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Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir

Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)

Date d'édition : 1900-07-21

Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 126844

Description : 21 juillet 1900

Description : 1900/07/21 (Numéro 8667).

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k560040t

Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 02/04/2008

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Dernière Edition

Andrée vint encore ? La question se pose aujourd'hui avec d'autant plus d'angoisse que nous hommes arrivés à l'époque fixée par Andrée lui-même comme l'extrême limite du temps pendant lequel on pourrait être sans nouvelles de lui. C'est le ii juillet que commença l'expédition aéronautique qu'il tentait vers le avec deux compagnons, Suédois comme lui, Strindberg et Prasnkel. Ce jour-là, le ballon FAigle s'éleva dans les airs, sur la côte nord de l'île des Danois, située dans le prolongement du Spitzberg. Un illustre savant français, M. Faye, à qui Andrée avait soumis son projet, avait émis l'opinion que les trois aéronautes pourraient peutêtre atteindre les régions polaires, mais que rien ne permettait de croire qu'ils pourraient en rdvenir; alors, Andrée, résolu, S'était écrié

Je demande trois ans si, dans trois ans, vers les derniers jours de juillet, nous ne sommes pas revenus ou si nous n'avons pas été signalés, alors seulement on pourra nous considérer comme perdus 1

Les trois ans sont écoulés, on est dans les derniers jours de juillet, et le monde civilisé, qui s'était intéressé à cette audacieuse entreprise, non seulement en raison des mystères scientifiques qu'elle devait résoudre, mais surtout ù cause du caractère héroïque qu'aflectait, en la personne de ces trois navigateurs des airs, le combat de la Yolonté humaine contre l'inconnu, le monde civilisé se demande anxieusement Audrée et ses compagnons vivent-ils encore

Il y a trois jours, on annonçait qu'une bouée en liège portant cette inscription « Expédition Andrée n° 3 » avait été trouvée en mer le 7 juillet, près de Lopstœdrn, à 63°42 de latitude nord et 20°43 de longitude ouest. Peu de temps auparavant, un télégramme de Tromsoë disait qu' « Andrée était sain et sauP n. Hélas comme beaucoup d'autres nouvelles sensationnelles, cette dernière fut reconnue fausse. Mais l'espoir est tenace, et par une sorte de piété touchante on croit mettre obstacle au malheur en le niant. On veut donc espérer qu'Andrée et ses compagnons n'ont point péri dans leur aventure follement grandiose. Le gouvernement suédois vient d'informer les autorités norvégiennes qu'un crédit spécial permettait d'attribuer des récompenses à toutes les personnes qui recueilleraient un objet quelconque provenant de l'expédition. Un grand nombre de bâtiments partent, chaque année, des ports de Norvègé pour la mer Glaciale. L'appât d'un gain, même modeste, incitera naturellement les marins L observer avec soin, à inspecter minutieusement les îles où ils aborderont.

Qu'en retrouvera-t-on, de l'aérostat qui emporta Andrée et ses compagnons? Il ne cubait pas moins de 5,000 mètres. La nacelle à elle seule pesait kilos. Haute de deux mètres, elle était partagée dans le sens vertical en deux compartiments en bas une petite cabine où avait été installé un réchaud il alcool pour la préparation des aliments, au-dessus une plateforme d'observation. L'expédition emportait un petit traîneau, trois mois de vivres réduits au minimum de volume et de poids, et les objets les plus indispensables à la vie; en outre, le matériel scientifique nécessaire aux observations météorologiques et à la détermination, de la route. Nacelle,approvisionnements et aéronautes pesaient ensemble kilos. Il était possible d'emporter 935 kilos de lest. D'après les calculs d'Andrée, le ballon devait pouvoir rester trente-quatre jours en l'air, tout en conservant la plus grande partie de ses approvilionnements.

LAchez tout 1

Quand ce cri solennel fut poussé par Andrée, il était trois heures et demie de l'après-midi. Le ballon s'éleva aussitôt à trois cents mètres, filant au nord-ouest, par-dessus le détroit des Danois. Tout à coup, à leur grande épouvante, les assistants le virent descendre rapidement sur la mer; il tombait la nacelle rasait la surface du flot. Mais, au même instant, l'Aigle délesté rebondit en l'air, monta à une hauteur de deux cent cinquante mètres et disparut à l'horizon.

Quatre jours après, le 15 juillet, un na-

M» 45. Feuilleton du Pkttt PdRISIfiN. Main Gauche GRAND ROMAN INÉDIT

DBITXIÈMK PAMIK

ZEJTTTE

VII (suite)

Ëîlô montrait la porte.

Aux joues de Solange de Boiront, que le tang venait d'envahir, une lividité reparaissait.

Une parole ne monta plus à ses lèvres de glace, à sa pauvre bouche figée.

Impo,ante dans sa gracilité, la traîne de sa robe de deuil frôlant le tapis, les bras Rendants et la tête haute, sa mignonne tète que fatiguait le voile de crêpe, elle s'en alla vers ce seuil qu'elle allait passer pour toujours. Un homme encore ie barra l'ami dont elle sentait le dévouement, entre la mère inerte, sans doute hostile comme la fille, et le père qui peut-être en blâmant sa violence, compreoait celle-ci.

Gaston dit, ému et résolu

Mademoiselle, ne partez pas. pardonaes ma so;ur, c'est moi qui vous en supplie.

Je ne lui en veux pas, fit d'une voix faible comme un souffle, mademoiselle de Boffront.

Ce qui arrive est terrible par la violence avec laquelle le coup nous frappe, nous. Nous pouvons mesurer celle avec laquelle il atteint une épouse.

Oui, c'est affreux. Hais elle a raison, ma place u eut pas ici. Adieo

vire, l'Alken, croisant dans le voisinage du Spilzberg, rencontra un pigeon-voyageur qui vint se poser sur ses vergues. L oiseau fut abattu d'un coup dé^ fusil. On trouva dans un petit tube, solidement attaché sous son aile, une dépêche ainsi conçue Expédition polaire Andrée au journal Aflonbladet, k Stockholm. 13 juillet, midi 30. Latitude nord longitude est de Greenwich 1505'. Bonne route veh l'est. 10e degré sud. Tout va bien il bord. C'est le troisième pigeon expédié. Andrée. » Cette dépêche excita les plus vives appréhensions. On avait pensé que l'Aigte qui, à son départ, filait à raison de 44 kilomètres à l'heure, arriverait, animé de cette vitesse, et toujours poussé dans la même direction, en 25 heures environ au Pôle. Et qu'apprenait la dépêche? Que 45 heures après le départ, le ballon se trouvait seulement à 225 kilomètres du Spitzberg, soit seulement au cinquième de la distance à parcourir, et qu'il allait non plus vers le nord, mais vers l'est.

L'écriture de la dépêche était bien d'Andrée, et le messager portait sur les ailes les marques distinctives qu'on avait imprimées à tous les pigeons que l'Aigle avait en sa nacelle, c'est-à-dire sur les ailes et la queue le nom « Andrée et cette adresse « « Aftonbladet, Stockholm ». Qu'étaient devenus les deux autres oiseaux lâchés par les aéronautes? On n'en eut pas de nouvelles. Avaient-ils péri de froid ? ou, transportés dans un milieu qui leur était complètement étranger, avaient-ils perdu leur merveilleuse faculté d'orientation ? ou encore, ne trouvant rien à manger en ces vastes déserts glacés, étaient-ils morts de faim ?

Andrée, d'ailleurs, avait prévu l'impossibilité dans laquelle se trouveraient les pigeons de franchir les 3,500 kilomètres qui séparent les régions voisines du Pôle du pnmt de la Suède où se trouvait leur colombier d'origine. C'est pourquoi il avait imaginé «la bouée flottante ». Cetappareil consistait en sphères de liège en forme de toupies, protégées d'un filet à mailles de cuivre et mumes d'un tube destiné à recevoir les dépêches. Douze bouées pareilles étaient emportées. Une treizième, plus grosse que les autres, devait être jetée au point de la route le plus proche du Pôle atteint par le ballon.

Avant celle qui vient d'être trouvée près de Lopstœdm, et qui ne contenait rien, on avait recueilli une autre bouée en septembre dernier, près de la Terre du Roi-Charles. Elle était vide aussi. Doit-en tirer de cette constatation la déduction tragique que ces bouées sont les épaves du ballon désemparé, crevé, ayant semé au hasard des vents et des flots son matériel et ses aéronautes engloutis à jamais sous les glaces?

Ou n'a trouvé des nouvelles des voyageurs qu'en une seule des boules flottantes destinées à marquer le parcours de l'aérostat.

Repêchée au mois de juin 1899, près de Kolafjord, en Islande, à 65°34' de latitude nord et à de longitude ouest, elle contenait un billet ainsi conçu Cette bouée a été jetée du ballon Andrée, le Il juillet 1897, à 10 heures 55 du soir, temps moyen de Greenwish, sous 82° de latitude nord et 25° de longitude ouest, à une hauteur de 600 mètres, tout allant bien à bord ». Elle avait donc flotté pendant près de deux ans. L'intérêt de la dépêche qu'elle contenait se trouvait diminué par ce fait qu'elle donnait des nouvelles antérieures de trente-sept heures à celles qu'avait apportées, quatre jours après le départ de l'Ai?le, le pigeon-voyageur tué sur le navire l'Alken.

Et, depuis, plus rien un pigeon-voyageur, une bouée portant le premier message, deux bouées vides, c'est tout ce qu'on a eu en trois ans des trois explorateurs 1 Toutes les recherches faites pour retrouver leurs traces sont restées vailles. Et les inquiétudes, dès le premier jour, avaient été grandes, à la suite d'un article publié par le docteur Eckolm, qui avait dû faire partie de l'expédition. Le docteur Eckolm avait remarqué qu'une partie des câbles sur lesquels Andrée comptait pour diriger son aérostat dans une certaine mesure à l'aide d'une voile s'était détachée au moment du j départ, sous une secousse violente d'autre part, il déclarait que le ballon ne pourrait se maintenir dans les airs plus de neuf à dix On espérait qu'il atteindrait la Terre de

Elle s'appuya au mur.

Elle chancelait.

Vous allez vous trouver mal. restez. Vous partirez tout à l'heure.

Odette aussi allait se trouver mal, et sa mère, son père l'entraînaient en la soutenant. Tous trois disparurent par la porte du boudoir.

Solange, prise de vertige, se laissait recon- duire à un fauteuil.

Elle s'y affaissa, ayant eu la force de tirer de sa poche un flacon de sels, qu'elle respira longuement.

Et Gaston, à côté d'elle, sur une chaise, lui parlait doucement.

Vous avez en nous des amis, croyez-le. en moi, un ami dévoué. Quant à lui. à ce malheureux, ma soeur porte son nom. nous ferons tout, dût-il y avoir entre eux, comme elle le dit, une séparation complète, pour le sortir de cette passe où une incroyable fatalité l'a jeté.

Remettez- vous, ayez confiance. soyez forte.

» Odette reviendra rapidement, j'en suis sûr, à son énergie habituelle. On n échappe point, en une telle occurrence à la première impression d'affolement. puis on se ressai- sit, on est d'autant plus fort, qu'on a plus sa- crifié à cette faiblesse si naturelle.

Nous savons tous que le comte de Terrique n'est pas, ne peut pas être un assassin. » Nous le sauverons. »

Elle se redressa sur son siège, tendit sa main fine, gantée de noir, au jeune homme. Merci, vous êtes bon. je l'accepte, votre amitié, j'en mi besoin, je suis seule. si seule, mon Dieu

Gaston serra un peu les doigts menus, une pression affectionnée.

Oui, bien abandonnée dan» la vie. A

François-Joseph, où un dépôt de vivres avait été établi par l'explorateur Jackson, celui-là même qui donna l'hospitalité àNansen mais l'explorateur Jackson et, après lui, l'explorateur Welmann, revenus de leurs expéditions au Pôle, ont dit que les provisions laissées à l'intention d'Andrée et de ses compagnons pour l'hivernage étaient encore intactes.

Il y a donc à redouter que l'Aigle ait péri dans les flots ou que, tombé au milieu des glaciers flottants du sud-est du Spitzberg, il n'ait pu attendre ni même espérer des secours.

Toutefois, l'explorateur Nordenskiold, consulté, pense que des investigations sont nécessaires sur la Terre du Roi-Charles, dans les parages de laquelle une bouée a été trouvée. Il se peut que l'Aigle ait atterri là, qu'Andrée et ses compagnons y soient vivants encore, chassant l'ours, le phoque, le morse pour subsister.N'est-on pas resté trois ans sans avoir de nouvelles de Nansen, son navire ayant été bloqué par les glaces en septembre pour n'être rendu à la liberté qu'en juin De son côté, M. Payer, qui fit partie de l'expédition du Teghetoff, croit que les trois aéronautes ont très bien pu aborder sur un point de la Terre de François-Joseph éloigné de celui où on leur avait laissé des vivres, ce qui explique qu'ils n'aient rencontré ni Jackson ni Welmann. On veut ainsi, comme je le disais, espérer contre toute espérance. Mais, malgré soi, on entend encore le cri jeté par M. Faye, quand Andrée lui faisait part de son projet « C'est un suicide Et le savant ajoutait « On se demande si l'avantage de connaître ce qui se passe dans ces déserts où tant d'explorateurs sont restés depuis l'expédition d'Hudson en 1607, dans ces régions de glaces infranchissables, vaut que 1 on risque la vie d'hommes généreux qui pourraient rendre tant de services à la science en poursuivant de moins périlleux problèmes 1 à

JEAN FROLLO

ISFOR1ATIONS_POLITIQ1S Consefl des Ministres

Les ministres se réuniront aujourd'hui samedi à l'Elysée, sous la présidence de M. Loubet. Le Ministre de l'Intérieur de Russie Le président du Conseil, qui avait chargé le préfet de la Savoie de saluer, au nom du gouvernement, le ministre de l'Intérieur de Russie à son arrivée à Aix-les-13ains, a reçu de celui-ci le télégramme suivant:

AU-les-B«lns, 19 juillet.

Je prie Votre Excellence d'agréer mes remerciements empressés pour toutes les attentions dont on me comble dès mon arrivée en France. Le ministre de l'Intérieur de Russie,

Sipiaguine.

M. Waldeck-Rousseau a répondu en ces termes: Très heureux de savoir Votre Excellence satisfaite de son voyage en France, je la prie d'agréer tous mes remerciements pour l'aimabie dépêche qu'elle a bien voulu m'adresser.

Waldeck-Rodsseao.

Les Officiers de Pompiers Comme le Petit Parisien l'a déjà fait prévoir à ees lecteurs, t'accord ne paraît pas devoir s'établir facilement entre le conseil municipal de Paris et le ministère de la Guerre au sujet des réformes à introduire dans l'organisation du régiment des sapeurs-pompiers.

La Ville, qui fait des sacrifices considérables pour l'enseignement technique des jeunes lieutenants admis dAns ce corps, se plaint avec raison de les voir déplacés et réintégrés dans des régiments d'infanterie aussitôt qu'ils sont promus capitaines.

L'autorité militaire, légitimement préoccupée de maintenir et de développer chez ces ofliciers l'entratnement du service de troupe, refuse de les immobiliser indéfiniment dana le service d'incendie.

Les palliatifs proposés pour concilier ces intérêts contraires ont rencontré à l'état-major de l'armée, où la question vient d'être étudiée à fond. des objections sérieuses et difficilement réductibles.

L'une des réformes projetées consisterait à réserver exclusivement aux officiers ayant déjà servi dans les pompiers tous les emplois de capitaines et d'officiers supérieurs qui y deviennent vacants. On objecte qu il ne serait pas sans inconvénient! au point de vue de la discipline, de créer ainsi un droit absolu aux anciens lieutenants de pompiers et de ne laisser au ministre de la Guerre aucune latitude pour la désigna- tion d'un personnel placé sous ses ordres. Un conseiller municipal. Deville, a proposé la création d'un cadre complémentaire de capi- taines à effectif variable destine à recevoir tes lieutenanls promus en attendant qu'on puisse leur attribuer le commandement d'une rompagnie et afin qu'ils ne quittent pas les pomPour ne pas surcharger les cadres du régiment, reconnus suffisants, on laisserait vacants autant d'emplois de lieutenants que le cattre eomftle-'mentaire compterait de capitaines. Mais l'état-

demoiselle, je tiens à vous le dire encore une ment le respect absolus. Je suis, je le répète, un amit et si je né 2?aire pas, puisque les circonstances seraient pour vous pénibles, que vous les mettiez à contribution, je les tiens, amitié et dévouement, dans la plus large acception du mot, à votre disposition. La jeune fille dit encore

Merci.

Elle porta de nouveau à ses narines les sels anglais.

Le sang remonta à ses lèvres, le demi-cercle livide s'effaça sous ses yeux. J'ai entendu tout à l'heure, dit-elle, un nom que votre sœur a répété. prononcé d'abord par l'agent de la sûreté, celui de Vandenesse.

Oui. le juge d'instruction.

Est-ce qu'elle le connaissait, ce nom. Odette

Je n'en sais rien. Je ne crois pas. Mademoiselle de Boffront se remit debout. Elle répéta

Adieu.

Non, fit Gaston, au revoir.

Je ne crois pas revenir ici.

Dites alors où vous habitez. au cas où j'aurais besoin de voua parler, à sort sujet, que je sache où vous trouver. Nous aurons besoin de nous voir.

Certes. nous aurons besoin de nous voir. Le couvent où je suis descendue est situé 25, rue Oudinot.

Et l'on peut vous y rencontrer?

Certes. les dames pensionnaires reçoivent leurs parents ou amis au parloir. C'est bien, donnez- moi det neures où jP sois sur de vous trouve»; ♦" De oaxe heUre» à midi, et *A »ix sept

major fait observer que les oapitaines en exc<Vdeut ne feront pas le service des lieutenants en déficit. En effet, les règlements militaires s'opposent à ce qu'un cftlcier remplisse un emploi du grade inférieur.

Par suite, la valeur globale du corps d'officiers serait diminuée plutôt qu'augmentée.

Enttn,les lieutenants qui ne quitteraient pas le corps au moment de leur promotion pourraient être nommés pins tard chefs de bataillon dans un régiment d infanterie sans avoir jamais servi comme capitaines dans un autre corps que celui des sapeurs-pompiers. Ils auraient perdu, dans ce corps spécial, toute expérience du maniement des troupes de ligne, et se trouveraient comptètement dépaysés sur le terrain de manoeuvre. En résumé, l'état-major do l'artnée a émis l'avis formel qu'il est impossible de donner suite au vœu du conseil municipal, à moins de consentir à une réorganisation complète du régiment des sapeurs-pompiers. L'avancement sur place ne pourrait être admis que dans un corps fermé qui ne ferait plus partie intégrante de l'artnee active, et ne dépendrait, au moins en temps de paix, que de l'administration civile. On voit que, même dans les milieux les plus militaires, l'idée de la « dénulitarisation » des pompiers est dans l'air.

LES MNEHEKTS DE CHINE La communication imprévue faite par le ministre de Chine à Paris ne peut qu'augmenter nos alarmes au sujet des Européens qui se trouvaient à Pékin.

On ne s'explique pas, en effet, qu'une demande de médiation adressée au Président de la République par l'empereur de Chine puisse avoir eu un autre intermédiaire que M. Pichon, s'il est encore en vie.

