Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 4 sur 4

Nombre de pages: 4

Notice complète:

Titre : Dunkerque-sports : journal hebdomadaire paraissant le dimanche, groupant tous les sports de la localité et des communes limitrophes / [gérant E. Liénard]

Éditeur : [s.n.] (Dunkerque)

Date d'édition : 1911-12-17

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32759234x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32759234x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 954

Description : 17 décembre 1911

Description : 1911/12/17 (A4,N171).

Description : Collection numérique : Fonds régional : Nord-Pas-de-Calais

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k57778061

Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-15086

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 17/01/2011

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 86%.


OuaMéme année -Numéro 171 ClT3Iïr~—j CINQ «^nt Ie numéro DiffimcKte i7sdécembre 1911.

Maxime de la Semaine. —

Si la plupart des gens d'esprit ne réussissent pas, c'est que, le plus souvent, ils ne font qu'ouvrir la porte aux sots.

* Alfred de MUSSET.

Un " incident significatif "

Notre Directeur nous communique un " factum "-du Comité du Stade Dunkerquois.

Moa>-Diéu I qne ces Messieurs du Stsde lisent mal ; où ont-ils vu que nous mettions en cause leurs actifs et dévoués Président et Vieea-PrésidtntS'aotUBls ?

Tout au contraire nous tenons à répéter que BOUS estimons qu'en créant autour de leur Président honoraire Paul Csppelle Tatmosphèrr de méfiance dont il s'est trouvé entouré peu après sa nomination certains membres du Comité ont fait de la mauvaise besogne et justifié la démission qui leur fut adsesiée.

N'»-t'on-pas été JUSQU'A RECLAMER AU PRÉSIDENT HONORAIRE sa CARTE D'ITINTITÉ' à l'entrée du terrain de la Victoire C'est un joli comble I

Nous ne tenons pas à polémiquer avec ces messieurs qui se couvrent des trois personnalités ci-dessua car nos lecteurs pourraient trouver que c'est donner beaucoup d'importance à une mince aflaire.

Les Collaborateurs du « Dunkerque-Sports rc

Nous donnons, maintenant la lettre que nous a,; envoyai Ie;Gomité du Stade -Dunker" quois. ,■.••.■..:■•::-..•:

Dutikerqiue io Décembre 191-1

■v- AMëssïèùfïies CofaboràtëuTS ,-■ de«-Dunkerque Sports »

^Messieurs,

Usant du droit de réponse que nous contèrè'-ia lois et mis en cause par un article partfdans votre journal à la date du ioJDécembre.

Nous?soussignés, membres du Comité du Stade Dunkerquois, protestons énergiquement contre l'insertion dans, le journal Dunkerque-Sports de la lettre de M. P. Rappelle,, cette démission ne devant intéresser que la Société du Stade Dunkerquois et nous vous prions de faire paraître textuellement aux mê- ; mes lieu et place que l'article intitulé : , " Un incident significatif " notre pro- . testation *t la réponse pleine de dignité de notrç dévpué et si sympathique Préstdent,réponse que la loyautéde M. -, P. Cappelle aurait du faire insérer éga- i lement. (

Nousi'egrettons^ue M. P. Cappelle < aveuglé par un parti pris-évident contre ] certains -membres du Stade se soit laissé aller; jusqu'à constester l'autorité et , l'habile direction de notre actif prési- , nent M; E. Bled qui a su en peu de temps à|pr.ce dedévouement et d'éner- j gie relever le Stade Dunkerquois que { M. P. Cappelle avait laissé dans une t situation pJutoJ critique au point de vue c administratif. c

Comptant sur votre impartialité pour c faiiepar|iitrex;ette protestation, veuillez agréer Messieurs, nos salutations empressées.

LesMembres du Comité du Stade Dunkerquois s

■'.'.' BEAUREIN. Nauwelaèrs,,Leroi, Follet, Ppllet et trois signatures illisibles dont une appuyée J(JU titie Secrétaire-GalT

o— S(

J'ai reçu .avec plaisir :1a " communi- =

cation recommandée" (excusez du peu) sl

de MM. rBaur.ein.et£Utres1membres du R ComitéduiStade Dunkerquois. Elle me

confirme l'opinion émise dans ma let- J

tre du 4 Décembre, la signature de son „

distingué 'Président n'y paraissant pas. »

Je l'insère donc en «on entier, jj quoique |a;Ioi, (cqmme disent ces. messieurs si bien informés) m'autoriseà en »

— retrancher le dernier paragraphe dont la ; ne rédaction cherche à devenir injurieuse, ilus Mais il est certaines chosas que l'honI

l'honI nêteté regarde avec mépris et c'est pourquoi volontairement j'ai donné toute publicité à la lettre de Monsieur Beau—.

Beau—. et autres membres. ,, Toutefois pour clore cet" énorme

incident " qui ne pourrait s'il était profac. longé que " bassiner " les lecteurs du « Dunkerque-Sports », je dirai simple*H" ment que ma démission fut motivée syi° par les écarts de langage voulus et sans cesse répétés d'un membre du Comité, leur dont je n'ai jamais et pour causé accep^g. té la collaboration aussi pédante que >uré lourde. J'ajouterai même que certaines ,r" de ses élucubrations me parurent tellement grossières que je n'hésitai pas en AU hâte, à quitter un Comité, qui sans yi' connaître les laits, préférait le couvrir

aveuglément, ces Ceci ditjilmereste à constater en ce^qui n*[ concerne le dernier paragraphe de la or- lettre de M. Beaurein qu'au Comitédu Stade on est aussi oublieux des services rendus que des avances faites. Je regrette même beaucoup que les dirigeants fUâ actuels dontl'activité sut si bien relever er" l'administration, depuis mon départ, n'aient passongé encore à me rembourII

rembourII mes avances. Et, puisqu'il me faut en finir de suite avec cet incident j'ajouterai que je trouve plus étonnant encojeque les " comitards " du S.D, m'aientadresséaprèsNeuf mois de gesus

gesus *n pas les fleurs dont les mêmes proteste tataires me couvrirent et qui se résumèrent par la consécration du titre, pour °" moi, de Président Honoraire. 11 me fut ns offert si je m'en souviens bien après ns examen approfondi du compte adminis:re tratif de la société. ne Je n'oublie pas non plus enfin que m si Messieurs Beaurein et "Bled sont au15

au15 à la tête du Stade Dunkerquois &" c'est bien par ma volonté et grâce à mon ': appui, une autre liste de dirigeants, °" ayant été présentée par la majorité des >i" membres. Ceci se passait si j'ai bonne

16 mémoire à la réunion du Comité qui *• précéda la nomination de Messieurs a- Beaurein et Bled, assemblée ou le secrétaire protesta même contre la conIe

conIe des Capitaines d'équipe par le re Président.

s" Mais qui pouvait prévoir qu'à ?t ce moment je me tressais des ver[m ges pour me fouetter I 'e Ainsi sont les choses et aussi les r" hommes. C'est pourquoi en philosoie phe je... ris de ces " énergiques proie testations " qui n'ont d'autre effet que ie de jeter sur leurs auteurs, et le sourire ■ du " j'menfoutiste " et J'insouciance \ ir dé leur victime 1 'z Et maintenant brûlons du sucre....

'" Paul CAPPELLE.

iBÊÈËÊiËimmË^^mmmmmwmÊmÊmmmmiÊÊmmÊËaÊËmmËÊËÊKmwmËËÊËÈm

PROVERBE DE LA SEMAINE. — Qui se sent morveux, se mouche.

