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Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1928-04-07

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 126844

Description : 07 avril 1928

Description : 1928/04/07 (Numéro 18666).

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse

Description : Collection numérique : BIPFPIG15

Description : Collection numérique : BIPFPIG33

Description : Collection numérique : BIPFPIG35

Description : Collection numérique : BIPFPIG37

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k607172m

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 19/11/2008

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CONCLUSIONS D'UNE ENQUÊTE LA LORRAINE NE VEUT PAS ETRE TRAITEE EN CENDRILLON

r ̃– Somme toute, ce malaise lorIrain ?

Eh bien comme vous le voyez, il existe, mais très différent du malaise alsacien. De date plutôt récente, il ne se décèle par aucune manifestation d'hostilité contre la France, et ne touche en rien au sen;liment profond qui attache et a toujours attaché la Lorraine à la grande patrie. Il serait, de plus, aisément guérissable..

L'autonomisme ? Mot vide de sens pour 'la plupart des Lorrains. Article d'importation, sans racines locales, il végète et s'étiolera. La pensée de se séparer de la France ne peut effleurer ici aucun esprit. Les gens du pays messin .ne se considèrent-ils pas comme lançais depuis des siècles? Leur cœur n'est pas facile à conquéwir. Mais quand il se donne, il ne se ,reprend pas.

La question de la langue ne se pose pas. Un universitaire de marque me disait à ce sujet

C'est avec surprise que la population a accueilli la circulaire augmentant le nombre d'heures d'enseignement de l'allemand « Pourquoi faire ? » me demandait-on de tous côtés. Beaucoup d'enfants d'ailleurs. ont insisté pour ne pas être interrogés sur l'allemand au certificat d'études.

Quant au problème de la double culture, comment existerait-il, puisque les seuls Lorrains qui parlent l'allemand sont, pour la plupart, de modestes travailleurs de l'usine et de la terre ? Pour les classes intellectuelles, la seule culture qui compte, et cela depuis le moyen âge, c'est la culture française.

Les impôts ? Les Lorrains les paient, sans joie évidemment ils préféreraient le régime de « l'intérieur n mais sans trop de révolte. Les lois ? Ils sont prêts à accepter, ils réclament même la législation française. Notre bureaucratie et ses lenteurs ? Ils s'en plaignent, mais pas plus que les autres Français.

Non. Deux questions seules leur tiennent au cœur. Il y a d'abord leur religion. Ils l'ont gardée intacte et demandent que les promesses qui leur ont été faites à son sujet après l'armistice continuent à être tenues. Le chanoine Ritz, directeur du Lorrain, champion de l'idée française sous le régime allemand, emprisonné comme tel pendant la guerre, et qui sait lutter pour ses convictions catholiques, sans jamais combattre la France, me disait à ce • propoe

La république messine a toujours été très tolérante à toutes les religions. Les juifs, rejetés de partout, y ont été accueillis avec bienveillance dès les temps les plus reculés et il n'y a pas ici de cérémonie officielle où l'on ne voie, côte à côte et en bon accord, curés, pasteurs et rabbins. Seulement, comme nous avons en Lorraine une majorité de catholiques, nous demandons l'école catholique. Naturellement, avec faculté pour les enfants protestants, libres-penseurs ou juifs, d'être dispensés de suivre les cours d'enseignement religieux. Mais nous tenons à cette école confessionnelle plus encore qu'au Concordat.

Enfin, il y a encore et surtout, de la part des Lorrains, un certain sentiment d'amertume vis à vis des Alsaciens, et le désir d'échapper à ce qu'ils considèrent comme un yasselaga.

Ce sentiment n'existait pas au idébut, m'assure M. Maneeron, préfet de la Moselle, qui, depuis de longues années déjà, a su par ses qualités de tact, de loyauté et d'intelligent dévouement se faire adopter des Lor-

rains, comme luimême les a adoptés. Dès l'arrivée de l'armée libératrice, chacun ne pensa qu'au travail et s'y mit avec l'obstination muette qui caractérise cette race bien trempée. A combien d'efforts n'ai-je pas assisté 1 En moins de six ans, les maisons détruites 1.012 étaient reconstruites, 5.744 autres réparées, les villages modernisés au point de vue de l'hy-

gietlC Kh uc la.

commodité. Près de 50.000 hectares de terres mutilées et stérilisées par les obus étaient remis en culture. (Le conseil général rachetait à des sociétés privées, au compte du département, plusieurs chemins de fer économiques et créait sept ser;vices publics de transports automobiles.

Uni à la Membre de commerce, il améliorai réseau téléphonique et i'étendairaP 600 communes, il s'occupait de r-slectrification des villages. Et je ne parle pas de la création d'écoles et techniques et de l»s ̃ ̃ Tes accomplis en hygiène soeralev><S<Jntre la tuberculose et en faveur de la mère et de l'enfant. Vous voue souvenez, n'est-ce pas, que la Moselle vient en tête de tous les départements pour la natalité ?

Tous ces efforts, les Lorrains les pnt faits silencieusement et presque 'sans aide. Mais, peu à peu, ils ont cru s'apercevoir qu'on les négligeait, que leurs intérêts et ceux de leurs industries étaient trop souvent sacrifiés à ceux de l'Alsace et que, parce que cette dernière sait protester et s'insurger, on lui marquait une préférence peut-être injustifiée. De là leur mécontentement et le malaise que vous avez constaté.

1 Il atteint aujourd'hui à son paroxysme et a Uni par, triomphe?1

de la fameuse réserve lorraine.' Mais la question de la cour ou de la chambre d'appel qui se dispute en ce moment entre Colmar et Metz semble incarner toutes les autres revendications et cause une véritable levée de boucliers.

Tous ici, hommes politiques, industriels, avocats, médecins, commerçants, et jusqu'à « l'homme dans la rue », se sont à ce sujet piqués d'orgueil et retrouvent la vieille ardeur guerrière du pays messin.

La justice et le bon sens sont de notre côté, répètent-ils avec énergie, et cette fois nous voulons avoir gain de cause, sans quoi nous demandons notre séparation d'avec l'Alsace. Nous ne formulons qu'un voeu être entièrement assimilés à la France, redevenir un département comme le,s autres. Pourquoi continuerions-nous à subir un vasselage, naguère imposé par Bismarck, pour nous punir de notre fidélité patriotique ? La Lorraine en a assez d'être traitée en Cendrillon.

Mais pourquoi M. Poincaré ?. Justement 1 Comme tout bon Lorrain, il a la pudeur de ses sentiments les plus profonds, et c'est parce qu'il aime trop sa petite patrie qu'il s'interdit d'intervenir en sa faveur.

Pudeur et aussi coquetterie. En somme, rien de vital dans ce malaise. Il pourrait bien, qui sait ? s'achever en conte de fées.

« Il y avait une fois une mère très tendre qui, après bien des années de douleur, avait retrouvé deux enfants qui lui avaient été enlevées. L'une était de caractère vif et turbulent et semblait s'apprivoiser plus malaisément l'autre, paisible et docile, montrait peu ses sentiments. La mère, tranquille à son égard, se préoccupa de celle qui lui causait quelque tourment et, pour l'amadouer, elle ne cessait de la ca,joler et de céder à ses fantaisies. Mais un jour, elle se retourna et vit son enfant sage qui la regardait avec de grands yeux de tristesse et de reproche.

Qu'as-tu donc, mon enfant ? lui dit-elle. As-tu pu croire que, parce que tu me donnais moins de souci que ta sœur, je pouvais t'aimer moins ? Viens dans mes bras et. à ton tour, dis-moi ce que tu désires Il Et, de ce jour, sans doute, n'y eut-il plus de malaise lorrain. Andrée Viollis.

LA FÊTE DU ROSAIRE DE DURER

Nous avons dit que le musée national de Berlin avait offert 25 millions de couronnes tchèques pour faire l'acquisition du tableau de Durer, la Fête du Rosaire. Les Narodny Politika de Prague croient savoir que le ministère de l'Instruction publique tchécoslovaque a refusé l'autorisation d'exporter le tableau. Des tractations avec le ministère des Finances seraient en cours en vue de l'acquisition par la Galerie nationale de Prague dudit tableau.

UN INCIDENT RÉGLÉ

LE GOUVERNEMENT DE TIRANA FAIT ROUVRIR LA FRONTIÈRE ALBANO-YOUGOSLAVE

Bel,prade, 6 avril (dép. Havas.) Le chargé d'affaires d'Albanie à Belgrade, M. Shtylla, a informé aujourd'hui, à 18 heures, le ministère des Affaires étrangères que le gouvernement de Tirana avait ordonné la réouverture de la frontière dans la région d'Ochrida.

Des nouvelles de Tirana parvenues dans la soirée rapportent que des ordres ont déjà été donnés dans ce sens par le ,gouvernement albanais au préfet de Korscha.

UN DEMENTI DE BELGRADE Belgrade, 6 avril (dép. Havas.) Les informations reproduites par la presse étrangère et selon lesqueltes la Yougoslavie aurait l'intentian de procéder, comme mesure préventive, à des concentrations de troupes près de la frontière albanaise, sont démenties catégoriquement dans les milieux officiels et considérées oomme fantaisistes et tendancieuses.

LES BAUX A LONGUE DURÉE L'Officiel promulgue ce matin la loi modifiant la procédure des actions en revision des baux à longue durée. M. DALADIER SOUFFRANT Avignon. 6 avril (dép. Havas.)

M. Daladier, ancien ministre, président du parti radical socialiete, candidat aux élections législatives dans l'arrondissement d'Orange, atteint d'une affection grippale, a dû interrompre sa tournée. électorale.

la aux de MM. et

Ces deux représentants de la Banque ont établi la liaison avec la Reserve Federal Bank selon le nouveau mode de contact direct qui se généralise pour les relations entre les grands instituts d'émission Deux représentants de la Banque de France, MM. Rist, sousgouve r n e u r, et Quesnay, d i r e cteur des services des études, reve-

Unis, ont débarqué, hier matin, à Cherbourg et sont rentrés dans l'après-midi à Paris. Dès son retour, M. Rist a eu une longue conférence avec le gouverneur de la Banque, M. Moreau.

Ces deux hauts fonctionnaires de la Banque de France avaient quitté Paris il y a un mois. D'après des renseignements puisés à la source la plus autorisée, nous pouvons préciser que leur déplacement avait un caractère strictement limité aux rapports entre les deux instituts d'émission français et américain, la Banque de France et la Reserve Federal Bank.

L'évolution de la situation financière, monétaire et économique, oblige à user de nouvelles formes de relations entre les grandes banques nationales.. A la lenteur et à la difficulté des négociations par textes inscrits, on substitue de plus en plus les rapports directs, dans lesquels de multiples problèmes de détail reçoivent une rapide solution, en même temps que, de l'échange de vue oral, résulte pour les deux interlocuteurs une information plus vivante et plus complète sur les situations réciproques. C'est ainsi que l'on a vu, dans les derniers mois, le gouverneur de la Banque de France se rendre plusieurs fois à Londres et à Bruxelles, puis recevoir la visite de ses collègues étrangers.

Ne pouvant, en raison de la durée du déplacement, partir lui-même pour les Etats-Unis, où il était vivement sollicité de se rendre, le gouverneur de la Banque, M. Moreau, a délégué son collaborateur immédiat, M. Rist, accompagné de M. Quesnay, pour établir la. liaison avec la Heserve FëderafBank.

MORT DE M. PAUL DISLERE

membre du Conseil de l'Ordre de la Légion d'honneur M. Paul Dislère est décédé hier des suites de l'accident que nous avons relaté. On se rappelle que, le 29 mars. M. Dislère, passant rue des Petits-Champs, avait été renversé par une auto. Ses blessures avaient paru, tout d'abord, sans gravité et il avait eté amené à son domicile.

Né à Douai, le 1" décembre 1840, M. Dislère avait fait ses études au lycée

w uchlc vmc. n on

sortie de l'Ecole polytechnique, dont il avait été un très brillant élève, il était devenu ingénieur de la marine et avait participé aux guerres du Mexique, de 1870 et d'Indochine. Successivement directeur de l'arsenal de Saison, secrétaire du directeur des colonies au ministère de la Marine, conseil des travaux de la marine, il fut nommé membre du conseil d'Etat, dont il était président honoraire de section. Il' n'avait pas hésité, lorsque éclata la guerre de 1914, et malgré son grand âge, à se mettre A la disposition du gouvernement militaire de Paris et fut mobilisé comme ingénieur en chef de la marine.

M. Paul Dislère, dont l'activité était inlassable, était également président du conseil d'administration de la Havraise péninsulaire et appartenait à de nombreuses commissions et sociétés scientifiques Titulaire des médailles du Mexique, des colonies, de et de la guerre 1914-18, tl était grand-croix de la Légion d'honneur et membre du conseil de l'Ordre depuis trente-trois ans. Il avait enfin écrit de nombreux ouvrages sur les législations maritime et coloniale.

ON DÉCOUVRE DANS lA BANLIEUE DE PARIS DEUX FUMERIES D'OPIUM Les tenanciers et leur ravitailleur, tous trois de nationalité chinoise, sont arrêtés

(Votf d la deuxqme page.)

De gauche à drotte et de haut en hae Cilla Wef Youg Ko Sbong Tlne Che Isengt, Sing, dit Kl», et la femme Laine La nageuse miss Gleitze prétend avoir traversé le détroit de Gibraltar

C Londres, 6 avril {dép. Petit Parisien.) En annonr,an1, atijorij-d'hui, le départ d'Algésiras pour Londres, de miss Mercedes Gleitze, le correspondant du Times à Gibraltar rapporte que la dactylographe londontenne prétend avoir accompli, hier, la traversée du détroit dé Gibraltar A la nage, de Tarifa à Punta-Leona, sur la côte d'Afrique.

Miss Gleitze. revient avec un parchemin portant la signature de plus de soixante personnes, qui déclarent l'avoir accompagnée d'Espagne en Afrique sur « deux bateaux de pêche ». En tête de liste se trouvent les noms de Dom Francisco Martini Bueno, commandant d'artillerie à Tarifa, et du professeur José Chemtdo Mourando, de Tarifa, également.

D'après la version même de miss Gleitze, continue le correspondant du Times, la nageuse se mit à l'eau à 7 h. 55 hier et atteignit la côte africaine après avoir couvert une distance d'environ 24 milles. en douze heures quarante-cinq. Il n'y avait aucun témoin anglais sauf un jeune garçonnet et, autant qu'on le sache, il ne fut pas pris de photograUn message Exhange Telegraph de Madrid, plus précis, assure que, selon des informations reçues de Tarifa, miss Gleitze se mit à l'eau au Taloman, près de Tarifa, à 8 h. 30 heure qui n'est pas la même que celle indiquée par le correspondant du Times. Elle était accompagnée de son entraîneur et de témoins. Malgré l'état de la mer assez mauvais pendant les dernières heures, elle acheva son exploit à 21 h. 30, non loin de Leona, côte d'Afrique. Les docteurs qui l'ont examinée déclarent qu'étant donné la tâche ardue qu'elle avait accomplie, la nageuse 1- n'était pas trop fatiguée.

ï POim ET COJN7.RE r

Va-t-il falloir maintenant que ce soient = les enfants, les pauvres gosses innocents et 7 impuissants qui paient les folies, les violences, les tragiques moments d'égare] ment des grandes personnes qui ont, parait-il, l'âge de raison ?.

Avant-hier encore, parce que sa femme l'avait quitté, un mari jaloux a fusillé sa petite fille, à bout portant, avant de se suicider.

s Une mère malheureuse avait déjà, il y t a quelques jours, tué ses enfants. Une autre s'était jetée à l'eau avec sa petite fille. Un précepteur un peu nerveux avait, • à Cannes, égorge un malheureux gamin. Ainsi, l'épidémie meurtrière, et soidisant passionnelle, s'étend de jour en 3 jour et tend à devenir un fléau national. Vieillards (oui, il y a des octogénaires maintenant qui ont leurs petites crises revolvériques de jalousie.), hommes, femmes, enfants, tout le monde est menacé, tout le monde est frappé.

Feu sur le poupon qui dort dans son t berceau 1 Feu sur le bon moutard aux grands yeux candides qui ne sait pas poarquoi « papa et maman sont fâchés 1. Il y a eu une dispute entre I Les parents, entre les amants ?. La mère, la maîtresse va se jeter à la Seine avec t sa petite fille qu'elle étouffe dans ses bras crispés. On trouve un bout de papier sur la berge « Je ne voulais pas que ma petite soit aussi malheureuse que moi je l'ai emportée avec moi™ .Dix lignes, l dans les faits divers.

Mais la vie d'un enfant est sacrée. Mais la vie d'un enfant n'appartient ni à sa mère, ni à son père. Mais si déchirants que soient certains drames, mais si désespérées et si tragiques que soient certaines détresses, il n'en est pas moins vrai que la mère torturée qui tue son enfant commet tout de même un crime. UN assassinat 1 Il faut dire le mot, i c'est un assassinat 1 Il est dur de prononcer le mot mais il faut l'employer et le publier. Jaloux, affolés, meurtris ou malheureux, les parents qui, dans leur désespoir, tuent leurs enfants commettent un effroyable assassinat.

Maurice Psax.

LE "PETIT PARISIEN' AU MARCC

LE GHARB et ses petites villes nouvelles Meknès. La forêt de Mamora. La chasse au Maroc Je n'ai pu rester assez longtemps dans le e Nord du Maroc pour en parler avec grands dét a i 1 s Je le re- grette, car c'est, assurément, l a partie la plus riche, surtout au point de vue agricole.

Néanmoins, j'ai pu me rendre compte que dans le Gharb, auprès de Kénitra, de

de Petitjean, la culture européennee avait fait de grands progrès. Malheureusement, une fâcheuse inondation venait de compromettre les récolles de cette année.

Les petites villes que je viens de citer sont p r e s q u entièrement européennes. Elles sont bien construites et bien aménagées: Elles font partie du Maroc que j'appellerai sérieux en même temps qu'utile. Auprès de la vieille ville indigène de Meknès, j'ai fait connaissance de la cité nouvelle européenne, qui possède déjà ses boulevards, ses magasins et ses grands hôtels. La ville indigène de Meknès n'a pas changé d'aspect. Elle s'étage toujours, encerclée par ses vieilles murailles crénelées, sur le flanc d'un coteau, avec ses rues étroites qui dévalent entre les murs hostiles des maisons sans fenêtres extérieures. De lourdes portes de bois bardées de fer, garnies de têtes de clous apparentes et supportant de grosses serrures primitives, empêchent tout regard indiscret de pénétrer dans les intérieurs arabes, jalousement gardés et qui nous demeureront toujours inconnus.

La fameuse porte Bab-Mansour, qui s'ouvre dans les vieux remparts, et qui a été si souvent reproduite sur les affiches de propagande, fait toujours miroiter au soleil ses arabesques et ses carrelages multicolores ̃; jaune, bleu, vert blanc et noir, les cinq couleurs qu' o n retrouve toujours et partout dans la décoration arabe.^

Au sud du Gharb, s'étendant depuis Kénitra, sur une centaine de kilomètres, dans la direction de Meknès, se trouve la grande forêt du Maroc, qui s'appelle la forêt de Mamora. Comme elle a une centaine de kilomètres de longueur sur plusieurs lieues de largeur et qu'elle est partout aussi plate et uniforme, sans routes et sans poteaux indicateurs, on risque fort de s'y perdre et de ne plus pouvoir en sortir. Pareille aventure venait justement d'arriver à un. jeune Européen, pendant que j'étais à Kénitra. Il n'a réussi à se tirer d'affaire qu'au bout de trois jours, et il était complètement épuisé et à demi mort de faim.

Ce fut donc en faisant bien attention de me repérer sur le soleil que je pénétrai à l'intérieur de cette immense forêt.

J'y fis une assez longue promenade, sans grand intérêt d'ailleurs, car le spectacle ne variait pas. En effet, il n'y avait qu'une seule espèce d'arbres, les chênes-lièges, qui sont tous de la même faible hauteur et à peu près de la même grosseur. Ils sont très espacés les uns des autres. Entre eux, le sol était partout recouvert des mêmes plantes, principalement de fausses fenouilles et d'asphodèles.

Il y a, paraît-il, un peu de gibier dans cette forêt; mais je n'en ai point rencontré.

D'ailleurs, le gibier perdreaux rouges et lièvres assez abondant autrefois au Maroc, tend à disparaître, étant donné l'acharnement des nombreux chasseurs.

La chasse est pourtant réglementée comme en France et n'est ouverte que d'août à janvier. Il faut également un permis pour se livrer à ce sport.

Maintenant, on ne trouve plus de gibier aux abords des grandes villes, comme Casablanca par exemple. Il faut aller chasser à ou 40 kilomètres de là, ce qui nécessite l'emploi forcé d'une automobile.

Charles Pettit.

On met au jour

le squelette d'un guerrier enterré il y a environ trois cents ans Châlons-s.-Marne, 6 avril (dép. P. Par.) M. Ronez, maire de Somme-Suippes, et plusieurs cantonniers étaient occupés à aménager une ancienne piste militaire en chemin rural. L'un des ouvriers, M. Maujean, remarqua un endroit où la terre était plus noire. Les ouvriers creusèrent le sol et mirent au jour un squelette fort bien conservé. A droite de ce squelette se trouvaient deux fers de lance, une large épée, trois anneaux de cuivre et sur chaque jambe un plat en terre cuite. Le squelette est celui d'un soldat enterré il y a environ trois cent? ans.

Des taches ayant encore été relevées. de nouvelles recherches vont être effectuées.

L'introduction en Italie

des œuvres théâtrales étrangères Rome, 6 avril (dép. Havas.)

Un contrat vient d'être conclu entre le syndicat fasciste des écrivains et des auteurs de la Société des impresarit réunis. Ce contrat a notamment pour objet de réglementer et de limiter l'introduction d'oeuvres théâtrales étrangères en Italie. Cette introduction restant subordonnée

!• A la représentation en Italie d'un minimum d'ceuvres itahennes A la représentation d'un certain nombre d'oeuvre* italiennes à l'étranger. gcr.

Adolphe Menjou

est arrivé hier à Paris où il se mariera

Sa fiancée, l'artiste américaine Kathryn Carver, est venue

avec lui en France

(Voir à la deuxième page.)'

Menjou et sa Gancée Xàthryn Carrer Paris-Roubaix cycliste se dispute demain

pour la 29e fois

Fondée en 1896, la course ParisRoubaix, qui se dispute demain pour la vingt-neuvième foie, est certainement l'une des épreuves cyclistes les plus populaires, Elle a réuni 99 engagés. Voici les silliouettes de quelques-uns d'entre eux

Au premier rang, de haut en bas Ronsse, Frantz, M. Le Drogo, Rebry au deuxième rang Francis Pélasier, Leducq, Souchard.

(A la quatrième page, les détails d'or'ganisation. et la liste des engagés.) SUGGESTION

Cette petite cloche me plat je ne la quitte plu.

Tu tais, les cloches, n ce Moment. on les envoie à Rome.

A la quatrième page

LA FUGITIVE, conte, par Henry de ColeB

PAYSAGES ÉLECTORAUX EN MEURTHE-ET-MOSELLE M. LOUIS MARIN

ET SES AMIS MODÉRÉS MÈNENT LA BATAILLE SUR LE TERRAIN NATIONAL Nancy, 6 avril (de not. env. spécial.) Nancy, joyau de la Lorraine. Nancy, la ville aux portes d'or, s'éveille à l'appel des carillons. Un taxi s'arrête le long d'un trottoir. Un homme s'y engouffre. M. Marin.

Pour les caricaturistes qui ont popularisé sa silhouette. M. Marin, c'est un buste d'officier en retraite sanglé dans un veston à la forme de vareuse, c'est une lavallière ilotlant au vent, c'est une épaisse moustache encadrant de sa broussaille pendante la bouche et le menton. Pour les journalistes qui suivent les conseils des ministres, M. Marin, c'est un homme aux yeux clairs et toujours souriants, qui répond avec affabilité et qui s'éloigne à pied. Signe particulier M. Marin est, en effet, le seul membre du gouvernement qui n'ait jamais voulu avoir d'auto à son service. Lorsqu'il est pressé, il fait signe à un chauffeur. Il n'y a aucune raison pour qu'il soit différent à Nancy de ce qu'il est à Paris. C'est pourquoi, ce matin, il s'éloigne en taxi.

Mais à Nancy, M. Marin, c'est aussi et surtout un homme qui est né dans les environs de la capitale de la Lorraine et qui parle le patois de la Seille etde la vallée de la Mauchère. C'est un détail qui a son importance. Il n'est qu'à suivre le ministre des Pensions pour s'en apercevoir.

Si M. Marin part d'aussi bonne heure, c'est qu'il va visiter un des coins les plus éloignés de sa circonscription. La semaine dernière, il a parcouru le canton de Nomeny, où il passa son enfance, et dont nombre d'habitants furent ses camarades d'école ou de jeux. Cette semaine, c'est dans le canton de Pont-àMousson qu'il se rend.

