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Titre : La Presse

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1913-09-29

Contributeur : Girardin, Émile de (1806-1881). Directeur de publication

Contributeur : Laguerre, Georges (1858-1912). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 124274

Description : 29 septembre 1913

Description : 1913/09/29 (Numéro 7753).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k597617z

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 14/11/2008

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jeunes générations qui se pressent dans vos

L'Ecole Bolyteclmiaue l'attire d'un seul

bond, il y entre, et il y entre comme ori'dbit

y entrer avec le seul 'orgueil, avec Tunique

fierté de prendre le plus brillant et le plus

noble des cliéinins qui conduisent au service

de l'Etat, au service, de. la France.

L'arme si précieuse et si savante de l'ar-

tillerie'le reçut dans ses, rangs, et. peu après,

témoin des deuils et des déchirements de la

Patrie, nul doute qu i^ne fit alors le serment

de se donner tout entier e2 sans compter à

n'oeuvre 'désormais ai sacîrée de la. défense

nationale.

C'est à l'Etat-Major général de l'armée, ou

le devait 'conduire la confiance qu'inspiraient

à la fois sa valeair et sa puissance de tra-

vail, :que le général Brun allait donner toute

sa mesure 'et se montrer la hauteur de ses

(nouveaux devoirs. Y a-t-il, en effet, pdus

lourde tâche que celle qui incombe à cet

organisme, compliqué, véritable cerveau de

l'armée,, chargé de cooM.O'iMier les mouve-

ments, de diriger les mouvements, de côm-

mander à la vie de cet être aux mille bras-

qu'est La nation en armes ?

Et quand, quelques aunées après, le gou-

vernement d.e la République, confiant dans

le éprouvé de ses convictions per-

sonnelles, l'appela à siéger dans son sein

comme ministre de la Guerre, 11 n'acquittait

pas seulement d',une ultime récompense les

services rendus à l'armée et à la France,

il s'en autorisait pour imposer au vaillant

serviteur de nouveaux devoirs et de nouveaux

sacrifices.

Cette grande tâche, vous savez tous, Mes-

sieurs, comment il l'accoirnplit et quel témoi-

,gnage autorisé en ont porté :'et le Président

du Conseil, qui s'honora de sa collaboration,

et le chef de l'Etat, qui-le voyait quotidienne-

ment à 1 oeuvre. Attentif à toutes les ques-

tions, toujours prêt à les résoudre, particur

lièrement préoccupé du •recrutement du haut

commandement, non qu'ardemiment convain-

cu de l'avenir de l'aéronautique militaire,

alors à ses débuts, toujours il se ,montra

et; n'est-ce pas tout dire à la hauteur de

la redoutable mission incombant au minis-

tre de la Guerre de la République dans l'état

présent de l'Eutrope.

Après cette cérémonie, M. Etienne s'est

rendu à l'inauguration d'un monument éle-

,vé à la mémoire des victimes du coup

d'Etat de 1851. Le ministre de la guerre

a,, de nouveau, prononcé un long discours,

au nom du gouvernement.

Un banquet réuni ensuite, autour de

̃M. A. Fallièrés, de M. E. Eçienne et des

autres personnalités, tous les participants

aux cérémonies de la matinée.

A 3 heures, eurent lieu les défilés des

sociétés de gymnastique, des Vétérans et

des médaillés de 70-71.

le buste de ûftàflJMminièrc

A JAY.RON

Laval, 28 septembre. .M. Ghéron Minis-

tre du Travail a présidé aujourd'hui à .la-

vron, des fêtes organisées à l'occasion de

̃l'inauguration d'un buste de M. Chaulin-

Servindère, ancien député, père du député

actuel.

Un banquet de 1000 couverts a été offert

à M. Chéron, qui a pris la parole au des-

sert.

Après avoir fait l'éloge de M. Ghaulin-

Servinière, l'orateur a examiné la politique

sociale de la République traitant plus spé-

cialement la question du travail des ou-

vrières à domicile.

Aux généraux de !a RéveuitiQn

Vemdun, .28 septembre. ^On a inauguré

aujourd'hui à Ayillers, près de Verdun,

des plaques commémoratives sur les.mai-

sons natales des deux généraux de la Révo-

lution et de l'Empire, Gurély et Piefq.uin.

h la mémoire du

Saint-Aubin-sur-Aire, 28 septembre.

Uns souscription ouverte par la municipa-

lité de Saint-Aubin, sous les auspices de

MM. Poincaré et Millerand, a permis d'éle-

ver -dans notre ville un monument à la

mémoire du général Coïson, gril fut chef

d'état-major du 1er corps de l'armée du

Rhin et qui fut tué le 6 août 1870 dans la

sanglante journée de Reichshoffen.

L'inauguration du monument a eu lieu

aujourd'hui avec le concours du Souvenir

Français, de l'Association Meusieniie, des

Vétérans de la'Meuse, etc.