Cruelle énigme

Nous retenons l'attention de nos lecteurs E

sur deux faits suivants, qui s'étant passés à

sous lemême Comité à un intervalle de neuf d

. mois, nous paraissent quasi incompréhen- B

\ .sibles.

1 RÉUNION AU STADE DU 12 FÉVRIER 1911

S « M. Paul Cappelle aujourd'hui démissionne » ses occupations l'empêchant de se consaorer » comme il le voudrait à l'avenir et aux in<é1

in<é1 rets du Stade Dunkerquois .Toutefois il con» sent à rester des cotres et nous donn*> l'as» surance qu'en maintes occasions le Stade

' » pourra toujours compter sur^lui.

«Avant qu'il ne nous quitte nous prions M.

I » Cappelle d'accepter l'expression 1 de notre D

BUB^BBBBB^BSBS^BBBBBBiBBBBBBBBBBiiBBSBBBBBBBBBBBBSI^BlBBi^iBi^^^^^^^^^^^^^^^S^^^^^^^BiiBi^BBlii^BBBBI

]a « sincère reconnaissance et proposons à l'Asj) y mblén présente de lui offirr en récompense 'e* » des services rendus au Stade Dunkerquois l-e n- « htre de Président Honoraire. (Voté à i'unalf. » mité) ».

te ., DU 10 DÉCEMBRE 1911

« Nous regrettons que M. P. Cappelle, aveuli

aveuli psr un parti pris évident contre certains » membras du Stade, se soit Misé aller jusqu'à He » cpntester l'autorité et l'habile direction de Q. » notre actif Président M. Edmond B'ed qui a i » su, en peu de temps, à foroo de dévouement LU » et d'énergie relever le Stade Dunkerquois que e- » M. P. Cappqllf avait laissé dans une bituation ig » critique au point de vue administrant ».

1S Etrange I réel 1 sans commentaires ! i mais comme tout change 1

3- —= •? ;

» Jîu 7{wg

n Notre jeune société de Boxe se voit

s obligée de faire de nouveaux aménair

aménair

Sous peu 3 rings s'aligneront sous

îi la rampe à gaz de la coquette salle du

a quai de Mardyck où l'entraînement bat

u son plein.

'•s Un match de débutants poids légers

:- est conclu déjà pour le 22 et chacun

s des adversaires cherche à acquérir les

r finesses qui lui donneront la victoire

, et aussi le souffle qui permettra d'é'-

d'é'- l'écrasement en cas de défaite,

t Les demandes d'adin;.*.sion sont de

- plus en plus nombreuses itiais :;ous t nous voyons obligés de rappeler à nos , correspondants qu'il est nécessaire

- d'être présenté au Comité par 2 part rains responsables (avant toutes cho-

cho- Le champion mouche de la société

r bien remis de son terrible combat hant dicap est déjà retourné au travail en i vue de nombreux défis qu'il tient à re-

re- successivement. Nous reverrons donc M. Legros et

1 ses camarades à notre gala prochain

- nous en sommes persuadés. Bravo le ? Ring!

\ : -♦

\ Apres le gala de Sta-Ceeili

I Encore des Défis

[ L'intérêt suscité par nos organisations n'est pas prêt de se calmer si l'on

, en juge par les nombreuses lettres que nous trouvons chaque jour dans notre courrier et dont nous faisons un plaisir de publier les trois dernières :

Monsieur le Directeur

de « Duskerque-Sports, Monsieur,

Monsieur Aimé Défraye, da Malo-les Bains m'avarit lancâ un défi p >ar un combat de b xe en 6 rounds de 2 minutes, gants da 6 onces, j'ai l'honneur tie vous informer que j'ai relevé mou défi et que je serai très heureux do le rencontrer à votre prochain gala de boxe.

Nous faisons tous les deux le poids de 48 kilos.

Dans l'attente, etc

Georges LEGROS, (

33, rue do Flandre «

Malo-les-Bains.

—0— i

Calais, 10 Décembre 1911 c

Monsieur le Rédacteur en Chef J

Dunkerque-SporU ï

Monsieur,

Je viens d'apprendre que M. DuqueDoy ,de_ a

mandait 'au nom de M.Malfois une revanche j,

à Monsieur Legros. Dans la négative je lance

défi à MonsieurMalfc 1* en.10 rounds de 2 mi- \,

Bute», gants de 6 onces, 2

Veuillez agréer, Monsieur lo Rédacteur en Chff, etc.

Marcel DIANOT, 5, rue des Prairies

Calais. ci

Monsieur le Rédacteur en Chef h

du « Dunkerque Sports » p

Dunkerque.

Monsieur,

Faisant suite» la lettre de Monsieur Louis le

Duquénoy.parue dans votre journal daté du 19 gi

'As- Décembre, puisque Monsieur Lagros ne croit tnse pas pouvoir accepter îè.défi lancé par Monsienr s l-e Mailois, pour cause d'infériorlié de poids, noma- tre ami' Monsieur Georges Carpentior se propose de relever ce défi et se tient à la disposition drt Monsieur Mailois à la date qu'il voudra bien fixer, pour entreprendre la match dans •u" les condhions suivantes. 6 rounds de 2 m., lin* gants de 6 oncei ; le poids étant de 5S kilos. , 'H Je VOUS prie, cher Monsieur de bien vouloir 1

.da insérer la présente dans votre prochain «Dnn11 " ke;queSports » et avec mes remerciemeuts. BD» Veuillez agréer, Monsieur, mes sincères sa- ] iue lutations. 1

lon G. LALYDT. 1

»s ! Avec une telle quantité d'énergies

en jeu nous avons confiance dans l'é- j

— norme succès prédit a notre Gala pro- ]

chain de boxe... et autres sports divers 1

que nous comptons joindre au pro- l

gramme. j

)it L.R.

a- ^ ^

;s Echos de notre [

at Grand Gala de Boxe s

__ Par suite d'une erreur de mise en pagas, je

s nous n'avons pas signalé, dans notre dernier

in numéro, la part active qu'avait prise notre ex3S

ex3S Confrère " La Boxe etles Boxeurs ".

" Nous réparons aujourd'hui cet oubli à l'Adc

l'Adc do ce Journal toutes nos excuses 1

S- aiasi que nos remerciements pour l'off* e si gracieuse qu'il nous a fa.U8 d'un important lot de

1 cette publication, numéros qui ont été dU'tri---

lc bues avec nos programmes, le soir de notre si

2S mémorable soirée.

)S ' La Rédaction.

re ■ ♦"'"

0. i ous devenons Torgane offi- i

ciel de la plus vieille j

^ société sporlive l'

n On nous avise en dernière heure, que la plus ai

vieille société de Dunkerque nous nommons n

S" le " Sporting Dunkerquois " dirigée avec tant d'activité par son distingué Président Paul

a* Weus, a accepté sans hésitation de faire de

notre journal son organe officiel. 1«

n Cotte décision nous toucha infiniment et 1«

le nons devons rans retard remercier le Comité p

du Sporting Dunkerquois de la nouvelle mar- D

que de confiance qu'elle nous accorde, l'as- *'

surant en retour de nos sentiments les plus ci

I dévoués. t«

Une rubrique et un titre spéciale neront donc ci

réservés désormais à la première société spor- n

tive de notre ville. A

«<

■ r »

n football* \

t association s

A Malo-les-Bains D

: <•• ; ' ' lo

». °C

, Tiotoire très netts de USMB à Malo <°

e ■ lei

îLUTIMllJ a

! WRS111MPSE2 s

C'eit par une forte tempête du sud-ouest

qua s'est disputé .ce match de championnat de an

2-série. !ui

Disons do suite qu'il fût une excellente par- " '

tio d'entraînement pour les jeûnes Malouins \

L car les adversaires venus incomplets sur le su,]