L'horaire de sa journée est particulièrement chargé. Il n'est pas moins de douze bourgs où les maires ont convoqué leurs administrés pour venir l'entendre Atton. Mousson. Lesmesnils, en forêt de Parroy, où tant de combats eurent lieu pour la possession du signal du Xon, Boussières, Champey et Vittonville, qui s'étirent le long de la Moselle Prény, dont le château couronne la colline, et autres lieux dont l'énumération est superflue. Partout c'est le même spectacle et la même absence de décorum.

Le « député Marin; car c'est le Il sortant » .qui se présente à ses électeurs, et non le membre du gouvernement, saute de voiture et pénètre dans la mairie, où les habitants l'ont précédé. Et ce sont des poignées de main et des apostrophes en patois. Puis ce n'est pas une conférence, encore moins une réunion publique, mais une conversation entre compatriotes qui commence. Son œuvre au Parlement ou au pouvoir, NI. Marin néglige d'en parler. Il sait bien que ses électeurs lui font confiance et qu'aucun d'eux ne songe à lui demander des comptes. Tous ces hommes, dont les souliers ou les sabots sont alourdis de la boue des sillons ou des sentes, ont leur, fierté. Ils se sentiraient diminués, en même temps qu'ils le diminueraient, s'ils questionnaient leur représentant ou toléraient ses explications. Le Lorrain s'enorgueillit d'être aussi têtu que le Breton. Lorsqu'il a adhéré à une politique, qu'il a fait choix d'un homme pour la soutenir, pourquoi varierait-il ? Dans le cas présent, il n'est qu'à consulter les chiffres des scrutins pour s'en convaincre. Depuis bientôt vingt-cinq an* qu'il est député de Nancy, M. Marin, dans toutes les communes de sg circonscription, a toujours eu le même nombre de voix, à quelques unités près. Il faut bien compter avec les départs, les morts. et le» abstentions.

C'est donc, nous direz-vous, de questions locales qu'il entretient ses électeurs ? Pas du tout. C'est, au contraire, les questions les plus hautes et les plus ingrates de politique extérieure ou financière que -NI. Marin aborde. En un raccourci saisissant, il fait le bilan de l'œuvre de relèvement accomplie par M. Poincaré depuis son arrivée aux affaires. Il montre le chemin par- couru et évoque ce qu'il reste à faire. A Paris, dans les cercles politiques les plus avertis, M. Marin ne tiendrait pas un autre langage. Ne croyez pas cependant que cet exposé soit malaisément compris par ceux qui l'écoutent. Ces travailleurs qui, dans un instant, seront de nouveau courbés sur leurs outils sont fort au courant des problèmes et des difficultés de l'heure. Aucune nuance ne leur échappe. Leurs réflexions en témoignent. Les uns se préoccupent de la situation monétaire ou des accords douaniers. Les autres savent gré au ministre des nouveaux avantages acordés aux pensionnés, ou au député du vote des dommages de guerre. Il en est aussi, les anciens, qui rappellent que dès 1913 il sut faire adopter la mise en défense du Grand-Couronné et y faire établir des ouvrages qui permirent à nos troupes d'y repousser les Allemands et de préserver Nancy de l'invasion. S'il est encore des régions où l'éducation de l'électeur reste à faire, ce n'est certes pas au pavs lorrain. Rien de ce qui touche à l'intérêt du pays et à la défense nationale ne demeure étranger à ses habitants.

Nous avons été trop longtemps un pays frontière, m'a expliqué l'un d'eux, pour avoir perdu l'habitude de nous pencher aux fenêtres de la maison France. Mais c'est du côté, de l'extérieur que nous regardons, jamais sur la cour 1 Si c'est être chauvin d'agir ainsi, nous sommes des chauvins.

Cela n'empêche pas, bien entendu, ceux auxquels s'adresse M. Marin de lui parler ensuite, avant qu'il (remonte en yoiture, de leurs affaires


personnelles celui-ci d'un chemin, celui-li d'une pnmpe, cet autre d'une poste trop-éloignée. *t c'est alors qu'ils emprttyenîvde/ .-préférence le patois, comme 'g#us^4s par un délietct sentiment de^-llftpur morale. Ils ne veulent pas quV; soient, traités sur le même plan les problèmes d'intérêt. général et les questions particulières. Ce n'est plus un échange de vues, c'est une confidence.

Quant à la politique pure, il n'en est pour ainsi dire .jatnais question. Partout, le ministre retrouve le même auditoire, attentif et approIl regagne h 9 heures du sdir Nancy harassé, demi enroué, et songe enfin à se restaurer. Demain il sera à Paris, où l'appellent les obligations de sa charges. Et la semaine prochaine, quand il pourra revenir, c'est à Nancy même, dont il a pour fief le quartier le plus popu]aires, ou dans les «mires métallurgiques de Pompey, Frouard, Marhache. etc., qu'il poursuivra sa tournée.

lialhré les apparences contraires, la composition politique du collège électoral n'y diffère du reste pas sousiblement de celle des campagnes. L'ouvrier d'ici est d'origine paysanne, et il reste avant tout un cultivateur, un petit propriétaire, satisfait de ce qu'il a, et d'esprit traditionaliste. Sa tâche terminée à l'usine ou il la fabrique, il se penche vers son champ ou son verger. Sur lui, les appels à la révolte, à la lutte des classes, au partage des terres ne sauraient mordre, en général. Les extrémistes ne font guère d'adeptes que parmi les travailleurs étrangers. Or ceux-ci ne votent pas I

Si le succès de M. Marin ne saurait faire de doute, en sera-t-il de même pour ses collègues qui furent élus sur sa liste, en 1924, à la majorité absolue. Cette fois, ils iront séparément à la bataille, bien qu'il j\e soit pas défendu au président de la fédération républicaine et au chef de leur groupe, il la Chambre, de les aider de ses conseils et de les soutenir de son autorité. Eux aussi ont d e s circonscriptions mi-agricoles, rai-industrielles, et qui présentent les mêmes caractéristiques que celle de M. lfarin. C'est assez dire que, cette fois encore, les partis de gauche no semblent guère devoir escompter de succès dans le département. Néanmoins, je dois impartialement relater que si l'on s'accorde à prédire, à Nancy, la réélection de M. de Warren, la tâche de M; Désiré Ferry apparaît plus difilcile, bien qu'il doive, assure-t-on, l'emporter finalement. On pronostique de même que M. François de Wendel sera réélu dans la 2. de Briey et M. Mazerand à Lunéville où. cependant. M. de Turckeim. administrateur des chemins de fer de l'Est, a de nombreux partisans. A Toul, par contre, M. Fringant rencontrerait en l'Il. Lafarge. ancien maire de Tout. l. démocrate, un concurrent dangereux. Quant. au siège laissé vacant dans la 1" de Briey par le décès de M. Petitier, la lutte sera vivre entre M. AmidieuDuclos. U. R. D., et cinq candidats, dont quatre républicains de gauche qui. s'il y a ballottage, se désisteront pour.le plus favorisé d'entre eux, après n'avoir pu se résoudre à le faire dès le premier tour.

Georges Dessoude!

UNE NOUVELLE RÉGLEMENTATION DES TARIFS DE NUIT DES TAXIS ►:̃> Cn arrêté du préfet de la Seine pubüé hier au Bulletin municipal. officiel, complète ta réglementa.- tion des tarifs des taxis autos en ce qui concerne le tarif de nuit et mo- i difie cette réglementation quant'aux indemnités dues pour le retour des voitures hors Paris.

Le tarif de nuit

Le tarif de nuit. on le sait, est applicable de 23 heures à 6 h. 30. Le nouvel arrête précise qu'en cas de prise en charge effectuée avant 23 heures, le conducteur pourra, passé cette heure, substituer le tarif de nuit au tarif de jour, au premier arrêt indiqué par le voyageur. En cas de prlse en charge effectuée avant G h. 30, le conducteur devra,, passé cette heure, substituer i le tarif de jour uu tarif de nuit, au premier arrêt indiqué par le voyageur.

Ce dernier devra toujours être prévenu par le conducteur du changement de tarif.

Ces changements do tarifs sont également autorisés, passé les heurer limita, h la sortie, ou a l'entrée de de même qu'à l'entrée ou k la fcorfic des Bols de Boulogne et de Vincennes.

L'indemnité de retour

L'indemnité de retour pour voiture laissée hors Paris ou dans les bois de Boulogne et 'de Vincennes sera calculée à raison de un franc par zone de 800 mètres suivant la carte visée par la préfecture de la Seine, étant entendu que l'indemnité sera due pour toute zone entamée. L'indemnité ainsi calculée sera doublée si le règlement du prix de la course a lieu entre 23 heures et 6 h. 30.

Les indemnités forfaitaires de 4 francs pour la desserte de l'hippodrome d'Auteuil et de G francs pour celle de l'hippodrome de t Loncchamp sont maintenues.

37, Feuilleton du Petit Parisien, Grand cinéromaa mRlW^yf^S^ d'aventures H d'amour Mr ARTHUR BERNSPE

SIXIÈME PARTIE

L'IMPASSE TRAGIQUE

I

L'arrestation

Quelques jours après les événements que nous venons de décrire, la marquise de Rhuys, Huguette et Hervé de Kergrolx étalent réunis dans le living room de l'hôtel du boulevard Rlchard-Wullace, lorsqu'un valet de chambre apparut portant un plateau sar loquel Il y avait une earte qu'il présenta la marquise, Celle-ci en prit connaissance et dtt Fuites entrer cette dume dans le I10Mmeade Rhnys passa dans une pièce voisine, dont elle referma la porte avec Presque aussitôt, par une autre porte qui devait donner directement dans le eeattbnle d'entrée, apparut une femme d'un certain fige, il la mise modeste mals convenable et à l'air fort respectable. Prenant une lettre dons son sac, elle la tendit Mme de Rhuys en disant Elle m'est parvenue ce matin, sous double enveloppe. Je vous. l'apporte ainsi que. vous me l'avez demandé. CoDïrlïht by Ajthur Bcniède, 192S. Tous droits de repronuclton et Taduction réserves pour tous pays.

Ville Renée Nizan est, à 15 ans, l'émule des meilleurs organistes G'est dans une calme rue de Boulogne-sur-Seine, tout à côté du tiois, une villa de briques rouges sur laquelle un trùs vieux cèdre étend son ombrage. Au coup de sonnette, une fillette blonde paraït, dont les grands yeux bleus interrogent.

Mile iVizan?

C'est moi, monsieur.

Dans le salon, un grand piano

noir, et, près de la fenêtre, un orgue. Derrière la petite fille, un adolescent hardi est entré.

Mon frère, monsieur.

Est-ce possible ? Cette enfant qui, pour m'ouvrir, a sûrement quitté ses poupées, n'est pas l'artiste étonnante qui, l'autre jour, maniait en se jouant les grandes orgues de la Madeleine, sous le regard de son vieux maître Henri Dattier ?

Elle a quinze ans mais, petite et le visage mutin, ne les parait .nullement..

Comment donc vous est venue l'idée d'être organiste

-Il y a bien longtemps. Papa est organiste à l'église mais, comme il a beaucoup de leçons, nous le remplacions souvent, mon frère et moi, aux offices, quand nous avions ̃ dix, douze ans. Et puis, un beau jour. tenez, il y a eu juste un an pour les Rameaux, papa nous a dit « Le premier qui me jouera sans faute la Fugue en ré, je lui donnerai une raquette. Parce que le tennis, vous savez, on adore ça. C'est moi qui ai appris le plus vile. Et. huit jours plus tard, le dimanche de Pâques, je jouais la Fugue en ré à la grand'messe. Voilà

Je savais déjà le piano. Quand on était tout petits, on jouait, on jouait, n'importe quoi, ce qu'on voulait. Ensuite, on a travaillé avec notre bon maître Dallier, Et c'est lui qui, depuis deux ans. nous poussa à il orgue. Plus tard, on travaillera à fond l'harmonie, le contrepoint, la fugue, tout.

Ces grands mots de la technique musicale ne semblent point effrayer notro jeune interlocutrice.

Là'jeune artiste ne se fait point prier. Avec une aisance infinie, elle l'attaque la Fugue en sol mineur. Sous ses doigts, les lignes mélodiques naissent et s'enchaînent, cependant i que ses bottines noires pressent vivement le pédalier avec sûreté, i certes, mais avec un fol entrain aussi, un peu comme si elle sautait j la corde.

Ces deux enfants charmants mt raccompagnent jusqu'à la grille. Deux bicyclettes sont posées là, l'une contre l'autre.

Alors, tous les sports ? Après le tennis, la bicyclette ?

Oui oui, le Bois est si près, et c'est si bon d'y rouler, le matin avant 8 heures, quand il n'y a personne encore 1

Notre tlge est celui des plus étranges surprises. L'organiste, cet être surprenant, qui joue à lui seul d'un orchestre puissant et infiniment varié, ce n'est plus'forcément un Couperin majestueux ou un Franck recueilli, le front incliné vers les claviers d'ivoire. Cela peut être cette petite fille blonde qui passe là-bas, à bicyclette, sa raquette de tennis sous le bras, un joli rire puéril aux lèvres. Yves Dautun. Les hommes libérables du d'aviation ouvrent une souscription

pour élever un monument à Guynemer Dijon, G avril (dép. Petit Parisien.) Au cours d'une soirée récréative donnée en l'honneur des officiers, sous-offlciers et de leurs familles, les hommes libérables du 32e régiment d'aviation ont proposé d'ouvrir une souscription pour l'érection d'un monument k la mémoire dn cnpitnine Guynemer. Ce monument s'élèverait en face du quartier du régimenl, à J'endroit mvme où, en juillet 1916, le héros reçut du colonel Girod le premier drapeau de l'arme.

Cette idée a reçu des assistants un accueil -d'autant plus chaleureux que nombre d'entre eux avaient assisté a la i remise du drapeau.

Je vuus remercie beaucoup, fit la srand'mêre d'Huguette en s'emparant de la lettre.

La vieille dame reprit

Vous avez été si bonne envers moi que je suis trop heureuse de vous rendre ce léger service.

Je suis, madame Larlez, que je peux, compter sur vous.

Et elle tendit la main à la visiteuse qui la serra avec respect et. discrètement, se retira.

Demeurée seule la marquise décacheta la lettre et lut

« J'ai trouvé le refuge ou je pourrai méditer et prier. en attendant des a jours meilleurs. Adressez vos lettres au Père d'Evron, il l'abbaye de Thy» madeue. Demain je. vous donnerai plus longuement de mes nouvelles. Mme de Rhuys eut un soupir de soulargement. Après avoir porté la lettre jusqu'à ses lèvres, elle la glissa dans son corsage et revint dans le hall ou Hervé et Huguette continuaient a échanger les plus tendres propos.

Tout en les contemplant, elle se Ces chers enfants ne se doutent guère il quel sacrifice lis doivent leur bonheur.

Un valet de chambre ffnnonça't Deux messieurs demandent à Etre reçus par DI, de Kergroix.

Par moi ? s'étonnait le jeune industriel. Vous ont-Ils donné leur nom î Le domestique répliquait

Non, monsieur. Ils disent qu'ils viennent au sujet d'une affaire ue,-ente. Hervé se récriait

Je ne me serais pas pcniiis de donner rendez-vous Ici à personne. et j'ai formellement ordonné tans mes fimDlovés. lorsciu'ils avaient à me parler,

ADOLPHE IENH PARIS .Le voici du retour. Il a beau être I né aux Amériques, de parents « Argo- nautes il a toujours un œil tourné vers la France, où il lui tardait de revenir. Donc, nous sommes allé lui souhaiter la bienvenue il Cherbourg, bord du Majestlc. Il nous attendait sur le pont. Lové dus 4 heures du matln, il s'efforçait d'cxpliqucr il sa fiancée. la blonde Kathryn Carvcr, l'émouvante topographie des cules françaises qui, parait-il, sont bien différentes des côtes américaines! Notre arrivée Interrompit la démonstration. Aussitôt, il nous prit il témoin.

nous, et bien différent de celui que laissent supposer les films. MCmc distinclion, certes, mais quelle expansion, quelle ardeur, quel vibrant enthousiaame I Pimenté d'un léger accent, le français le plus pur s'échappait do ses lèvres, agrémenté çà et là d'un argot savoureux. N'oublions pas, en effet, qu'il a été poilu durant la guerre est pour de bon Il a connu tous les bons coins Hésnéville, Secheprey, Novéant-auxPrés, Pliroy, le Montsec, Verdun. Délicieux. souvenirs.

Le voici sur le transbordeur, au milieu de ses bagages, encadré de photographes, de reporters anglais, de sa délicieuse fiancée et de la soeur de celle-ci, la brune Marjraret Carver. La conversation se poursuit joyeuse, familière, à bâtons rompus, nourrie d'anecdotes et de projets..

D'abord prendre des vacances 1 Voict, en effet, trois ans qu'il tourne sans arrêt. Ensuite, acheter une maison basaue et se retremper dans le pays de ses aïeux. Monsieur Albert cligno de l'œil et, d'un air entendu

Ah 1. le pot-au-feu bonne femme! 1 le gigot piqué d'ail 1 Et un bon coup de jurançon par là-dessus 1. Qu'est-ce que vous dites de ça ?.

Le programme s'ébauche. Voicl venir la suite voir les studios français, les amis metteurs en scène et artistes, ensuite prendre un contact plus étroit avec tous ceux qui s'intéressent en France au cinéma. Fin matois, il nous laisse parler, et c'est lui qui nous apporte les préci,¡.ions. Car Men,jou est supérieurement instruit do tout ce qui tou,he à son art. Puis, carrément, nous insinuons Ah si nous pouvions trouver un terrain d'entente 1

Du tac au tac

J'allais vous le proposer comptez sur moi pour voue aider Durant ce temps, bien sage et tenant ses fleurs sur les genoux, la douce Kathryn admirait le paysage par la baie du wagon. Une joie de petite fille illuminait ses yeux. Elle battait des mains il chaque vactte entrevue 1 Soudain, coupant net notre grave colloque sur le contingentement

Comment ton donc les Françaü pour avoir des vaches aussi bien • peignées 1) ?

Le créateur d'Au suivant de ces messieurs lance, imperturbable Et les coiffeurs ?. dear. pour qui sont-ils faits ?.

Monsieur, que pensent les Françaises de la venue d'Adolphe Menjou en France ?.

Sans doute eussent-elles préféré qu'il vint en célibataire résolu ,1. La réplique ne se fait pas attendre': Il y déjà trois Français qui m'ont dit aussi la même chose

La cloche du déjeuner sonne dans If couloir

A ta croûte 1 A la popote s s'exclame Menjou en nous entraînant au restaurent.

En vérité, l'enfant prodigue nous est définitivement revenu Les plats se succèdent. Les stations également. Un Champagne d'honneur nous attend dans le compartiment. Et, quelques instants après, sur le quai de Saint-Lazare, il nous est donné de contempler la dernière incarnation de Menjou dans son film Mon retour à Paris, sous la mitraille des photographes et des opérateurs de cinéma. Maurice fluet.

LES ÉLECTIONS LÉGISLATIVES DANS LA SEINE

On comptait hier candidats

Le nombre des candidats aux élections législatives dans la Seine était, hier soir, de 642. La moyenne de 10 candidats par siège se trouve dépassée, la Seine compte, en effet, 59 circonscriptions.

LA "DEUXIÈME RETRAITE DE M. BRUN' directeur des contributions directes de la Seine

L'arrêté l'ayant mis à la retraite « d'office » en 1924 avait été annulé en janvier par le

Conseil d'État

̃ Au début d'octobre M. Brun [ directeur de 1" classe des contribution! l indirectes de la Seine était par décisiot du gouvernement, alors présidé pai .NI. Herriot, mis b. la retraite d'offlee. Or lui reprochait d'avoir présidé, au titn 3 de doyen d'âge, dans un local du minis 1ère des Finances, une réunion des fonc llnnnaires de cette administration. Ui ordre du jour protestant contre le: intentions du gouvernement au sujet de: traitements à accorder aux fonctionnai res avait été voté puis présenté au ml nistre des Finances par une délégatioi t conduite par M. Brun.

La décision mettant k la retraite d of- flce le directeur des contributions de h r peine qui aurait dû normalemen prendre sa retraite deux ans plus tan soulève un gros émoi parmi le per sonnel des administrations centrales qu vota un ordre du jour do protestatiol s tandis que cinquante-cinq association! t de fonctionnaires s'élevaient contre li r mesure disciplinaire prise.

3 Le 25 octobre 1924, M. Brun lntrodui t sit un pourvoi devant le Conseil d'Eta conlre l'arrêté le mettant à la retrait! t et, nous l'avons dit en janvier dernier 1 cette haute juridiction annula ce décret A la suite de cette sentence et pa 3 décret du ministre des Finances parais sant ci,, matin à l'Officiel, M. Brun es aadmis faire wloir ses droits à la re traite à compter du 1" janvier 1926.

de venir toujours il mon bureau. Mon cher Hervé, Intervenait la marquise, recevez ces messieurs. Vous savez bien que cette maison va bientôt devenir, que dis-je, est déjà la vôtre. Je vous remercie, madame mais vraiment je craindrais d'abuser. Pas du tout, affirmait Mme de Rhuys. J'ai justement une lettre u?çe_t? à écrire je reviendrai tout à l'heure. Elle se dirigea vers l'escalier qui donnait accès au premier étage. Discrètement, Huguette la suivit. Mais empoignée par une instinctive curiosité de savoir quels étalent ces gens qui voulaient à tout prix parler son tlimiS, elle gravit lentement, très lentement, les marches. Elle n'avait pas atteint le premier palier que sa grand'mère ovnir déjà regagné ses appartements particuliers..

Pendant ce temps, le valet de chambre faisait entrer dans le hall les deux visiteurs dont l'un n'était autre que l'inspecteur Vallon. Quant il son compagnon, c'était un homme d'une quarantaine d'années, très correctement mis et dont la gravlté d'allures semblait r.-inoncer un Important personnage.

Tandis que Vallon demeurait presque sur le seuil de la porte, en une attitude silencieuse et compassée, le second visiteur s'avançait vers le fiancé u tiuguette et lui demandait

Monsieur Hervé de Kergroix Oui, monsieur, c'est bien moi. Avec beaucoup de calme, son Interlocuteur précisa, presque à voix basse Je suis le commissaire de police de votre quartier.

Le commissaire de police ? répéta Hervé, visiblement étonné.

Oui, monsieur, accentuait le magistrat. Et je vous prie de me suivre surle-champ.

LE CRIME DE LA RUE DE VARENNE LA DIFFICILE RECHERCHE

SE L'ASSASSiN DE M. DE PEREDES Ude piste terait suivie qui donnerait quelque espoir.

Lu mystère qui plane sur lo crime de a rue de Varenne, eu drame sombre lu cours duquel M. Félix do Peredes trouva une fin si tragique, va-t-il être éclairci

Lc bruit s'en (st brusquement répandu hier. L'affaire'va rebondir, disait-on; la justice connaît ou croit connaitro le meurtrier. Renseignements pris, on n'en est pas encore là.

L'enquête, vous vous en doutez, nous a déclaré M. Lacamnre, directeur de la police judiciaire, n'a pas chOmé un seul instant, et mes collaborateurs la poursuivent aved ténacité. Mais jusqu'à présent, bien que nul d'entre nous no désespère, elle, m ii"<5ms a pas permis d'arriver à un résultat.

11 serait, toutefois, inexact de dire que les bruits qui vous sont parvenus sont complétement faux. Certes, Il est exapiîré de prétendre que nous connaissons l'assassin. Il est vrai, pourtant, que nous acons quelques indiues nous suivons une piste, encore bien vague. Une indication nous a été donnée qui peut avoir sa valeur, Nous avons quelques soupçons sur un individu qui nous a été signalé, dont nous possédons un signalement, mais dont nous ignorons l'Identité. Il faut attendre.

L'individu reohorché sonait un ouvrier fumiste, de nationalité itaUem-ne, ayant eu l'occasion de pénétrer dans l'immeuble de la rue de Varenne, d'en connaître les aîtree et d'apprendre que M. de Peredes était détenteur de summes importantes. UN DESCENDANT DES ESTIENNE VIENT DE MOURIR A MONTROUGE Le dernier descendant direct des Eetienne, la célèbre famille des imprimeurs et érudits du xvf siècle, NI. Henri Estienne, vient da mourir it l'àge de soixantc-dix-sept ans, à Montrouge. idèle lui-même à la tradition de ses ancêtres, il exerçait les fonctions de prote dans une grande imprimerie da cette looalitô.

Le jury de sculpture du Salon i Le jury de sculpture pour le Salon de i 1928 est ainsi composé: ( Président '.NI. injtlbert, membre de i l'Institut vice-préaldwits MM. Ernest 4 Dubois et Patey, de l'institut sécrétai- rcs MM. Carlus, Mengue et Patriarche; membres MM. Allouard, Bacqué. Dail- Iion, Deschamps, Desruelles, Grande, fuillaume, Lejeune, Mairie, llaro, Ni- clausse, Roger-Bloche, Scysses et Ver- mare.