M. Jean Mop^ljafls la Loire

Pélussdn, 28 Septembre. M. Jean Mord,

ministre des colonies, se rendant à Pélus-

sin, accompagné du préet et des notabilités

de la région, s'est arrêté quelques minutes

à Grand-Croix, où il a été reçu par le

maire, entouré de son conseil municipal

Apres avoir inauguré à Eélussôn le nou-

veau service des eaux, M. Jean Morel a

4;eçu a l'Hôtel de Ville les autorités les-

lonctionnaines et les délégations des corps

constitues.

Le taurneni d'Eîisiïiie

A CHAMOUILLEY

Ghamouilley, 28 septembre. ,7:: On a

mauguré aujourd'hui, le monument

élevé à la mémoire de -Gbarl.es Guil-

laume Etiénne, l'auteur de l'Intrigante et

des Deux Gendrés. Ce monument est dû

au statuaire Jacques Escoula. Il se com-

pose d'un haut piédestal orné du masque

de la Comédie et d'une branché de lau-

rier, et supportant un buste en bronze.

Notre confrère, M. de Nalèçhe, vice-pré-

sident et délégué du syndicat de la Presse

Parisienne, a prononcé un éloquent dis-

Après l'inauguration, les rurge33asse à

la maison de l'écrivain, où une nla-

gue a été posée.

M. Autrand, Préfet de

^rattei dn /rn é au ouixî'hui à l'inau:-

Sooseils a.vjx Lectrices de la «Presse»

Pour kS- dîners où réunions chies le crè-

iLt, Chine, le merveilleux, la mousse-

Laité de soie, sont très employés et font

de ravissantes toilettes surtout si les nuan-

ces sont le citron, l'orange ou l'ivoire.

Dans les villes d'eaux où l'on fait assaut

d'élégance ces diverses tissus se portent

beaucoup, j'ai pu le constater tout récem-

ment et,charmée je veux communiquer à

mes lectrices ce que mes yeux ont vu

primo une toilette de merveilleux ivoire

ayant une tunique de dentelle ivoire vo-

lannée de mousseline de soie ceinture de

ruban vieux bleu ornée de roses. La jupe

ivoire laissait voir les chevilles gainées de

bas de soie du ton de la robe, souliers de

velours vieux bleu étincelants de pierre-

ries. Secundo robe de crêpe de Chine

orange, col, bas de manches et gilet en Ir.

làndeécrue ceinture cerise et noire bas

de soie orange, souliers, de peau de daim

noir étoiles d'or, petit chapeau de velours

noir aigrette de jaune et noir. J'ai vu

aussi, mais je dois arrêter ces des-Mp-

^r/f^^PP long, à vous narrer mes

re™*& une autre

L'OFFENSIVE SERBE

contre tes A'barçais

Un Corps expëdltioniraire

dé 35,008 ternes

Belgrade, 27 septembre. Le corps expé-

clitionnaine serbe chargé de repousser les

bandes albanaises est placé sous le com-

mandement du colonel Andjelkovitch.

Le colonel Andj'elkovitch a sous ses or-

dres 8 régiments d'infanterie, 16 batteries

de campagne et un certain nombre de bat-

teries de mitrailleuses et de piècs de mon-

tagnes.

Le corps expéditionnaire, ainsi composé,

comptera environ 35,000 hommes.

Le colonel Andjelkovitch est un vétéran

des luttes contre les tribus albanaises, et

doit d'avoir été choisi à sa connaissance

parfaite de la topographie du pays et des

moeurs albanaises.

Par ordre des autorités militaires, et en:

vue d'activer le transport vers les régions

envahies des troupes mobilisées, tous les

trains de voyageurs sauf les deux raphides

Belgrade-Sofia-Constantinople et Bclgr.ide-

Uskub-Saloriique sont supprimés.

Les délégués français pour la délimitation

Le colonel Lallemand et ,1\'1.- Graillât, con-

sul de France à Volo, délégués français à:

La commission internationale chargée die la

délimitation des frontières gréco-albanai-

ses, viennent d'arrivea- à Athènes!, venant

de fatras, par chemin de fer.

Les délégués français partiront inces-

samment pour Salonique et Monastir, où

les attendent déjà les autres membres de

la commission.

Le traite turcO'Mlgare

Les dernières conditions

̃Constantinople, 28 septembre. On

assure, de source autorisée, que le conseil

des ministres de demain élaborera défini-

tivement sa contre-proposition concernant

ses questions de l'indigénat, des vakouf*

et des communautés musulmanes, qui sont

en suspens entre la Turquie et la Grèce.

-On assure maintenant que, d'après le'

protocole turco-bulgare, les sommes rëcla-

mées par le gouvernement de Sofia bdut

l'entretien des prisonniers seront compen-

sées par le produit de la capitalisation que

d ume partie seulement des vakoufs.

On ignore encore de quelle façon seront

dédommagés lies particuliers intéressés

dans .-administration des vakoufs.

Le Conflit gmo-îurc

La Porte répond à la Grèce

Constantinople, 28 septembre. Le g- <u-

vernement grec ayant demandé à la Porte

a quel moment elle entendait reprendre les

négociations de paix, la Porte a répondu

que 1 interruption de ces pourparlers ré-

sultait des négociations turco-bulgares.mais

que la reprise aurait lieu après la signa-

ture de la paix avec la Bulgarie.