La réponse de M. Delcassé est la seule qu'il convînt de faire. Le ministre des Affaires étrangères devait avant tout s'efforcer d'être renseigné sur le sort du ministre de France à Pékin. Tant que la vérité ne sera pas connue, et tant que l'on ne saura pas si le droit des gens a été respecté, on ne peut pas accorder créance à un télégramme qui n'est peut-être qu'une manœuvre digue de la fourberie chinoise.

On nous communique la note suivante Le ministre de Chine à Paris vient de faire parvenir, pour être communiqué au Président de la République, un télégramme de l'empereur de Chine.

Dans ce télégramme, expédié par le gouverneur du Chan-Toung, le 19 juillet, et qui ne fait aucune mention des ministres étrangers à Pékin, l'empereur demande la médiation de la France.

M. Delcassé fait savoir au ministre de Chine à Paris que la réponse de M. le Président de la République va être adressée à la légation de France à Pékin, où le gouvernement impérial ira la prendre Mais, auparavant, le gouvernement de la République attend d'avoir la certitude que le ministre de France à Pékin est sain et saut.

Les nouvelles venues des différents points de t Extrême-Orient ne signalent aucun événement important en dehors de ce qui concerne le voyage de Li-Huug-Chang parti de Canton pour se rendre à Pékin où, d'après ses propres déclarations, il s'efforcera d'accomplir une mission pacificatrice.

Il convient d'ajouter toutefois, que les Européens résidant en Chine n'ont qu'une confiance limitée dans la sincérité de Li-HungChang, et qu'ils se montrent mécontents de la réception solennelle qui lui a été faite à Hong-Kong par le gouverneur anglais. Tandis que certains fonctionnaires chinois continuent à lancer, au sujet des légations, des dépêches rassurantes, un négociant de Pékin donne à l'un de nos confrères étrangers des détails effroyables sur les atrocités commises par les Boxers.

On trouverait difficilement dans les tragiques annales de l'histoire un récit mentionnant des scènes plus horribles que celles qui viennent de se dérouler dans la capitale du Céleste-Empire.

Les Massacres de Pékin

Londres, 20 juillet

Le correspondant dn Daily Express à Shanghai, télégraphiant à la date du t8, dit: Un marchand chinois venantde Péiin est arrivé mardi et m'a donné d'horribles détails sur les scènes auxquelles il a assisté à Pékin pendant les massacres.

II déclare qu'il a vu des femmes européennes traînées dans les rues par une fouie hurlante de Boxers, dépouillées de leurs vêtements, coupées en morceaux, leurs membres jetés à la populace. Il a vu des soldats chinois qui portaient des enfants blancs au bout de leurs pique&.

Le journal anglais déclare qu'il se voit obligé de supprimer des détails donnés par son correspondant.

Le même marchand évalue i 300,000 le nombre de Boxers et de Chinois armés à l'européenne, qui se trouvent actuellement dans le voisinage de Le priaca Tuan promet une récompense pour chaque tête d'Européen qui loi sera apportée. Le correspondant anglais ajou:e que le mar-

heures. avant les repas. Je ferai en sorte d'yêtre.

Etle prenait encore la direction de la porte, et encore elle s'arrêta.

Solange murmura

Vandenesse. Pourquoi Odette a-t-elle répété ce nom ?

Et comme elle se retournait vers Gaston, elle aperçut sur le seufl du petit salon, toujours pale et sombre, la femme de son cousin.

Odette la regardait, ta même menace dans les yeux. Et S«laûge, sans y pendre garde, s'avançant vers elle:

Le nom du juge d'instruction, ce nom de Vandefîesse. le connaîtriez- vous ?

Madame de Terrique eut un pius mauvais regard, sa bouche frémit.

Puis, une main posée sur son front, qu'elle comprima avec force, elle articuia:

Il me semble avoir entendu dire. qu'une de nos camarades de classe. Juaisne Préclùer, a épousé un monsieur. M. Vandenesse. un Jeanne Préchferl.

Elle avait quelques années de plus que nous, elle était dans les graudes.

Mais oui.. il me semble. une brune. très vive, très turbulente.

C'est cela.

Si c'était son mari, qui fût chargé di flgJ truire. cette affaire

L'exaspération reparut dana les ye- comtesse..axdela Eh bien, quoi?. Pens*z-v

simplenjteni, parce qu'au ce' dU* que, tout a pu nous cênuaitre, le avent sa femme espérer.1*5*219* 'rien. et'¡' tt'w, hélas» rien

chand chinois qui lui a raconté ces détails a une grand* riputation et que son récit est digne de New-Tork, 20 juillet.

Le ministre de Chine à Washington annonce qu'il vient de recevoir de M- Conger, ministre des Etats unis Pékin, un télégramme chiffré ainsi conçu

La légation anglaise est exposée un bombardement et à une fusillade continuels de la part des troupes chinoises.

Des secourt immédiats peuvent seuls empêcher un massacres général.

Le télégramme ne porte pas de date.

Londres, 20 juillet.

Le correspondant du Daily Telcçrah apprend de source absolument digne de foi que le gouvernement russe a reçu des informations ne laissant aucun doute sur les massacres de Pékin.

L'Occupation de Tien-Tstn

Saint-Pétersbourg. ÏD juillet.

Le vice-amiral Alexéietï télégraphie de ChéFou au ministre de la Guerre l'information suivante

Tien-Tsin, 12 juillet..

Hier, nos avant-postes plaoés devant la gare furent attaqués par plus de 200 Boxers et réguliers chinois; une demi-compagnie du 10* régiment, envelopp6e par l'ennemi, dut se dégager i la baïonnette 1 lieutenant fut blessé, 4 soldats tués et blessés.

L'arrivée de nos renforts força les Chinois à se retirer après avoir subi une perte de 70 hommes. Vienne, juillet.

On mande de Tokio a la Correspondance politique, à la date du 18 juillet

Après que, le 14 au matin, Tien-Tsin eut été pris, les canons japonais bombardèrent la caserne de la marine, contre iaquella les Russes exécutèrent une attaque. En même temps les divisions japonaiees occupèrent la station du chemin de fer et repoussèrent les attaques des Chinois.

Là-dessus, ils s'emparèrent de la caserne de marine et de ce qui l'entourait, et prirent 48 canons. Les Japonais ont eu 60 morts et bleesés.

D'après des rapports ultérieurs, on a trouvé dans la caserne 8u canons, dont 16 étaient de construction absolument récente.

La partie de Tien-1'siu qui est entourée d'une enceinte est occupée actuellement par une garnison composée de Japonais, U'Auglais, d'Américains et de Français.

New-York, 20 Juillet.

Le correspondant du Worla a Ché-Fou télégraphie

On annonce que les Chinois ont tué toutes teurs femmes avant d'évacuer la ville indigène de Tien-Tsin pour qu'elles ne fussent pas faites prisonnières par les Européens.

L' Invasion d6 la Sibérie

Saint-Pétersbourg, 20 juillet.

D'après les nouvelles reçues par l'élat-major général, la situation de la population russe à Cbarbin et à Suedan ne s'est pas modifiée. La situation est telle en ce moment qu'une surprise quelconque est absolument impossible. Les détachements le long du fleuve Singara, venus de Mkolaievosk et $taro, Tuructiatu, ont exécuté si vite les ordres reçus, que les Chinois ont été surpris.

Le commandement en chef a été remis au général Gribski, auquel a été adjoint comme auxiliaire temporaire le général Subotitsrh, qui a passé en Asie la plus grande partie de ses années de service.

On mande de Saint-Pétersbonrg, 20 jatllet Plusieurs points situés près de la frontière russe sont actuellement occupés par des détachements de troupes chinoises qui s'enhardissent jusqu'à prétendre entraver la navigation a vapeur sur le Oeuve Amour.

Dans le voisinage d'Aïeoun, un de ces détachemenls a sommé deux bateaux à vapeur russes de rétrograder puis, sur leur refus d'obéir, il a tiré dessus des coups de fusil et de canon qui ont blessé plusieurs hommes et détérioré les bateaux.

Il a fallu envoyer des troupes de Blagovestcbensk pour rétablir la communication sur le fleuve.

D'autres bandes chinoises ont saccagé et incendié de nombreuses stations de chemin de fer, détruit en beaucoup d'endroits la voie ferrée, coupé lea communications télégraphiques en Mandchouric, et l'agitation s'étend déjà jusqu'à Kouldja, où les autorités russes ont envoyé des troupes.

Londree 20 juillet

Le correspondant du Daily Express à SaintPétersbourg prétend avoir interviewé l'un des conseillers les plus écoutés du tsar, qui lui a déclaré qu'à son avis les massacres de Pékin n'auraient pas eu lieu si l'amiral Seymour s'était contenté de promettre quatre ou cinq millions à Li-Hung-Cnaag pour assurer la sécurité des Européens.

Maintenant, aurait-il ajouté, le moment d'agir est venu pour le gouvernement russe. Nous ne pensons pas que les raids qui ont lieu dans la région de l'Amour fassent partie d'un plan organisé par le gouvernement central chinois. Les Chinois de cette région sont comme les bachi bouzoucks en Europe dès qu'il y a'de l'<tKiUitiou dans J'air, ils se rassemblent pour piller et saccager. Vous verrez bien que nous saurons nous en rendre maîtres.

Nous ne craignons rien pour la Sibérie orientale. Nous occupons la Mau<i<-houri« d'une façon permanente; nous arrivrrons à uné entente avec te Japon concernant la Corée; personne ne voit d'inconvénient à ce que la Cor£e #oit occupée par le Japon.

fn Mande hourie

Londres, 20 juillet

On télégraphie de Ché-Fou au Daily-Bxprtst, a ta date du 18 juület

Les Chinois ont forcé les Russes à évacuer

Cette fois, mademoiselle de DulTroat s'en allait.

Gaston Duhaller la suivit, la reconduisit jusqu'à la porte dp vestibule.

Là, ils se serrèrent je nouveau !a main. A bientôt. Ht le jeune homme.

Quand? demanda Solange, avec une angoisse, une supplication.

Demain, onze heures, quoi qu'il ar- rive, je voua le promets.

C'est cela. peut-être m'apporterez-vous une nouvelle qui sera un espoir?

Dites-moi donc, elle parlait bas, au fond du vestibule, le domestique les regardait, comment pourrai-je avoir l'adressée de M. Vandenesse ?

Que voulez-vous en faire t

M'assurer si sa femme est, out ou non, notre ancienne compagne du Sacré-Cœur. A quoi bon? Ma sœur a raison, alors même que cela serait.

N1mp«rte 1 interrompit la jeune fille, je Voudrais avoir cette adres-e.

Alors. entrez avec moi dans le cabinet de mon père il a le Bottin, le Tout-Paris. Je la trouverai certainement dans Tua ou d ans l'autre.

Le cabinet de travail de M. Duhalier donnalt en face du grand salon, de l'autre côté du vestibule..

Solange y pénétra, derrière son interloeuEn cinq minutes, l'adresse était en effet trouvée. Le jeune homme l'inscrivit sur un feuillet détaché, qu'il lui tendit.

Ayant placé le papier dans son porte-cartes, madmoiselle de Boffront cette fois partit. En retraversant le vestibule, Gaston ealait un regard en dessous du domestique, toujours won poste.

Le personnel commençait à être iflirtgoei

Tien-Chouang-Tal, localité où eut lieu un grand combat pendant la guerre sino- japonaise. Le bruit court que les Russes unt subi d*9 pertes sénen«es.

Les Russes ont dd év*cuw {paiement .TasbiThan, où, pendant qu'ils r.oostniiaajent un fort, ils avaient été attaqués subitement, L soir, pu une nombreuse armée cta paysans et de Boxers. Les Russes ont beaucoup souffert dans cet eagagr.ment

D'un autre côté its annoncent qu'ils ont tué de leurs assaillant!).

Au nord de Tashi-Thao, le chemin de fer est compldtement détruit.

Les Musses se concentrent Nieu-Chouang. Lt-Hunf-Chang

Londres, 20 juillet.

On télégraphie de Shanghai au Daily K** press

La population a peine à croire que Li-Hung-*Chang ait été reçu d'une façon aussi sc:m la.leuse par le représentant de Sa Majesté britannique à Hongkong.

Si Li-Ilung-Chang vient à Shanghai, sa visite donnera lieu à d<s (roubles.

On est persuadé que Li-Hung-Chane vient ii Shanghaï pour nonférer avec le vice-roi sur la question du transfert de la capitale et qu'il est chargé en même temps de défendre au vice-roi de continuer la politique pacifique poursuivit jusqu'ici.

Le correspondant du Times Il Shanghai déclara également que la population de Shanghaï est. indiguée de la réception faite àLi-Hung-C.haugpar le représantant de la rein&à Hong-Kong. Li-Hung-Cliing n'inspire confiance à personne- Une Lettre de M. Stephen Pichon Un de nos confrères annonro que Mme Pi·chon mère qui se trouve en ce mernsnta Meaux, chez son neveu, M. Gaston Verduir, a reçu par le «ourrier de Chine, une lettre de son jlls, portant la date du juin, veille du jour où les légations ont été cernées.

Cette lettre de notre ministre en Chine est très courte et hâtivement écrite. Malgré l'évident souci de M. Stephen Pichon de ne pas alarmer sa mûre, on sent percer travers les ligne» une profonde tristesse.

Le même courrier a apporté à notre contrera une lettre de M. Stephen Pichon où celui-ci ne cachait pas l'extrême gravité de la situation Ici, éorivalt-il, c'est le silence. Derrière la toile du paravent s'agitent des choses obscure», mais terribles; il se prépare je ne sais quoi quj sera féroce.

On m'apprend que le Yunnan est en pleine in- surrection. Que va-t-il advenir de tout cela? Le 8 entrai /tien

Londres, 20 juillet.

Le correspnndant dn Vaity Mait il Ché-Fon dit que le géndral Nieh aurait été tué par vengeance par les Boxers, qui lui reprochent de les avoir attaqués au commencement de la cam- pagne.

Sulclde d'un Vice-Roi

Londres, 20 juillet,.

Le correspondant du Daily Mail Shanghai apprend de source chinoise que le vice-roi da Petchili s'est suicidé.

la Contingent des Indes

Simla, 20 juillet.

Le commandant intérimaire des troupes d«ag l'Inde a déclaré dans une interview qu'il était' impossible d'envoyer en Chine d'autres troupel avant le retour du contingent actuellernentdana. le sud de l'Afrique.

Le Corps expéditionnaire

Londres, 20 juillet.

Les Journaux disent que la gouverneur d» Malte a été nommé au oommandement en Cue& das troupes anglaises en Chine.

Privas, M juillet

Le 4* bataillon du 61, régiment d'infanterie, ea Çurnisou Il Privas, a reçu, hier soir, l'ordre de départ pour la Chine. Son effectif devra être port6 à f,000 hommes» mais comme il ne comprend actuellement que 200 hommes, il devra se compléter avec des ea.' gjLcremetiUi et des etnprunts laits à d'autres ba-. taillons du régiment.

Les préparatifs ont commencé ce matin Il la, caserne rumnon officiers et soldats en congé. ont été rappelés. Le bataillon eera placé sous le* ordres du commandant Garnache.

Tunis, 30 juillet

Le tirage au sort a désigné pour partir éventuellement en Chine le 2* bataillon du 4' zona-' ves, commandant Ernest, dont l'effectif serra porté à t,0û0 hommes.

Un bataillon de la région étrangère, en garnison à Bizerte, partira incessamment pour le Tonkin.

A. CHERBOURG Cherbourg, 20 juillet

Le punch par souscription publque, offert al ministre de la Marine, a eu lieu dans le gymnase du lycée.

Aux eûtes du ministre se trouvaient \<; préfet de la Manche, le maire de Cherbourg, MM. Cabart-Danneville, sénateur; Le Moigne, dépuU les autorités civiles, les conseillers municipaux et les souscripteurs si nombreux que la vasWt salle ne pouvait les conteair tous.

Le capitaine Ricarrl président du comité d'organisalton, a remercié le ministre pour l'honneur qu'il a fait à la population en accipUat cet punch.

Le préfet de la Manche prie M. de Litnessaa d'exprimer à ?cs roll^ufiF da jrouvurrioment 1. fidélité <!• iiquc. En leurnom niibet.

le gouvernement complétera l*<*uvre apprécie/ens<3 de Cherbourg et améliorera le sort da.

aussi bien Ici qu'à l'hôtel de la rue de Vlllejust, le joli hôtel ou les valets attendaient les mal.* très.

L'absence du nouveau atarié durait bien longtemps.

On ne voyait pas une fofs la Jeune femme, rue de Villejnst.

Et chez les parents, tout respirait non seulement la contrainte, mais l'inquiétude, le' chagrin.

Les maîtres avaient beau se raidir, éviter toute parole imprudente, chacun sentait quai-' que chose dans l'air, devinait un mystère. Le flis de la maison s'en rendit compte ta, cet instant.

Le mystère, bientôt, n'en serait plus un. Un simple oubli, dans les journaux rie%% qu'une initiale, et le scandale écittait.

Oui, sa soeur devait souffrir.

Après avoir pa»sé par toutes les angoisse», du coeur, car tLne doutait plus qu'elle ai- mât. qu'elle eût Inmé du moins son fiancé,, que Raymond, par sa cour assidue et passionnée, neuf auiraé ce qu'il appelait en riant: son beau marbre. après donc avoU ftoof-i, fert dans son amour, eUe souffrait dans son. orgueil.

Quelque chose l'avait heurtée au front,son front blanc et pur, l'effleurant de la souillure, que son arrestation, imméritée certes, arbitraire, odieuse, mettait au front de celui dont elle portait le nom-

Et cela y laissait la trace d'une blessure, peut-être ineffaçable.

il connaissait Odette.

Et il avait la preuve qu'elle était bien ton-i rhée, par ce que Raymond appelait encore et rlant -la flamme ai v ine.– dans la façon dont elle jetait tout à l'heure à t'absent, les mots lâche et de traître..

Victime d'une erreur ittdlcUlr*, son nu»*


personnel secondaire et des ouvriers des arsenaux.

Les ouvrira sont, du reste, satisfaits; ils ont la parole du ministre, cela est suflisant. Faisant allusion aux événenwiU de Chine, le député de Cherbourg émet. on souhait de bon retour pour les marias du lUâoutable, (foi vont partir.

Il de voir se rosallBer-Te voeu de Gambetta dieant que. pour faire cessw le^ division* d'opinion, il faut ..souvenir toujours de la patrie.

Le ministre prend enswtt» la p&rste et prononce un Ui.-cours très appland:.

Après trente ans d'efToela, dit-i), poagacrés au relèvement de notre armée de terre, que les circanManea* nous oM*y ieirt 4 ptauar au premier rang de nos préoccupations, le moment était venu de feire les mêmes efforts en faveur de notre armée walè.

Lo ministre expose ensuite tout ce qui a été fait pour lu marine depuis ces dernières années, et Il termine! en buvant. à l'honiwur d* notre lieUe et fière iBjstitutions démocratiques la grandeur de la. pa- L'ARMÉE DU JAPON

ont •̃ i" "ramier plan de l"actuaiiiH et .!i..ot in 'ipc de vingt niilie

ij'êu se coinpuS'ï de ti

représentant ufl eff ̃̃< r le l*S,uw nnintn-'S. Ces trti&f. liivi- jiU une dite de la garde, huit quatre de réserve, comprend 'ernière réorganisation de. c6m ;aiies d'infanterie deux réfrimeiii.s, i3 re#iii"»euts de cavale-

rie à oinfj escadron». pépHneBts à artillerie lie campagne avec 7'.t batteries à six pièrtjs {dans le courant de l'année, le nombre de» balterios tera, porté à b*taMlon« de pionniers (génio). 13 bataillon* dit train, an bataillon de chemins de fer de campagne et un bataillon de soldats téléRraphi.sies ces deux derniers «ont à trois compagnies chacun.