POUR LES MAL LOTIS

Le conseil général de Seine-et-Oise a constitué la caisse d'aménagement Le conseil général de Seine-et-Olse s'est réuni hier en session extraordinaire pour prendre connaissance du rapport du préfet sur la question des lotissements défectueux et créer une caisse départementale en vertu de la loi du 15 mars dernier.

Après que le président, M. Amiard, eut prononcé l'éloge funèbre du marquis de La Briffe, récemment décédé, l'assemblée se constitua en commission pténière pour discuter les termes du rapport qui lui est soumis. En séance puhlique, le conseil a voté, ensuite, h l'unanlmité, la constitution de la caisse d'aménagement, laquelle recevra sur les fonds départementaux une première dotation de vingt millions. Les crédits nécessaires à son fonctionnement seront chaque année inscrits au budget. :1 été approuvé le budget de la caisse, se montait en_ recettes a 23 millions 72.000 fran'os et en dépenses a franc?, ce qui laisse au budget du département un déficit de 440.000 francs.

Il a été décidé que le taux des avances consenties aux associations r syndicals de lotis sera inférieur de 3 à celui auquel le départe3 ment aura contracté les emprunts. Ge préfet a été invité à comprendre dans ses propositions de budget supplémentaire de l'exercice 1928 les crédits nécessaires à la dotation et au fonctionnement de la caisse départementale. Le contrôle technique sera assuré par les ingénieurs des ponts et chaussées. Il sera procédé, lors de la session de mal, à la nomination des six délégués du conseil général au conseil d'adminisB tratlon de la caisse départementale. M. André Simon a été désigné pour faire partie du comité de conciliation. A l'issue de la séance, le rapporteur, .NI. Malherbe, a félicité, au nom du con- seil général, le préfet et son actif collaborateur, M. Brasseau, directeur des services économiques de la préfecture, npour la minutie avec laquelle avait été r éludiée la mise au point par leurs sern vices du difficile problème des lotissemente en Seine-et-Oise. Au nom du gouvernement et des mal lotis, :'IL Bon-,nefoy-Sibour a remercie l'assemblée du n concours sans résen'e qu'elle lui avait 1S apporté.

LES ÉCHANGES INTERSCOLAIRES Le ministre de l'instruction publique a adressé récemment une circulalre aux recteurs d'Académie pour leur rappeler que le a Comité d'échanges lnterscolalres francott allemands se tient 4 la disposition des él6d vos Jeunes gens et jeunes filles de tous les établissement d'enseignement publics et li privés (écoles primaires supérieures, cours n complémentaires, écoles professionnelles, collèges lycées, etc.) qui désirent elrectuer un séjour en Allemagne pendant les vacances.

Le Comité d'échanges prie les candidats i- de lut envoyer le plus tût possible leurs Lt demandes; les élèves allemands s'inscrivent o par centaines, et bien que la clôture des r inscriptions soit fixée au 15 mal, les candit dats français ont le plus, grand intérêt, il u ralre leur demande dès maintenant. ̃r Ecrire au Comité d'échanges Interscolaires franco-allemands, 10, rue de l'Elysée it (joindre timbre réponse), qui leur enverra par retour du courrier une documentation complète.

Hervé eut un sursaut. Puis, l'air courroucé, Il ajouta

Que signifie cette plaisanterie? Le commissaire, toujours très maître de lui, fit en élevant un peu la vois Mes ordres sont formels, et le mieux est de nous suivre.

Vous avez un mandat d'arrêt? S'exclamait Hervé.

Oui.

Et de quoi m'accuse-t-on ?

Apercevant Huguette qui s'avançait vers son fiancé, le visage inquiet et l'œil Investigateur, le magistrat fit: Il serait préférable de ne pas vous l'apprendre ici.

Incapable de refréner son indignation, le jeune industriel proférait

Et si je refusais de vous obéir ? Le commissaire ripostait sèchement Vous n'auriez qu'à vous en prendre à vous-même du scandale qui en résulterait.

Cependant, monsieur.

Tirant de sa poche un mandat d'arrêt, le représentant de la loi le mit sous les yeux d'Hervé qui lut ceci:

c Ordre d'.arrêter le sfeur ..crvé de Kergroix, tuculpé de complicité dans l'asmssinat de il. de Rhuys. 2,

Hervé eut un nouveau sursaut. Moi fit-il. Moi

Un cri de colère s'étrangla dans sa gorge. Huguette était là, près de lui. Bien qu'il fût certain qu'il lui suffirait de quelques brèves explications pour se laver de l'odieuse accusation dont Il était l'objet, il ne voulait pas qu'elle fût formulée en présence de sa fiancée. Et, simplement. Il fit

C'est bien, monsieur, je vous suis 1 Pressentant une catastrophe, Huguette s'écriait

Qu'y a-t-il ?. et où allez-vous ?. Rien de grave, cherchait à rassurer

LA DÉCOUVERTE

DES FUMERIES D'OPIUM L'autorité administrative ayant appris que des fumeries d'opium s'étaient installées dans la banlieue parisienne, à proximité des grandes usines employant do la main-d'œuvre chinoise, une surveillance active et de tous les instants f.ut prescrite et exercée. Police judiciaire et sûreté générale en furent chargées. Cette surveillance commence d donner des résultats.

Hier. M. Barthelet, commissaire au contrOle des recherches, a fermé deux de ces paradis artificiels dont les tenanciers font des affaires d'or, la clientèle se montrant peu difficile sur la qualité do la marchandise et souscrivant sans discuter aux exigences financières des marchands d'illusions.

C'est par un Céleste répondant au surnom de Kia que le magistrat parvint il découvrir les fumeries,

Kia, de son vrai nom Che Isengl Sing, âgé de vingt-huit ans, demrurant en garni, rue Traversière, à Billancourt, effectuait de si fréquents voyages à Marseille qu'on le soupçonna de 6'y rondre pour s'y procurer de la drogue. Mardi soir Il se mit une fois de plus en route, mais, cetto fois. suivi par l'inspecteur Mcnnere-t, chargé par le magistrat de surveiller le personnage. Arrivé à Marseille mercredi à 10 heures, le Céleste roprenait le truin à midi pour Paris, après s'être ravllail:é, dans un hôtel du cours Belzuner, de cinq livres d'opium qu'il devait livrer aux tenanciers. En route, il prit soin de changer de train Valence, Lyon et Di.lon. Il poussa la prudence Jusqu'à descendre uno gare de ceinture, ce qui ne l'empêoha pas, à son grand étonnement. d'être appréhendé une fois arrivé à Parie. Conduit rue des Saussaies sans avoir pu se débarrasser de sa provision d'opium, Kia, pressé de questions par M. Bartheiet, déclara que la drogue était destinée à deux fumeries tenues, l'une 9, quai de Billancourt, il Billancourt, par son compatriote Chio Wei Youg, l'autre 16. avenue du Bas-Meudon, à file SaintGermain, par une femme d'origine francaise, Fanny Larue, veuve d'un Chinois, et v:vant avec un autre, Ko Shoug Tine. Tmic tnnîQ fnppnt fmTruïrîinfnmppt. qir^-

tes par l'inspecteur principal Genty et l'inspecteur Menneret, cependant que M. Barthelet pratiquait à leur domicile des perquisitions, qui lui firent découvrir deux autres kilos de drogue, brute et raffinée, des pipes, bref tout un matériel de fumeurs qui en disait long sur l'activité des empoisonneurs.

Inculpés de détention et de traflc de stupéfiants. Chio Wei Yeug, Ko Shoug Tlne et leur ravitailleur Che Isengl Sing, dit Kia, ont été expédiés au. dépôt. Tous trois sont des récidivistes. Mère de deux enfants en bas âge, Fanny Larue a été laissée en liberté. Elle sera toutefois poursuivie. Elle fut d'ailleurs mêlée dé,jà 11 une affaire semblable, ayant tenu a Boulogne-sur-Seine une fumerie que la police ferma.

Voici quelques mois, bien que surprise par la brusque Irruption de la poliee, elle avait alors réussi il. faire disparaître la majeure partie du matériel ( compromettant. < Quant à ses clients il s'en trouvait chez elle une quinzaine la plupart 1 étaient parvenus ai s'éclipser 1 Parmi eux se trouvait le fameux filou Mac Cord Stanley, qui, quelques mois auparavant, à Zurich, avait eseroqué Il un flollandais, M. Huyzer, la bagatelle de deux millions. j A l'arrivée des policiers, Stanley sauta par la fenêtre et. trouvant un tonneau dans la cour, s'y tint blotti sous le couvercle jusque après le départ des intrus. C'est lui-même aui, lorsqu'il fut arrêté, raconta ce savoureux épisode aux enquô- teurs.

LE CENTENAIRE DE TAINE A l'occasion de la célébration du cen- tenaire de Taine, qui se fera le 21 avril, M. Léon Riotor a déposé au conseil municipal une proposition demandant qu'une plaque commémorative soit apposée sur une maison de L'ile Saint-Louis, 3, rue de Bretonvilliers, où le grand écrivain vécut avec sa mitre de 1856 UNE JEUNE FILLE DISPARAIT EMPORTANT 3.500 FRANCS

Mlle Jeanne-Lu-

cienne Dubois, quinze ans, travaille ordinairement avec ses parents. marchands 1e primeurs, sur les marchés parisiens. Mercredi matin, prétextant un malaise, elle resta Il la maison, 131, Grande -Rue, au u Pré-Saint Gcrvais. Ses parents partis, elle ouvrit un coffre, y prit fr. et s'en alla. On ne ̃ l'a pas revue.

Elle s'était d'ail-

leurs élégamment habillée d'une robe i cn crêpe de Chine r o u g o groseille, d'un manteau roũ gc, d'un chapeau beige et de souliers en velours noir. La

cheveux châtain foncé coupés court et les yeux noirs. Quelques jours avant son départ, elle avait dit à une amie qu'elle avait une grande enrie de se rendre Il Nioe.

Les anciens combattants des P. T. T. Les délégués (le l'Association des P. T. T. anciens combattants se sont réunis pour examiner les questions de la propagande dans la capitale et de l'application de la loi du 9 décembre

Constatant que les droits des anciens combattants sont maintenant dr plus en plus contestés, par suite d'une hosttltte sourAe ou déclarée, ils ont approuvé sans réserve l'action de leur comité central, prenant l'engagement de la soutenir selon 1es directives tracées et invitant tous les postiers anciens combattants Il adhérer sans retard à leur association.

Hervé. une infâme calomnie dont je vais faire promptement justice. Mme de Uhuys qui, depuis un instant, était revenue dans le hall, s'en fut vers sa petite-fille.

Doucement, elle la prit par le bras et lui fit à voix basse

je t'en prie, ma chère enfant, ne te tourmente pas' Ale confiance en mol. Tu sais bien qu'Hervé ne peut pas avoir commis une mauvaise action. Tout en parlant, elle l'entraînait vers une pièce voisine.

Attends-mol là un instant, flt-elle. Pourquoi se cacher de moi ? Interrogeait la jeune fille. Grand'mère, je sens que le malheur est de nouveau sur nous. Mais non, ma chérie. Sols sûre, au contraire, que rame de tor. père nous protège.

Huguette eut un regard vers son fiancé qui eut le courage de lui répondre mieux que par un signe d'encouragement, par un sourire. et, toujours guidée par Mme de Rhuys, elle disparut dans une pièce voisine.

Le commissaire fit un signe à l'inspecteur Vallon, qui n'avait pas bronché. Le policier plongea la main dans l'une des poches de son veston mais le magistrat lui dit

Inutile de lui passer les menottes, je suis sûr qu'il nous suivra sans diffiEn effet I appnya Hervé. car je suis Innocent.

Le magistrat et lui esquissaient un mouvement de sortie. lorsque la marquise de Rhuys reparut.

Messieurs, un instant, je vous prie, fit-elle avec cette autorité qui an imposait il tous.

Et se rapprochant de Kergrols, elle lui demanda

LE DRAME DE SAINT-DENIS ON N'A PU EXTRAIRE LA BALLE QUI ATTEIGNIT LA PETITE BÉCHIR Cependant, la pauvre eufant a pn, Lier, recevoir la visite de sa mère

Il semble peu probable qu'on réussisse à sauver l'innocente victime du drame de l'avenue du Présiilent-NV'ilson, SaintDenis, la petite Nelly Béchir, que son père blessa d'une balle 11 la tête avant de se suicider..

On n'a pu extraire le projectile, qui s'est logé à la base du crâne, après avoir traversé toute la matière cervicale. En outre, l'état de la pauvre fllletto s'est encore compliqué d'une rougeole. Dans la soirée d'hlor, sa mère est alli'e la voir à l'hôpital do Saint-Denis. L'enfant l'a reconnue et a pu lui dire quelques mots. Mais elle parait ne rien savoir de ce qui lui est arrivé, et il est vraisemblable que son père a profité de son sommeil pour tenter de la tuer.

Mme Béehir, convoquée au commissariat de Saint-Denis-Sud, a déclaré qu'elle n'avait quitté le domicile conjugal qu'à la suite des scènes de jalousie que lui faisait continuellement son mari, qui s'emporta, le 9 mars dernier, jusqu'à la frapper. Elle confirma qu'à la fin do leur dernière entrevue; mercredi soir, il avait été décidé qu'elle reprendrait la vie commune dès le lendemain.

Cependant, rentré chez lui, le désespéré écrivait au commissaire la lettre dont nous avons publié un passage, et il exécutait son tragique dessein.

Rentrés clandestinement en France les anarchistes Ascaso et Durrutti ont été arrêtés àt Lyon

Le service dee renseignements généraux de la préfecture de police avait été informé, Il y a quelques semaines, de la présence dans la région parisienne des anarchistes espagnols Asoaeo et Durrutti, arrétés et condamnes en puis expuî-

A»oaso (it gauclie) et Durrutti

ses de France pour complot contre le roi d'Espagne lors de sa venuc à Paris à cette époque.

On se souvent que, la même année, lo gouvernement espagnol avait demandé leur extradition pour complicité dans l'assassinat du cardinal (le Saragasse, ainsi que le gouvernement argentin pour participation au pillage d'une banque. La première demande n'avait pas été agréée par le gouvernement, mais la seconde avait été accordée à condition qué le gouvernement argentin prit livraison des prisonniers en territoire français. Les délais légaux s'étant écoulés, les deux anarchistes, en sortant de prison, furent refoulés en Belgique, d'où Ils gagnèrent l'Allemagne, la Suisse et revinrent en Franco. Une enquête permit d'apprendre que les anarchistes s'étaient rendus à Lyon sous de faux noms. M. Sarback, chef de la sûreté lyonnaise, fut informé et, hier matin, deux inspecteurs de la police judiciaire, accompagnés de quatre de leurs collègues de Lyon, appréhendèrent Ascaso dans une chambre garnie, Q9, rue Duquesne, qu'il occupait sous le nom de Valeriano Gonzalès, né le 14 avril 1899 à Muron (Espagne).

Les policiers pensaient que Durrutti demeurait 39, rue Mazenet. mais il n'avait lA qu'une boite aux lettres et, en réalité, passait la nuit dans une chambre voisine d'Ascaso. il fut arrête vers midi, au moment où il venait chercher son courrier.

Les deux anarchistes ont été écroués pour infraction à un arrêté d'expulsion. Société du Petit Parisien'' Les porteurs de titres de la Société du Petit Parisien sont informés que le solde du dividende de l'exercice 1927 sera mis en paiement à partir du 10 avril courant, à la caisse sociale, 18, rue d'Enghien, en échange du coupon 119.

DIRECTION ET ADMINISTRATION

Itaw [PROVENCE IS-2I. li-22. 1S-23. 1S-M. IS-Z WttMlveilNTER-PROVEXCE 48.

ABOIWEMENTS 3_rit *«b lu Parie. Sine et Seine-et-au 21 » un les Frmnc» et ct.lc.niM tt 43» U Etr«ni«r (urif A). H» 74» Ut» Chiqt» oortJ 3JI.M

De quoi vous nccuse-t-on ?

Hervé murmura

C'est tellement Invraisemblable, que je n'ose vous le répéter.

A mol, vous pouvez tout dire. Vous savez bien que je vous aime comme un fils.

Camme un fils s'écriait le jeune Industriel avec amertume. Eh bien 1 madame, on m'accuse d'avoir tué le vôtre.

C'est impossible 1. se révoltait la marquise.

Et, s'adressant au commissaire, elle scanda

Messieurs, je connais assez M. de Kergroix et je suis suffisamment sûre de lui pour vous affirmer, sur mon honneur, qu'il est innocent 1

Hervé s'écriait

Merci de tout cœur, madame, de m'accorder votre si puissant et si précieux appui. Mais j'aurai vite fait de prouver que je suis entièrement étranger au crime qui a été commis dans cette maison et a coûté la vie au père de l'être que j'adore le plus au monde. D'alileurs, ajoutait Mme de Rhuys, les journaux ont annoncé, et la police ne la nullement démenti, que l'assasln de mon fils était un bandit international surnommé Pnker d'As.

Madame, répliquait le commissaire, il ne m'appartient pas de discuter avec vous si M. de Kergroix est coupable ou non. Je suis simplement chargé d'un mandat, je l'exécute. Je me permettra! simplement de vous faire respecta-usement observer que le manda', ne consi- dire pas le prévenu comme l'assassin, mais comme son complice. Madame, j'al bien l'honneur do vous saluer. Allez, mon enfant, disait la marquise il Hervé. Personne ici. personne lie doutera de vous.

NOS ÉCHOS

La flamme du Souvenir sera ranimée par l'Association des officiers de réserve <!« l'Ecole de perfectionnement de la Tour·Maubourg*.

Cérémonies religieuses Eglise grecque melclrite catholique, grund'inesse 4 10 Il., il, rue Saint-Julien-le-rauvrc,

Congrès Associatton nationale du personnel des cours complémentaires, 8 lu su. Sorbonne (suivi d'nn déjeuner, 12 h., bd Saint-Denis. Fédération nationale de» directeurs et directrices d'écoles publi- ques, Sorbonne. Fédération nationale du spectacle, 45, rue La Boétie. Expositions Association des prix dn salon « et boursiers de voyage, 10 h. Salon des artistes de l'Yonne et rétrospective Grevin (auditions littéraires et musicales d'auteurs du terrolr), 1a h., 66, r. de Rennes. Club du Faubourg, Débat sur les concierge». t Il., 5, avenue des Ternes.

Réunion d'anciens combattants et 2. bit de zouaves, ai) h. 45, :7, rue Vivienne.

Réunion Sj-ndicat (les marchands snrtm» lants et démonstrations, h. 30, salle du Tambour place de ta Bastille.

Concert t'nion musicale et chorale <io préfecture de police, h. 30, 21, rue Cadet. Bal Lo'Morran à Paris, 2t h., mairie du XIII* arrondlssemcnt.

Foires aux pains d'épices n., ouverture; 2ir h., matrlc du XI-; départ de la retraite aux flambeaux a 1a Ferraille (clôture).

Concours hippique, Grand Palais.

T. 8. r. Emissions et radio-concerts du Petit Parisien et des principales stations de France et de l'étranger. (Voir au Cour- rier dcs amateurs.)

Il. Albert Sarraut, ministre de l'Intérieur, est rentré hier soir à Paris.

Le roi et la reine d'Afghanistan quitteront Paris demain après-midi, destination de Moscou.

Par le courrier des Indes, sont arrivés hier, à Marseille, le maharadjah de Kapurtala et le mahacadjah de Rajpipla. Le premier s'est rendu à Nice, le second à Parie.

L'Académie des inscriptions et belles lettres a décerné trois prix de 1.000 francs, pour ouvrages, à MM. Chamhry, Collart et Couissin.

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On annonce la mort de M. Marcel Lemercier, secrétaire général honoraire de la compagnie de l'Est, officier de la Légion d'honneur, décédé à l'âge de soixante-quatorze ans, à son domicile, 16, rue do Marignan.

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Hervé la remercia d'un geste sobre mais éloquent. Puis son regard s'en fut vers la porte derrière laquelle Huguette venait de disparaître. Il crut percevoir un bruit de sanglots. Peutêtre avait-elle tout entendu ?.

En un élan, Il voulut s'élancer. Pour la rejoindre, pour lui crier, lui jurer son innocence. Mais le commissaire le retint.

Cette scène, flt-il, n'a que trop dnré. Partons

Oui, vous avez raison. approuvait Hervé. Plus vite je serai là-bas, Plus vite je pourrai convaincre la justice que je ne suis pas coupable.

Et il s'en fut avec le magistrat et l'inspecteur qui, discrètement, en gens bien élevés, éditèrent de donner 1 impression qu'ils emmenaient un prisonAlme de Rhuys les regarda ^'ëlol<»ner. Elle demeura immobile, crucifiée par sa douleur, baillonnée par son courage. Et de grosses larmes commencèrent a couler sur ses joues.

II

Au palais de justice

Depuis près d'une heure. le juge d'instruction Jonvelle, qui passait, si juste titre, dans l'antre de la justice pour l'un des plus habiles inquisiteurs qu'on eût connus au Palais, s'efforçait en vain d'arracher à Hervé de Kergroix l'aveu de sa culpabilité.

Huit jours de détention, au secret, la honte des tormalttés de mensuration au service anthropométrique, la pensée que, là-bas. un pauvre coeur, tout à lui, saignait cruellement, n'avaient en rien entamé la volonW et le courage du jeune industriel. (.i suivre.} Film Sté Cinéromaas. Edit. Tathé-Comortinn'


MOMENT ENTRE LE VATICAN ET LE FASCISME EST CLOS ESTIME-T-OHJH ITALIE

Rome, 6 avril (dép. Transalpine.) L'article publié avant-hier par l'OsserIcatore Romano a mis heureusement fin k la polémique rie presse qui s'était jengaRéo au sujet des rapports entre t'Elise et l'Etat.

On sait que les paroles du pape à l'adresse du centre catholique national, tïdi'lo au fascisme, avaient été interprétées comme un désaveu du Vatican. M Mussolini affirmant les droits Imprescriptibles de l'Etat annonça en fnfme temps la dissolution de toutes les associations d'éducation pour la jeuessc. La situation pouvait ainsi paraître tendue.

La note du Vatican est donc venue au Moment opportun pour éclaircir la situation et exptiquer 1° que le pape n'a toa« entendu condamner le centre natiotoal catholique; 2° que le pape ne prétend pas monopoliser l'éducation de la Jeunesse, mais se réserver t'instruction ïcliKieuse (ce en quoi le gouvernement Me Mussolini consent pleinement), et 3° enfin, qu'il n'y a pas de conflit entre l'Eglise et l'Etat italien.

Plusieurs Journaux remarquent que '-fa cette déclaralion très nette et très Explicite du Vatican servira « à calmer te zèle de la presse anticatholique étrangère qui, en l'occurrence, semblait animée d'un amour soudain pour Le Secoio de Milan, de son côté, ajoute Il L'incident est clos. Il n'y a pas de .Conflit entre l'Eplise et l'Etat. Le Vatican ne le veut pas. Et nous pouvons -^jouter que M. Mussolini ne le veut pas mon plus.

Ni l'Eglise, ni l'Etat n'ont intérêt à 'provoquer un conflit. SI l'Eglise se laissait aller à suivre les restes du parti populaire, le régime fasciste ne serait pas renversé pour cela: mais la conscience religieuse nationale en serait proïondément troublée.

La discussion est ainsi close. Ce résultat a été atteint grâce à l'attitude prise immédiatement par M. Mussolini. Aucune irrévérence de sa part, ni aucune offense. Mais aussi aucune faiblesse, ni aucune abdication des droits de l'Etat et de la révolution fasciste.

Le commissaire des Soviets à la Guerre s'explique au sujet de l'arrestation des six ingénieurs allemands Le commissaire soviétique il. la Guerre '"Vorocliilov, qui, depuis quelque temps, apparait comme le porte-parole du gouvernement, a exposé aujourd'hui, au cours d'une conférence faite il. des se«rtHaires d'organisations communistes, 3e cas des six ingénieurs allemands récemment arrétés dans le bassin du Dotels. Il a d'abord expliqué que deux ides ingénieurs avaient été libérés parce Rue les accusations portées contre eux S'avaient pas été suffisamment prouMais, a-t-il ajouté, nos services politique et judiciaire sont en possession de témoignages accablants pour les autres, sur. qui une surveillance étroite 'doit continuer à s'exercer.

1 Pariant de la rupture des négociation* toermano-soviétiques, Vorochilov a afîirmo qu'elle n'était pas la conséquence Be l'arrestation des ingénieurs.

-Au cours de ces négociations, a-t-il ttit. nous demandâmes des crédit*. Le kouvemement nous fit connaître que, en maison de l'instabilité ministérielle Inhérente à l'imminence d'élections générales, il ne pouvait pas nous donner iuu réponse. Nous prescrivîmes aussitôt à nos délégués de rentrer a Moscou. •C'est alors que se produisit l'incident du Donets, et le gouvernement allemand saisit ce prétexte pour rompre officiellement les négociations qui, en fait avaient déjà cessé.

La visite à Rome de M. Zaleski

Rome, 6 avril (dép. Radio.)

