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Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1926-02-25

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 25 février 1926

Description : 1926/02/25 (Numéro 17894).

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse

Description : Collection numérique : BIPFPIG15

Description : Collection numérique : BIPFPIG33

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Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k606402v

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 17/10/2008

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L'ENQUÊTE HONGROISE SUR L'AFFAIRE

DES FAUX BILLETS

LA COMMISSION DÉPOSE DEUX RAPPORTS

tandis que celui de la majorité innocente le gouvernement, celui de la minorité énumère les charges qui pèsent sur le comte Bethlen et ses collègues et demande qu'un gouvernement hors de cause soit appelé aux affaires {Vienne, 2i fév. (de notre ene, spéc.) Le rapport de la majorité de la commission d'enquête parlementaire déposé aujourd'hui au Parlement (concorde avec la plupart, des données Connues de l'acte d'accusation. Un point capital est que l'idée de toute l'affaire vient de l'étranger, selon ÏWindischgraetz d'Allemagne, pré- jtise Raba. Les témoignages sont 'Unanimes à constater que les incul- j pés voulaient renverser le gouver- j moment actuel. Rien ne prouve que le but du complot était un coup ïn5tat royaliste en faveur de l'archiiduc Albert. Le rapport conclut que J'idée ou l'exécution du crime n'in- combe ni au gouvernement ni à aucun membre de l'Assemblée natioInale et que le gouvernement, après la découverte de l'affaire, fit tout son Revoir.

Le rapport de Fa minorité

La minorité de 'la commission id'enquète, se séparant nettement de au majorité, a remis également son rapport, rédigé par le député Vas- £onyi. Ce rapport constitue une charge écrasante pour le gouver- pement.

Le rapport insiste d'abord sur ï'impossibilité que le gouvernement lirait pas eu connaissance des travaux de falsification effectués presque ouvertement à J'Institut cartographique.

Il rappelle qu'au sujet de JankoVitch, -arrêté à la Haye avec les faux billets, le ministre hongrois des Affaires étrangères télégraphiait à la Baye que Jankovitch était de bonne foi et qu'il lui maintenait sa qualité ide courrier diplomatique,

Le rapport continue d'énumérer les charges qui pèsent sur le comte Bethlen et sur le gouvernement non- (trois. Voici les principales

Le comte Teleki a, il y a quelques tannées, appelé l'attention du comte Bethlen sur les manœuvres du prince iWindischgraetz. Le comte Bethlen ilui-mème a déposé que, à la fin de i922 ou au début de le prince ÎWindischgraetz lui révéla l'existence <ûu plan de l'affaire qu'il proposait ide placer sous le contrôle d'Etat en Taison de son but patriotique. Le comte Bethlen se contenta d'inviter ke chef de la police Nadossy à empêcher à tout prix la falsification de ïa monnaie étrangère.

Il y avait eu alors déjà commencement d'exécution d'un crime réprimé par la loi et le comte Bethlen n'a pas sévi. S'il avait agi alors énergiquement, l'affaire eût été étouffée idans l'œuf.

île comte Bethlen reçut ensuite tolu.sieurs fois Windischgroetz en et 1925.

En autre, prévenu par le baron Pcrennyi que Nadossy était au courant de l'affaire, le comte Bethlen maintenait Nadossy à la tête de la police.

Du 16 au 31 décembre dernier, alors qu'ils étaient nettement intpligués dans l'affaire, Nadossy et Windischgraetz avaient le loisir de se Concerter et Nadossy demandait au prince de se charger de toute la responsabilité de l'affaire, sinon, disaitil, tout le gouuernelnertt y passerait. 'Le 25 décembre, les deux principaux coupables étaient invités ,par le ministre de l'Intérieur.

Les arrestations n'ont eu lieu que 'sur l'insistance de la France. Des interrogatoires importants ont été omis. Tous les employés de l'instixut qui travaillaient aux faux billets irvaient la conwietion que le gouvernement approuvait l'affaire-

Nadorr<y, selon le rapport, aurait déclaré, lui aussi, que l'idée de la falBification venait d'Allemagne. Quant ait vrai but de l'af faire, les interrogatoires ne permettent pas de l'établir sûrement. Les buts paraissent '/différer, selon Les individus.

Voici la conclusion du rapport de la minorité

Il est impossible que le gouvernement .!Bous lequel se sont produits les faits ci-dessus reste à la tête du pays. La responsabilité retombe en premier lieu sur le comte Bethlen et, on second lieu, sur le ministre de l'Intérieur. L'attitude du prince Windisdhgraetz est significative, qui ne répnnd,ait jamais que par une dénégation formelle aux questions tendant à savoir si le gouvernement était au caurant de l'affaire, mais qui refusait de déposer. Si le comte Bethlen et le gou- vernement, avaient fait leur devoir, ils auraient sauvé la Hongrie de la honte de la falsification. il importe donc qu'un cabinet hors de cause succède rapidement au cabinet actuel.

MM. Briand, de Monzie et Rakowski prendront aujourd'hui la parole

à l'ouverture de la conférence franco-russe Comme nous lavons annoncé, la fcéance inaugurale de la conférence franco-soviétique aura lieu ce matin, à 11 heures, au ministère des Affaires étrangères, dans le salonde l'Horloge.

Après une allocution de bienvenue de M. Aristide Briand, M. de Monzie, président de la délégation française, prononcera le discours d'ouverture. M. Rakowski, ambassadeur de l'U- R. S. S. et président de la délégation russe lui répondra. Le texte de ces discours sera communiqué à la presse.

La conférence réglera ensuite le programme de ses travaux. Puis, M. Briand offrira au Quai d'Orsiiy un déjeuner en l'honneur de la délégation russe,

4 GA VF.VXIEME PAGE:

LES MÉMOIRES DU COLONEL HOUSE

UNE PROUESSE QUI COUTE CHER UN AVION PASSE SOUS LA TOUR EIFFEL HEURTE UN FIL D'ANTENNE ET S'ABAT IL CARBONISÉ Ce serait à la suite d'un pari que celui-ci le lieutenant de réserve Collot aurait tenté cet exploit retentissant. et interdit par les règlements

Un terrible accident d'aviation, dont la victime est le lieutenant Léon Collot, âgé de trente-deux ans, s'est produit, hier, dans la matinée, au Champ de Mars.

Pilote de réserve, l'officier faisait un stage au centre d'entraînement d'Orly, qu'il quitta, hier matin, pour mettre à exécution un pari-défi qu'il avait engagé.

Récemment, en effet, le lieutenant Collot avait rencontré dans un théâtre un Américain de ses amis, qui s'était montré surpris qu'aucun

aviateur français n'eût encore essayé de passer sous la tour Eiffel. S'il y avait une tour Eiffel en Amérique, avait avancé l'interlocuteur de l'officier, il y a longtemps que ce serait fait.

Bien qu'après la folle prouesse de l'aviateur Godefroy, qui, on s'en souvient; passa sous l'Arc de Triomphe, une pareille épreuve apparût sans grand intérêt, le lieutenant Collot, dont l'amour-propre avait été piqué au vif, décida de la tenter.

Et de bonne heure, hier, il quittait l'aérodrome d'Orly, sur un biplan militaire monomoteur d'ancien modèle. Arrivé vers 8 heures au-dessus de la tour Eiffel, l'aviateur, sans doute gêné par le brouillard qui s'était rapidement élevé, évolua pendant de longues minutes dans le ciel. Mais vers 9 heures, une éclaircie s'étant produite, l'aviateur se décida. Son f r è r e, chirurgien-dentiste, établi 2 bis passage Louvet, et chez lequel il habitait, suivait les évolutions de l'avion avec quelques amis. Des opérateurs cinématographiques, prévenus la veille par l'aviateur, étaient postés aux abords de la tour Eiffel pour enregistrer son exploit. Du Trocadéro, l'aviateur piqua sur la Seine et passa sous la tour qu'il traversa sans encombre. Mais, à la sortie, il voulut reprendre de la hauteur. Malheureusement, au 1 i eu d'obliquer à gauche, il tourna sur la droite et les ailes de l'avion ayant heurté le fil d'une des antennes de T. S. F., l'appareil fut déséquilibré et, projeté à terre, dans un massif, à proximité du terré-plein central du Champ de Mars.

La chute avait été foudroyante et le choc terrible. Une gerbe de flammes jaillit des débris de l'avion qui, en quelques secondes, ful, en feu. Alertés, les pompiers des casernes Violet et Malar accoururent sur les lieux de l'accident, mais sams rien pouvoir pour le malheureux aviateur, qui périt carbonisé.

M. Camille Chautemps, ministre de l'Intérieur, et M. Morain, préfet de ,police. venus au Champ de Mars dès la nouvelle; de l'accident, ont salué la dépouille mortelle de l'aviateur, qui a été transportée au Val-deGrâce.

Le lieutenant de réserve Léon Collot, affecté au 35° régiment d'aviation d'observation, de Lyon, avait été seulement breveté pilote le 31 octobre 1919. Depuis quelque temps, il avait repris 1 entraînement au centre

civil (centre Richard), à Orly, où il fut affecté, voici quinze jours, pour y effectuer une des.périodes règle- mentaires auxquelles sont astreints les officiers pilotes de réserve. Les sanctions qu'aurait encourues l'aviateur s'il n'avait pas été victime de sa témérité Si l'aviateur Collot était sorti sain et sauf du dangereux exploit réalisé par lui, il aurait eu à répondre devant l'autorité militaire et devant la justice de plusieurs fautes contre le règlement et les ordonnances du préfet de police. Il est, en effet, interdit aux aviateurs civils ou militaires pilotant. des appareils monomoteurs d'évoluer au-dessus de Paris à moins de 2.000 mètres et de se livrer des aorobaties. De plus, les aviateurs militaires ne peuvent quitter leur aérodrome ou aller survoler Paris sans avoir reçu de mission. Or c'est à l'insu du chef du; camp d'Orly que l'aviateur Collot était parti le matin sur son appareil.

Aussi, s il n'avait. pas été victime de sa témérité, l'aviateur eùt été rayé des cadres du personne 1 navigant pour faute grave contre la discipline et poursuivi devant les tribu- naux civils.

Mieux que la menace de peines disciplinaires ou judiciaires, espérons que le tragique exemple d'hier suf^ .tira pour empêcher le retour de ten- tatives et d'acrobaties aériennes ( aussi inutiles qu'imprudentes et dan- gereuses.

M. JORGE* A. MITRE directeur de la Nacion est à Paris

M. Jorge A. Mitre, directeur de la Nacion de BuenosAyres, vient d'arriver à Paris avec sa famille. M. Jorge A. Mitre a fait ses études en France, pays auquel son journal est fermement attaché, et dont la fidélité fut d'une valeur r inestimable pour notre cause pendant la guerre, aux heures critiques où le peuple argentin, poussé par le

gouvernement du président Ingoyen, hésitait entre nous et nos ennemis. Ce fut la Nacion qui déchaîna une véritable campagne francophile en Argentine, et qui forma le groupement des jeunesses universitaires qui. par son attitude, réussit à produire un revirement dans l'opinion publique.

M. Mitre, petit-fils du glorieux général Bartholomé Mitre, fondateur de la Nacion, et un des grands organisateurs de la nation argentine, dont il a été le président, a porté son journal à une hauteur égale à celle des grands quotidiens européens. Rappelons que parmi les collaborateurs français de la Nacion figure M. Poincaré, dont les articles sur la politique française et internationale sont câblés à BuenosAyres tous les quinze jours. et un grand nombre de littérateurs et de journalistes français.

M. Mitre, qui partira dans une quinzaine de jours pour les Etats-Unis, afin d'assister au congrès de la presse panaméricaine, reviendra en France pour y faire un long séjour.

imiiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiiiMiiiiiiiiiiiiiHiiiiiiHriMMtliim A LA TROISIEJfE PAOK

La loi sur les loyers a été votée hier par la Chambre. (Elle ne sera définitive qu'après ratification par le Sénat).

LE CONSEIL MUNICIPAL! A VOTÉ LE RELÈVEMENT DES TARIFS DES TAXIS Le nouveau régime n'entrera toutefois en vigueur qu'après la publication de l'arrêté du préfet de la Seine

(Le conseil municipal, après l'exposé des trois rapporteurs, MM. Delavenne, Massard et Denais, et à la suite d'une intervention de M. Fiancette, a voté hier le relèvement des tarifes des taxis. Les nouveaux tarifs et le régime transitoire prévu, en attendant que les compteurs soient modifiés, ne deviendront toutefois applicables que lorsqu'ils auront été approuvés par arrêté du préfet de la Seine.

Le nouveau régime comporte, on le sait, une augmentation sur les prix actuels de 25 0/0 le jour et le dou- blement des tarifs la nuit, de 23 heu- res à 6 h. 30.

(A la. deuxième page, la discussion devant le conseit municipal du nouveau tari/.) AUJOURD'HUI, A LA CHAMBRE DÉBAT SUR LOCARNO

La Chambre, on le sait, discutera aujourd'hui, le projet de loi tendant à la ratification des accords de Looafno.

Douze orateurs sont inscrits dans la discussion générale:' MM. Spiuasse efUhry (socialistes). Albert Milhaud et Margaioe (radicaux socialistes), Plaisant (gauche radicale), François Poncet, Fabry, Joseph. Barthélémy et Picot (gauche républicaine démocratique), Louis Marin, Désiré Ferry et Desjardins (Union républicaine démocratique).

A cette liste, il faut ajouter, outre M. Briand, MM. Franklin-Bouillon et Paul-Boncour, président et rapporteur de la commission des affaires étrangères.

On croit que le débat occupera deux séances.

LE DOUZIÈME PROVISOIRE DE MARS En raison de l'état présent de la situation budgétaire, le gouvernement se trouve dans la nécessité de demander les autorisations nécessaires pour subvenir pendant le mois de mars aux besoins des services do l'Etat et pour percevoir pendant ce mois les impôts et revenus publics. Le projet que M. Doumer a déposé, mardi, à cet effet, demande l'ouverture de crédits s'élevant à 2 milliards 647 millions 467,512 francs pour le budget général et 435 millions 888,345 francs pour les budgets annexes.

Il est, en outre, têmaecitAê air titre du compte spécial des troupes d'occupation en pays étrangers, des autorisations s'élevant à 41 millions 773,086 francs.

LA DÉTENTE DES CHANGES S'ACCENTUE La détente que, depuis le début de la semaine, on pouvait constater au marché des changes, s'est accentuée au cours des tractations d'hier. Mardi, la livre cotait 133 80, hier, à 18 heures, elle ne se traitait plus qu'à 133. Le dollar descendait de 27 70 à 27 35.

C'est une amélioration sensible de notre devise puisque, depuis samedi, la livre a baissé d'environ 4 francs. PoitJj ET COJVTJJE Nous continuons à ne pas savoir très très exactement ce qui se passe en Chine, mais nous en savons assez, cependant, pour savoir que la situation n'est véritablement pas très séduisante. Les généraux se battent, se font battre, exécutent, se font exécuter, avancent, reculent. Tout cela est assez confus. Mais la Chine, indubitablement, est en folie, comme l'a écrit Albert Londres. Et elle est, hélas à feu et à sang

Ces événements fâcheux et tragiques n'ont point troublé la parfaite, la professionnelle sérénité de certains de nos missionnaires qui se trouvent présentement en Chine. Un de ces missionnaires a écrit de Changhaï, à la Revue Culinaire, et, en vérité, a écrit la lettre la plus tranquille, la plus simple, la plus reposée. Ce missionnaire, je le dis tout de suite, est cuisinier à Changhaï. Il se nomme Edmond Grivaud.

« La situation s'améliore, dit ce chef impavide, et nous recommençons à servir de belles parties. »

C'est tout ce qu'il nous dit de la politique chinoise, des révolutions chinoises et des généraux chinois. Après quoi, il nous parle de son métier, de sa cuisine, de ses menus. Il faut qu'il apprenne l'anglais pour parler avec les blancs, et le chinois pour se faire entendre du personnel indigène. Cela ne le trouble pas. Il apprend parfaitement le chinois. Et aux Chinois, il apprend, lui, la cuisine française et la pâtisserie.

Il ne bat pas ses élèves, il juge plus opportun de leur appliquer la méthode française. Il respecte leurs mœurs, leurs crovances.

Et il fait de la cuisine. Et il veut que sa cuisine soit de la vraie cuisine. Ce qui prouve qu'on peut cuisiner sur un volcan et continuer à faire sauter des poulets tandis que sautent, dans les environs, les révolutionnaires et les contre-révolutionnaires.

Mais ce bon chef de France ne se contente pas de faire mijoter de bons plats. Il veut aussi « vulgariser » notre cuisine de France à travers toute la Chine en folie. Et il prépare, avec quiétude, un livre de cuisine francochinois.

On dira ce qu'on voudra. Il y a tout de même des Français qui savent voyager. Maurice PuAX.

LA MORT DE CADY

JOLLOT EST CONDAMNÉ A TROIS ANS DE PRISON Le jury n'a rendu an verdict affirmatif que sur la seule question de coups et blessures ayant entraîné une incapacité de plus de vingt jours Melun, 24 fév. (de notre env. spécial.) L'affaire JoBot a pris fin une foule passionnée, tapageuse et trop compacte a assisté à cette dernière journée qui fut tout entière consacrée à l'éloquence.

La partie civile d'abord M" Maurice Garçon a formé avec talent un faisceau des charges qui pèsent sur Jollot; il a brossé des deux amants un portrait sobre, mais minutieusement fouillé.

Puis le réquisitoire M. Marquet, procureur de la République, après avoir mis en relief la jalousie de Joilot et l'importance de l'emprunt qu'il avait fait à Cady et dont il ne pouvait pas se libérer, considère qu'il y a une déduction logique de faits par quoi se démontre nettement la culpabilité. Il demande un verdict sans pitié. Enfin la plaidoirie, ardente, entrainante, de M* de Moro-Giafferi, pour qui l'accusation n'a pu que nous présenter des hypothèses boiteuses. Qui a frappé Cady? Son « homme » peutêtre. Mais qui était son « homme » ? Pas Jollot, certainement.

Après une heure de délibération, le jury rapporte un verdict négatif sur les questions principales et affirmatif sur la question subsidiaire de blessures simples ayant occasionné une incapacité de vingt jours. Ce que la cour traduit en trois ans de prison, 500 francs d'amende, 1 franc de dommages-intérêts, les frais d'audience et d'obsèques et les dépens.

LE PRINCE DE ROlilE EST ARRIVÉ HIER A PARIS Le prince Carol de Roumanie, qui séjournait depuis plusieurs semaines à Milan, avait quitté cette ville par le rapide de Trieste qui devait entrer en gare de Lyon hier aprèsmidi à 2 h. 45. Le train n'arriva qu'à 3 h. 10. Personne de la légation de Roumanie ni du monde officiel ne t'attendait. Mais de nombreux phoItographes et journalistes étaient venus. Le prince en parut d'ailleurs ] assez contrarié, et c est assez nerveusement qu'il refusa successivement en français, en anglais, en italien, en allemand, de faire aucune déclaration.

Quand ses bagages, assez volumi-

neux et recouverts a étiquettes ae tous les palaces européens, eurent été descendus, le prince, coiffé d'un chapeau mou et revêtu d'un pardessus de voyage, se dirigea vers la sortie en compagnie de Mme Lupescu. Rapidement, une auto emmenait les jeunes voyageurs le prince a trente-deux ans et Mme Lupescu, vingt-six à l'hôtel Chambord, avenue des Champs-Elysées, où ils séjourneront.

La médaille ae la reconnaissance française sera remise la ville de Charleroi Le groupe parlementaire de l'apprentissage et de l'enseignement technique de la Chambre, présidé par M. Constant Ve-rlot, député des Vosges, se rendra à Charleroi les 7 et 8 mars prochain. M. Bénazet, soussecrétaire d'Etat de l'Enseignement technique, remettra la médaille de la reconnaissance française à la vaillante cité belge. Une conférence sera faite par M. Victor Bérard, sénateur du Jura.

DOUCHE MATINALE

LE SÉNAT STATUERA DÈS AUJOURD'HUI SUR LES ARTICLES DU PROJET FINANCIER DÉCIDÉE A ABOUTIR RAPIDEMENT, LA HAUTE ASSEMBLÉE A MIS FIN, APRÈS DEUX SÉANCES, A LA DISCUSSION GÉNÉRALE Une demande de remoi de l'article 1er est repoussée par 291 rate contre 9

UNE TRANSACTION POSSIBLE POUR REMPLACER LA TAXE SUR LES PAIEMENTS

Une formule transactionnelle, grâce à laquelle le conflitfentre les deux Assemblées pourrait être évité, a été proposée, hier, aux radicaux socialistes du Sénat et de la Chambre par M. Chapsal, sénateur de la Charente-Inférieure

Elle tend payer, sur la base du franc or, Vimpôt établit sur les importations d'objets et marchandises le juia 1920. Une recette supplémentaire de 1.800 millions résulterait de la transformation proposée. Ainsi la taxe sur les paiements deviendrait inutile. Le gouvernement sera consulté ce matin Les débats sur les projets financiers ont commencé hier devant le Sénat, et sans doute on peut bien le dire sans craindre de se tromper ils seront bientôt terminés. La Haute Assemblée veut rester fidèle à sa promesse, elle a hâte d'aboutir et elle l'a prouvé 'hier en mettant fin après, deux séances à la discussion générale. La plupart des orateurs inscrits ont renoncé à prendre la parole pour ne point prolonger les débats. S'ils montrent aujourd'hui la même discrétion il est certain que ce soir, mais assez tard, dans une séance de nuit peut-être, les projets auront été votés.

Pendant que se déroulait en séance publique la discussion générale. les délégués des groupes radicaux de la Chambre et du Sénat recherchaient une formule transactionnelle en vue d'éviter le conflit redouté entre les deux Assemblées.

Il y avait à cette réunion, cote sénateurs. MM. Milliès-Lacroix, Cail1 taux, Bienvenu-ltartin, Milan, Machef, Schrameck, Pasqual, Serre, 1 Chapsal et Sarraut côté députés MM. Malvy, Gazais, Palmade et Lassalle.

M. Malvy fit connaître aux délégués le résultat de ses pourparlers avec le gouvernement, pourparlers qui. on le sait, n'ont point abouti. Pourtant, le Sénat est prêt à une transaction M. Caillaux le lit observer le Sénat ne demande qu'à -s'entendre avec la Chambre, mais alors qu'elle lui apporte des ressources nouvelles. Elle veut supprimer la taxe sur les paiements, mais en supprimant cette- taxe, c'est près de deux milliards et demi qui disparaissent.

On discuta, on discuta longuement. Comment ? Par quelle autre taxe remplacer cette taxe sur les paiements que la Chambre boude? Finalement on se mit d'accord sur un amendement que proposa M. Chapsal, sénateur de la CharentP-Inférieure, ancien directeur général du Commerce, amendement qui tend à faire payer l'impôt sur les importations établi en 1920 sur la base du franc or avec son équivalence en franc papier, mais en ramenant l'impôt en question à 1 0/0.