Ainsi que nos corps d'armée, les divisions, au Japon, représentent une unité absolument autonome, au point de vue stratégique comme au point de vue administratif. L'organisation militaire nippone est d'ailleurs exactement copiée sur la nôtre, tiuomue les méthodes d'instruetioo soient plutôt inspirée* des règlement» et théories de l'état-major allemand.

Toute l'année active a été dotée, depuis quelques années, du fusil M'.urata. Son calibre est dP 8 millimètres et la hausse est graduée jusqu'à mètres, Ce (Il,;il, qui r*&>!W«bU'. bua.ucuup au Lebel frunçaip, étant mini comme lui d'un magasin dans le fût qui con lient huit cartouches et pouvant servir à volonté pour le tir coup uar coup et le tir à répétition, comporte en uutie un dispositif spécial qui f«rme p l'arrière toute la botte de cotasse et empêche le: crachements. La oavalerie et les divisions de réserve ont été. également pourvue» d'une carabiné système Mourata, ruais d'un calibre plus réduit.

Quant à l'artillerie japonaise, elle a adopta la •ouveau canon du campttgno italien, m charfeant par la cu.la.sse et à lirVapitic. Ces bouches t teu, en bronze d'acier, ont été f abritées l'arsenal d'O««ka. Leur ralihrn e.st. d<j 7b millimètre» et la rapidité du tir peut atteindre, aveu de» servants bien Orowsés, onze coups- à la minute.

Let batteries de montagne sont armée» d'un canun plus petit et beaucoup plus Iwer; n pesé kilos au lieu, de 300 tour le canot) de campagne, et sa portée ast sensiblement inférieure mais ces batteries sont très bien attelées et manœuvrent avec une rapidité et uue adresse surprenantes.

Au contraire, la cavalerie .japonaise est,généralement as^ez mal montée, sur de petits cnevaux nippons sans grande résistance. Seuls; les deux régiments de la garde à cheval ont ét6 armés de la tance; les autres divisions moutées portent le sabre long et laça rabir.e.

Dépêches de l'Etranger

LX SffAH D* PCItS» m RTJSSrR"*

Saint-Pétttrwtiours, 20 juillet

On .!tuer de gala a été donné, hier soir, à Peterhoff en l'honneur du shah de Perse, diner Miqiret ont assi;ité l'empereur et l'impératrice, ('héritier du trône, les grands Mues et les granîes-duchesses. la reine des Hellènes et de nombreux dignitaires.

Aujourdiint a eu lieu Sa" camp de KrasnoiéSélo une revue des troupes eu présence de l'empereur -et de l'impératrice, de la rame des tleliAimb et du shah de Perse.

A la tfn de la ru vu*, lorsque les troupes défllètent devant Leurs Majestéivl'e'npsreur a félicité a deuxième batterie de la garle de ce qu'elle a»»it prendre part à là campagne d'Ertrêrtie1)rient.

Des hurrahs enthousiastes se sont aussitôt fait ̃ntendre.

En s'en allant, l'empereur a souhaité à la batBrie heureux dftrtin et bon retour.

IX CRIME D'UN AMANT JALOUX

Charleroi. 20 juillet.

Ua terrible drame s'est deraulé re matin à 4&na&«. Un nommé O«rard, garde cabine au themin de fur, après «être assuré que le nommé auguste Jamart, menuisier, était sorti pour ce rendre à son travail, est entré dans sa demeure et a assassiné Mme Jamwt Il coups de revolver et de rasoir.

La lutte a dû être acharnée, si l'on en juge par l'état de la victime. Sun coup f:tit, Gérard est rentré chez lui et s'est fait sui'ior la cervelle. On attribua ce drame à la jalousiau 1! parait que Gérard avait depuis longtemps des relations •Yec la femme Jamart. Le.parquet de Charlnroi «'est rendu sur le- lieux.

AKRBSTATIOH D'UN MALFAITEUR

Anvers. 20 juilfet.

On sait qu'un vol d'une certaine quantité de mie, d'une valeur de plus de francs, a été féëeroment comrttis à l'Exposition de Paris. Le coupable vient ̃) être arrêté à Anvers, où il avait tenté d'écouter la marchandise dérobée: C'est un ancien «mployé de l'Bxp«i*itton, le nommé Gustavo Génard. Il a été mis sons mandat d'arrêt, en attendant d'être livré à la justice française. ÉT1U1KK ACCIDENT

Bruxelles, 20 juillet.

Un terrible accident s'est produit, dans la rue de l'Université, à BruxeNce. Un enfant de sept »ns jouait sur le rebord d'une ftmètro situsc au troisième étage, quand soudain il perdit l'équiUbre.

Daas sa chute, il heurta de la tête une Lige de fer aiguë Bxéeau mur; la pointe pénétra dans le :r\nc qui fut perré le part en part.

Les passants poussèrent des cris de terreur à la vue de feuf«iot suspendu par la tête a quel-

eût trouvé en elle, le plus ardent des défenseurs. Elle eût bravé, pour la déntuntrer, l'erreur. tout préjugé et toute considération. EN. eût crié la première ait monde: il se comment une infamie 1

Elie eût demandé à la publicité de k presse, de la répandre et de la combattre.

Son mari, la veille ^îêiue de s'uuir à elle, donnait, dans au ri^z-de- chaussée borgne, rpudt z-vous à une femmes, se commettait ea quelque vulgaire liai$<>u, cberchaU sur des lèvres vendues, l'ivresse qu'il demanderait aux siennes.

Voilà ce qu'elle .ne pardonnerait potnt. Comment finirait la tragédie*

Et lui aussi pensait à i'aïeu'ie, à l'inflexible douairière cunchée sous la pierre dans le froid caveau, au foti-J de la chapelle du vieux ch&teau du Dauphiné.

ta malédiction portait ses rruns, ranathème qu'elle faisait tomhpr sur Odette. il revoyait le c.^ U\ l'immense parc aux étangs uu>iv. ads arbres givrés, la neige dans la c.mtj. ~ne.

il revoyait relie qui vt ii.iit de partir. Solange de HMÎlronU. au,coin de l'immense chenu née du ..alun aux portraits d'aucèires, où elle i'.ut-Tiu.ul lriidviuaiii des funéraîlies. Cuinbip-u celle vie, cahue austère de lantiqu»' Qu'elle avait fié pute.

de iuul ce que le inonde a

la ^ulitude du vaste parc. où làœe pouvait sans entrave prendre son a^sor!

de Botfront, c'était lu fleur virante, Inuu.tculé'» de ce coli^ sauvage et grand/lotie. la ilctur de qui pousse la dernière «ur l'arbus' L'u soijfil V(ji un ehucsurcf.aient w flétrir la vit> ijuvan s« rfiirer–

ques mètres du aot, tandis que du crâne frVchap- (.ait un flot de siinir.

L'Infortuné «(ritait les mains désesçiérésient, imvlorant un secours qu'on ne pouvait lui pori#f immédiaUmcnt

̃ Knfio on put sa proeurer une échelle astf^j haute et tirer le p'i'ivre petit de sa U'rribl»- p";ilion, fl «xpiisad'aiiii-urs queH|ues i|iu:uUw après. La mère, qui nssi-tait cet horrible spectacle, est devenue folîi' due daulenr.

BKtSDiE D'UJ( EMTRKP0T

Queenborough, juillet.

Le paquebot Bojlandais venait aujourd'hui de débarquer sa cargaison lorsque les entrepôts L'incendie se développa rppidement et après les hangar* les bureaux! On dut se Uernor à pr^erver les maisons de la rive opposée. Le service du courrier de Hollande a été transféré à Port-Victoeia.

LA GUERRE ÂÎ[TRANSVAAL Londres, 20 juillet-

Lord Roberts télégraphie

Prétoria, 19 juillet.

Lord Methuen a occupé Heafcpoort sans opposition. Jan H ami I ton et Mahoa continuent leur merohe s« nord du chemin de fer de De«goa-Bsy; Hunter est en train de reconnaître la position occupa* par tes OrxaçjïilBB, entra Bethléem et Ficksburg.

annonce que le consul anglais de iwira aet mort hier de la blessure qu'il a reçues le 16. Zeerust, 20 juillet.

Quinze Boërs qui avaient repris les armes aprèa avoir effectué leur seumission, out été Un Burgtter accusé d'avoir tiré su- un officier déjà blessé, a été ét(iil«mi-nt envoyé à Odjlan, où il accomplira deux années de Aa<ii lab»ur.

Londres, juillet.

On télégraphie de Prétoria au Daily Mail, à la date du il,

Il y a actuellement anses de vivres et de munitions de toutes sortes pour hommea à Prétoria.

Les renforts continuent d'arriver.

Pretoria. 20 juillet.

M. Volrnarans a été arrêté hier parce qu'on l'avait trouvé possesseur de C,<JOO livres aterting d'or en barres et d'une grande quantité d'amies. LES MilHŒUYRES ALPINES (De noire emoyé apteial)

Saint-Gervaia-les-Bains, 20 juillet.

M. le général Brunet, commandant ia brigade d'Annecy, dite de Tarenlaist, est arrivé hj.T matin à Sallanctit», où il a iiisUiilé fou quartier général.

La brigade de. Maurienne est installée dans la Taientaise; te gv.-uéral Arvers, coenajandant de la division, est a Bsaufort.

Le 2' groupe alpiu, Il* bataillon, est resté au repos après sa grande course. Le 1" groupe, butiiillon, ¡¡'est concentré h Le Ueutcnant-coléutl Mugnier, recemmunt promu, s'est portê tuer malin xvec doux conipaiijjiies de Cluses sur Salunclies, où il à éW rojoiut par l-is deux a/mpat/niiiB détachées au GranU-Baruaa^ et par la batterie.

Larrivée de celle-ci donne lieu à une tou'chante cérémomie. Le capHuiatt Camus qui la ̃commande a reçu la cwsix de, la lésion n'hnn.neliï (te»*nMïnei tiu=e©lonel Muante»; tin présente ide la papulation de .Sali anches. La fanfare «ttèn^«lait la batterie: <lè« que celle-ci a été réunie sur la prompnade, le colunel l'a passée en revue; pm-, devant les Artilleurs qui portaient les apnrws, a procède à la cérémonie. Cette scène militaire, très Simule, profondément ému les assistants. •

Le temps est superbe. Le mont Bliinc. ronpiètement ilégagô de vapeiws, s'est montré pendant la matinée dans toute sa majesté, mais* cie,s nuages commencent à monter. La tentpiiraturè- est lourde et orageuse, un changement semble à o rai mire.

M0-UVELLESJMILITA1RES Disparition d'ml OfBaier

On nous écrit de Besançon

Un groupe d'officiers de l'Ecole de guerre parcourt w ce moment notre frontière. L'un d'eux, le capitaine de France, a disparu dans les euvirous du Lautaret et, malgré les recherches que l'on fait depuis quatre juun, ou ne l'a pas retrouve-

On supposo que le malheureux officier a dû rouler an fond d'un précipice. Les reeùorcbe- coutinueut, maison a peu u'espuii- de retrouvai' le capitaine sain et sauf.

Accident grave un Officier

On nous mande de Châlons-su .Marne Un officier d'artillerie a reçu, au champ de tir ,du camp de Chàlous, uno balle de fusil Lebel dans la jambe.

La victime de ce grave accident a été (ransportéa à l'hôpital militaire, où l'amputation a dû être pratiquéu.

Passage de Rivière

On écrit de Pont-de-) Arche:

Un détachement du 6' dragons, d'Evreux, composé de treize officiers et de cent soixantehomines de troupe avec cent soixante-lix chevaux, doit faire diverses t-xpériences très intéressantes de pacage à la rivière l'Eure. sur le territoire de la commune de Léry, les i6 et 27 juillet prochain.

L'Armée de Terre en Chine

Nnus avons annoucé récemment que trois cents lieutenants et sous-lieulenantsd'înfanterie allaient étre versés dans l'infanterie de marine pour encadrer les unités du corps expéditionnaire de Chine.

Parmi les jeunes oftlaiers qui sollicitent 1a faveur de faire cette campagne, il eo est un qui peut invoquer A l'appui de sa demande des raisons d'uu ordre tout particulier c'est l« lieulenant Murius- Joseph Pichon, du rôjjirneut U'infanterie, à Saint-Etienne.

Le père de cet oflicier, directeur d'école primaire communale au Puy, est en effet le cousin germain de M. Stephen Pichon, et c'est pour venger, comme parent, l'infortuné ministre Je France à Pékin que son Als demande à prendre part à la guerre de Chine.

La Fabrication du Pain de guerre

Le service de la boulangerie. eu campagne semble devoir subir à bref délai une Iransforinatiuii complète pu suite de la découverte que .vient de faire un officier do t05' régiment d iufanler+e, (o capitaine Pilbon.

Cet officier a trouvé la d'un le-

Et l'heure de la tourmente peut-être avait Bonne.

Si Solange de BoBront avait aimé Raymond de Terrique, c.'étalt certes avec l'innocence* de sou coeur de vierge. Et aujourd'hui, son cœur seul subissait la torture, qui venait d'atteindre Odette dans son orgueil. Cett« pensée de comparaison ramena Gaston uniquement vers tes siens.

rt rejoignit dans le petit salon Louis XVI, sa j soeur et ses parents.

Odette les laissa bientôt tous les trois, exprimant un désir qui était un ordre.' elle montait cIipz elle; eHe ne prétendait pas qu'on la dérangeât. il lui fallait dp la solitude, du calme, beaucoup de calme. et de réflexion.

Elle sentait que, seulement à cette condition. elle aurait ] énerve morale nécessaire poursurmouter avec une impassibilité qni donnerait le change an monde, à l'affût des | de.iv plions et des malheurs des autres, ses vèritftWes impressions.

Chacun sautait, intime sa mère., dont la sollicitude iuquie.it> allait jusqu à craindre quelque acte de désespoir, que cela seul pouvait, en eff«t, la ramener A un sang-froid dont, Et le père. le fils, la nié.re demeurèrent, dans le boudoir si gai, aux .meubles blancs, .x tentures de broché paie semé de fleu-ttes claires, sombre*, muets. ne sachant à quoi se résoudre et ne truuvant plus de -paroles.

vm

En quittant l'hôtel de la |»lac» Pinel, made-* .moiseile d»» Boffront marcoa jusqu'au b»ale Tant dr ia Gare. • Avftiit d'y arriver, elle sentait revenir le m ilii«e qui. à !« suite de la terrible esuwtioB provoquée par la révélation en l'agoal de la

vain spérial, qui fait lever la pMe en queViues minutes, alors qu'actuellement ce phénomène de fermentation ne se produit que plusieurs hiures Après le pétrissage. j Le rainUtre de la Gaorts a fait inviter le et- pitaiue Pitbon, en garnison à Riom, à se rendre a Pïms ponr proo&ler des expérieiwes devant les pf*rsoi>naiitès «•ornjjftente*. Si œtUi iuventione»! reconnue applicmble dans la pratique, e véritable pain de guerre sera j trouve. Il deviendra |><»v-ibit\ en effet, de tour- nir conftUmitii'iit du pain frais aux corp- d'arniéçen craignait, ré8u;t>it que de ne pouvoiratteindre.

Les Himiellesje Soiericil Au cosigrèa dee ornitho4«gi8tâs qui. vient de clore aa session, il s'oat trouvé un barbare qui a réclamé la destruction de rbirondelle. Je me hâte d'ajouter que cette proposition extraordinaire n'a rencontré aucun écho dans l'a*»enibïfp. L'ennemi des messagères du printemps entendait prendre contre elles la défonce des insectes ailés dent «I es se nourrissent. D^-s millias de moui-bes sont quotidiennement dé-!truites par l'hirondelle. Ce massacre a paru alarmant notre ornitbolfigîste, qui a demandé qu'on appliquât aux filles de l'air la loi du talion.

La thèse de ce vengeur des mouches est si inattendue et si paradoxale que les membres du ,con)très pensèrent voir en lui un mysiilicateur. Ce que l'on réclame aree insistance depuis quelques années ditns toutes les réunions d'ornithologistes, c'est la protection et non ta proscripfion des hirondelles dont malheureusement le nombre diminue, ainsi que de tous côtés en France on en fait la remarque.

Il est facile de constater, en effet, que si les hirondelles continuent à effectuer régulièrement leurs migrations annuelles, l'efleetif des troupes qui reviennent au printemps dans une localité déterminée est de plus en plus faible. Dès l'année l&S, en un rapport adressé au ministre de l'Agriculture, M. Oustalet, président de la Société zoologique, a signalé ce fait qui a été relevé rtf-puis par d'autres observateurs. Déjà plusieurs localité"?, que de temps immémorial les hirondelles avaient adoptées pour y grouper leurs nids, ne ree.oîvewt plns à la Un de mars ou au commencement d'avril leurs hdtes accoutumés.

NI. Thauziès, président de la fédération cotombopbile dtt la Dordegnt:, écrivait récemment que nous n'avions plus aujourd'hui dans notre pays le quart des hirondelles qui y séjournaient autrefois.

Os défections ont pour cause, on lesatt,lee chasses que dans certaines contrées de l'Europe mérid4on*le l'on fait à ces oiseaux migratef-s au moment de leur passage sur les rives de la Méditerranée. Comme les plnintes provoquées par la disparition de ces oiseaux se généralisent, il esiquastion aujourd'hui. à la suite des vœux émis par le congrès international de La Haye et plusieurs fois renouvelés depuis 1894. d'assurer par des mesures de protection spéciale, que ¡¡rendaient les divers gouvernements européens, la consprvatmn des « {rentes aroodetettes ainsi que les appelaieot nos vieux poètes.

En attendant. M. JeairBiipuy, notre ministre de l'AgHeutture, par une circulaire que ce- journal a citée, vient (te prier MM. les préfets de tenir la main ai ce qu'une application très sorupuleuse soit faite des dispositions des lois actuelles qui interdisent en France la dbstruction des hirondelles comme celle de tous les petits oiseaux. L'espère d'hirhnrte!l«s la plus menacée est précisément celle que nous aimons le plus, l'hiron- déHe rùMi^ue ôti de'cheminée, on) porte sur snn poitrail une large bande de plomes fauves, C'est aussi l'hirondelle la plus familière, celle qui se conflo à nous et s'empare, de nos demeures avec le plus aimable sans-gène. Mfcbelet n écrit t d'elle: Elle logo sous nos fenêtres, sous nos toits, dans uns cliv-miuées. Elle n'a point du tout peur de nous. On dir,1 qu'elle se Ile à suu aile incomparable; mais non elle met au^si son nid, ses enfants à nore portée. Voilà pourquoi elle est devenue la maîtresse de la maison. Elle n'a, pas pris seulement ta maison, mais notre cœur. »

Miclielet raconte que, dans un logia de campagne où son b-au-père fraisait l'éducation de ses enfants. l'été, il leur tenail la classe dans une serre où les hirondelles nichaient, sans s'inquiéter du mouvement de la famille, libres dans leurs allures, tout occupées de leur couvée, sor.tant par la fenêtre et rentrant par le toit, jasant avec les leurs trèà haut, et plus haut que le niattru. lui faisant dire, comme disait François de Sale» Soeurs hirondelles, ne pourriez-vous vous taire î «

M. liu Hrcvans, dans un valume consacré aux migrations des oiseaux, rapporte une preuve nun moins intéressante de cette familiarité de l'hirondelle et qui dénote chef elle comme un vague instinct de patrie, puisque chaque année on la voit revenir vers ses pénates préférées et témoigner par des cris joyeux le bonheur qu'elle regSent rotrouver'son ancien nid. Dans le ces cité pic cet écrivain, ce n'est pas d'une hirondelle qu'il s'agit, mais dn, plusieurs centaines qui envahissant régulièrement, chaque printemps. une manufacture du Pas-de-Calais, se perchant sur le, métiers où elles ont soin de ne laisser tomber aucune détection, rasant de l'alla le front d^s ouvriers assis à leur travail et, le soir, reni trant toutes dans les vastes ateliers lorsque la clrrlu' «onne, sept heures et demie, la sortie île* rtv.iiMeura et que ion ferme les portes de la Uîiuu facture.