r terrain avaient par avance accepté la défaite efl<

prévue. un

Ils s'encourageaient entre eux en spécifiant a°c

qu'après S buts ils plieraient bagpges. ; c'est ad^

«aontrer peu de tempérament et de fait ces ' me

1 jaunes gens ne sauvèrent même pas lhonneur. JU£

1 Les nôtres dominèrant nettement pendant *Ka

toute la partie réduite à doux mi-temps de 30 * *

minutes à la demande des 2 capitaines. ?ar

frai

LA PARTIS

Malo gagne le toss. que

Il le choint contre le vent mais avec la des- a'ei

centë (ce qui peut se soutenir.,. un

On travaille dans le camp de Marquise mais mei

la nervosité est telle que rien n'est marqué St-I

pendant un bon 1(4 d'heure I ger

Enfin c'est un but. et n

Malgré que l'arbitre trèsindulgenteut fermé foui

les yeux plus de 10 fois t-ur <!e mêmes fautffde que

grosses fautes de Marquise, et accordé peu de cou

oit coups francs ; il arriva qu'une main très vimr sible contre les buts imposa un •• penalty ". — io- Bien shooté il rentra et ce fut le 2' et dernier 0- goal de la première mi-temps. — Puis la pausi- se 1 I !

Ira Les '* citrons " manquent, mais les jeunes ns équipera de Y " Union Amicale de Marquise " 1., y suppléent par quelques petits refrains do café-concert qui en disant long sur la tristesse lir de leurs âmes de footballeurs vaincus,,,., n- Oa écourte et l'on: recommence. ts. Quelques anciens : MM. Tribut, Buchy, Aua- bert, Schottey, montrent sur la touche dee physionomies connues et svmpathiques et leur présence jointe à leurs bons conseils aux jeunes transforme le jeu, iS Malo commence alors un bombardement s. qui ne se termine qu'avec la fin de la partie. ' Il se paie même diverses fantaisies telles que modification de toutes les lignes de l'équipe : 'S le gardien de but venant jouer demi où au mi>. lieu des avants etc., etc,

Il manquait des chaises et un fauteuil car

l'équipe ne fût jamais refoulée par Marquise

" au-delà " de la ligne du centre, h:

Elle marqua ainsi quatre jolis buts puis un

desnier sur cafouillage et la partie prit fin sur

ce score Malo 7, Marquise 0. t;

Bravo. Jeunes Malouins 1 Mais pour Dieu,

Messieurs.tenez vos places et faites une équipe

une fois pour toutes sans remanier au petit

[3 bonheur au moment du coup d'envoi. .■

Que goal Keeper arrive à l'heure et ne ;, joue plus en chaussettes ce qui est malsain I i r Heureuse jeunesse !... ;- R.

s Terrain des Glacis. U.S.Malo (mix'e te ' ' vétérans " et ' ' IV "; contre i, S.C,S.PoL Partie disputée; Str ii Pol mène à la mi-temps par 2

buts a 1. Malo gagne finalenient

par 5 buts à 2

Cette partie bien qu'amicale fut chaudement disputée et par moment le jéù était ordinaire1* ment vif. Les Sportingmen de St-Pol pratiquèrent un jeu acharné et le fait qu'ils menaient à la mi-temps par 2 buts à 1, démontre bien l'ardeur et l'énergie dont ils ont fait preuve ; quand à l'équipe IV da Malo, sans l'appoint s sérieux de quelques équipiers " vétérans" elle B n'aurait sûrement pas gagné ce match. ■

{ " '' LA PARTIE ■■■"■''"

e Le " tost " échoit à Malo qui choisit la pente, le temps n'est pas des meilleurs, un vent vioit lent souffle en travers du terrain et une petite é pluie intermittente rend le sol plutôt glissant . Dès le coup d'envoi les " bleus et blancs '' ;. s'emparent du ballon et descendent dans la s campdes " Saints " où après un court laps de temps un but estmarqué au profit des "locaux" c ces derniers dominent pendant un moment '. mais n'arrivent pas à augmenter leur "score". A leur tour les visiteurs se réveillent et,poussent des excursions dans le camp adverse ; le goal-keàper des Malouins (qui ne tient cette place qu'àtitre honoraire) se défend néanmoins énergiquement, tout en réclamant un changer ment de ballon ; ce remplacement devient nécessaire car le ballon (mal gonflé sans doute) . commence à rendre l'âme; il n'est pourtant changé que lorsque les "verts et blancs " ont égalisé les comptes. Un shoot vigoureux ver nant de la gauche est botté dans le but lyfaloiii'n, mais le gardien n'arriveras à le parer complètement et le ballon roule non pas dans les filotg mais à l'endroit où ces mailles accès» | Hoirea devraient se trouver ; peu aorès on'procède au remplacement du ballon. Stimulés par leur succès les " Saints " redoublent d'ardeur et les demis arrière? et goal-keaper locaux ont fort à faire, trop mémo, car ilsnepeuvent empêcher leurs adversaires de marquer un second but (toujours de la gauche) d'un beau shoot qui laisse l'excellent goal-keaper malouin plutôt rjveur. A ce moment les "verts et blano3" dominent et les attaques sont continùellament annihilées ; la mi- emps est bientôt sifflée sur ce résultat de St-Pol 2 buts ; Malo 1 but. L'avantage est donc à St-Pol.

La reprise s'effectue immédiatement et i la suite d'un judicieux changement de places effectué dans les rangs Malouins, le jeu prend un nouvel aspeot ; les "locaux" profitant d'une accalmie dans la fougue déployée par-leurs adversaires, combinent quelques descentes qui • mettent en péril le but des M Saints■" et après quelques essais infructueux le " score est égalisé d'abord et augmenté ensuite d'un point à l'avantage de Malo. Le jeu se cantonne alors dans le camp des " verts et blancs ". Un coup franc accordé pour un " hands " est transformé par Buchy ; un autre but eBt encore marqué, mais le ballon ayant été touché avant d'entrer par un des " backs " l'arbitre accorde un " coup de réparation " qui est ■heureusement repris et renvoyé par le "goal-keaper" de St-Pol d'une façon très correcte : pour changer les " verts et blancs " attaauent à leur tour et mettent en danger le but Malouin. Un cafouillage périlleux se produit devant les piquets et le ■" garde-but "local est obligé de sa coucher sur le ballon pour dégager ensuite ani-


vant un des trucs favoris de l'internationa Tilliette ; une nouvelle attaque malouine||6 coite' un cinquième but et la fin est bijgpW sifflée sur le score de : Malo 5 buts, St-Po.l £ Le sifflet futtenu d'une façonimpeccable pa Monsieur Norie qui se révèle arbitre de classe

LE BAIGNEUR. . _^

! L'D.S.M.B. (3e) battue à Calais d< 6butsa0parleR.ee.

Ce match fut dispute dimanche dernier ai terrain de Civry, sous une pluie battante, pai un vent des plus violent et sur un terrain grai d'où difficultés supplémentaire», pour les déuj équipas.