Pourtant, M. Milliès-Lacroix souleva une ôbjection cet impôt transformé n'amènerait-il pas une diminution de l'importation des objets manufacturés et, par conséquent, une diminution de recettes ? Mais non, répondit M. Chapsal, il est appliqué dans des pays étrangers, y fonctionne parfaitement et n'a amené aucun déboire.

M. Chapsal fut chargé de déposer sur le bureau du Sénat et de le défendre en séance, son amendement qui est ainsi conçu

L'impôt établi sur les importations d'objets et de marchandises, par applicatton de l'article 72 de la loi du 25 juin 1920. est réduit au taux de 1 et perçu sur la base du franc or.

L'équivalence du franc or pour le paicment de l'impôt est fixée chaque mois, en tenant compte du change, d'après la moyenne des cours du dollar pendant le mois précédent.

Les dispositions ci-dessus sont applicables à l'impôt perçu sur les marchandises classées comme étant dn luxe, importées par les non-commerçants. Son taux est réduit 10

Mais il fut entendu toutefois, que les délégués soumettraient l'amendement aujourd'hui même au gouvernement. Tous ont le ferme espoir que M. Briand et M. Doumer l'accepteront. car, affirment-ils, il procurerait au Trésor des ressources immédiates comme la taxa sur les paiements. Toutefois, le rendement de l'impôt transformé serait de 1.800 millions au lieu de 2.400 millions.

On affirmait, d'autre part, qu'une disposition serait également proposée qui tendrait à établir un droit de statistique en vue de la réforme de la taxe sur le chiffre d'affaires. Le taux provisoire de ce droit de statistique serait peu élevé, mais serait néanmoins suffisant pour procurer au Trésor les sommes destinées h parfaire le total réclamé par le ministre des Finances.

LA SÉANCE

Avant que s'engage la discussion générale, le présideut, M. de Selves, donne la parole conformément à l'article 43 du règlement à M. Reboul et à M. Dominique Delahaye, auteurs chacun d'une motion préjudicielle tendant à surseoir à l'examen du projet.

Reboul n'use point du droit qui lui est donné et déclare renoncer à poser la question préalable. Il interviendra ultérieurement.

Sur la promesse que 1& commis-

sion des finanoes étudierait ses propositions sur le franc, or. M. Delahaye se déclare satisfait.

M. Henry Chéron

Puis M. Henry Chéron monte i liî tribune et commente son rapport dont nous avons donné hier les couclusions. Les idées que maintenant il développe sont celles, explique-t-il, de l'homme de la rue, de 1 hommo. de bon sens. Quatre idées s'en dégagent préoccupation de la situation financière, baisse du frano cause de la vie chère, égalité fiscale, moyens de relever nos finances.

Cette situation financière est grave. M. Henry Chéron ne le cache pas. Nous avons une dette intérieure de 283 milliards. Il suffit d'ajouter 600 millions par an aux annuités que nous payons actuellement pour l'amortir en 80 ans. Nous avons une dette extérieure de 36.385 millions, calculée au pair. Le déficit s'est. abaissé de 20 milliards en 1920 à 1.345 millions en 1925. Les ressources budgétaires normales et permanentes ont passé de 9.707 millions en 1919 à 30.446 millions en 1925. Pour L926, le produit des revenus publics a été chiffré, sans impôts nouveaux, à 32.200 millions.

Les dépenses' sont descendues de 40 milliards en 1920 à 34 milliard* en 192a. Sur ces 34 milliards du budget il y en a près de 20 qui' passent au service de la dette et des pensions. Comme les annuités de la dette se sont constamment accrues depuis 1920, nous n'avons pu arriver à la situation actuelle quen diminuant nos dépenses annuelles de 10 milliards. Pour arriver à ce budget en parfait équilibre, il faut 4 milliards 200 millions de ressources nouvelles normales et permanentes.

La situation de notre trésoreriè est plus difficile. La voici telle que l'expose M. Henry Chéron

Dans les 283 milliards de dette. dit-il, figurent 41.800 millions de dette à court terme et 88 milliards de dette flottante, dont 45.600 millions de bons de la. Défense nationale. La moindre émotion publique entraine des demandes de remboursement inconsidérées. Il faut que la Trésorerie paie. Elle a recours à l'emprunt ou bien à l'inflation, c'est-àdire à l'expédient le plus dangereux. (Tréa bien! très bien!)

Or, rien ne iustifie l'inflation. Nous devons nous en garder comme de la. peste. Mais il faut que le pays sache qu'on s'en est servi non pour le paiement des dépenses budgétaires, mais pour le remboursement des dettes.

Actuellement, la situation de la trésorerie est claire. C'est le moment, assure M. Chéron, de prendre toutes les mesures nécessaires. Le projet actuel n'a pas d'autre but.

Et le rapporteur général termine Il ne suffit pas que le Sénat adopte les projets du gouvernement. Il faut qu'il leur donne une majorité imposant". Ainsi, il n'aura pas seulement rétabli nos finances, il aura, une fois de plus, contribué au salut de la République.

Sur' tous les bancs, on applaudit chaleureusement M. Henry Chéron, à sa descente de la tribune et de nombreux sénateurs viennent le féliciter.

Six orateurs sont entendus

M. Lisbonne prend ensuite li parole. Il expose que la Chambre a voté un projet établissant 1.600 millions d'impôts nouveaux. Le Sénat ne devrait-il pas, alors, se prononcer seulement sur ces 1.600 millions et, plus tard, sur les autres recettes nouvelles proposées par l'autre assemblée ? Quant à la taxe sur les paiements, M. Lisbonne n'en veut point entendre parler.

De l'avis de M. de Dton, qui parle ensuite, nous vivons dans l'incohérence financière. On ne peut équilibrer le budget qu'en encourageant le travail, le commeree et l'industrie. La richesse d'un peuple dépend de l'intensité de sa production.

A la séance de l'après-midi, M. Lém.ery fait une critique du projet, auquel il reproche de ne s'inspirer d'aucune méthode réaliste. Le rétablissement de notre situation financière est compatible avec toute politique. Tous les partis, dit-il, sont résolus à faire appel à la confiance, mais la confiance ne suffit pas il faut aussi que le pays consente des sacrifices.

En terminant, l'orateur déclare qu'il voltera le projet, espérant que le gouvernement présentera bientôt au Parlemcnt un vaste plan d'ensemble de rrdre.-spment financif-r. Rétablit la confiance, c'est aussi le souci de M. de Las Cases.

Tâche relativement facile, dit-il, si nous parvenons à avoir un budget, en équilibre et si les besoins de la tivsorert» sont largement assures.

Pour M. CaifliôïV les dépenses lrifili-


(aires pèsent trop lourdement sur le budget.

Pour remédier aux difficultés de la Situation financière, le sénateur de l'Indre préconise un système d'emprunt forcé à 4 0/0 avec garantie de NI. Raibérti vient donner sa pleine adhésion au projet, qui a | l'avantage de parer au plus pressé de l'équilibre du budget.

I L'équilibre budgétaire, dit-il, est la Nef de voûte de notre redressement financier. Il faut donc créer des ressources. Où les trouver t Les mesures icontre la fraude ne peuvent donner d'effet Immédiat. Les impôts sur la richesse acquise sont limités dans leur rendement et ne donnent pas plus de ressources immédiates. J'ajoute qu'ils ne donnent pas de ressources effectives au budget. Ceux qui doivent les payer sont Obligés de demander le remboursement de leurs bons. Ils retirent à la Trésorerie ce qu'ils donnent au budget. L'impôt indirect donne des ressourclies immédiates. Il frappe tout le monde. Il s'incorpore aux prix et suit la varlation des chances. On lui reproche de faire monter lo coût de la vie, mais bette hausse est compensée par l'amélioration de notre monnaie. Les impôts de consommation sont les seuls qui peuvent donner un rendement immédiat et important

A peine M. Raiberti a-t-M quitté la tribune que, des bancs de gauche, on entend demander la clôture de la discussion générale. Elle est prononcée par assis et levé.

Après une courte suspension de séance, l'article premier de ia commission « renouvellement annuel de la déclaration par les contribuable 'soumis à l'impôt sur le revenu » est mis en discussion.

Une demande de renvoi

de l'article premier repoussée C'est alors que M. Reboul vient défendre sa motion tendant au renvoi à la commission de l'article premier.

Le projet actuel, dit-il, comporte plusieurs milliards d'impôts nouveaux, dont la C h a m b r e a repoussé une grande partie. De ce nombre sont la taxe sur les paiements, sur le sel, les cafés, sur le tabac. Nous allons tenter de les lui imposer.

Etes-vous sûrs que la Chambre conDrtaiera voire vote ? Si elle refuse, ce sera une crise ministérielle ou la dissolution. Dans ce dernier cas, ce sera la lutte éntre la Chambre des députés et le Sénat portée devant le pays.

Je demande au Sénat le renvoi à la Commission de l'article premier.

M. Paul Doumer, ministre des Finances, prie lé Sénat de repousser la proposition du sénateur de l'Héxault.

Personne, ajoute M. Doumer, ne pourrait soutenir sérieusement que, dans l'examen d'une loi d'impôts, la Haute Assemblée n'a pas pleine liberté de décision sur des dispositions même non votées par la Chambre, mais présentées par le gouvernement.

La Constitution n'accorde à la Chambre des députés, en pareille matière, qu'un droit de priorité.

Vous pouvez, en toute sécurité. voter les propositions du gouvernement et de :votre commission.

Vous avez, d'autre part, des responsabllités à prendre au sujet de la situation financière, qu'il vous appartient de redresser. Le pays ne supporterait pas une intlation nouvelle. De nouvelles crises de trésorerie se résolvant par des émissions de billets seraient mortelles. Les changes ont subi le contrecoup de certaines décisions de la Chambre. Mais une réaction s'est produite quand on a espéré que le Sénat remettrait lea choses au point et que la sagesse de la Chambre des députés l'amènerait se rallies aux décisions de la Haute AssemJe prie le Sénat de repousser 1e renvoi ® la commission de t'article premier, M. HENRY Chéron. La commission des finances vous demande de repousser la motion proposée par M. Reboul. Le renvoi est repoussé par 280 voix Icontre 30, sur 300 votants.

Ce vote acquis, le Sénat, à la de!mande de sa commission des finances, décide de continuer la discussion du projet financier ce matin, à 9 h. 30. AU GROUPE

DE L'UNION RÉPUBLICAINE

Le groupe de l'union républicaine du Sénat a tenu hier une séance où fut discutée l'attitude à observer par ce groupe, l'heure du vote sur les projets financiers.

Deux tendances se firent jour. Une partie des membres de l'union républicaine assurait qu'il fallait voter sans discussion, shns réticence, les projets du gouvernement. Mais d'autres membres, tout en afflrmant que, eux aussi, étaient disposés à voter ces projets, posaient un « distinguo. Il y a, disaient-ils, d'un côté J'équilibre budgétaire qui est assuré par les projets soumis au Sénat, et d'un autre côté il y a le problème de la trésorerie qui, les nouvelles ressources votées, continuera peser lourdement sur la. situation financière. Pour que tes demandes de aremboursement des bons à échéance cessent, ajoutaient-ils, il faut imposer la confiance. Et la confiance, le gouvernement ne l'imposera que par une politique nouvelle, une politique de concorde et d'union nationale. Ni. Bil,liet fit cette proposition le gouvernement devrait s'engager à poser la question de confiance sur le projet voté par le Sénat» Cette assurance donnée, le gouvernement serait certain d'obtenir au Luxembourg une majorité imposante qui ne manquerait pas d'influencer heureusement pur les décisions de la Chambre. A ce débat, aucune conclusion. Une décision définitive sera prise au^ournPhui, ,le groupe devant prendre con-

N, 43. Feuilletan du Petit Ptririen Jean Chouan GRAND ROMAN-CIME HISTORIQUE par ARTHUR BERNÈDB SIXIÈME CHAPITRE

LE COMITÉ DE SALUT PUBLIC IV (suite)

Où l'on voit sa produire un eoup de théâtre que l'on attendait un peu et un autre que l'on attendait moins. Jacques allait répondre. Mais des clameura s'élevnlent dans la cour du cMteau. proférées par une foule qui entourait Pierre Florent. Celui-ci, monté sur son petit hldet breton, s'etforçait de se frarer un passage, lorsque Mme de Thorigné, devant laqnelie tous s'écartaient avec respect, s'avança, demandant

Pierre Florent tu arrives de Nantes ?

C^ut, madame ta marquise.

Est-Il vrai que « Sans-Quartier » ait suspendu les exécutions ?

Florent ne répondit pas tout de suite. Puis il ajouta, d'un air embarrassé Madame la marquise, excusez-moi, 11 faut que je parle au général.

Copyright by Arthur Bernède. 1926. Tous droits de reproduction et traduction rtserre-s pour tous pays.

tact. à ce sujet, avec le président du Conseil.

UN ORDRE DU JOUR,

DE LA COMMISSION DES FINANCES DE LA CHAMBRE

La commission des finances s'est réunie sous la présidence de:\1. Malvy et a communiqué le procès-verbal suivant

M. Malvy a rendu compte i la commission des démarches et négociations qu'il a poursuivies avec le rapporteur gênerai dans le but d'arriver a un accord avec le Sénat tout en ayant le souci de sauvegarder les droits et les prêi'ORatlv.3 de la Chambre.

Le président de la commission a indirué qu'il avait demandé à deux reprises une réunion commune des deux commissions des finances du Sénat et de la Chambre, en donnant au gouvernement l'assurance que la commission do la Chambre continuait l'examen de la loi de finances; que, ce travail achevé, elle accomplirait sa tache eesenlielle. qui est de voter tes textes nécessaires à l'équllibre du budget. le déficit rfnmeuran! tlzé au chiffre prévu et non contesté de 4 milliards 200 mitlions.

La proposition concernant la réunion des deux commissions des finances a ajouté M. Malvv, ne fut pas acceptée. Quant au vote de la loi da finances, le gouvernement maintint son point de vue qui est de demander au Sénat le vote da f> milliards 500 millions de ressources. A la suite d'un long échange de vues l'ordre du jour suivant a été mis aux voix et adopté à l'unanimité

La commission des finances après avoir tntendu le compte rendu des démarches engagées par MM. Malvy et Lamoureux auprès du gouvernement se déclare solidaire de son président et de son rapporteur général.

POUR LA STABILISATION MONETAIRE En vue de la stabilisation monétaire, MM. Emile Borel et Balitrnnd viennent de déposer une proposition de loi tendant à autoriser le ministre des Finances à acquérir, pour le compte de l'Etat, des monnaies d'or et d'argent.

Le prix d'achat des diverses monnaies serait fixé par décret. L'inventaire des acquisitions serait publié chaque mois au Journal Officiel. Ces monnaies ne pourraient être aliénées ni mises en gage sans autorisation législative.

MORT DE M. ROBERT PINOT vice-président du comité des forges

Une des s plus

hautes personnalités de la métallurgie française disparaît. M. Robect Pinot, vice-président du comité des forges, délégué gé nérai de l'L n Ion n des industries mé- talluirgiques et mi- nières, est m o r ̃ hier m a t i a, dans une clinique pari- sienne, des sottes d'un* opération chi- Administrateur

du Crédit national, I de la Compagnie

Caisse foncière de crédit, de l'Union industrielle de crédit pour la r&çonstruistiun des régions libérées et die 1a Société française des constate fions Baboock et Wiloox, M. Robert Pinot avait été, pendant la guerre, le collaborateur principal de Si. Albert Thomas. atars ministre des Munitions.-

Les obsèques auront lieu à Gonfolcns (Charente) un service sera célébré udtérieurement à Paris.

LES SURPRISES DU TRr

Un facteur trouve parmi les lettres une oreille d'Arabe

Après avoir fait la levée des boîtes aux lettres dans le quartier de Vaugirard, le facteur Gros se rendait, hier matin, au bureau central du quinzième, place de Vaugirard, pour y faire son tri. Avant vtdé son sao sur la table, il eut la surprise de trouver parmi les lettres une oreille humaine fraîchement coupée, qu'il s'en fut porter à M. Lasserre, commissaire du quartier SaintLambert.

Le magistrat, qui Ignore encore s'il s'agit d'une mutilation pratiquée sur une personne vivante ou d'une farce de carabin, a envoyé l'oreille anonyme au laboratoire de la préfecture de police. Un premier examen a fait co isU! que cette oreille a appartenu à un Arab-j.

L'affaire de la rue Damrémont est reportée au 19 avril

Le parquet du procureur général vient de décider de reculer d'un mois la comparution devent le jury parisien da Clerc et de Bernardon, poursuivais pour les assassinats de la rue Damrémont. Les douze audiences de l'affaire occuperont une session supplémentaire qui commencera le lundi 19 avril et sera présidée par M. Laugier, conseiller à la cour, M. l'avocat général Rateau ticoupant le siège du ministère publie. Une promotion de généraux de réserve M. Girod, député de DonJ» et questeur de la Cinabre, est nommé général de brigade de l'airomautique

Sont promus

Généraux de division les génersux de brigade du cadre de réserve Peschart d'Ambiy, Le Bouhellec et Bauby.

Généraux de brigade: ies colonel» de réserva MttHer, de l'artillerie Gtrod, de l'aéronautique (M. Girod est député du Doiibs et président de la commission de l'armée). intendant général l'Intendant Cliayrûn, de la section de réserves

Lundi prochain. A 17 h. s'ouvrira, amphithéâtre envier (57, rue cuvier). le cours de M. Gruvel, professeur au Muséum, sur l'industrie des pêches dans les petites colonies françaises

Ce court se poursuivra la même heure, le jeudi et le lundi de chaque semaine.

Et, se laissant glisser à terre, 11 chercha à gagner le perron.

Résolument, la marquise de Thorigné ''il barra le passage

Pierre, ordonnatt-elle; parle-moi franchement. Je serai forte. Je vois à ton visage que tu es un messager de mauvaise nouvelle. de malheur peutêtre.

Madame la marquise.

Toi, la droiture. la franchise même, pour que tu n'oses pas me dire la vérité, Il faut donc qu'elle soit bien terrible ?

A ce« mots, les yeux de Pierre Florent s'emplirent de larmes.

Mon mari s'écriait Mme de Thorigné.

Alors le croyant fanatique qu'était resté l'ancien geôlier des Carmes, enleva son large chapeau et, traçant un signe de croix sur ses lèvres, il fit d'un ton grave et bouleversé

Monsieur le marquis de Thorigné a été guillotiné ce matin.

Prions pour le repos de son âme Tous s'agenouillèrent sur les pavés de la cour.

Un instant, Mme de Thorigné demeura seule, debout, ccmri pétrifiée. Puis, à son tour, elle se laissa choir sur le sol en pleurant.

Bientôt, une main charitable t'aidait à se relever. C'était le vieil abbé Renaud, l'aumônier des chouans qui se penchait vers elle et lui parlait avec bonté.

Courage, madame. Le martyr enprès de Dieu, oC nous le rejoindrons tout, pn jour.

LE NOUVEAU JfllF DES TAXIS Voici le détail des nouveaux tarifs des taxis votés hier par le conseil municipal

Service de jour. Prise en charge pour 400 mitres ou 3 minutes d'attente. 1 frane. Parcours supplémentaire, par 200 mètres ou fraction en sus de 1 minute et demie d'attente, 0 fr. 25. Toute fraction commencée sera due en entier. La nult. De 23 heures 6 6 h. 30, ces tarifs seront doublées. Prise en charge pour 200 mètres ou 3 minutes d'attente. 1 franc. Parcours supplémentaire par 100 mètres ou fraction en sus de 1 minute et demie d'attente, 0 fr. 25.

Suppléments. Il Indemnité de passage des forliûcaiions (sortie de Paris), i franc.

Cette indemnité n'est pas due pour toute voiture ramenée dans Paris par le voyageur.

2° Indemnité, de retour pour voiture laissée hors de l'enceinte fortifiée, y compris les bois de Boulogne et de Vineennes. par kilomètre, suivant carte visée par la préfecture de la Seine, 1 fr. 25. Toutefois, l'indemnité de retour est fixée forfaitairement à 4 francs pour !a descente de l'hippodrome d'Auteuil et il 6 francs pour celle de l'hippodrome de Longchamp.

3* Transport des bagages colis, 1 franc; 2 colis, 2 francs; 3 colis et plus, 3. francs.

Jusqu'au 1" juillet, a titre transitoire. et pendant une durée qui ne pourra excéder quatre mois, à partir de la date de l'arrêté approuvant les nouveaux tarifs ci-dessus, les conducteurs dont les compteurs ne seront pas transformés seront autorisés à percevoir pendant le service de jour, un supplément forfaitaire de i franc sur le prix marqué au compteur; pendant le service de nuit, le double du prix marqué au compteur, mais l'indemnité forfaitaire de 1 franc due à partir de 22 h. 30 sera supprimée. La répression des infractions Au cours de la discussion, le préfet de police a précisé que lorsqu'on prendra un taxi avant 23 heures, c'est le tarif de jour qui sera applicable même si la course se protlqnge au delà de 23 heures. De même, M. Morain, estimant que les avantages consentis aux chauffeurs sont de nature à leur donner pleine satisfaction, a affirmé sa résolution de réprimer, avec la dernière rigueur, les infractions au règlement qui lui seront, signalées. Les peines pourront aller jusqu'au retrait des papiers de chauffeur.

La réglementation de Ia gaine Sur la proposition de M. Fernand Laurent, il a été décidé que, pendant deux mois, à titre d'essai, la gaine de direction sera interdite en stationnement. Elle ne sera autorisée dans la journée que de 5 h. 30 à 6 h. 30, de 11 h. 30 à 12 heures, de 12 h. 30 à 13 h. 30 et de 20 heures à 22 h. 30. Dans ies gares et aux abords des gares, le régime sera identique, sauf que le soir 'la gaine de direction n'y sera autorisée que de 20 heures à 21 heures. Elle sera formellement interdite à toutes autres heures. La gaine noire. Le chauffeur ne pourra utiliser la gaine noire que pour aller remiser ou, s'il est en station, pendant les heures de repas. L'augmentation des droits

de stationnement

L'assemblée a ensuite adopté la délibération du mémoire préfectoral fixant le droit de stationnement à 14 francs par jour pour les voitures de première classe et à 10 francs pour les taxis. On a toutefois renvoyé a la commission, pour étude, un amendement de M. Louis SeHier réclamant un tarif de stationnenrcn't dégressif pour les petits propriéLa prolongation du service

des transports en commune

On a enfin renvoyé à la commission, pour étude, la proposition de M. Jausselin tendant à prolonger jusqu'à. 1 h. 30 les services du métropolitain, des autobus et des tramways. Le mont-de-Piété de Paris

a aussi ses pauvres

qu'il traite en clients privilégiés Pendant l'année 1925, l'administration du Crédit municipal de Paris a rendu ou renouvelé, à titre gratuit, 758 gages pour un total de francs de préis. Il en est ainsi à peu près chaque année. Les bénéficiaires appartiennent aux classes nécessiteuses et sont le plus souvent des vieillards, des infirmes ou des chefs de famille nombreuse. Une rapide enquête permet il l'administration de juger du bien-fondé de la demande de remise gratuite, qui s'applique en général à des objets de travail ou de pr*e«-; mière nécesslté, spécialement dans la saison d'hiver.