On me .signale actuellement un trait plus étonnant encore de cette sujétion, de cette atteinte à à «a liberlé, que l'hirondelle s'impose en établi*[ I bant son nid dans la demeure close de l'homme. Aux environs de Paris, à M.ontfermeil, un coupie J'hirondelles qni, l'année derniers, s é'ait | contenté d'explorer tire d'ailes un appartement qu'il méditait d'occuper et trouvait à son choix, est venu l'habiter ce printemps. Il a installé son nid sur ta pendule qui garnit la cheminée etque mainU»nHnt l'on n'owplus remonter pour nepas déranger la couvée qui vient de naître. Ne fant-il pas vraiment admirer la belle t'oñ liauce de ces gentils oiae*ux qui viennent se

sûreté, et la dureté d'Odette, s'emparait d'elle chez Mme Duhatier.

La pauvre enfant, avec sa complexion déllcate. n'était point faite pour une résistance que bien des natures plus fortes, eussent eu de la peine à oppuaer à des coups aussi répétés.

Tout fondait sur elle à la fois.

Sans parler de la défection complète, sans retour, puisqu'il se mariait, de celui qu'elle aini lit: la mort de sa marraine, son changement d'existence, .l'effroyable surprise de l'nrrrstation de Raymond.

Solange eut peur de'se trouver mat, de tomElle fouilla dans sa poche, cherehant son flacon de sels.

l.ivRit-elle posé dans le salon, snr un meuUn brouillard s'étendait devant ses yeux. Elle pensa à Annie, qu'elle avait préféré laisser au couvent, où toutes deux descendaient, qw de l'amener, la vieille femme de chambre, très fatiguée,- souffrant au-.si des émotions subies?

Anuie, près d'elle, elle se fût accrochées à soit bras-

Il. terreur lut vint, plus intense, de son isoleuient elle aihiit s'affaisser là, sur le trotloir.

Si elle en arrière t

elle n'anraH jamais la force d'aecpitiplir le trajet, court pourtant, ¡¡¡¡'le venaHde Ittire. §ol«iû?e essaya un gran 1 effort. Sou regard la {juéet qui s'épaississait entre ..ne et ;r·s passants..

-ut lia <fu tété de la etranisée pour Lue uu* eu fiacre, aon adresse donnée, elle I fcjle eu vit uu, flt un signe, appela dune

placer ainsi sans crainte it la portée de la main dans une pièce qui est constamment habitée par les propriétaires da la maison î Voici huit jours que ies yeiits ·ont éclos. Pendant que la famille pr-nd son repas, \t* hirondelles voltigent en de-sous «le la table, happent les mouches, vont et viennent librement. La matson est elles. Comme elles se savent aimée8 et protégées, elles sont même exigeantes. Il faut que chaque matin la croire s'ouvre. dès quatre heurta. Dans la salle, de vigoureux coups d'ailes avertissent la m Vitre du iogis qu'il doit rendre la liberté à ses bâtes et que les petits ont faim.

La fait a paru si surprenant qu'il s'est vite ébruité et les amis des oiseaux vont, au paredi Coutlreaux, on est située la maison, se rendre compte par leurs yeux de ce miracle d'un nid d'hirondelles juché sur une pendule dans une ehajnbre habitée. Parmi eux, le géuérat Tmbtudin, l'ancien ministre de la Guerre, aonagénaire aujourd'hui, n'est pas le moins empressé. Trois foi. par semaine, pour s'égayer l'œil d'un spectacle qui le charme, il dirige ses pas vers la tuaieen au toit rouge du mettre maçon Delavier, qui abrite de mi étranges pensionnaires.

Cewt une maison qui pourrait se dénommer la maison aux oiseaux, car moineaux et pinsons nichent sous les auvents de mes façades des roitelets y font mainteaant leur seconde ocuvde. Undétail encore sur ces hirnodeUes de Mentfermeil. L'une d'elles porte à ta patte, comme un bracelet, un petit tnasu«t de Ol rouge. Elle a donc des amis ailleurs qu'en Franee, la petite voyageuse. D'où, nous arrive-t-elleî Oe quel pays africain apporte-t-elle ce fil mystérieux détaché sans doute de quelque manteau écariale dont se drape là-bas une Nubienne des bords du Nil Blanc, ou nne Soudanienne, fille de roi à tout le moins.

Peut-être aussi ce flt est-il la remarque de quelque ornithologiste en quête d'observations. Spalanzini, à qui nous devons de minutieuses «Huiles faites à Pavie et à Piseaur ces oiseaux, avait l'habitude de leur attacher de légers cordons de soie aux pattes. C'est ainsi qu'il put constater que les nids d'hirondelles ne servent paa i ptusieurs générations comme on serait tenté de le croire, mais que sfuis le père et la mère y retournent, les petits allant s'établir ailleurs.

Mais les observations faites ont été jusqu'Ici trop peu nombreuses pour que nous connaissions t histoire exacte des migrations et des cantonnements de l'hirondelle. Qui sait? t.es hirondelles de Montfermeil serviront peut-être à éclaircir une partie des mystères qui entourent leur espèce. Ce sont évidemment des hirondelles familières, qui ont l'Irabltnd*. de contracter de solides amitiés dans les logiS où elles campent si lrhreroent.

Pnissentelles en leurs voyages échapper aux dangers dont les menacent même des ornithologistea et nous donner longtemps encore, en plaçant leor nid près de l'habitation de l'homme, cet heureux spectacle d'alliance et d'harmonie qu'on me s ignale et qui est, comme l'a dit Michelet, le but de la nature.

LE FORT S.MNTE-aaOBM Quel poète méridional n'a charité lei lies de Lérinsî Elles sont voisines de, Cannes, en face du golfe do la Napoule. L'une Furiout et de» plus verdoyantes, trernpant le feuillage de f*B* arbres dans les flots bleus do lx Méditerranée. C'est oelle qu'on appelle lîie oaint-iionorat, du nom d'un monastère yut s'y trouvé. L'autre, plus connue au point de vue hisloriqii Sairite-Mat-gurtrile. De C:tnnes. tnusfese rendent eu excursion aux Uns de L, l'on a le rp-vUelf! du niagniÛque amphithéâtre d«5 montagnes du Var. L'île nainte-Màrguerite avait été fortifiée vefs' lfi40. Mais depuis longtemps l'autorité militaire n'attHChait plus à seJ ouvrages aucune importance stratégique. Dés 188Î, tfsvaît été" question du déclassement du forii Sainte Marguerite. On sa't qu'aujourd'hui c'est chose faite. L'Ile a été vendue.

Pour francs, la ville de Canne* se- l'est vu adjuger aux eiietièrea.i

Que de fois il en fut question, de ce fort Sainte -Marguerite! Construit sur une falaise» assea'éléyée ,de' la cAte septentrionafe de l'île, vis-à-vis de la pointe de la il il avait soutenu les rudea assauts des Espaguois. déparé d'après les plans de VauUan, il fut alU(|uéptus tnril par les Anglais. Loi^ de l'invasion de la, Provence par tes troupes du auc de Savoie. le for! canonna vigoureusement l'ennemi et t'oblipea de faire un détour par les hauteurs île Valfauris, En 17a6, les Autrichiens et les Piénioâtais, assistés par la (lotte anglaise, râdasirent t s'iimparerde Vlie; mais dès l'année suivante, le chevalier de Belle-lslw les forçait à capituler, et, depuis lors, ¡'!le n'a plus été conquise. Le fort Sainte-Marguerite devint priaon d'Etal. Prison célèbre où la curiosité dus touris'.es était attirée par le souvenir de l'Homme au ̃Manque de fer. On y montre encore la chnmbro qu habita le mystérieux prisonnier. Les murs sont d'un- solidité extraordinaire» ayant près de douze piede d'épaisseur. JI n'y a qn'upe seule fenêtre, garnie de trois fortes gritles de for. La porte, couverte de clous et d'énormes barrer, ne s'ouvrait que devant le gouverneur du fort, et ce n'était que par les appartements de cet officier que I'oq |)uuv,ut parvenir à la chambre du prisonnier. Un corridor étroit, muré à chaque extréiiv servait d« promeaado Au Masque de (er. A i-ulé de sa celli'le, une autre renfermait son <Jo mes tique, qui plus heureux qua fui, mourut dans l'île après 8 quelques années de détention.

D'autres prisonniers de marque passèrent à Sainte-Marguerite. Le régent y fit incarcérer le poéte I.iigrungo-Uhaocol, coupable d'avoir écrit une satire contre lut. M. de Broglie, de UiQ'l, y subit, sur t'ordre de Napoléon t··, un emprisonnement de dix mois. De l$4l Il 1871, le torr servit à l'internement d'un grand nombre d'Arabes faits prisonniers au cours des diverses insurrections.

Enfin, on se souvient que c'està Sainte-Marguerite que Baz&in>' fut transféré après sa condamnatiun. Le colonel Villetie, Mme Bazaine, ses enfants et trois domestique. avaienl été autorisés à demeurer avec lui. C'était beaucoup d'égards pour l'homme qui avait trahi U France! Dans la nuit du 9 au 10 août, l'ex-maréclial s'évada de l'ile. Un navire i vapeur, loué k Gênes, reçut le fugitif à son bord.

Le Masque de fer avait été moins heureux. Lui aussi, il avait voulu s'évader on le eurprit dans ses préparatifs de faite, et la survivilUnre exercée sur lui s'en trouva redoublée. Pendant onze ans.HI séjourna à Sainte-Marguerite, puis

voix faible, avança le pied pour descendre du trottoir.

La brume plus intense mit, devant seayeux, un rideau, tandis qu'un bruit de cloches tintait dans ses oreilles.

Son pied mauqua au bord juste du trottoir; elle s'abattit en avant.

Uu cri strideut, un cri de femme jaillit; d'autres. mêlés d'Imprécations, de jurons, y répondirent.

Uws voitures venaient en sens inverse, l'une, le fiacre que la jeune fille voulait arreter, l'autre, un fardier chargé de pierres de taille. La personne qui, eu voyant tomber cette passante, devant qui elle s écartait, pour continuer son chemin-, jetait le premiet cri aigu. n'écoutant -que le courage qui pousse subitement à secourir un être humairi en danger de mort, se jetait sur elle, la saisissait par un bras, entraînait le haut du corps.

Le cocher de fiacre, n"ayaat pas vu d'ailleurs le signal de la jeune fltle, et'allantà une certaine allure, jeta son cheval de côté, taudis que ie lourd percheron en léte de TaUeWe qui (rainait le fardier s'arrêtait, saisi au mors par sou conducteur.

Mais ies rouet de la voiture de place pas-

̃ Tandis qu'où 1 '<̃ le coehsr, autour dnque! un rassi- ut se formait, des peut-être de la mort par i'iuter- Teulioii tic cette paàsante que le hasard pla-

^itit devant elle.

Cotte femme était toute jeune, comm<î celle qui tombait.

Eli».1! 4111 vit la blessée. qu'on transporta chez le'pli-mnacien le plus pruche, où entrèrent, avBc elle, quetqaes témoins de l'aceidu^t. L'un il'fnx. uu homme d'eaviroa cuiquaute ans, la reconnut.

ValensoL

il fut transféré 1 la BaaMIa, on Il mourut Actuellement, IVvoealiofi de ces sombres souvenirs nVïolève rien au charme du sile Lile, chaque «limant"!»*?. e*t te -reodez-vous île mirabreu\ v vtont .léjeuner, ma'ig*» la i on y entend <jf>;i r Le vieux fort luiinèuio ne |.itr.<lt plue trop mai)~s.«.le au milieu tta cette animatioa et de cette gaieté, en re déeor verdoyant, sous 1 éclatait* lumière qui inonde toute la baie

A L'EXPOSITION La chaleur continue la série de ses méfaits et visiteurs de l'Exposiréfugier les galeries encore (ratelu*. les premiers jours sont <r.<tiulenant trani>furinèVs en autant de serres chaudes où les plantes tropicaies Ses plus sensibles au froid s'épanouiraient à l'aise.

Seul'8 lijs Soudanais et les Sénégalais dru Traeadéro s «o donner à cœur joie.

Ils retrotiVfnt A Paris ia température surchauffée de leur terre natale. Etendus an' snîei!, laissent rotir aVec délice, nne mince aux lèvres, en lâctn" '̃ '̃ »nps à auliv » > ciel une légère bo uiinée bleue, et en chanhmnant tout i .t-pa-)-<i-raté-rathi » qni est en queique s<.rle ta Narsei'lixise nègre.

Mais si les seoesraiitis, boudati'tis et autres Africains trouvent leur compte cette chaleur exceptionnelle, les autres exposants chinois, russes, allemands, anglais, voire, italiens d espagnols, s'en plaignent amèrement.

fis ne voient plus un client, plus même un viaileur 1 D'aucuns, môme prétendent que • c'ast ta faute au commissariat général r

Que diable! M. Aïfred Picard ne p^ut pourtant pas, comme Josué, donuer au soleil l'ordre de s'arrêter

La Fête des Collaborateurs

Le commissaire général de l'Exposition et ses collaborateurs, accompagnés du préfet de la Seine, M. de âelves, et de M. Lépioe, préfet de police, s'est rendu hier matin dans la salie des Fêtes du r.hamp-de-Màrs. où le* p inripa!o~ mesures d'aménagement spécial et d'organisation ont été prises devant lui en vue de la solennité de demain dimanche.

M. Mi'krand, ministre du Commerce, est arrivé à dix heures pour assister à la répétition générale de la fête.

Tous les orchestres et musiques militaires et les grandes orgues ont répété sous la direction de M. Paul Vidal, chet d'orchestre, qu'assistait M. Gaïlhard, directeur de l'Opéra. L'acoustique .ie la salle a été reconnue excellente.

Voici, .tans ses grandes lignes, te cérémonial de celte fête artistique

Les commissaires français et étrangers, les» ingénieurs principaux, les architectes 'lys pavil)on-' officiels et «les sections industrielles recevront il truis heures de l'après-midi, à l'entrée de la salle des P/Hi:s. les ouvriers et contremaî- très qui ont participé, suivant leur p-ofcsslon, à la construction- des pilais de l'Exposition et contribué ainsi au succès incontesté au « grand oeuvre ·, Les artistes des principaux théaU-PS subventionnés, la mtlsiqtiti de la garde républicaine, la fanfxre de IBcolu d'artillerie .le Vinceunes assureront l'exécution du programme suivant Troisième retraite aux Flambeaux, de Meyerbeer.

acte de Guillaume Tell, de Rossini.

1W scie de M. de de Montre. t* b»Uet àv Cid, de Massette!.

Le Chant du Mpart et la Marseillaise. La représenlntion se terrniner!\vere six heures et Jetnie. M. Mill> rtud, miinttro «lu Commerce. :i promis d'y assister avec plusleiinj tte so's colii'Miiea dh gfulvernement. Plusieurs membres du corps diplomatique seront également pré-

Les Entrées

chiffra séné- nutionte de accuse les

suivants

Entrées gratuite* (cartes de circulation) 30" V*Ù Jetons l ouvriers Annexe d-j Vincennes (tickets) 4 :le Jetons et caries.. 1 lia Le prix îles ticket*! Il rétrogradé de 40 à HO centimes», cours ofliciel; maîgré cette concession, les marchands t|*iL se tiennent aux abolis diw porips (il) l'enceinte générale ont fait, hier, peu nrMtrap P^rJaJSrève t Havre Pour la seconde fois depuis inoins d'un an, un membre du gouvernement a été choisi oomme arbitre dans <: Ui-jn, lors du mouvement ouvrier isot, l'hiver dernier, NI. WalrJeck-Bo.: tit accepté ce rôle. Aujourd'hui, c'dst M. Baudin, ministre des Travdux publics, qui a été choisi par les ouvriers dn Havre.

L'entrevue de MM. Baudin et bfarala, maire, a eu lieu hier au ministère, en présence des délôffués des patron* et des ouvriers.

Après avoir longuement étudié la grave question qui leur était soumise, les arbitres ont conclu un accord dont voici les principales dispositions

Il ne sera fait aucune retenue pour les assurances contre les accidents'; chaque entrepreneur devra se conformer aux conditions de la loi du 9 avril 1898.

Il n'y aura auoones représailles pour faits de grève.

Il y aura arbitrage pour le fixation d'un chiffre, uniforme de salaire par heure des ouvriers terras- si«rs, point sur lequel les délégués n'ont pu se mettre d'accord les délégués ouvriers demandant le chiffre de 50 centimes pour les terrassiers avec outils, et celui de 60 centimes pour les ouvriers tubistes, et les délégués patrons n'oflrant que les chiffres de 40 centimes pour les premiers et 50centimes pour les seconds.

Relativement s l'arbitrage ainsi convenu, il sera distingué entre les travaux faits par suite d'entreprise pour le compte de l'Etat et les travaux faitt par suite d'entreprise pour le compte des particuliera et des communea.

A cet accord est joint un procès-verbal dont nous extrayons les passages suivants

Le t6 juillet 1900, le juge de paix du deuxième canton du Hovre, après avoir fixé l'accord des patrons et ouvriers terrassiers sur tous les autres poiots du conflit actuellement pendant entre eux,

Tiens, c'est vous, mademoiselle Beleourt. je ne vous avais paa rumine sur le inomeut. Eh bien, toutes mes félicitations, vous avez accompli un acte de vrai courage 1 Thérèse Belcourt eut un mouvement de surprise, sa ligure se crispa légèrement. Oh monsieur, il n'y a là aucun acte de courage. Tout autre en eût fait autant à tua place,

Non, mademoiselle car vous pouviez tomber aussi et vous faire écraser toutes deux.

L'interlocutenr de Thérèse Belcourt était son propriétaire, 1'aucien entrepreneur» M. Brigoïn.

Auunt pour se débarra*ier de son

importune que pour ae rendre c l'état de celle, qu'en effet, elle avait ».tuv<:e, j Thérèse pénétra dans l'arrière-boHîique du

pharmacien. qui ec ut aussitôt, crai tout monde s'y introduisit, pouat

derrière elle. 1 Coïncidence étrange j napé recouvert de reps

ou Li4ett<

Conii; ̃: Gendrin. So!ange de BoffrouléUit jjnvue de c c".

Dts soiua cuergiqu cal rouvrir le» yeux.