Vioenzia di Roma commente la venue (prochaine de M. Zaleski, ministre des Affaires étrangères de Pologne à. Rome. Dans les milieux politiques, la visite jBe M. Zaleski 'est considère avec une satisfaction sincère et le désir du minis- t Ire polonais de se rencontrer avec le pre mier ministru italien a été aocueilli avec ,un plaisir manifeste.

M Zaleski a toujours montré qu'il con- 'sidère l'amitié entre les deux paye comme un élément essentiel de la politique de ,paix que la Pologne poursuit en Europe politique de paix que l'Italle apprécie à sa juste valeur, tout en suivant avec intérêt et syropathie le vigoureux effort reconsi tructif que le gouvernement du maréchal Ptlsuifcki développe à l'intérieur de la République polonaise, soit dans le do- ] .naine' politique, soit dans le domaine économique. »

PES RAFFINERIES DE PÉTROLE x FLAMBENT A CUBA

tendres. 6 avril (dép. Pettt Parisien.) On mande de la Havane à l'Exchange Telegraph qu'une formidable explosion s'est produite dans les raffineries de -pétrole de la Sinclair Oil Company, de ce port. Une femme a été tuée, plusieurs, 'pompiers et un certain nombre de vo·' lontaires ont reçu d'assez graves blessures. Les établissements sont, presque totalement détruits. On rappelle que les raffineries avaient dé.ià été démolies en par un cyclone. Leur reconstruction avait coûté 3 millions de dollarà. Aux États-Unis, trombes et ouragans coûtent la vie à dix personnes

Londres, 6 avril {dép. Petit Parisien.) On mande de Kausas City à 1 kxChange Telegraph que les trombes et les •ouragans qui ont balayé le Kansas, l'Oklahorna. le Texas et l'Arkansae ont provoqué la mort de six pfrsonneq et causé des dégâts évalués à un million de dollars. D'autre part, un ouragan a ravagé Shawnee. où quatre personnes ont péri.

L'industriel Ford en Angleterre Londres, 6 avril (dép. Petit Parisien.) M. Henry Ford, le magnat de l'industrie automobile américaine, a débarqué cet après-midi à Southampton, venant de New-York. Il est accompagné de Mrs Ford et compte, durant son séjour, visiter Stafford-sur-Avon et Manchester. Treize morts en vingt quatre heures sur les routes anglaises

Londres, 6 avril (dép. Petit Parisien.) Treize personnes ont été tuées dans des accidents de route qui se sont produits en Angleterre depuis hier soir. Une minute de recueillement

en Tchécoslovaquie

i la mémoire des morts de l'indépendance Prague, G avril (dép. Information.) îiî Croix-Rouge tchécoslovaque a convié les Tchèques à observer « une minute de silence et de recueillement » demain samedi. à midi précis. Cette manifestation symbolique doit honorer la mémoire des enfants du pays qui sont morts pour la conquête de l'indépen- dance tchécoslovaque.

Angleterre et Norvège

affirment leurs droits respectifs sur deux îlôts sud-atlantiques dont l'un porte un nom français Londres, 6 avril [dép. Petit Parisien.) On se souvient qu'en décembre 1927, le gouvernement norvégien annexa officiellement les flots sud-atlantiques Bouvet et Thompson et qu'à ce moment te Foreign Office protesta, en réclamnnt la souveraineté sur ces terres inhabitées, dont le capitaine anglais Morris aurait pris possession au nom de la GrandeBretagne en 1925.

Suivant le correspondant du Times à Oslo, un consul norvégien vient de publier, dans le Sjœfartstidende, uns série d'articles qui établissent le droit de la Norvège à l'annexion. L'argumentation de ce fonctionnaire est la suivante Il n'existe pas de preuves irréfutables que le capitaine Morris ait planté le drapeau britannique sur ces terres en 1925. Ces preuves existeraient-elles, que la réclamation anglaise ne serait pas fondée. On constate, en effet, que. dans la carte spéciale des mers australes, dressée par le service hydrographique de l'Amirauté en 1739 et approuvée par un acte du Parlement en juin de la même année, le groupe des îles Bouvet n'est pas mentionné comme possession de l'Empire britannique. A supposer que le droit de propriété eût existé, il ne fut donc pas maintenu.

Dans ces conditions, le capitaine norvégien Horntvedt, de la baleinière Sorve'qia, qui aborda dans l'Ile Bouvet le 1" décembre 1927, avait planté. conformément aux usages internationaux, le drapeau norvégien, afin d'en prendre posssession au nom de son pays. » Telle est la thèse norvégienne, qui d'ailleurs, ne parait pas avoir été admise par le Foreign Office, Mais qu'adviendrail-il si le gouvernement français faisait valoir ses droits, que lui créa, dés le navigateur Bouvet de. Lozier. originaire de Saint-Malo, et qui eut l'honneur de donner son nom à l'flot, en même temps qu'il plantait notre pavillon sur un promontoire qu'il baptisa cap de la Circoncision

Un exposé de M. Cafandaris sur la situation financière de la Grèce

Athènes, 6 avril (dép. Ilavas.)

La Chambre a voté, en première lecture, la loi réglant les rapports entre l'Etat et la Banque Nationale après la création de la nouvelle banque,- d'émission.

Répondant aux observations de certains orateurs de l'opposition, M. Cafandaris, ministre des Finances, a exposé les raisons qui militent en faveur de la création d'une banque d'émission et de la stabilisation monétaire. Il a relaté les heureux résultats déjà acquis par l'application du programme d'assainissement financier, adopté par le cabinet e de coalition et approuvé par le comité financier de la Société des nations. Le ministre a relevé notamment que, dans l'espace d'un an et demi, le règlement des dettes de guerre a été assuré, le blocus financier de la Grèce a été levé et que la Société des nations a prêté son appui à la conclusion d'un triple emprunt émis dans des conditions considérées récemment encore comme lmpossibles.

Le Trésor a acquis une aisance telle que non seulement les réfugiés ayant 1 droit à une indemnisation ont été payés, mais qu'il reste à la Banque Nationale un solde créditeur do 470 millions de drachmes en faveur du Trésor. Depuis un an, la monnaie nationale reste à un niveau stable.

La réserve en devises étrangères pour le compte de l'Etat a atteint 4 millions 500.000 livres sterling. Au cours d'un seul exercice, le déficit des années précédentes, qui était de 2 milliards 60C millions de drachmes, a été couvert san- nouvelles charges pour le peuple, puisque le nombre-indice reste le même que celui du mois de novembre 1926.

TROTSKI SE PORTE BIEN s \FFIRME-T-ON A MOSCOU Moscou. 6 avril (dép. Havas.) On déclare à Moscou quo la nouvelle ;elon laquelle M. Trotski aurait été t dans un accident de chasse n'a )as plus do valeur que celle publiée ces ours derniers concernant un attentat dont il aurait été victime.

Les relations anglo- égyptiennes Le Caire, 6 avril (dép. Times.) Nahas pocha s'est rendu, cette nuit, à la résidence où il a eu une longue entre- vue avec le haut commissaire lord Lloyd. LA CONFÉRENCE NORD-AFRICAINE REMISE AU MOIS DE JUILLET Tunis, 6 avril (dép. Havas.)

La conférence nord-africaine des gouverneurs et résidents généraux, dont la date primitive avait été fixée au 5 mai, aura vraisemblablemerit lieu à Rabat du 7 au 12 juillet prochain.

Dans le Moyen-Atlas, un djich est mis en fuite par nos cavaliers Rabat, 6 avril (dép. Pctdt Parisien.) Dans le Moyen -Atlas, un djich de pillards, s'avançant sous le couvert de la foret de Timhadiq, s'est approché d'Azerdu, où il comptait tenter une razzia. Découvert par les éléments indignes de sécurité de la région militaire de Meknès, il leur livra un combat assez violent, nous tuant même deux moghaznis. Il fut néanmoins rejeté et est actuellement en fuite vers la montagne, poursuivi par les cavaliers des tribus et de nos forces supplétives alertée?.

Un gendarme tué au Maroc Chargé d'arrêter des déserteurs, il est renversé par me automobile qui appartiendrait au fugitifs

Rabat, 6 avril (dép. Petit Parisien.) A la sortie de Marrakech, sur la route de Casablanca, le gendarme Jacquot, chef de poste de Bcnguorir, avait la consigne de faire arrêter les automobiles pour rechercher des déserteurs d'un corps de la garnison. Survint une puissante voiture qui, loin de stopper, accéléra et renversa le gendarme, lui fracassant le crâne. Le malheureux, transporté à l'hôpital, y reçut la médaille militaire, et l'on 'se demande si la voiture homicide n'est pas précisément celle qu'on recherchait.

Dans la région de Petit,jean, la gendarmerie a découvert, dans diverses mechtas indigènes, des fusils de guerre et des cartouches, qui furent immédiatement confisqués. Les détenteurs disent les tenir de déserteurs indigènes passés en zone espagnole. V. LA TERRE A ENCORE TREMBLÉ EN ASIE-MINEURE

Angora. 6 avril (dép. Havas.)

Hier après-midi, plusieurs violentes secousses ont été ressenties à divers intervalles à Tornali et à Smyrne, suivies d'une foible secousse 18 heures. Hier. à 21 heures, et aujourd'hui à 2 heures, deux très violentes secousses ont été ressentir* à Torbali sans causer de nouveaux dégâts,

LES GRANDS _RAIDS AÉRIENS |D CORNILLON ET GÉRARDOT!(] SONT ARRIVÉS_A CASABLANCA Le raid magnifique Paris-Oran-Tombouctou-Dakar-Casablanca. c'est-à-dire le L tour complet de nos possessions du Nord, du Centre et de l'Ouest africains, entrepris par les aviateurs Cornillon et Gérardot, touche à sa fin, et aujourd'hui t peut-être, demain au plus tard, les deux héroïques aviateurs seront de retour c parmi nous. a Ils ont, en effet, accompli hier une d nouvelle étape et non la moins périlleuse de leur audacieuse randonnée ,j en couvrant le parcours Dakar-Casa- 0 bianca. t Partis de Dakar à minuit, ils faisaient 8 d'abord escale a Port-Etienne, k 7 heu- ( res du matin. Reprenant leur vol après t un rapide ravitaillement, Us franchis- r saient ensuite l'inhospitalière Mauritanie d'un seul bond et venaient atterrir à Casablanca à 20 h. 14. r A leur arrivée dans cette ville, Cor- nillon et Gérardot ont déclaré avoir fait ( un excellent voyage. Grâce, du reste, à c leur installation de T. S. F., et notam- [ ment IL leur radiogoniométre Rndln-L.1. ( type superhétérodyne, les aviateurs sont restés en permanence en rapport avec les postes de la côte africaine, ce qui leur a assuré une sûreté parfaite de direction. Les deux aviateurs ont fait connaître leur intention de repartir au plus tôt pour Paris.

LE VOYAGE D'ALAN COBHAM

Walflsh Bay, 6 avril (dép. Havas.) Sir Alan Cobham, continuant son raid autour de l'Afrique, est arrivé hier aprèsmidi à Walflsh Bay. Il a effectué sur la baie un amerrissage parfait. 11 repartira demain pour Alexander.

MAC DONALD EST A MARSEILLE

Marseille, 6 avril {dép. Havas.)

Le commander Mac Donald, après escale à Dijon et Lyon, est arrivé à l'aérodrome de Marignane à 15 h., sur l'avionnette avec laquelle il a entrepris le raid Londres-Delhi.

UN ESSAI DE DÉTROYAT

Dijon, 6 avril (dép. Petit Parisien.) L'aviateur Détroyat, qui était parti ce matin du Bourget, à 4 h. 40, pour exécuter un vol d'essai h pleine charge sur l'appareil avec lequel il tentera la traversée de l'Atlantique, a atterri à Dijon à 13 h. 40. venant de Marseille.

Le pilote regagnera Paris demain. L'AVIATEUR AMÉRICAIN BERT HALL VA ENTREPRENDRE LE TOUR DU MONDE Londres, 6 avril (dép. Petit Parisien.) On mande de New-York que le lieutenant aviateur Sert Hall a l'intention d'entreprendre dans quelques semaines un raid aérien autour du monde. Sa première étape sera un vol trauspaciflque de Seattle Tokio. Il compte survoler ensuite l'Asie et l'Europe, et terminer sa randonnée par un raid transatlantique sans escale.

L'AVIATEUR SINGUERLIN i SUCCOMBE A SES BLESSURES Rabat, 6 avril (dép. Petit Parisien.) Le sergent aviateur Singuerlin. qui avait été, vers la kasbah de Tadla, blessé pendant un vol par l'éclatement encore inexpliqué d'une bombe, est décédé jeudi t soir à L'hôpital militaire de Casablanca. Avant'sa mort le général Maurel lui a remis la croix de guerre avec citation 3 l'ordre de l'armée. L'état de son compagnon, le sergent Lecat, est stationnaire.

Les traditionnelles cérémonies de la semaine sainte

n'ont rien perdu en Espagne de leur fastueuse grandeur Madrid, 6 avril (dép. Havas.)

A l'occasion de la solennité du jeudi saint, la traditionnelle cérémonie du avement des pieds a eu lieu à la SainteChapelle du palais royal, en présence de la famille royale, des grands d'Espagne, des dames d'honneur de la reine, en costume de gala, avec de très riches mantilles blanches, et du haut personnel du palais.

Un magnlflque cortège a parcouru les galeries du palais, entre les rangs serrés dos spectateurs, se rendant au salon des Colonnes où se trouvaient le président du Conseil, les ministres et les membres du corps diplomatique. Ensuite s'est déroulée la cérémonie au cours de laquelle le roi et la reine ont lavé les pleds à douze hommes et à douze femmes pauvres qui ont ensuite reçu, selon la coutume, de grands paniers contenant d'abondantes victuailles.

L'après-midi, le roi s'est rendu en automobile à Tolède où il a admiré le monument monté à l'intérieur de la cathédrale qui occupe la totalité de la nef centrale; puis il est rentré à Madrid tandis que défilaient les processions avec les fameuses sculptures du xvi« et du xviii" siècle, la Manche paroissiale du xvi9 siècle et l'inestimable relique remise en l'an 589 par le pape saint Grégoire au roi Recarede lors de son abjuration de l'arianisme.

A Séville, à Malaga, à Murcie et dans les autres capitales andalouses, une grande animation a régné. De nombreuses processions ont défilé au milieu de l'éclat féerique de milliers de cierges, devant des centaines de milliers de spectateurs, parmi lesquels on remarquait de nombreux étrangers.

Plusieurs centaines -de touristes ailemands ont déharqué Malaga. Le général Sanjurjo s'est rendu également à Malaga par la voie aérienne, pour assister aux processions.

L'infant Alphonse d'Orléans, accompagné de l'amiral anglais Beatty, est arrivé Séville à bord d'un yacht. Ils séjourneront il Séville pendant la semaine sainte. La municipalité a mis une trihune à la disposition de l'amiral pour assister au défilé des processions. QUATRE CONDAMNÉS A MORT GRACIÉS Madrid, 6 avril (dép. Hnvas.)

A l'occasion du vendredi saint, le roi a gracié quatre condamnés à mort. Plusieurs ouvriers tués dens une explosion à bord d'un bateau-réservoir hollandais Londres, 6 avril (dép. Petit Parisien.) Suivant des informations de Willemstad, une explosion s'est produite dans ce port à bord du vapeur réservoir hollandais Chepita. Plusieurs ouvriers ont été tués ou blessée. On ignore la cause de la catastrophe.

Aix-la-Chapelle. Une conduite souterraine de gaa d'éclalrage a éclaté a la suite d'un affaissement de terrain. Le gaz a envahi les caves, les corridors et même les appartements de deux Immeuble?.

Bruxelles. Malgré une amélioration certaine, l'état de santé du général Wrangel reste sérieux.

Cantorbery. A l'occasion de son quatrevingtième anniversaire, l'archevêque de CantorBery primat de Grande-Bretagne, se verra conférer aujourd'hui la franchise de la ville. Londres. Lord Crewe, ambassadeur d'Angleterre à Paris, et lady Crewe. sont actuellement en Angleterre, dans leur nouvelle propriété '.le Woodeote-Grove, à Epsom. • Valette (Malte). Deux bâtiments de guerre italiens, sens le commandement du contre-amiral Orslnt, sont attendus la semaille prochaine.

Mexico. t-ingt Insurgés et quatre soi(iats fédéraux auraient été tués au cours 1 d'un engagement, près de Tequila..

1ANS UN VILLAGE DE LA VIENNE IN TROUVE UNE FEMME ET SON FILS s SAUVAGEMENT ASSASSINÉS s Le criminel, pour cacher son forfait, avait tenté d'incendier la maison de ses victimes

Jhatellerault, G avril (dép. P. Parisien.) Un double crime perpétré dans des ionditions sauvages a été découvert hier tu bourg de Saint-Clair à une quinzaine je kilomètres de Loudun. ç; Il était environ 8 h. 30 lorsque il VI. Proust, menuisier, sentit une forte a )deur de brûlé venant de la maison nabi- d ;ée par Mme Huit, née Audierne, ° soixante-neuf ans, originaire de Saint- d D'air, et son fils aîné, agé de quarante- i, tros ans. Il s'y rendit et constata qu'une il maisonnette servant de débarras brûlait. Avec l'aide de voisins, il parvint à éteindre l'incendie et voulut entrer dans la maison. Il aperçut alors, étendus sur un t, édredon, près du lit de la mère. les q cadavre ensanglantés de Mme Huet et c de son fils, tous deux le crâne fracassé. u Une armoire avait été éventrée, les tiroirs d'un buffet avaient été visités. Le crime ne faisait aucun doute. r Immédiatement, le docteur Rumeaux, c de Moncontour, appelé d'urgence, établi a que le crime remontait à l'après-midi et c constata que le üls avait été blessé à la tête par un marteau de maçon et sa mére avait eu le crâne brisé par le même t instrument. l L'assassin, qui connaissait parfaite- ment les habitudes de ses victimes, est. suppose-t-on de la région il savait que Mme Huet et son fils avaient quelques économies. Le criminel devait savoir quel la vieille femme et son fils estropié il était bossu et avait un pied bot ne pouvaient se défendre. Et il n'ignorait pas que la maison, complètement isolée, n'avait aucune issue sur la rue. La police mobile d'Angers a été chargée de J'enquête et l'autopsie des cadavres va être pratiquée par M. Velluet, médecin légiste.

11 est assez cunieux de signaler qu'il y a un an, le 10 avril 1927, un assassinat tut découvert le jour des Rameaux, au hameau de la Bussière. MM. Griffon père et fils en étaient les victimes. Jamais le meurtrier ne fut retrouvé.

Dans la cathédrale de Gap,

un sacristain meurt asphyxié

près du calorifère qu'il avait rechargé Gap, 6 avril (dép. Petit Parisien.) Le sacristain de la cathédrale de Gap, M. Casimir Bouchet, soixante-quatre ans, domicilié rue Pasteur, parti de chez lui hier soir, vers 22 heures, pour charger le calorifère de l'église, n'était pas rentré. Partie à sa recherche, sa femme eut la douleur de retrouver son cadavre étendu sur un tas de charbon près dudit calorifère qu'il avait rechargé. Sans doute M. Bouchet, fatigué, e'était-il assis sur un sac s'étant endormi, il avait succombé aux émanations d'oxyde de charbon. SIX SOUS-OFFICIERS INTOXIQUÉS AU CAMP DE LA MARTINIÈRE SONT TOUJOURS EN TRAITEMENT Châteauroux, 6 avril (dép. Petit Paris.) Six sous-officiers du 3° d'aviation parmi ceux qui furent intoxiqués au camp de la Martiniôre sont toujours en traitement l'hôpital, mais leur état n'est pas Inquiétant.

Les bruits les plus divers circulent sur les causes de l'intoxication. L'autorité militaire se livre à une très sérieuse enquête.

LES CORPS DE TROIS FRANÇAIS ASSASSINÉS A CASABLANCA PAR UN DOMESTIQUE INDIGÈNE RAMENÉS EN FRANCE

Saint-Brieuc, 6 avril (d. Petit Parisiens.) Les corps de M. Courcoux, représentant au Maroc d'une société française; de sa femme, née Julian, et de son neveu, M. Jacques Bourouilloux, assassinés à Casahlanca par un domestique indigène, ont été ramenés à Bordeaux par le paquebot Macoris. Les cercueils ont été dirigés sur Saint-Brieuc. où ils arriveront lundi prochain.

Après un service & ia cathédrale, les trois victimes seront inhumées le lendemain matin au cimetière de la ville. Mgr Courcoux, évêque d'Orléans, frère de M. Courcoux, assistera aux funérailles.

LE VOYAGE MOUVEMENTÉ DU « PRINS OLAF »

Nice, 6 avril (dép. Petit Parisien.) Le yatch norvégien Prins Olaf, sur le sort duquel on fut quelque temps inquiet, est entré au port de Nice. C'est, à tort que l'on avait fait courir le bruit que ce navire avait subi de "graves avaries au cours de sa croisière eh Méditerranée. Le commandant Fjebdotatd, qui est à son bord, déclare que le bateau n'a jamais été sérieusement en péril. A peine a-t-il subi un accident de peu d'importance, après avoir quitté Athènes et au moment où il se dirigeait vers Raguse. Après la sortie du canal de Corinthe, le Prins Olaf eut à subir du gros temps. Il s'enlisa même dans un banc de sable mouvant, mais il put se tirer de cette situation par ses propres moyens et se rendit, ensuite à Patras, où. par mesure de prudence, la roque fut examinée. Cet examen ne décela aucune avarie. Le Prins Olaf repartira de Nice lundi, pour continuer sa croisière vers l'Angleterre.

Un cargo italien fait naufrage au large de Belle-Isle

Saint-Nazaire, 6 avril (d. Petit Parisien.) Par suite de circonstances non encore connues, le cargo italien Giglio, chargé de phosphate, a fait naufrage sur les rochers des Bœufs, au large de BelleIsle. L'équipage est sain et sauf. Des remorqueurs de Saint-Nazaire ont été envoyés sur les lieux pour secourir le navire.

Un fils de l'empereur Charles d'Autriche a été l'hôte d'un châtelain français Tarbes, 6 avril (dép. Petit Parisien.) L'archiduc Ludovic, dernier fils do feu l'empereur d'Autriche -Hongrie, Charles I", et de l'impératrice Zi ta, en résidence ù Lequito (Espagne), a été l'hôte, pendant quelques jours, du marquis de Franclieu, dans son château de Lascazères. Atteint d'une otite, il a reçu des soins à Maubourguet

On arrête une mère criminelle Castelsarrasin. 6 avril (dép. P. Paris.) Une jeune fille de vingt ans, Marie Larrien, de la ferme de la Grillote, prè.s de Grisolles, mettait au inonde clandestinement un enfant du sexe masculin. dans le courant du mois de mai dernier. Elle noya le nouveau-né dans une mare et l'enterra le lendemain dans un champ. Dénoncée par la rumeur publique, la jeune fille a fait des aveux et a été écrouée à Grisolles, en attendant son transfert à Montauban.

lord mmm mumummi mm Douai. 6 avril (dép. Havas.)

On annonce que les formalités relatives il l'extradition étant complètement terminées, le transfert en Angleterre de lord Tcrrington aura lieu incessamment. Le départ du prisonnier s'effectuera par Boulogne.

DANS LA RÉGION PARISIENNE

AISNE

BOORESCHES. La société de tir « ia < "raternelle » ouvrira son stand demain. Le'; ( irs auront lieu les premiers et troisième ] lltnanelips de chaque mois.

ORIGNY-SAIKTE-BEJfOITE. II y a quoi- 3ue temps, M, Jules Pourrier, soixante-douze ans. tisseur, était victime d'un vol de francs en bons de la défense, Pris sans doute je remords le voleur a déposé ces bons à travers les volets de M. Fourrier qui les y a retrouvés.

EURE-ET-LOIR

L'incendiaire de PniU-Drouet

condamné à sept ans de réclusion

En Juillet un incendie se déclarait, pour la troisième fois, dans la ferme des époux Vaugeon au Puits-Drouet. Les soup- cons se portèrent sur un voisin, le journa lier Gaston Ménard, quarante-six ans, qui avait été accusé des deux sinistres précé- dents mais qui, faute de preuves, avait bénéficié d'un non-lieu. Cette fois, les cous- tatations furent si accablantes que Menant dut faire des aveux qu'il renouvela devant le juge d'instruction. Mais, deux mois après, Il changea d'attitude et se rétracta sur tous les points.

Bien que malade, Nénard a voulu comparaître hier devant le jury. Etendu dans la faite d'audience sur une civière, il a protesté de son innocence, ajoutant pour expliquer ses premiers aveux qu'il préférait, à ce moment, tout même une condamnation ultérieure plutôt que d'être enfermé au commissariat de police. En vain, le preaillent lui Ht observer que les empreintes relevées auprès du bâtiment Incendié correspondaient exactement celles de ses chaussures, et qu'au surplus sa présence a été remarquée près des bâtiments alors qu'il affirme n'être pas sorti.