En outre, les petits gages dont le dépôt remonte à plus de vingt ans et dont le renouvellement a été régulièrement effectué depuis lors, sont remis gratuitement aux ayants droits.

Les sommes nécessaires à ces opérations gracieuses proviennent dans le principe de dons et legs faits dans ce but d'administration par des personnes charitables, notamment le legs Beausse et le legs de Guerry. Le conseil de surveillance et l'administralion du Crédit municipal y ont ajouté depuis quelques années un crédit spécial inscrit au budget de l'établissement pour le même objet. Ou espère que dé nouvelles générosités rendront ces remises plus nombreuses.

Un voyageur de commerce parisien victime d'un accident à Toulouse Toulouse, 21 février (dép. Petit Paris.) M. Edmond Philippart, vingtr-trcis ans, voyageur de commerce, à Paris, 227, rue de Vaugirard, en montant dans un tramway en marcha, boulevard d'Arcole, est tombé sous les roues de la remorque. Sérieusement blessé au pied gauche, il a été transporté il l'Hôlel-Dieu.

Pierre Florent était toujours là. Maintenant, un feu sombre brillait dans ses yeux.

A sa vue, un sanglot déchira la poitrine de la marquise qui, se raccrochant malgré elle à la plus fragile des espérances, murmura

Es-tu bien sûr, au moins, que tout soit consommé ?

Le chouan déclara

J'étais là, sur la place, mêlé à la foule

J'ai assisté aux derniers moments de M. le marquis. Je l'ai vu gravir les degrés de l'échafaud avec la tranquillité d'un chrétien qui n'a rien à craindre du Dieu devant lequel U va comparaître.

Quand Il a été sur l'estrade, Il a promené ses yeux sur la foule comme s'il cherchait il y reconnaître un ami. a Son regard a certainement rencontré le mien, car, tout à coup, je l'ai vu s'attendrir.

Sûr qu'alors, madame la marquise, il vous envoyait son dernier adieu et qu'il me chargeait de vous le transmettre.

Car ses lèvres ont remué comme s'il prononçait un inm le vôtre. »Et puis les tambours ont fait entendre leur roulement sinistre.

;) Le couperet s'est abattu. Tout était fini!

^t, d'une voix qui vibra tout à coup de toute la colère qui grondait en lui, il martela

M. le marquis sera vengé, ainsi que tous les nôtres 1

NOTRE GRAND CONCOURS DE NARRATION

Hélène RIFFAUD 12 au et demi

f, rw Martoukn pris)

C'est Hélène qui a un prix de narration! Eh bien qu'est-ce qu'elle aurait eu en m a t hématiques ?

Ainsi est accueilli à la pension Fouarnier, de Saint Mandé, où elln psf. élève, le

succès de notre îetmc lauréate. Il parait. en effet que Mlle Hélène Riffaud qui a de qui bénir, son père est ingénieur est beaucoup plus forte en calcul qu'en composition française.

Déjà grande comme une jeune ftllè à marier, mais la figure très enfant, notre troisième prix est très timide Papa va être bien- content Et elle se réjouit de pouvoir offrir, avec le montant du prix, de beaux cadeaux de fête à ses parents et à ses deux sceurs.

Marcelle MARTIN 12 et déni

25, rue Déliré-Préaux i Monlreoil-iotti-Boii prix)

La .petite Marcelle Martin a appris l'heureux résultat de son concours. sur un lit d'hôpital.

Gette charmante enfant, une frêle blondinette au regard doux et peq-

de subir une opération assez grave. Mais elle est maintenant en convalescence et sourit avec confiance à notre photographe.

Fille unique d'un garçon de recettes, Marcelle Martin est élève à la colonie Saint Fargeau, près de Ponthierry (Seine-et-Marne).

Sa partie forte, c'est le dessin. Elle peint d6,jà des fleurs délicieuses. .si je peux, nous dit-elle modestement, je voudrais être dessinatrice pour modes.

Georgette LAMBERT am

7, ne du Rétenroin <B« prix)

Toute pet/te, du vif argent dans les veines, et des' cheveux très noirs, qu'elle rejette e incessamment en arrière d'un coup de tête impatient, telle" est .Geo r ge.tit.e Lambert, dans la cour due

Le papa a été tué à la guerre. La maman, employée à l'école, est plus fière du prix de sa fille que la lauréate.

L'institutrice. Jrflle Capelle, nous dit que son élève montre, dans ses devoirs de style, de l'observation et du piquant.

Veux-tu être institutrice Geoargette.

• Oh non. Dessinatrice.

Ça fait la deuxième et nous en avertissons Mite Lambert.

Oui mais moi, c'est la caricature 1 précise cette petite fille décidée. L.-C. Royer.

Au conseil supérieur

des sociétés de secours mutuels Le conseil supérieur des sociétés de secours mutuels s'est réuni hier: M. Dvfrafour a souhaité ta bienvenue aux membres du conseil et leur a exprimé tout l'intérêt que porte le ministre du Travail la prospérité et au développement des organismes mutualistes. Après avoir énuméré les diverses questions à l'ordre du jour, il s'est félicité de l'accord qui semble devoir être réalisé entre les représentants de la mutualité et la commission d'hygiène du Sénat au sujet du texte déilnitif du projet dé loi sur les assurances sociales.

Après une. intervention de M. Georges Petit, le conseil a abordé l'examen de deux questions particulièrement Importantes celle de la détermination du champ d'action des pharmacies mutualistes, et celle des modifications à apporter au régime actuel des caisses autonomes mutualistes.

INFORMATIONS POLITIQUES %*•» Sur rapport favorable de M. Guillaume Poulie, la commission sénatoriale de législation a adopté le projet établissant le code disciplinaire et pénal de la marine marchande. Ce projet codifie toute la législation sur la matière. Il rend les délits commis justiciables des tribunaux de droit commun et adoucit les pénalités anciennes.

%*v» Ia Chambre, le groupe des Amis de la Pologne, présidé par -Ni. Louis Marin, a décidé d'intervenir auprès du président du Conseil en faveur de l'attribution d'nn siège a ta de Société des nations.

Et, vivement, Il gagna le perron. Mme de Thorigné voulut le retenir. En effet, les paroles de Pierre Florent venaient de lui rappeler soudain l'effroyable menace que Jean Chouan avait faite il Sans-Quartier t.

Elle se souvenait aussi de la promesse qu'elle avait faite à Jacques de protéger Marie-Claire que, sans aucun doute. Jean Chouan aHait immoler à son ressentiment.

Alors, surmontant son effroyable douleur, appelant à elle toutes ses forces, et repoussant presque l'abbé Renaud qui cherchait il la réconforter, elle ^e dirigea vers la tonr de la DuchesseAnne, s'y engouffra, referma vivement sur elle la lourde porte et escaladant quatre à quatre les escaliers. elle pénétra dans la chambre de la châtelaine. Mari -Claire, plongée dans ses pensées, n'avait pas prêté attention aux rumeurs du dehors.

Mais lorsqu'elle aperçnt Mme de Tho.rlgné qui, pâle, chancelante, s'appuyait au chambranle de la porte, elle devina l'atroce vérité et se précipita vers elle. Madame, fit-elle. Ce que nous redoutions est arrivé, n'est-ce pas?. L'irréparable est accompli.

Toute haletante, la marquise sanglotait

Oui, mon mari a été guillotiné! Et, à bout d'énergie, elle s'écroula sur une chaise.

Dans la cour, des clameurs sinistres s'élevaient

A mort, la fille de c Sans-Quartier » A mort'

Marie-Claire s'en fut vers la fenêtré.

LES MÉMOIRES

DU COLONEL HOUSE XXVI

INQUALIFIABLES MANŒUVRES AUSTRO-ALLEMANDES

Poussé dans ses derniers retranchement?, l'ambassadeur allemand Bernstorff obtient des instructions de Berlin qui lui permettent de donnier M. Lansing l'assurance écrite et formelle qu'aucun paquebot ne sera plus coulé désormais sans avertissement. Ce qui n'implique pas que l'Allemagne renonce à la guerre sous-marine,, comme le fait observer Page en annonçant, le 7 septembre, un nouveau torpillage, celui de l'Hespcrian.

Sur ces entrefaites, l'ambassadeur d'Autriche. Dumba, commet l'imprudence de conller des dépêches plus que compromettantes à un correspondant américain, James F. J. Archibâld, lequel se fait pincer par les Anglais. Ceux-ci publient ces documents. La perfide ambassade y manifestait l'intention de collaborer, avec l'attaché naval allemand von Papen, au sabotage des usines de munitions et du commerce d'exportation des Etats-Unis.

M. Wilson exige aussitôt le rappel rte Durnba. Quant à Bernstorff, il s'arrange pour glisser à l'oreille du colonel House qu'il déplore tout cela et que tout irait beaucoup mieux si on {'écoutait à Berlin. Hélas on l'y soupçonne de tendances proamericaines 1

Mis au courant de cette confession, le président se montre perplexe. A quoi attribuer les variations de l'astucieux Allamand, qui dit au colonel House tout le contraire de ce qu'il raconte aux jounnalilstes venus l'interviewer ? IL y a deux Bernstorff. en somme. Lequel est sincère} M. Wilson se le demande.

D'ailleurs, conscient de branler au manche, Barostorff finit par lui apporter un désaveu en règle du torpillage de l'Ara6ic, avec promesse de ne pas récidiver et d'indemniser tes familles des victimes américaines. Le 21 novembre, le colonel House n'en conseille pas moins au président de sévir contre les agissements des ambassades en cause.

Mais, comme chaque fois qu'il le met au pied du mur, M. Wilson fait la sourde oreille et se borne à transmettre une note de son secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères. Pourtant les deux attachés militaires allemands, von Papen et Boy-Ed. Wilson, sont obligés de boucler leurs malles.

Ce qui m'intrigue le plus, écrit ingénument le président au colonel, vers la fln de ce mois, c'est de déterminer à quel moment la patience cesse d'être une vertu.

Les causes et responsabilités de la guerre

Depuis juillet 1915, la correspondance privée et les notes du colonel House abondent en réflexions et en constatations tout aussi précieuses à notre point de vue de Français. On y trouve sans cesse la preuve que la respoiasabilité du terrible conflit ne nous est pas imputable.

(L'Autriche et l'Allemagne n'en sauraient dire autant. Le 14 juillet, dans une lettre au colonel House, lord Grey établit que si, un an plus tôt, l'Allemagne ne s'était refusée à conférer avec les autres puissances, la guerre n'aurait pas eu lieu. Et, ayant rappelé que son pays était entré en guerre pour sauvegarder la neutralité belge, lord Grey Conclut en reprochant aux neutres et, en un mot, à l'opinion mondiale, de n'avoir pas averti, à ce moment-là, tout adversaire de la conférence qu'ils soutiendraient l'autre camp. Le colonel, lui, ne dit pas le contraire. Mais il rend à César ce qui revient à César. Le kaiser ne voulait pas la guerre, soit, concède-t-il dans son journal. Seulement il s'y est pris tout comme s'il voulait la rendre inévitable

Il permit follement à l'Autriche d'engager une controverse aiguë avec la Serbie et il se persuada qu'en le voyant tenir ferme pour son alliée, la Russie n'irait pas au delà d'une vigoureuse protestation, ainsi que lors de l'annexion de la Bosnie et de l'Herzégovine. Il avait tSté l'Angleterre à deux reprises dans l'Ouest et s'était vu obligé de céder luimême il ne tenait donc pas à recommencer là où elle était engagée. Mais les rapporte anglo-allemands a'étaient tellement améliorés qu'il ne pouvait croire qu'elle irait jusqu'à se battre contre l'Allemagne dans son désir de soutenir la Russie et la France. Et il poussa si loin son bluff qu'au dernier moment, il lui fut impossible de reculer. Il n'avait pas prévu que la construction d'une vaste machine de guerre devait inévitablement conduire à la guerre.

Plus tard, le colonel House reviendra sur ce sujet et l'on verra qu'il n'exonère pas de tout blâme la Grande Bretagne, c e t t e puissance n'ayant pas déclar^ en temps utMe qu'elle ne tolérerait pas une agression de l'Allemagne contre la France. Il étendra d'ailleurs ses reproches aux Etats Unis eux mômes, qui auraient d6 faire connaître leurs intention avant que l'irréparable ne fût accompli..

(A suivre.)

[Copyright par te colonel Edward M. House (tous droits réservés) publication dans le Petit Parisien, en accord avec la Hougnton Mirnin Cy et la New York Berald Tribune droits de reproduction et de traductloa réservés pour tous pays.]

Des paysans, exaspérés, tendaient le poing vers la tour d'autres invectivaient la sentinelle qui s'efforçait de les contenir.

Instinctivement, Marie-Claire ferma lea yeux.

Un mot, un seul, s'échappa de ses lèvres

Jacques

Mme de Thorigné se releva, et, tout en enveloppant d'un regard plein de douceur la pauvre enfant qui, le dos appuyé contre la muraille, les mains jointes et les yeux toujours clos, semblait déjà s'offrir au supplice, ello s'avança vers elle et, avec un accent d'émotion profonde, elle fit

J'al promis à Jacques de vous sr-iver. je vous sauverai

Générai, ce matin les exécutions ont recommencé à Nantes.

Cette phrase, que Pierre Florent avait proférée d'un ton tragique, en .entrant dans la salle du conseil, avait fait se dresser d'un même mouvement tous les assistants.

Tandis que Jacques Cotterean et I,efranc échangeaient un regard atterré, Jean Chouan, Imposant silence à ses lieutenants, auxquels cette effroyable nouvelle avait aussitôt arraché des exclamations furieuses et indignées, s'écriait

Comment 1 .i a osé

Il a osé scandait Pierre Florent. Tu es sûr ?

J'al vn! J'étais lfl, sur la place du Bouffay. et j'al assisté au supplice. Dis au martyre

Propos de bonne humeur L'ORDONNANCE IMPREVUE

M. et Mme Birbel, qui habitaient une jolie villa sur le bord de la Seine, à quelque distance de Meulan, avaient, lors de sa dernière visite, invité à déjeuner leur médecin, le docteur Pacot, de Paris. Celuici avait accepté l'invitation et devait, par un mot, dire quel jour il viendrait. Le mot arriva, écrit sur une feuille portant à gauche le nom du docteur. L'indication était précieuse, car les quelques lignes tracées sur le papier étaient, comme la signature, illisibles. M. Birbel s'efforça pourtant de les déchiffrer, mais, malgré ses efforts, il ne put y parvenir. Il appela sa femme à son aide, et, tous deux, à

grand renfort de loupe, s'attelèrent à la besogne. Mais la lettre du docteur gardait son secret.

J'y renonce! dit M. Birbel, découragé. Il me vient une idée, dit Mme Birbel. Les pharmaciens ont l'habitude de lire les ordonnances tu pourrais-ffcsayer de t'adresser à l'un d'eux.

Je pars pour Paris tout de suite. L'idée me parait excellente.

Débarqué à la gare Saint-Lazare, M. Birbel ne fut pas long à trouver une boutique de pharmacien. Il entre et. au

Aujourd'hui

La flamme du Souvenir sera ranimée par les Poilue nivernais (section parisienne). 6énat Séances à 9 h. 30 et heures (débat financier).

Chambre des députéa Séance à fS heures (ratiflcation des accords de Locarno). Conférence iranco-sovtétlgue il h. séance d'ouverture, ministère des Affaires étrangéres.

Hénnlon plénière Comité exécutif du parti républicain radical et radical socialiste, 20 h. 30, rue Saint-Martin.

Cours et conférences Ecole des hautes études sociales M. iLhérltier « L'Europe centrale et la civilisation », 15 h.; M. Lucliaire « Grands courants de t'esprit puhlic dans le monde d'aujourd'hui h. M. Roques « Crise du logement l'étranger 17 h. 30 docteur Klenbœek « L'Autriche les arrêts de la guerre sur la vie politique de l'Europe 20 h. 30. rue de la Sornonne. M. Moret « Tut Ank Amen », 15 h., cercle de l'Union interalliée. Institut catholique M. Cnenesseau « Le monastère au moyen âpre 15 h. 45;, M. Blsnchet: « L'étude des auteurs classiques et l'éducation morale t7 h.; •M. Gautherot « Second Empire et Révolution 17 Il. 15, 19, rue d'Assas. M. A. Lichtenberger « Protection de la ramille et service social 16 h., 2, avenue Vélasquez. Collège des sciences sociales docteur Penet • Contrôle médical de l'éducation physique aux différentes étapes de la vie », 16 h. 30; docteur Sicard de Plauzolles « La prostitution D, 17 h. 30, 28, rue Serpente. Ecole de psyohotogie docteur Bérlllon Obsession de la timidité », 16 h. 30; docteur vétérinaire Lépinay « Les animaux aident l'homme à conserver ses instincts », 17 h., 49. rue Saint-André-de.sArts. M. Jehan d'ArvIeux Le grand talent d'Eugène Viala », chez Mme d'Aurel. Docteur Lévy « Problèmes passionnants du végétarisme », 20 h. 30, mairie, place Saint-Sulpice M. J. de la nocca « La pitié de Victor Hugo », 20 h. 30, mairie, rue Drouot. M. G. Machin « Le français, langue universelle 20 h. 30, 6l, rue du Rocher. Abbé Viollet « Entente conjugale et exercice de l'autorité en matière d'éducation », 20 h. 30. et, nie Madame. M. Lannois •< Thérapeutique moderne et essai physiologtque des substances thérapeutiques », 21 h., Sorbonne. M. P. Bru « Ronsard dans la Brie 2ii, boulevard Raspail. Professeur Charles Richet « Le rôle du savant dans la société moderne », 20 h. se. 8, rue Danton.

Réunions Union des fédérations de syndicats d'initiative (et banquet à midi 30), 12, rue de Poitiers. Chambre syndicale du commerce en gros des vins et aptrttueuï, 16 h., rue Serpente. Allaite- ment maternel, h. 30, 9, rue J.-B.-Dumas. Cercle philanthropique républicaine de l'Yonne, 00 h. 30, 17, rue du Pont-Neuf. Réunion d'anciens militaire! SI* R. 1. T., ai h., 37, rue Vivienne.

Bal de la couture, il h.. Opéra.

Fêtes; Solidarité sociale, 21 h. 30, 20, rue d'Ag-uesse«u (au prollt des ouvres d'asslsiance par le travail). OEuvre des Dames arméniennes, 21 h., Trocadéro. Banquets Parti radical et radical socialiste, mldt 30, 9, rue de Valois. Société Ingres, 20 h., 4, place de l'Odéon. Amis des .«ports, 2o h., bOUlevard Bonne- Courses à Auteiiil à 14 heures.

T. S. F. Radio-concert du Petit Parisien souï les sjusptee-s de l'Union Française de T. 9. F. Eantaitons et radlo-conrprts des principales stattons de France et de l'étranger. Réunions diverses. (Voir au Courrier des amateurs.)

Le présictent de In Chambre des députés et ytme Edouard He-mot ont offert hier soir un diner en l'honneur des membres du bureau de la Chambre des députés et du Sénat.

Le prince Hassem Mohamed, frère du shah de Perse, est arrivé à ltarseille, se rendant à Paris.

L'Association des journalistes républi-

Oui, au martyre de M. de Thorigné, de son intendant et de tous les autres.

Tean Chouan, terrible. déclarait J'avais prévenu c Sans-Quartier > que s'il touchait à l'un des nôtres, lui renverrais la tête de sa fille. Jacques se précipita vers son père. Mais déjà celui-ci commandait à Pierre Florent

Va chercher la prisonnière Pierre Florent disparut aussitôt. Jacques vonlut s'élancer sur ses traces.

Mais Jean Chouan, le saisissant par le bras, lui ordonna durement Reste là

Non, mon père! protestait le jeune homme, vous ne pouvez pas sacrifier cette malheureuse.

pourquoi?

D'abord. parce qu'elle est innocente.

Jean Chouan haussa les épaules et tourna le dos il *on file.

Mais celui-ci clamait

Et puis. parce que je l'aime! Jean Chouan bondit

Tu l'aimes?

Et au milteu de la stupeur générale, il rlcana

Je comprends tout à présent. C'est pour elle que tu as failli renier ton Dieu, ta patrie et ton roi ? Je l'aime!

Et. ponr elle, tu voudrais m'empêcher de tenir ma progresse de venger ceux que son père a fait mourir! Jamais! Jean Chouan a'a qa'une parole, lui, il la ttendra!

patron qui s'avance, il tend le papier en lui disant:

C'est du docteur Pacot. Pourriezvous me lire ce qu'il écrit?

Certainement! répond avec assurance le pharmacien. Toutefois, il ne semble pas lire l'écriture du docteur aussi facilement qu'il l'a affirmé:

Ce n'est pas commode' dit M. Birbel, voyant son embarras.

Pas du tout! répond le pharmacien, piqué au vif.

Et il se dirige vers un dns rayons de sa boutique, prend une petite fiole au

bouchon garni de papier et bariolée d'étiquettes, puis la tend à Il. BirbeL

Voilà, monsieur, c'est cinq francs. Tête de M. Birbel. Il prend la fiole, ahuri, paie les cinq francs et se retire sans mot dire. Dégoûté de l'expérience, il ne songe même pas à en tenter une nouvelle. Il rentre chez lui et, après avoir conté son aventure à sa femme, il conclut Il n'y aura qu'à préparer un déjeuner tous les jours jusqu'à ce que le docteur vienne.

GWMOD.

Mins français a ainsi constitué son bureau pour 1926: président, M. Paul Strauss; vice-présidents, MM. Paul Ginisty, L. L.-Klotz, Armand Schiller; secrétaire générel, M. Mario Sonnet: trésorier. M. Théodore Henry; secrétaires adjoints. MM. Paul Desachy, Gaston Lévisalles. P.4S DE PLfiS SURUS ECOSOMIES. que celles que vous réaliserez en faisant vos achats aux ̃< IOO OOO- CHEMISES ». Maison Principale 69, rue Lafayette et Succursales à Paris et à Bordeaux. A la suite de son succès au Bal des Petits Lits Blancs », LKNTHERIC rappelle qu'on trouve tous sea produits chez tes bons parfumeurs, dans les grands magasins et chez « LENTHERIC 245, rue Saint-Honoré.

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Si voua la tuez, je me tue devant vous

Misérable traître rugit le viens: partisan en empoignant son fils à la gorge. Je te renie pour mon fils et te maudis!

Bouleversés par cette scène, les officiers se jetèrent entre le père et le fils et les séparèrent. •

Jean Chouan, se dominant, s'assit ou plutôt se laissa tomber sur un siège. et, les coudes appuyés à la table, il demeura impassible. immobile comme une statue.

Jacques, que Lefranc maintenait à grand'peine, esquissa un dernier geste dans lequel tel n'y avait que de la douleur.

Mais à l'attitude du vieux partisan. il comprit que tout était Inutile.