Le team Calaisien, renforcé de quelques joueurs seniors eut raison de nos braves Malouins dont le courage a faibli devant la brutalité du jeu de leurs adversaires,

Après uns première mi-temps où les U S M. Bistes tinrenten échec les redoutables Racingmen. — Aucun but n'étant marqué de part ni d'autre — le jeu devint très rude de la part des Calaisiens, beaucoup plus lourds que les Malouins; aussi au bout d'un quart d'heure de jeu de la 2e mi-temps, les équipiers du Racing, énervés de ne pouvoir marquer chargèrent et blessèrent plusieurs de nos concitoyens ; ceux ci furent découragés par un tel assaut, et leurs adversaires profitèrent du désarroi pour marquer 6 buts pendant la dernière demi-heure. L'arbitre de ce match fut absolument nul : il se contenta uniquement de siffler les dehors et sorties, mais n'essaya en aucune façon d'empêcher de vieux joueurs Calaisiens, d'abimer nos " légers " Malouins. " La raison du plus fort est toujours la meilleure se dirent probablement nos voisins ", et c'est pourauoi en maîtres, chargèrent-ils î Cependant il laudrait bien admettre qu'un " grpund " de Football ne rassemble nullement à un " Ring " et que les énervements passagers devraient se... décharger sur le tronc d'un arbre... ou mômeeneore sur un " punch ". Que nos amis de Calais restent pénétrés de ce que le Football est avant tout un jeu courtois et non pas un combat.

John A. Than.

-'; /■ ■ ■ ♦

A Dunkerque

Au Stade Dunkerquois

Belle victoire de nos « locaux »

":■ sur le, i er bataillon d'artillerie

L'actif et dévoué Président BLED du Stade dunkerquois, jugeant que la meilleure façon de ne pas laisser se rouiller ses premiers équipiers était, de les faire jouer contre une équipe de valeur avait eu l'excellente idée de matcher le Team de l'artillerie.

Celui-ci tout au début de son entraînement, mais composé de très bonnes unités, nous a montré une équipe de poids, pas encore en souffle mais très capable de renouveler en fin de saison l'exploit de ses devanciers en remportant le «Championnat de France militaire» pour peu qu'en de nombreuses séances d'entrainement, elle veuille parfaire suffisamment une formé toujours lente à venir.

En tout cas, le « muscle » n'y manque pas et cette constatation e^t toute à l'honneur du vainqueur amputé cependant des deux « piliers » qui ont nom Lues et Beckandt 1

L'arbitre M. Thon, le sympathique membre j du Comité du Ring, siffle le coup d'envoi à 2 I h. Ir2 ; le vent est terrible et gône les combinaisons. :

Le Shde joue très brillamment montrant une forme bien faite et le désir de bien faire. A l'artillerie on se tâte et on est moins sûr de ses co-équipiers aussi les essais sont-ils plus timides. .

La défense s'emploie cependant avec fougue ^ et parvient à déjouer bien des combinaisons , de l'équipe blanche prêtes à réti'sir. (

Baiigand le Demi bien connu aidé de Boez .- (un des bons joueurs de l'U. S, M. B.) font tous * leurs efforts pour empêcher la comhinàicon | stadiste de réussir 3 buts qui seront les seuls I ; de la partie pour S. D. J,

Deux fois par contre les artilleurs trouvent le filet du stade et la première mi-temps se E termina sur ce résultat S. D. 3 Art, 2. ,

A la reprise et bien que jouant avec le vent nos locaux ne peuvent augmenter le Score et le phénomène bien connu « vent dans le dos : coups trop haut» se voit confirmer une fois de plus. I

L'artillerie se borne d'ailleurs à bloquer étroitement le jeu et marquer les attaquants £ ce qui fait que plus rien n'est marqué et que I& victoire resie nettement au Stade à qui ce résultat heureux permet d'envisager l'avenir aveo pleine confiance 1 ni

COMMENT ILS ONT JOUÉ sl

va Le Stade comme toujours s'est montré su- ,je

périeur et les nombreux essais qu'il produisit re

dans le match furent très bien menés. Nauwe- p0

laere fut dans un de ses meilleurs jours eil'on gt

admira ses rapides descentes toujourt termi- cli

nées par un centre des plus classiques. gD

Le centre avant Lyautey a combiné à mer- ,

veille avec Turck et Masnières et cela si bien 1er

que l'absence de Beckandl quoique remarquée pr,

ne désorganisa pas la ligne d'attanue très per- ja

çante de Stade. Le trio au centre s'est entendu Pit

à merveille et le jeu précis de ses ailes, Nau- Da]

welaere (déjà.nomme) et Lerichelui donnèrent nj

une grande puissance d'attaque. QQj

LeB demis brillèrent dans leur tâehe si ar- de

due et aidèrent puissamment an gain de la j'rj

partie. Ils arrivèrent à donner à leur équipe DOl

nne homogénité que nous aurons plaisir à re- je

voir dans les matchs retour du Championnat. est

Les « Backs )) Mardon et Vanhove furent a .

la hauteur de leur tâche. Toutefois ils.ne pu- p

rent arrêter le passage du ballon qui par deux n

fois apporta autants de buts à l'artillerie. 7e 1

Pour à Rock sa défense est à citer. Cet êqui- Arr

pier que l'entraînement classe comme l'un des Bui meilleurs du « team », semble avoir acquis

beaucoup de sang-froid et d'habileté. P08- 1

Quant au travail fourni dar nos « braves ar- "jèI

tilleurs», il fut au-dessus de tous éloges. ? f

L'équipe supérieure possède les meilleurs £or''

éléments de nos clubs maritimes. Le jeu de °J\]

Balligand comme demi a été suivi avec beau- ?.,

eoup d'intérêt. 1ul] Boez et Barton antres demis ont montré un

S su très scientifique. La défense nous a semlé redoutable, et quoiqu'elle n'ait pu m ai tri1er la fougue du stade, il nous faut convenir lu'elle s'est révélée supérieure.

onal La légère défaite n'enîachera donc pas la i45i$5 réputation de l'équipe du iej d'artillerie auJtSfc*' ' quel nous souhaitons de reconquérir le titre 3.1 &• si envié de Champion de France militaire.

[JE LES ÉQUIPES

> Les Equipes pour l'artilleris jouèrent :

En aurnt ; MM. Point, West, Lesur, Pontfort, Sauce. Demis : Barton, Baligand, Boez, de Arriéres : Hamet, Bely. But : flarold.

r au * ', ™

gras La ren°ontre de dimanche leux S. D. contre R. C. C.

iues La prochaine rencontre mettra nos vaillants

^a. stadistes aux prises avec la formidable équipe

■uta- ^u Raoing-Club de Cal?is actuellement une des plus qualifiées pour le Championnat du

; M. Nord la Série A,

jDg. Cetts partie sera jouée dimanche prochain t ni 17 décembre sur le terrain de la Victoire. des Souhaitons de tout coeur que celle-ci vienne \fa. sourire à notre club dunkerquois dont le tourjeu noi attire *-nt de véritables amateurs eta donng, ^ *ieu jusqu'à présent à de sensationnelles l et rencontres. A dimanche donc : il y aura du IUX j«.

urs ^

arj":

arj": notes sur

E le Racine Club de Calais

lus . °

Da- L'équipe CalaisJenne que va rencontrer dieu manche le « Stade Dunkerquois» en un match ait comptant pour son tournoi, sera Lana contreaîl dit, le plus redoutable que nos conoitoyens ue auront eu à disputer durant la saison. [j. Tous les spoi.smen, ont dû reconnaître déjà ,n. après le 1er tour dans le calendrier des matchs, jj8 que le " onze ' calaisien possédait les neilnt leures qualités. — Sur ce point nos vaillants stadistes ne seroni point handicapés, — mais il faut bien admettre qne les " Racingmem " sont pour le moment avec les " UStiens " les seuls équipiers, n'ayant cas subi la défaite, et, s'ils doivent leurs brillantes victoires, c'est bien, croyons-nous à une science et une habileté incontestables I C'est d'ailleurs ces pro Ipriétés essentielles que nos conoitoyens auront à vaincre. Arriveront-ils à ébranler ies fortes assises d'un 4« team " convaincu ? Voilà ce qu'en sportsmen, nous nous demandons, voilà jfi ce qu'en Dunkerquois nous souhaitons.