Constantinople, 28 septembre.– Les pour

parlers ayeç la Grèce seront repris la se-

L'occupation de' Oedéagatch

Athènes, 28 septembre. On déclare,

dans les cercles officiels, que l'occupation

de Dedeagaitch par, les troupes greccrues

sera prolongée jusqu'à la réception de la

réponse des Puissances à la dernière note

.adressée aux chancelleries européennes

par M. Panas, note dans laquelle le minis-

tre des Affaires étrangères a insisté sur

Impossibilité pour le gouvernement grec

de maintenir plus longtemps ses troupes

à Dedeagatch.

CI ..QUE' TOUTE FEMME

DEVRAIT SAVOIR

C'est par la peau que nous absorbons

une grande partie de l'oxygène vivifiant

que nous empruntons à l'air. A cet effet,

la peau est pourvue de milliers de pores.

Si ceux-ci sont encombrés de déchets, l'ac-

uuu respiratoire ae la peau est entravée

et c'est la cause des mauvais teints des

petits boutons irritants et d'autres érup-

tions. Quand vous serez pénétrés de cette

grande vérité, vous saurez combien il im-

porte, tant pour la santé générale que pour

la beauté de la peau, dé maintenir les pores

constamment ouverts et actifs. De La sorte

lés déchets épidermiques qui obstruemt les

pores et font obstacle à l'action de la na-

ture, seront éliminés. Les pores doivent

toujours, être maintenus propres, et c'est là

que s'impose l'usage d'un savon absolument

pur, tel que le Savon Cadum. Le Savon

Cadum est fabriqué en France, avec des

graisses pures, semblables à celles que l'on

emploie partout pour la cuisine. Il est com-

posé avec des éléments actifs et curatifs

de la fameuse pommade Cadum, qui est

antiseptique et détertive. Il purifie, et em-

bellit le teint, car son action est en harmo-

nie avec celle de là Nature il nettoie les

pores de toute impureté et déchets, et im-

prime à la peau une saine activité, essen-

tielle au maintien d'un joli teint. Le moyen

de juger de la pureté d'un savon c'est de

le goûter du bout de la langue. S'il brûle

ou pique, c'est qu'il contient certaine-ment

des sels alcalins en quantité excessive, ce

qui rugueuse et sèche, et

tôt, r«i urf, animera le teint. Le Savon Ca-

d-um est "le meilleur et le plus pur pour

.1 usage, quotidien de la toilette et du bain

Il est indispensable à ceux qui ont la peau

Sensible et facilement irritable. 11 est éco-

nomique à l'emploi, car il s'use jusqu'au

bout et dure deux fois plus q,u'un savon

de toilette ordinaire. La vente du Savon

Cadum, en France, dépasse celle de tout

autre savon pour la beauté du teint

La Croix des officiers de réserve

Bien qu'ayant été promus dans la Lé-

gion d'honneur, il y a plus de deux mois,

les officiers de réserve et de territoriale

décorés après le 14 juillet, n'ont pas en-

core reçu officiellement, leur croix.

Nous sommes en mesure d'annoncer

aujourd'hui que la remise solennelle de

ces décorations aura lieu, à l'Ecole Mili-

taire, mercredi 1e° octobre, à neuf heures

du matin, en présence de la 14e brigade

d'infanterie, en tenue de campagne.

C'est le général Félinéaù qui présidera

cette cérémonie militaire.

Attaque nocturne. M. Léon Vafcrih

agj,de 32 ans, mécanicien, 34, rue Eiquet,

a déclaré ce matin à des agents qu'il avait

été attaqué avenue d'Allemagne à la hau-

teur du numéro 70 par un malfaiteur in-

connu qui l'avait frappé d'un coup dé cou-

teau à l'omoplate droite. M. Vatrin a été

transporté à l'hôpital Saint-Louis.

Crave accident. A.cinq heures du ma-

tin, rue Laf ayette, à la hauteur du numéro

149, une voiture de livraison a renversé M.

Désiré Plançon, âgé dé 30 ans, ouvrier à

la Compagnie des Omnibus, qui reparaît

la voue ferrée sans lanterne Relevé avec,

une «acturë M crâne et

M. Plançon a été transporté à l'hôpital Lac

Accident sur la voie. En gare de

Reuilly marchandises, M. Fragier, 29 ans,

employé à la Compagnie de l'Est, 'demeu-

rant 159, faubourg Saint-Àntoiné, a eu un

bras et une jambe broyés par une rame de

wagons en manœuvré.

On l'a transporté à l'hôpital jàaint- An-

toine.

Excavation. Une excavation de un

mètre de profondeur sur un mètre de dia-

mètre s'est produite ce matin, à deux heu-

res, sur la chaussée, place Clichy.

Des mesures de précaution ont été prises.

Les Bruits de la rue

UNT ASSOURDISSANTS

M. Hennion a pris des mesures cfbï seront

appliquées :prochainement

On commence ;à s'inquiéter sérieusement

en haut lieuy des trépidations auxquelles

est soumis le'sol de la capitale et dont les

conséquences peuvent d'ici un temps plus

ou moins long devenir très graves.