Après réquisitoire de M. Senties, substitut et plaidoirie de M* de Servigny, le jury a rendu un verdict de culpabilité mitigé toutefois des circonstances atténuantes. Mônard a été condamné sept ans de réclusion et vingt ans d'interdiction de séjour. DREUX. Arrêté parce qu'il causait du scandale dans la rue et conduit au commissariat, l'ouvrier agricole Yves Le Ber, trente ans; se jeta sur l'agent Leguay et le blessa sérieusement. Le Ber a été écroué a la prison de Chartres.

OISE

Bénédiction d'églises

Mgr Le Senne, évoque de Beauvais bénéra. le lundi de Pâques, les nouvelles églises de Chlry -Ourscamps et d'EUncourt-SalnteMarguerlte.

BAILLEUL-LE-SOC. La compagnie d'arc, « la Suzette a procédé au tir de l'oiseau, M. Victor Corroy été proclamé rol. CLEHMONT En mars, la caisse d'épargne a reçu francs et remboursé soit un exécédent de en faveur des recettes.

COMPIEGNE. Au cours de son travail à la brasserie Aneel, un ouvrier, M. Paul Golnmbeck vingt-trois ans, toucha un câble électrique. Il tomba foudroyé.

FOURMIVAL. Demain, à 20 h. 30, salle Walrcaidt. soirée organisée par la section des anciens combattants.

GRAND-FHESNOY. La compagnie d'arc a procédé au traditionnel tir à l'oiseau. Celuici est tombé a la treizième halté sous la flèche du chevalier Robert Bourcier qui fut proclamé rot. Ont été nommés ensuite connétable, M. Auguste Choisy; président d'honneur, M. Emllien Morliére; capitaine honoraire, M. A. Rohart; capitaine actif, Af. Charles Delayen; lieutenant, M. Llénard; sous-lieutenant-porte drapeau, M. Nestor Devaux; sergent, M. Edmond Delayen; greffier, M. Octave Dorré; trésorier, M. Nestor Blondel.

REMT. Une jeune bonne de dix-huit ans, Suzanne D. employée chez NI. Emile Dupuls, cultivateur, profita de l'absence de fe dernier pour lui dérober une liasse de dix billets de 100 francs. Puis se voyant soupçonnée, elle brûla les billets.

SEINE

Le désespoir d'an veof

Désespéré de la mort de sa temme survenue le matin même, M. Félicien Aubert, soixante-dix-neuf ans, 37, rue de Paris, à Courbevoie, s'est jeté par une fenêtre du quatrième étage. La mort fut instantanée. Un motocycliste blessé pu ijn« auto Boulevard Anatole-France, à Saint-Denis, un motocycliste, M. Fernand Morand, trente ans, 59, rue de Lancry, Il Paris, a été renversé par l'auto de M. Pierre Ctavaldinl, trente-quatre ans, soudeur, 6, Impasse Desgranges, à Cllchy. Relevé avec une épaule fracturée et des plaies Il la tête et aux Jambes, le motocycliste a été transporté a l'hôpital de Saint-Denis.

collision entre une nu et une cuuonnciiv w A l'angle des avenues de Villeneuve·le- S Roi et de Versailles, Il Choisy-le-Roi, l'auto de M. Edouard Randegger, Industriel, 57, avenue Marigny, il Vincennes, est entrée en collision avec une camionnette conduite, par Ni. Jules Monvoisln, 50. rue de la Gare, a VIlleneuve-le-Rol. M. Pierre Letère, trentecinq ans, habitant Juvtsy, qui se trouvait dans cette dernière voiture, a été grièvement blessé. A la Pitié.

Blessée par sa train

Sur la voie ferrée, entre les gares de Champigny et de Saint-Maur. on a trouvé, grièvement blessée, Mlle Marguerite Geor- ges, cinquante-deux ans. demeurant 62, rue de Port-Arthur, à Champlgny.

Mlle Georges a été transportée à la Pltlé où son état n'a pas permis de l'Interroger. On suppose qu'elle aura été surprise par un train, alors qu'elle voulait traverser les voies.

BONDY. Près du pont d'Aulnay, on s retiré du canal de l'Ourcq le cadavre de M. Albert Mlgeotte, viogt-deux ans, qui avait disparu il y a quinze jours du domicile de ses parents, quai de halage. GElfTILLY. On a arrêté et envoyé au dépôt le chiffonnier Marceau Degrenne, vingt-huit ans, 80. rue du Docteur-Durand, qui, au cours d'une rixe, avait tiré un coup de feu. sans, heureusement, atteindre son adversaire.

SEINE-ET-MARNE

LA FERTE-SOUS-JOUARRE. Le comice agricole se tiendra le 7 Juillet à la Fertésous-Jouarre. Il coïncidera avec un concours de manœuvre de pompes Il Incendie. PORT-CARRE. La gendarmerie a verbalisé contre le journalier Pierre Leconte, quarante-six ans, qui, au cours d'une discussion avec son voisin» Fernand Lepareure, a tiré sur lui, sans l'atteindre, uu coup de revolver.

SEINE-ET-O1SE

VIARHES. Neurasthénique, M. Maurice Varlet, soixante ans, Jardinier, route du Prince, s'est pendu dans son sous-sol. VERSAILLES. Une motocyclette montée par M. Legros, mécanicien, 35, route nationale, il VJroflay, est entrée en collision, avenue de Paris, avec l'automobile que pilotait M. Fernand Renaud, rue de Chartres, à IVeullly. Grièvement blessé à la tête, M. Legros a été admis à l'hospice. L'Etoile Sportive de Vlronay-Versailles organise, g l'occasion des fêtes de Pâques, un tournoi de football-association. Dimanche, a 14 h. 15 E. S. V. V. (1) contre Union Sportive Bue (1) à 16 h. 45, C. A. P. (Pingouins, contre E. S. V. V. lundi, A 14 h. 15 et Il 1A h. 45, match final; il 18 h., distribution des prix d'honneur.

LES ACCIDENT* DE I.A RoTÎTF Deax blessés près d'Epernay

Epernay, 6 avrU (dép. Petit Parisien.) Un grave accident s'est prodult dans la descente de Brugny près d'Epernay, sur la route de Chompaubert, à 15 kilomètres de t'endroit où Mme Fieir, femme d'un boucher de Montmorency, a été tuée tiier.

M. de Komar, sujet polonais, venait de prendre livraison à Paris d'une Panhard, et en compagnie de sa fille et du chauffeur Scocard, essayait si voiture quand l'auto alla se ,jeter dans un virage contre un arhre. M. de Komar fut grièvement blesaé et le conducteur eut les .jambes fracturées.

L'artiste de cinéma Camille Bardon

a le bras cassé dans un dérapage

Bernay, 6 avril idép. Petit Parisien.) Ce matin, à la Rivière-Thibouville. près de Beaumont-le-RoRer, NI. Camille Bardou, artiste de cinémi, demeurant rue Duperré, à Paris, se rendait en auto à Granville en compagnie de M. Fouquet, opérateur, quand, au bas d'une côte, le véhicule dérapa sur la chaussée glissante et se renversa.

M. Fouquet est indemne, mais NI. Bardou a été contusionné à la tête et a le bras gauche cJK6é il a été transporté à J'faôpital de Bernay,

Jn fonctionnaire de l'Aisne uspendu pour prévarication Laon, 6 avril {dép. Petit Parisien.) Les bruits les plus compromettants irculaient depuis quelque temps sur le ompte d'un contrôleur départemental et5 régions libérées. Le scandale vient l'éclater, k la suite de la démission de e fonctionnaire, démission qui a été efueée par le préfet.

En examinant la comptahilité d'une nlreprise récemment déclarée en failite, le syndic découvrit, au passif, une fépense de 15.000 francs figurant sans indication de débiteur. Les entrepreleurs faillis déclarèrent avoir versé cette ;omme au contrôleur, en qualité de lirecteur de l'emprunt départemental et jour le récompenser des tours de fa7eur que, au mépris des instructions du :onseil général, il avait accordés à des :lients de l'entreprise pour souscrire à 'emprunt.

Le fonctionnaire commença par nier, t Ni. Bègue, préfet, qui avait une ;rande confiante dans son collaboraeur. s'était d'abord refusé à croire à a forfaiture, mais les déclarations des aillis, puis la démission du contrôleur mt convaincu le préfet, qui refusa la témission de son collaborateur et le ;uspendit de ses fnnctions. L'affaire a ilé soumise au ministère et M. Barlhou, ninistre des Réglons libérées par inté•im, a sursis à se prononcer, en attentant la fin de l'enquête

Quant au contrôleur, il a déposé une )lainte en diffamation contre les ,jourtaux locaux qui ont parlé de cette iffaire, puis il a fait une déclaration de ̃andidature aux élections législatives tour. dit-il, soumettre au public les igissrments de l'administration à son ignrô.

Ce nouveau scandale cause un gros émoi à la préfecture, où, cependant, nous savons qu'on est décidé à punir toutes les fautes commises. Il est vrai que les erreurs de quelques-uns ne peuvent faire oublier les services rendus par les nombreux et intègres auxiliaires de la reconstitution de l'Aisne

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"T^pl LA FUGITIVE i £#.(!$«< -S par HENRY DE COLEN

Les giboulées de mars giclaient en rafales dans le courant d'air de la provinciale rue d' \uteuil, que Robert Marlier remontait hâtivement. La pluie fine des minces flocons de neige étoilait de blancheur son raglan au col relevé. Mais, à mesure qu'il approchait, il sentait décroître sa lassitude.

Ce jour-là, comme tous les autres jours, il avait battu Paris en quête d'affaires. Depuis des mois, il la connaissait par cœur cette lamentable monotonie quoti- dienne des randonnées à travers les cabi- ¡lets d'affaires de la grande ville. Il savait les étages qu'il avait à monter, la durée approximative des attentés dans les vestibules équivoques comme dans tes bureaux luxueux. Et toujours les mêmes gestes, les mêmes paroles, les mêmes espoirs, les mêmes désillusions.

Depuis qu'il s'était ruiné dans des placements de tout repos, dans des spéculations sûres et désastreuses, à la Bourse, dans l'industrie, partout, il courait les affaires. Ah ces affaires innombrables du grand Paris 1 Les terrains, les immeubles qu'on veut vendre, qui vont être achetés les prêts sur titres, les nantissements de fonds de commerce, les escomptes de traites, les commissions astronomiques qu'on escompte et qui fondent en eau comme cette neige de mars. Et puis, rien, toujours rien. Et la pluie cingle plus fort, et les maisons alentour sont plus hautes, et le ciel est plus pesant, et le pas est plus alourdi, et le cœur est plus serré.

Robert Marlier parvenait devant sa demeure. Il eut un sursaut. Machinalement, il releva les bords de son chapeau mou, baissa le col de son raglan, secoua les goutelettes de pluie. Alors, allégrement, il commença l'ascension de ses cinq étages. Au troisième, il souffla un court moment. Encore deux étages, et il serait devant sa porte. Et, derrière la cloison, l'attendant, guettant son retour, elle serait là, sa grande, sa belle silhouette brune, sa seule tendresse, toute sa vie 1 Et ce soir, enfin, il n'aurait pas besoin de dissimuler, toujours pour qu'elle fût heureuse, pour qu'elle ne doutât pas de lui Il revenait avec de l'argent dans son portefeuille 20.000 francs touchés tout à l'heure une commission sur un placement de titres d'une affaire industrielle' les « Grès du Paradis », constituée en société anonyme. Depuis un an qu'il poursuivait cette affaire, enfin elle avait abouti il venait d'encaisser sa commission. Au cinquième, sur son paillasson, il remarqua des brins de paille Tiens, pensa-t-il, des locataires qui ont dû déménager.

Il avait mis la clef dans sa serrure, ouvrait la porte, palpait d'une main hésitante le mur, avec de petites tapes, afin de trouver le commutateur électrique. La lumière, soudain jaillie, révéla le vestibule familier.

C'èst moi, chérie cria-t-il gaiement et avec une bonne nouvelle

LES CONGRÈS

Les professeurs de lycées

Dans sa dernière séance, le congrès des tiroresseuTs de lycées, après avoir entendu le rapport de M. Perrotin (BOrdeaux) relatif à la réalisation pratique, par étapes, de la gratuite de l'enseignement secondaire, a voté à l'unanimité moins une voix, la motion suivante

pour la classe de gratuite de l'enselsrnement aprt; un examen dont seraient (ilspensés les élèves ayant, à la fln de la 7., satisfait èi l'examen de passage organisasatlon de la sélection dans la classe de 61 organisation aussi d'une clase de spéciale pour' les élèves faites qu attardés trente enfants au maximum dans chaque classe. A la nn de l'année, un examen serait réservé à ceux qui n'auraient pas réalise la moyenne. Les mêmes mesures seraient appllquées, par paliers, aux classes supérieures chaque année une classe serait organisée de la même taçon, d'abord la 50, puis la i' et ainsi do suite.

Les censeurs des lycées nationaux L'Association amicale des censeurs de lycées a tenu son congrès, au lycée Louisle-Orand, sous la présidence de M. Plobetta, censeur à Henri-IV.

Apres avoir constaté et regretté que nt les proviseurs, ni les censeurs, ni les professeurs, ni les surveillants généraux, ni les répétiteurs n'ont obtenu de' la commission de péréquation un rajustement convenable des traitements, le couvres s'est occupé de diirérentes questions d'ordre corporatif et pédagogique. Au sujet du « lycée gratuit », le congrès a émis le voeu suivant « Le congrès fait confiance M. Herriot pour réaliser, dés que la situation budgétaire 1 permettra, la gratuité de l'enseignemc secondaire, mal- Il Iui demande, pour i'ani plication administrative et pédagogique de cette heureuse réforme, de constituer une commissions composée, en majeure partie, d'adminlstrateurs et de professeurs do lycée.

La personnel des écoles d'application L'assemblée générale annuelle du personnel des écoles annexées aux écoles normules primaires et den école!; d'application s'est te mie à l'école normale d'Auteuil, sous Ix présidence de M. Pcllevoizin (DeaxP<>vres). Apres l'approbation du rapport moral présenté par le président et du tonipte rendu financier établt par M. Renard, trésorier le congrès a décldé de demander la création d'un examen d'aptitude aux fonctions de professeur des E. A. L'examen des questions pédagogiques a Bonne lieu à un longue et intéressante discussion, close ^ir t'adoption des vœux suivants que l'on établisse, en vue de t'examen du certificat d'études primaires élémentaires, des programmes limitatifs précisant l'étendue des matures 8-étudier; Nue lo nombre des épreuves soit réduit que la notation soit uniforme (de 0 a 10) jiue les questions d'examen soient toujours clairement posées et ne débordant pas le cadre des progruitimes officiels qu'en tomme on évite tout ce qui peut provoquer le néfaste « bourrage » des Jeunes candidats que toutea' les mentions soient sup-

K>. Feuilleton du Petit Parisien, 7-4-28 y] Graad rommt inédit

TROISIÈME PARTIE

PAQUITA

I (suite)

La jolie promenade

Madeleine emmenait toujours son chien fox, Foly, son garde dn corps fidèle et dévoué. alerte et amnsant, qui, nez pointu au vent, yeux Intelligents, patates mennes. pleines de vif argent, laisait dans l'herbe des parties folles de galopade,

La baronne, depuis un assez long moment arrivée au rendez-vous, faisait près de sa limousine les cent pas, attendent ses amies qui ne devaient tarder arriver.

Mu effet, la petite voiture se montra blentlit au bout de l'allée, marchant à l'allure prudente de promenade, tranquillement, tenant bien la droite régiementaire. En l'apercevant, la baronne, gent)ment, de Ia main ftt un geste amical ¡pour signaler sa présence. Madeleine répondit par un coup de Clakaon. Foly qui, par la portière, admirait les pelouses ou Il fait si bon eourlr, resarclait les promeneurs et surCopyrlght by Léon Sazlo 192a Traduc- tlon et reproduction interdites en tous pays.

:nfin Tu sais, l'affaire des Grès du Paradis]), et bien, c'est fait, c'est. Il n'acheva pas. Une angoisse l'avait Streinï' à la gorge et ses yeux chavirèrent le meuble, le petit secrétaire le Suzanne, ici, contre le mur, dans l'anti.:hambre, il n'était plus là. Il referma la porte et, vacillant, s'appuya contre elle. Alors, soudain, ses yeux virent tout, mesurèrent la catastrophe. Elle avait fui 1 Elle était partie 1 Il se mit à marcher de long en large, à travers l'appartement déserté, dévasté, sans savoir. Et soudain, sur son bureau, il aperçut une lettre. L'écriture fine de Suzanne s'allongeait sur l'enveloppe, indifférente aux mots cruels qu'elle recélait. Il déchira l'enveloppe, puis, il lut péniblement

a Mon cher Robert,

« Que je suis malheureuse, mais tu m'as forcée à agir ainsi par tes exaspérations continuelles. Depuis un an, la vie était de plus en plus insuppors table et, vraiment, je ne peux plus s résister 1 je m'en vais. J'ai pris seulement quelques pauvres souvenirs communs. Je te laisse tout ce qu'il te faut. J'espère que tu penseras malgré a tout aux bons débuts de notre mariage, à notre bonheur gâté par tes folies et tes illusions. Je t'embrasse quand même bien tendrement.

s Ta petite Suzon. »

Robert Marlier passa sa main devant ses yeux brouillés et qui ne voyaient plus. Entre ses doigts, la feuille blanche frissonnait. La détresse dont il était envahi se révéla si intolérable, qu'il eut des gestes d'halluciné. Brusquement, il sortit de son portefeuille la liasse des vingt billets de mille, qu'il était si heureux d'apporter, la jeta à terre et la piétina.

Puis il se mit à ranger les pièces en désordre, à ramasser les papiers épars, mettant des meubles aux places laissées vides, tâchant de redonner à son intérieur une figure amie. Et de grosses larmes roulaient sur sou pauvre visage.

Dans le buffet de la cuisine, il découvrit une bouteille de porto. Il la déboucha et il but coup sur coup, à grands verres, à longues rasades, par besoin, pour ne plus penser. II avait pris, entre ses mains tremblantes, une photographie de sa femme.

Alors il eut la nausée de la comédie dégradante qu'elle avait su lui jouer. Et, soudain, il ressentit une impression inconnue. C'était comme si quelque chose de lui-même se détachait, quittait son corps. A ses poignets, il sentait se durcir et se boursoufler ses artères aux tempes, monter l'avalanche du sang. La détresse dont il était envahi devint plus oppressante.

Il vacilla un instant, laissa tomber à terre la photographie, tenta de se rattra- per au mur, et puis, tout d'un bloc, il s'effondra, terrassé par une syncope, sur le tapis du vestibule piqué de copeaux, saturé de la paille complice du départ de la fugitive. Henry de Golen.

La Fédération' des instituteurs

La commission permanente de la Fédération nationale des groupements professionnela d'instituteurs et d'institutrices publics, réunie il l'école de la rue Béranger (Paris-111,), après avoir traité les différentes questions portées à son ordre du jour a émis les vœux ci-après Que Pexamen du certificat d'études primaires élémentaires soit fimplifie par la suppression des épreuves orales (sauf la lecture)

2° Que le Sénat vote au plus tût la proposition de- lot sur la responsabilité civile des, instituteurs, adoptée le 13 juillet dernier par la Chambre

s° Oue les traitements soient établis non: plus par des commissions spéciales, mais par le pouvoir législatif

Que la composition du comité consultatif chargé do préparer le mouvement du personnel soit remaniée dans un sens plus large

5° Qu'en cas de décès d'un fonctionnaire célibataire, retraité ou non, des droits à pension soient reconnus è ses ascendants inllrmes ou vivant il sa charge, etc. Le personnel de surveillance

Le Syndicat des agents de surveillance et d'entretien a tenu son congrès, 5, rue de Poitiers, sous la présidence de M. Lavalette, du ministère de l'Agriculture. L'action syndicale engagée dans le but d<; faire aboutir Des diverses revendications: congés, durée normalc de la journée de travail, reclassement de certaines catégories «̃agent. retraites, etc., a été approuvée il ^Vnanimité, ainsi que le rapport nnaiicicr. Les travailleurs du spectacle

La troisième journée du congrès de la fédération du spectacle, présidée par M. l'Pahin, de Menton, a débuté, hier, par un débat sur la réorganisation administrative de la Fédération. Puis M. Cébron fut réélu secrétaire général par acclamations. Le congrès procéda alors au vote pour la nominalion de trelze membres titulaires et cinq suppléants il la commission exécutive fédérale.

Puis m. Julien, des Bouches-du-Rhone, fil approuver les vœux adoptés par la conférence technique des machinistes et M. Rives, de Marseille, ceux de la conférence des ehorlstes. Ensuite, le congrès, après avoir donné mandat a fa nouvelle commission exécutive d'organiser les sections techniques professionnelles au sella de la Fédération. décida sans débat de transférer le siège fédéral d'Angers à Paris. En fin de séance, une motion sur la Tadlophonle fut adoptée par le congrès, prenant acte du rejet par le Parlement des propositions de la commission Intermintsté.rielle de radiophonie approuvant la reconnaissance du droit des exécutants et félicitant le secrétaire général d'avoir demandé la neutralité politique et religieuse; donnant mandat au secrétaire générale de poursuivre les travaux de la commission interministérielle dans le but de soustraire la radiophonie t'emprise d'un consortium mondial et d'obtenir un régime définitif favorable au:, inléréts de la classe ouvrière et en particulier de ceux des travailleurs du spectacle.

veillait certainement la Paçon dont sa jolie maîtresse conduisait son auto, lança à l'adresse de la baronne, que ses petits yeux vifs avaient aperçue de loin, un aboiement, comme un fox bien élevé. Pour venir se ranger derrière la limousine de la baronne, Madeleine n'avait plus qu'une vingtaine de mètres à courir.

La charmante et experte chauffeuse ralentissait déjà. Elle avait h franchir un croisement de routes en angle droit. Correctement, Madeleine, avnnt de poursuivre, avait averti par de nouveaux coups de cînTcson. La route étroite qui coupait la grande avenue semblait d'ailleurs déserte.

Madeleine s'apprêta donc à franchir en toute tranquillité ce croisement. Elle le dépassait, quand soudain, un taxi, lourd, brutal, déboucha sans donner avis, rapide allure.

Madeleine n'eut ni Je temps, ni la possibilité de se garer, et ce qui devait fatalement et nécessairement arriver ne manqua pas de se produire.

Ce fut, sous les yeux affolés de ?a baronne et d'autres promeneurs, le grave accident

Le taxi heurta la petite voiture, Il y eut un grand choc, avec bruit de glaces brisées, explosion de pneus. Puis retentirent les cris de terreur, d'effroi et d'indignation des témoins, les jurons du chauffeur qui, pour préparer Sv\ défense, insultait sa victime.

Bousculée, enfoncée, écrasée, la petite voiture fut poussée pendant quelques mètres par le taxi, qui ne s'arrêta enfin que parce que ses roues de devant se trouvaient engagées dans les débris de l'arrière-train embouti.

On se précipita au secours des vietimes. Des promeneurs, gens du monde,

LE XXIXe PARIS-ROUBAIX ouvre demain

la saison cycüste sur route Cent routiers de valeur sont engagés dans la vieille et classique course Chaque ..année, le sport cycliste, le plus populaire des sports en France déroule la litanie de ses traditionnels évé-' nements Paris.Roubaix, Paris-Tour*, Bordeaux-Paris. Paris -Bruxelles, le Tour de France. Chacune de ces grandes manifestations a lieu dans des conditions immuables on il peu près et à la méme époque. Lo calendrier des courses cyclistes, c'est presque en Frande le calendrier des saisons Pâques nous vaut Paris-Roubaix la fin d'avril nous ramène Paris-Tours, comme la pleine lune de mai voit toujours Bordeaux-Paris, Le début de l'été, enfin, est le signal du Tour de France. De l'avènement do la saison sportive, marquée par la course pascale, à son point culminant, le fameux « Tour c'est ainsi une succession de faits sensationnets qui, depuis près de quarante ans, constituent lnrmaturo de la vie sportive en France.

Comme à l'habitude, Parie-Roubaix, organisé par l'Auto. a donc lieu demain, jour de Pâques c'est la vingt-neuvième édition de cette course qui, créée en 1896, eut lieu depuis chaque année en cette ,journée printanière, n'étant interrompue que par la guerre en 1915,1916, 1917 et 1918.

Par sa position au début de la saison, Paris-Roubaix est le véritable galop d'essai des routiers en vue d'une année chargée. Les Italiens ont bien Mitan-San Remo, les Belges, le Tour des Flandres et les Français, Paris-le Havre, mais il n'est qu'une épreuvc d'ouverture qui soit vruiment internationale, c'est Paris-Roubaix, signal des hostilités sportives sur la route.