Des pas retentissaient dans la cour. Le malheureux n'osa même pas jeter un regard travers la fenêtre.

C'était Marie-Claire que l'on ramenait. Elle allait paraître pour s'entendre condamner. Sa tête. sa tête charmante allait tomber. là sous ses yeux. Et déjà il cherchait une arme pour se frapper, lui aussi. pour mourir auprès d'elle. en m6me temps qu'elle. pour confondre son sang avec le sien- Mais la porte s'ouvrait. Pierre Florent était seul.

Et, le visage bouleversé, Il s'écria La prisonnière a disparu

suivre.)

Film SI 6 ClnéromsDS. Edit. Pathé-Consorttum.


ITALIE ET YOUGOSLAVIE

CONTRE L'UNION DE L'AUTRICHE A L'ALLEMAGNE

MM. Mussolini et Nintchitch vont préparer à Rome un accord en vue d'assurer le maintien de l'indépendance de l'Autriche

Rome, 24 fév. (dép. Petit Parisien.) M. Nintchitch, ministre des Affaires étrangères de Yougoslavie, qui va avoir à Rome une entrevue avec M. Mussolini, se rendra ensuite à Paris.

Les milieux politiques attachent une grande importance à ce voyage qui est en relation étroite avec les récentes manifestations du pangermanisme en Allemagne et en Autriche, et on estime ici que la France et l'Italie ont des mesures à prendre en commun pour mettre le statu quo européen* à l'abri de toute atteinte. L'Italie, comme la Yougoslavie et la Tchécoslovaquie, comprend le danger que représenterait l'union de l'Allemagne et de l'Autriche.

Le Giornale d'Italia écrit à ce sujet Le réveil du bloc pangermaniste commence à produire d'inéluctables effets. Tout le monde sait que le maintien de la situation actuelle en Europe centrale et orientale est connexe avec l'intangibilité de l'Autriche. Si l'Autriche était annexée à l'Allemagne, tout l'équilibre créé par les traités de paix serait détruit. L'Italie a déjà déclaré à l'Autriche qu'elle ne tolérera jamais son annexion à l'Allemagne. Les Elats successeurs de la monarchie des Habsbourg, c'est-à-dire la Yougoslavie et la Tchécoslovaquie, partagent. cette opinion. La France entre dans ce même ordre d'idées. Depuis quelque tempa, il s'est mani/esté à Belgrade une tendance à amplifier le pacte d'amitié avec l'Italie dans le sens J'accords positifs pour empêcher la poussée de l'Allemagne vers le Sud. La venue de M. Nintchitch Rome se rapporte donc à cette situation.

Berlin et Vienne doivent en définitive comprendre que les Etats sortis victorieux de la guerre n'ont nullement l'intention de se laisser jouer et sont toujours prêts à unir leurs forces pour la défense des fruits de da victoire.

La visite de M. Nintchitch à M. Mussolini acquiert une importance considérable et aura une vaste répercussion européenne.

IL VAN DE VYVERE DEMISSIONNE i Bruxelles, 24 février (dép. Ilavas.) ( La Libre Belgique annonce que M. Van de Vyvere, ministre de l'Agriculture, a quittè Bruxelles ce matin pour Caen, où il assistera à la prise de voile de sa fille, mais, avant de partir, il a remis au roi sa démission de ministre de l'Agriculture.

Il serait remplacé par M. de Liedekerke. trui détenait le portefeuille des Affaires économiques it est probable que ce dernier sera supprimé.

LE GÉNÉRAL GREC PLASTIRAS L ARRÊTÉ EN YOUGOSLAVIE | pntimaUnt ton identité jou» un non d'emprunt il cherchait gagner la frontière grecque Belgrade, 24 février (dép. Petit Parisien.) Le général Plastiras a été découvert tout dernièrement, à Skoplie, où il fail lait du commerce sous un nom d'emprunt. Interrogé sur l'irrégularité de ses pièces, il reconnut son identité véritable. La police l'arrêta. L'enquête établit que le général Plastiras, porteur de faux passeports, arriva de l'occident le 17 février, traversa Belgrade et Skoplie, se rendant à Bitolj (Monastir).

[Le général Plastiras, qui fut l'un des chefs de la révolution militaire grecque, entré en désaccord avec le gouvernement actuel, avait dû quitter la Grèce pour échapper à la prison, un mandat d'arrêt ayant été lancé contre lui

D'héroïques pêcheurs français réussissent, malgré la tempête, à sauver trois aviateurs anglais Ceux-ci, victimes d'ao aaideat d'hydravion, étaient en train de couler dam la mer d'Irlande Londres, 24 février (dép. Petit Parisien.) Trois officiers aviateurs britanniques, arrivés ici aujourd'hui, ont raconté comment, grâce aux efforts héroïques de l'équipatre du chalutier Louise-Marrluerite, de Boulogne, ils ont été sauvés, dans la mer d'Irlande, alors qu'ils avaient été victimes d'un accident d'hydravion. L'aippareil était en train de couler, lorsque les hommes du chalutier, apercevant des signaux de détresse, mirent, en dépit de la tenupêle, un petit bateau: à la mer. Deux d'entre eux se portèrent au seoours des aviateurs.

L'un des sauveteurs, précipité violemment contre les parois du bateau au cours du sauvetage, eut plusieurs côtes brisées. Le petit bateau ne serait point, sans doute, parvenu à tenir la mer si destroyer Champion, répondant lui aussi aux appels de détresse, n'était arrivé h temps pour recueillir les trois aviateurs et les deux pêcheurs. Le blessé reçut à bord du destroyer les .premiers soins et fut transporté à l'hôpital die Ponza.noe (Cornouaillcs).

L'hydravion qui a coulé était un Fafrey 3 D, appartenant à l'école navale de Leeon-Solent.

On croit, savoir que l'acte de bravoure de l'équipage du chalutier a déjà été porté à la connaissance de l'Amirauté. La commission des mandats

n'aura pas terminé ses travaux

avant la fin de la semaine prochaine flle t'occupera aujourd'hui du point capital: la rérolte des Drues

Rome. 24 février [dép. Petit Parisien.) Au cours des deux laborieuses séances d'aujourd'hui, la commission des mandats a fait un grand pas et a déblayé définitivement le terrain de tous les problèmes d'ordre administratif et judiciaire relatifs au mandat français sur la Syrie et le Liban. Pendant près de six heures, M. de Caix a été soumis au feu de files des questions posées par les membres do la commission auxquelles le représentant du gouvernement français a répondu avec sa compétence et, disonsle aussi, avec sa patience habituelles. Ainsi dès demain matin la commission pourra s'attaquer au point principal du programme de ses travaux, c'est-à-dire à l'examen de la partie du rapport relatant la. révolte des Druses. Cet examen promet d'être long et minutieux. Il obligera sans doute la commission qui espérait clore sa session dans trois jours, il siéger probablement jusqu'à la un de la semaine prochaine, c'est-à-dire presque jusqu'à la veille de la réunion du conseil de la S. D. N. à Genève.

Le roi de Siam sera couronné aujourd'hui Bangkok, 24 février (dép. Times.) Le roi Prajatipok, qui monta sur le trône de Siam à la mort de son frè/e, le 26 novembre dernier, sera couronné demain dans la capitale.

LE CHANCELIER LUTHER

ACCOMPAGNERA M. STRESEMAi A GENÈVE

Berlin, 24 fév. (dép. Petit Parisien.) Les déclarations de M. Briand devant la commission des affaires étrangères et surtout le discours d'hier de M. Chamberlain à Birmingham ont eu à Berlin des répercussions immédiates.

Héuni au début de l'après-midi, le conseil des ministres d'Empire a décidé sur-le-champ que M. Luther se rendrait en personne à Genève le 8 mars prochain avec M. Stresemann. Les brefs commentaires de l'officieux Bcrliver Tageblatt de cette nuit cherchent à donner à cette décision inattendue un caractère pour' ainsi dire comminatoire. Après quelques aménités à l'adresse de MM. Briand et Chamberlain qualifiant leur politique de déloyale, la feuille politique ecrit textuellement

Dans aucun cas un gouvernement allemand, quel qu'il soit, ne tolérera de teltes manœuvres; l'opinion publique allemande est unanime à penser que l'Allemagne doit renoncer d'entrer dans la S. D. N. si avant cette entrée ou en même temps qu'elle une modification quelconque de la composition du conseil devait être envisagée, changeant ainsi de façon déloyale la situation qui existait au moment de la demande d'admission. L'article, long de deux colonnes, continue ainsi sur un ton extrêmement violent dans l'espoir évident d'intimider Paris et Londres. Il est à peine besoin de souligner que cette attitude annonecce par le Petit Parisien dès lundi n'a d'autre but quc de préparer un vaste marchandage sur un outre terrain. UN DEBAT A LA CHAMBRE DES LORDS Londrrs, 24 février (dép. Petit Parisien.) Lord Parmoor a déposé, ce soir, à la Chambre des lords, une motion sopposant à l'entrée de toute puissance autre que l'Allemagne au conseil de la S. D. N. se fondant sûr cette idée fausse que l'attribulion de sièges permanents à la Pologne, à l'Espagne et au Brésil a pour but de faire contrepoids à l'Allemagne au sein du conseil.

Le vicomte Cecil, répondant au nom du gouvernement, a nettement marquécomme le faisait hier sir Austen Chamberlain à Birmingham que la réorganisation du conseil, prévue depuis longtemps. mais retardée jusqu'au jour de l'admission de l'Allemagne, ne s'inspirait que de la préoccupation de donner aux décisions,de la S. D. N. plus d'autorité morale.

Lord Cecil a également réclamé pour le .représentant de la Grande-Bretagne à Genève toute liberté d'action pour discuter de cette affaire, « afin, a-t-il dit, qu'une solution puisse être recherchée honnêtement et loyalement en coopération avec les délégués des autres puissances

Lord Parmoor retira alors sa motion. Aux Communes, sir Austen Chamberlain, invité à faire connaître les instructions gu'il avait reçues du cabinet quant à l'attitude à observer au prochain conseil de la S. D. N., a déclaré que le gouvernement n'avait encore pris aucune décision à ce sujet.

LE MINISTRE D'ALLEMAGNE A RIO DE JANEIRO SOULEVE UN INCIDENT

Rio de Janeiro, 24 février (dép. Bavas.) M. Kni:pping, ministre d'Altemagne, a fait au J ornai des déclarations au sujet de l'élargissement du conseil de la Société des nations.

M. Knipping a dit notamment

Le Brésil est trop jaloux de ses prérogatives d'indépendance pour admettre qu'on lui fasse l'injure de supposer qu'il puisse servir d'instrument à des intérêts peu » digniflants

L'ambiguïté de cette phrase a soulevé des protestations et des commentaires indignés. Le journal A Notâcia invite M. Knipping à s'expliquer.

Le commandant Franco à Montevideo Montevideo, 24 fév. (dép. Havas.) Le commandant Franco et ses compagnons, venant de Buenos-Aires, sont arrivés ici sur l'avion avec lequel ils ont effectué leur raid transatlantiques Ils sont les hôtes du gouvernement de l'Uruguay.

Le fils du président Coolidge

est battu dans un match de boxe New-Yoïik,' 24 février (dép. Radio.) John Coolidge, fils du président des Etats-Unis, qui fait actuellement ses études au collège Amshorst, a été battu aux points dans un match de boxe disputé, hier, contre un autre étudiant.

Nouveaux incidents au Mexique New-York. 24 février (dép. Times.) Une violente collision s'est produite hier entre les membres d'une congrégation catholique de Mexico et les agents du gouvernement chargés d'arrêter des prêtres étrangers soupçonnés d'être cachés dans l'église. Des fidèles, pour la plupart des femmes, ayant tenté de s'opposer aux arrestations, des renforts de police et une brigade de pompiers furent appelés en toute hâte. Une échauffourée s'ensuivit, au cours de laquelle soixante personnes furent blessées. Il y aurait même deux morts.

Un peu plus tard la foule tenta de pénétrer dans les locaux du ministère de l'Intérieur et ne fut dispersée qu'avec peine.

OU PEI FOU ET SES ALLIES MARCHENT SUR PÉKIN Pékin, 2i février (dép. Times.)

Le., forces de Ou Pei Fou et de ses alliés ont marqué une avance générale dans les provinces du Potctiili. dv Chnngtouog, du et, du Hanwn, et tes généraux de l'armée dite nationale (armée de Feng) se rendent compte de la situat.ion difficile dans laquelle ils se trouvent placés.

D'autre part. le général Li Ching Lin, partisan de Tchang Tso Lin, s'avance de nouveau vers Tien-Tsin, tandis que Tchang Tso Lin lui-même parait vouloir se diriger sur Pékin.

UNE BANDE DÉFAITE EN SYRIE Beyrouth, 24 février (dép. Havas.) La bande de Moustaiptu Hadji Hussein a été accrochée hier près d'Al-ap; elle a laissé onze cxadavres.

Un jeune homme d'Aubervilliert écrasé par une branche en Côte -d'Or Dijon, 2i février (dép. Petit Parisien.) Lucien Guignard, vingt-deux ams, soldat au régiment d'artillerie, se trouvait en pernusston Maroenay. Il était en train de tailler un arbre quand une grosse branche s'abattit et 1'éorasa sous son poids.

Le malheureux succomba peu après. Il était originaire d'Aube rvttllers, où habite encore sa famille.

LE BANDIT ULYSSE RUEL NE TRAHISSAIT-IL PAS AVANT D'AVOIR DÉSERTÉ ? Un officier de son régiment déclare que son attltade au front était des plus suspectes

Après une première tentative de désertion, il mit le feu au cabanon où il était enfermé, assomma la sentinelle et disparut dans les lignes ennemies

Toulouse, 24 fév- (d. Petit Parisien) L'homme protée qui déclare maintenant se nommer Ulysse Ruel, né le 18 novembre 1885, à Valence (Drô- me), a séjourné à deux reprises Toulouse. Pendant la guerre, il était incorporé, en effet, au d'infanterie dépendant du 17" corps d'armée. Ce régiment de réserve fut formé en 1915 à Saint-Antonin (Tarn-et-Garonne) par des compagnies empruntées aux divers régiments d'infanterie du 17* corps et de la région parisienne. En avril 1915, Ruel partait comme sous-lieutenant pour le front où il fit tout d'abord bravement son devoir. Blessé et proposé pour la Légion d'honneur, il fut évacué sur un hôpital de l'intérieur. Guéri, il retournait au front, en septembre 1916, après un court séjour à Toulouse où il laissait sa femme et sa fillette.

Promu lieutenant, dans la Somme. il participa à des attaques. Mais par la suite, à Roye-sur-Matz, où l'on serrait de près l'ennemi, un aprèsmidi de novembre 1916, on le vit sortir de la tranchée et s'avancer vers les lignes adverses en levant les bras.

Indignés, me raconte un officier en gainnison ici, qui fut témoin du fait, les hommes de la tranchée qu'il venait d'abandonner mirent une mitrailleuse en action dans sa direction, puis un tir de barrage fut exécuté par l'artillerie, ce qui obligea le lieutenant déserteur à se terrer dans un trou d'obus.

La nuit venue, les hommes de la 10' compagnie du d'infanterie allèrent le cueillir et le ramenèrent à la tranchée. Ruel fut mis en cellule, en prévention de conseil de guerre. Mais, dans la nuit même, il mettait le feu aux planches du cagibi. La sentinelle, alertée, en ouvrit la porte Ruel l'assomma d'un coup de poing au visage et s'enfuit vers les lignes allemandes. On ne le revit plus.

L'officier, en compagnie duquel Ruel avait pris part, auparavant, à une brillante attaque, où trois tranchées furent conquises, et d'où, pour son. compte, le lieutenant Ruel ramena trois prisonniers, se souvient, toutefois, que son attitude était à certains moments des plus singulières. Il quittait souvent la tranchée, la nuit, s'avançait vers les lignes allemandes et s'agenouillait à une faible distance des guetteurs qui ne tiraient jamais sur lui.

Pourvu de beaucoup d'argent, semblait-il, Buel offrait fréquemment le champagne à ses camarades. Il portait, à côté de la Légion d'honneur, la croix équivalente du royaume d'Italie qu'il déclarait avoir gagnée à Verdun, en ramenant dans les lignes françaises, sous une grêle de balles et d'obus, le corps du colonel Garibaldi tué à l'ennemi.

La nuit où il s'évada, il emportait la cantine d'un camarade, des plans et divers documents intéressant la défense nationale.

Par la suite son procès s'instruisit et, le 25 janvier 1917, le conseil de guerre de la division, au front, le condamnait par contumace à la peine de mort.

Ruel avait pris, Cette,

tldentlté d'un mort

Cette, 24 févr. (dép. Petit Parisien.) Pendant un des séjours d'Ulysse Ruel à l'hôpital de Cette, l'adjudant Wargatet, quil avait été dirigé sur ce même établissement, mourut. Ruel serait parvenu alors à s'emparer des papiers, y compris le titre de la Légion d'honneur du défunt. Il put ainsi arborer le ruban rouge et s'établir un nouvel état civil au nom de Margatet.

Ruel avait laissé un très mauvais souvenir à l'hôpital de notre ville. LE CONSEIL DE GUERRE ACQUITTE UN HEROS DE L'ARMÉE DU MAROC Dans un poste encerclé par les Rifains, Il avait, en plaisantant, tué un de ses camarades

Limoges, 24 fév. (dép. Petit Parisien.) Le 19 mai dernier, au moment de prendre la garde, dans un poste voisin d'Aïn-Aïcha et encerclé par les Rifains, le caporal Druelle, du 13' tirailleurs marocains, s'adressant a son camarade Louis Etourneau, lui dit en plaisantant

Puisque tu es un bon tireur à la mitrailleuse, prends ce revolver. Je parie que tu n'es pas capable de m'atteindre.

Etourneau se mit à cinq mètres, visa et tira. Le caporal DrueMe, touché en plein cœur, fut tué net. Le meurtrier, fou de douleur, tenta do se suicider et dut être désarmé par «es camarades. Etourneau avait cru que l'arme un pistolet à fusées éclairantes n'était pas chargée. Trois jours plus tard, les Rifains attaquaient le poste qui les repoussa. Etourneau, cherchant la mort, se signala par une bravoure extraordinaire. Blessé au bras, il fut évacué et cité à l'ordre du jour de l'armée. Son chef écrivait à son sujet,lorsqu'il fut appelé à rédiger un rapport sur la scène au cours de laquelle Druelle avait été tué,

Déférer ce soldat en conseil de guerre serait compromettre la santé d'un blessé qui s'est comporté en héros. Etourneau fut décoré de la croix de guerre avec palme. Une instruction n'en fut pas moins ouverte contre lui pour homicide volontaire, alors qu'il était déjà libéré.

Il a comparu aujourd'hui devant le conseil de guerre. Tout en larmes, le vaillant soldat a déclaré à ses juges

Je regrette beaucoup la mort de mon camarade et ami. Ce; sera la plus grande peina de ma vie. Le conseil l'a acquitté.

Les agriculteurs du Nord otfrent de verser leur contribution a la caisse d'amortissement. Ils enverront des délégués M. Briand pour lut soumettre leur proposition. un Marocain avait été arrêt6. aous le

La Chambre a voté le projet sur les loyers EUe y a introduit un amendement de M. Chevrier qui exclut de l'application de la loi les communes de moins de 2.ooo habitants et prévoit le retour au droit commun par paliers établis en tenant j compte du prix du loyer en 1914 La Chambre a terminé hier le débat sur les loyers et voté l'ensemble du projet. Avant d'émettre ce vote tlnal, elle a accepté un amendement de M. Chevrier qui est ainsi devenu, après mise au point, le dernier article du projet. Cette disposition, qui modifie de façon sensible l'application du projet, est ainsi conçue

Les dispositions de la présente loi ne sont pas applicables dans les communes d'une population totale intérieure Il 2.000 habitants, teraque le conseil municipal de ces communes en aura ainsi délibéré et après approbation de cette délibération par la commission départementale.

En outre, elles cesseront d'être applicables aux loonuz d'habitation nu terme qui suivra les dates ci-après indiquées

Au l*r juillet 1928 taraque, au i" août le loyer excédait 9.000 francs Paris et la Seine 6.000 francs dans les villes de plus de 100.000 habitants 3.000 francs dans les villes au-dessous de habitants. Au l" Juillet 1929 lorsque, au 1" août 1914, le louer excédait 6.000 francs à Paris 4.000 francs dans tes villes de plus de 100.000 habitants 2.000 francs dans les villes audessous de habitants. Au le, juillet 1930 lorague, au le, août f914, le loyer excédait francs d Paris 2.000 francs dans les villes de plus de habitants 1.000 francs dans lee villes audessous de habitants.

Cette disposition avait été tout d'abord presentée par M. Chevrier dans un texte sensiblement différent de celui qui a été voté. Mais le député du Loiret avait précisé qu'il tenait surtout à voir figurer dans le projet des mesures propres à ramener par paliers au droit commun et encourager la construction C'est donc en s'inspirant de son amendement et en tenant compte d'observations présentées par MM. Augé, Albert Meunier et Cautru que la commission a élaboré le texte qu'on vient de lire et dont l'adoption a réuni 403 voix contre 54, après une protestation de M. Garchery qui a reproché à ce texte de « bouleverser la loi et de créer diverses catégories de locataires ».

Le droit-de démolir n'est accordé qu'à condltlon de reconstruire L'article 26 stipule qu'aucune prorogation ne pourra être opposée au propriétaire qui veut démolir un immeuble pour construire ou aménager, sur la même place, un autre immeuble comportant un nombre égal de logements. Trois conditions subsistent cependant 1° aucun des (locataires contre qui s'exercera ce droit ne doit être en cours de bail 2° un préwis de six mois sera donné à chacun i'eux pour vider les lieux 3° une indemnité préalable, égale à quatre fois le montant du loyer annuel, sera versée par le propriétaire à chacun des locataires congédiés. A cet article, M. Lefas a fait ajouter une clause additionnelle spécifiant que, dans le cas où l'immeuble menace ruine, aucune condition ne pourra être exigée pour la démolition et que, dans le cas d'insalubrité, cm préavis de six mois suffira. Les locaux d'habitation

ne peuvent être transformés

en meublés

L'art. 27 interdit la transformation des locaux d'habitation en meublés. M. Lafagette a fait préciser que cette interdiction ne visait pas les stations balnéaires et touristiques. M. Calmon • a fait supprimer la même interdiction quand il s'agit de transformer les locaux d'habitation en pensions de famille ou en hôtels. M. Julien Durand a fait décider qu'un affichage spécial et une déclaration officielle seraient imposés aux meublés.

Une taxe sur les locaux Inoccupés Le texte de l'art. 30 a été voté dans les termes suivants

ART. 30. A partir du i" fanvier une taxe municipale pottrra être établie et perçue aur les immeubles et locaux propres à l'habitation et laissés vacants ou inhabités volontairement et aans motif légttime depuis au moins une année.

Le moatnnt de cette taxe ne pourra dépasser la moitté de la vafeur locative. La Chambre a repoussé un amendement de M. Garchery, qui tendait à la réquisition des locaux vacants, mesure que MM. Bouveri, Guérin et Paul Constans ont appuyée.