Quoi qu'il en soit, nous n'aurons pas la télé mérité, comme l'ont fait quelques communion qués apportés par les soins d'une secrétairerie, '■'- de juger et oommenter la faiblesse d'une )e équire de valeur comme celle du'"Racinw Club de Calais ". Ce serait nuire aux '• visiteurs " et *• visités ". Toutifois nous ajoutefi rons que les Calaisiens légitimement forts de a leur force, escomptent la victoire et nous arrin veront avec l'équipe des grands jours. — StaQ distes, vous voilà prévenus. 1» — ■ ■•» :

V DANS L'ARMÉE

J Au 1er Bataillon d'Artillerie 1

i- LA FORMATION DE L'ÉQUIPE

Comme nous l'expliquons par ailleurs l'é- 1

5 j quipe militaire de notre 1er bataillon de for- 1

_ teresse en est encore à la période de gestation 1 et ses divers éléments n'ont pas encore pu

être réunis en un team bien définiiif I

Mercredi s'est jouée une bonne partie d'en- 8

; trainement qui a permis dé fiire une sélection À

intéressante. 1

1 C'est à vrai dire 1' « embarras du choix » : G

ajoutons que la portion ca'aisienne qui cou- q tient quelques joueurs de valeur étant rentrée nous devons noui attendre à un renforcement si considérable du Team bleu et rouge que déjà nous voyons aux Bombardiers les meilleuIres chances dans le Championnat qui s'ouvre,

L'excellent sntrainementpris contre le Strie r.

joint à l'esprit de suite de ses dirigeants ne I.

peut que faire merveille, "'

MM. les artilleurs mettez-vous au travail et _{

nous applaudirons bien sincèrement à vos {T

succès qui nous sont chers.

m

tr

Chez nos Scolaires &

lei L'U. S. I. D. contré PJ

ru. s.c. J.B. g

On se souvient de la fondation à Dunkerque par le jeune collégien Guyet de « l'Union

Sportive Interscolaire Dunkerquolsa » ; cette '

vaillante société, pleine de jeunesse et d'aï- sei

deur comme on l'e-st à cet âge, fit ses premiè- aD

res armes en septembre dernier : elle cre_, il!

pour débuter, un cross country qui obtint un !■'■

grand succès, puis organisa une course cy- ou<

clista sous le pat:onage de « Dunkerque- cal

Sports ». dei

Depuis ce temps l'U. S. semblait sommeil- P 0'

1er mais elle ne dormait que d'un oeil : elle ae

prenait des forces pour, pouvoir se présenter I

dans les meilleuies conditions possibles à la l'oe

plus prochaine rencontre en matière de foot- UB(

bail. L'occasion s'est présentée et c est contre °hi

l'Union Sportive du Collège Jean-Bart que noï nos équipiers doivent se rencontrer jeudi 21

de ce mois. On dit que le team composé par — l'U. S. I. D. est excellent, très en forme et pourrait donner du fil à retordre à la seconde

de l'U. S. C. J. fi. Voici d'ailleurs comment J ¥

est constituée cette équipe : j |,p

Avants : Roche, Barbet, Sorget, Guyet, Van

Belle. g-j|

Demis : Dupont, Devost, Legros, Raymond.

Arrières : André, Favier.

But : Sontag. «

Nous sommes persuadés que le « onze » im- T

posant local, commandé par le., jeune Sorgel, ia D

mènera à bien le tournoi qu'il • se propose de ]eng

disputer et que la victoire couronnera les ef- Min

forts du chef et de ses soldats, tous remplis de „„ r.

bonne volonté. au>

Quant aux collégiens, on peut être sûr des.

ju'ils en mettront,., et un peu. "j.^]

Le petit jeune homme. £tait

;a| DANS LE NORD

Le Match de Béthune

"Possibles" contre "Probables" mt" lis font match nul

Organisé eu vue de l'annuelle rencontre Paris-nord qui aura lieu dimanche prochain à Paris, ce match de sélection s'est joué dimanche dernier à Béthune.

« Possible » et « Probable» disons-le de suite dominèrent tour à tour, et parvinrent à terminer la partie par un match une chaque « team » ayant marqué nn but.

«t. LA PARTIE

iipe La coup d'envoi est donné par les « Probaune blés N qui. immédiatement descendent et vont du jouer dans les buts des « Possibles » — ils n'y sont cependant pas longtemps, carces derniers aïs aidés par le vent, reprennent l'avantage, attaquent aveo fougue et parviennent à dominer me nettement sur leurs adversaires. C'est mèms ur- aux « Passibles » que revient l'honneur de im- marquer lu premier but. Il est impeccablement les rentré par le merveilleux U S M Biite Warot, du notre vaillant concitoyen, qui le shoote un qiurt d'heure après le coup d'envoi sur une passe de Deffrennes (S. R ), — ce qui nous autorise à félioiter 1' « Union Sportive » de Malo-lesBains de posséder de tels hommes. D'autres essais sont tentés mais le vent qui souffle aveo une violence inouïe empêche toute combinai•

combinai• d'aboutir. lo I Ceqandaot les « Probables » attaquent sans

oesse et Eloy de l'O. L. qui y appartient comii_

comii_ avant, va marquer un but « offdde » im:ch

im:ch annulé par l'arbitre. L'effort

re- d'Eloy coûte beaucoup à l'équipe, car en ehoons

ehoons oe beau joueur se blesse assez sérieusement d'aillnurs pour qu'il doive quitter la

ijà « ground ». — Sur ce la mi-iemos est si/flée,

is, Dès la reprise, Maertens (S. R.) prend la

il. place d'Eloy, et c'est maintenant au tour des

tts « Probables » de dominer, car le vent cette

lis fois, s'assooie à leur jeu.

" Sur une passe de l'extréme-gauohe, Gaereei

Gaereei (U. S. T.), Chassaing du Stade roubai;t,

roubai;t, marque un but et égalise.

8t Puis viennent de part et d'autres, de remarii-

remarii- attaques, suivis de quelques « cor3.

cor3. », sans résultat, et la fin du tournoi se

nt "voit siffler sur un " draw " le " score " s'étaBS

s'étaBS par Un à Un.

?■ LES ÉQUIPES

la

Les équipes étaient composées comme mit : Y « Probables » (maillot blanc)

J" But : May. ' Arrières : Degouse - Jonvel (Olympique

lillis). ^ Demis : Raulin, Douchot, Ch. Toulet.

Avants : Bacrot, Gaerewynok, Eloy, ChasB saing, Lesur.

i- "Potibles" (maillot ver;).

l" Avants : Ruminer, Talbot, Warot, Deffrennes, Lozinguez, Collette, Morguen, H. et A. Filez, L. Nisse qui devait figurer dans oes équipes étaient absents. Demis : Kunner, Montagne, Gravelines. Arrières : Mstisse, Renard. But ; Renard. . <. , .