0» lui demanda son nom» son adresse, tas qu'oa euteadlt Ce

Ll ses sr rr.lvTipèttnX, SB» longs cil* mettant leur omhre sur ie» joues de cire- Si vous rrgardi«-ji dms s> ̃-•'• m»v- demoisfille Belcourt. dit le pt i^ui couuais»4it Thércso, laquelle uv. ,,hih- j pifeatA, il faudrait iileu !la.voir sua aaresse.

a pris acte de la àinMnm *1 parties de s'en re.mettre, pour la fixation salaires, ta un arbitra commun immédiatement désigné, savoir !• Pour les travaux de l'Etat, M. Pierre Baudio, ministre des Travaux puWics;

2, Pour tes travauat du communes et des particuliers, M. Marais main» de tu ville du Havre. Les arbitres «usiommé» se sont réunis à Parla, dans le cabinet du ministre des Travaux Publias, le 19 juillet 1900, dix heures du matin, et après avoir entendu

MM. Houdry et Vignsr, délégués des petrons, et MM. La vil là et Camiaale, délégués des ouvrier*. Et après en avoir délibéré, décidas!;

Les salaire* ta payer **rom fixés de la raaai&ro suivante

Ouvriers tubistes.. 0 fr. 53 c. l'heure. Terraasters 0 fr. <S c.

Per te contrat résultant de ta présente sentence, les partie» 5 'engagent i appliquer les aoitdittoos du travail prévues aux décrets du 10 août tB99 en oe qui concerne tes «loir*

Paria, t9 juiltel. Pierre Baousm, Mabuis,

hiprsoir réunion tfnue au cerf'

On croit qui 1res aura poifr effet £le terminer la

A la réunion tenue hier soir ink !in. les qui avaient ai Marai- maire, PhHs. ont rendu compte dû leur mission.

lis ont r.»cntité l'entrevue Pijtrû M. Baudia et M. Marais et oui déposé sur le bureau le rapport des arbitré?.

Après avoir pris conn.i ta réunion décidé que pris; lundi,

En con.«<?querjG«, la grève des terrassiers ^at terminée; elle avait duré cinqoante-huil jours.

BULLETIN DU TRAVAIL ÉCHAUFFOUREE «U CfttUSOT

On mande du Creusot

Une viiipluine d'ouvriers du ̃' "en"» ayant voulu, hier malin, >e:; ouvriers de travailler, des cou;1 m>^s. La Reaiiarmerie a opéré ùun quiiuaine d'ar- Le préfet de Saône-et-Loire, le soas-préf«t .,t lemarrese sontaussitôt transportés sur les lieux. Trois à quatre cents lié», a deux heures, à la por' ̃-•miç 1 infan- arrêies ce matin au surv: .iiicrif. Ils ont été dispersés par ia 1' iie- Un pemliirtno a été b! ,> de pierre. te de la a Le secrétaire du syndical numéro 1, arrêtai peur insulte!! à la gundarmerie, a oté con<lnit à Autun.

Le travail continue aux. usines.

Un service d'ordre a été établi, boulevard d8 Guide, par la gendarmerie.

Mîicon, 20 juillet.

Quinze arrestations qui ont été malin au <>Pusot ont étA maintPi.n

Le préfet s'est rendu au Giv-i- ̃

La sortie des atuliers a étt- i .1.

ÉCHOS ET NOUVELLES On annonce la mort de M. Brunrt, sénatern républicain de l'Indre, décéùV, à Paris, à la suite d'une congestion déterminée par l'absorption d'un liquide trop froid.

M. Brunet était né & Charost, (Cher). le 18 mu 1S'<5. M. Brunet avait été élu sénateur la juillet 18U1 et réélu aux élections générales de 13«j7.

Nous apprenons également la mort de M. de Ctijulois, sénateur inamovible, décédé biar uulin à Uerprac.

Ancien capitaine d'étal -major, il fut !̃ commandant d'un bataillon de n

la Donlogne, qui se conduleil vaillatnnK ui a Cotilmier».

Nommé rolonel. puis général, Il fut retraité après la pru>:rr<. comme lieutenant-colonel et officier due la Légion d honneur.

Il votait avec le centre gauche; mais, depuis quelques temps, la maladie le tenait éloigné >lu Sénat.

Nous avons le regret d'apprendre la mort de M. Léon Goujan, externe des hôpitaux. fils de M. Goujon. sénateur de l'Ain, maire du douzième arrondissement de Paris.

L'inhumation aura lieu aujourd'hui samedi, régime Saiut-Eloi, rue de Heuiily, a midi. Le ministre du Commerce a visité hier, accompagné des chefs de service, les ateliers de i'auministration des postes et téjt'ruphp.s, au boulevard Urune.

En truviTH.uH les magasins et les ateliers, Ni. Mitlurand s'est rendu c'tmptcque les réformes opérées d'après ses infractions dans le foncii«nni-.ment du service et les conditions du lracaïl auxquelles sont soumis les ouvriers donnaient les meilleurs résultats.

Il a constaté que le personnffl fait preuve, a tous les li'-Kré- de la hiérarchie, d'un zèle et d'un dévouement muurquablea.

NI. MilUrand. (lui s'est entretenu longuement avec un certain nombre d'ouvriers et d'ouvrières, a annoncé qu'il éturlicrait de nouvelles améliorations, ft il s'est retiré trèî< satisfait de l'assiduité des ouvriers et de la bonne Impulsion inj»primée aux services.

o

Le colonel Brun, commandant le 4' d'artillerie, est mis à la disposition du président da i Sénat pour occuper Ir poste de command.int M. Eugène ûtienne, député d'Oran, président de la commission des colonies Il la Chambre d'administration de 1'Ofllee colouUl, en rcui1 placument de M. Oeorgei Maason, décédé. 1 La préfecture de la Sdoe communique la note' suivante

Malgré l'augmentation des arrivages JournaH*rs en eau de source et en <ui flllré<5, qul, le lie ce müia, reot&éofeUent on disponible dtf plus de 60.OJ0 mètres cubes par^aur en «u» de ¡ la consommation, le gaspillage résultant de Ous verture permanentc et illirUe d un Krand nniTij bre de robinets dans un simple but de rt-fngt;-

La jeune fille se rendit aussitôt à cette Invitation.

C'était le seul moyen de se renseigner. Un gardien de la paix parul. voulant .M rendre compte de l'état de la vi mdi» qu'un autre recevait, dan» la ri; uration du cocher, qui avait bien uu mu a rurruter des tétnutns affirmant qu'il Il')' avait rien de sa finie.

D*s poches de la jeune fll}e, dont la robe couverte de b. n,.i ,-h:,r,i to tête. Thérèse

na, >nt une ciuqu avec dit» coin» un chiffre entr* i,icé au milieu, ruñîx carrés r !e»queli SOLASOB l>% JJOÏfaOMT

Ri'in .l'auir".

et Ion premier élève pal-

un ;j,i -.i juc bottine, le pi/xi n'avait au(llll mal.

en- tare 48 U «iievliit; Il faut la conduire â l'riftpiul.

M ,écria Thérète, cette jeune mie A

(1 d'elle"». pa> j ̃••itn' ft ;:Hs vii' de,-

C^iiiiiu., -ms If* soiiî chirurgien,

reprendre connitssaure. pstrierî

lA ruivre.) Ckorobs Maldaoih


ration a pour conséquence un déficit qui »'wo- erott rtans <im proportion* graves.

Jusqu'à présent, appoint fourni par les réserves a pu y parer. mais ta pression s'affaiblit partout, C4 cette reuMarce el*-même ne va pas tarder à manquer. Pour la r» r. ot il. moins tjue lescir- «mutantes ̃ 4ii|ues ne viennent à se Tnodifkr. à p». ,̃•"̃' '̃̃̃• ^nniKiiai juillet, le «ervire privé «cr» oent auspetula chaque nuil de otnehfui -oir à sis heureâ du matin.

La population en est avisée, afin «qu'elle puisse S'approvisionner d'eau pendant la journée. o

Le roi deOrèce est arrivé hi-r à Aix-less-Bains. La e et illuminée. La ftwle a salué i H le roi.

Le maire, t:otaur<- du cons.¡ municipal, a souhaité la bienvenue au rui, auquel M a offert un bouquet.

Ifne fanfare a jolàé l'hymne grec et là »«•* seiltuibv.

o

Hier, k onee heures t»» matin, ont eu lieu les obsèques de M. Simon Dereure, ancien membre de la Commune. décédé à l'âge de soixante-deux an».

Le rorlt'^e, composé de e\n<\ cents personnes environ, a quitté la maison Kiorttttirc. 96. rue

Orilmer, aux cris de • vive la commune 1 Sur le Ccicue.il, qui'éta'* ̃• rt >l*un umpeàii rouge, on reimr'ju.it' ui>tjs couronnfS envoyées par le eomilr' *̃- n socialiste et p<<r le parti ouvrier

Tous les assistants portaient à la boutonnière des immortelle» routes.

M. Boy, coin unitaire de police de la 2' brigade des recherches, a88iraii un servie; important qui a aeoompagrx5 le convoi jusqu'au cimrf tière da P&re-Lnf liaise. où, après plusieurs discours, a pu lieu rineitu'ràiion titr rorps. Aucun incident sérieux ne s'e<t produit.

Quelques amies assistent à la toilette d'une dame qui pourrait briguer son admission dans l'honorable corporation <l«s Cent K lus.

Un procède Il l'ewayagt! d'un corset.

llem<iri|uez, ma lame, fait observer l'es'sayeuse, nue c'est un corset en vraie théine. Alors une «amie», de penchant à l'oreille de 8a voisine:

C'est plutôt une vraie baleine en corset. LA chaleur Le thermomètre contlnue à monter avec une persistance fâcheuse.

Tou!< les records du siècle se trouvent battue aujourd'hui.

A partir du 12 juillet, thermomètre n'a centiKC'nies: il "a- hier aprè.midj, au iiiin- de Mont soucis.

Or. dr-puis I» (•!̃>'̃̃' mi! cet observatoire, la température la i qui y ait été enregistrée a été, en ls.

teint ce infime chill're.

Le record se trouve rlone battu, cette année, A dix heures et demie du matin, à td muirie de Il le thermomètre nccusnit deux degrés d'augmentation sur la veille, c'est-à-dire 3iJ* à t'ombra

A midi un, ijuact,. un aup,»reil place dans la cour du rommî''sitrliit pjonnriil de avenue Kmoji, H)aruu<<it, i'"inliri!, -4o*: il y avntt t peùt-Mre lieu de riiiro une !i;gèru ailtérence à »«ati.-e .lu la radiation des murs voisins, mais le chiffre n en reste, pas moins iiiquiéUnt. Le mois de juillet est ('('lui pendant lequel on «jfcserve normxtfinietlt, à P-iris. les plus hautuB Les maxima, d'â^rés tes statistitiues connues, n'atieiRiii ni p;is39°«tse uwnUennent h'éii.iratimeut aux. environs de

A quelles causes atlribupr la gran,le vague de chiilenr qui pa-se en ce moment sur l'Bijrope ? ynclques ciitTcheiirs veulent y voir une conséquence des t.irhes du soleil ou 1,. la réceulè éclipse totale observéti en Espagne. Ce ùe sont là h des hypothèses.-

que les t'hnlpiip* ont rare'nc.nt une ducber de la Un de cette période qui _iur;\ l'iii .'ouler tant grillé préiiiiituréii'iont le iman décor vert de nos boulevards et de nos promunade?.

On a pu croire un instiOit, hier, (jue la pluie bienfaisante et tant denrée allait s abattre sur Paris.

Vers irois heures, do gros nuages se sont en effet accumulas d.ms la iiireriiun du nord, rn.-iia ils ont été emportés par un venl assez violant. Nous n'avons é!é tf «tilles ijut: de larges gouttes de pluie; par contre, la j.'iêi«î fait un (ieu du ra\:»)ies dan>- la hanlieue pariBif.utiOi à Vu tin. a S tiut U:uis, etc.

La tension éluclrique n'en a point diminué et la soirée a été fort pénible, en dépit d'une brise persistante.

en une véritable fournai-o, où se meut av<*« nonchalance tuutf une population qui s'épouse on s'évente. Les t-attteh'ts protlU/ut du loui, ou le sait, et its réalisent tie h<-au\ UiSn*U'et* en se livrant il la vente des petits vents du nord Malheureureus-iTipnt, la chaleur f.-iit chm^ue iqur Jes victimes et hier les vas d insol.ition ont été encore plus nombreux que les jours précédents nous soniiniis contraints à ne rel*ler que ceux dont les sont grives. ̃w> Vers dix heures du matin. MmeAlphnnsine Betlière, Agée, de vingt-huit xn-, rite Marciidel. a éte fraiipiv de roukrestion :tU moment où elle passait en face du numéro Je la rue Ordcner

->*v A ta même henre, en face du numéro de l'avenue de Saint Ouen, une femme p.irais- sant S(<éc de trente ans environ s'esi brusquement sur le trotlnir, et dans sa chute elle s'est fait une profonde ble-tsare à la tête. La malheureuse, dont l'état est grave. <* été conduite dans uou voiture des ambulances ur- Vers une heure de l'après-midi une journalière, Mme Sillon; Leijrand. A«' de treot«cio'i ans, demeurant rue Je 'huée, été atteinte d'une congestion rérébraie en face du n* 204 Je la rue de MéililmonUnt.

Bourse 30/Oj.l-jniHetiaH» eut M 6.•rieaa»-r.l.1».uo>; aoo. Fore, ^sl 1535 | f^ "̃ (Onioi. d»»<*l- r'ï,tûnzl'-r î>eïte mnisir noe J wv .1 >ji.nt-Loms «ai r 10 MO ï,niaï" le* ->i i'coîrm j. 70b! lSSi.*0,H.r.M0.l.p. S« 5.4^ l'nV. T'ais ir.i Haïti 18S i 0/8 Otwmant J^O 50! «0 ™ "lo lM9.30-«.r.<00,p. 416 4H Vu onomlo.. 4C« lt»9«6*/«. ̃ »» Crédit foac.er d fcuwicne. l*« U»< m >« ;t nu ce lus S :aux «* le i«3 M t8sî,;l,t.r.i(iO,l.p. 3a. <*̃̃ 4.41111 ,or,. H*i 50. i(U 1-3 -ri! = 18»,. aci. jouissance. H"* 1». ue Fecamo 6.1a tCorvegie: » -«j ̃ -neauuu; ^J • f™ i;>l»'a1.fere»Trani.élect Norvepei. »J 60 ^onuitais {* j*rai » "• i9u ne • ̃ ,ts ùuvai 3*» Od's. Tabacs port ♦ 1/2 Û/0. i- • j oes i*i«iiwtiDe6 Ç*i -̃̃ iJecuan» a Aio-sefra va non <ie ran île Hordeaux3l 26» :«o ;.nes ue Ma.fiaaiio ll« .• 1 i» ts au Portuka. <*»̃̃ lj» UUltviit 5i* ̃ a'oretd'exD. C'(r.aes\ "• tw» i«« ô 0«» aaiareiï. 188&. a» "0 !̃>̃* >ioam*aoefn a Tiarev. »S8 «" i a/u amortis. i*M. .»rsi* •*» • va* ^rauae-i-eioture ••/ de I.von 3 9/0 18». 103.. -»3 • 100- ae parti l** J « -̃ ̃̃ ̃_̃̃ .'« • **J ï) «îunpii'riiiiif à, i« 5»i ;nsa«Cori>eil vs» » M 1 Banuuedel.'nHlee.ep.«» 3& Rus»e isK5 «'i, -• 30c. noax.. Huss:t a>«nd e» iw .^u.ierraaee » «;» «*» i-j^u « sa« 616 » wi m Pan» .«•-̃« tss» .il uremD.au pair » ̃ *» A;pmeâiSoc.min..ex c.ii' »' •̃ Gompi «M *0.i)or •»». à» etî-ém. » t? M Vtf «r:anwi L:o«* j-, v7«,r^nS,™^iiii'" iîi •'̃ ̃̃».. Société ctvu* «li- M» «. Au^f trhn.a,, 460 i60 0 0 or la». ♦• -nus I* -V -j I- -ncior c nmannuetlMÏ. w/ Anoaiou» j_- ï Cioumème l- A. stylêne la» 50 «3» •<̃ -1"* "'L. t" *• SS5 Jto w W» Tu. omptoir- Foncière Lyonnaise. 3.4 Tater-PousseteiRoyai* wl ii 131 -A, «.* 9i! «-̃"̃- <*9 nu» ..Moue Nawouaie » *& 90 riuW-o^a «W 38W atwrean. W .,n U6.> S j.^» ttfténw ^«'Un^rt ri» 1 ;$le ••• «naiofuin» *«/«. 1 »"« j« France eieuraas«r..J «•

La malheureuse a succombé à l'hôpital Tenon, où on l'avait transportée»

Dans la matinée d'hier, un commerçants domicilié à Dijon, M. Victor Elophe, kilt de cinqaante-deux aux. qui, de passée il Paris, habi- tait rue Turbigo chez un de ses ami*, a été frappé d'insoùtion au moment ou il allait fran- chir la porte de Bercy.

Quand on le releva, il était mort.

̃wv Quai de B<rey, vers dix heure» du matin, Un marinier, M.Jules LacaiMe. qui arrivait de Rouen et descendait de sa péniche, a été frappé d'insolation.

Il a été immédiatenJent dirigé sur l'hôpital Saint-Antoine.

•*vv Due de Montreuil, une fillette de quatorze ans, Marthe Sylvestre, s'est :illrti)««ée, vers neuf heures du matin. frappée dé «kuiKestioa cérébrale, et a èié adroise d urgence à i'hâiiitaj Trousseau.

w» Quai aux Fleurs», une fillette de dix ans, Louis Bréchard, dont lest pwrents habitent 9, rue Thoin, s'est aU'aissée sur le troltoir, frappée d'insolation, et à dû êtrè transportée rilôlelDieu.

«*»• Charles Mancion, axe de treote-c.inq ans, aide cuisinier, demeurant 32. rue rlu Mail, qui travaillait ctiez^M. Amiot, 12, boulavartl riamtMicnei, a été pris d'nne syncope due à la chaTransporté à PHÔtei-Dieu, il y est mort sans avoir repris connaissance.

Un gurçon de ca/é, nommé Chêne, âgé de t ci, 1. i\: uile, 40. rue de l'tînivt-.rBité, soins qui lui ont été prodigués

-w. Un homme de quaranle-ciaq ans environ S'est alfsissé place Victor-rlu!iro,'à Pa<»sy, et est mort pendant qu'on le transportait à l'hôpital Les vêtements du mort ce contenant aucun papier pouvant servir à établir son identité, la corps a été transporté à la Mordue.

̃v«. A Pantin. vers neuf heures du matin, un posant, M. Ambroise Mariel, dfié de cinquantehuit ans. demeurant A3- rue Hocl'.e. s'est ufUisse rue Victor-Hugo, frappé d'insolation. Quand on le releva il étai mort.

A Aubervilliers, on a trouvé mort, dans un terrain vague, près du canal, un journilir-r, M. Louis Martin, âgé de quarante trois ,ir»s, demeurant 30. rue de l'Union, qui avait été atteint d'une congestion rprébrale au moment où il se rendait son travail.