L'utilisation pour le logement des casernes inoccupées

L'affectation au logement, par remise aux communes, des casernes inutilisées. a fait l'objet d'une longue discussion dans laquelle MM. Philippoteaux, Tasso, Cluzel, Mistral, Ferdinand Morin ont pris la parole. La commission, s'inspirant des observations présentées, a fait adopter un texte qui prévoit la remise aux communes, par déc^t, des casernes inutilisées après avrs d'une commission spéciale mi-partie militaire et mi-partie municipale.

La loi ne s'applique pas

aux Immeubles construits depuis 1914 M. Cautru a obtenu l'adoption d'un amendement qui exclut de l'application du projet de loi les immeubles construits depuis le 1" août

Dans ses observations à propos de ce texte. M. Cautru a rappelé la nécessité de lever rapidement la servitude aaort œdificandi qui grève les terrains des « zoniers » et de faire aboutir au plus tôt le projet de loi déposé à cet effet. M. Robaglia a demandé qu'on prenne à cette occasion toutes les précautions que nécessite la réalisation du plan d'aménagement de la banlieue parisienne. Et M. Levasseur a déclaré que « le gouvernement continuera à faire tous ses efforts pour obtenir une solution rapide de la question

Le Sénat va ôtr& appelé, à son tour, à délibérer sur l'important problème. (M ARRÊTE A NICE ETUDIMT HONGROIS PORTEUR DE FAUX BILLETS DE ICOO FRANCS Hyères, 24 février (dép. Bavas.) Un étudiant hongrois Adolphe Samuély, arrété à Hydres, a déclaré à M. Ollivier. commissaire de police, qu'il avait été chargé par un comité hongrois d'émettre de faux billets de mille marks. Une partie de cette monnaie devait être introduite en France pour être ensuite échangée en Espagne. A Hyères, il avait donne en payement 1.000 marks d'avant-guerre pour des marks or; 1.300 francs lui furent avancés sur ce billet, qui valait trois centimes. Samuély a été déféré au par- quet de Toulon, ;-•

.ES COMMERCANTS ET PRODUCTEURS ET LE PROBLÈME FINANCIER i

Un meeting de la Confédération générale de la production français La Confédération générale de la production française, agissant en plein accord avec l'Association natio- nale d'expansion économique, l'Asso- ciation de l'industrie et de l'agricui- ture françaises, le Syndicat général du commerce et de l'industrie, Alliance des chambres syndicales, le comité central des chambres syndicales, le comité national d'études des ünances publiques et avec les quinze cents syndicats et chambres syndicales qui lui sont affiliés, avait organisé, hier après-midi, une importante réunion à la salle Wagram. Après une courte allocution de M. R. P. Duchemin, président de la confédération, qui exposa le but de la' réunion rappeler aux pouvoirs publics le.s principes grâce auxquels les sociétés modernes se sont développées et dont seule l'application peut permettre le redressement du pays, M. Fourcade, ancien bâtonnier de l'ordre des avocats, prit la parole. Dans un éloquent discours, l'éminent juriste se prononça contre le' principe de l'Etat héritier repoussé d'ailleurs par le gouvernement et qu'il faut, dit-il « étouffer dan.s son germe ».

Puis, M. Mestre, professeur à ta Faculté de droit de Paris, condamna la rétroactivité des lois, contraire à la déclaration des Droits de l'homme. Après lui, M'M. Mireaux et Compayrot, de la Société d'études et d'informations économiques, firent apparaître les conséquences désas- trcuses qu'aurait pour le pays ia suppression des titres au porteur et montrèrent la nécessité, en présence des exigences do la trésorerie, de recourir au moins pour le quart d'heure à des impôts indirects seuls efficaces.

Après trois rapides allocutions de MM. E. Fougère, président de la Fédération de la soie et de l'Associa- tion nationale d'expansion économi- j que Dalbouze, président de la Fédération de la mécanique, et L. Defert, président du groupement du commerce de l'alimentation, l'assemblée vota à l'unanimité un ordre du jour approuvant les déclarations des orateurs, adjurant les pouvoirs publics de faire appel à l'union de tous pour rétablir à bref délai les finances de l'Etat et réclamant: 1° l'institution d'un régime fiscal réalisant l'égalité de tous les citoyens devant l'impôt 2° la compression méthodique et impitoyable des dépenses publiques 3° l'affermage temporaire des monopoles.

La réunion du Cirque d'Hiver Conformément aux décisions prises par l'Union des commerçants et industriels des 3', 4', il', 13' et arrondissements de Paris, une partie des magasins de ces arrondissements, surtout dans les 11. et 12* arrondissements, ont fermé leursportes hier, à 15 heures. Des affiches imprimées ou manuscrites apposées sur les devantures indiquaient « Fermé pour cause de meeting », ou bien « Fermé pour protester contre la rétroactivité des impôts », ou encore tout simplement o Fermé jusqu'à 17 heures. Il

Cependant, dans la vaste salle du Cirque d'Hiver, une foule de plus de 4.000 commerçants se pressait. Des discours furent prononcés par MM. Veylet, président des patentés de Paris Liévin, président de la Fédération de Villeneuve-Saint-Georges Patout, président de la triperie de Paris, et Henry Béraud, président de l'union qui organisait le meeting. L'assemblée adhéra à la manifestation de fermeture générale décidée pour le 3 mars par le comité de l'alimentation. Un orateur de la Confédération générale du commerce a engagé les auditeurs a fermer non pas deux heures, mais toute la journée, lees pharmacies restant ouverte comme d'habitude, les boulangeries et crèmeries jusqu'à 10 heures seulement.

Un ordre du jour fut ensuite voté à l'unanimité, déclarant que coinmerçants, tout en étant décidés à faire leur devoir fiscal pour sauver le pays, s'engagent formellement à refuser tous impôts rétroactifs, à prendre les ,mesures appropriées à ce but, c'est-à-dire à renvoyer leurs feuilles de majoration au siège de leur union et de leur syndicat professionnels, afin que ceux-ci les centralisent. L'ordre du jour s'est déclaré également contre la taxe sur les paiements.

En banlieue

La Fédération des groupes commerciaux et industriels de la banlieue a adressé à ses adhérents l'ordre de fermeture de 13 à 17 heures pour le 3 mars.

LE DRAME DE LA MAISON GILLET M. Loa Seul interroge pour la deaxiàae fois Lyon., 24, janvier (dép. Petit Parisien.) M. Jourdain, juge d'instruction, chargé de l'informattion sur le drame de la maison Gillct, avait fait subir, la semaine dernière, un premier interrogatoire à M. Louis Seux, dont l'état s'est beaucoup amélioré. Il l'a de nouveau entendu ce matin.

M. Louis 8eux peut maintenant circuler dans sa chambre, son bras droit seul reste encore un peu paralysé. Sa vision est redevenue normale et il parle sans trop de difficulté.

Dans ses deux Interrogatoires, le juge a cherché à connaître les circonstances qui ont précédé le drame. M. Louis Sèux a répondu au juge avec lucidité. Mais c'est la semaine prochaine seulement que seront abordés les faits eux-mêmes de la nuit au cours de laquelle se déroula le drame.

L'ACADÉMIE D'AGRICULTURE DISTRIBUE SES RÉCOMPENSES L'Académie d'agriculture a tenu hier sa séance publique annuelle, sous la préstdence de M. Jean Durand, ministre de l'Agriculture qul, dans un discours très applaudi, a montré l'intérêt qu'il y aurait à mettre tous tes sols de France en état de produire, en tenant compte de leur situation, de leur nature, et des conditions du milieu cuimral. M. Julien Barois, président de l'académie, a rappelé, aux applaudissements de l'assemblée, les splendldes services rendus pendant la guerre par la popula- Ion paysanne et oeux qu'elle continne à rendre au pays. si. Henri Hitler, secrétaire perpétuel, a rendu compte des travaux de l'académie, puis a donne lecture d'une très hella nottce qu'il a consacrée à la vie et aux travaux du regretté Tisserand.

La séance s'est terminée par la proclamation des noms des lauréates, parmi lesquels le ménage François Drouet, petits fermiers il Hussard (Orne), qui, cultivateurs eux-môm»«, ont dlrlgré tous leurs enfants vers la pro,,lion agricole Mlle Le Dain, MM. Gy, SeùcefTar. Astrne, Lucien Sémtchon, Maurice Manirm, Henri Fabre. Sausse.au, Teppaz, Porcherel, Zeer. Mondor, de Triz. Laurln, Mazars. Edmond Calmettes, Salllard, Dornle Chollet. Sanson. J. Dnfpenoy. Marchai, Marcel Quétln. les établlssaments Bajac et la Mutuelle maternelle de CUarlieu, dans la

FAITS DI VERS Encore me auto retToorée à Versailles Une auto portant te numéro 7.236-1 7 et nuTiie d'une plaque d'Identité au nom de ] M. Bandes. 8, rue José-Marla-de-Hérédla. i Paris, a été trouvée abandonnée rue saintHomoré, à Versailles. Le propriétaire a été lussltot prévenu par les soiia de l'oflloier je paix.

Deux client caillent m accident Boulevard Washington, à Suresnes, deux chiens en jouant se sont jetés dans les roues l'une motocyctet4e.

Le conducteur, M. Jean Destrtgnel, trente *ras. 83, rue des Suisses, à IVanterre, et l'occupant du slaecar, M. Louis Duclaux, turent projetées violemment sur la chaussée. Blessé d la jambe droite et à la poitrine, M. Destrigtfdl a été admis à l'hospice des l'etlts-Ménapes, a Issy-les-Mouillneaux. AWeliM de contusions muiltiptes, M. Duelaux est soigné a son dcmlctte.

Une papetière de Boulogne

est attaquée dan sa boutique

Deux Jeunes germs se présentaient, hier, vers 17 heures, dans ta papeterie tenue 50. rue F.srudier, il Boitiofrnc, par Mme (îerma,fne. Hurel et demandaient une pochette de papier a lettres.

Tandis que la comme rçarwe se disposait a les servir, les • ollents » se Jetèrent sur rl!e ot la fraiipfcrant à coups de pot!«r. Mais Mmv Muret, seras perdre son sang-froid, se mit a appeler au secours. Il n'en fallut pas davanrage pour que les deux chenapans prl«îeot la fuite.

Victime de ton imprudence

En allumant son poêle avec du pétrole, Mme Marie Boueyre, trente -huit ans, rue Arinand-Carrel, MontNJUll-sous-Bois, Il mM le feu à ses vêtements.

Grièvement brùilée sur tout le corps, elle est décédée peu après- a l'hôpital Saint-Antoine.

Courbevole. Un motocycliste, M. Jules Granet, 2i, rue de Lorraine, a renversé, à proximité de son domicile, 2, allée du Midi, Mme Alexandrine Jacquemier, Agée de cin- quante ans.

Maisons-Attort. Des passants ont decouvert, prï's du fort de Cbarenton. le corps de M. Claude Rouxt!, quarante-cinq ans, sans domicile connu. On suppose qu'il a succombé a une congestion.

SeuiWy. L'inspecteur Statzenbach a arrêté >'icolas Richard. rlnft-nuit ans, sans domicile nxe, qui avait détourné une somme de 400 francs au préjudice de, son patron, un glacier de la rue Françols-Mlron. a Paris. Saint- Maurice. M. Joseph Tapala«3. vin?t-clnq ans, a été trouvé asphyxié dans sa chambre, 137, Grande-Rue.

On croit qu'il s'agit d'un accident causé par la rupture d'un tuyau de gaz.

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Au trot monté. 6.000 francs. 2.250 mètres 1. Action (E. Picard) G 33 16 50 à M. L. Btsson P 18 8 50 2. Atchoum Il (Hiaud) 22 50 3. Académie Il (H. Portier) P 16 8 » 4. Atalante VU (L. Pottler). Non placés Arley (E. Marie) Arcade (H. Picard) Annibal (Reneaud) Adria (E. G. Cnéron) Aster (Cnudde) Atlantide VII (G. Pentecôte) Acrobate (C. Lemolne) Arles lA. Forclnal) Aiglon VIII (Verzèle) Arieuslenne (A. Libeert) Alpha II (Chrétien) Avenir VII (Peison). Durées 3'35", 3'38" 3/5, 3'39". Réduct. au km. r35" il/20. Seize partants. PRIX DE CARHA1X

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Au trot monté. francs. S.800 mètres 1. Vice-Consul II (L. pufour).G 2f 50 11 50 il M. P. Orang-e .P 12 50 • 2. Vieux Pin II (Pesson) P 16 50 9 50 3. Val d'Eure (Neveux) 16 » 4. vice (H, Forcinal). Non placée Volubilis (Chrétien) Volupté Il (Dumesnil) Vielile Mondaine (L. Oury) Voltig-eur III (E. Marie). Durées 2/5, 4'20" 3/5, 4'21", l'il" 3/5. Réduct. an km l'3l". Huit partants.

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Au trot attelé. g.000 francs. S.500 mètres 1. Arbalète (Meunier) G ao 50 Il M. Liauzu P 17 50 7 û0 i. Antlnéa IV (Leboucher) P 13 » 6 50 3. Arpette (A. Cholsselet) P 18 50 4. Antlnéa VII (PentecOte). Non placés Alerte tl (Bulhlon) Alzette (Baudry) Arthun (Slmonard) Alzon (A. R. Gulgut) Ariane V (H. Cholsselet) As d'Atout (Blalrsy); Ablg-all (E. Fougeron) Anastasie (A. SourroubiUe) Acrobate IV (H. Netter) Alfred au Moul (C. Theriat) Agacla (Cartenet). Durées 4' 3/5, 4't" 2/5, 4'8" 4/5, 4M1". Réduct. au km i'36" 1/5. Quinze pariant. PRIE DE TARBES

Au trot monté. 20.000 francs. 2.800 mètres 1. Unann (Reneaud) a 146 50 63 » il M. J. Windels.P 2A 50 • 2. Tempête (H. Picard) P22» • 14 50 3. Ugollne (Ansot) P 30 22 50 4. Verctngétorix (H. Forcinal). Non placés Tribun (Verzèle) Uruguay (Cnudde) Ulysse (L. Pottter) Vauremont (Rlaud) Ukraine (E. afarie) Ulm (L. DuTour). Durées. 4'8" 4'9", 1/10 4'9" Il. r.Cduct. au km. t'28" 1/10. Dix partants. PRIX D'ORLEANS

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Au trot attelé. 8.000 francs. 2.800 mètree 1. Uvaldl il (G. PentecOte).G 47 50 & M. A. Goubaux P 1» 8 50 2. Rumilly (L. Prlns) P 23 50 10 50 3. Sarah (H. Amar) P SI 50 9 » 4. Prtsca (Cnudde). Non placés Toréador (V. Devreese) Thalle (F. Prosper) Quineton (Macé), arrêté Ullea (Roy), distancé de la 4* place pour avoir passé le poteau au galop Uskub (Y. ComCot) Uperna (Verzèle) Ultra Mondaine (Bourgeois) Tambourin (Pain) Ténébreuse (Bouley), tombé Tourterelle Blanche (Ch. Bassigny) Question (Souchon) Tytiane (Buttl). Durées 4'17" 3/5, 4'18" 2/5, 4'f9" 3/5, 4'20" 3/5. Réduction au km. l'32". Seize partants. AUJOURD'HUI A AUTEUIL, A 14 HEURES Nos pronostics

Prix des Pâquerettes (steeple-chase, Il réclamer, 5.000 francs, 3.500 mètres). Je désigne SAINT CYPRIEN et Le Vnilon. Prix Hypothèse (steeple-chase, 10.000 francs, 3.500 mètres). Je désigne CORYMBE avant Sntnt Malo.

Prix Persano (course de haies, 15.000 francs, 3.100 mètres). L'écurie Deleau est tel bien représentée avec Pont du Luy et Totocbe. Popite et Trait d'Union sont encore a citer. Je choisis l'ECURIE DELEAU avant Popite. Prix Aubépine (steeple-chase, handicap, tranes, 3.800 mètres). Deîiys et Saint Nalo, camarades d'entrainement, paraissent posséder ici les deux premières chances. Valentine's Brook sera leur plus dangereux adversaire. Je choisis DELLYS et Saint Malo. Prix de Suresnes (course de hnies, handicap, francs, mètres). Banasa allait très bien, mardi, au moment de sa chute sur la même piste. Charleval, The Creole et Dada Il sont les autres champions des chevaux d'age dans cette épreuve où le quatre ans Bricoteur pourrait mettre tout le monde d'accord. Je déstgne BRICOLEUR et Banasa.

Prix Cotentin (>teeï)li-cha«c. cbevavx de selle iO.ooo francs. 3.500 mètres). Je déstgne TOREADOR Il et Ballade II.

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L'ASSASSIN DE PESSAC

i'EST CONSTITUÉ PRISONNIER Bordeaux, 24 fév. (d. Petit Parisien.) Benoît Rieu, le meurtrier de Mme Ornon et de son fils Henri, à Pessac, s'est constitué prisonnier ce matin. Il a fait, au sujet de son double crime, les déclarations suivantes Il y a neuf mois, je vins à Pessao prendre pension chez Mme Union, dont je ne tardai pas à devenir l'ami.

Je lui remettais tout l'argent que .je gagnais. Nous vivions en parfait accord et devions nous marier lorsqu'il y a une quinzaine de jours un nomme Justin mettcs de Bègfes. se mit fréquenter la maison.

Dimanche soir, j'eus une explication avec Justin, qui ne me cacha pas son intention d'épouser Mme Ornon. Cette dernière me déclara à son tour qu'elle avait donné sa parole à mon rival. Furieux, Je me retirai dans ma chambre. Vers minuit, je me levai, bien décidé ù. me venger. Armé de mon fusil et d'un couteau, je pénétrai dans la- chambre du fils Ornon, qui était couché. Avec la crosse de mon fusil, je lui portai plusieurs coups sur le crâne puis je l'achevai il coups de couteau. Je venais de recouvrir son cadavre avec le nrap et je quittais sa chambre quand Mme Ornon apparut, l'air hagsrd, et s'écria: « Qu'y a-t-il ? C'est à ton tour, maintenantl » répondls-je.

J'avais mon couteau i la main. Je frappai. je frappai.

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LES ÉLECTIONS LÉGISLATIVES1 DANS LE 2e SECTEUR

L'Union républicaine sociale et nationale a iiiïaai ses candidats MM. Paul Rey•m*t et de KériUi»

Les délégués des comités parisiens du parti de l'Union républicaine sociale et nationale se sont réunis hier soir en congrès a0n de d^gifçner les deux candidats qui recevraient l'investiture du parti pour la double éleclion législative qui va avoir lieu dans le deuxième secteur de Paris. en remplacement de MM. Ignaoe et J.-L. Bonnet, décèdes.

MM. Paui Reynaud, Erlich. Vic!or Constant, anciens députés, et M. de Ké- rillis, journaliste, ancien officier aviateur. étaient en présence. Après que les candidats eurent successivement exposé leur programme pnlüique, économique et financier, on procéda au •icrulln, sous !a présidence de M. Le Corbeiller. député, assisté de MM. Maurice Quentin et Le Menuet, ccnsplilers municipaux de Paris. Il y eut 236 suffraees exprimés

MM. Paul Raynaud et de Kérltüs furent désignés respectivement par 164 et 161 suffrages. MM. Erlich et Victor Constant obtinrent, le premier 64 voix, et le second fil,

CIREUR ET DROLE DE SIRE Il volait e6ea tout les locataires de l'immeuble et il faisait les parquets sauf chez le maréchal Joffre

Depuis près de deux mols parvenaient à M. Sou le, commissaire du quartier Ch:tillot, des plaintes ém.innni de diverses personnalités habitant 115, rue de la Pompe, immeuhle dont le maréchal Joffre est l'un des locataires.

Ces plaintes visaient un mystérieux voleur qui s'introduisait dans les appartements sans jamais fracturer les portes. faisant main r»a*se sur des joyaux et des bibelots de valeur.

Bientôt ,il n'y ont plus guère, dan.3 l'immeuble, que l'appartement du nwéchai Joffre qui n'eût pas encore reçu la visite du malfaiteur.

f.e magistrat confia à l'inspecteur Pliçuet, du premier district, le soin de mettre un terme aux exploits du enrnbrioleur

Une habile enquête donaa au policier la certitude que le voleur était un jeune homme de dix-neuf ang, Paul-Arthur Baieux, que la concierge de l'immeuble employait pour cirer les parquets. Il fut ensuite aisé à M. Piguet de surprendre le voleur en flagrant délit et de l'arrêter, Grâce aux facilités qu'il avait de savoir si les locataires étaient chez eux ou absents, Buleux s'emparait des clefs généralement laissées dans la loge, pénétrait dans !es appartements et après avoir fait main hasae sur ce qu'il trouvait à sa convenance, disparaissait. Le camhrieleur av;<it opéré notamment chez M StaRg, diplomate étranger; chez le vicomte d'Elva: chez Mme Scherrer. ARRETEE, UXE RECIDIVISTE DU VOL A LA TIRE TESTE DEALER. 1.400 FRANCS

ET BRISE: SON RATELIER

Elle n>mpts trente-cinq ans à peint, mais déjà cent dix aro d'interdiction de séjour

En surveillance, hier après-midi, aux abords des étalages d'un grand magasin de la rue de Rivoli, un inspecteur de la Se lit» judiciaire surprenait en ilugrant défit de vol à ia tire une femme assez élcsarrtment vêtue.

Appréhendée et emmenée au commissariat du quai de l'Horloge, la pickpocket en jupons ne fut trouvée en possession que de quelques francs et sous en nickel rangés dans son sae à main Mais M. Lompré, secrétaire du commissaire, s'aperçut que la vnleuse tenait obstinément une main fermée.

Invitée à desserrer les doigts. la femme poria vivement la main A la bouche et. engloutit une petite liasse de billets de banquo soigneusement pliéa.

Avec «ne hâte. famélique et opiniâtre l'affamée d'argent tenta de ma3tiquer et ct'avaler les billels. Elle ne réussit qu'à briser son râtelier 1.

f.n Viileuse, étouffant à demi, vaincue, remit les hillets Il y en avatt pour 1.400 francs, douze de 100 francs et yuutre de 50 franc

Questionnée après qu'on lui eut laisse reprendre haleine, la femme refusa de répondre. Cependant on devait bientol l'identtflftr c'est une récidiviste du vol à tire, Augustine-Anne-Mario Leferson, âgéfl de trente-cinq ans, originaire de Lannion (Côtes-du-Nord). Maintes fois condamnée, elle a totalisé cent dix ans d'inl.erdiction de séjour. Sa derrière cnmpsruitiin en justice datR du mois d'août dernier. Condamnée à six mois de prison elle venait de purger sa peine quand elle fut à nouveau arrêtée.

LE CKIME DE PANT N Albert Lebouli, frère de l'assassin, se livre lui aussi à la poliu

On sait que Félix Lebouih, dit la a Terrtur de Pantin D, qui. à la Courneuve, avait tué d'un coup de revolver le brocanteur Jean Doneldorf, s'est livré dimanche la police.