Les engagés

Voici la liste des concurrente

1. Georges Hanse, Anvers 2. Vicolas Franz, Mamers: 3. André Loducq, Partis i. Gnston Rebry, Wevel(fbem 5. Jean Debuschère, Rhode 6. L. Neuhard, Paris 7. Maurice Van Iiytte, Maldeghem 8. Maurice de Waele, Maldeg-hem Maurice Depauw, Châtellneau; 10. Joseph Wauters, Huissing'hom fi. Fiançois Gardier, Ayeneux 12. Louis Delannoy, Anvers 13. Julien Vervaecke, Menin; 14. Joseph Mauclair, Fleurs 15. Lucien Buysse, Wontherghem 16. Kastor Kotter, Zuricn 17. Alfred Haemeriynck, Wondelghem; 18. Jules Buysse, Womlierfrhem G. Van Slembrouck, Ostendre 20. Vincent Frémont, Chasseneull (Charente).

Joseph rjcrvaes Hoboken 23. Léon Parmentier, Halluin; 23. Léon Briscot, Esneuz 24. Oscar Houtman, Erenbodephem Francis Bonduel, Baesrode 26. Joseph i Demuyser 27. Ferdinand Le Drogo, Pontivy ̃ 28. Paul Le Drogo, Saint-Brieuc 2U. Henri Pélissier, Parts 30. Francis Pélissier, Paris 31. Charles Péliasier, Paris 32. [loger Grécau, la Chapelle-SaintLaurent 33. !loger Gaumont, Tours André Schaffner. Châteauroux 35. Romain Bellenger, Paris 3C. Maurice Bonney,

Paris 37. Gabriel Le Goff, Toulon 38. Léon Marfln, Roulera 39. Hector Martin, Roulers 40. Jules Van Hcvel. Ostende. 41. Julien Delbecque, Harlebeke P. Vernaeg-en, Malines; 43. Odile. Tailleu, Jianterre 44. Maurice Geldhof, Moorslftde 45. Cam. Van do Casteele, Armentlères 46. Raymond Decorte, Wuerschoot 47. Auguste Verdyck, Schooten 48. Joseph liemelsoet, Paris V). Odile Van Hevel. Erucgnem Denis Verschueren, Maldetrhem 51. Rend Vermandel. Bruxelles 52. Rend Hamel, Paris 53. Gérard Debaets, Courtrai 54. Charles Meunier, Gilly 55. Charles Loew, SaintDenis 56. Achille Souchard, Parts 57. Félix Sellier, Cembloux Maurice Ville, Aiiiélie-ks-Bains 50. René Francx, Amiens Charles Hennuyer, Abbeville.

01. Eugène Verner, Grandvllllcrs 62. Albert Foudrlnoy, Amiens 63. Julien Moineau, Clicliy (Si. Antonin Magne, Gargan 65. Pierre Magne, Garpan 66. Marlus Gallotlnl, Vanves 67. Marcel Bldot, Troyea 68. Jean Bldot, Troyes 69. Prospcr Sadoul, Paris 70. Èmtle Faillu, Fouilloy; 71. Pierre Faillu, Salnt-Cloud 72. Georges Decotnbet, Pans Lrbain Comitis, Paris 74. Henri Foevenders, Anveçs 75. Jean Mertnns, Hoboken 76. Auguste aiortelmans, Heyst-op-den-Bery T7. Jules Deschepper, Zwyndrecht 78. Joseph Ours, Lyon 79. Joseph Van Dam, VUlebroeck; 80. Pierre Betrarat. Paris. 81. Armand Van Druaene, W attrelos si. Adolphe Van Druaene, Wattrelos 83. Aimé Dossche, Gand Lucien Demoor, Marcqen-Barœul 85. Arsène Alancourt, Cllchy s0. Marc Bocher, Parla 87. Georges Cuvelier. Paris 88. Robert Gerbaud, Paris 89. Marcel Oobillot, Paris 90. Georges Leblanc, Paris 91. Jean Lasbordes, Paris 92. Orner Huyss", Mouscron 93. Louis Durieux, Bruxelles il.. Cyrille Orneye, Bruxelles Heitri Suter Aaarau 9C. Georges Antenel, ̃Zurich 97. Max Suter, Aarau 93. Georges Blattmann, Zurlch t9. Léopold Xiattou, Harlebeke.

L'examen de cette longue liste fait ressortir la qualité et l'importance de ce Paris-Roubaix 1928. Citer les favoris d'une telle course, c'est reprendre presque entièrement ¡il. liste des engagé?. .Tacflic impossible que celle d'un pronostiqueur dans ces conditions, il est préférable de s'abstenir, mais nul doute, la course de Piques sera celle d'nn vrai champion et qu'il ait nom Roneo, Leducq, Buyese, Pélissier, Delbecque, Sellier, Suter ou autre, l'ovation qui l'accueillera aujourd'hui sur le parcours sera amplement méritée.

L'itinéraire et l'horaire probable Voici les grandes lignes de l'itinéraire

avec 1 noraire prooame

Le Véslntt, 0 km 6 h. 30 Pontoise, 21 )un.,700. 7 h. 15 Mérn, 41 km. S h. lleauvais, '70 km. 2O0 8 h. :il Ilretenil, 100 km. SOU 9 h. 40 Amiens, 13-2 km. 2O0 10 H. 40 Poullens, 162 km. 11 h. Arras, 104 km. 12 h. V>

Hénln-Lletard, km. 700 13 h. 30 Seclin, 234 km. î00. 14 h.'fo

Foubalx, km. 800 h. 15 Le contrôle de départ sera lnnstollé de 4 h. 30 a 5 Il. 30 du matin, au PavillonBleu, à Surcsnes.

Le groupe des routiers sera ensuite conduit jusqu'au "1 esinet, où sera donné, 6 6 h. 30, le départ réel.

En cours do route, contrôles à Pontoise, 1 !\féru, Beauvais, Breteuil, Amiens, Doullcns, Arras, Hénin-Liétard et Seclin. L'arrivée sera ,jugée à l'entrée de Roubaix, à l'extrémité de l'avenue des Villas, où sont prévues des enceintes spéciales pour le public.

amis de la baronne, de Mme Daridler, des Inconnus, des gardes accourus, les chauffeurs des autos arrêtées s'empressèrent autour de la petite voiture. Non sans peine, on la dégagea et 1'on aperçut dans le fond, gisant sans mouvement et couvertes de sang, Mme Daridier et sa fille. On crut tout de suite à un accident mortel.

Quant A Foly. lui, Il s'échappa par l'une des glaces brisées et, le poil hérissé, furieux. il se mit il aboyer avec rage après le chauffeur meurtrier. Enfin, avec grandes précautions, on parvint a sortir de cet amas de bois, de ferraille, d'abord Mme Daridier. Se trouvant, elle. à droite, elle arnit été atteinte le plus gravement et, naturellement, la plus grièvement blessée. Ainsi que Madeleine, elle était sans connaissance, couverte de sang, mais respirnnt encore.

La baronne, s'autorisant de son amitié, fit transporter Mme Daridier et Madeleine dans sa limousine, quelques amis obligeants la remplacèrent pour donner aux gardes tes renseignements réclamés par l'enquête.

Aucun secours ne pouvant être donné aux blessées, tel, en plein bois. la baronne, immédiatement, reconduisit ses nmies chez elles, a leur hôtel de la rue des Belles-Feuilles.

Puis, pendant que l'on montait Madeleine et sa mère dans leur appartement, la baronne, calme, dans l'affolement général, dirigea, organisa les secours et donna ses ordres pour les soins à apporter aux blesses.

• Elle envoya aussitôt son chauffeur a la clinique du docteur Dricnrt. Vous donnerez an docteur tous les détails qu'il vous demandera sur l'accident. Vous lui direz de venir tout de suite, nvec ce qu'il faut pour les soins. Vous le ramènerez dans la voiture.

LA VIE SPOR TI VE Le tournoi international de football organisé par le S. 0. Est

avec le concours du c Petit Parisien > Anglais et Luiembourgeoi»

contre deux clubs parisiens

Demain et lundi se dérouleront, au Rtsi.de municipad do Uhapciiton (situé il dix minutes de la Bastille), les quatre marches d'un Intéressant tournoi inter- national de football. Ces ren-contros mettront en présence 1 le premier jour, a 14 h. 30, l'A. S. Ami- cale (promotion de division d'honneur) et le S. C. le Progrès Grund (division d'honneur de Luxembourg) h 16 heures, le Stade Olympique de l'Est (divi;¡ion d'honneur) et le Smithern Railway S. C. (champion de division d'honneur du Midjdle&cx).

Ce tournoi parmettna de voir aux prises et d'apprécier de belles techniques différentes do jau l'une, la luxembourgeoise, qui s'apparente xiu style des pays a'Eoropé CÊtupale l'antre, qui est cdlle dos grarides équipée anglaises, saront misea t'éprouve des qualités bien françaises dee deux olulw parisiens. Les deux <oaais étrangers eontprennent trois internationaux et neuf sélfctiQ-nnés. Les deux équipes françaises également trois internationnux et neuf sélectionnés. Le prix dos places a cté ainsi fixé eoRondes, 5 francs; promièree, 8 francs, tribunce, 12 francs.

LES BOUCHERS ONT DISPUTÉ

DES ÉPREUVES SPORTIVES

Sutvanl la tradition, l'Association sportive de la Boucherie a fait disputer hier, a l'occusion du vendredl saint des épreuves sportives.

Sur le circuit d'Andrésy, une course rycllsle réunit un loi nombreux de concurrents. Guillemet' termina premier couvrant les 103 kilomètres en 3 li. 41' 40" devant Mapton, Freug-hlot, Geodftoy. varlx, etc. Au stade Pershlng, une épreuve pédestro de S.OdO mètres fu6 gagnée par Roulez devant Maguy, Plclron, Leroy, Ropp et un match amical do rngby fut Joué entre l'A. S. de la Boucherie et l'D. S. des Cocherschauffeurs.

L'ÉQUIPE AUSTRALIENNE

DE LA COUPE DAVIS

EST ARRIVÉE EN FRANCE

Toulon, 6 avril {dt'p. llavas.)

L'équipe qui doit représenter l'Australie dans la Coupe Davis do tennis est arrivée aujourd'hui à Toulon.

LES JOUEURS FRANÇAIS DE TENNIS EN AFRIQUE DU SUD

Johannesburg, 6 avril {dé p. llavas.) Au cours de la deuxième journée de la rencontre internationale de tennis entre les équipes française et sudafricaine, Borotra a battu Raymond par 6-3, 4-6, en double. Boussus-Landry ont battu Malcolm-Blackbeard par 1-6, 6-2, 6-3.

L'équipe de France mine, à l'Issue de la deuxième journée, par trois victoires contre deux.

LE TOURNOI D'ESCRIME DE DEAUVILLE Trouville, 6 avril (dép. Petit Parisien.) Voici les résultats de la première journée le prix du Calvados, challenge intersallo international par équipe d>e trois tireurs, a été gagné par l'équipe do la salle aiangia,rotti, de Milan, représentée par Ricoardi, Agostini et Eorico Mioll suivant sallc Vincent, du Havre salle Baudry et salle Bourdon, do Paris.

Le jury de la finale fut tour K tour présidé par Ni. Bosletta, de Milan, et par le maître Albert Ayat.

LA FÉDÉRATION

DES COMBATTANTS VOLONTAIRES A LA PRÉSIDENCE DU CONSEIL En l'absence do M. Raymond Poincaré, M. Grignon, chef du cabinet du président du Conseil, a reçu la délégation du bureau de la Fédération des combattants volontaires de la Grande Guerre.

M. Barthle, président de la Fédération, a prié M. Grignon de transmettre à M. Raymond Poincaré les vœux et desiderata des combattants volontaires. M. Grignon a déclaré que M. Poincaré, préstdent d'honneur des ligues des combattants volontaires, ne manquerait pas, dès la rentréo des Chambres, de saisir le Parlement d'une demanda de promotion spéciale des combattants volontaires, blessés de guerre ou mutilés, dans l'un des ordres nationaux.

Tous les combattants volontaires qui remplissent ces conditions ont intérêt à envoyer par écrit leur adhésion h M. Paul de Chamblnc, 58, rue Lafayette, Paris Pour les gazé» et les blessés du poumon La Ligue nationale des gazés, des blessés du poumon et des tuberculeux osseux nous prie de faire savoir aux mutllés gazés et blessés du poumon que le dernier délat Imparti pour faire valoir leurs droits à pension, en vertu de la loi du 31 mars est fixé au 31 décembre

Ecrire au siège social de la Llgue, Il Paris, 53, rue du Faubourg-Montmartre, qui procure son journal oftlctel, Povr Eux, en Joignant un timbre pour la réponse.

BULLETIN COMMERCIAL MARCHE AUX VEAUX. Paris-la ViUelte, 6 avril. On a coté le kilo de viande nette première quallté, U deuxième qualité, il 20 troisième qualité, 8 extrême, 15 60. ENGRAIS AGRICOLES. On tient les 100 kilos wagon départ superphosphate minéral, U ac. ph., Il 30 50 nord i!6 75 Il 30 Est Q3 le Il 30 Bretagne 25 50 Il 30 Centre 25 50' Nord-Ouest superphosphates d'os 0,5 az., 16 ac. ph., 50 à Paris os dissous, 2 az., 10 ac. ph. 51 Nevers sulfate de fer cristaux, 36 départ Midi neige, 38 nitrate de chaux 13 Nantes, 119 Bordeaux, Rouen et Dunkerque, 120 Sctc, nitrate de soude, 15 Il 1G az., 1?8 50, Dunlrerquo 50 ports do l'Ouest ports de la Méditerranée sulfate d'ammoniaque, 129 r>0; extra sec, 133 ùo départ usines cyanamide granulé 15 Nord 01 50 crude-ammoniac. 4 60 l'unité franco sylvinite 12 10 départ Alsace riche 18 50 chlorure de potassium 49 72 départ mines sulfate de potasse 46 98 m départ mines scories de déphosphoration 1S 16 SO 16 19 18 21 00 départ Tliionville.

FARINES PANIFIABLES. Lea farines panifiables de la meunerie de Paris et de la Seli»3 valent actuellement S!25 francs les 100 kilos, conditions d'usage, soit une hausse fie un franc.

vite. qu'il vienne tout de suite, je l'attends avec anxiété.

Pendant ce temps, la baronne fit préparer ce dont le docteur pourrait avoir besoin des linges, de l'eau chaude, et elle commença à étancher le sang qui recouvrait la figure, les mains de Madeleine et de sa mère.

Ne sachant si chez Mme Darldier on la jeune fille un membre n'était brisé, et ne voulant pas risquer d'augmenter la fracture, d'aggraver la blessure par un faux mouvement, elle ne laissa pas les femmes de chambre déshabiller Madeleine et sa mère et donna ordre de seulement les étendre sur leur lit, chacune dans leur appartement, en attendant le docteur qui certainement ne tarderait pas à apparaître.

Pour passer au-dessus de toute consigne, la baronne avait remis à son chauffeur sa carte avec. écrits, rapidement, ces mots

Mon cher Armand, viens tout de suite. Amies victimes grave accident.

A la clinique, le concierge connaissait quelque peu le chauffeur de la baronne qui, plus d'une fois avait ramené le docteur avec M. Maurice.

Sans aucune formalité, il In l^ssa pnsser, le remit aux mains il'uae Intlrmière, qui devait le conduire tout de suite dans la salle où le docteur opérait. Fort heureusement le docteur Bricart avait, a cette heure, terminé ses grosses opérations.

Il lut la carte de sa cousine, écouta le récit du chauffeur, lui demanda quelquels détails, quelques précisions. Bon. dit-il, j'y vais.

Il appela un de ses aides, lui donna rapidement la liste des appareils, des accessoires à emporter.

LES COURSE S

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Au trot monté. 9,ooo francs, mètres 1. Bathuel (Chrétien) G 597 50 255 50 à M. A. But» P 138 » 61 Cosy (LlntanD P 23 » 17 Biacy (R.-C. Slmonard) P 200 50 02 50 4. Carmen Sylva (Vcrzèle). Non plncés Bartavelle II (L. Pottler); Beauliarnais (Tardivon) Casablanca (P. Gltton) Cérès (Hulhion) Cour Boirel (A. Forctnal) Clématite (Touzaud) Canada Il (Boudeau) Bagatelle X (J. Poirier) Bayadère II (L. Dnfour) Colette (C. de Wazières) Casse Fer (Guéroult). Durées 3' 25", 4/5, 3' 27" 3/5. Réd. au kil. l' 33" 1/5. PRIX DE DIGNE

Au trot attelé. francs, mètres 1, Cambremer (Th. Monsieur) G 136 50 82 » il NI. Brlère J" 40 50 sa • Colibri (Courtade) P 49 50 3. Capricieuse (Bouley) P 27 17 4. Baptiste Leyburn (Dubreull). Non placés: Cent Ecus (Henocque) Collucens (E. Picard) Charmeuse IV (F. Gascon), arrêtée Coye la Forest (Vercruysse) Choupette (ButtI), dl3tancée de la quatrième place pour avoir franchi le poteau au galop; Cllo C (Poirier) Curieuse (Masson) Café Noir (Vérité) caisse Dorée (D. Haene) Carte Rose (Roy) Belle de Nuit V (G. Pan. tecûte) Carrey C (C. Vandenberghe) Belle Miss (Allais); Cinq A Cinq (L. Dufour); Cantalouse (Souchon) cite (Goutn). Durées 3' 27", 3' 27" 3' 28" 4/5, 3' 3/5. Rédüction au kilomètre Il 34" 1/10. PRIX BAYADERE

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Au trot attelé, 20,000 francs, 2,55o mètres 1. Clyde (Dessauze) G 20 à M. J. Borrher 15 50 7 50 2. Clair de Lune V (Verîele).P 3. Caracas (Bouley) 4. Capucine IV (C. de Wazières). Non placé Chloé C (E. Visa). Durées 3' 3' 51" 3/3, 3' 51" d/5, 3' Réduction au kil.: V 29" 7/10. PRIX DE PAU

Au trot monté. 15,000 francs, 2,800 mètres 1. Ecurie Lemattre.G G 49 Capadyp:le (L. Pottler).P 50 2. Ajax Il (L. Boudct) 30 50 17 > 3. Blair Athol (Verzèle) 72 50 23 50 4. Alcala (P. Gitton). Non placés C. T. L. (Perlbarg) «risque (Llntanf) Argyll (1.. Durour) Belle Enfant C (R.-C. Slinonard) Antlpile (E. Picard) Calen- tine (Guéroult). Durées 4' 4' 22" 1/10, 4' 22" i/5. Réd. au kil. 1' 31" 1/5. PRIX DE NANCY

Au trot attelé. 15,000 francs, 2,800 mètres 1. A Fait Jaser (Tcherkassofr) G 17 » 8 à H. A. V. Billot P 14 7 SC 2. Bergamotte (L. flémard) P 43 » 25 ̃ 3. Brière (C. du Wazières) 47 30 5( 4. Angélus II (Verzèle). Non placés Belle Poule II (A. Gypteau) Bouton d'Or II] (Th. Monsieur); Anlezy (P. Gitton) Aline Il (P. Noôl) Dixmude (Roy) Xantine (C Masson). Dnrées 4' 1C" 4/5, 4' 1&" 4' 20". Réd. au kil. 29" 7/10.

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Dépêchez-vous, Vous venez avec mol. Prenons aussi une Infirmière. Nos blessées sont des femmes. Puis Il se rendit dans la salle où se trouvait Maurice.

Mon enfant, lui dit-Il tu assureras mon service, ce matin. Je sors, ta cousine me fait appeler d'urgence. Deux de ses amies ont été grièvement blessées dans un accident d'auto.

Peu après, ayant passé son grand manteau, Il montait, avec son aide et l'infirmière, dans la limousine de la baronne.

Aussi rapidement que possible le chauffeur ramena la voiture rue des Belles-Feuilles.

La baronne reçut le docteur, continuant son rôle d'organisatrice. M. Daridier était absent, se trouvant en province.

Je te remercie, Armand, d'être venu tout de suite.

Tu as bien fait de m'envoyer chercher. Ton chauffeur m'a mis au courant de l'accident. Nous allons en examiner les suites. J'espère qu'elles seront moins graves que tu ne parais le Les blessées sont Mme Darldier et sa fille, de très chères amies, dont je t'al parlé plusieurs fois.

Certainement Je ne me souviens pas très bien. Mais ça n'a aucune impartnnce. Voyons les malades. ̃• La baronne conduisit le docteur d'abord chez Mme Daridier, la plus gravement atteinte.

Le docteur Bricart examina la blessée

Bon! dit-Il, je vois ce qu'il y a_. plaies. et une fracture à la jambe droite.

A l'Infirmière, il recommanda

3. Brin d'Or (J. Slndlc) 4. Artilleur (J. Blarrotte). Non placés Antipode (A. Ravlart) Baliverne II (H. Hartveld), dérobée, ramenée Amt (1. Costadoat). 5 long., o long., courte encolure.

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Prix Georges Baltazzl (20.000 fr., m.) Salvandy (F. Keogh) Racal0ut (il. Vincent); Florin (C.-H. Semblât); Lilcn 5G (A. Esling); Ycomoleva (M. Dcnton) Qulneampolx 51 (M. Allemand) Concilliator 54 (F. He-rvé); Epargne. 54 <C. Bartholomew) Habw 54 JE. Chancolicr); Telhys (C. Bouillon) Miche 52% (J. Wiiikfic-ld).

Prix de la Fouilleuse (3O.OW fr., Q.000 m.). Dlrin 55 (W. Sibbritt) Manteau de Cour (F. Kcog) Mars on Carême 53 (A. Habbe); Andronicus 55 (C,.H. Semblât) Bon Vin (F. Hervé) Whist Pink (J. Clay) Copetln 55 (D. Torterolo); Ary 52 (X): Castillane (A. Sbarpe); Quatorze a2 CM. AIPrix Edmond Blanc (50.00O fr., 1.500 m.). Klng Arthur (A. Esllng-); Mascot C2 (W. Stbbritt); Licteur (C.H. Semblat); Farnèse (F. Hervé); Attd el Krlm 51 (G. Yatardy; Orosmado 51 (C. Bouilon!; Seymomr 5t (W. Lister).

Prix de l'Orangerie (handicap, 20.000 fr., m.), J'ornerol 61% (A. Esling); Petit Bob (A. Rabbe); Raisonneur (C.-H. SemWat); Altesse 59 (H. Bontemps); Souk Ahras 58 (R. Kaiser); La Membrolln II 57 (E. Bottequln): Trie Ra Ville (F. Hervé); Verjus 55% (F. Hervé): Caca Sucla (G. Vatard); Pimcnton 56 CM. Béguirlstaln) VIIlcdleu 5s (W. Sibbrilt) Loriot V 49% (W Sibbrttt); La MaladetW 52«j (F. Rocliclti) Larme (te Glace r. (G. Krtkfl) Adrar 52 (J. Pe-ctett) Moche 48 (E. Goldtn): Nedjah 48 (A. l'aimer); Mont Rose 47 (H. Trémeau); Ma Bruno 45 (A. Dupult); Gamila 42 (B. Ccrdcld).

Douteux Uérolde (P. Jean).

Prix des Trianons fr., 2.000 m.). Tape à l'OEil (J. Cooke); Prince Kara (J. Jerailngs); Coctane M% (G. Duforez); Isocrate 54 (C. Herbert); Little Pal 63 (F. Hervé); Coeur Vaillant Si or. Bé-guiristain) Friponne! 51 (J. Frigoul); Fire Crest (C. Bouillon); Golden Stralt (W. Sibbritt* Formol 48 (A. Dupult) Roi des Aulnes 48 (G. Vatard); Blaticarclla 47 (A. Me Brion); Capo «l'istrla 45 (G. Jouvfn) Scarabée d'Or 45 (A. Elsenotm); Itosace 45 (M. Dullery). Douteux Elbow (R. Mangematin). SOS PRONOSTICS

Prix de Pont-1'Evêqne Elbow. Starter. Prix Georges Baltaxzi Eden, Florin. Prix de la Foullleuse: Mars en Oaréme. Andronicus.

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Vous allez déshabiller la malade avec précaution. Tout le côté droit est atteint. Lavez les plaies. Je reviens. Il laissa l'Infirmière et la femme de chambre qui devait la seconder met·tre Mme Daridier au lit.

En somme, dit-il Il la baronne, Ici rien de grave, de dangereux. fracture normale. la malade bien portante. c'est une affaire de soins et de patience. Rassure-toi sur le sort de ton amle. Allons voir l'autre victime.

C'est Madeleine, dit la baronne, la fille de Mme Daridier-

Bon Jeune

Vingt ans.

-Parfait. La jeunesse guérit plus vite. Voyons-la.

Avec Ia même attention ,la même délicntesse, le docteur examina Madeleine, étudia son jeune corps, cherchant la blessure.

Au bout d'un moment, Il dit a la baronne

Ici. c'est mieux. Pas de fracture. Rien de cassé. Un bras frolssé, endolori. simples écorchures. QuelQues jours de petits soius, et, encore une fois, la jeunesse aura raison. Quel bonheur

On peut la coucher, la mettre an lit, comme d'habitude, sans plus de précaution. L'infirmière viendra laver ses plaies. Je ferai un pansement, et nous n'aurons qu'à attendre la guerison.

Tu es sûr qu'elle n'a rien à la figure!