Presque à la même nwire. un ouvrier, m. Julien Cousin, 6gr: de ans, domicilié au moment où il trav- n riaim D^nis. A un ouvrier verrier, NI. Désire ans. demeurant Vanvcs, traversait il

son domicile, où il est mort en arrivant. A Ivry, un charrutier, Auguste Le Ntiinark, Asjé de cinquante nt un ans, faisait boire, à midi, ses chevaux, rue Hurbès, qu nul, par suite de la chaleur, il est tombé sur la chaussée malgré tous les soins, il n'a pu être rappelé à la vie.

A Vinconncs. vers une heur, un charretier, nommé Lamtwy, A^é. de soixante ans. de>meuiant route de la Hévnlie, à à l'-irisenal un camion churgé de tonneaux de poudra, tomoa de son siège et rnst* étendu s.tns connaissance sur le sol' Relevé par des pissant- Ift fualheuieux, qui venait d'filre frappa .l'une caugestion fut tr-mspurii: a.L'.tit5pïtal mili1 taire, fi expira quelques instants âpre.-?. Une- fieure pins tard, un autre charretier, Paul Ditcnaut, de quHrunte-einq ans, à la porte du m:i,?isiii i fourrages do SaintM.tnUe, frappé d'une attaqu- d'apoplexie foudroyaole, et na tardait pas à expirer.

M. Lo'o.s KretteUy, âgé de trente cinq ans, qui passait -,i bicyclette sur le jiolyiî-.nc, rtiula tout il coup il terre, ftolevé et conduit pir \ivG- miiftairç-s'à un po^u du swours voisin, il y expira uuc heure après son arrivée.

A La yaren-ne-Saint-rîiliure, Mm« vwuve Noizeltier, â.ré« il»1 cinquante-neuf ans. a Mi> frappée d'insolation sur le boulevard N u tonal. Quand on vint il son 'secours, la avait cessé de vivra.

̃wv A Vitry, une foinrae p-iraissant 'i™éft tte quarante ans, qui demeurait rué des Il''1'111', it'ui.i un ch irop. Kl le a été trouvée îuorto, frappée d'insolation.

LES TRIBUNAUX LES COURSES DE D.UIL

On n'a pas oublié }es incidents quirent lus courses ùV: taureaux or^anUéoS dans lus arènes de Deuil, près d'EiifThn-n.

Plusieurs b.«rirrcs eurefit lieu. Un Suédois, M. Yvan Aguoli, pour tétnoiiniv.r sentiuuvils, tira mit un de tnré idors.. sans viser Aucun d'eux sp.-ciaiement, deux coups ,le revolver.

L'un, nommé Labor<la, fut hlesséldg^rement au coude un antre, Félix Iloberl, eut la manche de son vêtement traversée j>*c un projectil». NI Afrueli a comparu. Hier, pour répondre de ce fait, .levant le Iribunal correctionnel de PortUne dizaine te témoins ont été entendus et notamment Mme Huo.. Lie la IJKoe antivivisec.tionaiste, bien connue pour manifester uruyatmneBt ses opinion^.

Le Irihunal, aprè-> la ré«|ui,sitoire peu sévère de M. Press.u i, sutwtitul, ct une vibrante plaidoirie de M* Henri Robert, raerahru Inj-meme de la Société protectrice des anïmaux, a rondamné M. Agueii à trois mois de prison et 200 fiants d amende avec application de lu loi Bérenger en ce qui concerne l'amende seulemcttt.

NOUVELLES JUDICIAIRES Le procèf» intenté par \1. l.auiy, nrfcuoiaut à La ( Loupe, à la Gompwik' dr! i i'at. à la suite, m rac'iflent dont il fut victime u gare <le Chartrt's, a eu sa solution hier devant le trihitnal ,le cette ville.

La Compagnie a été condamnée à payer une

On se souvient de quelle nature était cet srH- dent. La Compagnie, pour exécuter certaines j manœuvres, avait dû faire arrêter le train avant j d irriver en «are dans on endroit non éclairé et dont le aol était à 50 centimètres de la dernière marche du wagon. M. Lara y, qui ne pouvait connaître celte particularité, était tombé et s'était brïsé une rotule.

En cette saison la digestion est pénible et aocouipagnée de somnolence. Pour stimuler i't»tomae et réveiller l'organisme, prenez après les repas quelques gouttes d'alcool de mrnihe de Rieqlès sur du sucre. Exiger du Rleqlès. L'abondance des Matières ̃»** oblige de renvoyer à demain la suite de natre !ntêre<t»4u>t renllleton, L'HOXXKim »C FtAXC*par Paul d'Aigremont.

Les cycles de toutes marques sont vendus contre premier versement de 10 fr, pour lùO fran<-s, et les machines à coudre livrées cmUrd premier versement de 3 francs, aux Grand» Magasins Dufayel.

~PÂRÏS

L'Incendie de la Rue des Trois-Bornes Un incendie considéranle a éclat!) hier soif. vers minuit, rue des Trois-Bornes, >i\ns les ateliers de M. Goûtera, faoricant d Articles eu celluloïu.

Les dégâts matériel sont peu importants. Malheureusement, plusieurs aeeideats de personnes se sont produits au cours des travaux de sauvetage.

Tin. lis qi>" les locataires de la maison scnfuyaient atlolés, les pompier,¡ de la rue de la Mare arrivaient et procédaient aux travaux J'extinction.

A ce moment use vioieute explosion se produisit et plusieurs pompiers furent brûlés. Ge sont les nommés

ijmtherot, adjudant, brùiures profondes au cou J'upiat, sergent, atteint ijrièvement à la tète et aux mains; le e.ipural Gilbert, brûié /iux mains tirais autres sapeurs ont reçu des brûlures plus légères.

Un emballeur. M. Louis Giiraud, vinçt-quatre ans. demeurant 5, rue s'est blessé à !a jambe gauche en sauvant Mlle Fernande Bardeau, âgée de quaiorze anr, une locaLtire qui avait subi un commencement d'asphyxiti.

MM.OeorgesDeblène.tapissier; Miiirice Henry. typographe Henri Pelé. couvreur; Etienne I'1'bon*, "Joseph Dachosne, .lul<-s nios et ̃ 1tier, encolUbûnat au -auvetace. ("m s plus un moins jjriévemeul.

Ou croit que l'inceii lie été provoqué par l'eievaiion de la température.

Une Fortune dans un Chignon

Il y a quelques jours, uu m.ûtre-iu auoii italien, M..l"o-jph Lmcaslri, de puss.ijte 1 Paris, était victime d'un vol l'américaine adroitement exécuté par deux hommes et une fe urne, >es compatriotes, qui I av. tient dépouillé d'une somme de l.SOÛ Il'ne,; environ.

Apres avoir porté plainte, le mallK'.uv.ix div st-j)i-i'.dt de retrouver jamais son pùiulc, lors-t qu'avaiit-hier soir, vars oivt>i heures, il aperçut sus trois leurs qui. prertaieiii des consoiDin.ir 1 biitilevàrfl f)id.ri> Aussitôt, il a4la ctiin'll.-r deux (gardiens de là pax. et les in«tt*nt rapidement au 'courant de la s Kntion, leur .demand* de s'assurer immédiatuin -nt des trois individu*.

Le. .itjt-ut.i s'avanceri-nt vers le tfio des aigrefins, mais à. leur vue ceux-ci voulnr-iit s'enfuir. Une lutte épouvantable s'ensuivit, au murs do laquelle les deux tfaruieus assommés par l'un je leurs adversaire-, vériUbln hornuW, mordu* à belles dents par la femme, aliment succoniDers. lorsqu'ils lurent secourus par quatre de leurs collègues

Les trois filous furent albrs conduite devant M B>'un>-t, coibmissaire de police.

In t'i-i'Ogifis par ce ma-'istrat. ils nièrent cllron('̃mi-nt, et l'on désc-pér.iit de li.-s convaincre, n'ayant ahsoliTiiïénl rien trouvé sur eux, lo sque. élouné de voir la jeune- femme consolider à chaque instant «on chignon, :\1. Urunof le lui lit défaire et trouva, au milieu des cheveux, un rouleau fait ,le hvLzt; billet!» le lianiU-- -le cent francs, à f'wti'rieiH' JcsquuM étaieut cacht'*es truie bagues volées commis les billets il Lancistri. Les trois filous, qui n'ont pas voulu fairf. connaître leur identité, ont été envoyés au dépôt. L'Agression de Satnt-Oenls

A la suite d'un-; a^re^sion coinmissi SaintDenia centre un r.ycli-lo, M. Guillaume, nous l'ivious annoncé Tsyreslation de irois p«>rrîonn?s. l.jin deS inc.uipés, M. Poricuux, int>irro?é plusieurs' reprise^ par M. Anhry, ,juge d'instiuction, en prést n.-e d son avocat. M* .fumier, ayant pris la responsabilité eiitiôro de la tentative de meurtre, les deux autres ont été relaxés. Le dossier 4e l'ilfaire a <Sé communiqué hier au parquet par le m igis'rat instructeur. Faussas pièces de 5 francs

Depuis quoique t^mps on signale dans le quartier <l»i f.uibourg Montmartre l'apparition de fruis-<es jrttves d<; francs à l'ènijrie m1 la \{,;publique dite à l'hercul» et au milésiure 1S71. Cos pièces sont très bien unité. m vis elle* sont néanmoins assez faciles à reconnaître en raison dé fa légèreté, de leur poids.

M. Cotillon, convnf-saire de pltce, à la suite des plaintes déposées à smi bureau, a télégraphié auservicp de ta sftreté pour faire rechercher le ou les faux monnayeurs.

Le Ch3ix de la Gitane

HracU, âgé de vingt-cinq ans, miisiiven ambulant, demeura1)! lvjulevani de i'Hôi'hal. et Pcttro (.estirho, âgé de vingtdeux ans, artiste dramatique, tous deux de pusage it Paris, urùl. lient d'un auour ar lent pour une brune Andaloust-, Manuelila Gracia, qvJi in(f-'nit en une roulotte remisée dans un terrain vavrue du boulevarl de la Gare,

Depuis plusieurs semaines, tes deux amoureux rivalisaient d'assiduités auprès de U ^ritune, 4jui se refusait à se prononcer, ne voulant jamais leur dire li-uuel des deux elle préférait. I!9 désespéraient l'un et l'autre le triompher, lorsque hier soir, ver- neuf heures, ils se fetrouI d'atteaurir leur idole.

Furieux de voIr qn'tts avsJent ee la mPm» ? idée, u» se ruènsat V m Sur l'aiilre et eo vinrent rapidement aux mains, dér^aàs à en Onir, lut- tant en àAuvngus, poussant eu leur tingue ma- ternelle d'horribles jurons.-

son veh.cute. Comprenant bien vite ce qui se pa»«ùt, la jeune tifie eut peur pour celui qu'elle fMvférait en secret, Jusé Brada, et se i>')rta à .-ou sc,our#, fait.

Armée d'une longoe navsja, elle «e rua sur Ostieho, ijui atiai! terrasser son adversaire, et par trois fois te fra:,pa dans le dos.

L'Espagnol roata a tarte en poussant un cri teinbte.

Avant de perdre connaissance, H eut taiioulejttr de voir son rival disparaître au loin, entraînant la jeuue femme.

Bientôt dû» pas-ants aceoururpnl, attirés par ses cris, et le transportèrent à l'hôpital Cochon. reçu Lt .léelaration du blesse, il, lancé des iuspecteurs sur les traces de la gitane et de son autant.

Un Homme sur la Tête

Dans la soirée du li juillet., M. et Mme Gnillard, coiffeurs, ru« Lumartiue, se trouvaient sur le quai de I» Mé£ttss<-rip près de fa rne du Puni Neuf, iis-islant au feu darUlict à cet endroit, ijuan.l tout il cùup un

éi ait huche sur un arliro, p-rdaot i ̃: vint s'abattre sur Mmo tïirilard.

la milhtfureuee toiuns, «sshz «rtévetuent blessée, tut tr-insgortôç ù*tjs uue |>bu-iu icie du voisï'.iaKe, ainsi i|u>e l'auteur de l'acridùnt, qui s'était uêmis le pieJ droit daas sa chute. L'étit due Mine Guillard ayant été reconnu très grtiVË. on la conduisait à l'Hotel-Uieu.

L'homme, autres avoir tl

fmnisle. diiiii i, rue Larfille, profitiit du moment où monter Mme Guillard en voiture pour r.

Maigre tous les soins qui lui furent proligués, Mme Guillar 1 succombait hier à l'HôtelUieu.

Son mari se ren-lit alors Ni. Euriat. commissaire de police du quartier riatnt-<ierra;iinl'AujKTrois, et lui mcotiU l'accident qui avait eu» de si terrible-' fon.-équeuces iwurs.i feiinne. Un in- le polire fut cnvoyé 14, rue Lagille, u rit là que Oli >u'nn n'habitait mois de février et que l'on ignorait sa nouvelle tlemeure. Ues agents de la sûreté se àont mis i la recherche d'Ernest Chantou.

Les Ecras&s

Dao| l'après-midi .¡:hier. vers daux heures, le cheval attelé à ta voiture l<; place numéro 72Ji se en station byulevirl des Bitignoles qunnl 1 tout à coup, effrayé par le i>-is^aiîi! d'un auloiiifibile, il prii le. mors aux dents et parcourut le à à i«ie allure vertigineuse. L'animil viiit s'almtre ·ur une lapssière |iii aviitélé inte tionnatlement iilacéfs sursacuursç, mais toutne Re réduisait maiheureuseaiient pais Un ouvrier mécanicien, M. EtiKène IUssimir, 2l;é de vingt-cinq ans, qui pasvait à bicycle te, avait été renver* et 1rs roues île h voiture de place lui avaient fracturé les j;tinb -s.

Le iiMlheiireus, qui po> tait en outre une profonde blessure il la tête, fat transporté dans une pharmacie ae la place de Cliçtiy où un médecin lui fit Il!! pansement provisoire..

qp^m)s*«ura poHce^fW quartier,,

A peu près à la même hrçure, un autre accident devailurii si: pru.iiiisait avenue de Cl.ichy. Mme Lucie Hiusert. (le qu.ar.-inÏR-sii au. re.n,i'ire, demeurant 85, rue de la Glacière, Ira-) ver.-ait la chaussée en compaKni-e de sa lllle.Airé^ de vingt ans, quand, soudait!. louU's -leux furent rcnvei'sêps paf due voiture de rorn murée dont le chev*» était Uncé à une vive al.lure. Les malheureuses, qui avaî-nt étéatteinteé sur diverses parties du corus, tt assez «nève-» meut blessées par les roues du véhicule, •rit sur leur d.'inafi.lR, elle, ont été reconduites à Le cocher auterr de l'accident a été mts à la disposition de la justice.

Les Désespéré»

Un bijoutier domieirié avenue de la RépuJ- bhque, \|. Uiphiël Abrahim, âgé de cinquante*ueux ans. q«i -mitlVait tlepui» lonîftemps l'une lie incurable, s'est suicidé tuer malin un se tirant un coup de revolver dans la bouelw. La mort a été instantanée,

̃»•* Dans la matinée rt'hier, on a trouvé pendu dans ta chambre qu'il occunait 41. nie Pascaj, un onvrier tourneur, M. Augustin Kully, àgâ de soixinte-liuit ans.

Un ignore [il motifs de ce suicide.

tlna Automobile en Feu

Hier malin, à neuf heui'fs et demie, rue Rennei|iiiu. devant le numéra 2'J, une automobile a pris feu di(vs les circonstances suivantes Le véhicule, conduit par M, Alex ifilre Meyet", négnciatit, demeurajit boulevard .Vlalheshiirnesi, 23, accomnifiné de son lili Frédéric, s "était arrêté, l«sseni,e étant venue à manquer, M, Mcyer fils prit un bidnn et voulut remplir le réservoir.

A ce moment, une explos;on se produisit et des flammes coururent tout auteur dit la voiture. MM. M,eycr ai'iés de p:usieurspa*«anit»tt.ssayèj reni, m us en vain. d'éteindre le feu, le véhicule ([il e.'ii \rement détruit.

En procédant aux essais d'extinction, M. Albert Enek, blanchisseur, a été brûlé â la main gauche. A L'EXPOSITION

v», Un gros succès en ce moun-.ut. ce sont!; luttes qui ont lieu au Vittage Suisse. Les amateurs de sport .«'y passmnneni, il'aiitan*. plus qu'il se peut fort ne quelques juiirs encore. Kù elTet, les champions helvétiques ne sont pas des lutteurs de profession, mais i ;rs que leur* ocriiptimns habitueilu.s Cep>»!ldi»Jjt, l admurstr;»tion du Vi'l .o. -.̃, voyant combien !̃̃ public a pris goûtlt h ces luttes, à oiiifiiu d« plu*i.;y*s autres de valeur la promisse formelle de venir remplacer les premiers.

Tout le rnonde s'accurlc à ilire que le théâtre des Voyas-S animés est un îles ptiiR-intirejisints et de-, plus artistiques: »u*«i est-il, le ren.iez-vous des famill<-?, <iui reviennuut plu-

srienrsfoi!» voir le» itfWrents «pprtiiplesfjul rtianpolit eh ni M* juur. 11 faut dire que c e*t un des rares théâtre*; de » exposition pouvant être vu par tous. et auquel les grands comuitj les petits truuvent un plaisir exirê'ne.

PALAIS DE L'OPTIQUE LA STATUÉ! D'OR D'UN MILLION M tUmuMi f*t I If. se. 1 ii. fttt la prient tt ktii; AUTOUR DE PARIS

Bouhtgne-stir Seine, Au numéro 14C. de l'avenue tic la. tiçiue. habitait un ouvrier blanchisseur nommé Faucher, -Agé de trente-quatre ans.

Foui-hy.r. (Ktr. suite de maladie, ne travaillait pas depui* un cor

Hier, a onw.heu -in, «y» reulrguil pour déjeuner. Mme tro"1 ̃i'1 ••̃! pendu n une corde aliachee à un

Aaulôi'fts. Hier soir a six U0..1. -< Karçou jo >|Uinz«j ans, Lé«ipt»ld l.fsara, iiemeu- rant à GMchy. rue jttvIluL na*s.int (jini d'As-! nières. en face du numéro W,

coup un homme d'environ so

vêtu de noir, qui se pu .>. «.a ̃ rs s« jeta l'eau et réussit a ramoner ûtt1 euic \iVaiiU *ur le. lufiL li acte transporté à i hôuital ïieau mort que'

I. futit n'a

;uis, «itineuiunt rue de Ci.: t hier soir un oscalisr, qtuun ili\-s«»pt an*, qui jouait avec On iy«i j*ir sur u ijéie-iite « Wiuèro au cùLe la ^ravitttik: la LVvtraotîun u"a pu cuCure avoir lieu.

GenneviUlera. Ueux jeûnas Rouleau et Henri Uevienn-8, demeurant il Pari' avenue de Sainl-Onuu, s'amosaient !:̃ pécher, dans un Uate 'iii.prè.-i du quai

quand la I gno de ,it une racine, il se neneha pont la déoroi •

tomba à l'eau.

AUX Cr.S J« Si" poiièri-nt au se. mais toutes lus teçljt corps

Le gardien de la paix Leloup maliu, vers trois heures, trois individus qui suivainni la.euutî de Pans, Iftir dfimanoer Suit iU veuait-nt.

Le^ rôdeurs lâchèrent leurs paquets, .-rt ri. 1 en! île |iied et de niUon.

Us au s enfuirent que lorsque le malheureux arfent s'arma de non revolver et Ht feu. On n'en a pu retrouver auriiu.