Nombreux sont les incidents provoqués'

par cet état de choses.

M. Emile Massard, dans de nombreuses

interventions itant au Conseil municipal

qu'au Conseil général, les a fréquemment

énumérés.

Mais .ce -n'est pas tout. Non seulement le

tremblement imprimé aux chaussées est1

devenu intolérable, mais encore les bruits

de la rue ont pris des proportions qui né-

cessitaient une intervention.

Aussi, au cours de sa dernière Mission

le Conseil municipal avait-il adopté une

proposition, de M. Emile Massard invitant

l'administration à procéder à une étude

des moyens à employer pour éviter dans

une certaine mesure le bruit à Paris no-

tamment en faisant moaifier le matériel

défectueux des voitures automobiles de

transports en commun, en modiiiant l'u-

sage des timbres avertisseurs, cornes sif-

flets, etc.

En réponse à cette .invitation, M. Hen-

nion, préfet de police, vient d'adresser au

président du Conseil municipal, la lettre

suivante

J'ai l'honneur de vous faire connaître que

dans le but de réprimer, dans la mesure du

possible, l'abus dü signa.l avertisseur par les

conducteurs été -voitures automobiles, j'ai

pris, à la date du, 24 -juillet 1913, une ordon-

nance dont l'article 13 reprodiii-t, en les coin-

pieianx, les • dispositioms de l'ordonnance du

28 juillet 1910. Cet article est ainsi conçu

« .Les conducteurs de voitures automojb les

et de véhicules à moteur .mécanique no doi-

vent faire usage de la trompe que pour aver-

tir les cochers, les chauffeurs, les cyclistes

ou les .piétons. Il leur est interdit-d'en faire

un usage abusif, surtout la nuit.

Les sirènes et les appareils avertisseurs à

gammes complètes et à plusieurs tons sont

formellement interdits »

J'ai donné, d'autre part, toutes instructians

nécessaires pour assurer, sur la voie publi-

que, la stricte, de ces dispositions

J!ai transmis également à M. le préfet de

la Seine pour qu'il y donne, en ce qui le

concerne la suite qu'il convient, la partie

de la délibération relative au bruit causé par

les omnibus automobiles, cette question' res-

sortissant de son administration.

Quelles mesures l'administration de la

préfecture de la Seine prendra-t-elle On

ne le sait pas encore. En tout cas, les

études que nous signalions plus haut peu-

vent lui être d'une grande utilité, et il faut

espérer que l'on aboutira au résultat tant

désiré par toute la population parisienne.

La rosière de Puteaux

A l'hôtel de ville de Puteaux on a pro-

cédé, en grande solennité, au couronne-

ment de la rosière du legs Cartault.

L'heureuse bénéficiaire est, Mlle Hen-

riette Leanoine, couturière, âgée de. vingt

et un ans, demeurant avec sa famille rue

des Pavillons, n° 3. Cette jeune fille a reçu:

une somme de sept cents francs.

Les Prix de Mérite à Eiampes

La municipalité d'Etampes a remis au-

jourd'hui les prix de mérite quelle tient

des libéralités de MM. Hugo et. Petit.

Le legs Hugo, d'une valeur de 300

francs et destiné à récompenser chaque

année « l'ouvrier le plus recûmmaniable

par ses charges de famille, son exactitude

au travail et les soins apportés à l'éduca-

tion de ses enfants a été attribué .à. M.

Aristide Audéhine; père de cinq enfante.

Le legs Petit, sua- la désignation du Con-

seil municipal, a été accordé à MM. Henry

Faure, Jules Véron, Félix Hissert, Augus-

te Tourlourât, Léon Guérin, Gabriel

Huard, Louis Plouin et: à Mesdames Veu-

ves Che,de,ville, Gigoux, Dupuis, Baudet et

Dupré.

Les livrets scolaires ont été attribués

aux élèves Roger Mùrgand Marcel Canet,

Paul Rigault, Lucian Lajugie, André Ti-

tolier, Chatres et 'Ihérèse Marronnier.

En souvenir de Pierre DuPonf et de Gounod

En souvenir de Charles Gounod, la so-

ciété « Pierre Du'Pont et les amis de Gou-

nod né. organisé aujourd'hui, à Saint-

été conviées de nombre.usês sociétés.

Devant le buste du célèbre

élevé place de la Mairie, les sociétés musi-

cales ont interprété ses œuvres et celles de

Pierre Dupont.

A l'Abbé de l'Epée

Vergues, 28 septembre, Les délégués

die l'Union française des souirds-muiets ont

accompli ce matin, à Versailles, leur tradi-

tionnel pèlerinage devant ta statua élevée

à la mémoire de lëuir bienfaiteur, l'abbé de

l'Epée.

Après avoir déposé une couronne sur le

piédestal, les sourds-muiets applaudirent

des discours mimés de MM. Simon, prési-

dent de l'Union française dès sourds-muets,,

Eugène Graffi président du « Foyer des

sourds-muets », et Gaiùlaird), rédaôteiur en

chef die la Revue des Sourds-Muets.