Je n'al rien constaté, en tant que plaie du moins. nous verrons quand on l'aura débarrassé de ce sang qui, probablement, prônent des blessures de sa mère. Tu peux lui faire prendre un cordial et rappeler ses sens. Pour

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elle, pas d'anesthésiant, pas d'opéra- Uou. Ça va très bien.

Il revlnt dans la chambre de Mme Daridier, qu'on avait étendue dans son lit, en tenue de nuit. Alors, avec son aide, un de ses plus habiles élèves, il pratiqua la réduction de la jambe fracturée, et la stabilisa dans un bandage de plâtre.

Puis il fit les pansements que réclamatent les diverses plaies. les coupures causées par les glaces brisées.

Laissant son aide surveiller le réveil de la patiente, il revint dans la cham- I bre de Madeleine avec l'infirmière. La baronne, qui avait assisté à l'opératton chez Mme Daridier. l'accompagna chez Madeleine,.

Maintenant la jeune fille, débarrassée de toutes les taches rouge brun qui lui faisaient comme un horrible masque, avait retrouvé sa jolie figure, un peu plus pâle que de coutume toutefois, dans laquelle brillaient ses grands yeux bleus, encore fiévreux, naturellement.

L'infirmière lui avait entouré le brad meurtrI d'un pansement provisoire. Goly se tenait sur la descente de lit, en garde vigilant, en onmarade fidèle. Et lui aussi avait un pansement autour d'une de ses fines pattes. It, en semblait trus fier, car très jaloux. Il. avait, comme Mme Daridler, comme sa joUe maîtresse, été blessé, Il ne pouvait s« plaindre. Peut-être attendait-il également pour sa patte la visite du plus grand chirurgien de Paris Un fox ne doute de rien.

Madeleine eut son bon et joli sourire en voyant entrer la baronne dans sa chambre.

(A suivre.) Léon Sasie.


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UNE PISCINE MODÈLE YA ÊTRE INAUGURÉE RUE BLOMET

Elle aera alimentée par l'eau chaude d'un puits artésien

S'il eaf, une oeuvre dont il convient do féliciter le conseil municipal de poursuivre l'active réalisation en plein accord avec M. Paul Bouju, préfet do la Seine, c'est bien celle qui tend doter Paris d'établissements balnéaires modernes, organises selon les plus saines règles de l'hygiène et comportant tous les perfectionnements et toutes les çom-çmodités désirables. Il ne servirait de rien pour l'avenir de la race que la jeunesse s'adonnât avec une si généreuse ardeur, pour fortifier ses muscles, à la pratique des sports les plus variés, si elle n'avait, à sa portée, pour compléter sa culture physique et en retirer tous les bienfaits, les avantages d'une hydrothérapie bien ordonnée, complétée par cet exeellent exercice que constitue la nage. Or, jusqu'en ces dernières années, la natation n'était permise aux Parisiens que pendant les courtes périodes d'été ou la température favorisait leurs ébats aquatiques soit dans les eaux douteuses de la Seine, soit sur les côtes de l'Océan où les amenaient leurs vacances.

L'ouverture de l'établissement de la Butte-aux-Cailles a montré l'intérêt que la population attachait à la création de piscinas bien organisées, Un second établissement balnéaire municipal, tout aussi bien concu, d'un aménagement parfait, va être bientôt ouvert dans le XV. arrondissement, au coin de la rue Blomet et de l'avenue Pasteur. Ses auteurs, MM. Bassompierre, de Kutté et Sirvin, ont réalise une œuvre dont Paris pourra s'enorgueillir, car elle réunit tous les perfectionnements qu'une installation pareille peut comporter.

Une façade de style moderne, sobre, mais harmonieux de ligne, en surmonte l'entrée, au fond d'une cour.

L'entrée franchie, on accède dans un vestibule très clair d'où l'on peut gagner soit le vestiaire aux multiples armoires qui s'ouvre en face, et qui est réservé aux groupements sportifs, soit les galeries supérieures ou s'étagent trois groupes de cent cabines. Chaque étage a sa couleur bleue. rouge ou blanche, correspondant à la teinte des maillots distribués à l'entrée. On limitera ainsi le temps que chaque série do baigneurs pourra consacrer Et ses ébats dans la piscine.

La salle d'aspersion

Les cabines sont gaies et claires. Mais ne croyez pas qu'une fois déshabillé le baigneur puisse, quel que soit son état de propreté, gagner directement la piscine pour faire sa trempette ou effectuer son plongeon. Cette pratique a révélé de graves inconvénients. On a attribué jadis à rp faih nna pnirlémi« d'nnhtalmie oui

sera évitée ici. Avant d arriver à la piscine, le baigneur devra, en effet, passer par la « salle. d'aspersion». Les pieds dans le «pédiluve», il subira la bienfaisante pluie d'une douche et, préalablement ainsi «nettoyé», il pourra alors se livrer il. ses ébats aquatiques. Les plus minutieuses mesures d'hygiène ont d'ailleurs été prévues. On a môme installé ça et là des gargarisateurs permettant aux baigneurs, à leur sortie de la piscine, de se rincer la bouche. La piscine

Nous voici dans la vaste salle cintrée comme un navire, aux hautes arches en ciment arm6, où s'abrite t la piscine. Le bassin, suspendu sur des piliers, s'étale là, sur 50 mètres de longueur et 12 mètres de largeur. Le fond est revêtu de faïence vert 1 tendre, avec des lignes de nage tra- cées en vert foncé.

Le dénivellement du bassin, qui va en pente douce de la cote de 1 mètre au grand fond de 3 mè- tres, facilitera les ébats des nageurs novices et permettra aux as de la natation toutes les acrobaties aqua- tiques. Les amateurs de plongeons 1 n'ont pas élé oubliés. On a aménagé pour eux toute la série des tremprévus par les règlements des Jeux olympiques. Evacuation des buées, pulvérisateurs pour assurer l'été une température fraîche, bancs t de repos, tribunes, tout a été prévu. L'eau chaude jaillira

de sao mètres de profondeur La piscine sera alimentée en eau chaude, à la température de par un puits artésien dont le forage se poursuit dans la cour de l'établisse- ment. La mise en perce de la nappe .1 d'eau chaude, que l'on espère trou- ver à 520 mètres de profondeur, est effectuée par un tube d'acier ter- miné par un fort burin le « trépan », qu'enfonce dans le sol, en lui impri- mant un perpétuel mouvement de rotation, une puissante machine. La tige d'acier, prolongée par des segments successifs, est actuellement enfoncée de 430 mètres. On espère obtenir de la nappe d'eau chaude souterraine un débit de 400 mètres cubes à l'heure. De quoi, on le voit, renouveler fréquemment l'eau de la Les douches

La section des douches est installée dans les sous-sols. Il y a là, s'ou- vrant des deux côtés d'un vaste couloir une centaine de cabines, aux revêtements blancs en grès émaillé. Chacune comporte deux compartiments. Le premier est réservé au déshabillage, le second à la douche. Tous les accessoires, siège, patères, savonnier, sont en ciment. La douche s'obtient par la pression sur un bouton. On a mis ainsi tous les accessoires à l'abri de toute indiscrète tentation. Il arrivait, en effet, trop souvent, dans les anciens établissements municipaux, que des baigneurs indélicats dévissaient les pater'es et s'appropriaient tous les objets à leur portée, y compris la chaîne d'appel de l'eau

Arhiiân Véran.

AU CONCOURS HIPPIQUE Les résnltab d'kier

épreuve de dressage. Officiers (épreuve finaIe). prix. Amalgule (capitaine Lesoge) »• prix. RoiMla (capitaine Oroulard); priz, Linon (commandant Marionp. Le profrunw d'»«jourd'hBi

A in h. 30, distribution dfs récompenses Printemps (épreuve internationale d'obstacles, amazones et, »entlernen) 16 h. 90, indoor polp. r .-•̃ .r.

SALONS EI EXPOS III ONS 1 Jeune encore, Lagar est un artiste espagnol de race, n'ayant pas atteint son complet développement. Ce qui n'empêche point de régner dans la plupart de ses Ports, par exemple, ou dans tel de ses Bouquets -,une technique volontaire et une austère harmonie, témoignages d'un tempérament ardent et actif. A la galerie Zborowski où a lieu une exposi- tion de ce peintre, on trouve, également, quelques oeuvres d'Hortense Bégué qui, plus ou moins disciple de Pompon et de Mateo Hernandez, a réussi, entre autres, un Ours qui fait le beau, fort spirituellement taillé dans la pierre, et des Biches, cire perdue d'un style adorable. Du reste beaucoup de femmes sont à l'honneur cette semaine Artiste et Artisan nous présente les discrets débuts de Mlle Gerda Madvig, tandis que les Galeries Manuel frères ont réuni un ensemble où se rencontrent Mmes Galtier-Boissiève, FussAmoré, Cros, etc. Au Salon de l'Escalier (Comédie des Champs-Elysées), on découvre encore, signées par Mlle Radda, de charmantes Fleurs qui voisinent avec les figures stylisées de T. de Lempicka et une suite de volumes admirablement illustrès par Raoul Dufy, Laboureur, Charles Guérin, Perrichon (éditions André Delpeuch et Sergent Hclleu). D'ailleurs, de plus en plus, les théâtres utilisent leurs foyers pour y montrer tableaux ou objets 1 d'art à Marigny on trouve une série de toiles dues au pinceau de Glasscr, qui rentre d'un voyage en Tunisie, le merveilleux pays des villes blanches et des blondes vallées. à l'Albert I" sont accrochées d'agréables aquarelles d'Herbo. l Enfin, 19, rue Traversière, vient de s'ouvrir le xvin* Salon des Chemins de fer P.-L.-M. où foisonnent d'aimables travaux d'amateurs de toutes sortes, parmi lesquels on ne choisit que difncilement. Nous citons, cependant, une pochade provcnçale de R. L. G. Saint-Antonin (acquis par l'Etat), le Vieux Caf de Louis 5 Frechin, la Natart morte ivoirée de Girard, les parfaites reliures de Robert Coquelle et les précieuses broderies de Mme Suzanne Saunois. J'allais oublier l'ensemble de la Fédération française du boulevard Latour-Maubourg, où j'ai noté un curieux Poisson en bronze de Mme de Bayser-Gratry et les Rochers de l'Ile • d'Yeu de Marcel Jouiiy.

Vanderpyl.

VENDREDI SAINT ENSOLEILLÉ

Ce vendredi saint, tout ensoleillé, fut propice aux pèlerins.

Les reposoirs, dans toutes les églises, ont vu venir à eux des foules pieuses. Fleuristes et marchands de cierges ont fait des affaires d'or. Lo marché aux fleurs de la MadclL'ino s'est presque tout entier transporté, par brassées de fraîclieur, de parfums et de nuances, dans la nef voisine, sur le tombeau scintillant de lumières, où des fleurs encore, des lis, des lilas, des violettes, des pensées, des iris, des œillets et des rosés formaient une croix géante de quatre mètres de hauteur sur deux mètres d'envergure. Le mouIcmiR'mPiit incessant des visiteurs accompagnait d'un bruit de piétinement les voix graves des nrateurs ancrée commentant les Sept paroles de Jésus en croix.

A Saint-Eustache, la Passion selon saint Jean, do Bach, eut pour interprète la Schola Cantorum.. Les Sept Paroles, de Théodore Dubois, furent écoutées avec dévotion a la Madeleine. A l'église maronite de la rue d'Ulm, où les Lamentatlons sont chantées dans la rude et curieuse langue syriaque, parlée jadis par to Christ et ses apôtres, s'est le P. Padé, prieur des Dominicain», qui vint commenter le drame du calvaire, tandis que Msrr Périé, prélat romain, prêchait à lY'gltso grecque de Saint-Julien-le-PauLe vendredi saint est déjà tombé souvent un 6 avril. C'est un vendredi saint, 6 avril, que Raphaël est mort. C'est un vendredi saint, G avril, que Laure, chantée par Pétrarque, est morte comme o'est un vendredi 6 avril que, vingt et et un ans plus tôt, le poète avait rencontré pour la première fois son inspiralrice.

Anniversaires.

Aux traditionnelles ripailles des fcràndes fêtes, on préludait jadis par le .jeûne total du vendredi saint et du samedi vigile de Pâques. Mais la règle d'abstinence pour les jours saints s'est adoucie dans la proportion cù il est devenu difficile de maintenir aux déjeuners do gala leurs dix ou douze services du Grand Siècle.

On a néanmoins fait, hicr, une ample consommation de brandade et de haddock grillé. Aujourd'hui encore, même menu. (En 191G, il y eut un corps d'armée que jo connaissais bien et qui, sur quatorze repas de la semaine sainte, en fit douze de morue et deux de horengs saurs le moral ne fut jamais plus haut.)

Mais déjà 'les étalages des « comestibles- en tout genre nous offrent leurs promesses de bombances. Et les œufs de Pâques, en chocolat, en sucre, en soie en fleurs, régnent dans toutes les vitrines où, depuis six jours déjà, ils ont supplanté le poisson. Il. N.

Premières Représentations Théâtre de L'OEUVRE. Nadame ruarte, trois actes de M. Henry Soumagne. Le drame sacré de la Passion a été plusieurs fois porté sur la scène, en cherchant à refléter la grandeur évangélique. Cette fois, c'est dans un esprit philosophique qu'il a été traité les calculs humains sont dépassés, et la foi emplit le cceur de ceux-là mêmes qui n'ont songé à recourir au merveilleux que pour préparer l'oeuvre qu'ils souhaitaient d'accomplir.

La rénovation religieuse et sociale que rêve Matthieu, en apparence apôtre du Christ, en fait pensant diriger sa destinée, il l'élabore en se servant du Galiléen. Il met en action les anciennes prophéties pour poursuivre son but. La foule a besoin d'un homme en qui s'incarnent ses aspirations. La politique de Matthieu a donc mis Jésus en avant et l'a paré d'une auréole divine.

Le premier tableau s'ouvre par une scène qui a le ton familier des vieux mystères, mais non leur illuminisme. Marie, inquiète du bruit fait autour de Jésus, est venue le chercher pour le ramener à son humble mais sirre condition, et, quelle que soit la force qu'il sent en lui, il est prêt à accéder aux prières de sa mère. Mais Marie subit les patientes suggestions de Matthieu, qui la persuade que son fils est bien le Messie attendu. Les événements de la grande Légende se déroulent. Matthieu les a, en quelque sorte, menés. Ne sont-ce pas, du moins, ses prophéties qui se réalisent ? La trahison de Judas, son adversaire parce que celui-ci se sépare de lui sur les moyens de répandre la doctrine, Matthieu l'a prévue, peut-être voulue. Le supplice du Christ lui semble nécessaire il faut un martyr pour la propagation d'une idée. L'ampleur de ses desseins ne permet pas la pitié à celui qui croit être le fondateur d'un ordre nouveau.

Ou s'éloigne fort, assurément, jusquelà, des Evangiles, mais l'orgueil de Matthieu va être abaissé. Pour donner cours à la croyance de la résurrection, il a fait enlever de son tombeau, par un soldat romain, le corps du supplicié, qui a été enterré dans an champ. Mais là cette autre tombe est vide. La divinité du Christ s'est attestée. Une clarté subite se fait dans la pensée de Matthieu. Il supposait avoir tout conduit et avoir créé un Messie il n'avait fait que servir le véritable Messie, dont, s'humiliant dans l'adoration, il deviendra le plus ardent zélateur.

L'oeuvre est curieuse dans sa conception elle est grave, elle a de l'éloquence peut-être même en a-t-elle trop, car, toute en débats, elle ne saurait parfois éviter quelque froideur. Elle est d'un écrivain qui a le goût de la réflexion et a en lui quelque originalité. Au demeurant, c'est avec tact qu'il a abordé un sujet qui demandait, eu effet, des précautions pour ne blesser personne. Mais, au delà des personnages de la tragédie du Golgotha, il y a la grande, l'éternelle illusion les actes qu'accomplissent les hommes ne risquent-ils pas d'être en contradiction avec les plans qu'ils ont formés ? lime Marcelle Géniat a eu les honneurs de l'interprétation elle a été à la fois simple et pathétique. On lui doit les plus sincères éloges. M. Henry Darttrey s'est largement dépensé dans la dialectique de Matthieu. M. André-Laurent s'est gardé des attitudes conventionnelles dans la figure de Jésus et l'a composée intelligemment. De même, M. Frédéric Serra n'a pas fait de Judas un traître de mélodrame, mais a présenté un raisonneur tourmenté. Et ce sont encore Mlle Yvette Pierryl, MM. Goldblatt et Emile Dars. Paul Ginisty.

Palace. Le Luxe de Paris, revue en deux actes et cinquante-cinq tableaux de MM. Léo Lellèvre, H. Varna et F. Rouvray. Le faste de la mise en scène, le goût dans l'invention et dans la fantaisie, la féerie de la lumière, l'art du chatoiement des couleurs appartiennent maintenant au music-hall. Les ombres de Monreal et Blondeau, spécialistes de la revue de jadis, seraient bien surprises de ce qu'elle est devenue, tout en spectacle pompeux, mais ne se préoccupant plus guère du dialogue. C'est, entre les scènes consacrées à ce genre, un assaut d'ingéniosité. De cette ingéniosité, pour le plaisir des yeux, il s'en est dépensé beaucoup dans la revue du Palace, notamment aux tableaux des Bijoux, des Ombrelles, de l'Exposition de blanc, des Chimères, des Machines électriques, où le bruit des moteurs est rendu. avantageusement par des voix de femmes. L'affiche ne ment pas en promettant du luxe. Une large part est, naturellement, faite à la danse, à toutes les danses, avec les Marquita Sisters, trop sculpturales pour être très vêtues; l'exotique Rhouma-Jé Nikolska et son partenaire Drodoff, et Pomiès imite plaisamment, dans un numéro intitulé o A la manière de. a des danseurs connus. Mais il faudrait citer tous ceux qui concourent à l'éclat du spectacle.

Et c'est Raquel Meller, souriante ou émouvante dans ses chansons espagnoles, dont elle fait, avec la souplesse de son art, de petites comédies ou de petits drames, toujours singulièrement expressive avec ses dons qui expliquent l'action qu'elle a sur le public. P. G.

A L'ASSOCIATION* DES ETUDIANTS AUTOUR D'UNE TRAITE

Un industriel de la rue Villiot, ayant entre les mains une traite signée par M. Gnlitino, ancien président de l'Association générale des étudiants, avait envoyé un huissier au siègfl de l'Association, le mars dernier. En 1'absenoc du président, l'officier ministériel pratlqua une saisie mobilière.

Le bureau de l'A. était, ces joimk-ci. ùnformé qu'on allait procéder S. la vente dos meubles de la maison, le f avril. M. Dijon, président actuol de l'A., aprls entente avec M. OaMino, qui attendait de son côté que la traite lui soit présentée, lit une démarche auprès de l'huilier il apprit que l'Association des étudiante avait été condamnée à payer la traite qui s'élève à 4.000 francs par jugement du tribunal de commerce. Hier, l'huissier de l'Association s'est mis en rapports avec celui de l'industriel et a fait opposition au jugement du tribunal de commerce qui aurait par erreur rendu l'Association des étudiants responsable de la traite signée par $. Gattino.

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LA SIGNALISATION DES REFUGES PAR LES BORNES LUMINEUSES Un refuge provisoire avec borne luineuse a été établi, au début de l'hiver, place de la Concorde, à l'entrée de l'ave- uue des Champs-Elysées. Ne convien- drait-il pas d'en généraliser l'emploi sur les voies larges et très fréquentées ? En réponse celte question de M. de Puymaigre, conseilleur municipal, le pré- i tut de police vient de faire connattre que les refuges mobiles du type de celui de la Concorde ne peuvent être employés qu'à titre d'experfence.

Quaut au mode de signalisation essayé, il a été reconnu bon il l'usage et on y aura recours toutes les fois que l'éclairage du «refuge par un candélabre axial 1 sera inutile. Mais il sera placé deux bor- nes lumineuses au lieu d'une, c'est-àdire un feu à chaque extré mité du refuge.

Pas de changement, à Paris, dans le prix du pain

La commission consultative, réunie e hier à l'Hôtel de Ville, a fixé le prix de la farine panifiable à 225 francs le quintal au lieu de 223 francs précédemment. Il n'y a pas de changement dans le prix du pain qui demeure fixé à 2 fr. 10 Une mise an point dei règles en vigueur pour le séjonr des étrangers

La préfecture de police communique la note suivante

Le Journal officiel du 26 janvier 1928 Il publié deux décrets en date du 20 janvier qui remplacent celui du 30 novembre 1926 sur le séjour des étrangers en France. La plupart des règles en vigueur sont maintenues toutefois, le nouveau décret rétablit le visa « au déport » lors d'un changement de domicile ou d'un départ pour t'étrnnger, Par changement de domt,,le, 11 convient d'entendre le transport de domicile d'une commune dans une autre commune.

Par suite, tout étranger domicilié dans le département de la Seine qui changera de domicile ou quittera la France est tenu. avant de partir, de faire viser sa carte d'identité au commissariat de police de son quartier, pour Parts, ou de sa circonscription pour la banlieue.

Ce visa, qui est gratuit, sera délivre Immédiatement.

Le défaut d'observation de cette prescription exposera l'étranger il une contravention qui sera relevée soit à l'arrivée a sa nouvelle résidence, soit Il son retour en France, s'il y revient avant les délais de prescription.

En outre, tout étranger qui arrive dons une eomfmune est tenu de faire constater son arrivée dans les quarante-hait heures, et les Infractions Il cette disposition seront également constatées par des procès-verbaux de contraventions (art. 3 du décret du 20 janvled

La carte d'identité doit être présentée a toute réquisition des autorités administrat'Ives, et le refus qui pourrait être opposé à une telle réquisition exposerait son auteur a une contravention (art. 4 du décret du 20 Janvier

En ce qui concerne l'application des taxes pour demande ou renouvellement de carte d'Identité, les femmes d'étrangers suivront désormais leur statut personnel.

En effet, ne bénéficieront de la taxe réduite ou de l'exonération, dans les mêmes conditions que les travailleurs salarlés, que les conjoints, ascendants ou descendants de ceux-ci vivant avec eux.

Quant au bénéfice de l'exonération pour services militaires, Il n'est plus applique qu'aux volontaires ayant servi dans l'armee française pendant la guerre.

Recrutement d'agents mécaniciens dans lei P. T. T.

Un concours pour le recrutement de quatre-vingt-dix agents mécaniciens des télégraphes et des téléphones aura lieu le 3 mai au siège de chaque direction régionale. La liste des Inscriptions sera close le 2 avril 1926 au soir.

Les candidats devront remettre leur demande d'admission au concours au receveur du bureau de poste qui dessert la localité dans laquelle Ils résident à prendre l'engagement de se mettre a la disposition de l'administration pour une résidence quelconque de la Métropole.

Un exemplaire du programme sera adressé aux candidats sur leur demande, soit par le directeur des postes et télégraphes dé leur région, soit par l'Ingénieur en cilef des ateIlers des P. T. T., boulevard Brune, à Paris.

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BULLETIN ORPHÉONIQUE Le Choral de Paris se prépare pour un grand concours dont les frais lui incombent entièrement. Il adresse un pressant appel aux bons amateurs de chant d'ensemble et les recevra, avec sympathie, les mercredis et vendredis, à 21 heures, mairie du Vl«, Jours des répétitions, dirigées par M. Renauld, professeur au Conservatoire. L'harmonie l'Amicale du XX' vient de constituer son nouveau hureau MM. Kclimldt, président Lhémars, vlce-prést(lent ;Fougueux secrételre Waserman, secrétaire adjoint Fosse, trésorier Henry, trésorier adjoint A. Fronval, directeur Ch. fosse et l'opot, sous-directeurs Safrey et Pierson, contrôleurs Arban et Hincar, vérificateurs.

»»•• Union des arts et des sports. En qa récente réunion, Il a été décidé qu'une première manifestation aurait lieu au printemps, au stade du Parc-Saint-Maur. v~» L'Acenir de la Seine, reconstitue son groupement symphonique. Il adresse un appel aux anciens camarades, aux musiciens amateurs et professionnels. M. Gineste, secrétnire général, 25, rue Murtllo, Vanves, reçoit les adhésions.

Vanves. Un concours est en vole d'organisation. Un comité s'occupe de créer une belle fête musicale devant attirer un grand nombre de sociétés.

vw. Couruevole. Un festival aura lieu le 20 mai, l'occasion du cinquantenaire de l'Union harmonique municipale, du anniversaire du Cercle symphonique municipal et du couronnement de la muse des muses. Renseignements à M. Godard, 12, avenue Marceau.

Pantin. Festival le l" Juillet pour harmonies, fanfares, trompettes, trompes de chasse, tambours et clairons. Le réglement sera adressé en avril. Il est déjà permis d'annoncer qu'une grande société belge, pourvue d'instruments inusités en nos contrées, se fera entendre durant cette fête. Ce sera une grande attraction.

w~ La chorale la Lyre de Montmartre a Jonné pendant vingt-cinq années un grand essor 1 la musique populaire. Désirant célébrer son cinquantenaire en juin prochain, M. Vessier, président, adresse un chaleureux appel tous les chanteurs de la Butte en les priant de se faire inscrire an siège social le vendredi (21 heures), mairie dC Montmartre.