Lii mandat d'arrêt était laneé par le jugp d'instruction Dutasia contre le frère dr l'assassin, Albert Lebouth, nI' à Oernav-ln-Ville, àcëusa de complicité. Altieri Letioulh s'est1 son, tour constitue prisonnier hier en se présentant dans les bureaux de la police judiciaire. Toulefuis il a déclaré à M. l^eroy, inspecteur principal, que s'il fut témoin du crime, il n'j piirlif.ipa en aucune façon.

LE MÀME DE LA BU? DES PETITS-CHAMPS

Maurice Crachai, le meurtrier, a succombé L'un des tristes héros du drame qui se déroula murdi dans un harde la rue des Petits-Chiiinps, le linotypiste Mn réel GrocbaU est mort hier matin h l'hôpital de la Charilé.

Létat de sa victime Yvonne Lericne, qui a dû subir l'opéralion de la laparotomie, ne s'est pas aggravé. La famille de la jeune femme qui certes, dés«ppn.uvB $a conduite oar, en dépit des «bjurga lions des siens. Yvonne avail de forl bonne heure voulu vivre sa vie déclare toutefois que !la liaison avec nrochai ne fut pour elle qu'un long martyre

CHRONIQUE JUDICIAIRE ENTRE VOISINS

Voisins d'appartement. boulevard Vietor-llugv, Salnt-uuen, les Vigile et les Ponrelet ne s'entendaient pas.

Cela nnit, le so septembre dermer, par un eoup do balai porté par Joseph Vigile & ta dame Poncelet qui en eut un oeil si grièvemeni atteint qu'il1 falltlt le lui enlever. comme ça, tu en as.asseï Tu ne nous etnîiêteras plu», aurait* dit sur l'Instant l'agresseur, sauf, une fois (lê(rrt*«, & regretter son geete brutal.

La cour d'assises qui te Jugeait, hier, l'a cn;r;famnd a un an de prison, avec eursls, arrêt plaidoirie de M» Montlahue, et de plus, sur conclusions de M« Toraii-Bayle pour la partie civile. à 20.000 francs de dommaa-eï-tmérêtï.

LE RISQUE SPORTIF N'EXCLUT PAS LA RESPONSABILITE EN CAS D'ACCIDENT DANS UN PARC D'ATTRACTIONS

Au psrc d'attractions, la lllle d'un ministre plénipotentiaire d'une république sudaméricalne avait été vinlTie l'un accident occasionnant une double Fract'ire du péroné, d'nn Impossibilité désormais de danser et de se livrer aux prouesses du tennis.

Risque sportif, a plaidé M- Ettenne Caen pour le ¡lare d'attractions. Qui s'y expose volontairement n'a rien Il réclamer.

MaU la 5* chambre de la cour. sur platdnirles du bâtonnier Henri-Robert et de M> Robfrt ("oiilet. n'a pas admis cette nn de non-recevoir et a alloué & la jeune tille francs de dommages- Intérêts.

LE BAL MASQUÉ DES ÉTUDIANTS AU PROFIT DE LEUR SANATORIUM Le bal masqué organisé Il l'Opéra par l'As«ocfatlon générale les éturtlan's au profit du lanatnrinm des étudla.its et étudiantes, dont la construction se poursuit <,n liére. aura lieu la Jeudi de la Ml-Carêtne On trouve des billets dès maintenant à l'Opéra et 1, rue

COURRIER DES THEATRES'

Odéon. Dalilah, pièce en trola actes, de M. Paul Demasy.

M. Paul Demasy a le goût des grands sujets, et il semble qu'il n'hésite pas devant la particulière difficulté d'aborder ceux qui ont été plus d'une fois traités, en y apportant un accent personnel. Mais l'histoire contée dans la Bible, au livre des Juges, souffre-t-elle une interprétation qui puisse beaucoup différer de celle d'Alfred de Vigny, en un poème célèbre, faisant de cette légende le symbole de la lutte éternelle entre l'Homme et la Femme? Le drame de M. Demasy est de lignes simples. Il n'emprunte que l'essentiel au récit biblique, qui eût pu offrir des éléments pittoresques le festin des noces de Samson, l'énigme proposée par lui à ses hôtes, la nouvelle épousée prise par un de ses compagnons, puis massacrée par les Philistins, les épisodes qui expliquent la soif de vengeance du redoutable Hébreu, sa première rencontre, dans la vallée de Sorek. avec Dalilah. M. Demasy n'a voulu, les âmes, qui sont de tout temps, l'intéressant plus que les faits qu'une action serrée. Disons tout de suite que cette action a, dans sa sobriété, de la force et de la vie, bien que, au deuxième acte, elle risque de piétiner sur place.

Ce Samson a, comme tant d'êtres humains, de la grandeur et de la bassesse. I Il souffre des humiliations de sa race. dominée par l'ennemi Il aspire à en être le libérateur, confiant dans l'Eternel, qui lui a donné sa prodigieuse vigueur, pour l'heure où '1 sera l'instrument de la colère divine, en chassant les oppresseurs. Mais le héros a !es faiblesses de la chair, contre lesquelles il se révolte vainemcnt. A la pensée s'oppose ch^ï lui l'impérieux désir. Il n'est point dupe de Dalilah, gagnée par l'or des Philistins, et il sait qu'elle ne cherche qu'à le trahir. Lui aussi, il pourrait dire

Toujours voir serpenter la vipère dorée Qui se traîne en sa fanjje et s'y croit ignorée. Cependant, c'est vers elle qu'il revient, subissant l'ensorcellement de sa beauté. Il tente de s'abuser lui-même, en croyant trouver un al:ment à sa haine contre les vainqueurs de son peuple dans les bras mêmes de cette femme, qui leur est acquise, qu'il méprise, mais dont la grâce perverse a sur. lui tant d'empire, fût-ce quand, avec tous ses artifices. elle le raille et l'insulte. Et c'est, entre eux, ce duel sous ses fo-mes diverses, jusqu'au moment ou, après l'avoir chassée, Samson rappellera Dalilah, s'asservira de nouveau à la perfide enchanteresse et lui livrera enfin le secret, dont elle était anxieuse, de sa force invincible. Puis, sa chevelure coupée, il sera sans défense on s'emparera de lui. on lui crèvera les yeux, et commencera sa* captivité dans l'épuisant travail de la meule. En sa prison, Dalilah vient le narguer. Epouvantée de son oeuvre, elle comprend pourtant le grand coeur de l'homme qu'elle a vendu, et c'est alors qu'il est misérable, infirme, supplicié, qu'elle l'aimerait peut-être, si ce n'était lui qui jetât sur elle la suprême flétrissure. Cette heure qu'il attendait toujours, malgré son esclavage, d'un signe de Jéhovah, est arrivée. Ses mains, redevenues formidables, ébranlent les colonnes du temple. Le rideau, qui s'est baissé trop tardivement, a rendu un peu mesquin cet écroulement du temple de Dagon, qui devait être surtout supposé.

L'oeuvre a assurément une haute tenue que ne déparent pas certaines expressions familières, presque argotiques, mêlées à la noblesse et à l'ampleur du style. Mais un tel sujet pouvait-il être véritablement renouvelé'? On attend que les dons de M. Demasy s'exercent sur un thème tiré ¡ de son propre fonds.

M. Hervé, venu de la Comédie-Française l'Odéon pour la création de la pièce, a prêté à la figure de Samson, dans les combats du héros contre lui-même l'inspiré retombant dans la misère de l'homme de la pui???nce tragique. Mme Vera Korène a mis dans les jeux cruels de Dalilah une souple félinité, d'ailleurs toute moderne. Dans le personnage d'un Israélite, le seul nui reste fidèle à Samson, accai blé et humilié, M. Maurice Donneaud a fait remarquer sa voix chaude e. sa justesse d'accent M. Pasquali a dessiné pittoresquement le rôle d'un esclave prêt à toutes les trahisons. Pattl Ginisty Opéra, il li.. Bal de ta couture.

Théatre-FrançaU. 1 h. 4L, Clnna. Un Caprlce; 8 n 30, l'Ami des femmes.

Opéra-Comique, 1 h. 30, le Joueur de viole: 8 h., le Barbier de Séville. l'Enfant et les Odéon 1 h. 30, l'tcole des femme?, ta Cri- .tique de l'ECOIe des femmes; 30, Dalila. TrUnon- Lyrique, 2 h. 30. Boccace; 8 h. 30. les Clocnes de Cornevllle.

8 .Bernliar<n,2 30. Mon curé en. tes riches Chetelet, Il 30 et 8 30, M*m'7.elle Sans-Peur Variétés, 8 h. Azaïs.

p -St-MarUn Il 15, 8 15. Cyrano de Bergerac • TWatre de Paria. 8 h. 30, l'animateur. R6nais;ance, 2 h. et 8 h. le Lit nupttal. Gymnase, 9 n., Ma cousine de Varsovie. Mogador 1 h. 30 et 8 n. 30, la Bayadère. P -Royal, 2 45, Il 45, la Rev::e du Palais-Royal Marlqny, n. 30, 8 h. 15. Monsieur Beaucalre. Femln», 8 h. 45, Loyauté.

Nouvel-Ambigu, 2 4s. 8 45, le Fils naturel. Antoine, 8 h. 3D. 'a Femme de mon ami. Boutt.-Parl»., 30. 8 30, Trots Jeunes tilles nues Edouard-VII, 8 h. 45, Mozart.

Th. de t'Avenue. 8 h. 45, Chipée.

T Madeleine, i ho la Belle Aventure. Th. Mlcbottère, 2 h. J5, 8 h. 45, Passionnément 1 Nouveautés, 2 8 45, Pas sur la bouche

Th. Daunou, 8 h. l'Ecole du bonheur. Potinière, 9 h., Plaire.

Mir 1 8 n. 45. Chéri.

Com. Ch.-Elys., 8 45, A Parla tous les deux. Com. caumalun, 8 15. Dans sa candeur n?'ve Capucines, 9 h., Mannequins.

Bcela Monsieur de 5 heures (M. blmom. 04-Guignol, 8 h. 45, Callgarl, Bled marocain. fetuuio vli.-EViS., Bourp-'ols romanesqup. Ta Ilathurln», h., rcldche.

Th. des Arts, 8 la Vlveuce et le .oribond Th Cluny, 8 a. 45, J'al perdu na femme. Délaiet, 8 n. 45, Caroline était mariée. Eldorado. 3 Puréa (Blscot). Œuvre, 8 b. 45, l'Enfant truqué.

Folles-tram., Une paire de pères. Atelier, 8 h. 45, lrma.

Ternes, 8 45, les Vignes du Seigneur (Bossls) K -Théâtre, 8 i5, Chasseur de chez Maxim âlbert-l", h. 30, la Raison du Plus fort. Cigale, 8 h. 45, Et avec Ci, Madame ? 1 Montrouge, 8 45, 1 Veuve Joyeuse (ynagllai Comœdia, 9 h. Totote, poule de luxe. Ba-Ta-Clan, 8 h. 45. a Danse des libellules. Moulin-Bleu, 9 n.. Péci é de Juive.

Monoey, 8 b. 45. es Vignes U Seigneur Bouflns-du-lfo-d, 8 45, le i alte1' I.afleur. Th. Popul. (Troc.). le ltlracle des lo'ips (ciné) L'auemblée de la Mutuelle

des artistes lyrique*

Salle du Concert Mayol, hier après-midi, les de la de secours annuels des artistes lyriques ont tenu leur assemblée générale sOU3 la présidence de NI. Ernest Joly, délégué de la mutualité. Le rapport nnp"<M"r *plrltue|l«ineiit i>ré--i>iiié par M. "crreret. fut approuvé. MM Rlondhln, président, et unies, secrétaire général. annoncèrent que l'œuvre de la '"ai-i'n i!e ?,, 'T'aile Il'.Orangls. hospitalisant actuellement pensionnaires, possédait un capital d'un million. ,.il cours (je la réuniuti une minuit" lie Bllenca avait été ohservée a ta mémoire de Portal, ancien président de a société. -o- (illTE-I.YRKH'E. AuJourd'hnl, en matinée, il, Pclt nue. Imm'-nie succès. Pie-St-MARTIN. t5 et 8 h li Cyrano de lifrf/ernc, av Francen, J. Pro vosl et J. Coqiif lin. Mit. Jeudi. Mmedt et .1lm. 1 Rat/adère est un spectacle rêve pour les familles C'est un micc£* sans précédent. Dimanche prochain msnnée Il heures. -o- *MBff',ll. h 30 et 8 II le F«» i naturel av Mmes P Amiral. S MiDry. J Fernav MM Clémnnt. B uirdel. Coizpan. Mmette. *0- PAI.MS n"Y\L. Aujourd'hui, i t h 30 nrni'iné* de la de R'p I-o- ATHKISEE. La répétition eénérnlfi de la Rnxe tir nfptrmhre roiiWrtï» en trois actes I de M. laniiie» Dnval. qul devait avoir lieu ce soir, est remise a lumli soir.

-o- B'UIKFKS PA11ISIENS Ailjmirtrnul. f b. 30. matlnde de Trnia feunea filtes. nue8, l'opéretie gale, avec Dranem et i Krtnmnrt Rize

I dll !ierntfri>« In Cabinet du docteur rnligari. -o- TUEA.IBE CLUiNÏ, Demain, 4

8 b. 30. première représentation de Plumard et llarnabé. vaurleville militaire en trois actes tte MM. Henry Mnroau et Chartes (julne!. on commencera par la crise du logement, un acte des mêmes auteurs. Les criilques et courriéristes serom reçus sur la liréspitiation de leur carte.

-o- L3 Danse dex libelluter triomplie chaque «olr A l'égal de la Veuve jnynuxe. nn rera, samedi et rtlmnn- che, des matinées (le l'œuvre de Lebar. Vu raffluence louez de suite.

AU TH. DE LA MICHODIERE Téléphone ni-helleu

PASSIONNEMENT __ANDRE MESSAGER imiiiii Aujourd'hui matinée à 2 h. 30

Le prodigieux Fakir Dr TAHRA Bey donnera avant son départ une séance scientifique de fakirisme, ce soir jeudi à Il h. au TROCADERO. Dans cette unique séance, le Fakir fera des expériences sur ses élèves

Salle du PETIT JOURNAL du 5 au d mars, niat. el soirée SENIE HANOUM

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SPECTACLES ET CONCERTS Folies-Bergère, 8 b. 30. Un soir de folle. Olympia, [Il., s., 15 vedettes et attractions. Concert Mayol, 8 Quel beau nu! (rev. Palace, 8 h. l'arii-Voyeur (Grock). Empire, Gn caharet t Cuba, «u attr. Casino Pari», 8 30, Paris en fleurs (Chevalier). Moulin-Eouge, 8 D. 30, Revue Mlstliigruett. Cb.-EL, S 3 S 30. Gladiateurs chinois, H. Goldln. Nouveau-Cirque, m., s., Super-programme. Cirque d'Hiver. 8311, les Kratelllnl; mat. J.s.d. Cirque de Paris, 8 b. 30, mat. Jeudi, (11 m. Cirque Mcdrano, 8 30, mat., Jeudi, Sam., <1im. ïu.sebI. P. Marinier. Ie< WMlaen OIoiimi. Européen, m., s., Dalbre^t, Dauvla, Sage\. Coucou, Bou. Bou (revuéi Ba^tia. Dorln. Maglc-Clty, t. 1. jours, gd bal. orchestres. Moulin-Rouge Bal, 4 h., 8 30 et toute la nuit. Salle Wafjrara, ce soir. 8 h., gra I ii.'l. Tav. Fantasio, cône.. attr.. dans. 9 4 b. m. Pal. Pompéien, Jeudi, soir.; sam., film. m.. s.

-O- CONCERT MAYOL. Tél. Gut. 88-07. La revne nouvelle (Jnel beau nu avec Parlsys, Jane Myro et 250 jolies femmes. Aujourd'hui matinée

-o- Les combats chinois, te danseur Vicente Esc.idero, l'illus'onnlste Horace Goldln aux CHAMPS-ELYSEES MUSIC HALL. Aujourd'hui matinée.

MATINEE fi I VMtTP Z» SOIREE 1.'HOMME LE PLUS FORT DU MONDE RIGOU LOT SARTHEL MAX-ROGE AIMEE MORIN CARINA TAMAGNI G. GRAMMAC1NI Le Quatuor VOLGA Le Prince SHANKAH Spark Ballet Les Mazzolaa Leygbton's Les 6 OURS A S b. Concours de Danses Demain, représentation. Location gratuite CINEMAS

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POIL DE CAROTTE

rêiTl ne par Julien CUVIV1ER

a«*l4té d'Henry LEPAGE

interprété par HENRY KRAUSS André HEUZE et M' BARBIER-KRAUSS est un alm des Clnématograptes PHOCEA UNE RÉUNION DE L ASSOCIATION DÈS PORTEURS DE RENTFS

L'Association des porteurs de rentes franÇaises pour la sauvegarde de leurs droits J et la dérense de leurs intérêts » convoque ses adhérents une réunion préparatoire qui aura lieu demain vendredi fi 5 heures très précises en l'hAtel de la Société des agric0lteurs de France. 8, rue d'Mhfmes. L'objet de cette réunion est de nommer un comité d'étude et d'organisation qui sera chargé d'arrêter le programme financier sur lequel, ultér!euremnnt, une assemblée généraie élira le conseil statutaire.

Les Français qul désireraient assister t eett* réunion, peuvent demander une Invl.tat-nn au siège de l'association, rue d'Amsterdam.

COURRIER DES HP S p AMATEURS DE I • O- F 25 février.

LA STATION DE BARCELONE

SERA INAUGUREE AUJOURD'DHUI L'installation du poste radiophonique de Barcelone FAJI, au sommet du Tibirtabo, à 600 mètres d'alUtud*. est terminée

Cn poste, le plus puissant d'Europe fonctionnera avec une longueur d'onde d( 323 mètres.

jourd'hui. Demain, émission du concert de ta grande chorale l'Orteo Catala. LES CONCERTS FRANÇAIS. Poste da PETIT PARISIEN (315 or.- 0 kw.500) 21 Il.. com-eri orjran'sé sous les auspn-cs de l'Union radiophonlque de France, avec le concoures de Mlle Jeanne l.éniyer et M Morlnl, de l'Opéra, dans Hérodtade, duo du 3' acte (Massenet); Slgurfl, duo du acte (Reyer) Sérénade (Schubert) Otello, air (Verdi).

0UY3iture d'Egmont, op. 84 (Beethoven) Allegretto du Diveitlssemont (Lalo) Il- suite d'orchestre (Scliuinann) Le Pas d'Armes du roi Jean (Salnt-St^ns) Sérénade en mt majeur (Memlclsjohn) Rapsoûle hongroise NI 2 (Liszt;; Andante et Allegro de Home (Blzet) Danse symphonique a- 2 Cncgi Au bord de la mer (Schubert; Marche nuptiale de Loh-ngrin (Wagner)

ECOLE StiPEHIEUnE DES P. T. T. (458 m., kw. 5), il In Surboiinc U h., cours public du doyen de la KuculLé des le. très la Langue française et la Hôvolutlon 15 b.. cours de M. Reynier c corneille et son temps •.

Au Collège de France, 1B h. la « Meta- morphoie de l'église pour l'accord d'Israêl et lie la chrétienté par M. Jean laiulfit, 17 h., cours de M. Cb. Gtde te Mouvement coopératif Il l'é!ranger

so Il., roun d'espéran,o, par M. Th. Cart chronlque du cinéma, par M. Harlô eau.serie « Considérations générales sur 1 l'o.'imr i-i .a n ,i.ij ̃•. i .• va-, Il de la grammaire et du dictionnaire par M. Armbrustcr du comité des électeurs pour le suirrage des remmes. Soirée. par l'AS,oriailon iréuérale des auditeurs de T. S. F, avec l'orchestre siinpboniiiue, sous ta directlon de M. Pierre Gouat, la troupe Alec nuit d'été (Mendelssohn) Cloche d'automne (Jean NouvuèsK Audition de quelques passages de Potin, brave homme, plêce en un acte, de Paui Vlalar le Crépuscule des dieux Tannliœuser (Wagner) sélection sur les Charbonniers, opérette de Coste. TOUR Elh'FEL (3.65H m., 5 kw.). I» n., Informations et chroniques M. Le l.amlais « La ligue française contre le taudis • Mme Paume-Hetlès Ce que révèle récriture » M. Jean Schener « La question des piles et des accus.; M. Thévenet Le procès quoildien » Scène d'une pièce nouvelle Joués a Paris par Mme GabrielTristan Froncent et M. Vêiien. etc. h. 3U, concert (2.740 m.) Antar (Himsky-Korsakov) Trto (iiublnsteln) Un tet de t'armée /rançatse (G. -T. Kranconl) I Intermezzo (Moussorgsky) Lettre d» soldat (O.-T. Fram-onl) Pelléas et Mélisande (Oabrlel Fauré).

RADIO-PARIS (1.750 m.). 12 h. 30, Marche des poilus (Teddy Moon) Cœur gros (C. de Mesqulta-Auvray) Thaï* iMassenet): Scènes montagnardes (Jean Dyff) Sorrentlna (F. Volpattl J.) Farfadets (Hussonmorel) Txhinlnraln (H. Leopoldi) Cavalleria Husticana (Maseagut); Concertino (Duvernols) Menuet (Vidal) Canzonetta (Cotemell) Dans l'allée -profonde (P. Fosse) la Chanxon de Solveig (Grleg) Sérénade de Pierrots (A. Gauwln) Idylle slave (H. Ackermans).

18 h. 45, l'heura ctasslgne causerie par M. Dorival, de la Comédie-Française, sur « Molière, [*Avare 0.

20 h. 15, communiqué en espéranto cours île comptabilité concert Comtesse Maritza (Kaliman) For you atone, 1 love the Moon, My gnrden (AI. Johns' Tiéve de printemps, icrtilératlon (J. Siranssi le Jardin du sommeil (J. de Lara) fndian love song (Lieurance) Fables de la Fontaine (Mouton' chansons populaires nègres ça c'est une chose (M. Yvaln) Fleurs d'amour (Padliha); Dans l'ombre odorante (Bonhard) le Nid, abandonné (Borchard) V Artésienne la Chèvre de M Sêguln l'innocent (A. Daudei-Blzet).

TOULOUSE P T. T. (260 m., 0 kw. 9 h. et 9 h. 30, cours du marché. 17 Il. 15. matinée enfantine. dU h. ao, chronique aslronomlque informations concert la Féle du Muguet (Vercoller) Sérénité (Moutonl le Grand Mogal (Audran) Paillasse (Leoncavâllo) FCIe Il Séville [Colo-BonneO uarche des Olo lie -Troll ers (Vercollp.r) Par le sen.lier (Th. Dubois) Stgttrd (Reyer) la WalKyrie (Wagner) MessaUne (de Lara) la Petite Mariée (Lecocq) l'Enfant prnillnue (Debussy) le Ménestrel (Wlesntawskt) i Uerceuse (Fauré).