Les concierges de Paris

Sur l'initiative de la Chambre syndicale

des Concierges de Paris une réunion a eu

lieu samedi soir boulevard de Coùrcelles,

sous la présidence de M. Emile Massard,

conseiller du quartier.

M. Vengeom, secrétaire général de la

Chambre syndicale, en excellents ternies,

a exposé le but du syndicat.

Il a été décidé de fonder une section

dans la Plaine-Monceau.

Les Comptables de la Seine

L'Association des Comptables de la Sei-

rie a donné, cet après-midi, à la Mairie

du IVe arrondissement, sa fête annuelle

à l'occasion de la distribution des Prix aux

lauréats de ses cours publics.

Sur l'Estrade avaient pris placs MM.

Poujol, vice-président, Poitoux président

de la commission des cours, Bougras, De-

theux etc., etc.

Il fut ensuite procédé à la distribution

des récompenses..

Parmi les lauréats citons Médailles

d'argent. MM. Detheux, vice-président de

l'Association et président de la cbhuiûis-

eioin des fêtes; Poitoux, Duhaùtoy, JSou-

gras, François, Roulier, Taulaige: médaille

de, bronze, M. Moiîmet.

Parmi les élèves .principaux ci-

tons également MM. Lherèteyre, prix du

ministre du Commerce; Rivièir© et Thorii-

Ion, prix du Conseil général: 'Sainvadêt et

Soirée? paFi?i€i|i)eî

Les matinées sBppWm«ntaires du Caumont.

Palace, avec « Les Derniers Jours de

Pompéi. »

Le succès corisidératole remporté

par le programme actuel, dépassant

presque toutes prévisions, la direc-

tion a décidé de donner trois mati-

nées supplémentaires, les lundi 29,

̃utdiuj au wjp.iemDre et mercredi lEr octobre,

avec le. même programme qu'en soirée.

De cette façon, le Tout-Paris pourra, pen-

dant quatre jours encore, assister aux mer-

veilleuses présentations des Derniers Jours

de. Pompéi », avec soli, chœurs et grand 'or-

chestre, en,cadrés 'd'urne série de nims sensa-

tionnels, tels que « -Au Pays des Lits clos »

'et« Le Cirque à Domicile », la plus extraor-

dinaire fantaisie qui ait été traitée au ciné-

matographe.

Afin d'éviter toute équivoque, la direction

met le public en garde contre les présenta-

tions faites, dans un certain nombre d'éta-

ûnssements, d'un fllm ancien, égalem.ent in-

tntulé « Les Derniers Jours de Pompéi

dune durée moyenne de q.uinze minutes, et

dont 1 édition remonte aux premiers temps

de l.a cinémato graphie.

Théâtre Réaliste Européen « Vertu profanée »

Vertu Profanée est un spec-

tacle que l'on ne peut décrire

et que l'on ne voit nulle autre

part Il faut y avoir assisté

poutr se faire une idée des

mœurs de ce monde spécial si

peu conniu. Cette pièce hardis.

vous secoue les nerfs, vous

uu, ion nr.e -ans

pleurs. Aussi le coquet établissement de la

vue Biot est trop petit -pouir contenir le pu-

Diic qui l'envahit, et c'est un coup d'-ceil vrai-

ment curieux de voir la lon/giue fille die spec-

tateurs qui attendent l'ouverture des porte'»

Une salle emballée applaudit vigom-eusemenit

cette cmrieufie étude de mœurs.

Ce soit

Aux Eohe ̃-Bergère (1D2-59) à S li. 1/2, Qua-

dranstem. Montmartre! (Délmarès, Clairville

Darlmg), 'Les Perczoff, Humpsi-Bumsti et

A l'Olympia (244^68) La Quaker Girl. Mines

OBrien, Delysia, Paulette Duval et Miss Law-

ier, etc., MM. -Morton, A. Franck, Mantille,

Pré fils et Henri Léoni. -Les danseurs améri-

cains Clemons et Dean, etc.

Au Théâtre du Boulin-Rouge (Marcadet 08-

bi) Madame .Cantharide, Jant. a grand spec-

tacle, 150 artistes, 100 danseuses, 500 costumes.

Au Nouveau-Cirque le- meilleur

spectacle de tout Paris.

American-Biograph, 19, rue • Le-Peletier, et

22 bis, rue Lafntte (Tél. 159-97) mat. deux

séances, soir deux séances L'Ombre du

passé L'Eléphant d'amour, .etc. Les actua-

lités. Entrée il'.

Le .courrier, des théâtres du Figaro

Notre distingué confrère M. Serge Basset

abandonne les 'fonctions de courriériste théâ-

tral du Figaro, qu'il rômiplissaiit- depuis de

nombreuses .-années, à la satisfaction de tous.

