

Aux transporta en commun, le Métropolitain fléchit.

Par ailleurs, le Suez est plus hésitant a contre 23.475.

Les valeurs d'électricité ont fait preuve, Il nouveau, d'uue grande fermetiJ, et bien que ne nnlssant pas au plus naut, «stent en hausse sur les niveaux de huitaine. La Compagnie Générale d'Electricité s'inscrit à 3.aS0 contre L'Electricité de la Seine, Etectricité ct Gaz Nord, 1.110. Le groupe métallurgique a repris son mouvement en avant. Châtillon-Commeniry s'avance de 4.805 a 5.055; Fives-LUle. de liBO k les Aciéries de France, do Il 520; les Hauts Fourneaux de Saulnes, de 3.575 a Action Jeumont, contre JM). Aux valeurs d'automobiles, l'action Citroën termina a t.TOâ et la part Il 613. t'eugeot 1.08a. La conseil vient d'être autorisé h émettro 100 aimions de francs d'obligatiens. Il va demander, en outre, d'augmeuter le capital Jusqu'à 500 militons. D'autre part, les porteurs de parts ont donné aoas pouvoirs aux administrateurs 'la la société civile d'effectuer la division de C.uOO pirts actuellement existante'.

Charbonnages français fermes. Lens passe dn 906 0 OU.

Cuprifères bien impressionnées par ta hausse persistante du métal Ui-ali s'enlève do 4.C00 B 5.175. Le Etlo Unit plu3 calme a après C.540 contre 6.l40.

Autres mines métaltiques, indécises. L'action Mines et Minerais progresse Il 3S0. Le capital va ètre élevé de 10 millions. actions sont réserves aux acitonnalres au prix de 175 francs Delges. Les diamantifères s'alourdissent sur les nouvelles concernant la production du diamants tiiluvionnalreâ du Kamaqualand. La On ¡¡cers est ramenée de 1.C30 fi 1.576. Il fe pourrait, cependant, une la compagnie distribue un dividende Onal.

'Mines d'or soutenues. La demando d'abonnemem de la GoldUelds a été acceptée et le titrn demeure inscrit It la cote du terme. Les pétroles sont ptus faible», en dernier lieu. Le recul do ta Mexican Eagte, a l'annonce que le conseil n'avait pas l'intention de demander l'aoonnewent Canadien [agio au Timbre français. Impressionne défavorablement tout le gronpe. La noyai Dutcli cMture 43.030 uprés 49.S30 centre <50O. siiHll ÏZ0 anre? contre 7»s. Standard Franco-Américalne soutenu\ a ;I5. Au croupe polonais, la .Wa'opcil^ka se rntronve à fts> et le Crédit vénérât de; Pê. troiea I i.MQ.

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AUJOUHD'HL'I. Théâtre de l'Avenue, S heures, reprise de Maya.

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-o- OPliKA-CU.UiyUli. Mines l'éraldy, Lcliard, ferrer, Vavoti MM.- André Allard, Claudel, Hérent, Azéuia. de Crens. nousseau et Gille, seront les Interprètes prmcipaux de la t'ianect vendue qui sera redonnée miTcrt:dl prochain en soirée, puis dimanche en matinée. C'est M. Louis Massou qui dirigera l'orchestre.

-o- ÛDL'O.V M. Jacques Dumesull inter- préiera mercredi soir, pour la premiére rois, le role de Henri Gtiise, dans Ip Maître de son cœur, aux côtés de Mme Germaine Lau- gier et de m. P. Hicliard-Willm. Le spectacle sera compléié par l'Epreuve avec .vîmes Charlotte Clasls, Germaine Cavé, Paulette Marinier Maurice Porterat, Baconnet. et Dreyfus.

o- GAITE-LYRIQl'E. Paaanini, l'amusanie opérette du Franz Lehar, attire tou- jours un public très nombreux. On doit voir Paganini qui est un des plus grands succès parisiens.

-o- BA-TA-CLAN. 4 dernières soirées du Barbier fie Séuille avec Germaine rtcvul. o- TH. AXTOINE. M. Jean Worms et JI. Marcel Andr6 crécront, cette saison, les deux principaux rôles mascullns d'une pièce nouvelle de M. Jacques Deval dont le titre n'est pas encore arnêté.

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3 Sïs DE FOU RIRE 1 La PUCE à L'OREILLE LA MUSIQUE

LE GALA YVES NAT

Notre grand pianiste Yves Nat, qui revient d'une triomphale tournée en Amérique du Sud, donnera, avant son départ pour la llussie, un récital de gala au théâtre des Chanips-Kiysées te 7 novembre prochain. A cette soirée, d'un caractère unique et sans doute la plus importante de la saison musicale, assisteront les plus hautes personnalités parisiennes. Leur présence sera un honmage rcndu à l'artiste éminent qui rail honneur la musique française et dont les efTorts constants renforcent et propagent il travers la monde la renommée de notre art.