J LA COMPOSITION DE L'ÉQUIPE NORDISTE

A la suite du noa*ch " Possibles " " Probables ", l'équipe Nordiste qui matchera di- manéhe prochain, l'équipe représentative de 1 Paris, a été formée comme suit ;

But , May, O. L- ; Arrières , Degouve, 0. L., Jonvel, 0. L. Demis : Ch. Toulet, S. R.,

• Moigneu, U. S. T., Rau'in, U. S. T , Avants . , 1 A. Filez, U. S, T., Eloy, 0. L., M. Pilez, U. S. \

T., Voyeux, 0. L., Bacrot, O. L., Montagne, , Gaeremynck, Chassing, accompagneront l'é- \ quipe à titre de remplaçant. £

-vw\^ i

q

Petites Epingles \

ON DIT au'un des gentils promoteurs d'une 1

feuille hebdomadaire embryonnaire aurait eu t

dernièrement... quelques ennuis. Le jeune n

sportman, plein de fougue (voilà qui n'est T

guère rassurant pour srs confrères 1) aurait c

dans un moment... d'effervescence menacé ri

une femme avec un revolver... en caiton 1 h

La jolie victime, de ce geste audacieux, prétrndit qu'on ne devait jamais frapper le sex<i

faible... même avec une fleur, et, prenant les t<

choses au tragique, fit tout simplement appe- le

1er notre galant conquérant, en un lieu où la bi

paix est précuée plusieurs lois par jour 1 Ga- s<

geons que pour avoir joué aveo des armes à m

feu... notre futur journaliste a pris un séïîeux d<

...savonnage J R —0—

ON DIT que mercisdi en matinée, un ras- fo

seroblement énorme on*truait la si active et ti< animée rue de l'Eglise I Renseignements pris,

il 8'agis?ait d'une réunion d'admirateurs de ds

la MAJESTIC. Ces pas. ants en voyant arriver ca

chez notre camarade Fernand Plessiat deux re

camions de bicyclettes de la dite marque, lui ar

demandaient simplement comment il |ferait pc

pour mettre en magasin, un aussi grand stock ta de marchandises I

L'ami Fernand avec le sourire s'est mis à à <

l'oeuvre, a démonté les caisses et groupé en si

une jolie exposition intérieures les belles ma- un

chines qui nombreuses ont déjà trouvé de ay

nouveaux propriétaires. sa

Le Moustique. qu 0 bei

LA BOXE sel

de

Le Match Barpentier-Lewis z

Charpentier le jeune prodige Pr<s

JLensois bat son terrible l

adversaire Harry Lie^vis

Le fameux match de boxe qui mettait pour on

la première fois aux prises le jeune prodige (un

lensois, Georces Carpent'er, avec un améri- un

cain réputé invincible a eu lieu mercredi soir nor

au Cirque de Paris. joui

La lutte entre le jeune champion européen puL

les piids moyens et Harry Lewis, qui peut lest

prétendre au titre de champion du monde, qu'c

itait attendue anxieusement par la foule nom- D

Dreuse d'amateurs de sports qui se pressait app

lans l'immense salie de l'avenue de la Motte- uar<

Picquet. Sesi

Bien avant le début du match, il était im- Je

... ---. ^«.t*3-^

possible de pénétrer dans le cirque. Les péripéties de cette lutte ardente ont iU

suivies avec un très vif intérêt. Georges Carpentier au début du match «'es

montré un peu ému, mais faisant rapidemem ,, disparaître son émotion, le prodige Lensoii • se mit ensute à attaquer.

Il montra dès lors une grande supériorité

scientifique sur son rival, et l'on vit que 1< tre match allait mettre en opposition la force d( ain la boxe pratique et de la boxe scientifique, di- Jusqu'à la 9e reprise, Harry Lewis continu*

cependant d'avoir un léger avantage sur soc ite rival, sauf à la première et à la troisième reer- prise. Mais, à lis dixième, Georges Carpentiei [ue porta à son adversaire un coup violent à l'oeil

droit par un crochet du poing gauche et poui

la première fois le sang parut. C'était au français qu'il appartenait de l'asa- voir fait jaillir. f

>nt A partir de ce moment, il fut évident que l'y Harry Lewis était battu ; mais, cependant, à >rs la 14e reprise, il se ressaisit et parvint, pen ta- dant un instant, à dominer à nouveau son ier rival.

ns Les trois dernières reprises furent profonde dément émouvantes, surtout la dernière, la nt vingtième, où l'on sentit qu'Harry Lewis, se 3t> jugeant battu, jouait le tout pour le tout et irt s'efforçait de mettre son adversaire knockse out.

se II n'y parvint point et, à l'unanimité, le jury ss- adjugea la victoire au jeune Carpentier. es Cotte splendide victoire de notre compaeo triote, déjà célèbre malgré son jeune âge, a i- été saluée p?r une ovation enthousiaste qui

s'er<t prolongée pendant plusieurs minutes. îs Carpentier a été ensuite porté en triomphe

1- par la salle.

2- ==|^^^^^— rt

°- Championnat du Hord

la ] Samedi soir 16 courant, à 8 h. 30 du soir, Bt aura lieu le championnat du Nord de boxe de combat, organisé parle Sportiog-Club deLitle !S II y aura au programme huit comb ts, dont

e six dans la première pa?.t;e compteront pour les éliminatoires, et deux dans la deuxième ,. partie qui compteront pour les demi-finales. i„ Voici le programme définitif de cette intéressante soirée ;

1er oombat : Desmacker, de Fives contre Denève de Lille. fl 2e combat : MarcydeRoubaix contre deRyau i_ de Fives.

3e combat : Dralan, de Lille cuntre Roussel de Lille. 4e combat : Joë Jeanout, de Denain contre . Le"ère, de Fives,

' Se combat : Degand, de Denain contre Del) nieppe, de Fives.

6* combat ; Arthur, de Denain contre Labre B de Valonciennes.

Deuxième partie (demi-finales), 7* combat : Baelen, de Douai, 39 k, 603 contre Houplines ■ Louis, de Tourceing, 59 k. 3CD.

8a com&al : Adolphe de la Madeleine, 60 k. 200, contre Msnsuet, 61 k. 200.

Le-, amateurs de combats de boxe pourront se régaler, avec un progiamme toujours de plus en plus intéres. ant.

Au surplus le championnat étant organisé par une société dont lei membres sont «àsentiellement sportifs, le 1 spectateurs peuvent être convaincus de l'intérêt que présentera cette ma >ife8tation pugilistique.

Les combats commenceront â 8 h. 30 précises, dans la salie de la Société industrielle, 116, rue de l'Hôpital Militaire, à Lille.

Au Théâtre Municipal

Nous avons pu assister jeudi dernier à une mi?nifique leprésentition de Roméo et Juliette malheureusement la salle n'était pas aussi bien remplie qu'il l'aurait fallu ; à quoi faut il attribuer cette indifférence pour ce grand »rt ? On se le demande 1 Le public semble préférer les grivoiseries les vaudevilles ou la plaisanterie, quelque fois spirituelle, il est vrai, des opérette*, à la musiqu« savante des grandes oeuvres, c'est un fait qu'il est regrettable de constater, mais les preuves sont là. Rendez-vous au théâtre un jour de vaudeville à gros sel et aux scènes plus que risquées, et vous serez surprie de ' l'affluence que vous y trouverez ; allez-y par ' contro un jour de grand opéra et vous déplorerez les nombreuses plrces vides qui déparent ' la salle. '

Revenons donc à Roméo et Juliette. L'interprétation, nous l'avons dit, fut parfaite, Mlle Louise Albane, te perfectionne tous . les jours. On n'aurait vraiment pas dit une dé- J butante car elle sutfaire apprécier de nombreuses qualités tant comme comédienne que comme musicienne. Citons comme ayant soulevé des applaudissementsles différents duos avec f Roméo : M. Engelibert en l'occurence. 1

Le superbe et élégant Roméo fit encore une n fois merveille et accueillit de nombreuses ova- d tions au cour» de la soirée. 1'

M. Méric (M-tfcutio) se fit remarquer surtout b dans sa ballade ; M. Bernard, toujours impec- ti cabls, composa à souhait le rôle de Frère Lau- si rent : nous devons une mention spéciale à cet e artiste pour le coup de main si heureux qu'il n possède dans l'art du "grimage " : il est " épa- U tant drîis tous ses personnages. le