Il devient, avec M. Louis Béniere. l'auteur

dramatique si souvent applaudi, co-directeur

.du Théatre Femina, où il a le fe-ime dessein

de continuer les traditions d'élégance instau-

rées par M. Richemond. Nul doute que M

Serge Basset ne réussisse aussi brillamment

comme .directeur de théâtre que comme jour-

naliste. C'est le souhait sué, nous formons

tires sincèrement. ̃̃̃̃

A rOpéi'a-Cornique

M. Carré, d'accord -avec les héritière des au-

teurs die Lakmé'ei de Mignon, et avec l'édi-

de ces ouvrages, a autorisé MM. Isola

à donner extraordinairement, sur leur théâ-

tre, dix représentations de chacun© d,e ces

pièces.; mais il est inexact qu'il ait accordé

aux directeurs du Théâtre-Lyrique, le droit

de s'attribuer, comme on l'a annoncé, d'au-

tres ouvrages appartenant au répertoire de

1 Opéra-Comique.

Pour satisfaire aux demandes du public

spécial des soirées du. dimanche, Mlle Ko-us-

̃jietzoff chante ce soir, dans la Tosca, le rôle

quelle interprète avec tant d'éclat, M: Mar-

celin et M. Jean Porter, gui partagent' avec

elle le succès de l'œuvre de Puccini, seront

res -partenaires.

Premiènes -et rep.Eis.es annoncées pour cette

Lundi après-midi, à la Comédie-Française,

vernissage; diu- nouveau' plafond de M. Bes-

Mardi, à la Renaissance, Les Roses rouges

répétition générale lundi soir.

Mercredi, au théâtre Antoine, Hamlel (ré-

pétition général mardi après-midi); à la.

Gaîté-Lyrique, Bip,

Jeudi, à l'Ambigu, la Saignée

répétition générale meraredi soir.

Vendredi, au théâtre Femina, réouverture

avec les Travaux d'Hercule (répétition géné-

rale jeudi soir) aux Capucines, réouverture

avec Part dans l'œil (répétition générale

jeudi soir).

Samedi, à .r-Opéra-Comique, Julien.

Spectacles de la semaine

Opéra. Lundi, Faust mercredi les

Joyaux de la Madone vendredr, Roma sa-

medi, Tristan et Isolde.

rej, Andromagùe, Salut au public, te Malade

imaginaire jeudi, le Passant, l'Ami Fritz

vendredi, le Médecin malgré lui, Œdipe roi

samedi, la Paix chez soi, Yvonic, Les Pré-

cieuses ridicules. dimanche, matinée gra-

tuite, Bërénice, les Fausses confidences ̃ soi-

rée, Boubouroche, le Motade où l'on s'ennuie

Opéra-Comique. Lundi; Werther mardi-'

Ôdéon. Lundi, mardi, m.oï>eï.&di les Cor-

beaux Jeudi (matinée), Est-il bon ? oet.il

méchant ? conférence par M. Antoine jeu-

di, vendredi, samedi, dimanche' (soirée), les

Corbeaux dimanche (matinée), Zaïre, le Mu-

riage forcé.

Gaîté-Lyrique. -.Lundi et mardi, Mam'zel-

le Nitouche mercredi et jours suivants,

Rip.

Théâtre des Champs-Elysées. Jeudi réou-

verture, Pénélope vendredi, Lucia di Lam-

mermoor samedi, Freischutz dimanche,

matinée, Lucia di Lammermoor.

Au Théâtre Sarah-Bernhâ<rdt

Aujourd'hui dimanche, en soirée, t'AigLon

sera donné avec M. Pierre Pradier dans le

rôle du duc de Reiehstadt et la remarquable

distribution habituelle.

Mlle Géniai; qui doit créer le rôle princi-

pal de la Vivante image, la nouvelle pièce de

M. J. Joseph-Renaud, arrivera à Paris, de-

main lundi, de retour d'une tournée dans

l'Amérique du Sud.

Au Vaudeville

Mlle Germaine Webb, après avoir été l'in-

terprète des revuistes de nos grandes scènes

de nuuisic-hall, va être l'interprète de M. Hen-

ry Bataille, dont elle créera au Vaudeville,

la prochaine pièce, aux côtés de Mme Yvon-

ne .de Bray, Marguerite Morèno, Tessandier

MM. Pierre Magnier, Dubosc, Gapellani, etc.

Au Théâtre Ckmy

M. Dmplay nous avise qu'il retient dès à

présent les dates demeurées vacantes du mer-

credi 8 et du jeudi 9 octobre pour la répéti-

tion générale et la première représentation

du nouveau spectacle Monsieur le Juge, vau-

deviBe en quatre actes de MM. Naitcey et

Jean Rioux, qui doit faire suite au Loustic.

A la Scala

C'est devant une sale arc'ii-comble (il ne

restait plus ,une seule placé à l'heure d'ou-

verture des bureaux) qu'a eu lieu hier soir

la première représentation de Tangui-Tango'i

Pan Pan la Tanguinette la nouvelle revue

de la Scala, à laquelle on réserva Ito même

accueil triomphal de la veille. Les feuilles

de location sont presque entièrement cou-

vertes pour la soirée d'aujourd'hui.