Il convient de rappeler que le comité d'honneor qui s'est constitué pour patroncette belle manifestation comprend notamment M. Raymond Poincaré, les présidents du Sénat et de la Chambre des députés, M. Louis Barlhou, S. E. l'amDassadeur Barrère, le préfet de la Seine, Mmes Claude Debussy et Yvonne Sarcey, duc et duchesse de Dondeauville, MM. Camille MauclKlr, Roland Dorgelès, etc.

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14 h., Sonatee napolitaines (Massenet); Habanera (Duclos) Salut d'amour (A. Elgai'h le Roi d'Ys (Lalo) le Moulin (Massenet) lsoline, ballet (Messager).

15 Il. Cours d* clôture de la Bourse des valeurs. Une heure de musique enregistrée. b. 30 Radio-Journal de France. 20 h. causeries « L'oeuvre d'un quart de siècle par M. Cnaponot Les maladies des animaux transmissibles l'homme », par le docteur Panisset, professeur l'Ecole vétérinaire d'Altort.

20 Il. 30 Ouverture û'Alœste (Gluck); le Secret (Schubert) D'amours éternelles (Brahms); le Bal masqué (Verdi); Un évangilc poème (François Coppéa) Aïtiel (Debussy) Snegouroichka (Rlmsky-Korsakov) Chunson géorgienne (Racnmaninov) Butter- fly (Puccinl).

21 h. 30, causerie « A propos du Salon de l'automobile par M. Daniel Augé. Ingé-'nieur. Orféo, air d'Orréo (Monteverde); Premier trio (Scnumann); l'Angélus, poème de J Cbrétiennot, adaptation musicale de Roger Pessard le Freischûtz (Weber) les Métamnrphoses; Marle-Magdeleine (J. Massenet), TOUR EIFFEL (2.650 m., 12 kw.). 17 h. 45, M. Bertrand Dupeyrat « Le postillon. » M. Léon Sazie « Cyrano est-Il mort deux fols ? » M. Louis Dumat, député* de Paris « La propagande française. » l'étudiant Jean Seconda Bulletin universitaire. » M« Jeannin, avocat à la Cour « Chronique du Palais. M. Paul Gsell La quinzaine théâtrale. »

h. 30, Manoèl Prélude de la Légende de Cynha Invocation il l'étoile (Emmanuel Néririli Message d'amour Chant d'adieu du Concerto en ré (Beethoven) Menuet (Mozart) le Jardin du Paradix, suite (Chai,les Sllver) les Cloches (CI. Debussy); la Vieille Maison landaise (Aristide Martz) Souvenir lointain Solitude (Emmanuel Nérlni) Sérénade du marchand de masques (Albert Wolff).

RADIO-PARIS m., 3 Inv.). 0 il. 45 et 7 b 30, leçon de culture physique. 10 h. 45. Mon6ma d'étudiants (F. Casadesus) Histoires (Jacques Ibert) Pavane (A. Dulaurens) les BérrUtqves (Ch. Levadé); Valse de ballet (J.-M. Zoubalov) Fêtes romaines (F. l'ourdraln) les Aniers (V. Stnub) la Chanson de Paris (Fr. Casadesus). son. 13. « Les documente de l'Histoire (période révolutionnaire) le Brumaire, avec le concours de, M. Ceorges Colin. de la Renatssance, dans le rôle de Lucien Bonapane de mm. Dorléac, Napoléon Bonaparte; J.icqueim (Régnier) Dumesnll (Crochoni Vidalln, général Lefebvre Roger Maxime Parques neynols. Cornet MOnleuil. Bertrand André Moreau, Dautzell Fabry, Cornadet Saulieu, Savary DIéner. Lerrrercler Leiay, Grandmatson Matné, Dclbrel Schultz, Darrae; Pierre Dux, Cltadeila Dalton, un huissier; Rlveyre. un Anglais Dallet, Guyard Calvé. général Leclerc Nlrvil, Blalu.

Prières et Invocations d'opéra, présentalion pnr M. Uny de Têramond Iphigénie en Tauride; Divinités du Styx (Gluck) Prière du Freischitt: (Weber), Mme Martlne!))) Air de Sigvrd (Reyer), M. Reglnald Prière d'Elisabeth (Wagner), Mme Charlotte Tlrarl1, de l'Opéra; AIr û'Bêrndiade (Massenel), M. Réginald Faust, duo de l'égllse (Gounodi. Mme Plrard et M. Réginald. RADIO L. L. PARIS (370 et 60 m., 300 w.). 12 h. actualités la Tlohème fPucclni) Carmen (Rlzet) Prélude (Prokoflev). 21 h. 30 Patrie, ouverture (PaladHhe) Ptèce, solo (10 piano (Mendelssohn); les Vieilles de chez nous (Levadé); Tannhœuser (Wagner) Sous bois (C. Staub); les Noces de la rose (Jessel) Libesfreud (Krelsler) Aranonmse (Albeniz); la Truite et Barcarolle (Schubert)