Il nous reste encore M. Bouchère qui a droit à de sincères félicîtationspour l'interprétation L si remarquable qu'il fit du rôle Capulet ; c'est M une des meilleures seconde basse que nous m ayons eu jusqu'ici ; ses rôles sont toujours sus, th sa votx fort agréable et bien timbrée ne man- pi que pas de justesse, et son jeu très naturel p'ait G< beaucoup. Ci

M. Bouffil (Tybalt) se tint à la hauteur de ses partenaires, et Mlle Sesma, notre dugaz^n n< de plus en plus goûtée, tint à ravir le rôle tra- Ci vesti du page Stéfano. Elle détailla très genti- ta: ment sa chanson " Gardez bien la belle ". Un Oj admirateur inconnu lui fit, au cours de la re- on présentation un bien joli cadeau. pa

Dimanche dernier, trois pièces tenaientl'af. La fiche : La fille des Chiffonnier, où se sont dis- mt tingués principalement, Mme M^urière, dont qu on connaît la valeur inattaquaole, M. Pichon, (une mère Moscou innénarrable qui lui valut jos un succès fou), MM. Leonardi, Bouchère, déjà qu nommé, Armance, MMmes Suzanne Eldé, tou- ta ours gracieuse et aimable, Picot et Robert, l'h juis "Piêtemoi ta femme ", un vaudeville noi estement enlevé et enfin le bel opéra comique obi (u'ost Mireille. ret

Dans ce dernier ouvrage encore on eut à " ! pplaudir sans réserves MM. Engélibert, Ber- dei tard, Méric et Bouchère, puis M m es Albane, vr« iesma, Darmyl et Robert. Eli

Jeudi prochain, on nous annonce deux créa- (,

' tions : Les Armaillis, de Doret et La légende it été du point d'Argentan, de Foudrain.

Eugène HESSE.

s'est

ment *

ZM Fêtes & Concerts

ce de " Voici 1,hiver et son tri8t« cortège », dit la

°° chanson. Cela est bien vrai dès qu'il s'agit de

timiA la temPeratur8i des maladies et de tous les

son autres maux qu* cette saison nous apporte,

mais l'hiver a aussi son charme pour las gant

ntier l)^en P0,tants, pas frileux et avant au moins

Tvjjl leur nécessaire. C'est la saison des fêtes et des

1 concerts, des banquets, de la Foire et du CarP°ur

CarP°ur

., Vendredi passé, c'était LA JEUNE FRANCE

T qui offrait son concert de Ste-Cécile, dans la

salle du même nom, aux familles des sociét(lnl

sociét(lnl

n«n Le Pr°gramn>eitrès abondant ne groupait 1 on <*"e ^es art'ste 8 dQ tout premier choix : Mme son jobard, aes Concerts Colonne, qui nous , donna l'air de « Louise », 1' « Arietfe» de Vi'

Vi' " val » et le « Rêve d'Eisa », de L0b.en.7rin ; elle j* interpréta avec M. Chambon, basse de l'Opéra, ^', " le « Duo d'Ascanio » ; ce dernier artiste que *" r1 l'on avait déjà eu le plaisir d'entendre au local 0CK* de la Jeune France, chanta avec beaucoup de fentiment « le Cor », les « Trois Hussards » Jurv et « les Vêpres Siciliennes ». M. Bouillard, professeur de flûte au Conservatoire de Lille, QPa* membre d'honneur de la Jeune France, presïei a que un concitoyen, exécuta avec une remarj 1U 1 quab'.e virtuosité plusieurs oeuvres de Bach * , ou de Widor.

lPùe M. Linval, des Nouveautés, obtint un très vif succès dans ses chansons... pas trop rosses ; c'est un diseur aimable, élégant et fin. Puis M. Dalhaye fit applaudir son extrême dextérité sur le vlolonceile ; il donna « les l0;r chants russes », la Mazurka de Popperetle e de* caractéristique « Caprice hongrois » de Dun,iile

Dun,iile

kleriont interpréta admirablement plu)our sieurs morceaux de factures diverses et la àme choiale exécuta, nous dirons presque impeeleSi cable ruent : la « Voix humaine » de Maréchal, aie'. choeur qui fut exécuté au concours de Beauvaia

Beauvaia l'auteur lui-même, le choeur des ltre « Pèlerins » de Tannhauser et enfin «1 Hymne

à la Nuit » rendue avec une exquise douceur, yau un simple murmure, ce qui fit la beauté de

cette oeuvre mignonne. Jsel Tout ceci rend honneur au digne chef Bug.

Théry, qui mérite bien d'être quelquefois i la itre victoire, fui qui est si souvent à la peine. Le

piano d'accompagnement était tenu par un )ôi. modeste entre les modestes, nous avons nommé M. Emile Bollaert, professeur distingué et Dre accompagnateur impeccable.

Le samedi suivant c'était le tour du concert it. des typographes donné d ns la salle de l'Aaes" venir.

Il y avait foule énorme pour applaudir les l jc< nombreux artistes en majorité pensionnaires

de notre théâtre qui prêtaient leur concours. mi Mesdames Albane, Sesma, Picot, Maurière; (j0 Messieurs Engélibert, Bernard, Armance et

Ptcot, tous y mirent du leur et remplirent à la isé Plus érande satisfaction du public, toutes les m. parties du programme. tre ht joyeux Cocge, l'infatigable et dévoué Ue Cogge, 7 nt des siennes et amusa follement

son auditoire. ci. L'orchestre fut parfait et le bal qui suivit, le des plus mouvementés, dura bien tard dans ' la nuit. Le piano d'accompagnement était tenu par Mme Dalorme.

Nous avons encore en vue maintenant le concert du Club Musical et celui des Employés ■ de la Mairie. Nous en donnerons les compteQe rendu après leur exécution. .. En attendant, citoyens noctambules, allez

m vous divertir les yeux et les oreilles au Cinéma .j Palace ou à l'Eden Concert, vous y entendrez la de joyeuses gaudrioles ou des romances senet timentales, vous y verrez des danses fantaie sis'es ou des nouveautés sensationnelles. ^ Ne manquez pas non plus de rendre visite 8 chaque semaine au cinéma Omnia Pathé, la r' plus chic cinéma de la région où défileront ^' devant vos yeux extasiés des films de toute ^ beauté, vues scientifiques, dramatiques, orilJ ginales ou comiques. Vous y passerez uns lf soirée fort intéressante. r

)m Tout cela promet et l'on ne dira plus qui "t notre vieille cité dunkerquoiso mérite d'être réputée oomme « Ville Morte ».

Eugène HESSE.

i- —~-~~-~~

! Le Banquet de la

Brasserie Moderne

é Dimanche dernier la Brasserie Moderne ofs

ofs à ses actionnaires A l'occasion du Dix

millième hecto de production fourni dans l'ans

l'ans un Grand Banquet dans les vastes salons

de l'Hôtel du Chapeau Rouge, à 2 heures de

l'après-midi, 175 convives étaient réunis, tous

t bons vivants, beaux buveurs de bière ef ainà-

ainà- d'un franc coup de fourchette. Il serait

■ superflu dedirerçue la gaité régna en maitrssse

i et dès le début du diner même, entre chaque

1 morceau d'orchestre, que dirigeait aveo son

talent habituel la virtuose Louis Dondeyne,

les refrains populaires allaient leur train.