A l'Eldorado

Entendu pendant lin erit'r'acte, dans un pa-

tois quelque peu tëuton l'un, •« déciidiéïîient

les Français sont toujours gais, nous avans

beau dire tous les jours que nous àllons les

Théâtre

fous.» L'autre « A foui chamais che n'ai

vu rire si vranchement à Perlin. » Un loustic

répondu « Oui, mon vieux à pointe, à l'El-

dorado, on se gondole toujours comme ça,

car y sont tous bons, là-dedans, depuis Dra-

nem jusqu'au dernier. »

A l'Empire (ex-Etoile-Palace)

Darwin prétendai't que l'homme descend du

singe, c'est bien pomble. Ce qui est certain,

cest que prince Joseph descend de l'homme,

car ce chimpanzé de 1 m. 10 de haut, l'imi-

te a sy_ méprendre. Il boit, mange, fume,

exécute à bicyclette l'acrobatie la plus ex-

traordinaire c'est le record du dressage.

Au programme M. et Mme Villé-Dotra, in-

terprètes des vieilles chansons de France,

Miette, la cigale parisienne, Burt Shephord,

manipiulateur de fouets, Norman Telma, le

roi des contorsionnistes, etc., etc.

Au Moulin-Ronge

Rappelons que le vote, pour 1o Concours

d affiches, ouverte pour rétablissement de

nolie de la prochaine revue du Moulin-Rou-

ge, Voui. ma gosse a lieu tous les soirs

et qu'il est remis à cliaque spectateur un

bulletin de vote.

Au Kursaal

La 'vague de chaleur que nous subissons est

une vague de succès pour le Emrsaal, car

1 aération ingénieuse de la vaste salle se prê-

te tous les changements de température et

cest dans le bien-être, le confort le plus par-

lait, que 1 on peut entendre le nouveau pro-

gramme, ou chanteurs et attractions rivali-

'sent d'entrain et de gaieté. La soirée n'est

qu'un immense éclat de rire qui ne s'imter-

iom.pt que pour permettre à Yette Anceny,

la délicieuse diseuse, d'apporter sa troublan-

te et exquise note de sentimentalité, laquel-

in'i-^ïr sa-dlvarsion, complote le succès de la

Catastrophe.évitée!

Grâce à la Présence d'esprit d'une jèwne

fille d aiguilleur, un,e terrible catastrophe de

îtl6™1?! d;e fer a pu être évitée. L'angoisse

^S?-1.^ ^Sl./ei les spectateurs du IGné-

ma-Theat.re-Ga.b-Ka, l'élégant .établissement

du 27, i01- evar;d* des Italiens, ne cessent

£i, = ,5î iG :?,on&tater. ainsi que d'admirer le

proIramSes teUX le plus intérësS'a«t des

programmes..

Le 'Moulin :de la Chanson, 43, boulevard de

Wofff'- Directito Ro=er F«rréï)l et Emile.'

spectacle unique, dans un cadre

merveilleux

Enthoven, Roger Ferréol,

Paul Marinier, Jean Bastia,

pominus, Saint-Granier, Heintz

dans leurs œuvres,

et Marguerite Magdy

dans la revue.

Les jours de Pompéï

Tiré- du célèbre roman de sir Edward Bul-

wer; en plus, Juve contre Fantômas Toutes

les actualités. au Palais-Rochechouart, 56

boulevard Roche en ou art. Métro envers Pro

gramme -estr-aorûinaire.

L'Ombre du Passé

C'est un merveilleux drame cinématogra-

-phique en trois actes, interprété par les meil-

lem's artistes des grands théâtres italiens,

c'est un véritable clief-d'œwre qui fait p:ar-

tie du nouveau programme de Américan-Bio-'

pap-h, qui comporte en outre plu-sieurs au-

tres comédies américain2s inédites, les ac.

tualités de la dernière heure et les comiques

les plus amusants. Pendant les entr'actes, le

véritable Tango mondain.

Tous les jours, de -i à 7 heures et de 9 heu-

«f.a a minuit Téléphone Location au

Théâtre de Am^icaii-Biogi-aph, 19, nue Le-

Le Grelot

A partir detmiinaii't, le gai Cabaret

mondain de la place Blànche est le

̃endez-vMs des joyeux viveurs et

les belles -élégantes. Le programme

les attractions est des mieux com-

jub'jiiau ma.tin, un défilé de ta-

lemtueux artistes et charmantes danseuses.

un a îete chaudement, cette nuit, la rentrée

du gToaueux André Gra,,pperon, qui nous re-

vienit d Amea'icjufi, champion du monde de

motocyclette,

Toujours on s'amuse au Grelot, toute la

Mont;m.Sru4. l'établissement le plus 'gai de

Georges Beudtn.

Comment Guillaume II mit fin au conflit

qui divisait Saint-Saëns et l'administra-

tion des théâtres impériaux.

On sait que des difficultés s'étaient éle-

vées entre M. Ca.mille Saint-Saëns et l'ad-

ministration de l'Opém de Berlin, à Pocoa:

sion de la centième représentation de

Samsoiï- et Dalila dans. la capitale aller

mande. Désireux d'entourer dé solennité

des théatres impériaux comte de Huel&en-

Haeseler avait convié le. maître- français

•̃a .veoiarr- lui-même diriger l'ex.écution de ion

çftiiivre..