»•*• Le comité de l'Harmonie du VI" arrondissement, président M. Duermaêl, a chosi comme directeur M. Combelle, ex-soliste de la musique de la garde républicaine. Des concerts seront donnés prochainement dans tes jardins du Luxembourg et des Tuileries. Les musiciens désirant adhérer a cette société sont priés de s'adresser, les mercredis, à 20 h. 30, à la mairie du VI", place Salnt-Sulplce.

w» La ymphonle de la Cité donnera un grand concert de gala, suivi de bal, le samedi 19 mal, en la mairie du Xt Le bénénce de cette soirée sera versé au profit de la Maison de santé des gardiens de la paix, œuvre présidée par Mme Chlappe.

En vue de créer le choral mixte prévu par le règlement, le comité de l'orchestre symphonique adresse un chaleureux appel aux dames et messieurs composant tous les services de la préfecture de police et aimant les beaux chants d'ensemble. Adresser adhésions au président, casier central 112, à la Cité.

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FAITS DIVERS Battue. et contente

Vers 2 heures, hier matin, des passant? découvraient sur le trottoir, rue de Lourmet, une femme Inanimée portant Il la tèt« des blessurt's assez profondes et qui rul transportée à l'hôpital îiecker.

Apres avoir repris, ses sens, la malheureuse déclara à M. Bonnet, commissaire du quartier, qu'elle se nommait Marie Tempellcr, âgée de trenic-trols nns, habitant 11, rue de la Smala. Son ami, un Algérien, Mohamed Agndl, pour uuc raison futile, lavait rouée de coups g la sortie d'un caté. Elle s'était enfuie et, épuisé, elle avait perdn connaissance.

Bien que Marie Tempeller ait refusé de porter plainte contre son brutal ami,! celui-ci est recherché.

Hue des Pyrénées, la Jeune chrlstlane Potier, huit ans, est renversée par unu auto. î.lai grave à Trousseau.

Mors qu'il ne disposait à fuir Il Zurich, on arréte Guido Gugenheim, vingt-trois ans, sans domicile connu, qui avait conservé lcs francs provenant de la vente des titres qu'il avait effectuer pour le compte de Mme Maréchal, rue Dupontde-l'Eure.

Au cours d'une discussion dans un débit, 1, rue de Chotseul, le chauffeur Clemendot, route de la Révolte, est btessé au visage, d'un coup de couteau fermé, par le vatet de chambre Jacquet, vingt-cinq ans, 1, rue de Grammont. circulant rue Jules-Jotfrin, le gardien cycliste Ernest Fassier est renversé par un taxi. Après pansement a Laribolstère, il a pu rejoindre son domicile.

Circulant à bicyclette rue SaintAntoine, Ni. Yves Moallle, dix-huit ans, 18, rue Auger, dérape et tombe sous un aile,lage, A Saint-Antoine.

M. Dubé, cinquante ans. 12, rue Ober. kampf reuversé, boulevard du Temple, par un'tramway, est admis, dans un état grave} a SaintLouts.

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J. KESSEL L'iMPÉRIAL CHEMtN DE FER DE PARIS A ORLÉANS ETE Création d'un service automobile rapide entre Poitiers et Limoges. La Compugnle d'Orléans organise chaque jour (dimanches et tètes exclus), pendant la période du 16 avril au 13 juillet un service automobile & marche rapide entre Pollters et Limoges, par Chauvlgnp, MontmorJlloJi, le Dorat et Uellac, et vice versa. Ce service, dont l'aller, s'elrectuera dans la matinée et le retour dans la soirée, permettra, notamment aux gens d'affaires, de se rendre commodément a Limoges avec un séjour suffisant dans cette ville. Prix de transport pur place pour le parcours Poltiers-Limoges, ou vice ttersa, 30 fr. parcours parliels par kilomètre, 0 fr. 30. Le transport des bagages et des colis de grande vitesse de domicile Il domicile est également assuré par ce service. Tour tous renseignements, s'adresser anx: gares de Poitiers et Llmoges, ainsi qu'aui gares Intermédiaires du parcour3.

VACANCES DE PAQUES EN BELGIQUE AHn de favoriser l'exode pendant les journées dominicales, lés chemins de fer belges émettront cette année, Jusqu'au 30 septembre,,des blltets d'aller et retour « fin de semaine » comportant une réduction de 25 0/J sur les prix normaux du tarif. Ces billets sont distribués dans toutes les gares belges, le samedi et le dtmancjie. Le voyage de retour doit avoir lieu soit le dimanche, soit le lundi, et commencer au plus tard le lundi à minuit. Les porteurs de billets aller et retour fin de semaine ont accès dans tous les trains (trains internationaux compris) au mêmes titre que les voyageurs pourvus de billets ordinaires. Le lundi de Pâques étant assimilé aux dimanches, les billets « fin de semaine » seront émis les 7. 8 et 9 avril, avec retour les S, 9 et 10 avril indlfferenrsnt. Notices illustrées gratuites Office des Clicmlns de fer belles, 32, rue de Richelieu, Taris.

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7 avril.

LES AMATEURS DEMANDENT

LA LÉGION D'HONNEUR

POUR LÉON DELOY ET PIERRE LOUIS Le Roseau des émetteurs français et son orpano, le Journal cics Il, ont ouvfrt une pétition pour que la Légion d'honueur soit décernée aux deux amateurs Léon Deloy et Pierre Louis.

A l'heure où les postes commerciaux généralisent l'emploi des ondes 'courtes pour les transmissions lointaine», le ti. B. F. estime qu'il est juste de rappeler que ce sont ces dcux amateurs qui, les fireiiik-rs, ont réalisé les premières liaisons, et «la Il l'tHonnement du monde scientifique. En 1920, un comité inlerallié, lurs de la répartition <Jen longueurs d'ondes officielles, s'arrêta à la longueur minimum de 200 mètres, abandonnant le reste aux amateurs « comme amusement ».

En décembre 1921. lora du premier concours transatlantique, M. Iteloy, 'sur son poste 8AB installé il Nice, fut le seul il se faire entendre en • Amérique sur 190 métros de longueur d'onde. Quelques mois avec M. Pierre Louis (8BF). travaillant rondo de 100 mètres, ils se faisaient entendre outreAilantique pendant une heure entière. L'émoi fut considérable en Amérique d'où M. Sehnell, secrétaire de Il. il. L. répondit aux signaux français par la phrase suivante Cet instant sera pour moi l'un des plus précieux souvenirs de ma vie. Nous écrivons une page d'histoire cette nuit.

En avril 1924, M. Pierre Louis était reçu en radiophonie de l'autre côté de l'Atlantique. Ce furent alors, 4 la demande de la radiotélégraphie militaire, une série de liaisons sur 44 mètres, avec le Maroc, la Syrie, le Tonkin et les lies Philippines, sur 84 mètres avec fAustralie, sur 90 mètres avec la NouvelleZélande. La voie était ouverte.

En lançant une pétition en faveur de ces deux « as n de la T. S. F., le Réseau des émetteurs cite ce jugement du général Ferrie « Les amateurs de T. S. F. ont eu le très grand mérite d'oser essayer et d'établir des communications transatlantiques au moyen d'appareils Improvisés et de faible puiseanc-e, faisant usage d'ondes courtes que les administrations télégraphiques leur avaient abandonnées parce qu'elles semblaient n'avoir que de faibles portées. Un très grand service a été rendu par les amateurs il la science radioélectrique. La T. S. F. est, au Maroc, un palliant moyen de propagande française. Notre correspondant particulier à Rabat nous têtefraphle

Au moment où se nouent les relations té- léphoniques entre la France et l'Amérique, en Afrique, l'office chériîlfin des P. T. T. ri'nrcmtre, pour sa part, un vif succès avec l'organisation et la mise en service de son poste central de radiodiffusion, d'accord avec le résident Stee^, il voulut mettre son installation et ses possibilités de propagande à la disposition du comité marocain créé pour commémorer le centenaire de Marrelin Berthelot, et mercredi soir, fut donnée par T, S. F. une conférence sur l'œuvre du grand sauvant français, par Ni. Flcury, 1nspfeteur d'académie de Rabat, adjoint au directeur général de l'enseignement. La preuve est faite que la téléphonie sans fil otfre au lfaroc un nouveau et efficace procédé de propagande française. V. LES PRINCIPALES

ÉMISSIONS FRANÇAISES

Poste da PETIT PARISIEN (340,9.0 kw500) 21 heures, concert. La musique légère anglalse les œuvres de Balte, Sullivan, Colerldge Taylor, Elgar, Myddletou, Haydn Wood, Squire, Fletcher, Finak, avec le concours de bille Suzanne Bertin, du Trlanon-Lyrique, et de M. Rousseau, de l'OpéraComique, dans La Bohémienne (Balte). Ouverture da la Bohémienne (Balfe); Trois Dansai (Flnck) H.M.S. Pinaiore (Sullivan) Petite Suite de concert (C. Taylor) La Couronne des Indes (Elgar) Trois Tableaux (Haydn Wood); Scènes champêtres (Fletcher); Mélodies écossaises (Myddleton); BaUet imaginaire (C. Taylor) Mélodie caprice (Squir?); Marche des géante (Flncte). Cliet d'orchestro M. Francis Casadesus. ECOLE SUPERIEURE DES P. T. T. (i5S m., 0 kw 5). 14 h., ouverture de Martha (Flolow) Berceuse écossaise (Schwab) Roméo et Juliette (Gounod) Mélodrame de Piccolino (Gulraud) Gavotte (Lulll) Danse slave ODvorak).

15 h. 15, radio-concert, par l'muvre la « T. S. F, à l'hôpital sous la direction de M. Victor Charpentier Chant hindou (Bemborjr) Marine (Lalo) Plaisir d'amour (Martini) Cloches de Pdques, revuette (Dominas) l'Avare (Molière) Madame l'Archiduc (Offenbach) Cosi (an lutte (Mozart). [En raison des vacances de Pâques, les séances i*u concert Pasdeloup de ce soir et de demain n'auront pas lieu.]

19 h. 13, Radio-Journal de France.

20 h. 30, causerie Les infirmières dans la lutte contre la syphilis héréditaire », par Mlle Delagrange, directrice du bureau central des Infirmières nu ministère de l'Hygiène. 20 h. 45, chronique sportive.

21 h., concert ouverture do Prométhée

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Beethoven) Invocation de la Vierge (P. ̃ourdraln) Auprès de toi (Bach) air de Pamlna de la Flûte enchantée (Mozart) Sérénade carnavalesque (C. Erlanger) Entr'acie Loure, Courante (Karg-Etert) la Damnation de Faust (Berlioz) Aria (Bach) Contes de grand' mire (Battunchon) Menuet de Vallière (Thome) A Itosita, la Demoiselle (warg. Laborl) Valsé de Mireille (Gounod) Dans l'oasis baignée de lune (Marcel Bcrnhelm) Ballet d'tsotlne (Messager). TOUR E I F F L h (2,850 in., 6 kw.). t7 h. 45 M. Alfred Machard Le romancier en cinéma » M. Wessht « La semaine à Paris.

10 1t. 30 Vers l'église Qane le soir (P. Ladmlrault) la Vie pàxir le tsar, air de Wunlu Quelle Douleur (Itachmtnlnov) Berceuse (Oainbert) Chanson géorgienne (Bnlaktrov) Sadko, berceuse (Htmsky-Korsukow) la Foire de Sorolchinshy (Moussorg'skl) Suite bretonne e (A. Cadou) V Automne le Printemps. 20 h. Docteur Gilbert Robin, ancien cher de psychiatrie à la l'acuité de Paris « L'enfant et lit psychanalyse > ï M. Michel Faguet « L'âge quaternaire et les Australiens actuels » M. Paul Pcrrln « Représentatfon professionnelle et socialisme. Radio-paris <i.7so m.), i h. 30 culture physique. h. concert. 12 Il. 30 trios classiqueà. 15«li. 45 Anda Chulona (Ferrete) 'HonHymoWi Chimes (Mary Earl) Marie- Ilose (O. Lorétte) Triste gaucho (G. Esposltoi .Naughty vielody (Parsons) 6l Ci8ne (Tolmont) Une pehte /emme (Vincent Scottû) Lola (Chtriando) Coeur de mdme (Moreau-Chobll)on) Bill (de Bozl). t9 h., communtqué agricole.

10 h. 30, cours pianistique par /Il. Pierre Lucas.

20 b., causerie La grande pêche et les œuvres de mer ». par le commandant de Penventenyo, administrateur délégué de la Société des oeuvres de nier.

20 h. 30; concert du Mutin bille Madyne Coquelet Abstmce (Tozlgl) Toc-toc-toc (Jac Marc). 111, 'Jean Cyrano dans son répertolre. M. Danielo dans son répertoire. Mlle Jenny Elsen Lens, cantatrlce Près de ma tombe obscure (Beethoven); Carmen (Blzei). M. Jacovaccl Oh! yes! 1 am glad; Flor de mi «erra, tango argentin (Jacovaccl), accompagné par Mlle Loulse Jacovaccl. Mlle Mary Kelty Promesses d'amants (Malderen) Petfle Chose (Charlys). Mlle Suzanne Ribot Nocturne (Faure) Cache-cache (P'erné). M. Max Rogé dans son répertoire. M. Stubbs: Amorosa; Madrid (Stubbs). Paris-Lune-Paris, opérette (DanlderjT).

RADIO L. L. PARIS (370 m., 0 kw. 3). 13 h. 30: Comme au vieux temps, Angélus du soir, mélodies When ? Jazz.

R A D I O TOULOUSE (391 m., 3 kw.). h. Peer Gynl « Dans le hall du roi de la montagne ». 12 h. 30 in a nwnastery In a Itttle garden (Fellce Iula) Marquis bergers (Jane Vieil) The Quarker girl (L. Moukton) Canzonetta (E. Fillppuccl) Ce sont elles (J. Darlmont) les Masques (Pédrottl -Gauwin) Belle de Londres (il. F'iuchey) fc'J habanien (Jïne Vleu) le Baiser de Roxane (L. Deitourï le Trouvère (Verdi) Fantoches et pantins (G. Razlgade) Morphlna (M. Spohansky) Danse malgache (P. Wachs) Petite (A. Barblrolll). 17 h. 30: la a pemian market. 20 h.: Un peu d'amour (Lao Silésu). Conférence; « La femme française et les profescSlons libérales. 20 b. 30 première partie le Trouvère (Verdi) VEtudiant petitvre, fantaisie (Mllloecker) Sanuon et Dalila (Saint-Saëns) la Heine de Saba (Gounod). Deuxième partie Charmaine (Rapee Pol lak) la Longue route (Parés Van Parys^ fredaine Lorentzta (fléneem Rose-Marte (Frtml) Marie- Hoso (V. Scotto). Troisième partie, jazz Sur la butte (Padllla) Annie []lues (Huré) face Blanche Si toutes les femmes savaient r, e t (Craven) Klang (Wood) nose-mousse (Boac) Voit Dance (Browu).

TOULOUSE-PYRENEES m., 0 kw 5). 21 h., concert.

RADIO-LYON (»3I m. S, 1 kw. 51. 13 b.. Sérénade (Cappé); Don Juan (Mozart); Attirai (smet); le Barbier de Sévillc (Rosslnl); Sérénade sentimentale (Chantrler) l'Enfant dtt régiment (Fuclck)

20 h. 30, Roue (D'Ambrosio) l'Attaque du moulin (Bruneau) le Beau Danube bien (Slrauss) Prélude, cortège et air de danse (CI. Debussy) Au moulin (Gllèlet) lit Dame blanche (Uoleldieu) Danse hongroise BORDEAUX- LAFAYETTE m" n00 w.). 12 h. 45, le Message de Pierrot (Strauss); les Forains (Berger) la Fille de Madame Angol (Lecocq): Iota et Tata (Tartanaci; Prélude de la grotte nux aigles (Jocelynj le Philtre (Auber) Petit coquin de printemps (Daras).

RADIO-BEZIER.S m., 500 w.). 20 Il.40: Ouverture, orgue et piano (Grleg) Ciochea de P/lques (Marc Delmas) -Dun du Crucifix (Fauré) la Procession (César Franck) Prélude et fugue (J.-S. Bach) Hosanna (Granler) B» Symphonie (Mozart).

NICE JUAN LES PINS (257 m.). 13 Déclaration (Waldteufe!) 1%'iggers Birthday (Lincke) A la veiUée (Février) Stradella (Flotow) D'une prison (il. Hahn> Cythére (Popy) Rememtier a. Berltu) Petit mari, petite femme (Btzet); Base Marie (Frtmi). 21 h.: concert. Il.: Jazz.

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LONDRES (361 m. 4, 3 Kw.). DAVENTRY (1.600 m., 95 kw.). Il., orchestre. 15 h. musique militaire. Hommage, marche (Wagner) Pourquoi pas ? (Kennedy Russell) le Capitaine de la « MaryJane » Si J'étais (Richards) ouverture de Privât e Ortneris (Ausell) Villanelle (Del Acqua) J'aime la lune (Rubcns) Un merle sifflant (Haydn Wood) suite du ballet la Source (Dellbes). ifi Il., Chaque homme pusse (Sanderson); venez la foire (Easthope Martln) les Pécheurs d'Angleterre (Montagne Phillips) Nymphes et Sylvains (lieinberg) la Flûte de Pan (Moucklon) Seconde Mazurka (Godard) Chant irlandais (Grainger).; Danse florale (Moss) Eveille,ni, bien aimée (Cowen) Petite Suite (TschaïkowSky) l'air des. Bijoux dans Fauat (Gounod); le Plus grande désir du

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monde (Dei Rlego); Rigaudon de Dardanu* (Rameau) la Danse des torches (RublDSIrln). 18 h., Qutnietle; Nocturne; Je l'aime; Marche des Noires (Grleg) Introduction et Caprice (Mendelssohn), piano Cerise mare (Cyril Scott) Valse (Colerldge Taylor) Quintette l'Heure exquise (Hahn) Brise» du soir (Lanyley). 19 h. les Bases de la musique, piano la Vallée des cloches Ieux d'eau (Rave)). 19 h. 45, sélection sur Morceaux et pièces, de Georges Robey. 20 b., opéra-comique anglais. 21 h. musIc-hnlT. 22 h. 30, danse.

DAVENTRY EXPERIMENTAL m. 8. 12 kw.). 15 h. 30, music-hall.

16 h. 30, danses.

20 Il. as, le Vagabond (Kingqley Lark). 2P h., ortrîte: • Suite bohémienne (Colerl(ise-Taylor); VOIteau bleu (German) Roses rt "geneis (Foulrts); Berceuse (Kemp); Séré·nade à Nicotette (Bernard (Ruasell) Valse lente Rive di Cotombine; Gavotte Qatts le jardin de Pierrot (K. A. Wright) Episode écossais (Shltkret) Mélodie Résolution (Fontenailles ) Danse de Titanla (Newton); Elfes et fers (Deunnore) C'étaient deux fiances (QUIlter) Grande fanUtisie d'opéra. Danse slave n° 2 (Dvorak) Qnartette pour piano et cordes (W. T. Wallon) le Plus beau des arbres (George (Buttfrworth) la Jeune Fille (Parrey) Prière (Perclval Carrat) Oh hommes des champs (Herbert Hughes) Doucement chevaux, doucemertt (Matltnson).

h, 5, Mouvement en si bémol (Bairour GordliK-a); Cerises m6rt's,

UHUXELLES m. 5, 1 kw.). 17 h. danses. 20 h. 15 concert.

GENEVE <7M> m., 1 kw. 5). 19 h. A fatlaque (Slede) la Chaste Svzanne (Gilbert) Petite Marquise hnce LWtpat (Translateur).; le -Réveil des -fleurs (Bach) Sérénade à Carmen (Don Carlosl la Dernière Valse (Strauss) Vivat Accademia (2immcr).

BERLIN (483 m. 9, 4 kw.). 20 b. Sonate (lammer); Adagio (K. Slamltz) le Sommeil de l'Enfant Jésus Semaine sainte (H. Woit) Sonate (G. Tœschl).

FRANCFORT (428 m. 6, 4 kw.J. 15 h. 30· œuvre3 de Brahms.

ROME (447 m. 8, 3 kw.). 10 h. Quatuor en ré majeur (Bocchertnt) le Samedl saint (Pi a Plzzicarla) Nocturne et finale (Borodine) la Résurrection du Christ, orhtorio de Don l.oreuzo Perosl.

MILAN m. 3, 7 kw.). 18 h. Ouverture des Joyeuses Commères de Windsor (N'Icolal) Soeur Angélique (Puccini) Intermède de Cavalleria Uusticana (Mascagnl) Ouverture de Titus (Mozart).

22 h. My golden dream (Vita) Harmonie de la nuit (Nuccl) Pagode de mystère (Sagarla) Honda degll scugnizti (Pennatl).'

VAPLÉS (333 m. 3. 1 kw. 5). 19 h. concert. 19 h. 45: relais du théâtre San Carlo. BARCELONE (34J m. 8. 1 kw. 17 h. 10, Marche militaire n- 3 (F. Schubert); Sélection de Faust (Gounod); Valse de Coppdlla (V. MartOEcll); la Costurera, danse américaine (A. Coto); Daux murmure (E. Glllet); Sérénade espagnole (Blzet).

20 h. 30, Ouverture du Barbier de Sétille- (G. Rosslnl); Moment musical (Schubert); Pizzicatli (P. Fauche,): Berceuse de JocelyR (Godard); la Joconde (Ponchlelll) Viêion, valse (E. Wîildteurel).

AUX HALLES HIER Pas de viande p'. volaille.

Les polissons de aiarée commune ont été, hier, très demandés, en raison du vendredi saint. Baisse, au contraire, sur la marée fine. Les arrivages étalent de 302.bOO kilos. Hausse sur le colin décapité, 7 a 16; le hareng hollandais, 2 50 il 4 50; le gros maquereau, s 6 petit, 12 à le merlen brillant, 8 10; ordinaire, 3 a S.

Baisse sur la barbue, 5 28; le bar, à 38; le congre, 4 à S; le homard, 20 à 40, la langouste, 25 il 37; la sole étrangère. S0 a 28; française, 22 à 32; le turbot, 10 a 28. La morue s'est vendue de 3 50 à 50 le kilo.

Les beurres nns valaient de 22 27 le kilo; ordinaires, da 14 & 23, et Jes œufs, dé 440 a le mille.

Baisse sur l'épinard des départements. 1a0 A 220 les 100 tllos; fève d'Argone, a 240 la laitue du Midi, a les pou verts du Midi, 500 a 700; le persil, 5n0 à 1,200; les haricots verts d'Algérie, MOUVEMENT DES NAVIRES Postage

du Nord. Pour New- York, le» 10 et 11/4 via Cherbourg, le n/l via. le Havre, le fi/4 via Boulogne.

Amérique du Sud. Pour narwonc. Valence, Allcnnte, Mnlag-a, Cadix, Olbnlfar, Dakar Pcniambin-o, Rie de Janeiro, S.intos. Montevideo et Buenos-Ayres le 10/i via Marseille.

Afrique et Océan Indien. Pour Dakar, le via Marsellle; pour Tanger, Casablanca Dakar et Runsq-.in. !o 1114 via Mar.seille.

Levant et Syrie. Pour G5ne«, rraple1», Port-SaM, .'ofTa, Calffa, Trlpoll-ds-Syrle, Larnaca, smyrne et coustanllnople, le 9/4 via Marseille.

CHEMIN DE FER DE PARIS A ORLÉANS Avance de l'heure légale (nuit au au 15 avril 1928). Par suite de l'avance do ,'heure légale, le train 41, partant de ParisQuai d'ursay à 23 h. 52, sera expédié de cette gare à 24 heures (heure nouvelle); dans la nuit du au 15 avril, c'est-à-dire 23 heures (heure ancienne).

Les trains qui devaient circuler normalement entre 23 et 24 heures dans la nuit de transition subiront un retard d'environ une heure et leurs correspondances ne seront pas garanties.

PLUS AUCUN DUVET en quelques minutes

Avant la découverte de la crème Vyzo, il n'existait aucune méthode pour se débarrasser de ces duvets superflus gnî détruisent la beauté. Le rasoir les fait croître plus vite et plus «pais, et les dé})ilatoires ordinaires sont nocifs et dou.loureux. Vyzo est unp crème douce et parfumée, qui a entièrement remplacé ces méthodes désuètes et ne donnant pas satisfaction. Etendez-la telle qu'elle sort du tube, enlevez après quelques minutes et le duvet a disparu comme par magie. Résultnts garantis. Nous remboursons l'argent en cas de non-satisfaction. Vous trouverez Vyzo dans toutes les bonnes maisons pour 5 fr. S0 et fr. 50 (très grand modele). Un tube d'essai de Vvzo sera envoyé discrètement contre i fr. par la Maison Dumand-Palita (Dont. Q rue de Provence, Pans. UC PASTEURISEE T SUCREE Il, 141, Qi/êi d'Âinlêm, AStulRfS (Smaif

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