A la table d'honneur se trouvaient MM. Liéthoudt, qui présidait en remplacement de M. Arthur Delpierre, hors de nos murs pourle moment, à coté de lui, M. Carlier, le sympathique Directeur, de la Brasserie Moderne avait pris place, ainsi que MM. Lafoutry, Bled, Géeraert, Bart, Decuyoer, Pollaert, Vanhosten Carlier fils, Lefranc, Martel, etc.

Au dessert, plusieurs discours furent prononcés au cours detquelson félicita M. Joseph Carlier du dévouementsaas bornes qu'il apportait sans cesse dans la Gérance de la Brasserie On but à la prospérité de cette Coopérative, on eut un souvenir ému pour un directeur disparu, M. Olivier et l'on se mit aux chansons. La série commença par M. Joseph Carlier lui même qui entonna "Le Cabaret de la Futaille" que tou^ les assistants reprirent en choeur.

M. Lefebvre, président du Cyclo-Club Majastio, détailla quelques chansonnettes, ainsi que MM. Verhaeghe et Hullein, M. Follet chabta la Romance de Mignon, M. Schodet fit vibrer l'hymme à Jean-Birt et enfin M. Clément Elleboode trop connu pour qu'où aità le présenter, obtint un gros succès de plus dans le " Cabaret des amoureux ", le " Beau Rêva ", la " Manola " et enfin " La Charité " Après oe dernier chint, une quête fut faite pour les pauvre de Dunkerque et de Coudekerque-Branche Elle rapporta 50 francs. Ça fut une journée bien joyeusement rempli»


tout le monde s'en alla très satisfait et il faut féliciter grandement les organisateurs de cette fête de famille d'avoir obtenu un si beau résultat.

Eugène HESSE.

■» —

Cartes de Visite

15-i7,RueDavid-d'Angers, Dunkerque

— -r-*"- ■— "

Au Club Musical

Le « Club Musical » dont la dernière représentation est encore à là mémoire de tou?, donne cette semaine à i'occaston de la SteCéeile, un grand concert auquel participeront ■ Mademoiselle J. Sesma première Dugazon du théâtre munieipal de Dunkerqu'? ; M. C. Elleboode. ténor ; E, Pomar, chanteur comique ; , F. Tourneur, violoniste, et Jes Sentions symphonique et dramatique du « Club Musical ». -. Voici le programme de cete intéressante soi- ^

réé *

PREMIÈRE PARTIE : i- Valparaiso, mar- f che orchestre ; 2" Sigurd, chanté par M. C.

Eileboude ; 3" Sirénade par M. Tourneur ; 4' 2

La Dentellière du Roi, par Mlle J. Sesma ; 5- i

Scrrentina et l'Amoureuse sérénade par l'or- "

DEUXIÈME PARTIE : 1- Joyeux Montmar- p

tre, marche orchesfce ; 2 Les Dragons de 'i,

Villars, par Mlle J. Sesma: 3' Le Cygne et ^

Werther, par M. Vincke: 41 HVanna, C.Elle- j boode ; 5' M. E. Pomar, dans son Jépertoire.

ut La jolie comédie dramatique «Les Gardiens

te de Phare » de M. P. Autier et P. Claquercin.

1- clôturera le programme. — Elle sera interprêtée par M. P. LegrandetM.A.Vandevflde, membres de C. M.

Comme on le voit, cette représentation ?eia magnifique et il n'eet pas douteux qu'elle ne réunisse dans la coquettesalleduCaie Georges

Jl cù elle Bera produite, un monde considérable.

* Ce sera la meilleure preuve desympathie qu'il pourra apponer aux actifs et dévoués o.'gsnie

o.'gsnie et i l'inlassable président notre ara M, Landroa.

• .*.

Chemin de fer du Nord

• Billets d'aller et retour pour CannetjNice , Menton et Monaco-Monte-Carlo ' Pendant la période du 19 au 31 Décembre 1911, à, l'occasion des Fêtes de Noël et du Jour de l'An, la Compagnie du Chemin de fer du Nord mettra en distribution dans toutes ses gares des billets d'aller etretour de Ire et 2e classes pour Cannes, Nice, Menton, Monaco-Monte-Carlo, à des prix réduits de 25 pour cent en ire classe et de 20 pour cent en 2e classe sur les prix des billets simples.

La durée de validité de ces billets est de 22 jours; elle pourra être prolongée de deux périodes de 10 jours moyennant le paiement d'un supplément de 10 pour cent pour chacune de ces périodes.

Les voyageurs pourront s'arrêter tant à l'aller qu'au retour sur le réseau de Lyon, à deux gares de leur choix, à la condition de faire viser leurs billets dès l'arrivée à ces gares d'arrêt.

QS Les voyageurs porteurs de billets de Ire

n. classe pourront prendre place dans letrain

r- rapide journalier partant de Paris (Nord)

e, à 7 h. 32 du soir.

Ils pourront également occuper des plaa

plaa de luxe s'il s'en trouve de disponibles

ie dans le train moyennant le supplément

is perçu des voyageurs porteurs de billets à

B. plein tarif.

il Les demandes de billets devront êtee

i- adressées à la gare de départ au moins 48

i heures d'avance.

— -*-

3e ANNEE EDITION 1912

. AVIATION - AGHflM

Comprenant, en outre de la partie AGENDA

qui contient, en même temps que suffisamt

suffisamt de place pour les notes, les adresses ini

ini pour les personnes s'intéressant à

s l'aviation,

r l e Formulaire de l'aviateur

i

t Rédigé sous la direction de R. DESMONS, In5 génieur-ronsoil, taorétaire de la Société Frani çàjse de Navigation Aérienne, chef du tracé de la carte aéronautique de France, directeur de - « L'Aéron?ute », et qui est un « compendium» * complet de toutes les formules et renseignei ments dont peuvent avoir besoin, soit les consi tructeurs d'appareils aérien! 1, «oit les ingénieurs aéronautes, soit les inventeurs.

Ç'tte partie tpnue soigneusement au courant dftB damiers résultats expérimentaux et des derniers travaux aérotechniques, est rédigé par un groupe d'ingénieurs spécialistes et de savant» »éro Hchnici^n 0.

Ire La TABLE DES CHAPITRES contenus dans

ain le Formu)aire s'établit comme suit pour l'édird) lion 19H : Formules générales, Mathématiques (arithmétique et algèbre, tùgonométrie, géoila- métrie, analytique, mécanique). Gr?phostatiles que, Résistance dr-s matériaux, Ressorti, Aémt rodynarnique, Moteurs à explosion, Transmis3 à sions, Hélices, Aviation, Toile à balloo, Législation aédenne, Brevets, Champs d'atterrisfce sage.

48 300 pages de formulaire, 100 pages d'agenda 9 x 18 cm. ; broché, 2 fr. 25 ; relié, peau souple, 3 fr. 25. Aux Bureaux de u Aviation-Agenda », 127 '!2 boulevard Saint-Michel, Paris.

A l'Imprimerie Levé, 17, rue Cassette.Paris

)A

a- Découpez cette annoncé

n' et envoyez-la avec votre adresse à

ta

a lé ]Koi; aéFOQautîiqaè ''

Revue mensuelle illustrée de tout ce qui est

n- pensé

n- dit

le écrit

ie fait

à propos de locomotion aérienne

ie- Directeur, R. DESMONS, ingénieur conseil,

s- ancien secrétaire de la Société Française de

é- navigation aérienne.

Abonnements : France, 2 fr. ; Etranger, 3 fr, Qt Administration : 17, rue Cadette, Paris, VI* 98 et vous recevrez gratuitement cette revue

[^ pendant deux mois a titre

'e d'abonnement dJessai

lmp. DEBAEKE, rue David-d'Angers, 15-1 Le Gérant : E. LIENARD