Au dernier Un conflit avait sur-

gi, le directeur de l'Opéra ayant émis la

prétention de pratiquer certaines coupures

dans la partition. Le maître s'était révolté

er avait déclare que dans ces conditions il

tion^ 'ait à à Ia raprésenta-

kaiser les choses ont fini pa,r s'arranger

Guillaume II qui connaît les

raconte le Matin, télégraphia à Saint-Saëns

e.n lui disant qu'il a.vait raison de ne pas

mS?°U* diriger son oeuvre dans ces condi-

En même temps; l'empereur envoyait, une

dépêche au comte HTielsen-Haeseler, inten-

dant général des théâtres royaux, lui don-

nant l'ordre de faire représenter Satnson et

Dalila, sans coupures.

Le comte Huielsen-Haeseler ayant expli-

que les difficultés qu'if y avait à faire

apprendre aussi rapidement à un artiste

le rôle de Samson intégralement, il lui

fut répondu par l'ampe-reuir

Bien, Mais que l'oeuvre de Saint-Saëns

soit donnée dans le plus bref délai possible

et telle que l'a voulue lé compositeur fran-

çais.

Une messe solennelle a été célébrée ce ma-

tin, a 8 heures, à la basilique du: Sacré-Cœur

à 1 occasion du départ pour l'armée, des jeu-

nes soldats de la classe 1912

Le chanoine Créûi-n, supérieur des Chape-

lains ao la Basilique, a prononcé une allocu-

ttom patriotique, au cours de la cérémonie..

Conformément aux engagements qu'il svait

pris, M. Louis Barthou, président du Conseil,

ministre de l'Instrutetiûn publique, a décide

qu'une session d'examens serait réservée aux

étudiants de la classe de 1910 incorporés en

qui ne doivent être Itibérés que'le 8 ro-

vembre prochain, c'est-à-dire à une époque,

où sera close la session qui s'ouvre chaque

année, en octobre-novembre, dans les diffé-

rentes Facultés et Ecoles d'Enseignement su-

MMV les recteurs des académies ont été in-

vites à notifier cette décision aux doyens et

directeurs et à s'entendre avec eux rour

adresser au ministre de l'Instruction publi-

que des propositions en. vue de Ici fixation

^dtalre^6^ ̃*» -ssfo^1^

Télégrammes

LE VOYAGE DES SOUVERAINS MORVECIENS

Londres, 28 septembre. Le roi Haakon

ôe Norvège et la reine Maud quitteront

unristiania au. coimanenoemanit du mois

au marine de la. princesse

avec le prince Arthur de

LES DROITS DE LA SUCCESSION

New-York, 28 ,septembre, Le contre'

leur de l'Etat de vient de

cher, à titre proviso.ire, et comme acompte;

de successïon sur les biens laissés par le

LE SU,LTAN VA MIEUX

septembre. Un bul

constate que la santé du

tan s'est encore.

La publication des bulletins

Si parfaitement pittoresques durant le

printemps et 1 été, les rives du lac

un autre

me, tout de et de lumière

adoucie. Et catte arrière-saison

mentent d'ailleurs, mêmes

concerts représentations au coquet

Municipal avec le concours des

meilleurs artistes de nos grandes scènes,

et menus exquis de

n'est-ce pas, de beaucoup, ia moins

prisée de 1 élite en charmante

A LA CAISSE,

reuses.. pas à des P^rsuites vigoul

téSe.M- Vero]a poursuit ses fins avec

ministère pai lltat ïuît sur somme

l'Odéon- litre de subvention,

.arrangea l'affeito w

IJNfe. tRbix S. y

t^cers^fssi^^

parée. maintenant

laShS2S(oï2OSoff ? ^Utë

dmTtec1 candidat que tout le public vou-'

commander. de re-

ORGUES DE

Verdi, dont célébrem

Je les ai laués; expliqua le

coûté quinze cents'francs, mais, moins,'

La Mouche du Coche.

Terrible

Quatre morts, trois biessés

Trois dents d'une roue

contenant 200

où se trou.-

avaient pu se garer,

Les

PENDANT LES DEUX GUERRES

28 septembre. Le « Journal

Officiel publier

établi par le mioistre de la Guerre des

pertes subies,.par le au

des deux guerres balkanique

des tués et blessës à'

PAR UNE BOMBE

28

de annonce que deux jeunes

gens qui une. bombe dans

le village ont été tués par

de 'l'engin.

Plusieurs passants ont été blessés.

CONTRE LE RAPIDE Il

septembre. Le train dit

« Simplon venant de Calais et allant en

Suisse, arrivait, cette nuit, vers 11 h. 30-

près de Nancy,

le mécanicien, à la

nuit claire, aperçut la voie obstruée,

bloqua ses freins à temps une grande

quantité de rails avaient été places en

travers de la voie.

La gare prévenue, envoya'

une équipe d'ouvriers pour déblayer la'.

voie, qui n'a été .rendue libre

trois quarts d'heure de travail.

Une enquête est ouverte pour découvrir;,

les auteurs de cet attentat.

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