Le gij-dmn, dont le* blessures sont grave, a dû interrompre son service et s'aliter.

Oomly. Vers deux heures de l'après-midi, un individu dont l'identiié est «neore inconnue. \1 Yicl«r Ligue se promenait fUT 'IL berge du canal ses aiu. es! ̃̃" •̃̃̃' ̃ Um donner U. eiUlé dans ;̃. -,̃•̃̃ •.tion. Son (Udàvre a vlô retrouve quelques heures âpre?. -'̃<̃̃ It'ry. ̃ 1 ̃̃ '̃̃̃ ̃'<̃̃̃ un nommé Ali' | .ni", se haljtnalt in. pris d'une (iontfrtstion, Il coula au fond de la' rivière.

Des mariftwrs qui se portèrent à wm se, mis ne purent rameutr qu'un l'a lavre.

Mt'itiix Un ouvrmr l)et««. l'iujTt» urnt'\ • «inus ir ••̃. a l.->l«.s.-iL- Vil. j ̃̃ j'eUiilt sur le^ nesav.i. r, se jeta tout habillé dansi l'cau en pi. -on petit (f arçon. Agé dq huiittas.

reux était 'â^é de trente-quai re ans.

Munies En se baignant dans la Sein?, h Limay, M, Isidore Dravet, Agé de quarante et un 1 an», e'mpltité il ta 'Cempagnié de l'Oued, s'est noyé. Ou na pu retrouver son corps.

DÉPARTEMENTS (DE NOS CORRESPONDANT* PiHTlCCLlKRS)

Ytndreài, jutUei.

La nuil ci, u arci- deuL s esi. produit sur la Iikiw à B* i.Wii ont •lériiillé n gare dï

ses n° venant en sens roritrnire. Par suite de cet accident, les deux voies ont été obstruées et ce n'est que vern trois heures de I '«prés-mi li que la circulation a pu être rétablie, H ny a pux eu mais les voyageurs ont suhi un Krand retard.

atauykl». Hier ?oir, vers 0112e heures, à H nonville, à lasuiU; d'une querelle entre deux :ite a éclaté. Tnut coup Corneille, amc e.inae <;pée. parla à Hulin plusieurs c.up.s qui déterminèrent la mort de.celui-ci. Corneillu a été arrêté par la gendarmerie de Méru.

Chart. • Hier soir, vers cinq heures, un grave acrid«ut d'est ptudUit à la f ̃̃̃•• ̃'̃̃ ;m moment où des ouvrier

fusion unis

Là fonte jaillit

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gur.:8 sont (ri;s d a an le •. ;m,wc Ul)'M-é par la fonte eu fusion et son corps n'«s| nu H.u; plaie. U'est un excellent ouvrier, estimé de !le:!

unef*. M est Tk«-pn?sW#nt de I» Soeift* dM travailleurs de la vilie ils (kiartre.

Roabaix. Un train de v. n»nt de JTives. à >1,>na!li.n IL; T lU

àx- de cru. ;i ftfU « la iUi'UHlui

venis ta ttArfl. L t

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Clou il ua I1MI11 -jui qui a r:-»-- M u'y jri :a eu d'accidi'ia de personnes.

Oord»«ux. Lt ste uner tpj. tahle Loaruu.uth, allant à I. ¡un. ,|ues. Dnt .1 (H" a.iKC et un

-t_ .̃ t Cl I v.t, ̃ !il-jlle. leur m»ri-lHiiua. Le Capi; ;Ollllé caution et u continué m^ ^i i.1..

Un incendia s'twt déclîiré hi, près. In ̃'̃•:̃ r ̃ -:•• Uli'il!> i ̃ .que, ;tl-\r

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«il délérior.. el. sont t J>).W> Ir.inc- iu- |iar

iMUces. Au cours 'J>i l tucei priét.Uni iKJ lit r et ait bras ^tuehe |>ar des i-ciai f ̃ La i-tnk'ur est toujours -i iwf à I5ifrd'i'' marin, "'•, hier, S'il' le mi navire, "i am.iriti d-ms les d<tf k*. Il .laui uu éUt très grave 4 f hO|nl.ii

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I.» (DUS Jl.lUs f i!i((! «eut peu nott}<̃ .̃l.c.il'i- f .*̃*» Hit") tu'imnc f. i'eiid.tul en ̃; U (jû àlft>67.

17 à 7ïtf>,

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Sauf la Banque ̃!» P .̃•.<. ><<<• n.-i-.| un peu 4" à terrain a rétfit re-^ent drMis leur

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OdUlVS I. ̃ ItK

i» <i'" 'l'un: b.. 8»i>0 Italien W 25 Bani]. Ottomane SI8 -^»

EN 2O JOURS Itimil mit» et» In f (EURH «I lt CHARfTS B ÎOS. Kn« Îitlmt-Ooilllnl^nt l-irta.

LA TEMPÉRATURE Samfli jtiilfH, jour de l'année, SI' jour do I.pvh 1 A to, rouchrr à 7*. S». Lever dt Iji lun- itc-hn' û > h -tî.

ud sur eûtes nuiik la et


les liée Britanniques en France, on signale des orage* à Nice, au mont Mounier et au Pic du-Midi. La température rente très élevée dans l'ouest et le centre do l'Europe; elle était hier matin de t» a Stockholm, 26 A Paris, 28 à Bruxelles.

Hier, le thermomètre a atteint 3J* a Nantie. 38 à Liiu»#iw, 37 Bordeaux et au Mans, U à Lyon, Nice et A Monaco, 32 a Marseille.

En France, le temps beau et très chaud va se maintenir.

station particulière aux Dont français la mer est toujours belle sur non côtes.

Variations ,tun<jspuénques au 20 juillet, à notre Mlle des dépêches

HKUHM BAKOMtTO THBRMOMKmt A t h. mat» :60 •/• !9' au-dessus de 0 Midi ;61 •/•

4 h. sOir 7(il •/•

Minuit 76* •/• 25-

NA VIGA TION FLUVIALE- 20 juillet. 7 heure» du matin

HaoteSbiwe. Pont de Seine, a Montereau, l>58 ccius* de Varennes, pont de Melua. 2·80: pum de Corhell, l"6t écluse de Port a-l'Angiai&. Marne. Ectuse de Cumtares, fi1) écluse de Chaliferv 2-l8 écluse de -?-il)

HA»»E-3tiNK.– Ecluse uu (anal Sai ni- Martin, 1-51; pont de la remrnetle, o»»l pont Royal. écluse de Suresnes. barrage de Hezons. pont de Mantes, écluse de Méncourt.

Oui. Barrage de Venette. 1"22.

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Celle de la première page représente

tes Légations européennes attaquées par les Rebelles A la cinquième page

Carte te l'âpin étais et Haï ie la Tffls dl Pâkâ Enfin la huitième page est consacrée L'ARRIVÉE DES DÉLÉGUÉS BOERS A PARIS LE SUPPLEMENT LITTBRAIRK ILLUSTRE du Petit Parisien (1 pages de texte, superbes pavures d'actualité) est mis en vente tous les jeudis.

LES COURSES ENGHIEN

RémUais du uendredi SO juillet 1f00

Le thermomètre marquait 33 degrés, le tonnerre grondait à l'horizon, mais la foudre ni la pluie ne tombaient; il n'y avait que les chevaux qui se chargeaient de ce détail.

Sur cinq chevaux dans le prix du Mont-Perdu, quatre ont culbuté Co-nmandant, Judith, Bafardo et Libertin, ce qui a permis à Spécial de gagner facilement. Tous ceux qui l'avaient pris ont déclaré qu'il aurait qagné de même, tous les autres restant debout; cest bien possible. Valois Il avait gagné précédemment le prix du Marboré, battant tres aisément Far Wesl et Bar et cinq autres. Il a été très bien monté par un nommé Callot, qui m'a paru avoir des bras et de la tête.

Vigoureux a battu Dolore et Désiré* dans le prix du Tourmalet, et trois autres, dont Corton, qui n'a pas figuré un seul instant. C'est trop mauvais de la part de Corton pour être exact, et Bi c'est exact, c'est très mauvais pour ceux qui amènent sur un champ de courses un cheval hors d'état de gagner.

Le prix de la Bidassoa a 4té pour Ragot, battant Jenny, qui ne peut pas finir une course, et Dagmar, qui ne la commence même pas. Dans le prix de la Maladetta, on recommandait à un gros joueur la chance de Kernitis 1!1 Moi, dit-il, mon siège est fait, je joue Férule, si clle est montée par Wright 1

Férule ayant été montée par Brooks, le gros joueur s'abstint prudemment, et fit bien, car la course fut gagnée par Curieuse. Curieuse était montée par Wright.

La journée a fini par le prix du Taillon, où Buell ayant refusé dese dérober, a battu facilement le favori Crabe de deux longueurs. Une réclamation contre Bueil, qui aurait coupé Crabe à l'arrivée, n'a pas été admise.

Prix DU Maubor*. Haies, 9 ans, 8,000 francs, •500 mètres. Valois II, à M. J. Jacquemin ICallut); 2' Far West (A. Clay) 3. Bar (LéoNon placés Chervin, Angliers, Cambronne, Roi de la Lande, Dargello.

Gagné d'une longueur, une longueur et demie du deuxième au troisième.

P8!X du MONT-PERDU, Steeple-chase, 3,000 francs, mètres. Il, Spécial, au prince G. 6tourdza (C. Smith) Judith (Leborgne). Non placés Bajardo, Commandant, Libertin. Gagne de loin, loin du deuxième au troisième. Prix DU TOURMALET. Haies, handicap. d,000 francs, 2,800 mètres. i" Vigoureux, au comte de Songeons (W.Wright); Dolore (Makepeace); S* Désiré (F. Hall).

Non placés Maugiron, Corton, Lady of the Gagné d'une longueur, quatre longueurs du deuxième au troisième.

PRIx D6 LA Bidassoa. Steeple-chase, fcrancs, 3,500 mètres. 1" Ragot, à M. Th. Carter (Gildon)); 2' Jenny (A. Clay); 3. Dagmar JMakepeace).

Gagné de quatre longueurs, le troisième loin. Prix DE LA Maladetta. Haies, 3 ans, l,0«) francs. 2,500 mètres. Curieuse, à M. Jorel (Wright); 2' Férule (Brooks); 3* Nadia JR. Ponan).

Non placés Rernilis, Locomotive, Laitance, Dlytha. Crivina.

Gagné de six longueurs, trois longueurs du leuxième au troisième.

PRIX Du Taillom. Steeple chase, handicap,

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5,000 francs, 3,700 mètres. Bueil, M. R. Martin (E. Flintj; f Crabe (F. Bail); Pautin (J. Turner).

Non placé Lierru.

Gagne de deux longueurs, mauvais troisième.

RÉSULTATS DU PARI MUTUBL

<aitVAUX lefr. "r". chsvacx «* «& Valois II. G 38 Dolore Fi Il S RaffOt G 2150 Far West. P il 50 6 5) Curieuse. G 49 2i Bar P fi,, a» P 15 50 6 50 Spécial. G 73 Férule P «50 Judith P « 50 33 Buell G VigoureuxG St50 P 22 50 10 P 30 50 tt 50 Crabe.P P 17 50

COURSES ANGLAISES

Eclipse stakes. fr., 2,000 mètres, Diamond Jubilée (H. Jones); 2* Chevening, 9/4 3' Skopos, Eu/

Neuf partants.

NOUVELLES SPORTIVES

Le Casino de Namur organise pour les dimanches 22 et 29 juillet 19OU, à une heure précise, sur la plaine de Namur-Citadetle, un grand concours hippique: 20.000 francs de prix.

Les Concours du Conservatoire Malgré l'excessive choeur qui nous poursuit sans pitié, il y avait une assistance nombreuse, hier. au Conservatoire pour le concours d'opéracomique. Dénié par quelques-uns, le genre éminemment national continue d'être préféré par le plus grand nombre. Le concours d opéracomique partage avec celui de la comédie la faveur du public.

Le jury, composé de MM. Théodore Dubois, président Deschapelles, Carré, Capout, Messager, Lenepveu, Gille, Fugère et Maréchal, a décerné les recompenses suivantes

HOMMES

i" prix M. Boyer (classe Achard).

i·'p prix M. Dubois (Lhérie).

(Uiérie) et Geyre (Achard).

FEMMES

l'" prix: Miles Baux (Lhérie) et Mellot (Achard). prix Mlle Rêve! {Lhérie).

1" accessit Mlle Billa (Achard).

2- accessits Nilles fluchet (Achard), Grand jean (Achard) et Van Gelder (Lhérie).

Pour le concours des hommes, le jury a été plus que généreux en donnant les deux prix qu'il a décernés, et il a été presque injuste en ne donnant qu'un accessit à M. Riddez. Pour le concours des femmes, les récompenses se défendent. Le jury, cependant, n'a donné qu'un second accessit à Mlle Huchet qui, aux yeux du public. avait mérité mieux. La manifestation voulue et de tradition a été réprimée promptement par le président. Il nous semble que Mlle Grandjean avait mérité une manifestation analogue.

Montoornst.

Courrier des Théâtres L'on a annoncé que Patrie serait la première pièce que monterait la Comédie-Française dès qu'elle serait installée au théâtre Sarah-Bernhardt. C'est assurément le désir de tous les sociétaires de donner le plus tôt possible l'œuvre de M. Sardou sur laquelle on avait tant compté pour l'Exposition, mais il n'est pas certain que le projet se réalise aussi rapidement qu'on l'a dit.

Patrie, en effet, exige de nombreux décors qu'on a l'intention de faire très beaux et très somptueux. Or, dans le cas où, exécutés pour les dimensions du théâtre Sarah-Bernhardt, ils ne pourraient ensuite s'adapter à la scène de la nouvelle salle, il est probable que, comptant jouer longtemps Patrie, la Comédie en ajournerait la reprise jusqu'à la réfection de son théâtre.

Lsf reprise du Chemineau aura lieu le i" août au théâtre du Gymnase.

Le drame de M. Richepin sera interprété par MM. Decori, qui reprendra le rôle du Chemineau qu'il a créé à l'Odéon Renot, de l'Ambigu, qui jouera le rôle de Cheltes Prince, des Variétés, qui: retrouvera le succès qu'il eut autrefois l'Odéon Nargeot, etc.

Mme Mathilde Deschamps interprétera le rôle créé par Mme Segond-Weber et Mme Sandri celui de Mlle Mylo d'Arcyle.

Aujourd'hui et mardi 24 juillet auront lieu dans la grande salle du Trocadéro, sous le patronage de la princesse Marie de Danemark, fille du duc de Chartres, les concerts donnés par le Chœur des madrigaux de la Société de Sainte-Cécile de Copenhague.

La Société de Sainte-Cécile (Coecilia Foreningen) fut fondée en octobre 1851.

Le de la Société comprend environ deux cents membres, dont cmquante forment le célèbre Choeur des madrigaux » ce dernier, cependant, pour les deux concerts du Trocadéro, sera limité au nombre de quarante.

Le directeur actuel, Frédérik Rung, fils du fondateur, chef d'orchestre du théâtre royal de Copenhague, est à la tête de la Société depuis 1877. La saison théâtrale de Cabourg vient de s'ouvrir de la plus brillante façon.

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M. Célestin Bourdeau a groupé autour de lui une phalange d'artistes et un orchestre des plus brillants. Le public a ratifié son choix en lui faisant un accueil niomphal. La salle entière a écouté, debout, la ManeUlaine, magistralement inlerp étée par M. Corin, un baryton que Paris applaudira cet hiver.

Mmes Mary Girard, Schneider, MM. Chalmin et Vaunel ont recueilli une ample moisson de bravos. CONCERTS ET DIVERTISSEMENTS

•*•«• La salle de l'Olympia n'est pas seulement une des plus jolies salle» de music-hall, eile est aussi une des plus commodes et des mieux aérées. Et c'est dans une douce et agréable fraîcheur, propice aux démonstrations enthousiaste», que les nombreux spectateurs suivent avec intérêt les mille transformations typiques du prodigieux Frégoli.

Les bloes de glace fleuris dont nous avons parlé répandent dans la salle du Casino de Paris une délicieuse fraîcheur tout en charmant tes yeux. Les motifs sont changés chaque jour, et ce sont tantôt des bouquets de rosés, tantôt des branches de fruits cerises, oranges, abricots, eto. On y applaudit Sandow, les Matsui, la quartette Charmion, etc.

*»• La foule se presse toujours au MoulinRouge où, sous la verte feuillée du jardin ou bien dans la coquette salle, se débitent tant de joyeuses folies.

̃>~v Le cirque Medrano a tous les bonheurs jusqu'à minuit, dans la salle la plus fraîche de Paris, une excellente troupe dont les exercices ob- tiennent un très vif succès. Chaque soir, bravant la chaleur du dehors, le public se porte dans cette véritable oasis de la rue des Martyrs pour y applaudir les artistes du cirque Medrano.

TIRAGE DES DE Li VILLE DE PARIS Hier matin a eu lieu, dans les magasins de la Ville de Paris, 9. rue La Fontaine, Tattribution, par voie de tirage au sort, des lots à répartir entre les obligations comprises dans les séries d'obligations de l'Emprunt municipal de 1871 sorties au tirage préliminaire du 10 juillet. Le numéro 276,dû? gagne 100,000 francs Les numéros 662,289 744,70? gagnentchacun francs.

Les dix numéros suivants gagnent chacun iO,000 francs

Les soixante-quinze numéros suivants gagnent chacun 1,000 francs.

16 549 5î6 505 860 810 V 1.0S0.735 16 786 86i U03 16 354 3IJ6 635. 4Si 8S0 44 355 685 1.106 687 64.594 1.108 712 043 923 1 111 961 123 727 e2 720 939 1 111 961 728 452 9G3 1.122 075 459. WH 780 991 965 823 213.119 460 793 882 976 560 1 153 'J32 500 367 984 i 213 272 321.761 310 848 137 1. on 348.157 537 505

LES SPORTS lE COKCOURS DE TIR

La seconde journée du concours de tir de l'Exposition a obtenu hier, à Satory, un énorme succès.

A la eible populaire sur silhouette à 200 mètres, l'affluence des tireurs a été telle qu'il a été impossible de collationner tous les résultats et d'établir la liste des tireurs ayant obtenu des premiers prix.

On attend l'arrivée de nombreux tireurs étrangers, parmi lesquels le docteur Sayre, président de l'Association des tireurs au revolver des Etats-Unis.

Un match international aux armes libres, i 300 mètres, et un match international au revolver, seront disputés les 2 et 3 août.

Rappelons que le tir a lieu tous les jours, de 8 heures du matin à midi, et de 2 & 6 heures du soir.

lA FÉTE DE IAUTOKOIIIECUJB

Rappelons que c'est ce soir samedi que l'Autemobile-Club de France donnera une grande fête en l'honneur des commissaires généraux de l'Exposition.

Le comité, dans sa séance d'hier, adécidéque les dames seraient admises.

PâRISTOULOUSE

De mauvais bruits circulaient hier au sujet de la course d'automobiles Paris-Toulouse. On disait que certains préfets avaient envoyé des rapports très défavorables au ministère de l'Intérieur.

La course Paris-Toulouse-Paris aura-t-elle lieu,?

Nous serons vraisemblablement, et définitivement cette fois, fixés demain.