RADIO-TOULOUSE m. 2 kw.). 10 h. et 10 h. 30, cours du marché. 12 h. 30, Song of atory (E Zamor) Jolie frôleuse

BULLETIN FINANCIER Cours de la Bourse du Mercredi 24 Février Le recul des valeurs étranaores s'accen- puis poursuivent nettement leur mouvement tup, accompagnant la détente des changes, et rétrograde. Les sucres et les produits chilef velléités de raffermissement que certaines nllques font assez bonne contenance fald'entre elles manifestent peu après l'ouver- blesse du Platine et de Penarroya reprise ture sont aussitôt sulvies d'une faiblesse de l'azote voitures irégulières nitratiènouvelle. Les valeurs françalses restent son res en nouvelle réaction. tenues sans ptns, le mannnp total <i'arruiri-« En coulisse, sud-africaines, caoutchoutlène leur permettant pas de bénéficier de l'amé- res, territoriales d'abord Indécises, ne tarIloration du franc dent pas A fléchir nouveau peu à peu. Aux AU parquet, rentes et banques françaises pétroles, la Royal Dutch hat en retrait" à tant assez bonne contenance. Fonds otto- la Wyomlng esquisse quelques vellélmans assez bien tenus Banque ottomane ci tés de réststance et termtae ferme a .93, Foncier égyptien résistants lourdenr accent- ainsi que l'Eagle a t7t. La Malopolska s'étatuée de la' Banque nationale rtu MPXicme. Le hlit en dernier lieu à pour l'action et Suez, le Rio, le contrai Mlnin? et la plu-, s,?ro pour la part. Bakou fatble a 2,325. part des vedettes de l'arbitrage débutent En clôture, léger raffermissement des en nouveau recul, reprennent légèrement, valeurs d'arbitrage, surtout en coulisse.

VALEURS précédent du leur VALEURS p^ | tafm VALEURS | 4o (Mr FARQUEt Crédit roncier d'Aljwi». • 422 MARCHÉ EN BAHOTB A Mm» et au comptant Électricité de Paris. 1275 1275 A tarme et au comptant Banque .'Algérie 8880 fiectrWté Eaz ta Sort. •̃ 543 5S7 ]'. Braque Nationale Crédit. 662 lâffidano 791 • '50 ^ÏTÏ^; œSSTz .£ i SSftŒZ- iJS S:= il Crédit iTOd. !l621 fotcler cotoaial %*«> ™» KoS8: «JSS JSS \BL=z m :» ̃: ^=- S 223 -taWéD* 18976.. 18.25 Wérte*™» 600 485 gS^-™ 274, 270 m m ™»-l»%~ tSSSSmZZ ÎS 529 =tien Ml -900 PeUtParisiaacU™». 735 710 ̃ SSÎSft Kl M camp. Cénér. 4'tlectrtc. 1545 parts. J70 6G? CI on 34, j, • Tboffl»n-Boii5ton »» •̃ 2«& Bénins I«r Éat 4 ïïnlSj JJ, SY (part*. «« large 4 1914 278 90 92 SO Las. 832 Algcna 3 *X>o £OV o-j-»- «ogn loin il. 403 Ti«3%1902 2SO J &dVo,li" I s 8I Société de hnirroj. 1267 1255 Panama à Itti HTÏÏl .1 683 52S Prêt. Chtaiqim d'AM». 1230 1218 Nord 3 ancien 2S4 240 on. 50 Chargea torà Min..3 mm 2S5 240 SVôrienU «essaqeriesMarit. artia. Oued 3 ancion t23 lMUn«..m 15450 154 Tranattatiqae ordii™ 133 Imageries 3 H SSi" Voitures à Paria 1001 1025 ùmàias 4 50 it^.1 432 Air Liquide 375 372 188 Rush csanllde 4 3180 Si 00 BrériI4%I889 308 nfïï T nim i » 189194 «9W 80 Cnin.5%1913 .BUUl 315° 3% 14 i0 EgrpUi naiflée 454 '0 4d5 du comptai» IÎ^iimÎ •» «.: n*n%T. 62 82 2540 Date Ottomane unifiée. 187i SOi rart Eéraclé. 25600 Ottoman 5 Ou 1314. 72 50 10 75 7<mia 275 Bainoelnp. Otlomaie.. "15, H» 3lU94-lS96_ 1C3.. Omnium 490 Nitrate Rail. oriiJ.. 1975 S US99 191 GrMBTi prit H70 Bio-Tiïto 599C 1910 J J/4 o/o. t8i 26 35 hall 6R8 Naphte 39.^ Arjentin 6 1910. Talla «ttonam. «7 45K >>&. 44S 441 Au TOffliiiwn 387 50 relomble5%1906. 3 H amortiMable.. •̃ Um!™™"™ 42o 434 COUSt DES 0HAi<QB8 \l'iïù iî a \m s ̃ ^o– 13,1 45 \\Vtâ:z: Ta, US 1 :=:• S 5Ti:r. S 70J -ïvîtl*ti.» 451 50 47. s I r: » ̃ S Si.- III 10 uo- =^^19.2.3: «1v Î4^M i»»^ 3» «• &-r= Il 65 Il 40 lMl" w I!!3..« 200 Kern -H119H. i§H»S5 2» 220 Çauda ™ 1924™ o/l«3 *H% 390 ™ Société «menais. S» Peso «eilaln tafHfciTéf V l»"»–. 1£S ̃ Um taiptienw .1

iH. Bertrand); le Devin du oiuage (J.-J. Rousseau) Kern Uited (B»ch) Guilarrerut (Cbllleniont). 13 b. La, Danse volUe (Caudiolo) Cluuuon slave (Krancesclil) Sert?ntila Fiorentina (Marcheltl) Lettre d'adieu (Zerco) fialUide <•< rwvalesqtts (Miircheltl) Barbe-Bleue (Offenbach) nuit charmante (Sudessl) Sur la route (L. Rose). 17 h. an, Bourse, heure des enfants. 20 h. 30. Informations, danses Cuadnlla de banderilleroi (A. Melssler) Lettres d'amour (Gev) Alcantara (Oalllnli nalato (Roudlère) Si lit voulait (R. Wetller) Par tes ueux (Gulll^myn) Poupée d'amour (Ronubergi Quand on aime (Moretti) Ttltne suit danW (PRarly) Berline française (Thulllli'r» Passing of Salomé (Joyce) le Roudowlou (Scotto) le Quadrille des lanciers (Leduc) RADIO-LYON (2S0 m., 1 kw.). lfl n., Pelilu poupées d'amour (Edouard J"covaccl) Amours de reine (FéiiT Mlrheli aliml rêve (Zerco) In the shadows (William Henley» In Baccalauréat (Rosemonde Gûi'ard) le Pnge indiscret (L. Plfrneret) Fnddy (Ant. Barcosta) Knnlno (H. Ber•mnd) Chanson matinale (Maurice Pesse) le Rire (A. Roule) Sous les ormeaux 'G. Smet) Ronde des mirlitons (Francis Popy. 20 h. 15, Informations concert Cavollerla Rusticana 'MascapnD Roméo et Juliette (V. Massé) linndo amabile (Avon); le Prophète (Meyerbeer) Manon (Massenet) Srpne de Salnt-Sulplce Roméo et Juliette MAHP!ÎI'E P. T. T. (SSO m.. 0 k«\ SSin 16 h. 3o, causerie», concert El Puntillero (Volpattl) Lune de Miel (Waldteufel) tlobin dex bols (Weber) Moment musical (Schubert) le Chemineav (X. Leroux) j Rnmnnre sans la Oioronda (Poiu hlelll) nl'ux danses norvé- giennes (Grleg) i Fox- Trot. 21 b.: Joli Gilles, opéra-comiqu» en deux actes (F. Poise;. .ET ETRANGERS

ANGLETERRE Londres m.. 3 kw.). t3 h., concert. 15 h. t5, heure des écoliers. 16 h. 15, concert. 18 h., danses. 19 h. 30. récital Raclminnlnoff. 20 il, concert, les duos d'amour célèbres duo du 2. acte de Roméo et Juliette (fionnndi duo du du 30 acte de la Lohengrin (W&gneri Lecture de Rlebard l'Vversl du 3- acle de Bons Hn-'twmr Moussorg^kyi duo du acte de Madame Butterfly (Puccinli scène de The Way of the World (Congrrèvei duo du acte de ia Walkyrle (Wagner). h. 30, danses du Savoy. Vaventry m., 15 kw.). 11 h.. concert. 13 n. à 24 b., radio de Londres. BELGIQUE. Bruxelles (265 m., 1 kw. 5). 17 h., heur" des enfants. 20 h., concert donné' a la salle de l'Unlon coloniale au profit des marchés. 20 h. 30, causerie sur Lrs Inconvénients du mariage suite du concert. HOLLANDE. miversum mètres, 3 kw.). 17 h. 40, concert. 19 h. 50. concert tonne il Amsti rdnm.

SUISSE, Genève (760 m., 1 kw. 5). 16 b., heure des enfants. t0 h. 15, concert.. 20 h muslque anglaise 0 branches et h-uinnons Robin Adnir le Cordonnier (Peter Wnrloi k) air de Lnndonderry A travers champs Chant d'amour (Hamilton Uarty) C^rcewse (\rnold Bas: Chanson ancienne de l'époiiu. de la reine Elisabeth Hymne rtu soir (Purcelti Prière .VotreDame (Donald Forci) Avril exi dans les champs (Roger Gullter) Zurich m., kw. 5). 14 h.. 13 h. et h. 30. concert ESPAGNE. Barcelone 1325 m., 1 kw.) 18 h. t0, concert. Madrid (373 m., 1 kw.) 18 h., concert.

Ce soir. 20 b. 30, nadto-Club du XI«, 8i boulevard Voitaire, présentation par M. Achaln d'un po«te entièrement monté sur verre (9 haute fréquence, 1 détectrice à galène, 2 ba^e fréquence). 20 h. 30, RaiIlo-CIub du XV», 33, rue Blomet, conférence de M. Bernard sur la détectlon par lampes, lecture au son.

20 h. 45, Radio-Club dn XXO, à la mairie, conférence par M. Max Franc, présentation d'un poste par M. Dénie!.

20 h. 30, Radio-Club de Vlocennes, 2, rue du Levant.

30 h. 30, nadw-cutb de Fontainebleau, soirée au théâtre municipal, conférence de M. Maurice Privât, secrétaire des Amis de la Tour.

AUX HALLES HIER Baisse de 0 10 A 0 20 au kilo sur le boeuf. Baisse de 0 2u sur le tnouton, 6 50 & 12 a0. Ralsse de 0 20 sur les reins de porc. 9 50.

Hausse de 0 50 au kilo sur les poulets nantais et gatlnais, 15 & 2u de Bresse, 18 50 il 25 des Charentes, 18 il 20 de 2 rr. par pièce sur les canards rouennais, 30 à 40. Baisse de o 75 au kilo sur les lapins morts, 8 50 Il 9 50 de 0 10 sur les vivants, 8 A 8 75 de 1 fr. sur les canards nantais, 17 A 23 de 0 50 iur les laplns de garenne dépouillés, 5 à 6 25 de fr. par pièce sur la bécasse. 12 19.

Baisse sir les beurres fins, 15 Il 22 20 le kilo ordinaires, 9 à 19 50.

Baisse sur les cents, de 380 Il 600 le mille. BiHse sur les pommes ne terre saucisse rouge du Loiret, 72 il 75 les 100 kilos l'oseille, 80 son les choux, il 'e cent les choux-fleurs bretons, 250. Halsse sur les pommes de terre nouvelles d'Algérie, à 220 l'épinard, 140 à 220. les pols d'Algérie, k 270..

Début du pois d'Espagne, 600 les 100 kilos.

Les coupons de l'obligation du port de Rosario seront payés en francs-or

La 1" chambre du tribunal civil a rendu, hier, son jugement dans le procès inlenté par un certain nombre de porteurs d'obligations de la Société du port de Rosario, agissant tant en leur nom personnel que comme administraieurs du comité de défense des porteurs de ces obligations, et demandant le paiement en or du montant des coupons des obligations et le capital des titres amortis.

Dans son jugement, le ttrihunal fait remarquer que la notice publiée par le Journal officiel offrait un litre» de 500 francs 5 0/0 or, rapportant 25 franco par an, payables en nr le huiletin de souscription portait « Obligation de 500 francs à 5 0/0 or et le mot « or » était imprimé en caractères qui en marquaient l'importance.

a Par là, dit le tribunal, pollicitation de la société, acceptation de l'obligation, se trouve conclu entre eux un contrat dont l'objet est une valeur en or. LE MIROIR DES SPORTS

Voir dans le numéro de cette semaine: Le Championnat de Paris de Cross

est gagné par Dupard Mme Thuault conserve son titre dans le

Championnat de Paris Féminin Mlle Joly et Pierre Brunet enlevant la Championaat du monde de patinage artistique à BerUn. par E.-G. DRIGNY. La Coupe Potin, par ANDRÉ REUZE. Suisses et Cettois font match nul au stade Pershing. L'aviateur Etienne Poulet nous parle de la Chine, par RAYMOND BALADIN. Le match Dupard-Marchal dans la Championnat de Paris, par GEO ANDRÉ. Rom6rio méritait mioux qu'un match nul devant Hobin. Un match de bandy féminin à Stockholm. Cinq clubs du Languedoc se qualifient pour le Championnat de France de rugby, par GASTON BÉNAC. Si le match de Cannes avait comporte une troisième manche. par GABRIEL HANOT. Lacoste et Bo.otra en Amérique. Au jour le jour, par JACQUES CËZEMBRE, etc., etc. Isabelle au Volant Roman inédit de ROBERT DIEUDONNÉ Illustré par RED

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Pertes des exercices anté-

rieurs. Réserves diverses entièrement versé.

CREDIT NATIONALI Les opérations raites par le Crédit national sur dominais de gnerro. pour le compte de l'Etat, ont donné lieu, durant lo mois de janvier. aux paiements ct-dessous: Paiements sur ti-

tres déflnitlfs ««mil».

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Principal (y compris

soultes sur règle.

ments en O.D.JV.). 36.208 82 Intérêts 57.20S

Années sur indem-

nités 761 Il!! 79.884.808

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Défense natlonale. Total général pour

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J'ai cependant {¡un caractère, conclut Sylvie à la suite d'une disc-ssion orageuse avec sa famille ce doit être de votre faute si je suis si nerveuse et Impatientée.

Permets, mon enfant, riposte sa mère, depuis une heure, tu ne cesses de nous quereller sans raison. si tu n'avais pas mauvaise mine et les traits tirés comme le te vois, je t'aurais fait taire depuis longtemps. Mais je suppdae que tu dois être souffrante

Sylvie s'irrite encore et proteste

A la vérité, sa mère a raisnn: file souffre sans cesse d'irrégularités Internes, de mii/raines, de tfnulrurti de relns qui altèrent nécessairement snn humeur. Si elle s'avisait sans retard de faire une bonne cure à ÏEpcqvaline, elle aurait de nouveau, un excellent caractère.

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LA FEMME, L'ENFANT. LE FOYER c C'est 7homme qui paie mais c'est la lemme qui achète l

POUR LES PROCHAINS BEAUX JOURS Déjà, nous songeons aux journées attiédies que mars nous promet, aux promenades à pas menus qu'il nous permettra de faire sous la verdure naissante, dans une robe printanière.- Car, pour nous, n'est-il pas vrai de dire que tout finit par des chiffons »

Donc, cette année, nous allons ffcter le printemps Ic plus joliment du monde jamais, la mode ne fut aussi exquisement simple, gracieuse, féminine. Les coututiers nous ont préparé, dans le silence laborieux du long hiver, de ravissante- choses, fort différentes, souvent, les unes des autres, selon les maisons, mais célébrant toutes la gloire des tissus légers et de l'ampleur assagie.

N'allez nas voir, surtout, dans le mot assagi une critique de la mode de l'hiver dernier. Non, les godets avaient beaucoup de grâce. mais, vraiment, on en vit un peu trop 1

On en verra donc moins. Les plis les remplaceront fréquemment plis creux, plis couchés, plis éventaillés les plis et, avec certaines étoffes vaporeuses, les fronces légères.

Ce dont nous nous occupons toutes. dès maintenait, c'est de la petite robe simple, facile à porter, aussi jolie en c taille que pratique sous le manteau Comment donc sera elle,

cette robette ? Différera-t-elle beaucoup des < simplicités qui l'auront précédée Von N'attendez pas de formule nouvelle, madame, ou vous seriez déçue. La petite robe sera plus que jamais semblable à elle-même, c'est-à-dire dénuée de toute prétention, de toutes complications. Elle nous montrera toujours son long corsage droit et souple, rattaché horizontalement ou en diagonale à la jupe plissée. Afin d'être vraiment simple, elle ne se laissera tailler que dans des lainages ou des soieries sans éclat.

Voici, croqués dans diverses maisons, quelques modèles dernier cri à gauche, du kasha vert amande boutonné de rouge puis, du reps gris argent ourlé de cuir bleu vif. A droite, cette robe de marocain marine, rajeunie par col et jabot de crêpe rose. Enfin, une petite chose très sport », en kashadrap écaille blonde incrusté de kasha nègre. FRANCINE.

La petite Poupetle adore essuyer la vaisselle elle se glisse à la cuisine, *alsit un torchon et dès que sa mire a le dos tourné, elle s'empare des verres, des assiettes. et les casse ù qui mieux mieux.

.Mon Dieu Pnupette, que fil ils maladroite » némït la pauvre mère en accourant au bruit.

Il est à remarquer cependant que jamais foupelte n'(i cassé une tasse ni un bol pour le petit déjeuner elle les ménage vLtihleinciU c'est que la gourmandé fillette pense à cet exquis chocolat au lait, son rénal favori de chaque malin et de quatre heures,

Toute jeune qu'elle est, sa maladresse €omfMirte tien exceptions.

Thut lacté, tout sucré tout cuit, tout fait. le chocolat ((Vf luit Kiesca est un aliment complut dont les enfants sont gourmands Plus nourrissant qu'un œuf, léger, digestif, /'E'.ese-ti, même pris quone constipe pas.

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Ebratu.m. Une erreur 'ypographique nous a fait indiquer à cette même place, dans notre numéro du 18 février, que l'Elesca était en renie dans « Toute lionne Pharmacie". C'est dans « Touie Bonne Maison qu*il fallait lire et nos lectrices auront rectilié d'elles-mêmes. La véritable Eau le Sinon embellit la peau, efface rides et boutons (Parfumerie Ninon. 31, r. du iJuafe-Septembre.) N'oubliez pus que la Fleur de Pèche, poudre (le ri- jiarfadc, existe en sept nuances blanche, rosée, naturelle, bise, ocre, inilienne et mauve II faut la réc-amer la Parfumerie V.xil>qnt\ 5g. r du QuatreSeptembre, Parus 'J'est eile qui compose celte poudre adhérente et rafraîchissante. Les manteaux à pèlerine seront la nouveauté de la saison prochaine lis auront beaucoup de juvénilité et de simplicité élégant'1.

Crèmes de Beauté (suite)

LA BASE DE LA Il MEILLEURE » C'est un très harmonieux mélange, pur, onctueux 4 souhait et non gras, adoucissant au maximum et nourrissant, vlciflani par excellence Un précieux agent thérapeutique, délicatement manié et d'une innocuité absolue, vient adjoindre son action protectrice aux incomparables qualités l.énitUes de la glycérine Par suite, rien de plus actif et salutaire que notre exquise Crame Simon bienfait de ta science moderne! Parfumée, uniquement uux essences de fleurs naturelles, aussi agissante qu'elle est inoffensire (à l'encontre de ses pau- ures intitulions qui »ont Inertes. ou' pires, hélas:), celle irremplaçable amie de la peau toujours la t'Utilise.

9est pour colle raison majeure que toutes celtes qui savent » en saturent littéralement leur visage, leurs mains, leurs bras, leurs épaules même leurs Unes pour éviter les gerçures C'eH à elle, à elle seule, que les Ni?%on de nos jours sont redevables de l'Immuable fraîcheur de leur visage en finir.

N» 55. Feuilleton du Petit Parisien JOLI-PINSON GRAND ROMAN INÉDIT LE MAUVAIS PRÉSAGE

XVII 1 (suite)

Noas serons les nukres de la terre Les mimVs sYtoulmit. sa beauté était devenu? mu^nitique, ttvec un caractère <l'étrîingpté.

Quand elle se tenait immobile et droite, !es lèvres cioses, le regard fixé sur l'Invisible, admirable sous le l'a.onneini-ni de su rhevelure durée, elle était inqtiléi aille.

Klle donnait l'idée d'une énigme Autour délie, sa betiuté produisait son effet nniiirel.

Piinni les clîenis, pu nui k>.s amis cte B naivms, les adorateurs a.f Huaient. ne

Mais elle n'en était point touchée. l»in«ti((i des Jours mutuiuiers, qu'elle pourrait s'élever, monter.

Monter

Elle interrompit son récit pour dire & I.oienzo. d'une voix frémissante Je ne sais pas si vou? me cnm- pren«z hîen. monsieur de la Puerta. Mais je voulais monter. Je le veux foinNKht hy Kioi!i»rl- ViiaiitT' io-.hj;" Fra.lilc-

IL FAUT QUE LES MAMANS se persuadent bien que, pour conserver la santé de leurs enfants et les préserver de la maladie leur tendresse ne suffit pas; il faut leur donner certains soins Parmi ces soins, U en a un sur tout indispensable au développement normal de l'enfant, et c'est une faute très lourde de conséquences de le supprimer on de l'ignorer. L'enfant doit aspirer, par ses cellules et ses peres, les éléments vitaux nécessaires au développement Ile l'être. Or. ces éléments ne se trouvent pas loue dan? l'air. Il faut les condenser j dans un bain spécial et dose C'est pourquoi les docteurs d'enfants qui font parlie de la Société de Thérapie Marine de ̃ es enfants. En effet, l'enfant puise dàr,s ce Bain Salium tous les éléments minéraux essentiels à l'organisme et au sang, et il trouve dans ce milieu salin tout spécial ia force et la vigueur de se défenfire contre les maladies du jeune Age. Renseignements oratults Laboratoire» du Sallum, la Baule-sur-Mcr (Lolrelilférieure).

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toujours. Je ni. cesserai jamais de le vouloir. Monter uu trône. Monteur à l'éclnifnud. Qu'lnO>orte, pourvu que l'on soit au-dessus de toutes les têtes Cela n était pas de la pose, de la Soleil d'Or, sans forfanterie, avec une de formidable simplicité, livrait le fond de son âuie.

lx>i-enzo le comprit.

Il n'était pus de ceux qui s'émotion- nent aisément.

Mais, cédant à un mouvement d'enthousiasme, parce qu'il découvrait enfin une créature digne de lui. Il s'écria ("est beau, ce que vous dites lA, Soleil d'Ilr! Kt je vous admire! La belle aile eut aux lèvres un sourire orgueilleux, un sourire que Lorenzo ne vit lra, mats qu'il devina.