RADrO-VITUS (302 m., 500 W.). h. 30 le Journal radfophonlque. 20 b. 30 concert de musique classique et moderne v Enlèvement au térail (Mozart); Marclie du Duc de Bordeaux (Lully) les Papillons (Coupertn) Menuet d'O rphée (GlûcR) Romance en soi (Beethoven) V Arlequin (Max d'Ollone); cinq ptèces berrichonnes Ouverture berrichonne, Aubade mélancolique, Evocation champêtre. Danses paysannes, Gavotte (Ayme Steck) les Bate-

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12 h. 51, Son Instruments Chuta, danse Portugaise (Vlenna de Siontta) Variations sur un thème de Corelti, violon 'Krelsler) Valse capriedosa, plano (Vlenna de Montta); Danse espagnole de la Vie brève, violon (de Falla) Sanison et Dallla. violoncelle (Salnt-Saëns).

h. 7, Rose.Marie « Oh ma RoscMarie (Friml) Paganini (Lebar) J'ai toujours cru qu'un baiser Santa Lucla t,untana (Mario) Chanson napolitaine Ay, Ay, Ay Sérénade en Italien Chant hindou (Rimsky Korsafeov), tiré de l'opérette Sadho le Ml (Xavier Leroux).

13 h. 25, danse Gaucho, tango (Coppola); Gitann. t a n g o (Cresta) The bells of Mary's, fox (Adam) Just a liltle voay away from home fox (Levant).

13 h. 38, la Térénina (O. Strauss) Pour plaire aux femmes Près du bouquet Tralnant tout mon bagajrc.

20 h. 30, les dernières œuvres de Ketclbey Chai Romano, Sur un marché persan, Dans les jardtna d'un monastère Sérénade sentimentale (Saverne) Sous la lune (Ketelbey) Echos de la forêt (Trapp) Dans le jardin das rêves (Rayners) Mélodie algérienne (Ketelbey) Laisse-moi rêver (Barblrolll) Marche dea croquemitaines (Dame) Au temps des 7-opes (Eiliot) Au vieux château, valse (Ketelbey).

Marie-Marie fCapua), boston. Accordéon ace. banjo, saxo et jazz Septième Valse (Chopin), cymbalum avec plano Partaette nùte Première Valse (Durand), cymbalum Griserie, valse (Bosc), accordéon avec banjo et jazzo-flùte.

21 h. 30. Léonore, ouverture (Beethoven); la Chanson du Capri (Massenet) Lakmé, fantaisie (Delihes) Mon coeur soupire (Mozart) le Nil (X. Leroux) Peer Gynt (Grieg) le Réveil du printemps (Bach) Monna Vanna, fantaisie (Févrierl Sérénado espagnole (Aibeniz) Fileuse (Dvorak).

2J Il. 30, Journal sans papier de l'Afrique du Nord.

RADIO-LYON (291 m., 1.500 w.). 20 h.. Expansion (BUtaY); Cosi fan lutte (Mozart); Légende du point d'Argentan (Fourdraln) Mascarade (Lacôme); Historiette (de Taeye); Dans le Sud (Myddleton).

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LONDRES (3C1 m. 4, 3 k\v.). 12 h 15 h.. 1S h. concert.

D A V E N T R Y EXPERIMENTAL (491 m., 12 kw.). 15 h. concert. 18 h. 30 musique légère

19 IL Pelléas et Mélisande, opéra en cinq actes (Debussy) actes 1 et il. 21 h. 15: acte III. 22 b. 5 acte IV. 22 h. 50 acte V. HILVERSUM (1.07t m., 10 kw.). 19 h. Sonate pour violoncelle (Hellendaal, arr Willem Pljper); Sonate n° 4 pour violon (Dlrk Schœrer) Sonate pour violoncelle (Wiltem Pijper) Trio (Alex. Voormolen).

21 11. 10 Ouverture de The 6ohemian Girl (Balfe) Mascarade du Marchand de Venise (Sullivan) la Ballerina (Rantock) peux Danses slaves (Dvorak) Variations humorlstlques sur Was hommt dort von rler llœh (Fr. v. Suppé); Pot pourri Die Landstreicher (Zlehrer) Tango /anlastique (Rust) per aspera ad astra, marche (Urbach).

GENEVE (760 in., 1 kw. 5). 19 h. 45 Raymond (Thomas); Faschingsfée (Kalman); Coppélia (Léo Delibes); Sérénade, Valse d'amour ( Moszkowski ) les Huguenote (Meyerbeer).

BERLIN (483 m. 9. 4 kw.). 16 b.: Quatre oiaanaons d'après les vers de Jos. Luitpold (Pisk); Petite Suite, op. 1f, pour piano (Plsk); Premier cycle de chansons d'Agnès Miegel (Vollertlium).

LANGENBEIIO (iGS m. S. kw.). 12 b.: Maritana (Walmce); Un soir, près de la mer du A'ord (Dcering); Don Juan (Mozart); Schuianda, le joueur de cornemuse (Weinberger) Furtante, Polka bohème, Cavatine iRaff); Czardas (Mont1); Suite de Péters- Iw.rg (Meyer-Helmund) le Comte de Luxembourg (Leiiar); Camarades anciens, marche (Teike).

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