En atteudant, les engagements arrivent en nombre; à la date d'hier soir, on n'en comptait pas moins de 70, tant voitures, voiturettes que motocycles.

COACOURS INTERNATIONAL DE SAUVETAGE

C'est aujourd'hui samedi, 21 juillet, que commencent dans le bassin de Courbeyoie-Asnières les épreuves du grand concours international de sauvetage organisé à l'occasion de l'Exposition universelle, et qui se continueront dimanche et lundi.

Les expériences auront lieu de 2 a 5 heures de l'après-midi et consistent en sauvetages à l'aide de canot2 et embarcations construits spécialement pour les sauvetages et tous autres usages;

GRAMMAIRE de la BOURSE 2fr. Ouvncf iiidijpjnsible in ci^ttilist» et sp'coia'tars (Ed~ite 1900) BJ? ita«« de telle Fn»oi frastn rnmr» imOrfsou nt»!w! Llorairit SEVIN et REY.8 liaui.(«< Italiens Paiia.

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elles comprennent également les sauvetages par plongeurs et à i'aiue d'engins.

Le clou du concours sera le sauvetage d'un trois-mats mairhan-i en détresse et monté par 50 hommes d équipage.

il sera distribué pour EU,000 francs de prix. L'MlUtttE DE L'AUTOMOBILE

Le Touring-Club nous informe que l'Annuaire (section automobile), deuxième édition, vient de paraîtra les nombreux souscripteurs t ce volume le recevront-incessamment.

{(appelons que cet annuaire, par les renseignement» de toute nature qu'il renferme, est réellement indispensable aux touristes-voituristea. Il est «xpMié franco aux membres du Touring-Club, sur demande adresaée au siège social, 10, place de la Bourse, et accompagnée de la somme de i franc.

̃ARATHO», AMATEURS

La course pédestre de i0 kilomètres autour de Paris, disputée entre amateurs sous le titre de Course de Marathon, a été gagnée par un Français, Thflat», en 2 h. 59'45".

Champion, second, en 3 h. 4'.

Past (Suédois), troisième, en 3 h. 3T.

Besse, quatrième, en 4 h. 43'.

Newton (Américain), cinquiètne.

CNAMPIONRtT DE GYMNASTIQUE

C'est le dimanche 29 juillet et le lundi 30 qu'aura ¡¡pu le championnat international de gymnastique porté au programme des concours d exercices physiques et de sport de l'ExposiLes épreuves auront lieu au nouveau vélodrome municipal de Vincennes.

LE TIR AUX PIGEONS DE 1900 MRUR

Par suite des modifications apportées au programme du tir aux pigeons d'Ostentie, le programme du tir aux pigeons ,le Namur est réglé comme suit Mardi 17 juillet, l,000 francs mercredi 18, 1,000 francs; jeudi 19. t.OOO francs; vendredi 20, 1,000 francs; samedi 21, 1,000 francs; lundi 23, francs.

Prix Portarlington Mardi 24 et mercredi francs; jeudi francs; vendredi 27, 5,0o0 francs samedi 28 et lundi 30, francs: mardi 3t, 2,000 francs.

CONCERTS ET ORPHÉONS DU SAMEDI 21 JUILLET 190D

ENCEINTE DE L'EXPOSITIOït

A S heures

SALLE DES FÊTES DU trocadého

Concert des Danois, société de Sainte-Cécile de Copenhague. Directeur M. Fr. Buag. L'Isiande. La Langue maternelle, Il. Ru.n«. Aage et Else. Petite Ktrstin. Ramund le jeune, chansons populaires, H Rung. Cinq ihannons de J -E. Hartmann. A ma Muse. Fr. Pun». Chanson po ]aire c Roselil ». Le Vvmfar En Automne, N. Gade. Ave, Maris bV'.ij, E. Grieg. Nous te saluons, étoile de la mer. La Vierge sur les Vagues, P. Lange-MûUer.

Desh. Il* ai h. tir

Champ-de-Mars, kiosque n* S.

Concerts Emile Bourgeois

Marche solennelle, nregh. La Ferme de Primerose, E. Bourgeois. Causerie. G. Hue. Esquisses créole! L. Lambert. Scènes romantiques, l.emaigre La Traviata. Verdi. Alfa Moreaca; Aubade espagnole, llackh Ballet du Mage, Massenet Le Beau Danube bleu, Strauss.

Dt S d 7 heures.

THOCAOÉRO

En face le pavillon des Colonies portugaises. Concert par la musique militaire des nègres de San-Thomé.

A th. Il! du soir

SQUARE DU BON MARCHÉ

Harmonie du Bon Marché. Chef M. G. Wettge. Sir Richard Wallaee, Sellenick. Marche et Cortégc de fête, G. Wettgo. Idylle bretonne, Pillevestre La Source, Léo Delibo*. Sélection sur le Tannhaeuser, Wagner Houquet de fraises, E. Ftscher. Finale.

FÊTES DES ENYIDONS DE PARIS DU DIMANCHE JUILLET l900

Coulommleni (gare de l'Est¡. Fête foraine, concert, feu d'artifice, bal de nuit.

Courbevote (tramways place de l'Etoile SaintGermain). Fête communale, attractions nombrese» et variéea, grand bal.

Davron (gare Saint-Lazare). Mât de cocagne, courses en sac, feu d'artifice, bal.

Fouieoay-soiut-Bol» [gare de l'Kst-Bastllle). Fête patronale, représentation théâtrale au profit des pauvres.

FranconviH« fgare du Nord).-Concert, représentation théâtrale, feu d'artifice. Lundi, course \élocipédique.

tiournay-«ur-Mam«! (gare de l'Est). Festivalconaert, bal champêtre.

L'Iiay (gare du Luxembourg). Concert, bal lundi, course aux ânes.

Le Véeinei (gare Saint- Lazare). Fête nautique, concert musical, bal; lundi, nal d'enfants. Llmell-Urévanaes (gare de l'Est-Bastille). (;oncert, illuminations, bal; lundi, représentation théâtrale.

Louvre* (gare du Nord). Continuation de la fête. Mafsons-LalHtte (gare Saint-Lazare). Concert, bal. Lundi, courses vtSlocipédiqiies.

Rqmfttnville (tramway électrique place de la République). Fête foraine, concert, bal. Lundi, course- à pied.

Salot-Prtxfgare du Nord). Concert. jeux divers. bal. Lundi, tir à la carabine.

Thomery (gare de Lyonj. Fête foraine de Ry, concert, jeux, bal. Lundi, continuation des réjouissance*.

Départs et Arrivées des Paquebots Le paquebot Armand Bilan (N. M.?, venant de l'Australie, a quitta King Georges Sound le U juillet, 4 i. cures du matin.

*m. ENFANTS de la OUPEltE. IM'il. de la CoaaaVa, Paris. lll1Wll,II£I,7rUv hàubOMi artUs.

RJEGIsaeOR CAVES Du PLANAS, rats RIXES Ne* »la» ml «io*il4« aux vnx «aanac» ow la awar. ue gérant boi.wuri

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BULLETIN COMMERCIAL DU VENDREDI JU11LLET

Fart»e«, fleur, les kil. Né*, lac kilo* tH«poBlbt« i 11. J » li. n i:; Dtspootbte t h j is h «o ̃ uourant.. a M a ta Courant. i» ̃» Août. »99 »*a Août. M «5 *> S« ♦ derniers. » «, n i derniw*. n »o 85 de 00\ nw idenov îi » ai a Ulfle*. les kilos Avalas*, les 100 kilos Disooofble h. 3 u h. t/î m«ponlhl« 1 h. 17 li. ̃» i ii 'Courant.. U i* Courant.. n « n Août. «.. !4 W Août. n 66 t7 M Srpt-oct li li M Sept-oot. 16 9u 4 derniers, t. M U 50 i derniers i 4 de nov. 50 14 S0 4 de nov.. 11 Ils 90 ̃̃U« *« «lia. les 100 kil. Haute lia. les kilos ih. ib.t/2 ih. jh.i/j

Disponible Disponible sa Courant M 75 Couru». 89.. Août ii«e M » Août «t S0 Si S0 ♦ derniers. 7S derniers 73:.0 73 M 4 premiers. t premiers. 61 H 6? «S ticavtt, i'hecM DU r>uer« n' 3, les klSo* Août Août derniers- Septembre Circulation (pipe»i va Circulation tsacsi. 5 &*> Stooi; lS.Sùû

Suc: -affiné», do i» a i»5 so l«s kilos. Sucre-, rafflDés surchoix, casse», ranges en cause», ce lù» tll.

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VINS ET EAUX-DE-VIE

VINS, Dans le Gard, les affaires sont toujours lentes. On cote A Nîmes aramon.de 9 a 14 fr ̃ montague, de 15 tr.; jaequez, de A S! fr.; blanc bourret, de îi a fr.; blanc plcpaul, de 3N à 98 fr.; costWre, de n fr.; rosé, patllet, gris, de 18 à 2ù fr.

Dans l'Hérault, le« transactions sont peu importantes on peut acheter des petits vins de plaine à tu fr t hecto des S 1/2 à 9 degrés, de 12 i 14 fr les vins de coteaux sont plus coers et plua rares, on les paie de a S fr de ptus l'be tolitre.

Dans l'Aude. lea atTaii os sont très calmes les vins sont difficiles A vendre à cause de la belle perspective de la récolte.

Dans le Roussillon, les raisins sont très gros, sans maladies. Les affaires sont toujours très dlfllelles.

Dans le Lot-et-Garonne, la vigne est itrts belle, bien que daoa certafns pays la coulure ait éclairer les grappes néanmoins, si rien de f&cheux ne survient, ou peut compter sur une abondante cotte. En Armagnac, on ne parait pas très satisfait; on redoute de nouvelle» attaques de black-rot Les marchés sont peu fréquentés, cependant les prix sont bien tenus pour les vins i 5 r. le degré les litres.

Dans le Bordelais, il y a eu de la coulure, mais on croit que les manquants seront largement cumpensés par le rendement des jounes vignes de trois ans et ou estime que la récolte pendante égalera en quantité celle du HW3. On a traité quelques affairts sur Bouches de 170 220 fr. le tonneau nu. Dans la Dordogne, on compte sur une récolte fort abondante; Il part quelques taches d'oïdium, 11 n'y a pas de maladies cryptogaintques-

hans les Charente», l'apparence est superbe, et on compte sur une forte récolte.

Dans le Nantais, la floraison des grog plants s'est effectuée par un temps inégal qui a dû occasionner quelques dommages; Néanmoins les vignerons ne se plaignent pas et les apparences de la récolte sont favorables. Les muscadets sont toujours cotés de ion Il 110 fr. et les gros plante de I5 à bi fr. la barrique.

Dans la Touraine, la quantité de la récolte sera exceptionnelle quant à la qualité, elle dépendra de la température. Les vins rouges se vendent due 55 A 65 fr. la barrique; les blancs de 60 à fr. pour les ordinaires et de 100 à 110 fr. pour les supérfeurs. Ku Champagne, la floraison s'est bien passée. Il est prévoir que la récolte sera aboudaute et qu y aura largement pour Iea besoins du commerce on prévoit que nombre de vignobles devront faire du vin rouge.

Dans le Heaujolals-Macoonals, la vigne est trAn belle, les raisins sont beaux et nombreux. Ce sont les vignes de plaine et de petites côtes qui donneront le gros rendement.

En Auvrrgnc, la neur s'est passée dans les mellleures conditions; il n'y a pas de traces de coulure, Si rien ne vient contrarier la végétation on est certain d'avoir une récolta des pius abondante»*. les affaires sont difficiles, bien que les vins de la dernière récolte soient offerts de à le pot de 15 litres.

En Oranle, en vins de la dernière récolte on a vendu une forte cave, environ hectos, à !)etAbbès, à raison de 0 fr. 6& le degré. En vina de la nouvelle récolte il ne se fait rien les acheteurs restent dans expectative.

A Hercy-Kntr<<pot, on est peu enclin aux achats par suite des bonnes nouvelles du la récolte. Cependant, les bons vins couservent leurs prix de 26 A fr l'hecto selon choix quant aux petit* » quanttités, elles se raisonnent de 18 A 2t fr. Les livraisons au commerce de détail et aux particuliers sont aetives.

BAUX-DE- VIE. Dans les Charente», au point de vue commercial, on est arrivé à la morte saison. En Armagnac, peu de changement on demande

1

Plus De Cneveux Blancs PLUS de Barsbts Grises LE NIGER 4 50 ««w km»mtmn*m*m Au omnen ilsm, ttikim, um w wm Un» t-v^ictitm la» lnll|Hti »OU. au il turmaiu bnr«r«isAr.<aaa««*trrminimt«iiHtu OMMM i t. M» «•», 5 f. H à Joalcil». HARR>S,ia, ru* Tr*via^PAftl»

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L'AGRICULTURE NOUVELLF .osrui Hfmr mimi n Fnttcon nttt

(ao pages de texte et de graTurss) LE NUMÉRO 10 CENTIMES

Agriculture. J, P. L Exposition et tee Congres. Echos agricoles. H. Latiëre La vente des produite et les syndicats agricoles. Athert Berthot Prévisinns du temps. Le Conrf*s international de î'alimfatation du bétail.- P. Vimeux Le Trèfle incarnat. L. D. A la Société nationale (l'agriculture. P.Timeux A lAca<lémie des Scieaces.

L Agrloultur» è l'Ex&otltUn univ«r*«ll*. J. de Loverdo Section étrangère La Hongrie. J. Troade Section française les instrumenta. Lucien Mersey Forets. Péches et Cueillettes. Vttloultur*. J. Roy-Chevner Histoire de 1 AmpHoaraphie. P. Revue vinicole. Moptleultur*. S. Mottet L'Horticulture à rfUpositiua universelle. P. Fruits et légumes aux Halles. Echos horticoles.

»rft*rto«iltwf-« s. Mottet Mensuration des yrnnds aibrea (avec figure).

V«nét*s. J. Maorion Attelages de Chiens. L^uiation ru>>«i«. Léoa Lesage <Jue8Uous Corr*apondaiic«. Halles, Marchés, Bulletin météorologique.

FMis. BoeovcT, ln.pnniti.r ou Petit PmrintM. ta, rue ttatl0it+

de tsa i 2w fr. et cciies d'Auvergu* de » à Mit. IMCaroii^ aux Veaux La Vllleœ, vendredi juillet.

Vente toujours mauvaise et même prix.

Les vaauxtie choix de (le l'Eure, 4* Selne-el-Ols*. d'Eure-st-Loir, du Loiret, se »ont détaillés de 0 90 à 0 et ea bande ont obtenu de 0 tb 0 90. LM champenois M sont vendus de o 75 A 0 M en bande et jusqu 0 87 au déitiil les flamands» de 0 » A o 85 les troumayeux et les ni.iacaaux <W 70 c.; lea autres provenances de 0 SS à «•. U tout par Il! kilo de viande nette

SPECTACLES DU 2t JUILLET THSATRKS

8 h. •/•. Opéra. Faust

8 h. Il!. Tu Français la ltMé«m. Adrienns L*> couvreur.

8 h Ctm»»M. Le Fils de l'Etrangère. 8 h. t/2. ruairu-i. La Poudre de l'crilupmnéa. 8 h. •/̃. Th. Suran-SrrniurtU L'Aiglon h. • Variété*. Heiache

t h. i/«. U*lté. Rip

8 h, iri. Kauteam««. La Dame do chez Maslnt, 8 h. Pal*f«-K<iyal. Uc.fi'm •̃"̃•

8 h. 1/2 Y»u«e>tllle. Mada ,ie. 8 h. •/». Portf-Si-Martl». c 'rgerBC h. Si4. ItMiaittttiee Miss iin.jni. 8 h. h. • Ailiénee. Reliehe,

h. • Fatie4-0rama(l«a««. Relâcha.

Il h. 1/4. Ainhls'i. Les Deux Gosses.

Il h. Thriir,- de la ̃«»aMI«ue. La Fille dj*ft 8 h. l.'S. Ctnar. La Marraine de Charity. 5 h. i/î. 0*j*im. Tous criminels.

̃ h. Th. Ua*«rra. Helu,!

8 li. ̃ >alttu«!l«s Le&ii.c.

8 h. «OBInturtre. l'ne Krr -i:r S h. «,». Ui-enelte. Aux Courses.

Il h. •/>. Maulpat-uaote. Kaufau la Tulipe. t h. ««k«lin Loa Dragons de Villar». SPECTACLES DIVERS

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BlMi««nme tpiace Uich/). 1 1/t. de List A 10 h.. les udis. tiimaucheset fêtes, a ï heures.

Seala. Téïép. lot-16. Parié s'expose. r«w Polln. Polalr.' Monte. Sulhaiv ̃ M»x Dearh iielierri". Diinnr. mat. Psrislaua .(i-îo. S ShelTei chez .l/<i.i r.vi. Jane .i>«U« Voisin, Albens, Viliwrt, Max Him m» KUoraiK lira.nem. Ma11 Musset, llonot. s MaryHt-n.si. t,ehionil léte»,m«t. La tlljale 407-OO. V'.>i ntjchampl MM. banal. ..ratilt, Qiuvut (iirler, Mme» J Hioch, Sui broche. Jartin «e rarivtous les soirs, Nanteau-T.ira.ae. 8 h. 1/2 /j» Clause nu sanglier.

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Thésire Indo-Oklnols Trooadéro, porto (le Passy. Troupe annamite. Dans«s oamlJO(lgi<'ntii-K,r.l4o a* Mérude Tuus l«s jours s. S, 4«'t:,> Le soir A S et Maréuranu Hu«« «*»ie«t. Illusion parfaite d'un voyage en mer Champ-d*-Mars, angle de l'avenu* de Su(Tr<n et du <iua4 d'Orsay.

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Rrnflo i TOUf (irt. Régie rompriu. Va'ei)r?<) jours, it reprendt en»oi qui ne plall pa«. Ech. *0 a, hnr«M--Ut* ?fc»u '•>»•;• successions; tfOf Cr*<lttPr«oç«l«, 2 H.Ui»,j»Me-4'AtiiiB,Varia.M tamji»awéc/i(*. *• t*ê von f<ji dr* urec lu àutrt offrit prit» fallu p*r <Jtt i^uwij. Le journal ne répond pu dM manuscrits qui Ut* sont aitri-x.si-s

Ces manui.cnts ne «nnt oaa ivadiuu

CHEMINS DE ^EDR Chrtnlnh ilf, ter de l'Ouett Depuis le t" juiltett ïen i!»n« «es «ares d« Sa ~t d» Moi,: un certain nombre, d" paierte 1 modèle. Ces coup' Jleui vert ̃•̃ îim seul cheval isont «J'un type non • t un confort qu'on ne rencontra pa» 1 :.u ut dans les voitures dépèce. Voici 'iu. sera le tarif Ues nouvelles voitures prises t la gare

La course de jour, fr. et s fr. suivant ia distance.

La course de nuit, t h et fr. suivant la dis- tance, ces prix seront élevés de 0 50 pour les voiturf!{! retenues iL l'avance.

e tarif des coupé» pris à rheure a et* fixé, qup.ile aue soit la distance, A t fr. M (jour;, et I fr. M (nuit), 1 fr. de plus pour les coupes retenue i Pavance.

Ei.fln, grand avants. on ne paiera que H pour un maximum de EUo» de bagages. Voila plus qu'il n'en faut pour attirer tout de sutte aux eauveiles voitures de la Compagnie de l'Ouest une. DU

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