Elle poursuivait son histoire qui. i d'ailleurs, allait être courte.

Il arriva que dans le nomhre de soupirants qui demandaient sa maln. ses parents on distinguèrent in qui possé'lait toutes les qualités qu'une Jeune fille peut exicer de celui qui elle se d *nnera.

Julie I^emereier n'avait réellement aucune raison pour refuser ce prétenEile accepta donc.

.Mais dans ta nuit qui précfkla le jour \u mutin, lorsque l'on pénétra dans sa chambre, on y trouva une lettre palaquelle elle Informait ses parents j qu'elle s enfuvalt. non pas seulement pour se soustraire au mariage mais parce qu'elle avait soif d'une autre File n'emporta que deux ou trois

soit en beau lainage, soit en velours blanc. On l'ourlera de renard bla«*c, ou bien de cygne, tout comme le béguin scrupuleusement assorti, qu'un voile de tulle bordé de dentelle complétera.

Et puis, Bébé sera paré de ses bijoux chaîne et médaille, petite broche retenant une fine bavette, etc. etc.

En été, l'enfant se contentera d'une pelisse légère, en crêpe de Chine ou en voile. Cest parmi ces vêtements ou bijoux que l'on devra choisir l'objet à offrir à Bébé. Généralement, la marraine se charge de fournir robe, douillette, béguin mais ceci n'est pas une règle absolue.

On peut encore songer à un joli hochet d'ivoire on à quelque pièce d'argenterie coquetier, cuiller à bouillir, timbale. F.

HIIIIIIIIIIIIIIIHtIllllllIMMMimilllllllllllllllllllllllllllllllll LA FOURRURE,DE BABETTE Babette vient d'étre malades. Oh pas grand'chose un petit rhume négligé qtri est devenu un gros rhume avec de la fièvre. Et Babette demeure au coin du feu, sur sa chaise-longue, douillettement enveloppée d'une grande fourrure. Comme vous avez l'air confortable, ma Babette!

Très, très confortable. C'est Jean qui m'a rapporté cette fourrure. Vous devriez en avoir une comme cela. Je ne demanderais pas mieux, mais ce que je vais vous dire est absurde J'avilis cru remorquer que ces fourrures gardaient quni qu'on fasse. une odeur assez marquée

Certes, les premiers jours. Mais j'ai vaporisé la mienne avec Mon Parfum. de Bourjois. Il est à la fois si suave et si pénétrant qu'il s'est substitué Ù l'odettr de la fourrure.

C'est vrai, Babette.

..Et que j'ai ainsi réalisé tout ce que peut exiner une malade exigeante et gâtée comme mni un maximum de confort et l'atmosphère la plus suave et la plus poétique du monde. Avouez que, même souffrunte, j'ai de bonnes idées. Et un bon parfum, Babette.

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1 milliers de fraaes lui appartenant en propre, et s'en fut se loger dans ce quartier de la rue Aubry-le-Boucher. on elle n'avait pas tort de supposer que I l'on ne s'aviserait point d'aller la chercher.

Elle ne se trompait pas.

Chez elle, on crut il un roman caché, une fugue amoureuse, et l'on eut la conviction qu'elle avait quitté Paris, qu'elle s'était enfuie hors de France. Je vous fais grâce de la suite de mon aventure, monsieur de la Puerta!' dit-elle. Ce s'était pas par hasard que je m'étais mêlée cette tourbe, à ces voleurs, fl ces esean>es. Je croyais découvrir eux des êtres forts. énergiques, de vrais révoltés, capables de superbes choses. Mais non Ils sont fourhes et hiches. iwlieus et répugnants. Ils ont peur de leur ombre. Ils tremblent lorsqu'ils aperçoivent un policler. Et si je suis restée au milieu d'eu* jnsqu'ft aujourd'hui, c'est pnrce que- vraiment, je ne suis, ce soir encore, ce que je dois faire.

Elle se tut.

Lnrenzo réfléchissait.

('ne seule fois. reprit-«Ite, je crus avoir rencontré celui aui me comprend- (trait. (Vêtait vous. Je ne vous con. naissains pas. J'avais seulement entendu psrler de vnus. En vous voyant, Il me sembla que je vous retrouvais, que vous étiez l'hrmme de mon esprit, de ma pensée. C'est pourquoi j'essuyai de vous suivre. Nous avons cnuse. De tout cçe que vous m'avez dit, pas un mot n'est sorti amie mémoire. Elje juré. Je ne sais pas mentir, monsieur de la Pnertn. Vous pouvez donc me I

̃iiHiiiiHiiMMmiiuiiiiiiiuiniiiiimiHiiHiiiiuiiiMiimiiii ON BAPTISE BEBE

Cette belle fête rassemble autour du tout-petit 'iîs membres les plus proches de sa famille. Dans certaines régions, le baptême est célébré par un véritable festin, qui dure un ou deux jours Mais dans les villes, on se contente de faire suivre d'un repas plantureux et cordial la cérémonie. A qui doit-on offrir de tenir l'enfant sur les fonts baptismaux ? L'usage veut que ce soit à ses grands-parents. Le grand-père maternel sera parrain et marraine la grand'mère paternelle, ou vice versa. Généralement, ils acceptent cet honneur avec joie.

S'ils ne sont plus là, ou qu'ils aient un motif sérieux de refuser, on choisira alors parents ou amis intimes.

Bébé, pour ce grand jour, s'habillera de neuf. Jusqu'à la minuscule chemise qui sera de fin linon ourlé de Valenciennes. Brassières et sous-vêtements de laine seront tricotés en blanche agnolaine, que cs Filatures de la Redoute tondent aux igneiets pour en revêtir douillettement '.es tout-petits. Sa longue robe pourra être ,le vraie dentelle. Il en est qui valent jusqu'à 2 et francs. Le plus souvent, on fait appel au tulle qui, entrecoupé de dentelle et posé sur un fond de soie, est ravissant à souhait.

Si le baptême a lieu* en hiver,

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croire. Et ,je vous jure que n'importe en quel lieu, n'Importe ù quelle heure, si vous avez besoin de Soleil d'Or, Soleil d'Or viendra it vous.

Elle n'avait plus rien dire, Elle attendit.

Quallalt-il résulter de cette confession ? Elle n'allait pas tarder à le savoir. Non loin d'eux, un pont traversait la Seine.

Venez dit Lorenzo.

Il la conduisit jusqu'au milieu du pont, ou, tout d'abord, il demeura mnet. Au-dessous d'eux, doucement éclairé par un ciel plein d'étoiles, le tleuve coulait, presque sans bruit. Sur ces deux rives, 'e regard entrevoyait la masse imposante de grandioses monunc nts. Au loin brillaient des milliers de lumières, on avait la sensation de quelque chose d'énorme, de gtgantesque, de colossal. On se sentait en face de lit ville merveilleuse entre toutes les villes, de la véritable capitale du monde Enfin. Uirenzo parla.

En même temps. son bras étendu semblait vouloir étreiadre la ville entière.

Soleil d'Or. dit-il, vous n'avez pas révé. Vous ne vous êtes pas trom- pée. Il faut monter, monter toujours, et mieux vaudrait récli;<fiiud que le piétinement au milieu des masses humaines, dans la boue et la médiocriré. Votre rêve est le mien. Votre volonté est la mienne. Moi aussi, je tne suis juré d'être le maître, le dumin.itttur. celui qui foule aux pieds l'onruell des autres hommes et leur impose son jonj; je vous associerai a um tache, et nous triompherons enseui-

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ble, ou nous périrons l'un près de l'au- tre Le voulez-vous?.

Soleil d'Or ne répondit pas.

Mais elle serra avec force la main de Lorenzo..

Jusqu'à présent, poursuivit celui- ci, le levier me manquait qui devait m'aider à ébranler cette société que je veux soumettre à ma loi. Encore quelques jours, et je le posséderai. Encore quelques jour. et aurai entre les mains le talisman auquel rien ne résiste, encore quelques jours, et nous commencerons tous les deux cette ascen- jsion merveilleuse au terme de laquelle nous nous sentirons, vous et moi. les maîtres de la terre. Car nons serons les maftres de Paris. Et Paris. Soleil d'Or. c'est le monde i Lorenzo acheva, plus bas. avec îolns de fièvre, et presque mélancolique Peut-être ne vous panerai-je Jamais d'amour, Soleil d'Or. Mais je serai votre ami, et je n'oserais pas dire. hélas que l'amitié ne vaut pas mieux que l'amour!

XIX

La moquerie du destin

Durant un instant, Soleil d'Or et Lorenzo de la l'uerta s'étaient élevés au-dessus des réalltés.

Ceci ne pouvait durer.

A ces minutes d'exultation succéda un court abattement, celui qui suit les grandes fièvres du corps ou de l'âme, mais enfin Lorenzo recourra son calme. Tvl est le but. Soleil d'Or! dit-il. .le crois fermement que nous y arri- verons. et j'en serai plus sOr encore dune quelques jours. Cependant, si par nn de ces coups du hasard dont vous parliez, mes plan:, venaient à échouer,

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au moins en partie, rien ne serait encore perdu, et nous chercherions ailleurs une victoire qui ne saurait .ous trahir toujours. 1eci veut dire que je suis à vous dans la mauvaise fortune aillai que dans la bonne.

Et moi de même! affirma la belle fille.

Eh bien préparez-vous à quitter Le Rou"e. Il le faut. Dès demain. cherchez une chambre dans un quartier paisible. Payez un mois d'avance. Lurent s'interrompit.

Avez-vous de l'argent? questionnaJ'ai ce qu'il me faut rénondit Soleil d'Or.

Bien! Mais dites-vous que puisque nous sommes amis, puisque nous somme alliés, ce qui est a l'un est à l'autre. SI vous étiez riche. Soleil d'Or. je n'hésiterais pas à vous demander de me venir en aide. Ma bourse est désormais la vôtre.

3ferci fit la jeune fille. Je ne l'onbilencti pas, mais je n'ai besoin de rien. Ensuite ?

lorsque vous aurez trouvé cette chambre, vous m'enverrez votre adresse. C'est là que je vous écrirai. C'est la que j'Irai vous rejoindre s'il le faut.

J'aurai la chambre demain promit Soleil d'Or.

Tout ceci. reprit Lorenzo, demeure imprécis et vague dans mon esprit. une seule chose m'apparait avec- clarté. Bientôt de gros désagréments peuvent arriver cette sombre brute de et je ne veux pas que vous puissiez en avoir votre part. Le Rouge

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Le Houge est votre utni dit-11.

Soleil d'Or eut un rapide éclat de Il ne m'est rien déclara-t-elle.

M. de la Puerta eut un geste de surprise.

Je veux vous croire, Soleil d'Or assura-t-il, mais cela est extraordinaire! Ajoutez invraisemblable, et vous aurez raison. Ne le serait-il pu.« d ivu>tnge. en réalité, qu'une aile de tnon caractère, de ma volonté, soit devenue l'amie, ou, pour parler net, la maitresse d'un bandit tel que le lioujre ? Non pas, parce qu'il est un bandit,' entendez- vous Mais parce qu'il est le Itouge, le digne frère de la Tom;tte. Non nun monsieur de ia Puerta, je ne suis pas la maltresse de ce misérabîe.

Mais alor% questionna Lorenzo, expliquez-moi ?.

Ce que vous ne comprenez pas interrompit Soleil d'Or. Dans ce milieu *inistre_oîj je m'étais aventurée pour n:e défendre contre ces mauvais drôles, pour rue protéger contre leurs viles sollicitations, Il me fallait un jcre«llii redouté des «utm. Le Rouge était là. Pensez-vous qu'il me fut difficile de le rendre fou de moi ?. Ce n'éCRit qu'un jeu. Le plus rude était de le faire attendre, de lui promettre que je serais il lui plus tard, en acceptant, afin de rtafter son orgueil, sa vanité, de paraître lui appartenir. Savez-vous re qui a eu lieu. monsieur de la Puertft? Il vous aime, il vous craint. il tremble à l'Idée que vous pourriez l'abandonner t nÉpoiidlt Lorenzo.


LA VIE SPORTIVE

LE CHAMPIONNAT NATIONAL DE CROSS COUNTRY

ORGANISE PAR LA F. F. A.

AVÏC LE CONCOURS DU PETIT PARISIEN En vue du championnat national de cross-country, qui se disputera le 14 mars sur l'hippodrome de Maisons-Lafflfe, la P. T. A. organise dimanche les champion.nats interrégionaux.

Ces épreuves réuniront les clubs et coureurs classés aux championnats régionaux

A Am/ens Ligues du Nord, de Pieardie, de rne-ne-France et de Haute-Normandie, A Tout* Ligues (le l'Atlantique, de Touraine et des Cnnre.ntes.

A Toulouse Ligues de la Côte-d'Argent, des Pyénees et du Périgord amenais. A Xice Llgues du Littoral, du Languedoc et de la Cote-d'Azur.

A Grenoble LlgueS des Alpes et du LyonA Belfort Ligues d'Alsace, de FrancheComté, de Seine-et-Yonne et de Bourgogne. A Chaions-gur-Mnrne Ligues des Ardennes, de Champagne et de Lorraine.

A Orléans Ligues du Centre, du Berry, du Limousin et du Loiret.

LA FEDERATION DE RUGBY SE SEPARE DU COMITE NATIONAL DES SPORTS ET DE L'U. F. F. S. A.

Le conseil de la Fédération française de rugby, sur la proposition de son bureau, a décidé de ne pas renouveler son adhésion au Comité national des Sports et à l'Union des Fédérations -françaises de sports athlétiques.

C'est donc la scission complète entre le rugby et les autres branches de l'athlétisme français, scission prévue depuis longtemps, depuis, pourrait-on dire, la création d'une fédération par sport. Les raisons de cette décision sont con nues: la Fédération de rugby dont personne ne songerait à nier la très granrle importance estime que son influence n'est pas ce qu'elle devrait être au sein des deux organismes Qu'elle quitte. Quant aux conséquences, eKe n'arpa. raissent pas, à première vue, d'une importance capitale: la F. F. R. a des ressources qui peuvent lui permettre de vivre en toute indépendance, et les l'ens qui la retenaient au C.N.S. et à l'U.F. F.S.A. étaient assez ténus pour que leur rupture n'ait pas créé de catastrophe. LA COURSE DU KILOMETRE

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tisme à l'artério-sclérose.

Un sang vicié, lourd de poisons, n'a pas une action pernicieuse unique, car Il se heurte à des tempéraments souvent différents. Chez les sujets dont l'épiderme est sensible, c'est souvent une poussée d'eczéma, d'acné ou d'herpès parfois II s'agit de'sycosis, de psoriasis ou d'érythème. C'est encore la couperose qui apparait au moment du retour d'âge. Le cuir chevelu est sillonné de lésions humides ou croûteuses. Les furoncles et les clous pénètrent douloureusement dans le cou ou dans les parties charnues. Dans tous les cas, des démangeaisons intolérables et démoralisantes suppriment sommeil et repos. Le sujet arthritique souffre fréquemment de mal de dos, des poussées rhumatismales ou goutteuses l'arrêtent- dans ses occupations, et le voilà bientôt candidat à l'artério-sclérose. Mais le plus grand nombre est voué à une plus pénible infirmité lorsque le mal s'empare des jambes les veines, gonflées d'un sang endormi, laissent apparaître leur trajet marqué de paquets ou de nœuds vari.queux. Un petit choc, la moindre fatigue, l'effort exigé par le travail peuvent provoquer une rupture ou déterminer une dangereuse phlébite. Souvent l'aggravation aboutit à un ulcère qui ronge les chairs profondément, rendant toute occupation impossible. Le sang vicié est donc l'ennemi de la peau et le tueur des jambes. Peut-on le combattre victorieusement, le discipliner, lui Imposer d'être un élément de vie et non de mort ? Certes oui, et le Dépuratif Richelet a précisément été créé pour cela. Quelques jours de traitement suffisent pour voir s'effacer les maladies de peau les plus chroniques, se fermer les plaies les plus inquiétantes, sans laisser la moindre trace. Rhumatisants, goutteux, scléreux et victimes d'un mauvais retour d'âge, voient leur état s'améliorer rapidement et disparaître enfin la cause de leurs souffrances. Faire une cure de Dépuratif Richelet, c'est vouloir retrouve! santé et joie de vivre, c'est ne plus vieillir. Le flacon: <S 80 toutes bonnes pharmacies. A c!ér»ut etpo ur renseignement» sur le traitement, écrire ̃ L, RicHM.gr, de Sedan, 6, r.de Btifort Bayonne (B.-B-).

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Les Conséquences d'un Rhume Néglige A ceux qui respirent mat

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Je vais très bien, lui dit la dame, à part une petite toux. Mais, cela peut devenir grave.

Oh 1 non, c'est un tout petit rhume.

Qwe voulez-vous donc avoir, dit'le savant, la peste?.

Ces paroles du Gi-and Médecin montrent bien l'importance qu'il attachait à la toux et à ses conséquences.

Oui, vous toussez, malheureux, et vous n'y prenez garde.

Cette oppression qui vous étreint la gorge, ces accès de toux qui vous mettent à bout de souffle, ces points douloureux, ces transpirations, ces crachats qui vous arrachent la poitrine, ne vous suffisent donc pas ?

Ne sentez-vous donc pas que la bronchite chronique, l'asthme, le catarrhe vous guettent comme le tigre guette sa proieî Ne savezvous pas que la tuberculose est à votre porte?

N'attendez pas plus longtemps. soignez-vous de suite et sachez bien que le seul remède qui puisse vous calmer, c'est Je

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Monsieur Mazurb, à Chelles (Seine-et-Marne), nous écrit ceci Dans le courant de l'hiver j'attrapai une grippe qui, mal soignée, dégénéra en bronchite chronique. Je n'arrêtais pas de tousser, mes nuits se passaient sans sommeil au milieu d'étouffe. 1 ments;je n'aaais plus ni forces, ni appétit, je pris du Sirop des de Casé et t'en eu qu'à m'en féliciter, car, je puis bien le dtre, il m'a sauoi la vie.

Je ne tousse plus, ma respiration est libre et facile, mes pou. mou .ont plus vigoureux et jamais je ne me suis si bien porté. 1* Toute» Pharmacies. Lear, flacon: 7. les deux: 15. 30 f" gara cont mandat. En cas de difficultés, écr. LabMrt. CAM hit, Aven. deChitlIlon, Paris. Broch. gratis.

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« C'est pour moi un plaisir et un devoir tout à la fois que de vous sinnaler les résultats vraiment remarquables obtenus grâce votre Pommade Cadum dans le traitement des affections de la peau. Docteur Jean de ROTHOAMHAUSEN,

Institut Sérothérapique, 25, r. Vital-Carlee, Bordeaux. Je suis heureux de vous communiquer que la pommade Cadum a toujours provoqué une amél:oration dans des cas de démangeaisons, d'urticaire et d'eczéma seo chez mes malades.

Docteur VAULET.

53 bis, avenue Bertrand-Barrère, Tarbes. « Dans des cas d'eczéma rehelles Il tous traitements, votre Pommade Cadum m'a permis d'obtenir la suppression des démangeaisons et une grande amélioration.

Docteur DEBEAUX, 75, r. Alsace-Lorraine, Toulouse. Je me fais un plaisir de prescrire la Pommade Cadum vu les résultats des plus satisfaisants obtenus. Dans plusieurs cas d'eczémas suintants des mains chez des laveuses ou des personnes manipulant du pétrole dont il existe dans la région quelques raffineries, j'ai constaté une amélioration rapide grâce i l'emploi combiné du Savon et de la Pommade. » Docteur J. SUBERT, 4, avenue de la Gare, Nevers. « Je certifie avoir usé à diverses reprises de la Pommade Cadum dans l'eczéma sec et en avoir eu toujours de très bons et très rapides résultats. » Docteur GASCON Fils, place Saint-Sauveur, Redon. ̃< J'ai eu plusieurs fois à me servir de l'excellente Pommade Cadum dans différentes dermatoses et je n'ai eu qu'à m'en louer.

Docteur 0. DE PAOLI, rue Bouchard, Saumur. Je souvent votre Pommade Cadum pour les affections de la peau telle» que eczéma sec, démangeaisons, acné ;.elte m'a donné des résultats merveilleux. »

Docteur A. HUMBERT.

Spécialiste des Maladies de la peau,

28, boulevard des Batignolles, Paris.

n J'af o^Henu de très bons résultats de l'emploi du Savon et de la Pommade Cadum dans les prurits anaux. »

Docteur Pierre VIRpULAUD,

Maladies de la Nutrition et du Tube digestif, 31, rue d'Austerlitz, Angoulême.

« J'ai souvent prescrit la Pommade Cadum dans des cas de prurit rebelle ou d'eczéma sec et j'ai toujours obtenu d'excellents résultats. »

Madame le Docteur GIRAUT,

5, rue Montoise, Le Mans.

Je n'ai eu qu'à me louer de l'emploi de la Pommade Cadum dans tous les cas de démangeaisons ou d'irritation de la peau. En particulier je l'ai

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Doctenr LAFOURCADE,

Ex-Interne des Hôpitaux, Médecin-Chirurgien,

3, Petite Place Carnot, Beaune.

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Docteur L. ROUSSEAU, 12, rue de l'Alma, Tours. « J'ai expérimenté la Pommade Cadum qui m'a donne de bons résultats dans le traitement des dermatoses courantes.

Docteur CHAMP,

Médecin Chef à l'Institut Sérothérapique de Franc*, i7, rue de la République, Lyon.

Les anciens employaient l'huile de Cade. Plus heureux qu'eux, j'emploie, avec plus de succès encore. la Pommade Cadum chez tous mes malades atteints d'affections de la peau.

Docteur Léon ROBERT, 8, rue du Colonel-Moll, Paris. « J'ai employé la Pommade Cadum dans des cas 1* d'eczéma anal récidivant, ce qui a immédiatement calmé les démangeaisons et activé la guérison 2° de rougeurs des fesses chez de jeunes enfants qui ont été très rapidement soulagés 3° de plaies variqueuses qui ont été très améliorées. » Docteur H. DUPEIUER,

Ancien Interne des Hôpitaux,

5, rue Crébillon, Nantes.

« Je certifie avoir employé et ordonné la Pommade Cadum et m'en <Hre toujours bien trouvé, surtout pour les eczémas secs.

Docteur G. BELLOUARD,

Médecin de l'Hôpital de Redon.

« J'ai fait l'essai de voire Pommade Cadum dans certaines de la peau et toujours avec un résultat très favorable. »

Docteur AGPON, Chirurgie Générale, Dijon.

J'ai employé plusieurs fois la Pommade Cadum et notamment pour moi-mCine dans un cas de psuriasis. Je n'ai eu qu'à me louer de ses résultr.ts. Docteur F. BEAUDOUIN, 35, rue du Château, Alcnçon,

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Docteur SEJOURNE,

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J'al employé fréquemment votre Pommade Uvlum et j'ai pu constater l'heureuse influence de celle-ol dans des cas d'eczéma qui se sont rapidement améDocteur ARNAUDET, Clinique Prophylactique,

37, avenue de Verdun, Issy-les-Moulineaux.


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